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Aujourd'hui, je retrouve Maxime de Beublain, fondateur du cabinet de recrutement Bon Talent.Maxime m'a posé une excellente question :
durée : 00:49:44 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - Aujourd'hui dans Affaires sensibles, Dior et misère : la chute de Marcel Boussac. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Nadine Dantier, 20 ans, une étudiante rayonnante et heureuse, assassinée sur le pas de sa porte dans le village le plus paisible de l'île Maurice. Des suspects nombreux et successifs, une trace ADN puis des dénonciations à la chaîne. Mais plus de vingt ans après le crime, le coupable court toujours. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nadine Dantier, 20 ans, une étudiante rayonnante et heureuse, assassinée sur le pas de sa porte dans le village le plus paisible de l'île Maurice. Des suspects nombreux et successifs, une trace ADN puis des dénonciations à la chaîne. Mais plus de vingt ans après le crime, le coupable court toujours. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Le président Tshisekedi ne peut pas aller signer la paix à Washington sans qu'on puisse constater que les troupes rwandaises se sont retirées de notre territoire », déclare sur RFI, ce mercredi matin, le ministre congolais de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya. Est-ce à dire que la poignée de main, prévue d'ici à la fin du mois à Washington, entre le Congolais Félix Tshisekedi et le Rwandais Paul Kagamé est sérieusement compromise ? De passage à Paris, Patrick Muyaya, qui est aussi porte-parole du gouvernement de la RDC, répond aux questions de Patient Ligodi et Christophe Boisbouvier. RFI : Jusqu'à la semaine dernière, vous faisiez du retrait des troupes rwandaises du Congo le préalable à toute signature d'accords. Mais vendredi dernier, à Washington, vous avez finalement signé un accord de coopération économique avec le Rwanda pour le développement futur de la sous région. Pourquoi avez-vous changé d'avis ? Patrick Muyaya : Nous avons paraphé parce qu'il y a eu un progrès. Il y a eu, dans ce qui avait été signé, une section qui a été rajoutée. Dans cette section, il est clairement dit que le cadre d'intégration économique régionale pourra effectivement être mis en œuvre après la satisfaction de l'exécution du Conops. Le Conops, c'est le volet militaire de l'accord du 27 juin qui stipule, d'une part, que nous allons traiter la question des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) et que le Rwanda va à son tour retirer ce que l'on appelle ses « mesures de défense », en réalité, la présence de ses troupes et de son matériel militaire. Dans ce qui s'est discuté, il y a des engagements qui ont été réitérés de part et d'autre, notamment en ce qui concerne le volet militaire, pour que cela facilite la signature par les deux chefs d'État. Vous avez signé parce que le principe, notamment, d'un retrait des troupes rwandaises vous semble acquis ? Nous avons signé, dans le cadre de cette section, que l'on a rajouté, parce qu'il faut que l'on s'assure que, dans cette dimension, le Rwanda fasse sa part. Dans le Conops, le volet militaire, n'oubliez pas qu'il est prévu de traiter d'une part la question des FDLR, ce que nous traitons, avec la phase de la sensibilisation – nous en ferons le point pour décider s'il y a des opérations qui doivent se faire. Mais, d'autre part, le Rwanda s'était engagé à retirer ses mesures de défense. Nous faisons notre part et eux doivent faire la leur. Comme vous le dites, la mise en œuvre de cet accord de coopération économique est conditionnée aussi à la neutralisation des rebelles hutu rwandais FDLR sur votre territoire. Mais concrètement, monsieur le ministre, avez-vous cartographié le déploiement des FDLR ? Avez-vous commencé à les désarmer ? Je crois qu'il y a un travail d'état-major qui a été fait en termes de cartographie. Il y en a certains qui sont sur la partie du territoire que nous contrôlons, et l'autre partie sur le territoire qui est sous contrôle des forces d'occupation. Dans les parties que nous contrôlons, au moment où je vous parle, il y a des experts militaires qui sont sur place pour procéder à la phase de sensibilisation qui est, elle aussi, prévue dans le cadre du Conops, qui est annexé à l'accord du 27 juin. Dans cet ordre, nous faisons cette première partie. S'il y a des résistances, dans le cadre de ce qui est prévu, nous passerons à la phase suivante pour nous assurer que nous nous sommes acquittés de notre part dans le cadre de l'exécution du Conops. Du côté des négociations avec les rebelles de l'AFC/M23, vous avez signé avec eux, il y a un mois, un accord créant un mécanisme de surveillance du cessez-le-feu. Où en est ce mécanisme ? Fonctionne-t-il ? Il doit fonctionner normalement en fonction des structures qui ont été mises en place. Je crois que la première réunion devrait être convoquée incessamment pour voir comment cela peut se mettre en place. Ce n'est pas simplement la question du mécanisme du cessez-le-feu, mais aussi cette question de prisonniers. Vous parlez d'échange de prisonniers. Vous négociez à ce sujet avec le M23 depuis plusieurs mois à Doha, mais cela n'avance pas. Beaucoup disent que c'est vous qui bloquez, car vous refuseriez la libération d'un certain nombre de prisonniers politiques. Je n'irai pas à dire que nous bloquons ou que nous n'avançons pas. Le fait, déjà, que nous ayons parlé préalablement des mécanismes qui ont été signés, notamment sur le cessez-le-feu ou la libération de prisonniers, c'est la preuve que nous avançons sur les mécanismes de prisonniers. Il y a une tâche qui a été confiée au Comité international de la Croix-Rouge (CICR), qui est en train de travailler avec les deux parties. Le moment venu, il y aura des évolutions et les choses pourront être dites. La condamnation à mort, le mois dernier, de l'ancien président Joseph Kabila par un tribunal militaire de Kinshasa ne complique-t-elle pas ces négociations ? Je ne suis pas sûr que cela complique les négociations. Il faut dissocier le président