Podcasts about Conseil

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Le député MoDem des Pyrénées-Atlantiques Jean-Paul Matteï réfléchit à une proposition de loi (PPL) pour rationaliser l'immobilier de l'État - A la Une des Quatre Colonnes

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Play Episode Listen Later May 30, 2025 8:38


Les chiffres de la Direction de l'immobilier de l'État (DIE) créée en 2016 et dirigée aujourd'hui par Alain Resplendy-Bernard sont à couper le souffle : l'État se trouve à la tête d'un énorme patrimoine et sous-employé : 195 745 bâtiments, 31 170 terrains nus, pour une valorisation totale de 74 milliards d'euros dans les comptes publics ! Comment alors faire pour rationaliser l'immobilier de l'État et par la même occasion trouver de nouvelles recettes pour boucler le futur budget 2026 ? Dès la déclaration de son discours de politique générale en janvier, le Premier ministre François Bayrou l'avait assuré devant les parlementaires : « La modernisation de l'État est au cœur de mon projet ». Sa solution : c'est l'augmentation de la vente de biens publics immobiliers, bâtiments, bureaux, terrains, parcelles agricoles, appartements…. ou aussi dans le déploiement de l'Intelligence artificielle dans les services publics. Jean-Paul Matteï, député du groupe (MoDem) des Pyrénées-Atlantiques (circonscription de Pau), président du Conseil de l'immobilier de l'État depuis le 24 janvier 2018 et notaire de profession, réfléchit à cette idée depuis plus de cinq ans. Ce proche de François Bayrou en est convaincu : « Il faut dissocier l'État propriétaire et l'État exploitant. » Avec notamment le député de (Ensemble pour La République) Thomas Cazenave, ancien ministre chargé des comptes publics, et François Jolivet, député de l'Indre, député (Horizons) de l'Indre, vice-président de la Commission des finances, Jean-Paul Matteï réfléchit à déposer une proposition de loi (PPL) pour alléger l'immobilier de l'État en reprenant la totalité de l'amendement bloqué par le Conseil constitutionnel

ONU Info

Le ministre des affaires étrangères de la Côte d'Ivoire, Léon Kacou Adom, était en visite cette semaine au siège des Nations Unies, à New York, où il a rencontré le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres.Dans un entretien accordé à ONU Info en marge de cette visite, le chef de la diplomatie ivoirienne parle de la lutte contre le terrorisme dans son pays et en Afrique de l'Ouest, de l'impact des coupes drastiques dans l'aide internationale et des effets du changement climatique.Il évoque également l'élection présidentielle qui doit se dérouler en octobre de cette année en Côte d'Ivoire, et notamment la participation des femmes à la vie politique. Il parle également des 80 ans de l'ONU et de la réforme du Conseil de sécurité. Entretien réalisé par Jérôme Bernard

Au cœur de l'histoire
Jean Moulin, le fondateur du Conseil national de la Résistance

Au cœur de l'histoire

Play Episode Listen Later May 27, 2025 45:22


Stéphane Bern raconte, à l'occasion de la Journée nationale de la Résistance, célébrée ce 27 mai, en référence à la première réunion du Conseil national de la Résistance qui s'est tenue le 27 mai 1943 pour unifier les principaux mouvements français, le destin de Jean Moulin, le résistant qui, à la demande du général de Gaulle, en a fait son oeuvre… Comment Jean Moulin est-il parvenu à unifier les différents mouvements de la Résistance intérieure française ? Quel est le contenu du programme adopté par le CNR le 15 mars 1944 ? L'union née de la Résistance a-t-elle perduré après la guerre ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Fabrice Grenard, historien, chef du département recherche et pédagogie à la Fondation de la Résistance et auteur de "Jean Moulin, héros de la Résistance" (Tallandier, collection Texto) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Loïc Vimard. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Simon Veille. Journaliste : Armelle Thiberge. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Timeline (5.000 ans d'Histoire)
Voyages dans l'Histoire de France - Guillaume Perrault

Timeline (5.000 ans d'Histoire)

Play Episode Listen Later May 27, 2025 65:10


Grands récits de l'histoire de France.Récits d'épisodes-clés, portraits, synthèses sur des sujets d'histoire qui font l'actualité composent ce recueil, faisant revivre à travers eux la grande histoire de France. Sélectionnés avec soin parmi les chroniques enlevées et passionnantes que Guillaume Perrault publie dans Le Figaro, les textes ici retenus ont été attentivement retravaillés pour cette édition. En voici le sommaire : - Paris et ses ordures : des siècles de lutte pour la salubrité publique - Louis XIV, ce roi qui a lutté contre la maladie toute sa vie - L'incroyable faillite de la banque de John Law : histoire d'un traumatisme français - Pourquoi Louis XVI fut un grand roi - Marie-Antoinette et Axel de Fersen : jusqu'où ont été leurs amours ? - Guerre de Vendée. Ces vérités qui dérangent - Quand Napoléon Bonaparte était à Gaza : un épisode oublié de l'histoire - L'antisémitisme de gauche : une vieille histoire depuis deux cents ans - 8 janvier 1934 : l'affaire Stavisky, ce scandale qui va entraîner les émeutes du 6 février et ébranler la IIIe République - Émile Boutmy, l'homme qui a fondé Sciences Po - Il y a quatre-vingts ans : la création du Conseil national de la Résistance présidé par Jean Moulin - Les régimes spéciaux, un privilège injuste ? Leur histoire de Louis XIV à aujourd'hui - Georges Pompidou, ou les vertus qui manquent tant à nos gouvernants - Raymond Aron, quarante ans après sa mort : un maître pour comprendre les défis d'aujourd'hui - Quel roi pour la France ?Son auteur, Guillaume Perrault, est notre invité en studioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Nouvel Esprit Public
Les défis intérieurs

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later May 25, 2025 72:23


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'Union des Entreprises de Proximité le 25 mai 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.Les défis liés aux Frères musulmans, au narcotrafic, à l'immigration et à l'insécurité peuvent-ils être sérieusement relevés ou sont-ils condamnés à former la base de slogans électoraux ?Narcotrafic, insécurité, immigration, Frères musulmans, les défis ne manquent pas d'alimenter le débat public en France. Quasi-consensuelle, la proposition de loi visant à lutter contre le trafic de drogues a été définitivement adoptée par le Parlement, le 29 avril. Un succès pour le gouvernement, dont le projet a obtenu un large soutien des députés. Seuls quelques élus de gauche ont voté contre cette loi qui prévoit notamment un régime de détention strict pour les narcotrafiquants, l'anonymisation des agents pénitentiaires et la création en janvier 2026 d'un parquet national anti criminalité organisée, compétent sur les dossiers les plus graves et complexes sur le modèle du parquet national antiterroriste.Suscitant au contraire la controverse, l'ancien ministre de l'Intérieur adressé un tableau très noir de l'insécurité en France. Selon lui, « il n'y a plus de lieux safe » dans le pays : quartiers, centres-villes, périphéries urbaines, villages, lieux de culte, écoles, transports en commun, terrains de sport, une violence exacerbée et décomplexée touche l'ensemble de notre pays, en dépit des multiples lois votées sur la sécurité depuis vingt ans.Sur le défi de l'immigration, devenu une des questions centrales du débat national, l'essayiste Hakim El Karoui vient de réaliser un rapport pour Terra Nova intitulé « Les travailleurs immigrés. Avec ou sans eux ? » soulignant que « dans un contexte de vieillissement démographique » et avec les enjeux de renouvellement de la population active qui lui sont associés, « le recours à la main-d'œuvre étrangère sera décisif dans les années et qui viennent ». Réfutant la note de Terra Nova, le directeur de l'Observatoire de l'immigration et de la démographie assure dans le Figaro que la France n'a pas besoin de plus d'immigration.Autre défi, « Les Frères musulmans et l'islamisme politique en France », ont fait l'objet un rapport présenté mercredi lors d'un Conseil de défense à l'Élysée. Réalisé au premier semestre 2024 par un diplomate et un préfet, il décrit « un important réseau d'implantations », listant « 139 lieux de cultes affiliés aux Musulmans de France » et 55 proches de cette fédération, soit « 7% des 2.800 lieux de culte musulmans répertoriés sur le sol national », accueillant « en moyenne 91.000 fidèles le vendredi ». Pour les auteurs, « le danger d'un islamisme municipal, composite au plan idéologique mais très militant, avec des effets croissants dans l'espace public et le jeu politique local, apparaît bien réel ». Depuis sa publication, le document alimente un vif débat. Si l'anthropologue Florence Bergeaud-Blacker, chargée de recherche au CNRS, se félicite d'une « prise de conscience » salutaire, d'autres spécialistes dénoncent un usage politique du rapport et décrivent un mouvement en déclin, aussi bien à l'extérieur de nos frontières qu'à l'intérieur.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Idées
Le Conseil national de la résistance : souvenirs de jours heureux

Idées

Play Episode Listen Later May 25, 2025 39:07


Cette semaine, dans un nouveau numéro d'Idées, Pierre-Édouard Deldique s'intéresse au programme fondateur du CNR avec son invitée, Claire Andrieu, historienne, spécialiste de l'après-guerre, coordinatrice du livre intitulé « Conseil national de la résistance » paru dans la collection Folio Histoire (Gallimard). Un livre de référence désormais. Devenu « mythique » avec les années, le Conseil national de la résistance a été fondé en 1943 alors que la France est placée sous le régime de Vichy. Sous l'autorité du général de Gaulle, les hommes qui le composent rédigent un programme des jours heureux, distribué clandestinement par le journal « Libération ». 200 000 exemplaires sont écoulés, et une fois la paix obtenue, certaines de ses mesures, comme la Sécurité sociale, sont mises en place.Dans son nouvel ouvrage, Claire Andrieu aborde ce programme dans « l'espace et le temps ». Comment a-t-il impacté la France et ses voisins ? De quoi s'inspire-t-il ? Qu'en reste-t-il aujourd'hui ?Autant de questions qu'elle aborde avec Pierre-Édouard Deldique durant ce nouvel épisode d'Idées, le magazine qui interroge celles et ceux qui pensent le monde.Lien utile.  Programmation musicale :- Ben Selvin and his orchestra - Happy days are here again- Georges Gosset - Eh Hop On En Sortira.

