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Frédéric, 40 ans, marié depuis 10 ans et père d'une petite fille de 8 ans, est actuellement séparé de sa femme car elle l'a quitté, n'en pouvant plus de ses excès de colère et de la violence psychologique qu'elle subissait à ses côtés depuis six ans...Abonnez-vous ou mettez un avis 5 étoiles si cette consultation vous a aidé !Découvrez toutes mes ressources et mes propositions sur mon site : www.theresehargot.comSuivez-moi sur mes réseaux : InstagramYoutubeTik TokFacebookLinkedInA très bientôt pour une nouvelle consultation !ThérèseHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le premier tour de l'élection présidentielle en Côte d'Ivoire se tient le samedi 25 octobre. Cinq candidats sont en lice. RFI donne la parole à chaque candidat. Jeudi 16 octobre, c'est à l'ancienne ministre Henriette Lagou, qui se présente comme une femme politique « centriste » : elle prône l'apaisement. Henriette Lagou répond aux questions de notre correspondante à Abdijan, Bineta Diagne. RFI : Henriette Lagou, vous avez démarré votre campagne par Daoukro, c'est le fief du PDCI. Ce parti n'a pas donné de consigne de vote pour cette élection. Est-ce que c'est pour vous une manière explicite de séduire l'électorat de Tidjane Thiam ? Henriette Lagou : ce n'est pas une séduction, mais ce sont des grands principes de notre société. Je suis de Daoukro. Il est important que je confie à la population de l'Iffou, de Daoukro, singulièrement cette campagne que nous entamons. Ce n'est donc pas pour aller charmer un quelconque électorat. Dans cette zone, le public est majoritairement favorable au PDCI ? Une campagne présidentielle, ce n'est pas un parti qui gagne, ce n'est pas un parti qui vote, mais c'est toute la population. Une des questions de cette élection présidentielle, c'est la participation des électeurs. Quel message adressez-vous sur le terrain aux électeurs pour qu'ils se motivent à venir voter le 25 octobre. C'est de dire que la Côte d'Ivoire est notre bien commun. À chaque élection en Côte d'Ivoire, il y a eu toujours quelques remous. Il y a eu des crises. Ce n'est pas la Côte d'Ivoire seulement, dans d'autres pays aussi ça se passe comme ça. Mais cette fois-ci, nous devons aller à ces élections-là de façon paisible. Pourquoi ? Parce que la Côte d'Ivoire a connu une grande crise et les cicatrices ne sont pas encore fermées. Et nous avons le devoir d'apaiser les populations en allant à ces élections. Comment vous positionnez-vous par rapport aux candidats à l'élection présidentielle qui, eux, ont été recalés par le Conseil constitutionnel ? Je pense notamment à l'ancien président Laurent Gbagbo. Je pense aussi au président du PDCI, Tidjane Thiam. Comment est-ce que vous vous positionnez par rapport à eux ? Je me positionne les bras ouverts pour que, en fin de compte, un président soit élu au soir du 25 octobre. J'en appelle à ces deux leaders et aussi, au-delà de ces deux leaders, à tous les candidats qui ont été recalés : que nous puissions aller paisiblement aux élections et que moi, Henriette Lagou, je suis Ivoirienne. Je suis centriste. Je suis pour l'apaisement et je les appelle à me soutenir. Vous étiez déjà candidate en 2015, vous aviez fait moins de 1 %. Aujourd'hui, qu'est-ce qui a changé ? Dix ans plus tard, comment est-ce que vous menez votre campagne face à des grosses montures, à des gros partis qui eux sont déjà sur le terrain depuis assez longtemps ? C'est vrai, je n'ai pas fait un score qui puisse attirer l'international, qui puisse attirer même le national. Mais ce qu'il faut retenir, c'est que quand j'ai pris la carte de la Côte d'Ivoire, partout, Henriette Lagou a eu une voix, deux voix. Henriette Lagou a été votée. Et ça, quand j'ai vu, j'ai dis mais voilà, je suis nationale et je peux percer l'abcès et je continue à travailler sur le terrain. En 2015, je suis allée en singleton et puis c'était pour me faire connaître en fait, parce que, à chaque élection sa stratégie. Mais aujourd'hui, je pense que j'ai les armes, j'ai l'expérience. Sans le soutien officiel des principaux partis politiques comme le PDCI, le PPA-CI, qui n'ont pas donné de consigne de vote, ça risque d'être quand même un peu compliqué ? Vous savez, les choses ne se passent pas, ici en Afrique et en Côte d'Ivoire comme ailleurs dans les pays où les consignes de vote sont suivies par des militants ou par des sympathisants. Ici, c'est tout autre chose. Voilà. Parce que quand, dans une région, vous avez des milliers de militants et que ces milliers de militants-là se retrouvent à la personne qui est candidate, je vous ai dit que les choses ne se passent pas en termes de parti politique, mais ça se passe en termes de peuple qui vote. À lire aussiPrésidentielle en Côte d'Ivoire: coup d'envoi de la campagne
Un président en fuite qui crie au coup d'État, un colonel propulsé chef de l'État à la tête d'un Conseil de défense nationale de transition (le CNDT), la Constitution suspendue, ainsi que plusieurs institutions clés. Seule l'Assemblée nationale a été maintenue. « Ce changement brutal suscite autant d'inquiétudes que d'espoirs, constate Midi Madagascar. Une nouvelle page de l'histoire politique de Madagascar s'ouvre. L'avenir dira si elle mènera enfin à la stabilité tant attendue. » En effet, pour l'instant, on est en plein « embrouillamini », pour reprendre le terme utilisé par Aujourd'hui au Burkina Faso. Et « pas évident que la solution réside dans un pouvoir kaki », pointe le quotidien burkinabé qui sait de quoi il parle. La GenZ dépossédée de son combat ? On en est donc au stade des questions. Madagascar Tribune s'interroge : « Comme d'habitude, cette nouvelle transition ne va-t-elle pas servir de gigantesque machine à laver pour procéder au blanchiment de casseroles et de parcours peu reluisants ? Quels sont les points communs avec les coups d'État militaires du Sahel ? Faut-il mettre sur le compte du hasard que quelques drapeaux russes soient apparus lors des manifestations de mercredi dernier ? « Il semble que la GenZ ait juste servi de marchepied, soupire Madagascar Tribune, et se soit fait déposséder de son combat. Pas nécessairement au niveau de la distribution de chaises, car elle n'en a jamais fait un objectif, mais plutôt dans les valeurs pour lesquelles elle a combattu. Il n'est pas évident, poursuit Madagascar Tribune, que la nouvelle nomenklatura (…) ait le profil parfait pour répondre aux aspirations des jeunes à la démocratie, à la bonne gouvernance, au respect de l'État de Droit et à la lutte contre la corruption. Certes, il faut les voir à l'œuvre avant de les juger. Mais sans vouloir citer de noms, beaucoup de ceux qui s'activent actuellement sur les podiums ou en coulisses (…) sont entièrement solidaires du parcours calamiteux de notre pays (…). » Petits arrangements ? L'Express, autre quotidien malgache, déplore en effet l'attitude de certains parlementaires : « Les politiciens sont en train de saborder la transition, affirme le journal, alors qu'il n'y a que le Capsat et la GenZ qui peuvent revendiquer la victoire. Des députés se sont “arrangés“ avec les militaires pour mettre en place un nouveau bureau permanent, des vice-présidents et exiger des avantages faramineux pour voter le budget à la prochaine session. Autrement dit, on reprend les mêmes et on recommence, s'exclame L'Express. Des mesures de précaution auraient dû être prises par le pouvoir de transition. (…) Alors