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Parashat Bereshit – Le secret de la Création et de la Lumière by Rav David Touitou
AKAA, Also Known As Africa, la grande foire d'art contemporain, fête ses dix ans à Paris, au Carreau du Temple. En une décennie, AKAA a contribué à changer le regard des Français et des Afrodescendants sur l'art africain, mais aussi celui du marché de l'art qui a fait du segment africain un incontournable. D'avoir créé un rendez-vous pour les artistes africains ou issus de la diaspora, c'est intéressant parce que cela permet de voir à quel point cette créativité est riche. AKAA, ce sont encore les artistes qui en parlent le mieux. Kuka Ntadi est artiste visuel franco-congolais : « Maintenant que le marché de l'art commence à s'y intéresser, on voit que les artistes commencent à s'épanouir dans leur créativité, à faire des choses de plus en plus incroyables. On assiste tout simplement au fait que l'on est dans l'art contemporain avant tout. » La foire AKAA a donc libéré les artistes en même temps qu'elle les mettait en lumière. En dix ans, le galeriste Christophe Person a vu la qualité générale augmenter : « C'est qu'il y a dix ans, quand AKAA s'est lancée et quand beaucoup se sont lancés dans l'art africain, il y avait un vrai engouement qu'aujourd'hui, on pourrait qualifier de spéculatif. Tout le monde voulait acheter des artistes africains et donc on achetait juste des images qui étaient séduisantes à l'œil. Aujourd'hui, on est arrivé à une période où il faut quand même fouiller davantage, parce qu'il faut essayer de représenter des artistes qui vont s'inscrire dans l'histoire de l'art. Avec des sources d'inspiration qui soient plus que des images tirées d'Instagram. » À lire aussiAKAA 2025 : Serge Mouangue révolutionne l'esthétique entre l'Afrique et le Japon Le regard occidental, influence ou dialogue ? Si AKAA a fait évoluer les artistes, est-ce que le regard du public occidental a lui aussi pesé sur les processus créatifs ? Le Kényan Evans Mbugua et le Bissau-Guinéen Nu Barreto, tous deux plasticiens, vivent et travaillent en France : « – Le regardeur peut nous renvoyer un ressenti, répond Evans Mbugua, surtout pour moi qui travaille sur les émotions, et cela m'informe, cela m'aide à creuser plus. Je pense que l'art est un dialogue. Et ce dialogue est un aller-retour entre l'atelier et l'œil de celui qui regarde. – Nu Barreto, est-ce que le regard du public européen ou vivant en France a changé votre façon de travailler ? – Forcément, ces regards-là finissent par apporter quelque chose indirectement, mais tout en laissant à l'artiste la liberté dans sa création de pouvoir proposer des choses à la société. » L'écueil auquel la foire AKAA et ses artistes tentent d'échapper, serait donc de succomber au public. Sitor Senghor est le directeur artistique d'AKAA : « Ils font beaucoup moins ce qui est à la mode. Même si, vous avez énormément d'artistes en résidence en Occident et donc ils vont produire ce qui plait en Occident, donc en perdant un peu de leur identité. C'est pour cela que je voudrais vraiment que l'on puisse donner toute leur chance aux artistes du continent qui sont en train de changer. » Qualité, authenticité, deux mots d'ordres indispensables alors que le marché de l'art contemporain africain cherche un nouveau souffle. Heureusement pour lui, s'il souffre d'un problème de demande conjoncturelle, l'offre, elle, est structurellement toujours plus riche. À écouter aussiLa foire d'art contemporain africain parisienne AKAA fête ses 10 ans
AKAA, Also Known As Africa, la grande foire d'art contemporain, fête ses dix ans à Paris, au Carreau du Temple. En une décennie, AKAA a contribué à changer le regard des Français et des Afrodescendants sur l'art africain, mais aussi celui du marché de l'art qui a fait du segment africain un incontournable. D'avoir créé un rendez-vous pour les artistes africains ou issus de la diaspora, c'est intéressant parce que cela permet de voir à quel point cette créativité est riche. AKAA, ce sont encore les artistes qui en parlent le mieux. Kuka Ntadi est artiste visuel franco-congolais : « Maintenant que le marché de l'art commence à s'y intéresser, on voit que les artistes commencent à s'épanouir dans leur créativité, à faire des choses de plus en plus incroyables. On assiste tout simplement au fait que l'on est dans l'art contemporain avant tout. » La foire AKAA a donc libéré les artistes en même temps qu'elle les mettait en lumière. En dix ans, le galeriste Christophe Person a vu la qualité générale augmenter : « C'est