C dans l'air
Retailleau/Villepin : la guerre est déclarée! - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 22, 2025 63:29


C dans l'air du 22 mai 2025 : Retailleau/Villepin : la guerre est déclarée !Il est depuis dimanche le nouveau chef de la droite française. Avec près de 74 % des suffrages des adhérents, Bruno Retailleau a été élu à la présidence du parti Les Républicains. Une large victoire pour le ministre de l'Intérieur, face à son rival Laurent Wauquiez (25,7%) saluée ces dernières heures dans son camp. Néanmoins dans le concert de louanges, une voix détonne : celle de Dominique de Villepin. L'ancien Premier ministre de Jacques Chirac a fustigé sur Franceinfo "une dérive tragique dans l'évolution de ce parti politique que l'on appelait la droite républicaine, qui est en fait une droite réactionnaire, ultraconservatrice, identitaire, qui fait la course avec le Rassemblement national. Quand j'entends Bruno Retailleau sur bon nombre de sujets, j'ai du mal à faire la différence avec le RN". Malgré le nom de la formation aujourd'hui présidée par Bruno Retailleau, l'ex-ministre des Affaires étrangères affirme "ne pas voir beaucoup de République" dans les idées défendues. Et d'enfoncer le clou : "J'attends toujours les premiers résultats de Bruno Retailleau au ministère de l'Intérieur. Je vois beaucoup de rodomontades, de déclarations, de 20 heures, mais je ne vois pas de résultats (…) M. le ministre, au boulot ! Au boulot pour les Français ! La politique, ça ne se fait pas dans les antichambres. Ça ne se fait pas avec des doubles casquettes. Ça se fait à plein temps. Pas en amateur. Et là, nous sommes devant des amateurs" a affirmé Dominique de Villepin.Ancien dauphin de Philippe de Villiers, soutien de François Fillon à la présidentielle de 2017, le ministre de l'Intérieur multiplie depuis son arrivée place Beauvau, les sorties médiatiques et les phrases chocs. Sur l'État de droit qu'il juge ni "intangible ni sacré", l'immigration et la lutte contre la drogue, ses thèmes favoris, il ne renie rien de son passé villieriste et souverainiste, dénonçant "l'ensauvagement", un "chaos migratoire" ou un processus de "décivilisation"- concept emprunté au théoricien d'extrême droite Renaud Camus - qui serait, selon lui, à l'œuvre dans la société française. Et ces derniers jours il a fait fuiter un rapport classé secret-défense sur "l'entrisme" des Frères musulmans dans Le Figaro, avant un Conseil de défense. Ce qui lui a valu un rappel à l'ordre du président de la République. Agacé, Emmanuel Macron a retoqué hier ses premières propositions et lui a demandé d'en proposer d'autres, plus efficaces, lors d'un prochain Conseil de défense début juin. Qu'à cela ne tienne, dans une longue interview dans les colonnes du Parisien-Aujourd'hui France, Bruno Retailleau a avancé ses propositions contre l'islamisme et prévenu que les ministres LR quitteront le gouvernement "si leurs convictions ne sont plus respectées".Alors quelles sont les ambitions de Bruno Retailleau ? Inconnu du grand public il n'y a pas si longtemps, que sait-on de lui, de sa pensée, de son projet ? Quelle est son idéologie ? Son élection à la tête des LR marque-t-elle un tournant pour la droite française ? Et que contient le rapport sur l'entrisme des Frères musulmans ? LES EXPERTS :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste au Point - Brice TEINTURIER - Directeur général délégué - Institut de sondages IpsosPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Politique
Rapport sur les Frères musulmans : un enjeu clé pour les municipales ?

Politique

Play Episode Listen Later May 22, 2025 39:52


Mercredi, un Conseil de défense et de sécurité nationale s'est réuni à l'Elysée autour d'Emmanuel Macron pour se pencher sur un rapport concernant les Frères musulmans. Un sujet explosif qui a suscité un vif débat sur la scène politique. La gauche pointe du doigt un rapport stigmatisant pour les musulmans de France. Une émission présentée par Marc Perelman. 

Franck Ferrand raconte...
BONUS : L'arrestation de Jean Moulin à Caluire, l'évènement tragique qui a failli mettre en péril la Résistance

Franck Ferrand raconte...

Play Episode Listen Later May 21, 2025 1:13


Alors qu'il vient de fonder le Conseil national de la Résistance, Jean Moulin se rend à Lyon pour régler des questions internes, lorsqu'advient le pire pour la Résistance française.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les matins
Comment lutter contre le frérisme ?

Les matins

Play Episode Listen Later May 21, 2025 2:27


durée : 00:02:27 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Ce matin, Guillaume Erner évoque le rapport sur l'"entrisme" des Frères musulmans en France, qui sera présenté en Conseil de défense aujourd'hui, présidé par Emmanuel Macron. - réalisation : Félicie Faugère

RTL Soir
2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Qui sont les Frères musulmans ?

RTL Soir

Play Episode Listen Later May 21, 2025 2:22


Bruno Retailleau a dénoncé mardi 20 mai la "menace" que pose l'"entrisme" des Frères musulmans dont le but est, selon le ministre de l'Intérieur, "de faire basculer toute la société française dans la charia". "C'est un islamisme à bas bruit qui se répand en tentant d'infiltrer les associations sportives, culturelles, sociales ou autres", a affirmé M. Retailleau qui a annoncé la présentation mercredi 21 mai en Conseil de défense d'un rapport sur le mouvement des Frères musulmans. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Julien Fautrat du 21 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Midi
2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Qui sont les Frères musulmans ?

RTL Midi

Play Episode Listen Later May 21, 2025 2:22


Bruno Retailleau a dénoncé mardi 20 mai la "menace" que pose l'"entrisme" des Frères musulmans dont le but est, selon le ministre de l'Intérieur, "de faire basculer toute la société française dans la charia". "C'est un islamisme à bas bruit qui se répand en tentant d'infiltrer les associations sportives, culturelles, sociales ou autres", a affirmé M. Retailleau qui a annoncé la présentation mercredi 21 mai en Conseil de défense d'un rapport sur le mouvement des Frères musulmans. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Julien Fautrat du 21 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Franck Ferrand raconte...
L'arrestation de Jean Moulin à Caluire, l'évènement tragique qui a failli mettre en péril la Résistance

Franck Ferrand raconte...

Play Episode Listen Later May 20, 2025 23:06


Alors qu'il vient de fonder le Conseil national de la Résistance, Jean Moulin se rend à Lyon pour régler des questions internes, lorsqu'advient le pire pour la Résistance française. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Journal d'Haïti et des Amériques
Haïti : les Haïtiens protestent contre l'inaction de l'État

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later May 20, 2025 30:00


Depuis une semaine, plusieurs organisations du Plateau central bloquent la centrale hydroélectrique de Péligre, la principale source d'électricité d'Haïti, pour protester contre l'inaction de l'État face à l'insécurité croissante dans la région. Nous en parlons avec Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse. Les villes de Saut d'Eau et de Mirebalais sont particulièrement touchées par les gangs armés. Les manifestants réclament des services publics essentiels, la sécurité, et un traitement équitable en matière de distribution d'électricité, selon le directeur de l'agence Alterpresse. Ce mouvement se présente comme une « prise en main citoyenne face à l'effondrement des institutions publiques » et le sentiment général que l'État a largement abandonné la population. Cette mobilisation plonge la capitale Port-au-Prince dans un black-out depuis le 13 mai 2025. Alterpresse souligne que ce mouvement intervient dans un contexte sécuritaire alarmant. Gotson Pierre revient aussi sur la fête du drapeau, le 18 mai dernier, qui s'est déroulé dans un climat tendu. Face à l'inaction du gouvernement, le discours du coordonnateur du Conseil présidentiel de transition (Cpt), Fritz Alphonse Jean, qui a appelé les Haïtiens à l'unité et à la résilience, a été vivement critiqué, selon le directeur d'Alterpresse.Omerta sur l'acuité mentale de Joe Biden ?  – les révélations explosives du livre enquête « Original Sin » Ce mardi, sort aux États-Unis le livre évènement « Original Sin », « Péché originel ». Il raconte comment l'entourage de l'ancien président démocrate l'a isolé des mauvaises nouvelles et a dissimulé la dégradation flagrante de son état physique et cognitif. Selon les auteurs, Alex Thompson, d'Axios, et Jake Tapper, de CNN, la Maison Blanche de Joe Biden « a trompé le peuple américain ». L'obstination de Joe Biden et de ses proches a directement conduit à la défaite démocrate face à Donald Trump, malgré la campagne éclair de Kamala Harris, soulignent les deux journalistes. Nous en parlons avec le spécialiste des États-Unis, Romuald Sciora, chercheur associé à l'IRIS. À lire aussiSanté mentale de Biden: «Plus qu'un mensonge d'État, un crime contre la démocratie américaine»« Trump se fait mener en bateau par Poutine » La presse nord-américaine commente abondamment la conversation téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine, et se montre très critique de l'attitude du président américain, Achim Lippold.« Donald Trump n'est pas connu pour sa patience ni pour sa clémence envers ceux qui défient sa volonté », écrit le Washington Post. Ces derniers jours, il s'en est pris tour à tour à la procureure générale de New York, à Bruce Springsteen, à Beyoncé et à l'ancien directeur du FBI James B. Comey — tous visiblement coupables, à ses yeux, de l'avoir contrarié d'une manière ou d'une autre. Mais, poursuit le journal, « lorsqu'il s'agit du dictateur russe Vladimir Poutine — qui continue de saboter les efforts de Donald Trump pour mettre fin à la guerre en Ukraine —, le président américain fait preuve d'une patience, d'une bienveillance et d'une compréhension sans fin. En coulisses, Donald Trump se plaint que mettre fin à une guerre est plus difficile qu'il ne le pensait. « Sans blague », commente le Washington Post et suggère au chef de la Maison Blanche de traiter Vladimir Poutine comme il traite tous ceux qui lui tiennent tête. Mais pour l'instant, conclut le Washington Post, c'est Vladimir Poutine qui mène Donald Trump en bateau, et le président américain ne semble pas s'en rendre compte.Trump pourrait se désengager de la guerre en Ukraine car de son point de vue, c'est une affaire purement européenne. Selon cette idée, que l'aide américaine serait donc un geste charitable, plutôt qu'un impératif stratégique. Or, The New York Times avertit que cette vision est dangereusement simpliste. Selon le quotidien, Vladimir Poutine ne se limite pas à l'Ukraine : il cherche à remettre en cause l'ordre européen d'après-Guerre froide et à restaurer l'influence globale de la Russie au détriment des États-Unis. Un accord de paix mal négocié risquerait de fragiliser l'Europe — un partenaire économique majeur de l'Amérique — et d'aggraver les défis géopolitiques auxquels Washington est déjà confronté. Le journal conclut que l'administration Trump devra tôt ou tard affronter le Kremlin, Mais plus elle attend, plus cela coûtera cher aux États-Unis.La Cour Suprême autorise l'administration Trump à révoquer le statut de protection temporaire pour les migrants vénézuéliens. Le gouvernement pourra donc expulser quelque 350.000 Vénézuéliens, alors que cette affaire est jugée devant les tribunaux. Mais chez les Vénézuéliens de Miami, c'est la panique. Une Vénézuélienne citée par le Miami Herald dénonce une « décision cruelle » qui laisse des milliers de personnes dans un vide juridique. Ils pourraient perdre leur statut et leur autorisation de travail. Selon cette habitante d'Orlando, la Cour Suprême « fait fi de la dignité humaine et des valeurs fondamentales américaines, comme celle de protéger ceux qui ne peuvent pas rentrer chez eux en sécurité ». Et Cecilia González Herrera, c'est son nom, de poursuivre : « Nous sommes des gens honnêtes — étudiants, enseignants, soignants, survivants — qui contribuent grandement à ce pays. Nous méritons mieux que de vivre dans la peur d'être renvoyés vers un pays dangereux. ». Le journal El Nacional souligne qu'en Floride, où résident environ la moitié des plus de 600.000 Vénézuéliens présents sur le territoire américain, beaucoup avaient voté pour Donald Trump, pensant qu'il soutiendrait leur combat contre le président Nicolas Maduro. La suppression du TPS est d'autant plus dure pour cette communauté car ce statut de résidence temporaire est maintenu pour d'autres nationalités, comme les Salvadoriens. Journal de la 1ère Dernière ligne droite pour la campagne sucrière.

