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À l'occasion des 60 ans d'Assitej International, Assitej France, en partenariat avec Assitej international et le Théâtre Massalia présentent Bright Generations, un rendez-vous international pour l'enfance et la jeunesse. Le 25 mars 2025 avait lieu une rencontre intitulée "Associer les enfants et les jeunes à la vie et à la gouvernance des lieux culturels". Les participants : Camille Monmège-Geneste, Fiona Louis, Lars Löffler, Marie-Hélène Félix, Elodie Ortu-Grumelart, Salomé Lacondemine, Judicaël Crepiat et Christelle Blouët. Crédits : Production : Scènes d'enfance - ASSITEJ France et ARTCENA
Dans ce 33ème épisode de HR Stay tuned, on explore les coulisses du management buy-out et de l'actionnariat salarié. J'ai eu le plaisir d'échanger avec Sabine Colson, Senior Investment Manager et experte MBO chez Wallonie Entreprendre. Sabine nous partage son expérience terrain sur la transmission d'entreprise, les enjeux RH liés à l'actionnariat salarié et l'impact de la gouvernance sur l'engagement des équipes. Un échange riche et concret pour repenser l'entreprise de l'intérieur. Un échange inspirant à ne pas manquer
Denis Coutrot, Directeur des données et de l'IA de Getlink, nous explique comment la fonction data est organisée mais aussi quelle est sa mission et quelles sont les compétences de ses équipes. Il nous livre les principaux enjeux auxquels il s'attaque aujourd'hui avec une feuille de route data/IA. Denis Coutrot nous parle de l'IA générative en précisant que ce n'est pas son seul cheval de bataille. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
No grousse Problemer mat der Gouvernance wëllt de Science Center vun Déifferdeng elo no vir kucken. Wéi verhënnert ee weider Dysfonctionnementer, dat froe mir d'Direktesch.
Dans ce neuvième épisode du Son des Territoires, Victor Delage, fondateur de l'Institut Terram, reçoit Loïse Lyonnet et Marc-Antoine Authier, co-auteurs de l'étude « La responsabilité territoriale des entreprises (RTE) : valoriser l'impact local ». Ensemble, ils s'intéressent à une idée simple en apparence, mais qui peut profondément transformer le lien entre économie et territoire : la responsabilité territoriale des entreprises, ou RTE. On connaît bien la RSE – la responsabilité sociétale des entreprises – mais la RTE va plus loin, ou plutôt, elle va autrement : elle propose de penser l'entreprise comme un acteur enraciné, attentif à son impact local et soucieux de contribuer à la vitalité des territoires dans lesquels elle évolue. Alors, pourquoi ce concept émerge-t-il aujourd'hui ? Qu'est-ce qui pousse les entreprises à prendre davantage en compte leur ancrage territorial ? Et surtout, comment passer du principe à la pratique ? Mesurer, valoriser, structurer cette contribution locale : tout cela suppose de nouveaux outils, de nouveaux partenariats, et sans doute une autre manière de penser la performance. Marc-Antoine Authier est collaborateur parlementaire et entrepreneur. Il a été conseiller technique, chargé de la commission des Finances au Sénat au sein d'un groupe politique. Après avoir été chargé d'études au sein de l'Institut Montaigne, où il suivait les dossiers liés à la transition écologique et au marché du travail, il a rejoint le Mouvement des entreprises de taille intermédiaire (METI) pour y piloter la stratégie de lobbying. Il a contribué aux travaux de plusieurs think tanks, dont GenerationLibre, et mené divers projets dans le domaine de l'édition. Marc-Antoine est diplômé de l'Essec, avec une spécialisation en entrepreneuriat social. Loïse Lyonnet est diplômée en management et science politique. Elle est autrice pour plusieurs think tanks ou institutions (Institut Terram, Fondation pour l'innovation politique, Fondation Robert-Schuman, Observatoire européen de l'audiovisuel) et spécialisée dans le développement économique et culturel des territoires. Fondatrice du média et studio Culture au cœur, plume et vidéaste, elle a précédemment travaillé au sein d'un cabinet ministériel, d'un groupe parlementaire au Sénat (chargée du suivi de la Culture et des Territoires) ainsi qu'auprès d'un parlementaire.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dernier épisode. Ce rendez-vous mondial pour mieux protéger l'océan. La 3e Conférence des Nations unies sur l'océan vient de s'achever. À Nice, des responsables politiques, des scientifiques, des membres d'ONG, des dirigeants et dirigeantes d'entreprise, ainsi que des citoyennes et citoyens concernés se sont réunis pour faire entendre leurs voix et affirmer leur volonté d'agir pour la préservation du milieu marin. Face à l'urgence, les engagements se multiplient. La gouvernance des océans reste un défi, mais les échanges tenus à Nice marquent une avancée vers davantage de coopération. Que faut-il retenir de cette conférence ? Quelles promesses ont été faites, quelles avancées obtenues ? À l'approche de la COP30, l'heure est venue de faire le bilan - et de mesurer ce que l'océan peut encore espérer. Avec : Olivier Poivre d'Arvor, ambassadeur français pour les pôles et l'océan. Mere Takoko, chercheuse maorie spécialisée dans les savoirs océaniques autochtones. LaToya Cantrell, maire de la Nouvelle-Orléans (Etats-Unis). Carlos Santos, pêcheur brésilien engagé contre les méthodes de pêche industrielle. Antonio Guterres, Secrétaire général des Nations unies. Emmanuel Macron, Président de la République française. Rodrigo Chaves Robles, Président de la République du Costa Rica. Ilona Mayerau-Lonné et Noémie de Saint-Quentin, membres du "Réseau Jeunesse Pays et Territoires d'Outre-mer", représentantes de la jeunesse de Nouvelle-Calédonie. Romane Prigent, rédactrice au sein de la Direction des Nations unies et des organisations internationales du MEAE, chargée des sujets « climat et environnement ». Marina Lévy, océanographe, directrice de recherche au CNRS, Conseillère Océan auprès de l'IRD (Institut de recherche pour le développement). John Kerry, ancien ministre des Affaires étrangères des Etats-Unis. Henri Bourgeois-Costa, expert en environnement, pollutions plastiques et économie circulaire, membre de la Fondation Tara Océan. Marine Calmet, juriste avocate de formation, présidente de l'association Wild Legal. Gabrielle Larricq, rédactrice océan au ministère de l'Europe et des Affaires étrangères (MEAE). Nabil Medaghri-Alaoui, rédacteur océan au MEAE. Françoise Gaill, océanographe, conseillère scientifique au CNRS et vice-présidente de la Plateforme Océan & Climat. ------ Pour aller plus loin : Le baromètre Starfish, qui dresse chaque année, à l'occasion de la Journée mondiale de l'océan, un état des lieux scientifique et pédagogique de la santé de l'océan. La liste des engagements pris lors de la 3e Conférence des Nations unies sur l'océan. Un coloriage : prolongez l'expérience en coloriant vous-même la fin de la fresque à télécharger imaginée par Julie Feydel, la directrice artistique du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères. (PDF) ------ CRÉDITS : Voix, écriture, production et réalisation : Diane Jean Edition et aide à la production : Mariane Schlegel Communication : Kaled Maddi Direction de production : Julie Godefroy Musique : 1985, Angel Salazar (Artlist) ------ DOUBLAGE : Olivier Poivre d'Arvor : Maxime Richard. Mere Takoko : Guifty Banka. Carlos Santos : Simon Derieux-Billaud. John Kerry : Matthias Lugoy. ------ À PROPOS : « Qui gouverne l'océan ? » est une série du podcast Sources diplomatiques. Réalisé par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, ce podcast vous propose des documentaires, décryptages, récits intimes et conversations pour plonger dans les coulisses de la diplomatie française et comprendre les grands enjeux internationaux. Sources diplomatiques est à retrouver sur toutes les applications d'écoutes et de streaming audio.
