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Bienvenue dans Radio Foot 16h10-21h10 T.U. Au sommaire ce mercredi : - Un invité : Thilo Kehrer. Le défenseur monégasque a créé une Fondation dont la mission est de soutenir la jeunesse burundaise, lui offrant des opportunités de développement personnel et professionnel. ; - La Ligue 1 et clubs « européens », à une journée de la fin. ; - Diallo prend la main ! La FFF veut réformer le foot pro. - Un invité : Thilo Kehrer. Le défenseur monégasque a créé une Fondation dont la mission est de soutenir la jeunesse burundaise, lui offrant des opportunités de développement personnel et professionnel. Son projet phare : le Centre Thilo Kehrer, inauguré en 2022 à Gitega, propose des activités sportives et socio-culturelles. L'international allemand de mère burundaise veut transmettre aux jeunes - 46% de la population totale a moins de 15 ans - les valeurs que ses parents lui ont inculquées. Quels sont ses projets ? La TKF organise demain à Monaco un dîner caritatif dont les bénéfices aideront à financer ses programmes. Drogba, Mané, Rashford, autres exemples de joueurs engagés au-delà du terrain ! Un peu de foot aussi avec l'ex du PSG et de West Ham, qui aime aller de l'avant.- La Ligue 1 et des clubs « européens », à une journée de la fin. L'OM et Monaco en Ligue des Champions ! Les Phocéens ont assuré leur place en s'imposant au Havre qui lutte pour sa survie, ils n'avaient pas disputé de C1 depuis 2022-2023. La mise au vert italienne a-t-elle pesé ? Après un hiver compliqué, Monaco s'est réveillé ! Derrière, la lutte fait rage. Nice, Lille et Strasbourg pour un dernier ticket. Une place dont l'OL s'éloigne. Le club dont la situation financière est précaire, reste sous la menace d'une rétrogradation administrative.- Diallo prend la main ! La FFF veut réformer le foot pro. Le président de la Fédération présente un projet ambitieux visant à le transformer en profondeur. Une « rupture », qui s'inspire du modèle de la Premier League, prévoit la création d'une nouvelle entité commerciale gérée par les clubs eux-mêmes. Objectifs : améliorer la compétitivité et les revenus, enrayer une crise financière touchant plusieurs clubs. Gouvernance renforcée et répartition plus équitable des ressources, (dont les droits TV ?). Le projet, bientôt examiné au Sénat, pourrait annoncer une nouvelle ère. Avec Annie Gasnier, Carlos Bianchi, Étienne Moatti, Nabil Djellit, et Thilo Kehrer au téléphone. Technique/Réalisation : Laurent Salerno -- Pierre Guérin.
Bienvenue dans Radio Foot 16h10-21h10 T.U. Au sommaire ce mercredi : - Un invité : Thilo Kehrer. Le défenseur monégasque a créé une Fondation dont la mission est de soutenir la jeunesse burundaise, lui offrant des opportunités de développement personnel et professionnel. ; - La Ligue 1 et clubs « européens », à une journée de la fin. ; - Diallo prend la main ! La FFF veut réformer le foot pro. - Un invité : Thilo Kehrer. Le défenseur monégasque a créé une Fondation dont la mission est de soutenir la jeunesse burundaise, lui offrant des opportunités de développement personnel et professionnel. Son projet phare : le Centre Thilo Kehrer, inauguré en 2022 à Gitega, propose des activités sportives et socio-culturelles. L'international allemand de mère burundaise veut transmettre aux jeunes - 46% de la population totale a moins de 15 ans - les valeurs que ses parents lui ont inculquées. Quels sont ses projets ? La TKF organise demain à Monaco un dîner caritatif dont les bénéfices aideront à financer ses programmes. Drogba, Mané, Rashford, autres exemples de joueurs engagés au-delà du terrain ! Un peu de foot aussi avec l'ex du PSG et de West Ham, qui aime aller de l'avant.- La Ligue 1 et des clubs « européens », à une journée de la fin. L'OM et Monaco en Ligue des Champions ! Les Phocéens ont assuré leur place en s'imposant au Havre qui lutte pour sa survie, ils n'avaient pas disputé de C1 depuis 2022-2023. La mise au vert italienne a-t-elle pesé ? Après un hiver compliqué, Monaco s'est réveillé ! Derrière, la lutte fait rage. Nice, Lille et Strasbourg pour un dernier ticket. Une place dont l'OL s'éloigne. Le club dont la situation financière est précaire, reste sous la menace d'une rétrogradation administrative.- Diallo prend la main ! La FFF veut réformer le foot pro. Le président de la Fédération présente un projet ambitieux visant à le transformer en profondeur. Une « rupture », qui s'inspire du modèle de la Premier League, prévoit la création d'une nouvelle entité commerciale gérée par les clubs eux-mêmes. Objectifs : améliorer la compétitivité et les revenus, enrayer une crise financière touchant plusieurs clubs. Gouvernance renforcée et répartition plus équitable des ressources, (dont les droits TV ?). Le projet, bientôt examiné au Sénat, pourrait annoncer une nouvelle ère. Avec Annie Gasnier, Carlos Bianchi, Étienne Moatti, Nabil Djellit, et Thilo Kehrer au téléphone. Technique/Réalisation : Laurent Salerno -- Pierre Guérin.
Bienvenue sur ce podcast produit par le Campus des Dirigeants ! Si vous êtes entrepreneur, dirigeant, dirigeante, vous êtes au bon endroit sur ce podcast.Bruno et Églantine, se sont rencontrés lors d'un séminaire pour des entrepreneurs de croissance, animé par le Campus des Dirigeants.Églantine HORMAN est une entrepreneuse avec un engagement fort, une pertinence aiguë et une soif d'outils et de méthodes pour gagner en efficacité. Sa particularité ? Quand on lui demande le nombre de ses collaborateurs, elle hésite, et annonce le double de son effectif salarié. Son secret ? Chez CBCV, chaque collaborateur a son double ou son prolongement en intelligence artificielle.Églantine est la fondatrice de C'est Beau Chez Vous (CBCV), une entreprise créée en 2019 qui allie sa passion pour l'habitat et la technologie. CBCV propose un service d'aménagement intérieur clé en main pour les investisseurs immobiliers souhaitant meubler et équiper des logements destinés à la location meublée. Tout le parcours client est digitalisé et à distance, mais l'expérience humaine est préservée. CBCV propose des packs d'aménagement selon 17 styles de décoration, choisis en fonction des objectifs locatifs du projet.Après son passage chez Leroy Merlin, où elle a découvert l'univers de la maison et vécu une expérience intrapreneuriale révélatrice, Églantine, voit ces années de salariat comme un "tremplin incroyable" !Mais le cœur de la discussion dans cet épisode est l'utilisation concrète et poussée de l'intelligence artificielle chez CBCV. Il ne s'agit pas d'intelligence "artificielle" mais d'"intelligence enrichie", qui décuple les compétences humaines plutôt qu'elle ne les remplace.Alors, comment bien paramétrer son propre double virtuel sur ChatGPT ?Et comment toute l'équipe de CBCV l'utilise dans les tâches opérationnelles ?Quels sont les pièges à éviter comme la paresse intellectuelle ou le manque d'esprit critique face aux réponses de l'IA ?Pourquoi est-elle convaincue que l'IA ne remplacera pas les qualités humaines ?Quelle est sa vision de l'entrepreneuriat au féminin ?Vous allez découvrir comment l'IA peut concrètement devenir un allié stratégique et opérationnel, et comment embrasser le changement qui s'offre à tous.Pour aller plus loin, le plus simple, c'est de vous rendre sur le site du Campus et de vous abonner à notre newsletter. Nous aimons dire au Campus des Dirigeants, que partager, c'est s'enrichir. Toute histoire est belle à partager, parce qu'elle est unique. Alors si vous aussi, vous voulez partager votre expérience et venir derrière mon micro, contactez-moi... Et n'oubliez pas : Dirigeant, c'est un métier et un métier, ça s'apprend !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment penser et transformer la gouvernance de son entreprise pour répondre au mieux aux aspirations des salariés ?
