village in South Khorasan, Iran
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Del Ghurburrun conseille de donner un calmant à votre animal avant les pétarades afin de réduire son anxiété by TOPFM MAURITIUS
La Suisse est un pays prospère qui dispose d'un système de sécurité sociale bien développé. Pourtant, la pauvreté y est aussi présente. Environ 8% de la population suisse vivent avec un revenu inférieur au minimum vital. L'objectif de réduction de la pauvreté dans le pays n'est donc pas encore atteint. Tel est le constat du premier rapport du monitoring national de la pauvreté que le Conseil fédéral a adopté lors de sa séance du 26 novembre 2025. Afin de venir en aide aux personnes dans le besoin, l'action "2x Noël" est organisée conjointement par la Croix-Rouge Suisse (qui assure avec de très nombreux bénévoles le tri des colis et leur redistribution aux plus démunis), SRG SSR (qui assure la couverture médiatique de l'opération), la Poste Suisse (qui assure le volet logistique et l'acheminement des colis) et Coop (qui soutient l'action par des dons de marchandises). Pour la 29ème édition de 2x Noël, les colis estampillés « 2x Noël » seront collectés dans les offices postaux puis envoyés gratuitement du mercredi 24 décembre 2025 au dimanche 18 janvier 2026 mais il sera aussi possible d'acheter, dès le 26 décembre et jusqu'au 14 janvier, des colis tout prêts dans certains grands magasins Coop. De plus, des dons en ligne sont en tout temps faisables sur le site de l'action: www.2xnoel.ch.
Afin de faire gagner un voyage à un auditeur, les Grosses Têtes se lancent dans un concours d'histoires drôles. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Afin de terminé l'année en beauté sur Tsugi Radio, une ancienne tête fait son apparition derrière les platines, c'est le bon Roylee pour un set "ambient" de Noël pour vous accompagner lors des fêtes de fin d'années. Idéale avec des blinis !
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Aujourd'hui, nous sommes le dimanche 21 décembre, de la quatrième semaine du temps de l'Avent.Le passage d'Évangile que nous entendons présente l'accueil de Jésus par Joseph. Afin de pouvoir, moi aussi, recevoir ce que le Seigneur veut me dire, je prends le temps de faire silence intérieurement, d'apaiser ma respiration. Je demande au Seigneur la grâce d'écouter son Esprit,... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Aduman de Suzanne Teng interprété par Suzanne Teng - Enchanted Winds © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes ; Magnificat de Communauté de Taizé interprété par Communauté de Taizé - Ô toi, l''au-delà de tout © Communauté de Taizé.
Afin de terminé l'année en beauté sur Tsugi Radio, une ancienne tête fait son apparition derrière les platines, c'est le bon Roylee pour un set "ambient" de Noël pour vous accompagner lors des fêtes de fin d'années. Idéale avec des blinis ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Intervention de Muhammad Vâlsan le 14 décembre 2025 Cher public de Conscience Soufie, Du mois d'octobre au mois de décembre 2025, Conscience Soufie organise un cycle en hommage à René Guénon. En consacrant ce cycle à René Guénon, Conscience Soufie est heureuse de mettre à l'honneur cet homme d'exception, inspirateur de plusieurs générations de chercheurs de Vérité. «René Guénon et la voie initiatique islamique» Initié vers 1910 à l'ésotérisme islamique (tasawwuf), René Guénon facilita l'accès des Occidentaux à cette voie d'initiation et d'accomplissement spirituel encore vivante et opérative. Figure parmi eux Michel Vâlsan (m. 1974) qui, inspiré par les écrits de René Guénon, embrassa à son tour l'islam en 1936. Sur les instructions de ce dernier, il fut chargé de fournir une méthode initiatique en parfait accord avec les règles islamiques. Afin d'opérer la transposition de l'exposé doctrinal guénonien, exprimé en mode universel, dans le cadre particulier de l'islam, Michel Vâlsan s'appuiera sur l'œuvre d'Ibn ‘Arabî. À cet effet, il traduira et commentera nombre d'écrits akbariens dans la revue « Études traditionnelles » créée par René Guénon, dont il deviendra le directeur littéraire. Au cours de cette conférence, Muhammad Vâlsan évoquera le lien entretenu entre ces deux maîtres spirituels ainsi que leur attachement à une méthode initiatique soufie adaptée à l'Occident. Muhammad Vâlsan est le fils de Michel Vâlsan (Cheikh Mustafâ ‘Abd al-‘Azîz) grand interprète d'Ibn ‘Arabî en Occident. Directeur des éditions Science sacrée, il vient de publier un premier tome sur l' « Œuvre complète de Michel Vâlsan – Textes publiés dans les Études Traditionnelles de 1948 à 1953 ». A l'instar de son père, il poursuit un travail de transmission basée principalement sur l'enseignement de René Guénon (Cheikh ‘Abd al-Wâhid Yahyâ). Sa connaissance des saintes écritures et des textes inspirés dans leurs structures particulières lui permet d'aborder certaines de leurs applications possibles dans le domaine des sciences et des arts. Il en donne régulièrement un aperçu aux étudiants de l'École Nationale d'Architecture de Marrakech (ENAM) où il est enseignant. Investi dans le dialogue inter-religieux, il participe à de nombreuses conférences internationales. Pour plus d'informations visitez notre site: https://consciencesoufie.com/
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6 conseils pour ne pas se mettre en difficulté devant le jugeFace au contrôle coercitif, la justice n'agit pas sur des impressions, mais sur des preuves.Dans cet extrait, je partage 6 conseils essentiels pour construire un dossier solide et éviter que la situation ne se retourne contre vous :✔ Consulter un psychologue formé aux violences intrafamiliales ✔ Contacter le SAPV avant toute plainte (service d'aide aux victimes de la police) ✔ Documenter chaque fait, même minime✔ Rester factuelle, précise et et chronologique dans le récit✔ Être accompagnée par un avocat formé✔ Garder en tête que la justice agit sur les preuvesBonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En Afghanistan, le changement climatique est désormais la première cause de déplacement interne. Le pays compte plus de 500 000 déplacés liés aux crues et à la sécheresse, et près de dix millions de personnes sont impactées par le réchauffement climatique, ce qui aggrave la crise humanitaire, déjà très profonde. Les causes sont à la fois des catastrophes ponctuelles, mais aussi l'effet à long terme de la sécheresse. Lorsqu'ils sont arrivés au pouvoir en 2021, les talibans ont relancé l'ambitieux chantier du canal de Qosh Tepa, destiné à irriguer les provinces du nord. Mais certains villages, comme celui de Bulaku dans la province de Balkh, en sont exclus. De notre envoyée spéciale à Bulaku, Les petites maisons de terre se dressent au loin et se confondent avec la terre ocre et aride. Quelques ânes demeurent çà et là, épars. Afin d'abreuver leurs animaux, les villageois ont creusé des réservoirs dans la roche. Un petit groupe d'hommes s'est rassemblé autour. Les femmes se chargent de récupérer l'eau quand il y en a. Le système fonctionne comme un puits. Muhammad, l'un des paysans du village, producteur de blé, commente les difficultés auxquelles il doit faire face : « Depuis 10-15 ans, le climat change et la situation ne fait qu'empirer. Ces dernières années, la sécheresse ne fait que s'aggraver, et nous n'avons pas d'eau. Disons que nous avons de l'eau la moitié de l'année, au maximum. Le reste de l'année, nous n'en avons pas. Ça devient très difficile de s'approvisionner en eau, il faut aller la chercher très loin, et les routes sont vétustes. Elles sont poussiéreuses et cahoteuses, donc rapporter de l'eau n'est pas aisé. » Pour les habitants de Bulaku, récupérer de l'eau implique de marcher plusieurs heures sous le soleil harassant. La mission dure toute une journée. Le manque d'eau affecte