qu'il y a dix ans, quand AKAA s'est lancée et quand beaucoup se sont lancés dans l'art africain, il y avait un vrai engouement qu'aujourd'hui, on pourrait qualifier de spéculatif. Tout le monde voulait acheter des artistes africains et donc on achetait juste des images qui étaient séduisantes à l'œil. Aujourd'hui, on est arrivé à une période où il faut quand même fouiller davantage, parce qu'il faut essayer de représenter des artistes qui vont s'inscrire dans l'histoire de l'art. Avec des sources d'inspiration qui soient plus que des images tirées d'Instagram. » À lire aussiAKAA 2025 : Serge Mouangue révolutionne l'esthétique entre l'Afrique et le Japon Le regard occidental, influence ou dialogue ? Si AKAA a fait évoluer les artistes, est-ce que le regard du public occidental a lui aussi pesé sur les processus créatifs ? Le Kényan Evans Mbugua et le Bissau-Guinéen Nu Barreto, tous deux plasticiens, vivent et travaillent en France : « – Le regardeur peut nous renvoyer un ressenti, répond Evans Mbugua, surtout pour moi qui travaille sur les émotions, et cela m'informe, cela m'aide à creuser plus. Je pense que l'art est un dialogue. Et ce dialogue est un aller-retour entre l'atelier et l'œil de celui qui regarde. – Nu Barreto, est-ce que le regard du public européen ou vivant en France a changé votre façon de travailler ? – Forcément, ces regards-là finissent par apporter quelque chose indirectement, mais tout en laissant à l'artiste la liberté dans sa création de pouvoir proposer des choses à la société. » L'écueil auquel la foire AKAA et ses artistes tentent d'échapper, serait donc de succomber au public. Sitor Senghor est le directeur artistique d'AKAA : « Ils font beaucoup moins ce qui est à la mode. Même si, vous avez énormément d'artistes en résidence en Occident et donc ils vont produire ce qui plait en Occident, donc en perdant un peu de leur identité. C'est pour cela que je voudrais vraiment que l'on puisse donner toute leur chance aux artistes du continent qui sont en train de changer. » Qualité, authenticité, deux mots d'ordres indispensables alors que le marché de l'art contemporain africain cherche un nouveau souffle. Heureusement pour lui, s'il souffre d'un problème de demande conjoncturelle, l'offre, elle, est structurellement toujours plus riche. À écouter aussiLa foire d'art contemporain africain parisienne AKAA fête ses 10 ans
En este episodio, se analiza la Teoría del Déjalo Ser de Mel Robbins, un fenómeno global que ha capturado la atención de millones. A través de una conversación crítica, se exploran sus implicaciones, su simplicidad y su impacto en la sociedad actual. Se discuten las críticas a la teoría, el voluntarismo individual, la regla de los 5 segundos y las conexiones con el budismo y el estoicismo. Finalmente, se reflexiona sobre la privatización de lo político y la necesidad de un pensamiento crítico en un mundo que a menudo busca soluciones simplistas.#letthemtheory #melrobbins #neoliberalismo 00:00 Introducción a la Teoría del Déjalo Ser02:03 Explorando el Éxito de la Teoría04:27 Crítica a la Teoría del Déjalo Ser07:13 Implicaciones Sociales y Filosóficas10:06 Comparaciones con Otras Corrientes de Pensamiento12:23 Reflexiones Finales sobre el Individualismo15:21 El Contexto Actual y la Teoría del Déjalo Ser20:06 La Sabiduría de la Abuelita y la Infantilización de la Sociedad22:22 La Internalización de la Violencia Social25:10 La Simplificación de la Vida y el Pensamiento Mágico27:34 La Obsesión por la Acción y la Práctica31:06 La Crítica a la Meritocracia y el Capitalismo33:27 La Despolitización y el Pensamiento Crítico
durée : 00:39:38 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - "Gaza a détruit l'illusion d'un ordre international fondé sur les droits humains." Pour l'essayiste indien Pankaj Mishra, la guerre à Gaza marque la fin de l'hégémonie narrative occidentale : comment analyse-t-il le conflit israélo-palestinien depuis un point de vue du sud global ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Pankaj Mishra journaliste et essayiste indien; François Zimeray Président de l'Association française des victimes du terrorisme, l'AFVT, ancien ambassadeur en charge des droits de l'Homme
Pere Becque ens parla del moviment popular la columna del 27 d'octubre. Es tracta d'una caminada popular que va començar l'11 d'octubre a Salses i té com a objectiu d'arribar al Parlament de Catalunya el 26 d'octubre. Aquesta data coincideix amb la declaració de la independència de 2017, iniciativa que commemora la repressió que van patir alguns polítics catalans.
