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Chaque dimanche, Gavin's Clemente Ruiz explore la richesse des églises de France, en révélant leur histoire, leur singularité, ainsi que les activités culturelles et spirituelles qui les animent. Dans ce nouvel épisode de “L'Eglise au milieu du village”, direction les environs de Tarascon, dans les Bouches-du-Rhône, pour découvrir l'Abbaye Saint-Michel de Frigolet.L'Eglise au milieu du village est un podcast issu de l'émission Le Club de l'été sur Europe 1.- Présentation : Gavin's Clemente Ruiz - Diffusion : Clara MénardHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En 2003 à Istres dans les Bouches-du-Rhône. Nadine Chabert disparait mystérieusement. Dans ce dossier, il y a deux théories qui s'opposent et une vérité judiciaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En 2003 à Istres dans les Bouches-du-Rhône. Nadine Chabert disparait mystérieusement. Dans ce dossier, il y a deux théories qui s'opposent et une vérité judiciaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouveau podcast, les Grosses Têtes doivent deviner à qui appartiennent les anecdotes qu'elles entendent avec des voix trafiquées ! Christophe Beaugrand et Adil Rami mènent l'enquête une nouvelle fois ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi une scène ultra-violente dans une série nous atteint moins qu'avant ? Pourquoi faut-il aujourd'hui plus d'intensité, plus de choc, pour ressentir quelque chose ?Dans cet épisode, on part d'un simple décalage vécu devant un écran pour remonter un fil beaucoup plus large : un siècle de fiction, l'économie de l'attention, l'explosion des images réelles filmées au téléphone, et notre système nerveux qui s'habitue sans nous prévenir.On explore ce que la psychologie sait de la désensibilisation, ce que la sociologie dit de la disparition des médiations collectives, et ce que tout cela change dans notre rapport au tragique, aux autres, et au monde qui nous entoure.Un épisode pour comprendre comment notre seuil sensible se déplace, et comment continuer à regarder sans s'éteindre.
Bienvenue dans La Leçon, le podcast sur l'art d'échouer. Pour cet épisode hors-série, je retrouve ma copine Manon Lugas alias lecul_nu pour 1h30 de fous rires autour de nos plus beaux fails. (désolée par avance pour vos oreilles)Dans ce format iconique, on se raconte nos pires moments de honte, nos ratés les plus absurdes et toutes ces situations gênantes qui font aujourd'hui de très bonnes histoires. Une discussion sans filtre, comme si vous étiez avec nous.Bonne écoute les copains
durée : 00:05:04 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Avant le Téléthon, la recherche sur les maladies rares était très éparse. Trois ans après l'arrivée en France de ce marathon télévisuel, l'Association française contre les myopathies crée son propre laboratoire, financé essentiellement avec les dons : le Généthon. Quelles sont ses particularités ?
Dans cet épisode, Laurent reçoit à nouveau Lucas Lefebvre, cofondateur de La Fourche, le magasin bio en ligne le moins cher de France. Trois ans après son premier passage, il revient nous expliquer comment La Fourche a affiné son modèle, renforcé son ADN et accéléré sa croissance, alors même que le marché du bio vivait ses pires années. Car si La Fourche superforme dans un écosystème en chute libre, c'est grâce à son modèle d'adhésion : un pilier qui lui permet de casser les prix des produits en réduisant drastiquement les coûts publicitaires. Résultat : l'entreprise a enregistré +76% de croissance en 2023, alors que le marché du bio reculait d'environ -10%. Sa marque propre compte désormais 400 références et représente plus de la moitié des ventes. Au programme : 00:00:00 - Ouverture / introduction de l'épisode00:10:25 - Assortiment : vrac, antigaspi et optimisation des références00:19:42 - Modèle, risques et annonce de la levée00:22:39 - Contexte marché et performance 00:36:55 - Marque propre La Fourche : évolution, 400 références et part des ventes 00:53:24 - Marketing / campagnes : tests TV, spots et résultats00:59:25 - Acquisition et tests de notoriété01:02:53 - Impact carbone : livraison ≈ 3 fois moins d'émissions qu'un déplacement en magasinEt quelques dernières infos à vous partager :Suivez Le Panier sur Instagram @lepanier.podcast !Inscrivez- vous à la newsletter sur lepanier.io pour cartonner en e-comm !Écoutez les épisodes sur Apple Podcasts, Spotify ou encore Podcast AddictHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis des années, je vois partout ces "A" rouges avec un cœur.Sur les pulls, dans la rue, en vitrine.Et comme beaucoup, je me suis demandé : comment cette marque est devenue un phénomène ?Et surtout : qui pense et qui dirige ce succès mondial ?C'est pour cela que je suis ravie de vous partager aujourd'hui l'histoire de Nicolas Santi-Weil.À la tête d'Ami, il a aussi été au cœur du succès iconique de The Kooples. Un visionnaire qui fait partie de ces dirigeants capables de bâtir des marques cultes, mais dont on ne connaît presque rien.Alors je l'ai invité pour comprendre les mécanismes invisibles : les décisions qui changent un destin, les intuitions qui arrivent au bon moment, les risques qu'on prend sans savoir si ça va marcher.Dans cet épisode, il nous raconte sans détour ce que la mode ne dit jamais : ce qu'elle exige, ce qu'elle épuise parfois, mais aussi cette énergie créative qui donne envie de tout réinventer.Il explique comment une marque devient culte, ce qui se joue vraiment derrière sa croissance, pourquoi Shein au BHV est pour lui un signal alarmant du système, pourquoi le nombre de logos doit être maîtrisé pour ne pas banaliser une silhouette, et comment on garde du sens quand tout accélère autour de soi.Et puis, il y a son histoire à lui.Celle d'un instinctif, d'un passionné, d'un dirigeant visionnaire marqué par des blessures, des rencontres, des moments de bascule qui ont forgé une urgence de vivre et un rapport au monde profondément humain.Une histoire qui l'a mené à la mode, mais aussi à la musique, à l'entrepreneuriat, et à des projets engagés comme les concerts “Invincibles Ensemble” à l'Olympia.Une conversation riche, sincère, inspirante. Une de celles qui restent.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Grèce, la situation dans les hôpitaux publics est jugée « misérable » par les professionnels de santé qui y travaillent. Le mois dernier, les médecins hospitaliers ont observé une grève de deux jours, suivie, fin novembre, d'une autre grève, de la part cette fois des infirmiers. Tous tirent la sonnette d'alarme sur un système public en ruines, qui ne s'est jamais relevé d'une décennie de crise économique. Pour les patients, le résultat, ce sont de longues heures d'attente sur place ou des mois pour obtenir un rendez-vous. En surplomb des décorations de Noël qui illuminent déjà la place Syntagma, au cœur d'Athènes, une tribune éphémère. C'est là, en face du Parlement, qu'infirmières et infirmiers se succèdent au micro en cette journée de grève. « Nous travaillons six jours par semaine au lieu de cinq », se lamente ainsi cette infirmière qui évoque une intensification « gigantesque » du travail à l'hôpital en raison du manque criant de personnel. Ces infirmiers se disent « épuisés » et appellent à la fois à des « recrutements massifs » et des augmentations de salaires. Toujours à Athènes, direction l'hôpital public d'Evangelismos, le plus grand du pays. À la tête du syndicat des employés, Giorgos Ferentinos est cardiologue-réanimateur. Pour lui, la situation des hôpitaux publics grecs ne cesse de se dégrader. Dans son seul hôpital, il y a plus de mille postes vacants. « Avant la pandémie, en Grèce, huit hôpitaux ont fermé en raison de la crise économique. Et, depuis, ces hôpitaux sont restés fermés. Résultat : les autres hôpitaux publics encore en fonctionnement font face à un volume de travail énorme. On estime actuellement qu'il manque plus de 6 000 médecins dans tout le pays. Un grand nombre de collègues médecins ont choisi de partir travailler soit à l'étranger, soit dans le secteur privé, justement à cause de la dégradation de nos conditions de travail : un rythme, à l'hôpital, de plus en plus intense avec, en parallèle, des salaires très bas. » Un système public à bout de souffle, poussé vers la