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Le Journal en français facile du mercredi 9 juillet 2025, 18 h 00 à Paris. ► EXERCICE Comprendre un extrait du journal | Les parlementaires francophones réunis à Paris | niveau B2 (exercice + PDF)Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BpSs.A
Les observateurs les plus avisés considèrent, à juste titre, qu'il ne peut plus rien sortir de bon de cette Assemblée. Le problème est qu'en élire une autre pourrait aboutir au même résultat.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
SBM Holdings Ltd : la première assemblée annuelle des actionnaires de la société s'est avérée positive by TOPFM MAURITIUS
A 10h, ce lundi 7 juillet 2025, les GG : Barbara Lefebvre, enseignante et essayiste, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat, débattent de : "Dissolution de l'Assemblée : voulez-vous retourner voter ?".
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le samedi 5 juillet, au meeting des dix ans des Jeunes en Marche, Emmanuel Macron pose les jalons pour 2032. Selon Ruth Elkrief, le président déclare :“Je suis toujours là, ne m'efface pas si vite. Je suis encore à l'Élysée et je suis le patron. ” Et malgré la dissolution, une cote de popularité très basse et une Assemblée nationale en plein désordre, cela témoigne de son pouvoir persistant. Cet été, les syndicats de chefs de bord de la SNCF prévoient des actions de grève pour faire entendre leurs revendications, notamment en ce qui concerne la prime de travail de 100 euros et la prévisibilité des plannings. Selon Pascal Perri, on a affaire à des manœuvres de la part des syndicats SNCF. Il affirme que, à certaines périodes de l'année, comme c'est le cas en Italie, il est possible qu'il y ait une grève, mais à un niveau modéré. La BBC a diffusé une vidéo montrant des gendarmes français qui lacèrent un bateau pneumatique de migrants, alors que ceux-ci s'apprêtent à tenter une traversée de la Manche depuis une plage près de Boulogne-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais. Pour Abnousse Shalmani, ce n'est pas la première fois. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Frédéric Hermel, journaliste RMC. Yael Mellul, ancienne avocate. Et Benjamin Amar, prof d'histoire-géo. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
BFM STORY du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marshall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
Guillaume Daret reçoit Mathilde Panot, présidente du groupe "LFI-NFP" à l'Assemblée nationale, dans BFM Politique sur BFMTV, ce dimanche 6 juillet 2025. « BFM POLITIQUE » est LE rendez-vous média incontournable rythmant la vie politique française. Chaque dimanche, en direct et en public, l'émission présentée par Guillaume Daret donne la parole aux personnalités de tous bords. Durant deux heures, un représentant politique au cœur de l'actualité répond aux questions de la journaliste de BFMTV, puis débat dans le « face à face » avec un contradicteur sur un sujet qui les oppose. BFMTV, 1ère chaine d'information en continu de France, vous propose toute l'info en temps réel avec 18h d'antenne live par jour et des directs partout à travers le monde où l'actualité le nécessite. BFMTV, c'est aussi les débats et les grands reportages d'actualité. Retrouvez BFMTV sur le canal 15 de la TNT et sur BFMTV.com.
Episódio de número 274 da palestra virtual da Reunião de Estudos do Evangelho do Grupo Espírita "Irmão Áureo" - 28/06/2025Reflexões sobre o tema "AFLIÇÃO", com base NO CAP. 31 do livro: CEIFA DE LUZ, de Emmanuel, psicografia de Francisco Cândido Xavier. BIBLIOGRAFIA:- Livro: Ceifa de Luz - Emmanuel, psicografia de Francisco Cândido Xavier, cap. 31 – “Aflição” - disponível em: https://bibliadocaminho.com/ocaminho/TX/Cel/Cel31.htm- Livro: O Evangelho Segundo o Espiritismo - Allan Kardec - cap. 5 - Bem Aventurados os Aflitos - disponível em: https://bibliadocaminho.com/ocaminho/TKP/Ev/Ev05a.htm- Livro: O Livro dos Espíritos - Allan Kardec - Terceira Parte - Leis Morais - questões 908 - disponível em: https://bibliadocaminho.com/ocaminho/TKP/Lde/LdeP3C12.htm#Q907a912- Livro: Dicionário - verbete: Aflição - https://www.dicio.com.br/aflicao/- Livro: Fonte Viva - Emmanuel - lição 16 - Não Te Perturbes - Emmanuel - psicografia de Francisco C. Xavier - disponível em: https://bibliadocaminho.com/ocaminho/TX/Fv/Fv16.htm- Livro: Fonte Viva - Emmanuel - lição 73 - Estímulo Fraternal - Emmanuel - psicografia de Francisco C. Xavier - disponível em: https://bibliadocaminho.com/ocaminho/TX/Fv/Fv73.htm- Livro: Encontro Marcado - Emmanuel - lição 42 - Aflição Vazia - Emmanuel - psicografia de Francisco C. Xavier - disponível em: https://bibliadocaminho.com/ocaminho/TX/Enm/Enm42.htm- Livro: