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durée : 00:16:50 - Clemente : deux oreilles et une queue qui racontent... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Voici l'Évangile du samedi 20 septembre 2025 : « Celui qui a des oreilles pour entendre, qu'il entende ! » (Lc 8, 4-15) En ce temps-là, comme une grande foule se rassemblait, et que de chaque ville on venait vers Jésus, il dit dans une parabole : « Le semeur sortit pour semer la semence, et comme il semait, il en tomba au bord du chemin. Les passants la piétinèrent, et les oiseaux du ciel mangèrent tout. Il en tomba aussi dans les pierres, elle poussa et elle sécha parce qu'elle n'avait pas d'humidité. Il en tomba aussi au milieu des ronces, et les ronces, en poussant avec elle, l'étouffèrent. Il en tomba enfin dans la bonne terre, elle poussa et elle donna du fruit au centuple. » Disant cela, il éleva la voix : « Celui qui a des oreilles pour entendre, qu'il entende ! » Ses disciples lui demandaient ce que signifiait cette parabole. Il leur déclara : « À vous il est donné de connaître les mystères du royaume de Dieu, mais les autres n'ont que les paraboles. Ainsi, comme il est écrit : Ils regardent sans regarder, ils entendent sans comprendre. Voici ce que signifie la parabole. La semence, c'est la parole de Dieu. Il y a ceux qui sont au bord du chemin : ceux-là ont entendu ; puis le diable survient et il enlève de leur cœur la Parole, pour les empêcher de croire et d'être sauvés. Il y a ceux qui sont dans les pierres : lorsqu'ils entendent, ils accueillent la Parole avec joie ; mais ils n'ont pas de racines, ils croient pour un moment et, au moment de l'épreuve, ils abandonnent. Ce qui est tombé dans les ronces, ce sont les gens qui ont entendu, mais qui sont étouffés, chemin faisant, par les soucis, la richesse et les plaisirs de la vie, et ne parviennent pas à maturité. Et ce qui est tombé dans la bonne terre, ce sont les gens qui ont entendu la Parole dans un cœur bon et généreux, qui la retiennent et portent du fruit par leur persévérance. » Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Après la période estivale, la rédaction de Marsactu, votre journal local, est de retour sur le pont de l'investigation. Nous avons rouvert nos carnets, décroché nos téléphones, épluché nos mails et nous voilà prêts à arpenter Marseille, et vous la raconter. Le Bocal de Marsactu, c'est un pas de côté que nous faisons avec vous pour vous raconter les coulisses de notre travail. Pourquoi ce sujet ? Comment avons-nous réussi à faire remonter les informations ? Qui nous a mis des bâtons dans les roues ? Pas de filtres, on vous raconte tout.Urbanisme, environnement, justice, société et cette année, plus que les précédentes, politique.Rendez-vous la semaine prochaine pour le lancement d'une nouvelle saison du Bocal.S'abonner à la newsletter du BocalFaire un don à MarsactuS'abonner à MarsactuHabillage sonore : Ici ThomasVisuel : Check Ça !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce TITS aurait pu sortir il y a deux semaines si Sam n’était pas un énorme gland. Pour soutenir TROLL IN THE SKY (proposer un minitits, recevoir le bonus mensuel, etc) : TIPEE : https://fr.tipeee.com/trollinthesky PATREON : https://www.patreon.com/trollinthesky Réseaux sociaux (oui TITS est désormais partout): Instagram : https://www.instagram.com/trollinthesky/ Facebook : https://www.facebook.com/trollinthesky Liens Sam: FATS : https://www.facebook.com/FATStheband Gnôle : https://www.facebook.com/GNOLEband Welcome X (groupe heavy rock/fusion de Sam : https://www.facebook.com/WelcomeXOfficial Son dernier album dispo à la FNAC : https://www.fnac.com/a16007669/Welcome-X-Volume-2-CD-album#omnsearchpos=1 Liens Mathieu: Instagram The Doom Dad (post de vinyles à 99%) : https://www.instagram.com/iro22/ Livre écrit à 3 mains en 2010: https://livre.fnac.com/a3395087/Robin-Ferre-Riff-story Chaine Youtube Children of The Sabbath (consacrée à Sabbath): https://www.youtube.com/channel/UCmvB4kjhXMuHc90zGlEI4jw/featured Chaine Youtube THE DOOM DAD : https://www.youtube.com/channel/UCskm8_PoTCTMl4VxIv
durée : 00:06:21 - Les musiques d'"Hollow Knight" : dans les oreilles du perce-oreille - par : Max Dozolme - Enfin ! Après des années d'attente, Hollow Knight Silksong, le nouvel opus de la série de jeux vidéo Hollow Knight vient de sortir il y a quelques heures sur toutes les consoles. L'occasion de plonger dans quelques pages musicales signées Christopher Larkin qui peuvent évoquer des airs classiques. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Cette semaine sur Du crime à mes oreilles, Papy Jo nous présente une succulente playlist de gens qui pensent que 18 ans est une date d'expiration.Bonne écoute!Pour écouter la playlist : https://open.spotify.com/playlist/4rHms7n9mQcSO3IVvSXQHY?si=8_N0ThOUQRmZKpCE_FMUbA
Dans Succession, la série à succès produite par HBO, la richissime famille Logan, l'une des plus puissantes des Etats-Unis, est à la fois cimentée et déchirée par l'argent. Impossible de nier que l'histoire de ce clan de milliardaires est inspirée de la réalité. Surtout que, dans « Succession », le patriarche, Roy Logan, a bâti un empire financier qui n'est pas sans rappeler celui d'un magnat bien réel : Rupert Murdoch. Il faut dire que sa vie a de quoi inspirer n'importe quel scénariste. Un épisode en particulier : le scandale de « News of the World ».Thomas Rozec raconte.Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Quentin Bresson et Paul Bertiaux. Production et édition : Lorraine Besse et Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine sur Du bruit à mes oreilles, Papy Jo, accompagné de Kit Kat et Alex, nous parle Shen yun.Quand un culte décide d'exploiter une performance musicale pour remplir ses coffres.Bonne écoute!