Bienvenue sur ce podcast produit par le Campus des Dirigeants ! Si vous êtes entrepreneur, dirigeant, dirigeante, vous êtes au bon endroit sur ce podcast.Vous connaissez tous, comme moi, j'en suis sûr, les boutiques de La Belle-Iloise !Comme moi, vous aurez été frappé par les couleurs des packagings qui transforment pratiquement les présentoirs en œuvre d'art. Parce qu'à La Belle-Iloise, on cultive le bon déjà - et aussi le beau. J'ai voulu pousser plus avant les portes de cette entreprise fondée en 1932 par George Hilliet à Port-Maria, qui est le port de Quiberon.George a démarré en préparant et commercialisant deux recettes. J'adore ce pragmatisme, les sardines saint George à l'huile d'olive et les sardines La Belle-Iloise à l'huile d'arachide.L'entreprise s'est développée ensuite sur un business model original pour ce type de produit. Un modèle assumé aussi, celui du retail et de la vente par correspondance.En découvrant l'histoire de cette entreprise familiale, j'ai été surpris de voir à quel point elle est fière de son histoire, de ses convictions et en même temps, elle est résolument de son temps et tournée vers l'avenir.Mon invitée pour cet épisode est Caroline Hilliet-Lebranchu, sa présidente depuis 2006.Avec Caroline, nous revenons sur cette belle histoire entrepreneuriale et évoquons les grands défis de transformation auxquels elle répond avec son équipe pour que La Belle-Iloise continue d'être une entreprise de son temps et sereine pour son avenir.La Belle-Iloise a forgé un business model original et assumé de vente directe, développant un réseau de 92 magasins en propre et une forte activité par correspondance (désormais principalement via internet), représentant 20% du chiffre d'affaires.Face à l'émergence de la grande distribution dans les années 60, le grand-père de Caroline, animé par des convictions inébranlables sur la qualité des produits, a eu la vision audacieuse d'ouvrir le premier magasin de vente directe aux touristes, une idée alors inédite. Ce socle de valeurs fortes – l'exigence, le respect de la nature, des saisons et des hommes – est toujours au cœur de l'entreprise.Mais alors comment naviguer entre tradition, convictions fortes et une résilience remarquable ?De l'enfance au rythme des saisons de sardine à Quiberon, à son cheminement professionnel en dehors de l'entreprise, Caroline partage son cheminement avant de choisir de s'impliquer totalement dans l'entreprise familiale.Comment, depuis qu'elle a repris les rênes en 2011, elle a œuvré à structurer l'entreprise et à explorer de nouveaux marchés.Et pourquoi décider en 2019 de devenir une société à mission ?Cette démarche est complètement imbriquée dans la stratégie de l'entreprise et vise à permettre à chacun de "vivre mieux en conciliant manger sain et plaisir".Vous comprendez comment La Belle-Iloise, bientôt centenaire, aborde les grands défis de notre temps : le changement climatique, la ressource en poisson et les transformations sociétales.Pour aller plus loin, le plus simple, c'est de vous rendre sur le site du Campus et de vous abonner à notre newsletter. Nous aimons dire au Campus des Dirigeants, que partager, c'est s'enrichir. Toute histoire est belle à partager, parce qu'elle est unique. Alors si vous aussi, vous voulez partager votre expérience et venir derrière mon micro, contactez-moi... Et n'oubliez pas : Dirigeant, c'est un métier et un métier, ça s'apprend !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches à 20h15, Pascale de la Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans Le Studio des Légendes, Jacques Vendroux reçoit Pierre Ferracci, président du Paris FC, qui revient sur l'ascension du club en Ligue 1 et l'arrivée stratégique de LVMH. Dominique Grimaud livre son analyse sur le foot français, entre espoirs, dérives et belles réussites.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode inaugural de "Yes We Care", nous vous invitons à plonger dans une conversation captivante avec Duc Ha Duong, cofondateur d'Officience : une société de services numériques Franco-Vietnamienne à l'origine d'un système de gouvernance partagée innovant et une philosophie du “care” bien assumée. Dans son échange avec Faustine Duriez, Duc partage son parcours, depuis les débuts d'Officience en tant qu'ESN traditionnelle jusqu'à son évolution vers un modèle centré sur le collaboratif. Il nous raconte comment l'entreprise a progressivement abandonné les équipes commerciales pour privilégier des relations plus authentiques avec les clients, mettant l'accent sur la transparence, l'authenticité et l'alignement avec des causes partagées. Duc illustre cette transition en détaillant la théorie des 5 flux qui guide désormais chaque aspect de l'entreprise, de la relation client à la culture d'entreprise. La théorie des 5 flux se base sur la reconnaissance de cinq natures différentes d'interactions au sein d'une organisation : les échanges de matière et les échanges financiers - les flux marchands, mais aussi les transactions d'émotions, de connaissance et de confiance - les flux non marchands. Cette approche souligne l'importance des valeurs intangibles et des relations humaines dans le monde professionnel. Elle incite à réfléchir aux décisions et aux choix de vie en cherchant un équilibre entre le confort matériel, financier, le plaisir quotidien, l'apprentissage et le développement relationnel, dans le but d'atteindre un épanouissement personnel et collectif plus complet. Dans cet épisode, Duc nous partage également des anecdotes touchantes sur la façon dont la gouvernance partagée d'Officience a favorisé non seulement des relations client plus profondes, mais aussi une plus grande rétention des employés et une performance commerciale améliorée. À travers cet échange inspirant, Duc nous fait réaliser que l'innovation et la croissance ne se limitent pas aux chiffres et aux bénéfices, mais émergent également de la collaboration, de la confiance et de l'engagement envers des causes communes. Un sujet qui nous est particulièrement cher chez HumanSide et Yes We Care ! Découvrez sans plus attendre ce premier épisode passionnant et très concret sur le voyage d'une organisation traditionnelle vers une gouvernance partagée qui valorise l'intelligence du cœur au même titre que la performance du chiffre ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Épisode 2. Cet accord qui peut tout changer. En 2004, la quasi-totalité des pays du monde entier se sont engagés dans une aventure diplomatique hors norme : construire, ensemble, un accord pour protéger l'océan et sa biodiversité. Un projet aussi ambitieux ne se concrétise pas du jour au lendemain, d'autant que les divergences entre États ont posé un défi majeur : comment concilier les intérêts de chacun tout en garantissant la préservation de l'océan et de ses richesses ? Cette aventure diplomatique a duré vingt ans. Vingt années pendant lesquelles des diplomates, des scientifiques, des ONG des quatre coins du monde ont œuvré sans relâche pour créer cet accord dit "l'accord BBNJ", ou Traité international pour la protection de la haute mer et de la biodiversité marine au delà des zones de juridiction nationale. Dans cet épisode, quatre personnes qui ont participé à ces négociations nous racontent les coulisses de cette aventure rocambolesque. Avec : Lisa Speer, directrice de l'ONG américaine Natural Resources Defense Council (NRDC), chargée des océans ; Serge Ségura, ambassadeur à la retraite, chef de la délégation française pour l'accord BBNJ pendant 14 ans ; Sandrine Barbier, directrice adjointe à la Direction des affaires juridiques, cheffe de la délégation française pour l'accord BBNJ ; Krystel Wanneau, docteure en sciences politiques et enseignante-chercheuse à Sciences-Po Grenoble, qui a travaillé sur les politiques environnementales internationales ------ POUR ALLER PLUS LOIN : L'accord BBNJ : parcourez la version intégrale de ce traité historique adopté en 2023 ; Le fascinant et merveilleux "Atlas des abysses" (éd. Arthaud, 2024), de Stéphanie Brabant (journaliste), Jozée Sarrazin (océanaute), et illustré par Julie Terrazzoni, cet ouvrage poético-scientifique transporte ses lecteurs dans l'univers fascinant des fonds marin ; L'indispensable guide "L'océan en 30 questions" signé Marina Lévy et Laurent Bopp (éd. La Documentation française, 2025) ; ------ ARCHIVES & EXTRAITS : extraits de discours au One Ocean Summit à Brest en 2022 ; extrait de l'adoption de la résolution A/72/L7 lors de l'Assemblée générale de l'ONU en 2018 ; extraits des sessions de négociations du BBNJ enregistrées à l'ONU entre 2019 et 2023 ; extraits de journaux télévisés français, brésilien, américain et italien sur la pandémie de Covid en 2020 ; lecture d'une lettre de Rena Lee, présidente des négociations BBNJ, du 9 mars 2020 ------ CRÉDITS : Voix, écriture, production et réalisation : Diane Jean Illustrations et identité visuelle : Julie Feydel Doublage voix et édition : Mariane Schlegel Communication : Kaled Maddi et Matthias Lugoy Direction de production : Julie Godefroy Musique : Falling Angels, Ketil Lien ; Staring into the Abyss, 2050 ; DKNW, sunwo0o ; Ruin My Life, Jane the Boy ; Corals under the sun, Omri Smadar ; Cookie Jar, Hans Johnson ; Atlantique, AMF Beef ; Medusa the Mournful, Louis Adrien ; Breath In Out, Nsee ; Cryostatis, Jamie Bathgate ; 1983, Angel Salazar (Artlist) ------ À PROPOS : « Qui gouverne l'océan ? » est une série du podcast Sources diplomatiques. Réalisé par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, ce podcast vous propose des documentaires, décryptages, récits intimes et conversations pour plonger dans les coulisses de la diplomatie française et comprendre les grands enjeux internationaux. Sources diplomatiques est à retrouver sur toutes les applications d'écoutes et de streaming audio.
