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[SPONSORISÉ] Cette affaire d'espionnage aurait pu mettre en péril la victoire des Alliés durant la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, il a fallu attendre 2005 pour que l'on en mesure réellement l'impact. Cette année-là, au Royaume-Uni, le bureau des Affaires étrangères et du Commonwealth décide de déclassifier certains documents secrets…. Près de 60 ans en arrière, en 1943, à Ankara, en Turquie, Elyesa Bazna a profité de son statut de valet personnel de l'ambassadeur britannique pour faire sortir de l'ambassade des photographies de documents classés Top Secret. S'il fait profiter de ses trouvailles aux Allemands, ce n'est pas par fanatisme nazi.
Le 13 juillet 1988, dans le village de Huos en Occitanie, trois membres d'une même famille sont tués à coups de sabre, de hache et de fusil. L'enquête aboutit à l'arrestation de Henri-Jean Jacomet, mari et beau-frère des victimes, coupable idéal. Il faudra treize ans, plusieurs séjours en prison, des grèves de la faim et un procès pour qu'il prouve son innocence.Le 16 janvier 1989, à 6 heures du matin, Henri-Jean Jacomet est tiré du lit par les gendarmes de la section de recherche de Toulouse, et emmené en garde à vue à la brigade de Barbazan. L'interpellé ne percute pas tout de suite, il pense être entendu en qualité de simple témoin, mari d'une des victimes. Au bout de plusieurs heures d'audition, le ton monte, les questions s'enchaînent, ses réponses s'entrechoquent, et le piège se referme.
Le 13 juillet 1988, dans le village de Huos en Occitanie, trois membres d'une même famille sont tués à coups de sabre, de hache et de fusil. L'enquête aboutit à l'arrestation de Henri-Jean Jacomet, mari et beau-frère des victimes, coupable idéal. Il faudra treize ans, plusieurs séjours en prison, des grèves de la faim et un procès pour qu'il prouve son innocence.À 5h du matin, ce jour de juillet 1988, Henri-Jean Jacomet reprend la route d'Huos, après avoir fait les trois huit à la Cellulose d'Aquitaine, une usine de pâte à papier à Saint-Gaudens. Chez lui, un bout de papier posé sur un meuble : « Je suis chez moi. On t'attend. Bisous ». Le mot a été rédigé la veille par son épouse, Fabienne, 21 ans. En fin d'après-midi, pendant que lui faisait la sieste avant d'entamer son service, elle rejoignait sa soeur pour prendre le café chez leurs parents, absents, partis en vacances au bord de la mer.
[SPONSORISÉ] Classée au patrimoine mondial par l'UNESCO, la Tour de Londres accueille aujourd'hui les joyaux de la Couronne britannique : elle est un détour incontournable pour les touristes du monde entier. Mais les visiteurs ne sont pas les seuls à arpenter les vingt et une tours du palais médiéval… Quand les allées se vident et que les lumières artificielles s'éteignent, d'étranges habitants sont parfois entraperçus. Les témoignages d'apparitions diaphanes, de bruits mystérieux ou d'odeurs venues de nulle part ne manquent pas, et sont chroniqués dès le XIIIe siècle. La Tour de Londres serait un repère de célébrités historiques, passées depuis longtemps dans l'au-delà…
durée : 00:51:47 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Dans "La Maison vide" (Minuit, 2025), Laurent Mauvignier explore les silences et les non-dits familiaux. Par la fiction, il reconstitue une généalogie marquée par les guerres, la violence patriarcale et les secrets transmis de génération en génération. - réalisation : François Caunac - invités : Laurent Mauvignier Écrivain
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.
Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire de l'assassinat de la députée britannique Jo Cox. Une politicienne du parti travailliste, de centre gauche, fervente opposante au Brexit. Elle est assassinée à 41 ans par un militant d'extrême droite, quelques mois avant le référendum qui scella la sortie du Royaume-Uni de l'UE. C'est ce qu'on appelle un féminicide politique. Mais quelle différence entre un féminicide, un assassinat politique et un féminicide politique ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
[SPONSORISÉ] En 1985, Mikhaïl Gorbatchev s'attèle à un chantier politique de taille en URSS, visant à mettre fin à la Guerre Froide. Mais au même moment, aux États-Unis, une longue série d'arrestations fortement médiatisées vient relancer les tensions entre les deux blocs. Au centre de ce scandale : des espions et traîtres capturés par le FBI, la CIA et leurs collègues. 1985 devient alors The Year of the Spy, l'année des espions. Mais qui étaient ces femmes et ces hommes, certains trop bavards, d'autres travaillant activement pour le compte de l'ennemi.