Le résultat des analyses sanguines de Fabrice. La visibilité vidéo du podcast. Faut-il vraiment s'embourgeoiser comme Apollo ? Le retour du dopage à l'UFC La musculation est devenue une activité de riche ! L'étude sociologique à 2 francs de Fabrice. Que vaut le Squat Overhead ? Que faire en cas d'Hallux Valgus ? .... Retrouvez dans cet épisode des SuperPhysique Podcast de Musculation, Rudy Coia et Fabrice, les fondateurs du site SuperPhysique.org destiné aux pratiquants de musculation sans dopage vous partager leurs actualités. QUI EST RUDY COIA ? Rudy est auteur, coach et formateur. Il intervient aussi bien auprès des particuliers, des athlètes que des futurs coach sportif. Passionné de sport, il partage ses connaissances depuis 2001 notamment via des articles, vidéos et podcasts. QUI EST FABRICE ? Fabrice est l'un des pionniers de la musculation en France sur internet. Il a fondé l'un des premiers sites en 1999 "Smart Weight Training" qui s'est farouchement opposé au dopage dès le début. Auteur de nombreux articles et de livres, il est le co-fondateur du site SuperPhysique.org et partage ses aventures dans les podcasts depuis 2017. ---- FORMATION GRATUITE POUR PRATIQUANTS NATURELS - https://www.rudycoia.com/newsletter/ COACHING A DISTANCE AVEC RUDY - https://www.rudycoia.com/produit/suivi-coaching-a-distance/ MES LIVRES - https://www.rudycoia.com/boutique/ LA FORMATION SUPERPHYSIQUE - https://methodesp.rudycoia.com POUR RESERVER SON COACHING PREMIUM - https://www.rudycoia.com/produit/coaching-premium/ FORUMS SUPERPHYSIQUE - https://www.superphysique.org/forums/index.php MES COMPLEMENTS ALIMENTAIRES - https://www.superphysique-nutrition.fr
Clap de fin pour notre série à Lanzarote ! Enregistré directement à l'aéroport, cet épisode conclut une semaine riche en émotions, en progrès et en découvertes sous-marines.Après un début de séjour marqué par des douleurs aux oreilles et le choix de ne pas passer le niveau 2, tout s'est aligné : une pression en moins, des conditions idéales, et surtout une écoute attentive de la part de l'équipe d'Aquasport Diving Lanzarote. Résultat ? Une série de plongées exceptionnelles, et une certification inattendue mais bienvenue : le Advanced Open Water SSI… et même une spécialité plongée profonde - Deep - jusqu'à 40 mètres !Dans ce dernier épisode, on partage :une plongée sur épave (notre première) impressionnante, comme un saut dans le temps, pleine de vie marine et d'ambiances uniques ;une plongée de nuit (notre première aussi), riche en sensations nouvelles, comportements animaliers et une belle surprise : la bioluminescence ;les progrès techniques réalisés, notamment sur l'équilibrage des oreilles, avec la béance tubaire volontaire (BTV), bien plus adaptée que la Valsalva dans le cas précis de Lucie.On évoque aussi la richesse de la faune de Lanzarote — mérous, poissons-trompettes, raies, bonites, sardines, et même les espèces rare qu'on aurait rêvé de croiser : anges de mer, raies mobula ou requins-marteaux.Mais ce qu'on retiendra surtout, c'est l'ambiance incroyable du club, la bienveillance de toute l'équipe (merci à Géraldine, Éric, Émile, Antoine, Noreen et les autres !), et la joie de partager ces moments sous l'eau… et en famille.Une série qui se termine en beauté, avec une seule question en tête : on revient quand à Lanzarote ?
Oreilles chastes, s'abstenir. James Brown - The BossErykah Badu, The Alchemist - Next to YouOWA OWA - Lil Tecca Weather Report - Black Market Bonnie Banane, Joseph Schiano di Lombo - Ronde GénitaleKwn - Back of the club Cities Aviv - 400 Videos of Snow Gratitud - ArcaJanet Jackson - Warmth R. Schumann : Fantasie en do majeur : 1. Durchaus fantastisch und leidenschaftl...- interprété par Mitsuko Uchida Meredith Monk - Cow Song « Historyjka » KsiężycPrince - chatounette controlPrince - P. ControlBonnie Banane - Les bijoux de la reineX.U.Y - MoinAfrican American sound recordings - human obsessionColette Renard - Les nuits d'une demoiselle Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Écoutez Michèle Boisvert commenter plus nouvelles d'intérêt économique au micro de Philippe Cantin.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
En cette période triomphante pour le club de foot parisien, la prestigieuse Coupe a été aperçue sur tous nos écrans ! Mais quelle est son origine ? Cette saison dans "RTL Matin", Florian Gazan répond aux questions pas si bêtes qui nous passent par la tête. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Le son vient à l'oreille, l'oreille se tend vers le son" dit le kōan. Et naît ainsi à l'esprit. Mais grâce à quelle alchimie et sous quelle forme ? Rythmes, horizons, ciels, routes, plans, taches, couleurs ? Ou bien comme un film invisible qui compose à l'infini avec le réel inscrit en nous ? Un jour, il y a des années, Kaye Mortley rencontre une phrase dans une émission de radio qui parlait de la radio: "Si je perdais mes oreilles, je deviendrais aveugle." Elle pense alors que cette phrase avait dit le dernier mot — de façon belle et paradoxale — sur le processus alchimique qui transforme le son en matière sensible.. D'autres années passent. Elle fait de nouvelles rencontres, singulières. Des gens qui ne voyaient pas. D'autres qui n'entendaient pas. Alexandre classe les sons selon des couleurs qu'il distingue à peine : "Du plus grave au plus aigu, l'ordre serait rouge, jaune, bleu, vert". Marie, suite à un implant cochléaire, apprend à déchiffrer les sons qu'elle découvre. "Est-ce que ça existe, des sons humides ?" Quand Aurélie pose sa main sur le corps du violoncelle, elle entend "l'aiguille qui danse et le vent sur la dune du désert" « Si je perdais mes oreilles, je deviendrais aveugle ». Un documentaire de Kaye Mortley Merci pour votre écoute Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Guylaine Guay nous a préparé un petit quiz sur les collations! Joël Legendre a des questions pour apprendre à mieux se connaître! Bianca Gervais aborde un sujet dont on parle rarement : l’après trouble alimentaire. BONNE ÉCOUTE !
BALADO du VENDREDI! SM trouve que l’humain pu du derrière des oreilles! Non, MO n’est pas abonné VIP sur Pornhub! VLAD et sa super suggestion bière est de passage!
