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Alle har hørt om norsk black metal. Men hva med norsk death metal? I boka "Født dødt – norsk death metal 1986–1999" møter vi hele 150 band fra Agder til Finnmark. Forfatter André Nautøy har kartlagt obskure øvingsopptak, mugne bomberom, rustne gitarstrenger, fiendtlige forsamlingshus, tomme ølflasker og ungdommelig overmot i alle landets fylker. Men hvem var disse folkene? Og hvor ble det av dem?"Født dødt" er riktignok en tjukk og fargerik bibel, men det er alltid noen historier som slipper unna permene. Torsdag 25. september dykket Jernverket dypere i materien. Følgende stjernelag gikk live på Vaterland med publikum til stede: André Nautøy (forfatteren, listemakeren og obskuritetsentusiasten)Torben Grue (Vomit, Mayhem, Kvikksølvguttene)Marius Vold (Mortem, Arcturus, Stigma Diabolicum, Thorns)Lasse Balvaz (Balvaz, Cadaver, Disgusting, Ulvehunger) Hva finner man egentlig i Nasjonalbibliotekets arkiv? Hvorfor kommer så mange death metal-band fra Østfold? Påvirket den dårlige black metal-stemningen den lystigere (!) death metal-gjengen? Hvorfor låt alt bedre i Sverige? Hvilken rolle spilte fanziner og lokalradioshow? Hvordan gikk det med de kristne bandene? Hvem kjørte til og fra spillejobbene? Hva gjør man når man finner en død katt? Og blir det noen flere comeback snart, eller?PS: «Født dødt - norsk death metal 1986-1999» er utgitt av Freshtea. Boka kan blant annet kjøpes her. Litt sent å kjøpe den i julegave, kanskje, men alle trenger da lesestoff på nyåret også?PPS: Vil du høre bandene som er omtalt? Nautøy har digitalisert de fleste opptakene han har fått tak i og lagt dem på Youtube-kanalen sin. Støtt Jernverket økonomisk via Vipps-nummer 567438. Det er også hyggelig om du tipser en kompis og legger igjen en anmeldelse der du lytter.
durée : 00:29:55 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - Auteur d'une trentaine d'ouvrages de prose et de poésie, le grand écrivain roumain Mircea Cărtărescu refait paraître “L'Aile Gauche”, premier tome d'“Orbitor”, triptyque central de son œuvre. Une nouvelle traduction de Laure Hinckel qui laisse apparaître tout le génie de son écriture. - réalisation : Brice Garcia, Phane Montet - invités : Mircea Cartarescu Romancier, critique et théoricien littéraire
Guy Savoy, né le 24 juillet 1953 à Nevers, est un célèbre chef cuisinier français. Depuis 2002, le restaurant Guy Savoy, situé 11 quai de Conti dans le VIè arrondissement de Paris, possède trois étoiles au Guide Michelin. Avec Anne Martinetti et Gilles Chesneau, il est l'auteur d'une série intitulée «Guy Savoy cuisine les écrivains», aux éditions Herscher où vient de paraitre le 4ème tome consacré aux auteurs du XIXè siècle. Le XIXè siècle fut celui de tous les appétits : littéraires et culinaires. Tandis que les grands écrivains révolutionnaient les lettres françaises, les cuisiniers transformaient l'art de la table. Dans ce quatrième volume de sa collection, Guy Savoy nous invite à un festin où se mêlent les saveurs d'une époque et les mots de ses plus illustres témoins. Des banquets parisiens décrits par Balzac aux repas bourgeois croqués par Maupassant, des dîners romantiques de George Sand aux festins populaires de Zola, le chef étoilé puise dans ce siècle gourmand une inspiration sans limites. Car les écrivains du XIXè siècle étaient aussi de fins gastronomes : Hugo collectionnait les recettes et Dumas père rédigeait son Grand Dictionnaire de cuisine... Avec la complicité d'Anne Martinetti et de Gilles Chesneau, Guy Savoy ressuscite ces saveurs oubliées et transforme les pages les plus savoureuses de notre patrimoine littéraire en recettes d'aujourd'hui. Une promenade unique où chaque plat raconte une histoire, où chaque bouchée fait revivre un auteur. Un voyage gourmand et littéraire qui régalera aussi bien les amoureux des belles-lettres que les passionnés de gastronomie. (Présentation des éditions Herscher)
durée : 00:02:45 - Le Masque et la Plume - par : Jérôme Garcin - Quand les critiques du Masque s'écharpaient sur Jean d'Ormesson mais aussi... Baudelaire ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Regard féminin sur les classiques de la littérature Nous sommes en 1772, dans un essai intitulé « Sur les femmes », Denis Diderot, le philosophe des Lumières, l'auteur de « La religieuse » ou de « Jacques le fataliste et son maître », grand ordonnateur de l'Encyclopédie, ce « dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers », écrit : « La soumission à un maître qui lui déplaît est pour la femme un supplice. J'ai vu une femme honnête frissonner d'horreur à l'approche de son époux ; je l'ai vue se plonger dans le bain, et ne se croire jamais assez lavée de la souillure du devoir. Cette sorte de répugnance nous est presque inconnue. Notre organe est plus indulgent. » Regard masculin sur le refus féminin. Un regard qui traverse la