Dans cet épisode, Laurent Kretz reçoit Julia Suillaud, directrice générale chez LePantalon, une marque de vêtements intemporels et responsables. Arrivée initialement comme salariée, Julia reprend progressivement les rênes jusqu'à devenir CEO puis actionnaire, pilotant ainsi une transformation complète de la marque.Ensemble, ils reviennent sur les défis majeurs de cette reprise : la relance stratégique de la ligne femme après des premiers tests mitigés. Ils abordent également les ajustements faits après l'impact du Covid sur les approvisionnements, et les arbitrages produits pour répondre à la demande dans un contexte inflationniste.Julia partage également les coulisses de la refonte de la plateforme de marque, la migration réussie vers Shopify, et la mise en place d'une stratégie omnicanale efficace pour harmoniser l'expérience entre le digital et les points de vente physiques. Timecodes :00:00:00 : Introduction00:07:00 : Impact du Covid et relance de la gamme femme00:12:45 : Adaptations produit et stratégie tarifaire en période d'inflation00:18:30 : Migration vers Shopify et refonte de la marque00:24:50 : Omnicanalité et nouvelles stratégies retail00:42:00 : Gouvernance, équipe et stratégie de croissance
Comment les bouleversements actuels – qu'ils soient climatiques, politiques ou diplomatiques – affectent-ils l'Arctique, cette immense région partagée entre cinq États.
Mercredi 30:Un ciel bleu azur pour cette période de vacances… mais désespérément vide. En effet, tous les vols au départ des aéroports nationaux ont été annulés hier. Un aéroport vide et une certaine exaspération de la part de la direction.L'agence de notation américaine Standard & Poor's a confirmé les bonnes notes de crédit de la Belgique. En revanche, elle a revu sa perspective de stable à négative. Cette révision témoigne des préoccupations croissantes sur la trajectoire budgétaire du pays, alors que le déficit public belge figure parmi les plus élevés de la zone euro.La Belgique se débat depuis des années avec des déficits budgétaires récurrents, ce qui soulève des questions sur la gouvernance de notre pays. Dans un contexte d'incertitude économique croissante, de hausse des prix de l'énergie et de paysage géopolitique complexe, la question d'une réforme structurelle devient de plus en plus pressante.
Cela fait exactement 100 jours que Donald Trump a signé son retour à la Maison Blanche. Entre déclarations chocs, annonces fracassantes et décrets... de nombreux Centrafricains suivent avec beaucoup d'intérêt la gouvernance du 47e président américain. À Bangui, la capitale, les avis sont contradictoires. Si les uns pensent que Donald Trump représente l'espoir d'un monde nouveau, d'autres y voient des signes du bouleversement de l'ordre mondial. Reportage de notre correspondant à Bangui L'ambiance est à la fois décontractée et studieuse dans la bibliothèque de l'Alliance française de Bangui. Élèves, étudiants et fonctionnaires sont confortablement installés. Parmi eux, Maurice Guimendego. Ce professeur d'histoire géographie est concentré sur un livre intitulé Donald Trump : faiseur de paix ou apôtre du désordre mondial ? : « Donald Trump passe pour une espèce de météorite qui vient s'abattre sur un monde qui déjà marchait claudicant. Au plan intérieur, c'est une véritable désillusion. Pour être protectionniste, il n'y a peut-être pas besoin d'augmenter les taxes d'une manière vertigineuse. Jusqu'à près de 150% pour certains pays, je crois que c'est la Chine. » Au rez-de-chaussée du bâtiment, un groupe de jeunes discutent dans le hall. Chacun donne son avis, mais la centaine de décrets pris par Donald Trump a marqué l'esprit de Moustapha Bouba : « Il a fait un temps record en signant 79 décrets en 40 jours. Il a changé la vision du monde, là où on peut dire le protectionnisme exacerbé de Donald Trump. Ce qui m'a beaucoup touché, c'est par rapport à sa remise en cause de l'engagement des États-Unis envers l'Otan. Il a débuté d'une manière radicale. Espérons peut-être s'il y aura un changement, peut-être... » Le gel de l'aide américaine par Donald Trump a suscité choc et émoi dans le pays. Alors que le dernier rapport du Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies (Ocha) a révélé qu'environ 37% des Centrafricains sont extrêmement vulnérables en 2025, la suspension de cette aide a un impact direct sur la RCA selon Jefferson, un autre jeune Centrafricain : « La République centrafricaine est un pays qui n'est pas développé comme les États-Unis. Avec le blocage de ces aides, ça rend certaines organisations inefficaces. Il y a certaines personnes qui sont maintenant au chômage, et certains ménages en souffrent aussi en République centrafricaine. Les populations vulnérables bénéficient souvent de ces aides-là. » Pour l'historien Maurice Guimendego, la gouvernance actuelle de Donald Trump met du plomb dans l'aile des Occidentaux et donnera la latitude nécessaire aux Brics, un groupe de dix pays dont le Brésil, la Russie, l'Inde ou la Chine pour conquérir le monde : « Si vous prenez la population de l'ensemble des pays qui constituent les Brics, ça constitue quand même près de 60 à 65% de la population mondiale. Les Brics se sont constitués pour contrebalancer les effets trop importants, envahissant, des États-Unis et des autres. » Aujourd'hui, de nombreux Centrafricains demandent l'implication sans failles des États-Unis dans la gestion des crises sécuritaires dans le monde, notamment en République centrafricaine.
Depuis quelques années, les entreprises sont confrontées à une succession de crises, majoritairement issues de facteurs exogènes. Face à cet état de « permacrise », il appartient tant à la Direction générale qu'au conseil d'administration, chacun dans son rôle, d'anticiper et de gérer des situations de plus en plus complexes, susceptibles de menacer la pérennité de la société.Par la richesse de leur retour d'expérience, deux administratrices indépendantes apportent à notre micro un éclairage précieux sur cet enjeu crucial de gouvernance : Eliane Rouyer-Chevalier, membre du comité d'audit d'Ipsos et Pascaline Peugeot-de Dreuzy, Présidente du comité de la gouvernance, de sélection et des rémunérations du groupe Bouygues S.A. et également membre de son comité d'audit.
L'archevêque de Malines-Bruxelles, Luc Terlinden, réagit à la mort du pape François et aborde les implications pour l'Église catholique, en Belgique et à l'échelle mondiale. Il revient sur les étapes protocolaires du deuil et du conclave, soulignant la dimension internationale du collège des cardinaux, profondément transformé par le pape défunt. Terlinden évoque une Église en mutation, marquée par une volonté de gouvernance plus partagée, notamment via les conclusions du dernier synode. Il souligne également les différences de priorités entre continents, rendant l'élection du futur pape particulièrement incertaine. Interrogé sur les propos polémiques de François, notamment sur l'avortement, il plaide pour une lecture nuancée et contextualisée. Malgré les crises, il observe un regain d'intérêt spirituel, notamment chez les jeunes et les adultes en quête de sens. La figure du prochain pape devra conjuguer fidélité aux valeurs fondamentales et capacité d'adaptation aux enjeux contemporains. Un équilibre délicat à trouver entre tradition et ouverture. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment les enquêtes internes de la SAQ permettent- elles d'identifier les vulnérabilités et protéger les ressources humaines, matérielles et financière de la SAQ? C'est ce que nous explorons dans ce balado mettant en vedette Isabelle Bergevin et Ian St-Amand du service Gouvernance, sécurité et enquêtes.