L'épisode de cette semaine est une présentation du Pouzza Fest de Montréal qui aura lieu du 16 au 18 mai prochain et d'Émérite Époxy Inc.contact : emeriteepoxy@outlook.comBillet : https://pouzzafest.com/fr/Cette semaine sur Du crime à mes oreilles Papy Jo nous raconte l'histoire tordu qui se cache derrière l'inspiration d'un album de Black Kirin.Bonne écoute!
durée : 00:02:51 - Saviez-vous que le grillon champêtre a des oreilles… sur ses pattes ? - par : Nathalie Mazet - Saviez-vous que le grillon champêtre, cet insecte si emblématique de l'été, a des oreilles sur ses pattes ? Découvrez cette fascinante créature et son cri caractéristique qui résonne dans nos jardins et prairies chaque année !
Avec Matthieu, François, Julien et Antho ! Nouvel épisode de votre podcast ! On y parle de cousinades, de la prison d'Alcatraz, d'Astérix, de Patrick SEBASTIEN, des métiers insolites et puis de plein d'autres trucs trop cool ! Enjoy^^ MarcusPour venir nous voir en live au Cellier (44) le 5 juillet : https://tinyurl.com/8ptee4kk
Pour plus d'informations : https://www.francaisauthentique.com/les-murs-ont-des-oreilles
1) Inventorier les perce-oreilles de Suisse Afin de connaître la répartition des dix espèces de perce-oreilles en Suisse, Infofauna lance un appel pour recueillir des observations sur ces insectes, de la famille des forficules. Christian Monnerat, entomologiste et collaborateur scientifique à Infofauna, est l'invité de Cécile Guérin. 2) La contraception définitive par ligature ou retrait des trompes Certaines personnes ont la conviction absolue qu'elles ne voudront jamais d'enfant. Et cela, même avant 30 ans. Elles optent alors pour la contraception définitive, grâce à la ligature ou le retrait des trompes. Des parcours médicaux parfois compliqués. Manon Germond reçoit Dr.Julien Flückiger, médecin responsable du centre de santé sexuelle et du planning familial du CHUV. 3) Les lignes de Nazca et Maria Reiche, leur archéologue passionnée On se penche aujourd'hui sur les mystères des lignes de Nazca au Pérou et sur une archéologue passionnée, Maria Reiche, surnommée "The Lady of the Lines". Ces géoglyphes, visibles depuis le ciel, pourraient être un calendrier céleste. Anne Baecher nous fait découvrir l'histoire fascinante de leur découverte et les théories qui les entourent.
Additifs de pneus dans nos fruits et légumes Les brèves du jour Inventorier les perce-oreilles de Suisse L'exposition "Anatomie" : l'évolution de l'étude du corps humain Les bizarreries de notre système solaire
Alors que la paix entre Palestiniens et Israéliens n'a jamais semblé aussi lointaine, une grappe d'étudiants palestiniens a fait le choix de suivre un cursus d'« études israéliennes ». Au programme : cours d'hébreu, études de grands textes du judaïsme et de la littérature israélienne, histoire et sociologie d'Israël. La prestigieuse université de Birzeit, en bordure de Ramallah, affiche clairement ses objectifs : « Mieux connaître l'occupant » pour mieux le combattre sur le terrain des idées. De notre correspondante à Ramallah,C'est un cours d'hébreu... à la palestinienne. Il démarre par une distribution de baklawas. Grand sourire, une étudiante annonce ses fiançailles tout en promenant un plateau de pâtisseries. Gourmand, Esmat Mansour, le professeur, se sert tout en ne perdant pas de vue ses objectifs pédagogiques : « Mazel tov ! Mazel Tov ! » Les yeux rieurs encadrés de lunettes, il confie à voix basse : « L'hébreu rappelle de mauvais souvenirs aux étudiants. Pour eux, c'est la langue des checkpoints. Alors, j'essaie autant que je le peux de détendre l'atmosphère pendant le cours. Moi, j'adore l'hébreu et mon rôle, c'est de faire aimer cette langue à mes étudiants. Je leur dis souvent qu'en maîtrisant l'hébreu, ils vont gagner en force et en confiance en eux. Si tu ne sais pas t'exprimer en hébreu, les Israéliens te mépriseront. »L'hébreu, le quinquagénaire a eu tout le loisir de l'apprendre en prison où il a passé vingt années de sa vie pour participation au meurtre d'un Israélien établi dans une colonie. Il avait pour camarade de cellule un certain Yahya Sinwar, ancien numéro un du Hamas et instigateur des attaques du 7-Octobre qui ont fait basculer la région dans un chaos dont on ne voit plus la fin.Mais sur ce lourd passé, l'homme préfère se faire discret : « Mes étudiants sont curieux et veulent en savoir plus sur l'expérience de la prison, mais l'université n'est pas le lieu pour le faire. Ici, je ne parle que des bons aspects de la prison. Avoir pu apprendre l'hébreu est l'une de ces bonnes choses. »« C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens »Lui qui dit croire désormais en une « solution politique » au conflit, prodigue la matière phare du cursus : l'hébreu à raison de neuf heures par semaine. Révisions du vocabulaire de base et apprentissage de quelques adages en hébreu, le cours se déroule dans une ambiance bon enfant teintée de salves d'humour noir. Après la lecture d'un texte évoquant la protection de la nature et des animaux, un étudiant lance, cynique : « Ils sont fantastiques, les Israéliens ! Ils font attention à tout, la nature, les animaux ! Sauf à nous ! Nous non, on ne compte pas ! Pourquoi ? Aucune idée ! ». Les rires fusent. « Les plus tragiques des désastres sont ceux qui provoquent des rires », soutient le poète palestinien Mohammed El-Kurd dans son recueil « Rifqa ». Ici, on rit beaucoup. Tout en rondeurs et sourires lui aussi, Rabih Bader, 27 ans, dit vouloir entamer un travail de recherche consacré à ce qu'il appelle la « judaïsation de l'histoire palestinienne » par les Israéliens. Impossible donc de faire l'impasse sur l'hébreu : « C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens. Eux savent tout de nous. Ils ont de très bons départements d'études palestiniennes dans leurs universités. Ils étudient non seulement l'arabe, mais même les différents dialectes palestiniens. Ils sont super spécialisés, à nous d'en faire de même. » Oreilles dressées pour écouter les cours, plusieurs étudiants gardent un œil en permanence sur leurs smartphones. Les dernières informations sont égrenées à haute voix : arrestations, incursions de l'armée israélienne ou rumeurs