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L'attaque au couteau à Southport a lieu le 29 juillet 2024 dans la ville de Southport, au Royaume-Uni. Ayant pour cible une école de danse et de yoga qui organisait une activité sur le thème de Taylor Swift, cette attaque fait 3 morts et 10 blessés. Le tueur, Axel Rudakubana, âgé de 17 ans, est arrêté sur les lieux. Il n'avait pas de motivation politique, religieuse, idéologique ou raciale. L'évènement suscite une forte émotion dans le pays et déclenche d'importantes manifestations qui dégénèrent en violentes émeutes impliquant des mouvances d'extrême droite.Lundi 29 juillet 2024. Le soleil illumine la ville balnéaire de Southport, sur la côte Ouest de l'Angleterre. En cette matinée de vacances d'été, le centre-ville grouille de touristes et de locaux qui s'apprêtent à prendre leur pause déjeuner aux terrasses des restaurants ou sur les pelouses verdoyantes du parc Victoria. A environ un kilomètre de là, dans le quartier de Meols Cop, la journée suit également son cours. Dans cette petite banlieue ouvrière, les maisons en briques rouges se mêlent aux petits commerces. Une vie de quartier tranquille, il fait bon vivre et tout le monde se connaît.
Le 24 avril 2002, au château de Montaiguillon en Seine-et-Marne, une jeune femme fait une macabre découverte. Alors qu'elle vient lui rendre visite, elle trouve son ami Frédéric Landelle, gardien passionné du site, sans vie. Il a été abattu d'une balle de calibre 12 tirée depuis l'extérieur. La mise en scène intrigue aussitôt les enquêteurs : fils téléphoniques sectionnés, absence de douilles, tir parfaitement ciblé. Tout indique un acte prémédité commis par quelqu'un connaissant les lieux...
Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire Frédéric Landelle. Ce passionné de Moyen-Âge, gardien d'un château fort en Île de France est assassiné à 33 ans d'une balle dans la tête. L'enquête patine pendant près de 20 ans et elle est finalement bouclée sans résolution. L'affaire dite du Chevalier de Louan est ce qu'on appelle un cold-case. Mais qu'est-ce que c'est un “cold case” ? Et qui décide de clôturer ou de rouvrir une enquête non résolue ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
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Le 24 avril 2002, au château de Montaiguillon en Seine-et-Marne, une jeune femme fait une macabre découverte. Alors qu'elle vient lui rendre visite, elle trouve son ami Frédéric Landelle, gardien passionné du site, sans vie. Il a été abattu d'une balle de calibre 12 tirée depuis l'extérieur. La mise en scène intrigue aussitôt les enquêteurs : fils téléphoniques sectionnés, absence de douilles, tir parfaitement ciblé. Tout indique un acte prémédité commis par quelqu'un connaissant les lieux...Tout d'abord, les gendarmes explorent la thèse d'un conflit de voisinage. En creusant dans ce sens, ils découvrent que Frédéric avait, dans les environs, une réputation de marginal voire même d'illuminé. Bon nombre des villageois eux pensaient qu'il occupait la maisonnette du château de façon illégale et voyaient d'un mauvais oeil les aller et venues de tous ces médiévistes venus faire la fête en tenue d'époque devant de grands feux de camp.
Le 24 avril 2002, au château de Montaiguillon en Seine-et-Marne, une jeune femme fait une macabre découverte. Alors qu'elle vient lui rendre visite, elle trouve son ami Frédéric Landelle, gardien passionné du site, sans vie. Il a été abattu d'une balle de calibre 12 tirée depuis l'extérieur. La mise en scène intrigue aussitôt les enquêteurs : fils téléphoniques sectionnés, absence de douilles, tir parfaitement ciblé. Tout indique un acte prémédité commis par quelqu'un connaissant les lieux...Le château fort, un symbole médiéval, incontournable du patrimoine français. Plus de 13 000 de ces bâtisses subsistent sur notre territoire. Aujourd'hui, beaucoup ne sont plus que des ruines. Mais par le passé, elles furent le théâtre de batailles sanglantes et de sièges meurtriers durant lesquels de fiers chevaliers et de nobles damoiselles ont perdu la vie. Souvent dans d'horribles circonstances.
[SPONSORISÉ] Le 24 avril 2002, au château de Montaiguillon en Seine-et-Marne, une jeune femme fait une macabre découverte. Alors qu'elle vient lui rendre visite, elle trouve son ami Frédéric Landelle, gardien passionné du site, sans vie. Il a été abattu d'une balle de calibre 12 tirée depuis l'extérieur. La mise en scène intrigue aussitôt les enquêteurs : fils téléphoniques sectionnés, absence de douilles, tir parfaitement ciblé. Tout indique un acte prémédité commis par quelqu'un connaissant les lieux...Le château fort, un symbole médiéval, incontournable du patrimoine français. Plus de 13 000 de ces bâtisses subsistent sur notre territoire. Aujourd'hui, beaucoup ne sont plus que des ruines. Mais par le passé, elles furent le théâtre de batailles sanglantes et de sièges meurtriers durant lesquels de fiers chevaliers et de nobles damoiselles ont perdu la vie. Souvent dans d'horribles circonstances.