Kabila. C'est un ancien président. Je pense qu'il existe une loi qui le concerne, lui, personnellement – parce qu'on n'a pas deux anciens présidents. Au regard de cette loi et au regard de ses agissements, notamment son séjour et ses contacts réguliers – je ne dirai pas davantage –, il faut considérer qu'il n'a pas joué le rôle qu'il devrait jouer dans ce cadre et que les conséquences au plan judiciaire ont été tirées. Cette semaine, toujours à Doha, au Qatar, on attend la signature d'un accord-cadre entre l'AFC/M23 et votre gouvernement. Où en est-on ? Je pense que les discussions ont plutôt bien évolué. Il y a un besoin humanitaire urgent et pressant. Je pense que nous trouvons un compromis qui sera complémentaire à celui trouvé à Washington et qui nous permet d'aller maintenant dans la mise en œuvre effective qui sera l'étape la plus déterminante qui permette le retour de la paix effective. La Conférence humanitaire de Paris, le 30 octobre dernier, a-t-elle donné les résultats que vous espériez, ou vous a-t-elle déçu ? On ne dira pas qu'on est déçu parce qu'il y a eu une grosse mobilisation sur un sujet qui nous tient particulièrement à cœur, le sujet humanitaire. Il y a des besoins qui ont été chiffrés à peu près à 2,2 milliards et Paris s'est prononcé pour à peu près 1,6 milliard. Ce n'est pas tout ce dont nous avons besoin, mais c'est déjà quelque chose d'essentiel. Nous restons attentifs sur ce sujet aussi. La réouverture de l'aéroport de Goma pour des causes humanitaires, y croyez-vous ? Nous allons y arriver parce que nous avions convenu de cette urgence avec les humanitaires sur place. La question a fait l'objet des discussions à Paris. Ici, il faut rappeler d'abord que, si ceux qui occupent illicitement la ville de Goma et de Bukavu étaient en mesure d'ouvrir l'aéroport, ils l'auraient ouvert. C'est une question de souveraineté. Et nous, nous avons lancé un NOTAM (« Messages aux navigants », ndlr) – pour parler un langage de spécialiste –, pour dire que ces aéroports ne pouvaient pas servir. Pour des besoins strictement humanitaires, il y aura une dérogation qui pourra être faite pour des vols de type précis qui pourront être systématiquement contrôlés et être dans la mesure de fournir l'appui qu'il faut à nos populations sur place. D'ici combien de temps ? Je ne saurai pas vous donner des délais, au moment où nous parlons. Mais je sais qu'il y a des personnes qui y travaillent, que ce soit à Kinshasa ou à Paris, et qui doivent être en mesure rapidement de rendre concret ce projet. Vous êtes sur le point de signer un accord-cadre avec les rebelles AFC/M23, mais en même temps, ce mouvement est en train de recruter des dizaines, voire des centaines de magistrats pour son administration. Comment réagissez-vous ? Il est évident, le ministre de la Justice l'a déjà dit, que tout acte posé dans ces contextes sera déclaré nul et de nul effet. Vous convenez avec moi qu'ils ne sont pas en compétence de faire un quelconque recrutement parce qu'il existe un travail du Conseil supérieur de la magistrature et des critères bien établis. Nous n'accordons que peu d'attention à ce genre d'actions qui n'ont en réalité aucun avenir. Voilà plus de quatre mois que les ministres des Affaires étrangères de vos deux pays, la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda, ont signé un premier accord de paix à Washington. C'était le 27 juin. Mais à quand un accord de paix définitif signé par vos deux présidents, Félix Tshisekedi et Paul Kagame, en présence de Donald Trump à Washington ? Mais je crois que c'est prévu et les conditions doivent être réunies. Mais il y a pour nous un facteur principal, c'est le retrait de ce qu'on appelle, en langage diplomatique, les « mesures de défense du Rwanda », mais qui sont, en réalité, son armée et tous les matériels qui sont déployés sur notre territoire. Dès que les conditions seront réunies, et il me semble que nous sommes sur la voie, le président de la République pourra faire le déplacement de Washington pour poser la signature sur cet accord de paix. Donc, pas de déplacement de Félix Tshisekedi à Washington avant un début de retrait des forces rwandaises de votre territoire ? Je crois que nous l'avons fait savoir, notamment à la médiation américaine. Vous avez vu qu'il y a eu une évolution. Je vous ai dit tout à l'heure, lorsque nous parlions de la signature du cadre d'intégration économique régionale, que cette préoccupation a été bien notée. Nous avons réagi à travers un communiqué et nous considérons que c'est un pas important qui nous permettra de faire le mouvement de Washington. Nous considérons que nous sommes sur une dynamique positive qui nous permettra, dans les jours qui viennent, de parvenir à la signature de cet accord par les présidents de la République. Signature qui pourrait avoir lieu d'ici à la fin de ce mois de novembre ? Cela dépendra aussi des agendas, mais il y a des contacts étroits pour que les mots du président Trump puissent correspondre à la réalité sur le terrain. Votre gouvernement, disons l'armée congolaise, a lancé cette campagne pour demander aux FDLR de pouvoir déposer les armes en vue d'une éventuelle reddition. A combien évaluez-vous le nombre de ces combattants FDLR en RDC? Je ne saurais peut-être pas me hasarder sur des chiffres, qui relèvent plutôt des états-majors. Mais je ne pense pas qu'ils soient en nombre considérable et qu'ils puissent véritablement causer des problèmes de sécurité au Rwanda. Mais quand vous parlez d'un nombre qui ne serait pas considérable, vous l'évaluez à combien environ ? 