société d'Ancien Régime, celle qui précède la Révolution française. Un monde dans lequel les traités de civilité assigne les femmes au devoir de réserve ou au silence, ou pire, peut-être, à la « feinte résistance » via les codes de séduction. Les héroïnes de la littérature sont gorgées de jeunes filles passives ou de princesses enfermées ou endormies, les deux parfois. Du moins est-ce ainsi que nous analysons, traditionnellement, le comportement de ces personnages de papier. Mais au fond, et si le Petit Chaperon rouge était plus émancipé qu'il n'y paraît ? Et si la Belle et la Bête n'était pas une jolie créature sous emprise ? Et si Andromaque était bien autre chose qu'une mère parfaite et une épouse modèle ? Et si ces femmes avaient toutes dit « NON » sans être entendues ? Et si leur refus avait été effacé par l'Histoire que racontent les hommes ? Plongeons-nous dans nos classiques… Invitée : Jennifer Tamas, agrégée de lettres modernes, enseigne la littérature française de l'Ancien Régime à la Rutgers University, dans le New Jersey, aux Etats-Unis. « Au non des femmes – Libérer nos classiques du regard masculin » » aux éditions du Seuil. Sujets traités : Denis Diderot,religieuse, Jacques, Encyclopédie, dictionnaire , femme, Ancien Régime, Révolution française, Chaperon rouge , Andromaque Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:26 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - Avec "La récréation est finie", Dario Ferrari suit Marcello, un doctorant trentenaire dilettante qui découvre les jeux de pouvoir de l'université tout en se passionnant pour l'œuvre d'un ancien terroriste. Un campus novel ironique et mélancolique sur deux générations désorientées. - réalisation : Camille Mati - invités : Romain de Becdelièvre Auteur, conseiller dramaturgique, producteur à France Culture; Johan Faerber Editeur, essayiste, critique littéraire.
durée : 00:27:58 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - Aujourd'hui, au menu de notre débat critique, place à la littérature avec une émission spéciale campus novel, autour de "Des inconnus à qui parler" de Camille Bordas et "La récréation est finie" de Dario Ferrari. - réalisation : Camille Mati - invités : Romain de Becdelièvre Auteur, conseiller dramaturgique, producteur à France Culture; Johan Faerber Editeur, essayiste, critique littéraire.
durée : 00:12:34 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - "Des inconnus à qui parler" nous entraîne dans un master de stand-up à Chicago. Camille Bordas y observe, avec humour et précision, une jeunesse qui transforme ses failles en matière artistique, entre désir de scène, angoisses intimes et quête de légitimité. - réalisation : Camille Mati - invités : Johan Faerber Editeur, essayiste, critique littéraire.; Romain de Becdelièvre Auteur, conseiller dramaturgique, producteur à France Culture
In Episode 100 of the Thoughts from the Couch podcast, Justine sits down with therapist Renee Litt for a powerful conversation about perfectionism and the “striver” part that so many women lean on to feel safe and in control. Using the Internal Family Systems (IFS) approach, they explore how this part formed, why it works so hard, and what it believes it's protecting us from.Together, they unpack the key IFS concepts of managers, firefighters, and exiles, and how these inner roles shape the way we think, react, and push ourselves. Renee explains how the striver part often develops from early experiences or inherited patterns, and how it can quietly take over our decisions, leaving us anxious, drained, or overly self-critical.Their conversation offers a hopeful, compassionate path toward healing perfectionism by learning to meet this part with curiosity instead of judgment. Listeners will walk away with a clearer picture of how to reconnect with their grounded Self and ease the pressure of striving so they can move through life with more balance and self-trust.Learn more about how perfectionism could get in the way of your happiness.Learn more about Renee Litt: https://www.reneelitttherapy.com/Follow Renee Litt on Instagram: @reneelitttherapy
PODSAC REVIENT D'ENTRE LES MORTS (et on a changé de crèmerie !)Salut les Poditeurs !Vous pensiez qu'on avait fini comme une victime dans un Scream d'ouverture ? Que le Thanos du podcast avait claqué des doigts et qu'on était partis en poussière ? Que nenni !Après un an de silence radio (c'est long, on sait, c'est le temps qu'il faut à James Cameron pour écrire deux lignes de dialogue), PODSAC n'est pas mort ! Le cœur bat encore, et le projecteur s'allume à nouveau.Pour ce grand retour, on a fait le ménage de printemps (en hiver). Fini les galères, on passe à la vitesse lumière :
L'actualité littéraire de la semaine 51 en une minute ! Au programme : des livres censurés en vente, Isabelle Adjani marraine du prochain Printemps des Poètes et les 250 ans de Jane Austen.