qu'aucune structure politique n'est en place, qu'on ignore qui fait quoi, il y a des individus qui se croient influents et se permettent des prérogatives accordées nulle part. Si le CNDT n'arrive pas à neutraliser ces personnages, sa tâche sera ardue. » Deux ans de transition et après ? La situation politique à Madagascar est donc compliquée, voire confuse. Jeune Afrique s'interroge : « Combien de temps la transition va-t-elle durer ? Quand l'ordre constitutionnel sera-t-il rétabli ? Quelle sera la date des élections qui permettront aux Malgaches de voter pour leur président ? Devant le palais d'État, le colonel Randrianirina a annoncé une transition de “deux ans maximum“ sans que, pour l'heure, rien ne soit inscrit dans le marbre. Selon nos informations, une charte de la transition est en cours de rédaction et devrait être rendue publique dans les prochains jours, poursuit le site panafricain. Elle devrait contenir la durée de la transition avant de prochaines élections, la composition exacte du CNDT et la répartition des portefeuilles ministériels du futur gouvernement. » Quid des financements internationaux ? Et puis, autre point essentiel, souligne Jeune Afrique : « le nouveau pouvoir va également devoir convaincre les institutions internationales, de la Banque mondiale au FMI, de ne pas suspendre les financements indispensables au bon fonctionnement du pays. (…) C'est là une des principales urgences pour le colonel Randrianirina et ses hommes. Une suspension des financements serait une catastrophe pour l'État et pour les populations dont la survie en dépend largement, pointe le site panafricain. Selon plusieurs observateurs de la scène politique et entrepreneurs malgaches, si cette manne se tarissait brutalement, ce serait la porte ouverte aux mafias, qui pourraient proposer de soulager financièrement l'État en échange d'avantages exorbitants. C'est ce qui s'était passé en 2009 pour Rajoelina. »
Au début des années 1950, c'est pendant la guerre de Corée (1950-1953) que l'arme nucléaire a failli redevenir une arme de champ de bataille. Après l'offensive nord-coréenne de juin 1950, le débarquement d'Inchon permet aux forces de l'ONU, commandées par le général Douglas MacArthur, de reprendre l'avantage. Mais lorsque la Chine entre massivement dans la guerre à la fin de l'année, tout bascule : les troupes onusiennes reculent, Séoul est menacée, et l'état-major américain envisage des options jusque-là impensables.MacArthur propose alors de frapper les ponts et les bases chinoises en Mandchourie avec des bombes atomiques tactiques, afin de couper les lignes d'approvisionnement le long du fleuve Yalou. Il évoque même l'idée d'un « cordon sanitaire » radioactif, une zone contaminée rendant certains passages infranchissables pendant des mois. À Washington, le Conseil de sécurité nationale étudie sérieusement plusieurs scénarios d'emploi. Le Strategic Air Command met en alerte ses escadrons de bombardiers B-29, tandis que des composants de bombes sont discrètement transférés vers Guam et Okinawa. Des vols d'entraînement simulant des frappes nucléaires sont effectués — preuve que l'hypothèse n'était pas purement théorique.Mais à la Maison-Blanche, le président Harry Truman s'inquiète. Depuis 1949, l'Union soviétique possède elle aussi la bombe atomique. Employer l'arme en Corée risquerait de provoquer une riposte soviétique ou une escalade incontrôlable menant à une nouvelle guerre mondiale. Le Premier ministre britannique Clement Attlee, alarmé, se rend même à Washington en décembre 1950 pour dissuader les Américains de franchir la ligne rouge. Finalement, Truman tranche : il refuse l'usage du nucléaire et, face aux déclarations publiques de MacArthur en faveur d'un élargissement du conflit, le limoge le 11 avril 1951.Son successeur, le général Matthew Ridgway, parvient à stabiliser le front, et la guerre s'enlise dans une longue impasse. L'administration Eisenhower, en 1953, continuera d'agiter la menace nucléaire pour hâter les négociations, mais sans passer à l'acte. Le 27 juillet 1953, un armistice est signé à Panmunjom.Cet épisode reste un tournant majeur : pour la première fois, une puissance dotée de la bombe choisit l'autolimitation. Face au risque d'apocalypse, les États-Unis ont compris que le coût moral, politique et stratégique d'une frappe nucléaire dépassait de loin tout avantage militaire immédiat. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Support Us at:Donation Page – LibriVox Free AudiobooksProfessor Pierre Aronnax is an academic whose thirst for knowledge carries him out of his ivory tower and on the trail of a mysterious sea beast. His curiosity at last is satiated when he finds himself in the belly of the beast-- that is, on board the incredible submarine the Nautilus, courtesy of its mysterious pilot Captain Nemo and in the company of his servant Conseil and sailor Ned Land. (Introduction by Piper Hale)Genre(s): Fantastic Fiction, General Fiction, Nautical & Marine FictionLanguage: EnglishKeyword(s): literature (1956), fiction (1588), science fiction (417), fantasy (317), sea stories (53)Support Us at:Donation Page – LibriVox Free Audiobooks
La religion a-t-elle sa place à l'école en France ? En dépit de la loi de 2004 sur l'interdiction des signes religieux à l'école, cette question émerge régulièrement dans le débat public. Les assassinats de deux professeurs Samuel Paty en 2020 et Dominique Bernard en 2023, lors d'attaques terroristes ont profondément marqué la communauté éducative. Leurs morts violentes ont, en effet, démontré le fossé grandissant entre des enseignants, chargés de transmettre les principes de la laïcité républicaine, et des familles, qui considèrent qu'il n'est pas possible de questionner les religions. Les enseignants sont-ils suffisamment accompagnés et formés par l'institution scolaire pour défendre la liberté d'expression et aborder ces sujets de plus en sensibles ? La laïcité à l'école peut-elle protéger les élèves de l'antisémitisme et de l'islamophobie ? Émission réalisée 5 ans après l'assassinat de Samuel Paty, professeur d'histoire-géographie à Conflans-Sainte-Honorine, en région parisienne, tué le 16 octobre 2020, lors d'une attaque terroriste. Avec : • Delphine Girard, enseignante, professeur agrégée de Lettres classiques et membre du Conseil des sages de la laïcité et des valeurs de la République. Elle publie « Madame, vous n'avez pas le droit ! » (J.-C. Lattès, 2025) • Marie-Anne Valfort, économiste au sein de la Division des politiques sociales de l'OCDE. Elle a mené une étude sur l'Arbre à défis, un jeu créé par l'association Enquête et déployé dans des établissements scolaires en France. En première partie de l'émission, l'école autour du Monde. Direction la Colombie avec notre correspondante Najet Benrabaa. Dans de nombreuses régions, les enseignants et élèves sont confrontés à la violence car ils vivent dans des zones de conflit armé. En fin d'émission : Le Monde des enfants, de Charlie Dupiot : Nous voici à Paris, dans l'une des classes de CM2 de l'École Manin, dans le 19ème arrondissement. Aujourd'hui, Armelle, Vitali, Saadi, Naelia, Wassim et Eva nous parlent de la responsabilité. La chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Aujourd'hui, il répond à la question de Mariam au Niger qui souhaite créer une complicité avec sa fille «rebelle» de 10 ans. Programmation musicale : ► Mon Amour - Naaman ► Mama Anashindwaje - Harmonize.