Dans cet épisode, je reçois Gaëlle, aussi connue sous le pseudonyme avril_circus sur Instagram, notamment connue pour ces BD : Les fleurs de grand-frèreLe JardinMinuit passé Gaëlle Geniller est une autrice et illustratrice française formée à l'animation, repérée par les éditions Delcourt pour participer à Les Légendaires – Stories. En 2019, elle sort son premier album - Les Fleurs de grand frère, qui aborde la différence avec tendresse et poésie et reçoit le Prix Bull'gomme 53. En 2021, elle confirme son talent avec Le Jardin, dont l'histoire se passe dans un cabaret des années 1920, dans une ambiance art déco, puis poursuit en 2024 avec Minuit passé.Fun fact : si vous souhaitez écrire une lettre à vous-même pour le futur, Gaëlle vous donne rendez-vous sur le site FuturMe, de quoi se booster le moral ! Si l'épisode vous a plu, n'hésitez pas le partager et lui mettre des petites étoiles ! Et si vous voulez échanger avec moi, rendez-vous en DM sur mon compte instagram carolinepeifferautrice.
[SPONSORISÉ] A Commensacq, petite commune paisible des Landes, Samuel Batista, 28 ans, a avoué avoir assassiné Guy Lecomte en septembre 2019, le père de son défunt ami Danaël Lecomte, le poignardant à 32 reprises. Il l'a fait par désir de vengeance, estimant que ce dernier avait eu une part de responsabilité dans le suicide de son fils. Guy Lecomte, discret commercial dans le secteur du bâtiment, menait une vie sexuelle débridée, marquée par le chemsex, les rencontres sur internet, les pratiques extrêmes et le sadomasochisme. D'après Isabelle Munoz-Alvarez, la mère de Danaël, c'est la vie sexuelle dépravée de son ex-mari qui aurait poussé leur fils à se jeter sous un train. Elle le répétait à tout le monde, y compris à Samuel Batista...
L'audace de cet espion de la Seconde Guerre mondiale lui aura valu deux médailles. L'une décernée par les Britanniques auprès desquels il est resté fidèle malgré un début de collaboration difficile. L'autre par l'ennemi qu'il s'est tant amusé à tromper. Pourtant, il n'a jamais servi dans l'armée allemande. Bien au contraire, il s'est même arrangé pour que celle-ci ne renforce pas ses positions en Normandie, facilitant ainsi le succès de l'Opération Overlord. Il faut attendre 40 ans pour que le monde découvre ce drôle de roublard. Voici l'histoire peu commune de Juan Pujol Garcia, dit Garbo.
A Commensacq, petite commune paisible des Landes, Samuel Batista, 28 ans, a avoué avoir assassiné Guy Lecomte en septembre 2019, le père de son défunt ami Danaël Lecomte, le poignardant à 32 reprises. Il l'a fait par désir de vengeance, estimant que ce dernier avait eu une part de responsabilité dans le suicide de son fils. Guy Lecomte, discret commercial dans le secteur du bâtiment, menait une vie sexuelle débridée, marquée par le chemsex, les rencontres sur internet, les pratiques extrêmes et le sadomasochisme. D'après Isabelle Munoz-Alvarez, la mère de Danaël, c'est la vie sexuelle dépravée de son ex-mari qui aurait poussé leur fils à se jeter sous un train. Elle le répétait à tout le monde, y compris à Samuel Batista...
L'audace de cet espion de la Seconde Guerre mondiale lui aura valu deux médailles. L'une décernée par les Britanniques auprès desquels il est resté fidèle malgré un début de collaboration difficile. L'autre par l'ennemi qu'il s'est tant amusé à tromper. Pourtant, il n'a jamais servi dans l'armée allemande. Bien au contraire, il s'est même arrangé pour que celle-ci ne renforce pas ses positions en Normandie, facilitant ainsi le succès de l'Opération Overlord. Il faut attendre 40 ans pour que le monde découvre ce drôle de roublard. Voici l'histoire peu commune de Juan Pujol Garcia, dit Garbo.L'Allemagne voulait des espions, elle en aura. Tellement que les autorités croulent sous le flot d'informations qui leur parvient. Des lettres pourtant remplies de fausses pistes, envoyées par de faux agents : un certain Vénézuélien établi à Glasgow, un sergent américain ou encore un nationaliste gallois à la tête d'un groupe fasciste baptisé « les Frères de l'Ordre Mondial Aryen ». Tous sont des membres fictifs d'ARABEL, le nom du réseau de Juan Pujol choisi par les Allemands au début de sa mission.
