POPULARITY
Additifs de pneus dans nos fruits et légumes Les brèves du jour Inventorier les perce-oreilles de Suisse L'exposition "Anatomie" : l'évolution de l'étude du corps humain Les bizarreries de notre système solaire
Alors que la paix entre Palestiniens et Israéliens n'a jamais semblé aussi lointaine, une grappe d'étudiants palestiniens a fait le choix de suivre un cursus d'« études israéliennes ». Au programme : cours d'hébreu, études de grands textes du judaïsme et de la littérature israélienne, histoire et sociologie d'Israël. La prestigieuse université de Birzeit, en bordure de Ramallah, affiche clairement ses objectifs : « Mieux connaître l'occupant » pour mieux le combattre sur le terrain des idées. De notre correspondante à Ramallah,C'est un cours d'hébreu... à la palestinienne. Il démarre par une distribution de baklawas. Grand sourire, une étudiante annonce ses fiançailles tout en promenant un plateau de pâtisseries. Gourmand, Esmat Mansour, le professeur, se sert tout en ne perdant pas de vue ses objectifs pédagogiques : « Mazel tov ! Mazel Tov ! » Les yeux rieurs encadrés de lunettes, il confie à voix basse : « L'hébreu rappelle de mauvais souvenirs aux étudiants. Pour eux, c'est la langue des checkpoints. Alors, j'essaie autant que je le peux de détendre l'atmosphère pendant le cours. Moi, j'adore l'hébreu et mon rôle, c'est de faire aimer cette langue à mes étudiants. Je leur dis souvent qu'en maîtrisant l'hébreu, ils vont gagner en force et en confiance en eux. Si tu ne sais pas t'exprimer en hébreu, les Israéliens te mépriseront. »L'hébreu, le quinquagénaire a eu tout le loisir de l'apprendre en prison où il a passé vingt années de sa vie pour participation au meurtre d'un Israélien établi dans une colonie. Il avait pour camarade de cellule un certain Yahya Sinwar, ancien numéro un du Hamas et instigateur des attaques du 7-Octobre qui ont fait basculer la région dans un chaos dont on ne voit plus la fin.Mais sur ce lourd passé, l'homme préfère se faire discret : « Mes étudiants sont curieux et veulent en savoir plus sur l'expérience de la prison, mais l'université n'est pas le lieu pour le faire. Ici, je ne parle que des bons aspects de la prison. Avoir pu apprendre l'hébreu est l'une de ces bonnes choses. »« C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens »Lui qui dit croire désormais en une « solution politique » au conflit, prodigue la matière phare du cursus : l'hébreu à raison de neuf heures par semaine. Révisions du vocabulaire de base et apprentissage de quelques adages en hébreu, le cours se déroule dans une ambiance bon enfant teintée de salves d'humour noir. Après la lecture d'un texte évoquant la protection de la nature et des animaux, un étudiant lance, cynique : « Ils sont fantastiques, les Israéliens ! Ils font attention à tout, la nature, les animaux ! Sauf à nous ! Nous non, on ne compte pas ! Pourquoi ? Aucune idée ! ». Les rires fusent. « Les plus tragiques des désastres sont ceux qui provoquent des rires », soutient le poète palestinien Mohammed El-Kurd dans son recueil « Rifqa ». Ici, on rit beaucoup. Tout en rondeurs et sourires lui aussi, Rabih Bader, 27 ans, dit vouloir entamer un travail de recherche consacré à ce qu'il appelle la « judaïsation de l'histoire palestinienne » par les Israéliens. Impossible donc de faire l'impasse sur l'hébreu : « C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens. Eux savent tout de nous. Ils ont de très bons départements d'études palestiniennes dans leurs universités. Ils étudient non seulement l'arabe, mais même les différents dialectes palestiniens. Ils sont super spécialisés, à nous d'en faire de même. » Oreilles dressées pour écouter les cours, plusieurs étudiants gardent un œil en permanence sur leurs smartphones. Les dernières informations sont égrenées à haute voix : arrestations, incursions de l'armée israélienne ou rumeurs de fuites de documents au sein du Shin Bet, l'appareil de renseignements israéliens, la salle de classe a aussi des airs de rédaction. On commente, on se perd en conjectures et souvent, on ironise, encore et encore, sur la situation. Un programme lancé il y a dix ansPour accéder à cette rieuse salle de classe, il en aura fallu de la patience. Ici comme dans beaucoup d'endroits de Cisjordanie occupée, la méfiance règne. Avant de nous autoriser à nous mêler à leurs étudiants, les responsables de l'université de Birzeit annoncent avoir fait « leur enquête » sur nous. Un mois et demi d'échanges d'e-mails, de messages WhatsApp, de smileys, de vœux pour l'Aïd, de rencontres et de tractations plus tard, les portes de ce programme académique inédit s'ouvrent enfin à notre micro.Sous un portrait de Shireen Abou Aqleh – ancienne étudiante et professeur à Birzeit, mais surtout journaliste star d'Al Jazeera abattue en plein reportage à Jénine par l'armée israélienne – Najat Abdulhaq, sémillante responsable du département de la communication de l'université explique sa prudence. Smartphone en main, elle montre des photos des différents raids de l'armée israélienne sur le campus. Les dizaines d'étudiants arrêtés, les salles de classes retournées et les drapeaux arrachés l'incitent à la prudence désormais. Dans ce contexte hautement explosif, comment étudier sereinement la société israélienne ? Quand ce programme a été lancé il y a dix ans, un dilemme s'est posé d'emblée : peut-on étudier la société israélienne tout en évitant la « normalisation » ? La solution est vite trouvée. Les seuls Israéliens autorisés à donner cours ici sont des Palestiniens, citoyens d'Israël, comme Areen Hawari, directrice d'un centre de recherches à Haïfa, en Israël. Petite, coupe au carré, elle confie que cette escapade académique hebdomadaire en Cisjordanie occupée est paradoxalement une bouffée d'air pour elle : « Je suis heureuse d'enseigner ici à Birzeit. Je suis palestinienne et cela fait partie de notre projet de libération. Oui, cela fait partie de notre projet de libération de pouvoir produire des études qui soient critiques du colonialisme d'un point de vue académique. Je suis très enthousiaste. » Composant 20% de la population israélienne, les Palestiniens d'Israël sont minoritaires. Présentés comme une cinquième colonne qui menace la sécurité de l'État hébreu, ces professeurs – malgré les checkpoints qu'ils doivent franchir pour venir enseigner en Cisjordanie occupée – trouvent ici paradoxalement un répit de quelques heures dans le climat de suspicion généralisée qui prédomine en Israël. « J'ai un passeport israélien, mais je me sens palestinienne et je porte le poids de la douleur des Palestiniens moi aussi. Notre souhait, c'est qu'Israël ne soit pas un État que pour les juifs, mais pour tous les citoyens. On veut un État démocratique », poursuit Areen Hawari. Combattre la colonisation