[SPONSORISÉ] Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire de l'assassinat de la députée britannique Jo Cox. Une politicienne du parti travailliste, de centre gauche, fervente opposante au Brexit. Elle est assassinée à 41 ans par un militant d'extrême droite, quelques mois avant le référendum qui scella la sortie du Royaume-Uni de l'UE. C'est ce qu'on appelle un féminicide politique. Mais quelle différence entre un féminicide, un assassinat politique et un féminicide politique ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
[SPONSORISÉ] Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire de l'assassinat de la députée britannique Jo Cox. Une politicienne du parti travailliste, de centre gauche, fervente opposante au Brexit. Elle est assassinée à 41 ans par un militant d'extrême droite, quelques mois avant le référendum qui scella la sortie du Royaume-Uni de l'UE. C'est ce qu'on appelle un féminicide politique. Mais quelle différence entre un féminicide, un assassinat politique et un féminicide politique ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.Dans son quartier de Fieldhead, à Birstall, Thomas Mair est très apprécié pour ses services rendus aux plus vulnérables. Une réputation à des années lumières du crime qu'il a commis.Depuis plusieurs années, il travaille comme jardinier bénévole pour des personnes âgées, notamment pour un voisin handicapé à qui il vient en aide plusieurs après-midis par semaine. Il entretient gratuitement les pelouses, taille les haies, répare des clôtures. Il le dit lui-même, le jardinage, c'est toute sa vie. Ses voisins le décrivent comme poli, réservé. On lui reconnaît parfois une certaine excentricité, mais il ne s'est jamais montré menaçant envers qui que ce soit.
Prescription Punk Rock est une émission de radio qui a pour but d'aider la scène underground locale et internationale ! À tous les LUNDI 22h30 à MINUIT sur les ONDES de CKRL 89,1 Djpunkassbed vous prescrit des comprimés musicaux avec les hits de la scène et des découvertes plus incroyables les unes que les autres !
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.En juin 2016, Helen Joanne Cox dite Jo, est députée travailliste depuis un peu plus d'un an, élue dans la circonscription de Batley and Spen, dans le West Yorkshire, sa région natale. Elle a 41 ans et un parcours impressionnant. Née au sein d'une famille modeste, elle se hisse jusqu'aux bancs de la prestigieuse Université de Cambridge et raconte ses difficultés à s'intégrer auprès de camarades issus de classes sociales supérieures. Pas à pas, elle solidifie son engagement politique, jusqu'à son arrivée à la Chambre des Communes en 2015. Très vite, son quotidien vogue au rythme des débats sur le Brexit.
[SPONSORISÉ] « Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.En juin 2016, Helen Joanne Cox dite Jo, est députée travailliste depuis un peu plus d'un an, élue dans la circonscription de Batley and Spen, dans le West Yorkshire, sa région natale. Elle a 41 ans et un parcours impressionnant. Née au sein d'une famille modeste, elle se hisse jusqu'aux bancs de la prestigieuse Université de Cambridge et raconte ses difficultés à s'intégrer auprès de camarades issus de classes sociales supérieures. Pas à pas, elle solidifie son engagement politique, jusqu'à son arrivée à la Chambre des Communes en 2015. Très vite, son quotidien vogue au rythme des débats sur le Brexit.
En 1985, Mikhaïl Gorbatchev s'attèle à un chantier politique de taille en URSS, visant à mettre fin à la Guerre Froide. Mais au même moment, aux États-Unis, une longue série d'arrestations fortement médiatisées vient relancer les tensions entre les deux blocs. Au centre de ce scandale : des espions et traîtres capturés par le FBI, la CIA et leurs collègues. 1985 devient alors The Year of the Spy, l'année des espions. Mais qui étaient ces femmes et ces hommes, certains trop bavards, d'autres travaillant activement pour le compte de l'ennemi.
Le 6 janvier 2021, plus de 2000 manifestants partisans du candidat Donald Trump ont pris d'assaut le Capitole de Washington. L'attaque a semblé mettre en péril les fondements même de la démocratie américaine. Ce bâtiment emblématique abrite le Congrès des États-Unis, où se réunissent la Chambre des représentants et le Sénat pour débattre et voter les lois fédérales. Ce jour-là, le Congrès procédait à la validation des résultats de l'élection présidentielle de 2020, procédure spécifiquement américaine visant à officialiser la victoire du nouveau président. Mais Joe Biden, fraîchement élu, est perçu comme indésirable auprès de l'électorat de Donald Trump, et plutôt que de laisser vivre la démocratie, une partie de ses partisans va choisir de répondre par la violence et tenter de renverser l'ordre établi.⭐️ Abonnez-vous à MINUIT+ pour profiter de tous les podcasts Minuit en intégrale et sans publicité.