Écoutez la journaliste Lauren Bastide en conversation avec Bénédicte Dupré la Tour, autrice d'un premier roman, « Terres Promises » publié aux Éditions du Panseur en 2024. Avec pour décor la ruée vers l'or et la conquête de l'Ouest, ce roman choral suit huit personnages, huit destins. Au cours de cet entretien, Bénédicte Dupré la Tour évoque l'influence des westerns et de la littérature américaine sur son travail, les thèmes abordés dans son roman et le rôle essentiel que les libraires ont joué dans la diffusion de son livre.En marge des Rendez-vous littéraires rue Cambon, le podcast « les Rencontres » met en lumière des primo-romancières.(00:00) Introduction(00:55) Présentation de Bénédicte Dupré la Tour et de « Terres Promises » par Lauren Bastide(02:36) Sa rencontre avec l'écriture(06:15) À propos de son lien à l'exil(07:19) Son rapport à l'écriture(08:12) Le temps de l'écriture(09:28) La rencontre avec son éditeur(10:56) La publication de son roman(12:47) Lecture d'un extrait de « Terres Promises » par Bénédicte Dupré la Tour(14:38) Son processus d'écriture(16:48) La rédaction de son roman(18:17) Ses sources d'inspiration(23:28) À propos des différentes formes de langage(24:32) La place des femmes dans son roman(26:26) Ses contraintes d'écriture(28:20) L'accueil des libraires(30:00) Le réception du roman par les lecteurs(31:24) À propos des mythes, des mensonges et des histoires de famille(32:40) Le questionnaire de fin du podcast « les Rencontres »Bénédicte Dupré la Tour, Terres Promises © Les éditions du Panseur, 2024 Laura Ingalls Wilder, La Petite Maison dans la Prairie © Flammarion, 1978Blueberry par Jean-Michel Charlier et Jean Giraud © Dargaud
durée : 00:58:47 - Le Book Club - par : Marie Richeux - Depuis plus d'un demi-siècle, le polar est auréolé d'une réputation de littérature subversive et contestataire. À partir d'une enquête précise sur son histoire, Lucie Amir analyse dans son dernier essai les tensions idéologiques qui le traversent. - réalisation : Vivien Demeyère - invités : Lucie Amir maîtresse de conférences en langue et littérature françaises à l'Université Grenoble Alpes
Écoutez la journaliste Lauren Bastide en conversation avec Bénédicte Dupré la Tour, autrice d'un premier roman, « Terres Promises » publié aux Éditions du Panseur en 2024. Avec pour décor la ruée vers l'or et la conquête de l'Ouest, ce roman choral suit huit personnages, huit destins. Au cours de cet entretien, Bénédicte Dupré la Tour évoque l'influence des westerns et de la littérature américaine sur son travail, les thèmes abordés dans son roman et le rôle essentiel que les libraires ont joué dans la diffusion de son livre.En marge des Rendez-vous littéraires rue Cambon, le podcast « les Rencontres » met en lumière des primo-romancières.(00:00) Introduction(00:55) Présentation de Bénédicte Dupré la Tour et de « Terres Promises » par Lauren Bastide(02:36) Sa rencontre avec l'écriture(06:15) À propos de son lien à l'exil(07:19) Son rapport à l'écriture(08:12) Le temps de l'écriture(09:28) La rencontre avec son éditeur(10:56) La publication de son roman(12:47) Lecture d'un extrait de « Terres Promises » par Bénédicte Dupré la Tour(14:38) Son processus d'écriture(16:48) La rédaction de son roman(18:17) Ses sources d'inspiration(23:28) À propos des différentes formes de langage(24:32) La place des femmes dans son roman(26:26) Ses contraintes d'écriture(28:20) L'accueil des libraires(30:00) Le réception du roman par les lecteurs(31:24) À propos des mythes, des mensonges et des histoires de famille(32:40) Le questionnaire de fin du podcast « les Rencontres »Bénédicte Dupré la Tour, Terres Promises © Les éditions du Panseur, 2024 Laura Ingalls Wilder, La Petite Maison dans la Prairie © Flammarion, 1978Blueberry par Jean-Michel Charlier et Jean Giraud © Dargaud
Alle tenker mest på julen, men noen må tenke litt på kommunen og det som skjer der. Men altså mest julekort, juleting, julens eksklusivitet, Stomperud og jul, jul, jul.
