Ballet by Claude Debussy
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durée : 01:01:40 - Club Jazzafip - Quand la liberté du jazz rencontre le monde du gaming, la créativité est au rendez-vous.
Au programme :Konami Press Start: la modestie après la tempêteOn en sait plus sur Donkey Kong BananzaNos jeux du momentDune: AwakeningPipistrello and the Cursed YoyoThe Legend of Zelda: Link's AwakeningAbsolum (demo)Le reste de l'actualité : Microsoft et AMD, ROG Xbox Ally, MindsEye, Gamekult, procès Ubisoft…---Infos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok)Co-animé par JK Lauret (Twitter).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique par Daniel Beja.Le Rendez-vous Jeux épisode 405 – Konami revient en grâce – Konami Press Start, Donkey Kong Bananza, Dune: Awakening, Pipistrello, Absolum---Liens :
durée : 00:35:43 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Enthousiasme, vivre-ensemble, euphorie collective... Près d'un an après les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, que reste-t-il de l'"esprit des jeux" ?
Interview de Yohan Servais, auteur et scénariste de jeux de société, réalisée lors du Festival International des Jeux de Cannes 2025.
Soutiens mon travail et mon indépendance en rejoignant mon Patreon : https://www.patreon.com/TheSharePlayers▬ ▬ ▬ TU VEUX SOUTENIR LA CHAÎNE ? ▬ ▬ ▬
Aujourd'hui, une défaite inattendue… et franchement cocasse : ChatGPT, le célèbre chatbot d'OpenAI, s'est fait battre aux échecs. Pas par un grand maître. Ni même par un autre modèle d'intelligence artificielle. Non, par… une console Atari 2600 datant de 1977.C'est l'ingénieur Robert Caruso, de chez Citrix, qui a orchestré cette expérience. Il a utilisé un émulateur pour faire tourner un jeu d'échecs développé en 1979 pour la mythique console Atari. Le but ? Voir comment ChatGPT, censé incarner le futur de l'intelligence artificielle, se débrouille face à un moteur de jeu aussi basique. Et je vous explique tout ça en trois points.La partie ne s'est pas bien passée pour ChatGPTPremier point à retenir, la partie ne s'est pas bien passée pour ChatGPT.Il a confondu les pièces, prenant des tours pour des fous, manqué des opportunités stratégiques simples et perdu le fil de la partie à plusieurs reprises.Il a même accusé les graphismes Atari d'être trop abstraits, avant de faire les mêmes erreurs… en notation d'échecs classique.Cette défaite s'explique techniquementDeuxième point, cette défaite s'explique techniquement.ChatGPT est un modèle de langage. Il est conçu pour comprendre et générer du texte, pas pour analyser des positions sur un échiquier en temps réel.À l'inverse, le jeu d'Atari, aussi vieux soit-il, a été programmé exclusivement pour ça. Même avec une mémoire ridicule, 128 octets, il est plus performant que l'IA d'OpenAI dans ce contexte précis.Une leçon importanteTroisième point enfin, cette expérience nous rappelle une leçon importante.Tous les outils d'IA ne se valent pas pour toutes les tâches. Ce n'est pas parce qu'un modèle peut briller dans des conversations ou expliquer des concepts complexes qu'il saura jouer aux échecs comme un pro.Il existe d'ailleurs des extensions spécialisées comme ChessGPT ou des moteurs comme Stockfish, bien plus adaptés à ce genre de défi.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:31:55 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Les Jeux Olympiques peuvent-ils rester hermétiques aux questions politiques ? En 2008, ce documentaire du "Cœur des Jeux" raconte comment la politique a régulièrement occupé l'enceinte olympique, sans jamais attendre l'avis du CIO pour s'inviter aux Jeux. - réalisation : Emily Vallat - invités : Patrick Clastres Professeur d'histoire du sport à l'Université de Lausanne au sein de la Faculté des sciences sociales et politiques (ISSUL); Benoît Heimermann Grand reporter à L'Equipe Magazine; Laura Flessel Escrimeuse française; Monique Berlioux; Yohann Diniz Athlète, champion du monde de marche à pied à Londres en 2017
Aujourd'hui, on braque notre viseur sur Shotgun Copman, le tout dernier délire de DeadToast Entertainment, les créateurs du culte My Friend Pedro. Fini les bananes qui parlent. Ici, t'incarnes un flic armé jusqu'aux dents, qui traverse l'enfer une cartouche à la fois.Pas de cinématique, pas de dialogues chiants : juste toi, ton fusil, et Satan à mettre à genoux.Et spoiler : ça tabasse.
Fête de la radio x 2 : national + happy birthday RVVS ! Cette semaine, Reportages VIP, acteur local à la culture internationale, vous propose une émission avec : Richard animateur de RVVS et secrétaire général de l'association afin d'évoquer la fête de la radio et le futur anniversaire de RVVS une chronique "Image des Jeux" à propos de la radio et les jeux olympiques et paralympiques, "1 auto, 1 histoire" concernant la Kia Sportage Belle semaine ! Prenez soin de vous en écoutant RVVS et Reportages VIP !
De L'Autre Côté du Plateau - Le Podcast de Jeux de Société
Send us a textVendredi 13 juin 2025 - Les meilleurs jeux modernes !Après un an de débat, quels sont les 5 jeux de société qui seront intronisés au Temple de la Renommée des jeux parmi les 10 titres sélectionnés ?- Les Châteaux de Bourgogne- Les Aventuriers du Rail- 7 wonders Duel- Uno- Carcassonne- Descent Voyage dans les Ténèbres- Dominion- Monopoly- Projet Gaia- Too Many BonesFaites vos jeux, l'heure de vérité à sonnée... et les gagnants sont ... ?Un épisode à ne pas manquer ! Pour nous laisser un commentaires, rendez-vous sur la page Facebook De l'Autre Côté du Plateauhttps://www.facebook.com/groups/150380860556421Pour notre boutique en ligne :https://zonesocietedesjeux.myspreadshop.ca/C'est un rendez-vous chaque vendredi pour un visite de l'autre côté du plateau !Merci à notre commanditaire:https://boutiquelapioche.com/106 boulevard René-Lévesque Ouest,Québec, QC, G1R 2A5info@boutiquelapioche.com581-983-6895Abonnez vous pour découvrir nos meilleurs jeux de société !Martin Montreuil de La Société des Jeuxhttps://www.youtube.com/@lasocietedesjeuxMartin Lafrenière de la Zone Jeux de Sociétéhttps://www.youtube.com/zonejeuxdesocieteRandolph: Rassemblons-nous !Chez Randolph, nous sommes des experts passionnés et rassemblons les gens autour des jeux de sociétéDisclaimer: This post contains affiliate links. If you make a purchase, I may receive a commission at no extra cost to you.