Romain Graziani, philosophe et sinologue, vient de publier Les lois et les Nombres (Gallimard), une enquête épatante qui nous permet de retracer le fil qui relie les formes les plus avancées de la domination contemporaine à ses premiers inventeurs : les stratèges chinois au IVe siècle av. J.-C.Dans cette nouvelle archéologie du pouvoir, le philosophe nous raconte comment la domination impériale chinoise s'est fondée sur un imaginaire politique du calcul, du mesurable, du mécanisme et de la capture fondé sur la primauté des nombres. C'est l'héritage du Légisme (Guan, Shang Yang, Han Fei) qui, à la source de la première fondation de l'Empire, n'a plus cessé de s'étendre jusqu'à aujourd'hui avec le crédit social en Chine ou encore la diffusion de la gouvernance algorithmique partout dans le monde. On fait aussi un petit détour par Mao qui se délirait en Qi Shi Huangdi (le premier empereur) et se revendiquait du légisme en faisant littéralement tout le contraire et n'importe quoi, produisant famines sur famines.Si l'on a longtemps vu dans le logos grec le début de la logification capitaliste du monde, nous pouvons voir dans le FA chinois (la loi ou la norme) le début de la mathématisation algorithmique du gouvernement impérial. L'étrange phénomène contemporain est le suivant : une idéologie du Nombre d'il y a 23 siècle est en train de réémerger à la vitesse de la poudre sur tout le continent asiatique avec pour effet une formidable réintégration du reste du monde à sa mesure. 00:00 Teaser 1:27 Du légisme chinois au IVe siècle av. J.-C. à la description de l'Empire au XXIème siècle 05:00 Modernité de l'imaginaire politique chinois 07:37 Gouverner par les nombres, dominer sans affect 10'51: Par-delà les valeurs et le pouvoir charismatique, les lois et les nombres 12 :39 Comment la pensée gouvernementale chinoise du IVe siècle av. J.-C. converge avec le management contemporain, le nudge et la surveillance algorithmique 14 :41 D'ailleurs c'est quoi le légisme ? 19:59 « Enrichir l'état , renforcer l'armée » ou comment régner par la guerre et le profit 24:16 Par-delà l'enrichissement, la recherche du contrôle maximal sur la population 27 :32 Comment s'articulent l'art de gouverner et celui de s'enrichir ? 33:17 La souveraineté en pilotage automatique ou naissance de la technocratie 42 :07 De la surveillance céleste à la surveillance numérique 49:50 Les métaphores du pouvoir : la mesure, la mécanique, la capture 55:08 La population chinoise est-elle culturellement plus passive face au pouvoir ? 59:43 Le pouvoir chinois antique et le régime chinois contemporain peuvent-ils être considérés comme des totalitarismes ? 1:02:39 Les trois figures de l'ingouvernable : le saint homme, le justicier errant et le brigand 1:08:45 Mao, le nouvel empereur délirant 1:12:29 Bonus : le non-agir est-il anarchiste ?Vous aimez ou au moins lisez lundimatin et vous souhaitez pouvoir continuer ? Ca tombe bien, pour fêter nos dix années d'existence, nous lançons une grande campagne de financement. Pour nous aider et nous encourager, C'est par ici.
durée : 00:04:15 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - Cette gouvernance bleue a un rapport avec la conférence des Nations Unies sur l'Océan, l'Unoc qui se tiendra en juin prochain à Nice, elle est portée par Sabine Roux de Bézieux, la présidente de la Fondation de la Mer, co-rapporteure de l'avis du conseil économique social et environnemental.
Au programme de cette édition, notamment :Le projet de directive OmnibusLa directive NIS 2La réforme du régime des nullités des décisions sociales des sociétés
La première heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
La gouvernance locale joue un rôle crucial pour rétablir les services de base et la cohésion sociale pour les populations en République centrafricaine (RCA), estime l'Expert indépendant de l'ONU sur la situation des droits de l'homme en RCA.En marge de son exposé, mardi, devant le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies à Genève, Yao Agbetse a accordé un entretien à Juliette Maigné, d'ONU Info Genève.Dans cet entretien, il explique que renforcer les pouvoirs locaux en République centrafricaine, pays meurtri par un conflit sévissant depuis 2012, est « un outil permettant d'étendre la restauration de l'autorité de l'État sur le territoire et de servir aussi comme levier pour la réconciliation nationale ».« C'est à travers la gouvernance locale qu'on pourra apporter le service de sécurité, le service de justice, la reconstruction des marchés, des écoles de santé, des infrastructures socio-culturelles nécessaires pour que les populations puissent jouir effectivement de leurs droits, le droit aux loisirs, le droit à l'emploi, le droit à un état de santé mentale et physique suffisant », ajoute-t-il.
Pour en savoir plus sur Hellodarwin : https://go.hellodarwin.com/hypercroissance?utm_source=helloDarwin&utm_medium=podcast&utm_campaign=grants-hypercroissanceComment Transdev Canada est-elle passée de 100M$ à 600M$ en seulement 7 ans ? Dans cet épisode d'Hypercroissance, Arthur Nicolet, PDG de Transdev Canada, partage les stratégies qui ont permis à cette PME québécoise de devenir le leader privé du transport public au pays, tout en passant de 1 000 à 6 000 employés.
Phoenix Beverages à travers Eski, dévoile une compétition de talents exceptionnelle de la jeunesse mauricienne ! Phoenix Beverages, à travers sa marque emblématique Eski, lance officiellement la compétition nationale « Wello Ena Talan », une initiative exceptionnelle visant à révéler et valoriser les talents et la créativité des jeunes mauriciens, âgés entre 13 et 19 ans. L'annonce officielle a été faite le vendredi 28 mars 2025 à la Mauritius Glass Gallery (MGG) à Pont Fer, en présence d'un parterre d'invités de prestige. Ouverte à tous les jeunes résidents mauriciens, cette compétition accueille une variété impressionnante de disciplines artistiques, notamment le chant, la danse, la comédie, le slam, les acrobaties et la magie, entre autres. Des auditions seront organisées dans cinq régions stratégiques (Nord, Est, Sud, Ouest et Centre) afin de garantir une participation inclusive et accessible à tous. Les inscriptions s'effectuent très simplement, soit via WhatsApp (5255 4464) en envoyant une vidéo de 30 secondes accompagnée des informations personnelles requises, soit directement en se rendant aux centres régionaux d'audition. Phoenix Beverages Limited a placé les valeurs ESG (Environnement, Social et Gouvernance) au cœur de « Wello Ena Talan ». L'entreprise s'engage ainsi activement en faveur de pratiques écoresponsables, tout en mettant l'accent sur l'inclusion sociale, l'engagement communautaire et la transparence lors de ce concours. Virginie Felenc, Mauritius Marketing Manager, souligne : « Wello Ena Talan dépasse largement le cadre d'une simple compétition. C'est une opportunité unique pour notre jeunesse de s'exprimer pleinement tout en s'impliquant activement dans une démarche citoyenne et responsable. Nous sommes convaincus que cette initiative aura un impact positif et durable sur la jeunesse mauricienne.» Gerard Merle, Sr Manager Technical Operations and Sustainability, ajoute avec enthousiasme : « Ce projet nous tient particulièrement à cœur, car il permet à chaque jeune de poursuivre ses rêves avec passion. En tant que producteur responsable, nous souhaitons non seulement sensibiliser les participants aux enjeux environnementaux et sociaux, mais aussi générer un véritable impact social positif dans nos communautés. » Les candidats sélectionnés lors des auditions régionales participeront à la grande finale nationale après une période intensive de préparation, comprenant des répétitions encadrées par des professionnels du secteur culturel et artistique. Les performances, d'une durée maximale de 2 minutes 30, seront évaluées par un jury indépendant selon des critères rigoureux : originalité, créativité, présence scénique et impact global. À la clé : des récompenses alléchantes, notamment des prix en ‘cash', des trophées, ainsi que des opportunités concrètes pour la valorisation des talents sur des plateformes reconnues. Le grand gagnant se verra offrir un chèque de Rs 100,000, le deuxième un chèque de Rs 25,000, et Rs 15,000 seront offerte à celui ou celle qui terminera à la troisième position. Pour récompenser l'effort de ceux qui auront atteint la finale, Rs 10,000 seront offertes à ceux qui finiront entre la 4ème et la 10ème place ainsi que Rs 5,000 entre la 11ème et la 20ème. Phoenix Beverages Limited invite chaleureusement les jeunes talents à saisir cette opportunité et à faire découvrir leur créativité, leur passion et leur authenticité au grand public. « Wello Ena Talan » entend ainsi inspirer et dynamiser une nouvelle génération mauricienne engagée, créative et responsable. Nous saluons aussi la collaboration du ministère de la jeunesse et des sports ainsi que la représentante de l'Ile Maurice à l'UNESCO, Mme Jasmine Toulouse. Pour toute information complémentaire ou pour vous inscrire, rendez-vous sur le site officiel www.wello.mu ou contactez directement les organisateurs via WhatsApp.