Rendez-vous incontournable des amoureux de la musique FUNK Il était une fois, mes premiers 45T, maxis, albums, mes premières cassettes audio, il me manquait quelque chose, une expérience radio, elle allait venir, il a fallu se présenter, ce fut chose faite et hop : L'aventure allait commencer en 1982, je m'en souviens très bien, les émissions Funk se succédaient le week end, c'était de la folie, premiers calages de disques vinyles et premières interventions au micro. La toute première radio s'appelait RDP Radio des Poumons 92 mhz, de bons souvenirs avant de connaître d'autres horizons. Nous sommes en 1983, je débarque sur une radio beaucoup plus importante à l'époque avec à l'intérieur une équipe d'animateurs qui pour la plupart officiaient aussi en discothèque, cette station de radio avait pour nom Contact Fm sur le 104 mhz. Il a fallu se faire une place et ce fut chose faite avec une émission Funk Night Club le vendredi, le samedi il existait une autre émission Funk appelée Dérapages Nocturnes animée par Pascal , belle rencontre, contraint d'abandonner pour raisons personnelles quelques temps après cette émission, je décide avec son accord de reprendre celle-ci, il était inconcevable à l'époque que cette émission DN puisse disparaître de la grille des programmes de la radio, les années passent, Contact FM devient Radio Mandarine 95.2 mhz. Au milieu des années 80 l'occasion se présente et j'organise des soirées Funk dans une discothèque Nantaise située à la Beaujoire : le New Cleef , de bons souvenirs mais aussi de belles rencontres. Fin Janvier 1988, Radio Mandarine cesse d'émettre, une page se tourne, l'émission DN reprendra sur quelques radios : Saga 98 Mhz, Radio Fréquence bleue 102.1 Mhz en Bretagne , Radio Alternantes 98.1 Mhz. Janvier 1996 l'émission DN arrive sur Turbulence Radio 93.4 mhz qui deviendra par la suite Radio NTI en Janvier 2001, l'émission cessera d'émettre sur NTI le samedi 24 Juillet 2004. 8 ans ½ là encore de bons souvenirs. Nouveau départ pour les DN en Septembre 2004 sur une Radio locale Nantaise SUN 93 FM où je retrouve la couleur musicale que j'avais connu une bonne vingtaine d'années auparavant sur Contact Fm puis Radio Mandarine. Vendredi 26 Septembre 2008 sur SUN le Son Unique à Nantes avec des passionnés de musique Funk, nous avons célébré comme il se doit le 25 eme Anniversaire de l'émission DN toutes radios confondues, un grand merci à Pascal, Denis Louis Marie, Dominique, Xavier et José. Vendredi 30 Septembre 2011, le 28 eme Anniversaire des DN a eu lieu, un grand merci pour leur présence à Kamel et Thierry, étaient également présents José , Dominique, Eric, Maxime, Denis, Louis Marie, Xavier, Guy Accardo du groupe Plaisir mais aussi Joce, Charles et les frangins Eric et Alex A. Vendredi 27 Septembre 2013, autre Anniversaire avec cette fois-ci les 30 ans de l'émission DN ; merci pour leur présence à Pascal ; Denis ; Louis Marie ; José ; Samir ; Frédéric P ; Guy Accardo ; Joce ; Thierry ; Anne ; Patrice ; Lionel ; Nadjette ; Fabrice ; Fredi ; Alexandre et Thierry Guillom Vendredi 28 Septembre 2018 les 35 ans de l'émission avec une bien belle équipe ; Nadjette ; Lionel ; Thierry R. ; Thierry G. ; Denis D. ; Stephane L. ; Olivier "Kélo" ; Laurence ; Didier "Did" ; Samir ; Nathalie ; Louis Marie ; José et Enzo. Vendredi 25 Septembre 2020 L'initiative est signée Laurence qui avait envie de faire quelque chose pour ce 37 ème Anniversaire de l'émission Dérapages Nocturnes ; ce fut chose faite avec des invités et avons passé une bonne soirée ; merci pour leur présence à Ludivine ; Ludovic ; Keno ; José ; Stephane et Laurence Vendredi 24 Septembre 2021 Anniversaire DN ; les 38 ans avec Thierry Guillom ; José ; Nadjette ; Lionel ; Stéphane L. ; Ludovic ; Didier " Did " et Nathalie H. Vendredi 23 Septembre 2022 ; 39 ème Anniversaire de l'émission Dérapages Nocturnes ; étaient présents