durée : 00:45:49 - La 20e heure - par : Eva Bester - Agrégée de lettres, romancière et journaliste, Irène Frain raconte le rôle majeur et le destin hors du commun du traducteur Antoine Galland, dans la diffusion des "Mille et une nuits". Son roman, "L'or de la nuit", lui a valu le Grand prix du roman de la nuit en 2020. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:14:00 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Inspiré par "Bartleby le scribe", fameuse nouvelle d'Herman Melville, Gay Talese signe avec "Bartleby & moi" un hommage aux invisibles de New York révélant une faune humaine aussi disparate que révélatrice de l'Amérique. Une méditation crépusculaire sur ceux que l'Histoire regarde à peine. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Marie Sorbier Productrice du "Point Culture" sur France Culture, et rédactrice en chef de I/O; Thomas Stélandre Journaliste à Libération
durée : 00:27:22 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Aujourd'hui, au menu de notre débat critique, nous parlerons du journalisme dans la littérature : "Bartleby & moi" de l'auteur Gay Talese paru aux éditions du sous-sol et "L'appel", Histoire d'une femme argentine de l'autrice Leila Guerriero paru aux éditions Rivages le 20 août. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Marie Sorbier Productrice du "Point Culture" sur France Culture, et rédactrice en chef de I/O; Thomas Stélandre Journaliste à Libération
durée : 00:13:23 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Avec "L'Appel, Histoire d'une femme argentine", Leila Guerriero retrace le destin de Silvia Labayru, séquestrée par la dictature militaire alors qu'elle n'a que vingt ans. Un récit vertigineux sur la survie, la mémoire et la violence politique, couronné par le prix du meilleur livre étranger 2025. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Thomas Stélandre Journaliste à Libération; Marie Sorbier Productrice du "Point Culture" sur France Culture, et rédactrice en chef de I/O
La chaîne YouTube de Luna : https://www.youtube.com/@lunalitquoiLa chaîne YouTube de Enzo : https://www.youtube.com/@EnzoReadsInstagram : @enzoreads & @lunalitquoi Livres mentionnés :- Au grand jamais, Jakuta Alikavazovic- La lucidité, José Saramago- Le secrets des secrets, Dan Brown- L'attaque des titans, Hajime Isayama- The Lamb, Lucy Rose- La vie mensongère des adultes, Elena Ferrante- We Love You Bunny, Mona Awad- Project Hailmary, Andy Weir- Les vilaines, Camila Sosa Villarda- Cursed Daughter, Oyinkan Braithwaite - The Ministry of Time, Kaliane Bradley- Blood Over bright haven, M. L. wang- Moi qui n'ai pas connu les hommes, Jacqueline Harpman- Book Lovers, Emily Henry- The Emperor of Gladness, Ocean Vuong- Hello Beautiful, Ann Napolitano - Les éléments, John Boynes- Orbital, Samantha Harvey - Une pension en Italie, Philippe Besson - De là on voit la mer, Philippe Besson- Taipei Story, R. F. Kuang- Heartstopper 6, Alice Oseman- The secret world of Briar Rose, Cindy Pham
durée : 02:29:50 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:58:58 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Dans ses romans, Pauline Dreyfus interroge l'intrication de l'histoire et des trajectoires individuelles. L'écrivaine dépeint les milieux littéraires et mondains parisiens et remonte la Seine pour dessiner les transformations sociales et économiques qui animent le 20ᵉ siècle. - réalisation : Laurence Millet - invités : Pauline Dreyfus Écrivaine
Chroniqueurs :Véronique JacquierLouis de RaguenelPatrick VignalOlivier BenkemounKarima BrikhHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs :Eric NaulleauGauthier le BretEugénie BastiéCatherine NayLouis de RaguenelHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:24 - Les Midis de Culture - par : Antoine Leiris - Avec "Soixante-dix fantômes", Nathalie Quintane explore, en une suite de brefs éclats, les surgissements minuscules mais troublants d'un « fascisme ordinaire ». L'autrice y observe ces instants où le sensible vacille et où le réel semble se décaler. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Johan Faerber Editeur, essayiste, critique littéraire.; Romain de Becdelièvre Auteur, conseiller dramaturgique, producteur à France Culture
durée : 00:26:35 - Les Midis de Culture - par : Antoine Leiris - Aujourd'hui, dans le débat critique, nous parlerons de littérature qui s'intéresse au fascisme : Soixante-dix fantômes de l'autrice Nathalie Quintane paru à La Fabrique le 17 octobre ; et Nerona de l'autrice Hélène Frappat paru chez Actes Sud le 20 août. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Johan Faerber Editeur, essayiste, critique littéraire.; Romain de Becdelièvre Auteur, conseiller dramaturgique, producteur à France Culture
durée : 00:11:13 - Les Midis de Culture - par : Antoine Leiris - Dans "Nerona", Hélène Frappat imagine une dictature contemporaine aux allures de comédie noire. Une satire politique qui grossit les travers populistes pour mieux en révéler les mécanismes. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Romain de Becdelièvre Auteur, conseiller dramaturgique, producteur à France Culture; Johan Faerber Editeur, essayiste, critique littéraire.
Chroniqueurs :Eric NaulleauGauthier le BretEugénie BastiéCatherine NayLouis de RaguenelHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du grønne glitrende, det damper fra gløggen. Morten har med nyheter fra sin elskede bror, Ole har fått bensin på bålet og Martin har dykket inn i kulturarven. Ukas middagstips: Litt hjemmelaget indisk før julematen da? Produsent: Jørgen Vigdal
durée : 00:30:00 - Les Nuits de France Culture - par : Geneviève Huttin - Par Nadine Vasseur - Avec les critiques Gilles Gourdon, Lise Andriès et Michel Bydlowski - Lectures Michel Bouquet de textes d'Olivier Larronde - Avec en archives, la voix d'André Hardellet et une lecture Olivier Larronde - Réalisation Brigitte Bouvier - réalisation : Virginie Mourthé
Invité: Philippe Junod. Chaque ville, chaque village, chaque culture possède son patrimoine bâti. Or, il arrive régulièrement que des bâtiments soient détruits. Pour construire du neuf, à cause dʹun incendie. Ailleurs, à cause dʹune guerre. Comment expliquer les mécanismes de ces destructions? Quelles en sont les conséquences? La destruction peut-elle être légitime? Tribu reçoit Philippe Junod, professeur honoraire dʹhistoire de lʹart à lʹUniversité de Lausanne. Il signe ce livre, "Vandalisme. Littérature et barbarie: une anthologie", aux éditions Infolio.