Vos équipes jonglent encore entre exports, macros et reporting manuel ? Dans cet épisode, nous décortiquons pas à pas les freins techniques, humains et budgétaires qui empêchent les directions financières de PME d'accéder à une Business Intelligence digne des grands groupes – et la manière dont MyReport lève ces blocages.
Vos équipes jonglent encore entre exports, macros et reporting manuel ? Dans cet épisode, nous décortiquons pas à pas les freins techniques, humains et budgétaires qui empêchent les directions financières de PME d'accéder à une Business Intelligence digne des grands groupes – et la manière dont MyReport lève ces blocages.
Prologue. Notre avenir se joue en mer. Protéger l'océan, c'est protéger l'avenir de l'humanité. Il nous nourrit, nous soigne, nous connecte, nous amuse, nous fascine et nettoie l'air que nous respirons. Mais qui s'occupe de l'océan ? Et comment gouverner un espace aussi vaste qui n'appartient à personne et qui concerne tout le monde ? POUR ALLER PLUS LOIN : un documentaire : « Ocean » de David Attenborough (2025) nous plonge dans un monde sous-marin merveilleux tout en alertant sur les dangers qui le menacent ; un roman graphique : « Anita Conti » (éd. Casterman, 2024) qui raconte la vie, l'engagement et la passion de cette océanographe pionnière de l'écologie ; une fresque à colorier : prolongez l'expérience en coloriant vous-même la fresque à télécharger dessinée par Julie Feydel, la directrice artistique du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères ; ARCHIVES & EXTRAITS : extraits libre de droit de marchés de poissons en Italie, au Japon, en Tunisie, en Turquie, au Brésil ; extrait de l'émission « Le journal de l'éco » sur France Culture du 13 mai 2024 ; discours d'Emmanuel Macron à l'Assemblée générale de l'ONU du 19 septembre 2017 ; message vidéo de Narendra Modi publié sur Facebook le 17 août 2024 ; discours d'António Guterres à l'ouverture du Sommet de l'avenir le 22 septembre 2024 ; message vidéo de Xi Jinping pour la 76e Assemblée générale des Nations unies diffusé le 21 septembre 2021 ; discours de Nadia Calvino du 9 septembre 2023 à l'occasion du G20 ; discours de Cyril Ramaphosa du 22 janvier 2025 lors du Forum de Davos ; annonce de Huang Runqiu à l'occasion de l'accord Kunming-Montréal adopté en 2022 ; annonce de Rena Lee à l'occasion de la fin des négociations de l'accord BBNJ en 2023 CRÉDITS : Voix, écriture, production et réalisation : Diane Jean Illustrations et identité visuelle : Julie Feydel Édition et aide à la production : Mariane Schlegel Communication : Kaled Maddi et Matthias Lugoy Direction de production : Julie Godefroy Musique : 1985, Angel Salazar (Artlist) ------ À PROPOS : « Qui gouverne l'océan ? » est une série du podcast Sources diplomatiques. Réalisé par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, ce podcast vous propose des documentaires, décryptages, récits intimes et conversations pour plonger dans les coulisses de la diplomatie française et comprendre les grands enjeux internationaux. Sources diplomatiques est à retrouver sur toutes les applications d'écoutes et de streaming audio.
Épisode 1. Ces trésors de la mer qu'on voit danser. Notre voyage commence au cœur des abysses, là où les scientifiques étudient et cartographient les trésors marins à des milliers de kilomètres des tables de négociation. Car toute politique de préservation commence par une question simple : que cherche-t-on concrètement à protéger ? En 2025, l'océan reste largement inconnu : moins d'un quart de ses profondeurs sont cartographiées, et à peine 5 % véritablement explorées. Les premières découvertes éveillent déjà les convoitises, mais sans cadre clair, leur exploitation pourrait menacer des écosystèmes encore méconnus et fragiles. Plongez dans le récit de ceux qui ont arpenté les grands fonds, où chaque découverte réinvente ce que l'on croyait savoir sur le vivant. Avec : Pierre-Antoine Dessandier, océanographe à l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer), chef de la mission Eden ; Sébastien Ybert, coordinateur « France 2030 Grands fonds marins » à l'Ifremer ; Françoise Gaill, océanographe, conseillère scientifique au CNRS et vice-présidente de la Plateforme Océan & Climat ; Marina Lévy, océanographe, directrice de recherche au CNRS, conseillère Océan auprès de l'IRD (Institut de recherche pour le développement). PRÉCISION: du discours d'Arvid Pardo, il n'existe qu'une archive écrite, aussi dans cet épisode, la lecture du texte a été réalisée à l'aide du logiciel d'intelligence artificielle, Eleven Labs ARCHIVES & EXTRAITS : bandes-annonces des films « 20 000 lieux sous les mers » (1955) et « The Abyss » (1989) ; lecture du discours d'Arvid Pardo ; enregistrements réalisés par l'Ifremer sur l'Atalante lors de la mission Eden de novembre 2024 à janvier 2025 ; POUR ALLER PLUS LOIN : Mission Eden : explorez les grands fonds à travers un retour en images de la mission Eden commenté par Pierre-Antoine Dessandier Discours d'Arvid Pardo aux Nations Unies : découvrez l'intégralité de son appel visionnaire, lancé en 1967, pour faire de l'océan un bien commun de l'humanité (en anglais uniquement). La Convention de Montego Bay : feuilletez cet accord historique, adopté en 1982, qui a posé les bases de la gouvernance internationale des océans CRÉDITS : Voix, écriture, production et réalisation : Diane Jean Illustrations et identité visuelle : Julie Feydel Édition et aide à la production : Mariane Schlegel Communication : Kaled Maddi et Matthias Lugoy Direction de production : Julie Godefroy Musique : Tripman, 2050 ; Levitator, Tamuz Dekel ; DKNW, sunwo0o ; March the Machine, Flint ; Deep Water, Adi Goldstein ; Everlasting flower, DaniHaDani ; 1983, Angel Salazar (Artlist) ------ À PROPOS : « Qui gouverne l'océan ? » est une série du podcast Sources diplomatiques. Réalisé par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, ce podcast vous propose des documentaires, décryptages, récits intimes et conversations pour plonger dans les coulisses de la diplomatie française et comprendre les grands enjeux internationaux. Sources diplomatiques est à retrouver sur toutes les applications d'écoutes et de streaming audio.