et avons passé une très bonne soirée avec José - Stéphane L. - Did - Laurence - Ludovic - Nathalie - Lionel - Nadjette - Thierry G. et John Macenzo. Vendredi 22 Septembre 2023 ; 1ère partie concernant le 40 ème anniversaire de l'émission Dérapages Nocturnes ; les invités présents ce jour étaient ; Alain A. Olivier B. Ludovic C. Pierre L. Didier ; Thierry ; Bruno ; Pascale et Ghislaine ; pour les photos prises ; grand merci à Bruno P. Vendredi 29 Septembre 2023 ; 2ème partie avec une autre équipe de passionnés de musique Funk et parmi les invités ; il y'avait ; Lionel B. Nadjette ; José G. Stéphane L. Samir ; Did ; Thierry G. Pierre B. Nathalie ; Rafael ; Clément et Quentin ; absente : Laurence ; notre Parisienne girl Merci à tous ; l'aventure DN continue sur SUN www.lesonunique.com Le temps passe ; nous sommes en 2025, l'émission Dérapages Nocturnes est toujours en place le vendredi sur SUN 22h – Minuit et sur la fréquence de Cholet 87.7mhz . Auditrice, Auditeur, Merci pour votre Fidélité . LAURENT
Le 10 mars 1906 est marqué d'une pierre noire dans le bassin houiller du Pas-de-Calais. C'est ce jour-là, un jour a priori comme les autres, qu'a eu lieu la plus importante catastrophe minière de France, et même d'Europe. Triste record pour ces hommes qui ne font que travailler, leur vie durant, dans les entrailles de la terre.
Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire Samuel Batista. Ce jeune homme de 22 ans qui, quelques années après le suicide de son meilleur ami, a tué le père de celui-ci de 32 coups de couteaux. Il est arrêté 3 ans après les faits après avoir avoué son crime à ses amis sur Instagram. Mais le jugement qui a eu lieu en juin 2025 s'attarde sur une question juridique bien précise. S'agit-il d'un meurtre ou d'un assassinat ? Savez-vous quelle est la différence entre les deux ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
L'audace de cet espion de la Seconde Guerre mondiale lui aura valu deux médailles. L'une décernée par les Britanniques auprès desquels il est resté fidèle malgré un début de collaboration difficile. L'autre par l'ennemi qu'il s'est tant amusé à tromper. Pourtant, il n'a jamais servi dans l'armée allemande. Bien au contraire, il s'est même arrangé pour que celle-ci ne renforce pas ses positions en Normandie, facilitant ainsi le succès de l'Opération Overlord. Il faut attendre 40 ans pour que le monde découvre ce drôle de roublard. Voici l'histoire peu commune de Juan Pujol Garcia, dit Garbo.Juan Pujol Garcia naît en Espagne, à Barcelone, ville de tous les bouleversements pour lui et dont la culture politique forgera sa personnalité, au même titre que sa vie personnelle.
A Commensacq, petite commune paisible des Landes, Samuel Batista, 28 ans, a avoué avoir assassiné Guy Lecomte en septembre 2019, le père de son défunt ami Danaël Lecomte, le poignardant à 32 reprises. Il l'a fait par désir de vengeance, estimant que ce dernier avait eu une part de responsabilité dans le suicide de son fils. Guy Lecomte, discret commercial dans le secteur du bâtiment, menait une vie sexuelle débridée, marquée par le chemsex, les rencontres sur internet, les pratiques extrêmes et le sadomasochisme. D'après Isabelle Munoz-Alvarez, la mère de Danaël, c'est la vie sexuelle dépravée de son ex-mari qui aurait poussé leur fils à se jeter sous un train. Elle le répétait à tout le monde, y compris à Samuel Batista...L'ADN retrouvé sur la scène du crime correspond parfaitement. Le couteau est identifié. Les aveux sont circonstanciés, précis, sans faille. Les enquêteurs sont troublés par la psychologie du meurtrier. Les experts dépeignent d'ailleurs un profil déroutant. Un jeune homme très intelligent, « à l'intelligence supérieure », note l'un d'eux. Mais en décalage, silencieux, replié. Un solitaire rongé par le ressentiment, la mélancolie et par le besoin de trouver un sens à sa douleur.