par les armes du savoirUn département d'études israéliennes peut-il se concevoir sans professeurs israéliens juifs ? Pour Asma, étudiante aussi appliquée qu'impliquée, la question ne se pose pas : « On n'a pas de professeur juif effectivement, mais le problème ce n'est pas la confession en soi. On ne veut pas avoir de profs sionistes. Mais ça n'empêche pas qu'on les lise. On ne peut pas comprendre les Israéliens si on ne lit pas Theodor Herzl et d'autres penseurs du sionisme ». Le sionisme. Le terme revient beaucoup en cours. « Plus de terre, moins d'Arabes », lance une étudiante pour le définir. Une question survient alors : « Peut-on étudier un domaine que l'on n'aime pas ? » Sans circonvolutions, Asma répond avec l'aplomb des punchlines propres à sa génération : « On est un peu comme les médecins qui étudient le cancer. Les médecins n'aiment pas le cancer, mais ils l'étudient pour pouvoir le combattre. » Tous, ici, professeurs comme étudiants, ont l'impression de combattre la colonisation par les armes du savoir. Fondée à l'aube du XXe siècle, l'Université de Birzeit a une longue tradition d'engagement pour la cause palestinienne. Les Français l'ont découverte à la (dé)faveur du déplacement de Lionel Jospin sur le campus le 26 février 2000. Pris à partie par des étudiants scandalisés par ses propos sur le Hezbollah qu'il a qualifié de « terroriste », le Premier ministre français essuie jets de tracts et de pierres. La scène donne des sueurs froides à son personnel de sécurité et vient rappeler combien chaque mot est miné dans cette région du monde. Un programme financé par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de DohaUn quart de siècle plus tard, rien n'a changé. L'Orient reste plus que jamais « compliqué » et suscite l'intérêt redoublé de programmes de recherches du monde entier. À commencer par celui des riches pétromonarchies du Golfe désormais convaincues de la nécessité d'investir dans le savoir en plus de la pierre et des clubs de football européens. La petite trentaine d'étudiants qui suit le programme bénéficient ainsi d'une bourse financée par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de Doha. Un institut dirigé par l'intellectuel palestinien Azmi Bishara également citoyen d'Israël où il fut député. Recherche, journalisme, diplomatie, les secteurs en mesure d'accueillir ces rares étudiants palestiniens connaisseurs en profondeur de la société israélienne sont nombreux et stratégiques.Casquette vissée sur la tête, main qui caresse tantôt un chapelet tantôt une cigarette, Mohanad, le regard clair – lui aussi ancien prisonnier comme 40% des hommes palestiniens et dont le nom sera tu pour des raisons de sécurité – confie pourtant avoir du mal à savoir ce qu'il fera de son diplôme. « Tu sais, nous en Palestine, on ne sait plus se projeter. Là, je suis avec toi, mais demain qui sait où je serai ? J'ai été emprisonné deux fois. Je peux être emprisonné à nouveau à tout moment. Depuis le 7-Octobre, on parle même de nous faire partir d'ici de façon massive. C'est difficile de pouvoir réfléchir à l'avenir ». « L'impossible futur ; comment la colonisation israélienne sape les rêves d'avenir de la jeunesse palestinienne ». Un thème de recherche académique en soi…
Alors que la paix entre Palestiniens et Israéliens n'a jamais semblé aussi lointaine, une grappe d'étudiants palestiniens a fait le choix de suivre un cursus d'« études israéliennes ». Au programme : cours d'hébreu, études de grands textes du judaïsme et de la littérature israélienne, histoire et sociologie d'Israël. La prestigieuse université de Birzeit, en bordure de Ramallah, affiche clairement ses objectifs : « Mieux connaître l'occupant » pour mieux le combattre sur le terrain des idées. De notre correspondante à Ramallah,C'est un cours d'hébreu... à la palestinienne. Il démarre par une distribution de baklawas. Grand sourire, une étudiante annonce ses fiançailles tout en promenant un plateau de pâtisseries. Gourmand, Esmat Mansour, le professeur, se sert tout en ne perdant pas de vue ses objectifs pédagogiques : « Mazel tov ! Mazel Tov ! » Les yeux rieurs encadrés de lunettes, il confie à voix basse : « L'hébreu rappelle de mauvais souvenirs aux étudiants. Pour eux, c'est la langue des checkpoints. Alors, j'essaie autant que je le peux de détendre l'atmosphère pendant le cours. Moi, j'adore l'hébreu et mon rôle, c'est de faire aimer cette langue à mes étudiants. Je leur dis souvent qu'en maîtrisant l'hébreu, ils vont gagner en force et en confiance en eux. Si tu ne sais pas t'exprimer en hébreu, les Israéliens te mépriseront. »L'hébreu, le quinquagénaire a eu tout le loisir de l'apprendre en prison où il a passé vingt années de sa vie pour participation au meurtre d'un Israélien établi dans une colonie. Il avait pour camarade de cellule un certain Yahya Sinwar, ancien numéro un du Hamas et instigateur des attaques du 7-Octobre qui ont fait basculer la région dans un chaos dont on ne voit plus la fin.Mais sur ce lourd passé, l'homme préfère se faire discret : « Mes étudiants sont curieux et veulent en savoir plus sur l'expérience de la prison, mais l'université n'est pas le lieu pour le faire. Ici, je ne parle que des bons aspects de la prison. Avoir pu apprendre l'hébreu est l'une de ces bonnes choses. »« C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens »Lui qui dit croire désormais en une « solution politique » au conflit, prodigue la matière phare du cursus : l'hébreu à raison de neuf heures par semaine. Révisions du vocabulaire de base et apprentissage de quelques adages en hébreu, le cours se déroule dans une ambiance bon enfant teintée de salves d'humour noir. Après la lecture d'un texte évoquant la protection de la nature et des animaux, un étudiant lance, cynique : « Ils sont fantastiques, les Israéliens ! Ils font attention à tout, la nature, les animaux ! Sauf à nous ! Nous non, on ne compte pas ! Pourquoi ? Aucune idée ! ». Les rires fusent. « Les plus tragiques des désastres sont ceux qui provoquent des rires », soutient le poète palestinien Mohammed El-Kurd dans son recueil « Rifqa ». Ici, on rit beaucoup. Tout en rondeurs et sourires lui aussi, Rabih Bader, 27 ans, dit vouloir entamer un travail de recherche consacré à ce qu'il appelle la « judaïsation de l'histoire palestinienne » par les Israéliens. Impossible donc de faire l'impasse sur l'hébreu : « C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens. Eux savent tout de nous. Ils ont de très bons départements d'études palestiniennes dans leurs universités. Ils étudient non seulement l'arabe, mais même les différents dialectes palestiniens. Ils sont super spécialisés, à nous d'en faire de même. » Oreilles dressées pour écouter les cours, plusieurs étudiants gardent un œil en permanence sur leurs