Le gouvernement d'entreprise traite de la façon dont l'action des dirigeants peut être orientée, encadrée et contrôlée afin de prendre en compte les intérêts des partenaires indispensables à son développement (actionnaires, salariés, clients, fournisseurs, état et collectivités,...). Cette question…
Les entreprises font face à des demandes d'une prise en compte de problèmes sociaux ou environnementaux qui vont bien au-delà du simple objectif de création de valeur actionnariale.
Le marché financier finance les entreprises, sanctionne celles qui sont le moins performantes (baisse des cours, difficulté de financement, risques d'OPA,...), et constitue donc un mécanisme de contrôle des dirigeants. Son fonctionnement efficace et transparent est essentiel en matière de gouvernement d'entreprise.
Pourquoi créer de la valeur ? Quelles sont les conséquences opérationnelles ? Comment mesurer la création de valeur ?
Le but du diagnostic de gouvernement d'entreprise est d'évaluer la performance des sociétés en matière de respect des règles de base du gouvernement d'entreprise. Il peut notamment permettre à un actionnaire - individuel ou professionnel - d'évaluer dans quelle mesure l'entreprise est gérée dans son intérêt. Ce module présente les principaux indicateurs à analyser pour réaliser un tel diagnostic.
La volonté de lier de façon accrue la rémunération des dirigeants à la performance financière des entreprises, et en particulier le développement très rapide des stocks options, a abouti à une augmentation très importante de la rémunération des dirigeants au cours des quinze dernières années. Des deux côtés de l'Atlantique les actionnaires - et les pouvoirs publics - prennent conscience des excès commis en ce sens et tentent d'y remédier.
La dette a un statut ambigu en finance, puisqu'elle peut permettre d'augmenter la rentabilité financière, mais accroit par ailleurs le risque de faillite des entreprises. Elle a également un impact en gouvernement d'entreprise de par ses contraintes - souvent à effet positif - qu'elle fait peser sur les dirigeants. Afin d'illustrer ce thème, ce module présente en détail les opérations financières de plus en plus fréquentes que constituent les LBOs (Leverage Buy Out, ou acquisitions d'entreprises par des fonds d'investissement et des managers), qui sont majoritairement financés par la dette.
Les dirigeants ont leurs objectifs propres, qui ne sont pas confondus avec ceux des actionnaires ou des autres partenaires. Les risques de conflits sont donc nombreux, d'autant que les dirigeants, mieux informés de la situation réelle de l'entreprise que les actionnaires sont opportunistes et peuvent être tentés d'utiliser à leur avantage cette asymétrie d'information. Des exemples courants de telles dérives sont la manipulation de résultats financiers visant à maximiser les indicateurs sur lesquels est basée la rémunération des dirigeants, ou une politique de croissance externe maximisant l'ego des dirigeants mais excessivement risquée, voire destructive de valeur. Il est donc nécessaire d'encadrer l'action des dirigeants par des mécanismes de gouvernance visant à orienter et à contrôler leur action. Ces mécanismes sont brièvement présentés ici. Les plus importants sont l'objet de modules spécifiques qui constituent la suite du cours. L'importance de la structure actionnariale des entreprises - sociétés à capital contrôlé (telles que les sociétés d'actionnariat familial) ou sociétés sans actionnaire de contrôle (appelées managériales) - pour le contrôle des dirigeants est également soulignée dans ce module.
Les entreprises font face à des demandes d'une prise en compte de problèmes sociaux ou environnementaux qui vont bien au-delà du simple objectif de création de valeur actionnariale.
Le but du diagnostic de gouvernement d'entreprise est d'évaluer la performance des sociétés en matière de respect des règles de base du gouvernement d'entreprise. Il peut notamment permettre à un actionnaire - individuel ou professionnel - d'évaluer dans quelle mesure l'entreprise est gérée dans son intérêt. Ce module présente les principaux indicateurs à analyser pour réaliser un tel diagnostic.
Cette partie du cours de gouvernement d'entreprise s'adresse aux questions contemporaines d'éthique des affaires et à ses implications pour un chef ou un manager d'entreprise.
Cette partie du cours de gouvernement d'entreprise s'adresse aux questions contemporaines d'éthique des affaires et à ses implications pour un chef ou un manager d'entreprise.
Cette partie du cours de gouvernement d'entreprise s'adresse aux questions contemporaines d'éthique des affaires et à ses implications pour un chef ou un manager d'entreprise.
Cette partie du cours de gouvernement d'entreprise s'adresse aux questions contemporaines d'éthique des affaires et à ses implications pour un chef ou un manager d'entreprise.
La volonté de lier de façon accrue la rémunération des dirigeants à la performance financière des entreprises, et en particulier le développement très rapide des stocks options, a abouti à une augmentation très importante de la rémunération des dirigeants au cours des quinze dernières années. Des deux côtés de l'Atlantique les actionnaires - et les pouvoirs publics - prennent conscience des excès commis en ce sens et tentent d'y remédier.
Le fonctionnement d'administration ou de surveillance.
Le fonctionnement d'administration ou de surveillance.
La composition du conseil d'administration ou de surveillance.
La composition du conseil d'administration ou de surveillance.