500 personnes ? Certains experts nous parlent de 1 000, 1500, mais c'est du domaine du renseignement militaire. Il faut laisser le travail se faire et peut être que le moment venu, nous pourrons revenir avec des chiffres plus précis dès que nous les aurons. Sur RFI, les porte-paroles des FDLR disent qu'à ce jour, les FDLR ne peuvent pas désarmer. Ils ne peuvent donc suivre la campagne qui est menée par les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), déposer les armes et donc faire cette reddition. Nous savons que nous avons des engagements. Nous savons qu'il y a des choses qui doivent être faites à notre niveau. Nous, on a commencé cette phase de sensibilisation. Évidemment, il y a des prochaines phases en fonction de l'évaluation qui sera faite. Il y a un travail qui doit être aussi fait au Rwanda parce que ce sont des Rwandais, et le Rwanda devrait être disposé à les recevoir. Pour le reste, il ne m'appartient pas de commenter les décisions de ce genre dès lors que nous avons un plan préalablement établi et sur lequel nous tenons, dans le cadre des différents accords que nous avons signés. En parlant de ce processus de Washington et de Doha, il a été convenu d'un mécanisme de suivi du cessez-le-feu. Mais sur le terrain, rien n'est fait. Encore hier, il y avait des combats sur le terrain. Il y a toujours une distance entre le moment où nous signons et le moment où les choses se mettent en place. Nous connaissons la détermination des occupants. Mais il ne faut pas oublier que nous avons une médiation qui suit ce qui se passe sur le terrain. Il ne faut pas oublier que les médiateurs disposent d'autres leviers qui peuvent servir de pression pour nous assurer que nous atteignons les objectifs que nous poursuivons. On peut dire que rien n'a été fait. Ne vendez-vous pas du vent à la population congolaise, avec tout ce qui se passe à Doha et à Washington ? Attention, nous ne vendons pas du vent parce qu'il y a des progrès. Il y a des combats sur le terrain. Mais j'y arrive. Nous sommes dans un processus diplomatique. Lorsque nous avons choisi la résolution 2773 et tout ce qu'il y a comme déploiements diplomatiques ici, il y a un travail qui doit se faire au préalable, c'est le travail diplomatique. Mais après, il y a un travail plus important, le travail de terrain. Cela veut dire qu'il y a les préalables. Lorsqu'on dit qu'on mettra en place un mécanisme de cessez-le-feu, il faut être sûr qu'on arrive à mobiliser toutes les parties prenantes, les mettre en place et qu'elles aient les moyens de déploiement. Cela ne se fait pas sur un claquement de doigt, et les médiateurs le savent. Donc on ne saura peut être pas vous dire dans l'immédiat : « On signe aujourd'hui, demain sur terrain, et ceci. » C'est pour cela qu'il y a un besoin de responsabilité pour le Rwanda, conformément à l'accord du 27 juin, de faire sa part et de s'assurer, de par le lien parental qui les lie au M23, de voir comment le M23 va aussi s'acquitter de sa part. Ce n'est qu'à ce prix que nous pourrons atteindre les objectifs fixés au plan diplomatique. Nous avons des médiateurs qataris, américains et de l'Union africaine qui suivent étroitement les processus. Dans ce cadre là, chaque fois qu'il y a des actes qui sont posés, qui ne devraient pas l'être et qui sont rapportés, ce sera le moment venu au médiateur de voir qui bloque quoi et tirer les conséquences qu'il faut. Cette rencontre à venir à Washington entre les deux chefs d'État pourrait-elle avoir lieu avant le début du retrait des troupes rwandaises du Congo ? Nous savons que le retrait des troupes rwandaises est la condition principale pour que nous puissions avancer. Parce que le président de la République ne peut pas se rendre à Washington sans que nous ne puissions être en mesure, avec les Américains avec lesquels nous travaillons, de constater qu'il y a eu retrait de ce qu'on a appelé, en langage diplomatique, des « mesures des défense », mais en réalité des troupes rwandaises et de tout ce qui les accompagne. Donc il n'y aura pas cette poignée de main avant un geste militaire de votre voisin rwandais ? En tout cas, il y a un accord qui a été signé, qui prévoit des choses. Nous, nous faisons notre part. Le Rwanda doit faire la sienne pour nous permettre d'avancer. Pour obtenir ce retrait des troupes rwandaises, on voit bien que vous comptez beaucoup sur la pression des Américains. Mais maintenant que le Rwanda accepte d'accueillir des migrants en provenance des États-Unis, ne craignez-vous pas que Washington n'ait plus aucun moyen de pression sur Kigali ? Je crois que le président Donald Trump, de manière constante, se présente comme celui qui aide à atteindre les objectifs de paix. Il l'a fait dans plusieurs pays. Pour ce qui concerne la République démocratique du Congo, il est bien au courant. Vous suivez notamment les déploiements de son envoyé spécial, Massad Boulos. Aujourd'hui, il faut considérer que nous avons fait des pas. N'oubliez pas que le président de la République, en 2019, dès son arrivée, avait fait le choix courageux de la paix, avec les voisins, notamment le Rwanda. N'oubliez pas qu'il y a une volonté américaine et qatari d'investir massivement dans la région pour en débloquer tout le potentiel. J'ai assisté à Washington en octobre dernier à une réunion, à l'initiative du Département du Trésor américain, avec tous les bailleurs qui sont intéressés par l'investissement dans cette partie de la région. Je crois qu'il y a davantage de pression sur le Rwanda pour aller vers la conclusion de l'accord, pour permettre à tous ces bailleurs de commencer à aller vers l'essentiel. L'essentiel ici, c'est nos populations. Je rappelle que le président de la République a toujours dit et répété que nous n'avions pas de problème avec le peuple rwandais. Vous voyez qu'il y a des objectifs nobles qui nous attendent. Des objectifs qui permettront à la fois aux Américains d'être sûrs de pouvoir bénéficier de ressources critiques. Nous avons tous besoin de parvenir à cet objectif de paix. Et nous avons tous besoin, dans ce cadre, que le Rwanda fasse sa part autant que nous faisons la nôtre. À lire aussiRDC: «Nous résisterons jusqu'à ce que Kigali accepte un dialogue», affirment les FDLR