Dans ce huitième épisode du Son des Territoires, Victor Delage, fondateur de l'Institut Terram, reçoit Antoine Bristielle, auteur de l'étude « Eau sous tension : les Français face aux défis hydriques de leurs territoires ». Ensemble, ils s'intéressent à un sujet qu'on croit souvent maîtriser, mais qui est en train de devenir l'un des grands enjeux du XXIe siècle : l'eau. On a grandi avec l'idée que l'eau était partout, disponible, accessible. Pourtant, depuis quelques années, les signes s'accumulent : multiplication des épisodes de sécheresse prolongée, intensification des inondations et la dégradation de la qualité de l'eau dans de nombreux territoires sont autant de signaux d'alerte attestant de la pression exercée sur le cycle hydrologique… Mais comment cette réalité est-elle perçue par les Français ? Comment la vivent-ils, comment la comprennent-ils ? Est-ce une inquiétude abstraite, ou un enjeu concret, quotidien, visible dans les territoires ? Et surtout : quelles réponses jugent-ils acceptables, efficaces, urgentes ? On parle souvent du climat, de l'énergie, de la biodiversité… Il est temps que l'eau entre pleinement dans le débat public. Et ça commence maintenant.Antoine Bristielle est docteur en science politique, directeur France de l'ONG Project Tempo, directeur de l'Observatoire de l'opinion de la Fondation-Jean-Jaurès et président de la société d'études et de conseil Vasco. Il est spécialiste des questions d'opinion et de communication, en particulier sur les enjeux environnementaux. Il a récemment publié « Qui fait l'opinion ? Crises démocratiques et nouveaux médias » (Fayard, 2024).Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme de cette édition :Tour d'horizon de l'actualité réglementaire : simplification du cadre réglementaire européen, un enjeu qui revient en forceAnalyse des premiers états de durabilité de 20 banques européennes: nos trois invitées, Marie- Christine Ferron-Jolys, Isabelle Lhoste et Sylvie Miet, présentent, au micro, les principaux constats et recommandations issus de l'étude KPMG “Pulse of Banking”
Nominations publiques : transparence ou favoritisme ? Un système à repenser d'urgence pour renforcer la gouvernance by TOPFM MAURITIUS
Au sommaire de cette édition, notamment :La directive Omnibus “Stop the clock”La transposition de la directive “Women on Boards”Les derniers développements concernant les actions de groupe
Spécialiste du data modeling, Céline To a construit sa carrière autour d'un élément aussi essentiel qu'invisible : la manière dont les données sont organisées et structurées dans une entreprise.De ses débuts chez GumGum à Head of Engineering du crew Data chez Leboncoin, elle a affûté son expertise sur le terrain. Aujourd'hui, elle traduit des besoins métiers complexes en modèles de données fiables et exploitables.Dans cet épisode, Céline partage sa vision d'un data modeling bien pensé : interopérable, compréhensible, utile et utilisable par tous.On y parle notamment d'Apache Kafka, de data mesh, de modélisation en étoile et de gouvernance des données.————— OPINIONATED —————Bienvenue dans Opinionated, le hors-série de Developer Experience. Ici, je tends le micro à celles et ceux qui ont des opinions bien tranchées sur des sujets qui divisent dans la tech.Loin de créer des polémiques, l'idée est plutôt de questionner nos certitudes. Parce qu'une opinion est un point de vue sur le monde et pas une vérité absolue. Et c'est en confrontant nos opinions qu'on progresse, qu'on affine nos idées, et qu'on devient des devs plus éclairé.e.s.————— PASSERPORT.DEV —————Cet épisode est réalisé en partenariat avec passeport.dev, la plateforme vous permettant de cartographier vos compétences techniques et de suivre un parcours d'apprentissage structuré, avec des ressources gratuites. Montez en compétences sur des sujets tech comme la modélisation de données, mais aussi l'architecture, le testing, le machine learning, le développement front ou mobile.————— CÉLINE TO —————Retrouvez Céline :Sur LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/celine-to-3aa01377/?originalSubdomain=fr————— PARTIE 1/2 : LA TECHNIQUE —————(00:00) Intro + présentation de Céline To(03:22) C'est quoi le data modeling et pourquoi c'est important(05:37) La data : c'est quoi au juste ?(06:29) Principes de la modélisation de données(09:51) Modèle normalisé vs. modèle dénormalisé(11:24) Modélisation en étoile et dénormalisation des données(14:04) Répondre à des contraintes de performance via la modélisation(16:40) Data modeling pour base analytics vs base opérationnelle(18:57) Fournir le bon produit au bon moment à l'utilisateur(20:55) Qui utilise la data chez LeBonCoin ?(24:26) Traduire techniquement des besoin fonctionnels(28:53) Gouvernance des données chez Leboncoin(31:07) Comment penser un bon modèle de données ?(34:06) Exemple de modélisation de données : cas d'usage concret(38:18) Rendre la donnée exploitable pour les utilisateurs finaux en interne(42:47) Quand les utilisateurs sont source d'innovation(44:25) Quand et comment faire évoluer un modèle de données(46:06) Comment garantir l'évolutivité d'un modèle de données(49:06) Modèle de données vs production de données : différences(51:54) Production de données : sur quoi se concentrer pour bien le faire ?————— PARTIE 2/2 : OPINIONATED QUESTIONS —————(53:50) Opinion à contre-courant : data mesh et décentralisation(58:02) Ce que Céline aurait aimé comprendre plus tôt sur le data modeling(01:00:00) Erreurs courantes et anti-patterns en data modeling(01:01:44) Être autonome sur la modélisation de données(01:03:34) Ce qui obsède Céline sur le data modelingHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
François-Marie BréonAvenir Commun Durable (2024-2025)Collège de FranceAnnée 2024-2025Colloque - Regards croisés sur la géo-ingénierie : Modification du rayonnement solaire : risques, incertitudes et gouvernanceÉric LambinProfesseur géographe à l'Université catholique de Louvain, conseil scientifique aux politiques européens sur la géo-ingénierie solaireRésuméUne forme couramment discutée de géo-ingénierie est la modification du rayonnement solaire. Plusieurs technologies permettraient de diminuer le rayonnement solaire incident sur la Terre afin de, en théorie, contrecarrer le réchauffement du climat. En 2024, la Commission européenne a demandé à son « Group of Chief Scientific Advisors » – dont Éric Lambin fait partie – un avis scientifique sur les risques et opportunités liés à la recherche et au déploiement de ces technologies. L'exposé introduira ces technologies et fera un résumé des recommandations faites à la Commission européenne. Les effets d'une intervention technologique sur le rayonnement solaire sont très incertains, comportent de grands risques et ne résolvent pas tous les problèmes liés au changement climatique. Par ailleurs, aucun système de gouvernance mondiale n'existe pour encadrer un éventuel déploiement de ces technologies. En aucun cas, une modification du rayonnement solaire ne peut remplacer une diminution rapide des émissions des gaz à effet de serre.Éric LambinGéographe, professeur à l'Université catholique de Louvain et à l'université Stanford, Éric Lambin mène des recherches sur les interactions entre l'activité humaine et l'environnement naturel. Il est membre de plusieurs académies des sciences et a été lauréat des prix scientifiques Blue Panet Prize 2019 et Volvo Environment Prize 2014. Il a notamment publié aux éditions Le Pommier Une écologie du bonheur et Le Consommateur planétaire. Il est également membre du « Group of Chief Scientific Advisors » de la Commission européenne.
