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Dans un monde où plus personne ne s'écoute, elle bâtit des ponts.Étudiante en médecine, journaliste au Proche-Orient, et finalement rabbin, Delphine Horvilleur multiplie les vies.Dans sa famille, c'est devenu une blague : "Alors, qu'est-ce que tu vas devenir ensuite ?"Mais derrière ce parcours atypique, Delphine travaille depuis plus de vingt ans à réintroduire le dialogue là où il n'y a plus que du bruit.Elle parle d'un judaïsme ouvert, "libéral", de la nécessité d'écouter l'autre, et de cette liberté intérieure qu'on ne trouve qu'en acceptant de ne pas tout comprendre.Dans cet épisode passionnant, rassurant, nous avons parlé sans détour de :Être l'une des seules femmes rabbins en FrancePourquoi nous n'arrivons plus à nous parler, même dans nos propres famillesComment accompagner la mort au quotidienL'antisémitisme aujourd'huiDelphine ne cherche pas à convaincre, mais à comprendre.Un épisode essentiel pour quiconque cherche à comprendre notre époque et retrouver le goût du discernement sans s'enfermer dans une lecture binaire du monde.TIMELINE:00:00:00 : Laisser la place au doute00:09:48 : Quand la nuance devient un risque00:20:13 : La vérité est-elle encore possible ?00:32:43 : Le pouvoir caché des mots00:43:12 : Dire merde à la mort00:50:53 : Faire son deuil, une expression qui ne veut rien dire01:01:18 : La religion avait-elle prédit l'intelligence artificielle ?01:15:20 : Ce que l'IA ne saura jamais faire : oublier01:23:00 : Les mots ont toujours un double fond01:31:33 : Nous aurons tous plusieurs vies01:40:56 : Juifs & Israéliens : pourquoi l'amalgame est-il si fréquent ?01:49:51 : La haine la plus vieille du monde02:08:54 : Quels leaders la jeunesse écoute-elle ?02:18:08 : Comprendre ce qui se trouve entre les lignes02:27:12 : La forme la plus rare d'intelligence02:36:20 : Le courage commence par le discernementLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #497 - Grégoire Gambatto - Ctrl+G - Dissoudre ses peurs, faire les choix difficiles et vivre son plein potentiel#476 - Yannick Alléno - Chef, Groupe Alléno - Du bistrot à l'empire gastronomique aux 17 étoiles#450 - Karim Beguir - InstaDeep - L'IA Générale ? C'est pour 2025#261 - Caroline Vigneaux - Humoriste et réalisatrice - Changer de vie : passer de la plaidoirie au stand-up#181 - Olivier Goy - La vie, la maladie, le dépassement : memento moriNous avons parlé de :Sermon prononcé par Delphine Horvilleur le soir de Yom KippourLe TalmudL'assassinat d'Yitzhak Rabin en 1995Les accords d'OsloL'émouvant hommage de Luis Enrique à sa défunte filleAttentat devant une synagogue à ManchesterLes recommandations de lecture :Le TalmudVivre avec nos morts : Petit traité de consolation - Delphine HorvilleurBelle du Seigneur - Albert CohenÔ vous, frères humains - Albert CohenComment ça va pas ? - Delphine HorvilleurLa vie devant soi - Émile Ajar / Romain GaryUn grand MERCI à nos sponsors : SquareSpace : squarespace.com/doitQonto: https://qonto.com/r/2i7tk9 Brevo: brevo.com/doit eToro: https://bit.ly/3GTSh0k Payfit: payfit.com Club Med : clubmed.frCuure : https://cuure.com/product-onelyVous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis plusieurs années, l'ONG internationale, Movember, se bat pour la santé masculine, aussi bien physique que mentale. Et pour sensibiliser le grand public, elle invite les hommes du monde entier à se laisser pousser la moustache...en novembre. Movember, rappelons-le, c'est justement la contraction de "Mo", "moustache" en argot australien et de "november" en anglais. Les femmes ont l'habitude d'aller régulièrement chez leur gynécologue, qui peut agir comme un médecin de premier recours. Dans l'ensemble, les hommes sont moins préoccupés par la prévention. Ils ne le deviennent qu'après avoir rencontré un problème de santé. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce podcast, retrouvez les meilleurs moments qui ont marqué la semaine des Grosses Têtes, du 27 au 31 octobre 2025. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTLHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans Histoire d'une vie, Marc Menant recevait le célèbre journaliste Frédéric Pottecher (1905-2001). Ancien prisonnier de guerre, il a été le chroniqueur judiciaire d'Europe 1 durant une quinzaine d'années, couvrant les plus grandes affaires de son époque.Dans cet entretien en deux parties, il raconte la vie de François-Eugène Vidocq (1775-1857), considéré pendant un temps comme "l'assassin n°1 français". Originaire d'Arras, ce personnage double était à la fois capable des actes les plus généreux et les plus nobles, comme des plus grandes atrocités. Bagnard repenti, François-Eugène Vidocq offre ses services à la police en 1809, faisant valoir son passé de voleur. Après avoir été un parfait bandit, il devient ainsi un parfait fonctionnaire. En 1836, il ouvre le premier bureau d'informations pour le commerce et de renseignements secrets. Cet ancien chef de la police française est aujourd'hui considéré comme le père de la criminologie moderne et de la police de renseignements. Histoire d'une vie est un podcast issu des archives d'Europe 1.- Présentation : Marc Menant - Production : Clara Leger et Armelle Thiberge- Réalisation : Julien Tharaud - Diffusion : Clara MénardHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:34 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Moins d'une semaine après la chute d'El-Fasher, assiégée dix-huit mois, l'ONU dénonce la poursuite des atrocités au Darfour : viols, mutilations et meurtres en toute impunité. Comment décrire l'enfer au Soudan ? Récit d'une journaliste de la BBC, de retour de Khartoum. - invités : Nawal Al-Maghafi Correspondante internationale Senior à BBC World Service
durée : 01:58:59 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Au programme dans Les Matins du Samedi : la lutte des classes s'invite dans le monde des jeux vidéo ; du stage à la retraite, les femmes face aux inégalités dans le monde du travail ; et en dernière partie d'émission, la journaliste Nora Hamadi pour son premier livre "La Maison des Rêves". - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Jamie Woodcock Chercheur en théorie sociale et politique, enseignant en nouvelle économie numérique à King's College à Londres; Lucile Quillet Journaliste, coach de vie professionnelle; Laëtitia Vitaud Autrice et conférencière sur le travail, elle a écrit "En finir avec la productivité" chez Payot; Nora Hamadi Journaliste française
Aujourd'hui je vous propose un épisode un peu différent de d'habitude. Nous n'allons pas répondre à une question mais nous intéresser à un phénomène vieux comme l'humanité : les signaux ! Car oui, à bien y réfléchir les Hommes répondent depuis toujours à des alertes ! Autrefois elles étaient collectives et sacrées. Aujourd'hui plus individuelles et personnalisées. Et justement, c'est ce qui est intéressant. L'évolution de ces signaux racontent notre propre évolution, celle de nos sociétés ; et ce, de la communauté médiévale aux notifications digitales.Commençons par les origines : la cloche, la voix du village.Au Moyen Âge, elle est avant tout un instrument religieux, bien entendu. Mais pas que. C'est aussi et surtout un outil de cohésion sociale.En France, on estime qu'au XVe siècle, plus de 40 000 clochers rythmaient la vie des campagnes. Leur son résonnait à des kilomètres à la ronde, marquant les heures de prière, mais aussi les fêtes, les incendies ou les dangers imminents.Et ces sons n'étaient pas choisis au hasard : chaque tonalité transmettait un message précis.La cloche appartenait souvent à l'Église, mais aussi aux seigneurs locaux : c'était donc un symbole d'autorité. Dans un monde sans horloge, sans journaux et sans électricité, elle représentait le premier système de communication de masse.Le signal sonore unissait le village ; il façonnait un temps commun et imposait un rythme collectif.Ensuite, avec la Révolution industrielle, tout