Le grand roman #1 : Plongez dans les trésors de la littérature, pour rêver, frissonner, voyager... Cette fois-ci : à la suite du capitaine Nemo dans 20000 lieues sous les mers de Jules Verne.Embarquez avec nous sur les réseaux sociaux pour ne rien rater !Instagram : https://www.instagram.com/marlopodcast/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme :Switch 2 un plus gros succès que prévu une semaine après la sortieSummer Game Fest E3 : le nivellement par l'abondanceWholesome DirectFuture Games ShowXbox Games ShowcaseNos jeux du momentMario Kart WorldThe AltersLe reste de l'actualité---Infos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok)Co-animé par Maïté “Eskarina” (Twitter).Co-animé par Thomas Méreur « Amaebi » (Bluesky).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique par Daniel Beja.Le Rendez-vous Jeux épisode 404 – Summer Game Fest: tu vas voir flou – Ventes Switch 2, Summer Game Fest E3, Wholesome Direct, Future Games Show, Xbox Games Showcase, Mario Kart World, The Alters---Liens :
Aujourd'hui, dans SUPER VIEUX JEUX, nous allons parler des ponts qui ont parfois reliés les jeux vidéo et les musiciens pop. Nous allons pour cela employer des mots délicieusement désuets comme cassette, multimédia ou popstar, afin d'évoquer ces artistes qui, faisant déjà la fortune des radios et des disquaires, ont troqué, le temps d'un jeu, les microsillons pour la micro informatique.Rappel : ne cherchez pas le podcast S02E06, cette visite de l'expo MO5 n'a été diffusée qu'en vidéo. Rendez-vous sur YouTbe.
Membre de l'équipe de France de gymnastique aux JO de Paris 2024, triple championne d'Europe et double médaillée mondiale, Coline Devillard à marqué l'histoire de la gym française.
En ce mois de juin, les théâtres russes commencent à envoyer leurs programmes de rentrée avec des pièces mettant en valeur ce que Vladimir Poutine continue à appeler « l'opération spéciale ». Jeux vidéo, films, séries télé, toute l'industrie du loisir et de la culture est mise à contribution. Objectif : toucher le grand public. Avec, à ce stade, un succès encore mitigé chez les spectateurs. De notre correspondante à Moscou, En septembre, Irkoutsk accueillera la 15e édition de son festival national biennal de théâtre. Notamment sponsorisée par Gazprom, la compétition accueillera aussi en parallèle un laboratoire dont le thème est cette année « l'Opération militaire spéciale dans l'art théâtral moderne ». Vingt-huit candidatures de pièces originales écrites en russe, jamais mises en scène ni publiées auparavant ont été acceptées. Trois seront ensuite sélectionnées pour être jouées en public. Ce n'est qu'une des nombreuses illustrations de l'effort des autorités pour pousser une culture grand public toute tournée vers le soutien à son « opération spéciale ». Souci prononcé d'être proche des combattants De la capitale russe à Saint-Pétersbourg, de Kaliningrad à Vladivostok en passant par Kazan et Novossibirsk, cette année encore plus que les précédentes, chaque grande ville ou moyenne de Russie a vu se jouer dans ses théâtres au moins une pièce dite « patriotique », illustrant ou vantant l'effort de guerre de l'armée russe, héroïsant ses soldats, avec un souci prononcé d'être aussi proche des combattants que possible. À Moscou cette année, sur la scène du célèbre « Sovremennik », se jouait une pièce intitulée Call Sign Silence : l'histoire du nouveau départ dans la vie civile d'un vétéran handicapé revenu à la vie civile, « renforçant le moral des citoyens de Russie » selon certaines critiques. Dans les journaux de petites villes comme Yoshkar-Ola, à un peu plus de 800 km de la capitale, on peut aussi lire à propos de la présentation d'une pièce ce type de description : « Des témoins des événements ont aidé les artistes à recréer des actions militaires réalistes sur scène (..) Ils ont enseigné comment tenir correctement une mitrailleuse et exprimer la douleur d'une blessure pour que le spectateur vous croie ». Ces « témoins des événements » sont bien sûr les soldats. Même le théâtre amateur ou les troupes des écoles s'y sont mis. « Des films et des poèmes écrits parfois trop rapidement » Sur le grand et le petit écran, on peut aussi aujourd'hui voir des films et des séries dans la même veine que le premier modèle du genre : une série intitulée 20/22, soit une histoire d'amour contrariée qui se déroule pendant le siège de Marioupol, présentant, dans le droit fil du narratif du Kremlin, les soldats russes comme libérant la ville d'un fascisme destructeur. Malgré tous les efforts des institutions, disposant souvent d'un budget généreux pour subventionner toute proposition, le public n'est pourtant pas toujours au rendez-vous. La faute à une qualité qui laisserait à encore à désirer, juge une critique d'art qui fait autorité en Russie : « Aujourd'hui, le point de vue très patriotique trouve un débouché artistique, mais je ne vois pas encore une véritable forme d'art, juge-t-elle. Pour l'instant, et ce n'est que mon opinion personnelle, ce ne sont que des tentatives. Et elles ne sont pas toutes professionnelles. Il y a des films souvent réalisés à toute vitesse, ou bien des poèmes écrits très rapidement. On voit bien aussi ce qu'on appelle la poésie « Z ». Mais dans ce domaine, il n'y a tout simplement pas de bons poètes. Enfin, peut-être un. Il y a Igor Karaulov, qui est généralement considéré comme un vrai écrivain. Mais à bien des égards, ce sont des poèmes aux formes très simples, sans véritable élaboration. » À lire aussiSoutenir, critiquer ou se taire, les artistes russes face à un choix lourd de conséquences Difficile d'échapper à la production « patriotique » La qualité insuffisante est souvent invoquée par les spectateurs qui revendiquent ne pas être intéressés. « Si vous êtes en vacances, vous n'irez pas au cinéma voir ce type de film, même si on vous donne une réduction de 95%. Personne n'en a envie, car c'est mal fait, ça n'a rien à voir avec l'art », explique un jeune étudiant. Ils sont aussi encore nombreux ceux qui cherchent à fuir le plus possible dans leur vie privée, sur leur temps libre, tout ce qui peut leur rappeler la guerre. Comme cette psychologue moscovite, la quarantaine, qui explique : « Je ne regarde pas ce genre de cinéma et je ne l'ai jamais fait, car il provoque des émotions que je n'aime pas vraiment ressentir. Je suis assez sensible et j'essaie de me concentrer sur le positif. Dans ce genre de films, il y a toujours un côté dramatique et douloureux, que, personnellement, j'essaie de minimiser, car je vis déjà suffisamment d'expériences douloureuses dans ma vie. Et on entend parler de morts tous les jours. » Au box office russe de 2025 jusqu'ici, trois films sur le podium : le conte de fées Le Magicien de la cité d'Émeraude (version soviétique du magicien d'Oz), Nezha vaincra le Roi Dragon, un dessin animé chinois, Le Prophète, une biographie de Pouchkine pour adolescents. Il y a bien un film de guerre dans le Top 10, mais il s'agit d'un film d'anticipation qui se déroule dans les fonds marins. Pourtant, à en croire un jeune Moscovite, il est difficile d'échapper à la production