aussi les récoltes et entraîne appauvrissement et insécurité alimentaire : « Comme l'eau, nos récoltes nous permettent de survivre six mois. Les six mois de l'année restants, nous sommes obligés de quitter le village, d'aller dans les villes, d'essayer de trouver un autre travail, au moins pour pouvoir manger jusqu'à l'année suivante, déplore Muhammad. Nous sommes autosuffisants pour six mois, ensuite il faut trouver une autre manière de se nourrir. » À lire aussiL'Afghanistan en proie à une sécheresse sans précédent À la recherche d'eau et de meilleures cultures En conséquence, nombreux sont les habitants à avoir tenté leur chance ailleurs. « Beaucoup de gens sont partis à la recherche d'eau et de meilleures cultures. Ils se sont installés dans d'autres localités, voire dans d'autres pays. Environ 150 familles sont parties d'ici, constate Muhammad. Chaque famille compte entre cinq et sept personnes. La majorité des personnes sont parties parce que c'est impossible, c'est vraiment trop difficile de vivre ici. Dans le village, on voit que les maisons sont partiellement détruites parce que plus personne ne vit ici. Abdul s'est installé dans un autre village, Sitchtemal : « J'ai tout essayé pour nourrir ma famille : j'ai travaillé dans les champs, comme ouvrier sur des chantiers. J'ai fait tout ce que je pouvais, mais l'expérience s'est mal terminée. Nous n'avions pas d'endroit pour vivre, donc nous sommes revenus ici, il y a deux ans. Mais nous souffrons toujours. Il ne pleut jamais. J'essaie de trouver des boulots journaliers. » Pour survivre financièrement, Abdul a fini par marier l'une de ses filles. Elle avait huit ans. À lire aussiAfghanistan: faits marquants de quatre années de régime taliban
En Afghanistan, le changement climatique est désormais la première cause de déplacement interne. Le pays compte plus de 500 000 déplacés liés aux crues et à la sécheresse, et près de dix millions de personnes sont impactées par le réchauffement climatique, ce qui aggrave la crise humanitaire, déjà très profonde. Les causes sont à la fois des catastrophes ponctuelles, mais aussi l'effet à long terme de la sécheresse. Lorsqu'ils sont arrivés au pouvoir en 2021, les talibans ont relancé l'ambitieux chantier du canal de Qosh Tepa, destiné à irriguer les provinces du nord. Mais certains villages, comme celui de Bulaku dans la province de Balkh, en sont exclus. De notre envoyée spéciale à Bulaku, Les petites maisons de terre se dressent au loin et se confondent avec la terre ocre et aride. Quelques ânes demeurent çà et là, épars. Afin d'abreuver leurs animaux, les villageois ont creusé des réservoirs dans la roche. Un petit groupe d'hommes s'est rassemblé autour. Les femmes se chargent de récupérer l'eau quand il y en a. Le système fonctionne comme un puits. Muhammad, l'un des paysans du village, producteur de blé, commente les difficultés auxquelles il doit faire face : « Depuis 10-15 ans, le climat change et la situation ne fait qu'empirer. Ces dernières années, la sécheresse ne fait que s'aggraver, et nous n'avons pas d'eau. Disons que nous avons de l'eau la moitié de l'année, au maximum. Le reste de l'année, nous n'en avons pas. Ça devient très difficile de s'approvisionner en eau, il faut aller la chercher très loin, et les routes sont vétustes. Elles sont poussiéreuses et cahoteuses, donc rapporter de l'eau n'est pas aisé. » Pour les habitants de Bulaku, récupérer de l'eau implique de marcher plusieurs heures sous le soleil harassant. La mission dure toute une journée. Le manque d'eau affecte aussi les récoltes et entraîne appauvrissement et insécurité alimentaire : « Comme l'eau, nos récoltes nous permettent de survivre six mois. Les six mois de l'année restants, nous sommes obligés de quitter le village, d'aller dans les villes, d'essayer de trouver un autre travail, au moins pour pouvoir manger jusqu'à l'année suivante, déplore Muhammad. Nous sommes autosuffisants pour six mois, ensuite il faut trouver une autre manière de se nourrir. » À lire aussiL'Afghanistan en proie à une sécheresse sans précédent À la recherche d'eau et de meilleures cultures En conséquence, nombreux sont les habitants à avoir tenté leur chance ailleurs. « Beaucoup de gens sont partis à la recherche d'eau et de meilleures cultures. Ils se sont installés dans d'autres localités, voire dans d'autres pays. Environ 150 familles sont parties d'ici, constate Muhammad. Chaque famille compte entre cinq et sept personnes. La majorité des personnes sont parties parce que c'est impossible, c'est vraiment trop difficile de vivre ici. Dans le village, on voit que les maisons sont partiellement détruites parce que plus personne ne vit ici. Abdul s'est installé dans un autre village, Sitchtemal : « J'ai tout essayé pour nourrir ma famille : j'ai travaillé dans les champs, comme ouvrier sur des chantiers. J'ai fait tout ce que je pouvais, mais l'expérience s'est mal terminée. Nous n'avions pas d'endroit pour vivre, donc nous sommes revenus ici, il y a deux ans. Mais nous souffrons toujours. Il ne pleut jamais. J'essaie de trouver des boulots journaliers. » Pour survivre financièrement, Abdul a fini par marier l'une de ses filles. Elle avait huit ans. À lire aussiAfghanistan: faits marquants de quatre années de régime taliban
Plus de 8 000 enfants sont diagnostiqués gravement malades en France chaque année. Afin de leur permettre d'échapper à leur quotidien pesant, l'association Make A Wish réalise leur vœux, comme chanter avec leur personnalité préférée. Elle est soutenue par Dift, solution qui propose aux particuliers et entreprises des cadeaux solidaires. ----------------------------------------------------------------------- SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsable SMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
En 1989, naissait au Québec le Superclub Vidéotron, un véritable empire de la location de films et de jeux vidéo qui allait mener à l'ouverture de plus de 150 succursales à travers la province. Dans cette même lancée, les boutiques Microplay voient le jour. Celles-ci appartiennent à Québécor Média, propriétaire du diffuseur Vidéotron et, par extension, des centres de location Superclub Vidéotron. Durant plus de vingt ans, Superclub Vidéotron et Microplay ont connu une forte croissance et ont occupé une place importante dans l'industrie du divertissement québécois.Cependant, l'arrivée des plateformes de diffusion en continu a rapidement bouleversé le marché. Ces services ont rendu les modèles de location physique obsolètes, provoquant une lente mais inévitable chute des Superclub Vidéotron… et, étonnamment, celle des boutiques Microplay. Pourtant, contrairement aux Superclubs, les Microplay ne faisaient aucune location de jeux vidéo : leur modèle reposait entièrement sur la vente au détail. Alors, comment expliquer leur disparition, alors que des commerces tels que EB Games, Rétro MTL, La Planque Jeux Vidéo, Flip Jeux Vidéo, Le Coin Game Over et plusieurs autres continuent de prospérer?Afin de mieux comprendre les causes de cette disparition, Marc reçoit deux invités particulièrement bien placés pour en discuter.• Joanie Benoit, qui a travaillé pendant de nombreuses années chez Microplay, gravissant les échelons de conseillère à gérante, et ayant vécu de l'intérieur le déclin des boutiques.• Michael Laflamme, propriétaire de Le Coin Game Over à Saint-Hubert, de retour pour une seconde participation au BlaBla Royal. Concurrent direct des Microplay pendant plusieurs années, il apporte son regard d'exploitant indépendant sur ce phénomène.Ensemble, Marc et ses invités reviennent sur l'histoire des boutiques Microplay, analysent les raisons de leur disparition et discutent de l'évolution du marché du jeu vidéo au Québec, entre nostalgie, réalités économiques et changements irréversibles dans les habitudes de consommation.