va changer. Le signal devient mécanique et change de nature.Le XIXe siècle fait naître la sirène d'usine, le sifflet du contremaître, le télégraphe et le code Morse. Inventé en 1837, ce dernier permet de transmettre des messages à distance sous forme de points et de traits : le signal devient donc langage.Les usines, elles, adoptent des systèmes sonores pour encadrer le travail : entrée, pause, fin de journée. C'est l'ère de la discipline mécanique.On le voit, le signal ne symbolise plus le sacré, mais la productivité et la sécurité.Et puis, apparaissent les premières sirènes municipales à la fin du XIXe siècle, pour alerter en cas d'incendie ou d'accident. Et pendant la Seconde Guerre mondiale, le pays met en place un réseau national d'alerte : aujourd'hui encore, plus de 4 500 sirènes sont testées chaque premier mercredi du mois.Le signal s'est alors industrialisé, standardisé, codifié. Il n'unit plus une communauté spirituelle : il coordonne une société moderne.Puis, une nouvelle fois tout va changer. A la fin du XXe siècle, le signal devient numérique et personnel. Le téléphone, d'abord fixe, puis mobile, introduit une alerte privée : la sonnerie ne s'adresse plus à tous, mais à une seule personne.Avec le SMS, puis les notifications, l'information se dématérialise et se multiplie. Aujourd'hui, plus de 85 % des Français possèdent un smartphone : chacun reçoit donc ses propres alertes en temps réel.Mais contrairement aux signaux mécaniques, ces notifications ne cherchent plus à contraindre, mais à accompagner.Elles servent à prévenir un rendez-vous, signaler un colis, alerter d'un retard ou d'un changement. Elles sont devenues des outils pratiques, conçus pour simplifier la vie quotidienne.Le signal numérique n'interrompt plus : il informe intelligemment.Ainsi, du clocher médiéval à l'écran tactile, le signal a suivi l'évolution des sociétés : de la prière au travail, et du travail à la mobilité.Aujourd'hui, grâce à la technologie, il se met au service de chacun, non pour interrompre, mais pour accompagner. Et s'il a changé de forme, sa fonction reste la même depuis mille ans : nous relier à ce qui compte... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
[REDIFFUSION] Bienvenue dans Les Fabuleux Destins, le podcast pour découvrir des histoires vraies et étonnantes. Cette semaine, frissonnez avec notre saison spéciale horreur. Quatre récits terrifiants, inspirés d'histoires vraies, où la frontière entre le réel et le cauchemar s'efface. Le pont d'Overtoun, le lieu hanté qui poussait au suicide Dans cet épisode, découvrez d'un endroit pittoresque situé à Milton, en Écosse. Au-delà de sa beauté dans la luxuriante campagne écossaise, ce lieu recèle un mystère totalement inexpliqué. Depuis les années 50, des dizaines de chiens ont sauté de ce pont, toujours au même endroit et sans raison apparente, comme magnétiquement appelés par le vide. Son nom : le pont d'Overtoun, surnommé aussi le pont des chiens suicidaires. Des croyances paranormales aux enquêtes scientifiques, découvrez cette effroyable histoire. Ecriture : Hélène Vézier Réalisation : Célia Brondeau, Antoine Berry Roger Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Nous partons tout d'abord pour l'Espagne, dans la région de Valence meurtrie par inondations et glissements de terrain, il y a un an, le 29 octobre 2024, un phénomène météo dopé par le changement climatique, entrainait dans la mort 237 personnes. 229 de ces victimes se trouvaient dans la région de Valence, dans le sud de l'Espagne. Les masses d'eau tombées sur les reliefs ont noyé les plaines d'eau débordant des rivières et de torrents de boue. Pauline Gleize nous avait rendus compte, il y a un an de ce drame, elle est retournée sur place pour un état des lieux. En seconde partie d'émission, Christophe Diremszian qui rentre de Dakar, où il a pu constater l'avancée des projets en vue des Jeux olympiques de la jeunesse qui se dérouleront dans la capitale sénégalaise. Un an après les inondations, comment Valence panse ses plaies ? Il y a tout juste un an, le 29 octobre 2024, le sud de l'Espagne subissait des crues d'une grande violence. À certains endroits, des pluies diluviennes font grossir les torrents et provoquent des inondations y compris là où il ne pleut pas. Résultat : 237 morts, dont 229 dans la seule région de Valence. Le corps de l'un des trois derniers disparus n'a été retrouvé qu'à une semaine du premier anniversaire. Ces inondations ont également provoqué d'immenses dégâts matériels. Un Grand reportage de Pauline Gleize qui s'entretient avec Jacques Allix. Dakar 2026, prendre la jeunesse aux Jeux Le rassemblement sportif le plus universel au monde arrive bientôt en Afrique dans sa version destinée aux talents en herbe... Dans un an, les Jeux Olympiques de la Jeunesse s'ouvriront à Dakar. La capitale sénégalaise a été choisie par le CIO, il y a 7 ans, pour être la première du continent à accueillir un rendez-vous labellisé «olympique». Au-delà des compétitions, ces JOJ sont aussi un projet urbain et sociétal pour le Sénégal... à la clé : de nouveaux équipements et des perspectives d'emploi pour les jeunes. Pour les organisateurs, des défis nombreux. Il s'agit notamment de devenir, au bout de l'aventure, une référence pour d'autres pays africains tentés par l'organisation de tels événements. Un Grand reportage de Christophe Diremszian s'entretient avec Jacques Allix.
Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à Michel Dreyfus ou encore Eric Charbonnier.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:58 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Annwen, 8 ans, se demande pourquoi les films de Walt Disney comportent toujours des scènes qui nous font pleurer. La professeure de littérature orale, Bernadette Bricout, voit une explication dans la vie personnelle du cinéaste. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Comment la téléconsultation révolutionne-t-elle la pratique de la psychologie auprès des familles aujourd'hui ?Entre accessibilité, cadre professionnel et transformation des relations thérapeutiques, découvrez les coulisses d'une pratique en plein essor. Dans cet épisode bonus du podcast Papatriarcat, Cédric Rostein reçoit Marine Darnat, psychologue clinicienne spécialisée dans l'accompagnement des enfants, adolescents et parents. Forte de son expérience en cabinet et en visio, elle partage sa vision innovante et concrète de la téléconsultation.Au programme de cette discussion sans filtre et bienveillante :Les enjeux et bénéfices de la téléconsultation, accélérés par la période du CovidComment créer un cadre thérapeutique sécurisant et efficace à distanceL'impact du contexte familial lors des séances en visio : ancrage, intimité et transformationLes limites techniques et éthiques de la pratique en ligne (notes, enregistrements, confidentialité, paiements)Les conditions pour favoriser l'autonomie du patient, éviter la dépendance et garantir la qualité de la relation
Sophie, encore jeune Belge, pensait partir pour une simple aventure à l'étranger. Après un passage en Afrique, elle retourne en Belgique, teste la vie métro-boulot-dodo… avant de sentir à nouveau l'appel du départ. Cette fois, c'est l'Indonésie qui l'accueille, pour un stage comme prof de langue à Java.Mais ce qui devait être une expérience de quelques mois va bouleverser sa vie : en cherchant à s'intégrer et à rencontrer des locaux, Sophie rencontre un Indonésien qui va venir changer le cour des choses...Dans cet épisode, elle nous raconte avec authenticité les débuts de leur histoire d'amour, les différences culturelles qui ont mis leur couple à l'épreuve, leur mariage, une lune de miel inoubliable et l'arrivée surprise de leur bébé.Aujourd'hui installée depuis plusieurs années à Bali, Sophie ne se voit plus jamais revenir en Belgique.Un épisode plein d'amour, de sincérité et d'inspiration, qui rappelle que parfois, le plus beau des voyages, c'est la rencontre avec l'autre.