privatisation Ici, faute de personnel, sept salles d'opération sont fermées et 35 lits de soins intensifs restent inutilisables. Et ceux qui en souffrent, ce sont les patients. Illustration avec cette trentenaire, hôtesse d'accueil au cœur d'Athènes. Pendant près de 10 ans – et jusqu'à son décès en 2023 –, elle a accompagné sa mère, atteinte d'un cancer du poumon, dans presque tous les hôpitaux publics de la région. « Quand ma mère a été hospitalisée, les infirmiers n'étaient tout simplement pas assez nombreux pour s'occuper des patients. Il fallait donc que nous assumions nous-mêmes en partie la responsabilité de la soigner. Même pour quelque chose d'aussi basique que demander à changer les draps, il fallait supplier, parce qu'ils n'en avaient pas. On devait aussi se charger de tout ce qui concernait l'hygiène, appeler les infirmières et attendre des heures, parce qu'elles étaient débordées. Et pour les médecins, c'était la même chose. » À l'agonie, le système hospitalier public grec, qui subsiste en partie grâce aux sacrifices du personnel soignant, se privatise progressivement. Depuis un an et demi, des interventions chirurgicales payantes l'après-midi et le soir permettent d'éviter les listes d'attente qui s'étalent sur des mois, voire des années. Un système de santé « public » où la priorité va dorénavant à ceux qui peuvent payer. À lire aussiGrèce: le Parlement grec adopte la possibilité d'une journée de travail de 13 heures
Bienvenue sur Sensées, le format audio de ma newsletter hebdomadaire. Chaque semaine, je vous partage avec authenticité des conseils de leadership féminin, des expériences vécues et toute l'énergie dont vous avez besoin pour réussir avec confiance et sérénité.Cette semaine : Pourquoi la vie personnelle et professionnelle s'influencent : 7 situations où les femmes leaders ne peuvent pas cloisonner.Dans cet épisode de Sensées, Jenny Chammas, mastercoach certifiée et fondatrice de Coachappy, explore un sujet auquel toutes les femmes leaders sont confrontées : la manière dont la vie personnelle et professionnelle s'entremêlent, parfois malgré nous. Car au-delà des injonctions à cloisonner, la réalité est simple : nous sommes un seul et même être, et ce que nous vivons dans notre intimité impacte notre façon de travailler. Apprendre à accueillir cette porosité plutôt qu'à la combattre est une étape cruciale pour préserver son énergie, son équilibre et son leadership.À travers sept situations réelles tirées de son expérience de coach, Jenny met en lumière comment la vie personnelle et professionnelle s'influencent profondément : la parentalité, la charge domestique, le couple, la santé, les transitions familiales, l'expatriation, la maladie, mais aussi les moments heureux comme un début de relation amoureuse. Ces exemples illustrent que vouloir cloisonner coûte bien plus d'énergie que d'accepter ce qui est. Car ce qui épuise les femmes leaders n'est pas seulement ce qu'elles vivent dans leur vie privée : c'est aussi la pression ajoutée de devoir “faire comme si de rien n'était” au travail.Ce que vous saurez faire après écoute :– Comprendre pourquoi il est illusoire de séparer strictement vie personnelle et professionnelle.– Identifier les zones de tension émotionnelle qui influencent votre performance au travail.– Reconnaître la surcharge mentale liée à la résistance, au contrôle et à la culpabilité.– Trouver une posture plus douce et plus durable pour avancer même en période de turbulence.– Apprendre à traverser les tempêtes sans perdre totalement votre énergie professionnelle.Cet épisode est une invitation à regarder avec honnêteté comment votre réalité intérieure influence vos journées et vos décisions. Plutôt que de chercher à cloisonner coûte que coûte, Jenny vous propose de développer une approche plus humaine, plus lucide et plus résiliente : accueillir ce qui se passe, ajuster votre niveau d'exigence, exprimer vos besoins lorsque c'est possible et accepter que l'équilibre n'est jamais figé.Après vingt ans de carrière en entreprise, d'expatriation, de direction, de reconversion et de parentalité, et après avoir accompagné des centaines de femmes, Jenny partage des clefs pragmatiques et profondes pour avancer avec clarté, sans s'effondrer ni se juger. Car la véritable question n'est pas “Comment cloisonner ?” mais : “Comment traverser la vie personnelle et professionnelle lorsque tout bouge en même temps ?”.Pour aller plus loin, découvrez le programme Sensées, conçu pour aider les femmes leaders à sortir du surmenage et à construire un leadership durable. Cliquez ici pour en savoir plus.****Rejoignez la newsletter Sensées : elle vous donne accès à un concentré de coaching, d'inspiration et à un workshop offert chaque mois. Inscrivez-vous gratuitement en cliquant ici. Tout comme sur le podcast Sensées, on y parle de leadership, d'ambition, de confiance en soi, de motivation, de carrière, d'outils de développement personnel, de management, de prise de poste, de prise de parole, et. : bref, de tout ce qui concerne le quotidien des femmes ambitieuses.***Sensées, c'est aussi un programme de coaching pour les femmes dirigeantes, top managers et entrepreneures. Au sein du programme Sensées, vous êtes accompagnée en petit groupe ET en individuel dans votre croissance professionnelle. Vous êtes aussi formée et mentorée pour incarner pleinement votre leadership, avec les maîtres mots sérénité, plaisir, hauteur et impact. Intéressée ? Cliquez ici pour en savoir plus.**Notre guide "10 leviers essentiels pour les décideuses" est un véritable concentré d'outils de coaching et de mentoring, les mêmes que nous utilisons dans le programme Sensées. Il est conçu pour toutes les directrices, dirigeantes et entrepreneures qui sont fatiguées de porter seules les responsabilités. Si vous avez l'impression que votre quotidien vous échappe petit à petit, ce guide est fait pour vous. Cliquez ici pour obtenir votre exemplaire offert !*Vous représentez une entreprise et souhaitez développer le leadership de vos talents féminins ? : cliquez ici.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette interview, animée par Raphaëlle de Barmon, le père Jean-Yves Ducourneau, à travers la présentation de son livre, revient sur cette grande figure spirituelle : Saint Vincent de Paul. Livre : Saint Vincent de Paul : Vivre pour le meilleur (Téqui)
Dans cet épisode, frère Edouard Domini nous présente Jésus comme le fils de Dieu.
Alors que l'expérience et la compétence devraient être des atouts pour retrouver un emploi, la réalité est souvent plus complexe. Les femmes, victimes d'inégalités tout au long de leur carrière, sont également les premières victimes de l'âgisme sur le marché du travail. Passé un certain âge, beaucoup d'entre elles se heurtent à des stéréotypes persistants : «trop vieilles», «moins adaptables», ou «en fin de carrière». Quelles conséquences sur leur évolution professionnelle et leur sortie précoce de l'emploi ? Dans un contexte de vieillissement de la population active, les entreprises affichent désormais des politiques d'inclusion et de diversité. Comment faire évoluer les mentalités et les pratiques pour que l'âge ne soit plus perçu comme un handicap mais comme une richesse ? Comment mieux valoriser les compétences des femmes de plus de 50 ans et leur offrir de vraies perspectives jusqu'à la fin de la carrière professionnelle ? Avec : • Laetitia Vitaud, conférencière sur le futur du travail, experte au Laboratoire Welcome to the Jungle et autrice de L'atout âge - 64 clés pour transformer la réalité générationnelle (Éditions Eyrolles) • Agnès Molinier, autrice de J'ai passé l'âge ! : vieillir sans injonction, un nouveau défi au féminin (Éditions First). En fin d'émission, la chronique Écouter le monde, de Monica Fantini. Et si prendre du son avec son téléphone portable devenait aussi populaire que prendre des photos ? C'est le pari que Monica Fantini a fait avec l'écrivain Kiko Herrero. Il a enregistré, légendé et envoyé des fragments sonores de sa ville, avec son téléphone portable. Écoutez le premier album sonore d'un Parisien. Si vous aussi, vous souhaitez composer l'album sonore de votre ville avec Monica Fantini, vous pouvez lui écrire à : ecouterlevilles@rfi.fr Programmation musicale : ► Seya - Oumou Sangaré ► Dios Es Un Stalker - ROSALÍA.