L'entretien de Sonia Mabrouk
Sophie Primas : «Nous n'acceptons plus la honte de la rupture de l'aide humanitaire à Gaza»

L'entretien de Sonia Mabrouk

Play Episode Listen Later May 20, 2025 15:42


Sophie Primas, porte-parole du gouvernement, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet des négociations immédiates sur l'Ukraine annoncées par Donald Trump après un appel avec Vladimir Poutine, d'Israël qui a mis fin aux aides hulanitaires à Gaza, de la très large victoire de Bruno Retailleau, de l'organisation d'une primaire ouverte pour désigner le candidat en 2027 qui irait jusqu'à Reconquête, de l'union des droites, de l'interdiction des activités ludiques en prison qui a été retoquée par le Conseil d'Etat, de la construction d'une prison de haute sécurité dans la jungle guyanaise pour les narcotrafiquants et islamistes et du mariage d'étrangers en situation irrégulière ou sous OQTF. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Camille passe au vert
Pour ou contre les souffleuses de feuilles : polémique à Zurich !

Camille passe au vert

Play Episode Listen Later May 20, 2025 4:47


durée : 00:04:47 - La lutte enchantée - par : Camille Crosnier - C'est la polémique qu'on n'a pas vu venir : l'interdiction des souffleuses de feuilles, en Suisse, à Zurich, votée par le Conseil communal, au nom de la protection de la biodiversité. Mais la droite ne compte pas laisser passer cette nouvelle loi et organisera une votation à l'automne !

Esprits Libres
« Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez assument, sur le régalien, d'être aussi volontaristes que l'est le RN » selon Cécile Cornudet

Esprits Libres

Play Episode Listen Later May 20, 2025 11:40


Christophe Barbier et Cécile Cornudet débattent sur l'avenir de la droite, et reviennent sur la décision du Conseil d'Etat d'annuler l'interdiction de Gérald Darmanin des « activités ludiques » en prison.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Affaires étrangères
Ukraine : le noeud diplomatique

Affaires étrangères

Play Episode Listen Later May 17, 2025 59:53


durée : 00:59:53 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Les manœuvres diplomatiques au sujet de l'Ukraine ont resserré le nœud entre Poutine, Trump, Zelensky et les Européens sans aboutir à un cessez-le-feu. Vladimir Poutine a-t-il l'intention d'arrêter la guerre ou les moyens de la poursuivre ? Jusqu'où les Ukrainiens peuvent-ils continuer à se battre ? - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Tatiana Kastouéva-Jean Directrice du Centre Russie/Eurasie de l'Ifri; Camille Grand Chercheur au Conseil européen pour les relations internationales (ECFR) et ancien secrétaire général adjoint de l'OTAN ; Nicolas Tenzer Non-resident senior fellow au Center for European Policy Analysis (CEPA) et enseignant à Sciences Po Paris; Constantin Sigov Directeur du Centre Européen à l'université de Kiev et Directeur des éditions « L'esprit et la lettre »; Sylvain Kahn Professeur au Centre d'histoire de Sciences Po

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel
Affaire Boualem Sansal : «Il fait des allées et venues entre la prison et l'hôpital», témoigne Noémie Lenoir

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later May 16, 2025 15:16


Tous les vendredis, samedis et dimanches à 20h15, Pascale de la Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir, Noëlle Lenoir, présidente du Comité de soutien à Boualem Sansal, membre honoraire du Conseil constitutionnel et ancienne ministre.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Du grain à moudre
À quoi servent les cabinets de conseil ?

Du grain à moudre

Play Episode Listen Later May 15, 2025 38:26


durée : 00:38:26 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Consultant en stratégie et « Associé » au sein d'un grand cabinet de conseil, David Naïm publie un roman inspiré de son expérience dans ce milieu. L'occasion pour explorer les missions des cabinets de conseil et mieux comprendre cette élite professionnelle, souvent mal perçue par l'opinion publique. - réalisation : François Richer - invités : David Naïm Consultant en stratégie, “Associé” dans l'un des plus gros cabinets de conseil du monde; Sébastien Stenger Enseignant-chercheur à l'Institut supérieur de gestion; Julie Gervais Maîtresse de conférence en science politique à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne

Invité Afrique
Tensions France-Algérie: «Le point de non-retour est coûteux pour les deux présidents»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later May 15, 2025 6:19


Va-t-on vers une médiation de l'Italie pour réconcilier l'Algérie et la France ? C'est ce que croit savoir notre Grand invité Afrique ce matin. Entre Alger et Paris, les relations sont totalement gelées depuis la mi-avril 2025. La crise s'est encore aggravée ces derniers jours, avec les expulsions croisées de fonctionnaires français par Alger et de fonctionnaires algériens par Paris. Mais les deux pays ne semblent pas vouloir aller jusqu'à la rupture. Pourquoi ? À Genève, Hasni Abidi est directeur du Centre d'études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Entre la France et l'Algérie, l'accalmie n'a duré que deux semaines. Pourquoi la relation est elle aussi instable entre ces deux pays ?Hasni Abidi : Parce que les éléments de discorde, de divergences sont beaucoup plus profonds que la volonté des deux chefs d'États de renouer le dialogue et de reprendre la parole, surtout du côté français qui était très attendu par le président algérien.L'Algérie accuse le ministre français de l'Intérieur, Bruno Retailleau, « de barbouzerie à des fins purement personnelles ». Est-ce que Alger joue Barrot contre Retailleau, le ministre des Affaires étrangères contre le ministre de l'Intérieur ?Oui, la ligne algérienne est claire. Elle s'oppose à tout rôle dans le dossier algérien donné au ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, pour des raisons d'abord de ligne idéologique du ministre de l'Intérieur et parce que Alger pense que Bruno Retailleau utilise la carte algérienne, les relations franco-algériennes à des fins politiques électoralistes et que l'Algérie ne veut pas cautionner cet usage politique de la relation algérienne par le ministre de l'Intérieur. Vous avez vu, plusieurs indicateurs montrent finalement que les services algériens, par exemple, collaborent d'une manière inconditionnelle avec les services de sécurité extérieurs, mais pas les services qui sont sous le contrôle du ministre de l'Intérieur. Ce n'est pas un rejet total, mais un rejet, en quelque sorte, de la récupération faite selon Alger par le ministre de l'Intérieur.À lire aussiTensions France-Algérie: Paris annonce «renvoyer» des diplomates algériens après des expulsions par AlgerCôté algérien, est-ce qu'il y a aussi d'éventuelles divisions sur la question française ? Le président de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale française, Bruno Fuchs, dit que la position algérienne n'est pas homogène…C'est très difficile d'analyser de l'intérieur. Donc, je félicite Bruno Fuchs d'avoir cette analyse, mais je ne la partage pas parce que, de l'extérieur, il est très difficile aujourd'hui de trouver vraiment des failles au sein des autorités algériennes, entre civils et militaires, dans les relations avec Paris.Alors, le point de départ de cette dernière crise, particulièrement grave, c'est la reconnaissance par Emmanuel Macron de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental, c'était en juillet dernier. Mais on ne voit pas pourquoi la France changerait de cap. Est-ce que du coup, cette crise peut durer dix ou vingt ans ?Non, ce n'est pas une crise fataliste. Sur la question du Sahara occidental, il y a eu des discussions importantes et je peux vous dire que, avant cette crise consulaire concernant les agents français et algériens, le ministre des Affaires étrangères était attendu à Paris, le ministre algérien, Monsieur Attaf… Bien sûr, pour répondre à la visite effectuée par Jean-Noël Barrot. Malheureusement, les développements ont fait que cette visite soit annulée, mais il n'est pas du tout exclu que les relations reprennent. Je peux vous dire aussi qu'il y a des médiations, et notamment Rome qui veut absolument jouer un rôle de médiateur important et accepté par les deux parties.À lire aussiEn Algérie, les propos de Macron sur le Sahara occidental passent malDonc, pour vous, même si les deux régimes s'envoient à la figure des expulsions de hauts fonctionnaires et de diplomates, il n'y aura pas de rupture ?La rupture totale, je veux dire le point de non-retour, est coûteux pour les deux présidents. Mais il est clair qu'il y a des décisions à prendre. C'est-à-dire qu'Alger attend que certains consuls nommés soient accrédités, ça, c'est un élément aussi à voir. La question bien sûr du renvoi, il faut arrêter cette spirale, elle n'est pas du tout bonne pour le bon fonctionnement des relations. Cette situation, elle permet en quelque sorte la reprise ou la possibilité d'une reprise de dialogue. Parce que, au sein des autorités algériennes, on sent bien qu'il y a une volonté de contenir les conséquences de cette crise et finalement plutôt de parler seulement d'un désaccord profond avec le ministre français de l'Intérieur.Et vous dites que la présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, essaye de faire médiation, c'est ça ?Giorgia Meloni est prête et il y avait même des discussions, l'Italie joue un rôle important. Elle est devenue un interlocuteur privilégié pour l'Algérie. Et bien sûr, l'Italie aussi, Giorgia Meloni a de bonnes relations avec le président Macron. Donc c'est l'Italie qui est bien placée pour jouer en quelque sorte le rapprochement. Elle peut tout à fait organiser cela lors d'une réunion économique ou dans le cadre du G20 ou un autre cadre, inviter les deux présidents. Et moi, je pense qu'une rencontre de haut niveau entre les deux chefs d'État s'impose dans les conditions actuelles.Entre les présidents Macron et Tebboune ?Entre le président Macron et le président Tebboune. Oui, en Italie, c'est une option et une hypothèse à soutenir et à encourager.