durée : 00:45:37 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaires Sensibles, la faute de l'abbé Cottard. - réalisé par : Frédéric Milano Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'absence des États-Unis à la COP30, l'enrôlement de soldats africains dans l'armée russe et des mandats d'arrêt turcs contre des responsables israéliens. Mali : l'exécution d'une TikTokeuse bouleverse le pays L'assassinat de Mariam Cissé suscite un vif émoi sur les réseaux sociaux. La jeune influenceuse a été fusillée en public sur une place de la ville de Tonka, dans la région de Tombouctou, par des jihadistes présumés. Dans quelles circonstances a-t-elle été tuée ? Pourquoi s'en sont-ils pris à elle ? Avec Serge Daniel, correspondant régional de RFI sur le Sahel. COP30 : l'absence des États-Unis, une bonne ou mauvaise nouvelle ? Considérant la crise climatique comme « une grande escroquerie », Donald Trump a annoncé que les États-Unis, 2e plus gros émetteur mondial de gaz à effet de serre, n'enverraient aucun représentant de haut niveau à la COP30 qui se tient à Belèm au Brésil. Cette absence peut-elle avoir un impact sur les négociations ? Avec Stefanie Schüler, journaliste au service environnement-climat de RFI. Guerre en Ukraine : Kiev dit stop aux recrutements de combattants africains par Moscou Selon le ministère des Affaires étrangères ukrainien, Andrii Sybiha, 1 436 soldats africains de 36 nationalités différentes combattent sur le front en Ukraine pour le compte de la Russie. Quelle est la véracité de ce chiffre ? Comment ces recrutements s'organisent-ils ? Avec Lou Osborn, membre du collectif All Eyes on Wagner. Co-autrice de l'ouvrage « Wagner, enquête au cœur du système Prigojine » (éditions du Faubourg). Turquie : 37 mandats d'arrêt pour « génocide » contre des responsables israéliens Le parquet d'Istanbul a émis des mandats d'arrêt visant le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu et 36 autres responsables israéliens, les accusant de « génocide » et de « crimes contre l'humanité » dans le cadre des opérations militaires à Gaza. Quel est le poids de ces mandats d'arrêt alors que depuis un an la CPI demande l'arrestation de Benyamin Netanyahu ? Avec Lyna Ouandjeli, chercheuse à l'Institut européen d'études sur le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord (Eismena).
Imaginez : créer une marque avec sa meilleure amie, la voir devenir un phénomène mondial, puis devoir la reprendre en main pour lui redonner vie.C'est exactement l'histoire de Sharon Krief, cofondatrice de Ba&sh, une marque devenue emblématique du luxe accessible français.Avec son associée et amie Barbara Boccara, Sharon a bâti une aventure entrepreneuriale rare, faite d'intuition, d'audace et d'une fidélité inébranlable à leurs valeurs.Mais derrière le succès, il y a aussi les doutes, les virages et les décisions difficiles.Dans cet épisode, Sharon raconte sans détour les hauts et les bas de Ba&sh : la croissance fulgurante, les erreurs de rationalisation, le retour aux fondamentaux et surtout la reconquête de leur liberté créative.C'est une histoire de résilience, de leadership féminin, et de confiance retrouvéeL'histoire d'une femme qui prouve que la simplicité et l'instinct peuvent sauver même les plus grandes marques.Bonne écoute !Notes et références de l'épisode :Pour retrouver Sharon Krief :Sur LinkedinPour retrouver ba&sh : Sur leur siteSur InstagramSur LinkedInSur FacebookSur PinterestPour retrouver les livres recommandés par Sharon Krief : Le confident d'Hélène GrémillonL'Idiot de DostoïevskiBel Ami de Guy De Maupassant(liens affiliés Fnac)⏱ Chapitrage :00:00 – Introduction02:46 – Les débuts de ba&sh : une aventure d'amitié et d'intuition05:20 – Trouver sa place entre luxe et accessibilité09:30 – Grandir, déléguer et garder le contrôle14:00 – Créer un style unique 18:50 – La croissance internationale et ses défis22:40 – Quand tout s'emballe : la perte de confiance et de repères26:10 – Le retour aux sources : le “New Beginning” de ba&sh31:30 – Reprendre les rênes et rallumer la flamme37:00 – L'art de diriger avec le cœur et l'intuition43:00 – Trouver l'équilibre : sport, famille et leadership48:50 – Le crible du Podcast57:20 – Les livres recommandés par Sharon Krief#SharonKrief #Bash #ModeFrancaise #EntrepreneuriatFeminin #LeadershipFeminin #SuccessStory #PaulineLaigneau #PodcastBusiness #FashionBusiness #Resilience #LuxeAccessible #Inspiration #MarqueFrancaise #Creation #BusinessLifestyleVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
durée : 00:49:06 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - Aujourd'hui, dans Affaires Sensibles : le « scandale » des Paravents au théâtre de France. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Andrew Mountbatten Windsor, 65 ans. L'ex prince Andrew d'Angleterre, privé de ses titres alors qu'il est à nouveau sous la menace. Il croyait avoir échappé à la justice dans l'affaire du milliardaire pédophile Jeffrey Epstein, mais le livre posthume de Virginia Giuffre, son accusatrice, le replace au bord du précipice. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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✨ Ce dimanche, Sharon Krief nous raconte comment une intuition, une ambition et un choix audacieux ont transformé ba&sh en une marque mondiale. Une histoire de vision, de courage et de confiance absolue dans son équipe et dans son instinct !Retrouvez la suite dès lundi matin !Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
durée : 00:54:31 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaires Sensibles, l'effondrement des immeubles de la rue d'Aubagne à Marseille en 2018 ou la chronique d'une catastrophe annoncée. - réalisé par : Helene Bizieau Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'est une affaire à marquer d'une pierre noire dans la vie de Coluche. Un crime qui a empoisonné sa carrière jusque-là flamboyante, et fragilisé son existence. L'assassinat, à l'automne 1980, de son régisseur, René Gorlin. Un coup de tonnerre puisqu'à l'époque l'humoriste est candidat à l'élection présidentielle. Autant dire que la mort brutale de cet homme à tout faire et homme de confiance va faire couler beaucoup d'encre.