Vous faites de votre mieux mais vous n'avez pas de résultats ? Vous vous demandez si vous êtes à la hauteur ? Dans cet épisode bottage de fesses, on s'attaque à cette peur qui paralyse tant d'entrepreneurs. Je vous montre pourquoi ce n'est pas une question d'efforts, mais de direction, de timing et d'indicateurs.[Quiz] Découvrez quel type d'entrepreneur vous êtes et quelle stratégie adopter, en fonction de votre personnalité
C'est à la Une du Journal de Kinshasa : « La RDC et le Rwanda tournent la page des tensions. Le jeudi 4 décembre 2025 restera gravé dans l'histoire de la région des Grands Lacs ». Sans évoquer l'ambiance, glaciale, de cette rencontre, le Journal de Kinshasa revient sur les principales déclarations des deux présidents. Tout d'abord le chef de l'État rwandais : Paul Kagame a estimé que la feuille de route signée hier « est la plus claire et la plus précieuse que nous ayons jamais eue ». Il a aussi remercié Donald Trump, alors que Félix Tshisekedi de son côté, « qualifiait les Accords de Washington de tournant historique ». Quant au président américain Donald Trump, il a insisté sur « la rapidité du processus » qu'il a lui-même initié… Les accords sont signés mais sur le terrain, rien n'est réglé. Pourtant, le Journal de Kinshasa se veut optimiste, estimant que la signature de ces accords « marque le début d'une dynamique nouvelle, orientée vers la stabilité, la coopération économique et la prospérité partagée ». Africanews qui s'est rendu à Goma, la capitale du Nord-Kivu a pu constater que ce sommet « faisait naître un mélange d'espoir et de scepticisme ». « Le sentiment général, ajoute Africanews, est résumé par un habitant de Goma qui affirme : "ils disent être dans un processus de paix et après nous apprenons que la guerre reprend. Cela nous fait mal et nous sommes très inquiets" ». Exaspération Les Somaliens sont en colère. C'est Afrik.com, qui nous dit que « que la Somalie est indignée par les propos ouvertement racistes de Donald Trump ». Récemment, le président américain « s'est violemment attaqué aux immigrés somaliens vivant aux États-Unis, les qualifiant "d'ordures" indésirables, ne faisant rien d'autre que de se plaindre ». « Dans la capitale somalienne », raconte Afrik.com, « l'indignation est générale. Habitants et membres de la société civile peinent à croire à la violence du discours présidentiel américain et s'inquiètent du climat de stigmatisation croissant ». Mais ce n'est pas le seul point que souligne le site d'information panafricain. Car « au-delà de la colère contre Donald Trump, plusieurs voix dénoncent l'absence de réaction des autorités somaliennes ». L'une des personnes interviewées par Afrik.com, exprime ainsi « son exaspération » : « Trump insulte quotidiennement les Somaliens, nous traitant d'ordures et utilisant d'autres termes péjoratifs que nous ne pouvons plus tolérer. Nos dirigeants auraient dû réagir à ses propos. » Nouvelle arrestation En Tunisie, l'une des dernières figures de l'opposition encore en liberté, Ahmed Nejib Chebbi, président du Front du Salut National, a été arrêté hier. Tunisie Webdo précise qu'il a été arrêté, « en exécution du jugement définitif prononcé à son encontre dans l'affaire dite "du complot contre la sûreté de l'État" ». Il a été « interpellé à son domicile pour purger une peine de 12 ans de prison ». Tunisie Webdo en profite pour annoncer demain, « une grande marche pour "dénoncer l'injustice" qui sera organisée à Tunis ». Le parti Al Joumhouri, fondé par Ahmed Nejib Chebbi, souligne qu'avant lui, d'autres personnalités proches de l'opposition ont récemment été arrêtées. Il parle ainsi de « l'enlèvement de la militante Chaima Issa, puis de l'arrestation de l'avocat Ayachi Hammami, cette semaine ». Pour Al Joumhouri, ces arrestations « de responsables politiques, de militants, de journalistes et de blogueurs » visent ni plus ni moins, « à fermer l'espace public et à réduire au silence les voix critiques ».
Vous recevez une mauvaise nouvelle, vous rencontrez un problème, et en une fraction de seconde… tout votre monde intérieur s'emballe ?Votre cerveau s'agite, vous ne pensez plus qu'à ça, et vous avez l'impression que la situation est catastrophique et que vous n'allez jamais vous en sortir ?Dans cet épisode, je vous montre comment stopper cette spirale pour aborder vos difficultés avec calme, clarté et discernement.Quand quelque chose de pénible nous arrive, notre cerveau nous propose par défaut une lecture dramatique et négative. C'est normal : c'est sa façon automatique de nous protéger. Mais cette lecture nous coupe de nos ressources, nous empêche de dormir, et nous pousse souvent à des réactions qui compliquent encore les choses.Pour sortir de ce mode de fonctionnement, je vous livre une méthode simple en trois axes puissants, pour aider votre cerveau à adopter une lecture plus constructive du problème.À partir d'un exemple concret, vous allez découvrir comment ces trois axes ouvrent un espace intérieur beaucoup plus ancré, dans lequel vous pouvez réfléchir sereinement, prendre soin de vous, et trouver les meilleures façons d'avancer.Autres épisodes mentionnés :Épisode 347 : 3 Techniques ultra-simples pour vous apaiser https://changemavie.com/episodes/techniques-vous-apaiser/Épisode 99 : Comment devenir optimiste ? https://changemavie.com/episodes/optimiste/Épisode 31 : Quelque chose de grave https://changemavie.com/episodes/grave/Vous pouvez aussi :
Dans l'émission du 4 décembre, Marc-Antoine Le Bret a imité Jean-Pierre Foucault, Michel Cymes, Nicolas Sarkozy, Philippe de Villiers, Yoann Riou et Arielle Dombasle. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hugo Clément, journaliste engagé et militant pour la cause animale, partage ici un moment fort d'un échange passé, qui résonne encore très justement aujourd'hui.Dans cet extrait, nous discutons de la réduction de la consommation de viande, de ses motifs profonds – santé, climat, souffrance animale – et surtout de la prise de conscience progressive dans nos sociétés.J'ai voulu comprendre pourquoi, malgré des preuves scientifiques accablantes, il est encore si difficile de changer nos habitudes alimentaires. Hugo, avec sa clarté habituelle, insiste : l'argument de la santé ne devrait pas masquer les véritables enjeux éthiques et environnementaux. Il rappelle que la réalité de l'élevage intensif en France est bien éloignée de l'image rassurante de la ferme d'antan.Un extrait percutant, qui met en lumière la dimension psychologique, culturelle et systémique de notre alimentation carnée.5 Citations Marquantes"On peut être végétarien ou vegan et en très bonne santé – c'est scientifiquement établi.""Je ne veux pas utiliser l'argument santé, parce qu'on peut être en bonne santé en mangeant un peu de viande.""L'élevage intensif ne profite à personne, pas même aux éleveurs.""On a tous une aversion à la perte – arrêter la viande, c'est renoncer à une habitude.""La clé de tout, c'est l'information : sur l'élevage, la santé, l'économie." 10 Questions Structurées Posées dans l'InterviewEst-ce que l'argument de la santé est aujourd'hui plus puissant que celui de l'écologie ou du bien-être animal ?Pourquoi n'utilises-tu pas l'argument de la santé humaine ?Est-ce que le régime végétarien est toujours synonyme de bonne santé ?Pourquoi ne pas recommander d'arrêter totalement la viande pour des raisons de santé ?Peut-on quand même utiliser l'argument santé pour inciter à la réduction ?Quel est le rôle de l'information dans la transition alimentaire ?Quelle est la réalité de l'élevage intensif aujourd'hui en France ?Pourquoi l'élevage intensif ne profite-t-il même pas aux éleveurs ?Comment expliquer la résistance culturelle à arrêter la viande ?Quels sont les mécanismes psychologiques qui freinent la transition alimentaire ?Timestamps Clés 00:00 – Grégory introduit le débat sur les motivations de la réduction de la viande00:36 – Hugo refuse l'argument santé comme motivation principale01:30 – Le risque de dogmatisme sur les régimes sans viande02:23 – Consommation excessive de viande et consensus scientifique03:14 – Hugo évoque ses propres motivations : éthique et écologie04:57 – L'hypocrisie sociale face à la souffrance animale05:20 – Aversion à la perte et frein au changement06:49 – Le rôle clé de l'information pour éveiller les consciences07:33 – La réalité de l'élevage intensif : chiffres et conditions09:03 – L'élevage intensif ne profite même pas aux éleveurs Suggestion d'épisode à écouter : #174 Dépasser l'idéologie végétarienne pour mieux comprendre notre alimentation avec Hugo Clément (https://audmns.com/NETMFVi)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En