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« C'est confirmé, s'exclame Midi Madagascar. Le président Andry Rajoelina n'est plus au pays et se trouve désormais dans un lieu sûr et sécurisé. Il a lui-même annoncé cette information hier soir lors d'une déclaration diffusée sur les réseaux sociaux. (…) Les propos du président n'ont pas été diffusés sur la télévision et la radio nationales. Et pour cause, les militaires du CAPSAT l'ont interdit. (…) Andry Rajoelina n'a pas confirmé ni infirmé l'information selon laquelle il avait été exfiltré par un avion de l'armée française, pointe encore Midi Madagascar. Il a toutefois indiqué avoir choisi de partir pour éviter un affrontement entre Malgaches et particulièrement entre militaires. (…) Le chef de l'État a confirmé l'existence d'un projet de coup d'État assorti d'une prise du palais présidentiel qui devait avoir lieu vendredi dernier, ainsi que d'une tentative d'assassinat à son encontre. » Rajoelina à Dubaï ? Rappelons que plusieurs sources, dont RFI, affirment qu'Andry Rajoelina a quitté Antananarivo dimanche 12 octobre. Le président malgache est parti en hélicoptère pour Sainte-Marie, une île située sur la côte orientale de Madagascar, avant de monter à bord d'un avion militaire français à destination de la Réunion. « Cette opération, bien que discrète, aurait été rendue possible grâce à un accord bilatéral entre les Présidents Macron et Rajoelina, affirme Afrik.com. Malgré cette implication logistique, les autorités françaises insistent : il ne s'agit pas d'une intervention militaire ou politique. Paris se veut ferme sur un point : il n'est pas question de s'immiscer dans les affaires internes malgaches, ni de soutenir un changement de régime. » Andry Rajoelina n'est pas le seul à avoir fui. « Une bonne partie des hauts responsables du pays semblent avoir plié bagages », affirme Madagascar Tribune. Le quotidien malgache cite un ancien Premier ministre, des députés, des sénateurs, des gouverneurs et des hommes d'affaires. Dont certains auraient d'ores et déjà demandé l'asile politique à la France. Le vide au sommet de l'État En tout cas, la « situation est embarrassante et inquiétante, s'alarme l'Express, autre quotidien malgache. Le président est parti ailleurs pour sauver sa peau, mais n'a pas démissionné. Au contraire, il affirme tenir la barque et détenir le commandement. (…) Mais sur le terrain, les militaires maîtrisent la situation. À preuve, son discours n'a pas pu passer sur la chaîne nationale. (…) Néanmoins, poursuit L'Express, les militaires n'ont pas en réalité pris le pouvoir, sachant pertinemment qu'un coup d'État militaire est sans issue. Mais il est clair qu'ils le poussent à la démission ou, à la rigueur, à accepter un compromis politique. Dans ce cas, le président resterait à sa place avec un pouvoir réduit et un Premier ministre civil qui ferait l'unanimité. La question est de savoir s'il en existe un. » En attendant, constate encore l'Express, « la situation reste totalement floue (…). Il y a un vide au sommet de l'État. Le Premier ministre ne peut pas réellement gouverner avec trois ministres. La solution doit être politique sinon la situation risque d'empirer. C'est bien d'avoir une volonté de tout changer, de mettre un terme aux injustices et à la corruption, aux mauvaises conditions de vie, mais c'est mieux de préparer au préalable des alternatives. Sinon la victoire ressemble à un cadeau empoisonné. » Vers une « sortie de crise honorable » ? Alors, justement, relève le Monde Afrique, « des discussions se sont engagées entre les militaires du CAPSAT, le nouveau chef d'état-major des armées et un groupe de députés pour explorer ce que pourrait être une “sortie de crise honorable“. Plusieurs options sont sur la table, allant du constat de vacance du pouvoir par l'Assemblée nationale si Andry Rajoelina, sous la pression, se résolvait à démissionner, au vote d'une motion d'empêchement du chef de l'État, ce qui suppose de réunir une majorité qui aujourd'hui n'est pas acquise. “Dans tous les cas, il s'agit de parvenir à la nomination d'un gouvernement qui fasse consensus, affirme un acteur de l'ombre cité par le journal, pour accompagner un dialogue national sous l'égide du FFKM (le Conseil œcuménique des Églises chrétiennes) et conduire une transition jusqu'à la tenue d'élections dans des conditions acceptées par tous. Certaines voies peuvent paraître tirées par les cheveux sur le plan du droit, mais elles sont défendables. Et toutes valent mieux qu'un coup d'État“, affirme encore cette source pour qui “la priorité doit être d'éviter à Madagascar un nouveau saut dans le vide“. »
Clara, 42 ans, divorcée et mère de deux enfants de 14 et 11 ans, souffre d'un schéma répétitif dans chacune de ses relations : les hommes, au lieu de s'engager avec elle, la trompent puis partent avec une autre femme, sans explication.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Reconnue comme minorité nationale par le Conseil fédéral en 1998, les Yéniches ont une histoire commune avec la Suisse depuis des siècles. 30'000 personnes d'origine yéniche résident actuellement en Suisse, mais contrairement aux idées reçues, seuls deux à trois mille d'entre elles pratiquent encore un mode de vie itinérant. Citoyens helvétiques à part entière, leur histoire est marquée par les persécutions et l'exclusion sociale. Une histoire largement méconnue aujourd'hui encore, à commencer par l'origine même des Yéniches ou leur arrivée en Suisse. Ils restent invisibles, souvent dissous parmi les "Gens du voyage" comme les Manouches, les Sintis, les Roms ou encore les Gitans. Des groupes à l'identité pourtant bien distincte. Avec l'historien Thomas Huonker et Isabella Huser, d'origine yéniche par son père, autrice du roman Zigeuner. Une série de Pierre Jenny, réalisée par Samuel Morier Genoud.
Le 20 février 2025, le Conseil fédéral reconnaît que la persécution systématique contre les Yéniches menée par Pro Juventute avec la collaboration des autorités et des Eglises représente un crime contre l'humanité. A partir de 1926, sous prétexte de les extirper du mal du vagabondage, Pro Juventute enlève à leurs familles près de 600 enfants d'origine yéniche et manouche. Le programme baptisé « l'œuvre des enfants de la grand-route » prend fin en 1973 après les révélations du magazine alémanique Der Schweizerische Beobachter. . Commence alors un long combat pour les communautés yéniche, manouche/sinté de Suisse. Une des premières revendications : obtenir l'accès aux dossiers rédigés et conservés par Pro Juventute. D'origine yéniche par son père, Isabella Huser a pu consulter ces dossiers lorsqu'elle rédigeait son roman Zigeuner, qui retrace l'histoire de sa famille. Avec également l'historien Thomas Huonker, spécialiste des persécutions subies par les communautés nomades en Suisse. Une série de Pierre Jenny, réalisée par Samuel Morier Genoud.
Si l'identité des Yéniches s'est construite autour de leur langue et de leur mode de vie nomade, la musique est un élément fondamental de leur culture. Ces musiciens itinérants ont animé foires et bals à travers la Suisse depuis des siècles. Ils ont enrichi les orchestres traditionnels avec la clarinette ou la contrebasse et ont contribué au développement de la "Ländlermusik", la musique champêtre. Longtemps cachée, l'influence des musiciens yéniches sur la musique folklorique suisse est aujourd'hui reconnue. Mais comment débusquer les nuances entre un musicien yéniche et un autre interprète de "Ländlermusik" ? Avec Cyrill Renz, ancien secrétaire général du Conseil international des organisation de festivals de folklore et d'arts traditionnels (CIOFF) et Joseph Mülhauser, musicien et compositeur yéniche. Une série de Pierre Jenny, réalisée par Samuel Morier Genoud.