contemporaine « patriotique » : « Bien sûr, la propagande est moins oppressante aujourd'hui qu'en URSS. On ne vous dit pas de toutes parts qu'il faut absolument voir tel film, mais le ressenti est très similaire. Mais même si vous n'êtes pas obligé de voir telle ou telle production parce que vous n'en avez pas envie, vous vous retrouverez forcément de toute façon à voir la bannière ou la publicité et vous ressentirez cette émotion écœurante. » Trop de pression peut-être, surtout pour ceux qui, comme ce jeune homme, doivent déjà garder leurs opinions anti-guerre en Ukraine pour eux et s'évader, seuls devant un écran d'ordinateur, en regardant grâce aux VPN des films et séries interdits. Cela n'empêche pas, parfois, des petits gestes, comme celui d'un étudiant qui cet hiver a laissé un commentaire sur le site internet d'un théâtre de Moscou, critiquant la présence de la lettre « Z » sur sa façade. Pour expliquer ces quelques lignes à RFI, il avance : « Je ne soutiens pas l'opération spéciale, je ne soutiens pas la guerre, ni le régime actuel, je pense que toute sa politique est extrêmement mauvaise, et j'essaie de m'y opposer autant que possible. Donc, je n'irai plus jamais dans ce théâtre tant qu'un « Z » y est suspendu. Je pense d'ailleurs que se rendre dans un tel théâtre est un soutien indirect. D'ailleurs, je ne monterai pas non plus dans un bus sur lequel la lettre Z est affichée. Je sais bien que dans la situation actuelle, il est extrêmement difficile de ne montrer aucun soutien, que tout le monde est sous une pression folle, mais je pense que n'importe quel théâtre peut quand même se permettre de ne pas accrocher une énorme lettre Z sur la façade. » À lire aussiRussie: le pouvoir conforte sa reprise en main sur la culture « Faire profil bas n'est pas se taire » Pour combien de temps encore ? Depuis 2022, les autorités ont méthodiquement procédé : elles ont visé toutes les têtes des grandes institutions culturelles connues à Moscou ou à Saint-Pétersbourg. Toute direction jugée pas assez favorable au pouvoir et à sa décision d'envoyer ses soldats en Ukraine a été remplacée par des figures dont la loyauté aux yeux de tous ne pouvait faire aucun doute. A la tête de grands musées, on retrouve par exemple aujourd'hui des personnalités réputées proches des services de sécurité. Parfois, certains d'entre eux siègent simplement au conseil d'administration, mais cela suffit pour assurer un verrouillage désormais total. Quant aux artistes critiques, ceux qui n'ont pas fui courent un risque très élevé de se retrouver derrière les barreaux. Le terme « critique » recouvre d'ailleurs un champ très large. Témoin l'affaire de la metteuse en scène Evguenia Berkovitch et de la dramaturge Svetlana Petriïtchouk, condamnées en juillet dernier à quasiment six ans de colonie pénitentiaire par un tribunal militaire. Motif : « apologie du terrorisme ». En cause officiellement : leur pièce de théâtre intitulée « le faucon », Saluée par la critique et le public, elle avait reçu en 2022 deux Masques d'or, la plus prestigieuse récompense du théâtre russe. Elle raconte l'histoire de jeunes femmes russes recrutées sur internet par des islamistes en Syrie et partant les rejoindre pour les épouser. Soit, disent les artistes qui ont toujours clamé leur innocence, l'inverse de ce qui leur est reproché. D'Evguenia Berkovitch, et des motifs de son arrestation, une personnalité du monde culturel russe dit : « Mon opinion personnelle est que le vrai problème est qu'elle n'était pas capable de se taire, sur aucun sujet. Evguenia a toujours dit que le théâtre ne pouvait pas être en dehors de son temps, en dehors des événements. Que si le théâtre ne parle pas ce qu'il se passe dans le monde, au moment où ça se passe, alors cela signifie qu'il n'est pas honnête » Sans débouchés possibles pour exprimer leur vision – une des personnes rencontrées lors de ce reportage parle de « zone de silence » –, aujourd'hui les artistes qui ne soutiennent pas activement la politique du pouvoir et qui sont restés en Russie se réfugient, dit cette personnalité du monde culturel, dans l'expression de leurs idées de la manière « la plus allégorique possible ». À lire aussiRussie: le musée du Goulag à Moscou fermé Un jeu vidéo russe sur la guerre en Ukraine « Malheureusement, reprend-elle, il y a maintenant une fracture entre "ceux qui sont partis" et "ceux qui sont restés". Beaucoup de gens qui sont partis ont commencé à critiquer très durement ceux qui sont restés en leur disant : "Vous avez cédé, vous avez abandonné, il est impossible de rester dans ce pays sans devenir un salaud". Je pense que ce n'est pas vrai. Qu'il y a toujours des options. Qu'il y a une différence entre se taire et faire simplement profil bas. La question est de savoir comment vous le faites, et quel genre de personne vous êtes. Même si pour moi, même si la guerre se terminait, la situation sur le plan intérieur ne changera pas. » Le pouvoir renforce chaque jour un peu plus son investissement dans la culture. Vladimir Poutine a ainsi ordonné ce printemps la création d'un lieu à Moscou tout entier dédié à promouvoir « le théâtre patriotique moderne ». Date butoir : le 30 novembre prochain. Une production nationale russe en tout cas, semble elle, à en croire en tout cas son chef de projet, tirer largement son épingle du jeu. Il s'agit d'un jeu vidéo intitulé Squad 22: ZOV. Décrit comme « basé sur l'expérience réelle de la guerre des vétérans russes en Ukraine », il propose des volets comme « Campagne de printemps du Donbass, 17 missions sur les combats de 2014 », ainsi que « Marioupol 2022 » et « Contre-offensive ukrainienne 2023 » et revendique 100 000 utilisateurs quotidiens sur la page internet où on peut le télécharger depuis fin janvier dernier. Présenté sur la plate-forme Steam depuis le 30 mai dernier – et bloqué sur son segment ukrainien –, il y est décrit comme « officiellement recommandé par l'armée russe comme manuel de tactiques d'infanterie de base pour l'entraînement des cadets et de la Iounarmia (organisation d'État russe pour les jeunes cadets de l'armée) », plaçant le joueur « aux commandes d'équipes de soldats russes qui combattent les forces armées ukrainiennes, font des prisonniers et libèrent des otages ». Ce même 30 mai dernier, le chef de projet affirmait au quotidien légitimiste les Izviestia que 54% de son chiffre d'affaires provenait déjà... des États-Unis. À lire aussiSoutenir, critiquer ou se taire, les artistes russes face à un choix lourd de conséquences
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Le haut fonctionnaire chargé de contrôler un des opérateurs des Jeux de Paris 2024 avait vendu des prestations auprès de ce même établissement. Il a été condamné à l'issue d'une procédure de « plaider-coupable ». Un article d'Antton Rouget publié mardi 10 juin et lu par Christine Pâris. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vu sur Le Club Breton N°39 : reportages et actualités avec Yves Averty et Marie. Actualités : Portes ouvertes à l'école Diwan d'Orvault les 14, 27 juin et 5 juillet. Le vendredi 27 juin, soirée spéciale au LAB à Nantes, où les Jeux de Bretagne rebondissent ! Programme musical : Hamon Martin Quintet, Et si l'idée coulait de source – Eben, Dañs ar bleiz – Fleuves, Aber – Madelyn Ann, […] Cet article provient de Radio AlterNantes FM