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.
Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire Alexander McCartney. Cet homme nord-irlandais qui a abusé de plus de 70 mineures en ligne, provoquant le suicide d'une Etats-unienne de 12 ans. Nous aimerions creuser un aspect de cette affaire. Le coupable trouvait ses victimes sur les réseaux sociaux et surtout sur Snapchat particulièrement prisé des jeunes. alors, le réseau social préféré des adolescents les met-il en danger de grooming ?Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
En 1985, Mikhaïl Gorbatchev s'attèle à un chantier politique de taille en URSS, visant à mettre fin à la Guerre Froide. Mais au même moment, aux États-Unis, une longue série d'arrestations fortement médiatisées vient relancer les tensions entre les deux blocs. Au centre de ce scandale : des espions et traîtres capturés par le FBI, la CIA et leurs collègues. 1985 devient alors The Year of the Spy, l'année des espions. Mais qui étaient ces femmes et ces hommes, certains trop bavards, d'autres travaillant activement pour le compte de l'ennemi.Si vous suivez notre série L'année des espions depuis le début, vous êtes habitué à ce que tous les agents doubles soient arrêtés et condamnés après avoir été démasqués. Pourtant, voilà un agent qui a échappé à la règle : Edward Lee Howard. En octobre 1983, il tourne le dos à la CIA pour se rapprocher de l'ambassade soviétique à Washington. Et contrairement à d'autres, il ne le fait pas pour l'argent. Sa motivation se résume en deux mots : rancune et désillusion. Comment en est-il arrivé à de tels ressentiments ?
Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
Rendez-vous incontournable des amoureux de la musique FUNK Il était une fois, mes premiers 45T, maxis, albums, mes premières cassettes audio, il me manquait quelque chose, une expérience radio, elle allait venir, il a fallu se présenter, ce fut chose faite et hop : L'aventure allait commencer en 1982, je m'en souviens très bien, les émissions Funk se succédaient le week end, c'était de la folie, premiers calages de disques vinyles et premières interventions au micro. La toute première radio s'appelait RDP Radio des Poumons 92 mhz, de bons souvenirs avant de connaître d'autres horizons. Nous sommes en 1983, je débarque sur une radio beaucoup plus importante à l'époque avec à l'intérieur une équipe d'animateurs qui pour la plupart officiaient aussi en discothèque, cette station de radio avait pour nom Contact Fm sur le 104 mhz. Il a fallu se faire une place et ce fut chose faite avec une émission Funk Night Club le vendredi, le samedi il existait une autre émission Funk appelée Dérapages Nocturnes animée par Pascal , belle rencontre, contraint d'abandonner pour raisons personnelles quelques temps après cette émission, je décide avec son accord de reprendre celle-ci, il était inconcevable à l'époque que cette émission DN puisse disparaître de la grille des programmes de la radio, les années passent, Contact FM devient Radio Mandarine 95.2 mhz. Au milieu des années 80 l'occasion se présente et j'organise des soirées Funk dans une discothèque Nantaise située à la Beaujoire : le New Cleef , de bons souvenirs mais aussi de belles rencontres. Fin Janvier 1988, Radio Mandarine cesse d'émettre, une page se tourne, l'émission DN reprendra sur quelques radios : Saga 98 Mhz, Radio Fréquence bleue 102.1 Mhz en Bretagne , Radio Alternantes 98.1 Mhz. Janvier 1996 l'émission DN arrive sur Turbulence Radio 93.4 mhz qui deviendra par la suite Radio NTI en Janvier 2001, l'émission cessera d'émettre sur NTI le samedi 24 Juillet 2004. 8 ans ½ là encore de bons souvenirs. Nouveau départ pour les DN en Septembre 2004 sur une Radio locale Nantaise SUN 93 FM où je retrouve la couleur musicale que j'avais connu une bonne vingtaine d'années auparavant sur Contact Fm puis Radio Mandarine. Vendredi 26 Septembre 2008 sur SUN le Son Unique à Nantes avec des passionnés de musique Funk, nous avons célébré comme il se doit le 25 eme Anniversaire de l'émission DN toutes radios confondues, un grand merci à Pascal, Denis Louis Marie, Dominique, Xavier et José. Vendredi 30 Septembre 2011, le 28 eme Anniversaire des DN a eu lieu, un grand merci pour leur présence à Kamel et Thierry, étaient également présents José , Dominique, Eric, Maxime, Denis, Louis Marie, Xavier, Guy Accardo du groupe Plaisir