janvier 2025, l'histoire d'Anne Deneuchatel et du faux Brad Pitt a fait le tour du monde. Pendant des mois, cette femme d'une cinquantaine d'années a été la cible d'une arnaque sentimentale : convaincue de vivre une histoire d'amour avec Brad Pitt, elle lui a envoyé près de 830 000 euros. Derrière cette fausse romance se cachait un brouteur : un escroc qui piège ses victimes sur Internet à travers une promesse amoureuse bien huilée, calibrée sur leurs faiblesses.Quelle est la mécanique des arnaques sentimentales ? Sur quels mythes romantiques les arnaqueurs se reposent-ils pour piéger leurs victimes ? Comment peut-on tomber dans l'emprise d'une personne qu'on n'a jamais rencontrée ? Pour en parler, Tal Madesta reçoit Valentina Péri, anthropologue et autrice du livre Le Brouteur galant : manuel de l'arnaqueur sentimental (Éditions UV, 2024) ainsi qu'Alexandre Kauffmann, journaliste et auteur de La Captive (Goutte d'Or, 2025), une enquête sur l'histoire d'une victime de cyber-escroquerie amoureuse. Dans ce premier volet de leur entretien en deux parties, ils et elle décryptent les manigances et les ressorts psychologiques qui permettent aux brouteurs d'installer puis d'entretenir l'emprise sur leurs proies.RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Retrouvez toutes les références citées dans l'épisode à la page : https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/les-escrocs-de-lamour-1-2CRÉDITSLes Couilles sur la table est un podcast créé par Victoire Tuaillon produit par Binge Audio. Cet entretien a été préparé, mené et monté par Tal Madesta et enregistré le 27 novembre 2025 au studio Virginie Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Prise de son, réalisation et mixage : Paul Bertiaux et Jude Rigaud. Supervision éditoriale et de production : Naomi Titti. Production et édition : Marie Foulon. Communication : Lise Niederkorn. Rédacteur en chef : Thomas Rozec. Direction de production : Albane Fily. Responsable administrative et financière : Adrienne Marino. Musique originale : Théo Boulenger. Identité graphique : Marion Lavedeau (Upian). Composition identité sonore : Jean-Benoît Dunckel. Voix identité sonore : Bonnie El Bokeili. Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:17 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La condamnation en appel de Christophe Gleizes par un tribunal algérien a provoqué la sidération alors que tous les signaux étaient à l'apaisement entre Paris et Alger. L'échec, peut-être provisoire, de la diplomatie, place Paris dans l'embarras et relance la campagne de soutien au journaliste. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cet extrait, Mathieu Blanchard, athlète de l'extrême, raconte l'un des moments les plus forts de sa vie.Il explique son échelle des 6 niveaux de douleur, ce qui se passe quand le corps lâche, et comment, au Yukon, il a vraiment cru qu'il allait mourir. Un passage dans lequel il parle de peur, de limites, de flow, et de ce que la souffrance extrême révèle sur nous. Pourquoi certaines expériences transforment une vie entière ?Si cet extrait vous a plu, retrouvez notre conversation intégrale ici : https://shows.acast.com/inpower/episodes/600-kms-en-une-semaine-sous-50c-comment-mathieu-blanchard-re Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous sommes aujourd'hui avec Sabine Haltebourg, la directrice des opérations de Citeo Pro, l'éco-organisme qui aide les professionnels, notamment de la restauration, à réduire, réemployer et recycler les emballages. Pour co-animer cet épisode spécial de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Samuel Nahon, le co-fondateur de Terroirs d'Avenir. Dans ce 4ème et dernier chapitre, Sabine nous parle de l'avenir et des prochains défis liés à la gestion des emballages en France.Cet épisode spécial a été enregistré en collaboration avec Citeo Pro : www.citeopro.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les fêtes de fin d'année approchent à grands pas et pour cet épisode, j'ai voulu faire un truc un peu rigolo : partager avec toi comment se passent les cadeaux et étudier le profil de l'acheteur de Noël. En France et en Belgique, Noël, c'est sacré pour les cadeaux. Dans cet épisode, j'ai identifié 4 profils d'acheteurs de cadeaux, et attention, ça pique un peu.1. L'organiséLui, c'est le pro du timing. Tout est planifié des mois à l'avance. Il sait exactement quoi acheter et quand. 2. L'indécisAh, l'indécis… Il hésite, compare l'incomparable, et finit par acheter son cadeau le 24 décembre (et regrette). 3. Le presséTeam dernière minute, bonjour. Le pressé improvise, souvent mal, et blâme les bouchons ou les ruptures de stock. 4. Le radinLe radin, lui, est soit fauché, soit il déteste dépenser. Il recycle des cadeaux, voire les offre tels quels. La honte. Liens :Pour récupérer ton guide de Noël : www.lefrancaisavecyasmine.com/noel “Le Français avec Yasmine” existe grâce au soutien des membres et élèves payants. Il y a 3 manières de soutenir ce podcast pour qu'il continue à être libre, indépendant et rebelle : 1️⃣ Le Club de Yasmine Le Club privé du podcast qui donne accès à toutes les transcriptions des épisodes relues et corrigées au format PDF, à 6 épisodes secrets par an, la newsletter privée en français et l'accès à la communauté des élèves et membres sur Discord pour continuer à partager et se rencontrer. https://lefrancaisavecyasmine.com/club 2️⃣ Les livres du podcast Les transcriptions du podcast sont disponibles dans les livres “le Français avec Yasmine” sur Amazon : http://amazon.com/author/yasminelesire 3️⃣ Les cours de français avec YasminePour aller encore plus loin et améliorer ton français avec moi, je te donne rendez-vous dans mes cours et mes formations digitales. Je donne des cours particuliers (en ligne et à Paris) et des cours en groupe en ligne. Rendez-vous sur le site de mon école pour découvrir le catalogue des cours disponibles : www.ilearnfrench.eu ➡️ Rendez-vous sur les réseaux sociaux Instagram : https://www.instagram.com/ilearnfrench/LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/yasmine-lesire-ilearnfrench/ ➡️ Crédit musique La musique de cet épisode est créée par le groupe Beam. Merci à Maayan Smith et son groupe pour la musique. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans toute l'histoire du prix Nobel, deux hommes seulement ont pris la décision — libre, assumée, publique — de refuser l'une des distinctions les plus prestigieuses au monde : Jean-Paul Sartre en 1964 et Lê Duc Tho en 1973. Deux refus très différents, mais qui disent chacun quelque chose d'essentiel sur leur époque et sur leurs convictions.Le premier à franchir ce pas radical est Jean-Paul Sartre, philosophe et écrivain français, figure majeure de l'existentialisme. En 1964, l'Académie suédoise lui décerne le prix Nobel de littérature pour l'ensemble de son œuvre. La réaction de Sartre est immédiate : il refuse le prix. Non par modestie, mais par principe. Sartre a toujours refusé les distinctions officielles, estimant que l'écrivain doit rester libre, non récupéré par le pouvoir, les institutions ou la notoriété. Pour lui, accepter un prix comme le Nobel reviendrait à « devenir une institution », ce qui contredisait son engagement politique et intellectuel.Il avait d'ailleurs prévenu l'Académie, avant même l'annonce, qu'il ne souhaitait pas être nommé. Cela ne change rien : il est proclamé lauréat malgré lui. Sartre refuse alors publiquement, dans un geste retentissant. Ce refus est souvent perçu comme l'expression ultime d'une cohérence : l'écrivain engagé qui refuse d'être couronné. Ce geste, unique dans l'histoire de la littérature, marque durablement la réputation du philosophe, admiré ou critiqué pour son intransigeance.Neuf ans plus tard, c'est au tour de Lê Duc Tho, dirigeant vietnamien et négociateur lors des Accords de Paris, de refuser le prix Nobel de la paix. Le prix lui est attribué conjointement avec l'Américain Henry Kissinger pour les négociations qui auraient dû mettre fin à la guerre du Vietnam. Mais pour Lê Duc Tho, il n'y a pas de paix à célébrer. Les hostilités se poursuivent, les bombardements aussi. Refuser le Nobel devient alors un acte politique : il déclare ne pouvoir accepter un prix de la paix tant que la paix n'est pas réellement obtenue.Contrairement à Sartre, son refus n'est pas motivé par un principe personnel, mais par une analyse de la situation géopolitique. Son geste est moins philosophique que stratégique, mais tout aussi historique. Il reste le seul lauréat de la paix à avoir décliné le prix.Ces deux refus, rares et spectaculaires, rappellent que le prix Nobel, pourtant considéré comme l'une des plus hautes distinctions humaines, peut devenir un terrain d'expression politique ou morale. Sartre par conviction, Lê Duc Tho par cohérence historique : deux gestes, deux époques, deux refus qui ont marqué l'histoire du prix. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le syndrome du grand coquelicot désigne un phénomène social dans lequel une personne qui réussit, se distingue ou dépasse le groupe se retrouve critiquée, rabaissée ou isolée précisément à cause de sa réussite. L'image est simple : dans un champ de coquelicots, celui qui dépasse les autres attire l'attention… et on le coupe pour que tout reste au même niveau.L'expression remonte à l'Antiquité. L'historien Tite-Live rapporte que le roi Tarquin le Superbe, interrogé sur la manière de mater une ville rebelle, répondit en coupant les têtes des coquelicots les plus hauts de son jardin. Le message était clair : pour maintenir l'ordre, il faut affaiblir les individus les plus visibles ou influents. Cette métaphore a traversé les siècles et est particulièrement populaire dans les pays anglo-saxons, notamment en Australie et en Nouvelle-Zélande, où elle décrit l'idée qu'un excès d'égalitarisme peut décourager l'ambition ou la réussite trop visible.Le syndrome n'a rien d'une maladie. C'est un mécanisme social reposant sur trois éléments : d'abord une réussite visible (une promotion, un succès financier, une performance remarquable), puis un regard social négatif (jalousie, sentiment d'infériorité, comparaison), et enfin une forme de sanction (moqueries, rumeurs, isolement, critiques systématiques). On ne reproche pas à quelqu'un d'échouer, mais bien de réussir “trop” ou trop ouvertement.Plusieurs ressorts psychologiques expliquent ce phénomène. Dans certaines cultures, on valorise la modestie et la discrétion : se mettre en avant ou sortir du rang est mal perçu. La réussite d'autrui peut aussi rappeler à chacun ses propres limites, suscitant jalousie et amertume. Enfin, le groupe a tendance à vouloir maintenir une cohésion interne : rabaisser celui qui s'élève permet de garder tout le monde au même niveau.Les conséquences peuvent être importantes. Pour éviter les critiques, certaines personnes finissent par cacher leurs accomplissements ou par s'autocensurer. Cela peut freiner l'innovation, décourager les talents et favoriser une culture où la médiocrité est plus confortable que l'excellence. À l'inverse, comprendre ce mécanisme permet d'encourager un environnement où la réussite est reconnue et célébrée, et non punie.En résumé, le syndrome du grand coquelicot décrit la tendance d'un groupe à “couper” ceux qui réussissent trop, non parce qu'ils nuisent aux autres, mais parce qu'ils se distinguent trop visiblement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 4 décembre 2025 - Qui peut encore sauver le budget... et Lecornu ? Il ne reste plus que quelques jours aux députés pour examiner le projet de budget de la Sécurité sociale, dont le vote solennel est prévu mardi 9 décembre. Le Premier ministre a redit hier qu'il n'utiliserait pas le 49.3 pour le faire passer et a estimé possible de « trouver une zone d'atterrissage […] autour de 20 milliards d'euros de déficit ». Mais les discussions se tendent à l'Assemblée nationale, et Sébastien Lecornu a annulé l'intégralité de ses rendez-vous de la journée, notamment avec la CGT et la CFDT, pour se consacrer « aux débats parlementaires sur le PLFSS ».Beaucoup de tensions se cristallisent autour de la suspension de la réforme des retraites et de l'augmentation de la CSG sur le capital, un point qui doit être examiné ce jeudi par les députés. Le débat promet d'être explosif. Le PS en fait un point clé pour voter le PLFSS (ce qui n'est pas encore acquis), tandis que Les Républicains (LR) et Horizons ne veulent pas en entendre parler. Édouard Philippe et ses troupes ont menacé ces dernières heures de ne pas voter le PLFSS si ces « irritants » restent dans le texte. Ce qui n'a pas manqué de faire réagir le patron de Renaissance : Gabriel Attal a appelé le fondateur d'Horizons à garder « son sang-froid » et ses « nerfs solides ». « Dans la période où l'air de la vie politique est devenu totalement irrespirable […], on a besoin de points de repère (…) Il faut tout faire pour avoir un budget d'ici la fin de l'année », a-t-il ajouté à destination de son prédécesseur à Matignon.Le socle commun, sur lequel s'appuie Sébastien Lecornu et qui va de Renaissance à LR en passant par le MoDem et Horizons, se fracture alors que, chez LR, à l'approche des municipales, la tentation d'une alliance avec l'extrême droite gagne du terrain. Invité de la matinale de TF1 mercredi, Laurent Wauquiez a expliqué la ligne de son parti si jamais le candidat LR n'était pas présent au second tour : « Nous appellerons à voter tout sauf LFI. Cela veut dire voter blanc, cela veut dire voter pour ceux qui sont en face, quel que soit le parti. Tout sauf LFI, je ne peux pas être plus clair », a déclaré le président des députés LR. Et, dans certaines communes, certains franchissent le pas dès le premier tour. Ainsi, à Bourg-en-Bresse, des élus d'opposition Les Républicains ont décidé de se ranger derrière le candidat Reconquête pour constituer une liste commune.Alors, un compromis est-il possible sur le budget de la Sécurité sociale ? Édouard Philippe veut-il faire tomber le gouvernement Lecornu ? Quelle est la position du parti LR vis-à-vis du RN et de Reconquête ? Enfin, après trois ans au pouvoir, quel est le bilan de la politique de Giorgia Meloni ?Nos experts :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point - Bruno JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste - La Tribune Dimanche- Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de Métamorphoses françaises
C dans l'air du 4 décembre 2025 - Qui peut encore sauver le budget... et Lecornu ? Il ne reste plus que quelques jours aux députés pour examiner le projet de budget de la Sécurité sociale, dont le vote solennel est prévu mardi 9 décembre. Le Premier ministre a redit hier qu'il n'utiliserait pas le 49.3 pour le faire passer et a estimé possible de « trouver une zone d'atterrissage […] autour de 20 milliards d'euros de déficit ». Mais les discussions se tendent à l'Assemblée nationale, et Sébastien Lecornu a annulé l'intégralité de ses rendez-vous de la journée, notamment avec la CGT et la CFDT, pour se consacrer « aux débats parlementaires sur le PLFSS ».Beaucoup de tensions se cristallisent autour de la suspension de la réforme des retraites et de l'augmentation de la CSG sur le capital, un point qui doit être examiné ce jeudi par les députés. Le débat promet d'être explosif. Le PS en fait un point clé pour voter le PLFSS (ce qui n'est pas encore acquis), tandis que Les Républicains (LR) et Horizons ne veulent pas en entendre parler. Édouard Philippe et ses troupes ont menacé ces dernières heures de ne pas voter le PLFSS si ces « irritants » restent dans le texte. Ce qui n'a pas manqué de faire réagir le patron de Renaissance : Gabriel Attal a appelé le fondateur d'Horizons à garder « son sang-froid » et ses « nerfs solides ». « Dans la période où l'air de la vie politique est devenu totalement irrespirable […], on a besoin de points de repère (…) Il faut tout faire pour avoir un budget d'ici la fin de l'année », a-t-il ajouté à destination de son prédécesseur à Matignon.Le socle commun, sur lequel s'appuie Sébastien Lecornu et qui va de Renaissance à LR en passant par le MoDem et Horizons, se fracture alors que, chez LR, à l'approche des municipales, la tentation d'une alliance avec l'extrême droite gagne du terrain. Invité de la matinale de TF1 mercredi, Laurent Wauquiez a expliqué la ligne de son parti si jamais le candidat LR n'était pas présent au second tour : « Nous appellerons à voter tout sauf LFI. Cela veut dire voter blanc, cela veut dire voter pour ceux qui sont en face, quel que soit le parti. Tout sauf LFI, je ne peux pas être plus clair », a déclaré le président des députés LR. Et, dans certaines communes, certains franchissent le pas dès le premier tour. Ainsi, à Bourg-en-Bresse, des élus d'opposition Les Républicains ont décidé de se ranger derrière le candidat Reconquête pour constituer une liste commune.Alors, un compromis est-il possible sur le budget de la Sécurité sociale ? Édouard Philippe veut-il faire tomber le gouvernement Lecornu ? Quelle est la position du parti LR vis-à-vis du RN et de Reconquête ? Enfin, après trois ans au pouvoir, quel est le bilan de la politique de Giorgia Meloni ?Nos experts :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point - Bruno JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste - La Tribune Dimanche- Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de Métamorphoses françaises