En ce mois de juin, les théâtres russes commencent à envoyer leurs programmes de rentrée avec des pièces mettant en valeur ce que Vladimir Poutine continue à appeler « l'opération spéciale ». Jeux vidéo, films, séries télé, toute l'industrie du loisir et de la culture est mise à contribution. Objectif : toucher le grand public. Avec, à ce stade, un succès encore mitigé chez les spectateurs. De notre correspondante à Moscou, En septembre, Irkoutsk accueillera la 15e édition de son festival national biennal de théâtre. Notamment sponsorisée par Gazprom, la compétition accueillera aussi en parallèle un laboratoire dont le thème est cette année « l'Opération militaire spéciale dans l'art théâtral moderne ». Vingt-huit candidatures de pièces originales écrites en russe, jamais mises en scène ni publiées auparavant ont été acceptées. Trois seront ensuite sélectionnées pour être jouées en public. Ce n'est qu'une des nombreuses illustrations de l'effort des autorités pour pousser une culture grand public toute tournée vers le soutien à son « opération spéciale ». Souci prononcé d'être proche des combattants De la capitale russe à Saint-Pétersbourg, de Kaliningrad à Vladivostok en passant par Kazan et Novossibirsk, cette année encore plus que les précédentes, chaque grande ville ou moyenne de Russie a vu se jouer dans ses théâtres au moins une pièce dite « patriotique », illustrant ou vantant l'effort de guerre de l'armée russe, héroïsant ses soldats, avec un souci prononcé d'être aussi proche des combattants que possible. À Moscou cette année, sur la scène du célèbre « Sovremennik », se jouait une pièce intitulée Call Sign Silence : l'histoire du nouveau départ dans la vie civile d'un vétéran handicapé revenu à la vie civile, « renforçant le moral des citoyens de Russie » selon certaines critiques. Dans les journaux de petites villes comme Yoshkar-Ola, à un peu plus de 800 km de la capitale, on peut aussi lire à propos de la présentation d'une pièce ce type de description : « Des témoins des événements ont aidé les artistes à recréer des actions militaires réalistes sur scène (..) Ils ont enseigné comment tenir correctement une mitrailleuse et exprimer la douleur d'une blessure pour que le spectateur vous croie ». Ces « témoins des événements » sont bien sûr les soldats. Même le théâtre amateur ou les troupes des écoles s'y sont mis. « Des films et des poèmes écrits parfois trop rapidement » Sur le grand et le petit écran, on peut aussi aujourd'hui voir des films et des séries dans la même veine que le premier modèle du genre : une série intitulée 20/22, soit une histoire d'amour contrariée qui se déroule pendant le siège de Marioupol, présentant, dans le droit fil du narratif du Kremlin, les soldats russes comme libérant la ville d'un fascisme destructeur. Malgré tous les efforts des institutions, disposant souvent d'un budget généreux pour subventionner toute proposition, le public n'est pourtant pas toujours au rendez-vous. La faute à une qualité qui laisserait à encore à désirer, juge une critique d'art qui fait autorité en Russie : « Aujourd'hui, le point de vue très patriotique trouve un débouché artistique, mais je ne vois pas encore une véritable forme d'art, juge-t-elle. Pour l'instant, et ce n'est que mon opinion personnelle, ce ne sont que des tentatives. Et elles ne sont pas toutes professionnelles. Il y a des films souvent réalisés à toute vitesse, ou bien des poèmes écrits très rapidement. On voit bien aussi ce qu'on appelle la poésie « Z ». Mais dans ce domaine, il n'y a tout simplement pas de bons poètes. Enfin, peut-être un. Il y a Igor Karaulov, qui est généralement considéré comme un vrai écrivain. Mais à bien des égards, ce sont des poèmes aux formes très simples, sans véritable élaboration. » À lire aussiSoutenir, critiquer ou se taire, les artistes russes face à un choix lourd de conséquences Difficile d'échapper à la production « patriotique » La qualité insuffisante est souvent invoquée par les spectateurs qui revendiquent ne pas être intéressés. « Si vous êtes en vacances, vous n'irez pas au cinéma voir ce type de film, même si on vous donne une réduction de 95%. Personne n'en a envie, car c'est mal fait, ça n'a rien à voir avec l'art », explique un jeune étudiant. Ils sont aussi encore nombreux ceux qui cherchent à fuir le plus possible dans leur vie privée, sur leur temps libre, tout ce qui peut leur rappeler la guerre. Comme cette psychologue moscovite, la quarantaine, qui explique : « Je ne regarde pas ce genre de cinéma et je ne l'ai jamais fait, car il provoque des émotions que je n'aime pas vraiment ressentir. Je suis assez sensible et j'essaie de me concentrer sur le positif. Dans ce genre de films, il y a toujours un côté dramatique et douloureux, que, personnellement, j'essaie de minimiser, car je vis déjà suffisamment d'expériences douloureuses dans ma vie. Et on entend parler de morts tous les jours. » Au box office russe de 2025 jusqu'ici, trois films sur le podium : le conte de fées Le Magicien de la cité d'Émeraude (version soviétique du magicien d'Oz), Nezha vaincra le Roi Dragon, un dessin animé chinois, Le Prophète, une biographie de Pouchkine pour adolescents. Il y a bien un film de guerre dans le Top 10, mais il s'agit d'un film d'anticipation qui se déroule dans les fonds marins. Pourtant, à en croire un jeune Moscovite, il est difficile d'échapper à la production contemporaine « patriotique » : « Bien sûr, la propagande est moins oppressante aujourd'hui qu'en URSS. On ne vous dit pas de toutes parts qu'il faut absolument voir tel film, mais le ressenti est très similaire. Mais même si vous n'êtes pas obligé de voir telle ou telle production parce que vous n'en avez pas envie, vous vous retrouverez forcément de toute façon à voir la bannière ou la publicité et vous ressentirez cette émotion écœurante. » Trop de pression peut-être, surtout pour ceux qui, comme ce jeune homme, doivent déjà garder leurs opinions anti-guerre en Ukraine pour eux et s'évader, seuls devant un écran d'ordinateur, en regardant grâce aux VPN des films et séries interdits. Cela n'empêche pas, parfois, des petits gestes, comme celui d'un étudiant qui cet hiver a laissé un commentaire sur le site internet d'un théâtre de Moscou, critiquant la présence de la lettre « Z » sur sa façade. Pour expliquer ces quelques lignes à RFI, il avance : « Je ne soutiens pas l'opération spéciale, je ne soutiens pas la guerre, ni le régime actuel, je pense que toute sa politique est extrêmement mauvaise, et j'essaie de m'y opposer autant que possible. Donc, je n'irai plus jamais dans ce théâtre tant qu'un « Z » y est suspendu. Je pense d'ailleurs que se rendre dans un tel théâtre est un soutien indirect. D'ailleurs, je ne monterai pas non plus dans un bus sur lequel la lettre Z est affichée. Je sais bien que dans la situation actuelle, il est extrêmement difficile de ne montrer aucun soutien, que tout le