A Commensacq, petite commune paisible des Landes, Samuel Batista, 28 ans, a avoué avoir assassiné Guy Lecomte en septembre 2019, le père de son défunt ami Danaël Lecomte, le poignardant à 32 reprises. Il l'a fait par désir de vengeance, estimant que ce dernier avait eu une part de responsabilité dans le suicide de son fils. Guy Lecomte, discret commercial dans le secteur du bâtiment, menait une vie sexuelle débridée, marquée par le chemsex, les rencontres sur internet, les pratiques extrêmes et le sadomasochisme. D'après Isabelle Munoz-Alvarez, la mère de Danaël, c'est la vie sexuelle dépravée de son ex-mari qui aurait poussé leur fils à se jeter sous un train. Elle le répétait à tout le monde, y compris à Samuel Batista...Samuel Batista tente de reprendre pied, mais tout échoue. Il abandonne ses études, refuse de travailler, se coupe peu à peu de ses amis. Samuel ne sourit plus depuis longtemps. Son visage est tiré, ses gestes lents, comme s'ils portaient un poids invisible. Il passe ses journées enfermé dans sa chambre, les volets souvent tirés. Un matelas, un ordinateur, une pile de livres, des pages griffonnées. Il fume, beaucoup. Il écrit, parfois. Et surtout, il rumine. Beaucoup trop.
A Commensacq, petite commune paisible des Landes, Samuel Batista, 28 ans, a avoué avoir assassiné Guy Lecomte en septembre 2019, le père de son défunt ami Danaël Lecomte, le poignardant à 32 reprises. Il l'a fait par désir de vengeance, estimant que ce dernier avait eu une part de responsabilité dans le suicide de son fils. Guy Lecomte, discret commercial dans le secteur du bâtiment, menait une vie sexuelle débridée, marquée par le chemsex, les rencontres sur internet, les pratiques extrêmes et le sadomasochisme. D'après Isabelle Munoz-Alvarez, la mère de Danaël, c'est la vie sexuelle dépravée de son ex-mari qui aurait poussé leur fils à se jeter sous un train. Elle le répétait à tout le monde, y compris à Samuel Batista...Le 27 septembre 2019, dans les Landes, le vent siffle fort au-dessus de la pinède. Il fait encore chaud pour la saison, mais l'air est lourd, épais, comme gonflé d'un présage. Un souffle continu, chargé d'odeurs de résine et de sous-bois humides. Sur la route de Pissos, dans le petit village de Commensacq, une maison aux volets fermés reste muette malgré les coups répétés sur la porte. Les pompiers, appelés en urgence par un homme inquiet, insistent. Toujours aucun mouvement, alors ils forcent le passage.
[SPONSORISÉ] A Commensacq, petite commune paisible des Landes, Samuel Batista, 28 ans, a avoué avoir assassiné Guy Lecomte en septembre 2019, le père de son défunt ami Danaël Lecomte, le poignardant à 32 reprises. Il l'a fait par désir de vengeance, estimant que ce dernier avait eu une part de responsabilité dans le suicide de son fils. Guy Lecomte, discret commercial dans le secteur du bâtiment, menait une vie sexuelle débridée, marquée par le chemsex, les rencontres sur internet, les pratiques extrêmes et le sadomasochisme. D'après Isabelle Munoz-Alvarez, la mère de Danaël, c'est la vie sexuelle dépravée de son ex-mari qui aurait poussé leur fils à se jeter sous un train. Elle l'avait répété à tout le monde, y compris à Samuel Batista...Le 27 septembre 2019, dans les Landes, le vent siffle fort au-dessus de la pinède. Il fait encore chaud pour la saison, mais l'air est lourd, épais, comme gonflé d'un présage. Un souffle continu, chargé d'odeurs de résine et de sous-bois humides. Sur la route de Pissos, dans le petit village de Commensacq, une maison aux volets fermés reste muette malgré les coups répétés sur la porte. Les pompiers, appelés en urgence par un homme inquiet, insistent. Toujours aucun mouvement, alors ils forcent le passage.
On peut être un malfrat et offrir à Napoléon Bonaparte l'une de ses plus belles victoires. L'histoire de Karl Ludwig Schulmeister le prouve. Sans aucune formation militaire, ce simple marchand a participé aux guerres napoléoniennes, et s'en est toujours tiré avec les honneurs. Du moins, pendant un temps. Son arme ? Sa ruse, sa connaissance du terrain et un certain bagout propre à son activité de contrebandier.
Relations amoureuses et secrets d'État n'ont jamais fait bon ménage, particulièrement en période de guerre froide. L'affaire John Profumo ne désigne pas seulement un scandale politique ayant nourri les tabloïds dans les années 60. Elle est également liée au monde de l'espionnage et aurait pu coûter très cher aux autorités britanniques.
On peut être un malfrat et offrir à Napoléon Bonaparte l'une de ses plus belles victoires. L'histoire de Karl Ludwig Schulmeister le prouve. Sans aucune formation militaire, ce simple marchand a participé aux guerres napoléoniennes, et s'en est toujours tiré avec les honneurs. Du moins, pendant un temps. Son arme ? Sa ruse, sa connaissance du terrain et un certain bagout propre à son activité de contrebandier.Lorsque l'armée de Napoléon arrive aux portes de Ulm, férocement armée, les 40 000 soldats autrichiens ne peuvent rien faire. Et ce, malgré les 50 canons et les 3 000 chevaux dont ils disposent. L'assaut des artilleurs français fait plus de 25 000 prisonniers. Avec la reddition de huit généraux, c'est la fin de la présence autrichienne en Allemagne. Fort de cette réussite, Schulmeister ne compte pas s'arrêter là.