Reconforto - Emmanuel - lição 6 - Não Te Aflijas - Emmanuel - psicografia de Francisco C. Xavier - disponível em: https://bibliadocaminho.com/ocaminho/TX/Rct/Rct06.htm- Livro: Inspiração - Emmanuel - lição 5 - Aceitação - Emmanuel - psicografia de Francisco C. Xavier - disponível em: https://bibliadocaminho.com/ocaminho/TX/Isp/Isp05.htm- Livro: Religião dos Espíritos - Emmanuel - lição 10 - Examina a Própria Aflição - Emmanuel - psicografia de Francisco C. Xavier - disponível em: https://bibliadocaminho.com/ocaminho/TX/Rde/Rde10.htmPoesia Final: Trio da Esperança - Casimiro Cunha- do livro: Assembléia de Luz - Autores Diversos — psicografia de F. C. Xavier - disponível em: https://bibliadocaminho.com/ocaminho/TX/Adl/Adl30.htm
Les orages qui ont balayé la France n'ont pas épargné Paris, surtout aux abords des quais de Seine. Dans la soirée, en plein débat sur la guerre Israël-Iran, l'Assemblée nationale a littéralement pris l'eau. Le plafond du Palais Bourbon a souffert, laissant passer des gouttes de pluie à l'intérieur même de l'Hémicycle... Ecoutez RTL inside avec Thomas Beker du 26 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
3 heures de débats où toutes les opinions sont les bienvenues. A la table des Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. Pour cette 20ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile, mêlent information et divertissement. Les Grandes gueules, le show de la liberté d'expression. Ce vendredi 20 juin 2025, retrouvez Emmanuel de Villiers, entrepreneur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, Flora Ghebali, militante écologiste, Charles Consigny, avocat, Didier Giraud, éleveur de bovins, Bruno Poncet, cheminot, Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, et Barbara Lefebvre, prof d'histoire-géo, pour des discussions enflammées !
Ce mercredi 18 juin, la loi de simplification et de l'adoption de l'IA dans les PME ont été abordées par Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d'analyse économique et de conseil Asterès, Sylvain Orebi, président d'Orientis, et Christian Poyau, PDG de Micropole, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Au Mali, le conseil des ministres a donc adopté un projet de loi qui accorde au chef de l'État un mandat de cinq ans, renouvelable. Une initiative qui coule de source, si l'on en croit Sahel Tribune, qui se fait l'écho d'un sondage effectué début janvier par une fondation allemande, la F.E.S., dont « il ressort que 7 Maliens sur 10 font confiance au président de la transition et que 9 Maliens sur 10 sont satisfaits ou plutôt satisfaits de la gestion de la transition, sauf dans le district de Bamako ». Sahel Tribune accorde par ailleurs un satisfecit sans réserve à la transition, estimant « qu'il est normal que les autorités réalisent les souhaits du peuple. D'ailleurs, elles l'ont toujours fait. » Moins enthousiaste, Maliweb fait aussi sa Une sur le maintien du général Assimi Goïta au pouvoir. Le site d'information rappelle l'émergence de l'Alliance des États du Sahel, « face à la menace terroriste » alors que « la fin de la transition semble "de plus en plus incertaine" » et que « des mécanismes sont mis en place pour dissoudre les partis politiques ». « Une décision pourtant contraire aux recommandations des Assises nationales qui avaient plutôt proposé une réduction du nombre de partis », remarque Maliweb qui rappelle aussi le principal argument du Conseil des ministres : « Notre pays, comme les autres de l'AES, est toujours confronté à la menace de déstabilisation internationale […], il est nécessaire de poursuivre la transition afin de parvenir à une pacification totale de nos États. » À lire aussiMali: le général Assimi Goïta bientôt président sans limite de temps Les élections se suivent et se ressemblent Au Burundi, où le CNDD-FDD, le parti au pouvoir, remporte les élections législatives. « Le CNDD-FDD rafle tout aux législatives », titre Iwacu, publication qui ambitionne de donner la parole « à toutes les voix du Burundi ». « À part trois députés issus de la communauté des Batwa cooptés, tous les autres sièges de l'Assemblée nationale seront occupés par le Parti de l'Aigle », explique Iwacu, « il s'agit de 108 sièges sur les 111 que comptera la nouvelle Assemblée nationale ». « En ordre dispersé », poursuit le journal, « l'opposition fulmine, parle d'irrégularités flagrantes et rejette ces résultats ». Des résultats provisoires qui ont été proclamés par la Céni, la Commission électorale indépendante, « lors d'une cérémonie à laquelle assistaient « quelques indépendants », qui sont repartis furieux, tête baissée », raconte Iwacu, « ils n'ont même pas attendu la fin de la prière pour accompagner et clôturer cette proclamation provisoire des