Dans cet épisode de Yes We Care, Faustine Duriez reçoit Claire Bonenfant, Directrice de Sthree en France, une entreprise spécialisée dans le recrutement de talents dans les domaines des STEM (Sciences, Technologies, Ingénierie et Mathématiques). Claire a piloté une transformation majeure au sein de l'entreprise, adoptant une gouvernance collaborative tout en plaçant l'humain au centre de ses préoccupations. Claire nous raconte son parcours et son approche audacieuse : créer un environnement où l'autonomie et la participation sont des moteurs de performance collective. Cependant, comme elle le souligne, le Covid a mis ce modèle à l'épreuve, nécessitant une réadaptation et une gestion plus directive en période de crise. Dans cet épisode, Claire nous partage : - Sa transformation chez Sthree : Comment elle a réussi à déployer un modèle de gouvernance collaborative qui place l'autonomie au cœur de l'organisation et renforce la confiance des collaborateurs. - Les défis du Covid : Comment cette crise sanitaire a remis en question le modèle de gestion participative, forçant une réévaluation de l'équilibre entre autonomie et autorité en période d'incertitude. - Sa vision du leadership : Comment concilier bienveillance, rigueur et flexibilité dans le management, et pourquoi il est essentiel de maintenir un cadre structuré même lorsque la situation devient instable. Vous découvrirez également : - Les clés de la réussite dans la transformation organisationnelle : Comment engager les collaborateurs dans un projet de transformation, créer un cadre favorable à l'expression d'idées diversifiées, et adapter le leadership en fonction des besoins de l'entreprise. - L'importance de l'écoute et de l'adaptation : Comment Claire a su trouver des solutions qui concilient performance, bien-être au travail et leadership bienveillant, même dans un contexte de crise. Claire revient également sur son expérience personnelle, les défis qu'elle a rencontrés et comment elle a redéfini les priorités pour garder l'organisation alignée avec ses valeurs. Écoutez cet épisode pour découvrir comment Claire Bonenfant a transformé Sthree et créé un modèle où la performance et l'humain coexistent en harmonie, même face à l'adversité. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans l'épisode d'aujourd'hui, j'ai la chance d'avoir comme invitée la professeure et avocate Cinthia Duclos ainsi que Keven Bourque, président du CA de l'AED. Nous aborderons le sujet de la gouvernance et des conseils d'administration.Bonne écoute !
Pilotage des projets : Dhaneshwar Damry mise sur la bonne gouvernance
Au Sénégal, le candidat d'opposition Bassirou Diomaye Faye remportait la présidentielle dès le premier tour avec 54 % des voix il y a un an jour pour jour. Un an plus tard, où en est la rupture promise par le parti Pastef et quels sont les principaux changements revendiqués par le président Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko ? Ayib Daffé est le secrétaire général du parti, dont il est aussi député et chef du groupe parlementaire. En ligne de Dakar, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Ayib Daffé, quels sont, pour vous, les premiers changements tangibles que le Pastef a apportés au Sénégal ?Ayib Daffé : Les premiers changements tangibles sont d'abord dans la gouvernance. Conformément à son engagement, le président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye a inscrit la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption comme une priorité de sa politique en transmettant une lettre aux fonctionnaires du pays, pour les exhorter à la ponctualité, au respect du bien public, à l'efficacité et au respect de la hiérarchie. Donc, sur ce plan-là également, il a eu à organiser des assises de la justice sur la modernisation et la réforme de la justice au Sénégal. Et par ailleurs, il a eu aussi à publier tous les rapports des corps de contrôle qui étaient transmis à son prédécesseur depuis près d'une dizaine d'années et qui n'étaient pas publiés, contrairement aux textes qui les encadrent. Il a eu également à faire un audit sur la gestion des finances publiques par son prédécesseur, notamment à la période entre 2019 et 2024. Et c'est cet audit qui a permis de révéler une situation très peu reluisante de nos comptes publics avec un déficit à 12% du PIB, alors que les chiffres qui étaient présentés parlent d'un déficit à 5%. Donc, une véritable catastrophe budgétaire, si on peut parler ainsi, et ça a permis d'avoir une situation réaliste. Donc, en très peu de temps, il a eu à concrétiser sa vision et à développer la stratégie de développement.À lire aussiSénégal: un an après l'élection de Bassirou Diomaye Faye, le pays est-il entré dans une nouvelle ère?Suite au dernier rapport de la Cour des comptes, vous dites que l'ancien président Macky Sall, qui vit actuellement au Maroc, va être convoqué par la justice sénégalaise, mais celui-ci, dans une interview à Jeune Afrique, réplique qu'il n'est responsable d'aucune falsification et que tout ceci est ridicule.Bon, je pense que la Cour des comptes est une institution. Donc, c'est la parole de Macky Sall contre celle de la Cour des comptes. Et la Cour des comptes, c'est la loi qui lui confère cette mission-là. Donc, je ne vois pas comment on peut remettre en cause un rapport de la Cour des comptes. Ce n'est pas sérieux, ce n'est pas crédible. Maintenant, il est dans son rôle d'homme politique de défendre son bilan, son mandat, mais la réalité est qu'il y a un désastre budgétaire, il y a un désastre financier. On parle vraiment d'une catastrophe sur le plan budgétaire. Parce que, par exemple, on nous a révélé qu'il y a plus de 2500 milliards de francs CFA qui ont été empruntés auprès des banques de la place, alors que l'Assemblée nationale n'a pas donné d'autorisation, l'Assemblée nationale n'a jamais été informée. Donc, cette dette cachée et beaucoup d'autres irrégularités sont aux antipodes de la bonne gouvernance. Sa responsabilité politique est effectivement engagée. Bon, maintenant, je n'ai pas entendu dire qu'il sera convoqué par la justice, parce que, comme vous le savez, la Constitution stipule que le président de la République ne peut être poursuivi que pour haute trahison et devant la Haute Cour de justice. Donc, cela n'est pas encore le cas. Et si cela devait l'être, ce serait conformément à la Constitution, aux lois et aux règlements du Sénégal.Oui, mais le porte-parole du gouvernement, Moustapha Ndjekk Sarré, a dit sur RFM qu'inévitablement, le président Macky Sall fera face à la justice ?Effectivement, il a eu à le dire, mais lorsqu'il le disait, il a eu à préciser que, quand il le disait, il ne s'agissait pas de la version du gouvernement, mais il parlait en tant qu'homme politique.À votre arrivée au pouvoir, Ayib Daffé, vous avez promis que les accords du Sénégal avec les compagnies qui doivent exploiter le gaz et le pétrole offshore seraient réévalués. Mais un an plus tard, toujours rien. Si jamais les contrats ne sont pas renégociés, est-ce que vous ne risquez pas de décevoir vos électeurs ?Je pense que le travail de renégociation des contrats, c'est un processus qui est entamé. Ce n'est pas un travail qui se fait du jour au lendemain. Et en accord avec les compagnies, il y a des négociations qui se déroulent et qui devraient aboutir bientôt à des résultats.Avec BP, British Petroleum ?C'est tous les contrats qui sont concernés, parce qu'il y a une revue des contrats qui est faite par le ministère de l'Énergie. Et maintenant, pour BP, le contrat concerne aussi bien le Sénégal que la Mauritanie. Et je pense que le Premier ministre, Ousmane Sonko, a eu à faire plusieurs voyages en Mauritanie, et le ministre de l'Énergie également. La Primature a mis en place un comité pour la renégociation de tous ces contrats stratégiques. Mais d'abord la revue et ensuite la renégociation.À lire aussiSénégal: qui est Bassirou Diomaye Faye, passé en un éclair de la prison à la présidence?