France Culture physique
À quoi servent les cabinets de conseil ?

France Culture physique

Play Episode Listen Later May 15, 2025 38:26


durée : 00:38:26 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Consultant en stratégie et « Associé » au sein d'un grand cabinet de conseil, David Naïm publie un roman inspiré de son expérience dans ce milieu. L'occasion pour explorer les missions des cabinets de conseil et mieux comprendre cette élite professionnelle, souvent mal perçue par l'opinion publique. - réalisation : François Richer - invités : David Naïm Consultant en stratégie, “Associé” dans l'un des plus gros cabinets de conseil du monde; Sébastien Stenger Enseignant-chercheur à l'Institut supérieur de gestion; Julie Gervais Maîtresse de conférence en science politique à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne

C dans l'air
Bayrou a-t-il menti ? Macron a-t-il séduit ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 14, 2025 64:04


C dans l'air du 14 mai 2025 : Bayrou a-t-il menti ? Macron a-t-il séduit ?C'est une audition très attendue, potentiellement un tournant dans l'affaire Bétharram et pour François Bayrou. Le Premier ministre, accusé d'avoir proféré des mensonges, va s'expliquer à partir de 17 heures devant une commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur ce qu'il savait et son éventuel rôle auprès de la justice dans l'affaire des violences physiques et sexuelles au collège lycée Notre-Dame de Bétharram. A-t-il menti ? A-t-il tenté d'influencer la justice ? Ce sera l'heure de vérité après des semaines de contradiction sur ce scandale pour le Premier ministre.Une affaire politique et personnelle pour François Bayrou, ancien ministre de l'Éducation entre 1993 et 1997, et ancien député, qui a scolarisé plusieurs de ses enfants dans cet établissement catholique des Pyrénées-Atlantiques dont il a été président du Conseil général, et qui est situé près de Pau, la ville dont il est resté maire. L'institution Notre-Dame de Bétharram où sa fille dit avoir été tabassée, où sa femme a enseigné le catéchisme et où 200 anciens élèves ont porté plainte ces derniers mois pour des sévices physiques et sexuels entre la fin des années 1950 et 2010. Parmi eux, Jean-Marie Delbos, qui accuse le prêtre Henri Lamasse de l'avoir violé en 1956. Le Béarnais, aujourd'hui âgé de 79 ans, avait dénoncé dès 1961 son agresseur, placé en garde en vue en février. Il nous a livré son témoignage sur cet immense scandale sur lequel une enquête est menée depuis un an par le parquet de Pau.Si l'enjeu aujourd'hui de la commission porte sur "les modalités du contrôle par l'Etat et de la prévention des violences dans les établissements scolaires", les dénégations de François Bayrou quant à sa connaissance de l'affaire devraient être au centre de l'audition. Un exercice périlleux pour le Premier ministre, qui a plongé ces dernières semaines dans les sondages en raison notamment de ce scandale qui lui colle à la peau depuis trois mois. C'est une affaire "bouleversante, qui m'a fait beaucoup de mal", a confié le principal intéressé à l'AFP. Le Premier ministre a reçu hier soir le soutien du président de la République, invité sur TF1. "Je sais qui il est. C'est un homme que je connais depuis de nombreuses années. J'ai confiance en lui" pour répondre "à toutes les questions" qui lui seront posées a affirmé Emmanuel Macron. Pendant près de trois heures, le chef de l'État a répondu à de nombreuses interrogations, portant sur l'actualité internationale et nationale. Une prestation - destinée à faire son retour sur la scène intérieure mais aussi à défendre son bilan - qui est vivement critiquée ce mercredi dans la classe politique. L'opposition le jugeant "impuissant" et "à bout de souffle".Alors quels sont les enjeux de l'audition de François Bayrou par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale ? À quoi faut-il s'attendre ? Que retenez-vous de l'intervention télévisée d'Emmanuel Macron ? LES EXPERTS : - Jérôme JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF- Vanessa SCHNEIDER - Grand reporter - Le Monde - Astrid DE VILLAINES - Productrice, présentatrice de "Sens politique" - France Culture- Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de La France d'après - Michaël HAJDENBERG (en duplex) - Co-responsable du pôle enquêtes – Mediapart

C dans l'air
Paul Vannier - Bétharram: l'heure de vérité pour François Bayrou

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 14, 2025 10:55


C dans l'air l'invité du 13 mai 2025 avec Paul Vannier, député la France insoumise, co-rapporteur de la Commission d'enquête parlementaire sur les violences en milieu scolaire, créée dans le cadre de l'affaire d'agressions sexuelles et de violences dans l'établissement Notre-Dame-de-Bétharram.Demain, le Premier ministre François Bayrou sera entendu par cette commission d'enquête. Il est accusé d'avoir été au courant des violences, ce qu'il dément. Depuis trois mois, il est mis sous pression politique par cette affaire, qui porte sur des accusations de viols, violences physiques ou sexuelles, commis essentiellement au début des années 1980 qui visent des religieux et des laïcs.François Bayrou, ministre de l'Éducation nationale de 1993 à 1997, assure dans la presse en mars n'avoir "jamais entendu parler" de risques sexuels. Plusieurs de ses enfants ont été scolarisés dans l'établissement et son épouse y a enseigné le catéchisme. Le 11 février dernier, il avait affirmé devant l'Assemblée nationale n'avoir "jamais été informé de quoi que ce soit, de violences ou de violences a fortiori sexuelles. Jamais".Le 16 février, sur TF1, le gendarme chargé de l'enquête sur le père Carricart, ex-directeur de l'institution accusé de viol en 1998, évoque une "intervention" de Bayrou, alors qu'il était député et président du Conseil général des Pyrénées-Atlantiques. Puis le juge qui enquêtait relate que François Bayrou avait "fait la démarche de venir" le voir. Ce dernier dément dans un premier temps, avant d'évoquer ultérieurement une rencontre fortuite avec le magistrat, qui est son voisin, tout en affirmant n'être "jamais" intervenu dans cette affaire "ni de près ni de loin". Depuis, la fille de François Bayrou, Hélène Perlant, elle-même, victime de violences, a témoigné dans un livre. Sur France Inter, elle a assuré que son père "ne pouvait pas comprendre" le "système pervers" de l'établissement catholique.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Tchad : le procès d'Idriss Youssouf Boy, symbole de la lutte contre la corruption ?

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later May 14, 2025 19:30


Les experts et journalistes de RFI répondent aussi à vos questions sur des armes de fabrication chinoise au Soudan, des Afrikaners aux États-Unis et le Grand Barrage de la Renaissance. Tchad : le procès d'Idriss Youssouf Boy, symbole de la lutte contre la corruption ?  Idriss Youssouf Boy, l'ancien directeur de cabinet du président Mahamat Idriss Déby, a écopé de cinq ans de prison ferme pour corruption passive. Cette condamnation est-elle un règlement de compte politique ou une réelle décision de justice dans le cadre de la lutte contre la corruption ? Comment expliquer que son accusateur soit condamné à la même peine pour corruption active ?Avec Nadia Ben Mahfoudh, correspondante de RFI à N'Djamena.  Soudan : des armes chinoises entre les mains des FSR   Selon une enquête d'Amnesty International, des armes de fabrication chinoise fournies par les Émirats arabes unis aux paramilitaires des FSR sont utilisées au Soudan dans la guerre qui déchire le pays depuis deux ans. De quelles preuves dispose l'ONG ? La Chine peut-elle être accusée de violer l'embargo sur les armes de l'ONU, alors qu'elle n'a pas directement livré ces équipements militaires aux FSR ?Avec Clea Broadhurst, correspondante de RFI à Pékin.    Afrique du Sud : pourquoi Trump offre l'asile aux Afrikaners ? Les premiers réfugiés blancs sud-africains sont arrivés lundi à Washington à bord d'un avion affrété par le gouvernement américain. Ils ont été accueillis en grande pompe par le numéro deux du département d'État. Pourquoi l'Administration Trump leur accorde-t-elle le statut de réfugiés ? Quel est le profil socio-économique de ces Sud-Africains ?Avec Cécile Perrot, maître de conférences à l'Université de Rennes 2, spécialiste de l'Afrique du Sud.   Grand barrage de la Renaissance : où en est le conflit ?  Construit par l'Éthiopie sur le Nil Bleu, le plus grand barrage hydroélectrique d'Afrique devrait être opérationnel cette année. Mais pour l'Égypte, ce projet menace la «stabilité régionale». Où en est le traitement de la plainte déposée par Le Caire en septembre 2024 auprès du Conseil de sécurité des Nations unies ? Qu'espère obtenir l'Égypte ?Avec Franck Galland, chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique. 

Outils du Manager - Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le management sans jamais oser le demander !
452 - Les 7 BARRIERES du management, et 32 clés pour les casser - Partie 2

Outils du Manager - Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le management sans jamais oser le demander !

Play Episode Listen Later May 13, 2025 43:57


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Le sept neuf
Patrice Spinosi : "Il y a une régression des libertés dans nos démocraties et une immense montée du populisme"

Le sept neuf

Play Episode Listen Later May 13, 2025 23:27


durée : 00:23:27 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Patrice Spinosi, avocat au Conseil d'État et à la Cour de cassation, était l'invité de France Inter ce mardi. Il publie "Menace sur l'État de droit. Comment préserver nos démocraties ?" (Allary éditions), ce jeudi.

Les interviews d'Inter
Patrice Spinosi : "Il y a une régression des libertés dans nos démocraties et une immense montée du populisme"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later May 13, 2025 23:27


durée : 00:23:27 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Patrice Spinosi, avocat au Conseil d'État et à la Cour de cassation, était l'invité de France Inter ce mardi. Il publie "Menace sur l'État de droit. Comment préserver nos démocraties ?" (Allary éditions), ce jeudi.

