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durée : 00:39:10 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Le 18 novembre 2025, onze sénateurs ont proposé de mettre fin, au 1er janvier 2026, au remboursement des soins et prestations "se réclamant de la psychanalyse ou reposant sur des fondements théoriques psychanalytiques". - invités : Elsa Godart psychanalyste, philosophe et chercheur statutaire à l'Université Gustave Eiffel. ; Franck Ramus Directeur de recherche CNRS en Sciences cognitives à l'École normale supérieure. Membre du Conseil scientifique de l'Éducation nationale.; Louis Sciara psychiatre, psychanalyste, ancien directeur du cmpp de Villeneuve-Saint-Georges
Ce vendredi 21 novembre, les impacts de la hausse de la taxe foncière sur le consentement à l'impôt ont été abordés par Xavier Jaravel, président délégué du Conseil d'Analyse Économique, Jean-Marc Vittori, éditorialiste aux Echos, et Ludovic Desautez, directeur délégué de la rédaction de La Tribune, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce vendredi 21 novembre, les réformes urgentes à mener dans l'éducation pour remédier à la baisse du niveau scolaire en France, ainsi que le plan de relance économique exemplaire du Japon, ont été abordés par Xavier Jaravel, président délégué du Conseil d'Analyse Économique, Jean-Marc Vittori, éditorialiste aux Echos, et Ludovic Desautez, directeur délégué de la rédaction de La Tribune, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce vendredi 21 novembre, Raphaël Legendre a reçu Xavier Jaravel, président délégué du Conseil d'Analyse Économique, Jean-Marc Vittori, éditorialiste aux Echos, et Ludovic Desautez, directeur délégué de la rédaction de La Tribune, dans l'émission Les Experts sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:39:10 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Le 18 novembre 2025, onze sénateurs ont proposé de mettre fin, au 1er janvier 2026, au remboursement des soins et prestations "se réclamant de la psychanalyse ou reposant sur des fondements théoriques psychanalytiques". - invités : Elsa Godart psychanalyste, philosophe et chercheur statutaire à l'Université Gustave Eiffel. ; Franck Ramus Directeur de recherche CNRS en Sciences cognitives à l'École normale supérieure. Membre du Conseil scientifique de l'Éducation nationale.; Louis Sciara psychiatre, psychanalyste, ancien directeur du cmpp de Villeneuve-Saint-Georges
Comment accompagner les parents sans tomber dans la culpabilisation, face à l'injonction de la parentalité « parfaite » ? Entre conseils contradictoires, solitude et pression sociale, les familles cherchent souvent leur équilibre au quotidien.Dans cet épisode de Papatriarcat, Cédric Rostien reçoit Gaëlle, psychomotricienne et fondatrice d' Éveil & Conseil. Forte de son expérience et de son engagement pour une parentalité nuancée, Gaëlle partage des clés pour mieux soutenir les parents, s'informer sans se perdre, et placer les besoins de l'enfant au cœur de l'accompagnement. Au programme :Pourquoi la prévention en parentalité est essentielle (et encore trop rare en France)Comment naviguer dans le flot d'informations, entre réseaux sociaux, experts et marketingLa place de la nuance face aux conseils tout faits et aux méthodes « miracles »Quels sont les besoins réels de l'enfant… et ceux des parents ?L'importance de l'attachement, des émotions et de la réparation dans la relation parent-enfantCet épisode offre des réponses concrètes à des questions que se posent de nombreux parents :Comment éviter de culpabiliser face aux conseils contradictoires ?Que faire quand différents professionnels recommandent des approches opposées ?Comment trouver un juste milieu entre écoute des besoins de l'enfant et gestion de sa propre fatigue de parent ?Que signifie vraiment « se faire confiance » en tant que parent ?Quels repères pour se sentir moins seul et mieux entouré en tant que famille ?
Claire, 35 ans, mariée et mère de trois jeunes enfants, a vécu un burn-out maternel. En réalité, elle ne trouve pas de satisfaction à être mère au foyer et ressent que cette situation a des répercussions sur sa relation avec ses enfants et son mari...Abonnez-vous ou mettez un avis 5 étoiles si cette consultation vous a aidé !Découvrez toutes mes ressources et mes propositions sur mon site : www.theresehargot.comSuivez-moi sur mes réseaux : InstagramYoutubeTik TokFacebookLinkedInA très bientôt pour une nouvelle consultation !ThérèseHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plongez dans une aventure sonore inédite avec un podcast imaginé pour accompagner l'exposition « 1725 : Des alliés amérindiens à la cour de Louis XV » au château de Versailles en partenariat avec le Musée du Quai Branly Jacques Chirac. Ce podcast fiction vous emmène au cœur du voyage extraordinaire d'une délégation amérindienne venue rencontrer le jeune Louis XV en 1725. À travers une histoire captivante, accessible à tous de 7 à 77 ans, découvrez cette rencontre marquante entre deux cultures et les liens tissés entre la France et les nations autochtones d'Amérique du Nord au XVIIIe siècle. Conseil : écoutez ce podcast avant votre visite pour entrer dans l'ambiance… ou après l'exposition pour prolonger et enrichir l'expérience ! En 1725, quatre chefs amérindiens et une femme amérindienne de la vallée du Mississippi sont reçus en France dans le cadre d'un voyage diplomatique historique. Ce podcast offrira une occasion de découvrir l'histoire et la vie des nations amérindiennes de la vallée du Mississippi au XVIIIe siècle, leurs liens avec la France, l'extraordinaire traversée de l'Atlantique de leurs chefs, et la rencontre de ces derniers avec Louis XV, la Cour et la capitale.1725 - Des alliés amérindiens à la cour de Louis XV - Château de Versailles une exposition à découvrir au château de Versailles jusqu'au 3 mai 2026.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Notre épisode revient cette semaine sur l'adoption, le 18 novembre, par les sénateurs du projet de loi relatif à la lutte contre les fraudes sociales et fiscales, un peu plus d'un mois après sa présentation en Conseil des ministres. A l'occasion de la 29e Semaine européenne pour l'emploi des personnes handicapées, organisée du 17 au 23 novembre, nous évoquons aussi les résultats deux études : celles de l'Ifop menée pour le compte LADAPT, l'Agefiph et le FIPHFP, et celle de Dares sur l'obligation d'emploi des travailleurs handicapés (OETH). Notre « focus texte » se penche sur le nouvel accord handicap signé chez Total Energies. Le texte fixe des objectifs chiffrés de recrutement et incite les salariés de l'entreprise en situation de handicap à se déclarer comme tels. Notre chiffre de la semaine est issu d'une étude de l'Apec sur la transparence salariale qui montre le peu d'empressement des entreprises françaises à se saisir des obligations contenues dans la directive européenne sur la transparence des rémunérations qui doit être transposée en France d'ici le 7 juin 2026.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode de « Quelques minutes avec », je reçois Gaëlle, psychomotricienne et fondatrice d'Éveil & Conseil, un collectif de professionnelles de santé qui accompagne les familles avec une approche nuancée et centrée sur les besoins réels des enfants. On parle du développement psychomoteur, de ce fameux « si j'avais su » qui pèse sur tant de parents, du paradoxe d'une parentalité sur-informée mais souvent perdue, et de l'importance de remettre l'enfant, et ses droits, au centre.Gaëlle partage aussi des exemples concrets issus du terrain : la prévention oubliée, les recommandations parfois trop rigides, la nuance nécessaire autour du transat, du RGO, du sommeil, ou encore de cette pression permanente qui pèse sur les mères comme sur les pères. On évoque enfin l'application All in Family, gratuite et pensée pour offrir du contenu fiable, sourcé et accessible à toutes les familles, ainsi que des espaces de discussion sécurisants.Une mise en bouche pour un épisode complet où on parle responsabilité parentale, attachement, prévention, charge mentale, solitude des parents, désaccords entre professionnels, et surtout la possibilité de réparer la relation quand les débuts ont été difficiles.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la sentence d'un ancien chef de guerre soudanais, la force internationale à Gaza et les tensions entre Washington et Caracas. Mbappé-PSG : un bras de fer à plus de 700 millions d'euros Alors que Kylian Mbappé réclame 263 millions d'euros au Paris Saint-Germain devant le Conseil des Prud'hommes de Paris, son ancien club lui en demande 440 millions. Comment expliquer ces sommes colossales ? Un accord à l'amiable est-il encore envisageable ? Avec Baptiste Leduc, journaliste au service des sports de RFI. Soudan : quelle sentence pour l'ancien commandant Janjawid Ali Kushayb ? La Cour pénale internationale doit délivrer sa sentence contre Ali Kushayb, accusé de «crimes de guerre et de crimes contre l'humanité» commis en 2003 et 2004 au Darfour. Pourquoi le procès de cet ancien chef de guerre ne se tient que maintenant, plus de 20 ans après les faits ? Quel verdict la CPI pourrait-elle rendre ? Avec Stéphanie Maupas, correspondante permanente de RFI à La Haye. Gaza : à quoi ressemblera la force de stabilisation internationale ? Le Conseil de Sécurité des Nations unies a adopté une résolution reprenant le plan de paix de Donald Trump, qui prévoit le déploiement d'une force internationale dans la bande de Gaza. Quel sera son mandat ? Quid des pays contributeurs ? Pourquoi la Russie et la Chine se sont abstenues de voter alors que les deux pays soutiennent la cause palestinienne ? Avec Frédéric Encel, professeur en Géopolitique à Sciences-Po Paris. Auteur de «La guerre mondiale n'aura pas lieu: les raisons géopolitiques d'espérer» (éditions Odile Jacob). États-Unis : vers un apaisement des tensions avec le Venezuela ? Alors que les États-Unis poursuivent leur déploiement militaire au large du Venezuela, Donald Trump s'est dit prêt à parler avec son homologue, Nicolas Maduro. Pourquoi le président américain veut-il finalement engager un dialogue ? Est-ce un premier pas vers une désescalade militaire entre les deux pays ? Avec Pascal Drouhaud, président de l'association LatFran, spécialiste de l'Amérique latine.