Ornikar, c'est plus qu'une auto-école en ligne ! Depuis son dernier tour de table à 100 million d'EUR avec KKR, l'entreprise a pris un virage stratégique : adieu la course au volume, bonjour la rentabilité et l'assurance auto comme nouveau levier.Le retournement express : Arrivé comme Advisor, Philippe Maso a tout chamboulé : moins de comités, plus d'action, une culture d'entreprise refondée, et un business model au cordeau. Résultat ? Une transformation réussie en un temps record.
Faille de sécurité majeure: quand la médiocrité devient une valeur organisationnelle Entrevue avec Francis Coats, expert en sécurité et enseignant à l’École de technologie supérieure (ETS).Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Bienvenue sur ce podcast produit par le Campus des Dirigeants ! Si vous êtes entrepreneur, dirigeant, dirigeante, vous êtes au bon endroit sur ce podcast.Aujourd'hui, nous sommes au siège d'une très très grande entreprise, une entreprise centenaire qui affiche des chiffres considérables, 110 000 collaborateurs dont 80 000 collaborateurs actionnaires de l'entreprise, plus de 1000 magasins, 500 millions de clients dans 21 pays sur tous les continents.Mon invité est Pierre-Alain Vielvoye, le président du conseil d'administration de Groupe ADEO, le premier acteur de l'habitat positif dans le monde avec des enseignes comme Leroy Merlin, Bricoman, Weldom, Saint-Maclou, Kbane…et nous avons recensé encore plus d'une vingtaine de marques.Avec cette taille, nous comprenons que l'entreprise puisse légitimement afficher sur son site : « nous avons un rôle à jouer dans l'avenir du monde » !Dans cet épisode, Pierre-Alain nous partage sa vision et les pratiques concrètes de cette entreprise en matière de partage de la richesse sous toutes ses formes.Il dévoile les fondements d'un mode de partage construit autour des quatre piliers suivants :Le partage du vouloir : comment impliquer l'ensemble des équipes dans la construction de la vision à long terme.Le partage du savoir : les moyens mis en œuvre pour rendre l'information accessible à tous les collaborateurs, y compris l'attribution de smartphones d'entreprise aux 110 000 employés.Le partage du pouvoir : le principe de la subsidiarité et la promotion de la prise de responsabilité à tous les niveaux.Le partage de l'avoir : découvrez les mécanismes de la prime de progrès, de la participation aux bénéfices étendue à tous les pays où le groupe est présent, et surtout, l'opportunité unique pour les collaborateurs de devenir actionnaires de l'entreprise, représentant aujourd'hui 13% du capital.Comment certains collaborateurs fidèles ont-ils pu accroître significativement leur patrimoine grâce à ce système ?Comment cette culture du partage impacte le dialogue social et la performance de l'entreprise ?Quel est le véritable moteur de ce modèle, entre justice sociale et intérêt bien compris de l'entreprise ?Quel est l'avenir de cette culture du partage ?Pour aller plus loin, le plus simple, c'est de vous rendre sur le site du Campus et de vous abonner à notre newsletter. Nous aimons dire au Campus des Dirigeants, que partager, c'est s'enrichir. Toute histoire est belle à partager, parce qu'elle est unique. Alors si vous aussi, vous voulez partager votre expérience et venir derrière mon micro, contactez-moi... Et n'oubliez pas : Dirigeant, c'est un métier et un métier, ça s'apprend !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Carbo veut prouver qu'une entreprise écologique peut être viable économiquement, socialement juste et capable de changer la donne.
Depuis l'adoption de la résolution 1325 du Conseil de sécurité de l'ONU, le rôle déterminant des femmes dans la prévention et la résolution des conflits est mieux reconnu. Pourtant, leur présence aux négociations de paix demeure marginale, alors que leur implication garantit des accords plus solides et durables. De leur côté, les jeunes, véritable moteur du changement, restent trop souvent en marge des processus de consolidation de la paix. Qu'ils négocient, mobilisent ou impulsent des initiatives locales, leur engagement renforce la légitimité et l'impact des solutions mises en place. Mais les blocages persistent. Femmes et jeunes peinent encore à s'imposer dans ces espaces de décision, leurs contributions étant reléguées au second plan. Comment garantir une participation plus juste et efficace ? Quel rôle pour les États, la société civile et les organisations internationales ? Comment passer des intentions aux actes ? Décryptage, témoignages et pistes de solutions.Avec :• Katrina Leclerc, co-fondatrice et conseillère au sein de la Coalition canadienne Jeunesse, Paix et Sécurité• Simone Mbode Diouf, jeune Ambassadrice pour la Paix de l'Union Africaine représentant la région Afrique de l'Ouest. • Artida Minga, attachée de programme au sein de la Direction des Affaires politiques et la Gouvernance démocratique de l'OIF En fin d'émission, place à la chronique sonore de Monica Fantini, Ecouter le monde Programmation musicale : ► Cards On The Table - Nia Archives► Koliko - Vaudou Game
Depuis l'adoption de la résolution 1325 du Conseil de sécurité de l'ONU, le rôle déterminant des femmes dans la prévention et la résolution des conflits est mieux reconnu. Pourtant, leur présence aux négociations de paix demeure marginale, alors que leur implication garantit des accords plus solides et durables. De leur côté, les jeunes, véritable moteur du changement, restent trop souvent en marge des processus de consolidation de la paix. Qu'ils négocient, mobilisent ou impulsent des initiatives locales, leur engagement renforce la légitimité et l'impact des solutions mises en place. Mais les blocages persistent. Femmes et jeunes peinent encore à s'imposer dans ces espaces de décision, leurs contributions étant reléguées au second plan. Comment garantir une participation plus juste et efficace ? Quel rôle pour les États, la société civile et les organisations internationales ? Comment passer des intentions aux actes ? Décryptage, témoignages et pistes de solutions.Avec :• Katrina Leclerc, co-fondatrice et conseillère au sein de la Coalition canadienne Jeunesse, Paix et Sécurité• Simone Mbode Diouf, jeune Ambassadrice pour la Paix de l'Union Africaine représentant la région Afrique de l'Ouest. • Artida Minga, attachée de programme au sein de la Direction des Affaires politiques et la Gouvernance démocratique de l'OIF En fin d'émission, place à la chronique sonore de Monica Fantini, Ecouter le monde Programmation musicale : ► Cards On The Table - Nia Archives► Koliko - Vaudou Game
Un comité d'experts est mis en place pour déterminer si la loi 21 est bien appliquée. Entrevue avec Me Christiane Pelchat, avocate, ancienne députée libérale et ex-présidente du Conseil du statut de la femme.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans la guerre hybride, la structure même de l'internet est touchée. Le routage des données et la souveraineté numérique sont affectés. Comment la Russie a-t-elle ainsi pu isoler numériquement les territoires dont elle entend prendre le contrôle, à l'est et au sud de l'Ukraine ? Quelle a été la réponse apportée par les autorités ukrainiennes ? Ces questions alimentent le débat, au sein de la société civile, entre devoir de protection et liberté d'internet. Avec les opérations dans l'espace cyber et les opérations d'influence, les manipulations de routage des données sont un autre moyen d'intervention dans la guerre que mène la Russie en Ukraine. Ces trois modes d'actions ont commencé bien avant le déclenchement de l'invasion à grande échelle de février 2022. Peu à peu, l'État ukrainien a réagi, la société civile aussi. On a assisté à la mise en place d'un bouclier informationnel et cela a suscité de vifs débats.Notre invité, Louis Pétiniaud, docteur de l'Institut français de géopolitique et chercheur au Centre de géopolitique de la datasphère, Géode, est l'auteur d'une étude intitulée : Le « bouclier informationnel » ukrainien, une infrastructuration des pratiques de souveraineté numérique. Dans cet article consacré à l'Ukraine depuis le début de la guerre en 2014, il analyse notamment les politiques infrastructurelles de protection de l'information, à travers les couches basses de l'internet. Il nous explique pour commencer ce qui constitue cette infrastructure invisible aux yeux des internautes, et les enjeux qu'elle représente.La chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI : Ukraine: Volodymyr Zelensky dans l'oeil de la désinformation pro-russe.La chronique de Nathan Gallot des Observateurs de France 24 : Attentat de Mannheim: rumeurs et intox anti-immigration autour de l'identité et l'origine du tueur.
