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durée : 00:49:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Catherine Liber, Albane Penaranda - En 1981, "Le cinéma des cinéastes" de Claude-Jean Philippe proposait l'analyse de "Secret Agent" film d'Hitchcock de 1936, connu en France sous le titre "Quatre de l'espionnage". Le producteur était entouré de Philippe Le Guay et de Caroline Champetier. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Philippe Le Guay Cinéaste; Caroline Champetier Directrice de la photographie
Comment Hitchcock utilise la musique Hitchcock filmait les scènes de meurtres comme des scènes d’amour Après avoir traité du son chez Alfred Hitchcock, Yves-Marie Mahé nous fait entendre le rôle de la musique dans son cinéma. D’après les théoriciens, la musique de film peut être "extra-diégétique", c’est-à-dire hors de la narration - les personnages ne l'entendent pas - ou alors "diégétique" et dans la narration, c’est-à-dire produite par un objet sonore. Hithcock joue à merveille de ces deux registres. Les instruments de musique jouent un grand rôle dans ses films d'Hitchcock, et survivent souvent à leur propriétaire. Avec un montage ludique et dynamique de diverses séquences, on redécouvre les coups d'archet et de couteau dans "Psychose", l'influence de Bela Bartok sur Bernard Hermann, et autres délices musicaux de maître Hitchcock.Hitchcock'n'roll (2) : la musique chez Hitchcock. Enregistrements : septembre 15 - Texte & voix : Yves-Marie Mahé - Montage & réalisation : Charlie Marcelet
PSYCHO-Franchise et les vies multiples de Norman Bates. L'inégalité et l’improbabilité de la " franchise" PSYCHO mérite à elle seule qu'on s'y penche sérieusement. Nous aurons en plus le culot d'éviter le plus possible de parler d'Hitchcock. En prime, une analyse comparative avec JAWS
Dans certains films d'Hitchcock, on se déplace sans cesse. Dans d'autres, on voudrait bien sortir de la maison. Dans tous les cas, le casse-tête semble le même : comment vivre hors-les-murs ? La réponse d'Hitchcock serait un peu celle de la psychanalyse : habitez-donc une fiction. Tanguy Viel est romancier. Il a publié, entre autres, Cinéma, L'Absolue perfection du crime, Insoupçonnable, Paris-Brest, tous parus aux éditions de Minuit. Il a aussi écrit en 2010 Hitchcock, par exemple (éditions Naïve).
Dans certains films d'Hitchcock, on se déplace sans cesse. Dans d'autres, on voudrait bien sortir de la maison. Dans tous les cas, le casse-tête semble le même : comment vivre hors-les-murs ? La réponse d'Hitchcock serait un peu celle de la psychanalyse : habitez-donc une fiction. Tanguy Viel est romancier. Il a publié, entre autres, Cinéma, L'Absolue perfection du crime, Insoupçonnable, Paris-Brest, tous parus aux éditions de Minuit. Il a aussi écrit en 2010 Hitchcock, par exemple (éditions Naïve).
Les partisans de "la politique des auteurs", qui firent d'Hitchcock un exemple, étaient à la fois hollywoodophiles et hostiles au cinéma anglais. Ce qui engendra une certaine minoration de la période anglaise du cinéaste. L'opposition entre les deux périodes s'avère aujourd'hui bien schématique et injuste, et les films anglais d'Hitchcock méritent d'être considérés autrement que comme d'intéressants tâtonnements : le génie y fait plus que sommeiller. Marcos Uzal a notamment écrit pour les revues Cinéma, Vertigo et Trafic. Il a participé à l'ouvrage collectif Pour João César Monteiro (Yellow Now) et codirigé un numéo de CinémAction consacré à Tod Browning. Il est directeur de la collection "Côté films" aux éditions Yellow Now, pour laquelle il a écrit un essai sur Vaudou de Jacques Tourneur.
Les partisans de "la politique des auteurs", qui firent d'Hitchcock un exemple, étaient à la fois hollywoodophiles et hostiles au cinéma anglais. Ce qui engendra une certaine minoration de la période anglaise du cinéaste. L'opposition entre les deux périodes s'avère aujourd'hui bien schématique et injuste, et les films anglais d'Hitchcock méritent d'être considérés autrement que comme d'intéressants tâtonnements : le génie y fait plus que sommeiller. Marcos Uzal a notamment écrit pour les revues Cinéma, Vertigo et Trafic. Il a participé à l'ouvrage collectif Pour João César Monteiro (Yellow Now) et codirigé un numéo de CinémAction consacré à Tod Browning. Il est directeur de la collection "Côté films" aux éditions Yellow Now, pour laquelle il a écrit un essai sur Vaudou de Jacques Tourneur.