mais aussi Joce, Charles et les frangins Eric et Alex A. Vendredi 27 Septembre 2013, autre Anniversaire avec cette fois-ci les 30 ans de l'émission DN ; merci pour leur présence à Pascal ; Denis ; Louis Marie ; José ; Samir ; Frédéric P ; Guy Accardo ; Joce ; Thierry ; Anne ; Patrice ; Lionel ; Nadjette ; Fabrice ; Fredi ; Alexandre et Thierry Guillom Vendredi 28 Septembre 2018 les 35 ans de l'émission avec une bien belle équipe ; Nadjette ; Lionel ; Thierry R. ; Thierry G. ; Denis D. ; Stephane L. ; Olivier "Kélo" ; Laurence ; Didier "Did" ; Samir ; Nathalie ; Louis Marie ; José et Enzo. Vendredi 25 Septembre 2020 L'initiative est signée Laurence qui avait envie de faire quelque chose pour ce 37 ème Anniversaire de l'émission Dérapages Nocturnes ; ce fut chose faite avec des invités et avons passé une bonne soirée ; merci pour leur présence à Ludivine ; Ludovic ; Keno ; José ; Stephane et Laurence Vendredi 24 Septembre 2021 Anniversaire DN ; les 38 ans avec Thierry Guillom ; José ; Nadjette ; Lionel ; Stéphane L. ; Ludovic ; Didier " Did " et Nathalie H. Vendredi 23 Septembre 2022 ; 39 ème Anniversaire de l'émission Dérapages Nocturnes ; étaient présents et avons passé une très bonne soirée avec José - Stéphane L. - Did - Laurence - Ludovic - Nathalie - Lionel - Nadjette - Thierry G. et John Macenzo. Vendredi 22 Septembre 2023 ; 1ère partie concernant le 40 ème anniversaire de l'émission Dérapages Nocturnes ; les invités présents ce jour étaient ; Alain A. Olivier B. Ludovic C. Pierre L. Didier ; Thierry ; Bruno ; Pascale et Ghislaine ; pour les photos prises ; grand merci à Bruno P. Vendredi 29 Septembre 2023 ; 2ème partie avec une autre équipe de passionnés de musique Funk et parmi les invités ; il y'avait ; Lionel B. Nadjette ; José G. Stéphane L. Samir ; Did ; Thierry G. Pierre B. Nathalie ; Rafael ; Clément et Quentin ; absente : Laurence ; notre Parisienne girl Merci à tous ; l'aventure DN continue sur SUN www.lesonunique.com Le temps passe ; nous sommes en 2025, l'émission Dérapages Nocturnes est toujours en place le vendredi sur SUN 22h – Minuit et sur la fréquence de Cholet 87.7mhz . Auditrice, Auditeur, Merci pour votre Fidélité . LAURENT
Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.Le ton du juge O'Hara est grave, catégorique. La salle d'audience est suspendue à ses lèvres. « Ce que nous avons vu ici dépasse l'entendement. Les mots peinent à décrire l'ampleur du mal. […] Dans certains cas, des enfants de trois ou cinq ans ont été impliqués. » Le juge insiste sur un point essentiel : l'absence totale d'empathie. « Plusieurs enfants lui ont dit vouloir se suicider. L'une d'elles s'est tailladée en direct. D'autres ont envoyé des vidéos de leur détresse. McCartney a répondu, je cite : “Je m'en fiche.” »
En 1985, Mikhaïl Gorbatchev s'attèle à un chantier politique de taille en URSS, visant à mettre fin à la Guerre Froide. Mais au même moment, aux États-Unis, une longue série d'arrestations fortement médiatisées vient relancer les tensions entre les deux blocs. Au centre de ce scandale : des espions et traîtres capturés par le FBI, la CIA et leurs collègues. 1985 devient alors The Year of the Spy, l'année des espions. Mais qui étaient ces femmes et ces hommes, certains trop bavards, d'autres travaillant activement pour le compte de l'ennemi.Certains le disent opportuniste, d'autres le voient comme un fervent patriote. C'est toute l'ambiguïté de Jonathan Pollard, analyste du renseignement naval américain qui, entre 1984 et 1985, a transmis des centaines de documents classifiés à Israël. Était-il guidé par la conviction de protéger un allié stratégique des États-Unis ou par des intérêts plus... personnels ?
La Main rouge est le nom d'une organisation secrète française pratiquant la lutte armée, qui a réalisé un grand nombre d'attentats en Europe et en Afrique du Nord dans les années 1950, à l'époque du colonialisme. Qualifiée d'« escadron de la mort », elle puise son origine dans les groupuscules créés en Tunisie en 1952 et regroupant « petits blancs », « prépondérants » et policiers prêts à tout pour empêcher l'indépendance du pays. Le nom est très vite utilisé par les Services secrets français afin de servir de couverture au service Action du SDECE, pour ses opérations de sabotage, d'assassinats ciblés et divers attentats ayant pour but de lutter contre l'indépendantisme en Afrique du Nord.