smartphones. Les dernières informations sont égrenées à haute voix : arrestations, incursions de l'armée israélienne ou rumeurs de fuites de documents au sein du Shin Bet, l'appareil de renseignements israéliens, la salle de classe a aussi des airs de rédaction. On commente, on se perd en conjectures et souvent, on ironise, encore et encore, sur la situation. Un programme lancé il y a dix ansPour accéder à cette rieuse salle de classe, il en aura fallu de la patience. Ici comme dans beaucoup d'endroits de Cisjordanie occupée, la méfiance règne. Avant de nous autoriser à nous mêler à leurs étudiants, les responsables de l'université de Birzeit annoncent avoir fait « leur enquête » sur nous. Un mois et demi d'échanges d'e-mails, de messages WhatsApp, de smileys, de vœux pour l'Aïd, de rencontres et de tractations plus tard, les portes de ce programme académique inédit s'ouvrent enfin à notre micro.Sous un portrait de Shireen Abou Aqleh – ancienne étudiante et professeur à Birzeit, mais surtout journaliste star d'Al Jazeera abattue en plein reportage à Jénine par l'armée israélienne – Najat Abdulhaq, sémillante responsable du département de la communication de l'université explique sa prudence. Smartphone en main, elle montre des photos des différents raids de l'armée israélienne sur le campus. Les dizaines d'étudiants arrêtés, les salles de classes retournées et les drapeaux arrachés l'incitent à la prudence désormais. Dans ce contexte hautement explosif, comment étudier sereinement la société israélienne ? Quand ce programme a été lancé il y a dix ans, un dilemme s'est posé d'emblée : peut-on étudier la société israélienne tout en évitant la « normalisation » ? La solution est vite trouvée. Les seuls Israéliens autorisés à donner cours ici sont des Palestiniens, citoyens d'Israël, comme Areen Hawari, directrice d'un centre de recherches à Haïfa, en Israël. Petite, coupe au carré, elle confie que cette escapade académique hebdomadaire en Cisjordanie occupée est paradoxalement une bouffée d'air pour elle : « Je suis heureuse d'enseigner ici à Birzeit. Je suis palestinienne et cela fait partie de notre projet de libération. Oui, cela fait partie de notre projet de libération de pouvoir produire des études qui soient critiques du colonialisme d'un point de vue académique. Je suis très enthousiaste. » Composant 20% de la population israélienne, les Palestiniens d'Israël sont minoritaires. Présentés comme une cinquième colonne qui menace la sécurité de l'État hébreu, ces professeurs – malgré les checkpoints qu'ils doivent franchir pour venir enseigner en Cisjordanie occupée – trouvent ici paradoxalement un répit de quelques heures dans le climat de suspicion généralisée qui prédomine en Israël. « J'ai un passeport israélien, mais je me sens palestinienne et je porte le poids de la douleur des Palestiniens moi aussi. Notre souhait, c'est qu'Israël ne soit pas un État que pour les juifs, mais pour tous les citoyens. On veut un État démocratique », poursuit Areen Hawari. Combattre la colonisation par les armes du savoirUn département d'études israéliennes peut-il se concevoir sans professeurs israéliens juifs ? Pour Asma, étudiante aussi appliquée qu'impliquée, la question ne se pose pas : « On n'a pas de professeur juif effectivement, mais le problème ce n'est pas la confession en soi. On ne veut pas avoir de profs sionistes. Mais ça n'empêche pas qu'on les lise. On ne peut pas comprendre les Israéliens si on ne lit pas Theodor Herzl et d'autres penseurs du sionisme ». Le sionisme. Le terme revient beaucoup en cours. « Plus de terre, moins d'Arabes », lance une étudiante pour le définir. Une question survient alors : « Peut-on étudier un domaine que l'on n'aime pas ? » Sans circonvolutions, Asma répond avec l'aplomb des punchlines propres à sa génération : « On est un peu comme les médecins qui étudient le cancer. Les médecins n'aiment pas le cancer, mais ils l'étudient pour pouvoir le combattre. » Tous, ici, professeurs comme étudiants, ont l'impression de combattre la colonisation par les armes du savoir. Fondée à l'aube du XXe siècle, l'Université de Birzeit a une longue tradition d'engagement pour la cause palestinienne. Les Français l'ont découverte à la (dé)faveur du déplacement de Lionel Jospin sur le campus le 26 février 2000. Pris à partie par des étudiants scandalisés par ses propos sur le Hezbollah qu'il a qualifié de « terroriste », le Premier ministre français essuie jets de tracts et de pierres. La scène donne des sueurs froides à son personnel de sécurité et vient rappeler combien chaque mot est miné dans cette région du monde. Un programme financé par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de DohaUn quart de siècle plus tard, rien n'a changé. L'Orient reste plus que jamais « compliqué » et suscite l'intérêt redoublé de programmes de recherches du monde entier. À commencer par celui des riches pétromonarchies du Golfe désormais convaincues de la nécessité d'investir dans le savoir en plus de la pierre et des clubs de football européens. La petite trentaine d'étudiants qui suit le programme bénéficient ainsi d'une bourse financée par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de Doha. Un institut dirigé par l'intellectuel palestinien Azmi Bishara également citoyen d'Israël où il fut député. Recherche, journalisme, diplomatie, les secteurs en mesure d'accueillir ces rares étudiants palestiniens connaisseurs en profondeur de la société israélienne sont nombreux et stratégiques.Casquette vissée sur la tête, main qui caresse tantôt un chapelet tantôt une cigarette, Mohanad, le regard clair – lui aussi ancien prisonnier comme 40% des hommes palestiniens et dont le nom sera tu pour des raisons de sécurité – confie pourtant avoir du mal à savoir ce qu'il fera de son diplôme. « Tu sais, nous en Palestine, on ne sait plus se projeter. Là, je suis avec toi, mais demain qui sait où je serai ? J'ai été emprisonné deux fois. Je peux être emprisonné à nouveau à tout moment. Depuis le 7-Octobre, on parle même de nous faire partir d'ici de façon massive. C'est difficile de pouvoir réfléchir à l'avenir ». « L'impossible futur ; comment la colonisation israélienne sape les rêves d'avenir de la jeunesse palestinienne ». Un thème de recherche académique en soi…
Drôle de sortie publique pour Paul St-Pierre Plamondon… Mark Carney n’aura pas à s’inquiéter de se faire dissoudre en chambre. La rencontre Abdelfadel-Dumont avec Yasmine Abdelfadel et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qubPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Cette semaine sur Du crime à mes oreilles, Alex vous raconte l'histoire derrière la chanson Le renard de la formation Bérurier Noir qui nous parle d'une des plus grande chasse à l'homme de l'histoire du Royaume Unis!Bonne écoute!