Le 13 juillet 1988, dans le village de Huos en Occitanie, trois membres d'une même famille sont tués à coups de sabre, de hache et de fusil. L'enquête aboutit à l'arrestation de Henri-Jean Jacomet, mari et beau-frère des victimes, coupable idéal. Il faudra treize ans, plusieurs séjours en prison, des grèves de la faim et un procès pour qu'il prouve son innocence.
On peut être un malfrat et offrir à Napoléon Bonaparte l'une de ses plus belles victoires. L'histoire de Karl Ludwig Schulmeister le prouve. Sans aucune formation militaire, ce simple marchand a participé aux guerres napoléoniennes, et s'en est toujours tiré avec les honneurs. Du moins, pendant un temps. Son arme ? Sa ruse, sa connaissance du terrain et un certain bagout propre à son activité de contrebandier.Derrière chaque campagne napoléonienne, et ce depuis celle d'Italie, se trouve un réseau particulièrement bien organisé. Napoléon accorde parfois plus d'importance à ses espions qu'à la puissance brute de ses armées. Pour cela, il met en place des services, à l'instar du Grand Quartier Général, dirigé par le maréchal Berthier qui centralise toutes les données collectées. Il est épaulé par un cabinet topographique chargé des cartes et des études du terrain, et par un cabinet noir spécialisé dans l'interception et le déchiffrement des courriers ennemis.
Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire Henri-Jean Jacomet. Accusé du meurtre de sa femme, de sa belle-soeur et de son mari, il a été emprisonné, libéré puis innocenté par des jurés car il n'y avait pas de réelles preuves de sa culpabilité. Il est définitivement innocenté en 2003 grâce à des analyses ADN. Mais l'ADN est-elle toujours une preuve irréfutable ?Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
[SPONSORISÉ] Le 13 juillet 1988, dans le village de Huos en Occitanie, trois membres d'une même famille sont tués à coups de sabre, de hache et de fusil. L'enquête aboutit à l'arrestation de Henri-Jean Jacomet, mari et beau-frère des victimes, coupable idéal. Il faudra treize ans, plusieurs séjours en prison, des grèves de la faim et un procès pour qu'il prouve son innocence.
[SPONSORISÉ] Cette affaire d'espionnage aurait pu mettre en péril la victoire des Alliés durant la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, il a fallu attendre 2005 pour que l'on en mesure réellement l'impact. Cette année-là, au Royaume-Uni, le bureau des Affaires étrangères et du Commonwealth décide de déclassifier certains documents secrets…. Près de 60 ans en arrière, en 1943, à Ankara, en Turquie, Elyesa Bazna a profité de son statut de valet personnel de l'ambassadeur britannique pour faire sortir de l'ambassade des photographies de documents classés Top Secret. S'il fait profiter de ses trouvailles aux Allemands, ce n'est pas par fanatisme nazi.
Le 13 juillet 1988, dans le village de Huos en Occitanie, trois membres d'une même famille sont tués à coups de sabre, de hache et de fusil. L'enquête aboutit à l'arrestation de Henri-Jean Jacomet, mari et beau-frère des victimes, coupable idéal. Il faudra treize ans, plusieurs séjours en prison, des grèves de la faim et un procès pour qu'il prouve son innocence.Le 16 janvier 1989, à 6 heures du matin, Henri-Jean Jacomet est tiré du lit par les gendarmes de la section de recherche de Toulouse, et emmené en garde à vue à la brigade de Barbazan. L'interpellé ne percute pas tout de suite, il pense être entendu en qualité de simple témoin, mari d'une des victimes. Au bout de plusieurs heures d'audition, le ton monte, les questions s'enchaînent, ses réponses s'entrechoquent, et le piège se referme.
Le 13 juillet 1988, dans le village de Huos en Occitanie, trois membres d'une même famille sont tués à coups de sabre, de hache et de fusil. L'enquête aboutit à l'arrestation de Henri-Jean Jacomet, mari et beau-frère des victimes, coupable idéal. Il faudra treize ans, plusieurs séjours en prison, des grèves de la faim et un procès pour qu'il prouve son innocence.À 5h du matin, ce jour de juillet 1988, Henri-Jean Jacomet reprend la route d'Huos, après avoir fait les trois huit à la Cellulose d'Aquitaine, une usine de pâte à papier à Saint-Gaudens. Chez lui, un bout de papier posé sur un meuble : « Je suis chez moi. On t'attend. Bisous ». Le mot a été rédigé la veille par son épouse, Fabienne, 21 ans. En fin d'après-midi, pendant que lui faisait la sieste avant d'entamer son service, elle rejoignait sa soeur pour prendre le café chez leurs parents, absents, partis en vacances au bord de la mer.