➡️ DESCRIPTION: Dans cette émission, nous explorons la beauté et les défis de l'appel pastoral vécu au sein d'une même famille. J'ai le privilège de recevoir un Paul et Matthieu Sanders, tous deux engagés dans le ministère chrétien. Ensemble, ils témoignent de la manière dont la foi s'est enracinée dans leur foyer, comment la vocation s'est transmise et comment ils perçoivent l'évolution du ministère pastoral d'une génération à l'autre. TABLE DES MATIÈRES 00:00 - Intro 01:32 - Votre appel au ministère (comme fils) 09:39 - Votre influence dans l'appel (comme père) 17:22 - La foi chrétienne à la maison 26:49 - Différences ministère entre vos générations 37:13 - Conseil pour transmettre l'héritage spirituel en famille Conclusion 47:17 -
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Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 10 octobre 2025.Avec cette semaine :François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.LE CHAMBOULE-TOUT FRANÇAISQuatre gouvernements en treize mois, un président affaibli, une Assemblée fragmentée : la France semble prise dans un tourbillon sans fin. La présentation, dimanche soir, par Sébastien Lecornu d'une équipe « resserrée » de 18 membres, dans laquelle les traces de la rupture annoncée n'étaient pas très apparentes a été vivement critiquée à droite comme à gauche. Lundi, en quelques heures, les Français ont assisté à la démission d'un Premier ministre, Sébastien Lecornu, nommé vingt-sept jours plus tôt, puis, en fin d'après-midi, à la désignation par le président de la République du même Sébastien Lecornu pour une mission de quarante-huit heures ayant pour but de « définir une plateforme d'action et de stabilité »., soit précisément ce que Le Premier ministre démissionnaire n'avait pas réussi à faire. M. Lecornu a accepté tout en faisant savoir qu'il ne redeviendrait pas chef du gouvernement, même dans le cas, très hypothétique, d'une réussite des discussions.Estimant qu'il existe « une majorité absolue » de députés opposés à la dissolution, Sébastien Lecornu a affirmé mercredi sur France 2 que les conditions étaient réunies pour que le président nomme un nouveau premier ministre « dans les 48 heures ». La première option pour le président de la République est donc de nommer un nouveau Premier ministre. En cas d'échec, un deuxième scénario serait une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale et un retour aux urnes. Le troisième scénario est celui d'une démission du président de la République. Une demande exprimée par l'extrême-droite, LFI, mais aussi, après l'adoption d'un budget par l'ancien Premier ministre Edouard Philippe.La situation est inédite, puisque les passations de pouvoir n'ont pas eu lieu entre les deux gouvernements démissionnaires. Dans ces cas-là, le décret publié au Journal officiel fait foi. Il a été publié dimanche soir, les ministres démissionnaires sont donc bien ceux qui ont été nommés le 5 octobre. Cette équipe devra gérer les « affaires courantes ». Aucun texte n'indique ce que peut faire, ou pas, un gouvernement démissionnaire, mais ses prérogatives sont limitées. Il s'agit de faire face aux urgences, d'assurer le fonctionnement minimal de l'État ainsi que sa continuité. Ce gouvernement peut mettre en application des lois déjà votées mais pas déposer de nouveaux projets de loi. Généralement, le Conseil des ministres ne se réunit pas en période démissionnaire.Si l'incertitude politique ne se traduit pas, à ce stade, par une crise économique aiguë, elle a toutefois déjà provoqué deux cassures dont les effets se feront sentir sur le long terme : le déclassement de la France sur les marchés, et la panne des investissements.LE MOUVEMENT GENZ AU MAROC (ET AU MADAGASCAR, AU NÉPAL …)Le Maroc est le théâtre depuis le 27 septembre de rassemblements quotidiens de jeunes protestataires − parfois mineurs − réclamant de meilleurs services d'éducation et de santé. Début octobre, des débordements violents à proximité d'Agadir ont causé la mort de trois manifestants. Face à une fièvre contestataire comme le Maroc n'en avait pas connu depuis la révolte du Rif en 2016-2017, le gouvernement semble pris de court. Parmi les jeunes urbains de 15-24 ans, la moitié est sans emploi et un quart a déserté l'école. Des marches spontanées avaient déjà eu lieu, début juillet, dans le Haut-Atlas pour l'accès à l'eau, poussant le roi Mohammed VI à manifester son refus d'un « Maroc à deux vitesses », lors de son discours du trône le 29 juillet.Le mouvement actuel est spontané, sans tête d'affiche et assez flou sur le plan des revendications. Il n'a pas de plateforme ni de programme politique, mais défend des grands thèmes sociaux. Né d'une indignation générale face à la mort de huit femmes à la mi-septembre dans un hôpital d'Agadir après des accouchements par césarienne, il s'est structuré une dizaine de jours plus tard sur le réseau social Discord sous la bannière d'un collectif GenZ 212. Une déclinaison locale (212 est l'indicatif téléphonique du Maroc) d'une génération Z − née entre 1997 et 2012 − qui a déjà fait vaciller le pouvoir au Sri Lanka, au Bangladesh et au Népal, et enfiévré plus récemment Madagascar. Connexion numérique, aspiration à la dignité et rejet de la vieille politique : la jeunesse marocaine se met au diapason d'un soulèvement transnational. Les jeunes Marocains se gardent toutefois bien de franchir une ligne rouge : la sacralité de l'institution royale. Si nombre d'entre eux réclament la démission du chef de gouvernement Aziz Akhannouch, un homme d'affaires richissime, symbole d'une oligarchie conquérante, nul n'appelle à la fin de la monarchie, malgré l'acuité des doléances sociales.Déjà électrique, le climat social n'a cessé de se tendre, à mesure que les prestigieux projets lancés dans la perspective de la Coupe d'Afrique des nations de football, qui s'ouvre fin décembre, et de la Coupe du monde de 2030 − que le Maroc coorganisera avec l'Espagne et le Portugal −détournaient les financements des priorités sanitaires et éducatives. Le régime espérait désamorcer le ressentiment populaire dans le patriotisme sportif : il s'est trompé. « Des écoles et des hôpitaux, plutôt que des stades ! », clame en substance la jeunesse soulevée. La GenZ 212 braque une lumière crue sur l'envers de la vitrine scintillante d'un Maroc « émergent ». Le coup est rude pour l'image que le royaume aime à projeter de lui-même à l'étranger. Le roi Mohammed VI doit faire un discours d'ouverture de la session parlementaire, ce vendredi.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Arnaud, 36 ans, divorcé et père de deux enfants de 9 et 7 ans, vient de rompre avec la femme avec qui il a entretenu une relation pendant un an, à la suite de la révélation de son infidélité par sa maîtresse…Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invité du 8 octobre 2025 avec Richard Malka, avocat et ami d'Elisabeth et Robert BadinterRichard Malka est avocat, et ami d'Elisabeth et Robert Badinter. L'ancien Garde des Sceaux, Robert Badinter, entrera au Panthéon demain. Une veillée funèbre est organisée ce soir au Conseil constitutionnel, à la veille de la cérémonie.C'est un hommage de la nation à l'une des dernières grandes consciences de notre époque, Robert Badinter, qui sera rendu demain. 44 ans après l'abolition de la peine de mort en France, dont il est l'artisan, il entrera au Panthéon au nom de l'universalisme républicain, et reposera à coté de Condorcet.Cette cérémonie solennelle a été voulue par le président Emmanuel Macron, qui a fait de l'universalisme le fil conducteur de l'accès au grand temple républicain. C'est une "figure morale", un "énorme personnage" qui va reposer dans l'ancienne église devenue nécropole nationale au début de la Révolution, dit à l'AFP l'historien Denis Peschanski, spécialiste des questions de mémoire. Ce soir, la veillée funèbre, au Conseil constitutionnel, sera ouverte au public, qui pourra se recueillir devant le cercueil portant le nom de celui qui, parmi les nombreux engagements de sa vie, présida la juridiction de 1986 à 1995.Demain, la cérémonie soulignera le combat pour la justice de Robert Badinter, "qui incarne ce qu'est l'Etat de droit", selon la présidence. Et surtout l'abolition de la peine de mort, "un saut civilisationnel majeur dans l'histoire de la justice de notre pays", a estimé un conseiller d'Emmanuel Macron. Il s'agit de la cinquième panthéonisation sous les mandats d'Emmanuel Macron.RichardMalka, avocat, et ami d'Elisabeth et Robert Badinter, est notre invité. Il nous racontera ses souvenirs de Robert Badinter, et nous dira quel est son héritage.
Nathalie, 45 ans, a été victime d'inceste de la part de son père entre ses 6 et 10 ans. Aujourd'hui mariée et mère d'un garçon de 5 ans, elle se sent complètement déconnectée de ses envies et peine à trouver son identité...Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Selon l'OMS, chaque année, il y a près de 10 millions de personnes atteintes de démence dans le monde. Parmi elles, 60 à 70% seraient plus particulièrement touchées par la maladie d'Alzheimer. Santé Publique France estime qu'environ 900 000 Français en sont atteints. Maladie neurodégénérative affectant principalement la mémoire, la maladie d'Alzheimer peut également affecter le langage, le raisonnement, l'apprentissage… Quels sont les facteurs de risques ? Quand s'inquiéter ? Comment prévenir ou freiner l'évolution de la maladie ? Pr Philippe Amouyel, professeur de Santé publique au Centre Hospitalier Universitaire de Lille et directeur de la Fondation Alzheimer. Membre du Conseil mondial de la démence et coordonnateur de l'initiative internationale de recherche sur les maladies neuro-dégénératives. Auteur du livre Le Guide anti-Alzheimer. Les secrets d'un cerveau en pleine forme, aux éditions Cherche Midi Dr Premier Massamba, médecin gériatre à l'Hôpital de jour gériatrique Saint Joseph de Limete, à Kinshasa, en RDC. Un reportage de Thalie Mpouho. ► En fin d'émission, nous faisons le point sur Pasteurdon, opération annuelle d'appel aux dons de l'Institut Pasteur qui débute aujourd'hui et se poursuivra jusqu'au 12 octobre 2025. Interview du Dr Hervé Bourhy, responsable du Centre National de Référence pour la rage de l'Institut Pasteur à Paris. Programmation musicale : ► Yves Delbrah – Nkombe ► Zentone - Make You Cry.
