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Dans cet extrait, découvrez les 4 réflexes essentiels d'Albert Moukheiber pour aiguiser votre esprit critique :Ai‑je vraiment besoin d'un avis ?À quel degré de certitude suis‑je sûr ?Combien de temps ai‑je consacré à ce sujet ?Ai‑je confronté mes idées aux experts ?Un avant‑goût du best‑of complet à venir dès lundi matin : • Albert Moukheiber – illusion du savoir & esprit critique • Olivier Sibony – biais cognitifs & méthodes de décision • Hélène Lee Bouygues – raisonnement critique dès l'enfance • Fabien Olicard – techniques d'apprentissage ultra‑efficacesVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Claus von Stauffenberg est l'héritier d'une famille allemande aristocratique. En 1943, alors qu'il sert en Afrique du Nord, une opération dangereuse lui coute son bras droit, deux doigts de la main gauche et l'un de ses yeux. Il est convaincu que s'il a eu la vie sauve, c'est pour débarrasser l'Allemagne d'Hitler. Intégré comme chef d'État-major, il participe régulièrement à des réunions militaires en sa présence. Le 20 juillet 1944, il passe à l'action et dépose une mallette chargée d'explosifs au pied du Führer, avant de s'éclipser. Convaincu qu'il vient de tuer Hitler, il rejoint l'aéroport et s'envole pour Berlin afin de lancer l'opération Walkyrie. Seulement, Hitler a survécu. Alors que la nouvelle se répand, l'armée se retourne contre les officiers conjurés. Jugé en urgence, Von Stauffenberg est fusillé avec ses complices. Le 20 juillet 1944, une poignée d'officiers allemands rebelles a bien failli tuer Hitler. Au sein même de la Wehrmacht, les membres de l'opération Walkyrie sentent que le Führer mène le pays à sa perte. Dans un récit inédit, Virginie Girod vous plonge au cœur de l'histoire de ce complot contre le régime nazi. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans les déserts chauds, le chameau peut résister 5 à 6 jours sans boire une seule goutte d'eau. Au fil de l'évolution, son corps s'est adapté aux températures extrêmes : ses grandes pattes, ses poils clairs, les réserves de graisse dans ses bosses lui permettent de supporter ce milieu désertique. Il a aussi adopté des comportements qui l'aident à endurer la chaleur : ses pas lents, sa façon de boire et même… de faire pipi. Mais d'autres animaux vivent aussi dans des endroits extrêmement chauds ou froids. Et leurs modes de survie sont aussi très surprenants ! Grâce et les Petits Curieux de sciences – Edgar, Marceau, Nacer, Inès et Dyron – ont rencontré le chercheur Jérémy Terrien, écophysiologiste au Muséum national d'histoire naturelle. “Curieux de sciences” est une aventure sonore qui entraîne les enfants dans l'univers fascinant de la science. Elle dévoile la rigueur et les surprises qui accompagnent les découvertes scientifiques, tout en stimulant l'imaginaire et la curiosité. Crédits : Ce podcast est coproduit par le magazine Images Doc (Bayard Jeunesse) et le Muséum national d'Histoire naturelle. Direction éditoriale : Bertrand Fichou. Comité scientifique du Muséum : Ronan Allain, Line Le Gall, Jean-Jacques Bahain. Chercheur invité : Jérémy Terrien. Directeur de production : Julien Moch. Journaliste et hoste : Grâce Leplat. Comédiens : Julien Gueho, Lucille Boudonnat et Pauline Ziadé. Production exécutive : Billy the Cast. Réalisation : Benoît Laur. Musiques : Emmanuel Viau et Benoît Laur. Création visuelle : Camille Ferrari. Coordination Muséum : Claire Gonçalves. Productrice : Hélène Loiseau. Avec la complicité des élèves de CM2 de l'école Félix Faure, Paris 15e, année 2024-25Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez Home(icides), le podcast true crime de Bababam ? Vous allez adorer nos autres créations originales ! Aujourd'hui, on vous invite à découvrir La Traque le podcast Bababam Originals qui raconte les plus grandes courses-poursuites entre flics et voyous qui ont marqué l'Histoire. Bonne écoute ! Qui sont Florence Rey et Audry Maupin ? Dans cet épisode, retour sur l'enfance austère de Florence et la jeunesse révoltée d'Audry... Puis un jour, leurs routes vont se croiser. Ensemble, ils évoluent dans le contexte des manifs étudiantes des années 1990... Un combat qui va les mener au pire ? Un podcast Bababam Originals Textes : Vincent Rebouah Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas Production : Jean-Gabriel Rassat En partenariat avec Upday. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Welcome to the 'Bakery Bears Radio Show' Episode 123 In September 2023 we took the bold step of beginning our first proper garden. After eighteen months, how are things going? In this episode we recap the story of the start of our garden, we share with you the flowers we planted and we update you on the progress. We also reflect on the impact of gardening on our lives over the last year and half. Join Kay & Dan as they: Talk about their new found love of post boxes…… https://www.postalmuseum.org/blog/royal-cyphers-on-letterboxes/ Discuss the change in weather and Kays new summer cardigan Talk about Dans childhood cardigan and the fun his brothers made fun of it Share with you some of the wonderful sights they are seeing as Spring progresses Recap the story of their garden which they planted in 2023 Mention the Rise & Fall of the Monasteries series https://www.patreon.com/posts/rise-fall-of-1-78011221 Share with you all the flowers they planted, what worked and what didn't Reflect on the impact a year and half of gardening has had on their lives Discuss the lack of cared for gardens that seems to be more common today Update you on their year without Amazon quest We'll see you in two weeks with our next Radio Show! You can find past episodes of the Radio Show here: On Podbean : https://bakerybearsradioshow.podbean.com On Apple Podcasts : https://podcasts.apple.com/gb/podcast/the-bakery-bears-radio-show/id1474815454
Confidences inédites, souvenirs insolites et anecdotes surprenantes... Dans ce podcast inédit, les Grosses Têtes répondent aux questions... Des autres sociétaires ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comme toujours, la première partie de l'émission sera consacrée à l'actualité. Le premier sujet que nous aborderons sera la récente interview du chef des espions russes dans laquelle il a menacé la Pologne et les pays baltes. Ses commentaires ont fait craindre que la Russie n'attaque d'autres États européens. Nous discuterons ensuite de l'escalade des tensions entre les États-Unis et la Chine au sujet des droits de douane. Pékin a réaffirmé sa détermination à résister à tout traitement perçu comme injuste et a appelé d'autres pays à s'opposer aux tactiques d'intimidation de M. Trump. La discussion suivante portera sur une étude allemande qui balaie des idées fausses sur le revenu de base universel. L'adoption de ce revenu est débattu depuis un certain temps, mais les résultats de cette étude nous permettent aujourd'hui de mieux comprendre ses effets potentiels. Et enfin, nous parlerons d'Antoni Gaudí que le pape François a placé en bonne voie pour être canonisé. Dans la partie grammaire de l'émission, on aura un dialogue rempli d'exemples sur la leçon d'aujourd'hui : The Future Simple. Part I: Verbs of the First Group. Dans la partie expressions, nous nous intéresserons à l'expression « mettre la main à la pâte ». - Le chef des espions russes menace la Pologne et les États baltes - La Chine semble déterminée à résister aux droits de douane de Donald Trump - Une étude allemande balaie les idées fausses sur le revenu de base universel - Le pape François lance le processus de canonisation de l'architecte Antoni Gaudí - Le futur accélérateur de particules franco-suisse divise la communauté scientifique - Quatre mois après un cyclone dévastateur, l'île de Mayotte se reconstruit difficilement
Il y a des personnes à qui on s'attache plus que d'autres sur les réseaux sociaux.Adeline et Toni, alias Hakunamatata family, font partie de cette catégorie.J'ai commencé à les suivre il y a plus de 6 ans et je les ai vu, à travers mon écran, devenir parents de 2 puis de 3 enfants en 1 an et demi.3 enfants en 1 an et demi… rien qu'en le disant à haute voix je mesure le chamboulement que cela a dû provoquer dans leurs quotidien.Ils ont changé de vie à mesure qu'ils ont agrandi leur famille. Adeline est à temps plein, influenceuse, aidée de Toni.Ensemble, ils tentent de mettre un sourire sur le visage de ceux qui les suivent avec leur danse du vendredi ou des scénettes de la vie du quotidien.Dans cet épisode on parle de parentalité et des dessous de l'influence quand on est parents. Comment on arrive à déconnecter ? Comment prend-on soin de sa santé mentale ? Comment on gère son couple quand le pro et le perso sont mélangés en permanence?Est-ce que le tourbillon d'avoir eu 3 enfants en si peu de temps à perturber leur couple, leur vie ?Bref venez découvrir avec tendresse, humour, honnêteté et simplicité la famille Hakunamatata dans cet épisode !
