De l'art cinétique à l'art perceptuel, les notions d'espace, de vision, de mouvement et de lumière traversent l'art abstrait du XXe siècle et concernent de nombreux artistes contemporains mondialement reconnus, comme Ann Veronica Janssens, Anish Kapoor, John Armleder, Carsten Höller... Retrouvez la…
Une œuvre commentée : Blaues Sege de Hans Haacke
Une œuvre commentée : Light Corner de Carsten Höller
Une œuvre commentée : le grand mobile de Xavier Veilhan
Une œuvre commentée : Pénétrable BBL bleu de Rafael Soto
Une œuvre commentée : Beyond the fan de Zilvinas Kempinas
Les génériques de films ont toujours représenté un terreau propice aux expérimentations optiques y compris l'art cinétique à partir des années 60. Interstice, surimpression, épingle, banc-titre pop, split-screen, dessin, typo animée, nature morte, motion design… Alexandre Tylski explore les techniques utilisées par des maîtres du générique comme Lye, Alexeiev, Fouchet, Ferro, Topin, Lenica ou Saul Bass parmi beaucoup d'autres…
Autour d'Emmanuel Guigon, conservateur en chef du patrimoine, directeur du musée de Besançon : Pamela Golbin, conservatrice en chef mode et textile au musée des Arts décoratifs, Peter Knapp, artiste peintre, photographe, ancien directeur artistique du magazine Elle, Aurélien Lemonier, architecte, conservateur au musée national d'art moderne et Malte Martin, graphiste et plasticien, échangent leurs expériences sur l'emploi des jeux d'optique dans le travail de création.
L'oeuvre de Carlos Cruz-Diez se présente comme une suite d'expérimentations sur la couleur conçue comme une réalité autonome, dépourvue d'anecdote, de forme et de support. Curateur et historien d'art, Ariel Jimenez a rassemblé dans Carlos Cruz-Diez in conversation with Ariel Jimenez les dizaines d'entretiens réalisés avec l'artiste autour de sa quête pour dématérialiser la couleur.
Né en Argentine, Julio Le Parc s'est établi à Paris en 1958. Pionnier de l'art cinétique, membre fondateur du GRAV (Groupe de Recherche d'Art Visuel), il a travaillé dès les années 60 sur la dématérialisation de l'oeuvre, la lumière artificielle, le trouble sensoriel, l'implication du spectateur ou encore les seuils de perception – autant d'interrogations fondatrices toujours au centre du travail de nombreux artistes contemporains.
Les notions d'espace, de vision, de mouvement et de lumière en rapport avec la perception ont traversé l'art abstrait du xxe siècle et concernent aujourd'hui de nombreux artistes contemporains comme Ann Veronica Janssens, Anish Kapoor, John Armleder, Philippe Decrauzat, Jeppe Hein ou Felice Varini.