Voici l'un des beaux livres les plus joyeux qu'on puisse offrir à Noël. Armelle Leroy et Laurent Chollet publient « Nos trente glorieuses » chez Albin Michel. Afin de ne pas verser dans une béate nostalgie, les auteurs ont finement choisi de préciser, sur la couverture de leur ouvrage : « C'était mieux avant, mais pas pour tout le monde ». Une leçon de sagesse, puisque les guerres coloniales et de très rudes combats politiques ont marqué les années cinquante et soixante. Mais cela n'interdit pas de reconnaître, au fil de pages richement illustrées, combien l'optimisme a bercé cette époque aujourd'hui révolue.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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▶ Monte le Son, le podcast # 104 En 1980, l'entreprise Roland sort la TR-808. Cette boîte à rythmes va révolutionner le monde de la musique, et en particulier le hip-hop. Jusque-là, ce genre naissant s'appuyait sur des reprises disco-funk exécutées par des musiciens. Mais la décennie 80 marque l'arrivée de nombreuses machines (drum machine, sampler, workstation, etc.) qui vont permettre au hip-hop de créer un son distinctif : TR-808 donc, mais aussi Oberheim DMX, Linndrum, E-MU SP-12 puis SP-1200, Akai S950, MPC 60, Roland ASR10, l'Atari avec Cubase... C'est cette histoire que racontent Real Muzul et Da Cockroach dans leur récent livre "Here come the drums", publié chez Marabout. En plus de présenter en détail les machines, leurs spécificités et le contexte de leur création, les auteurs sont partis à la rencontre de 70 compositeurs/beatmakers pour qu'ils racontent leur rapport à ces machines, et leur histoire du hip-hop. Le casting est d'ailleurs dingue : Akhenaton, Dee Nasty, Sulee B Wax, Zoxea et Melopheelo, Rocé, Pone, Guts, Cut Killer, Man Parrish, ou encore le génial inventeur Roger Linn ! Afin de rendre hommage à ce beau travail, Salman et Daz ont convié Muzul à venir présenter "Here come the drums". Et il est venu accompagné de deux musiciens de légendes : Nikkfurie, rappeur et beatmakers du groupe de rap La Caution, et Faster Jay, DJ et pionnier du hip-hop qui a accompagné New Generation MC et Alliance Ethnik. N'hésitez pas à naviguer entre les chapitres en fonction de vos intérêts ! ▶ Sommaire : 01:23 Présentation de Muzul 04:04 Présentation de Nikkfurie 08:17 Présentation de Faster Jay 16:23 Présentation du livre 19:18 La passion des machines 26:30 La révolution TR-808 44:18 Le hip-hop, une musique électronique 58:43 La SP12 et l'arrivée des samplers 1:17:38 Le miracle MPC 60 1:26:24 Détournement de son… 1:29:21 Une simple copie des américains ? 1:42:00 Quelle est la reine des machines ? 1:44:10 Atari + Cubase, les prémices de la MAO 1:58:08 Et aujourd'hui ? 2:10:46 Recommandations ▶ La playlist des reco : https://open.spotify.com/playlist/39BlEIIxhGNmUfNkjkNY6M?si=21ab521b99e548fb (les autres plateformes arrivent bientôt) Technique : La Bouclette Montage : François Brétéché
A l'approche de la fin de l'année, trois textes importants sont en discussion, en France ou au niveau européen, avec des enjeux majeurs pour les entreprises :Le projet de loi de finances pour 2026Les propositions de simplification législative « Omnibus », qui portent à la fois sur la directive CSRD et la directive CS3D relative au devoir de vigilance.Afin d'aider les entreprises à y voir plus clair, nous avons réuni au micro trois associées KPMG :Marie-Pierre Hôo, Directrice de la Doctrine fiscale de KPMG AvocatsSarah Bagnon, Présidente de la Commission durabilité de la CNCCJulie Bellesort, Avocate au sein du Département ‘'compliance'' de KPMG Avocats.
Au Congo-Brazzaville, les petites et moyennes entreprises ont beaucoup de peine à se financer pour croître et investir. Afin de les soutenir, la Société financière internationale (SFI), filiale de la Banque mondiale pour le secteur privé, a accordé à Bank of Africa-Congo un prêt de 14,5 milliards de francs CFA (quelque 21 millions d'euros) qui doit donc servir à financer les entreprises locales. Avec notre correspondant à Brazzaville, Un certain nombre de PME dans la cible et qui devraient bénéficier de prêts font déjà des projets. Ilithe Ongania dirige depuis neuf ans le Système d'observation et de reconnaissance aéroterrestre et maritime ou SORAM. Aux yeux de ce patron de PME, la ligne de financement allouée par la SFI à Bank of Africa-Congo sera bénéfique, car au Congo-Brazzaville, les PME reçoivent encore assez peu de soutien. « Nous, les jeunes entreprises, nous avons besoin de grandir. Et, pour grandir, vous avez besoin d'un levier. Les leviers, il y en a beaucoup, mais le plus important généralement, c'est le financement. Dans la culture des banques commerciales de notre environnement, il est très difficile d'avoir accès à des crédits d'investissement », explique ce patron. Une frilosité des banques qui « freine le développement de nos entreprises ». Cet acteur espère que ce financement de la SFI va créer des opportunités pour « développer l'entreprise, devenir plus grand, investir parce qu'il y a un besoin de faire beaucoup plus d'investissements, afin de répondre aux différentes demandes qui sont là. » Au moins 10% des financements pour les femmes entrepreneuses Acquérir davantage de drones est l'un des objectifs de Soram, qui tient à satisfaire les besoins de ses différents clients. Selon les signataires de l'accord de prêt, au moins 10% seront dédiés aux entreprises dirigées par des femmes. Ce dont se réjouit Francine Nzamba, directrice générale de l'entreprise FN2 plus, qui exerce dans le graphisme et l'imprimerie. « Dans ce pays, il y a quand même des femmes qui entreprennent, mais nous ne sommes pas entendues. Nous voulons avoir une place, prendre une place dans l'économie congolaise. Si les banques commencent à nous accompagner dans notre développement, ça ne peut être qu'une bonne chose pour nous », lance-t-elle. Promotrice de la société Glacy Congo, spécialisée dans la transformation des fruits congolais en glaces, Christine Matondo connaît des difficultés d'approvisionnement en énergie, et elle fait déjà des projets. « J'espère qu'avec ce prêt, on va pouvoir passer aux panneaux solaires ; gagner en indépendance vis-à-vis de l'énergie. Je suis très confiante parce que je suis déjà bénéficiaire des services de la Bank of Africa », se félicite-t-elle. Les prêts vont jusqu'à 50 millions de francs CFA, l'équivalent de 76 000 euros, remboursables sur deux ans. Le taux d'intérêt, aux environs de 10%, est jugé satisfaisant par ces PME, qui n'obtiennent que très rarement un crédit. À lire aussiDévelopper les PME en Afrique: le défi de l'investissement
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« Va, prends une femme prostituée et des enfants de prostitution »: c'est ce que l'Éternel ordonne à Osée au chapitre 1. Mais pourquoi donc demander une telle chose ? C'est la question que s'est posé l'auteur de la question du jour. Peut-être vous la posez-vous aussi en lisant ce résumé. Afin d'y répondre, Florent replace ce récit dans son contexte, approfondit la portée des instructions données par Dieu à Osée et montre comment elles se trouvent être en réalité cohérentes avec les vertus de Dieu plutôt que de s'y opposer.