The author and journalist Taffy Brodesser-Akner has been awarded the Grand Prix de Littérature Américaine for her novel "Long Island Compromise" and its translation by Diniz Galhos. Brodesser-Akner tells us about the kidnapping that kicks off this sprawling family saga, and its repercussions through younger generations. We also discuss the pivotal role of wealth and privilege in American society, and why the aspirational lifestyles peddled by the rich and famous prompt such heated debate, after Brodesser-Akner's profile of Gwyneth Paltrow in the New York Times Magazine went viral.
Une émission enregistrée lors de la seizième édition du Festival Les Traversées Mauritanides à Nouakchott, capitale de la Mauritanie et lieu de rendez-vous d'une vingtaine d'écrivains. Pourquoi apprendre le français en République islamique de Mauritanie alors que cette langue héritée de la colonisation a perdu son statut de langue officielle depuis 1979 au profit de l'arabe et depuis peu du pular, du soninké et du wolof ? La Mauritanie est un pays plurilingue dans lequel le français est une langue parmi d'autres. Il y a quatre langues officielles en Mauritanie : le hassanya (un arabe dialectal) le pular, le soninké et le wolof, langues introduites dans le système éducatif depuis 2022 lors de la réforme du système éducatif). Le français a peu à peu été abandonné depuis l'Indépendance du pays en 1960, mais reste une langue d'enseignement. Il est enseigné notamment à l'Université et a aujourd'hui un statut de langue de communication et de langue étrangère. Pour Mamadou Diop, professeur de Littérature, que Pascal Paradou «Le français est une langue considérée par beaucoup de gens, une langue partagée, mais quand on voit comme elle est enseignée, on se pose des questions ! On a l'impression que tout est fait pour réduire la présence du français en Mauritanie, certainement, pour des raisons politiques ! Moussa Abderhamane Keita ne s'inquiète pas de la présence du français : Dans la vie de tous les jours, c'est une langue qui existe partout. La question relève plus du niveau d'enseignement ! Quant à Idoumou Abbas, ce sont les réformes linguistiques successives et leurs mises en œuvre qui posent problème : Il n'y a pas assez de formation, en français, comme en arabe, pour garantir une bonne qualité d'enseignement. Pour Alassane Dia, ce sont les réformes qui tendent vers l'arabisation, mais le français reste dans les faits une langue officielle, une langue du quotidien, ce qui est paradoxal, c'est que les enfants des décideurs suivent leur scolarité dans des lycées français ! Invités : - Idoumou Abbas, écrivain et professeur à l'université. Il a également écrit un guide de la littérature mauritanienne - Moussa Abderhamane Keita, chef du département de langue et littératures françaises à l'Université de Nouakchott - Alassane Dia, linguiste. Il enseigne le français. Avec un reportage réalisé dans la classe de CM2 D du Lycée français Théodore Monod. Programmation musicale : Le groupe de rap mauritanien Adviser qui chante principalement en pular.
Une émission enregistrée lors de la seizième édition du Festival Les Traversées Mauritanides à Nouakchott, capitale de la Mauritanie et lieu de rendez-vous d'une vingtaine d'écrivains. Pourquoi apprendre le français en République islamique de Mauritanie alors que cette langue héritée de la colonisation a perdu son statut de langue officielle depuis 1979 au profit de l'arabe et depuis peu du pular, du soninké et du wolof ? La Mauritanie est un pays plurilingue dans lequel le français est une langue parmi d'autres. Il y a quatre langues officielles en Mauritanie : le hassanya (un arabe dialectal) le pular, le soninké et le wolof, langues introduites dans le système éducatif depuis 2022 lors de la réforme du système éducatif). Le français a peu à peu été abandonné depuis l'Indépendance du pays en 1960, mais reste une langue d'enseignement. Il est enseigné notamment à l'Université et a aujourd'hui un statut de langue de communication et de langue étrangère. Pour Mamadou Diop, professeur de Littérature, que Pascal Paradou «Le français est une langue considérée par beaucoup de gens, une langue partagée, mais quand on voit comme elle est enseignée, on se pose des questions ! On a l'impression que tout est fait pour réduire la présence du français en Mauritanie, certainement, pour des raisons politiques ! Moussa Abderhamane Keita ne s'inquiète pas de la présence du français : Dans la vie de tous les jours, c'est une langue qui existe partout. La question relève plus du niveau d'enseignement ! Quant à Idoumou Abbas, ce sont les réformes linguistiques successives et leurs mises en œuvre qui posent problème : Il n'y a pas assez de formation, en français, comme en arabe, pour garantir une bonne qualité d'enseignement. Pour Alassane Dia, ce sont les réformes qui tendent vers l'arabisation, mais le français reste dans les faits une langue officielle, une langue du quotidien, ce qui est paradoxal, c'est que les enfants des décideurs suivent leur scolarité dans des lycées français ! Invités : - Idoumou Abbas, écrivain et professeur à l'université. Il a également écrit un guide de la littérature mauritanienne - Moussa Abderhamane Keita, chef du département de langue et littératures françaises à l'Université de Nouakchott - Alassane Dia, linguiste. Il enseigne le français. Avec un reportage réalisé dans la classe de CM2 D du Lycée français Théodore Monod. Programmation musicale : Le groupe de rap mauritanien Adviser qui chante principalement en pular.