Dans cet épisode solo, je tente de répondre à une question cruciale que vous êtes nombreux à me poser : comment réagir face aux violences faites aux enfants ?En particulier lorsqu'on est témoin de scènes dans l'espace public ou au sein de son entourage.Vous le savez, je milite pour que l'enfant soit pleinement reconnu et que ses droits soient respectés dans notre société. Cet épisode est une réflexion intime et engagée, où je m'appuie sur mon expérience personnelle ainsi que de nombreuses ressources, mais ne prétends en aucun cas détenir la vérité.Je vous partage des clés concrètes et je l'espère bienveillantes pour agir sans juger ni humilier, mais pour soutenir l'enfant et ouvrir le dialogue avec le parent dans une posture d'allié.Car je crois profondément qu'agir pour les enfants, cela passe par prendre soin des parents.Quelques points qu'il me semblait important d'évoquer :➡️ Comprendre ce qui se joue derrière ces comportements : fatigue, héritage culturel, dissonance cognitive...➡️ Ne pas rester spectateur : agir, même par de petits gestes, signifie protéger l'enfant, mais aussi soutenir les adultes souvent épuisés par la parentalité.➡️ Rejoindre le parent : entamer la discussion par une phrase compatissante ("Je comprends, c'est difficile d'être parent") ou proposer une aide peuvent accompagner le parent vers une posture plus respectueuse.➡️ Sensibiliser à la loi : rappeler calmement que les violences éducatives ordinaires sont interdites en France depuis 2019.➡️ Valoriser la place de l'enfant : légitimer ses besoins, normaliser ses émotions ("c'est difficile d'arrêter quand on s'amuse") et l'assurer qu'il n'est jamais responsable de la violence qu'il subit.Ressources citées :Site de l'association StopVEO : https://stopveo.org/Site de la Fondation pour l'Enfance - outils concrets : https://www.fondation-enfance.org/ressources/outils/Livre de Marion Cuerq : « Une enfance en or ».Ouvrages d'Isabelle Filliozat et de Catherine Gueguen sur les neurosciences et les effets de la violence.⚠️ Si l'enfant est en danger, contactez le 119 "Allô Enfance en danger".Il est urgent de sortir l'enfance de la sphère de l'intime pour qu'elle devienne un sujet de société.Agir, même humblement, c'est déjà contribuer à une culture de la non-violence, nourrir la solidarité parentale et montrer à l'enfant qu'il n'est pas seul.J'espère que l'épisode vous plaira, n'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé en commentaire !
Dans la nuit du 20 au 21 août 1974, Anne Tonglet et Araceli Castellano campent dans une calanque marseillaise... Les deux femmes, en couple, sont en vacances et s'apprêtent à rejoindre la famille d'Anne. Quand elles plantent leur tente, elles sont interpellées par Serge Petrilli, pêcheur qui souhaitent entrer dans leur tente. Les deux femmes refusent, se sentant menacées, mais Serge Petrilli tente malgré tout de pénétrer dans la tente. Anne le frappe d'un coup de marteau avant de s'apercevoir qu'il est accompagné de deux autres hommes, Albert Mougladis et Guy Roger. La suite est glaçante : Serge Petrilli se "jette sur elle" - ce sont ses mots. Pendant toute la nuit, raconte-t-elle, les trois hommes les violent, Araceli et elle. Les deux femmes portent plainte au petit matin, et les trois agresseurs sont interpellés. Ils nient les faits. La voix du crime de cet épisode présenté par Marie Zafimehy c'est Maître Agnès Fichot, collaboratrice de Gisèle Halimi au moment de ce que l'on a appelé "le procès d'Aix-en-Provence", le procès du viol. Elle fait aujourd'hui le parallèle entre cette affaire et celle des viols de Mazan. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment préparer mon corps et mon mental pour un vrai défi ?Comment gérer la pression que je me mets, les angoisses, la peur du regard des autres, les blessures ?Comment combiner ces objectifs perso avec une vie pro chargée ? Dans cet épisode, je vous raconte la préparation de mon premier HYROX, une compétition sportive dont je vous ai parlé !Je partage avec vous les étapes de ma prépa, mais aussi ce que ça m'a sérieusement fait travailler et ce qui a été difficile moralement.Je vous emmène dans les coulisses : les doutes, le stress, l'énergie du Jour J, ce que ça m'a appris, mes erreurs et mes joies, en espérant que cela vous serve ! Écoute cet épisode pour :1️⃣ découvrir une préparation mentale et physique complète, réaliste , avec un agenda déja bien chargé 2️⃣ comprendre les dynamiques mentales qui s'activent avant, pendant et après une compétition,3️⃣ explorer pourquoi se fixer des objectifs corporels transforme la conscience, la présence et l'élan vital
Au nom du perfide, du vice et de la sainte duperie. Milice spirituelle au service de Rome, architectes secrets du Vatican, manipulateurs des âmes, les Jésuites incarnent depuis toujours l'archétype absolu du complot religieux. Dans cet épisode, Gaël et Geoffroy retracent la légende noire d'un ordre dont le destin tourmenté divise la chrétienté depuis cinq siècles, entre ferveur mystique, intrigues politiques, résurrection miraculeuse et soupçons de domination universelle.Musique : Thibaud R.Habillage sonore / mixage : Alexandre LechauxLe Shop Tous Parano
Pourquoi le sommeil de nos bébés et enfants est-il si souvent source de doutes, de fatigue et de culpabilité ?Comprendre et accompagner le sommeil des tout-petits est l'un des plus grands défis de la parentalité moderne. Dans cet épisode de Papatriarcat, Cédric Rostein reçoit Audrey Ndjave Sulpizi, infirmière clinicienne en pédiatrie et périnatalité depuis plus de 20 ans. Spécialiste du sommeil, de l'allaitement et de la psychopérinatalité, son expertise franco-canadienne offre des clés concrètes pour traverser cette période mouvementée sans dressage ni pleurs. Au programme de cet épisode :Comprendre la physiologie, les hormones et les cycles du sommeil.Gérer les régressions du sommeil liées au développement moteur et aux acquisitions.L'importance capitale de la sécurité émotionnelle et des rituels.L'impact de l'environnement : écrans, lumière bleue et alimentation (protéines, tryptophane).Déconstruire les mythes (laisser pleurer, caprices, manipulation).Cet épisode répond notamment à vos questions essentielles :Quelles sont les étapes-clés du sommeil de 0 à 6 ans ? Faut-il s'inquiéter si son enfant ne fait pas “ses nuits” ? Quels rituels et routines favorisent un endormissement apaisé ? Que faire face à l'épuisement parental et comment construire son "village" ? Une conversation accessible et bienveillante pour offrir à chaque parent des repères fiables, déculpabiliser et retrouver confiance dans sa capacité à accompagner son enfant.Salutations adelphes et solidaires ✊
Kevin Buzaglo connaît Amazon sur le bout des doigts. 13 années passées au cœur de la machine, depuis l'époque où le grand public n'y voyait qu'un géant du livre, ont façonné sa manière de réfléchir, d'analyser et d'opérer. Il a vu Amazon devenir un réflexe national, un moteur de recherche à part entière, un écosystème où se joue aujourd'hui plus de 2 tiers des intentions d'achat. Il a vu les chiffres exploser, les usages basculer et les marques comprendre, parfois trop tard, que le parcours du client commence sur cette plateforme avant tout le reste. En 2019, il quitte Amazon avec Raphaël Samuel pour créer Deeploy, une agence pensée comme une unité d'élite. Un cabinet de conseil spécialisé, construit pour décoder l'algorithme, maîtriser chaque levier et accompagner les marques avec une précision chirurgicale. Deeploy, c'est 30 collaborateurs, 3 millions de chiffre d'affaires et plus de 100 marques accompagnées. Kevin sait que l'écosystème Amazon n'est pas un simple canal de vente. C'est un terrain où tout se décide en quelques secondes. Un endroit où une rupture de stock peut ruiner des mois d'efforts et où la valeur d'un produit repose autant sur la marge que sur la manière dont il est raconté. Un marché qui récompense les marques capables d'atteindre l'équilibre subtil entre prix, positionnement et visibilité. À travers Deeploy, il accompagne les marques qui veulent faire d'Amazon un vrai moteur de croissance. Il leur montre comment s'aventurer dans cette jungle pour transformer chaque fiche produit en machine à convertir. Dans cet épisode, Kevin partage son histoire, les coulisses du fonctionnement d'Amazon et l'avenir du e-commerce en France. Une plongée dans un marché impitoyable mais fascinant, racontée par l'un de ceux qui en maîtrisent tous les secrets. Bonne écoute !===========================