résultats des législatives ». Vues du Burkina Faso, l'analyse est la même, mais les mots sont plus durs. Ainsi L'observateur Paalga, parle d'un « score soviétique », dans un Burundi où « les élections se suivent et se ressemblent ». « Le pays n'a donc de démocratique que le nom », poursuit le journal. « Pour tout dire, le général Évariste Ndayishimiye l'a transformé en un véritable camp militaire, où tout le monde est obligé de marcher au pas, au son du clairon, et gare à celui dont la tête dépasse d'un iota ». À lire aussiLégislatives au Burundi: le parti au pouvoir rafle la totalité des sièges en jeu à l'Assemblée Caravane à l'arrêt Dans l'actualité africaine également, la progression de la caravane Soumoud, caravane de solidarité avec Gaza, partie lundi de Tunisie. Cette caravane est « bloquée à l'entrée de Syrte en Libye par les forces de l'est », annonce le journal La Presse en Tunisie, qui explique que « selon les responsables sécuritaires sur place, le convoi ne pourra poursuivre sa route sans instructions explicites de Benghazi ». « Face à cette situation », poursuit le journal, « le comité de coordination de la caravane Soumoud, a pris la décision de ne pas rebrousser chemin. Le convoi s'est rangé sur le bas-côté de la route, à quelques kilomètres de Syrte et était prêt à camper sur place pour la nuit, si nécessaire […], les organisateurs tiennent à rassurer les familles des participants : « Tous les membres du convoi sont en sécurité et réunis en un seul point. La coupure des réseaux téléphoniques, à l'endroit de leur arrêt, explique l'absence de nouvelles. » À lire aussiÉgypte: Israël appelle les autorités du pays à bloquer une marche pro-palestinienne
Au Mali, le conseil des ministres a donc adopté un projet de loi qui accorde au chef de l'État un mandat de cinq ans, renouvelable. Une initiative qui coule de source, si l'on en croit Sahel Tribune, qui se fait l'écho d'un sondage effectué début janvier par une fondation allemande, la F.E.S., dont « il ressort que 7 Maliens sur 10 font confiance au président de la transition et que 9 Maliens sur 10 sont satisfaits ou plutôt satisfaits de la gestion de la transition, sauf dans le district de Bamako ». Sahel Tribune accorde par ailleurs un satisfecit sans réserve à la transition, estimant « qu'il est normal que les autorités réalisent les souhaits du peuple. D'ailleurs, elles l'ont toujours fait. » Moins enthousiaste, Maliweb fait aussi sa Une sur le maintien du général Assimi Goïta au pouvoir. Le site d'information rappelle l'émergence de l'Alliance des États du Sahel, « face à la menace terroriste » alors que « la fin de la transition semble "de plus en plus incertaine" » et que « des mécanismes sont mis en place pour dissoudre les partis politiques ». « Une décision pourtant contraire aux recommandations des Assises nationales qui avaient plutôt proposé une réduction du nombre de partis », remarque Maliweb qui rappelle aussi le principal argument du Conseil des ministres : « Notre pays, comme les autres de l'AES, est toujours confronté à la menace de déstabilisation internationale […], il est nécessaire de poursuivre la transition afin de parvenir à une pacification totale de nos États. » À lire aussiMali: le général Assimi Goïta bientôt président sans limite de temps Les élections se suivent et se ressemblent Au Burundi, où le CNDD-FDD, le parti au pouvoir, remporte les élections législatives. « Le CNDD-FDD rafle tout aux législatives », titre Iwacu, publication qui ambitionne de donner la parole « à toutes les voix du Burundi ». « À part trois députés issus de la communauté des Batwa cooptés, tous les autres sièges de l'Assemblée nationale seront occupés par le Parti de l'Aigle », explique Iwacu, « il s'agit de 108 sièges sur les 111 que comptera la nouvelle Assemblée nationale ». « En ordre dispersé », poursuit le journal, « l'opposition fulmine, parle d'irrégularités flagrantes et rejette ces résultats ». Des résultats provisoires qui ont été proclamés par la Céni, la Commission électorale indépendante, « lors d'une cérémonie à laquelle assistaient « quelques indépendants », qui sont repartis furieux, tête baissée », raconte Iwacu, « ils n'ont même pas attendu la fin de la prière pour accompagner et clôturer cette proclamation provisoire des résultats des législatives ». Vues du Burkina Faso, l'analyse est la même, mais les mots sont plus durs. Ainsi L'observateur Paalga, parle d'un « score soviétique », dans un Burundi où « les élections se suivent et se ressemblent ». « Le pays n'a donc de démocratique que le nom », poursuit le journal. « Pour tout dire, le général Évariste Ndayishimiye l'a transformé en un véritable camp militaire, où tout le monde est obligé de marcher au pas, au son du