Après presque vingt ans de pérégrinations en Asie, Marco Polo aspire à rentrer chez lui, et c'est peut-être lors de ce voyage vers l'Italie qu'il est fait prisonnier par les Génois, les vieux rivaux des Vénitiens. Dans sa cellule, il écrit avec Rustichello de Pise Le Devisement du Monde, le récit de son voyage. Un siècle et demi plus tard, il fait partie des livres que Christophe Colomb consulte pour imaginer son voyage à travers l'Atlantique. C'est à cause de ce livre qu'il croit avoir trouvé les îles de Cipango, le Japon actuel, en arrivant aux Antilles ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:53:04 - Grand bien vous fasse ! - par : Ali Rebeihi - Émission très gourmande en perspective : chroniqueurs et amis du vendredi se réunissent autour des desserts au chocolat. Mousses, tartes, gâteaux... Comment choisir son chocolat ? Comment le faire fondre ? Dans tous les cas, il n'y a qu'un seul prérequis : aimer le chocolat. - réalisé par : Claire DESTACAMP
Dans cet épisode, on discute à deux d'un sujet très actuel et souvent tabou : le cannabis en France.
Les Palestiniens de la bande de Gaza sont “pris au piège, bombardés et affamés”, selon six agences de l'ONU qui ont lancé un appel au cessez le feu.En cause, la rupture de la trêve le 18 mars, la reprise des bombardements israéliens et un nouveau blocus de l'aide, qui entraine une grave crise humanitaire. La situation semble bloquée. Jeudi soir, le mouvement islamiste palestinien Hamas a annoncé avoir rejetté une proposition israélienne de trêve à Gaza.Les positions restent très opposées. Le Hamas veut "un accord global" impliquant un échange de prisonniers en une seule fois, l'arrêt de la guerre, la fin de l'occupation de la bande de Gaza, et un début de reconstruction.Israël a juré de détruire le Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007 et considéré comme une organisation terroriste par Israël, les Etats-Unis et l'Union européenne.Il exige son désarmement et le départ de ses combattants de Gaza, ce que le mouvement refuse.L'armée israélienne souhaite par ailleurs mettre en place ce qu'elle appelle des zones tampons, qui morcellent le territoire. Un rapport de l'armée publié mercredi 16 avril, indique qu'elle contrôle 30% de Gaza. En l'espace d'un mois, près de 500.000 Palestiniens ont une nouvelle fois été déplacés. Pour rappel, l'attaque menée par Hamas en territoire israélien le 7 octobre avait entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils selon un décompte tiré de sources officielles. Dans la bande de Gaza contrôlée par le Hamas, le bilan depuis le début de la guerre s'établit à plus de 50.000 morts selon le ministère de la Santé. Et désormais, l'ONU et des ONG de défense des droits humains craignent que le but ultime soit de pousser au départ tous les Palestiniens. Pour en savoir plus sur la situation Sur le Fil a invité Chloé Rouveyrolles, journaliste de l'AFP qui couvre les territoires palestiniens depuis Jérusalem.Vous entendrez aussi dans ce podcast Aaron David Miller, ancien diplomate et négociateur américain au Proche Orient et Agnès Levallois, vice-préidente de l'IREMO, l'Institut de recherche et d'études de Moyen-Orient Méditerranée, chargée de cours à Sciences Po et auteure du "Livre Noir de Gaza" (Editions du Seuil)Nous vous recommandons aussi le podcast d'Aaron David Miller Réalisation : Michaëla Cancela-KiefferDoublages : Emmanuelle Baillon, Luca Matteucci, Elouan Blat, Mathys Vallée.Enregistrements sur le terrain AFPTVSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, c'est au tour de Julien Leclercq, auteur de "Recherche (désespérément) salariés" (édition Fayard), de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
Bonus et Recap
Le 30 mars dernier à seulement trois jours de son anniversaire, Yanis s'est suicidé. Dans une lettre, l'adolescent de 17 ans explique que la sortie de prison de son agresseur sexuel lui était insupportable. Cet homme, aujourd'hui âgé de 58 ans, a bénéficié d'un aménagement de peine. Il est sorti de détention après deux ans et demi passés en prison. C'est chez lui, à seulement 3 km de la maison de Yanis, qu'il purge sa peine sous bracelet électronique. Yanis et ses parents n'ont jamais reçu de courrier officiel les informant de sa remise en liberté. L'adolescent s'est suicidé de peur de croiser cet homme qui lui a volé trois ans de sa vie. Ronald Guintrange et Florine Silvant, journaliste à BFM Radio, reçoivent dans Affaire Suivante Steffy Alexandrian, présidente de l'association Carl. Production et rédaction: Charlotte Lesage, journaliste police-justice de BFMTV.com.
Vous en avez assez de vous suradapter en essayant de satisfaire tout le monde, au point de vous oublier ? Je vous propose une expérience de coaching inédite de 30 jours à vivre en direct avec moi au mois de mai.