Dans cette vidéo seront présentées les formes de direction possibles, et l'efficacité de chacune de ces formes sera comparée.
Dans cette vidéo seront présentées les formes de direction possibles, et l'efficacité de chacune de ces formes sera comparée.
La mise en cause des dirigeants dans les différentes affaires qui ont fait scandale aux Etats Unis et en Europe ces dernières années ont mis en avant la direction qui est devenue un des points important de la réflexion de la gouvernance d'entreprise.
La mise en cause des dirigeants dans les différentes affaires qui ont fait scandale aux Etats Unis et en Europe ces dernières années ont mis en avant la direction qui est devenue un des points important de la réflexion de la gouvernance d'entreprise.
La dette a un statut ambigu en finance, puisqu'elle peut permettre d'augmenter la rentabilité financière, mais accroit par ailleurs le risque de faillite des entreprises. Elle a également un impact en gouvernement d'entreprise de par ses contraintes - souvent à effet positif - qu'elle fait peser sur les dirigeants. Afin d'illustrer ce thème, ce module présente en détail les opérations financières de plus en plus fréquentes que constituent les LBOs (Leverage Buy Out, ou acquisitions d'entreprises par des fonds d'investissement et des managers), qui sont majoritairement financés par la dette.
Le marché financier finance les entreprises, sanctionne celles qui sont le moins performantes (baisse des cours, difficulté de financement, risques d'OPA,...), et constitue donc un mécanisme de contrôle des dirigeants. Son fonctionnement efficace et transparent est essentiel en matière de gouvernement d'entreprise.
Pourquoi créer de la valeur ? Quelles sont les conséquences opérationnelles ? Comment mesurer la création de valeur ?
Les actionnaires disposent de droits qu'ils peuvent exercer à tout moment au cours de l'exercice social.
Les actionnaires disposent de droits qu'ils peuvent exercer à tout moment au cours de l'exercice social.
Les relations entre actionnaires existent principalement au cours des assemblées générales dans lesquelles ils ont le pouvoir de prendre certaines décisions. Ces décisions obéissent à des règlent précisent et peuvent faire l'objet de contrôle.
Pour contrôler l'action des dirigeants, les actionnaires disposent de différents moyens qu'ils peuvent mettre en oeuvre à l'occasion de l'assemblée générale annuelle mais aussi tout au long de l'exercice social.
Les dirigeants ont leurs objectifs propres, qui ne sont pas confondus avec ceux des actionnaires ou des autres partenaires. Les risques de conflits sont donc nombreux, d'autant que les dirigeants, mieux informés de la situation réelle de l'entreprise que les actionnaires sont opportunistes et peuvent être tentés d'utiliser à leur avantage cette asymétrie d'information. Des exemples courants de telles dérives sont la manipulation de résultats financiers visant à maximiser les indicateurs sur lesquels est basée la rémunération des dirigeants, ou une politique de croissance externe maximisant l'ego des dirigeants mais excessivement risquée, voire destructive de valeur. Il est donc nécessaire d'encadrer l'action des dirigeants par des mécanismes de gouvernance visant à orienter et à contrôler leur action. Ces mécanismes sont brièvement présentés ici. Les plus importants sont l'objet de modules spécifiques qui constituent la suite du cours. L'importance de la structure actionnariale des entreprises - sociétés à capital contrôlé (telles que les sociétés d'actionnariat familial) ou sociétés sans actionnaire de contrôle (appelées managériales) - pour le contrôle des dirigeants est également soulignée dans ce module.
Après un rappel des objectifs du cours, ce module présente le cadre général et les concepts de base du gouvernement des entreprises. Les thèmes suivants sont abordés la nécessité de contrôler les dirigeants tout en laissant un espace de liberté leur permettant d'exprimer leurs compétences et leur talent, la question des objectifs de l'entreprise. Doivent-ils être déterminés par les seuls actionnaires (approche financière) ou par l'ensemble des partenaires de l'entreprise (approche partenariale) ? Ainsi que les différents modèles nationaux de gouvernement d'entreprise et leur convergence vers un modèle d'inspiration anglo-américaine.
Les relations entre actionnaires existent principalement au cours des assemblées générales dans lesquelles ils ont le pouvoir de prendre certaines décisions. Ces décisions obéissent à des règlent précisent et peuvent faire l'objet de contrôle.
Pour contrôler l'action des dirigeants, les actionnaires disposent de différents moyens qu'ils peuvent mettre en oeuvre à l'occasion de l'assemblée générale annuelle mais aussi tout au long de l'exercice social.
Après un rappel des objectifs du cours, ce module présente le cadre général et les concepts de base du gouvernement des entreprises. Les thèmes suivants sont abordés la nécessité de contrôler les dirigeants tout en laissant un espace de liberté leur permettant d'exprimer leurs compétences et leur talent, la question des objectifs de l'entreprise. Doivent-ils être déterminés par les seuls actionnaires (approche financière) ou par l'ensemble des partenaires de l'entreprise (approche partenariale) ? Ainsi que les différents modèles nationaux de gouvernement d'entreprise et leur convergence vers un modèle d'inspiration anglo-américaine.