...par rapport au(x) public(s) scolaire(s) ou aux genres littéraires, mais aussi en retraçant leurs histoires personnelles et professionnelles, etc.
Dès 8 ans, de la découverte et l'apprentissage de l'écriture (celle du journal intime, lecture de jeux de rôle) au premier roman, en passant par le conception/édition desdits jeux de rôle, mis aussi une vie organisée et la nécessité du calme feutré pour créer dans le cadre de la famille... et des bibliothèques.
Les débuts de cet auteur en littérature de jeunesse avec les genres "fantaisie", "jeux de rôles","science-fiction"... Mais est-il pertinent de classifier ces littératures de l'imaginaire dont se réclame l’interviewé ?
Fantaisie, pas fantastique, presque avec usurpation pour cet auteur atypique qui y voit d'abord une sorte de passeport, pas un genre déterminé, mais un qui peut s'allier avec d’autres genres (policier, eau de rose…).
L'interviewé retrace son enfance et son adolescence dédiées à l'écriture et au théâtre, pour lequel il va créer une troupe qui joue l'été quand on peut se coucher tard. Il évoque aussi son plaisir d'écrire dans les bibliothèques aux cadres et horaires calmes...
Deux interventions de Marie-Aude Murail : un écrivain jeunesse peut-il vieillir ? une réflexion autour de deux notions fondamentales : l'identification et la projection - dans le cadre de la jJournée de formation "Adolescents, lecture, littérature" - organisées à la Bibliothèque Louis Aragon d'Amiens en février 2008.