Tu rêves de faire ton premier million mais tu te sens bloqué mentalement ? Tu as l'impression que c'est réservé aux autres et que tu n'y arriveras jamais ?Dans cet épisode, je reçois Aline Bartoli (aka TheBBoost), coach business et créatrice du podcast "J'peux pas, j'ai business" et qui a atteint plusieurs fois le million d'euros de chiffre d'affaires.Au programme :
Ce week-end, découvrez Les Fabuleux Destins, le podcast de Bababam qui vous embarque dans des récits de vie incroyables, des affaires rocambolesques, des mystères et des légendes... Découvrez la sordide affaire des scandales sexuels du clergé de Boston. Au début de l'année 2002, le Boston Globe révèle une série de poursuites pénales à l'encontre de cinq prêtres catholiques, mettant en lumière la question des abus sexuels sur mineurs commis au sein de l'Église catholique. Dans cette saison, plongez au cœur de cette affaire journalistique et suivez l'enquête des journalistes qui ont révélé cette affaire aux yeux de tous. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prévaux Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Épisode 2 : Refaire l'histoire. Une conférence historique pour sortir de l'impasse coloniale soutenue par le griot de la jeunesse africaine Tiken Jah Fakoly, où intellectuels et artistes se sont retrouvés pour revisiter la Conférence berlinoise de 1885… quand ils ont partagé le monde. Mais comment refaire l'histoire ? Berlin 1885. Le chancelier allemand Otto von Bismarck convoque une conférence à Berlin afin d'organiser le partage du continent africain entre les puissances industrielles et militaires émergentes. Cette réunion, à laquelle participèrent quatorze pays européens, les États-Unis et l'Empire ottoman, visait principalement à préserver leurs intérêts extractivistes et commerciaux. Ce processus a conduit à une profonde fragmentation des structures politiques endogènes du continent africain, marquant durablement son histoire politique, économique et sociale. Pour les Africains, ce processus inaugura une ère de résistance et de lutte pour l'autodétermination. Berlin 2001. Mansour Ciss Kanakassy, plasticien berlinois d'origine africaine, imagine le Laboratoire de Deberlinization. L'artiste développe des outils symboliques afin de tracer un chemin vers l'émancipation. Ce kit d'urgence comprend un Global Pass pour faciliter la liberté de circulation le monde, ainsi que l'AFRO, une monnaie imaginaire panafricaniste, libérée des contraintes du CFA (indexation sur les garanties de change et de la tutelle des banques centrales exogènes). À la croisée de la création artistique et de la critique sociale, le laboratoire de Deberlinization invite à la réflexion sur la possibilité (individuelle ou collective) d'une refonte du lien civil au sein et en dehors de l'État postcolonial. Berlin 2025. À l'initiative du Professeur Bonaventure Soh Bejeng Ndikung, directeur de HKW, la Conférence Deberlinization s'inscrit dans la continuité de l'utopie performative imaginée par Mansour Ciss Kanakassy pour considérer les conditions possibles d'un récit alternatif sur l'ordre du monde et son avenir, une poétique transformatrice de la relation entre l'action créatrice et les formes de résistance, l'histoire, la mémoire, la prospective – bref, un champ d'expérience et un horizon d'attente. Dans ce second épisode, vous écoutez les voix de Bonaventure Soh Bejeng Ndikung (directeur et directeur artistique de Haus der Kulturen der Welt), Tiken Jah Fakoly, (chanteur et activiste) soutien de la manifestation, Célestin Monga, (professeur d'économie à Harvard), Simon Njami, (écrivain et commissaire d'exposition) et Yousra Abourabi, (professeure de sciences politiques à l'Université de Rabat). Pour écouter l'épisode 1 c'est ici. Un grand merci à toute l'équipe de HKW à Berlin et particulièrement à son directeur Bonaventure Soh Bejeng Ndikun pour nous avoir accordé ce grand entretien : Valérie Nivelon : En introduction de cet évènement DEBERLINIZATION, vous avez demandé une minute de silence à la mémoire de Lawrence, un jeune Noir tué par des policiers au printemps 2025. Quel lien établissez-vous entre la mort de ce jeune homme et la conférence de Berlin de 1885 ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : La mort de Lawrence est en fait un assassinat. Il a été tué par un policier et ce n'était pas par hasard, en fait, on lui a tiré dessus par derrière. Et la police a essayé de mentir en accusant Lawrence d'avoir attaqué un policier, ce qui s'est avéré faux. Il s'agit en fait de la longue histoire du racisme et de la déshumanisation, dont la Conférence de Berlin est un moment essentiel. Cette rencontre qui a eu lieu ici à Berlin en 1884-85 pour partager le continent africain sans les Africains, sans tenir aucunement compte de leur intérêt, sans aucun respect pour les cultures africaines et encore moins les êtres humains réduits au même niveau de statut que les machines pour travailler dans les plantations afin de créer des ressources pour l'Europe. C'est un acte de déshumanisation qui a été institutionnalisé dans cette conférence et qui a perduré dans les institutions, pas seulement en Europe, mais aussi en Afrique et un peu partout dans le monde. Donc la mort de Lawrence a un lien direct avec cette conférence. Valérie Nivelon : Votre intérêt pour l'impact de la conférence de Berlin sur la déshumanisation des Africains ici en Allemagne, en Europe, mais aussi sur la brutalisation des sociétés africaines remonte-t-il à la création de Savvy Contemporary dont vous fêtez les 15 ans de création ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : Oui, c'est une très bonne question d'autant que Savvy a été fondé en 2009 pour une raison très simple, celle de notre invisibilité dans les institutions culturelles allemandes alors que la relation entre le continent africain et l'Europe est très forte. C'était très, très rare de voir les artistes, les penseurs des autres continents ici représentés à Berlin. Donc on a voulu tout simplement créer un espace où on peut présenter les philosophies plurielles du monde, les pensées du monde, les littératures, les poésies du monde. Et donc on a créé un espace qui n'est pas limité à une géographie, mais ouvert à tout le monde depuis Berlin, dont on ne peut pas négliger l'histoire. Des histoires multiples qui coexistent depuis bien avant la colonisation puisque le Royaume de Prusse a déjà des implantations coloniales au XVIIè siècle. Et donc en 2014, pour les 130 ans de la conférence de Berlin, on a invité le curateur camerounais Simon Njami pour imaginer une exposition sur cette histoire et il a fait une proposition qui était géniale «Nous sommes tous les Berlinois». C'était une belle provocation, mais c'était surtout dire : «Si le président américain J.F Kennedy pouvait dire «Je suis un Berlinois» en étant à Berlin pendant quelques heures en 1963 en pleine guerre froide, alors nous autres qui venions d'une Afrique violemment transformée par le Conférence de Berlin, sommes également des Berlinois !» Et on a fait cette exposition et une grande conférence où il y avait des sujets sur les projets, sur la restitution, sur les droits humains etc. Et il était clair que, en 2024-25, il fallait continuer à refaire l'Histoire ! Et ce n'est pas que l'histoire des Africains, c'est l'histoire du monde. Valérie Nivelon : Lorsque vous créez l'espace, Savvy pour inscrire une géographie africaine ici à Berlin. Est-ce que vous vous sentez en communion avec Présence africaine, telle que Alioune Diop l'a conçu, c'est-à-dire pour inscrire un espace géographique africain à Paris à la sortie de la Deuxième Guerre mondiale ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung Tout à fait. Ça procède du même état d'esprit. Alioune Diop a fondé la revue Présence africaine en 1947 à Paris, mais très vite des publications ont vu le jour sur le continent. Je pense à la revue Abbia, qui a été fondée au Cameroun en 1962, l'une des toutes premières revues de la culture postcoloniale fondée par le professeur Bernard Fonlon, Marcien Towa et Eldridge Mohammadou. Je pense également à Souffles, lancé en 1966 au Maroc, par des jeunes poètes et artistes peintres, mais aussi la Revue Noire, qui est plus récente mais qui était tellement importante pour pouvoir imaginer un lieu de fédération de nos savoirs. C'est dans cette généalogie intellectuelle que nous avons démarré Savvy, pas seulement avec un lieu, des expositions, mais aussi avec une publication Savvy journal. Donc ça, c'est un peu la généalogie intellectuelle de Savvy, sachant que nos références sont beaucoup plus nombreuses. Valérie Nivelon : Ce que je trouve très intéressant, c'est l'affirmation d'une présence africaine par les Africains eux-mêmes. Et vous avez d'ailleurs tenu à rendre hommage à l'un des tout premiers Africains universitaires diplômés ici à Berlin. Est-ce que vous pouvez nous dire pourquoi vous tenez à ce que l'on se souvienne de lui ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : Et bien, nous sommes dans mon bureau ici à Berlin, à la Maison des Cultures du Monde et en face de nous, une peinture d'un jeune Camerounais qui s'appelle Adjani Okpu-Egbe. Et sur cette peinture, on peut lire le nom Anton Wilhelm Amo, personnage tellement important dans notre histoire. Il a été kidnappé au début du XVIIIè siècle, dans son village situé dans l'actuel Ghana, et offert comme cadeau au duc de Brunswick-Lunebourg. Et il a été prénommé Anton comme le duc. Pouvez-vous imaginer qu'un être humain puisse être offert comme un cadeau ? Il a néanmoins reçu une éducation sérieuse et il a étudié au Collège de philosophie à l'Université de Halle. Anton Wilhem Amo est donc un ancien esclave devenu le premier Africain à avoir obtenu un doctorat dans une Université européenne ! Je considère qu'il fait partie de l'histoire de l'Allemagne et de l'Histoire de la philosophie en Allemagne alors qu'il a été effacé de l'histoire de la philosophie de l'Europe pour les raisons que nous connaissons tous. Mais c'est notre devoir de rendre visible son travail. Donc, en 2020, j'ai fait une exposition qui s'appelait The Faculty of Sensing, pour rendre hommage à l'une de ses thèses, et pour moi, c'était important. Pas seulement de faire connaitre sa biographie, mais aussi sa pensée. Et on a invité une vingtaine d'artistes de partout, du monde, et 90% n'avaient jamais entendu parler d'Anton Wilhem Amo.. ce n'est plus le cas ! Valérie Nivelon : Savvy Contemporary a été une expérience intellectuelle et artistique prémonitoire et quinze ans après sa création, vous dirigez La maison des cultures du monde et vous êtes également le premier Africain à diriger une institution culturelle européenne de cette envergure. 