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.Certaines victimes vivent à quelques pas de chez lui, d'autres à plus de 15 000 kilomètres. Le mode opératoire reste le même : Snapchat, Instagram, faux profil, séduction, menace, soumission, extorsion. Dans le monde entier, des adolescentes pensent discuter avec une autre fille. Et partout, c'est la même voix, le même piège. Derrière chaque profil : Alexander McCartney, seul dans sa chambre à Newry.
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.Nous sommes un an plus tard, le 18 mars 2019, la police perquisition pour la troisième fois le domicile d'Alexander McCartney. C'est depuis cette chambre d'enfant, dans une maison familiale sans surveillance particulière, qu'il a construit l'un des systèmes d'exploitation pédocriminels les plus vastes jamais découverts au Royaume-Uni.
Que sait-on de sa famille ? De génération en génération, Laurent Mauvignier détricote le fil de son histoire familiale depuis son trisaïeul, Firmin Proust. Mais où est donc passée la médaille de Jules, l'arrière-grand-père ? C'est ainsi que commence le nouveau roman de Laurent Mauvignier, une saga familiale sur plusieurs générations. Il y a des histoires inventées qui contiennent plus de vérité que des histoires vécues qui sont complètement « toc » en fait. Parfois, le roman, en inventant, peut toucher plus de vérités. Pour la première fois, l'auteur « se met en scène ». Il écrit, il cherche et compose à la recherche de son passé. Il part de l'histoire de son arrière-arrière-grand-père puis déploie l'histoire de son arrière-grand-mère pour comprendre les raisons du décès de sa grand-mère officiellement « morte des suites d'alcoolisme » puis comprendre le suicide de son père lorsque l'auteur avait seize ans. Laurent Mauvignier a toujours considéré l'écriture comme une « évidence » pour lui. Quand vous écrivez, toute votre vie est consumée par l'écriture. Il y a des moments, il faut se battre pour se sentir vivant parmi les autres. Son écriture se caractérise par la longueur de ses phrases, des phrases un peu « proustiennes ». Quand je suis sur une phrase, chaque point est une torture. Il n'y a pas de point qui ne soit pas final, j'ai l'impression de tuer mes propres phrases. Je suis admirative des gens qui savent faire des phrases très courtes. Invité : L'auteur Laurent Mauvignier est un auteur français né à Tours en 1967. Il est issu d'une famille ouvrière de cinq enfants. Il intègre l'école des Beaux-Arts à 17 ans, dont il sort diplômé en 1991 en arts plastiques. En 1999, il publie son premier roman, Loin d'eux, aux Éditions de Minuit, « une suite ininterrompue de monologues intérieurs ». Il publiera par la suite des romans tels que Dans la foule (inspiré du drame de Heysel) Des hommes, qui raconte le traumatisme de la guerre d'Algérie et Histoires de la nuit, un thriller social qui sera adapté pour le cinéma prochainement. Il vient de publier son nouveau roman La Maison vide, mais aussi Quelque chose d'absent qui me tourmente – Entretiens avec Pascaline David (« Double », 2025) aux éditions de Minuit. Programmation musicale : l'artiste Coline Rio avec le titre Grand-mère
Que sait-on de sa famille ? De génération en génération, Laurent Mauvignier détricote le fil de son histoire familiale depuis son trisaïeul, Firmin Proust. Mais où est donc passée la médaille de Jules, l'arrière-grand-père ? C'est ainsi que commence le nouveau roman de Laurent Mauvignier, une saga familiale sur plusieurs générations. Il y a des histoires inventées qui contiennent plus de vérité que des histoires vécues qui sont complètement « toc » en fait. Parfois, le roman, en inventant, peut toucher plus de vérités. Pour la première fois, l'auteur « se met en scène ». Il écrit, il cherche et compose à la recherche de son passé. Il part de l'histoire de son arrière-arrière-grand-père puis déploie l'histoire de son arrière-grand-mère pour comprendre les raisons du décès de sa grand-mère officiellement « morte des suites d'alcoolisme » puis comprendre le suicide de son père lorsque l'auteur avait seize ans. Laurent Mauvignier a toujours considéré l'écriture comme une « évidence » pour lui. Quand vous écrivez, toute votre vie est consumée par l'écriture. Il y a des moments, il faut se battre pour se sentir vivant parmi les autres. Son écriture se caractérise par la longueur de ses phrases, des phrases