Transmission, c'est des conversations entre les générations, avec les intellectuels d'aujourd'hui et de demain.⚠️ Un lundi sur deux, à 18hL' ouvrage de Maxence Carsana que Transmission vous recommande :➡️ Hommes, femmes : Sortir des idées toxiques, Salvator, 2025https://amzn.eu/d/eYuW1Zu
La facturation électronique, contrainte… ou opportunité de transformation pour votre cabinet ?Dans cet épisode, Gaëlle Mourad, experte-comptable aguerrie, déchiffre pour vous les enjeux majeurs de la réforme de la facturation électronique pour les cabinets d'expertise-comptable. L'échange met en lumière les aspects techniques de la réforme, le rôle crucial des plateformes agréées et les stratégies que les cabinets peuvent adopter pour accompagner au mieux leurs clients dans cette transition. Mais attention, cette réforme ne doit pas être perçue uniquement comme une contrainte légale ! Au contraire, elle offre une opportunité en or pour améliorer les processus internes, optimiser la gestion et renforcer la relation client. Comment tirer parti de la facturation électronique pour maximiser votre efficacité ? Quelles sont les meilleures pratiques à adopter pour garantir une transition en douceur ? En conclusion, cet épisode est un véritable appel à l'action : nous encourageons tous les auditeurs à s'impliquer activement dans la préparation à la facturation électronique. Ne laissez pas cette opportunité vous filer entre les doigts ! Rejoignez-nous pour découvrir comment transformer cette obligation en un atout stratégique pour votre entreprise et votre cabinet. Ensemble, faisons de la facturation électronique un levier de croissance et d'innovation !Ce contenu vous a plu ? N'hésitez pas à mettre une petite note sur votre plateforme d'écoute. Merci d'avance ! ⭐⭐ ⭐ ⭐ ⭐ Retrouvez nous sur : Facebook Instagram LinkedIn Ce podcast est proposé en partenariat avec l'éditeur de logiciels pour les Experts-Comptables : ACD. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est là le paradoxe du président américain : alors que le plan de paix pour Gaza formulé par son administration a été déclaré comme un chemin crédible par le Conseil de sécurité de l'ONU, la requête votée de la publication intégrale des documents dans l'affaire Epstein, émise par la Chambre des représentants, vient gâcher ce succès diplomatique. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Existe-t-il des relations totalement dénuées de stress ? J'en doute, mais, Dieu merci, nous pouvons les améliorer en appliquant les quatre conseils suivants : – Conseil n°1 : Recherchez et cultivez la paix avec Dieu et avec vous-même. C'est alors et alors seulement que vous acquerrez un état d'esprit qui vous permettra de vivre en paix avec les autres. – Conseil n°2 : N'attendez pas des autres qu'ils soient parfaits, parce qu'ils ne le seront jamais. Cette attente est irréaliste et fera du tort à vos relations. – Conseil n°3 : Ne vous attendez pas à ce que tout le monde soit comme vous… parce que ce n'est pas le cas. La prise de conscience que nous sommes tous uniques et différents permet de résoudre de nombreux conflits relationnels. – Conseil n°4 : Apprenez à encourager plutôt qu'à décourager. Nous aimons tous la compagnie de personnes qui savent reconnaître et apprécier nos forces et fermer les yeux sur nos faiblesses. Père, je suis reconnaissant pour les relations que j'entretiens avec mon entourage. Que ton amour puisse couler de moi alors que je m'applique à renforcer ces relations. Merci de ce que je peux faire ma part pour construire des relations saines, épanouissantes et dénuées de stress. — Êtes-vous prêt à aller plus loin ?
Jacques Witkowski, préfet du Bas-Rhin, sur le départ. Ce dernier devrait être nommé aujourd'hui pour prendre la tête de la préfecture des Bouches-du-Rhône et de la région Paca. L'annonce officielle devrait être faite à l'issue du Conseil des ministres, ce matin. Jacques Witkowski, qui endosserait aussi le rôle de préfet de police de Marseille, aurait été choisi pour sa carrure et son CV, dans l'objectif de lutter contre le narcotrafic. Pas de grand changement pour le dispositif de sécurité du marché de Noël de Strasbourg. Les grandes lignes du plan mis en place l'année dernière seront reprises pour cette nouvelle édition, qui va débuter le mercredi 26 novembre. Pour limiter les flux, l'accès à la cathédrale sera modifié. Son entrée sera située place du château. Plusieurs rues piétonnes auront un sens unique et des mesures exceptionnelles seront mises en place en cas de trop grande affluence. Plus de 1 000 policiers, gendarmes et CRS seront aussi mobilisés chaque jour. Des contrôles aléatoires des piétons et des cyclistes seront encore effectués sur les ponts d'accès. Des sacs à pain pour lutter contre les violences. A l'occasion de la journée du 25 novembre, journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, les services de l'Etat dans le Haut-Rhin lancent une action de prévention. Dès demain, 50 000 sacs à pain seront distribués dans une centaine de boulangeries du département, avec des informations pratiques consacrées à la lutte contre les violences intrafamiliales. Une action de prévention qui vise notamment à faire connaître le numéro national, 39 19. Faits divers. Deux jeunes ont été interpellés en ce début de semaine au lycée André-Siegfried de Haguenau. La police est intervenue après une alerte de l'établissement, qui déplorait des menaces de mort filmées et envoyées à un élève de 15 ans. Originaire de Souffelweyersheim, l'auteur de ces propos n'est pas scolarisé dans ce lycée, contrairement à son complice qui a filmé et partagé les faits. Lors de son interpellation, ce dernier était aussi en possession d'un couteau. Deux magasins Leclerc ont été victimes de cambriolage dans le Haut-Rhin. Ce week-end, c'est l'enseigne de Wintzenheim qui a été touchée, l'alarme s'était déclenché vers 3h40 mais les cambrioleurs avaient réussi à fuir avant l'arrivée des forces de l'ordre. Deux jours plus tard, dans la nuit de lundi, les salariés du Leclerc de Cernay ont découvert les traces d'un cambriolage principalement dans l'espace culturel. Ils ont notamment constaté des vols de téléphones et d'éléments multimédias. Un préjudice qui pourrait atteindre plusieurs dizaines de milliers d'euros.Et attention sur la route, la liaison entre Saint-Pierre et Eichhoffen sera prochainement fermée. Cette dernière sera inaccessible jeudi et vendredi, à partir de la fin de journée et pour une bonne partie de la nuit. Une décision prise pour les besoins du tournage de la série Vice-Versa, qui sera diffusée sur France 2. Des scènes seront tournées au château d'Ittenwiller, mais aussi sur la route départementale D98. Une déviation sera mise en place. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les quinze jours, Anne Rosencher interroge celles et ceux qui pensent le monde d'aujourd'hui et de demain. En prenant, c'est important, le temps d'approfondir. Pour ce tout premier épisode, la directrice déléguée de la rédaction de L'Express reçoit Giuliano da Empoli. L'ancien stratège du président du Conseil italien Matteo Renzi, auteur de L'Heure des prédateurs et du Mage du Kremlin, y analyse les dynamiques du pouvoir contemporain, de Donald Trump aux dirigeants européens.Ces grands entretiens sont à écouter, sur toutes les plateformes de podcasts mais aussi disponibles en vidéo sur YouTube et Dailymotion. Réalisation audio : Jules KrotRéalisation vidéo : Renaud Toffier, Loredane Binet Montage vidéo : Renaud Toffier Visuel : Alice Lagarde Photo : Matthieu Landry Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. Annonce politique : Le sponsor est Instagram, qui fait partie de Meta Platforms Ireland Ltd. Cette annonce est en lien avec les réflexions des États membres de l'UE en faveur d'une majorité numérique commune pour accéder aux services en ligne.Consulter toutes les informations relatives à la transparence sur https://eur-lex.europa.eu/eli/reg/2024/900/oj/eng Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Mathias, 43 ans, divorcé et père de deux enfants de 15 et 12 ans, ne sait pas comment faire pour arrêter de rechercher l'approbation des autres même s'il comprend que c'est un obstacle pour construire une relation saine...On parle de confiance en soi, de dépendance affective, d'enchainer les relations...Abonnez-vous ou mettez un avis 5 étoiles si cette consultation vous a aidé !Découvrez toutes mes ressources et mes propositions sur mon site : www.theresehargot.comSuivez-moi sur mes réseaux : InstagramYoutubeTik TokFacebookLinkedInA très bientôt pour une nouvelle consultation !ThérèseHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Elias Makos is joined by Victor Henriquez, Public affairs and crisis management specialist at Public Strategy and Conseil, and Sue Smith, a Montreal journalist and broadcaster. After a smooth launch of the Deux-Montages branch over the weekend and into the work week, parts of the REM network are down after a truck struck a viaduct near the Bois-Franc station. Is the REM cursed? Prime Minister Mark Carney’s minority Liberal government narrowly survived its third confidence vote in as many weeks last night. After Ontario and New Brunswick, it’s reportedly Manitoba’s turn to try and poach Quebec doctors out of the province. Speaking of doctors, they had a good time sharing a photo of Health Minister Christian Dubé taking a flight to Florida just before the weekend. A new study out of Dalhousie University's Agri-Food Analytical Sciences Laboratory says Quebecers still do not understand the “best before” labeling on food.