Les data centers représentent 2 % de la consommation d'électricité en France et cela pourrait doubler d'ici 2030. Afin de rendre ce secteur plus sobre, Digital Reality conçoit des centres qui ont une consommation d'eau en cycle fermé et publie sa feuille de route RSE. ----------------------------------------------------------------------- SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsable SMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
Vanessa votre escapade urbaine du jour nous emmène à Stockholm. La suède est le premier pays disponible sur prescription médicale…Mieux que des médicaments. Je vous donne à chacun votre ordonnance. Celle que les médecins suédois remplissent pour choisir le traitement le plus adapté aux besoins des patients : autour de cette table je sais a qui on prescrirait le vélo en forêt et la fika- ce rituel quotidien cher aux suédois- on prend le temps d'une pause-café pour ralentir. Alors si ça vous amuse cette ordonnance vous pouvez la télécharger. Je mettrai le lien sur le site. Qui sait ça arrivera peut-être un jour en France. En tout cas ce qui est sûr : la nature a des bienfaits sur la santé mentale et physique. Reconnus par les scientifiques. : Une des raisons pour laquelle La suède est selon l'ONU l'un des pays les plus heureux du monde. La nature est partout et même à Stockholm On peut profiter de son Archipelago trail. 30 000 ilots, et plusieurs spots verts en ville. Mon préféré, qui est aussi celui d'un des professeurs en bonheur les plus connus au monde Micael Dahlén. C'est l'ile de Djugarden. Ambiance campagne avec des Musées – Du Musée en plein air de Skansen au Musée Abba au Vrak et avec de grandes balades nature et de belles rencontres avec la faune aussiUn bon mélange de nature et de culture ; culture qui elle aussi participe au bien être … Une idée à nous conseiller ?Immanquable en décembre : C'est la 5 -ème édition, c'est gratuit et ça se déroule en plus pendant la semaine de la Sainte Lucie, la fête de la lumière : La Nobel Weeks Lights : un festival d'art lumineux orignal. Les artistes et les designeurs s'inspirent des prix Nobels. Exemple « moments de paix » : vous êtes invités à vous asseoir sur des bancs lumineux et à écouter des extraits des discours des différents lauréats du prix Nobel de la paix, et en musiqueVous nous avez trouvé un chouette hébergement nature ?Flambant neuf dans un parc très Hygge : Le HagastrandLa prescription médicale : https://visitsweden.fr/la-suede-sur-prescription-medicale/ La Nobel Week Lights https://www.nobelprizemuseum.se/en/nobel-week-lights L'ile de Djurgården : https://www.visitstockholm.com/see-do/attractions/district-guide-djurgarden/ L'Hôtel spa Hagastrand https://www.hagastrand.se/en/ Gaston GérardUn grand plat de la cuisine bourguignonne et plus particulièrement de la ville de Dijon où il est né. Un plat né totalement par accident en août 1930.Sérendipité culinaire.L'épouse du maire de Dijon, Gaston Gérard s'affaire en cuisine. Il faut dire que le couple a convié à dîner l'une des plus fines fourchettes de l'époque, le prince des gastronomes : Curnonski. D'un geste maladroit, elle fait tomber son pot de paprika dans la cocotte où mijotait un poulet. Afin de dissimuler l'accident, elle ajoute du vin blanc et du Comté râpé puis sert le plat. Curnonski est conquis et baptise la recette du nom de son hôte.La recetteIngrédients pour 4 personnes- 1 belle volaille coupée en morceaux- 25 cl de vin blanc- 1 c à s de paprika- 150 gr de Comté râpé- 2 c à s de moutarde- 25 cl de crèmeFaire dorer les morceaux de poulet dans un cocotte / Ajouter le vin blanc et déglacer / Laisser mijoter 40 min / Ajouter la moutarde, le paprika, le Comté et la crème / Placer les morceaux de poulet et la sauce dans un plat à gratin et gratiner 10 min au fourHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs :-Gauthier Le Bret-Fabien Onteniente-Georges FenechVous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'éditorialiste Jean-Marie Colombani et la rédactrice en chef du magazine « Le Point » Géraldine Woessner reviennent sur les propos tenus par le général Mandon : «Accepter de perdre nos enfants» :. Bien qu'ils aient choqué une partie de l'opinion publique, pour nos Esprits Libres du jour, ces déclarations servent à nous tenir prêts face au potentiel danger qui attend l'Union Européenne. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Visite du président français Emmanuel Macron : le réseau routier sera placé sous contrôle renforcé des forces de l'ordre afin d'assurer la fluidité du trafic et la sécurité du cortège présidentiel. by TOPFM MAURITIUS
C dans l'air du 17 novembre 2025 - Budget : une erreur de calcul à 10 milliards ?Alors que les discussions autour du budget se poursuivent à l'Assemblée, les recettes fiscales de 2025 inquiètent le gouvernement. La raison : la baisse des recettes de la TVA. Selon les prévisions du projet de loi de finances, la taxe sur la valeur ajoutée devrait rapporter 210 milliards d'euros au fisc. Mais les recettes sont inférieures aux prévisions. La différence n'est pas encore connue, mais se chiffre en milliards d'euros. Le trou total pourrait être de « 10 milliards » selon le président de la Commission des finances, Éric Coquerel.Inquiet de la situation, le gouvernement a lancé une mission d'urgence pour comprendre les raisons de cette baisse. Selon Bercy, un problème de fraude pourrait en être la cause, ciblant notamment la sous-déclaration des petits colis importés.Afin de combler le déficit, les députés ont adopté un amendement instaurant un « impôt universel » sur les multinationales. Une mesure qui pourrait rapporter 26 milliards d'euros, mais qui risque d'être retoquée par des directives européennes.En parallèle, s'est ouvert ce lundi le sommet Choose France, consacré aux seules entreprises françaises. Le ministre de l'Économie, Roland Lescure, a annoncé 30,4 milliards d'euros d'investissements en 2025. Des annonces qui surviennent sur fond de multiplication des plans sociaux.Depuis les élections européennes de juin 2024, la CGT a recensé 444 plans sociaux en France. Invité sur le plateau de C dans l'air, Emmanuel Duteil, du média L'Usine Nouvelle, rappelait que 108 sites de production avaient fermé ou étaient menacés depuis le début de l'année.Parmi eux, le groupe sidérurgique Novasco, dont l'avenir se joue ce lundi. Le gouvernement vient d'annoncer qu'il allait saisir les tribunaux contre le britannique Greybull, repreneur en 2024 de l'aciérie. « Le repreneur s'était engagé à investir 90 millions d'euros. Un an plus tard, ils n'ont investi que 1,5 million d'euros. Le compte n'y est pas. On sera intraitable, on sera aux côtés des salariés », a assuré le ministre de l'Économie, Roland Lescure, sur TF1.Sur le plan politique, la course aux élections municipales est lancée. Alors que la gauche est partie pour se présenter divisée en 2027, dans certaines communes comme à Agen, elle part unie — du PS à LFI en passant par les Écologistes — pour le scrutin des municipales en mars prochain.Nos experts : - Dominique SEUX - Éditorialiste - Les Echos et France Inter - Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Elisa BERTHOLOMEY- Cheffe Adjointe du service politique- Politico - Mathieu PLANE - Économiste - OFCE, Observatoire Français des Conjonctures Économiques
David Williams, Director, Global Public Safety and Justice, Leader in Microsoft's worldwide government team.Microsoft Copilot Studio: Complete tasks and execute processes with agents for individuals, teams, or functions. Read more https://www.microsoft.com/en/microsoft-copilot/microsoft-copilot-studio?market=afIn collaboration with SMART CITY EXPO in Barcelona.Read morehttps://www.smartcityexpo.com/#___Keep Up the Good Work. Keep Loving Cities ❤️️__All opinions expressed in each episode are personal to the guest and do not represent the Host of Urbanistica Podcast unless otherwise stated.__Let's connect and talk further about this episode Mustafa Sherif Linkedin.Visit Mustafasherif.com for collaborations and nominations or email me at info@mustafasherif.comFollow Urbanistica on Instagram , TikTok, Facebook & Youtube channel.