de fuites de documents au sein du Shin Bet, l'appareil de renseignements israéliens, la salle de classe a aussi des airs de rédaction. On commente, on se perd en conjectures et souvent, on ironise, encore et encore, sur la situation. Un programme lancé il y a dix ansPour accéder à cette rieuse salle de classe, il en aura fallu de la patience. Ici comme dans beaucoup d'endroits de Cisjordanie occupée, la méfiance règne. Avant de nous autoriser à nous mêler à leurs étudiants, les responsables de l'université de Birzeit annoncent avoir fait « leur enquête » sur nous. Un mois et demi d'échanges d'e-mails, de messages WhatsApp, de smileys, de vœux pour l'Aïd, de rencontres et de tractations plus tard, les portes de ce programme académique inédit s'ouvrent enfin à notre micro.Sous un portrait de Shireen Abou Aqleh – ancienne étudiante et professeur à Birzeit, mais surtout journaliste star d'Al Jazeera abattue en plein reportage à Jénine par l'armée israélienne – Najat Abdulhaq, sémillante responsable du département de la communication de l'université explique sa prudence. Smartphone en main, elle montre des photos des différents raids de l'armée israélienne sur le campus. Les dizaines d'étudiants arrêtés, les salles de classes retournées et les drapeaux arrachés l'incitent à la prudence désormais. Dans ce contexte hautement explosif, comment étudier sereinement la société israélienne ? Quand ce programme a été lancé il y a dix ans, un dilemme s'est posé d'emblée : peut-on étudier la société israélienne tout en évitant la « normalisation » ? La solution est vite trouvée. Les seuls Israéliens autorisés à donner cours ici sont des Palestiniens, citoyens d'Israël, comme Areen Hawari, directrice d'un centre de recherches à Haïfa, en Israël. Petite, coupe au carré, elle confie que cette escapade académique hebdomadaire en Cisjordanie occupée est paradoxalement une bouffée d'air pour elle : « Je suis heureuse d'enseigner ici à Birzeit. Je suis palestinienne et cela fait partie de notre projet de libération. Oui, cela fait partie de notre projet de libération de pouvoir produire des études qui soient critiques du colonialisme d'un point de vue académique. Je suis très enthousiaste. » Composant 20% de la population israélienne, les Palestiniens d'Israël sont minoritaires. Présentés comme une cinquième colonne qui menace la sécurité de l'État hébreu, ces professeurs – malgré les checkpoints qu'ils doivent franchir pour venir enseigner en Cisjordanie occupée – trouvent ici paradoxalement un répit de quelques heures dans le climat de suspicion généralisée qui prédomine en Israël. « J'ai un passeport israélien, mais je me sens palestinienne et je porte le poids de la douleur des Palestiniens moi aussi. Notre souhait, c'est qu'Israël ne soit pas un État que pour les juifs, mais pour tous les citoyens. On veut un État démocratique », poursuit Areen Hawari. Combattre la colonisation par les armes du savoirUn département d'études israéliennes peut-il se concevoir sans professeurs israéliens juifs ? Pour Asma, étudiante aussi appliquée qu'impliquée, la question ne se pose pas : « On n'a pas de professeur juif effectivement, mais le problème ce n'est pas la confession en soi. On ne veut pas avoir de profs sionistes. Mais ça n'empêche pas qu'on les lise. On ne peut pas comprendre les Israéliens si on ne lit pas Theodor Herzl et d'autres penseurs du sionisme ». Le sionisme. Le terme revient beaucoup en cours. « Plus de terre, moins d'Arabes », lance une étudiante pour le définir. Une question survient alors : « Peut-on étudier un domaine que l'on n'aime pas ? » Sans circonvolutions, Asma répond avec l'aplomb des punchlines propres à sa génération : « On est un peu comme les médecins qui étudient le cancer. Les médecins n'aiment pas le cancer, mais ils l'étudient pour pouvoir le combattre. » Tous, ici, professeurs comme étudiants, ont l'impression de combattre la colonisation par les armes du savoir. Fondée à l'aube du XXe siècle, l'Université de Birzeit a une longue tradition d'engagement pour la cause palestinienne. Les Français l'ont découverte à la (dé)faveur du déplacement de Lionel Jospin sur le campus le 26 février 2000. Pris à partie par des étudiants scandalisés par ses propos sur le Hezbollah qu'il a qualifié de « terroriste », le Premier ministre français essuie jets de tracts et de pierres. La scène donne des sueurs froides à son personnel de sécurité et vient rappeler combien chaque mot est miné dans cette région du monde. Un programme financé par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de DohaUn quart de siècle plus tard, rien n'a changé. L'Orient reste plus que jamais « compliqué » et suscite l'intérêt redoublé de programmes de recherches du monde entier. À commencer par celui des riches pétromonarchies du Golfe désormais convaincues de la nécessité d'investir dans le savoir en plus de la pierre et des clubs de football européens. La petite trentaine d'étudiants qui suit le programme bénéficient ainsi d'une bourse financée par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de Doha. Un institut dirigé par l'intellectuel palestinien Azmi Bishara également citoyen d'Israël où il fut député. Recherche, journalisme, diplomatie, les secteurs en mesure d'accueillir ces rares étudiants palestiniens connaisseurs en profondeur de la société israélienne sont nombreux et stratégiques.Casquette vissée sur la tête, main qui caresse tantôt un chapelet tantôt une cigarette, Mohanad, le regard clair – lui aussi ancien prisonnier comme 40% des hommes palestiniens et dont le nom sera tu pour des raisons de sécurité – confie pourtant avoir du mal à savoir ce qu'il fera de son diplôme. « Tu sais, nous en Palestine, on ne sait plus se projeter. Là, je suis avec toi, mais demain qui sait où je serai ? J'ai été emprisonné deux fois. Je peux être emprisonné à nouveau à tout moment. Depuis le 7-Octobre, on parle même de nous faire partir d'ici de façon massive. C'est difficile de pouvoir réfléchir à l'avenir ». « L'impossible futur ; comment la colonisation israélienne sape les rêves d'avenir de la jeunesse palestinienne ». Un thème de recherche académique en soi…