Dans cette édition :La fermeture de l'usine Novasco en Moselle, entraînant la suppression de plus de 500 emplois, illustre le déclin industriel de la France.La vente de 100 avions Rafale à l'Ukraine, bien que symboliquement forte, soulève des questions sur le financement de cette transaction alors que les caisses de Kiev sont vides.Les débats houleux à l'Assemblée nationale sur le budget de l'État, avec des amendements votés qui risquent d'être censurés par le Conseil d'État, montrent les tensions entre le gouvernement et l'opposition.Après le vol de bijoux de la couronne au Louvre, de nouvelles failles de sécurité ont été révélées avec l'intrusion illégale de deux tiktokers près de la Joconde, remettant en cause la gestion du musée.Le président Macron convoque une réunion sur la lutte contre le narcotrafic à Marseille, où les obsèques de deux jeunes victimes de la violence liée à ce fléau doivent avoir lieu.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
1) Rencontre entre Trump et Mohammed Ben Salman2) Plan de paix américain à Gaza entériné par le Conseil de Sécurité3) Rencontre Macron-Merz sur la souveraineté numérique en Europe4) Ébauche d'entente à la COP30 Discussion internationale avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationale. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Vote par le Conseil de sécurité, hier soir, de la résolution qui encadre le plan de paix Trump pour Gaza. Visite de Mohammed Ben Salmane à la Maison-Blanche. La rencontre Bureau-Dumont avec Stéphan Bureau et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Alors que le Conseil de sécurité de l’ONU s’apprête à voter une résolution américaine ouvrant la voie à un « État palestinien », nous recevons Claude Brightman, présidente du Campus francophone de Netanya. Elle décrypte : — pourquoi ce texte est perçu comme une menace stratégique par Israël — les zones d’ombre du plan Trump — le rôle des pays arabes soutenant la résolution — le retour possible de l’Autorité palestinienne à Gaza — les implications sécuritaires d’un vote positif — l’influence déterminante de la Russie et de la Chine Un éclairage rare sur une décision qui pourrait redessiner l’équilibre régional.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Dans cet épisode, le Dr Éric Setton, directeur médical du Herzliya Medical Center et ancien médecin-chef de l’unité 669, dévoile les réalités du terrain :— infiltrations terroristes au-delà de la Ligne jaune— résurgence de cellules dans des zones pourtant “nettoyées”— reconstruction des tunnels sous couvert civil— montée en puissance des groupes armés parallèlesIl analyse aussi la polémique autour de l’escorte militaire de l’aide humanitaire, et surtout la question explosive : que se passerait-il si Israël se retirait totalement de Gaza sans alternative ? Un décryptage indispensable alors que le Conseil de sécurité de l’ONU examine ce soir la proposition américaine sur l’avenir de Gaza.See omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:28:42 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Alain Lewkowicz - Soundous, victime de moqueries et de harcèlement scolaire, devient bègue à 8 ans jusqu'à perdre peu à peu la parole. Devenue lycéenne, elle va réapprendre à parler et sortir de son silence jusqu'à remporter un concours d'éloquence et faire un discours devant le Conseil d'État. - réalisation : Emmanuel Geoffroy
Au début de l'année 1944, les Alliés gagnent du terrain et préparent les débarquements qui vont changer la donne stratégique en Europe. Le corps politique helvétique concède quelques avancées sociales et on arrive à se mettre d'accord au Conseil fédéral, comme jamais depuis 1918. Cela commence avec le discours du Nouvel an, prononcé par le conseiller fédéral Walther Stampfli. Avec Pierre Eichenberger, historien et auteur de Mainmise sur l'État social, Mobilisation patronale et caisses de compensation en Suisse (1908-1960) aux Editions Alphil. Dominique Dirlewanger, historien, spécialiste de l'histoire de la vieillesse et du récit national suisse. Il est l'auteur de 6 juillet 1947, La Suisse dans le monde d'après-guerre (EPFL Press).
Le WFC fait le bilan des qualifs de la Coupe du Monde 2026 au travers son conseil de classe. La campagne de la France, la qualification de la RD Congo ou les buts d'Erling Haaland. Quelle note pour les élèves français ? Norvège, Irlande, Espagne : quelle classe vous a fait la meilleure impression ? Focus sur le délégué Kylian Mbappé et ses compagnons de classe comme Upamecano, Cherki ou encore Konaté.