Dans cet épisode de Head of Design, Paul Menant reçoit Émilie Larose, Head of Design passée par SNCF Connect, Marcel, et plusieurs agences. Ensemble, ils explorent comment insuffler une culture de la créativité et du design prospectif dans des organisations complexes, structurées, parfois rigides.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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L'épisode #87 du podcast BlaBla Royal est enfin disponible et celui-ci revient "à la normale" avec un épisode d'un peu plus de 2 heures!
durée : 00:03:27 - Un monde connecté - par : François Saltiel - Créés à la fin des années 1990 aux États-Unis, les fablabs se développent depuis une quinzaine d'années en France, mais restent relativement méconnus. Découverte de celui des Franciscaines à Deauville.
Invitée : - Anne-Line est la créatrice d'un « orphelichat ». Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Kaivalya Navanita (La crème de la Libération), petit classique tamoul de l'Advaita Vedanta pose les principes philosophiques de base du Vedanta et les examine de manière à les rendre particulièrement intelligibles aux lecteurs. Un livre recommandé par Sri Ramana Maharshi. Bibliographie: _ https://www.babelio.com/livres/Karapatra-La-lampe-de-la-Connaissance-non-duelle-La-creme-/642600 _ https://www.fnac.com/a11290711/Patrick-Mandala-La-recherche-de-soi Musique: Altus (https://altusmusic.bandcamp.com/track/amid-dreams) Narration et réalisation: Bruno Léger Production: Les mécènes du Vieux Sage Que règnent la paix et l'amour parmi tous les êtres de l'univers. OM Shanti, Shanti, Shanti.
Invité : - Patrick Legras : président de la Coordination Rurale des Hauts-de-France et porte-parole de la CR Nationale Chroniqueurs : - Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro - Georges Fenech, ancien magistrat Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
El aeropuerto de Cartagena experimenta una crisis de éxito que lo hará colapsar en temporada alta, hay hacinamiento, mal servicio y maltrato a los turistas que llegan a la ciudad
Hoy, en vida y cine, Javier Ocaña, trae dos estrenos que nos llevan a una posible de cena de celebración del final de la Guerra Civil española con Franco como comensal principal y represaliados republicanos como cocineros. Es "La cena" de Manuel Gómez Pereira. Y como segunda opción "Caza de brujas" la nueva película de Julia Roberts y Luca Guadagnino, sobre un posible abuso sexual en la Universidad de Yale. Una película muy provocadora. Y la crítica bajo demanda ha cerrado con "Las zapatillas rojas".