[SPONSORISÉ] Classée au patrimoine mondial par l'UNESCO, la Tour de Londres accueille aujourd'hui les joyaux de la Couronne britannique : elle est un détour incontournable pour les touristes du monde entier. Mais les visiteurs ne sont pas les seuls à arpenter les vingt et une tours du palais médiéval… Quand les allées se vident et que les lumières artificielles s'éteignent, d'étranges habitants sont parfois entraperçus. Les témoignages d'apparitions diaphanes, de bruits mystérieux ou d'odeurs venues de nulle part ne manquent pas, et sont chroniqués dès le XIIIe siècle. La Tour de Londres serait un repère de célébrités historiques, passées depuis longtemps dans l'au-delà…
Cette affaire d'espionnage aurait pu mettre en péril la victoire des Alliés durant la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, il a fallu attendre 2005 pour que l'on en mesure réellement l'impact. Cette année-là, au Royaume-Uni, le bureau des Affaires étrangères et du Commonwealth décide de déclassifier certains documents secrets…. Près de 60 ans en arrière, en 1943, à Ankara, en Turquie, Elyesa Bazna a profité de son statut de valet personnel de l'ambassadeur britannique pour faire sortir de l'ambassade des photographies de documents classés Top Secret. S'il fait profiter de ses trouvailles aux Allemands, ce n'est pas par fanatisme nazi.
durée : 00:51:47 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Dans "La Maison vide" (Minuit, 2025), Laurent Mauvignier explore les silences et les non-dits familiaux. Par la fiction, il reconstitue une généalogie marquée par les guerres, la violence patriarcale et les secrets transmis de génération en génération. - réalisation : François Caunac - invités : Laurent Mauvignier Écrivain
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.
[SPONSORISÉ] En 1985, Mikhaïl Gorbatchev s'attèle à un chantier politique de taille en URSS, visant à mettre fin à la Guerre Froide. Mais au même moment, aux États-Unis, une longue série d'arrestations fortement médiatisées vient relancer les tensions entre les deux blocs. Au centre de ce scandale : des espions et traîtres capturés par le FBI, la CIA et leurs collègues. 1985 devient alors The Year of the Spy, l'année des espions. Mais qui étaient ces femmes et ces hommes, certains trop bavards, d'autres travaillant activement pour le compte de l'ennemi.
Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire de l'assassinat de la députée britannique Jo Cox. Une politicienne du parti travailliste, de centre gauche, fervente opposante au Brexit. Elle est assassinée à 41 ans par un militant d'extrême droite, quelques mois avant le référendum qui scella la sortie du Royaume-Uni de l'UE. C'est ce qu'on appelle un féminicide politique. Mais quelle différence entre un féminicide, un assassinat politique et un féminicide politique ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
[SPONSORISÉ] Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire de l'assassinat de la députée britannique Jo Cox. Une politicienne du parti travailliste, de centre gauche, fervente opposante au Brexit. Elle est assassinée à 41 ans par un militant d'extrême droite, quelques mois avant le référendum qui scella la sortie du Royaume-Uni de l'UE. C'est ce qu'on appelle un féminicide politique. Mais quelle différence entre un féminicide, un assassinat politique et un féminicide politique ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.Dans son quartier de Fieldhead, à Birstall, Thomas Mair est très apprécié pour ses services rendus aux plus vulnérables. Une réputation à des années lumières du crime qu'il a commis.Depuis plusieurs années, il travaille comme jardinier bénévole pour des personnes âgées, notamment pour un voisin handicapé à qui il vient en aide plusieurs après-midis par semaine. Il entretient gratuitement les pelouses, taille les haies, répare des clôtures. Il le dit lui-même, le jardinage, c'est toute sa vie. Ses voisins le décrivent comme poli, réservé. On lui reconnaît parfois une certaine excentricité, mais il ne s'est jamais montré menaçant envers qui que ce soit.
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.En juin 2016, Helen Joanne Cox dite Jo, est députée travailliste depuis un peu plus d'un an, élue dans la circonscription de Batley and Spen, dans le West Yorkshire, sa région natale. Elle a 41 ans et un parcours impressionnant. Née au sein d'une famille modeste, elle se hisse jusqu'aux bancs de la prestigieuse Université de Cambridge et raconte ses difficultés à s'intégrer auprès de camarades issus de classes sociales supérieures. Pas à pas, elle solidifie son engagement politique, jusqu'à son arrivée à la Chambre des Communes en 2015. Très vite, son quotidien vogue au rythme des débats sur le Brexit.