Comment protéger nos oreilles du bruit ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'épisode de cette semaine est une présentation du Pouzza Fest de Montréal qui aura lieu du 16 au 18 mai prochain!Billet : https://pouzzafest.com/fr/Cette semaine sur Du crime à mes oreilles, c'est la fin de la longue pause de Papy_Jo.Il entre en légèreté avec quelques fait divers et un zoom sur des chansons du groupe La dispute.Bonne écoute!
Dans cet épisode, nous accueillons Sébastien Salingue pour aborder un sujet essentiel en plongée sous-marine : les oreilles et leur gestion sous l'eau.Que vous soyez débutant ou plongeur confirmé, vous avez sans doute déjà ressenti une gêne ou même une douleur en descendant en profondeur.Mais pourquoi cette douleur survient-elle ? Comment bien équilibrer ses oreilles pour plonger sans inconfort et éviter les blessures ?Sébastien nous explique de manière claire et détaillée les mécanismes de la pression en plongée, le rôle des trompes d'Eustache, et les différentes techniques pour équilibrer efficacement ses oreilles : Valsalva, Frenzel, et Béance Tubulaire Volontaire (BTV).Il revient également sur les erreurs courantes commises par les plongeurs débutants et les risques liés à une mauvaise gestion de l'équilibrage des oreilles.Nous abordons aussi les facteurs aggravants comme le stress, la fatigue ou encore un simple rhume qui peuvent rendre l'équilibrage difficile voire douloureux.Sébastien donne de précieux conseils pour mieux appréhender la descente, notamment en prenant son temps, en réalisant des manœuvres régulières et douces, et en se détendant au maximum.Enfin, nous discutons des bonnes pratiques à adopter pour éviter les complications, telles que ne pas plonger en étant malade, réaliser un rinçage des oreilles après la plongée ou encore consulter un ORL en cas de douleurs persistantes.Que vous soyez sujet aux douleurs d'oreilles en plongée ou que vous souhaitiez simplement améliorer votre technique d'équilibrage, cet épisode vous apportera des conseils précieux pour plonger en toute sécurité et avec plaisir.
durée : 01:30:55 - Les Nuits de France Culture - par : Antoine Dhulster - "L'Europe a des oreilles" ou quand l'Atelier de Création Radiophonique imaginait une soirée électorale originale pour les élections européennes de 2004. En direct du studio 105, ce multiplex avec sept radios européennes donnait à entendre Jean-Luc Godard, Lidia Jorge, Peter Greenaway... - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean-Luc Godard Réalisateur; Peter Greenaway; Laurie Anderson; Lidia Jorge Romancière portugaise; Jovan Divjak Général; Dominique Gonzalez-Foerster
Au collège, il y a des endroits qu'on évite parfois, souvent, toujours... Oreilles (nez et yeux) sensibles s'abstenir !Ma Vie d'ado, c'est le podcast du magazine Okapi. Ici, des collégiens parlent d'eux-mêmes, de leurs amis, de leurs familles et de leurs profs. Ils évoquent leur vie intime, au collège, en famille, seuls ou entre potes. Amour, amitié, délires... ils partagent aussi leurs colères, leurs coups de coeur, leurs angoisses et... leurs espoirs. Ma Vie d'ado, c'est intime, c'est joyeux, c'est drôle, c'est triste, c'est mouvementé… C'est bouleversant comme une vie d'ado !Ma Vie d'ado, un podcast du magazine Okapi, à retrouver tous les quinze jours, dès le 1 er septembre, en même temps que le magazine !Crédits.Ce podcast est préparé et animé par le magazine Okapi (Bayard Jeunesse) Un épisode réalisé avec la participation des classes des collèges George Pompidou à Champtoceaux (49), Camille Claudel, François Villon et Jean-Baptiste Clément, à Paris (75), Jules Verne à Vittel (88) et les collégiens Conseillers/Délégués départementaux du Gard à Nîmes (30) , René Cassin à Grand-Pontouvre (16), Gilles Gahinet à Arradon (56), Voix : Julie Pialot. Conception, réalisation, mixage : Emmanuel Viau. Montage : Yann Bonicatto. Musique : Fixxions. Animation éditoriale : J-Y Dana / E. Viau./H.Devannes . Production : E.Viau. Un podcast de Bayard Jeunesse 2025- Droits réservés Le premier podcast des collégiens !https://www.okapi.fr/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je vous retrouve pour partager les dernières informations communiquées pendant la JNA (Journée Nationale de l'Audition) le 10 mars 2025.
durée : 00:03:45 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - C'est la question que se pose Calie, 7 ans. Cécile Arnould, spécialiste du comportement des animaux, lui explique comment les poules perçoivent les sons. Notamment le chant du coq, mais pas uniquement, car elles ont un système de communication très précis ! - invités : Cécile Arnould - Cécile Arnould : Éthologue - réalisé par : Stéphanie TEXIER
L'oreille en bouche l'émission gastronomique de Radio Radio Toulouse
De cochon, de veau ou d'agneau, la tête est l'une des plus grandes pourvoyeuses d'abats. De la cervelle au museau en passant par les oreilles, les joues ou encore la langue : cuisinons la tête sous toutes ses coutures !
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:06 - Tanguy Pastureau maltraite l'info - par : Tanguy Pastureau - Tanguy s'intéresse à une nouvelle tendance : les tutos pour se faire "des oreilles de Tchétchènes", c'est comme ça que les TikTokeurs racistes les appellent.