Alors que la paix entre Palestiniens et Israéliens n'a jamais semblé aussi lointaine, une grappe d'étudiants palestiniens a fait le choix de suivre un cursus d'« études israéliennes ». Au programme : cours d'hébreu, études de grands textes du judaïsme et de la littérature israélienne, histoire et sociologie d'Israël. La prestigieuse université de Birzeit, en bordure de Ramallah, affiche clairement ses objectifs : « Mieux connaître l'occupant » pour mieux le combattre sur le terrain des idées. De notre correspondante à Ramallah,C'est un cours d'hébreu... à la palestinienne. Il démarre par une distribution de baklawas. Grand sourire, une étudiante annonce ses fiançailles tout en promenant un plateau de pâtisseries. Gourmand, Esmat Mansour, le professeur, se sert tout en ne perdant pas de vue ses objectifs pédagogiques : « Mazel tov ! Mazel Tov ! » Les yeux rieurs encadrés de lunettes, il confie à voix basse : « L'hébreu rappelle de mauvais souvenirs aux étudiants. Pour eux, c'est la langue des checkpoints. Alors, j'essaie autant que je le peux de détendre l'atmosphère pendant le cours. Moi, j'adore l'hébreu et mon rôle, c'est de faire aimer cette langue à mes étudiants. Je leur dis souvent qu'en maîtrisant l'hébreu, ils vont gagner en force et en confiance en eux. Si tu ne sais pas t'exprimer en hébreu, les Israéliens te mépriseront. »L'hébreu, le quinquagénaire a eu tout le loisir de l'apprendre en prison où il a passé vingt années de sa vie pour participation au meurtre d'un Israélien établi dans une colonie. Il avait pour camarade de cellule un certain Yahya Sinwar, ancien numéro un du Hamas et instigateur des attaques du 7-Octobre qui ont fait basculer la région dans un chaos dont on ne voit plus la fin.Mais sur ce lourd passé, l'homme préfère se faire discret : « Mes étudiants sont curieux et veulent en savoir plus sur l'expérience de la prison, mais l'université n'est pas le lieu pour le faire. Ici, je ne parle que des bons aspects de la prison. Avoir pu apprendre l'hébreu est l'une de ces bonnes choses. »« C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens »Lui qui dit croire désormais en une « solution politique » au conflit, prodigue la matière phare du cursus : l'hébreu à raison de neuf heures par semaine. Révisions du vocabulaire de base et apprentissage de quelques adages en hébreu, le cours se déroule dans une ambiance bon enfant teintée de salves d'humour noir. Après la lecture d'un texte évoquant la protection de la nature et des animaux, un étudiant lance, cynique : « Ils sont fantastiques, les Israéliens ! Ils font attention à tout, la nature, les animaux ! Sauf à nous ! Nous non, on ne compte pas ! Pourquoi ? Aucune idée ! ». Les rires fusent. « Les plus tragiques des désastres sont ceux qui provoquent des rires », soutient le poète palestinien Mohammed El-Kurd dans son recueil « Rifqa ». Ici, on rit beaucoup. Tout en rondeurs et sourires lui aussi, Rabih Bader, 27 ans, dit vouloir entamer un travail de recherche consacré à ce qu'il appelle la « judaïsation de l'histoire palestinienne » par les Israéliens. Impossible donc de faire l'impasse sur l'hébreu : « C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens. Eux savent tout de nous. Ils ont de très bons départements d'études palestiniennes dans leurs universités. Ils étudient non seulement l'arabe, mais même les différents dialectes palestiniens. Ils sont super spécialisés, à nous d'en faire de même. » Oreilles dressées pour écouter les cours, plusieurs étudiants gardent un œil en permanence sur leurs smartphones. Les dernières informations sont égrenées à haute voix : arrestations, incursions de l'armée israélienne ou rumeurs de fuites de documents au sein du Shin Bet, l'appareil de renseignements israéliens, la salle de classe a aussi des airs de rédaction. On commente, on se perd en conjectures et souvent, on ironise, encore et encore, sur la situation. Un programme lancé il y a dix ansPour accéder à cette rieuse salle de classe, il en aura fallu de la patience. Ici comme dans beaucoup d'endroits de Cisjordanie occupée, la méfiance règne. Avant de nous autoriser à nous mêler à leurs étudiants, les responsables de l'université de Birzeit annoncent avoir fait « leur enquête » sur nous. Un mois et demi d'échanges d'e-mails, de messages WhatsApp, de smileys, de vœux pour l'Aïd, de rencontres et de tractations plus tard, les portes de ce programme académique inédit s'ouvrent enfin à notre micro.Sous un portrait de Shireen Abou Aqleh – ancienne étudiante et professeur à Birzeit, mais surtout journaliste star d'Al Jazeera abattue en plein reportage à Jénine par l'armée israélienne – Najat Abdulhaq, sémillante responsable du département de la communication de l'université explique sa prudence. Smartphone en main, elle montre des photos des différents raids de l'armée israélienne sur le campus. Les dizaines d'étudiants arrêtés, les salles de classes retournées et les drapeaux arrachés l'incitent à la prudence désormais. Dans ce contexte hautement explosif, comment étudier sereinement la société israélienne ? Quand ce programme a été lancé il y a dix ans, un dilemme s'est posé d'emblée : peut-on étudier la société israélienne tout en évitant la « normalisation » ? La solution est vite trouvée. Les seuls Israéliens autorisés à donner cours ici sont des Palestiniens, citoyens d'Israël, comme Areen Hawari, directrice d'un centre de recherches à Haïfa, en Israël. Petite, coupe au carré, elle confie que cette escapade académique hebdomadaire en Cisjordanie occupée est paradoxalement une bouffée d'air pour elle : « Je suis heureuse d'enseigner ici à Birzeit. Je suis palestinienne et cela fait partie de notre projet de libération. Oui, cela fait partie de notre projet de libération de pouvoir produire des études qui soient critiques du colonialisme d'un point de vue académique. Je suis très enthousiaste. » Composant 20% de la population israélienne, les Palestiniens d'Israël sont minoritaires. Présentés comme une cinquième colonne qui menace la sécurité de l'État hébreu, ces professeurs – malgré les checkpoints qu'ils doivent franchir pour venir enseigner en Cisjordanie occupée – trouvent ici paradoxalement un répit de quelques heures dans le climat de