Confidences inédites, souvenirs insolites et anecdotes surprenantes... Dans ce podcast inédit, les Grosses Têtes répondent aux questions... Des autres sociétaires ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cet épisode est tiré de ma newsletter, pour vous abonner c'est ici!!!Comme je vous. le dis je vous remercie mille fois pour me suivre dans cette aventure de Vlan!J'adore mon célibat actuel, cette liberté exquise de décider de mon emploi du temps sans compromis.Et pourtant, je suis un incorrigible romantique !Ce paradoxe délicieux me constitue et colore ma vie de nuances fascinantes.Cette dualité n'est sans doute pas étrangère à mon histoire familiale.J'ai grandi avec des parents qui se sont rencontrés jeunes, ont eu des enfants à 24 et 26 ans et sont restés ensemble jusqu'à la fin malgré les tumultes de la vie – chose de plus en plus rare, j'ai l'impression.Ils ont incarné devant moi la possibilité d'un amour durable, même si le chemin n'était pas toujours facile.N'est-ce pas incroyable que nous puissions simultanément chérir notre indépendance et rêver de construire à deux ?L'amour reste cette aventure extraordinaire qui transcende les époques.Au 18ème siècle, Benjamin Franklin déclarait qu'un "homme sans femme n'est rien d'autre qu'un demi-homme" (on était moins subtil à l'époque...d'autant moins quand on sait que les femmes célibataires étaient, elles, brûlées vivent pour sorcellerie), et aujourd'hui encore, malgré toutes nos avancées, le couple demeure cette quête collective qui nous anime presque tous.Qu'y a-t-il de si captivant dans cette danse à deux ? Pourquoi continuons-nous à nous lancer dans cette entreprise hasardeuse, malgré les cicatrices et les déceptions ?Peut-être parce que l'amour, dans ses plus beaux moments, nous offre cette alchimie rare entre sécurité et aventure, entre connaissance profonde et éternelle découverte.J'ai connu des histoires d'amour intenses - dont une qui m'a conduit à imprimer un livre de 400 pages de nos échanges et à déménager à New York !Ces expériences m'ont transformé, enrichi, parfois blessé, mais jamais je n'ai regretté de m'être lancé et de vivre pleinement les choses (c'est ce que me disais ma psy).Chaque relation a ajouté une couche de compréhension à ma carte du monde émotionnel.À travers cette newsletter, je vous invite à explorer avec moi les mystères et les joies de l'amour moderne, ses défis et ses trésors cachés.Je partagerai mes découvertes (j'ai beaucoup cherché), mes erreurs (nombreuses !) et les pépites de sagesse glanées en chemin.Car si j'ai renoncé au mythe paralysant de l'âme sœur, je n'ai certainement pas abandonné la quête d'un amour authentique et vibrant.Comme l'écriture elle-même, l'amour nous enseigne ce que nous ne savions pas connaître sur nous-mêmes. Embarquons ensemble dans cette exploration joyeuse !Mon parcours amoureux : des cicatrices comme boussoleMa première histoire d'amour a duré sept ans. Je l'ai rencontrée dès les premières semaines d'école de commerce, nous nous sommes fiancés, le mariage était planifié. Vingt ans plus tard, nous sommes toujours proches, mais cette relation était fondamentalement dysfonctionnelle — principalement à cause de moi, je dois l'admettre.J'avais endossé la cape du sauveur pour surmonter ma timidité. Mon besoin d'appartenance était si intense et elle incarnait tout ce que je n'étais pas.C'était profondément injuste pour elle mais j'y reviendrais.J'ignorais alors mes propres besoins, mes névroses, mon style d'attachement.Elle est devenue malveillante malgré elle, et cette histoire était condamnée dès le départ.Ma deuxième relation significative m'a conduit chez un psychologue, perdu que j'étais. Sans doute l'une des décisions les plus sages de ma vie. C'est aussi à cette période que j'ai commencé à consulter des voyantes, cherchant désespérément des réponses que je ne trouvais pas en moi.Puis est venue LA relation passionnelle de ma vie.Une relation tellement intense qu'elle est difficile à expliquer.Pour vous donner une idée: j'ai compilé les trois premiers mois de nos échanges dans un livre de 400 pages imprimé en deux exemplaires (un pour elle et l'autre pour moi), et j'ai déménagé à New York pour elle.Cette femme réputée pour son légendaire self-control ne maîtrisait plus rien non plus.Certains parleraient d'âme sœur ou de flamme jumelle — j'ai cherché toutes les explications possibles. Après quatre ans d'une intensité intacte, elle est partie sans un mot d'explication.Huit ans ont passé, et il m'en a fallu 6 pour m'en remettre. Je le dis ici car dans cette société ou tout va de plus en plus vite parfois on n'accepte plus chez les autres mais aussi chez soi même que certains processus prennent du temps.Quoiqu'il en soit cette rupture m'a transformé.Comme me l'a fait remarquer un ami, peu d'hommes parlent ouvertement de leurs blessures amoureuses. Je n'avais pas le choix — cette histoire m'a bouleversé dans ma chair.Je crois que c'est important d'en parler et c'est la raison pour laquelle j'ai accepté l'invitation d'Anne du podcast Métamorphose à l'époque.C'est essentiel de montrer la vulnérabilité sans faux semblant et que les hommes ne sont évidemment pas insensibles aux ruptures. J'espère que cela aura permis à d'autres hommes de se connecter avec eux même.Et puis, je suis heureux d'avoir fait un kinsugi de cette rupture en co-créant un kit de secours pour cœur brisés.Durant ces six années de deuil, j'ai sabordé des relations avec des femmes extraordinaires, les comparant inévitablement à elle. J'ai finalement réussi à briser ce lien toxique grâce à un travail acharné avec psychologues, énergéticiens, voyantes, astrologues, constellations familiales, et même l'ayahuasca. J'ai tout essayé pour m'en libérer.J'ai su que j'étais guéri quand je suis retombé amoureux. Même si cette nouvelle histoire fut brève pour d'autres raisons, elle a confirmé ma guérison. Aujourd'hui, je reste ouvert à construire quelque chose avec quelqu'un, mais ce n'est pas simple.Les raisons de cette difficulté sont précisément l'objet de cette newsletter et je vous livre ce qui selon moi cloche en 5 grands points !Raison #1 : Nous sommes des idéalistes irréalistes par essenceNous avons grandi bercés par des mythes grecs(ne les sous-estimons pas, ils sont centraux), des histoires comme celle de Roméo et Juliette, des contes pour enfants ou encore des films hollywoodiens qui nous ont fait croire que l'impossible devenait possible par amour.Mais ces récits se concentrent presque exclusivement sur la quête amoureuse, rarement sur ce qui vient après."Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants." Mais qu'est-ce que cela signifie concrètement ? Comment ont-ils géré leurs névroses respectives ? Leurs univers distincts ? Leurs problèmes de communication ? Leurs baisses de désir ? Leurs potentielles tentations extraconjugales ?Dis rapidement, notre idéal romantique est incompatible avec la réalité d'une connexion humaine.Ces expressions comme "ma moitié" sous-entendent que nous serions incomplets avant de rencontrer l'autre. "The one" ou "l'âme sœur" suggèrent qu'une seule personne au monde peut nous convenir.Vous l'aurez compris, j'ai personnellement expérimenté ce mythe de l'âme sœur — et en ai payé le prix fort.Cet idéal présuppose que notre partenaire devrait tout comprendre de nous sans communication verbale, alors même que nous peinons à nous comprendre nous-mêmes (personnellement, je me découvre encore chaque jour).Cela est évidemment accentué par un individualisme (pour ne pas dire égoïsme) sous stéroïdes.L'autre vit dans un univers parallèle, avec un système proche mais fondamentalement différent du nôtre.De manière anecdotique, lors d'un de mes événements sur l'IA, une personne a partagé qu'elle se sentait plus "vue" et "entendue" par ChatGPT que par son médecin ou ses amis.Notre société d'hyper-optimisation nous a fait perdre la capacité à prendre le temps — ou à l'accorder à l'autre.La conséquence est ce manque d'écoute mutuel et donc des incompréhensions en pagaille.Et si vous ajoutez à cela des différences culturelles, comme je l'ai vécu, cela complique encore davantage la situation.Esther Perel m'a fait réaliser que nos attentes sont démesurées : nous demandons à une seule personne de nous apporter ce qu'autrefois tout un village nous fournissait — sécurité, identité, amitié, sexualité, complicité émotionnelle et intellectuelle, goûts communs...Je ne vous fais pas la leçon, je suis le premier à tomber dans ce piège, tout en sachant parfaitement son absurdité.Le couple exige des compromis et un travail constant de construction à deux.Par ailleurs, nous entrons dans une relation avec une vision identitaire, un rêve de qui nous voulons devenir — souvent flou ou fantasmé.Quand on s'engage, ce n'est pas seulement l'autre qu'on cherche, mais une version future de soi-même. Ici aussi je plaide totalement coupable et ma 1ère longue relation s'inscrivait à 200% dans cette dynamique.Mais comme le souligne Esther, ce processus est inconfortable car l'autre ne change pas à notre rythme et ne comprend pas nécessairement le rôle implicite que nous lui avons assigné (m'apaiser, m'ouvrir, m'élever, m'intégrer…).Le changement personnel étant douloureux, nous finissons par reprocher à l'autre ce qui nous fascinait initialement. Ainsi, un partenaire choisi pour sa légèreté devient "irresponsable", une personne stable devient "ennuyeuse"…Le fantasme identitaire se heurte inévitablement à la réalité relationnelle.Et bien sur, les applications de rencontre aggravent le problème en alimentant l'illusion d'une offre infinie, comme si l'amour n'était qu'à un swipe de distance.Pour y avoir passé du temps, je vous rappelle (particulièrement si vous êtes en couple) que c'est aussi illusoire que ces couples Instagram où tout semble parfait.Raison #2 : Les papillons dans le ventre sont souvent un dangereux leurreNous avons tous éprouvé ces fameux papillons dans le ventre, cette sensation vertigineuse que nous pourchassons comme le nectar ultime de l'amour.C'est le moment où nous nous sentons le plus vivants d'ailleurs souvent considéré comme l'indicateur suprême de l'amour véritable.Franchement, quoi de plus délicieux que cette vibration viscérale ?J'adore personnellement cette sensation, mais les avertissements d'Alain de Botton m'ont ouvert les yeux : ce frisson que nous ressentons est très souvent une réaction à quelque chose de familier, parfois simplement l'activation d'un vieux schéma ou d'une blessure non cicatrisée.Voilà pourquoi nous sommes parfois attirés par des personnes qui ne nous conviennent pas du tout.En réalité, nous sommes attirés par ceux qui vont nous faire souffrir d'une manière qui nous est familière.Une relation calme, douce et respectueuse peut nous sembler étrange, "sans passion", voire profondément ennuyeuse, parce qu'elle menace notre scénario intérieur bien rodé.De Botton nous met en garde : ne confondez pas compatibilité avec familiarité traumatique. C'est extrêmement frustrant, car j'aime cette sensation d'intensité.D'ailleurs, même en sachant que c'est un indicateur défectueux, j'adore ces papillons et ce deuil n'est pas facile à faire (long way to go greg…ahahahhah).Alors à quoi se fier si les papillons sont trompeurs ?J'ai découvert que j'appliquais inconsciemment les conseils d'Alain de Botton quand je me sentais particulièrement à l'aise avec quelqu'un.L'une de ses questions préférées: "C'est quoi le weirdo en toi?" Parce qu'en vérité, sans masques ni artifices, nous sommes tous un peu étranges.Je sais que je suis vraiment amoureux quand j'ose révéler mes aspects les plus singuliers sans crainte du jugement, je laisse entrevoir ce qui se passe derrière le masque.Un autre signal essentiel selon lui — et auquel je suis attentif sans vraiment y réfléchir : observer si l'autre personne est capable de reconnaître ses propres biais et imperfections et si elle sait s'excuser quand ils se manifestent.Il faut également s'interroger honnêtement : sommes-nous nous-mêmes capables de cette introspection ? Je ne parle pas de sautes d'humeur passagères, mais de nos véritables zones d'ombre.On peut mesurer l'évolution d'une personne à sa capacité à reconnaître qu'elle est loin de l'idéal.Ce n'est pas quelque chose qu'on peut demander directement ; il faut l'observer à travers l'expérience partagée.L'objectif n'est évidemment pas l'auto-flagellation, mais une lucidité bienveillante sur nos mécanismes.Enfin, il est crucial de déterminer si la personne comprend que l'amour est une compétence plus qu'une émotion. Ressentir, bien sûr, mais surtout comprendre qu'un couple exige un travail commun, des compromis, des discussions et des efforts constants.Une amie a pris la décision d'aller voir un thérapeute de couple dès qu'elle a senti que sa relation devenait sérieuse.Non pas parce qu'ils rencontraient des problèmes, mais pour s'assurer que leur communication resterait toujours fluide.J'ai trouvé cette initiative particulièrement mature et judicieuse.D'ailleurs, je serais curieux de connaître votre opinion à ce sujet que certains pourraient qualifier de « tue l'amour ».Raison #3 : La catégorisation devient notre prison mentaleLorsque j'ai réalisé mon épisode sur les "pervers narcissiques", ma première observation fut celle-ci : quand tout le monde devient pervers narcissique, plus personne ne l'est véritablement.Et cette banalisation est irrespectueuse envers les véritables victimes.Cette réflexion s'applique à toute cette culture de surface et ces catégorisations simplistes que nous accumulons : styles d'attachement, langages de l'amour... sans oublier le mot fourre-tout "toxique", tellement galvaudé qu'il a perdu toute substance.Certes, se positionner sur un spectre a son utilité, mais comme son nom l'indique, c'est un "spectre" — il est rare d'incarner une seule catégorie pure.Personnellement, je trouve difficile d'identifier MON langage de l'amour principal, car tous me parlent profondément.Il en va de même pour la sexualité. Dans ce domaine, j'ai l'impression que nos corps communiquent directement.Certaines connexions sont extraordinaires, d'autres catastrophiques, sans que ce soit nécessairement la faute de quiconque. C'est ainsi, et ce n'est pas grave.Je l'avoue sans souci, j'ai été un « mauvais coup » pour certaines personnes mais j'espère un meilleur pour d'autres.J'ai souvent remarqué que cette alchimie se ressent dès le premier baiser. Cela dit, la sexualité reste un territoire d'exploration infini où nous devons d'abord accepter notre ignorance fondamentale.C'est particulièrement vrai pour les hommes car, d'après mon expérience, les femmes réagissent très différemment aux mêmes stimuli.Je n'ai pas d'expérience avec les hommes, mais j'imagine que c'est un peu plus mécanique — quoique vous pourriez me contredire.Au-delà de l'attraction initiale et des premières années, l'enjeu devient de faire durer le désir. J'ai adoré recevoir Anne et Jean-François Descombe sur ce sujet.Ils encouragent à dépasser l'idée reçue selon laquelle le sexe doit