clairon, et gare à celui dont la tête dépasse d'un iota ». À lire aussiLégislatives au Burundi: le parti au pouvoir rafle la totalité des sièges en jeu à l'Assemblée Caravane à l'arrêt Dans l'actualité africaine également, la progression de la caravane Soumoud, caravane de solidarité avec Gaza, partie lundi de Tunisie. Cette caravane est « bloquée à l'entrée de Syrte en Libye par les forces de l'est », annonce le journal La Presse en Tunisie, qui explique que « selon les responsables sécuritaires sur place, le convoi ne pourra poursuivre sa route sans instructions explicites de Benghazi ». « Face à cette situation », poursuit le journal, « le comité de coordination de la caravane Soumoud, a pris la décision de ne pas rebrousser chemin. Le convoi s'est rangé sur le bas-côté de la route, à quelques kilomètres de Syrte et était prêt à camper sur place pour la nuit, si nécessaire […], les organisateurs tiennent à rassurer les familles des participants : « Tous les membres du convoi sont en sécurité et réunis en un seul point. La coupure des réseaux téléphoniques, à l'endroit de leur arrêt, explique l'absence de nouvelles. » À lire aussiÉgypte: Israël appelle les autorités du pays à bloquer une marche pro-palestinienne
Au Burundi, les résultats des législatives du 5 juin sont sans surprise. Le parti au pouvoir CNDD-FDD est crédité de 96% des voix et rafle la totalité des 100 sièges de la nouvelle Assemblée nationale. Le président Évariste Ndayishimiye consolide donc son pouvoir au moment où la population s'inquiète de plus en plus de voir partir des soldats burundais au Congo, au risque de leur vie. Le Burundi risque-t-il d'être le grand oublié d'un éventuel accord entre le Rwanda et la RDC ? L'avocat congolais Reagan Miviri est chercheur sur les conflits à l'institut Ebuteli. En ligne de Kinshasa, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Le pouvoir burundais voulait faire de ces législatives un plébiscite en sa faveur. Officiellement, c'est réussi. Mais qu'en est-il en réalité ? Reagan Miviri : En réalité, c'est un pouvoir qui est de plus en plus contesté, qui est confronté à une situation économique désastreuse et à une méfiance venant d'une population qui ne comprend pas l'implication militaire en RDC alors même qu'il y a de graves problèmes au Burundi, surtout des problèmes économiques. Le principal opposant, Agathon Rwasa, n'a pas pu présenter de candidat à ces élections. Est-ce le signe que le pouvoir se méfie encore de son poids politique ? On peut le dire ainsi. Je pense que le pouvoir, surtout dans ces moments de crise économique, se rassure de ne pas avoir une autre menace de plus. Et surtout toute personne qui peut mobiliser contre le régime est écartée. La société civile burundaise accuse le président Ndayishimiye de brandir exagérément la menace militaire du Rwanda et du M23 pour justifier une répression accrue contre les opposants. Mais n'y a-t-il tout de même pas une offensive des troupes rwandaises et du M23 depuis quelques mois ? Oui, bien sûr. Je pense que la question sécuritaire est réelle. Les M23, soutenus par l'armée rwandaise, sont maintenant dans la plaine de la Ruzizi et ils se rapprochent beaucoup plus de la frontière burundaise, ce qui peut vraiment inquiéter le Burundi. Depuis l'accord de coopération militaire d'août 2023, il y a eu jusqu'à 10 000 soldats burundais qui ont combattu au côté de l'armée congolaise au Nord et au Sud-Kivu. Mais depuis la bataille de Ngungu en décembre dernier face aux troupes du Rwanda et du M23, est-ce qu'on a une idée des pertes subies par l'armée burundaise ? C'est difficile d'avoir des chiffres exacts mais les pertes pourraient aller jusqu'à des centaines, voire même peut-être un millier. Quand il y a des pertes, ça rajoute encore du mécontentement au point que le pouvoir, voyant les élections approcher, a vu qu'il fallait réduire un peu sa présence et son empreinte en RDC. Il y a eu aussi quelques contacts entre les sécurocrates burundais et rwandais. D'ailleurs à un moment, on parlait d'une sorte de pacte de non-agression et c'est depuis ces temps-là que l'on voit que dans la plaine de la Ruzizi, alors même qu'il y a encore des affrontements entre les M23 et les Wazalendo, les militaires burundais qui sont souvent dans les mêmes zones ne sont pas impliqués dans ces affrontements. À lire aussiLa RDC et le Burundi signent un accord de coopération sécuritaire Donc Gitega et Kigali se sont parlés pour ne pas s'agresser directement ? En tout cas, on peut confirmer qu'il y a eu des pourparlers. Depuis plusieurs semaines, le Rwanda et le Congo-Kinshasa sont fortement encouragés par les médiateurs à négocier en vue d'un accord à la fois politique et commercial. Est-ce que le Burundi ne risque pas d'être