suspicion généralisée qui prédomine en Israël. « J'ai un passeport israélien, mais je me sens palestinienne et je porte le poids de la douleur des Palestiniens moi aussi. Notre souhait, c'est qu'Israël ne soit pas un État que pour les juifs, mais pour tous les citoyens. On veut un État démocratique », poursuit Areen Hawari. Combattre la colonisation par les armes du savoirUn département d'études israéliennes peut-il se concevoir sans professeurs israéliens juifs ? Pour Asma, étudiante aussi appliquée qu'impliquée, la question ne se pose pas : « On n'a pas de professeur juif effectivement, mais le problème ce n'est pas la confession en soi. On ne veut pas avoir de profs sionistes. Mais ça n'empêche pas qu'on les lise. On ne peut pas comprendre les Israéliens si on ne lit pas Theodor Herzl et d'autres penseurs du sionisme ». Le sionisme. Le terme revient beaucoup en cours. « Plus de terre, moins d'Arabes », lance une étudiante pour le définir. Une question survient alors : « Peut-on étudier un domaine que l'on n'aime pas ? » Sans circonvolutions, Asma répond avec l'aplomb des punchlines propres à sa génération : « On est un peu comme les médecins qui étudient le cancer. Les médecins n'aiment pas le cancer, mais ils l'étudient pour pouvoir le combattre. » Tous, ici, professeurs comme étudiants, ont l'impression de combattre la colonisation par les armes du savoir. Fondée à l'aube du XXe siècle, l'Université de Birzeit a une longue tradition d'engagement pour la cause palestinienne. Les Français l'ont découverte à la (dé)faveur du déplacement de Lionel Jospin sur le campus le 26 février 2000. Pris à partie par des étudiants scandalisés par ses propos sur le Hezbollah qu'il a qualifié de « terroriste », le Premier ministre français essuie jets de tracts et de pierres. La scène donne des sueurs froides à son personnel de sécurité et vient rappeler combien chaque mot est miné dans cette région du monde. Un programme financé par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de DohaUn quart de siècle plus tard, rien n'a changé. L'Orient reste plus que jamais « compliqué » et suscite l'intérêt redoublé de programmes de recherches du monde entier. À commencer par celui des riches pétromonarchies du Golfe désormais convaincues de la nécessité d'investir dans le savoir en plus de la pierre et des clubs de football européens. La petite trentaine d'étudiants qui suit le programme bénéficient ainsi d'une bourse financée par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de Doha. Un institut dirigé par l'intellectuel palestinien Azmi Bishara également citoyen d'Israël où il fut député. Recherche, journalisme, diplomatie, les secteurs en mesure d'accueillir ces rares étudiants palestiniens connaisseurs en profondeur de la société israélienne sont nombreux et stratégiques.Casquette vissée sur la tête, main qui caresse tantôt un chapelet tantôt une cigarette, Mohanad, le regard clair – lui aussi ancien prisonnier comme 40% des hommes palestiniens et dont le nom sera tu pour des raisons de sécurité – confie pourtant avoir du mal à savoir ce qu'il fera de son diplôme. « Tu sais, nous en Palestine, on ne sait plus se projeter. Là, je suis avec toi, mais demain qui sait où je serai ? J'ai été emprisonné deux fois. Je peux être emprisonné à nouveau à tout moment. Depuis le 7-Octobre, on parle même de nous faire partir d'ici de façon massive. C'est difficile de pouvoir réfléchir à l'avenir ». « L'impossible futur ; comment la colonisation israélienne sape les rêves d'avenir de la jeunesse palestinienne ». Un thème de recherche académique en soi…
Cette semaine sur Du crime à mes oreilles, Alex vous raconte l'histoire derrière la chanson Le renard de la formation Bérurier Noir qui nous parle d'une des plus grande chasse à l'homme de l'histoire du Royaume Unis!Bonne écoute!
Drôle de sortie publique pour Paul St-Pierre Plamondon… Mark Carney n’aura pas à s’inquiéter de se faire dissoudre en chambre. La rencontre Abdelfadel-Dumont avec Yasmine Abdelfadel et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qubPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Comment protéger nos oreilles du bruit ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'épisode de cette semaine est une présentation du Pouzza Fest de Montréal qui aura lieu du 16 au 18 mai prochain!Billet : https://pouzzafest.com/fr/Cette semaine sur Du crime à mes oreilles, c'est la fin de la longue pause de Papy_Jo.Il entre en légèreté avec quelques fait divers et un zoom sur des chansons du groupe La dispute.Bonne écoute!
Dans cet épisode, nous accueillons Sébastien Salingue pour aborder un sujet essentiel en plongée sous-marine : les oreilles et leur gestion sous l'eau.Que vous soyez débutant ou plongeur confirmé, vous avez sans doute déjà ressenti une gêne ou même une douleur en descendant en profondeur.Mais pourquoi cette douleur survient-elle ? Comment bien équilibrer ses oreilles pour plonger sans inconfort et éviter les blessures ?Sébastien nous explique de manière claire et détaillée les mécanismes de la pression en plongée, le rôle des trompes d'Eustache, et les différentes techniques pour équilibrer efficacement ses oreilles : Valsalva, Frenzel, et Béance Tubulaire Volontaire (BTV).Il revient également sur les erreurs courantes commises par les plongeurs débutants et les risques liés à une mauvaise gestion de l'équilibrage des oreilles.Nous abordons aussi les facteurs aggravants comme le stress, la fatigue ou encore un simple rhume qui peuvent rendre l'équilibrage difficile voire douloureux.Sébastien donne de précieux conseils pour mieux appréhender la descente, notamment en prenant son temps, en réalisant des manœuvres régulières et douces, et en se détendant au maximum.Enfin, nous discutons des bonnes pratiques à adopter pour éviter les complications, telles que ne pas plonger en étant malade, réaliser un rinçage des oreilles après la plongée ou encore consulter un ORL en cas de douleurs persistantes.Que vous soyez sujet aux douleurs d'oreilles en plongée ou que vous souhaitiez simplement améliorer votre technique d'équilibrage, cet épisode vous apportera des conseils précieux pour plonger en toute sécurité et avec plaisir.