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode du Carré, le nouveau format d'Horizons Marines, la chaine des podcasts de la mer, du fait maritime et de ses acteurs. Imaginé et produit par le Centre d'études stratégiques de la Marine, ce podcast de 30 minutes vous emmène à la rencontre de marins et de personnalités du monde maritime. Du pilote de Rafale Marine aux Oreilles d'Or des sous-marins, sans oublier les Peintres Officiels de la Marine ou encore les pilotes des glaces, on parle de tous les métiers de la Marine ! Le nom du podcast s'inscrit dans cette philosophie. Présents à bord de tous les bateaux, les Carrés permettent aux marins de se retrouver entre chaque mission pour échanger et se reposer. Le Carré, c'est donc le podcast qui réunit les auditeurs et les marins. Dans ce sixième épisode, nous allons embarquer à bord d'un bâtiment de combat de premier rang, la frégate multi mission Aquitaine. Que ce soit pour des déploiements à plusieurs dans des groupes aéronavals, ou seuls pour des missions de sécurisation du trafic maritime, les FREMM sont des navires gris qui sillonnent les mers pour protéger les intérêts des Français. Ces frégates disposent d'un armement de pointe et d'unéquipage d'une centaine de marins avec, à leur tête, un commandant. Ce dernier doit coordonner les marins pour mener à biendes missions périlleuses, et ce dans un contexte où la conflictualité en mer est de plus en plus importante. Alors qui sont ces marins ? En quoi consiste précisément leur métier ? Comment s'intègre-t-il au sein de la Marine nationale ? Et comment la hausse de la conflictualité en mer modifie-t-elle leur métier ?On en parle, aujourd'hui, avec le capitaine de vaisseau François Trystram, Commandant de l'équipage A de la frégate multimission Aquitaine.Bonne écoute !Vous en voulez plus ? Retrouvez l'intégralité des publications du Centre d'études stratégiques de la Marine sur notre site : Centre d'études stratégiques de la Marine (CESM) | Ministère des Armées (defense.gouv.fr)N'hésitez pas aussi à vous abonner au podcast et à nous faire part de vos retours à l'adresse mail : podcast.cesm@gmail.com
Les muscles auriculaires, vestiges de notre évolution, permettaient autrefois à nos ancêtres de mouvoir leurs oreilles pour mieux localiser les sons, une capacité encore présente chez de nombreux mammifères actuels, tels que les félins. Chez l'humain moderne, seulement 10 à 20 % des individus sont capables de les bouger volontairement. Chez la plupart d'entre nous en effet les muscles concernés sont atrophiés. Cependant, des recherches récentes menées par des scientifiques allemands ont mis en lumière une fonction résiduelle de ces muscles dans l'amélioration de notre capacité auditive, notamment dans des environnements bruyants.Les muscles auriculaires : un héritage évolutifLes muscles auriculaires se divisent en deux catégories :Muscles extrinsèques : comprenant les muscles auriculaires antérieur, supérieur et postérieur, ils sont responsables du mouvement du pavillon de l'oreille.Muscles intrinsèques : ces muscles, tels que le grand et le petit muscle de l'hélix, contribuent à la forme de l'auricule en reliant ses différentes parties cartilagineuses.Chez l'homme, ces muscles sont considérés comme des structures vestigiales, c'est-à-dire des restes d'organes ou de structures ayant perdu leur fonction initiale au cours de l'évolution. Néanmoins, leur présence suggère une activité résiduelle qui pourrait influencer notre perception auditive.Influence des muscles auriculaires sur l'auditionDes études récentes ont démontré que, bien que la majorité des humains ne puissent pas bouger volontairement leurs oreilles, l'activité involontaire de ces muscles est liée à l'orientation de notre attention auditive. Lorsqu'un son est perçu, même sans mouvement visible des oreilles, les muscles auriculaires montrent une activité électrique. Cette activité serait associée à une meilleure capacité à localiser et à distinguer les sons dans des environnements bruyants.Mécanismes sous-jacentsL'activité des muscles auriculaires pourrait influencer la forme et la position du pavillon de l'oreille, modifiant ainsi la manière dont les ondes sonores sont captées et dirigées vers le conduit auditif. Même des ajustements minimes pourraient améliorer la capacité de l'oreille à filtrer les sons pertinents des bruits de fond, facilitant ainsi la concentration sur une source sonore spécifique.De plus, cette activité musculaire pourrait être liée à des mécanismes neuronaux qui orientent notre attention auditive. En d'autres termes, lorsque nous nous concentrons sur un son particulier, les muscles auriculaires pourraient s'activer inconsciemment pour optimiser la réception de ce son, même sans mouvement apparent des oreilles.Implications pratiquesComprendre le rôle résiduel des muscles auriculaires dans l'audition humaine ouvre de nouvelles perspectives pour améliorer la perception auditive, notamment dans des environnements bruyants. Par exemple, des dispositifs auditifs pourraient être développés pour stimuler ces muscles, améliorant ainsi la capacité de l'utilisateur à se concentrer sur des sons spécifiques. De plus, des techniques d'entraînement auditif pourraient être mises en place pour renforcer cette fonction naturelle, aidant ainsi les individus à mieux gérer les situations auditives complexes.En conclusion, bien que la capacité de bouger volontairement les oreilles soit largement perdue chez l'humain moderne, l'activité résiduelle des muscles auriculaires joue un rôle subtil mais significatif dans notre capacité à filtrer et à focaliser notre attention sur des sons spécifiques, particulièrement dans des environnements bruyants. Cette découverte souligne l'importance de ces structures vestigiales et ouvre la voie à de nouvelles approches pour améliorer l'audition humaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans ce cinquième épisode du Carré, le nouveau format d'Horizons Marines, la chaine des podcasts de la mer, du fait maritime et de ses acteurs. Imaginé et produit par le Centre d'études stratégiques de la Marine, ce podcast de 30 minutes vous emmène à la rencontre de marins et de personnalités du monde maritime. Du pilote de Rafale Marine aux Oreilles d'Or des sous-marins, sans oublier les Peintres Officiels de la Marine ou encore les pilotes des glaces, on parle de toutes les fonctions stratégiques de la Marine !Le nom du podcast s'inscrit dans cette lignée. Les Carrés sont présents à bord de tous les bateaux et permettent aux marins de se retrouver pour échanger entre chaque mission. Le Carré, c'est donc le podcast qui réunit les auditeurs et les marins. Dans ce cinquième épisode, on va partir en direction d'un horizon bleu infini ponctué de quelques nuages à savoir : les cieux, et plus particulièrement l'espace aéromaritime. Dans ce milieu particulier, une multitude d'acteurs y mènent des opérations militaires, parmi lesquels des pilotes se déplaçant au-delà du mur du son. Qui plus est, ces pilotes doivent manipuler un aéronefd'une envergure de 11 mètres avec un poids allant de 10 à 24 tonnes en fonction de l'équipement embarqué. Ces conditions d'interventions exigeantes font des pilotes de Rafale marine, c'est le sujet de notre podcast, de véritables maîtres des airs. Ces derniers sont déployés depuis la terre via des bases navales, ou depuis la mer via le groupe aéronaval et le porte-avion Charles-de-Gaulle. Ils couvrent un large spectre de missions.Lesquelles ? En quoi consiste le métier de pilote et comment s'intègre-t-il au sein de la Marine nationale ? Et quel est le parcours de ces marins des airs ? On en parle, aujourd'hui, avec le Capitaine de Vaisseau Marc, ancien pilote de Rafale marine et Commandant de la Base d'Aéronautique Navale de Landivisiau.Bonne écoute !Vous en voulez plus ? Retrouvez l'intégralité des publications du Centre d'études stratégiques de la Marine sur notre site : Centre d'études stratégiques de la Marine (CESM) | Ministère des Armées (defense.gouv.fr)N'hésitez pas aussi à vous abonner au podcast et à nous faire part de vos retours à l'adresse mail : podcast.cesm@gmail.com
durée : 00:04:32 - De Bob Marley à Beyoncé : dans les oreilles du Roi Charles III - par : Max Dozolme - Saviez-vous que le Roi Charles faisait aussi de la radio ? C'est ce que nous prouve The Kings Music Room, une émission d'une heure disponible exclusivement sur Apple Music et dans laquelle le monarque mélomane de 76 ans partage ses coups de cœur musicaux, symboles de la diversité du Commonwealth.