En entrevista con Manuel López San Martin para MVS Noticias, Gabriel Guerra Castellanos, colaborador MVS Noticias habla de los gobiernos antes, durante y después del desastre por lluvias, inundaciones y desbordamiento de ríos, marcadamente el caso Veracruz.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Mi-septembre, le rappeur Okis sortait TRIPLE CRÈME, troisième partie d'une série d'EPs sous influences drumless avec Mani Deïz. Rencontre le temps d'un podcast en public chez lui à Lyon pour reparler de cette trilogie dévoilée durant tout 2025. À retrouver dans ce podcast :00:00:00 Introduction00:01:10 Partie 1 : LA CRÈME00:21:28 Partie 2 : DOUBLE CRÈME00:35:05 Partie 3 : TRIPLE CRÈME00:59:33 ConclusionRésumé :Faire une série d'EPs influencés par le drumless après un premier album salué par la critique n'est pas toujours le choix le plus évident dans une carrière artistique. Okis a pourtant décidé de faire ce qu'il veut, comme il veut, sans réfléchir aux retombées. Un choix artistique qui représente bien qui est le rappeur lyonnais : depuis son émergence début 2022, l'artiste originaire de la Croix Rousse mélange exigence dans son écriture et authenticité à toute épreuve. Un alliage qui laisse entendre une musique remplie de technique et de sincérité - envers soi même et les autres - que le Lyonnais a pris le temps de raconter le temps d'une heure à l'Abcdr du Son. Le 18 septembre dernier, la rédaction discutait en effet en public avec Okis chez lui à Lyon de son année 2025. Un moment d'échange porté sur la musique et l'écriture, où le rappeur a ainsi pris le temps de raconter en détails sa série de trois EPs réalisés à nouveau avec le producteur Mani Deïz, pour mieux comprendre ce choix fort artistique. Entre passion culinaire, amour du sample, et envie de se renouveler, le Lyonnais a ainsi pris le temps de donner plus de détails sur ce qui fait le sel de son rap : une passion indéfectible pour la musique, une pointe d'engagement, et - surtout - un attachement à la réalité du quotidien aujourd'hui assez rare dans le rap français. Crédits :Un podcast animé par Brice BossavieEnregistré le 18 septembre 2025 à HEAT à Lyon (69)Moyens techniques et enregistrement : Arty FartyPostproduction : zo.Visuel : Sébastien Le GallProduction : L'Abcdr du Son Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette semaine : Sora 2, le nouvel outil de génération vidéo d'OpenAI, pousse les limites du réalisme… et donne naissance à un réseau social de deepfakes. À Hollywood, une actrice virtuelle affole les professionnels du cinéma. Et pendant ce temps, un rapport du Shift Project alerte sur l'explosion énergétique liée à l'IA.
Gregory Sansa repassa l'actualitat recent dels clubs de rugbi nord-catalans, destacant un passat cap de setmana especialment difícil amb derrotes per a tots els equips destacats, i posa l'accent, pel que fa a l'USAP, en la necessitat de reacció tant esportiva com disciplinària per part de clubs i aficionats.
Los análisis de videojuegos pasan por un momento de cambio. Hay que reflexionar sobre lo que es escribir ahora sobre videojuegos con el SEO, los resultados provocados por la IA, las redes sociales y Discover dominando la forma de estructurar textos-El periodismo de videojuegos en España (libro de Guillermo Paredes-Otero): https://amzn.to/48ul3F1La encuesta a la que alude el podcast: https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSd6vpv34JJUfb1DiCgjTZS3ct5SQsF5TV6bX2roCr9pW01_HQ/viewform?usp=dialogCongreso DIGRA, fechas y para apuntarse: https://digraes2025.wordpress.com/programa/Compra mi nuevo libro de Los Secretos de: https://amzn.to/48JvhkI
Nous sommes aujourd'hui avec Sandrine et Florian Favario, de l'Auberge de Montmin. Tous les gastronomes (ou presque) connaissent leur "maison de cuisine" doublement étoilée et nichée sur les hauteurs du somptueux lac d'Annecy. Ils y proposent une expérience gastronomique de haut vol où le sens du service de Sandrine sublime la cuisine instinctive et maîtrisée de Florian. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Pierre Marcolin, le co-fondateur du restaurant Bloomer à Annecy.Dans ce 3e chapitre, Sandrine et Florian nous racontent le projet de leur vie : l'Auberge de Montmin. Ensemble, on évoque la création et le développement de leur "maison de cuisine", cette auberge gastronomique d'un nouveau genre où la salle et la cuisine dialoguent sans barrière. Florian peut enfin exprimer tous ses talents et sublimer avec audace son terroir savoyard en s'inspirant notamment de ses riches expériences aux quatre coins du monde. Sandrine, quant à elle, revisite le métier de maîtresse de maison et accueille ses convives avec exigence mais dans une ambiance conviviale, décontractée et quasi familiale. Et si c'était ça, la haute gastronomie de demain ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis 2023, Meta s'est lancé dans une drôle d'aventure : peupler Instagram, Messenger et WhatsApp de chatbots personnalisés. Au départ, ils prenaient les