Dis-moi, est-ce que ça t'arrive de perdre le sommeil en pensant à ton chiffre d'affaires ? Moi oui. Même si on m'a toujours dit que l'argent ne fait pas le bonheur, je constate que c'est beaucoup plus difficile de dormir sur ses deux oreilles lorsque l'insécurité financière est une réalité.Le pire cauchemar des indépendant.e.s, c'est d'avoir un chiffre d'affaires en dents de scie.Parfois tout roule et les opportunités arrivent sans trop d'efforts.Et parfois, c'est le calme plat
durée : 00:28:42 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Alain Lewkowicz - Soundous, victime de moqueries et de harcèlement scolaire, devient bègue à 8 ans jusqu'à perdre peu à peu la parole. Devenue lycéenne, elle va réapprendre à parler et sortir de son silence, jusqu'à remporter un concours d'éloquence et prononcer un discours devant le Conseil d'État. - réalisation : Emmanuel Geoffroy
Dans cette édition :Le gouvernement fait face à la course contre la montre pour boucler le budget 2026 à l'Assemblée nationale, avec une date butoir fixée au mercredi 15 novembre avant le passage au Sénat.Le ministre Sébastien Lecornu tente de rassurer les entreprises en menaçant de saisir le Conseil d'État et d'utiliser des ordonnances pour faire adopter le budget de son choix.Le sommet Choose France accueille les entrepreneurs du monde entier et annonce plus de 30 milliards d'euros d'investissements, notamment dans les secteurs du spatial, de l'énergie et du numérique.La fermeture partielle de l'entreprise Novasco entraîne le licenciement de plus de 500 salariés, suscitant l'inquiétude dans l'industrie française.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est en visite à Paris, où il signe une lettre d'intention pour l'achat de 100 avions de combat Rafale, bien que leur livraison ne soit pas imminente.Le Louvre doit fermer temporairement une de ses galeries en raison de la fragilité de certaines poutres.Le bras de fer continue entre Kylian Mbappé et le PSG, avec des réclamations financières croisées.Des manuscrits inédits de Jean-Sébastien Bach ont été identifiés après 30 ans de recherche.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Émilie, 34 ans et mère de deux enfants agés 7 et 2 ans, vient de se séparer suite à la découverte de son infidélité par son conjoint. Cette situation ravive des blessures d'enfance, notamment celles liées à l'alcoolisme de sa mère, qui elle-même avait souffert de l'infidélité de son père...Abonnez-vous ou mettez un avis 5 étoiles si cette consultation vous a aidé !Découvrez toutes mes ressources et mes propositions sur mon site : www.theresehargot.comSuivez-moi sur mes réseaux : InstagramYoutubeTik TokFacebookLinkedInA très bientôt pour une nouvelle consultation !ThérèseHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : -Robert Ejnès, directeur exécutif du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) Débatteurs du jour : -Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles -Éric Revel, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : -Robert Ejnès, directeur exécutif du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) Débatteurs du jour : -Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles -Éric Revel, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : -Robert Ejnès, directeur exécutif du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) Débatteurs du jour : -Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles -Éric Revel, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La COP 30 (Conférence sur les changements climatiques), grand rendez-vous pour tenter de s'entendre au niveau mondial dans la lutte contre le changement climatique, s'est ouverte à Belém au Brésil, aux portes de la forêt amazonienne. 10 ans après les Accords de Paris qui avaient fait naître l'espoir d'un effort collectif de toutes les nations du monde pour réduire les gaz à effet de serre et tenter d'inverser la tendance du réchauffement de la planète, le constat est amer. «La vérité est que nous n'avons pas réussi à maintenir le réchauffement à moins de 1,5°C», a reconnu le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres. Ces efforts conjoints doivent s'exercer au niveau politique, mais en l'absence des plus grands pollueurs comme les États-Unis qui sont sortis de l'Accord de Paris et qui déploient un climato-scepticisme à travers le globe, la dynamique de l'effort n'est pas au rendez-vous. Du côté des représentants des religions dans le monde, certains tentent de s'impliquer. Qu'est-ce que les religions ont à dire sur ces questions ? Comment ces questions sont-elles relayées auprès de leurs fidèles ? Comment certaines des déclarations ont pu avoir un impact, par exemple l'encyclique du pape François, Laudato Si en 2015, qui prône la «sauvegarde de la maison commune» ? Plusieurs représentants de différentes religions et des chercheurs s'expriment dans cette émission, sur les messages et les relais auprès des communautés à travers le monde. Invités : - Dominique Serra-Coataena, théologienne, maître de conférences en Théologie morale et éthique aux Facultés Loyola à Paris, responsable du domaine éthique, social et environnemental, présidente de l'Association des théologiennes et théologiens pour l'étude de la morale (ATEM), domaine de recherche sur la doctrine sociale de l'Église, thèse sur le Bien Commun. Autrice de : Le défi actuel du Bien commun dans la doctrine sociale de l'Église. Études à partir de Gaston Fessard s.j, éditions Lit-Verlag, coll. «Études de théologie et d'éthique», vol.10, Zurich, 2016. COATANEA Dominique, THOMASSET Alain, (dir.), Le défi écologique : vers de nouveaux chemins, RETM, HS 2018, 2018. - Martin Kopp, théologien protestant, chercheur associé à l'Université de Strasbourg, membre du Conseil de la Fédération protestante de France, très engagé sur les questions d'environnement, au sein de l'ONG GreenFaith, auteur de «Vers une écologie intégrale, théologie pour des vies épanouies» (Éd. Labor et Fides, 2023). Entretiens : - Yeshaya Dalsace, rabbin du Mouvement Massorti, a fait sa thèse rabbinique sur judaïsme et écologie - Omero Marongiu-Perria, sociologue et théologien musulman - Aurelio Borges, l'un des représentants des quelque 600 communautés quilombolas de l'État du Para (par Jeanne Richard). Analyse et reportage au Village Laudato Si à Castelgandolfo (Italie) / Éric Sénanque. Éléments : Message du pape Léon XIV lors de la conférence internationale «Raising hope for climate justice» à Castelgandolfo en octobre 2025. Message de Bartholomée 1er, Patriarche Œcuménique de Constantinople, lors de l'Assemblée Générale de la Conférence des Évêques de France à Lourdes, le 4 novembre 2025.
La reprise de la guerre civile menace le Soudan du Sud. C'est l'avertissement qu'ont formulé le 29 octobre, au Conseil de sécurité des Nations unies, plusieurs commissaires aux droits de l'homme. Depuis le début de l'année, les groupes armés affiliés au président Salva Kiir affrontent ceux du vice-président Riek Machar, arrêté en mars, jugé depuis septembre par un tribunal spécial pour crimes de guerre. Ces affrontements provoquent de nombreux déplacements, et aggravent une situation humanitaire déjà désastreuse, alors que le Soudan du Sud accueille de nombreux réfugiés du Soudan voisin. Décryptage avec Florence Gillette, cheffe de mission du Comité international de la Croix-Rouge pour le Soudan du Sud. Elle est au micro de Gaëlle Laleix.
Le vol récent spectaculaire des bijoux du Louvre, nous rappelle combien notre patrimoine est fragile. Des trésors inestimables disparaissent dans l'ombre des marchés illicites, et derrière chaque objet volé se cache l'histoire et l'identité d'une communauté.« Le trafic illicite de biens culturels est un phénomène mondial. Il porte atteinte aux droits culturels, à l'identité et à la mémoire des communautés d'origine », alerte Krista Pikkat, directrice de la culture et des situations d'urgence à l'UNESCO, dans cet entretien accordé à ONU Info à l'occasion de la Journée internationale contre le trafic illicite des biens culturels.Ce phénomène n'est pas seulement culturel : il s'agit aussi d'une question de sécurité, reconnue à l'agenda du Conseil de sécurité de l'ONU, car le trafic est souvent lié au crime organisé – y compris le trafic de drogue, d'armes et la traite des êtres humains –particulièrement des zones de conflit et de crise.Face à ce fléau, l'UNESCO innove. Son nouveau musée virtuel des œuvres volées, conçu comme par l'achitecte burkinabè Kéré comme un baobab – arbre africain symbole de racines et de rassemblement – permet de rendre visibles ces objets disparus et d'en raconter les histoires.« Nous espérons qu'un jour ce musée sera vide », ajoute Pikkat, imaginant le retour de chaque œuvre à sa communauté d'origine.Entrez dans cet espace virtuel avec Krista Pikkat et découvrez comment la lutte contre le vol culturel est autant une question de justice que de mémoire, là où chaque objet retrouvé est une page d'histoire rendue à ceux qui l'ont créée.(Entretien : Krista Pikkat, directrice de la culture et des situations d'urgence à l'UNESCO ; propos recueillis par Cristina Silveiro)