Je suis très heureuse de vous proposer cet épisode hors-série sur ls angles morts RH, né d'une conversation que j'ai eue en juin dernier avec plusieurs DRH pour préparer la nouvelle saison du podcast.Comme toujours, mon objectif est d'aller chercher des sujets que l'on n'aborde pas ailleurs et d'éviter de répéter ce qui existe déjà.J'ai donc voulu comprendre avec eux quels étaient les angles morts RH, ces points qui traversent les organisations sans être véritablement nommés.J'ai souhaité partager plus largement ces échanges, les prolonger et en faire un débat ouvert.Dans cet épisode, nous mettons en lumière ces angles morts RH, non pas pour en dresser la liste, mais pour comprendre ce qu'ils disent des organisations aujourd'hui.Nous avons été accueillis chez Chateauform, dans la maison des Jardins de Saint-Dominique, avec toute la chaleur qui fait partie de leur culture.Ce cadre a permis d'installer un climat propice à un échange simple et direct. Ce choix n'était pas anodin : j'ai un lien particulier avec Chateauform, depuis mes débuts professionnels. Ce sont des lieux propices aux conversations qui comptent, des conversations sincères et profondes, exactement ce que je voulais installer ce jour-là.J'ai eu la joie et l'honneur de recevoir pour cet épisode inédit :• Magali Charlin Gaudin, responsable des richesses humaines, talents et cultures – Chateauform• Claire Gathier-Caillaud, DRH – Safran Electronics & Defense• Jean-Yves Chameyrat, DRH – STEFEnsemble, ils mettent en mots ce qui circule réellement dans les équipes : des sujets du quotidien, parfois isolés, qui dessinent pourtant des lignes de fond dans le travail des collaborateurs, des managers et des RH.Ils évoquent notamment :• des signaux faibles liés à la santé au travail, difficiles à catégoriser ;• la charge portée par les managers face à des situations nouvelles ;• la contrainte du temps, entre rythme opérationnel et disponibilité ;• la circulation des responsabilités et la question de “qui fait quoi” ;• le rôle du collectif et des relais internes ;• des décisions qui engagent plusieurs prismes (talent, entreprise, planète).Ces angles morts révèlent aussi une dynamique plus large :un cadre de fonctionnement sous tension, des responsabilités qui se déplacent, des situations qui débordent les repères habituels, et un manque de temps qui fragilise la capacité à réguler.Cet échange apporte un éclairage différent sur la transformation du management, les dynamiques de confiance et le défi RH dans l'accompagnement des équipes.Un épisode utile pour comprendre ce qui se joue réellement dans les organisations.Bonne écoute!
Des surveillants pénitentiaires pris pour cible, des centres de détention surchargés... Les prisons françaises traversent une crise sans précédent. Si les problématiques sont anciennes, l'ampleur du malaise est inédite. Dans ces trois épisodes, nous décortiquons le système de détention français et ses échecs. Comment en est-on arrivé là ? Les multiples annonces politiques récentes peuvent-elles apporter des solutions durables ? Dans ce dernier épisode, Céline Delbecque, journaliste au service Société de L'Express, analyse l'échec de la réinsertion en France. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation : Charlotte BarisEcriture : Solène Alifat Montage : Emeline DulioRéalisation : Jules KrotCrédits : CNews, Le Parisien, Elysée, BFMTV Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le camp de Bitche, en Moselle. Une forteresse de béton et de barbelés posée à la lisière des Vosges du Nord. C'est là que s'entraîne le 16ᵉ bataillon de chasseurs à pied. Une unité d'infanterie légère de l'armée de Terre française, forte d'environ 1 200 hommes, réputée pour sa discipline et ses exercices exigeants. C'est là que le caporal Tristan Sprunck, marqué par une enfance chaotique, a trouvé un refuge devenu obsession. Maniaque de la discipline, il s'acharne sur le première classe guyanais Sulyvan Flora, son exact opposé : jovial, détendu, populaire. Leurs affrontements se multiplient, jusqu'au 30 juin 2022. Ce jour-là, la promesse de fraternité militaire vole en éclats, révélant les failles d'un univers où l'ordre règne jusqu'à la rupture.Juin 2022. Le camp de Bitche s'étouffe sous la chaleur. Dans les chambrées, l'air est lourd, saturé d'humidité et de fatigue. Les manoeuvres se succèdent, les effectifs tournent, mais une tension sourde circule depuis des semaines. Entre Tristan Sprunck et Sulyvan Flora, la situation s'est durcie.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.
Le contenu peut devenir votre meilleur levier d'acquisition, non pas en poussant à la vente mais en installant une relation de confiance naturelle. Dans cet épisode, vous découvrirez pourquoi les approches commerciales classiques ne fonctionnent plus, comment les prospects prennent réellement leurs décisions, et comment le contenu peut les accompagner jusqu'à l'achat sans pression. Nous détaillons les formats qui convertissent subtilement, les mécanismes psychologiques qui sous-tendent une acquisition douce, et les étapes clés pour construire une stratégie de contenu performante. Au programme :– Pourquoi vos prospects rejettent désormais les approches commerciales directes– Comment le contenu construit la confiance et la relation– Les formats qui “vendent sans vendre”– Comment structurer un parcours d'acquisition basé sur le contenu– Les indicateurs qui montrent réellement que votre contenu attire des clients ---------------
En Inde, le Kerala affirme depuis peu en avoir fini avec l'extrême pauvreté. C'est une première parmi les États d'Inde, un pays qui reste encore souvent associé aux scènes de misère. Le Kerala est un État communiste, avec de fortes politiques publiques dans la santé ou l'éducation. Sur place, certains jugent cependant que l'annonce de la fin de la pauvreté est précipitée. De notre correspondant à Kerala, La maison de Rajan et Jayanthi, au carrelage impeccable, a été inaugurée il y a moins d'une semaine. Le couple, qui habite la région montagneuse et tropicale de Wayanad, en Inde, revient de loin. « J'étais conducteur d'auto rickshaw. Mais durant le Covid-19, j'ai eu un grave accident. Je suis resté en chaise roulante. Ma femme et mes deux enfants ont été soudainement privés de revenus. Nous survivions dans une cabane, sans espoir. Heureusement, le gouvernement est venu nous aider », raconte Rajan. Grâce au programme d'éradication de la pauvreté, Rajan et Jayanthi achètent une mini-échoppe, puis reçoivent un apport pour construire leur maison. Aujourd'hui, le couple relève la tête, comme d'autres, explique un élu local. « Dans le district, nous avons identifié 118 familles comme extrêmement pauvres. Avec notre aide, 22 ont pu construire une maison, six ont eu des terres à cultiver, 43 ont bénéficié d'aide alimentaire, 14 ont pu trouver un boulot, etc. » Sarojini, une femme isolée, en a aussi bénéficié. « J'ai 60 ans et je travaillais dans l'agriculture, en gagnant un peu plus d'un euro par jour. Désormais employée dans des toilettes publiques, je gagne plus de trois euros. Ça a vraiment changé ma vie. » « Plus personne ne fait face à une pauvreté extrême » Le plan contre la pauvreté du Kerala, encore aujourd'hui dirigé par le Parti Communiste, remonte à 1997. En ce mois de novembre, le dirigeant de cet État du Sud affirme qu'il a atteint cet objectif fondamental. « Il y a 50 ans, les chercheurs nous classaient parmi les États les plus défavorisés de l'Inde. Aujourd'hui, plus personne ne fait face à une pauvreté extrême au Kerala », souligne Pinarayi Vijayan. Mais comment définir la pauvreté extrême ? Si la Banque mondiale se base sur le salaire quotidien, le Kerala mélange critères économiques, sanitaires et alimentaires. L'économiste P. R. Kannan déplore un manque de transparence : « Le Kerala avance, c'est indéniable. Mais avant d'affirmer que la pauvreté a disparu, le gouvernement doit publier ses données, sa méthodologie et les experts qui ont encadré ces statistiques. » Les aides du gouvernement échappent aux personnes isolées Nusrath, une élue de l'opposition à Wayanad, nous a emmenés rencontrer des habitants ignorés, selon elle, par les programmes du gouvernement. « Il y a des gens qui, parce qu'ils sont trop isolés, échappent encore aux aides gouvernementales. Si nous, dans l'opposition, validons que la pauvreté a disparu, les budgets vont disparaître alors qu'ils en ont encore grand besoin ! » Pour l'instant, le gouvernement du Kerala n'a pas clairement répondu aux experts et opposants qui jugent qu'il crie victoire trop rapidement.