le grand oublié de cet éventuel accord à venir ? Oui, je pense. Si ça continue toujours dans le format Doha et Washington, il me semble que le Burundi – et pas que le Burundi d'ailleurs, il y a aussi l'Ouganda de l'autre côté – risquent d'être des parties qui vont se sentir un peu oubliées. Et je pense que ça, c'est un risque de ne pas avoir un accord durable parce que ça serait très difficile d'avoir un accord avec le Rwanda sans l'avoir avec le Burundi et l'Ouganda. Et c'est pour cela que beaucoup de voix s'élèvent, pour que les processus internationaux soient les plus inclusifs possibles. Si on n'a pas cette question sur la table et si elle n'est pas gérée, il y a risque que l'on résolve peut-être le conflit dans une partie du Congo, par exemple dans le Nord-Kivu, mais que les tensions continuent par exemple dans la plaine de la Ruzizi. Le Burundi possède des terres rares, donc si demain le Rwanda et la RDC sont autorisés à exporter plus de richesses minières vers les États-Unis, le Burundi voudra aussi y trouver son compte, c'est ça ? Oui. Je pense que, dans un deal sur le minerai, il faut prendre en compte tous les acteurs en tant que pays de production mais aussi de traitement, de transit, parce qu'on peut aussi parler par exemple de l'or du Sud-Kivu qui passait par le Burundi. Et qui maintenant passe par le Rwanda ? Oui, et ça, c'est quelque chose qui doit inquiéter le Burundi. Et le Burundi voudrait quand même aussi avoir sa part dans tous ces différents deals miniers. À lire aussiLégislatives au Burundi: le parti au pouvoir rafle la totalité des sièges en jeu à l'Assemblée
Le chef du Parti conservateur Éric Duhaime mène une lutte qui pourrait le mener à obtenir son premier siège à l’Assemblée nationale. Entrevue avec Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec (PCQ) et candidat dans Arthabaska Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Michael Sabia quitte son poste à Hydro-Québec : mauvaise nouvelle pour le provincial, bonne pour le fédéral | Fin de semaine du Grand Prix à Montréal | Francofolies de Montréal : Brigitte Boisjoli fait partie de la distribution pour l’hommage aux 30 ans de l’album D’eux de Céline Dion | L’âgisme au travail, ça débute à 45 ans? | Airbus inaugure son nouveau centre de livraison d’A220 à Mirabel Dans cet épisode intégral du 12 juin, en entrevue : Alain Gosselin, professeur émérite à HEC Montréal. Benoît Schultz, président-directeur général d’Airbus Canada. Monique Jérôme-Forget, ex-ministre du gouvernement du Québec, ex-députée à l’Assemblée nationale et détentrice d’un doctorat en psychologie. Brigitte Boisjoli, chanteuse. Une production QUB Juin 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Michael Sabia quitte son poste de président-directeur général d’Hydro-Québec après presque deux ans. Entrevue avec Monique Jérôme-Forget, ex-ministre du gouvernement du Québec, ex-députée à l’Assemblée nationale et détentrice d’un doctorat en psychologie. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le 9 juin 2024, au soir d'élections européennes qui ont vu le RN arriver en tête avec 31 % des voix, Emmanuel Macron prend tout le monde de court en décidant de dissoudre l'Assemblée nationale. Cette décision, encore largement incomprise par les Français aujourd'hui, a entraîné une défaite pour le camp présidentiel et une Assemblée ingouvernable qui peine à mener une action cohérente.Les deux gouvernements qu'a connus la France depuis illustrent largement cette instabilité : celui de Michel Barnier a été rapidement censuré quand celui de François Bayrou est miné par les rivalités interministérielles et peine à définir un cap clair.Cette dissolution ratée a-t-elle ainsi entraîné une incapacité de l'Etat français à mener des politiques publiques pour préparer le pays aux défis de demain, mais aussi faire face aux crises qu'il traverse actuellement ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Mariama Daramé, journaliste chargée du suivi de l'exécutif, explique les conséquences en cascade de la décision du chef de l'Etat le 9 juin 2024.Un épisode de Jean-Guillaume Santi avec l'aide de Cyrielle Bedu, réalisé par Amandine Robillard. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extrait de l'allocution d'Emmanuel Macron le 9 juin 2024 ; extrait des résultats des élections législatives sur TFI le 7 juillet 2024 ; extrait de l'interview d'Emmanuel Macron sur France 2 le 23 juillet 2024.Cet épisode a été publié le 10 juin 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Au menu de la troisième heure des GG du lundi 9 juin 2025 : "Assemblée, pour ou contre une nouvelle dissolution ?" avec Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Éléonore Lemaire, chanteuse lyrique et professeur d'aïkido.