traits de célébrités, comme un gadget marketing. Puis l'entreprise a ouvert son outil AI Studio, permettant à chacun de créer ses propres personnages. Mais pour les marchés internationaux, ce sont des freelances chevronnés qui s'en chargent.Meta les recrute en hindi, espagnol, indonésien ou portugais, avec un profil exigeant : au moins six ans d'expérience en narration et en conception de personnages. Leur mission ? Donner vie à ces bots. Ils choisissent un vocabulaire adapté, conçoivent une personnalité cohérente et ajustent chaque interaction au contexte culturel local. Les dialogues ne doivent pas seulement être fluides : ils doivent sonner vrai pour l'utilisateur, qu'il soit en Amérique latine, en Inde ou en Asie du Sud-Est. Cette attention au détail n'a rien d'anodin. Car Meta garde en mémoire des dérapages passés. Selon Reuters, certains bots avaient pu fournir de fausses informations médicales, tenir des propos racistes, voire entretenir des conversations sexuelles avec des mineurs. Désormais, les freelances surveillent et corrigent les dialogues en continu, traquant les informations personnelles et ajustant les réponses pour rester dans des limites claires.Dans tous les cas, Meta cherche à maintenir l'équilibre : offrir des personnages attractifs, mais éviter les dérapages. La rémunération suit la complexité de la tâche. Meta propose jusqu'à 55 dollars de l'heure à ses freelances. Une somme élevée, mais qui reflète la minutie du travail : écrire des dialogues naturels dans plusieurs langues, bâtir des personnalités crédibles et vérifier en permanence que les conversations restent pertinentes. Derrière l'image ludique de ces chatbots, on découvre une réalité bien plus sérieuse : Meta veut transformer ces personnages virtuels en un canal de communication incontournable, calibré au mot près, et surveillé de près. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comme chaque année, la ville de Limoges accueille des artistes venus du monde entier pour le festival les Zébrures d'automne dirigé par Hassane Kassi Kouyaté. Le 24 septembre 2025, s'est ouvert ce rendez-vous incontournable de la francophonie. Au programme : une trentaine de spectacles dont une dizaine de créations, et près de deux cents artistes réunis dans la ville de Limoges. Pour cette nouvelle édition des Zébrures d'automne, l'accent est mis cette année sur la création francophone arabe. Invité.e.s : Hassane Kassi Kouyaté, metteur en scène et directeur des Zébrures d'automne-Les Francophonies-Des écritures à la scène. Un festival que son directeur qualifie de «voyage, un endroit où on met plusieurs miroirs différents». La francophonie pour moi c'est le mariage ou la naissance entre la langue française et d'autres langues. C'est une francophonie humaine «Le théâtre est un espace de mémoire», nous dit Sumaya Al Attia, metteuse en scène et comédienne franco-jordano-iranienne. Son spectacle «Rekord بیبي» est écrit en deux langues, en français et en arabe, l'occasion d'explorer la dualité de la langue. Le titre du spectacle fait référence au modèle d'Opel («Rekord») détenue par la grand-mère («بیبي» en dialecte irakien) de la metteuse en scène. C'était une évidence pour moi d'écrire le spectacle en deux langues : arabe et français. Cette voiture achetée à Beyrouth, au Liban, par ses grands-parents quand ils ont quitté la France en 1966-1967, a été utilisée pour rejoindre Bagdad où une nouvelle vie commence. C'est un récit d'exil où s'entremêlent l'histoire familiale et la grande histoire avec l'arrivée de Saddam Hussein en Irak. C'est en 2022 que l'autrice a senti la nécessité de creuser l'histoire familiale. La metteuse en scène a travaillé à partir d'entretiens audios qu'elle avait réalisés avec son père. C'est donc à partir des souvenirs d'enfance de son père qui avait huit ans à l'époque qu'elle a écrit ce texte. Elle estime que c'est grâce aux écrits qu'on peut faire vivre la mémoire... Israël Nzila, auteur congolais de 31 ans et lauréat du Prix RFI théâtre 2025 pour son texte «Clipping». Une femme perd son enfant au marché. Mais a-t-elle véritablement perdu cet enfant ? Le retrouvera-t-on ? Les cauchemars lui reviennent... Un texte bouleversant qui raconte les traumas de la guerre. Né à Kinshasa, il est parti s'installer à Lubumbashi et s'est très vite consacré à l'écriture de théâtre. Un auteur qu'on a pu découvrir avec la pièce «Silence» dans le cycle «Ça va, ça va le monde !» à Avignon en 2025. Le théâtre, c'est une existence, il est vivant. Ce n'est pas un simple spectacle. On introduit des spectateurs dans ce qu'on écrit, ça dépasse l'imaginaire. Également dans l'émission : la metteuse en scène Jenny Briffa nous parle de «Racines mêlées», un spectacle créé à Nouméa, en Nouvelle-Calédonie, un récit d'aventures où les destins de Lapérouse, Bougainville et Cook s'entrecroisent autour d'une intrigue liée à l'histoire de la Nouvelle-Calédonie. Programmation musicale du jour : Le groupe iranien Bazaari avec le titre Ce qui n'a pas été.