Semaine Mondiale de l'Entrepreneuriat : SME Mauritius organise une semaine d'activités afin de renforcer et de développer l'écosystème des petites et moyennes entreprises à Maurice by TOPFM MAURITIUS
Invités : - Geoffroy Boulard, Maire LR du 17e arrondissement de Paris et vice-président de la métropole du Grand Paris. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après la guerre de sept ans (1756-1763), la Grande-Bretagne est victorieuse mais ses finances vont mal. Afin de remplir ses caisses qui crient famine, elle sollicite ces Treize colonies d'Amérique du Nord qui refusent de voir cette souveraineté lointaine mettre le nez dans leur gouvernement local. Cette métropole a-t-elle encore une raison d'être alors que la démographie et le commerce se portent si bien dans cette Amérique d'avant les Etats-Unis ? La question est posée et une guerre d'indépendance s'apprête à éclater au nom de la liberté. Avec Agnès Delahaye, professeure d'histoire et de civilisation américaines, spécialiste de la colonisation anglaise aux XVIIe et XVIIIe siècles et autrice de Aventuriers, pèlerins, puritains: Les mythes fondateurs de l'Amérique (Editions Passés composés).
Aujourd'hui, à peu près le monde entier a les yeux rivés sur les Etats-Unis, leurs réactions, leurs décisions et leur santé démocratique. Depuis les deux guerres mondiales, ils sont considérés comme les champions du monde économique et militaire et on attend souvent leurs arbitrages, voire leur franc soutien. Afin de comprendre comment l'indépendance des Etats-Unis, proclamée le 4 juillet 1776, devient l'enjeu d'une guerre internationale, nous portons trois regards sur la Révolution américaine : la France, l'Ecosse et la Suisse. Avec Florence Pétroff, maitresse de conférences à l'Université de La Rochelle, autrice de La Révolution américaine et l'Écosse : regards croisés et identités hybrides (1765-1783) (Editions Honoré Champion). Bertrand Van Ruymbeke, professeur de civilisation et d'histoire des Etats-Unis à l'Université de Paris 8, spécialiste des Treize Colonies et de la Révolution américaine. Auteur de L'Amérique avant les États-Unis: Une histoire de l'Amérique anglaise, 1497-1776 (Editions Flammarion) et Histoire des États-Unis - De 1492 à nos jours (Editions Tallandier). Antoine Chollet, chercheur à l'Université de Lausanne et spécialiste des théories contemporaines de la démocratie.
Afin de faire gagner un séjour à une auditrice, les Grosses Têtes se lancent dans un concours d'histoires drôles. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Plongée au cœur de l'Amazonie avec Lucile Gimberg du service environnement de RFI en français et Lucia Muzell de la rédaction en brésilien. À l'approche de la COP 30 qui s'ouvrira dans quelques jours au Brésil, Anne Cantener reçoit les deux reporters qui reviennent de ce territoire immense. Elles signent toute une série de reportages disponibles sur le site internet de RFI en français et en brésilien. Les deux journalistes ont été marquées par la richesse et l'importance des savoirs traditionnels des communautés autochtones, en particulier en ce qui concerne la gestion de la forêt amazonienne. Il faut garder en tête que «c'est aussi et surtout une zone de rivières. L'eau fait vraiment partie du quotidien», souligne Lucile Gimberg. «Il y a également de nombreuses villes, comme Belém. 28 millions de personnes vivent en Amazonie», ajoute Lucia Muzell. Les premières traces d'habitat remontent à 12.000 ans et on peut s'inspirer des modes de vie des peuples originels pour protéger la nature, expliquent les reporters. «Par exemple, il faut rediversifier notre alimentation», explique Lucile Gimberg. «Ces peuples mangeaient 37 espèces de poissons !» Ces savoirs ancestraux sont d'ailleurs toujours utilisés aujourd'hui dans les communautés qui s'efforcent de les transmettre aux jeunes générations. Mais leur travail n'est pas toujours suffisamment reconnu et valorisé, notamment au niveau économique. Vidéo : Amazonie : et si l'avenir passait par la bioéconomie ? - RFI Amazônia: a equação delicada entre preservação e combate à pobreza - Planeta Verde COP30: Nas comunidades tradicionais amazônicas, clima mais quente já assusta e mobiliza adaptação - Planeta Verde Melissa : deuil national en Haïti Le Nouvelliste parle d'une trentaine de morts mais là encore, les chiffres devraient augmenter. Trois jours de deuil national ont été décrétés, à partir de ce lundi (3 novembre 2025), nous apprend Gazette Haïti. «Durant cette période, le drapeau national sera mis en berne sur tout le territoire, les discothèques et établissements assimilés resteront fermés, et les médias seront invités à adapter leur programmation avec de la musique et des émissions de circonstance», explique le journal. Six départements du pays restent en état d'urgence : le Sud, le Sud-Est, la Grand-Anse, les Nippes, l'Ouest et le Nord-Ouest, et ce pour une durée, de trois mois. À écouter aussiHaïti : à Petit Goâve, les habitants encore sous le choc après le passage de Melissa Les États-Unis débloquent trois millions de dollars pour Cuba Cet argent destiné en priorité aux habitants des régions orientales de l'île, les plus touchées par Melissa, sera distribué par l'Église catholique, relève 14 y Medio. Ce choix de l'Église catholique, «une institution avec une présence territoriale, crédible et bien vue par la population», précise le journal, met le gouvernement cubain «dans une situation difficile». Ce qui explique l'absence de réactions officielles des autorités face à cette offre de bons services. À lire aussiL'ouragan Melissa a touché Cuba mais perd de la puissance, rétrogradé en catégorie 3 Une majorité d'Américains estiment que Donald Trump va trop loin Selon un sondage effectué par Ipsos pour le Washington Post et ABC, près de deux-tiers des personnes interrogées jugent que le président outrepasse ses pouvoirs. Près de 60% des Américains ont une opinion défavorable de Donald Trump. Un taux d'insatisfaction jamais atteint depuis janvier 2021 et l'attaque du Capitole, fait remarquer le Washington Post. Principales raisons de ce mécontentement : les tarifs douaniers, et l'économie en général, et comment Donald Trump gère le gouvernement fédéral. En revanche, sur les questions d'immigration et de diversité, la société américaine semble divisée. La moitié des personnes sondées juge que Donald Trump va trop loin et l'autre moitié estime que ce qu'il fait est bien ou qu'il ne va pas assez loin. Dernier enseignement intéressant de ce sondage : les démocrates ne bénéficient pas de ce mécontentement. Près de 7 Américains sur 10 estiment que le parti est déconnecté de leurs vies. C'est 6 sur 10 pour les Républicains. Ceux qui désapprouvent l'action de Donald Trump, ne sont pas prêts pour autant à voter démocrates, souligne le Washington Post. À lire aussiÉtats-Unis: Donald Trump assume les méthodes brutales des opérations anti-immigration Nicolas Maduro renforce la censure Selon Tal Cual, le mois dernier, deux personnes ont écopé de 10 et 15 de prison. Elles ont été reconnues coupables de «délit de haine» lors de procès expéditifs, rapporte le journal en ligne. La première, âgée de 44 ans, avait critiqué le gouvernement lors d'une discussion privée sur WhatsApp ; la seconde âgée de 22 ans est accusée d'avoir posté sur TikTok une vidéo dans lequel elle disait du mal des autorités. Ces deux condamnations sont les dernières d'une longue série de personnes condamnées à de lourdes peines de prison pour avoir fait des remarques négatives sur le gouvernement dans un cadre privé, raconte Tal Cual qui fait le lien avec une décision de Nicolas Maduro. Afin d'encourager la délation, le 20 octobre 2025, il a demandé à ce que soit réactivée une fonction de l'appli VenApp afin de pouvoir signaler 24h/24 «tout ce que l'on voit, tout ce que l'on entend». À l'origine, VenApp, c'est un réseau social créé pour faire remonter les problèmes du quotidien, comme lorsqu'un service public ne fonctionne pas, explique Tal Cual. Aujourd'hui, on y trouve des onglets «terrorisme» ou bien «attaque de drones», précise le journal. Tout cela contribue à «créer un climat de silence et de terreur», analyse Martha Tineo, avocate et coordinatrice de l'ONG ONG Justicia, Encuentro y Perdón. Un «silence collectif» pour que la vérité disparaisse. Le journal de la 1ère Après le passage de Melissa, des milliers de Jamaïcains ont tout perdu. À lire aussiOuragan Melissa: le personnel médical de la Jamaïque mobilisé malgré les nombreux dégâts