durée : 01:30:55 - Les Nuits de France Culture - par : Antoine Dhulster - "L'Europe a des oreilles" ou quand l'Atelier de Création Radiophonique imaginait une soirée électorale originale pour les élections européennes de 2004. En direct du studio 105, ce multiplex avec sept radios européennes donnait à entendre Jean-Luc Godard, Lidia Jorge, Peter Greenaway... - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean-Luc Godard Réalisateur; Peter Greenaway; Laurie Anderson; Lidia Jorge Romancière portugaise; Jovan Divjak Général; Dominique Gonzalez-Foerster
Au collège, il y a des endroits qu'on évite parfois, souvent, toujours... Oreilles (nez et yeux) sensibles s'abstenir !Ma Vie d'ado, c'est le podcast du magazine Okapi. Ici, des collégiens parlent d'eux-mêmes, de leurs amis, de leurs familles et de leurs profs. Ils évoquent leur vie intime, au collège, en famille, seuls ou entre potes. Amour, amitié, délires... ils partagent aussi leurs colères, leurs coups de coeur, leurs angoisses et... leurs espoirs. Ma Vie d'ado, c'est intime, c'est joyeux, c'est drôle, c'est triste, c'est mouvementé… C'est bouleversant comme une vie d'ado !Ma Vie d'ado, un podcast du magazine Okapi, à retrouver tous les quinze jours, dès le 1 er septembre, en même temps que le magazine !Crédits.Ce podcast est préparé et animé par le magazine Okapi (Bayard Jeunesse) Un épisode réalisé avec la participation des classes des collèges George Pompidou à Champtoceaux (49), Camille Claudel, François Villon et Jean-Baptiste Clément, à Paris (75), Jules Verne à Vittel (88) et les collégiens Conseillers/Délégués départementaux du Gard à Nîmes (30) , René Cassin à Grand-Pontouvre (16), Gilles Gahinet à Arradon (56), Voix : Julie Pialot. Conception, réalisation, mixage : Emmanuel Viau. Montage : Yann Bonicatto. Musique : Fixxions. Animation éditoriale : J-Y Dana / E. Viau./H.Devannes . Production : E.Viau. Un podcast de Bayard Jeunesse 2025- Droits réservés Le premier podcast des collégiens !https://www.okapi.fr/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:45 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - C'est la question que se pose Calie, 7 ans. Cécile Arnould, spécialiste du comportement des animaux, lui explique comment les poules perçoivent les sons. Notamment le chant du coq, mais pas uniquement, car elles ont un système de communication très précis ! - invités : Cécile Arnould - Cécile Arnould : Éthologue - réalisé par : Stéphanie TEXIER
L'oreille en bouche l'émission gastronomique de Radio Radio Toulouse
De cochon, de veau ou d'agneau, la tête est l'une des plus grandes pourvoyeuses d'abats. De la cervelle au museau en passant par les oreilles, les joues ou encore la langue : cuisinons la tête sous toutes ses coutures !
durée : 00:05:06 - Tanguy Pastureau maltraite l'info - par : Tanguy Pastureau - Tanguy s'intéresse à une nouvelle tendance : les tutos pour se faire "des oreilles de Tchétchènes", c'est comme ça que les TikTokeurs racistes les appellent.
Les muscles auriculaires, vestiges de notre évolution, permettaient autrefois à nos ancêtres de mouvoir leurs oreilles pour mieux localiser les sons, une capacité encore présente chez de nombreux mammifères actuels, tels que les félins. Chez l'humain moderne, seulement 10 à 20 % des individus sont capables de les bouger volontairement. Chez la plupart d'entre nous en effet les muscles concernés sont atrophiés. Cependant, des recherches récentes menées par des scientifiques allemands ont mis en lumière une fonction résiduelle de ces muscles dans l'amélioration de notre capacité auditive, notamment dans des environnements bruyants.Les muscles auriculaires : un héritage évolutifLes muscles auriculaires se divisent en deux catégories :Muscles extrinsèques : comprenant les muscles auriculaires antérieur, supérieur et postérieur, ils sont responsables du mouvement du pavillon de l'oreille.Muscles intrinsèques : ces muscles, tels que le grand et le petit muscle de l'hélix, contribuent à la forme de l'auricule en reliant ses différentes parties cartilagineuses.Chez l'homme, ces muscles sont considérés comme des structures vestigiales, c'est-à-dire des restes d'organes ou de structures ayant perdu leur fonction initiale au cours de l'évolution. Néanmoins, leur présence suggère une activité résiduelle qui pourrait influencer notre perception auditive.Influence des muscles auriculaires sur l'auditionDes études récentes ont démontré que, bien que la majorité des humains ne puissent pas bouger volontairement leurs oreilles, l'activité involontaire de ces muscles est liée à l'orientation de notre attention auditive. Lorsqu'un son est perçu, même sans mouvement visible des oreilles, les muscles auriculaires montrent une activité électrique. Cette activité serait associée à une meilleure capacité à localiser et à distinguer les sons dans des environnements bruyants.Mécanismes sous-jacentsL'activité des muscles auriculaires pourrait influencer la forme et la position du pavillon de l'oreille, modifiant ainsi la manière dont les ondes sonores sont captées et dirigées vers le conduit auditif. Même des ajustements minimes pourraient améliorer la capacité de l'oreille à filtrer les sons pertinents des bruits de fond, facilitant ainsi la concentration sur une source sonore spécifique.De plus, cette activité musculaire pourrait être liée à des mécanismes neuronaux qui orientent notre attention auditive. En d'autres termes, lorsque nous nous concentrons sur un son particulier, les muscles auriculaires pourraient s'activer inconsciemment pour optimiser la réception de ce son, même sans mouvement apparent des oreilles.Implications pratiquesComprendre le rôle résiduel des muscles auriculaires dans l'audition humaine ouvre de nouvelles perspectives pour améliorer la perception auditive, notamment dans des environnements bruyants. Par exemple, des dispositifs auditifs pourraient être développés pour stimuler ces muscles, améliorant ainsi la capacité de l'utilisateur à se concentrer sur des sons spécifiques. De plus, des techniques d'entraînement auditif pourraient être mises en place pour renforcer cette fonction naturelle, aidant ainsi les individus à mieux gérer les situations auditives complexes.En conclusion, bien que la capacité de bouger volontairement les oreilles soit largement perdue chez l'humain moderne, l'activité résiduelle des muscles auriculaires joue un rôle subtil mais significatif dans notre capacité à filtrer et à focaliser notre attention sur des sons spécifiques, particulièrement dans des environnements bruyants. Cette découverte souligne l'importance de ces structures vestigiales et ouvre la voie à de nouvelles approches pour améliorer l'audition humaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:57:47 - Les Nuits de France Culture - par : Antoine Dhulster - En 2014, Thomas Baumgartner reçoit le rock critic et écrivain britannique Nik Cohn pour brosser son portrait, en compagnie du comédien Stanley Weber et du musicien électro Benjamin Diamond. Un extrait de leur performance musicale en trio, intitulée "The Noise From the Streets" conclut l'entretien. - réalisation : Emily Vallat - invités : Nik Cohn Journaliste, rock critic et écrivain britannique
Toutes les réponses à tes questions ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 03:39:49 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - - réalisation : Massimo Bellini
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Aujourd'hui nous sommes le jeudi 12 décembre. C'est la deuxième semaine du parcours d'avent “combattants d'espérance avec Jésus”.Cette semaine, notre part de combat c'est de nous ouvrir à l'espérance: en reconnaissant là où nous sommes dépendants des autres et en sachant rendre grâce à Dieu pour les merveilles de la vie. Jésus est fier de son cousin Jean le Baptiste mais il nous recommande de ne pas rester dans une admiration superficielle. Ô Jésus qui viens à Noël, aide-nous à être attentifs à... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Musique de Noël instrumentale de Romantique musique interprété par - Musique de Noël instrumentale © Creative Commons Youtube Audio Library ; Voici l'agneau de Dieu de interprété par Keur moussa - Lumière radieuse © Abbaye de Keur Moussa.