Comme chaque année, la ville de Limoges accueille des artistes venus du monde entier pour le festival les Zébrures d'automne dirigé par Hassane Kassi Kouyaté. Le 24 septembre 2025, s'est ouvert ce rendez-vous incontournable de la francophonie. Au programme : une trentaine de spectacles dont une dizaine de créations, et près de deux cents artistes réunis dans la ville de Limoges. Pour cette nouvelle édition des Zébrures d'automne, l'accent est mis cette année sur la création francophone arabe. Invité.e.s : Hassane Kassi Kouyaté, metteur en scène et directeur des Zébrures d'automne-Les Francophonies-Des écritures à la scène. Un festival que son directeur qualifie de «voyage, un endroit où on met plusieurs miroirs différents». La francophonie pour moi c'est le mariage ou la naissance entre la langue française et d'autres langues. C'est une francophonie humaine «Le théâtre est un espace de mémoire», nous dit Sumaya Al Attia, metteuse en scène et comédienne franco-jordano-iranienne. Son spectacle «Rekord بیبي» est écrit en deux langues, en français et en arabe, l'occasion d'explorer la dualité de la langue. Le titre du spectacle fait référence au modèle d'Opel («Rekord») détenue par la grand-mère («بیبي» en dialecte irakien) de la metteuse en scène. C'était une évidence pour moi d'écrire le spectacle en deux langues : arabe et français. Cette voiture achetée à Beyrouth, au Liban, par ses grands-parents quand ils ont quitté la France en 1966-1967, a été utilisée pour rejoindre Bagdad où une nouvelle vie commence. C'est un récit d'exil où s'entremêlent l'histoire familiale et la grande histoire avec l'arrivée de Saddam Hussein en Irak. C'est en 2022 que l'autrice a senti la nécessité de creuser l'histoire familiale. La metteuse en scène a travaillé à partir d'entretiens audios qu'elle avait réalisés avec son père. C'est donc à partir des souvenirs d'enfance de son père qui avait huit ans à l'époque qu'elle a écrit ce texte. Elle estime que c'est grâce aux écrits qu'on peut faire vivre la mémoire... Israël Nzila, auteur congolais de 31 ans et lauréat du Prix RFI théâtre 2025 pour son texte «Clipping». Une femme perd son enfant au marché. Mais a-t-elle véritablement perdu cet enfant ? Le retrouvera-t-on ? Les cauchemars lui reviennent... Un texte bouleversant qui raconte les traumas de la guerre. Né à Kinshasa, il est parti s'installer à Lubumbashi et s'est très vite consacré à l'écriture de théâtre. Un auteur qu'on a pu découvrir avec la pièce «Silence» dans le cycle «Ça va, ça va le monde !» à Avignon en 2025. Le théâtre, c'est une existence, il est vivant. Ce n'est pas un simple spectacle. On introduit des spectateurs dans ce qu'on écrit, ça dépasse l'imaginaire. Également dans l'émission : la metteuse en scène Jenny Briffa nous parle de «Racines mêlées», un spectacle créé à Nouméa, en Nouvelle-Calédonie, un récit d'aventures où les destins de Lapérouse, Bougainville et Cook s'entrecroisent autour d'une intrigue liée à l'histoire de la Nouvelle-Calédonie. Programmation musicale du jour : Le groupe iranien Bazaari avec le titre Ce qui n'a pas été.