un peu « proustiennes ». Quand je suis sur une phrase, chaque point est une torture. Il n'y a pas de point qui ne soit pas final, j'ai l'impression de tuer mes propres phrases. Je suis admirative des gens qui savent faire des phrases très courtes. Invité : L'auteur Laurent Mauvignier est un auteur français né à Tours en 1967. Il est issu d'une famille ouvrière de cinq enfants. Il intègre l'école des Beaux-Arts à 17 ans, dont il sort diplômé en 1991 en arts plastiques. En 1999, il publie son premier roman, Loin d'eux, aux Éditions de Minuit, « une suite ininterrompue de monologues intérieurs ». Il publiera par la suite des romans tels que Dans la foule (inspiré du drame de Heysel) Des hommes, qui raconte le traumatisme de la guerre d'Algérie et Histoires de la nuit, un thriller social qui sera adapté pour le cinéma prochainement. Il vient de publier son nouveau roman La Maison vide, mais aussi Quelque chose d'absent qui me tourmente – Entretiens avec Pascaline David (« Double », 2025) aux éditions de Minuit. Programmation musicale : l'artiste Coline Rio avec le titre Grand-mère
Seul dans sa chambre, Alexander McCartney a orchestré l'un des réseaux de prédation pédopornographique les plus redoutables jamais jugés. Il a manipulé, piégé près de 3 500 victimes en toute impunité pendant des années. Malgré les alertes, les saisies, les preuves… rien ne l'a arrêté. Jusqu'au jour où la justice, enfin, a dû regarder l'horreur en face. Voici le récit de l'une des plus sordides histoires du cybercrime sexuel.10 mai 2018. Il est 19 h 27 à Bruceton Mills, petite ville encaissée de Virginie-Occidentale. Le soleil s'éteint lentement derrière la forêt épaisse, les oiseaux se taisent. Dans une maison familiale, les volets sont à demi baissés, les murs ornés de cadres. Sur l'un d'eux, une préadolescente tout sourire en robe blanche, taches de rousseur et regard franc. Derrière sa porte entrouverte, la lumière du téléphone éclaire faiblement son visage. Cimarron a douze ans. Ce soir, elle ne sourit pas, elle fixe l'écran, les mains moites. Elle tape frénétiquement, les larmes aux yeux. Elle supplie. Supplie qu'on la laisse tranquille. Mais il en veut plus. Plus de photos, plus d'humiliation.
durée : 00:54:59 - Le grand atelier - par : Vincent Josse - Avec son nouveau roman "La Maison Vide", aux Éditions de Minuit, Laurent Mauvignier explore le thème de la famille à travers plusieurs générations de femmes. Pour échanger avec lui, l'écrivain convie le cinéaste Lucas Belvaux qui a porté notamment à l'écran, "Des Hommes". - invités : Laurent Mauvignier - Laurent Mauvignier : Écrivain - réalisé par : Christophe IMBERT Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'est une affaire à la fois simple, et terriblement complexe. Celles et ceux qui s'y intéressent de près, reporters, enquêteurs, magistrats, historiens, se rejoignent toujours au bout du même chemin. Une même conviction, heurtée au manque d'éléments concrets et à la raison d'État, qui déroge aux lois, aux mandats d'arrêt, et obstrue la quête de vérité. Le vendredi 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, visage de l'opposition au pouvoir marocain, disparaît à l'arrière d'une voiture. La suite, déroulée en hors-champ, n'est faite que de supputations, de témoignages invérifiables : pas de violence avérée, de sang, d'ADN, de corps à autopsier...
En 1985, Mikhaïl Gorbatchev s'attèle à un chantier politique de taille en URSS, visant à mettre fin à la Guerre Froide. Mais au même moment, aux États-Unis, une longue série d'arrestations fortement médiatisées vient relancer les tensions entre les deux blocs. Au centre de ce scandale : des espions et traîtres capturés par le FBI, la CIA et leurs collègues. 1985 devient alors The Year of the Spy, l'année des espions. Mais qui étaient ces femmes et ces hommes, certains trop bavards, d'autres travaillant activement pour le compte de l'ennemi.Le 23 novembre 1985, Larry Wu-Tai Chin, ancien analyste et traducteur de la CIA est arrêté et inculpé pour 17 chefs d'inculpation, dont espionnage au profit de la République populaire de Chine auquel il a transmis des informations sensibles pendant plus de 30 ans. Voici l'histoire et la chute d'un brillant linguiste qui aura oeuvré non pas par conviction idéologique, mais par intérêt personnel, au mépris de la sécurité intérieure de son pays d'adoption, les Etats-Unis.