Histoires du soir : podcast pour enfants / les plus belles histoires pour enfants
Pourquoi les lapins ont des grandes oreilles ?
Pourquoi les lapins ont des grandes oreilles ?
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans ce quatrième épisode du Carré, le nouveau format de Horizons marines, la chaine des podcasts de la mer, du fait maritime et de ses acteurs.Imaginé et produit par le Centre d'études stratégiques de la Marine, ce podcast de 30 minutes vous emmène à la rencontre de marins et de personnalités du monde maritime.Du pilote de rafale Marine aux Oreilles d'Or des sous-marins, sans oublier les Peintres Officiels de la Marine ou encore les pilotes des glaces, on parle de toutes les fonctions stratégiques de la Marine !Le nom du podcast s'inscrit dans cette lignée. Les Carrés sont présents à bord de tous les bateaux et permettent aux marins de se retrouver pour échanger entre chaque mission.Le Carré, c'est donc le podcast qui réunit les auditeurs et les marins.Dans ce quatrième épisode, nous allons aborder l'histoire avec un grand H à travers la découverte d'une fonction méconnue : l'officier Histoire dans la Marine. La fonction Histoire, dans les armées, c'est répondre aux besoins militaires à travers quatre missions principales : produire des savoirs, transmettre ces connaissances, préserver le patrimoine, et renforcer le lien entre les armées et la société.Dans la Marine, cette fonction a une importance particulière, grâce à la richesse de son histoire navale et son rôle stratégique.Alors, en quoi la fonction d'Amiral Histoire contribue-t-elle à l'identité de la Marine nationale et à sa stratégie navale ? et comment l'histoire navale devient-elle un outil pour éclairer les enjeux contemporains et renforcer le lien armée-nation ? On en parle aujourd'hui avec le Contre-Amiral (2S) François Guichard, ancien commandant de sous-marin et désormais Amiral chargé de la fonction Histoire de la Marine nationale. Il est également auteur de romans comme "Premières plongées – Vingt milles nautiques sous les mers" ou encore "Premières armes – L'appel du large", publié en octobre 2024 aux éditions Locus Solus. Vous en voulez plus ? Retrouvez l'intégralité des publications du Centre d'études stratégique de la Marine sur notre site : Centre d'études stratégiques de la Marine (CESM) | Ministère des ArméesN'hésitez pas aussi à vous abonner au podcast et à nous faire part de vos retours à l'adresse mail : podcast.cesm@gmail.com
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans ce troisième épisode du Carré, le nouveau format d'Horizons Marines, la chaine des podcasts de la mer, du fait maritime et de ses acteurs.Produit par le Centre d'études stratégiques de la Marine, le Carré, c'est votre nouveau rendez-vous bimensuel qui vous fait découvrir nos métiers.Du pilote de Rafale Marine aux Oreilles d'Or des sous-marins, sans oublier les Peintres Officiels de la Marine ou encore les pilotes des glaces, tous est abordé !Présents à bord de tous les bateaux, civils et militaires, les carrés permettent aux marins de se retrouver pour échanger et se reposer entre chaque mission.Dans ce troisième épisode, direction les Fêtes maritimes de Brest de 2024 pour parler d'un métier qui annonce la pluie et le beau temps pour les marins, et qui joue un rôle essentiel dans la navigation et les opérations.Qui plus est, le réchauffement climatique et son impact sur le climat amplifie son importance : un environnement changeant nécessite, de fait, d'être davantage sur le qui-vive pour adapter la mission et la conduite du navire.Le métier du jour : celui de météorologue-océanographe.En quoi consiste-t-il précisément ? Comment prend-il forme à terre, et en mer au cœur des opérations ? Et quel est le parcours des militaires qui choisissent de le pratiquer ?On en parle avec notre invité du jour, le Second Maitre Patrick, météorologue/océanographe rattaché au CENTEX METOC, le centre d'expertise météorologique océanographique de la Marine.Enfin, sachez que cette interview a été enregistrée lors des Fêtes maritimes de Brest en 2024. Donc si vous entendez des bruits aux alentours, c'est normal ! L'entretien s'est déroulé en public, au cœur des festivités et des animations.Bonne écoute !Vous en voulez plus ? Retrouvez l'intégralité des publications du Centre d'études stratégiques de la Marine sur notre site : Centre d'études stratégiques de la Marine (CESM) | Ministère des Armées (defense.gouv.fr)N'hésitez pas aussi à vous abonner au podcast et à nous faire part de vos retours à l'adresse mail : podcast.cesm@gmail.com
durée : 00:57:47 - Les Nuits de France Culture - par : Antoine Dhulster - En 2014, Thomas Baumgartner reçoit le rock critic et écrivain britannique Nik Cohn pour brosser son portrait, en compagnie du comédien Stanley Weber et du musicien électro Benjamin Diamond. Un extrait de leur performance musicale en trio, intitulée "The Noise From the Streets" conclut l'entretien. - réalisation : Emily Vallat - invités : Nik Cohn Journaliste, rock critic et écrivain britannique
durée : 00:28:42 - Camille Laurens, écrivaine - 25 ans après "Ces bras-là", Camille Laurens explore à nouveau, dans "Ta promesse", la carte du tendre. Thriller psychologique sur l'emprise dans le couple, le roman nous plonge dans l'idylle amoureuse d'une écrivaine et d'un metteur en scène d'opéra. Une passion qui, peu à peu, vire au cauchemar.
Nous recevons le pasteur Daniel Jean-Baptiste, auteur du livre ''Le sex est divin". Cet ouvrage se veut un lien entre la spiritualité et le sexe. (Oreilles sensibles s'abstenir) On s'entretien avec Taïna Jecrois et Samora Soukaïna Célestin de l'Agence FACADE. Elles viennent nous parler du Circuit des entrepreneur.e.s noir.e.s Le 28 février prochain, c'est le spectacle d'humour ''Plezi Komedi", nous avons le plaisir de recevoir Goofy Welldone et Claudine Napoléon tous deux humoristes.