Bye Bye Procrastination
154. 5 principes “anti-productivité” pour sortir de la surcharge (j'en ai ma claque des astuces bidon)

Bye Bye Procrastination

Play Episode Listen Later May 9, 2025 12:36


J'en ai ma claque qu'on parle tout le temps d'astuces de productivité, de méthodes d'organisation et d'outils comme Notion pour "sortir de la surcharge".J'en ai marre de cette vision de la productivité en mode Doliprane qui nous fait croire que le manque de temps peu se résoudre à coup de méthode Pomodoro.Alors j'ai fait un épisode de podcast.Bonne écoute !_Je t'aide à créer plus de sérénité et de temps dans ton business :5 mois pour organiser et structurer ton business, raccourcir tes journées et ne plus te sentir débordé.e ⚡️Clique ici pour en savoir plus sur le coaching

Aujourd'hui l'économie
Conclave: les dossiers économiques et financiers sur le bureau du futur pape

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later May 7, 2025 3:16


Les cardinaux du monde entier sont réunis en Conclave pour élire un nouveau pape. Si l'enjeu est évidemment religieux, il est aussi d'ordre financier. Car le futur souverain pontife héritera d'un État aux comptes déséquilibrés, plombé par un déficit structurel et une gouvernance en crise. Décryptage.  Derrière la grandeur de la basilique Saint-Pierre et la richesse non moins culturelle du Vatican se cache une réalité financière bien plus fragile. En 2023, le plus petit État du monde affichait un déficit de 83,5 millions d'euros, sur un budget total d'1,2 milliard. Une situation chronique : depuis plusieurs années, ce déficit varie entre 50 et 90 millions, représentant près de 7 % du budget annuel. Le budget 2025, jugé trop ambitieux, a même été rejeté une première fois par le secrétaire à l'économie avant d'être adopté à la mi-mars après de nombreux ajustement.  À lire aussiFinances du Vatican: l'héritage réformateur du pape FrançoisUn patrimoine immobilier mal exploité La cause principale de cette situation réside dans la baisse des recettes, notamment à cause de la diminution des dons des fidèles, qui constituent une ressource clé. Le Vatican possède par ailleurs un parc immobilier impressionnant : 5 000 biens dans le monde entier. Pourtant, seuls 14% de ces biens sont loués aux prix du marché. Le reste bénéficie de loyers préférentiels, souvent accordés à des employés ou des proches de l'Église. Résultat : chaque année, entre 20 et 25 millions d'euros de patrimoine sont vendus pour éponger les pertes. Cette gestion inefficace met en lumière les lacunes d'un système qui, malgré ses actifs, peine à équilibrer ses comptes et à capitaliser sur ses ressources. À lire aussiÉlection d'un nouveau pape: comment le conclave va-t-il se dérouler?Une gouvernance à réformer d'urgence Le chapitre des dépenses est tout aussi alarmant. Le fonds de pension des quelque 5 000 employés et retraités du Vatican est en déficit, estimé entre 350 millions et 1 milliard d'euros. En novembre, le pape François a dû intervenir directement en remplaçant en urgence l'ensemble du Conseil d'administration, tant la situation semblait critique. Au cœur de ces difficultés : des failles de gouvernance profondes, une bureaucratie jugée opaque et une gestion souvent qualifiée d'amateuriste. Le futur pape devra donc poursuivre le chantier ouvert par François : assainir les finances et instaurer une transparence économique inédite dans un État qui, jusqu'ici, ne publie qu'une partie de ses comptes. Alors que le conclave s'ouvre, les enjeux spirituels se doublent d'un impératif économique. Car si dans la religion on est habitués aux miracles, en économies, ils sont beaucoup plus rares. 

Culture médias - Philippe Vandel
Sonia Mabrouk restera bien sur CNews et Europe 1 la saison prochaine et le Conseil d'Etat a réduit de moitié une amende que l'Arcom avait infligée à C8

Culture médias - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later May 7, 2025 6:27


Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, Sonia Mabrouk confirme dans les colonnes du Figaro qu'elle restera bien sur CNews et Europe 1 la saison prochaine, TF1 diffusera PSG / Atlético Madrid le 15 juin, le Conseil d'Etat a réduit de moitié une amende que l'Arcom avait infligée à C8, 40 journaux français attaquent en justice un site internet pirate qu'ils accusent de "copiage" et le 2 octobre prochain que le tribunal correctionnel de Paris jugera les différentes procédures judiciaires concernant le "Complément d'enquête" sur Gérard Depardieu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Entendez-vous l'éco ?
Criminalité environnementale : pourquoi elle progresse ?

Entendez-vous l'éco ?

Play Episode Listen Later May 6, 2025 5:58


durée : 00:05:58 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - La criminalité environnementale, 4e source de revenus criminels après la drogue, est au cœur des préoccupations. Une proposition de loi vise à renforcer les sanctions et harmoniser les contrôles au niveau européen. - invités : Laurent Neyret Juriste, spécialisé en droit de l'environnement, droit privé et sciences criminelles. Enseignant à Sciences Po, ancien professeur à l'université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, ex directeur de cabinet du président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius.

Appels sur l'actualité
[Vos réactions] Togo : la Ve République ne fait pas l'unanimité

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later May 6, 2025 20:00


Au Togo, conformément à la réforme constitutionnelle, Faure Gnassingbé n'est plus président de la République, mais président du Conseil. Un changement de fonction qui lui permet de conserver l'essentiel des pouvoirs sans limitation de mandat. L'opposition dénonce la réforme. Vos réactions nous intéressent !

Invité Afrique
Soudan: «Les Forces de soutien rapide (FSR) sont parfaitement identifiées comme des prédateurs»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later May 6, 2025 9:55


La Cour internationale de justice (CIJ) rejette la plainte du Soudan, qui accusait les Émirats arabes unis de complicité de génocide pour leur soutien militaire aux rebelles des Forces de soutien rapide (FSR). Mais est-ce que cela veut dire qu'il n'y a pas eu, l'an dernier, une tentative de génocide de la part des FSR contre la communauté masalit du Darfour occidental ? Marc Lavergne a été le coordinateur du groupe d'experts du Conseil de sécurité de l'ONU pour le Soudan. Aujourd'hui, il est directeur de recherches émérite au CNRS et a publié en mars 2025, dans le numéro 196 de la revue Hérodote Géopolitique de la Mer Rouge. RFI : Comment réagissez-vous au rejet de la plainte du Soudan contre les Émirats ? Marc Lavergne : Ce rejet était un petit peu attendu. Je pense que la Cour reste dans son champ de compétence en émettant évidemment quelques considérations humanitaires qui ne sont pas directement de son ressort. Mais elle est extrêmement prudente. Elle manque d'éléments très factuels. Mais également, l'enjeu est important puisqu'il s'agit d'incriminer les Émirats arabes unis dans leur soutien, plus ou moins avéré quand même, aux Forces de soutien rapide (FSR) qui affrontent l'armée soudanaise.Est-ce qu'on peut parler d'une victoire diplomatique des rebelles des FSR contre l'armée soudanaise ? Oui, c'est un petit peu un soulagement. Mais enfin, les FSR en question, elles ont sur le terrain, effectivement, des moyens d'affronter l'armée. Elles ne s'avouent pas vaincues, même si elles ont perdu la capitale. Mais elles sont soutenues par la plupart des pays africains qui entourent le Soudan et surtout par les Émirats arabes unis qui sont mus par l'intérêt qu'ils trouvent à exploiter les richesses aurifères du Soudan.Alors la Cour s'est déclarée incompétente pour des raisons juridiques, parce que, lorsque les Émirats ont adhéré en 2005 à la Convention sur le génocide, ils ont précisé qu'ils ne reconnaîtraient pas à la Cour le droit d'arbitrer un différend entre deux États…Oui, c'est-à-dire que finalement, ils ont signé, mais ils ne se sont engagés à rien.Mais malgré cette déclaration d'incompétence, la Cour précise qu'elle est profondément préoccupée par la tragédie humaine qui se déroule notamment dans le Darfour occidental…Oui, nous le sommes tous, j'imagine, mais je ne pense pas que ça ait un effet pratique, ni même des conséquences juridiques. Il faut pour ça qu'il y ait des preuves qui soient amenées par des experts sur place pour qualifier de « génocide » les exactions qui se déroulent au Darfour occidental, la région qu'habitent les Massalits à la frontière du Tchad, et qui provoquent des centaines de milliers de déplacés au Tchad même.Est-ce que cette plainte du Soudan n'a quand même pas eu le mérite de mettre en lumière les massacres de Massalits à el-Geneina, il y a un an, par les FSR ? Oui en effet, c'est une pierre de plus à apporter à l'édifice. Mais je pense que les FSR sont parfaitement identifiées comme étant des prédateurs, des pillards, des gens qui ne cherchent pas à fonder ou à remplacer un gouvernement, mais juste à se payer sur la bête. Parce que ce sont des gens qui sont eux-mêmes victimes de changement climatique, de problèmes de toutes sortes, qui font que, comme dans tout le Sahel, il y a une descente de ces nomades au détriment des sédentaires.Est-ce qu'on peut parler de nettoyage ethnique de la part des FSR contre les Massalits dans l'ouest du Darfour ? Oui, très clairement. C'est un nettoyage ethnique qui a une raison d'être. C'est-à-dire de s'approprier les terres de ces cultivateurs que sont les Massalits pour se sédentariser et trouver des sources finalement de survie autre que l'élevage des chameaux en périphérie du désert.Et est-ce qu'on peut parler du coup de tentative de génocide ? Oui, mais ce n'est pas un génocide, je dirais, sur une base de différences religieuses ou de différences idéologiques. Il s'agit d'un génocide, vraiment pour s'approprier des terres. Il n'y a pas de haine particulière des Rizeigat en particulier, qui sont à la manœuvre avec les FSR, contre les Massalits qui sont installés là en tant que sultanats partagés entre le Tchad et le Soudan.Deux ans après le début du conflit, est-ce que vous en voyez une issue ? Non, par épuisement d'un des deux combattants éventuellement. Mais on voit qu'il y a des soutiens de chaque côté. Le soutien des Émirats arabes unis n'est pas le soutien de tous les pays arabes. L'Égypte soutient l'armée. D'autres pays riverains du Soudan, pour des raisons très diverses, soutiennent les FSR. On pense à l'Éthiopie par son animosité à l'égard de l'Égypte autour du grand barrage de la Renaissance sur le Nil. Et les pays comme le Kenya, l'Ouganda, le Tchad soutiennent également de façon plus ou moins directe les FSR. Ce qui est assez paradoxal puisque ce sont des gens qui n'ont pas de projet d'État. Et quant à la population elle-même, elle a beaucoup de mal à choisir entre la peste et le choléra que sont l'armée et les FSR.Est-ce que vous croyez encore à une solution politique entre les deux belligérants ? Je crois à une solution politique à partir du moment où les robinets qui alimentent ces deux belligérants seraient coupés. Il faudrait que la communauté internationale intervienne de façon vraiment déterminée et efficace là-dessus. Alors le combat s'arrêterait. C'est-à-dire qu'il faudrait que le Soudan revienne à une transition démocratique soutenue effectivement et efficacement par les pays occidentaux. On est loin du compte.