De Franse legerkapitein Alfred Dreyfus, die meer dan 130 jaar geleden ten onrechte werd beschuldigd van verraad, wordt postuum bevorderd in rang. Afgelopen maandag stemde de Assemblée Nationale, de Franse Tweede Kamer, unaniem voor de postume promotie van de Joodse Dreyfus tot de rang van brigadegeneraal. Maar wat was de Dreyfus-affaire? En waarom juist nu deze postume erkenning voor de man die wel wordt gezien als een van de eerste slachtoffers van het antisemitisme? We vragen het Niek Pas, historicus en Frankrijk-kenner.
Alors que les partis d’opposition dressent leur bilan de la session parlementaire, un grand absent persiste : le Parti conservateur du Québec. Sans présence à l’Assemblée nationale, le PCQ d’Éric Duhaime continue pourtant d’imposer ses enjeux dans l’espace public. La rencontre Tougas-Dutrizac avec Stéfanie Tougas, analyste politique, et Benoît Dutrizac. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Faut-il interdire l'alcool à l'Assemblée nationale ? L'ex-ministre Florence Parly parachutée à la tête d'Air France
A 10h, ce mercredi 28 mai 2025, les GG : Didier Giraud, éleveur de bovins, Emmanuel de Villiers, entrepreneur, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de : Loi sur "L'aide à mourir" votée à l'Assemblée, un progrès ?
Prologue. Notre avenir se joue en mer. Protéger l'océan, c'est protéger l'avenir de l'humanité. Il nous nourrit, nous soigne, nous connecte, nous amuse, nous fascine et nettoie l'air que nous respirons. Mais qui s'occupe de l'océan ? Et comment gouverner un espace aussi vaste qui n'appartient à personne et qui concerne tout le monde ? POUR ALLER PLUS LOIN : un documentaire : « Ocean » de David Attenborough (2025) nous plonge dans un monde sous-marin merveilleux tout en alertant sur les dangers qui le menacent ; un roman graphique : « Anita Conti » (éd. Casterman, 2024) qui raconte la vie, l'engagement et la passion de cette océanographe pionnière de l'écologie ; une fresque à colorier : prolongez l'expérience en coloriant vous-même la fresque à télécharger dessinée par Julie Feydel, la directrice artistique du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères ; ARCHIVES & EXTRAITS : extraits libre de droit de marchés de poissons en Italie, au Japon, en Tunisie, en Turquie, au Brésil ; extrait de l'émission « Le journal de l'éco » sur France Culture du 13 mai 2024 ; discours d'Emmanuel Macron à l'Assemblée générale de l'ONU du 19 septembre 2017 ; message vidéo de Narendra Modi publié sur Facebook le 17 août 2024 ; discours d'António Guterres à l'ouverture du Sommet de l'avenir le 22 septembre 2024 ; message vidéo de Xi Jinping pour la 76e Assemblée générale des Nations unies diffusé le 21 septembre 2021 ; discours de Nadia Calvino du 9 septembre 2023 à l'occasion du G20 ; discours de Cyril Ramaphosa du 22 janvier 2025 lors du Forum de Davos ; annonce de Huang Runqiu à l'occasion de l'accord Kunming-Montréal adopté en 2022 ; annonce de Rena Lee à l'occasion de la fin des négociations de l'accord BBNJ en 2023 CRÉDITS : Voix, écriture, production et réalisation : Diane Jean Illustrations et identité visuelle : Julie Feydel Édition et aide à la production : Mariane Schlegel Communication : Kaled Maddi et Matthias Lugoy Direction de production : Julie Godefroy Musique : 1985, Angel Salazar (Artlist) ------ À PROPOS : « Qui gouverne l'océan ? » est une série du podcast Sources diplomatiques. Réalisé par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, ce podcast vous propose des documentaires, décryptages, récits intimes et conversations pour plonger dans les coulisses de la diplomatie française et comprendre les grands enjeux internationaux. Sources diplomatiques est à retrouver sur toutes les applications d'écoutes et de streaming audio.