monde est sous une pression folle, mais je pense que n'importe quel théâtre peut quand même se permettre de ne pas accrocher une énorme lettre Z sur la façade. » À lire aussiRussie: le pouvoir conforte sa reprise en main sur la culture « Faire profil bas n'est pas se taire » Pour combien de temps encore ? Depuis 2022, les autorités ont méthodiquement procédé : elles ont visé toutes les têtes des grandes institutions culturelles connues à Moscou ou à Saint-Pétersbourg. Toute direction jugée pas assez favorable au pouvoir et à sa décision d'envoyer ses soldats en Ukraine a été remplacée par des figures dont la loyauté aux yeux de tous ne pouvait faire aucun doute. A la tête de grands musées, on retrouve par exemple aujourd'hui des personnalités réputées proches des services de sécurité. Parfois, certains d'entre eux siègent simplement au conseil d'administration, mais cela suffit pour assurer un verrouillage désormais total. Quant aux artistes critiques, ceux qui n'ont pas fui courent un risque très élevé de se retrouver derrière les barreaux. Le terme « critique » recouvre d'ailleurs un champ très large. Témoin l'affaire de la metteuse en scène Evguenia Berkovitch et de la dramaturge Svetlana Petriïtchouk, condamnées en juillet dernier à quasiment six ans de colonie pénitentiaire par un tribunal militaire. Motif : « apologie du terrorisme ». En cause officiellement : leur pièce de théâtre intitulée « le faucon », Saluée par la critique et le public, elle avait reçu en 2022 deux Masques d'or, la plus prestigieuse récompense du théâtre russe. Elle raconte l'histoire de jeunes femmes russes recrutées sur internet par des islamistes en Syrie et partant les rejoindre pour les épouser. Soit, disent les artistes qui ont toujours clamé leur innocence, l'inverse de ce qui leur est reproché. D'Evguenia Berkovitch, et des motifs de son arrestation, une personnalité du monde culturel russe dit : « Mon opinion personnelle est que le vrai problème est qu'elle n'était pas capable de se taire, sur aucun sujet. Evguenia a toujours dit que le théâtre ne pouvait pas être en dehors de son temps, en dehors des événements. Que si le théâtre ne parle pas ce qu'il se passe dans le monde, au moment où ça se passe, alors cela signifie qu'il n'est pas honnête » Sans débouchés possibles pour exprimer leur vision – une des personnes rencontrées lors de ce reportage parle de « zone de silence » –, aujourd'hui les artistes qui ne soutiennent pas activement la politique du pouvoir et qui sont restés en Russie se réfugient, dit cette personnalité du monde culturel, dans l'expression de leurs idées de la manière « la plus allégorique possible ». À lire aussiRussie: le musée du Goulag à Moscou fermé Un jeu vidéo russe sur la guerre en Ukraine « Malheureusement, reprend-elle, il y a maintenant une fracture entre "ceux qui sont partis" et "ceux qui sont restés". Beaucoup de gens qui sont partis ont commencé à critiquer très durement ceux qui sont restés en leur disant : "Vous avez cédé, vous avez abandonné, il est impossible de rester dans ce pays sans devenir un salaud". Je pense que ce n'est pas vrai. Qu'il y a toujours des options. Qu'il y a une différence entre se taire et faire simplement profil bas. La question est de savoir comment vous le faites, et quel genre de personne vous êtes. Même si pour moi, même si la guerre se terminait, la situation sur le plan intérieur ne changera pas. » Le pouvoir renforce chaque jour un peu plus son investissement dans la culture. Vladimir Poutine a ainsi ordonné ce printemps la création d'un lieu à Moscou tout entier dédié à promouvoir « le théâtre patriotique moderne ». Date butoir : le 30 novembre prochain. Une production nationale russe en tout cas, semble elle, à en croire en tout cas son chef de projet, tirer largement son épingle du jeu. Il s'agit d'un jeu vidéo intitulé Squad 22: ZOV. Décrit comme « basé sur l'expérience réelle de la guerre des vétérans russes en Ukraine », il propose des volets comme « Campagne de printemps du Donbass, 17 missions sur les combats de 2014 », ainsi que « Marioupol 2022 » et « Contre-offensive ukrainienne 2023 » et revendique 100 000 utilisateurs quotidiens sur la page internet où on peut le télécharger depuis fin janvier dernier. Présenté sur la plate-forme Steam depuis le 30 mai dernier – et bloqué sur son segment ukrainien –, il y est décrit comme « officiellement recommandé par l'armée russe comme manuel de tactiques d'infanterie de base pour l'entraînement des cadets et de la Iounarmia (organisation d'État russe pour les jeunes cadets de l'armée) », plaçant le joueur « aux commandes d'équipes de soldats russes qui combattent les forces armées ukrainiennes, font des prisonniers et libèrent des otages ». Ce même 30 mai dernier, le chef de projet affirmait au quotidien légitimiste les Izviestia que 54% de son chiffre d'affaires provenait déjà... des États-Unis. À lire aussiSoutenir, critiquer ou se taire, les artistes russes face à un choix lourd de conséquences
durée : 00:09:19 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - A quelques jours de la clôture des comptes, le comité d'organisation des JO 2024 (COJO) a annoncé un excédent budgétaire plus important que prévu, de l'ordre de 76 millions d'euros. Comment expliquer cet excédent surprise, et où ces ressources vont-elles être réallouées ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Pierre Rondeau Économiste français
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Comment accepter ce qu'on a toujours voulu cacher de soi ? Solenne Piret est née avec une agénésie de l'avant-bras droit. Pendant son enfance, ni elle ni son entourage n'avait mis le mot de "handicap" sur cette malformation. Pour la première fois à 25 ans, c'est une psychologue qui, lors de leur première séance, nomme ce qu'elle a toujours contourné. D'abord difficile à entendre, le mot devient libérateur : "Je me suis rendue compte que j'avais tout construit autour de cette différence, mais pas avec." Dans cet épisode, Solenne revient sur son parcours qui l'a menée de ses études d'architecture à quatre titres de championne du monde de para-escalade. Elle nous raconte : son enfance avec ses frères et ses parents mordus d'escalade le début de son travail thérapeutique, qu'elle entame initialement pour mieux vivre son hypersensibilité sa redécouverte de l'escalade à 25 ans et son ascension rapide dans le haut niveau, jusqu'à son premier titre de championne du monde sa préparation pour les Jeux de Los Angeles 2028, où la para-escalade fera officiellement son entrée pour la première fois. Bonne écoute ! À propos du podcast :On parle volontiers de “mental” dans le sport de haut niveau : mental de champion, victoire au mental, mental d'acier. Mais quelle place y a-t-il pour la santé mentale ?Dans Les Secrets du Mental, nous partons à la rencontre d'athlètes de haut niveau qui partagent avec nous les vives émotions de leur carrière : les moments heureux, mais aussi les mauvaises passes, les blessures, les passages à vide… ces moments dont on parle peu.Vous allez aussi découvrir comment ils prennent soin de leur mental au quotidien.