Selon l'OMS, chaque année, il y a près de 10 millions de personnes atteintes de démence dans le monde. Parmi elles, 60 à 70% seraient plus particulièrement touchées par la maladie d'Alzheimer. Santé Publique France estime qu'environ 900 000 Français en sont atteints. Maladie neurodégénérative affectant principalement la mémoire, la maladie d'Alzheimer peut également affecter le langage, le raisonnement, l'apprentissage… Quels sont les facteurs de risques ? Quand s'inquiéter ? Comment prévenir ou freiner l'évolution de la maladie ? Pr Philippe Amouyel, professeur de Santé publique au Centre Hospitalier Universitaire de Lille et directeur de la Fondation Alzheimer. Membre du Conseil mondial de la démence et coordonnateur de l'initiative internationale de recherche sur les maladies neuro-dégénératives. Auteur du livre Le Guide anti-Alzheimer. Les secrets d'un cerveau en pleine forme, aux éditions Cherche Midi Dr Premier Massamba, médecin gériatre à l'Hôpital de jour gériatrique Saint Joseph de Limete, à Kinshasa, en RDC. Un reportage de Thalie Mpouho. ► En fin d'émission, nous faisons le point sur Pasteurdon, opération annuelle d'appel aux dons de l'Institut Pasteur qui débute aujourd'hui et se poursuivra jusqu'au 12 octobre 2025. Interview du Dr Hervé Bourhy, responsable du Centre National de Référence pour la rage de l'Institut Pasteur à Paris. Programmation musicale : ► Yves Delbrah – Nkombe ► Zentone - Make You Cry.
C dans l'air l'invité du 6 octobre 2025 avec Dominique Rousseau, constitutionnaliste, professeur à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.Déflagration politique ce matin : quelques heures à peine après avoir formé son gouvernement, Sébastien Lecornu a remis lundi sa démission, fragilisé de l'intérieur par la fronde des Républicains de Bruno Retailleau, une décision qui place Emmanuel Macron au pied du mur. Nomination d'un nouveau Premier ministre ? Dissolution de l'Assemblée ?Troisième Premier ministre désigné en un an depuis la dissolution de juin 2024, Sébastien Lecornu, nommé le 9 septembre et qui devait tenir son premier Conseil des ministres lundi, s'est rendu aux premières heures de la matinée à l'Élysée pour remettre sa démission au président, qui l'a acceptée. "Les conditions n'étaient plus remplies" pour rester, a-t-il déclaré un peu plus tard depuis Matignon, regrettant "les appétits partisans" ayant conduit à sa démission. Il a regretté que son offre de renoncer à l'article 49.3 de la Constitution pour redonner la main au Parlement n'avait "pas permis" d'évacuer la menace d'une censure agitée par la gauche et le Rassemblement national.Il s'agit du gouvernement le plus bref de la Ve République, à peine plus d'une douzaine d'heures. Sa chute plonge la France dans une crise politique sans précédent depuis des décennies.Dominique Rousseau, constitutionnaliste, professeur à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, est notre invité. Il analysera avec nous la situation politique inédite dans laquelle nous sommes. Il nous dira aussi quelles sont désormais les options du président de la République. Dissoudre une Assemblée figée en trois blocs ? Faire appel à un Premier ministre de gauche ? Faire appel à une personne non marquée à la tête d'un gouvernement technique ? Démissionner ? Et en cas de dissolution, dans quel délai doivent être organisée des élections législatives ?
Fred, 50 ans, père de deux filles de 26 et 8 ans, décide enfin, après trois mariages et trois divorces, de comprendre et de changer sa façon de vivre ses relations amoureuses, au lieu de tenir ses ex-femmes responsables de ses échecs…Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au menu de l'actualité : le Conseil de sécurité marque les 25 ans de l'agenda femmes, paix et sécurité
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 5 octobre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LE PROJET DE BUDGET DE LECORNUUne première version du projet de loi de finances pour 2026 a été transmise jeudi pour avis au Haut conseil des finances publiques. La transmission de ce projet de loi marque le coup d'envoi du processus de discussion du budget. Le Haut conseil, un organisme indépendant placé auprès de la Cour des comptes, disposera ensuite de sept jours pour rendre son avis, destiné à être rendu public lors de la présentation formelle du budget par le gouvernement. Le texte devrait être déposé à l'Assemblée nationale au plus tard le 13 octobre, de façon que le Parlement dispose des 70 jours prévus par la Constitution pour en débattre.Le même jour, à la veille des rencontres organisées à Matignon avec le Parti socialiste et le Rassemblement national, l'entourage de Sébastien Lecornu a laissé fuiter quatre pistes de soutien au pouvoir d'achat en précisant toutefois que « rien n'est arbitré ». Il s'agirait de favoriser davantage les heures supplémentaires par une défiscalisation et un allègement des charges sociales ;d'alléger l'impôt sur le revenu des couples modestes : en améliorant le mécanisme de « décote », afin de l'aligner sur l'avantage accordé aux célibataires touchant des montants équivalents. De défiscaliser à nouveau les «primes Macron » les primes des salariés gagnant moins de trois fois le SMIC en 2026. D'encourager les dons familiaux en direction des jeunes générations.Selon le journal Les Échos, le projet de budget inclurait une « année blanche » comprenant le gel du barème de l'impôt sur le revenu et de toutes les pensions de retraite, ainsi que le relèvement du taux du « prélèvement forfaitaire unique » sur les revenus du capital. L'augmentation de la flat tax jusqu'à 36%, rapporterait 1,5 milliard d'euros. Le texte devrait comporter une mesure anti-optimisation centrée sur les holdings, certains contribuables très aisés y stockant de l'argent afin d'échapper à l'impôt. Des mesures seraient également en préparation pour lutter contre l'optimisation des Pactes Dutreil, cet outil fiscal conçu pour réduire la fiscalité des transmissions et donations des entreprises afin de préserver l'outil productif. Quant à la surtaxe d'impôt sur les sociétés, elle serait reconduite d'un an, mais son taux serait divisé par deux par rapport à celui appliqué en 2025. Son rendement attendrait ainsi de l'ordre de 4 milliards d'euros.Vendredi, le Premier ministre s'est engagé à ne pas utiliser l'article 49 alinéa 3 de la Constitution pour faire adopter son budget. L'idée n'est pas nouvelle : entre 1997 et 2002, le premier ministre Lionel Jospin, à la tête d'une « majorité plurielle », avait renoncé à son usage. Si les débats budgétaires s'enlisaient à l'Assemblée, faute de majorité, la méthode Lecornu pourrait dès lors aboutir à l'élaboration d'une loi spéciale ou par le passage du budget par voie d'ordonnances, une première sous la Ve République.SÉCURITÉ EUROPÉENNE FACE AUX MENACES RUSSES APRÈS COPENHAGUEL'Europe est soumise, ces derniers jours, à une série de défis : la Russie teste la capacité de plusieurs pays du nord de l'Europe à faire face à des envois de drones sur leurs aéroports. Elle viole régulièrement l'espace aérien de certains membres de l'Otan afin de mesurer leurs capacités de défense antiaérienne. Oslo, Copenhague, Munich ont été victimes des mêmes survols de drones non identifiés, contraignant les autorités danoises, norvégiennes et allemandes à fermer provisoirement leur espace aérien au-dessus de certains aéroports. Contrairement aux Ukrainiens, les Européens n'ont guère d'expérience dans le domaine de la lutte contre les drones.Dans ce contexte, lundi, Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission, a dévoilé, une première cartographie de la « préparation 2030 », date à laquelle l'Europe doit être prête à se défendre par elle-même en cas d'agression russe. Les analyses des services de renseignement européens convergent : dans les trois à cinq prochaines années, la Russie pourrait être en mesure d'attaquer un pays de l'Union européenne ou de l'Otan si une paix en Ukraine lui permettait de se réarmer, et si l'Europe ne pouvait pas compter sur le soutien américain. Les États membres ont identifié neuf domaines capacitaires prioritaires dans lesquels l'Europe doit combler ses lacunes d'ici à 2030 : défense aérienne et antimissile, systèmes d'artillerie, missiles et munitions, cyber et guerre électronique, drones et anti-drones, combat terrestre, capacités maritimes, mobilité militaire et « capacités stratégiques habilitantes ».En vue de renforcer la défense du continent face à la menace russe, les dirigeants des 27 pays de l'Union européenne se sont retrouvés mercredi à Copenhague. Les discussions ont porté principalement sur trois axes : le développement capacitaire conjoint, les « projets phares » - comme le mur de drones ou la surveillance du flanc oriental - et la montée en puissance de l'industrie de défense européenne. Afin d'accélérer la montée en puissance militaire du continent, l'Union européenne a adopté en juin dernier le Security Action For Europe (SAFE), un instrument financier de prêts de 150 milliards d'euros. Environ 100 milliards sont alloués au flanc oriental de l'Europe : 43,7 milliards pour la Pologne, 16,7 milliards pour la Roumanie, 16,2 milliards pour la Hongrie. Cette concentration géographique reflète une réalité diverse. Chaque pays défend actuellement sa portion de frontière d'une manière légèrement différente, à l'aide de systèmes qui vont du plus sophistiqué au moins élaboré. Cette réunion sans conclusion écrite a permis de décanter des sujets qui seront finalisés les 23 et 24 octobre prochains lors du Conseil européen à Bruxelles. Objectif : combler les lacunes et favoriser des acquisitions conjointes pour lutter contre « la fragmentation de nos efforts à travers des initiatives nationales non coordonnées ».Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Anne-Laure, 33 ans, mariée depuis un an, est en conflit avec ses beaux-parents et n'a plus envie de leur rendre visite car elle craint, dans ces moments de rencontres familiales, de voir son homme redevenir un enfant face à eux...Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la paralysie budgétaire aux États-Unis, la présence d'un pétrolier russe au large des côtes françaises et la création d'une nouvelle force antigang pour Haïti. Joseph Kabila condamné à la peine capitale, quelles sont les preuves ? L'ancien président de la RDC a été condamné à la peine de mort notamment pour «crimes de guerre», «trahison» et «organisation d'un mouvement insurrectionnel» pour ses liens présumés avec le mouvement politico-militaire AFC/M23. Sur quelles preuves la Haute cour militaire s'est-elle basée ? Comment expliquer un tel verdict alors que les parties civiles demandaient la réclusion à perpétuité ? Avec Paulina Zidi, correspondante permanente de RFI à Kinshasa. États-Unis : le pays paralysé par un nouveau «shutdown» Faute d'accord entre les Républicains et les Démocrates sur le vote du budget fédéral, les États-Unis sont entrés en situation de «shutdown» depuis mercredi (1er octobre 2025). Qu'est-ce que cela signifie ? Quelles en sont les conséquences ? Pourquoi la première puissance mondiale se retrouve, une nouvelle fois, sans budget fédéral ? Avec Stéphane Geneste, journaliste au service économie de RFI, présente la chronique «Aujourd'hui l'économie». France : que faisait le navire fantôme russe au large de Saint-Nazaire ? Suspecté d'avoir servi de plateforme de lancement aux drones qui ont survolé le Danemark, un pétrolier de la flotte fantôme russe a été intercepté au large de Saint-Nazaire, dans le sud de la Bretagne. Comment expliquer la présence de ce navire si près des côtes françaises ? Quels éléments permettent de penser qu'il est impliqué dans les récents survols de drones au Danemark ? Avec Cyrille Bret, géopoliticien, maître de conférences à Sciences Po Paris, chercheur associé spécialiste de la Russie et de l'Europe orientale à l'Institut Jacques Delors. Haïti : la nouvelle force antigang sera-t-elle plus offensive ? La mission multinationale d'appui à la sécurité en Haïti, menée par le Kenya, va céder la place à une nouvelle force chargée de lutter contre les gangs. Approuvée par le Conseil de sécurité de l'ONU, cette nouvelle mission sera-t-elle si différente de l'ancienne ? De quels moyens disposera-t-elle ? Avec Jean-Marie Theodat, directeur du département de Géographie à l'Université Panthéon-Sorbonne.
La cheffe de la Mission de paix des Nations Unies en République démocratique du Congo (MONUSCO), Bintou Keita, demande à la population de l'est de la RDC de ne pas perdre espoir après des années de conflit.Dans un entretien accordé à ONU Info quelques jours après avoir fait un exposé de la situation dans le pays devant les membres du Conseil de sécurité de l'ONU à New York, elle a souligné que le gouvernement congolais, les Nations Unies et la communauté internationale dans son ensemble sont « déterminés » à ramener la paix dans cette région.« Nous savons que c'est très difficile au quotidien », a-t-elle reconnu, notant que le fossé est encore « très grand » pour arriver à une traduction de ces efforts diplomatiques sur le terrain. Selon elle, « il y a beaucoup de résilience » chez les Congolais « malgré toutes les souffrances ». Entretien réalisé par Jérôme Bernard
durée : 00:03:05 - Le monde à l'endroit - Les électeurs tchèques sont appelés aux urnes, demain et après-demain. En tête des sondages, Andrej Babiš, un milliardaire populiste qui cible les réfugiés ukrainiens. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Julien, 34 ans et célibataire depuis toujours, consomme de la pornographie depuis qu'il a 14 ans et de la prostitution depuis qu'il a 18 ans. Il se demande comment arrêter car il prend conscience que ça l'isole et l'empêche de se mettre en couple...Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Léo et Julia, 38 ans, sont ensemble, et malgré l'amour qu'ils partagent, Léo a continué d'avoir des relations sexuelles avec son ex jusqu'à ce que Julia le découvre, et que cette révélation fasse l'effet d'un électrochoc...Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lors de l'événement ALL IN, j'ai rencontré Anne Nguyen, directrice responsable de l'IA au Conseil de l'innovation du Québec. Elle est au cœur des initiatives qui visent à soutenir l'adoption de l'intelligence artificielle dans toutes les régions, des grandes villes jusqu'aux communautés locales et autochtones. Dans cet entretien, elle partage sa vision d'une IA responsable comme moteur de compétitivité, explique la création de la Brigade IA pour épauler les entreprises et les organisations, et revient sur la collaboration annoncée avec l'Union des municipalités du Québec. Une discussion qui illustre comment l'innovation et l'IA façonnent déjà l'avenir du Québec.
C dans l'air l'invitée du 29 septembre 2025 avec Alain Juppé, ancien Premier ministre, auteur de "L'heure du choix" (éditions Tallandier).Dans son dernier livre, l'ancien Premier ministre et maire de Bordeaux, Alain Juppé, défend la vision d'une Europe forte et indépendante. Il se positionne aussi contre les remises en cause de l'Etat de droit. En tant que membre du Conseil constitutionnel, il rappelle l'importance de la séparation des pouvoirs. "On entend souvent dénoncer le gouvernement des juges, de plus en plus régulièrement des décisions de justice sont critiquées", écrit-il. Un constat d'actualité, alors que la condamnation historique de Nicolas Sarkozy à 5 ans de prison ferme pour "association de malfaiteurs", est survenue jeudi dernier, et provoque de nombreuses réactions.Alain Juppé, ancien Premier ministre, auteur de "L'heure du choix", aux éditions Tallandier, est notre invité. Il reviendra avec nous sur sa vision de la séparation des pouvoirs et du respect de l'Etat de Droit. Il plaidera aussi pour une indépendance renforcée de l'Europe, qu'il appelle de ses voeux. Il nous dira aussi comment, selon lui, notre démocratie pourrait être redynamisée, en associant davantage les Français au débat public.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sophie, 30 ans, a vécu une relation toxique et violente pendant 7 ans. Aujourd'hui, elle tombe amoureuse d'hommes indisponibles émotionnellement et se demande pourquoi ce schéma se répète et si sa relation avec son père y est pour quelque chose…Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'atelier des médias est délocalisé à Bucarest, en Roumanie, alors que se tiennent dimanche des élections législatives cruciales en Moldavie voisine. Pour discuter des enjeux informationnels autour de ce scrutin, Steven Jambot reçoit Ovidio Nahoi, rédacteur en chef de RFI România, et Cristina Dobreanu, cheffe des environnements numériques de RFI România et coordinatrice du média ENTR en Roumanie. Aussi, par téléphone de Chișinău, la vice-présidente du Conseil de l'audiovisuel de Moldavie, instance de régulation des radios et télévisions moldaves, Aneta Gonța. Les enjeux de ce scrutin sont considérés comme « fondamentaux pour l'orientation politique de ce pays dans le contexte régional très tendu », explique Ovidio Nahoi. Il souligne qu'une victoire du camp pro-russe transformerait la République de Moldavie en point de fixation « pour la guerre hybride russe en Roumanie et dans la région ». Face à cette menace, RFI România adapte son dispositif, notamment via son émission quotidienne Moldova Zoom et des reportages sur le terrain, dont certains réalisés en collaboration avec Deutche Welle (DW). Ces reportages visent des zones « qui sont plutôt grises ou qui sont pourquoi pas prorusses », comme à proximité de la Transnistrie. Cristina Dobreanu insiste sur le fait que la désinformation prend la forme d'une « guerre idéologique », évoquant des faux discours d'une l'annexion de la Moldavie par la Roumanie ou une « colonisation économique » par l'UE. Les médias s'efforcent d'offrir une perspective de terrain, allant à la rencontre des citoyens habituels pour raconter leurs histoires. Du côté de la régulation, Aneta Gonța explique que le Conseil de l'audiovisuel veille à ce que les radios et télévisions respectent la loi et les normes déontologiques, notamment concernant les campagnes agressives de désinformation. Le CA est obligé de présenter des rapports hebdomadaires à la commission électorale centrale et distribue des amendes en cas de violation grave. Des sanctions ont été imposées récemment pour la diffusion d'émissions de promotion électorale contenant de la propagande anti-LGBT. Cependant, le pouvoir du régulateur moldave est limité. Aneta Gonța déplore que « malheureusement, le Conseil de l'audiovisuel moldave n'a pour l'instant pas les mêmes compétences que le Conseil national de l'audiovisuel roumain », notamment sur les services non linéaires (en ligne). Elle exprime également une frustration quant aux territoires sécessionnistes : si le CA n'a aucun pouvoir en Transnistrie, les distributeurs de la région de Gagaouzie refusent de respecter la loi moldave. Dans la sphère numérique, jugée « plus dangereux » à cause de plateformes comme TikTok et Telegram, RFI România s'associe à l'innovation, étant partenaire du projet ChatEurope. Ce robot conversationnel utilise l'intelligence artificielle pour fournir des réponses vérifiées par des journalistes, garantissant ainsi qu'il n'y aura pas « de fausses réponses ».