« Les tensions entre les deux hommes sont de plus en plus perceptibles » : c'est ce qu'observe, comme de nombreux médias ouest-africains, Le Pays. « Au cœur de la crise, résume le journal burkinabé : l'organisation de la "Coalition Diomaye président", du nom de cette entité créée pour rassembler les soutiens à la candidature de Bassirou Diomaye Faye en 2024. » « Les deux hommes n'arrivent pas à s'accorder sur la personne qui doit diriger cette coalition. Le président Bassirou Diomaye Faye a annoncé, dans une note publiée le 11 novembre, la démission de Aïssatou Mbodj, proche d'Ousmane Sonko. En remplacement, il a nommé Aminata Touré (aussi surnommée « Mimi Touré », ndlr) qui est sa conseillère spéciale et coordinatrice de sa campagne électorale en 2024. La réaction du Premier ministre a été immédiate, relate Le Pays. Ousmane Sonko a convoqué une réunion du Pastef, le parti au pouvoir qu'il dirige. Dans la foulée, le bureau politique de ce parti a affirmé que Bassirou Diomaye Faye "n'avait pas le pouvoir de démettre" Aïssatou Mbodj, et il a rejeté la candidature d'Aminata Touré. Le moins que l'on puisse dire, conclue Le Pays, c'est que le conflit est désormais ouvert au sommet de l'État. » Le Pays qui précise, d'ailleurs, qu'Ousmane Sonko a « snobé » le Conseil des ministres de ce mercredi 12 novembre. Aminata Touré entre les deux dirigeants C'est donc la nomination d'Aminata Touré qui a « déclenché une véritable tempête au sein du mouvement », « une explosion de tensions sur le groupe WhatsApp officiel de la coalition, devenu en quelques heures un champ de bataille numérique », raconte Afrik.com. « Certains ont félicité Mimi Touré, saluant "une femme d'expérience et de rigueur", tandis que d'autres ont dénoncé un "coup de force politique". Réputée pour son franc-parler et son sens de la méthode, Diomaye Faye espère qu'elle saura transformer la coalition en un instrument politique plus efficace. » Mais depuis le Sénégal, Le Quotidien revient sur la carrière de ce « personnage politique controversé ». Ancienne Première ministre de Macky Sall, passée dans l'opposition, « les regards inquisiteurs se posent toujours sur elle à cause de son passé critique sur le leader du Pastef », rappelle Le Quotidien, qui revient aussi sur ses « terribles défaites électorales » ayant « nourri les critiques de ses détracteurs qui la présentent comme une figure sans "base électorale" solide ». Aminata Touré, une « femme combative », résume le quotidien sénégalais, dont « l'ascension fulgurante et le caractère entier ont suscité autant d'admiration pour sa compétence et sa rigueur que d'animosité en raison de son autonomie et de ses ambitions ». C'est elle qui se retrouve, écrit Le Quotidien, « au milieu de ce duel fratricide ». Jusqu'où ira ce « duel » ? « Du duo, on a glissé au duel », confirme Aujourd'hui au Faso, observant cette « bataille à fleurets mouchetés depuis des mois, de plus en plus frontal » entre Diomaye Faye et Sonko. « Comme deux lutteurs au stade, forcément il y en aura un à terre », prédit Aujourd'hui au Faso, qui voit « les attaques au fil du quinquennat se multiplier », puisque le président pourrait penser à un second mandat, alors que le Premier ministre pourrait envisager de participer à la présidentielle de 2029… L'ancien « duo gagnant » qui suscitait, pas plus tard que l'an dernier, rappelle Le Pays, « tant d'admiration auprès des Sénégalais et de tous les partisans de la démocratie ». Désormais, « confronté à ce qui apparaît comme une crise d'autorité, avec un Premier ministre qui, visiblement, prend trop de place au point de lui faire de l'ombre, le président se serait-il enfin décidé à reprendre la main ? », s'interroge Le Pays, qui assure que « les jours à venir s'annoncent déterminants ». Priorités économiques Une chose est sûre, pour Dakar Matin : l'unité politique est « un impératif pour la stabilité économique ». « Dans un contexte marqué par un endettement croissant et une tension budgétaire persistante, le Sénégal ne peut se permettre la moindre fissure politique au sommet de l'État. » « Trois scénarios s'esquissent, d'après Dakar Matin : la rupture, qui provoquerait un choc économique brutal ; la cohabitation conflictuelle, source d'immobilisme et de lenteur réformatrice ; ou la réconciliation, seule issue capable de restaurer la confiance et de relancer la dynamique de développement. » « L'enjeu est historique, prévient encore le média dakarois. Chaque mois d'instabilité politique se traduit par des milliards de francs CFA perdus et des opportunités économiques manquées. Dans un pays en quête d'émergence, la stabilité n'est pas un idéal abstrait : c'est une condition vitale à la prospérité collective. » À écouter aussiBras de fer Sonko/Diomaye: «Une crise politique profonde qui va se métastaser en crise institutionnelle»
Surnommée « la COP de la vérité » par le président brésilien Lula, la 30ᵉ Conférence des Nations unies pour le Climat s'est ouverte, ce lundi 10 novembre 2025, à Belém. S'attaquer à la désinformation climatique figure parmi les nombreux enjeux de cette messe annuelle sur le climat. Pour la première fois, plusieurs États se sont engagés à lutter contre ce phénomène. « Infliger une nouvelle défaite aux négationnistes. » C'est avec ces mots que le président brésilien Lula a ouvert la 30ᵉ Conférence de l'ONU pour le climat, qui se déroule actuellement, au Brésil, à Belém. Ce mercredi, une douzaine d'États, dont la France, l'Allemagne et le Brésil, ont signé un texte inédit appelant à lutter contre la désinformation climatique. Alors simples effets d'annonce ou véritable prise de conscience ? Comment ces infox entravent la lutte contre le réchauffement climatique ? On en parle avec notre invité, Eva Morel, secrétaire générale et cofondatrice de l'association Quota Climat qui lutte pour une meilleure représentation des informations environnementales dans les médias. Niger: la junte sème le doute sur un exercice militaire français Quand un exercice de l'armée française dans le golfe de Guinée est présenté, à tort, comme une opération de déstabilisation. Dans sa chronique, Olivier Fourt revient sur cette nouvelle infox diffusée par le pouvoir en place au Niger. Ce n'est pas la première fois que le chef du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) affiche des positions hostiles à la France. Cette fois-ci, il pointe du doigt la présence d'un porte-hélicoptères français dans le port de Cotonou, alors que les relations entre le Bénin et le Niger sont dans l'impasse. À lire aussiNiger: la junte tente de semer le trouble autour d'un exercice naval de l'armée française Non, l'Italie n'a pas quitté l'UE Contrairement à ce qui circule sur les réseaux sociaux depuis plusieurs mois, Giorgia Meloni n'a pas annoncé que l'Italie allait se retirer de l'Union européenne. Kahofi Suy, journaliste pour AFP Factuel, nous explique l'origine de cette rumeur.
Cyril, 42 ans, quitte sa femme, la mère de ses deux enfants de 5 et 3 ans, après 18 ans de relation pour sa collègue âgée de 29 ans, ne pouvant pas résister à la joie de se sentir enfin connecté. Jusqu'ici, il vivait sa vie à l'image du couple de ses parents… très plan-plan !Abonnez-vous ou mettez un avis 5 étoiles si cette consultation vous a aidé !Découvrez toutes mes ressources et mes propositions sur mon site : www.theresehargot.comSuivez-moi sur mes réseaux : InstagramYoutubeTik TokFacebookLinkedInA très bientôt pour une nouvelle consultation !ThérèseHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:37:38 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Le 10 novembre 2025, le Conseil d'Etat a confirmé la démission d'office, arrêtée par le préfet du Pas-de-Calais, du poste de conseillère départementale que contestait Marine Le Pen, après sa condamnation à une peine d'inéligibilité en mars 2025 dans l'affaire des assistants parlementaire du FN. - invités : Baptiste Roger-Lacan Historien; Elyamine Settoul Sociologue, maitre de conférences au Conservatoire national des arts et métiers
durée : 00:03:33 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Le PIB de l'Allemagne devrait augmenter de 0.6 % en 2026 selon le rapport annuel du Conseil des experts économiques. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
À l'occasion de la journée mondiale de la Pneumonie, qui se tient le 12 novembre, nous faisons le point sur cette infection respiratoire aiguë qui affecte les poumons. Pouvant être causée par des bactéries, des virus ou des champignons, la pneumonie est la première cause infectieuse de mortalité chez l'enfant à l'échelle mondiale. Présente dans le monde entier, l'Asie du Sud et l'Afrique subsaharienne sont les régions les plus touchées. Un diagnostic précoce pour traiter les enfants sans tarder permet d'améliorer les chances de rétablissement des jeunes patients. Peut-on prévenir la pneumonie ? Quels sont les traitements existants ? Pourquoi la vaccination est-elle essentielle chez les enfants ? Pr Sébastien Couraud, chef du service de Pneumologie des Hospices Civils de Lyon Sud, président du Comité national contre les maladies respiratoires Pr Flore Amon-Tanoh-Dick, professeur émérite titulaire de Pédiatrie médicale à l'Unité de Formation et de Recherche des Sciences médicales de l'Université Félix Houphouët Boigny. pneumo-pédiatre-allergologue à Abidjan en Côte d'Ivoire. Présidente de l'Association Ivoirienne de Formation Continue en Allergologie (ASSIFORCAL). Membre du Conseil d'administration du Diplôme Universitaire Francophone d'allergologie (DUFRAL). Membre du Comité National des Experts de la Poliomyélite CNEP de Côte d'Ivoire. Présidente du Comité Tuberculose de l'Enfant au Programme National de Lutte contre la Tuberculose [PNLT]. Présidente fondatrice de l'ONG ESPACE ARC EN CIEL. ► En fin d'émission, à l'occasion de la Journée mondiale du diabète, célébrée le 14 novembre 2025, nous parlons de la prise en charge du diabète dans le sud Kivu, en République Démocratique du Congo. Interview du Dr Albert Kalehezo, médecin fondateur et directeur du Kivu Diabetes Center à Bukavu en RDC, une structure dédiée à l'accompagnement des enfants et jeunes vivant avec le diabète de type 1 dans l'est du pays. Membre de la Société Francophone du diabète et de l'International Society for Pediatric and Adolescent (ISPAD). Programmation musicale : ►TRIBEQA – Respire ►Rosalia, Björk - Berghain.