Dans un contexte mondial secoué par les crises sanitaires, les tensions géopolitiques et les mutations économiques, la logistique s'impose plus que jamais comme un maillon stratégique du commerce international et du développement des territoires. À l'occasion de l'Africa CEO Forum 2025, rendez-vous des décideurs privés africains et internationaux, Mathieu Friedberg, directeur général de Ceva Logistics et membre du comité exécutif de CMA CGM est notre Grand Invité de l'Économie avec Bruno Faure (RFI) et Aurélie M'Bida, cheffe du pôle économie de Jeune Afrique. Peu connu du grand public, Ceva Logistics pèse pourtant lourd : présent dans 170 pays, employant plus de 110 000 collaborateurs et récemment renforcé par l'acquisition de Bolloré Logistics. À travers cet entretien exclusif, Mathieu Friedberg revient sur son parcours, de ses débuts chez CMA CGM à la direction de CEVA Logistics, et décrypte les grands enjeux de son secteur : infrastructures insuffisantes, défis sécuritaires, adaptation aux contraintes fiscales et réglementaires africaines, mais aussi digitalisation, automatisation et décarbonation du fret mondial.Alors que l'Afrique représente un marché de croissance prioritaire, ce spécialiste des chaînes d'approvisionnement explique comment son groupe accompagne la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF) et développe des solutions sur-mesure pour connecter les économies africaines entre elles et au reste du monde.En fin d'émission, nous donnons la parole à deux candidats à la présidence de la Banque africaine de développement qui organise fin mai ses Assemblées générales à Abidjan.- la Sud-africaine Bajabulile Swazi Tshabalala, ancienne première vice-présidente de la BAD- le Zambien Samuel Munzele Maimbo, ancien vice-président du budget et de la planification stratégique à la Banque mondiale
Dans un contexte mondial secoué par les crises sanitaires, les tensions géopolitiques et les mutations économiques, la logistique s'impose plus que jamais comme un maillon stratégique du commerce international et du développement des territoires. À l'occasion de l'Africa CEO Forum 2025, rendez-vous des décideurs privés africains et internationaux, Mathieu Friedberg, directeur général de Ceva Logistics et membre du comité exécutif de CMA CGM est notre Grand Invité de l'Économie avec Bruno Faure (RFI) et Aurélie M'Bida, cheffe du pôle économie de Jeune Afrique. Peu connu du grand public, Ceva Logistics pèse pourtant lourd : présent dans 170 pays, employant plus de 110 000 collaborateurs et récemment renforcé par l'acquisition de Bolloré Logistics. À travers cet entretien exclusif, Mathieu Friedberg revient sur son parcours, de ses débuts chez CMA CGM à la direction de CEVA Logistics, et décrypte les grands enjeux de son secteur : infrastructures insuffisantes, défis sécuritaires, adaptation aux contraintes fiscales et réglementaires africaines, mais aussi digitalisation, automatisation et décarbonation du fret mondial.Alors que l'Afrique représente un marché de croissance prioritaire, ce spécialiste des chaînes d'approvisionnement explique comment son groupe accompagne la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF) et développe des solutions sur-mesure pour connecter les économies africaines entre elles et au reste du monde.En fin d'émission, nous donnons la parole à deux candidats à la présidence de la Banque africaine de développement qui organise fin mai ses Assemblées générales à Abidjan.- la Sud-africaine Bajabulile Swazi Tshabalala, ancienne première vice-présidente de la BAD- le Zambien Samuel Munzele Maimbo, ancien vice-président du budget et de la planification stratégique à la Banque mondiale
TotalEnergies tient ses Assemblées générales ce vendredi à Paris. Les grandes compagnies pétrolières dont beaucoup ont des projets en Afrique sont sous le feu des critiques dans les pays occidentaux. Un contexte peu propice aux financements des projets. « Notre climat : non négociable ; notre futur : non négociable ». Devant le siège du Crédit agricole à Paris, la semaine dernière, des militants de l'ONG Amis de la Terre ont dénoncé le soutien financier accordé au projet gazier de TotalEnergies au Mozambique. Leur stratégie : pousser les établissements bancaires à se désengager des projets d'extraction d'énergies fossiles.« Derrière ces projets toxiques. Ce qu'on oublie souvent, c'est qu'il y a aussi des grandes banques qui financent directement ces projets, dénonce la militante écologiste Lorette Philipot. Donc, aux Amis de la Terre, on travaille directement avec des partenaires dans les pays et les communautés impactées pour faire cesser ces soutiens financiers qui rendent possibles des projets climaticides et contraires aux droits humains. »Les banques, cibles des militants écologistesLes établissements européens sont de plus en plus sensibles à ces pressions, tout comme certaines banques américaines, comme Citigroup, également prises pour cible par les associations l'année dernière.La pression des ONG sur les banques commence à se faire sentir sur le terrain, notamment en Afrique. Pour Benjamin Augé, chercheur associé à l'Ifri, la dynamique est claire : « Les ONG environnementales en Occident commencent à exercer une forte pression pour que les banques n'investissent pas dans ces projets-là. Et donc, ça devient de plus en plus compliqué avec une enveloppe globale pour le pétrole et le gaz qui diminue et avec un nombre d'acteurs qui se dirige de plus en plus vers d'autres types d'investissements ou en tout cas dans l'énergie, plutôt dans les renouvelables et de moins en moins sur les hydrocarbures qui n'a plus vraiment la cote. »Des projets africains ralentis par manque de financementsRésultat : les projets prennent plus de temps à se concrétiser, faute de financements rapides. Verner Ayukegba, vice-président de la Chambre africaine de l'Énergie, en témoigne : « C'est difficile de réaliser ces projets, parce que ça peut seulement se faire avec des compagnies qui ont un énorme potentiel de fonds propres. En ce moment, il y a moins de dépendance sur des financiers internationaux. Désormais, il y a de moins en moins d'assureurs et de financiers qui s'engagent. »Malgré tout, les projets pétroliers et gaziers en Afrique attirent encore des capitaux : 43 milliards de dollars de dépenses sont prévues cette année, avec une projection de 54 milliards d'ici à 2030.