Une émission enregistrée lors du seizième édition du Festival Les Traversées Mauritanides à Nouakchott, capitale de la Mauritanie et lieu de rendez-vous d'une vingtaine d'écrivains. Que peut-on demander à la littérature ? Qu'est-ce que l'écrit peut dire, que la parole ordinaire ne peut pas ? C'est le thème d'une des tables rondes organisées lors de cette seizième édition du Festival Traversées Mauritanides, un nom du Festival qui a emprunté son nom à la chaîne de montagnes située dans le sud de la Mauritanie. Un festival ouvert qui programme des auteurs français, mais aussi des auteurs arabophones et anglophones et qui reste ouvert à toutes les langues, précise son organisateur. Cet évènement organisé par Bios Diallo, écrivain et poète, a réuni une vingtaine d'écrivains mauritaniens. C'est sa rencontre avec William Sassine, l'écrivain guinéen exilé et avec Oumar Ba, qui a traduit le Coran en peul, qui a donné le goût de l'écriture à Bios Diallo. Des autrices telles que Hemley Boum, était invitée à donner des conférences aux étudiants lors de cet évènement. Écrivaine camerounaise d'expression française, Hemley Boum a grandi à Douala, mais vit aujourd'hui majoritairement en France, mais raconte des histoires du Cameroun et aussi des histoires d'ailleurs, des histoires des frontières, des géographies contrastées, le monde dans lequel on vit aujourd'hui. Elle publie son premier roman en 2010 : «le clan des femmes» aborde le sujet de la polygamie dans un village africain, au début du XXè siècle. En 2015, «Les Maquisards» remporte le Grand prix Littéraire d'Afrique Noire ainsi que le Prix Les Afriques. En 2020, c'est le prix Ahmadou Kourouma qui lui est attribué pour les jours viennent et passent. En 2024, le Rêve du pécheur est couronné par le prix des Cinq continents de la Francophonie. Elle organise le salon littéraire «Lire à Yaoundé». Également invité, Guillaume Jan, écrivain français né en Bretagne en 1973. Journaliste, devenu auteur «globe-trotter», ses livres mettent en scène ses errances aux quatre coins de la planète. Le Baobab de Stanley, 2009 ; Le Cartographe, 2011 ; Traîne-Savane, 2014 ; Samouraïs dans la brousse, 2018). Il est aujourd'hui en résidence en Mauritanie à l'Institut français de Nouakchott, Son dernier livre s'intitule République Démocratique du Congo et il évoque l'article 15 de la Constitution congolaise, «un texte de loi imaginaire qui prône le jus de crâne et l'huile de coude pour s'en sortir». Avec aussi le témoignage d'Anne-Sophie Stefanini, écrivaine, son dernier roman en date s'intitule Une femme a disparu. Elle est aussi éditrice chez Jean-Claude Lattès et organise le Prix Voix d'Afrique auquel RFI et la Cité internationale des Arts sont associés, c'est un prix pour les primo-romanciers de moins de 30 ans, un prix qui a permis de faire naître des vocations. Programmation musicale L'artiste Capitaine Alexandre avec le titre «Venir aux mots».