toujours naître spontanément du désir dans un couple établi.En réalité, aussi peu romantique que cela puisse paraître, il est souvent préférable de planifier des rendez-vous intimes, de créer délibérément des moments de connexion et de transcender les conventions en développant une perception corporelle plus subtile.Je n'ai jamais mis cette approche en pratique car ma compréhension de ces dynamiques est arrivée tardivement et mes relations récentes ont été trop brèves pour arriver à cet endroit. Cependant, j'observe que nous sommes souvent complètement déconnectés de nos corps sans même nous en rendre compte, parce qu'ils se protègent naturellement.Il faut réapprendre à ressentir, à ramener la sexualité dans le corps plutôt que dans la tête. C'est un travail considérable (pour moi aussi qui suis tellement cérébral).Raison #4 : Prisonniers de la performance, même dans l'intimitéLa sexualité demeure un enjeu majeur dans les relations, devenant souvent une difficulté dans les couples établis.Je crois que nous sommes conditionnés à la performance dans tous les domaines, alors que l'intimité devrait être précisément l'espace où cette pression n'existe pas.Pourtant, nous sommes obsédés par le plaisir de l'autre, et si nous échouons à l'atteindre, nous remettons tout en question. Cette pression existe pour les hommes, mais je la perçois encore plus forte chez les femmes.Un homme qui n'éjaculerait pas à répétition serait source d'inquiétude majeure pour sa partenaire, et probablement pour lui-même. J'ai conscience que mes propres biais transparaissent ici, mais j'ai l'impression que dans le sens inverse, ce serait moins problématique.Esther Perel dit: "Dis-moi comment tu as été aimé, je te dirai comment tu fais l'amour."Selon elle, notre histoire émotionnelle s'inscrit dans la physicalité de notre sexualité. Personnellement, il y a longtemps, j'entretenais une forme de respect que je qualifierais aujourd'hui de "déplacé" envers mes partenaires — déplacé parce que la sexualité n'implique pas un manque de respect.Typiquement, le problème résidait dans mon rapport à l'autre et à la sexualité en général.Un autre exemple peut être plus parlant pourrait être celui d'une femme qui n'oserait jamais dire à son partenaire qu'elle n'appréciait pas certaines pratiques sexuelles - cela illustre comment des schémas émotionnels anciens (peur du conflit ou de la désapprobation) créent des blocages dans l'intimité physique.Parfois, des couples apparemment harmonieux connaissent aussi des blocages sexuels malgré leur amour et leur entente.Esther Perel a développé toute une méthodologie de questions pour identifier comment nous avons appris à aimer, quelles ont été nos figures protectrices durant l'enfance, et si l'expression de nos émotions et de notre plaisir était considérée comme acceptable.Les réponses à ces questions révèlent comment nos expériences passées façonnent notre "plan érotique" et influencent nos défis émotionnels dans l'intimité.Notre histoire émotionnelle marque profondément notre sexualité, se manifestant à travers nos conditionnements, la reproduction de schémas relationnels, nos peurs de la vulnérabilité et la dynamique même de nos interactions intimes.Heureusement, la sexualité peut également devenir un outil pour accéder à des émotions profondes et résoudre des blocages que nous n'arrivions pas à surmonter autrement.En définitive, je crois que le couple n'existe pas pour "réussir" mais pour nous permettre de "ressentir".Nous devons impérativement nous libérer de cette logique performative et productiviste pour simplement nous sentir vivants.C'est une véritable révolution intérieure qui s'impose.Raison #5 : Nous entrons dans le couple pour évoluer, mais résistons au changementDepuis les Lumières, nous avons élevé l'individualisme au rang de valeur suprême. Comme je l'ai abordé dans une précédente newsletter, nous nous imposons une isolation que nous semblons apprécier, mais qui nous déconnecte de notre humanité fondamentale.La vie de couple exige d'articuler une dynamique entre préservation de son identité propre et connexion authentique avec l'autre.Comme évoqué dans la première raison, nous sommes des idéalistes irréalistes, portés par l'illusion d'un amour parfait qui nous transformerait en une version améliorée de nous-mêmes.Pourtant, lorsque nous nous engageons, cette promesse de métamorphose se heurte à la réalité.Nous ne choisissons pas un partenaire uniquement pour ses qualités ; inconsciemment, nous choisissons aussi une version future de nous-mêmes que nous aspirons à incarner — devenir plus calme, plus fort, plus complet.Esther Perel l'exprime magnifiquement : nous rencontrons l'autre pour retrouver une partie de nous encore inexplorée.Cette promesse d'évolution engendre cependant une tension profonde.Ce qui nous fascinait initialement devient source d'inconfort.Le calme apaisant se transforme en froideur détachée, la liberté joyeuse en irresponsabilité.La vision identitaire que nous avions imaginée entre en contradiction avec la réalité quotidienne du changement.Nous résistons à cette évolution parce qu'elle bouscule notre identité, même celle que nous avions idéalement construite.Le couple devient ainsi un espace paradoxal où nous aspirons à grandir tout en redoutant de perdre notre stabilité.Nous voulons évoluer, mais uniquement à notre rythme, sans que les transformations imposées par l'autre ne remettent en question ce que nous considérons comme notre essence. Ce conflit nous pousse souvent à rejeter ce qui devait nous transformer, à blâmer l'autre pour une inertie que nous percevons comme une trahison de notre idéal initial.Ce tiraillement entre l'envie d'ouvrir un nouveau chapitre et la peur d'abandonner l'image rassurante de notre identité constitue l'une des dynamiques les plus universelles et douloureuses de la vie à deux.C'est pourtant dans cette lutte que réside le potentiel d'une transformation authentique, si nous acceptons enfin le coût du changement intérieur.En conclusion: l'amour comme territoire d'exploration, non de performanceAimer aujourd'hui est difficile, non pas parce que nous serions devenus incapables d'aimer, mais parce que nous attendons de l'amour qu'il résolve tout.Qu'il nous apaise, nous élève, nous stimule, nous révèle.Qu'il nous offre simultanément la sécurité d'un foyer et l'ivresse d'une passion.Qu'il nous soutienne dans les moments difficiles tout en nous laissant respirer quand nous avons besoin d'espace.Ce n'est plus simplement une relation: c'est une architecture existentielle, un miroir identitaire, un incubateur de sens. C'est trop demander.Lorsque la réalité ne correspond pas à cette fiction intérieure, nous résistons.Nous accusons, fuyons ou nous replions.Nous croyons que l'autre nous blesse intentionnellement, alors qu'il réveille en nous des mémoires anciennes, des blessures non cicatrisées, des récits que nous tenons pour vérités absolues. Et nous l'avons vu, les papillons n'y sont pas pour rien…Nous oublions que dans toute relation, il n'existe jamais une vérité unique mais deux narrations distinctes — souvent incompatibles.Nous redoutons également le conflit, que nous confondons avec la fin de l'amour.Je déteste le conflit en bon « gentil », pourtant, un conflit traversé avec conscience est peut-être ce qu'il y a de plus vivant dans une relation.Il ne signale pas l'échec, mais la possibilité d'un lien authentique — non plus idéalisé, mais profondément incarné.Le couple n'a pas vocation à nous rendre heureux comme le ferait un produit fini.Il existe pour nous faire grandir, parfois nous ébranler, souvent nous décaler.Aimer n'est pas maîtriser, ni guérir, ni même comprendre entièrement.C'est oser traverser l'inconfort du lien sans fuir à la première dissonance.C'est abandonner l'idée qu'il existe une méthode parfaite pour aimer, pour embrasser la complexité d'un ch Suggestion d'autres épisodes à écouter : [Solo] Ca veut dire quoi d'être un homme? (https://audmns.com/VrvDGYA) [NEWS] La gentillesse est-elle toujours une vertu? (https://audmns.com/fsjMsBo) [NEWS] Le paradoxe du siècle « social » que l'on fait mine d'ignorer (https://audmns.com/CREUtAc)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes aujourd'hui avec une figure singulière de la scène gastronomique parisienne. Véritable restaurateur au sens noble du terme, il a rafraîchi le style des cafés et bistrots parisiens. Notre invité est Charles Compagnon, le propriétaire des restaurants le Richer, le 52 et le Café Compagnon. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné d'Élisa Gautier, la fondatrice du restaurant Kiosk à Paris.Dans ce 4ème et dernier chapitre, Charles nous livre sa vision de la restauration d'aujourd'hui et de demain. Et il nous raconte ses projets pour l'avenir ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
INÉDIT - Betty Lefèbvre recherche désespérément sa fille aînée depuis plus de douze ans. Julie Michel s'est volatilisée sur la route de ses vacances à l'été 2013, depuis plus aucun signe de vie de la jeune femme. Aujourd'hui l'enquête repart. Dans ce podcast inédit, découvrez un supplément de l'émission de L'heure du crime. Questions oubliées, ou qui n'ont pas pu être posées à l'antenne, Justine Vignaux reste en studio avec l'invité(e) de Jean-Alphonse Richard, pour en savoir plus sur l'affaire du jour. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans les hauts de Belleville, à Paris, dans un immeuble des années 1960, Jeanne Cherhal habite un appartement « sans moulures ni fioritures ». Dans son « cocon en étage élevé », la chanteuse nous accueille parmi ses « objets bienveillants ». Dans la cuisine, une affiche du film « Jules et Jim », avec l'actrice Jeanne Moreau qu'elle adule, et une autre de David Bowie, Ziggy Stardust étant un de ses albums de chevet. Dans une autre pièce, elle s'amuse d'une tasse blanche qu'elle a volée dans un hôtel de Bretagne et qui lui rappelle un bon concert qu'elle avait fait la veille. Au milieu de valises éparpillées en vue d'un prochain voyage, Jeanne Cherhal raconte la formation de son goût.Elle a grandi près de Nantes avec ses deux sœurs, son père plombier, « attentif à ne pas gaspiller l'eau », et une mère institutrice, « passionnée de théâtre, de cinéma et de littérature ». Dans l'enfance, Jeanne Cherhal pratiquait la danse classique, mais c'est finalement la musique qui l'a emporté. Elle apprend le piano en autodidacte, en reprenant note à note l'album « Sheller en solitaire », sorti en 1991. Parmi les figures qui ont marqué son adolescence, elle désigne aussi Alain Souchon, Patricia Kaas, Kurt Cobain, Véronique Sanson…C'est après avoir assisté à la prestation émouvante d'un chanteur de bar avec accordéon qu'elle se décide à écrire elle-même ses propres chansons sur un petit clavier électronique, alors qu'elle étudiait la philosophie à l'université. Jeanne Cherhal évoque aussi son septième album, « Jeanne », qu'elle a écrit et réalisé avec son complice Benjamin Biolay. Après avoir percé dans la chanson française au début des années 2000, l'artiste de 47 ans continue, au piano, d'aborder des thèmes comme la vie, la féminité, le temps qui passe, l'époque post-MeToo, les rapports homme-femme, le couple et le désir.Cet épisode a été publié le 18 avril 2025.Depuis six saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Qu'ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal), préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et de Juliette SavardRéalisation : Emmanuel BauxMusique : Gotan Project Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Dans chaque société, il y a des mots, des expressions qui, depuis des années voire des décennies, sont répétés à longueur d'interviews, discours, publications, conversations jusqu'à irriguer le langage quotidien.
Evadons-nous à l'occasion du sujet de la semaine, au pays du Far West, des Cow-Boy, des rodéos, de la Country, des saloons, des « durs à cuire ». Puisqu'en effet nous abordons le travail de l'agence Clayton-Korte implantée à Austin et San Antonio au Texas aux Etats-Unis. Une agence dont la création remonte en 2014 année ou Paul Clayton et Brian Korte font connaissance lors d'une rencontre sur l'architecture.Dans ce numéro de Com d'Archi et comme il est d'usage, le désir d'architecture des protagonistes est interrogé et deux des projets de l'agence sont étudiés: une grange en Californie très exposée à l'ensoleillement, une cave à vin à flan de colline au Texas dont la fraicheur doit être régulée. Quelles réponses architecturales l'agence Clayton Korte apporte-t-elle à ces deux situations contrastées? A découvrir dans ce numéro.Image teaser © Casey DunnIngénierie son : Julien Rebours____Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pourretrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichirvotre regard sur le sujet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode Antoine Gouy se retrouve avec Mélanie et Ginger, et hasard du calendrier c'est son anniversaire aujourd'hui !! Vous allez apprendre à un peu mieux connaître notre nouvelle paillette. Et est-ce que ça va chanter ? Un peu, forcément ! Et est-ce qu'on rigole ? Totalement ! Et est- ce qu'on part dans tous les sens même quand il n'y a pas Manu Payet … Aussi, maaaais … Peut-être un peu moins ! A Vous de nous dire ce que vous en pensez
[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] Le 6 août 2020, Amandine, 13 ans, meurt affamée et sous les coups de sa mère Sandrine Pissara. Sandrine Pissara a cinq enfants mais Amandine, sa quatrième, elle ne l'aime pas. Elle la déteste tellement qu'elle la frappe, l'affame, l'insulte et l'humilie depuis qu'elle est toute petite. En janvier 2025, Sandrine Pissara est jugée coupable de « violences » et d'« actes de torture ou de barbarie ayant entraîné la mort sans intention de la donner » et condamnée en janvier 2025 à la réclusion criminelle à perpétuité avec une période de sûreté de vingt ans. Dans cette nouvelle saison Caroline Nogueras vous raconte cette terrible affaire. Le procès de la barbarie Nous sommes dans la grande salle du tribunal de Montpellier, pleine à craquer. Les gens veulent voir le visage du bourreau et de celui qui n'a rien fait pour protéger Amandine, son beau-père Jean-Michel. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Capucine Lebot Voix : Caroline Nogueras En partenariat avec upday Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Aujourd'hui, c'est au tour d'Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée nationale, de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
Confidences inédites, souvenirs insolites et anecdotes surprenantes... Dans ce podcast inédit, les Grosses Têtes répondent aux questions... Des autres sociétaires ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode de 5 minutes de français, Émilie et Sébastien discutent des grandes inventions qui ont marqué notre quotidien. De la pénicilline découverte par […] L'article Les grandes inventions – 5 minutes de français est apparu en premier sur Français avec Pierre.