140 ans après le Conférence de Berlin, vous avez choisi de créer l'événement DEBERLINIZATION. Pourquoi avez-vous sollicité la présence de Mansour Ciss Kanakassy, à l'origine de ce concept ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : Je connais le travail de Mansour Ciss Kanakassy depuis longtemps et Mansour, qui est Sénégalais, a proposé un laboratoire de DEBERLINIZATION et sur l'affiche qu'il a créée pour l'annoncer, on peut voir la porte de Brandenburg à Berlin et la carte de l'Afrique. Et dans les différentes manifestations dans lesquelles il se produit, il propose ses billets AFRO, monnaie commune africaine qu'il a inventée en réponse au CFA. Son projet artistique est à la fois très provocateur et très concret, d'avant-garde. Comme James Baldwin le disait. «Quel est le rôle de l'artiste, c'est de poser des questions à des réponses qui sont déjà là». Et la question la plus importante du XXè siècle et XXIè siècle, c'est une question d'économie en fait et des moyens d'échange. Donc la monnaie. Mais comme vous le savez, la plupart des pays en Afrique francophone utilisent cette monnaie coloniale qui s'appelle le CFA. Pourtant, depuis l'indépendance, les grands politiciens panafricanistes comme Nkrumah, comme Olympio, comme Sankara ont toujours dit que l'Afrique ne peut sortir de la domination coloniale sans créer sa propre monnaie. Et ces nationalistes ont été soit renversés, soit assassinés. Donc on en est là. Les politiciens parlent, mais les artistes font. Mais la monnaie est aussi un vecteur de savoir, une archive. Donc si vous regardez les billets AFRO de Mansour, vous voyez l'image de Cheikh Anta Diop. Vous voyez l'image de Kwame Nkrumah. Vous voyez l'image de Sankara, de Bathily, d'Aminata Traoré, de celles et ceux qui ont œuvré pour le monde africain. Valérie Nivelon : Est-ce que vous pouvez nous parler de votre conception de la culture ici à la Maison des cultures du monde, vous incarnez une présence africaine ici à Berlin, vous avez une responsabilité en tant que directeur d'une institution culturelle, que revendiquez-vous dans votre façon de penser cette DEBERLINIZATION ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : La DEBERLINIZATION ne peut avoir un sens uniquement si c'est une expression pluridisciplinaire. Bien sûr, on a invité un économiste comme Célestin Monga, mais également des personnalités du monde de la culture.. Ça a toujours été important dans ma pratique de faire savoir que l'Université n'a pas le monopole de la fabrique des savoirs. Des artistes comme Tiken Jah Fakoly ou Didier Awadi sont des grands intellectuels aussi. Et ils arrivent à dire des choses que beaucoup d'autres personnes ne peuvent pas dire. J'ajoute qu'il a toujours été important pour moi de travailler dans l'univers de la poésie car les poètes nous donnent des clés de lecture pour pénétrer l'opacité du monde. Mais on invite aussi les scientifiques, les philosophes… je cherche à orchestrer un discours choral, polyphonique et pluridisciplinaire !!! C'est ma conception de la culture. Ce que nous avons souhaité avec Franck Hermann Ekra et Ibou Coulibaly Diallo (co-commissaires de DEBERLINIZATION ), c'est penser les archives du futur, je veux dire créer de nouvelles archives. Le projet DEBERLINIZATION a l'ambition d'impulser le remembrement de l'Afrique qui a été démembrée à Berlin en 1885, découpée, déchiquetée. Le Professeur Mamadou Diouf a parlé de la berlinization comme d'un déracinement profond. Donc ce qu'on a essayé de faire, c'est d'amener cette complexité ici à HKW, un lieu où on peut réfléchir. En ce qui me concerne, je veux passer le reste de ma vie à réfléchir à ce que veut dire être humain. Bon anniversaire à Savvy contemporary. Découvrir La maison des cultures du monde et le programme Deberlinization. À paraître : - Deberlinization – Refabulating the World, A Theory of Praxis - Deberlinization - Les presses du réel (livre). À lire : Le pari acoustique de Tiken Jah Fakoly. À écouter : Le concert acoustique de Tiken Jah Fakoly enregistré par RFI Labo salle Pleyel à Paris.
Depuis plus de deux ans et demi, la guerre civile fait rage au Soudan, devenu un « trou noir de l'information ». Alors que s'y rendre est très compliqué, comment informer sur ce qui se passe dans ce pays ? Le journaliste Eliott Brachet, ancien correspondant de RFI à Khartoum, est l'invité de L'atelier des médias pour en discuter. La guerre civile qui ravage le Soudan depuis le 15 avril 2023 oppose les forces armées soudanaises du général Burhan aux paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) du général Hemetti. L'ONU décrit la situation comme la « pire crise humanitaire au monde » : 150 000 morts, 13 millions de déplacés et 25 millions de personnes en proie à la famine. Dans ce contexte, le journaliste indépendant Eliott Brachet, ancien correspondant à Khartoum (2020-2023) désormais installé au Caire, décrypte les défis qu'il rencontre pour continuer d'informer sur le Soudan. Eliott Brachet rappelle que son arrivée en octobre 2020 visait à raconter « la fenêtre de liberté qui venait de s'entrouvrir avec la chute d'Omar el-Béchir ». La révolution soudanaise de décembre 2018 avait engendré une effervescence culturelle et une grande liberté de ton, favorisant la naissance d'un journalisme indépendant. Mais la nouvelle génération de journalistes a vu son travail prendre « un grand coup dans l'aile » depuis l'éclatement du conflit et a souvent été contrainte à l'exil. L'une des difficultés majeures pour la couverture médiatique est de faire franchir au Soudan le « plafond de verre dans les médias et dans l'espace public ». L'exposition Soudan, la guerre sur les cendre de la révolution, qu'Eliott Brachet a supervisée à Bayeux, en Normandie, visait d'ailleurs à recontextualiser cette guerre, en rappelant les avertissements des manifestants après le coup d'État de 2021 : la présence des deux généraux à la tête de l'État ne pouvait mener qu'au chaos. Difficulté d'accès et courage des journalistes soudanais Informer sur ce conflit est rendu extrêmement complexe par les difficultés d'accès pour la presse internationale. Les visas sont délivrés «au compte-goutte», et tout journaliste qui parvient à entrer dans les zones contrôlées par l'armée régulière est souvent suivi de près. C'est ce qu'Eliott Brachet a pu constater lors de son dernier reportage au Soudan, fin 2024. Les accès sont encore plus compliqués du côté des FSR, milice aux lignes de commandement floues, où le risque est de «servir la propagande des groupes en place». Le danger le plus grand pèse sur les journalistes soudanais : 32 ont été tués depuis le début de la guerre, indique Eliott Brachet qui insiste sur l'importance de ces regards locaux, souvent équipés d'un simple téléphone portable, qui documentent la guerre. Ces sources, issues de la génération révolutionnaire (activistes, bénévoles dans des réseaux d'entraide civils), sont essentielles pour obtenir des informations. Malgré les risques, la population reste désireuse de parler aux journalistes étrangers, explique Eliott Brachet pour qui ce conflit n'est pas une «guerre oubliée, c'est plutôt une guerre négligée ou une guerre ignorée», car les informations et les images existent, même si elles sont difficiles à obtenir. Guerre d'influence et enjeu technologique Au-delà de l'affrontement fratricide, le conflit est une « guerre d'influence » avec des ramifications régionales. Le Soudan, riche en ressources comme l'or et le pétrole, voit l'exportation de ses ressources doubler, alimentant cette « économie de guerre » qui permet aux belligérants de s'armer. Chaque camp est soutenu par un réseau d'influence : l'armée régulière reçoit l'appui de l'Égypte, du Qatar, de l'Iran et de la Turquie, tandis que les FSR bénéficient d'un soutien des Émirats arabes unis, qui fournissent notamment des drones chinois de dernière technologie. Un autre défi moderne réside dans le rôle de Starlink. Ces connexions internet, souvent amenées par les acteurs armés (notamment les FSR), créent «une dépendance énorme des populations civiles aux acteurs militaires». Les civils doivent payer «un forfait à la minute pour pouvoir se connecter», transformant la communication en une source de revenus et un moyen de contrôle pour les forces en présence. Le recours aux sources ouvertes (OSINT) Face aux restrictions d'accès sur le terrain, le croisement des informations est crucial en raison de l'énorme propagande diffusée par les deux belligérants. L'utilisation de l'OSINT (enquête en sources ouvertes) et des images satellites est un moyen essentiel de suivre le conflit à distance. Eliott Brachet s'est rapproché de réseaux de journalistes et chercheurs, comme le laboratoire de recherche humanitaire de l'université de Yale, dont le travail permet de « documenter le pillage et la mise à sac et l'incendie en fait de nombreux villages au Darfour ». Ces outils, associés aux témoignages des jeunes Soudanais, constituent aujourd'hui les sources d'information les plus fiables sur ce conflit qui dure.
durée : 00:15:33 - Journal de 12h30 - Au Maroc, des milliers de personnes ont célébré le vote du Conseil de sécurité de l'ONU sur le plan d'autonomie du Maroc pour le Sahara occidental. Le territoire était au centre d'un conflit vieux d'un demi-siècle. - invités : Chantal Birman Sage-femme, militante des droits des femmes
Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à Michel Dreyfus ou encore Eric Charbonnier.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'influence des réseaux sociaux sur l'information inquiète à l'approche des élections. Dans cet épisode, on analyse les appels à la régulation, les investissements massifs dans l'IA et les dérives potentielles de la technologie.