Un Jour dans l'Histoire
Pierre Hubermont : écrivain prolétarien et collaborateur de l'occupant durant la seconde guerre mondiale

Un Jour dans l'Histoire

Play Episode Listen Later May 5, 2025 35:22


Nous sommes le 7 novembre 1945, à Liège, à l'issue des trois semaines de procès de « La Légia », organe de presse collaborateur. Directeurs, journalistes, employés, ouvriers du quotidien ont été inculpés en bloc et traduits devant le Conseil de Guerre. Un reporter du journal « La Meuse » écrit : « C'est fini, le procès de « La Légia » a vécu.(…) Justice est faite. Le compte de chacun a été établi avec la sévérité que réclamaient des trahisons concertées, trahisons d'autant plus graves qu'elles furent commises par le truchement d'une presse vendue à l'ennemi. La mort punira les plus coupables, les travaux forcés et la prison donneront aux autres le temps de méditer sur leurs crimes, de sentir le remord monter en leur cœur. Une fois de plus, il est démontré que le journalisme sous l'occupant constitue le plus grand des attentats contre le moral des populations. Ainsi l'a dit le verdict. Les valets de plume sont jugés par la loi et par l'opinion publique. Le procès de « La légia » a vécu. La presse libre en sort grandie, plus honorée et plus respectée. » Parmi les condamnés figure Pierre Hubermont. Il fut considéré, dans les années 1930, comme « le plus talentueux de nos jeunes romanciers ». Auteur de « Treize hommes dans la mine » un ouvrage que l'on présentait comme un grand moment de la littérature prolétarienne. Engagé très à gauche dans le Parti Ouvrier Belge, il avait dénoncé durement, en 1935, les atrocités du régime nazi. Comment se fait-il que, cinq ans, plus tard, Hubermont dérive vers l'Ordre Nouveau et collabore avec l'ennemi, d'abord comme journaliste puis en animant la Communauté Culturelle Wallonne. Retour sur le parcours d'un homme tristement complexe … Invité : Daniel Charneux, auteur, avec Claude Duray et Léon Fourmanoit, de « Pierre Hubermont, écrivain prolétarien, de l'ascension à la chute » ; éd. M.E.O. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Revue de presse Afrique
À la Une: au Togo, un président peut en cacher un autre

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later May 5, 2025 4:25


Un président de la République et un président du Conseil… Deux titres, deux fonctions bien différentes… Samedi, l'ex-président Faure Gnassingbé a prêté serment en qualité de président du Conseil. « Faure Gnassingbé davantage au service de la gouvernance », titre le quotidien Togo Matin qui note aussi l'élection du nouveau président de la République par les députés, Jean-Lucien Savi de Tové, 86 ans, qualifié lui d'« homme qui maîtrise les rouages de la gouvernance ».« Savi de Tové a été élu pour un mandat de quatre ans renouvelable une seule fois, précise Jeune Afrique. Il ne dispose d'aucun pouvoir exécutif ni décisionnel et se voit réduit à un rôle principalement symbolique, incarnant l'unité nationale, “le respect de la Constitution et la continuité de l'État“. Il conserve quelques prérogatives, telles que l'accréditation des ambassadeurs, la réception des diplomates étrangers et le droit de grâce à titre individuel. Mais ces actes devront être contresignés par le président du Conseil ».Un coup d'État constitutionnel ?Bref un poste purement honorifique… c'est le président du Conseil, Faure Gnassingbé, donc, qui tirera les ficelles. « Le Togo a un nouveau président, mais Faure Gnassingbé conserve le pouvoir réel », constate le site d'information IciLomé. « Suite à la récente réforme constitutionnelle qui a fait passer le pays à un système parlementaire, précise-t-il, le nouveau poste de président du Conseil des ministres a été créé. Ce poste constitue la plus haute fonction exécutive du gouvernement et, notamment, n'est assorti d'aucune limitation officielle de mandat. Les critiques ont dénoncé cette décision comme un “coup d'État constitutionnel“, pointe encore IciLomé, arguant qu'elle permet de fait à Gnassingbé, au pouvoir depuis 2005, de prolonger indéfiniment son emprise sur le pouvoir ».« Faure Gnassingbé désormais plus fort que jamais… »Résultat, note Afrik.com, « la IVe République est définitivement enterrée et sur son tombeau s'élève désormais une Ve République dont les institutions sont taillées sur mesure pour le prince du moment, Faure Gnassingbé, désormais plus fort que jamais. (…) Sous couvert d'un changement constitutionnel habilement orchestré, poursuit Afrik.com, le Togo s'enfonce dans un autoritarisme légaliste où les formes de la démocratie servent à en nier le fond. Cette réforme de la Constitution, adoptée sans consultation populaire et entérinée par un Parlement monochrome, confère à Faure Gnassingbé une position inédite de chef d'un exécutif consolidé, sans contre-pouvoirs réels. (…) Il ne s'agit pas ici d'un simple ajustement institutionnel, mais d'un coup de force à froid, validé par les urnes sans véritable compétition et par des institutions inféodées. (…) Faure Gnassingbé consolide peut-être son trône, conclut Afrik.com ; mais il fragilise irrémédiablement l'idée même de démocratie dans son pays ».Vers une monarchie républicaine ?En fait, renchérit Le Pays à Ouagadougou, « on change de façade ; on repeint la vitrine ; mais à l'intérieur, c'est toujours la même boutique familiale. Rien de nouveau donc sous le soleil de Lomé, sinon la confirmation d'un pouvoir éternel détenu par un chef d'État sans date d'expiration (…). Car, si le décor change, le scénario lui, risque de rester tragiquement le même, puisqu'avec l'architecture institutionnelle actuelle, le peuple sera évincé du processus politique à partir du moment où le président Faure n'affrontera plus le suffrage universel direct. (…) Ce qui se dessine au Togo, résume Le Pays, est une forme de monarchie républicaine, où le pouvoir se conservera au sein d'un cercle restreint à la tête duquel trône un président autoritaire et omniprésent ».Formule magique ?Et tout cela, sans la moindre anicroche, pointe Ledjely en Guinée : « la stratégie est plutôt efficace. Samedi, Faure Gnassingbé a tranquillement inauguré le premier mandat de la Ve République. Un bail pour lequel il n'aura pas consenti de grands efforts. Aucune campagne électorale, aucun débat télévisé, pas d'évaluation du bilan, pas de présidentielle à enjeux, pas de fraude à orchestrer, pas de contestations électorales et par conséquent, de prétexte à coup d'État. Tout s'est réglé en quelques minutes à l'Assemblée nationale où les choses étaient d'autant plus faciles que l'UNIR, le parti présidentiel, détient 108 des 113 sièges. Voilà qui est pratique non ?, s'exclame encore Ledjely. Au point qu'on imagine d'autres dirigeants à travers le continent voulant se laisser inspirer par cette formule magique ».

Journal d'Haïti et des Amériques
La superstar du rap P. Diddy devant la justice pour trafic sexuel

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later May 5, 2025 30:00


De son vrai nom Sean Combs, celui qui a régné pendant des années sur le hip-hop de la côte Est des États-Unis est le principal accusé d'un dossier qui mêle sexe, argent, drogue et manipulation. Sean Combs, c'est le rappeur et producteur à succès qui s'appelait autrefois Puff Daddy, un nom qui fait clairement référence au cannabis, puis plus tard P. Diddy. Sean Combs, c'est 3 Grammy Awards, un Oscar, des millions d'albums vendus, dont quatre certifiés disque de platine. Ce sont aussi des collaborations avec Mary J Blige, Notorious BIG, Jennifer Lopez, Jay Z, ou le pédophile condamné R. Kelly. Il a son étoile sur Hollywood Boulevard, à Los Angeles. Bref, c'est un homme qui pèse d'un poids énorme dans le milieu musical, rappelle notre correspondant à Washington, Guillaume Naudin.P. Diddy est inculpé de 5 chefs d'accusation, dont certains peuvent lui valoir la prison à vie, parmi lesquels trafic sexuel et racket ou encore transport en vue d'activités de prostitution. Les procureurs lui reprochent notamment l'organisation de ce que lui-même appelle des « freak offs », des événements au cours desquels des femmes à qui il faisait miroiter des opportunités de carrière étaient sommées, en étant droguées si nécessaire, de satisfaire ses désirs sexuels ou encore de s'engager dans des activités sexuelles avec des prostitués masculins, pendant plusieurs jours. Le tout filmé à la fois pour le plaisir de Sean Combs et aussi à des fins de faire chanter les victimes pas assez dociles. Plaider non-coupable ?P. Diddy a décidé de plaider non-coupable, alors que les accusations sont suffisamment graves pour que même une star comme lui attende son procès en prison, dans une section réservée tout de même à des célébrités, ou à des gens qui bénéficient d'un traitement privilégié. Il dément toutes les accusations, indiquant que toutes ces activités étaient consenties. Quatre femmes figurent parmi les accusatrices. L'acte d'accusation les désigne anonymement, mais on sait au moins que la victime dite N°1 est Casandra Ventura, Cassie pour la scène et ses activités de choriste, ex-petite amie de Sean Combs. Comme d'autres femmes, elle l'avait déjà poursuivi au civil dans une affaire qui s'était réglée à l'amiable, autrement dit moyennant finances.Ce procès doit durer 8 à 10 semaines et il commence aujourd'hui par la traditionnelle sélection du jury, on sait déjà qu'il sera très suivi dans l'industrie du spectacle, parce que Sean Combs connaissait beaucoup de monde et depuis longtemps. Des fêtes, il en a organisé beaucoup dans ses différentes maisons. Il est donc légitime de se demander qui savait quoi et qui participait à quoi. Il faut dire que ce genre de pratiques ne date apparemment pas d'hier dans l'industrie musicale. C'est assez courant depuis les années 70 de faire taire les victimes par la menace ou par des NDA, des « non-disclosure agreements », des accords de confidentialité moyennant finances, selon une enquête du Washington Post. Quelques femmes ont osé témoigner et elles ne sont évidemment plus dans le milieu musical. À Miami, où va Little Haïti ?Le quartier de Little Haïti à Miami a pris ce nom après l'arrivée de très nombreux Haïtiens dans les années 1960 et 1970, ceux qui fuyaient la dictature des Duvalier. De la vie de l'époque, il reste encore les peintures murales. Mais pour le reste, les magasins de produits haïtiens, les marchés, les restaurants, plus grand-chose ne subsiste. L'appétit des promoteurs immobiliers a fait partir les Haïtiens, comme l'a constaté notre envoyé spécial, Eric Solo. Reportage à réécouter dans son intégralité dans l'édition du jour. Les États-Unis désignent deux entités criminelles d'Haïti comme des organisations terroristesLa coalition Vivre Ensemble et le gang Gran Grif viennent d'être désignés « organisations terroristes transnationales ». Le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, les qualifie de « menace directe pour la sécurité nationale » et il estime dans un communiqué que ces deux entités sont « les deux principales sources d'instabilité et de violence en Haïti ».Conséquence concrète de cette décision : toute transaction avec Gran Grif ou Vivre Ensemble placera les auteurs de ces transactions sous la menace de sanctions anti-terroristes. On parle aussi bien de ressortissants haïtiens que de personnes résidant légalement aux États-Unis, et même de citoyens américains. Autrement dit, l'administration Trump tente d'asphyxier ces groupes criminels en coupant leurs sources de revenus. Réaction du Conseil président de transition sur le réseau social X : c'est « un pas dans la bonne direction », estime le CPT qui parle aussi de signal encourageant pour les magistrats d'Haïti qui souhaitent éradiquer la criminalité. Le CPT se dit « prêt à collaborer avec tous les pays soutenant la lutte contre le fléau du terrorisme ». L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreC'est une conséquence peu connue de l'éruption en 1902 de la Montagne Pelée : « l'exil » d'un certain nombre de Martiniquais… en Guyane. À écouter aussiSe souvenir de l'éruption de la montagne Pelée de 1902, avec Anne Terrier 