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:54:47 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Christophe Barreyre - Ne l'appelez pas Malcolm Little. c'est le nom de son père, celui auquel il a répondu les 25 premières années de sa vie, celui qu'il aurait dû donner à ses enfants mais ce n'est pas son vrai nom… Malcolm X est noir. Little est le nom des Blancs qui gardaient sa famille en esclavage. - réalisé par : Marion Le Lay Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Il y a exactement quatre ans, dans la nuit du 7 mars 2020, Anthony Muroni, un styliste qui commençait à se faire un nom dans le milieu du prêt-à-porter et de la mode, mourrait après avoir été écrasé par une voiture sur une autoroute de Moselle. Toute l'allure d'un terrifiant et malheureux accident de la route. L'enquête aurait dû s'arrêter là mais la famille et les proches vont tout de suite s'interroger sur le scénario de ce décès et émettre des doutes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:59:32 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Sous prétexte de lutte contre le "narcoterrorisme", Donald Trump cible le Venezuela de Maduro et multiplie les frappes dans les Caraïbes, jusqu'à déployer la plus vaste flotte américaine depuis la crise de Cuba. Offensive contre la drogue ou nouvelle expression de l'impérialisme américain ? - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Maud Quessard Maître de conférences des universités, directrice du domaine Euratlantique à l'Institut de Recherche Stratégique de l'École Militaire (IRSEM); Kevin Parthenay Professeur des universités à Tours et membre de l'Institut Universitaire de France; Jean-Louis Martin Economiste Chercheur associé sur l'Amérique latine à l'Institut français des relations internationales (Ifri)
Pour la MASTERCLASS "FinTech les fondamentaux", c'est ici : http://bit.ly/3KFu9ocIn this episode, Bleuzenn Pech de Pluvinel, Managing director for Private Equity at Accenture, Leader within the Global Private Equity Practice, shares how technology and AI are reshaping the private equity industry from the inside out.We explore how the role of investors is shifting - from financial engineers to value creators - and how operational excellence, data, and digital capabilities are becoming the real differentiators in driving growth and returns.Key Topics:Bleuzenn's journey from public service to two decades in strategy consulting at Deloitte, BCG, and Accenture.How private equity has evolved from a purely financial model to one focused on operational transformation.The rise of operating partners inside funds - bridging strategy, execution, and expertise.Accenture's positioning: from due diligence to post-acquisition transformation.The growing impact of AI on portfolio company performance.How to “operationalize” AI: starting small with use case by use case.The integration of ESG criteria as true value levers, beyond compliance.The mid-market as a fertile ground for innovation and sustainable impact.A rich and forward-looking conversation about the new generation of private equity where strategy, technology, and purpose converge to redefine performance.Recommendation from Bleuzenn:
durée : 00:53:13 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Christophe Barreyre - Retour sur une histoire qui défraya la chronique dans les années 1990 : les mères de famille braqueuses de banques. - invités : Yaëlle Amsellem-Mainguy - Yaëlle Amsellem-Mainguy : Sociologue, chargée d'études et de recherche à l'Institut National de la Jeunesse et de l'Education Populaire (Injep) - réalisé par : Marion Le Lay Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:47:06 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le fermier Robert Pickton est le plus grand tueur en série du Canada et l'un des plus importants jamais recensés dans l'histoire du crime. Il a lui-même confié avoir tué quarante-neuf femmes, précisant qu'il avait pour objectif d'arriver à un chiffre rond de cinquante victimes. Des femmes qui ne réapparaissaient pas. Leurs corps étaient livrés aux cochons. Comment a-t-il pu échapper si longtemps à la police ?Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marguerite Lagrave, 78 ans, vieille dame gentille et affectueuse. Elle vivait seule dans un minuscule village du Béarn. Attaquée en pleine nuit, la gorge tranchée, un cambriolage bizarre et méticuleux. Douze ans pour que la lumière jaillisse sur un scénario qui avait échappé à tout le monde. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Aujourd'hui, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Patrick Sébastien, chanteur, imitateur et animateur à la personnalité singulière, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:48:16 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - Aujourd'hui dans Affaires Sensibles, Nordahl Lelandais, le tueur à l'Audi A3 Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Camille Kolber, 69 ans, riche retraité luxembourgeois, tué à coups de hache. Dans la chambre: un crucifix laissé à l'envers. On va se demander si Satan ne serait pas mêlé à l'affaire. A moins qu'il faille plutôt chercher dans la vie sentimentale agitée, et pour certains scandaleuse, de la victime. Un de ses amants aurait très bien pu s'en prendre à lui. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Camille Kolber, 69 ans, riche retraité luxembourgeois, tué à coups de hache. Dans la chambre: un crucifix laissé à l'envers, on va se demander si Satan ne serait pas mêlé à l'affaire. A moins qu'il faille plutôt chercher dans la vie sentimentale agitée, et pour certains scandaleuse, de la victime. Un de ses amants aurait très bien pu s'en prendre à lui. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:23:36 - 8h30 franceinfo - Jean-Noël Barrot, ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, était l'invité du "8h30 franceinfo" jeudi 6 novembre 2025. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Pour la MASTERCLASS "FinTech les fondamentaux", c'est ici : http://bit.ly/3KFu9ocThis is an excerpt of Solenne's conversation with Bleuzenn Pech de Pluvinel, Managing Director for private equity at Accenture.Finscale is also available on YouTube: https://www.youtube.com/@finscale.********************Finscale is much more than a podcast. It's an ecosystem that connects key players in the financial sector through networking, coaching, and strategic partnerships.