Maintenant Vous Savez, c'est aussi Maintenant Vous Savez - Santé et Maintenant Vous Savez - Culture. Dans les films de la saga Die Hard, comme "Piège de cristal", sorti en 1988 et "58 Minutes pour vivre", sorti en 1990, le personnage interprété par Bruce Willis, John McClane, s'en sort toujours avec seulement quelques égratignures. Pourtant, l'acteur ne se contente pas de faire des roulades sur un tapis en mousse. Pour sauver sa femme séquestrée dans un gratte-ciel, John abat plusieurs preneurs d'otages un à un, en vient même à défier la sécurité et l'univers hostile d'un aéroport rempli d'ennemis, en moins d'une heure pour sauver à nouveau sa belle et s'en sort toujours. Les combats avec des armes à feu sont-ils souvent faux ? Existe-t-il d'autres scènes qui sont vraiment impossibles ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Carole Beaudouin. Première diffusion : octobre 2023 À écouter aussi : Quels sont les pires scandales écologiques causés par des tournages de films ? Sylvester Stallone, Fabrice Luchini, Cameron Diaz... qui sont ces célébrités passées par le porno ? Quels sont ces films qui ont fait rougir leurs acteurs de honte ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Alexander Zverev est toujours en lice pour défendre son titre à Paris. Vainqueur de Daniil Medvedev en 3 sets après avoir sauvé 2 balles de match, l'Allemand s'est montré particulièrement vaillant. Est-ce sa plus belle victoire de la saison ? Dans la 2e partie, on évoque les tops et les flops sans oublier la partie pronostics. Au menu notamment les demies parisiennes. Jannik Sinner affronte Alexander Zverev, tenant du titre tandis que Alexander Bublik retrouve Félix Auger-Aliassime. Côté WTA, les femmes disputent le WTA Finals à Riyadh. Iga Swiatek débute contre Madison Keys et Amanda Anisimova a rendez-vous avec Elena Rybakina.
Dans ce Mangacast Omake n°137 du mois de novembre 2025, l'équipe se réunie pour débattre à bâtons rompus de plusieurs nouveautés à paraitre ce mois ci ! (00:00:00) Introduction (00:04:21) La Fiancée du maître des portails (00:18:29) La Librairie des jours heureux (00:31:20) Les Fleurs se maquillent aussi (00:50:05) La Cerisaie (01:10:05) Völundio - Chroniques des lames sacrées (01:28:40) Quatre saisons à te désirer (01:47:20) Yomotsuhegui (02:08:58) Le Garçon et le Dragon (02:23:44) Princesse Saphir (02:57:44) My Dress-Up Darlin S2 (03:10:53) Plus-sized Misadventures in Love (03:37:30) Turkey! (03:51:48) Coups de Coeur / de Gueule
Dans cet épisode de Happy Work, je réalise que je n'ai jamais vraiment défini ce qu'est le bien-être au travail. Pourtant, c'est essentiel, n'est-ce pas ? Finir sa journée dans le même état physique et mental qu'au début, c'est ça, le véritable bien-être au travail.
Dans ce podcast, Stanislas Vignon, le rédacteur en chef de "Ça peut vous arriver" présente un dossier reçu au sein de la rédaction, que l'émission ne pourra pas traiter. Cette semaine en compagnie de Mona Benabdelhak, journaliste pour l'émission, ils examinent le dossier et expliquent les raisons pour lesquelles vous n'en entendrez jamais parler à l'antenne !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On en voit de plus en plus y compris chez les athlètes pour leur écarter les narines. Elles sont très répandues dans certains sports comme l'Hyrox mais j'en ai aussi vu sur des athlètes aux championnats du monde d'athlétisme. Mais sont-elles vraiment utiles pour la course à pied ?Liens :Le Protocole Perte de Gras : https://go.soulier.xyz/protocolekm42Le Programme FlowFit (tarif de lancement spécial) : https://go.soulier.xyz/flowfitkm42Rejoindre le Hamsters Running Club : https://km42.soulier.xyz/hrcTous les liens et anciens épisodes : https://km42.soulier.xyz/385Les écarteurs que je préfère : https://go.soulier.xyz/airmaxLe livre Respirer de James Nestor : https://amzn.to/4oaJ7ByCette semaine Thomas m'a demandé si j'étais pour ou contre les bandes nasales. Je pourrais répondre par un « ça dépend » mais j'ai creusé le sujet un peu plus. J'ai testé plusieurs modèles et je suis plus convaincu par l'écarteur nasal. Je les avais essayé et adopté sur ma préparation marathon. Mais en même temps n'est-ce pas un effet placebo ?Dans cet épisodele principe du fonctionnementrappel du principe de la respiration et à quel moment on bascule de la respiration nasale à la respiration buccalepourquoi les écarteurs sont plus intéressants en footing et en endurance fondamentalece que disent les étudesl'intérêt potentiel quand on a le nez bouchéet est-ce que le véritable bénéfice ne serait pas pour le sommeil ?Nouveau : Le protocole Perte de Gras 2025 ❤️ Me suivre Tous les liens sont ici
Aujourd'hui, je t'invite à explorer un moment de vie souvent mal compris : la fin de vie et tout ce qu'elle implique sur le plan culturel et spirituel. À l'occasion de la Toussaint, je te rappelle que chaque personne vit ce passage différemment, selon ses croyances, sa culture et ses souvenirs. À travers des exemples personnels et des anecdotes, je te montre que les rituels – parfois simples, parfois complexes – sont essentiels pour apporter paix et cohérence, aussi bien à la personne concernée qu'à ses proches. Je te souligne l'importance de poser des questions, d'être attentif à l'histoire et aux besoins de chacun, et de transformer l'impuissance face à la mort en une présence active et bienveillante. Dans cet épisode, je te partage des pistes concrètes pour mieux accompagner la diversité des croyances en fin de vie, et nous invite à réfléchir à nos propres rituels, même si ceux-ci ne nous sont pas familiers. Un rendez-vous touchant et inspirant pour toutes celles et ceux qui souhaitent offrir un vrai soutien, ouvert et respectueux, dans ces instants de passage. Prends le temps d'écouter et laisse-toi inspirer par ces histoires de transmission, d'amour et de compassion universelle. Bienvenue dans la saison 5 "La voix en héritage"! Rejoins moi sur Sweet Elles : https://go.sweetpapipodcast.com/sweetelles Voici 3 enseignements clés à retenir de cet épisode : Respecter les rituels, c'est respecter la personne :Les rites de fin de vie ne sont pas de simples traditions, ils sont des repères essentiels pour celui qui part et ses proches. Qu'il s'agisse de l'orientation du corps, de la présence d'objets ou de la récitation de prières, chaque geste a une importance profonde. L'audace de poser des questions fait toute la différence : Oser demander à la personne ou à sa famille ce qui compte pour elle, c'est ouvrir la porte au dialogue et éviter les maladresses. Mieux vaut reconnaître ce qu'on ignore que négliger un besoin fondamental. Les rituels culturels sont thérapeutiques : Pour les proches, accompagner ces gestes permet de transformer l'impuissance en une présence active, porteuse de sens et d'apaisement. Ce partage puissant nous invite à repenser notre rôle d'aidant, quel que soit notre métier ou notre place auprès de nos proches. Timeline de l'épisode 00:00:2500:00:30 La fin de vie, un carrefour culturel : « La fin de vie, c'est aussi un carrefour où nos cultures, nos croyances, nos mémoires collectives se rencontrent. » 00:02:2100:02:29 L'importance des rituels en fin de vie : « Au début, je n'y avais pas pensé, je n'avais pas réalisé l'importance de ces rituels. Pour moi, l'essentiel était le confort médical, le soin. » 00:04:2200:04:24 Respect des rites culturels : "ces gestes parfois simples sont des points d'ancrage." 00:05:0600:05:30 Vie et rituels : "les rites ne sont pas accessoires ils sont thérapeutiques à leur manière ils ne prolongent pas la vie ils n'abrèchent pas la vie ils lui donnent une cohérence jusqu'au bout Pour les proches, ils sont un repère de continuité, ils savent qu'ils ont respecté ce qui comptait, c'était une manière de transformer l'impuissance en présence active." 00:05:5300:06:00 Rituels culturels et soutien : "Prends conscience des rituels culturels qui ne sont pas les tiens Et ça pour soutenir un proche d'une autre culture."