Ce samedi 14 juin 2025, l'association La Nuit du Handicap Munster vous accueille de 17h à 22h au Parc Hartmann pour une nouvelle édition de la nuit du handicap. L'évènement a pour vocation de valoriser les personnes en situation de handicap grâce à des évènements ouverts à tous et regroupant un large panel d'activités. Des animations spectacles aux activités sportives en passant par des ateliers ou des jeux de sensibilisations, toutes les formes de handicap seront abordées.Michèle Meyer, coordinatrice et Isabelle Haettich, organisatrice de l'évènement en disent plus.Infos pratiques :Samedi 14 juin 2025, de 17h à 22hMunster, Parc HartmannEntrée librehttps://nuitduhandicap.fr/munster/Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
JUSQU'ICI TOUT VA BIEN Le Talk-Show avec Stéfan et la fine équipe. David , Christelle, Emilie et Loris. Actu, Bons plans, Jeux, Déconne et Bonne humeur. Une émission improbable qui peut à tous moment partir dans tous les sens.
Interview d'Anthony Perone, auteur de jeux et directeur de la création CMON, réalisée lors du Festival International des Jeux de Cannes 2025.
Toy Battle et Great Western Trail : El Paso sont au menu des Jeux du Mois de juin 2025, présentés par Flavien et piter.
durée : 00:02:11 - Le vrai ou faux - Depuis le début de la guerre en Ukraine en 2022, de plus en plus d'images issues de jeux vidéo sont détournées pour illustrer faussement les conflits en cours.
Au programme :State of Play : ce qu'on retient, et la surprise de la fin pour PatrickImpressions Switch 2 et Mario Kart WorldNos jeux du momentThe Elder Scrolls IV: Oblivion RemasteredSol CestoThe Midnight WalkShotgun Cop ManThe PrecinctLe reste de l'actualité---Infos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok)Co-animé par JK Lauret (Twitter).Co-animé par Titouan Gourlin (Twitter)Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique par Daniel Beja.Le Rendez-vous Jeux épisode 403 – Marvel vole la vedette à la Switch 2 – State of Play, Marvel Tokon Fighting Souls, Switch 2, Mario Kart World, Sol Cesto, The Midnight Walk, Shotgun Cop Man, The Precinct---Liens :
durée : 00:06:04 - franceinfo junior - Les enfants de franceinfo junior parlent de la console de jeux vidéo Switch 2, qui sort jeudi 5 juin 2025, avec Brice Nguessan, journaliste spécialisé dans le jeu vidéo, directeur de la rédaction de Jeux Vidéo Magazine.
Désiré Doué a brillé le samedi 31 mai en finale de la Ligue des champions face à l'Inter Milan. En inscrivant un doublé magistral accompagné d'une passe décisive, il a largement contribué à l'écrasante victoire (5-0) du Paris Saint-Germain à Munich, et à son premier titre européen.Celui qui souffle sa vingtième bougie ce mercredi 3 juin a d'ailleurs été élu meilleur jeune joueur de la Ligue des champions cette saison. Formé du Stade rennais, Désiré Doué a mis les voiles vers la capitale en 2024 après une médaille d'argent aux Jeux olympiques. Benjamin Quarez et Dominique Sévérac, journalistes au service des sports du Parisien, brossent son portrait dans Code source. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Clara Grouzis, Thibault Lambert et Anaïs Godard - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : Canal +, FranceTV. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les bonnes manières : réflexe automatique ou clé de la relation humaine ?Comment transmet-on réellement le sens des bonnes manières aux enfants, pour qu'elles deviennent des outils vivants au service de la relation et du respect ?Dans cet épisode Sylvie d'Esclaibes, fondatrice d'écoles Montessori et spécialiste de l'éducation, nous dévoile ce que sont les « bonnes manières » : ni dressage stérile, ni injonction magique, mais plutôt un ensemble de savoir-être à transmettre aux enfants pour mieux vivre ensemble. Elle explique comment ces règles sociales sont à la fois des outils d'intégration, de sécurité et de confiance en soi pour les enfants. Vous apprendrez pourquoi adapter la politesse à l'âge, au contexte et à la culture est fondamental, et comment la pédagogie Montessori rend ces apprentissages concrets grâce à des leçons de « grâce et courtoisie ».3 points clés à retenir :
Elon Musk promet une mission habitée pour la planète rouge pour 2026… pendant que sur Terre, l'IA continue de redéfinir notre quotidien et le web continue d'être traumatisé par les mouvements des géants du numérique… J'aime ce web : télescope Faire Amérique Super Encore Le ciel et l'essieu Jeux vidéo Participants
Soutiens mon travail et mon indépendance en rejoignant mon Patreon : https://www.patreon.com/TheSharePlayers▬ ▬ ▬ TU VEUX SOUTENIR LA CHAÎNE ? ▬ ▬ ▬
Interview de Florian Gigot - fondateur de Fentasy Games réalisée lors du Festival International des Jeux de Cannes 2025
Jeux narratifs, indépendants, innovants… le jeu vidéo français cherche à consolider sa position à l'international. Le studio Twin Sails Interactive nous témoigne de ce dynamisme et des défis à relever pour faire rayonner notre industrie. -----------------------------------------------------------------------SMART TECH - Le magazine quotidien de l'innovationDans SMART TECH, l'actu du numérique et de l'innovation prend tout son sens. Chaque jour, des spécialistes décryptent les actualités, les tendances, et les enjeux soulevés par l'adoption des nouvelles technologies.