Aujourd'hui, je retrouve Georges Richard, CEO de L'Atelier du Vin, une maison familiale centenaire qui célèbre l'art de la dégustation à la française.À la veille de ses 100 ans, L'Atelier du Vin s'apprête à ouvrir un lieu exceptionnel au cœur de Paris, Place Saint-Sulpice, un showroom pensé comme une vitrine du savoir-faire, de l'élégance et de la convivialité autour du vin.Mais comment réussir le lancement d'un tel lieu ?Comment en faire un espace vivant, inspirant, durable et pas seulement un beau décor ?Dans cette leçon, j'aide Georges à définir une stratégie de lancement ambitieuse mais réaliste, à imaginer des événements qui incarnent l'âme de sa maison, et à transformer cette ouverture en une véritable expérience de marque.Une conversation passionnante sur le retail d'excellence, la cohérence de marque, et l'art de créer du lien avec ses clients.Bonne écoute ✨CHAPITRAGE 00:00 – Introduction02:22 – Georges présente L'Atelier du Vin et son projet de showroom03:35 – Comment réussir le lancement d'un lieu emblématique05:00 – Créer une dynamique durable plutôt qu'un effet « pschitt »07:10 – L'importance d'activer sa communauté sur plusieurs semaines09:30 – Petits événements vs. grand lancement : quelle stratégie adopter ?12:00 – S'associer à des marques complémentaires pour enrichir l'expérience14:10 – Quand et comment communiquer avant l'ouverture15:30 – Presse, influence, et événements en petits comités17:00 – « Retail is detail » : les clés d'une expérience client réussie18:40 – Trouver le ton juste pour incarner sa marque20:30 – Comment faire vivre la boutique dans le temps#LeçonDuMercredi #Entrepreneuriat #Retail #StratégieDeMarque #AtelierDuVin #ArtDeVivre #LuxeFrançais #BusinessConseils #MarketingPremium #ExpérienceClient #PaulineLaigneau #PodcastBusinessNotes et références de l'épisode Pour retrouver Georges RichardSur LinkedInSur son siteSur InstagramSur FacebookVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
durée : 00:48:15 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - Aujourd'hui dans Affaires sensibles : 1954, l'affaire des fuites. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 2 novembre 2025.Avec cette semaine :Akram Belkaïd, journaliste au Monde diplomatique.Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jean-Claude Douliery, un maçon au regard langoureux qui plaît beaucoup aux femmes. Séducteur dans l'âme, amoureux qui dissimule pourtant de la jalousie et une violence explosive. Une mante religieuse au masculin. Au fil des années, dans son sillage, au moins deux disparitions troublantes : une ex-petite amie et le mari d'une maîtresse. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jean-Claude Douliery, un maçon au regard langoureux qui plaît beaucoup aux femmes. Séducteur dans l'âme, amoureux qui dissimule pourtant de la jalousie et une violence explosive. Une mante religieuse au masculin. Au fil des années, dans son sillage, au moins deux disparitions troublantes : une ex-petite amie et le mari d'une maîtresse. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On l'a appris mardi soir, le Maroc décrète que le 31 octobre sera une nouvelle fête nationale. En effet, vendredi 31 octobre dernier, à New York, le Conseil de sécurité de l'ONU a voté une résolution qui prend position pour le plan d'autonomie du Sahara occidental présenté par le Maroc. Pourquoi l'Algérie n'a-t-elle pas pris part au vote ? Quelles sont les options politiques et militaires qui restent pour le Front Polisario ? La politologue Khadija Mohsen-Finan, spécialiste du Maghreb et membre du comité de rédaction de la revue Orient XXI, répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Khadija Mohsen-Finan, qu'est-ce qui change avec le vote de vendredi dernier au Conseil de sécurité ? En réalité, ça change beaucoup de choses, parce que c'est ce qu'attendaient les Marocains, c'est-à-dire la reconnaissance par la communauté internationale de ce que Hassan II appelait leur titre de propriété sur le Sahara. Et au moment où plusieurs États, comme les États-Unis, comme la France, comme la Grande-Bretagne, s'apprêtent à investir dans ce territoire, il fallait absolument dépasser, si vous voulez, le fait qu'on était dans un schéma colonial, puisque ce territoire était à décoloniser. Donc, il fallait sortir de ce schéma de colonisateurs et colonisés. Et c'est ce qui a été fait par le vote de vendredi dernier au Conseil de sécurité des Nations unies. Alors, on savait à l'avance que les Américains, les Anglais et les Français allaient voter pour ce plan d'autonomie proposé par le Maroc, mais on ne savait pas ce qu'allaient faire les Russes et les Chinois. Et c'est peut-être ça la nouveauté, non ? Alors les Russes et les Chinois, disons que le ministre marocain des Affaires étrangères Nasser Bourita s'est rendu à Moscou et les Marocains ont eu l'assurance que les Russes pouvaient tout à fait ne pas leur tenir rigueur de la situation. Et très probablement, la dernière mouture du texte de la résolution a été faite pour que les Russes et les Chinois puissent justement s'abstenir et ne pas voter contre, en y ajoutant le terme de « autodétermination ». Ça, c'est très précieux pour les Russes, c'est très précieux pour les Chinois. Mais j'ajouterai que, depuis quelques années, les Russes entretiennent de très bonnes relations avec le Maroc. On n'est plus du tout dans le schéma de la guerre froide. Et c'est donc la première fois que Moscou et Pékin ne disent pas non à un texte qui « estime qu'une véritable autonomie sous souveraineté marocaine pourrait représenter la solution la plus réalisable » au Sahara occidental ? Absolument. Alors