durée : 00:03:33 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Le PIB de l'Allemagne devrait augmenter de 0.6 % en 2026 selon le rapport annuel du Conseil des experts économiques. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
« Le président Tshisekedi ne peut pas aller signer la paix à Washington sans qu'on puisse constater que les troupes rwandaises se sont retirées de notre territoire », déclare sur RFI, ce mercredi matin, le ministre congolais de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya. Est-ce à dire que la poignée de main, prévue d'ici à la fin du mois à Washington, entre le Congolais Félix Tshisekedi et le Rwandais Paul Kagamé est sérieusement compromise ? De passage à Paris, Patrick Muyaya, qui est aussi porte-parole du gouvernement de la RDC, répond aux questions de Patient Ligodi et Christophe Boisbouvier. RFI : Jusqu'à la semaine dernière, vous faisiez du retrait des troupes rwandaises du Congo le préalable à toute signature d'accords. Mais vendredi dernier, à Washington, vous avez finalement signé un accord de coopération économique avec le Rwanda pour le développement futur de la sous région. Pourquoi avez-vous changé d'avis ? Patrick Muyaya : Nous avons paraphé parce qu'il y a eu un progrès. Il y a eu, dans ce qui avait été signé, une section qui a été rajoutée. Dans cette section, il est clairement dit que le cadre d'intégration économique régionale pourra effectivement être mis en œuvre après la satisfaction de l'exécution du Conops. Le Conops, c'est le volet militaire de l'accord du 27 juin qui stipule, d'une part, que nous allons traiter la question des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) et que le Rwanda va à son tour retirer ce que l'on appelle ses « mesures de défense », en réalité, la présence de ses troupes et de son matériel militaire. Dans ce qui s'est discuté, il y a des engagements qui ont été réitérés de part et d'autre, notamment en ce qui concerne le volet militaire, pour que cela facilite la signature par les deux chefs d'État. Vous avez signé parce que le principe, notamment, d'un retrait des troupes rwandaises vous semble acquis ? Nous avons signé, dans le cadre de cette section, que l'on a rajouté, parce qu'il faut que l'on s'assure que, dans cette dimension, le Rwanda fasse sa part. Dans le Conops, le volet militaire, n'oubliez pas qu'il est prévu de traiter d'une part la question des FDLR, ce que nous traitons, avec la phase de la sensibilisation – nous en ferons le point pour décider s'il y a des opérations qui doivent se faire. Mais, d'autre part, le Rwanda s'était engagé à retirer ses mesures de défense. Nous faisons notre part et eux doivent faire la leur. Comme vous le dites, la mise en œuvre de cet accord de coopération économique est conditionnée aussi à la neutralisation des rebelles hutu rwandais FDLR sur votre territoire. Mais concrètement, monsieur le ministre, avez-vous cartographié le déploiement des FDLR ? Avez-vous commencé à les désarmer ? Je crois qu'il y a un travail d'état-major qui a été fait en termes de cartographie. Il y en a certains qui sont sur la partie du territoire que nous contrôlons, et l'autre partie sur le territoire qui est sous contrôle des forces d'occupation. Dans les parties que nous contrôlons, au moment où je vous parle, il y a des experts militaires qui sont sur place pour procéder à la phase de sensibilisation qui est, elle aussi, prévue dans le cadre du Conops, qui est annexé à l'accord du 27 juin. Dans cet ordre, nous faisons cette première partie. S'il y a des résistances, dans le cadre de ce qui est prévu, nous passerons à la phase suivante pour nous assurer que nous nous sommes acquittés de notre part dans le cadre de l'exécution du Conops. Du côté des négociations avec les rebelles de l'AFC/M23, vous avez signé avec eux, il y a un mois, un accord créant un mécanisme de surveillance du cessez-le-feu. Où en est ce mécanisme ? Fonctionne-t-il ? Il doit fonctionner normalement en fonction des structures qui ont été mises en place. Je crois que la première réunion devrait être convoquée incessamment pour voir comment cela peut se mettre en place. Ce n'est pas simplement la question du mécanisme du cessez-le-feu, mais aussi cette question de prisonniers. Vous parlez d'échange de prisonniers. Vous négociez à ce sujet avec le M23 depuis plusieurs mois à Doha, mais cela n'avance pas. Beaucoup disent que c'est vous qui bloquez, car vous refuseriez la libération d'un certain nombre de prisonniers politiques. Je n'irai pas à dire que nous bloquons ou que nous n'avançons pas. Le fait, déjà, que nous ayons parlé préalablement des mécanismes qui ont été signés, notamment sur le cessez-le-feu ou la libération de prisonniers, c'est la preuve que nous avançons sur les mécanismes de prisonniers. Il y a une tâche qui a été confiée au Comité international de la Croix-Rouge (CICR), qui est en train de travailler avec les deux parties. Le moment venu, il y aura des évolutions et les choses pourront être dites. La condamnation à mort, le mois dernier, de l'ancien président Joseph Kabila par un tribunal militaire de Kinshasa ne complique-t-elle pas ces négociations ? Je ne suis pas sûr que cela complique les négociations. Il faut dissocier le président Kabila. C'est un ancien président. Je pense qu'il existe une loi qui le concerne, lui, personnellement – parce qu'on n'a pas deux anciens présidents. Au regard de cette loi et au regard de ses agissements, notamment son séjour et ses contacts réguliers – je ne dirai pas davantage –, il faut considérer qu'il n'a pas joué le rôle qu'il devrait jouer dans ce cadre et que les conséquences au plan judiciaire ont été tirées. Cette semaine, toujours à Doha, au Qatar, on attend la signature d'un accord-cadre entre l'AFC/M23 et votre gouvernement. Où en est-on ? Je pense que les discussions ont plutôt bien évolué. Il y a un besoin humanitaire urgent et pressant. Je pense que nous trouvons un compromis qui sera complémentaire à celui trouvé à Washington et qui nous permet d'aller maintenant dans la mise en œuvre effective qui sera l'étape la plus déterminante qui permette le retour de la paix effective. La Conférence humanitaire de Paris, le 30 octobre dernier, a-t-elle donné les résultats que vous espériez, ou vous a-t-elle déçu ? On ne dira pas qu'on est déçu parce qu'il y a eu une grosse mobilisation sur un sujet qui nous tient particulièrement à cœur, le sujet humanitaire. Il y a des besoins qui ont été chiffrés à peu près à 2,2 milliards et Paris s'est prononcé pour à peu près 1,6 milliard. Ce n'est pas tout ce dont nous avons besoin, mais c'est déjà quelque chose d'essentiel. Nous restons attentifs sur ce sujet aussi. La réouverture de l'aéroport de Goma pour des causes humanitaires, y croyez-vous ? Nous allons y arriver parce que nous avions convenu de cette urgence avec les humanitaires sur place. La question a fait l'objet des discussions à Paris. Ici, il faut rappeler d'abord que, si ceux qui occupent illicitement la ville de Goma et de Bukavu étaient en mesure d'ouvrir l'aéroport, ils l'auraient ouvert. C'est une question de souveraineté. Et nous, nous avons lancé un NOTAM (« Messages aux navigants », ndlr) – pour parler un langage de spécialiste –, pour dire que ces aéroports ne pouvaient pas servir. Pour des besoins strictement humanitaires, il y aura une dérogation qui pourra être faite pour des vols de type précis qui pourront être systématiquement contrôlés et être dans la mesure de fournir l'appui qu'il faut à nos populations sur place. D'ici combien de temps ? Je ne saurai pas vous donner des délais, au moment où nous parlons. Mais je sais qu'il y a des personnes qui y travaillent, que ce soit à Kinshasa ou à Paris, et qui doivent être en mesure rapidement de rendre concret ce projet. Vous êtes sur le point de signer un accord-cadre avec les rebelles AFC/M23, mais en même temps, ce mouvement est en train de recruter des dizaines, voire des centaines de magistrats pour son administration. Comment réagissez-vous ? Il est évident, le ministre de la Justice l'a déjà dit, que tout acte posé dans ces contextes sera déclaré nul et de nul effet. Vous convenez avec moi qu'ils ne sont pas en compétence de faire un quelconque recrutement parce qu'il existe un travail du Conseil supérieur de la magistrature et des critères bien établis. Nous n'accordons que peu d'attention à ce genre d'actions qui n'ont en réalité aucun avenir. Voilà plus de quatre mois que les ministres des Affaires étrangères de vos deux pays, la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda, ont