Dans la guerre hybride, la structure même de l'internet est touchée. Le routage des données et la souveraineté numérique sont affectés. Comment la Russie a-t-elle ainsi pu isoler numériquement les territoires dont elle entend prendre le contrôle, à l'est et au sud de l'Ukraine ? Quelle a été la réponse apportée par les autorités ukrainiennes ? Ces questions alimentent le débat, au sein de la société civile, entre devoir de protection et liberté d'internet. Avec les opérations dans l'espace cyber et les opérations d'influence, les manipulations de routage des données sont un autre moyen d'intervention dans la guerre que mène la Russie en Ukraine. Ces trois modes d'actions ont commencé bien avant le déclenchement de l'invasion à grande échelle de février 2022. Peu à peu, l'État ukrainien a réagi, la société civile aussi. On a assisté à la mise en place d'un bouclier informationnel et cela a suscité de vifs débats.Notre invité, Louis Pétiniaud, docteur de l'Institut français de géopolitique et chercheur au Centre de géopolitique de la datasphère, Géode, est l'auteur d'une étude intitulée : Le « bouclier informationnel » ukrainien, une infrastructuration des pratiques de souveraineté numérique. Dans cet article consacré à l'Ukraine depuis le début de la guerre en 2014, il analyse notamment les politiques infrastructurelles de protection de l'information, à travers les couches basses de l'internet. Il nous explique pour commencer ce qui constitue cette infrastructure invisible aux yeux des internautes, et les enjeux qu'elle représente.La chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI : Ukraine: Volodymyr Zelensky dans l'oeil de la désinformation pro-russe.La chronique de Nathan Gallot des Observateurs de France 24 : Attentat de Mannheim: rumeurs et intox anti-immigration autour de l'identité et l'origine du tueur.
Le Journal en français facile du jeudi 6 mars 2025, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BTL9.A
Cette semaine, on plonge dans les zones grises de la responsabilité gouvernementale : pourquoi voit-on des décideurs éviter d'assumer les conséquences de leurs actions ? On analyse les défis liés à la gestion des projets publics et le phénomène de la déresponsabilisation. Aussi au programme : - Gouvernance et souveraineté : Quel rôle jouent certaines institutions dans les grandes décisions ? - Tensions commerciales et impact économique : Comment les nouvelles politiques de commerce international influencent-elles notre quotidien ? - Sport et représentation : Pourquoi certains événements sportifs ravivent-ils des débats sur l'identité et la place des nations sur la scène mondiale ? - Couverture médiatique : Pourquoi certaines nouvelles nous captivent plus que d'autres et influencent notre perception des enjeux locaux ? 00:00 Introduction 10:00 Actualités de la semaine 15:30 SAAQclic et la gestion des responsabilités ministérielles 28:45 Discussion sur la souveraineté et les institutions 42:10 Tensions commerciales et impacts économiques 55:20 Représentation nationale 01:05:40 Médias et perception des enjeux locaux 01:18:30 Conclusion et remerciements Vos réflexions nous intéressent ! Laissez votre avis en commentaire et abonnez-vous pour ne rien manquer.
Le quatre-vingt-septième épisode du Podcast : QUITTE LE BOOMER DREAMLE SCAM DE L'EPARGNE DURABLEOn a lancé nos accompagnements en investissement, si tu souhaites être accompagné pour quitter ton job et faire du cash : DM NOUS SUR INSTA ou ENVOIE UN MAIL @quitteleboomerdream@gmail.com Les fonds ESG (Environnement, Social, Gouvernance) et ISR (Investissement Socialement Responsable) sont-ils vraiment durables ou juste un coup marketing des banques ?
durée : 00:11:45 - Les Enjeux internationaux - par : Jean Leymarie - Hier, au Palais présidentiel de Damas, s'est clôturée la “conférence sur le dialogue national”, devant définir les grandes orientations pour la Syrie post-Bachar al-Assad. - réalisation : Daphné Leblond - invités : Myriam Benraad Politologue, spécialiste du Moyen-Orient, professeure associée en relations internationales.
Hélène Le Teno est la présidente de la Heart Leadership University (HLU), une structure dédiée à la formation des dirigeants vers un leadership plus humain, responsable et aligné sur les défis actuels. Son parcours est tout sauf linéaire : ingénieure passée par le pétrole, la finance et le conseil en stratégie carbone, elle a peu à peu construit sa vision d'un leadership conscient, ancré dans la réalité mais tourné vers le bien commun.Dans cet épisode, nous parlons de la transformation des entreprises, de la difficulté des grands groupes à changer de l'intérieur et du rôle clé des dirigeants de PME et d'ETI dans l'évolution du monde économique. J'ai questionné Hélène sur les résistances culturelles et psychologiques qui empêchent les leaders d'agir, sur les modèles de gouvernance innovants, et sur la manière dont l'intelligence artificielle va impacter le leadership et les décisions stratégiques.Elle partage aussi des études fascinantes sur la psychologie des dirigeants, le dark factor qui influence les prises de décision et les freins internes qui empêchent l'action, même lorsque les enjeux sont parfaitement connus. Enfin, elle explique pourquoi la clé du changement réside autant dans la structure de l'entreprise que dans le courage personnel des dirigeants.Un épisode essentiel pour tous ceux qui s'interrogent sur l'évolution du monde économique et du rôle des leaders dans cette transformation.5 citations marquantes :« Il y a une différence entre le compromis et la compromission. Savoir où tracer la ligne est essentiel. »« L'enjeu du leadership, ce n'est pas seulement de faire des profits, c'est de devenir un bon ancêtre. »« Les grands groupes du CAC 40 sont structurellement incapables de concilier profits et bien commun. »« Si les leaders n'incarnent pas le changement, les entreprises ne se transformeront pas par elles-mêmes. »« L'IA ne remplacera pas les dirigeants, mais elle peut les priver de leur humanité et de leur intuition. »10 questions structurées posées dans l'interview :Comment es-tu passée de l'industrie pétrolière au leadership conscient ?Quels sont les principaux obstacles empêchant les grandes entreprises de se transformer ?Pourquoi les PME et ETI sont-elles plus propices à un changement de modèle ?Quelles sont les clés d'un leadership réellement aligné avec ses valeurs ?Comment faire la distinction entre un compromis acceptable et une compromission ?Quels modèles de gouvernance favorisent un leadership plus éthique et durable ?Quel est l'impact réel de l'IA sur les entreprises et leurs dirigeants ?Quels sont les leviers les plus efficaces pour pousser un dirigeant à agir ?Comment la culture d'une entreprise influence-t-elle sa capacité de transformation ?Faut-il nécessairement un effondrement du système actuel pour que de nouveaux modèles émergent ?Timelaps : 00:00 Introduction et présentation d'Hélène Le Teno02:00 Son parcours : de l'industrie pétrolière au leadership conscient07:00 Pourquoi les grandes entreprises sont bloquées dans leur transformation12:00 L'importance des modèles de gouvernance dans la transition17:00 La psychologie des dirigeants et le concept de "faillite morale des élites"22:00 Leadership et intelligence du cœur : un modèle alternatif28:00 IA et transformation du leadership : risques et opportunités34:00 La culture d'entreprise comme moteur ou frein du changement41:00 Exemples concrets de dirigeants ayant pris des décisions audacieuses48:00 Conclusion et message final d'Hélène Le Teno
Dans cet épisode d'Objectif Durable, nous explorons l'impact de la RSE sur la fonction des Ressources Humaines et la manière dont les entreprises repensent leur stratégie RH pour relever les défis environnementaux et sociétaux à mi chemin de l'Agenda 2030.Au programme : l'intégration des critères ESG, comme la mise en place d'objectifs extra-financiers ; les pratiques responsables comme levier d'attractivité pour les talents ; les nouvelles pratiques favorisant l'inclusion et l'engagement en lien avec la RSE.Un échange animé par Valère Corréard avec Marion Locatelli, Directrice du développement RH, engagement et inclusion au Crédit Coopératif, et Karima Silvent, Directrice des Ressources Humaines chez AXA.