maintenant, on peut s'attendre justement à ce que Russes et Chinois soient attentifs au type d'autonomie qui va être mise en place par le Maroc dans cette région. À lire aussiSahara occidental: le Conseil de sécurité de l'ONU apporte son soutien au plan marocain Pourquoi l'Algérie, qui est membre cette année du Conseil de sécurité, a refusé de prendre part au vote de vendredi ? Alors ça reste quand même très surprenant. Très probablement parce que l'Algérie veut revenir sur la scène régionale et internationale, qu'elle compte beaucoup sur un partenariat économique et stratégique avec Washington, avec les États-Unis et que finalement, elle a peut-être accepté d'être dans ce que certains pourraient appeler la realpolitik. Mais c'est malgré tout une manière de tourner le dos au Front Polisario, à l'autodétermination qu'elle a portée quand même depuis 50 ans. Peut-on parler d'un début de lâchage du Polisario par l'Algérie ? Très probablement parce que, si vous voulez, s'il y a une sortie honorable par ce texte de résolution, personne ne sait ce que vont devenir aujourd'hui les Sahraouis de Tindouf, ce que va devenir la cause sahraouie. Personne n'en parle et je ne pense pas du tout qu'ils vont continuer à être parrainés à être protégés par Alger. Et c'est bien leur inquiétude d'ailleurs. Et dans les dernières déclarations du Front Polisario, on peut entrevoir malgré tout un désespoir. Le ministre des Affaires étrangères du Front Polisario affirme que son mouvement n'acceptera le plan marocain que si la population sahraouie le valide par référendum. Oui, c'est ce qu'il avait dit. Mais si vous voulez, on ne peut pas donner de traduction réelle à ses propos, puisque le Front Polisario seul ne peut pas affronter le Maroc. Et de toutes les manières, il devait attendre l'autorisation d'Alger pour agir sur le plan militaire. Aujourd'hui, vous dites que la balle est dans le camp du Maroc qui doit préciser, qui doit détailler son plan d'autonomie, c'est ça qu'il doit faire ? Peut-être des concessions politiques aussi ? C'est ce que lui impose l'application d'une autonomie réelle. Aujourd'hui, l'autonomie réelle, si on voulait l'appliquer au Maroc, le schéma politique marocain ne le permettrait pas. Il faut qu'il y ait un schéma de décentralisation et de démocratisation de ce pays pour que l'autonomie puisse s'instaurer. Mais ce sont beaucoup de questions. On ne sait pas ce qui va se passer au niveau national marocain et au niveau régional, pour qu'il y ait véritablement une autonomie et que les Sahraouis puissent trouver leur place. À lire aussiLes Marocains fêtent dans les rues la résolution de l'ONU sur le Sahara occidental
Otages français en Iran : Cécile Kohler et Jacques Paris, retenus en Iran depuis mai 2022, sont sortis de prison après plus de 3 ans de détention. Jean-Noël Barrot, ministre des Affaires étrangères, est l'invité de RTL Matin. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 05 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Le 31 octobre 2013, Véronique Pirotton est retrouvée morte dans la salle de bain de la chambre d'hôtel qu'elle occupe avec son époux à Ostende. Son mari, Bernard Wesphael, député Wallon, assure qu'il s'agit d'un suicide et a été acquitté du meurtre.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:48:00 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - Aujourd'hui dans Affaires sensibles, « Jack Kerouac, au bout du rouleau » Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans la Sierra Nevada, un étrange massacre dans un chalet au milieu des bois. Une mère de famille et deux adolescents tués à coups de marteau et de couteau. Une quatrième victime, douze ans, enlevée par les meurtriers. Des crimes sans mobile même si l'expédition était parfaitement préparée. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans la Sierra Nevada, un étrange massacre dans un chalet au milieu des bois. Une mère de famille et deux adolescents tués à coups de marteau et de couteau. Une quatrième victime, douze ans, enlevée par les meurtriers. Des crimes sans mobile même si l'expédition était parfaitement préparée. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imaginez un petit garçon qui quitte l'Algérie avec sa famille au moment de l'indépendance.Il a 10 ans, à peu près, ses parents sont boulangers et ils s'installent dans le sud de la France. Un nouveau départ, sans fortune, ni réseau. Quelques années plus tard, ce petit garçon devenu étudiant se heurte à un mur. Malgré ses diplômes, il choisit de faire ophtalmo, audioprothésiste.Personne ne veut l'embaucher. Trop jeune, pas assez expérimenté, il n'a pas de réseau, alors presque par défaut, il décide d'ouvrir sa propre boutique.C'est en 1972 et sans le savoir, Alain Afflelou est en train de poser les premières pierres d'un empire.En 50 ans, il a cassé les codes : des blouses blanches à la mode, des pubs cultes pour ne pas citer : “Il est fou Afflelou”, et surtout un modèle de franchise visionnaire qui inspire encore aujourd'hui.Dans cette conversation, on a parlé de son enfance marquée par le courage de ses parents, de ses débuts difficiles, de son flair marketing, mais aussi de sa vision du travail, de la confiance et de la transmission.C'est une plongée rare dans l'esprit d'un homme qui n'a jamais cessé de créer, d'innover et de croire que rien n'est impossible à ceux qui rêvent assez grand.Bonne écoute !Notes et références de l'épisode :Pour retrouver Alain Afflelou :Sur le site d'AfflelouPour retrouver Lionel Afflelou : Sur LinkedInPour retrouver Anthony Afflelou : Sur LinkedIn⏱ Chapitrage :00:00 – Introduction02:52 – L'amour et les