signé un premier accord de paix à Washington. C'était le 27 juin. Mais à quand un accord de paix définitif signé par vos deux présidents, Félix Tshisekedi et Paul Kagame, en présence de Donald Trump à Washington ? Mais je crois que c'est prévu et les conditions doivent être réunies. Mais il y a pour nous un facteur principal, c'est le retrait de ce qu'on appelle, en langage diplomatique, les « mesures de défense du Rwanda », mais qui sont, en réalité, son armée et tous les matériels qui sont déployés sur notre territoire. Dès que les conditions seront réunies, et il me semble que nous sommes sur la voie, le président de la République pourra faire le déplacement de Washington pour poser la signature sur cet accord de paix. Donc, pas de déplacement de Félix Tshisekedi à Washington avant un début de retrait des forces rwandaises de votre territoire ? Je crois que nous l'avons fait savoir, notamment à la médiation américaine. Vous avez vu qu'il y a eu une évolution. Je vous ai dit tout à l'heure, lorsque nous parlions de la signature du cadre d'intégration économique régionale, que cette préoccupation a été bien notée. Nous avons réagi à travers un communiqué et nous considérons que c'est un pas important qui nous permettra de faire le mouvement de Washington. Nous considérons que nous sommes sur une dynamique positive qui nous permettra, dans les jours qui viennent, de parvenir à la signature de cet accord par les présidents de la République. Signature qui pourrait avoir lieu d'ici à la fin de ce mois de novembre ? Cela dépendra aussi des agendas, mais il y a des contacts étroits pour que les mots du président Trump puissent correspondre à la réalité sur le terrain. Votre gouvernement, disons l'armée congolaise, a lancé cette campagne pour demander aux FDLR de pouvoir déposer les armes en vue d'une éventuelle reddition. A combien évaluez-vous le nombre de ces combattants FDLR en RDC? Je ne saurais peut-être pas me hasarder sur des chiffres, qui relèvent plutôt des états-majors. Mais je ne pense pas qu'ils soient en nombre considérable et qu'ils puissent véritablement causer des problèmes de sécurité au Rwanda. Mais quand vous parlez d'un nombre qui ne serait pas considérable, vous l'évaluez à combien environ ? 500 personnes ? Certains experts nous parlent de 1 000, 1500, mais c'est du domaine du renseignement militaire. Il faut laisser le travail se faire et peut être que le moment venu, nous pourrons revenir avec des chiffres plus précis dès que nous les aurons. Sur RFI, les porte-paroles des FDLR disent qu'à ce jour, les FDLR ne peuvent pas désarmer. Ils ne peuvent donc suivre la campagne qui est menée par les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), déposer les armes et donc faire cette reddition. Nous savons que nous avons des engagements. Nous savons qu'il y a des choses qui doivent être faites à notre niveau. Nous, on a commencé cette phase de sensibilisation. Évidemment, il y a des prochaines phases en fonction de l'évaluation qui sera faite. Il y a un travail qui doit être aussi fait au Rwanda parce que ce sont des Rwandais, et le Rwanda devrait être disposé à les recevoir. Pour le reste, il ne m'appartient pas de commenter les décisions de ce genre dès lors que nous avons un plan préalablement établi et sur lequel nous tenons, dans le cadre des différents accords que nous avons signés. En parlant de ce processus de Washington et de Doha, il a été convenu d'un mécanisme de suivi du cessez-le-feu. Mais sur le terrain, rien n'est fait. Encore hier, il y avait des combats sur le terrain. Il y a toujours une distance entre le moment où nous signons et le moment où les choses se mettent en place. Nous connaissons la détermination des occupants. Mais il ne faut pas oublier que nous avons une médiation qui suit ce qui se passe sur le terrain. Il ne faut pas oublier que les médiateurs disposent d'autres leviers qui peuvent servir de pression pour nous assurer que nous atteignons les objectifs que nous poursuivons. On peut dire que rien n'a été fait. Ne vendez-vous pas du vent à la population congolaise, avec tout ce qui se passe à Doha et à Washington ? Attention, nous ne vendons pas du vent parce qu'il y a des progrès. Il y a des combats sur le terrain. Mais j'y arrive. Nous sommes dans un processus diplomatique. Lorsque nous avons choisi la résolution 2773 et tout ce qu'il y a comme déploiements diplomatiques ici, il y a un travail qui doit se faire au préalable, c'est le travail diplomatique. Mais après, il y a un travail plus important, le travail de terrain. Cela veut dire qu'il y a les préalables. Lorsqu'on dit qu'on mettra en place un mécanisme de cessez-le-feu, il faut être sûr qu'on arrive à mobiliser toutes les parties prenantes, les mettre en place et qu'elles aient les moyens de déploiement. Cela ne se fait pas sur un claquement de doigt, et les médiateurs le savent. Donc on ne saura peut être pas vous dire dans l'immédiat : « On signe aujourd'hui, demain sur terrain, et ceci. » C'est pour cela qu'il y a un besoin de responsabilité pour le Rwanda, conformément à l'accord du 27 juin, de faire sa part et de s'assurer, de par le lien parental qui les lie au M23, de voir comment le M23 va aussi s'acquitter de sa part. Ce n'est qu'à ce prix que nous pourrons atteindre les objectifs fixés au plan diplomatique. Nous avons des médiateurs qataris, américains et de l'Union africaine qui suivent étroitement les processus. Dans ce cadre là, chaque fois qu'il y a des actes qui sont posés, qui ne devraient pas l'être et qui sont rapportés, ce sera le moment venu au médiateur de voir qui bloque quoi et tirer les conséquences qu'il faut. Cette rencontre à venir à Washington entre les deux chefs d'État pourrait-elle avoir lieu avant le début du retrait des troupes rwandaises du Congo ? Nous savons que le retrait des troupes rwandaises est la condition principale pour que nous puissions avancer. Parce que le président de la République ne peut pas se rendre à Washington sans que nous ne puissions être en mesure, avec les Américains avec lesquels nous travaillons, de constater qu'il y a eu retrait de ce qu'on a appelé, en langage diplomatique, des « mesures des défense », mais en réalité des troupes rwandaises et de tout ce qui les accompagne. Donc il n'y aura pas cette poignée de main avant un geste militaire de votre voisin rwandais ? En tout cas, il y a un accord qui a été signé, qui prévoit des choses. Nous, nous faisons notre part. Le Rwanda doit faire la sienne pour nous permettre d'avancer. Pour obtenir ce retrait des troupes rwandaises, on voit bien que vous comptez beaucoup sur la pression des Américains. Mais maintenant que le Rwanda accepte d'accueillir des migrants en provenance des États-Unis, ne craignez-vous pas que Washington n'ait plus aucun moyen de pression sur Kigali ? Je crois que le président Donald Trump, de manière constante, se présente comme celui qui aide à atteindre les objectifs de paix. Il l'a fait dans plusieurs pays. Pour ce qui concerne la République démocratique du Congo, il est bien au courant. Vous suivez notamment les déploiements de son envoyé spécial, Massad Boulos. Aujourd'hui, il faut considérer que nous avons fait des pas. N'oubliez pas que le président de la République, en 2019, dès son arrivée, avait fait le choix courageux de la paix, avec les voisins, notamment le Rwanda. N'oubliez pas qu'il y a une volonté américaine et qatari d'investir massivement dans la région pour en débloquer tout le potentiel. J'ai assisté à Washington en octobre dernier à une réunion, à l'initiative du Département du Trésor américain, avec tous les bailleurs qui sont intéressés par l'investissement dans cette partie de la région. Je crois qu'il y a davantage de pression sur le Rwanda pour aller vers la conclusion de l'accord, pour permettre à tous ces bailleurs de commencer à aller vers l'essentiel. L'essentiel ici, c'est nos populations. Je rappelle que le président de la République a toujours dit et répété que nous n'avions pas de problème avec le peuple rwandais. Vous voyez qu'il y a des objectifs nobles qui nous attendent. Des objectifs qui permettront à la fois aux Américains d'être sûrs de pouvoir bénéficier de ressources critiques. Nous avons tous besoin de parvenir à cet objectif de paix. Et nous avons tous besoin, dans ce cadre, que le Rwanda fasse sa part autant que nous faisons la nôtre. À lire aussiRDC: «Nous résisterons jusqu'à ce que Kigali accepte un dialogue», affirment les FDLR