durée : 00:32:38 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - La France est en train de préparer son opinion publique à un engagement militaire majeur. Dès lors, faut-il réinstaurer un service militaire, même volontaire ? Les jeunes sont-ils prêts à s'engager ? La menace est-elle surestimée ? - invités : Salomé Hocquard Vice-présidente de l'Union nationale des étudiants de France (UNEF); Michel Goya Ancien colonel des Troupes de marine, auteur du blog "La voix de l'épée"
Comme chaque premier jeudi du mois, nous consacrons notre émission à la sexualité. Ce mois-ci, la sexologue de l'émission, Noëlle Cayarcy, répond à toutes les questions que se posent les auditeurs sur les douleurs pendant les rapports sexuels. Objectif : identifier l'origine pour trouver le soulagement et retrouver confiance. Comment oser en parler à son partenaire, comme à un.e soignant.e ? La douleur au cours des rapports sexuels peut être multifactorielle. Dyspareunie chez la femme, algie sexuelle chez l'homme, cette douleur peut être physique, psychologique ou mixte… Dans tous les cas, elle n'est jamais normale, ni imaginaire et ne doit pas être banalisée. Il faut la considérer comme un signal à écouter, interpréter et prendre en compte. Ne pas taire sa douleur sexuelle La douleur, symptôme ou signal d'alerte, peut en effet freiner, gêner ou faire obstacle aux relations intimes. Il est essentiel d'en parler, que l'on soit en couple ou non : décrire la nature de la sensation et la localiser, identifier les conditions ou même les positions au cours desquelles les douleurs ou la gêne se font sentir. De multiples causes physiques ou non Les douleurs au cours de la sexualité sont multiples dans leurs manifestations comme dans leurs explications : douleurs d'origine physique, associées à une affection ou un trouble, des changements physiologiques et hormonaux, des actes médicaux, douleurs cicatricielles... Ces causes sont variées et appelleront des diagnostics et des réponses très différentes : endométriose, ménopause, sécheresse vaginale, suite de chirurgies, douleurs lors de l'érection, douleurs associées à l'utilisation d'accessoires inappropriés. Soulagement et patience Certaines douleurs sexuelles vont être réactionnelles, après un événement pénible ou traumatique, sans d'ailleurs que la personne ne soit forcément consciente du lien entre l'épreuve et sa manifestation douloureuse. Le soulagement peut prendre du temps. Certaines situations peuvent donc nécessiter de la patience, et dans tous les cas, de la bienveillance de la part du professionnel de santé, comme du partenaire de confiance, à qui l'on confie cette plainte. Avec : Noëlle Cayarcy, sage-femme, sexologue, oncosexologue, membre de l'Association inter-disciplinaire post-universitaire de sexologie, directeur de projets en prévention de santé, experte à la Haute Autorité de santé et présidente de la Communauté pluriprofessionnelle de santé de Paris XVIe. Programmation musicale : ► Bruno Mars, Anderson Paak, Thundercat – After last night ► Mightyyout, Davido – I Know
Episode 220: Entretien avec l'Historien Bechir Yazidi Le projet « Archives d'histoire orale de la production intellectuelle maghrébine » vise à documenter les trajectoires de vie, les formations intellectuelles et les luttes politiques de plusieurs générations de femmes et d'hommes nord-africains qui ont contribué à la création de la culture écrite et parlée dans cette partie du monde. Les entretiens sont réalisés avec des économistes, planificateurs, nutritionnistes, architectes, sociologues ruraux et d'autres chercheurs algériens, marocains et tunisiens. Il s'agit de la toute première initiative au Maghreb visant à créer des archives écrites, orales et filmées du travail intellectuel de générations qui se sont battues pour construire leurs sociétés. Elle innove en rassemblant ces voix et en les portant à la connaissance d'un large public afin de mieux faire connaître les premiers aux seconds et de démocratiser l'accès au savoir dans notre région. Dans ce podcast, enregistré en Tunisie en février 2022, Habib Ayeb, Professeur émérite de géographie à l'Université de Paris 8, s'entretient avec l'Historien Bechir Yazidi, Chercheur à l'Institut Supérieur de l'Histoire de la Tunisie Contemporaine (anciennement Institut d'Histoire du Mouvement National), Université de Manouba. Découvrez la vidéo et l'entretien en pdf Nous remercions notre ami Ignacio Villalón, doctorant à l'Université de Crète/Institute for Mediterranean Studies, pour sa prestation à la guitare pour l'introduction et la conclusion de ce podcast. Montage : Lena Krause, AIMS Development and Digital Resources Liaison.
Murray Bookchin est l'un des grands penseurs de l'écologie politique du 20ème siècle à l'origine des plusieurs concepts innovants comme l'écologie sociale, le municipalisme libertaire ou le communalisme.Pierre Sauvêtre, maître de conférences en sociologie à l'Université Paris Nanterre vient de consacrer un ouvrage à sa pensée : Murray Bookchin ou l'objectif communocène paru aux éditions de l'atelier. Dans cet épisode du podcast Ozé, nous revenons sur le parcours de Murray Bookchin dont les premiers travaux remontent aux années 1950, à sa vision politique inspirée de l'anarchisme et à sa vision économique fortement ancrée sur le territoire.Pour aller plus loin sur certains thèmes abordés dans l'épisode, vous pouvez aussi écouter :Pratiques de la démocratie directe à Athènes en Grèce antiqueSortir de la crise démocratique par le communalisme
Tu veux doubler ton chiffre d'affaires en 2026 ? Si ta stratégie c'est "travailler plus, prendre plus de clients ou augmenter tes prix", prépare-toi à un aller simple direction le burn-out.Tu te demandes comment faire vraiment fois deux sur ton CA sans sacrifier ta vie perso et ton énergie ?Dans cet épisode solo, je te dévoile les 7 leviers qui m'ont fait passer de 100K€ à 320K€ sans travailler deux fois plus.Au programme :
Aujourd'hui, je vous retrouve pour une nouvelle leçon du mercredi, un format où j'aide l'un d'entre vous à avancer concrètement dans son projet.Et cette semaine, je reçois Winter Joseph, entrepreneur dans l'immobilier depuis 7 ans, qui relance un nouveau réseau d'affaires… après en avoir déjà monté un premier.Son défi :
Dans l'émission du 3 décembre, Marc-Antoine Le Bret a imité Emmanuel Macron, François Hollande, Gérald Darmanin, Edouard Baer, Jean-Marie Bigard et Jean-Michel Aphatie. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouveau podcast, les Grosses Têtes doivent deviner à qui appartiennent les anecdotes qu'elles entendent avec des voix trafiquées ! Christine Bravo et Christophe Barbier mènent l'enquête une nouvelle fois ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans quelques jours, il y aura une annonce à propos de la tour Eiffel ! Nous allons découvrir les 72 noms de femmes scientifiques qui vont être inscrits sur la tour. Béatrice Marticorena, scientifique au CNRS a participé à une commission d'experts. Elle nous raconte dans cet entretien le projet, à quelle ambition il répond, qui en a eu l'idée et qui l'a porté. Elle aborde aussi le parcours pour devenir scientifique en France. Bref, c'est passionnant de l'entendre parler de ce projet qui mêle les femmes, les sciences et la tour Eiffel. Cet épisode est l'occasion idéale de découvrir le vocabulaire scientifique, l'histoire de la tour Eiffel, mais aussi des phrases complexes. N'hésitez pas à envoyer un message si cet épisode vous a plu sur www.onethinginafrenchday.com