Bienvenue dans Radio Foot 16h10-21h10 T.U. Au sommaire ce mercredi : - Un invité : Thilo Kehrer. Le défenseur monégasque a créé une Fondation dont la mission est de soutenir la jeunesse burundaise, lui offrant des opportunités de développement personnel et professionnel. ; - La Ligue 1 et clubs « européens », à une journée de la fin. ; - Diallo prend la main ! La FFF veut réformer le foot pro. - Un invité : Thilo Kehrer. Le défenseur monégasque a créé une Fondation dont la mission est de soutenir la jeunesse burundaise, lui offrant des opportunités de développement personnel et professionnel. Son projet phare : le Centre Thilo Kehrer, inauguré en 2022 à Gitega, propose des activités sportives et socio-culturelles. L'international allemand de mère burundaise veut transmettre aux jeunes - 46% de la population totale a moins de 15 ans - les valeurs que ses parents lui ont inculquées. Quels sont ses projets ? La TKF organise demain à Monaco un dîner caritatif dont les bénéfices aideront à financer ses programmes. Drogba, Mané, Rashford, autres exemples de joueurs engagés au-delà du terrain ! Un peu de foot aussi avec l'ex du PSG et de West Ham, qui aime aller de l'avant.- La Ligue 1 et des clubs « européens », à une journée de la fin. L'OM et Monaco en Ligue des Champions ! Les Phocéens ont assuré leur place en s'imposant au Havre qui lutte pour sa survie, ils n'avaient pas disputé de C1 depuis 2022-2023. La mise au vert italienne a-t-elle pesé ? Après un hiver compliqué, Monaco s'est réveillé ! Derrière, la lutte fait rage. Nice, Lille et Strasbourg pour un dernier ticket. Une place dont l'OL s'éloigne. Le club dont la situation financière est précaire, reste sous la menace d'une rétrogradation administrative.- Diallo prend la main ! La FFF veut réformer le foot pro. Le président de la Fédération présente un projet ambitieux visant à le transformer en profondeur. Une « rupture », qui s'inspire du modèle de la Premier League, prévoit la création d'une nouvelle entité commerciale gérée par les clubs eux-mêmes. Objectifs : améliorer la compétitivité et les revenus, enrayer une crise financière touchant plusieurs clubs. Gouvernance renforcée et répartition plus équitable des ressources, (dont les droits TV ?). Le projet, bientôt examiné au Sénat, pourrait annoncer une nouvelle ère. Avec Annie Gasnier, Carlos Bianchi, Étienne Moatti, Nabil Djellit, et Thilo Kehrer au téléphone. Technique/Réalisation : Laurent Salerno -- Pierre Guérin.
Bienvenue dans Radio Foot 16h10-21h10 T.U. Au sommaire ce mercredi : - Un invité : Thilo Kehrer. Le défenseur monégasque a créé une Fondation dont la mission est de soutenir la jeunesse burundaise, lui offrant des opportunités de développement personnel et professionnel. ; - La Ligue 1 et clubs « européens », à une journée de la fin. ; - Diallo prend la main ! La FFF veut réformer le foot pro. - Un invité : Thilo Kehrer. Le défenseur monégasque a créé une Fondation dont la mission est de soutenir la jeunesse burundaise, lui offrant des opportunités de développement personnel et professionnel. Son projet phare : le Centre Thilo Kehrer, inauguré en 2022 à Gitega, propose des activités sportives et socio-culturelles. L'international allemand de mère burundaise veut transmettre aux jeunes - 46% de la population totale a moins de 15 ans - les valeurs que ses parents lui ont inculquées. Quels sont ses projets ? La TKF organise demain à Monaco un dîner caritatif dont les bénéfices aideront à financer ses programmes. Drogba, Mané, Rashford, autres exemples de joueurs engagés au-delà du terrain ! Un peu de foot aussi avec l'ex du PSG et de West Ham, qui aime aller de l'avant.- La Ligue 1 et des clubs « européens », à une journée de la fin. L'OM et Monaco en Ligue des Champions ! Les Phocéens ont assuré leur place en s'imposant au Havre qui lutte pour sa survie, ils n'avaient pas disputé de C1 depuis 2022-2023. La mise au vert italienne a-t-elle pesé ? Après un hiver compliqué, Monaco s'est réveillé ! Derrière, la lutte fait rage. Nice, Lille et Strasbourg pour un dernier ticket. Une place dont l'OL s'éloigne. Le club dont la situation financière est précaire, reste sous la menace d'une rétrogradation administrative.- Diallo prend la main ! La FFF veut réformer le foot pro. Le président de la Fédération présente un projet ambitieux visant à le transformer en profondeur. Une « rupture », qui s'inspire du modèle de la Premier League, prévoit la création d'une nouvelle entité commerciale gérée par les clubs eux-mêmes. Objectifs : améliorer la compétitivité et les revenus, enrayer une crise financière touchant plusieurs clubs. Gouvernance renforcée et répartition plus équitable des ressources, (dont les droits TV ?). Le projet, bientôt examiné au Sénat, pourrait annoncer une nouvelle ère. Avec Annie Gasnier, Carlos Bianchi, Étienne Moatti, Nabil Djellit, et Thilo Kehrer au téléphone. Technique/Réalisation : Laurent Salerno -- Pierre Guérin.
Bienvenue sur ce podcast produit par le Campus des Dirigeants ! Si vous êtes entrepreneur, dirigeant, dirigeante, vous êtes au bon endroit sur ce podcast.Bruno et Églantine, se sont rencontrés lors d'un séminaire pour des entrepreneurs de croissance, animé par le Campus des Dirigeants.Églantine HORMAN est une entrepreneuse avec un engagement fort, une pertinence aiguë et une soif d'outils et de méthodes pour gagner en efficacité. Sa particularité ? Quand on lui demande le nombre de ses collaborateurs, elle hésite, et annonce le double de son effectif salarié. Son secret ? Chez CBCV, chaque collaborateur a son double ou son prolongement en intelligence artificielle.Églantine est la fondatrice de C'est Beau Chez Vous (CBCV), une entreprise créée en 2019 qui allie sa passion pour l'habitat et la technologie. CBCV propose un service d'aménagement intérieur clé en main pour les investisseurs immobiliers souhaitant meubler et équiper des logements destinés à la location meublée. Tout le parcours client est digitalisé et à distance, mais l'expérience humaine est préservée. CBCV propose des packs d'aménagement selon 17 styles de décoration, choisis en fonction des objectifs locatifs du projet.Après son passage chez Leroy Merlin, où elle a découvert l'univers de la maison et vécu une expérience intrapreneuriale révélatrice, Églantine, voit ces années de salariat comme un "tremplin incroyable" !Mais le cœur de la discussion dans cet épisode est l'utilisation concrète et poussée de l'intelligence artificielle chez CBCV. Il ne s'agit pas d'intelligence "artificielle" mais d'"intelligence enrichie", qui décuple les compétences humaines plutôt qu'elle ne les remplace.Alors, comment bien paramétrer son propre double virtuel sur ChatGPT ?Et comment toute l'équipe de CBCV l'utilise dans les tâches opérationnelles ?Quels sont les pièges à éviter comme la paresse intellectuelle ou le manque d'esprit critique face aux réponses de l'IA ?Pourquoi est-elle convaincue que l'IA ne remplacera pas les qualités humaines ?Quelle est sa vision de l'entrepreneuriat au féminin ?Vous allez découvrir comment l'IA peut concrètement devenir un allié stratégique et opérationnel, et comment embrasser le changement qui s'offre à tous.Pour aller plus loin, le plus simple, c'est de vous rendre sur le site du Campus et de vous abonner à notre newsletter. Nous aimons dire au Campus des Dirigeants, que partager, c'est s'enrichir. Toute histoire est belle à partager, parce qu'elle est unique. Alors si vous aussi, vous voulez partager votre expérience et venir derrière mon micro, contactez-moi... Et n'oubliez pas : Dirigeant, c'est un métier et un métier, ça s'apprend !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment penser et transformer la gouvernance de son entreprise pour répondre au mieux aux aspirations des salariés ?