Lana, 35 ans, a profondément souffert de ne pas avoir été consolée par son mari lorsqu'elle a perdu son bébé à sept mois de grossesse. Une consolation qu'elle a reçue des années plus tard de la part d'un amant… Aujourd'hui, elle est tiraillée entre son amant et son mari : lequel choisir ?Abonnez-vous ou mettez un avis 5 étoiles si cette consultation vous a aidé !Découvrez toutes mes ressources et mes propositions sur mon site : www.theresehargot.comSuivez-moi sur mes réseaux : InstagramYoutubeTik TokFacebookLinkedInA très bientôt pour une nouvelle consultation !ThérèseHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dernière ligne droite au Chili avant le premier tour de la présidentielle qui aura lieu ce dimanche. Selon les sondages, se trouve en tête de cette élection polarisée, la candidate du bloc de gauche, Jeannette Jara, suivie de trois candidats de droite et d'extrême droite. Aucun des huit candidats en lice ne remporterait le scrutin dès dimanche ; il y aurait, donc, un second tour en décembre. À quelques jours du vote, chacun jette ses dernières forces dans la bataille. Hier soir, (10 novembre 2025) avait lieu le dernier débat à la télévision. Naïla Derroisné, notre correspondante à Santiago, l'a suivi. La « carcel del encuentro », prison de haute sécurité en Équateur En Équateur, une nouvelle prison de haute sécurité est entrée en service hier, dans la province de Santa Elena, dans l'ouest du pays. Trois cents prisonniers, parmi les plus dangereux que compte le pays, y sont désormais détenus. Il n'y a pas eu d'inauguration officielle de la « carcel del encuentro », souligne le site Primicias. Le gouvernement a décidé d'accélérer le mouvement suite aux affrontements qui ont lieu dimanche dans la prison de Machala, dans le sud-ouest du pays. Affrontements qui ont fait 31 morts et qui ont éclaté en réaction justement aux futurs transferts dans cette nouvelle prison, explique El Universo. Cette prison qui est gérée et surveillée par la police et l'armée, pas par l'administration pénitentiaire, comme le souligne El Mercurio, est une copie du Cecot, l'établissement pénitentiaire de haute sécurité, construit au Salvador et critiqué en raison de violations des droits humains, explique Primicias. La « carcel del encuentro » compte 800 places. Elle est protégée par six miradors de 9,50 m de haut, un mur de 9 mètres, et des brouilleurs d'internet et de téléphone, y compris satellitaire. C'est simple, les détenus n'auront aucun contact avec l'extérieur. Aucun contact entre eux non plus. La prison dispose d'un système de vidéosurveillance qui surveille en permanence, avec l'intelligence artificielle, le comportement des prisonniers, précise le journal Metro. À Cuba, le procès de l'ex-ministre de l'Économie commence aujourd'hui C'est à travers un bref communiqué de la Cour suprême lu pendant le journal de Canal Caribe hier midi que l'information a été dévoilée. Une annonce, la veille de l'ouverture du procès, alors qu'Alejandro Gil, ministre de l'Économie et de la planification de 2018 à 2024, accusé notamment d'espionnage et de corruption, est le plus haut fonctionnaire jamais traduit en justice à Cuba au cours de ces dernières décennies, s'étonne 14ymedio. Sa famille n'était pas au courant et ne sait pas si elle pourra assister à l'audience, ajoute le site qui s'est entretenu avec sa sœur. Contrairement à ce qu'avaient demandé les proches d'Alejandro Gil, le procès aura lieu à huis clos, souligne 14ymedio. La Cour suprême n'a pas spécifié combien de temps il durerait, ni si l'ancien ministre sera jugé pour l'ensemble des faits qui lui sont reprochés. Pas plus de précisions sur les preuves dont elle dispose, insiste le site indépendant qui rappelle que ce manque de transparence dans les affaires judiciaires, c'est la norme à Cuba. À La Havane, un hommage à Celia Cruz, la reine de la salsa Cette soirée, qui devait avoir lieu initialement le 19 octobre pour le centenaire de la naissance de la chanteuse, mais qui a été interdite par le régime, s'est finalement déroulée dimanche soir. C'était « spectaculaire », selon Reinaldo Escobar, le journaliste de 14ymedio, qui y était et semble avoir été emporté comme tout le public. « On a dansé, on a applaudi, on en a profité », écrit-il. Celia Cruz « symbolise la part la plus optimiste, sensuelle et festive de l'âme cubaine, tellement maltraitée par des décennies de sévérité feinte et de discours publics qui exaltent la rancœur et la haine de l'autre », poursuit le journaliste. Pour certains des participants, cette soirée était exceptionnelle parce que c'était la première fois qu'ils écoutaient des chansons de Celia Cruz hors de chez eux. Cette soirée avait un petit goût de « rébellion, de quelque chose que l'on fait même si les chiens de la censure aboient tout près, vraiment tout près », poursuit 14ymedio. Et quant aux répercussions, aux conséquences pour les organisateurs de cette soirée, on va reprendre les mots d'une femme qui a dansé toute la nuit : « On verra bien demain ». Haïti : reprise des connexions entre Miami et Les Cayes Comme chaque mardi, Anne Cantener est en ligne avec Gotson Pierre, directeur de l'agence haïtienne Alterpresse. Avec lui, elle évoque la reprise des vols internationaux aux Cayes, dans le sud d'Haïti, la situation à Tabarre où un « calme relatif » règne après une opération policière, et les promesses d'aide financière et logistique du Qatar. De retour, le président du Conseil, président de transition, s'est entretenu avec la presse haïtienne hier. Selon lui, le Qatar va débourser 44 millions de dollars pour soutenir la Force de lutte contre les gangs, la santé, le logement, l'entrepreneuriat et l'organisation d'élections en 2026. Dans un article à la Une de son site, Alterpresse se penche d'ailleurs sur ce futur scrutin tant attendu. Les forêts du Panama Alors que la COP 30 commence difficilement et sans grandes ambitions au Brésil, notre dossier du jour nous emmène dans les forêts du Panama. Elles représentent plus de la moitié du territoire et sont presque toutes protégées. Il existe, par exemple, un label sur la gestion durable des forêts délivré par l'ONG Forest Stewardship Council. Elle vient de tenir une assemblée générale et notre correspondant Grégoire Pourtier y était. Le journal de la 1ère Le patron de l'Office national anti-stupéfiants est en Martinique.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la levée des sanctions onusiennes contre le président syrien, l'arrestation d'un cadre du PPA-CI et un accord entre les démocrates et républicains pour mettre fin au shutdown. Gaza : que sait-on de la future force internationale ? Les États-Unis ont présenté un projet de résolution destiné à être débattu au Conseil de sécurité de l'ONU pour envoyer une force internationale dans la bande de Gaza. Donald Trump a annoncé qu'elle serait « déployée très bientôt ». Quel serait le rôle de cette force ? Comment les Palestiniens pourraient-ils réagir à la présence de militaires étrangers dans l'enclave ? Avec Frédérique Misslin, correspondante permanente de RFI à Jérusalem. Syrie : pourquoi l'ONU a-t-elle levé les sanctions contre le président al-Charaa ? Le Conseil de sécurité des Nations unies a voté la levée des sanctions visant le président syrien par intérim. Ahmed al-Charaa ne figure plus sur la liste des personnes soutenant le terrorisme. Comment expliquer cette décision alors que le tombeur de Bachar el-Assad est un ancien jihadiste qui s'était rallié à al-Qaïda ? Avec Hasni Abidi, directeur du Centre d'études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen et chargé de cours à l'Université de Genève. Côte d'Ivoire : un proche de Laurent Gbagbo dans le viseur de la justice Vice-président du Conseil stratégique et politique du PPA-CI, Damana Adia Pickass, a été arrêté et placé en détention préventive. Le parti de Laurent Gbagbo dénonce un « acharnement judiciaire » et y voit une tentative de museler l'opposition. Que lui reproche la justice ivoirienne ? Que risque-t-il alors qu'il est déjà condamné à dix ans de prison dans une autre affaire ? Avec Bineta Diagne, correspondante permanente de RFI à Abidjan. États-Unis : vers la fin du shutdown ? C'est le shutdown le plus long de l'histoire des États-Unis. Après 40 jours de paralysie budgétaire avec d'importantes conséquences sociales et économiques, les sénateurs démocrates et républicains sont enfin parvenus à un accord. Pourquoi le blocage a-t-il été si long ? Quelles ont été les conséquences de cette situation ? Avec Françoise Coste, historienne et professeure d'études américaines à l'Université de Toulouse Jean-Jaurès.