Pourquoi les fleurs jaunes sont-elles si emblématiques dans les rituels funéraires à travers le monde ? Dans cet épisode captivant du podcast ArtEcoVert, nous avons le plaisir d'accueillir Pauline Leroux, ingénieure agronome passionnée par la couleur végétale et les plantes tinctoriales. Ensemble, nous plongeons dans l'univers fascinant des fleurs et de leur signification dans les célébrations des morts. Pauline nous révèle comment des fleurs comme les chrysanthèmes jaunes, symboles de la mort au Japon, en Thaïlande et en Corée du Sud, incarnent la paix et le respect envers les défunts. Au fil de la discussion, elle nous fait découvrir la tagette, une fleur emblématique du Mexique, utilisée lors de la fête des morts pour tracer des chemins permettant aux âmes de retrouver leur chemin. Les propriétés spirituelles de la tagette sont mises en lumière, tout comme ses vertus médicinales. En Inde, le souci, symbole d'éternité, est au cœur des rites hindous, témoignant de la richesse des traditions culturelles. Pauline souligne également les différences d'approche envers les fleurs dans les rituels funéraires, notamment dans des religions telles que le judaïsme et l'islam, qui n'en font pas un élément central. Ce voyage à travers les fleurs et les rituels nous offre une perspective enrichissante sur leur rôle dans les commémorations funéraires à l'échelle mondiale. Les plantes et leurs couleurs, qu'elles soient issues de la teinture végétale ou des pigments végétaux, nous rappellent que la nature a toujours été au cœur de nos traditions. Un petit teasing : saviez-vous que certaines de ces fleurs sont également utilisées pour la coloration capillaire végétale ou pour créer des encre végétale ? Ne manquez pas cette occasion d'explorer la beauté des couleurs de plantes et l'importance des plantes tinctoriales dans notre histoire collective. Rejoignez-nous pour une discussion passionnante et pédagogique, où l'engagement envers l'agriculture tinctoriale et la préservation de notre patrimoine végétal sont au premier plan. Pour en savoir plus sur ces sujets fascinants, consultez les liens utiles dans la description. Nous vous souhaitons une belle écoute avec ce nouvel épisode d'ArtEcoVert, où la couleur végétale et les plantes tinctoriales prennent vie à travers des récits et des expertises passionnantes.
durée : 00:15:33 - Journal de 12h30 - Au Maroc, des milliers de personnes ont célébré le vote du Conseil de sécurité de l'ONU sur le plan d'autonomie du Maroc pour le Sahara occidental. Le territoire était au centre d'un conflit vieux d'un demi-siècle. - invités : Chantal Birman Sage-femme, militante des droits des femmes
durée : 00:02:33 - C'est mon boulot - Dans les années 1960, tout le monde pensait que les emplois "peu qualifiés" allaient progressivement disparaître. Cela n'a pas été le cas. Ils existent toujours, ils se sont simplement transformés (selon une étude du Centre d'études et de recherche sur les qualifications). Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Podcast Horreur dans l'ombre des légendes par ChandleyrFaut-il interdire les films d'horreur trop réalistes ? C'est la question dérangeante au cœur de ce nouvel épisode du podcast horreur français Dans l'Ombre des Légendes. Plongez dans une exploration profonde, immersive et viscérale de la frontière ténue entre art, choc, censure et fascination morbide.De Martyrs à Cannibal Holocaust, en passant par A Serbian Film, l'horreur extrême au cinéma ne cesse d'interroger : faut-il tout permettre au nom de la liberté artistique, ou poser des limites là où le malaise flirte avec l'insoutenable ?À travers une analyse fouillée et une narration sensorielle dans le style Barker, l'épisode interroge la place du cinéma horreur extrême dans la société : ces œuvres ne proposent pas la peur “fun” des slasher, mais l'épreuve initiatique du spectateur — un miroir qui nous force à regarder en face nos propres limites et désirs interdits.On y décrypte le phénomène de la censure des films d'horreur, l'histoire de la réception de Martyrs ou Cannibal Holocaust, les enjeux philosophiques autour de la représentation de la violence, du true crime horreur à la fascination pour les vidéos “snuff” du dark web.Faut-il craindre que ces films inspirent la violence, ou bien au contraire, leur déni donne-t-il plus de force à l'horreur réelle, brute, sans intention ?Dans cet épisode spécial de Dans l'Ombre des Légendes, Chandleyr donne la parole à l'ambiguïté : la censure peut-elle protéger, ou n'alimente-t-elle que le désir d'interdit ? Et si le vrai danger, ce n'était pas l'écran, mais ce qui circule désormais sur les réseaux, dans les coins sombres d'Internet — là où l'horreur n'a plus aucun cadre, aucun filtre, aucune distance artistique ?Podcast horreur, cinéma extrême, interdiction films horreur, analyse film horreur, thread horreur, podcast légendes urbaines, chandleyr, true crime horreur : un débat aussi nécessaire qu'inconfortable.
Dans ce nouveau podcast, les Grosses Têtes doivent deviner à qui appartiennent les anecdotes qu'elles entendent avec des voix trafiquées ! Darie Boutboul et Olivier Bellamy mènent l'enquête. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans l'émission du 31 octobre 2025, Marc-Antoine Le Bret a imité François Hollande, François Cluzet, Jeff Tuche, Edouard Baer et Jean-Alphonse Richard. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:50 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - C'en est fini du silence. Chef de détention dans une centrale pénitentiaire pendant près de vingt ans, Hervé raconte les dérives du système carcéral qui l'ont conduit à s'en éloigner. Propos recueillis par Sonia Kronlund. - réalisation : Emmanuel Geoffroy
Il a grandi à La Rochelle, bercé par les week-ends familiaux à bord d'un Gin Fizz et les héros des transats des années 1980. Très vite, Philippe Guigné attrape le virus : la régate, l'esprit de compétition et l'envie d'entreprendre. Dans les années 1990, en école de commerce, il découvre le haut niveau sur le Tour de France à la Voile, d'abord aux côtés de Laurent Cordelle, puis avec Bertrand Pacé et Chris Dickson – deux figures tutélaires dont il dira qu'elles l'ont « formé à la rigueur et à la gagne ». Six tours, une victoire, et déjà l'envie de construire plus grand : organiser, monter des projets.Au début des années 2000, le marin devient entrepreneur. Passionné par le jeu vidéo et Internet naissant, il crée Many Players, avant d'imaginer presque par hasard un jeu pour la Route du Rhum 2006 : Virtual Regatta est né. Le concept – une course en ligne jouée en temps réel avec les mêmes conditions que sur l'eau – devient un phénomène. Le Vendée Globe 2008 explose les compteurs avec 340 000 joueurs. Le monde découvre qu'on peut « naviguer » depuis son bureau.Mais derrière le succès, des tempêtes : procès absurdes, serveurs qui plantent à cinq minutes du départ du Vendée 2016, nuits blanches et sueurs froides. « Je jouais ma peau », raconte-t-il, encore ému. À force de résilience, Virtual Regatta s'impose : jeu officiel du Vendée Globe, partenaire de la Volvo Ocean Race, puis de World Sailing. En 2018, la discipline du « e-sailing » devient sport reconnu, jusqu'à être intégrée aux Olympic Virtual Series du CIO – apothéose d'un parcours unique dans la voile et le numérique.En 2021, après un Vendée Globe historique qui réunit un million de navugateurs en ligne, Philippe Guigné revend Virtual Regatta au groupe 52 Entertainment, leader mondial du bridge en ligne. Il tourne la page, sans nostalgie.Aujourd'hui, à 55 ans, il navigue plus que jamais, régate en J70, investit dans des start-ups maritimes et savoure le luxe qu'il s'était promis, plus jeune : du temps. « La voile, dit-il, c'était mon métier, mais avant tout, ça reste ma passion. »Diffusé le 31 octobre 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Julien Lieb, finaliste de la Star Academy face à Pierre Garnier en 2024, vient de sortir son premier album « Naufragé ». Il se confie sur ses difficultés et sa renaissance musicale. En septembre dernier, le jeune homme de 26 ans, a aussi fait salle comble à La Cigale, salle de concert parisienne mythique. Originaire de Pau (Pyrénées-Atlantiques), Julien a connu des moments difficiles après la mort de son père lorsqu'il avait quatorze ans. Avant d'intégrer le télé-crochet de la Star Academy en 2023, il s'est retrouvé dans une situation très précaire : sans travail, sans argent, et sans logement.Dans cet épisode de Code source, Julien Lieb témoigne au micro de Barbara Gouy.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Clara Garnier-Amouroux, Pénélope Gualchierotti et Anaïs Godard - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : TF1, Julien Lieb. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:05:30 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Un implant rétinien photovoltaïque redonne une perception visuelle à des patients atteints de DMLA sèche. Dans cette nouvelle étude, 80 % d'entre eux ont retrouvé une acuité visuelle leur permettant de lire certaines lettres, voire certains mots, alors qu'ils étaient considérés comme aveugles. - invités : Serge Picaud Directeur de recherche à l'INSERM et directeur de l'Institut de la vision