Dans cet épisode, Laurent Kretz reçoit Julia Suillaud, directrice générale chez LePantalon, une marque de vêtements intemporels et responsables. Arrivée initialement comme salariée, Julia reprend progressivement les rênes jusqu'à devenir CEO puis actionnaire, pilotant ainsi une transformation complète de la marque.Ensemble, ils reviennent sur les défis majeurs de cette reprise : la relance stratégique de la ligne femme après des premiers tests mitigés. Ils abordent également les ajustements faits après l'impact du Covid sur les approvisionnements, et les arbitrages produits pour répondre à la demande dans un contexte inflationniste.Julia partage également les coulisses de la refonte de la plateforme de marque, la migration réussie vers Shopify, et la mise en place d'une stratégie omnicanale efficace pour harmoniser l'expérience entre le digital et les points de vente physiques. Timecodes :00:00:00 : Introduction00:07:00 : Impact du Covid et relance de la gamme femme00:12:45 : Adaptations produit et stratégie tarifaire en période d'inflation00:18:30 : Migration vers Shopify et refonte de la marque00:24:50 : Omnicanalité et nouvelles stratégies retail00:42:00 : Gouvernance, équipe et stratégie de croissance
Comment les bouleversements actuels – qu'ils soient climatiques, politiques ou diplomatiques – affectent-ils l'Arctique, cette immense région partagée entre cinq États.
Mercredi 30:Un ciel bleu azur pour cette période de vacances… mais désespérément vide. En effet, tous les vols au départ des aéroports nationaux ont été annulés hier. Un aéroport vide et une certaine exaspération de la part de la direction.L'agence de notation américaine Standard & Poor's a confirmé les bonnes notes de crédit de la Belgique. En revanche, elle a revu sa perspective de stable à négative. Cette révision témoigne des préoccupations croissantes sur la trajectoire budgétaire du pays, alors que le déficit public belge figure parmi les plus élevés de la zone euro.La Belgique se débat depuis des années avec des déficits budgétaires récurrents, ce qui soulève des questions sur la gouvernance de notre pays. Dans un contexte d'incertitude économique croissante, de hausse des prix de l'énergie et de paysage géopolitique complexe, la question d'une réforme structurelle devient de plus en plus pressante.
Cela fait exactement 100 jours que Donald Trump a signé son retour à la Maison Blanche. Entre déclarations chocs, annonces fracassantes et décrets... de nombreux Centrafricains suivent avec beaucoup d'intérêt la gouvernance du 47e président américain. À Bangui, la capitale, les avis sont contradictoires. Si les uns pensent que Donald Trump représente l'espoir d'un monde nouveau, d'autres y voient des signes du bouleversement de l'ordre mondial. Reportage de notre correspondant à Bangui L'ambiance est à la fois décontractée et studieuse dans la bibliothèque de l'Alliance française de Bangui. Élèves, étudiants et fonctionnaires sont confortablement installés. Parmi eux, Maurice Guimendego. Ce professeur d'histoire géographie est concentré sur un livre intitulé Donald Trump : faiseur de paix ou apôtre du désordre mondial ? : « Donald Trump passe pour une espèce de météorite qui vient s'abattre sur un monde qui déjà marchait claudicant. Au plan intérieur, c'est une véritable désillusion. Pour être protectionniste, il n'y a peut-être pas besoin d'augmenter les taxes d'une manière vertigineuse. Jusqu'à près de 150% pour certains pays, je crois que c'est la Chine. » Au rez-de-chaussée du bâtiment, un groupe de jeunes discutent dans le hall. Chacun donne son avis, mais la centaine de décrets pris par Donald Trump a marqué l'esprit de Moustapha Bouba : « Il a fait un temps record en signant 79 décrets en 40 jours. Il a changé la vision du monde, là où on peut dire le protectionnisme exacerbé de Donald Trump. Ce qui m'a beaucoup touché, c'est par rapport à sa remise en cause de l'engagement des États-Unis envers l'Otan. Il a débuté d'une manière radicale. Espérons peut-être s'il y aura un changement, peut-être... » Le gel de l'aide américaine par Donald Trump a suscité choc et émoi dans le pays. Alors que le dernier rapport du Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies (Ocha) a révélé qu'environ 37% des Centrafricains sont extrêmement vulnérables en 2025, la suspension de cette aide a un impact direct sur la RCA selon Jefferson, un autre jeune Centrafricain : « La République centrafricaine est un pays qui n'est pas développé comme les États-Unis. Avec le blocage de ces aides, ça rend certaines organisations inefficaces. Il y a certaines personnes qui sont maintenant au chômage, et certains ménages en souffrent aussi en République centrafricaine. Les populations vulnérables bénéficient souvent de ces aides-là. » Pour l'historien Maurice Guimendego, la gouvernance actuelle de Donald Trump met du plomb dans l'aile des Occidentaux et donnera la latitude nécessaire aux Brics, un groupe de dix pays dont le Brésil, la Russie, l'Inde ou la Chine pour conquérir le monde : « Si vous prenez la population de l'ensemble des pays qui constituent les Brics, ça constitue quand même près de 60 à 65% de la population mondiale. Les Brics se sont constitués pour contrebalancer les effets trop importants, envahissant, des États-Unis et des autres. » Aujourd'hui, de nombreux Centrafricains demandent l'implication sans failles des États-Unis dans la gestion des crises sécuritaires dans le monde, notamment en République centrafricaine.
Depuis quelques années, les entreprises sont confrontées à une succession de crises, majoritairement issues de facteurs exogènes. Face à cet état de « permacrise », il appartient tant à la Direction générale qu'au conseil d'administration, chacun dans son rôle, d'anticiper et de gérer des situations de plus en plus complexes, susceptibles de menacer la pérennité de la société.Par la richesse de leur retour d'expérience, deux administratrices indépendantes apportent à notre micro un éclairage précieux sur cet enjeu crucial de gouvernance : Eliane Rouyer-Chevalier, membre du comité d'audit d'Ipsos et Pascaline Peugeot-de Dreuzy, Présidente du comité de la gouvernance, de sélection et des rémunérations du groupe Bouygues S.A. et également membre de son comité d'audit.
L'archevêque de Malines-Bruxelles, Luc Terlinden, réagit à la mort du pape François et aborde les implications pour l'Église catholique, en Belgique et à l'échelle mondiale. Il revient sur les étapes protocolaires du deuil et du conclave, soulignant la dimension internationale du collège des cardinaux, profondément transformé par le pape défunt. Terlinden évoque une Église en mutation, marquée par une volonté de gouvernance plus partagée, notamment via les conclusions du dernier synode. Il souligne également les différences de priorités entre continents, rendant l'élection du futur pape particulièrement incertaine. Interrogé sur les propos polémiques de François, notamment sur l'avortement, il plaide pour une lecture nuancée et contextualisée. Malgré les crises, il observe un regain d'intérêt spirituel, notamment chez les jeunes et les adultes en quête de sens. La figure du prochain pape devra conjuguer fidélité aux valeurs fondamentales et capacité d'adaptation aux enjeux contemporains. Un équilibre délicat à trouver entre tradition et ouverture. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment les enquêtes internes de la SAQ permettent- elles d'identifier les vulnérabilités et protéger les ressources humaines, matérielles et financière de la SAQ? C'est ce que nous explorons dans ce balado mettant en vedette Isabelle Bergevin et Ian St-Amand du service Gouvernance, sécurité et enquêtes.
durée : 00:04:15 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - Cette gouvernance bleue a un rapport avec la conférence des Nations Unies sur l'Océan, l'Unoc qui se tiendra en juin prochain à Nice, elle est portée par Sabine Roux de Bézieux, la présidente de la Fondation de la Mer, co-rapporteure de l'avis du conseil économique social et environnemental.