Rubrique:poesies Auteur: alphonse-daudet Lecture: EglantineDurée: 03min Fichier: 3,05 Mo Résumé du livre audio: La Vierge à la crèche est un délicieux poème, extrait du recueil Amoureuses, d'Alphonse Daudet. « La Vierge berçait son enfant Jésus. Lui, gazouillait comme un nid de mésanges. Elle le berçait, et chantait tout bas Ce que nous chantons à nos petits anges. Mais l'enfant Jésus ne s'endormait pas… » Cet enregistrement est mis à disposition sous la Licence art libre. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
durée : 00:58:48 - Ôtrium / Quentin Ghomari "Deuxième mouvement" - par : Nicolas Pommaret - Suite à un premier album salué par la critique en 2021, le trompettiste et compositeur Quentin Ghomari revient avec “Ôtrium – deuxième mouvement” : une suite vibrante et instinctive à son exploration d'un jazz acoustique intime et libre. Parution chez NeuKlang / BigWax. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
En aquesta crònica, l'historiador Iu Escape parteix d'un fet puntual –l'incident que va tenir lloc en un partit de rugbi a l'USAP, quan un aficionat va saltar al terreny de joc– per obrir una reflexió molt més profunda sobre la societat nord-catalana i el sentit de la identitat col·lectiva.
durée : 00:11:04 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie DUNCAN - L'ouverture des Etats-Généraux s'est donc déroulée à Versailles le 5 mai 1789. Nous allons voir comment cette réunion commencée dans le plus pur style ancien régime va basculer dans un processus révolutionnaire. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Nous sommes aujourd'hui avec Moïse Sfez, figure montante de la street food. À seulement 30 ans, il enchaîne les succès avec Homer Lobster, Janet et Maurice Café, où il bouscule avec audace les codes de la restauration rapide pour réconcilier la gastronomie avec la rue. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné d'Élisa Gautier, la fondatrice du restaurant Kiosk à Paris.Dans ce 3ᵉ chapitre, Moïse revient sur la création de sa deuxième enseigne : Janet. Loin de l'engouement immédiat de Homer Lobster, ce nouveau lieu démarre plus timidement avant de trouver son public. Il enchaîne avec Maurice Café, qui cartonne d'entrée et laisse entrevoir un développement très ambitieux. Moïse se livre sans filtre : ses ambitions, mais aussi la structuration du Homer Food Group qu'il pilote aujourd'hui avec une vision affirmée. Il partage avec nous tous les chiffres et ses choix stratégiques, une plongée inspirante dans les coulisses d'un groupe de restauration en pleine expansion. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La dermatose nodulaire: un fléau pour les vaches Les brèves du jour Quand l'uranium était présent dans les objets du quotidien "Unreliable ": un cri dʹalerte sur la crédibilité de la recherche Mort imminente 1/2: cʹest quoi une expérience de mort imminente?
Stéphane Berthomet revient à la nouvelle stratégie gouvernementale visant à soutenir la créativité numérique dans le domaine culturel. Le plan reconnaît enfin les créateurs de contenus numériques comme des acteurs à part entière du paysage artistique. Cette reconnaissance ouvre la porte à des mécanismes de financement mieux adaptés à leurs besoins. Une évolution qui pourrait dynamiser l'écosystème créatif québécois.
Ça c'est passé en Australie. Attention tout se termine bien
La Crónica Rosa de 'Es la mañana de Federico' contó con Isabel González, Daniel Carande y Carlos Pérez Gimeno para hablar de los temas de actualidad.
La Crónica Rosa de 'Es la mañana de Federico' contó con Isabel González, Daniel Carande y Carlos Pérez Gimeno para hablar de los temas de actualidad.