En 1985, Mikhaïl Gorbatchev s'attèle à un chantier politique de taille en URSS, visant à mettre fin à la Guerre Froide. Mais au même moment, aux États-Unis, une longue série d'arrestations fortement médiatisées vient relancer les tensions entre les deux blocs. Au centre de ce scandale : des espions et traîtres capturés par le FBI, la CIA et leurs collègues. 1985 devient alors The Year of the Spy, l'année des espions. Mais qui étaient ces femmes et ces hommes, certains trop bavards, d'autres travaillant activement pour le compte de l'ennemi.Le 20 octobre 1985, les agents du FBI et de la NSA, la National Security Agency, chargée de la surveillance et du décryptage des communications ennemies, sont sur le point de découvrir le traître qui a compromis certaines de leurs opérations les plus précieuses de la Guerre Froide. Tout tient à la parole d'un homme, Vitali Yurchenko, ancien chef adjoint du Premier Département de la Première Direction Générale du KGB, ayant choisi de faire défection à l'Ouest.
C'est une affaire à la fois simple, et terriblement complexe. Celles et ceux qui s'y intéressent de près, reporters, enquêteurs, magistrats, historiens, se rejoignent toujours au bout du même chemin. Une même conviction, heurtée au manque d'éléments concrets et à la raison d'État, qui déroge aux lois, aux mandats d'arrêt, et obstrue la quête de vérité. Le vendredi 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, visage de l'opposition au pouvoir marocain, disparaît à l'arrière d'une voiture. La suite, déroulée en hors-champ, n'est faite que de supputations, de témoignages invérifiables : pas de violence avérée, de sang, d'ADN, de corps à autopsier...Prêt à tous les risques pour neutraliser Mehdi Ben Barka, le général Oufkir, ministre de l'Intérieur marocain, et Ahmed Dlimi auraient missionné leur espion Larbi Chtouki pour prendre contact avec différents complices français à l'été 1965 : Georges Figon d'abord, chargé de se faire passer pour un producteur, et d'approcher la cible en prétextant vouloir participer au projet de documentaire Basta. Antoine Lopez ensuite, l'honorable correspondant du SDECE, qui aurait joué de ses relations pour monter une équipe sur le terrain : les deux policiers de la brigade mondaine, les quatre truands de la bande de Jo Attia. Lorsque Ben Barka annonce sa venue à Paris le 29 octobre pour faire connaissance avec Figon, l'opportunité est saisie, et le piège se referme.
C'est une affaire à la fois simple, et terriblement complexe. Celles et ceux qui s'y intéressent de près, reporters, enquêteurs, magistrats, historiens, se rejoignent toujours au bout du même chemin. Une même conviction, heurtée au manque d'éléments concrets et à la raison d'État, qui déroge aux lois, aux mandats d'arrêt, et obstrue la quête de vérité. Le vendredi 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, visage de l'opposition au pouvoir marocain, disparaît à l'arrière d'une voiture. La suite, déroulée en hors-champ, n'est faite que de supputations, de témoignages invérifiables : pas de violence avérée, de sang, d'ADN, de corps à autopsier...Le vendredi 29 octobre 1965, vers 9h du matin, un avion en provenance de Genève atterrit sur le tarmac de l'aéroport d'Orly. A son bord, Mehdi Ben Barka, 45 ans, s'apprête à récupérer son bagage et à rallier Paris. A 12h30, un rendez-vous lui a été fixé à la brasserie Lipp, sur le boulevard Saint-Germain, par un vieil ami : Philippe Bernier, ancien résistant reconverti en journaliste, engagé à gauche et couvrant l'actualité politique en Afrique du Nord.
C'est une affaire à la fois simple, et terriblement complexe. Celles et ceux qui s'y intéressent de près, reporters, enquêteurs, magistrats, historiens, se rejoignent toujours au bout du même chemin. Une même conviction, heurtée au manque d'éléments concrets et à la raison d'État, qui déroge aux lois, aux mandats d'arrêt, et obstrue la quête de vérité. Le vendredi 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, visage de l'opposition au pouvoir marocain, disparaît à l'arrière d'une voiture. La suite, déroulée en hors-champ, n'est faite que de supputations, de témoignages invérifiables : pas de violence avérée, de sang, d'ADN, de corps à autopsier...Un crime parfait ou presque, le fruit d'un complot tentaculaire auquel se mêle, de manière consentie ou non, une galerie de personnages singulière : des agents secrets, un cinéaste de la Nouvelle Vague, des policiers français, un journaliste de gauche, des truands de Pigalle, un producteur repenti, l'écrivaine Marguerite Duras, et un roi en colère. Il fallait au moins un stratagème aussi échevelé pour fixer, intercepter, duper Mehdi Ben Barka.