Une émission enregistrée lors du seizième édition du Festival Les Traversées Mauritanides à Nouakchott, capitale de la Mauritanie et lieu de rendez-vous d'une vingtaine d'écrivains. Que peut-on demander à la littérature ? Qu'est-ce que l'écrit peut dire, que la parole ordinaire ne peut pas ? C'est le thème d'une des tables rondes organisées lors de cette seizième édition du Festival Traversées Mauritanides, un nom du Festival qui a emprunté son nom à la chaîne de montagnes située dans le sud de la Mauritanie. Un festival ouvert qui programme des auteurs français, mais aussi des auteurs arabophones et anglophones et qui reste ouvert à toutes les langues, précise son organisateur. Cet évènement organisé par Bios Diallo, écrivain et poète, a réuni une vingtaine d'écrivains mauritaniens. C'est sa rencontre avec William Sassine, l'écrivain guinéen exilé et avec Oumar Ba, qui a traduit le Coran en peul, qui a donné le goût de l'écriture à Bios Diallo. Des autrices telles que Hemley Boum, était invitée à donner des conférences aux étudiants lors de cet évènement. Écrivaine camerounaise d'expression française, Hemley Boum a grandi à Douala, mais vit aujourd'hui majoritairement en France, mais raconte des histoires du Cameroun et aussi des histoires d'ailleurs, des histoires des frontières, des géographies contrastées, le monde dans lequel on vit aujourd'hui. Elle publie son premier roman en 2010 : «le clan des femmes» aborde le sujet de la polygamie dans un village africain, au début du XXè siècle. En 2015, «Les Maquisards» remporte le Grand prix Littéraire d'Afrique Noire ainsi que le Prix Les Afriques. En 2020, c'est le prix Ahmadou Kourouma qui lui est attribué pour les jours viennent et passent. En 2024, le Rêve du pécheur est couronné par le prix des Cinq continents de la Francophonie. Elle organise le salon littéraire «Lire à Yaoundé». Également invité, Guillaume Jan, écrivain français né en Bretagne en 1973. Journaliste, devenu auteur «globe-trotter», ses livres mettent en scène ses errances aux quatre coins de la planète. Le Baobab de Stanley, 2009 ; Le Cartographe, 2011 ; Traîne-Savane, 2014 ; Samouraïs dans la brousse, 2018). Il est aujourd'hui en résidence en Mauritanie à l'Institut français de Nouakchott, Son dernier livre s'intitule République Démocratique du Congo et il évoque l'article 15 de la Constitution congolaise, «un texte de loi imaginaire qui prône le jus de crâne et l'huile de coude pour s'en sortir». Avec aussi le témoignage d'Anne-Sophie Stefanini, écrivaine, son dernier roman en date s'intitule Une femme a disparu. Elle est aussi éditrice chez Jean-Claude Lattès et organise le Prix Voix d'Afrique auquel RFI et la Cité internationale des Arts sont associés, c'est un prix pour les primo-romanciers de moins de 30 ans, un prix qui a permis de faire naître des vocations. Programmation musicale L'artiste Capitaine Alexandre avec le titre «Venir aux mots».
durée : 00:57:01 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 2001 s'arrêtait "Bouillon de culture" qui depuis 1991 avait pris le relais du légendaire "Apostrophes". La disparition de cette émission était l'occasion de s'interroger sur la place de la littérature à la télévision et la la radio. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Bernard Pivot Journaliste et critique littéraire français; Yannick Dehée historien du cinéma et des médias
durée : 00:05:05 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Que faire face au gouffre qui se creuse, dans un monde qui va trop vite, où les crises s'enchaînent et s'entremêlent, pour ne pas rester sans voix et glacé — pour ne pas rester tétanisé ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Charlotte Casiraghi Présidente et co-fondatrice des Rencontres Philosophiques de Monaco
durée : 00:13:15 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Dans "Les fleuves du ciel", Elif Shafak entremêle trois destins séparés par les siècles mais unis par la mémoire de l'eau. De Londres à la Mésopotamie, elle signe un roman qui célèbre la résilience et la puissance de la mémoire. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Virginie Bloch-Lainé Productrice à France Culture, critique littéraire, romancière. ; Marie Sorbier Productrice du "Point Culture" sur France Culture, et rédactrice en chef de I/O
durée : 00:32:30 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Gérard Gromer -Avec Michel Thévoz (directeur du musée d'Art brut de Lausanne) - réalisation : Rafik Zénine, Vincent Abouchar, Emily Vallat
durée : 00:31:08 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Gérard Gromer -Avec Christian Delacampagne (journaliste, attaché culturel, directeur de l'Institut Français de Barcelone) - réalisation : Rafik Zénine, Vincent Abouchar, Emily Vallat
durée : 00:31:15 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Gérard Gromer -Avec Christian Delacampagne (journaliste, attaché culturel, directeur de l'Institut Français de Barcelone) - réalisation : Rafik Zénine, Vincent Abouchar, Emily Vallat
durée : 00:31:23 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Gérard Gromer - Avec le docteur Paul Usain-Dumont - réalisation : Rafik Zénine, Vincent Abouchar, Emily Vallat
durée : 00:13:16 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - De Jorge Luis Borges à Julia Kristeva en passant par Shakespeare, les écrivain(e)s et les poètes prouvent sans cesse le pouvoir des mots face à la violence du monde. - réalisation : Benjamin Hû
durée : 00:04:34 - Comme personne - C'est un écrivain qui travaille dans la lenteur, en se trompant, en "bricolant", en digressant. Prix Médicis en 2009, il propose cette année un livre fleuve de 800 pages autour de son enfance avec sa tante en Algérie. Il a mis dix ans à l'écrire. Rencontre avec un conteur, audacieux et érudit. - invités : Alain Ferry Romancier, essayiste