Éric, 39 ans, marié et père de 2 enfants de 4 ans et 11 mois, ne partage plus rien avec sa femme depuis qu'elle est devenue mère et s'apprête à la quitter pour vivre avec la maîtresse avec qui il entretient une relation depuis un an…Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste, nous faisons le point sur l'actualité haïtienne, et tout d'abord sur la situation à l'Estère. «Malgré la présence des groupes d'autodéfense, les assaillants poursuivent leurs attaques sans s'inquiéter d'une quelconque intervention policière», peut-on lire sur le site du Nouvelliste. Des membres du gang Kokorat qui cherchent à s'emparer du commissariat de cette commune agricole riche. L'Hôpital général de Port-au-Prince va déménager. Le ministère de la Santé publique et de la Population et le ministère de l'Économie et des Finances ont signé un protocole d'accord en vue de sa relocalisation provisoire. «Les autorités abandonnent le centre-ville de Port-au-Prince aux gangs», se désole notre confrère. Les mises en garde du chargé d'affaires américain en Haïti «Vos postes ne sont pas à vie», a déclaré Henry Wooster à l'adresse des membres du Conseil présidentiel de transition (CPT) lors d'un échange avec des journalistes à New York, ce mercredi. Le chargé d'affaires des USA en Haïti leur a rappelé qu'ils devaient organiser des élections et se préparer à partir car le mandat du CPT expire en février 2026, rappelle Frantz Duval. Enfin, l'homme d'affaires Dimitri Vorbe a été arrêté aux États-Unis, nous apprend également le Nouvelliste. Le Pérou cherche à mieux lutter contre le trafic de drogue Au Pérou, deuxième plus gros producteur de cocaïne, les autorités tentent de réguler le trafic de drogue, notamment en l'empêchant de sortir du pays. Reportage à l'aéroport de Lima avec les agents de la police anti-drogue de notre correspondant, Martin Chabal. Le journal de la 1ère Il est question des sargasses en Guadeloupe.
durée : 00:11:08 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Le 1er Septembre 1939, le Reich a lâché ses panzers sur la Pologne. Côté français, le même jour, le Président du Conseil, Edouard Daladier, a ordonné la mobilisation générale et le 3, se conformant à ses engagements, la France conjointement au Royaume-Uni, a déclaré la guerre à l'Allemagne... - invités : Fabrice Grenard - Fabrice Grenard : Historien, directeur scientifique de la Fondation de la Résistance - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce mardi 23 septembre, le rapport choc du CPO (Conseil des prélèvements obligatoires) sur les impôts, et le débat qui s'enflamme autour de la question de la succession en Allemagne, ont été abordés par Roland Gillet, professeur d'économie à Paris-Sorbonne et à l'Université Libre de Bruxelles, Jean-Marc Daniel, éditorialiste à BFM Business, et Rafik Smati, président directeur général du Groupe Aventers, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:11:08 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Le 1er Septembre 1939, le Reich a lâché ses panzers sur la Pologne. Côté français, le même jour, le Président du Conseil, Edouard Daladier, a ordonné la mobilisation générale et le 3, se conformant à ses engagements, la France conjointement au Royaume-Uni, a déclaré la guerre à l'Allemagne... - invités : Fabrice Grenard - Fabrice Grenard : Historien, directeur scientifique de la Fondation de la Résistance - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Les représentants des 32 pays de l'Otan vont se réunir ce mardi matin, à Bruxelles, à la demande de l'Estonie, après une incursion russe vendredi dans l'espace aérien de ce pays balte. En Pologne aussi, la situation inquiète. Quelques jours seulement après l'incursion de 21 drones russes dans l'espace aérien polonais, les alarmes ont retenti dans la petite ville de Chełm lorsque les drones russes se sont dangereusement rapprochés de la région. La ville est située à peine à 25 kilomètres de la frontière avec l'Ukraine et l'alerte a révélé le manque de préparation des habitants face à ce genre de menaces. RFI a rencontré ces citoyens qui ignorent comment se comporter en situation de crise. À lire aussiIncursions russes en Pologne et en Estonie : qu'est-ce que le recours à l'article 4 de l'Otan? À lire aussiIncursion russe : le Conseil de sécurité de l'ONU et l'Otan se réunissent à la demande de l'Estonie
Ce lundi 22 septembre, Raphaël Legendre a reçu Léonidas Kalogeropoulos, PDG de Médiation & Arguments, Ludovic Sesautez, directeur délégué de la rédaction de La Tribune, et Xavier Jaravel, président délégué du Conseil d'Analyse Économique, dans l'émission Les Experts sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 22 septembre, la mission "État efficace" mise en place par Sébastien Lecornu été abordée par Léonidas Kalogeropoulos, PDG de Médiation & Arguments, Ludovic Sesautez, directeur délégué de la rédaction de La Tribune, et Xavier Jaravel, président délégué du Conseil d'Analyse Économique, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 22 septembre, la question de l'imposition de la taxe Zucman a été abordée par Léonidas Kalogeropoulos, PDG de Médiation & Arguments, Ludovic Sesautez, directeur délégué de la rédaction de La Tribune, et Xavier Jaravel, président délégué du Conseil d'Analyse Économique, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
L'Assemblée générale des Nations unies (qui célèbre ses 80 ans cette année) s'ouvre cette semaine à New York. Il y a un an, lors de ce rendez-vous, Joe Biden, alors président des États-Unis, s'engageait en faveur de deux sièges permanents pour l'Afrique au Conseil de sécurité de l'ONU. Un an plus tard, cet espoir s'est-il envolé ? Directeur régional de l'Institut d'études de sécurité pour l'Afrique de l'Est, Paul-Simon Handy répond aux questions de Florence Morice. RFI : La France va pousser à New York cette semaine pour une réforme du Conseil de sécurité. Est-ce que l'Afrique a une chance de décrocher enfin un ou plusieurs sièges de membres permanents de ce Conseil ? Paul-Simon Handy : Je ne pense pas que ça se décide cette année. Il y a un consensus grandissant parmi les cinq membres permanents du Conseil de sécurité sur le fait que le Conseil, tel qu'il est, ne peut plus résoudre les problèmes mondiaux et qu'il faille l'élargir, mais surtout aussi qu'il faille que l'Afrique soit représentée. Mais une fois qu'on a exprimé cela, on n'a pas résolu le problème qui est que si tout le monde s'accorde sur l'élargissement, personne n'est d'accord sur les modalités pour y arriver. Comment expliquez-vous que, sur le principe au moins, chacun s'accorde désormais sur cette nécessité d'un élargissement du Conseil de sécurité au continent africain ? Pour l'Afrique, ce qui a été important, c'était la réalisation aussi du fait que l'Afrique est probablement la dernière frontière, comme on dit, le nouvel espace du développement. La croissance mondiale, ne fois qu'elle va s'estomper en Asie, elle va se passer en Afrique. Et je pense que pour tous ceux qui veulent faire des affaires en Afrique, il faudrait pouvoir donner quelque chose en échange à l'Afrique. Je pense donc que c'est politiquement que l'Afrique a grandi en importance. Et ceci se reflète maintenant dans le fait qu'on envisage de plus en plus qu'elle ait un siège au Conseil. Ce qui coince notamment, c'est la question du droit de veto. Les membres actuels ne veulent pas le partager avec de nouveaux entrants. Est-ce qu'il y a eu des avancées