Bienvenue sur ce podcast produit par le Campus des Dirigeants ! Si vous êtes entrepreneur, dirigeant, dirigeante, vous êtes au bon endroit sur ce podcast.De commandant du GIGN à chef d'entreprise, son histoire est une véritable source d'inspiration.Découvrez comment son passage dans le scoutisme et dans les commandos marine ont façonné son approche du leadership et de l'action.Dans cet épisode, Philippe Legorjus partage des anecdotes captivantes sur ses interventions lors de prises d'otages, révélant la complexité de ces situations où la vie est en jeu. Il explique comment son expérience militaire a influencé sa vie d'entrepreneur et sa vision de la gestion des équipes, soulignant l'importance de l'humain dans l'action. Découvrez comment il a su transposer ses compétences militaires dans le monde de l'entreprise, en mettant l'accent sur la créativité et la prise de décision.Vous serez également fasciné par son approche innovante dans le domaine de l'intelligence économique et sa capacité à créer des entreprises à impact, comme une ferme de production d'algues en pleine mer.Au-delà de ses succès professionnels, Philippe se livre avec sincérité sur ses remises en question personnelles, l'importance de la famille, et la quête de sens. Il partage sa vision de l'engagement et sa conviction qu'il faut toujours croire en ses rêves.Son témoignage est un appel à l'action, à la persévérance, et à la recherche d'un équilibre entre la vie professionnelle et personnelle.Pour aller plus loin, le plus simple, c'est de vous rendre sur le site du Campus et de vous abonner à notre newsletter. Nous aimons dire au Campus des Dirigeants, que partager, c'est s'enrichir. Toute histoire est belle à partager, parce qu'elle est unique. Alors si vous aussi, vous voulez partager votre expérience et venir derrière mon micro, contactez-moi... Et n'oubliez pas : Dirigeant, c'est un métier et un métier, ça s'apprend !
Vidéo disponible sur Youtube “Je vais vous parler de quelque chose de très relou" Dans cet épisode, je reçois Inès Hamy, qui a lancé Octolo pour simplifier la gouvernance d'entreprise. Avec sa plateforme innovante, Octolo digitalise tout ce qui peut être un casse-tête administratif : gestion des actionnaires, organisation des instances, ou encore automatisation et partage de documents.Ancienne avocate et juriste, Inès a choisi de dire non à UCLA pour un Master et oui à l'entrepreneuriat. Ce pari audacieux l'a menée à créer une solution qui combine efficacité, simplicité et impact, utilisée aussi bien par des startups que de grands groupes.Dans cet échange, on parle innovation, gestion d'entreprise et des défis rencontrés par les femmes entrepreneures. Inès partage aussi sa vision sur la dimension humaine au cœur de son projet.
Aussitôt assermenté, Donald Trump a mis le pied sur l'accélérateur et ne l'a pas lâché depuis. Si le rythme effréné des premiers jours se maintient, la société américaine risque de traverser une phase de profonds bouleversements. Le journaliste Yanik Dumont Baron analyse le style de gouvernance que le nouveau président américain veut mettre de l'avant et les incidences liées à cette approche hors norme.
Cette question cruciale reste en suspens, alors que l'idée d'une administration unique avec la Cisjordanie est rejetée par Israël. Seul point d'entente entre l'État hébreu, l'Autorité palestinienne et Washington : hors de question que le Hamas, l'auteur des massacres du 7 octobre, participe à cette future gouvernance. Le mouvement islamiste palestinien très affaibli après 15 mois de guerre contre Israël est néanmoins loin d'avoir été anéanti et entend bien compter, peser dans l'avenir de Gaza. De quoi possiblement compliquer l'instauration de la paix ?Avec : - Agnès Levallois, vice-présidente de l'iReMMO (Institut de Recherche et d'Études Méditerranée Moyen-Orient), chargée de cours à Sciences Po Paris- Stéphanie Latte Abdallah, directrice de recherche au CNRS (Césor-EHESS), spécialiste du Proche-Orient et de la question palestinienne, autrice de l'ouvrage à paraître, Gaza, une guerre coloniale (Actes Sud).
Stéphane Ricoul propose une réflexion sur une gouvernance numérique unifiée au Canada, en réponse à des lois fragmentées. Actuellement, ces initiatives abordent séparément des enjeux tels que la protection des données, la promotion de la culture canadienne, le soutien aux médias locaux et la sécurité en ligne. Cependant, leur manque de coordination rend leur application parfois incohérente.
Le sujet :Avec une popularité croissante depuis plusieurs années, les ETF (Exchange Traded Funds) s'imposent comme des outils financiers incontournables pour diversifier ses investissements. Simples d'accès, avec des frais moyens en France autour de 0,37 % pour les ETF actions, ils séduisent une nouvelle génération d'investisseurs grâce à leur flexibilité. Les enveloppes comme l'assurance-vie, le PER ou le PEA permettent aujourd'hui d'intégrer facilement ces produits dans un portefeuille. Les ETF couvrent une grande variété de secteurs, de zones géographiques et de thématiques, y compris des investissements alignés sur les critères ESG.L'invité du jour :Gaëtan Delculé, Directeur des ETF chez chez Amundi, dispose de plus de 15 ans d'expérience dans la gestion et la distribution des ETF. Au micro de Matthieu Stefani, il partage son expertise sur les stratégies de diversification et les étapes clés pour intégrer les ETF dans un portefeuille d'investissement. En tant que fournisseur européen d'ETF, Amundi accompagne les investisseurs, qu'ils soient particuliers ou institutionnels, dans leurs démarches financières.Quelles étapes suivre pour définir un projet d'épargne avant de se lancer dans les ETF ?Quels critères sont essentiels pour choisir un ETF (frais, performance, réputation du fournisseur) ?Pourquoi l'épargne programmée est-elle recommandée pour investir dans des ETF avec de petits montants ?Dans quelles enveloppes fiscales peut-on loger des ETF et quels sont leurs avantages respectifs ?Comment diversifier un portefeuille grâce aux ETF géographiques, sectoriels ou thématiques ?Quels sont les principaux ETF alignés sur les critères ESG, et comment leur conformité est-elle vérifiée ?En quoi les ETF rendent-ils les investissements dans des marchés comme l'Asie ou les obligations plus accessibles qu'auparavant ? On vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Cet épisode a été réalisé en partenariat avec Amundi, n°1 en France des solutions d'investissement.