Notre survie dépendrait de notre capacité à produire continuellement du savoir. Pourtant, notre système éducatif entrave l'imagination scientifique. Les programmes scolaires sont surchargés et dictés par une logique d'évaluation. L'enseignement supérieur, de plus en plus orienté vers l'insertion professionnelle rapide, limite la pensée autonome. Les chercheurs manquent de temps pour créer véritablement, freinés par une gestion technocratique. Ce système produit des individus malheureux et désengagés. La curiosité, moteur essentiel de la connaissance, est étouffée dès l'enfance. La baisse de la créativité devient invisible, car ce qui n'est pas inventé ne manque à personne. Comment repenser l'éducation pour préserver notre capacité d'innovation, vitale à notre survie et redonner aux élèves et étudiants le goût d'apprendre ? Peut-on concilier rentabilité et créativité dans les institutions éducatives ? Avec Bernard Lahire, sociologue, directeur de recherche au CNRS, membre du Centre Max Weber de l'École normale supérieure de Lyon, membre senior honoraire de l'Institut universitaire de France et auteur de Savoir ou périr (Éditions du Seuil) et Enfances de classes. De l'inégalité parmi les enfants (Éditions du Seuil, 2019). • En ouverture d'émission, L'école autour du monde, l'actualité de l'éducation avec Cécile Debarge, correspondante de RFI en Italie En Italie, la rentrée des classes se prépare doucement. Les écoliers ont encore une à deux semaines de vacances selon les régions. Les ministres du gouvernement d'extrême-droite de Giorgia Meloni ont, eux, profité de l'été pour donner le ton de cette rentrée scolaire. Le credo est le suivant : l'autorité doit faire son grand retour à l'école. • Le Monde des enfants par Charlie Dupiot Des enfants nous livrent leurs regards sur ce qui fait leur quotidien et leurs aspirations pour l'avenir, au micro de notre reporter Charlie Dupiot… Nous voici à Paris, dans l'une des classes de CM2 de l'école Manin, dans le XIXe arrondissement. Aujourd'hui, on parle d'ennui avec Maya, Marlou, Shannon, Zoumana, Dylan et Demba. En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question d'un auditeur de Yannick à Ndjamena au Tchad, dont la sœur présente une addiction aux jeux vidéo. Programmation musicale : ► Zéro – AZ. TH. ► Summer Meadows – Ala.Ni
durée : 01:12:11 - Les Nuits de France Culture - par : Marc Floriot - Morceaux choisis - réalisation : Virginie Mourthé
José Luis Sastre repasa junto a Martín Bianchi lo que han acumulado las revistas del corazón este verano: los posados de Ana Obregón, ahora junto a Anita. La presentación del hijo de Bertín Osborne en una exclusiva, los pagos a Hacienda del rey emérito... y mucho más.
La Crónica Rosa de ‘Es la mañana de Federico' estrenó nueva temporada con Isabel González, Beatriz Cortázar y Carlos Pérez Gimeno.
La Crónica Rosa de ‘Es la mañana de Federico' estrenó nueva temporada con Isabel González, Beatriz Cortázar y Carlos Pérez Gimeno.
La crítica de Toni Bolaño a Miguel Tellado: “Decir que España no es una democracia… es asqueroso y hasta vomitivo”
Le téléphone rouge, instauré après la crise de Cuba, offrait une ligne directe entre Washington et Moscou pour éviter erreurs et escalades nucléaires.
El Duende narra el conflicto entre Alito y Noroña
durée : 00:59:54 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En première ligne des fondateurs du journal "Libération", deux journalistes : Jean-Claude Vernier et Jean-René Huleu. En 1993, vingt ans après la parution du premier numéro du quotidien, ils reviennent sur cette aventure exaltante, passionnée, harassante… et amère dans l'émission "Grand angle". - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean-René Huleu; Claude Mauriac; Jean-Paul Sartre Écrivain, philosophe français; Maren Sell Romancière et éditrice franco-allemande
El periodista ha dado su opinión acerca de los últimos acontecimientos que está dejando la ola de incendios que arrasa varias provincias de España.
Julien : Rolala c'est pas possible ! Je viens de me rendre compte que j'ai complètement zappé de mettre de la crème solaire avant de partir !Louise : Oula mais t'es inconscient. Le soleil tape super fort aujourd'hui, tu vas le sentir passer ce soir.Julien : Ouais… j'ai déjà l'impression que ça chauffe un peu. J'ai jamais le réflexe de le faire alors qu'à chaque fois je regrette.Louise : Bon faut qu'on passe en acheter en pharmacie pour limiter la casse avant que tu finisses comme une tomate. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans la carrière de Richard Wagner, Paris et son grand opéra ont joué un rôle essentiel qu'on ne le penserait. Plongée dans l'univers créatif du compositeur allemand. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.