ou des évolutions à ce sujet cette année ? Il y a très peu de mouvement sur la question de veto. Il y a beaucoup d'options qui sont sur la table. L'une des options, c'est qu'on élargisse le veto à tout le monde, y compris les nouveaux, ou alors qu'on l'abolisse pour tout le monde. Mais si on fait perdre ce droit à ses détenteurs aujourd'hui, il faudrait leur donner quelque chose en échange. Et c'est justement sur cet aspect que les discussions ne sont pas encore achevées. Un autre problème, c'est que, en cas d'élargissement, il n'y a pas de consensus entre les pays africains sur la manière de choisir les deux pays qui occuperaient ces deux sièges permanents, où on est-on sur ce sujet ? A cette question, les pays africains généralement ont une parade. Ils disent « mettons nous d'accord sur le principe et nous vous présenterons les deux représentants de l'Afrique », ce qui permet de gagner du temps à vrai dire. On sait très bien qu'il sera difficile de trouver deux représentants parce que les prétendants sont nombreux et les critères pour la représentation sont assez précis. Il n'y a pas beaucoup de pays africains industrialisés qui auraient les moyens, une fois membre du Conseil de sécurité, de contribuer financièrement, matériellement aux décisions, à la mise en œuvre des décisions prises par le Conseil de sécurité. Mais donc où en est-on sur le mode de désignation, toujours d'un côté l'Union africaine qui a créé le C10, un groupe de pays chargés de négocier, mais de l'autre côté, des pays tels que l'Égypte et l'Afrique du Sud qui négocient de leur côté ? Le C10 est au moins l'instance officielle. Il est le lieu où les propositions officielles sont discutées. Mais il y a, à côté du C10, énormément de forums informels. Je pense que l'Afrique du Sud et l'Égypte mènent une campagne active, discrète - parce que, d'un autre côté, ils ne veulent pas non plus apparaître comme faisant cavalier seul - discrète, mais très efficace. Ils ont élargi leurs négociations parce qu'ils sentent qu'il y a une vraie opportunité ces temps-ci. Mais ils ont des concurrents, des pays comme le Nigeria et certains autres pays du Maghreb, qui ont tout à fait le potentiel pour représenter l'Afrique et même un pays de plus en plus comme l'Éthiopie, qui, de plus en plus, veut avoir voix au chapitre de la géopolitique africaine et mondiale. Ce ne sera pas facile pour les candidats individuels. Il sera beaucoup question de Gaza à New York. Qu'en sera-t-il du Soudan ? Selon les Nations Unies, c'est la plus grande crise humanitaire au monde avec un risque de génocide jugé « très élevé ». Est-ce que c'est à l'agenda ? Le Soudan est une vraie urgence, mais une urgence qui malheureusement se mêle à d'autres urgences internationales qui la relèguent un peu au dernier plan. Mais c'est un vrai danger. Le monde regarde ailleurs et risque après de devoir investir encore beaucoup d'argent pour payer les conséquences de la négligence actuelle.
Ici il ne s'agit pas de faire face au sens de "l'opposition" mais bien de trouver des solutions pour habiter encore les territoires en dépit de ses fléaux. Pour exemple, dans les DOM-TOM, il faudra, sur un temps long, déplacer sensiblement le village de Miquelon pour échapper à sa submersion marine. Ce positionnement d'une agence d'urbanisme mure, qui accompagne les habitants et les collectivités territoriales, nous intéresse beaucoup. Il nous permet d'interroger puis de mesurer le "coefficient" de l'intérêt général, et son importance en période de pleine instabilité politique. L'agence Métamorphoses Urbaines nous apparaît ainsi, tel un socle de compétences et de résilience, qui permettra à la ville d'opérer ses mutations tout en préservant ses richesses culturelles dans les décennies à venir. C'est pourquoi nous avons choisi d'ouvrir les interviews de la Saison 7 en studio, juste après le cas d'école "Les Fabriques" in situ à Marseille (agence Brenac & Gonzalez & Associés), par l'interview du dirigeant et fondateur de Métamorphoses Urbaines, Laurent Pinon.Dans cet échange avec Anne-Charlotte, vous y trouverez tous les ingrédients qui vous permettront de croire en l'avenir : le parcours de Laurent, son dévouement envers les populations, son écoute attentive, son travail ouvert aux autres disciplines, son acuité pour l'élaboration d'un bon diagnostic et du bon traitement, tel un médecin des territoires !Conseil audio Nyre Image teaser © comdarchipodcast____Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pour retrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichir votre regard sur le sujet.Bonne semaine à tous ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:02:49 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Quel est le rapport entre André Malraux, écrivain et ministre, et le Palais du Facteur Cheval ? Celui-ci a été classé Monument historique grâce à Malraux. En 2008, François Chaslin consacre deux numéros de "Métropolitains" sur l'action du ministre envers l'architecture et sa conservation. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Henri Godard Auteur , professeur à la Sorbonne, spécialiste du roman français du XX° siècle; Maryvonne de Saint Pulgent autrice, présidente de section honoraire au Conseil d'État, ancienne directrice du patrimoine au Ministère de la Culture (1993-1997); François Loyer Historien de l'art et de l'architecture des XIX° et XX° siècles, de l'Art nouveau, de Paris, des questions patrimoniales; André Malraux Écrivain et homme politique français
C dans l'air l'invitée du 18 septembre 2025 avec Dominique de Villepin, ancien Premier ministreEmmanuel Macron a prévu d'annoncer la reconnaissance officielle de l'État de Palestine par la France devant l'Assemblée générale des Nations Unies, lundi 22 septembre. Le chef de l'Etat mise sur cet événement diplomatique de grande envergure pour donner un nouvel élan au processus de paix au Proche-Orient.Si la décision française ne dépend d'aucune instance internationale, ni d'un mécanisme législatif particulier, comme d'un vote du Parlement, elle procède néanmoins d'un effort diplomatique plus large, conjointement mené avec l'Arabie saoudite. Un texte a été rédigé, désormais connu comme la « Déclaration de New York », et constitue une feuille de route vers un retour de la paix dans la région. Ce document prévoit « un règlement juste, pacifique et durable du conflit israélo-palestinien, fondé sur la mise en œuvre effective de la solution à deux États ». La « Déclaration de New York » exclut également le Hamas des démarches diplomatiques et politiques, insistant sur la nécessité de désarmer le mouvement islamiste qui contrôle la bande de Gaza depuis 2006, et qui a perpétré les attaques terroristes du 7 octobre 2023 contre Israël. À ce jour, 148 pays membres sur 193 reconnaissent l'Etat palestinien. Avec la France et le Royaume-Uni, ce sont désormais quatre des cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies – l'organe exécutif de l'ONU -, qui valideront cette reconnaissance, la Chine et la Russie l'ayant fait dès la fin des années 1980.Dominique de Villepin, ancien Premier ministre et ancien ministre français de l'Intérieur et des Affaires étrangères, est notre invité. Il nous donnera son analyse sur le choix de la France de reconnaître un Etat palestinien lundi prochain. Il répondra aussi à nos questions sur l'actualité sociale en France, alors que des manifestations et grèves sont en cours partout en France aujourd'hui.