La première heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
La gouvernance locale joue un rôle crucial pour rétablir les services de base et la cohésion sociale pour les populations en République centrafricaine (RCA), estime l'Expert indépendant de l'ONU sur la situation des droits de l'homme en RCA.En marge de son exposé, mardi, devant le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies à Genève, Yao Agbetse a accordé un entretien à Juliette Maigné, d'ONU Info Genève.Dans cet entretien, il explique que renforcer les pouvoirs locaux en République centrafricaine, pays meurtri par un conflit sévissant depuis 2012, est « un outil permettant d'étendre la restauration de l'autorité de l'État sur le territoire et de servir aussi comme levier pour la réconciliation nationale ».« C'est à travers la gouvernance locale qu'on pourra apporter le service de sécurité, le service de justice, la reconstruction des marchés, des écoles de santé, des infrastructures socio-culturelles nécessaires pour que les populations puissent jouir effectivement de leurs droits, le droit aux loisirs, le droit à l'emploi, le droit à un état de santé mentale et physique suffisant », ajoute-t-il.
Au Sénégal, le candidat d'opposition Bassirou Diomaye Faye remportait la présidentielle dès le premier tour avec 54 % des voix il y a un an jour pour jour. Un an plus tard, où en est la rupture promise par le parti Pastef et quels sont les principaux changements revendiqués par le président Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko ? Ayib Daffé est le secrétaire général du parti, dont il est aussi député et chef du groupe parlementaire. En ligne de Dakar, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Ayib Daffé, quels sont, pour vous, les premiers changements tangibles que le Pastef a apportés au Sénégal ?Ayib Daffé : Les premiers changements tangibles sont d'abord dans la gouvernance. Conformément à son engagement, le président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye a inscrit la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption comme une priorité de sa politique en transmettant une lettre aux fonctionnaires du pays, pour les exhorter à la ponctualité, au respect du bien public, à l'efficacité et au respect de la hiérarchie. Donc, sur ce plan-là également, il a eu à organiser des assises de la justice sur la modernisation et la réforme de la justice au Sénégal. Et par ailleurs, il a eu aussi à publier tous les rapports des corps de contrôle qui étaient transmis à son prédécesseur depuis près d'une dizaine d'années et qui n'étaient pas publiés, contrairement aux textes qui les encadrent. Il a eu également à faire un audit sur la gestion des finances publiques par son prédécesseur, notamment à la période entre 2019 et 2024. Et c'est cet audit qui a permis de révéler une situation très peu reluisante de nos comptes publics avec un déficit à 12% du PIB, alors que les chiffres qui étaient présentés parlent d'un déficit à 5%. Donc, une véritable catastrophe budgétaire, si on peut parler ainsi, et ça a permis d'avoir une situation réaliste. Donc, en très peu de temps, il a eu à concrétiser sa vision et à développer la stratégie de développement.À lire aussiSénégal: un an après l'élection de Bassirou Diomaye Faye, le pays est-il entré dans une nouvelle ère?Suite au dernier rapport de la Cour des comptes, vous dites que l'ancien président Macky Sall, qui vit actuellement au Maroc, va être convoqué par la justice sénégalaise, mais celui-ci, dans une interview à Jeune Afrique, réplique qu'il n'est responsable d'aucune falsification et que tout ceci est ridicule.Bon, je pense que la Cour des comptes est une institution. Donc, c'est la parole de Macky Sall contre celle de la Cour des comptes. Et la Cour des comptes, c'est la loi qui lui confère cette mission-là. Donc, je ne vois pas comment on peut remettre en cause un rapport de la Cour des comptes. Ce n'est pas sérieux, ce n'est pas crédible. Maintenant, il est dans son rôle d'homme politique de défendre son bilan, son mandat, mais la réalité est qu'il y a un désastre budgétaire, il y a un désastre financier. On parle vraiment d'une catastrophe sur le plan budgétaire. Parce que, par exemple, on nous a révélé qu'il y a plus de 2500 milliards de francs CFA qui ont été empruntés auprès des banques de la place, alors que l'Assemblée nationale n'a pas donné d'autorisation, l'Assemblée nationale n'a jamais été informée. Donc, cette dette cachée et beaucoup d'autres irrégularités sont aux antipodes de la bonne gouvernance. Sa responsabilité politique est effectivement engagée. Bon, maintenant, je n'ai pas entendu dire qu'il sera convoqué par la justice, parce que, comme vous le savez, la Constitution stipule que le président de la République ne peut être poursuivi que pour haute trahison et devant la Haute Cour de justice. Donc, cela n'est pas encore le cas. Et si cela devait l'être, ce serait conformément à la Constitution, aux lois et aux règlements du Sénégal.Oui, mais le porte-parole du gouvernement, Moustapha Ndjekk Sarré, a dit sur RFM qu'inévitablement, le président Macky Sall fera face à la justice ?Effectivement, il a eu à le dire, mais lorsqu'il le disait, il a eu à préciser que, quand il le disait, il ne s'agissait pas de la version du gouvernement, mais il parlait en tant qu'homme politique.À votre arrivée au pouvoir, Ayib Daffé, vous avez promis que les accords du Sénégal avec les compagnies qui doivent exploiter le gaz et le pétrole offshore seraient réévalués. Mais un an plus tard, toujours rien. Si jamais les contrats ne sont pas renégociés, est-ce que vous ne risquez pas de décevoir vos électeurs ?Je pense que le travail de renégociation des contrats, c'est un processus qui est entamé. Ce n'est pas un travail qui se fait du jour au lendemain. Et en accord avec les compagnies, il y a des négociations qui se déroulent et qui devraient aboutir bientôt à des résultats.Avec BP, British Petroleum ?C'est tous les contrats qui sont concernés, parce qu'il y a une revue des contrats qui est faite par le ministère de l'Énergie. Et maintenant, pour BP, le contrat concerne aussi bien le Sénégal que la Mauritanie. Et je pense que le Premier ministre, Ousmane Sonko, a eu à faire plusieurs voyages en Mauritanie, et le ministre de l'Énergie également. La Primature a mis en place un comité pour la renégociation de tous ces contrats stratégiques. Mais d'abord la revue et ensuite la renégociation.À lire aussiSénégal: qui est Bassirou Diomaye Faye, passé en un éclair de la prison à la présidence?
Ornikar, c'est plus qu'une auto-école en ligne ! Depuis son dernier tour de table à 100 million d'EUR avec KKR, l'entreprise a pris un virage stratégique : adieu la course au volume, bonjour la rentabilité et l'assurance auto comme nouveau levier.Le retournement express : Arrivé comme Advisor, Philippe Maso a tout chamboulé : moins de comités, plus d'action, une culture d'entreprise refondée, et un business model au cordeau. Résultat ? Une transformation réussie en un temps record.