[REDIFFUSION] Bienvenue dans Les Fabuleux Destins, le podcast pour découvrir des histoires vraies et étonnantes. Cette semaine, frissonnez avec notre saison spéciale horreur. Quatre récits terrifiants, inspirés d'histoires vraies, où la frontière entre le réel et le cauchemar s'efface. Le fantôme d'Heilbronn, l'insaisissable tueuse en série Le 25 avril 2007, sur un parking de la ville de Heilbronn en Allemagne, deux policiers, un homme et une femme, prennent leurs pauses déjeuner. Quelques temps plus tard, les corps sont retrouvés dans leur voiture, chacun une balle dans la tête. L'homme est mal en point mais respire encore. La femme, Michèle Kiesewetter est bel et bien décédée. Sur place, la police recueille les témoignages. Rien d'inhabituel, à part peut-être un homme. Dans la BMW des victimes, la police scientifique trouve une goutte de salive, le seul indice. Direction le laboratoire pour une analyse ADN. Les résultats tombent : l'ADN retrouvé est dans les fichiers de la police depuis 14 ans. Il est lié à 28 scènes de crimes, dont 2 meurtres. Une production Bababam Originals Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
[REDIFFUSION] Bienvenue dans Les Fabuleux Destins, le podcast pour découvrir des histoires vraies et étonnantes. Cette semaine, frissonnez avec notre saison spéciale horreur. Quatre récits terrifiants, inspirés d'histoires vraies, où la frontière entre le réel et le cauchemar s'efface. Charles Manson, le gourou qui utilisait les gens pour tuer Dans cet épisode, Andréa Brusque vous parle d'un nom qui évoque l'horreur. Gourou des années 60, il est considéré comme l'un des criminels les plus notoires de l'Amérique. Symbole sombre dans une période qui prône l'amour et la paix, sa vie a inspiré de nombreux artistes. Son nom : Charles Manson. De son enfance aux crimes qu'il a commandités, découvrez son histoire vraie. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Voix : Andréa Brusque Production : Bababam Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Nous sommes au cœur de l'Egypte ancienne, à Deir el-Médineh, nom arabe donné à un village situé à l'ouest de Thèbes, sur la rive opposée du Nil, là où résidait la confrérie des artisans chargés de construire les tombeaux et les temples funéraires des pharaons et de leurs proches durant le Nouvel Empire. Dans le compte-rendu, retrouvé, d'un procès en adultère, rédigé sur un papyrus, on peut lire : « J'ai amené mon baluchon dans la maison de Payoum et j'ai fait de sa fille ma femme. Alors que j'avais passé la nuit dans la maison de mon père, je suis parti pour aller chez elle, et j'ai trouvé le travailleur Merysekhmet, fils de Menna, dormant avec ma femme en ce quatrième mois de l'été, jour 5. Je suis sorti et je l'ai dit aux fonctionnaires ; mais les fonctionnaires m'ont donné 100 coups de bâton, en me disant : « Vraiment ? Que dis-tu ? » Alors le chef des travailleurs, Inherkhaoui, dit : « Comment donnez-vous 100 coups de bâton à celui qui porte le baluchon alors que l'autre fornique ? Ce qu'ont fait les fonctionnaires est un grand crime ». Comment vit-on sa sexualité dans cette Egypte d'il y a environ cinq mille ans ? Quelles sont les pratiques admises ou interdites ? L'inceste est-t-il le tabou absolu. La polygamie choque-t-elle ? Peut-on vivre son homosexualité au grand jour ? A partir de quand parle-t-on de viol ? Fétichiste, masochiste, nécrophile font-ils partie du domaine du plaisir ? Sans idées préconçues, tentons de dégager la nuance… Invitée : Amandine Marshall. Docteur en Égyptologie, archéologue Sujets traités : sexe, Egypte Ancienne, Deir el-Médineh, Nil, Thèbes, polygamie , inceste, homosexualité, fétichiste, masochiste, nécrophile Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avi Bitton n'a pas choisi le droit du travail, c'est le droit du travail qui l'a choisi.Avant d'être avocat, il a été cadre dans une multinationale.Un jour, il a vécu l'injustice de l'intérieur : pression, harcèlement, silence.Plutôt que de se résigner, il a décidé d'en faire son combat.Cette épreuve personnelle est devenue le point de départ d'une vocation : défendre ceux qui traversent ce qu'il a vécu.Depuis plus de 20 ans, Maître Bitton consacre sa carrière aux cadres.Son rôle est de rétablir l'équilibre dans une relation souvent déséquilibrée, en élaborant des stratégies de négociation redoutables. Une entreprise qui apprend que « c'est Avi Bitton en face » sait qu'elle prend un risque juridique, mais aussi médiatique.Son approche du droit repose sur l'humain.Pour lui, un départ ne se résume pas à une somme d'argent. Il peut inclure une formation, un coaching, un chasseur de têtes ou une recommandation irréprochable.Parce qu'un bon arrangement vaut toujours mieux qu'un long procès.Conseiller plus de 5 000 cadres, négocier des ruptures 10 fois supérieures au minimum légal, collaborer avec des confrères à l'international…Avi Bitton a bâti un cabinet de référence où la compétence rencontre la conviction.Dans cet épisode, il raconte son parcours, ses combats et sa vision d'un droit du travail plus juste, plus humain, plus stratégique.Une plongée fascinante dans les coulisses des négociations parfois tendues du monde de l'entreprise. Bonne écoute !===========================
À la fin de chaque épisode, les questions signature de L'Entreprise de Demain ouvrent un espace différent : centré sur le leadership des invités, plus intime, plus direct, au delà des discours.Dans ce bonus, Carole Benaroya, cofondatrice de Kujten, partage sa manière de vivre son rôle de dirigeante. Elle parle de lucidité, de limites, d'énergie, et de cette tension constante entre exigence et plaisir.« Dire non aux autres, c'est se dire oui à soi-même. »Cette phrase, qu'elle cite spontanément, résume une idée essentielle : dans un monde où tout s'accélère, savoir dire non devient une condition de survie managériale. Carole explique comment elle a appris à poser un cadre, à choisir où mettre son attention, et à assumer que le rôle de dirigeant implique de faire des choix, parfois seuls, souvent complexes.Ce court format est une respiration.On y parle de leadership au sens le plus concret du terme : décider, prioriser, tenir.Pas de théorie, pas de posture idéale, juste la réalité de quelqu'un qui dirige et qui accepte de se questionner.Carole revient sur les moments de doute, sur la solitude parfois inhérente au rôle, mais aussi sur la satisfaction de voir une équipe progresser, de transmettre une exigence, de créer du lien.Ce qu'elle partage, c'est une expérience du leadership vécue au quotidien. Celle d'une dirigeante qui assume ses choix, qui prend soin de son énergie pour pouvoir continuer à entraîner les autres, et qui reste fidèle à sa vision même quand le contexte se durcit.Ce propos résonne particulièrement avec les DRH et dirigeants : il parle de responsabilité, de clarté, et du courage tranquille qu'exige la fonction.Un format court, lucide et utile, pour prendre un pas de recul sur sa manière de diriger.Parce qu'avant de transformer les autres, il faut savoir se diriger soi-même.