durée : 00:34:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1972, l'historien Pierre Vidal-Naquet publie aux Éditions de Minuit, un essai sur la pratique de la torture durant la guerre d'Algérie. Il en explique la genèse et le contenu au micro d'Anouk Adelmann sur France Culture. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Pierre Vidal-Naquet Historien français
durée : 00:46:32 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En juin 1991, "Du jour au lendemain" accueillait Jacques Derrida pour la parution de deux livres : "L'autre cap", aux Éditions de Minuit et le "Jacques Derrida" écrit par Geoffrey Bennington, mais aussi par Derrida lui-même. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jacques Derrida
Dans les profondeurs sombres du bois de Boulogne, entre les arbres aux troncs difformes, Vanesa Campos s'effondre. Sa poitrine est transpercée. Une mare de sang s'étale au sol. Autour d'elle, la forêt bruisse encore des pas précipités de ses agresseurs. Il est 23 h 15, le 16 août 2018. Quelques heures plus tôt, la ville célébrait les Gay Games et l'inclusion. Quelques mètres plus loin, les rires étouffés des clients pressés de fuir résonnent à peine. Et Vanesa, elle, agonise seule. Sous le ciel de Paris, capitale des droits de l'homme, une femme transgenre et sans papiers meurt dans l'indifférence.
Dans les profondeurs sombres du bois de Boulogne, entre les arbres aux troncs difformes, Vanesa Campos s'effondre. Sa poitrine est transpercée. Une mare de sang s'étale au sol. Autour d'elle, la forêt bruisse encore des pas précipités de ses agresseurs. Il est 23 h 15, le 16 août 2018. Quelques heures plus tôt, la ville célébrait les Gay Games et l'inclusion. Quelques mètres plus loin, les rires étouffés des clients pressés de fuir résonnent à peine. Et Vanesa, elle, agonise seule. Sous le ciel de Paris, capitale des droits de l'homme, une femme transgenre et sans papiers meurt dans l'indifférence.Il est 9 heures, ce 29 novembre 2022, lorsque s'ouvre le procès devant la cour d'assises de Paris. L'attente a été longue. Trop longue. Pour les proches de Vanesa, pour ses camarades du bois, pour les associations mobilisées depuis le premier jour. Quatre ans à réclamer justice. Quatre ans à dénoncer le silence, à rappeler que Vanesa ne doit pas devenir un simple nom dans une affaire de vol.
Dans les profondeurs sombres du bois de Boulogne, entre les arbres aux troncs difformes, Vanesa Campos s'effondre. Sa poitrine est transpercée. Une mare de sang s'étale au sol. Autour d'elle, la forêt bruisse encore des pas précipités de ses agresseurs. Il est 23 h 15, le 16 août 2018. Quelques heures plus tôt, la ville célébrait les Gay Games et l'inclusion. Quelques mètres plus loin, les rires étouffés des clients pressés de fuir résonnent à peine. Et Vanesa, elle, agonise seule. Sous le ciel de Paris, capitale des droits de l'homme, une femme transgenre et sans papiers meurt dans l'indifférence.Parmi ce groupe d'hommes, un attire particulièrement l'attention. 21 ans, en situation irrégulière, venu d'Égypte quelques mois plus tôt, il loge dans des squats, traîne avec des groupes instables, fréquente les abords du bois. Les filles le surnomment « El Nano », le nain. Il rôde, observe, surgit parfois pour s'emparer d'un téléphone, d'un sac ou de l'argent. Il passe vite, les yeux fuyants, les mains dans les poches. Parfois seul, souvent accompagné. Il les regarde comme des intruses, des parasites.
Dans les profondeurs sombres du bois de Boulogne, entre les arbres aux troncs difformes, Vanesa Campos s'effondre. Sa poitrine est transpercée. Une mare de sang s'étale au sol. Autour d'elle, la forêt bruisse encore des pas précipités de ses agresseurs. Il est 23 h 15, le 16 août 2018. Quelques heures plus tôt, la ville célébrait les Gay Games et l'inclusion. Quelques mètres plus loin, les rires étouffés des clients pressés de fuir résonnent à peine. Et Vanesa, elle, agonise seule. Sous le ciel de Paris, capitale des droits de l'homme, une femme transgenre et sans papiers meurt dans l'indifférence.Vanesa Campos naît en 1982, dans le nord du Pérou, à Cayaltí, un petit village agricole accroché aux reliefs de la région de Lambayeque. Là-bas, le soleil frappe fort les terres poussiéreuses, les toits sont en tôle ondulée, les routes trouées de nids-de-poule. Les journées s'écoulent lentement, rythmées par les cloches de l'église et les clameurs du marché. Dans cette atmosphère figée entre traditions catholiques, pauvreté endémique et machisme omniprésent, une enfant grandit, entourée de ses frères et sœurs, avec un secret qu'elle ne peut encore nommer.
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