C'est une idée qui circule depuis des années dans le monde du sport : porter un maillot rouge augmenterait les chances de victoire. Cela peut sembler anecdotique, voire superstitieux, mais cette affirmation est en réalité appuyée par plusieurs études scientifiques sérieuses. Couleur de la puissance et de l'agressivité, le rouge pourrait avoir un véritable impact psychologique et physiologique, tant sur les adversaires que sur les arbitres… voire sur les athlètes eux-mêmes.Une première étude fondatrice : les Jeux d'Athènes 2004En 2005, une étude publiée dans la revue Nature par Russell Hill et Robert Barton, chercheurs à l'Université de Durham (Royaume-Uni), a analysé les résultats de plusieurs compétitions de taekwondo, boxe, lutte gréco-romaine et lutte libre aux Jeux olympiques d'Athènes en 2004. Dans ces disciplines, les sportifs étaient assignés aléatoirement à porter un maillot rouge ou bleu.Les résultats sont clairs : les athlètes en rouge ont gagné 55 % des matchs, une différence statistiquement significative. Et plus le niveau était élevé (quart de finale, demi-finale, finale), plus l'avantage du rouge se confirmait. Les chercheurs ont conclu que le rouge pouvait augmenter la perception de dominance ou d'agressivité, influençant à la fois l'adversaire… et le jugement des arbitres.Football, rugby… même constat ?Depuis cette étude, d'autres recherches ont exploré l'effet du rouge dans divers sports :En football, une étude de 2008 publiée dans le Journal of Sports Sciences a examiné les résultats des équipes de Premier League anglaise entre 1946 et 2003. Les clubs portant traditionnellement du rouge, comme Manchester United, affichaient un taux de victoire à domicile de 63 %, contre 55 % pour ceux portant du bleu.En rugby, une étude menée sur le Tournoi des Six Nations a également montré que les équipes en rouge gagnaient légèrement plus souvent, mais les résultats restent discutés.Pourquoi le rouge aurait-il un tel effet ?Les explications avancées sont multiples :1. Psychologie évolutionniste : dans la nature, le rouge est souvent associé à la dominance (pensons à la coloration de certains primates ou oiseaux). Les humains pourraient avoir hérité de cette sensibilité.2. Effet psychologique sur l'adversaire : le rouge pourrait inconsciemment intimider ou provoquer une surestimation de l'agressivité de l'autre.3. Influence sur les arbitres : des tests ont montré que des juges donnent des scores plus élevés à des sportifs portant du rouge que du bleu, dans des situations visuellement identiques (Hagemann et al., 2007).4. Effet sur la performance du porteur : se sentir plus fort ou dominant en rouge pourrait améliorer la performance, par effet placebo ou confiance accrue.ConclusionIl ne suffit pas d'enfiler un maillot rouge pour gagner, bien sûr. Mais les données montrent que dans certains contextes sportifs, le rouge peut fournir un petit avantage psychologique, notamment dans les sports d'opposition ou lorsqu'un arbitre doit trancher. Une preuve supplémentaire que le sport se joue autant dans la tête que dans les muscles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Dans le monde concurrentiel du jeu vidéo les sorties des nouveautés peuvent être la cible de campagnes de dénigrement en ligne qui pèsent sur les ventes et la réputation. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et son invité Olivier Mauco révèlent les dessous parfois politiques de la pratique du « review bombing ».Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en mai 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invité : Olivier Mauco (président de l'Observatoire européen des jeux vidéos et auteur de « Jeux vidéo : Hors de contrôle ? » aux éditions Eyrolles). Réalisation : Nicolas Jean. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Shutterstock. Sons : PlayStation, Iconoclaste, « Les tontons flingueurs » (1963), Ubisoft Music, Super Mario Broz. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au programme :Apple prépare une « console » sur Mac?Switch 2: les gens normaux n'y comprennent rien?Nos jeux du momentDoomRematchThe SlormancerTo Kill a GodLe reste de l'actualité---Infos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok)Co-animé par Cassim Montilla (Bluesky).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique par Daniel Beja.Le Rendez-vous Jeux épisode 402 - Rematch, le jeu de foot de l'été ? - Apple et Mac Gaming, confusion Switch 2, Doom The Dark Ages, Rematch, The Slormancer---Liens :
Au programme :On parle de tous les aspect du jeux, techniques, artistiques et narratifs… avec tous les spoilers !---Infos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok)Co-animé par JK Lauret (Twitter).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel Beja.Le Rendez-vous Jeux épisode 401 - Spécial: Clair Obscur Expedition 33 AVEC SPOILERS---Liens :
Comment faire tomber les stéréotypes grâce à la passion du sport ?Frédéric Villeroux est né avec une déficience visuelle. Il découvre le cécifoot à 15 ans. À 17 ans, il fait une rencontre qui va changer sa vie : Toussaint Akpewh, le sélectionneur de l'équipe de France. Toussaint le prend sous son aile et le convainc de passer de la catégorie des malvoyants à celle des non-voyants, où l'on joue les yeux entièrement bandés.À 20 ans, Frédéric joue ses premiers matchs en équipe de France dans cette catégorie. On est en 2003.Aujourd'hui, Frédéric a 42 ans et est considéré comme l'un des meilleurs attaquants au monde dans sa discipline - ce qui lui vaut les surnoms de “Zizou” ou de “Messi” du cécifoot.Dernière consécration en date : le titre olympique, contre l'Argentine, lors des Jeux Paralympiques de Paris 2024.Nous avons eu la chance de rencontrer Frédéric, qui nous a partagé ses débuts dans son sport, sa vision du sport comme facteur d'inclusion sociale pour les personnes en situation de handicap, et refait vivre la finale de Paris 2024, qui s'est jouée aux tirs au but.Dans cet épisode, Frédéric nous raconte :3'48 : sa rencontre déterminante avec Toussaint Akpewh9'41 : son premier capitanat en équipe de France16'28 : les clés de la cohésion de l'équipe de France de cécifoot21'31 : les Jeux Paralympiques de Paris 2024 et la médaille d'or de l'équipe de France36'41 : sa vision sur le sport comme vecteur d'inclusion socialeSes bonnes pratiques en matière de santé mentale :Anticiper les difficultés, pour mieux s'y adapter : avant les Jeux de Paris 2024, l'entraîneur de l'équipe de France de cécifoot a entraîné ses joueurs dans des stades bruyants pour qu'ils s'adaptent à un environnement bruyant et ne soient pas déstabilisés par le public le jour J.Favoriser la diversité d'une équipe, pour créer de la cohésion : la diversité des profils de l'équipe de France de cécifoot favorise les échanges entre les coéquipiers, qui ont l'envie et la curiosité de se connaître les uns les autres.Faire confiance à ses automatismes et à son corps : dans les moments à fort enjeu, se laisser guider par ce que notre corps sait faire, ce pour quoi il s'est entraînéBonne écoute !À propos du podcast :On parle volontiers de “mental” dans le sport de haut niveau : mental de champion, victoire au mental, mental d'acier. Mais quelle place y a-t-il pour la santé mentale ?Dans Les Secrets du Mental, nous partons à la rencontre d'athlètes de haut niveau qui partagent avec nous les vives émotions de leur carrière : les moments heureux, mais aussi les mauvaises passes, les blessures, les passages à vide… ces moments dont on parle peu.Vous allez aussi découvrir comment ils prennent soin de leur mental au quotidien.