Être le roi de la plus belle plage au monde.C'est le rôle que tient depuis plus de 30 ans Christophe Coutal, patron de Moorea Plage près de Saint-Tropez et maire adjoint de la ville.Un personnage haut en couleur, profondément attaché à sa terre, à ses clients et à une certaine idée de l'hospitalité.Son secret ? Il incarne son lieu. Il passe entre les tables, il fait le show et parle à tout le monde. Ici, personne ne vient juste déjeuner : on se sent chez soi, donc on revient.Plutôt que de céder à la mode du bling et des pourboires à cinq chiffres, Christophe a misé sur la fidélité. Il refuse les coups d'éclat, les clients éphémères et les prix délirants.“Je suis le plus mauvais plagiste de Pampelonne… Mais je serai encore là quand les autres seront partis.”Chaque été, Moorea affiche complet. Le restaurant sert des centaines de couverts par jour et génère près de 8 millions d'euros en une saison.Dans cet épisode, il nous raconte les coulisses de ce business si particulier : les règles du jeu quand on gère un établissement saisonnier, comment bien recruter, l'exigence du service — et tous ces détails qu'on ne voit pas toujours depuis son transat.Un régal ! Foncez.Merci à notre partenaire Red Bull d'avoir rendu cette série possible, et de nous donner des ailes pour aller toujours plus loin. Dans cette série spéciale, nous mettons en lumière des personnalités phares du secteur des CHR en France (cafés, hôtels, restaurants). Pour cette série spéciale comme pour tous les épisodes de GDIY, notre équipe garde toujours la main sur la ligne éditoriale et le choix des invités. Nous espérons que ces épisodes vous plairont autant qu'à nous.Vous êtes dans le business du hors domicile et gérants d'établissements (bar, club, restaurant, vente à emporter) ou bien organisateur de festival ? N'hésitez pas à remplir vos coordonnées en cliquant sur le lien suivant : https://www.gdiy.fr/red-bull/Les 100 premiers inscrits pourront bénéficier d'un pack de gratuités de la part Red Bull.TIMELINE:00:00:00 : Tous les Tropéziens ne sont pas riches et le drame des droits de succession en France00:12:42 : Comment devenir plagiste00:20:10 : “No parking, no business”00:31:13 : Comment est fixé le prix d'un matelas00:41:19 : Les meilleurs conseils de vie et de business00:51:59 : Bernard Arnault pourrait être le maire de St-Tropez00:58:44 : Refuser la clientèle russe : tout faire pour maintenir l'authenticité et exister pour l'éternité01:15:12 : Le prix moyen chez Moorea01:22:26 : Ku Klux Klan, les Beatles et Obélix01:33:40 : Comment attirer la bonne typologie de client01:44:51 : Quand un plagiste gagne plus qu'un inspecteur des finances01:55:19 : La mixité à Saint-Tropez et l'élégance02:06:32 : Comment satisfaire le client quoi qu'il en coûte02:26:28 : La pire anecdote de ChristopheLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #461 - Sébastien Bazin - PDG du groupe Accor - Diriger un groupe coté en bourse sans ordinateur#374 - Laurent de Gourcuff - Confessions et secrets du roi de la nuit#364 - Jo-Wilfried Tsonga - Tennisman - Le 5ème des Big Four#250 - Alain Ducasse - Faire de sa cuisine un apprentissage, une passion et une marque mondiale#373 - Benjamin Cardoso - The Polar Plunge - Faire de son corps une Ferrari#255 - Jean Todt - ONU, FIA, Ferrari - Légende vivante du sport automobileNous avons parlé de :Saint-TropezMoorea PlageAfrican QueenMoorea - Gypsy KingsA Mi Manera (Comme D'Habitude) - Gipsy KingsBoulder (Ville du Colorado)Shirley Bassey (chanteuse)Les recommandations de lecture : The iceman, suivez le guide - Pour sublimer votre extraordinaire potentielLes hommes viennent de Mars, les femmes viennent de VénusDix petits nègres (Agatha Christie)Les oubliés (John Grisham)Vous pouvez retrouver la page Instagram de Moorea ici.Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Un immense merci à toute la team Club Med pour cet enregistrement hors du temps au resort de Serre-Chevalier.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Send us a textGary returns from his Atholl Highlanders tour with more great music from his collection of all things bagpipes.PlaylistThe Battlefield Band with Tending the Steer, Sandy Thompson and the Calrossie Cattle Wife from Harps, Pipes and Fiddles The Scottish Power Pipe Band with MacLeod's Oran Mor, Rory MacLeod, Donald Cameron's Powder Horn and Donald, Willie and his Dog from Cathcart. Willie McCallum with The Knightswood Ceilidh, The Cameronian Rant and Charlie's Welcome from Hailey's SongSteven Bodenes and Sylvain Hamon with Daou don Dans from Daou Don DansHazel Whyte with Major Manson at Clachantrushal, Susan MacLeod and Alick C MacGregor from EYP Live at Piping LiveBeinn Lee with Lexy MacAskill, The Ben Kenneth Reel, Air an Fheill a-Muigh and The Fourth Floor from Osgarra Jori Chisholm with Angus G MacLeod from Bagpipe RevolutionRS MacDonald with Good Drying from Good Drying LinksInfo and Nomination Form for the Maket CollectiveSupport the show
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne conversation entre Charlotte Hellman-Cachin et Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 21 mars 2025.Dans ce premier épisode, Charlotte Cachin raconte la jeunesse de son arrière-grand-père, Paul Signac, le célèbre peintre néo-impressionniste. Elle explore son parcours artistique, marqué par son intérêt pour les jeunes peintres et sa curiosité pour de nouvelles techniques. Elle met en avant un homme heureux et un anarchiste pacifiste, qui partage sa vie entre Paris et Saint-Tropez. Enfin, elle évoque sa vie privée, notamment sa relation avec Jeanne Selmersheim-Desgrange et son épouse Berthe Roblès, ainsi que la naissance de sa fille avec Jeanne.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Elles ont recueilli plus de 80 témoignages et révélé l'affaire. Dans leur livre “Anatomie d'une prédation”, paru en avril 2025, les journalistes Alice Augustin et Cécile Ollivier, du magazine Elle, ont enquêté sur les accusations d'agressions sexuelles et de viols à l'encontre de Gérard Miller. Ce psychanalyste de 76 ans, ancienne star de la télévision et professeur à l'université, aurait agressé de très jeunes filles, notamment lors de séances d'hypnose, chez lui.Dix femmes ont déposé plainte à ce jour. L'ex-chroniqueur de l'émission “On a tout essayé” sur France 2 nie les faits qui lui sont reprochés. Une enquête a été ouverte en février 2024 pour viols et agressions sexuelles mais Gérard Miller n'a pas encore été entendu.Alice Augustin et Cécile Ollivier retracent l'affaire et leur enquête dans Code Source. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous sommes aujourd'hui avec une figure singulière de la scène gastronomique parisienne. Véritable restaurateur au sens noble du terme, il a rafraîchi le style des cafés et bistrots parisiens. Notre invité est Charles Compagnon, le propriétaire des restaurants le Richer, le 52 et le Café Compagnon. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné d'Élisa Gautier, la fondatrice du restaurant Kiosk à Paris.Dans ce 3ème chapitre, Charles nous raconte l'ouverture de ce qui deviendra son plus grand restaurant (et sa plus grande fierté) : le Café Compagnon. On découvre surtout une nouvelle facette du restaurateur.Sa curiosité sans limite l'a poussé à créer sa propre bière artisanale, à torréfier son café et même à acquérir des vignes. Pour lui, chaque étape de la production est un terrain d'expérimentation et de maîtrise. Son objectif : produire pour mieux comprendre, transmettre et créer du lien avec ses équipes et ses clients. Cette quête incessante de qualité et d'excellence se nourrit de rencontres avec des artisans passionnés, renforçant son approche unique de la restauration. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est un secret de famille qui ne sera jamais percé...Plus de soixante-dix ans après, l'affaire Dominici demeure l'un des mystères les plus obsédants de la chronique criminelle, enfoui derrière les murs d'une ferme posée sur les rives de la Durance, entre Manosque et Digne...Dans la chaleur d'une nuit d'été, les Drummond, le père, la mère et leur petite fille de dix ans, étaient retrouvés massacrés dans ce coin isolé...Ils s'étaient arrêtés pour camper...On a entendu des coups de feu mais personne n'a rien vu Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est un secret de famille qui ne sera jamais percé. Plus de soixante-dix ans après, l'affaire Dominici demeure l'un des mystères les plus obsédants de la chronique criminelle, enfoui derrière les murs d'une ferme posée sur les rives de la Durance, entre Manosque et Digne. Dans la chaleur d'une nuit d'été, les Drummond, le père, la mère et leur petite fille de dix ans, étaient retrouvés massacrés dans ce coin isolé. Ils s'étaient arrêtés pour camper. On a entendu des coups de feu mais personne n'a rien vu. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 15 avril 2025 : Mireille Weinberg, rédactrice en chef adjointe au magazine Capital.Guerre commerciale de Trump, soubresauts géopolitiques...en ces temps incertains, est-ce le moment d'investir ? Le cours de l'or, à plus de 3.000 dollars l'once, est au plus haut, le taux du livret A baisse en raison d'une faible inflation...Et les placements financiers dans la défense européenne sont très attractifs. Dans ce contexte mouvementé, que faire de son argent ? Si on a des projets à financer, quels sont les placements les plus sûrs ? Les plus rémunérateurs ?
Dans cet extrait, Charlotte Meyer, journaliste et autrice engagée pour l'écologie, partage son parcours personnel et ses réflexions sur la parentalité et l'écologie. Elle aborde la complexité de faire un choix conscient d'avoir des enfants dans un monde confronté à de multiples crises, notamment climatiques. Elle nous parle des familles qu'elle a rencontrées et de son expérience en tant que mère, montrant que la parentalité n'est pas incompatible avec un mode de vie respectueux de l'environnement. Elle plaide pour une éducation réinventée et souligne que la parentalité peut être une révolution invisible, essentielle pour construire un monde plus désirable, résilient et conscient des limites écologiques.L'épisode intégral est à retrouver sur toutes les plateformes d'écoutes de podcast le 17/04/2025. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après deux ans de guerre, le Soudan est un un pays détruit et sa population est prise en otage par deux généraux qui se disputent le pouvoir. La situation humanitaire est désastreuse, avec un accès très réduit à l'aide. Dans cette édition spéciale, découvrez les témoignages de notre correspondant régional, qui s'est rendu sur place il y a un mois. Nous évoquerons également la situation sanitaire, notamment au Darfour avec Michel Olivier Lacharité, responsable des opérations d'urgence à MSF.
Dans cet épisode, William partage les enseignements qu'il a tirés de la série Bref 2 et souligne l'importance de savoir prendre des décisions et de bien s'entourer.
Dans cet épisode, j'ai le plaisir d'accueillir Olivier Sibony, professeur à HEC Paris, auteur de La Diversité n'est pas ce que vous croyez, et expert en biais congnitifs et prise de décision. Olivier nous invite à repenser le leadership et la diversité en entreprise, en déconstruisant les stéréotypes hérités du passé et en réévaluant la manière dont nous sélectionnons nos leaders.Nous abordons des sujets essentiels, comme la remise en question du modèle héroïque du leadership, la diversité comme symptôme d'un problème plus profond, et l'importance de repenser les processus de recrutement pour une véritable inclusion. Olivier met en lumière que les biais cognitifs, bien que souvent pointés du doigt, ne sont qu'une partie de l'équation. Il plaide pour un leadership qui soit avant tout une posture choisie, fondée sur l'interaction et le service à l'équipe, plutôt que sur l'autorité et la compétition.Un échange passionnant pour remettre en question nos pratiques managériales et ouvrir la voie à un leadership plus inclusif et performant.Bonne écoute ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:49:39 - La 20e heure - par : Eva Bester - Gaëlle Obiégly est l'invitée de Grand Canal pour nous parler de son livre, Sans valeur, publié aux éditions Bayard. - invités : Gaëlle OBIEGLY - Gaëlle Obiégly : Écrivain - réalisé par : Lola COSTANTINI
On rêve tous. Des rêves étranges, drôles, troublants... Qui en disent long, très long sur nous. "J'ai rêvé trop fort », le nouveau podcast de Bababam, vous plonge dans les nuits de vos personnalités préférées. Dans chaque épisode, un.e invité.e partage, au micro de Louis Cattelat, ses rêves les plus fous et ses souvenirs de nuits les plus mouvementées, pour une exploration dans son imaginaire nocturne. Une conversation drôle, intime et pop ! Le podcast est à écouter ici. Une production Bababam Originals Un podcast audio et vidéo, disponible sur toutes les plateformes d'écoutes (Bababam, Spotify, Apple Podcasts, Spotify, Castbox, Deezer Podcast Addict etc...) et sur Youtube. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le 6 août 2020, Amandine, 13 ans, meurt affamée et sous les coups de sa mère Sandrine Pissara. Sandrine Pissara a cinq enfants mais Amandine, sa quatrième, elle ne l'aime pas. Elle la déteste tellement qu'elle la frappe, l'affame, l'insulte et l'humilie depuis qu'elle est toute petite. En janvier 2025, Sandrine Pissara est jugée coupable de « violences » et d'« actes de torture ou de barbarie ayant entraîné la mort sans intention de la donner » et condamnée en janvier 2025 à la réclusion criminelle à perpétuité avec une période de sûreté de vingt ans. Dans cette nouvelle saison Caroline Nogueras vous raconte cette terrible affaire. Un huis clos mortel Présentée à un expert psychiatre dans le cadre de l'enquête, Sandrine ne présente, semble-t-il, aucune anomalie mentale. D'un point de vue purement psychiatrique, elle est donc considérée comme une femme normale. Une femme incapable de surmonter ses ruptures amoureuses, mais saine d'esprit. Quand sa relation avec Frédéric Florès, le père d'Amandine, prend fin, il faut un coupable. Quelqu'un doit payer. Et c'est Amandine... Un podcast Bababam Originals Ecriture : Capucine Lebot Voix : Caroline Nogueras En partenariat avec upday Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Confidences inédites, souvenirs insolites et anecdotes surprenantes... Dans ce podcast inédit, les Grosses Têtes répondent aux questions... Des autres sociétaires ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.