Cette revue de presse s'ouvre sur la succession de Michel Barnier à la tête de la stratégie européenne de la France. Parmi les candidats potentiels figurent Sébastien Lecornu, François Bayrou et Jean Castex.Cette actualité s'inscrit dans un contexte plus large de possible "crise de régime". L'ancien député Gilles Legendre évoque le risque d'un blocage institutionnel pouvant mener à une nouvelle république ou à la démission présidentielle. Le patron de l'Opinion, Nicolas Béthoud, voit dans cette crise une opportunité de réforme profonde du pays.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Plus que jamais se pose la question de la gouvernance de l'internet : qui doit décider de ce qui est permis ou pas sur les réseaux sociaux, comment se règlent les problèmes de souveraineté face à des entités transnationales ? TikTok, X, Telegram ou Meta, ces plateformes sont toutes engagées dans de véritables bras de fer avec des États ou des organisations multilatérales. [Rediffusion du 20/09/24] Valère Ndior est notre invité. Il est professeur de Droit public à l'Université de Bretagne occidentale, membre de l'Institut universitaire de France et de Géode, le Centre de géopolitique de la datasphère avec lequel nous sommes en partenariat dans cette émission. Valère Ndior est l'auteur d'un article intitulé « La marginalisation des États dans la gouvernance de l'internet », publié dans l'ouvrage collectif « La souveraineté numérique », édité par Bruylant en juin 2024.La chronique de Kahofi Suy de l'AFP factuel en Côte d'Ivoire : une infox destinée à discréditer les démocrates, autour de la vérification de l'identité des votants aux États-Unis. La chronique de Grégory Genevrier, de la cellule Info Vérif de RFI : Algérie-Mali, comment une fausse information faisant état de la reconnaissance de l'indépendance de la Kabylie par Bamako, fait le jeu des comptes pro-marocains.
Invité: Dario Spini. Faire participer les gens aux décisions qui les concerne. Cʹest le principe de la démocratie. Mais certaines personnes ne votent pas, et parfois la politique parait très déconnectée des besoins locaux. Dʹoù lʹidée de la gouvernance participative, qui vise à mieux inclure les habitants et usagers concernés dans les décisions, que cela soit pour lʹaménagement dʹune place ou la gestion des déchets dʹun quartier. Comment fonctionne concrètement ce système? Quels en sont les avantages et les limites? Tribu reçoit Dario Spini, professeur à la Faculté des sciences sociales et politiques, à lʹUniversité de Lausanne. Il est coresponsable dʹune nouvelle formation en "Gouvernance participative et actions locales", créée en partenariat avec la Haute École de travail social et de la santé.
Respects des droits humains, accès aux services sociaux, liberté d'expression, lutte contre la corruption, justice : selon le rapport annuel de la Fondation Mo Ibrahim, la bonne gouvernance a cessé de progresser en Afrique. Partagez-vous cette analyse ? Constatez-vous un recul ou une amélioration dans votre pays ? Vos témoignages nous intéressent.
« Les Africains sont de plus en plus exigeants vis-à-vis de leurs gouvernants : ce que révèle le dernier rapport de la fondation Mo Ibrahim », pointe Jeune Afrique. « Peu de progrès sur la gouvernance, une insécurité croissante et l'État de droit qui recule dans de nombreux pays. Le rapport dresse un portrait peu flatteur des avancées sur le continent au cours des dix dernières années. Pour près de la moitié des pays d'Afrique, le niveau de gouvernance globale est même à un niveau inférieur, en 2023, que celui qu'ils affichaient en 2014. (…) Comment expliquer une telle “stagnation“ du continent ? » Réponse de Jeune Afrique : « en premier lieu, par la détérioration des indicateurs liés à la sécurité et à l'État de droit (-1,6 point depuis 2014), qui tire vers le bas les chiffres globaux, alors que, dans de nombreux autres critères étudiés, des progrès notables ont été enregistrés », principalement « au niveau des infrastructures, de la parité femmes-hommes ainsi que dans le domaine de la santé. »Attentes supplémentaires…En fait, pointe le site panafricain, « les Africains se montrent de plus en plus critiques envers leurs gouvernants. C'est la grande surprise de ce rapport : il relève un décalage important entre ce que donnent à voir les données agrégées sur la situation réelle, et la perception qu'en ont les citoyens. “Les progrès réels effectivement réalisés ont suscité des attentes supplémentaires, et ainsi alimenté les déceptions“, analyse Nathalie Delapalme, directrice exécutive de la Fondation Mo Ibrahim. »Point positif, malgré tout, analyse encore Jeune Afrique, « en gagnant en qualité de vie, en voyant la liberté d'expression et de la presse progresser, même difficilement, les sociétés africaines ont ouvert une brèche, celle de l'exigence. Et Nathalie Delapalme de mettre en garde contre les discours populistes ou les promesses inatteignables : “les attentes déçues engendrent frustrations et colères, dit-elle, qui nourrissent instabilité et conflits“. »Bons et mauvais élèves…Alors au tableau d'honneur de ce rapport : « les Seychelles se distinguent en occupant la première place du classement, relève Afrik.com. Le pays a réalisé des avancées notables dans des domaines comme l'éducation, la santé et l'égalité hommes-femmes. Il devance ainsi l'île Maurice, qui était longtemps en tête. D'autres nations comme la Gambie, la Somalie et la Sierra Leone ont également enregistré des progrès significatifs. »A contrario, poursuit Afrik.com, ce rapport de la fondation Mo Ibrahim « souligne des régressions importantes dans des pays tels que les Comores, le Mali, la Tunisie, le Burkina Faso, ou encore la Guinée. Ces États sont confrontés à des défis majeurs, exacerbés par des coups d'État militaires et des conflits internes. Le Soudan, le Soudan du Sud et l'Éthiopie sont cités comme des exemples de pays où les conflits ont aggravé la situation au cours de la dernière décennie. »La Guinée : 42ème sur 54…Exemple donc : la Guinée… « La Guinée parmi les mauvais élèves », soupire le site d'information Guinée Matin. « 42ème sur 54. C'est le rang que nous occupons dans le rapport Mo Ibrahim », avec « une gouvernance marquée par une insécurité galopante, de multiples violations des droits de l'homme (enlèvements, tueries, restrictions des libertés et droits individuels et collectifs…), un recul de la démocratie, la corruption, des détournements de deniers publics, etc. (…) La Guinée, déplore encore Guinée Matin, fait partie des onze pays d'Afrique qui suivent (toujours d'après ce rapport) une “tendance inquiétante de détérioration” sur les dix dernières années. »Le fardeau de la detteEnfin on revient à Afrik.com qui pointe l'inquiétude de la fondation Mo Ibrahim « quant à la “camisole de force financière“ qui étouffe les pays africains. »En effet, précise le site, « le poids de la dette limite la capacité des gouvernements à investir dans les secteurs vitaux comme la santé, l'éducation et les infrastructures. Par ailleurs, la montée des régimes autoritaires, notamment en Afrique de l'Ouest et Centrale, compromet la stabilité politique. Elle rend les réformes plus difficiles à mettre en œuvre. »Toutefois, pointe encore Afrik.com, « malgré le tableau général sombre, Mo Ibrahim reste optimiste quant à l'avenir du continent, en grande partie grâce à la jeunesse africaine. Il estime que les jeunes sont mieux informés, plus entrepreneurs et déterminés à changer les choses. Ce dynamisme pourrait être la clé pour surmonter les obstacles actuels et redynamiser la gouvernance en Afrique. »
durée : 00:04:14 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - Le droit maritime est aussi vaste que l'océan, droit de la mer, des littoraux, convention des Nations Unies, Montego Bay. Sophie Gambardella, juriste internationale et chargée de recherche au CNRS est l'invitée des Chroniques Littorales.