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.
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Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire Alexander McCartney. Cet homme nord-irlandais qui a abusé de plus de 70 mineures en ligne, provoquant le suicide d'une Etats-unienne de 12 ans. Nous aimerions creuser un aspect de cette affaire. Le coupable trouvait ses victimes sur les réseaux sociaux et surtout sur Snapchat particulièrement prisé des jeunes. alors, le réseau social préféré des adolescents les met-il en danger de grooming ?Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.Le ton du juge O'Hara est grave, catégorique. La salle d'audience est suspendue à ses lèvres. « Ce que nous avons vu ici dépasse l'entendement. Les mots peinent à décrire l'ampleur du mal. […] Dans certains cas, des enfants de trois ou cinq ans ont été impliqués. » Le juge insiste sur un point essentiel : l'absence totale d'empathie. « Plusieurs enfants lui ont dit vouloir se suicider. L'une d'elles s'est tailladée en direct. D'autres ont envoyé des vidéos de leur détresse. McCartney a répondu, je cite : “Je m'en fiche.” »
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.Certaines victimes vivent à quelques pas de chez lui, d'autres à plus de 15 000 kilomètres. Le mode opératoire reste le même : Snapchat, Instagram, faux profil, séduction, menace, soumission, extorsion. Dans le monde entier, des adolescentes pensent discuter avec une autre fille. Et partout, c'est la même voix, le même piège. Derrière chaque profil : Alexander McCartney, seul dans sa chambre à Newry.
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.Nous sommes un an plus tard, le 18 mars 2019, la police perquisition pour la troisième fois le domicile d'Alexander McCartney. C'est depuis cette chambre d'enfant, dans une maison familiale sans surveillance particulière, qu'il a construit l'un des systèmes d'exploitation pédocriminels les plus vastes jamais découverts au Royaume-Uni.
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.10 mai 2018. Il est 19 h 27 à Bruceton Mills, petite ville encaissée de Virginie-Occidentale. Le soleil s'éteint lentement derrière la forêt épaisse, les oiseaux se taisent. Dans une maison familiale, les volets sont à demi baissés, les murs ornés de cadres. Sur l'un d'eux, une préadolescente tout sourire en robe blanche, taches de rousseur et regard franc. Derrière sa porte entrouverte, la lumière du téléphone éclaire faiblement son visage. Cimarron a douze ans. Ce soir, elle ne sourit pas, elle fixe l'écran, les mains moites. Elle tape frénétiquement, les larmes aux yeux. Elle supplie. Supplie qu'on la laisse tranquille. Mais il en veut plus. Plus de photos, plus d'humiliation.
C'est une affaire à la fois simple, et terriblement complexe. Celles et ceux qui s'y intéressent de près, reporters, enquêteurs, magistrats, historiens, se rejoignent toujours au bout du même chemin. Une même conviction, heurtée au manque d'éléments concrets et à la raison d'État, qui déroge aux lois, aux mandats d'arrêt, et obstrue la quête de vérité. Le vendredi 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, visage de l'opposition au pouvoir marocain, disparaît à l'arrière d'une voiture. La suite, déroulée en hors-champ, n'est faite que de supputations, de témoignages invérifiables : pas de violence avérée, de sang, d'ADN, de corps à autopsier...
C'est une affaire à la fois simple, et terriblement complexe. Celles et ceux qui s'y intéressent de près, reporters, enquêteurs, magistrats, historiens, se rejoignent toujours au bout du même chemin. Une même conviction, heurtée au manque d'éléments concrets et à la raison d'État, qui déroge aux lois, aux mandats d'arrêt, et obstrue la quête de vérité. Le vendredi 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, visage de l'opposition au pouvoir marocain, disparaît à l'arrière d'une voiture. La suite, déroulée en hors-champ, n'est faite que de supputations, de témoignages invérifiables : pas de violence avérée, de sang, d'ADN, de corps à autopsier...Prêt à tous les risques pour neutraliser Mehdi Ben Barka, le général Oufkir, ministre de l'Intérieur marocain, et Ahmed Dlimi auraient missionné leur espion Larbi Chtouki pour prendre contact avec différents complices français à l'été 1965 : Georges Figon d'abord, chargé de se faire passer pour un producteur, et d'approcher la cible en prétextant vouloir participer au projet de documentaire Basta. Antoine Lopez ensuite, l'honorable correspondant du SDECE, qui aurait joué de ses relations pour monter une équipe sur le terrain : les deux policiers de la brigade mondaine, les quatre truands de la bande de Jo Attia. Lorsque Ben Barka annonce sa venue à Paris le 29 octobre pour faire connaissance avec Figon, l'opportunité est saisie, et le piège se referme.