Anna n'a que 19 ans lorsqu'elle vit sa première crise de Ménière ; des vertiges rotatoires si intenses qu'ils donnent la sensation d'être propulsé•e à toute allure dans une machine à laver
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans ce deuxième épisode du Carré, le nouveau format d'Horizons Marines, la chaine des podcasts de la mer, du fait maritime et de ses acteurs. Imaginé et produit par le Centre d'études stratégiques de la Marine, ce rendez-vous audio de 30 minutes vous attend tous les 15 jours, chaque jeudi à 7h. Notre ambition ? Vous emmener à la rencontre des marins et des personnalités du monde maritime. Du pilote de Rafale Marine aux Oreilles d'Or des sous-marins, sans oublier les Peintres Officiels de la Marine ou encore les pilotes des glaces, tout est abordé ! Présents à bord de tous les bateaux, les carrés permettent aux marins de se retrouver pour échanger et se reposer entre chaque mission., d'où le nom du podcast. "Le Carré", c'est donc LE podcast qui réunit les auditeurs et les marins. Ainsi, dans ce deuxième épisode, nous allons plonger au cœur des profondeurs sous-marines pour aller à la rencontre d'un métier essentiel aux sous-mariniers et à la lutte anti sous-marine : celui des « Oreilles d'or », ou en termes militaires, des analystes en guerre acoustiques. Largement mis en valeur dans le film « Le chant du loup » avec François Civil dans le rôle principal, les « Oreilles d'or » jouent un rôle crucial dans la conduite des opérations. Leur fonction : analyser l'origine d'un bruit pour déterminer s'il constitue une menace, ou non, pour la mission. Mais il ne s'arrête pas là, ce métier a d'autres spécificités lesquelles ? Quelles sont les qualités requises pour l'exercer ? Et quel est précisément son rôle dans la conduite des opérations ? On en parle avec notre invité du jour, le Premier Maitre Kévin, analyste en guerre acoustique rattaché au CIRA, le Centre d'Interprétation et de Reconnaissance Acoustique. Enfin, sachez que cette interview a été enregistrée lors des Fêtes maritimes de Brest en 2024. Donc si vous entendez des bruits aux alentours, c'est normal ! L'entretien s'est déroulé en public, au cœur des festivités et des animations. Bonne écoute ! Vous en voulez plus ? Retrouvez l'intégralité des publications du Centre d'études stratégiques de la Marine sur notre site : Centre d'études stratégiques de la Marine (CESM) | Ministère des Armées (defense.gouv.fr) N'hésitez pas aussi à vous abonner au podcast et à nous faire part de vos retours à l'adresse mail : podcast.cesm@gmail.com
Bonjour et bienvenue dans ce premier épisode du Carré, notre nouveau format au sein d'Horizons Marines, la chaine des podcasts de la mer, du fait maritime et de ses acteurs. Produit par le Centre d'études stratégiques de la Marine, ce nouveau contenu dure 30 minutes et est publié 1 fois toutes les 2 semaines, le jeudi à 7h. Nos objectifs : vous présenter des marins mais aussi des personnalités du monde maritime pour échanger sur leur parcours et mettre en avant leur fonction stratégique. Du pilote de Rafale Marine aux Oreilles d'Or des sous-marins, sans oublier les Peintres Officiels de la Marine ou encore les pilotes des glaces, tout est abordé ! Présents à bord de tous les bâtiments civils et de la Marine nationale, les carrés permettent aux marins de se retrouver pour échanger et reposer entre chaque mission. Ainsi, dans ce premier épisode, on a rencontré deux pilotes d'hélicoptères aux parcours totalement différents : les Lieutenant de vaisseau Olivier et Marie. Olivier a 36 ans. Il est père de famille et pilote de Caïman Marine, un hélicoptère de la flottille 33F. Il fait principalement de la lutte anti sous-marine. De son côté, Marie a 29 ans. Elle est pilote de H160, un hélicoptère de la flottille 32F, et fait principalement du sauvetage en mer. D'ailleurs, je précise que cette interview a été enregistrée dans un contexte particulier : celui des Fêtes maritimes de Brest en 2024. Donc si vous entendez des bruits aux alentours, c'est normal ! L'entretien s'est déroulé en public, au cœur des festivités et des animations. Bonne écoute ! Vous en voulez plus ? Retrouvez l'intégralité des publications du Centre d'études stratégiques de la Marine sur notre site : Centre d'études stratégiques de la Marine (CESM) | Ministère des Armées (defense.gouv.fr) N'hésitez pas aussi à vous abonner au podcast et à nous faire part de vos retours à l'adresse mail : podcast.cesm@gmail.com
Cette semaine sur Du crime à mes oreilles, Philippe nous raconte l'histoire vraie derrière la chanson Skinned de la formation Blind Melon!Bonne écoute!Liens :dubruitamesoreilles.com
Toutes les réponses à tes questions ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Toutes les réponses à tes questions ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, on découvre que Stéphanie et Alex ont des oreilles bioniques grâce au jeu Une note ou une seconde dans le Quiz à Guimond, on prend un sérieux coup de vieux avec ces albums qui ont 30 ans en 2025 et on fait le point sur les subventions pour les véhicules électriques avec Marc Bouchard dans sa chronique On jase de chars!
durée : 03:39:49 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - - réalisation : Massimo Bellini
Cette semaine sur Du crime à mes oreilles Papy Jo nous raconte le parcours tumultueux de notre ami Israel Keyes!Bonne écoute!Liens :dubruitamesoreilles.com
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Aujourd'hui nous sommes le jeudi 12 décembre. C'est la deuxième semaine du parcours d'avent “combattants d'espérance avec Jésus”.Cette semaine, notre part de combat c'est de nous ouvrir à l'espérance: en reconnaissant là où nous sommes dépendants des autres et en sachant rendre grâce à Dieu pour les merveilles de la vie. Jésus est fier de son cousin Jean le Baptiste mais il nous recommande de ne pas rester dans une admiration superficielle. Ô Jésus qui viens à Noël, aide-nous à être attentifs à... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Musique de Noël instrumentale de Romantique musique interprété par - Musique de Noël instrumentale © Creative Commons Youtube Audio Library ; Voici l'agneau de Dieu de interprété par Keur moussa - Lumière radieuse © Abbaye de Keur Moussa.