valeurs transmis par ses parents09:00 – Ses débuts à Bordeaux et son premier magasin sans argent13:30 – L'ouverture du deuxième magasin et les premiers défis18:00 – Le conflit avec le syndicat et la naissance d'une idée révolutionnaire22:00 – La première publicité “On est fou d'Afflelou” : un tournant historique28:30 – La création du modèle de franchise et le succès fulgurant35:00 – L'art du marketing et des slogans cultes40:00 – Les clés de son management et le rôle de l'intuition47:00 – La cession du groupe et la transmission à ses enfants54:00 – Ses leçons de vie : humilité, bon sens et persévérance58:50 – Le crible du Podcast#AlainAfflelou #EntrepreneurFrancais #SuccessStory #Franchise #Inspiration #Leadership #BusinessFrancais #Optique #Marketing #Publicite #PaulineLaigneau #PodcastBusiness #Innovation #LuxeFrancais #ReussiteVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
durée : 00:48:24 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - Aujourd'hui dans Affaires sensibles : Aramburu, un rugbyman pris au piège des « gentlemen fascistes ». Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Vjeran Tomic, surnommé l'homme araignée. Un cambrioleur escaladeur comme on en voit seulement dans les séries télé. Plus de quinze ans avant le Louvre, il a commis un vol entré dans l'histoire criminelle. Cinq tableaux de maître dérobés au musée d'Art Moderne de Paris. Un scénario spectaculaire, et des arrestations mais peu de réponses. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vjeran Tomic, surnommé l'homme araignée. Un cambrioleur escaladeur comme on en voit seulement dans les séries télé. Plus de quinze ans avant le Louvre, il a commis un vol entré dans l'histoire criminelle. Cinq tableaux de maître dérobés au musée d'Art Moderne de Paris. Un scénario spectaculaire, et des arrestations mais peu de réponses. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
✨ Ce dimanche, je vous emmène à la rencontre d'un visionnaire : Alain Afflelou.Il revient sur la naissance de sa marque, sur ce nom qu'il n'aimait pas au départ, et sur cette idée folle qui allait tout changer, se mettre lui-même en scène. Une leçon d'audace, d'instinct et de flair !La suite dès lundi matin !Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
durée : 00:49:33 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaires sensibles : la chute de l'opération Barkhane. - réalisé par : Frédéric Milano Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 2 novembre 2025.Avec cette semaine :Akram Belkaïd, journaliste au Monde diplomatique.Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.BILAN DE L'EXAMEN DU PLFLes députés ont commencé le 24 octobre l'examen de la partie recettes du projet de loi de finances (PLF), à l'Assemblée nationale.Après les trois premiers jours de débat à l'Assemblée nationale, les députés ont dégradé d'environ 4 Mds d'€ l'équilibre de la copie initiale. Lundi, la hausse de 2 Mds d'€ de la surtaxe sur les bénéfices des grandes entreprises a été votée à l'initiative du gouvernement, mais contre son camp. Les députés ont également adopté une mesure plus favorable aux entreprises, en votant l'article 11 du PLF, qui prévoit de reprendre l'an prochain la baisse de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises, dont l'exécutif souhaite la suppression progressive pour « soutenir la dynamique de réindustrialisation ». Mercredi, les députés ont continué à détricoter la copie budgétaire du gouvernement avec l'adoption de deux amendements déposés par LFI : l'un pour élargir le champ d'application de l'impôt minimum de 15% sur les bénéfices des multinationales, l'autre pour instaurer une taxe exceptionnelle sur les superdividendes. De son côté, le RN a fait adopter grâce à l'abstention de la gauche une taxe de 33% sur les rachats d'actions qui, selon lui, rapporterait 8 Mds d'€. Face à ces revers pour le gouvernement, le bloc central a dénoncédepuis mardi une « surenchère fiscale ». Vendredi, l'article 3 du projet de loi sur le budget : la taxation des holdings a été adoptée par 224 députés, contre 10. La gauche s'est abstenue. La taxe Zucman sur les très hauts patrimoines a été largement rejetée, ainsi que sa version allégée, malgré la pression du PS. Vendredi soir, les députés ont lesté le budget Lecornu près de 45Mds€ de taxes supplémentaires (notamment la taxation proportionnelle des multinationales : 25Mds€, l'extension de la taxe sur les rachats d'actions : 8Mds€, la surtaxe de l'Impôt sur les Sociétés : 6Mds€, et dans la nuit un impôt sur la fortune improductive ...) Le Premier ministre a annoncé de nouvelles discussions avec les différents groupes parlementaires durant ce week-end. Les débats reprendront lundi.Les députés arrêteront leurs discussions sur le PLF lundi soir, avant de s'attaquer au projet de loi de financement de la Sécurité sociale à partir de mardi. Après son vote, prévu le 12 novembre, les débats pourront reprendre sur les recettes de l'État, pour enchaîner sur la deuxième partie du PLF, concernant les dépenses. Les projets de loi de finances et de financement de la sécurité sociale doivent être adoptés avant le 31 décembre. Les délais sont serrés, entre promesse de ne pas recourir au 49-3 et débats sur la réforme des retraites.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:55:12 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui, dans Affaires Sensibles, nous braquons notre regard sur un homme, Fernand Iveton, qui a le triste privilège d'avoir été le seul Français guillotiné pendant la guerre d'Algérie. - réalisé par : Frédéric Milano Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.