"Animé par l'expérimentation, la recherche en architecture et design, l'atelier de conception scénographique et architecturale est basé à Paris. Depuis sa création en 2017, chaque recherche est mesurée entre savoir-faire, réflexion et création. Des préoccupations constamment questionnées par le fondateur Christopher Dessus, au travers d'ouvrages paru chez Pli éditions qu'il dirige également. Afin de modeler au mieux un espace tout en lui assurant une identité singulière, Paf atelier initie une grande porosité entre les divers champs créatifs. Une démarche pluridisciplinaire vectrice de nombreuses collaborations, où conception et production ne peuvent être envisagées de manière dissociée. Éphémères, ces installations souhaitent raconter une histoire pérenne, tant dans les esprits que dans l'innovation de ces formes, de manière à participer à la construction d'un nouveau paysage scénographique. Une histoire alimentée à travers différentes notions prenant en compte les territoires, une démarche responsable et l'insertion de nouveaux talents." PAF AtelierDans ce Com d'Archi, Christopher Dessus. vous livre son parcours. De son enfance au milieu des fleurs jusqu'à aujourd'hui au Top de la création et de la tendance, se pose inlassablement la question : comment la discipline architecturale conforte-elle le créateur ? Une trajectoire passionnante à connaitre absolument.Image teaser DR © PAF AtelierIngénierie son : Julien Rebours____Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pour retrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichir votre regard sur le sujet.Bonne semaine à tous! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 5 octobre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LE PROJET DE BUDGET DE LECORNUUne première version du projet de loi de finances pour 2026 a été transmise jeudi pour avis au Haut conseil des finances publiques. La transmission de ce projet de loi marque le coup d'envoi du processus de discussion du budget. Le Haut conseil, un organisme indépendant placé auprès de la Cour des comptes, disposera ensuite de sept jours pour rendre son avis, destiné à être rendu public lors de la présentation formelle du budget par le gouvernement. Le texte devrait être déposé à l'Assemblée nationale au plus tard le 13 octobre, de façon que le Parlement dispose des 70 jours prévus par la Constitution pour en débattre.Le même jour, à la veille des rencontres organisées à Matignon avec le Parti socialiste et le Rassemblement national, l'entourage de Sébastien Lecornu a laissé fuiter quatre pistes de soutien au pouvoir d'achat en précisant toutefois que « rien n'est arbitré ». Il s'agirait de favoriser davantage les heures supplémentaires par une défiscalisation et un allègement des charges sociales ;d'alléger l'impôt sur le revenu des couples modestes : en améliorant le mécanisme de « décote », afin de l'aligner sur l'avantage accordé aux célibataires touchant des montants équivalents. De défiscaliser à nouveau les «primes Macron » les primes des salariés gagnant moins de trois fois le SMIC en 2026. D'encourager les dons familiaux en direction des jeunes générations.Selon le journal Les Échos, le projet de budget inclurait une « année blanche » comprenant le gel du barème de l'impôt sur le revenu et de toutes les pensions de retraite, ainsi que le relèvement du taux du « prélèvement forfaitaire unique » sur les revenus du capital. L'augmentation de la flat tax jusqu'à 36%, rapporterait 1,5 milliard d'euros. Le texte devrait comporter une mesure anti-optimisation centrée sur les holdings, certains contribuables très aisés y stockant de l'argent afin d'échapper à l'impôt. Des mesures seraient également en préparation pour lutter contre l'optimisation des Pactes Dutreil, cet outil fiscal conçu pour réduire la fiscalité des transmissions et donations des entreprises afin de préserver l'outil productif. Quant à la surtaxe d'impôt sur les sociétés, elle serait reconduite d'un an, mais son taux serait divisé par deux par rapport à celui appliqué en 2025. Son rendement attendrait ainsi de l'ordre de 4 milliards d'euros.Vendredi, le Premier ministre s'est engagé à ne pas utiliser l'article 49 alinéa 3 de la Constitution pour faire adopter son budget. L'idée n'est pas nouvelle : entre 1997 et 2002, le premier ministre Lionel Jospin, à la tête d'une « majorité plurielle », avait renoncé à son usage. Si les débats budgétaires s'enlisaient à l'Assemblée, faute de majorité, la méthode Lecornu pourrait dès lors aboutir à l'élaboration d'une loi spéciale ou par le passage du budget par voie d'ordonnances, une première sous la Ve République.SÉCURITÉ EUROPÉENNE FACE AUX MENACES RUSSES APRÈS COPENHAGUEL'Europe est soumise, ces derniers jours, à une série de défis : la Russie teste la capacité de plusieurs pays du nord de l'Europe à faire face à des envois de drones sur leurs aéroports. Elle viole régulièrement l'espace aérien de certains membres de l'Otan afin de mesurer leurs capacités de défense antiaérienne. Oslo, Copenhague, Munich ont été victimes des mêmes survols de drones non identifiés, contraignant les autorités danoises, norvégiennes et allemandes à fermer provisoirement leur espace aérien au-dessus de certains aéroports. Contrairement aux Ukrainiens, les Européens n'ont guère d'expérience dans le domaine de la lutte contre les drones.Dans ce contexte, lundi, Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission, a dévoilé, une première cartographie de la « préparation 2030 », date à laquelle l'Europe doit être prête à se défendre par elle-même en cas d'agression russe. Les analyses des services de renseignement européens convergent : dans les trois à cinq prochaines années, la Russie pourrait être en mesure d'attaquer un pays de l'Union européenne ou de l'Otan si une paix en Ukraine lui permettait de se réarmer, et si l'Europe ne pouvait pas compter sur le soutien américain. Les États membres ont identifié neuf domaines capacitaires prioritaires dans lesquels l'Europe doit combler ses lacunes d'ici à 2030 : défense aérienne et antimissile, systèmes d'artillerie, missiles et munitions, cyber et guerre électronique, drones et anti-drones, combat terrestre, capacités maritimes, mobilité militaire et « capacités stratégiques habilitantes ».En vue de renforcer la défense du continent face à la menace russe, les dirigeants des 27 pays de l'Union européenne se sont retrouvés mercredi à Copenhague. Les discussions ont porté principalement sur trois axes : le développement capacitaire conjoint, les « projets phares » - comme le mur de drones ou la surveillance du flanc oriental - et la montée en puissance de l'industrie de défense européenne. Afin d'accélérer la montée en puissance militaire du continent, l'Union européenne a adopté en juin dernier le Security Action For Europe (SAFE), un instrument financier de prêts de 150 milliards d'euros. Environ 100 milliards sont alloués au flanc oriental de l'Europe : 43,7 milliards pour la Pologne, 16,7 milliards pour la Roumanie, 16,2 milliards pour la Hongrie. Cette concentration géographique reflète une réalité diverse. Chaque pays défend actuellement sa portion de frontière d'une manière légèrement différente, à l'aide de systèmes qui vont du plus sophistiqué au moins élaboré. Cette réunion sans conclusion écrite a permis de décanter des sujets qui seront finalisés les 23 et 24 octobre prochains lors du Conseil européen à Bruxelles. Objectif : combler les lacunes et favoriser des acquisitions conjointes pour lutter contre « la fragmentation de nos efforts à travers des initiatives nationales non coordonnées ».Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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La saison de la LNH est à nos portes, et le LNH.com vous offre aujourd'hui une analyse complète des principaux dossiers dans la Ligue. Dans cet épisode, Nicolas Ducharme, Jean-François Chaumont et Guillaume Lepage discutent des chances de voir les Canadiens et les Sénateurs d'Ottawa de se tailler à nouveau une place en séries éliminatoires. Nos journalistes se penchent aussi sur les intrigues dans les quatre sections de la LNH, en particulier de ce à quoi on doit s'attendre chez les Capitals de Washington, les Jets de Winnipeg et les Oilers d'Edmonton. Notre équipe vous offre aussi ses prédictions pour la course aux séries et le vainqueur de la Coupe Stanley. Afin de célébrer le début du calendrier, La Tasse de café vous offre une nouveauté : le balado en format vidéo! Vous pourrez maintenant regarder nos journalistes et invités discuter de hockey sur YouTube, en plus de pouvoir continuer à les écouter sur format audio sur une multitude de plateformes web. Bonne écoute! 3:00 – Retour sur le camp d'entraînement des Canadiens 20:00 – Le Tricolore sera-t-il des séries éliminatoires? Et les Sénateurs? 32:30 – La section Atlantique à la portée de tous 40:45 – La magie se poursuivra-t-elle à Washington? 55:10 – Les Jets peuvent-ils répéter dans la section Centrale? 1:04:00 – La situation Connor McDavid va déranger à Edmonton 1:13:45 – Les Kings subiront-ils le même sort que les Predators? 1:19:00 – Nos prédictions pour la finale de la Coupe Stanley et les trophées