[REDIFFUSION] Bienvenue dans Les Fabuleux Destins, le podcast qui vous plonge dans des histoires vraies… aussi fascinantes qu'improbables. Cette semaine, découvrez six figures insaisissables, six virtuoses de la supercherie : faussaires, arnaqueurs, illusionnistes ou génies du mensonge… Tous ont repoussé les limites de l'ingéniosité humaine pour façonner leur propre légende — parfois aux dépens du monde entier. L'une des plus grandes arnaques littéraires Après avoir séjourné en prison, un homme décide d'écrire son histoire. Mais il ajoute à son récit les aventures d'autres forçats. Le livre au grand succès fait scandale et encore aujourd'hui, nombre sont ceux qui cherchent à détruire l'image du Papillon. Son nom: Henri Charrière. A travers une polémique encore animée, découvrez son Fabuleux destin. Une production Bababam Originals Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:25:30 - Le Mag de la vie quotidienne - par : Ali Rebeihi - À l'occasion de l'ouverture du salon du livre jeunesse de Montreuil, focus sur la littérature jeunesse avec des experts et des témoignages et nous verrons comment les livres peuvent accompagner les adolescents dans leur développement et la compréhension de leurs émotions. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
We all know how hard it is to feel out of place. To not know where we belong. Being part of a community, a tribe, is not only important for our physical well being but it's vitally important for our brain health and mental wellness! Why am I talking about tribes and communities here on Game On Glio? Because-my friend, you are part of our tribe! You are never alone. You are part of this community. Seth Godin talks about tribes as being essential for growth and leadership. He also explains that in order to pursue something passionately one must have "Faith that leads to HOPE, and it overcomes FEAR. Faith is critical to ALL innovation.” This is important because it's this type of thinking and leadership that has led to some of the most innovative clinical trials out right now. One of those trials is the ReSPECT-gbm trial. Today we sit down with Andrew Brenner, MD, PhD; a professor of medicine in the Division of Hematology and Oncology at The University of Texas Health Science Center at San Antonio. A tumor biologist and oncologist, his focus is in drug development for the management of primary brain tumors and breast neoplasms. Dr. Brenner's academic work focuses on both clinical cancer management and the development of novel therapies to treat breast and central nervous system tumors. And, Dr. Toral Patel who is an Associate Professor and neurosurgeon at the UT Southwestern Medical Center, specializing in brain tumor surgery, including malignant and benign tumors. Her expertise includes advanced surgical techniques like laser interstitial thermal therapy (LITT) and she also holds a patent for nano-carrier research for central nervous system diseases. Together, they discuss the importance of clincial trials and the why and how of ReSPECT-GBM and ReSPECT-LM trials. If you like our show, please help us continue to grow and reach new listeners. Share our podcast with others and consider giving us a review on Apple and Spotify! Season Premier Sponsors: Imvax Inc. (imvax.com) GammaTile (gammatile.com) Episode Sponsors: Cypris Therapeutics Curtana Pharmaceuticals Brockport Custom Carpets
Le mot “tong” vient… d'un bruit. Littéralement. Il s'agit d'une onomatopée : le tong évoque le claquement caractéristique de la sandale contre le talon lorsque l'on marche avec ce type de chaussure. Ce son sec, répété à chaque pas, a donné son nom à l'objet.Mais c'est un peu plus compliqué en r'realité. A l'origine, avant d'arriver chez nous et de correspondre à ce bruit, le mot vient de l'anglais “thong”, qui signifie à l'origine “lanière”, “courroie”, et plus précisément la bande qui passe entre les orteils. Dans l'anglais moderne, “thong sandals” désigne les sandales à entre-doigts. En Australie, on parle même simplement de thongs pour désigner les tongs.Lorsque le mot traverse la Manche au début du XXe siècle, il est adapté phonétiquement par les francophones. La prononciation anglaise “thong” (/θɒŋ/) devient rapidement “tong”, plus simple à prononcer et plus cohérent avec le son produit par la sandale. Cette coïncidence phonétique — le bruit et le mot — favorise l'adoption du terme dans la langue française.L'objet, lui, est bien plus ancien que son nom. Les sandales à entre-doigt existent depuis l'Égypte ancienne, où on en fabriquait déjà en papyrus ou en cuir. On en trouve aussi en Inde, au Japon (les geta), ou encore en Grèce antique. Mais le mot “tong”, tel qu'on l'utilise aujourd'hui, apparaît réellement au moment où ce type de sandale devient populaire en Occident, après la Seconde Guerre mondiale.Le véritable essor vient dans les années 1950 et 1960, avec l'arrivée massive de modèles en caoutchouc importés du Japon. L'entreprise japonaise Shōroku Shōkai — ancêtre de MoonStar — commercialise alors des sandales bon marché, confortables, faciles à produire, qui deviennent vite incontournables sur les plages. Les Américains les appellent “flip-flops”, là encore pour leur bruit. Les Français retiennent plutôt la version anglo-australienne “tong”.Ce mélange entre origine linguistique anglaise (la “lanière”) et ressemblance avec le claquement sonore explique pourquoi ce mot s'est imposé si facilement. Le français adore les onomatopées, et “tong” sonnait à la fois simple, efficace et immédiatement reconnaissable.En résumé :Origine anglaise : thong = lanière entre les orteils.Adaptation française : “tong”, mot qui évoque le bruit de la sandale.Succès mondial : la sandale à entre-doigt devient un symbole estival, et son nom s'impose naturellement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.