Ce 214e épisode de Pos. Report est consacré à la voile olympique et aux bateaux volants, avec une invitée unique, Camille Lecointre, avant le coup d'envoi du Grand Prix de l'École Navale à laquelle elle participe en ETF26.Cette dernière commence par revenir sur ses quatrièmes Jeux olympiques en 470, disputés l'été dernier à Marseille avec Jérémie Mion, une belle aventure humaine, mais une déception sportive qui l'a laissée sur sa faim, elle qui visait une nouvelle médaille olympique, après celles de bronze décrochées à Rio avec Hélène Defrance et à Tokyo avec Aloïse Retornaz.Même s'il “ne faut jamais dire jamais”, la page de l'olympisme est désormais tournée pour la navigatrice de 40 ans qui ne gardera que de bons souvenirs de ses presque vingt ans de 470, avec en point d'orgue la medal race des Jeux de Rio. Elle se verrait en revanche bien transmettre son expérience, elle qui se félicite de voir que la relève est assurée en 470 avec Matisse Pacaud et Lucie de Gennes, troisièmes du récent championnat d'Europe de Split.Camille Lecointre explique que comme elle n'avait rien prévu à l'avance, elle a eu une longue phase de réflexion sur son avenir après les Jeux, au point de songer à changer radicalement d'univers, avant de recevoir un coup de fil de Bruno Dubois qui lui a proposé de rejoindre l'équipe de France de SailGP pour la saison 5. Elle raconte la découverte de ce nouvel univers du foil et du F50 et son rôle de tacticienne remplaçante (pour l'instant) de Manon Audinet.Elle explique également comment elle s'est mise à l'ETF26 avec K-Challenge, l'objectif étant de former des femmes aux supports à foil dans la perspective de la prochaine édition de la Women's America's Cup, clairement un objectif pour la Normande. Qui sera donc à partir de mercredi en presqu'île de Crozon pour participer sur ce support au Grand Prix de l'École Navale, avec un équipage composé de Lou Mourniac, Enzo Ballanger et Manon Peyre.Diffusé le 27 Mai 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Suivont nos aventuriers de l'espace dans une mission qui pourrait s'avérer lucrative au compte d'un Hutt. Il est temps d'aller explorer un casino et si possible reflouer notre réserve de crédit. À qui la chance va-t-elle sourire? Les joueurs ou Benoit ??Allons donc rejoindre nos héros soit : Nuando ‘Cam, le Jedi (Antoine Biron)Feburuum, le Diplômate (Jonathan Papin) Khan, le Mandalorien (Martin Durette) Gem-1, le Droïd (Ian Richards)Et bien sûr Benoit Gagnon comme Maître de Jeu.Bonne partie!
Interview de Interview de Stefania Dante et Béatrice André, animatrices de la Fresque du Climat, réalisée lors du Festival International des Jeux de Cannes 2025
durée : 00:58:15 - Le Grand Reportage - par : Aurélie Kieffer - Après l'enthousiasme des Jeux paralympiques de Paris 2024, l'accès au sport pour tous reste un défi. Bien que des millions de téléspectateurs aient suivi les exploits des para-athlètes, seuls 1,4 % des clubs sportifs en France sont prêts à accueillir des personnes en situation de handicap. - réalisation : Annie Brault - invités : Sylvain Ferez Maître de conférences à l'Université de Montpellier
Après avoir repris "Imagine" lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques, elle est à l'affiche du film "Partir un jour" qui a fait l'ouverture du Festival de Cannes et qui est déjà un succès au cinéma : Juliette Armanet répond aux questions de Thomas Sotto et Amandine Bégot.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme :Résultats de Sony: tout va mieux que bienLa presse se rebelle contre Nvidia, explication du scandaleNos jeux du momentDeliver At All CostsDoom The Dark AgesClair obscur : Expedition 33Le reste de l'actualité---Infos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok)Co-animé par Cassim Montilla (Bluesky).Co-animé par Valentin Cebo (Noddus) (Bluesky).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Daniel Beja.Le Rendez-vous Jeux épisode 400 – Tout le monde y gagne, sauf nous – Résultats Sony, scandale Nvidia, Deliver At All Costs, Doom The Dark Ages, Expedition 33---Liens :
Interview de Interview de Christian Molinari, co-fondateur de Game in France, réalisée lors du Festival International des Jeux de Cannes 2025
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des propos tenues par le multiple champion du monde et quintuple champion aux Jeux olympiques, Teddy Riner sur son après sa carrière sportive.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Today's poem is one of the few enduring works of a poet and playwright who burned brightly during his heyday and then blinked out almost entirely. Happy reading.Leigh, son of James Mathews Leigh, was born in London on 29 March 1837. At an early age he engaged in literary pursuits. From time to time appeared collections of his lyrics, under the titles of Carols of Cockayne, 1869 (several editions); Gillott and Goosequill, 1871; A Town Garland: a Collection of Lyrics, 1878; and Strains from the Strand: Trifles in Verse, 1882. His verse was always fluent, but otherwise of very slender merit.For the stage he translated many French comic operas. His first theatrical essay was in collaboration with Charles Millward in a musical spectacle for the Theatre Royal in Birmingham. His ‘Falsacappa,' music by Offenbach, was produced at the Globe Theatre on 22 April 1871; ‘Le Roi Carotte' at the Alhambra on 3 June 1872; ‘Bridge of Sighs,' opera-bouffe, at the St. James's, 18 Nov. 1872; ‘White Cat,' a fairy spectacle, at the Queen's, Long Acre, on 2 Dec. 1875; ‘Voyage dans la Lune,' opera-bouffe, at the Alhambra, on 15 April 1876; ‘Fatinitza,' opera-bouffe (the words were printed), adapted from the German, at the Alhambra on 20 June 1878; ‘The Great Casimir,' a vaudeville, at the Gaiety, on 27 Sept. 1879; ‘Cinderella,' an opera, with music by J. Farmer, at St. James's Hall, on 2 May 1884 (the words were published in 1882); ‘The Brigands,' by H. Meilhac and L. Halévy, adapted to English words by Leigh, was printed in 1884. For ‘Lurette,' a comic opera, Avenue, 24 March 1883, he wrote the lyrics; and with Robert Reece he produced ‘La Petite Mademoiselle,' comic opera, Alhambra, on 6 October 1879. He edited ‘Jeux d'Esprit written and spoken by French and English Wits and Humorists,' in 1877, and wrote Mark Twain's ‘Nightmares' in 1878.His last theatrical venture—a complete failure—was ‘The Prince Methusalem,' a comic opera, brought out at the Folies Dramatiques (now the Kingsway), Great Queen Street, London, on 19 May 1883. He was a Spanish, Portuguese, and French scholar, a brilliant and witty conversationalist, and a humorous singer.He died in his rooms in Lowther's private hotel, 35 Strand, London, on 16 June 1883, and was buried in Brompton cemetery on 22 June.-bio via Wikipedia This is a public episode. If you'd like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit dailypoempod.substack.com/subscribe