En Centrafrique, la réserve naturelle de Chinko, située dans la préfecture du Mbomou, au sud-est du pays, incarne l'un des récits de restauration de biodiversité les plus inspirants. Ces trente dernières années, les crises sécuritaires à répétition et le braconnage ont eu de graves conséquences sur la faune et les ressources naturelles. Afin de sauver ce patrimoine, le gouvernement centrafricain et l'ONG African Parks ont signé en 2014 un accord de gestion durable du parc. Cette convention, renouvelée en 2020 pour une durée de 25 ans, instaure une politique de conservation des ressources naturelles et du développement communautaire. De notre correspondant à Kocho, Ce matin, le brouillard se lève, s'enroule puis disparait au-dessus de la réserve naturelle de Chinko... Le grognement rauque d'un phacochère signale la présence des visiteurs. En petits groupes de quatre ou de cinq, ces phacochères, aux pelages gris, brun et noir, se nourrissent d'herbes, de racines, d'écorces et de fruits. Debout à quelques mètres de ces mammifères, Ghislain Boukar, colonel des eaux et forêts, fait l'inventaire des espèces disparues : « Il a eu un effondrement considérable de toutes les espèces confondues. En disant cela, je fais allusion aux buffles, aux carnivores comme les lions, les grands mammifères comme les pachydermes, les éléphants et autres. Nous avons aussi des espèces telles que les rhinocéros, les girafes qui ne sont plus dans le parc. » Toutefois, la réserve naturelle de Chinko abrite aujourd'hui des espèces comme le lycaon, le lion, le léopard, le chimpanzé, l'éland de Derby, plus de 400 espèces d'oiseaux, 100 espèces de poissons d'eau douce et beaucoup d'autres encore. À lire aussiCentrafrique : Chinko, une réserve à préserver au milieu d'une zone de conflit La vision du gouvernement centrafricain et d'African Parks consiste à réintroduire, avec le temps, les espèces qui n'existent plus. Mermoz Bizon, responsable de l'aménagement territorial à African Park Chinko, explique : « Cela a une importance capitale, car un jour, nous, nos enfants et nos petits-enfants, auront la chance d'avoir autour de nous des animaux sauvages. Tout ce qui est potentialité en termes de faune, flore et ressources aquatiques, représente une richesse inestimable. On doit faire en sorte que cette richesse ne nous quitte pas. Notre combat aujourd'hui est de permettre à ce que les communautés locales puissent en bénéficier. » Engagement local et éducation à l'environnement Quand on survole les 30 500 km² en avion de surveillance et d'observation, l'immense étendue sauvage de Chinko offre une belle vue sur les montages, les rivières et les cours d'eau. Les défis actuels consistent à empêcher des chasseurs, des pêcheurs et même des éleveurs, de pénétrer dans les zones de conservation. Pour Ghislain Boukar, colonel des eaux et forêts, « la transhumance transfrontalière est l'une des difficultés majeures. Ces pasteurs viennent du Soudan et mettent le feu dans la brousse, juste pour avoir de nouvelles poussées d'herbes, ce qu'ils jugent très intéressantes pour leur bétail. Ils commettent aussi des abattages illicites de nos arbres et de nos espèces. Ils pratiquent également le braconnage en tuant aussi nos espèces. Quand ils repartent au Soudan, ils les revendent là-bas. » Pour relever ce défi, l'équipe mène plusieurs activités réparties en trois axes : l'engagement, l'entrepreneuriat et l'éducation à l'environnement, selon Mermoz Bizon, responsable de l'aménagement territorial à African Park Chinko : « Nous avons mis en place un guide d'éducation à l'environnement qui est censé enseigner aux enfants dès le bas âge ce qu'est l'environnement, ceci pour leur permettre de comprendre tout ce qui les entoure, pour pouvoir l'impliquer dans leurs habitudes. Nous appuyons aussi l'inspection académique de Bangassou pour tout ce qui est soutien à la mise à niveau des enseignants tout autour de l'aire de conservation de Chinko. » Pour garantir une gouvernance participative de cette réserve naturelle, un plan d'aménagement du territoire de Chinko est en cours de validation par le gouvernement centrafricain et ses partenaires.
En cette journée spéciale sur RFI consacrée à la drogue dans le monde, Anne Cantener se penche sur la situation sur le continent américain. Aux États-Unis, c'est l'épidémie de fentanyl qui préoccupe toujours. Cette drogue 50 fois plus puissante que l'héroïne, 100 fois plus que la morphine, est la principale cause d'overdoses dans le pays. Mais les choses s'améliorent peu à peu : en 2024, le nombre de décès par overdose liés aux opioïdes synthétiques, donc principalement le fentanyl, a chuté de plus de 30%. Les conséquences des politiques mises en place pour enrayer l'épidémie de fentanyl commencent à se faire sentir. Ces programmes dits de réduction des risques pour les consommateurs «ne visent pas à sevrer les consommateurs dans un premier temps, mais à ce qu'ils prennent leur dose en limitant les risques d'overdoses», explique notre correspondant à Atlanta, Edward Maille. Un outil permet d'éviter les morts liées aux opioïdes : le Naloxone qui se prend par spray nasal ou avec une seringue, est une sorte d'antidote en cas d'overdose. La distribution de ce médicament a considérablement augmenté aux États-Unis, précise encore le journaliste. Les secours et même les consommateurs en ont sur eux. De plus, des lois d'amnistie ont été votées : si vous consommez de la drogue avec une autre personne et qu'elle fait une overdose, si vous appelez les secours, vous n'aurez pas de problème avec la justice. Cette approche de la dépendance à la drogue repose sur l'idée que l'addiction est avant tout une maladie. Dans le monde médical et scientifique, on estime que ces politiques portent leurs fruits. Mais au niveau politique et dans la société, il n'y pas encore de consensus. Souvent, quand un élu veut ouvrir un centre d'échange de seringues, les habitants s'y opposent, explique Edward Maille. Le correspondant de RFI à Atlanta a également recueilli le témoignage de Robin, la vingtaine, qui prend de la drogue depuis ses 11 ans. «Aujourd'hui, elle ne plane plus et ne prend du fentanyl que pour se sentir normale», raconte le journaliste. Elle assume publiquement sa dépendance et lutte pour que les drogués ne soient pas stigmatisés. Haïti, pays «rebond» dans le trafic de drogue L'autre drogue qui inonde le monde, la cocaïne, produite essentiellement en Colombie, transite par de nombreux pays du continent. Une saisie-record a eu lieu en Haïti, au moins de juillet 2025. Mais, comme l'explique Romain Le Cour Grandmaison, docteur en Sciences politiques de l'Université Paris-1 Panthéon-Sorbonne et expert senior au sein de l'ONG Global initiative against transational organized crime, le pays ne sert que d'escale aux trafiquants sur la route vers la République dominicaine. Le pays voisin, tout comme la Jamaïque et les Antilles françaises sont les véritables «hubs stratégiques» et cette drogue n'est plus destinée aux États-Unis mais à l'Europe, analyse le chercheur. Afin d'envoyer les plus grandes quantités possibles de drogue sur le vieux continent, les trafiquants privilégient le transport maritime qui est très peu surveillé. «Pas plus de 6% des containers sont scannés et vérifiés», développe Romain Le Cour Grandmaison. «La façon la plus rentable possible d'exporter la cocaïne n'est pas forcément la plus rapide. Mais ce n'est pas grave car ce n'est pas une denrée périssable. Elle peut donc emprunter des chemins détournés» avant d'arriver à sa destination finale. Le journal de la 1ère La terre a tremblé ce lundi matin (15 septembre 2025) dans le nord de la « Grande Terre » de la Guadeloupe.