Oreilles sensibles, s'abstenir ! Hélène Boudreau se joint à la table de discussion avec Sophie Durocher, Joël McGuirk et sa conjointe Chloé Patenaude. Tous se prononcent sur le phénomène du « mâle alpha ». Le chroniqueur Rémi Villemure se joint aussi à la discussion. Entrevue avec Hélène Boudreau, surnommée « la fille de l'UQÀM », femme d'affaire et actrice / Joël McGuirk, coanimateur du balado Lucide Podcast / Chloé Patenaude / Le chroniqueur Rémi Villemure.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Oreilles sensibles, s'abstenir ! Hélène Boudreau se joint à la table de discussion avec Sophie Durocher, Joël McGuirk et sa conjointe Chloé Patenaude. Tous se prononcent sur le phénomène du « mâle alpha ». Le chroniqueur Rémi Villemure se joint aussi à la discussion. Dans cet épisode intégral du 11 novembre 2024, en entrevue : Hélène Boudreau, surnommée « la fille de l'UQÀM », femme d'affaire et actrice Joël McGuirk, coanimateur du balado Lucide Podcast Chloé Patenaude Le chroniqueur Rémi Villemure. Une production QUB Novembre 2024Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:03:26 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Gustave se pose une question pour le moins logique : est-ce que les pince-oreilles pincent les oreilles ? Pour lui répondre un spécialiste des insectes, l'entomologiste François Lasserre. - invités : François LASSERRE - François Lasserre : Entomologiste et vice-président de l'Office Pour les Insectes et leur Environnement (OPIE). - réalisé par : Stéphanie TEXIER
Les yeux de l'Eternel sont sur les justeset ses oreilles sont attentives à leur cri. --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/haitianhelpinghands/support
La Première Fois by Histoires pour les Oreilles
Merci à Alexandre Vairinho, chirurgien esthétique, d'être venu dans le studio de LEGEND ! Pendant 3 ans il a été chef de clinique à l'hôpital Saint-Louis à Paris. Il vient répondre à toutes les questions qu'on se pose sur la chirurgie esthétique (le changement de sexe, les augmentations mammaires records, ou encore la mode de la greffe capillaire). Il a vécu des moments difficiles aussi, comme ce cas d'un patient brûlé à 95% sauvé par son frère jumeau sur qui on a prélevé de la peau.Suivez Alexandre sur Instagram ➡️: https://www.instagram.com/dr_vairinho/Retrouvez son site internet ➡️ https://docteurvairinho.fr/Pour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
DÉVOTION MATINALE AVEC LES ÉPOUX CHERY. COMMENT ÉLIMINER LES DIVISIONS.#2. 1 COR 3:21-22. QUE CELUI QUI A DES OREILLES POUR ENTENDRE ENTENDE! --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/haitianhelpinghands/support
durée : 01:30:55 - Les Nuits de France Culture - par : Antoine Dhulster - "L'Europe a des oreilles" ou quand l'Atelier de Création Radiophonique imaginait une soirée électorale originale pour les élections européennes de 2004. En direct du studio 105, ce multiplex avec sept radios européennes donnait à entendre Jean-Luc Godard, Lidia Jorge, Peter Greenaway... - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean-Luc Godard Réalisateur; Peter Greenaway; Laurie Anderson; Lidia Jorge Romancière portugaise; Jovan Divjak Général; Dominique Gonzalez-Foerster
durée : 01:31:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - "L'Europe a des oreilles" ou quand l'Atelier de Création Radiophonique imaginait une soirée électorale originale pour les élections européennes de 2004. En direct du studio 105, ce multiplex avec sept radios européennes donnait à entendre Jean-Luc Godard, Lidia Jorge, Peter Greenaway... - invités : Jean-Luc Godard Réalisateur; Peter Greenaway; Laurie Anderson; Lidia Jorge Romancière portugaise; Jovan Divjak Général; Dominique Gonzalez-Foerster
durée : 00:25:19 - Hae Sun Kang, violoniste (2/5) - par : Judith Chaine - Portrait de la violoniste coréenne Hae-Sun Kang, interprète phare de la scène contemporaine, membre de l'E.I.C. et professeur au C.N.S.M. de Paris. Créatrice et dédicataire de nombreuses pièces de son temps, la violoniste s'attache à faire ressentir l'expressivité de la musique contemporaine. - réalisé par : Arnaud Chappatte
Le cérumen, parfois considéré comme un simple déchet corporel, n'est pas sans intérêt pour l'organisme. Cette substance contribue à la protection de la santé des oreilles. Il s'agit en fait d'une défense naturelle élaborée par notre corps. Quelles sont les conditions dans lesquelles l'organisme produit du cérumen ?Rôle du cérumenIl existe deux types de cérumens. Le cérumen sec se retrouve davantage dans les oreilles des personnes d'origine asiatique et amérindienne. Le cérumen humide est plus courant chez les Européens et les Africains. Présente au niveau du conduit auditif externe, la substance se compose de sécrétions lipidiques provenant des glandes dites sébacées et cérumineuses. Elle contient aussi des cellules mortes de peau, des poils et des débris divers.Le cérumen empêche les bactéries et les poussières de pénétrer trop profondément dans le conduit auditif. Il maintient aussi une bonne lubrification dans le canal, ce qui permet d'en assurer le nettoyage de façon naturelle.Lieu de production du cérumenL'oreille externe se compose du pavillon, partie visible de l'oreille, et du canal auditif externe, qui conduit le son vers le tympan. Ce canal est bordé de peau, et contient des glandes spécifiques qui produisent le cérumen.Les glandes sébacées sécrètent en premier lieu des substances grasses. L'on retrouve ce type de glandes sur le visage et sur d'autres endroits du corps. Elles participent à la lubrification et à la protection de la peau. Les glandes cérumineuses, quant à elles, œuvrent à l'élimination de la sueur. Mais elles produisent une sécrétion plus épaisse et plus riche que les glandes sudoripares classiques. Cette sécrétion se mélange aux substances grasses des glandes sébacées pour former le cérumen.Processus de fabricationLa production du cérumen se déroule en continu dans l'oreille externe. Les sécrétions libérées par les glandes se mélangent avec des cellules de peau mortes et avec des poils minuscules présents dans le canal. Le renouvellement des cellules de la peau qui tapisse le canal contribue à pousser les cellules mortes vers l'extérieur. Elles se détachent alors du conduit et se mélangent aux sécrétions. Tout cet amas est poussé depuis l'intérieur du canal jusque vers le pavillon externe.Les poils du canal auditif participent à la gestion du cérumen. Capturant les cellules mortes, les débris et les sécrétions, ils amalgament l'ensemble pour former la cire d'oreille. Le fait de mâcher, de bailler ou de faire fonctionner sa mâchoire participe à déplacer le cérumen vers le pavillon, ce qui permet ensuite de l'éliminer. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après le dernier épisode, les paillettes débriefent le titre de fin de Whisper. Et la rencontre de Manu avec un artiste qu'on a tous connu il y a quelques années. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:26 - Un monde connecté - par : Thomas Baumgartner - Alors que les États-Unis ou la Scandinavie se tournent avec enthousiasme vers le livre audio, la France est plus lente à s'y convertir. Mais la dynamique est là. Avec des enjeux importants de diffusion… et de création.