Aujourd'hui l'économie
Elon Musk bientôt remplacé à la tête de Tesla?

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later May 5, 2025 3:05


Tesla traverse une période difficile et le conseil d'administration s'inquiète. Selon des informations du Wall Street Journal, le groupe aurait commencé à chercher un possible successeur à Elon Musk. Mais peut-on vraiment imaginer Tesla sans son emblématique dirigeant ? Décryptage. Depuis le début de l'année, Tesla accumule les déconvenues. Les ventes mondiales ont chuté de 13% au premier trimestre, entraînant une baisse du chiffre d'affaires et plongeant l'entreprise à son niveau le plus bas depuis trois ans. Face à cette situation, le Conseil d'administration aurait, selon le Wall Street Journal, discrètement sollicité des cabinets de recrutement dès le mois de mars pour identifier un potentiel successeur à Elon Musk, fondateur et emblème du groupe. Si la présidente du Conseil d'administration a rapidement démenti toute recherche active de remplaçant, ce simple mouvement trahit un malaise interne et une inquiétude réelle quant à la direction prise par Tesla.Elon Musk, entre ambitions politiques et désamour des actionnaires La situation financière de Tesla n'est pas la seule source de tension. Elon Musk, qui incarne la marque depuis 2008, s'est récemment engagé sur le terrain politique, notamment au sein du Département de l'efficacité gouvernementale (DOGE) sous l'administration Trump. Ce double engagement suscite la défiance de nombreux actionnaires, inquiets de voir leur dirigeant s'éloigner des priorités de l'entreprise. Pire, l'image de Tesla s'en trouve écornée : baisse des ventes, appels au boycott, actes de vandalisme et manifestations devant plusieurs concessions témoignent d'un désamour croissant envers la marque et son patron. Face à ces critiques, le Conseil d'administration aurait demandé à Elon Musk de se recentrer sur Tesla, un premier avertissement qui souligne leur dépendance mutuelle. À lire aussiPourquoi Donald Trump pourrait faire du mal à la voiture américaineUn avenir incertain sans successeur naturel Si la personnalité d'Elon Musk façonne Tesla, la question de sa succession reste entière. Les analystes estiment que la valorisation boursière du constructeur repose en grande partie sur les promesses technologiques portées par Musk - « robotaxis », véhicules autonomes, humanoïdes - dont aucune n'a encore abouti. Un départ du dirigeant représenterait donc un risque majeur pour l'entreprise, tant sur le plan financier que stratégique. Reste à savoir qui pourrait prendre la relève : à ce jour, aucun candidat naturel ne se dessine, renforçant l'idée qu'Elon Musk demeure, pour le moment, indispensable à Tesla. À lire aussiPourquoi Donald Trump fait involontairement le jeu de la voiture électrique chinoise

ONU Info

Dans ce podcast, ONU Info Genève jette un coup de projecteur sur le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies, qui fête bientôt ses 20 ans.Pour l'évoquer, Alexandre Carette accueille Éric Tistounet, ancien chef de la branche du Conseil des droits de l'homme au Haut-Commissariat aux droits de l'homme, et Luis Alfonso de Alba, Ambassadeur et diplomate mexicain, premier Président du Conseil en 2006.Ensemble, ils explorent la transformation essentielle de la Commission des droits de l'homme en Conseil des droits de l'homme, initiée il y a tout juste 20 ans par Kofi Annan, ancien Secrétaire général de l'ONU.À travers leurs échanges, ils évaluent les succès et les défis persistants de cet organe crucial face aux enjeux contemporains des droits humains dans un monde complexe et fragmenté.

Invité Afrique
Mali: «S'ils ne se mobilisent pas, les partis vont participer à leur propre enterrement»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later May 1, 2025 7:09


Au Mali, ce jeudi est un 1er-Mai pas comme les autres, car depuis mardi, on sait que le régime militaire du général Assimi Goïta envisage publiquement de se maintenir au pouvoir sans élections pendant au moins 5 ans et qu'il projette de dissoudre tous les partis politiques. Comment vont réagir ces partis ? Et en ce 1er-Mai, vont-ils pouvoir compter sur la solidarité des grands syndicats du pays ? Le sociologue malien Mohamed Amara a publié Marchands d'angoisse, le Mali tel qu'il est et tel qu'il pourrait être, aux éditions Grandvaux. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Mohamed Amara, bonjour,Mohamed Amara : bonjour.La concertation nationale qui propose de dissoudre tous les partis politiques et qui recommande que le général Assimi Goïta soit nommé président pour cinq ans, est-ce que c'est un tournant ?Bien sûr que c'est un tournant. C'est une nouvelle épreuve pour le Mali de voir, après 30 ans de démocratie, qu'une autorité de transition décide de dissoudre les partis politiques d'une part, et d'autre part de proposer de nommer le président de transition en tant que président de la République. C'est une première dans l'histoire du Mali contemporain.Et vous pensez que beaucoup de Maliens vont faire le parallèle entre aujourd'hui et l'époque du régime militaire du général Moussa Traoré, de 1968 à 1991 ?Je pense que le parallèle est quasiment fait, du fait de tous les mouvements de résistance qui commencent à se mettre en branle, qui dénoncent ces recommandations et du fait de l'ensemble des partis politiques. J'espère qu'ils vont se mobiliser parce que, s'ils ne se mobilisent pas d'une façon ou d'une autre, ils participent à leur propre enterrement, ce qui n'est bon ni pour la démocratie malienne ni pour l'héritage de ce qui a été légué par les Modibo Keïta, par les Alpha Oumar Konaré et j'en passe. Donc, j'espère qu'ils vont se mobiliser pour dénoncer cette confiscation du pouvoir.Et c'est tout l'enjeu des mobilisations à venir, s'il y en a, ou des stratégies de rejet de cette dissolution des partis politiques, qui sont inscrits dans la Constitution. Même dans la Constitution qui a été votée en 2023, où on a dit que le multipartisme, comme les mandats du président, sont des points qui ne sont pas modifiables, ne sont pas révisables.À lire aussiMali: vers une pérennisation de la Transition sans électionsAlors aujourd'hui, c'est le 1er mai, donc le jour des syndicats dans le monde entier. Au Mali, on sait qu'ils ont joué un grand rôle, notamment lors de la révolution de 1991 qui a mis fin au régime militaire de Moussa Traoré. Mais à présent, est-ce qu'ils ont encore une influence sur le cours politique des choses au Mali ?Évidemment, les syndicats sont un rempart important contre les dérives autoritaires du régime, qu'il s'agisse d'un régime militaire ou démocratique. Et vous avez parfaitement raison que dans les années 1990, l'Union nationale des travailleurs du Mali (UNTM) a été un des acteurs principaux de la lutte contre les dérives du régime dictatorial de Moussa Traoré. Et ce rôle-là, cette place-là, il me semble que les syndicats l'ont toujours.La seule différence entre les années 1990 et aujourd'hui, c'est que le responsable principal de la centrale syndicale UNTM est aujourd'hui le président du Conseil économique et social, une des institutions importantes de la République du Mali. Et ça, c'est une faiblesse, une fragilité aujourd'hui pour le monde syndical au Mali.Donc la double casquette de Yacouba Katilé, qui est à la fois le secrétaire général du syndicat majoritaire et le président du Conseil économique, social et culturel, brouille son image et affaiblit peut-être le poids de l'UNTM face au pouvoir politique ?Cela brouille son image et impacte effectivement la capacité de mobilisation du monde syndical pour tout mouvement de résistance, malheureusement. Toujours est-il que je crois à la force du monde syndical. Parce que rappelez-vous, par exemple, que le Syndicat national des banques, assurances, microfinance (Synabef), etc. a réussi à obtenir la libération de deux de ses membres de la banque Ecobank. C'était à la mi-avril. Et si demain, il y a une convergence des luttes, ça ne peut venir que des liens entre le monde syndical et le monde politique, comme ce qu'on a connu dans les années 1990.En Pologne, il y a 45 ans, c'est le syndicat Solidarnosc de Lech Wałęsa qui a lancé le mouvement de protestation contre le régime du général Jaruzelski. Dans le Mali d'aujourd'hui, est-ce que l'UNTM de Yacouba Katilé pourrait jouer un rôle similaire ou non ?Tout dépendra de comment les rapports de force évolueront. Effectivement, il y a le syndicat que vous rappelez, celui de Lech Wałęsa en Pologne dans les années 1980. Mais rappelez-vous déjà que, en 1990, l'UNTM à la Bourse du travail était aux premières loges et mobilisait. Et je pense que cela est possible aujourd'hui, au Mali, s'il y a un vrai conflit socio-politique qui s'ouvre entre le pouvoir actuel et les mouvements syndicaux, politiques et associatifs.Mohamed Amara, merci.À lire aussiAu Mali, les partis politiques craignent pour leur survie

EMCI TV Bonjour chez vous !
Quelle est la source de ton problème ?