Oreilles sensibles, s'abstenir ! Hélène Boudreau se joint à la table de discussion avec Sophie Durocher, Joël McGuirk et sa conjointe Chloé Patenaude. Tous se prononcent sur le phénomène du « mâle alpha ». Le chroniqueur Rémi Villemure se joint aussi à la discussion. Entrevue avec Hélène Boudreau, surnommée « la fille de l'UQÀM », femme d'affaire et actrice / Joël McGuirk, coanimateur du balado Lucide Podcast / Chloé Patenaude / Le chroniqueur Rémi Villemure.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Oreilles sensibles, s'abstenir ! Hélène Boudreau se joint à la table de discussion avec Sophie Durocher, Joël McGuirk et sa conjointe Chloé Patenaude. Tous se prononcent sur le phénomène du « mâle alpha ». Le chroniqueur Rémi Villemure se joint aussi à la discussion. Dans cet épisode intégral du 11 novembre 2024, en entrevue : Hélène Boudreau, surnommée « la fille de l'UQÀM », femme d'affaire et actrice Joël McGuirk, coanimateur du balado Lucide Podcast Chloé Patenaude Le chroniqueur Rémi Villemure. Une production QUB Novembre 2024Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:03:26 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Gustave se pose une question pour le moins logique : est-ce que les pince-oreilles pincent les oreilles ? Pour lui répondre un spécialiste des insectes, l'entomologiste François Lasserre. - invités : François LASSERRE - François Lasserre : Entomologiste et vice-président de l'Office Pour les Insectes et leur Environnement (OPIE). - réalisé par : Stéphanie TEXIER
Les yeux de l'Eternel sont sur les justeset ses oreilles sont attentives à leur cri. --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/haitianhelpinghands/support
Merci à Alexandre Vairinho, chirurgien esthétique, d'être venu dans le studio de LEGEND ! Pendant 3 ans il a été chef de clinique à l'hôpital Saint-Louis à Paris. Il vient répondre à toutes les questions qu'on se pose sur la chirurgie esthétique (le changement de sexe, les augmentations mammaires records, ou encore la mode de la greffe capillaire). Il a vécu des moments difficiles aussi, comme ce cas d'un patient brûlé à 95% sauvé par son frère jumeau sur qui on a prélevé de la peau.Suivez Alexandre sur Instagram ➡️: https://www.instagram.com/dr_vairinho/Retrouvez son site internet ➡️ https://docteurvairinho.fr/Pour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
DÉVOTION MATINALE AVEC LES ÉPOUX CHERY. COMMENT ÉLIMINER LES DIVISIONS.#2. 1 COR 3:21-22. QUE CELUI QUI A DES OREILLES POUR ENTENDRE ENTENDE! --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/haitianhelpinghands/support
durée : 01:31:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - "L'Europe a des oreilles" ou quand l'Atelier de Création Radiophonique imaginait une soirée électorale originale pour les élections européennes de 2004. En direct du studio 105, ce multiplex avec sept radios européennes donnait à entendre Jean-Luc Godard, Lidia Jorge, Peter Greenaway... - invités : Jean-Luc Godard Réalisateur; Peter Greenaway; Laurie Anderson; Lidia Jorge Romancière portugaise; Jovan Divjak Général; Dominique Gonzalez-Foerster
durée : 01:30:55 - Les Nuits de France Culture - par : Antoine Dhulster - "L'Europe a des oreilles" ou quand l'Atelier de Création Radiophonique imaginait une soirée électorale originale pour les élections européennes de 2004. En direct du studio 105, ce multiplex avec sept radios européennes donnait à entendre Jean-Luc Godard, Lidia Jorge, Peter Greenaway... - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean-Luc Godard Réalisateur; Peter Greenaway; Laurie Anderson; Lidia Jorge Romancière portugaise; Jovan Divjak Général; Dominique Gonzalez-Foerster
durée : 00:25:19 - Hae Sun Kang, violoniste (2/5) - par : Judith Chaine - Portrait de la violoniste coréenne Hae-Sun Kang, interprète phare de la scène contemporaine, membre de l'E.I.C. et professeur au C.N.S.M. de Paris. Créatrice et dédicataire de nombreuses pièces de son temps, la violoniste s'attache à faire ressentir l'expressivité de la musique contemporaine. - réalisé par : Arnaud Chappatte
Après le dernier épisode, les paillettes débriefent le titre de fin de Whisper. Et la rencontre de Manu avec un artiste qu'on a tous connu il y a quelques années. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:26 - Un monde connecté - par : Thomas Baumgartner - Alors que les États-Unis ou la Scandinavie se tournent avec enthousiasme vers le livre audio, la France est plus lente à s'y convertir. Mais la dynamique est là. Avec des enjeux importants de diffusion… et de création.