Faille de sécurité majeure: quand la médiocrité devient une valeur organisationnelle Entrevue avec Francis Coats, expert en sécurité et enseignant à l’École de technologie supérieure (ETS).Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Depuis l'adoption de la résolution 1325 du Conseil de sécurité de l'ONU, le rôle déterminant des femmes dans la prévention et la résolution des conflits est mieux reconnu. Pourtant, leur présence aux négociations de paix demeure marginale, alors que leur implication garantit des accords plus solides et durables. De leur côté, les jeunes, véritable moteur du changement, restent trop souvent en marge des processus de consolidation de la paix. Qu'ils négocient, mobilisent ou impulsent des initiatives locales, leur engagement renforce la légitimité et l'impact des solutions mises en place. Mais les blocages persistent. Femmes et jeunes peinent encore à s'imposer dans ces espaces de décision, leurs contributions étant reléguées au second plan. Comment garantir une participation plus juste et efficace ? Quel rôle pour les États, la société civile et les organisations internationales ? Comment passer des intentions aux actes ? Décryptage, témoignages et pistes de solutions.Avec :• Katrina Leclerc, co-fondatrice et conseillère au sein de la Coalition canadienne Jeunesse, Paix et Sécurité• Simone Mbode Diouf, jeune Ambassadrice pour la Paix de l'Union Africaine représentant la région Afrique de l'Ouest. • Artida Minga, attachée de programme au sein de la Direction des Affaires politiques et la Gouvernance démocratique de l'OIF En fin d'émission, place à la chronique sonore de Monica Fantini, Ecouter le monde Programmation musicale : ► Cards On The Table - Nia Archives► Koliko - Vaudou Game
Depuis l'adoption de la résolution 1325 du Conseil de sécurité de l'ONU, le rôle déterminant des femmes dans la prévention et la résolution des conflits est mieux reconnu. Pourtant, leur présence aux négociations de paix demeure marginale, alors que leur implication garantit des accords plus solides et durables. De leur côté, les jeunes, véritable moteur du changement, restent trop souvent en marge des processus de consolidation de la paix. Qu'ils négocient, mobilisent ou impulsent des initiatives locales, leur engagement renforce la légitimité et l'impact des solutions mises en place. Mais les blocages persistent. Femmes et jeunes peinent encore à s'imposer dans ces espaces de décision, leurs contributions étant reléguées au second plan. Comment garantir une participation plus juste et efficace ? Quel rôle pour les États, la société civile et les organisations internationales ? Comment passer des intentions aux actes ? Décryptage, témoignages et pistes de solutions.Avec :• Katrina Leclerc, co-fondatrice et conseillère au sein de la Coalition canadienne Jeunesse, Paix et Sécurité• Simone Mbode Diouf, jeune Ambassadrice pour la Paix de l'Union Africaine représentant la région Afrique de l'Ouest. • Artida Minga, attachée de programme au sein de la Direction des Affaires politiques et la Gouvernance démocratique de l'OIF En fin d'émission, place à la chronique sonore de Monica Fantini, Ecouter le monde Programmation musicale : ► Cards On The Table - Nia Archives► Koliko - Vaudou Game
Un comité d'experts est mis en place pour déterminer si la loi 21 est bien appliquée. Entrevue avec Me Christiane Pelchat, avocate, ancienne députée libérale et ex-présidente du Conseil du statut de la femme.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans la guerre hybride, la structure même de l'internet est touchée. Le routage des données et la souveraineté numérique sont affectés. Comment la Russie a-t-elle ainsi pu isoler numériquement les territoires dont elle entend prendre le contrôle, à l'est et au sud de l'Ukraine ? Quelle a été la réponse apportée par les autorités ukrainiennes ? Ces questions alimentent le débat, au sein de la société civile, entre devoir de protection et liberté d'internet. Avec les opérations dans l'espace cyber et les opérations d'influence, les manipulations de routage des données sont un autre moyen d'intervention dans la guerre que mène la Russie en Ukraine. Ces trois modes d'actions ont commencé bien avant le déclenchement de l'invasion à grande échelle de février 2022. Peu à peu, l'État ukrainien a réagi, la société civile aussi. On a assisté à la mise en place d'un bouclier informationnel et cela a suscité de vifs débats.Notre invité, Louis Pétiniaud, docteur de l'Institut français de géopolitique et chercheur au Centre de géopolitique de la datasphère, Géode, est l'auteur d'une étude intitulée : Le « bouclier informationnel » ukrainien, une infrastructuration des pratiques de souveraineté numérique. Dans cet article consacré à l'Ukraine depuis le début de la guerre en 2014, il analyse notamment les politiques infrastructurelles de protection de l'information, à travers les couches basses de l'internet. Il nous explique pour commencer ce qui constitue cette infrastructure invisible aux yeux des internautes, et les enjeux qu'elle représente.La chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI : Ukraine: Volodymyr Zelensky dans l'oeil de la désinformation pro-russe.La chronique de Nathan Gallot des Observateurs de France 24 : Attentat de Mannheim: rumeurs et intox anti-immigration autour de l'identité et l'origine du tueur.
Le Journal en français facile du jeudi 6 mars 2025, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BTL9.A
durée : 00:11:45 - Les Enjeux internationaux - par : Jean Leymarie - Hier, au Palais présidentiel de Damas, s'est clôturée la “conférence sur le dialogue national”, devant définir les grandes orientations pour la Syrie post-Bachar al-Assad. - réalisation : Daphné Leblond - invités : Myriam Benraad Politologue, spécialiste du Moyen-Orient, professeure associée en relations internationales.
Vidéo disponible sur Youtube “Je vais vous parler de quelque chose de très relou" Dans cet épisode, je reçois Inès Hamy, qui a lancé Octolo pour simplifier la gouvernance d'entreprise. Avec sa plateforme innovante, Octolo digitalise tout ce qui peut être un casse-tête administratif : gestion des actionnaires, organisation des instances, ou encore automatisation et partage de documents.Ancienne avocate et juriste, Inès a choisi de dire non à UCLA pour un Master et oui à l'entrepreneuriat. Ce pari audacieux l'a menée à créer une solution qui combine efficacité, simplicité et impact, utilisée aussi bien par des startups que de grands groupes.Dans cet échange, on parle innovation, gestion d'entreprise et des défis rencontrés par les femmes entrepreneures. Inès partage aussi sa vision sur la dimension humaine au cœur de son projet.
Aussitôt assermenté, Donald Trump a mis le pied sur l'accélérateur et ne l'a pas lâché depuis. Si le rythme effréné des premiers jours se maintient, la société américaine risque de traverser une phase de profonds bouleversements. Le journaliste Yanik Dumont Baron analyse le style de gouvernance que le nouveau président américain veut mettre de l'avant et les incidences liées à cette approche hors norme.
Stéphane Ricoul propose une réflexion sur une gouvernance numérique unifiée au Canada, en réponse à des lois fragmentées. Actuellement, ces initiatives abordent séparément des enjeux tels que la protection des données, la promotion de la culture canadienne, le soutien aux médias locaux et la sécurité en ligne. Cependant, leur manque de coordination rend leur application parfois incohérente.
Le sujet :Avec une popularité croissante depuis plusieurs années, les ETF (Exchange Traded Funds) s'imposent comme des outils financiers incontournables pour diversifier ses investissements. Simples d'accès, avec des frais moyens en France autour de 0,37 % pour les ETF actions, ils séduisent une nouvelle génération d'investisseurs grâce à leur flexibilité. Les enveloppes comme l'assurance-vie, le PER ou le PEA permettent aujourd'hui d'intégrer facilement ces produits dans un portefeuille. Les ETF couvrent une grande variété de secteurs, de zones géographiques et de thématiques, y compris des investissements alignés sur les critères ESG.L'invité du jour :Gaëtan Delculé, Directeur des ETF chez chez Amundi, dispose de plus de 15 ans d'expérience dans la gestion et la distribution des ETF. Au micro de Matthieu Stefani, il partage son expertise sur les stratégies de diversification et les étapes clés pour intégrer les ETF dans un portefeuille d'investissement. En tant que fournisseur européen d'ETF, Amundi accompagne les investisseurs, qu'ils soient particuliers ou institutionnels, dans leurs démarches financières.Quelles étapes suivre pour définir un projet d'épargne avant de se lancer dans les ETF ?Quels critères sont essentiels pour choisir un ETF (frais, performance, réputation du fournisseur) ?Pourquoi l'épargne programmée est-elle recommandée pour investir dans des ETF avec de petits montants ?Dans quelles enveloppes fiscales peut-on loger des ETF et quels sont leurs avantages respectifs ?Comment diversifier un portefeuille grâce aux ETF géographiques, sectoriels ou thématiques ?Quels sont les principaux ETF alignés sur les critères ESG, et comment leur conformité est-elle vérifiée ?En quoi les ETF rendent-ils les investissements dans des marchés comme l'Asie ou les obligations plus accessibles qu'auparavant ? On vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Cet épisode a été réalisé en partenariat avec Amundi, n°1 en France des solutions d'investissement.
Cette revue de presse s'ouvre sur la succession de Michel Barnier à la tête de la stratégie européenne de la France. Parmi les candidats potentiels figurent Sébastien Lecornu, François Bayrou et Jean Castex.Cette actualité s'inscrit dans un contexte plus large de possible "crise de régime". L'ancien député Gilles Legendre évoque le risque d'un blocage institutionnel pouvant mener à une nouvelle république ou à la démission présidentielle. Le patron de l'Opinion, Nicolas Béthoud, voit dans cette crise une opportunité de réforme profonde du pays.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.