EMCI TV Bonjour chez vous !

Play Episode Listen Later Apr 29, 2025


Connaissez-vous vraiment l'origine de vos difficultés ? Dans cette émission, découvrez pourquoi connaître l'origine de nos difficultés est crucial pour les surmonter. L'équipe du jour partage des clés bibliques et pratiques pour vous aider à réfléchir avant d'agir, à discerner la volonté de Dieu et à recevoir cet "insight" qui fera toute la différence dans vos situations bloquées. Soyez encouragé(e) à travers cet épisode ! 00:00:00 : Bande-annonce DEElicious 00:00:43 : Début de l'émission 00:02:22 : Pensée du jour 00:06:37 : Verset du jour 00:09:20 : Conseil du coach : "Comment régler mes problèmes ?"

Débat du jour
Y a-t-il une idéologie woke ?

Débat du jour

Play Episode Listen Later Apr 29, 2025 29:30


Pas un jour ne passe sans que le wokisme ne soit dénoncé dans le monde. Par les populistes en tête desquels le président américain Donald Trump ainsi que par une grande partie de la droite et de l'extrême-droite. Ils craignent de voir s'imposer un nouveau modèle de société dicté par une théorie des genres et une approche décoloniale. Le wokisme n'est-il qu'une construction de ses opposants ? Peut-on être anti-woke sans marqueur politique ? Le wokisme peut-il être positif ? Pour en débattre : - Réjane Sénac, politiste, directrice de recherche au CNRS, enseignante à Sciences Po au Centre de recherches politiques (Cevipof), autrice de Radicales et fluides : les mobilisations contemporaines (Presses de Sciences Po, octobre 2021) et de Comme si nous étions des animaux (éditions du Seuil, 2024)- Brice Couturier, journaliste, collaborateur à l'hebdomadaire Le Point, membre du Conseil scientifique du Laboratoire de la République, auteur du livre Ok Millenials (éditions de l'Observatoire, 2021) - Jean-Yves Pranchère, philosophe, professeur de théorie politique à l'Université libre de Bruxelles (ULB), co-auteur de la tribune Le «wokisme» est l'épouvantail par lequel on cherche à empêcher le débat rationnel sur les discriminations (parue dans Le Monde le 25 avril).  

Au cœur de l'histoire
La démission du Général de Gaulle

Au cœur de l'histoire

Play Episode Listen Later Apr 28, 2025 40:44


Stéphane Bern raconte un événement qui a fait date dans l'histoire politique de la France : la démission du président Charles de Gaulle, premier occupant de l'Élysée sous la Vème République, et le dernier en date à l'avoir quitté de son propre chef, à la suite d'un référendum historique et au crépuscule d'un long règne républicain, pour entrer pour toujours dans la légende… Dans quel contexte Charles de Gaulle a-t-il démissionné ? Quelles ont été les conséquences politiques de sa décision ? 55 ans après sa mort, que symbolise-t-il encore en France ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Arnaud Teyssier, historien, président du Conseil scientifique de la Fondation Charles-de-Gaulle et auteur de "Charles de Gaulle, l'angoisse et la grandeur" (Perrin) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Pierre Cazalot. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Eloi Audoin-Rouzeau. Journaliste : Armelle Thiberge. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les matins
De la guerre commerciale à la crise financière ?

Les matins

Play Episode Listen Later Apr 28, 2025 37:27


durée : 00:37:27 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Alors que les États-Unis ont décidé d'entrer dans un rapport de force avec leurs partenaires commerciaux, les pays ciblés semblent démunis. Pourtant, il existe des leviers pour résister à la pression, à commencer par le dollar. Comment le système financier peut-il limiter la casse ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Éric Monnet Économiste, professeur à la Paris School of Economics (PSE) et directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS); Christian de Boissieu Professeur d'économie à l'université Paris 1 et au Collège d'Europe à Bruges, Président du Conseil d'analyse économique (CAE)

Debout les copains !
La démission du Général de Gaulle

Debout les copains !

Play Episode Listen Later Apr 28, 2025 40:44


Stéphane Bern raconte un événement qui a fait date dans l'histoire politique de la France : la démission du président Charles de Gaulle, premier occupant de l'Élysée sous la Vème République, et le dernier en date à l'avoir quitté de son propre chef, à la suite d'un référendum historique et au crépuscule d'un long règne républicain, pour entrer pour toujours dans la légende… Dans quel contexte Charles de Gaulle a-t-il démissionné ? Quelles ont été les conséquences politiques de sa décision ? 55 ans après sa mort, que symbolise-t-il encore en France ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Arnaud Teyssier, historien, président du Conseil scientifique de la Fondation Charles-de-Gaulle et auteur de "Charles de Gaulle, l'angoisse et la grandeur" (Perrin) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Pierre Cazalot. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Eloi Audoin-Rouzeau. Journaliste : Armelle Thiberge. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Bach du dimanche
Cantate 29 BWV « Wir danken dir Gott »

Le Bach du dimanche

Play Episode Listen Later Apr 27, 2025 24:06


durée : 00:24:06 - Cantate 29 BWV " Wir danken dir Gott " - Bach compose la Cantate BWV 29 « Wir danken dir Gott » / « Seigneur, nous te rendons grâce » pour le renouvellement du Conseil municipal de Leipzig, célébré le 27 août 1731 à l'Eglise Saint-Nicolas. La partition est ensuite reprise en 1739 et en 1749.

Les actus du jour - Hugo Décrypte
Macron cible Poutine, Trump veut conclure, explications

Les actus du jour - Hugo Décrypte

Play Episode Listen Later Apr 26, 2025 9:20


Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.

C dans l'air
Trump/ Poutine : leur "deal" pour l'Ukraine - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Apr 25, 2025 64:15


C dans l'air du 25 avril 2025 : Trump/ Poutine : leur "deal" pour l'UkraineDonald Trump veut un cessez-le-feu, mais à quel prix ? Alors que la guerre se prolonge en Ukraine, le président américain veut imposer son plan de paix "cette semaine", mais semble perdre patience. “Vladimir, ARRÊTE !” s'est agacé jeudi le locataire de la Maison-Blanche sur sa plateforme Truth Social, après une nouvelle vague de frappes russes meurtrières sur l'Ukraine. C'est un "très mauvais timing", a écrit le républicain, qui annonçait quelques heures plus tôt qu'un accord avec la Russie était "très proche". Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov avait lui aussi assuré jeudi que la Russie était prête à un accord pour mettre fin au conflit "mais certains éléments spécifiques doivent encore être peaufinés", avait-il nuancé à la veille d'une nouvelle rencontre au kremlin entre Vladimir Poutine et l'émissaire de Trump Steve Witkoff.S'agit-il du sort de la Crimée, territoire ukrainien annexé par Moscou en 2014 ? Le président ukrainien le répète : il n'est pas question de céder sur la souveraineté ukrainienne. Accusé par Donald Trump de bloquer les négociations, Volodymyr Zelensky a répondu aux critiques en publiant sur Telegram une déclaration de l'administration Trump de 2018 s'opposant à l'annexion de la Crimée par Moscou. "L'Ukraine agira toujours en respectant sa Constitution et nous sommes absolument sûrs que nos partenaires, en particulier les États-Unis, agiront en suivant leurs décisions fortes", a écrit le président ukrainien. Mercredi, après la défection de Marco Rubio, chef de la diplomatie américaine, de la rencontre de concertation prévue entre les États-Unis l'Ukraine et l'Europe à Londres, Donald Trump avait publié un long message dans lequel il avait fait porter la responsabilité du blocage actuel des tractations à Volodymyr Zelensky, dénonçant des positions incendiaires de son homologue ukrainien sur la Crimée "perdue depuis des années". Le même jour des fuites, dans la presse, ont révélé que Donald Trump serait prêt à reconnaître juridiquement la cession de la Crimée à la Russie, et peut-être aussi des régions de l'est de l'Ukraine, tout en refusant son entrée dans l'OTAN. Parallèlement Moscou a rappelé son opposition au maintien d'une armée ukrainienne forte et au déploiement de forces européennes comme garanties de sécurité. L'envoi de "forces de maintien de la paix" occidentales sur "des terres historiques russes» est un scénario qui "pourrait conduire à une confrontation directe entre l'OTAN et la Russie, voire à une troisième guerre mondiale à plus long terme", a mis en garde le secrétaire du Conseil de sécurité russe Sergueï Choïgou ce jeudi 24 avril.Et ce vendredi, dans une interview accordée au TIME, Donald Trump a déclaré que la Crimée "restera sous contrôle russe", tout en accusant l'Ukraine d'avoir déclenché la guerre lorsqu' "ils ont commencé à parler d'adhésion à l'Otan". Une nouvelle fois, Washington fait donc preuve d'un biais pro-Poutine flagrant, avec des arrière-pensées économiques puisque les États-Unis se disent prêts à lever les sanctions contre la Russie : à savoir reprendre le business. Côté russe, la Crimée représente le trophée que Vladimir Poutine voudrait pouvoir brandir le 9 mai prochain, pour le 80eme anniversaire de la victoire de l'Armée rouge dans la grande guerre patriotique. Inacceptable pour Kiev pour qui la Crimée est, comme pour Moscou, un enjeu aussi bien stratégique que symbolique. Pour l'heure les Européens demeurent silencieux. Mais si l'Ukraine veut poursuivre la guerre sans le soutien américain, que fera l'Europe ? Quel est le plan de Donald Trump pour l'Ukraine mais aussi en Iran ? LES EXPERTS : - Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU- Pierre HAROCHE - Maître de conférence en politique européenne et internationale - Université catholique de Lille - Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste les enjeux internationaux - Marie JEGO - Journaliste spécialiste de la Russie - Le MondePRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/