La Fashion Week s'est achevée récemment. Et une fois encore, la mode française a brillé, avec notamment le défilé Chanel signé Matthieu Blazy au Grand Palais, salué comme l'un des plus forts de cette saison.À chaque fois que je vois un défilé Chanel, je pense à Bruno Pavlovsky. Parce que derrière l'éclat, les icônes et la magie, il y a aussi cet homme discret, fidèle, passionné, qui œuvre depuis plus de trente ans à préserver et réinventer une maison mythique. Quand je l'ai reçu dans PAUSE, j'ai découvert un dirigeant profondément humain.Fils du Pays basque, formé à la finance, arrivé chez Chanel presque par hasard, il y a trouvé un sens, une mission : faire vivre la création, protéger les savoir-faire, et accompagner le rêve.Dans cet épisode, Bruno parle avec sincérité de ce que Karl Lagerfeld lui a appris, des coulisses d'une Maison où chaque détail compte, du projet du 19M, temple des artisans, et de cette question essentielle : comment durer sans se répéter ?C'est une conversation rare, vraie, et qui, à chaque écoute, rappelle pourquoi la mode reste avant tout un art.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après plus de vingt ans d'attente, le Grand Musée égyptien s'apprête enfin à ouvrir ses portes ce samedi 1ᵉʳ novembre. Bien plus qu'un événement national, l'inauguration du plus grand musée archéologique du monde, situé au pied des pyramides, rassemblera un parterre de chefs d'État venus des quatre coins du monde et des centaines de journalistes. À la tête de cette mise en scène pharaonique du prestige égyptien, le président Abdel Fattah Al-Sissi compte faire briller l'image de son pays. De notre correspondant au Caire, Mohamed, la vingtaine, habite tout près des pyramides et du musée dont l'ouverture approche à grands pas. Un événement qui lui passe un peu au-dessus. « Hmm, ça ne m'intéresse pas vraiment. Peut-être que je regarderai la cérémonie avec les enfants à la télévision… et les feux d'artifice depuis le toit de l'immeuble », déclare Mohamed. À Kafr Nassar, ce quartier poussiéreux aux portes du désert, tout est prêt depuis une semaine. Les habitants s'organisent, comme ce tenancier de café coincé entre deux axes routiers. « La rocade va être fermée, toutes les routes qui mènent au musée aussi. Le président Al-Sissi attend des invités de marque », explique-t-il. Un événement mondial Soixante chefs d'État attendus, des centaines de journalistes… Les riverains, eux, regarderont ça de loin. Même si certains ne boudent pas leur plaisir : « C'est une aubaine ! Dans le quartier, tout le monde vit du tourisme. C'est une joie plus grande que la qualification de l'Égypte pour la Coupe du monde ! » Car avant d'être une fête égyptienne, cette inauguration se veut mondiale. Un message adressé à la planète, explique l'ancien ministre des Antiquités, Zahi Hawass : « Parce que nous croyons que les monuments égyptiens appartiennent à tout le monde, et pas seulement aux Égyptiens. Cinq cents chaînes de télévision vont retransmettre la cérémonie à travers le monde. » « Cette inauguration montrera que l'Égypte est un pays sûr » Depuis son bureau bardé de diplômes, l'archéologue vedette vante une opération de prestige au cœur d'une région marquée par les conflits : « C'est un message envoyé par le président de la République au monde entier : nous prenons soin de notre patrimoine. Ce musée va apporter beaucoup au pays. Des millions de touristes viendront, car cette inauguration montrera que l'Égypte est un pays sûr. » Un discours que tempère Khaled Azzab, professeur d'archéologie islamique, pour qui l'événement relève avant tout du soft power : « Celui qui coupe le ruban est celui qui récolte les honneurs de l'événement, qui attire la lumière sur lui et figure au premier plan sur la photo. » Derrière les paillettes, il y voit surtout un jeu diplomatique à grande échelle. « Ces rencontres ne sont jamais anodines : elles permettent d'échanger, d'apaiser des tensions, de régler certains différends. L'événement n'est pas une fin en soi », ajoute le professeur d'archéologie. À peine un mois après le sommet de Charm el-Cheikh et la signature du plan de paix pour Gaza, Le Caire saisit une nouvelle occasion de s'imposer comme pôle de stabilité au Moyen-Orient. Cette fois, à travers ses vestiges pharaoniques. À lire aussiÉgypte: le Grand Musée du Caire, un projet pharaonique, culturel et géopolitique
Tu rêves de faire ton premier million mais tu te sens bloqué mentalement ? Tu as l'impression que c'est réservé aux autres et que tu n'y arriveras jamais ?Dans cet épisode, je reçois Aline Bartoli (aka TheBBoost), coach business et créatrice du podcast "J'peux pas, j'ai business" et qui a atteint plusieurs fois le million d'euros de chiffre d'affaires.Au programme :
Tel un boogeyman qui se relève encore et toujours à chaque fin de film, MONSTER SQUAD est de retour pour une troisième saison ! Dans ce premier épisode consacré à HALLOWEEN, Marie Casabonne retrouve la final girl Véro Davidson (scénariste, ancienne host du PIFFFCAST et chargée de la sélection des courts métrages internationaux du PIFFF) et le croque-mitaine et rédac chef de CAPTURE MAG Stéphane Moïssakis. Ensemble, ils dissèquent le boogeyman originel, Michael Myers. Avec sa carrure impressionnante, son masque blanc, ses yeux vides et son long couteau, le tueur créé par John Carpenter (HALLOWEEN, 1978) inspiré une saga de 13 films, mais aussi tout un sous-genre de l'horreur : le slasher. Autopsie d'un tueur qui incarne - à l'origine - le mal absolu. Happy Halloween !Présentation : Marie Casabonne Rédacteur en chef : Stéphane Moïssakis Chroniqueurs : Véro Davidson et Stéphane MoïssakisRéalisation et caméo de Micheline Myers : Jeanne DamatoProduction : Stéphane MoïssakisMontage et mixage : Anthony Navarro Musiques : Magic And Ecstasy et Rite Of Magic par Ennio MorriconeLogo "Monster Squad" par Ninon C Maufé : https://www.instagram.com/ninoncmaufe/Retrouvez toutes nos émissions sur http://www.capturemag.frPour nous soutenir, il y a deux adresses :PATREON : https://www.patreon.com/capturemagTIPEEE : https://www.tipeee.com/capture-magLISEZ CAPTURE MAG !Toutes nos revues sont disponibles dans les librairies, les magasins de produits culturels et sites marchands.Akileos : https://bit.ly/AkilsCMCapture Mag est sur LETTERBOXD : https://letterboxd.com/CaptureMag/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La profession de magistrat en France s'est largement féminisée ces dernières années. Elles représentent 76% des élèves magistrats de la promotion 2021. Les femmes incarcérées sont en revanche ultra-minoritaires dans les prisons : moins de 5% des détenus. Pourtant, le processus judiciaire et les jugements restent défavorables aux femmes. Les effets de ces décisions semblent refléter une culture patriarcale de la justice, notamment dans les dossiers familiaux et les violences sexuelles. L'institution reste ancrée dans des pratiques professionnelles et plus largement dans des stéréotypes au sein de la société, renforcés par le langage juridique. Comment expliquer ces distorsions et ces paradoxes ? Comment rétablir une égalité des sexes devant la justice ? Cette émission est une rediffusion du vendredi 5 septembre 2025 Avec : Magali Lafourcade, magistrate, actuellement secrétaire générale de la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH). Enseignante à Science Po Paris et autrice de Démasculiniser la justice (Éditions Les petits matin, 2025) Corine Moussa Vanie, juriste en Côte d'Ivoire et vice-présidente de l'association Akwaba Mousso qui vient en aide aux femmes vulnérables et aux enfants victimes de violences, et membre de l'association des Femmes juristes de Côte d'Ivoire Médiatisation des affaires judiciaires Avec Elise Costa, journaliste indépendante, autrice de l'ouvrage Écrire Mazan (Editions Marchiali) Écoutez le monde de Monica Fantini Aujourd'hui, elle nous propose de tendre l'oreille aux sons inouïs découverts à l'exposition Afrosonica – Paysages sonores, au musée d'éthographie de Genève, en Suisse. Écouter le podcastÉcouter le monde Programmation musicale : ► Dans 10 ans – Yamê ► What was that – Lorde
durée : 00:05:09 - Tanguy Pastureau maltraite l'info - par : Tanguy Pastureau - Tanguy s'intéresse à la nouvelle tendance beauté du moment, tout droit venue de Corée : le sperme de saumon. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:57 - Une semaine dans leurs vies - Des dizaines de graffeurs et d'artistes sont invités à peindre un peu partout sur des murs de Dijon, à l'occasion du festival Banana Pschit. Rencontre avec deux d'entre eux : Nitram Joke, alias Martin, et RNST. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.