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« Un goût du thé amer », le second roman de l'écrivain Mohammed Alnaas, récemment traduit en français et édité chez « Le bruit du monde », revient à l'époque du slogan : « le pouvoir aux mains du peuple » et décrit une situation ubuesque et des querelles permanentes entre les habitants d'un village, Géhenne, dans la Libye des années 1990, du temps de la Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste de Mouammar Kadhafi. Quant au narrateur, dans cette fable moderne et audacieuse, il s'adresse à son lecteur tout en prenant un plaisir à se jouer de lui. Mohammed Alnaas joint par Houda Ibrahim. Vos romans s'attaquent à des sujets qui décrivent les spécificités de la société libyenne, une société restée longtemps fermée aux autres. L'écriture est-elle pour vous est un acte d'auscultation de cette société afin de la raconter, de l'exposer ? La société libyenne est restée méconnue des étrangers pendant un certain temps, et peut-être même est-elle restée méconnue d'elle-même. En dehors du sujet politique, il existe un manque de connaissances sur la Libye et le peuple libyen lui-même, que ce soit sous le régime de Mouammar Kadhafi ou même pendant la guerre civile qui a suivi la révolution de février 2011. L'enjeu ici, est que moi, en tant qu'individu, je me comprends mieux que je ne comprends la société libyenne, mais mon histoire personnelle est aussi l'histoire de la société, et en comprenant la société, je me comprends moi-même. Il est vrai que la société libyenne a ses spécificités, comme toutes les sociétés, mais l'idée est de toujours chercher, ce que cette spécificité a de commun avec les sociétés arabes, voire des sociétés de plus grande ampleur. Afin d'écrire sur l'être humain et son histoire, tout en écrivant sur le Libyen et en essayant de le comprendre. Dans votre second roman, Un goût de thé amer, à travers l'histoire d'un village, Géhenne, symbolisez-vous la guerre sans fin qui se déroule en Libye ainsi que le déchirement social ? Personnellement, je n'aime pas que le texte lui-même soit le reflet de la réalité. Le lecteur a certes le droit de percevoir ces intersections entre la réalité et le roman. Or, elles sont nombreuses. L'auteur pose les règles du jeu dès le début, indiquant que l'histoire n'est pas symbolique, mais vraie. Ce qui incite le lecteur à y croire. Il existe bel et bien des intersections entre les combats qui se déroulent dans le village de Géhenne et la guerre civile libyenne. Il semble que le point commun entre l'imaginaire et le réel réside dans une certaine absurdité de la scène elle-même. À lire aussiLa Libye lance le premier appel d'offres pétrolier depuis 17 ans La satire est-elle pour vous le meilleur moyen de raconter cette société ? J'ai débuté dans l'écriture par la satire. Il y a toujours une touche d'humour noir dans mes écrits, que ce soit dans mon précédant roman « Du pain sur la table de l'oncle Milad », ou dans ce roman même. Et auparavant aussi dans le recueil de nouvelles que j'avais écrit sur la guerre civile, la plupart de ces nouvelles avaient un ton dramatique ou sombre. Concernant ce projet, parfois, il n'y a pas de meilleure façon de décrire ce qui se passe, que la satire. Vous dédiez votre roman au fameux écrivain et penseur libyen Sadek alyhoum, quelle valeur représente-t-il pour vous ? Le roman est bien sûr dédié à El-Sadek, je le dédie également à d'autres auteurs et artistes satiriques qui m'ont personnellement influencé, comme Mohammed Al-Zawawi, le plus grand illustrateur de caricature libyen. Le roman lui-même a été initialement écrit dans le style de Mohammed Al-Zawawi, ainsi que celui de Mohammed Tamliya, l'écrivain satirique jordanien, et d'Ibrahim Hmaydan, l'écrivain satirique libyen. Tous ont influencé ma compréhension du rôle de la satire, de la comédie. Contrairement à beaucoup de Libyens qui admiraient les idées et les écrits critiques d'El-Sadek Al-Nayhoum, j'admirais moi sa satire, en particulier son recueil Histoires pour enfants. Il m'a profondément influencé par son style satirique et par sa façon de dessiner certains personnages libyens considérés comme stéréotypés. Ce stéréotype est déjà présent dans les dessins de Mohammed Al-Zawawi. Dans mon roman, un personnage comme Hajja Mabrouka, ressemble à ceux de Mohammed Al-Zawawi, d'El-Sadek Al-Nayhoum et même d'Ibrahim Hmaydan. Ces personnages ne sont pas nés de nulle part ; ils sont une sorte d'accumulation résultant de mes lectures et de mes observations sur la manière dont les Libyens qui m'ont précédé ont abordé la comédie. À lire aussiAu pays des hommes, un chef-d'œuvre de la littérature contemporaine Dans Un goût de thé amer, vous dénoncez également, un système économique installé par le régime Kadhafi et qui réduit en quelque sorte l'être humain à un être dépendant, sans aucune initiative, vous dénoncez cette volonté du pouvoir d'écraser l'être libyen ? Les politiques du régime Kadhafi ont transformé la Libye depuis la proclamation de l'Autorité populaire. Car le colonel souhaitait créer une nouvelle société. L'ironie est que l'objectif de cette nouvelle société était de susciter un esprit d'initiative en toutes choses. Dans toutes ses idées, par exemple, il affirme dans le Livre vert : « L'école est servie par ses élèves », ce qui signifie que l'école n'a pas besoin de personnel d'entretien ni d'employés, mais que ce sont les élèves qui s'en chargent… D'où le concept « des partenaires, et non pas d'employés ». Le régime repose fondamentalement sur l'initiative populaire pour prendre le pouvoir. Soit le peuple ne voulait pas prendre le pouvoir, soit Kadhafi n'a utilisé ces idées que pour accroître son emprise sur le peuple. L'ironie est que le peuple libyen a refusé de prendre l'initiative ou n'a pas trouvé le moyen de le faire. Le régime a véritablement influencé la formation de l'homme libyen. Toutes les politiques adoptées par le colonel Kadhafi et les fonctionnaires travaillant sous ses ordres ont conduit à la création d'une société déformée qui ne se connaît pas elle-même et qui est incapable de trouver des solutions aux problèmes auxquels elle est confrontée. La liberté d'expression en Libye est toujours entravée, même au niveau de la littérature, comment relevez-vous ce défi ? Aujourd'hui, les restrictions imposées aux écrivains libyens se multiplient. Elles sont sociales, religieuses, politiques et sécuritaires. Les restrictions se multiplient et sont pour la plupart inconnues. L'écrivain se retrouve à nager dans un puits dont il ignore le fond. Ceux qui aiment nager explorent eux-mêmes à ce moment-là les dangers, et je suis de ceux qui aiment nager. Nous explorons des idées en cours de route et je relis toujours la scène, mais c'est surtout pour des raisons de sécurité personnelle. Lorsque j'écris, je ne reconnais pas ces restrictions et je les ignore également lorsque je publie. Je ne les regarde pas.
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