Et si les armées ne devaient pas seulement se préparer à des conflits sur le terrain mais aussi à des guerres visant nos cerveaux, bien au-delà de la très classique manipulation de l'opinion publique à l'aide de propagande ?C'est l'idée qui sous-tend l'émergence du concept de guerre cognitive, de plus en plus repris par les états-majors occidentaux et l'OTAN. Cette guerre-là vise le cerveau des populations et des décideurs. Elle a pour but de modifier en profondeur les mécanismes de pensée, pour au final déstabiliser, voire détruire l'adversaire sans combat. Par exemple, en détruisant de l'intérieur des régimes démocratiques.Pour ce faire, la guerre cognitive s'appuie sur les progrès fulgurants des neurosciences, ou sciences du cerveau. Elle atteint ses cibles grâce à l'hyperconnectivité de nos sociétés mais aussi avec d'autres armes technologiques. Parmi des exemples cités par les experts, il y a les manœuvres de la Chine visant Taïwan pour promouvoir l'unification, la récente campagne favorable à l'extrême droite sur TikTok en Roumanie, ou encore le mystérieux “syndrome de la Havane” qui a touché des diplomates américains. Pour en parler, Sur le Fil a invité l'Américain James Giordano, spécialiste de la neuro-éthique qui a directement enquêté sur le syndrôme de la Havane, le lieutenant-colonel de réserve François Du Cluzel, auteur d'une étude de l'OTAN sur le sujet et chef de service Innovation et entrepreneuriat à Isae Supaero, ainsi qu'Axel Ducourneau, anthropologue rattaché à l'état-major des armées en France.Réalisation et présentation : Michaëla Cancela-KiefferDoublage : Sébastien BlancEnregistrements sonores : AFPTV, Assemblée nationale, chaîne YouTube de la Red TeamPour aller plus loin : Cognitive Warfare, par François du CluzelUn design lab pour la sécurité cognitive, par Axel DucourneauDécouvrir la Red TeamCyborg Soldier 2050: Human/Machine Fusion and the Implications for the Future of the DODSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Episode 203: En hommage à Hugh Roberts (Décédé en mai 2025): Élections des assemblées populaires et la négociation entre l'État et la société en Grande Kabylie pendant les premières années de l'indépendance, 1967-1978. Dans ce podcast, feu Hugh Roberts, Professeur émérite d'Histoire à l'Université de Tufts (États-Unis) et directeur de North Africa Project, International Crisis Group, a exposé son travail de recherche, dédié aux élections des assemblées populaires et la négociation entre l'état et la société en Grande Kabylie pendant les premières années de l'indépendance, 1967-1978. Professeur d'histoire de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient, Hugh Roberts était un éminent spécialiste de l'Algérie, ses travaux, à la croisée des sciences politiques et de l'anthropologie, se distinguent par leur rigueur et leur profondeur, et constituent aujourd'hui des références incontournables pour comprendre l'histoire et les dynamiques politiques de l'Algérie. Ses longs séjours en Algérie - et plus particulièrement à Bouira où il a enseigné l'anglais dans les années 1970 - ont joué un rôle déterminant dans son parcours académique. Sa rencontre avec l'Algérie a profondément nourri sa réflexion et façonné son regard sur le monde. Cette conférence a été co-organisée par leCentre d'Études Maghrébines en Algérie (CEMA) et le Centre de Recherche en Anthropologie Sociale et Culturelle (CRASC). Elle a eu lieu le 27 avril 2011 au CEMA. Dr. Saddek Benkada, Historien, Maître de recherche au CRASC a modéré le débat. Pour consulter les diaporamas associés à ce podcast, veuillez visiter notre site web www.themaghribpodcast.com Nous remercions Dr. Jonathan Glasser, anthropologue culturel au College of William & Mary, pour son istikhbar in sika à l'alto pour l'introduction et la conclusion de ce podcast. Réalisation et montage: Hayet Yebbous Bensaid, Bibliothécaire / Chargée de la diffusion des activités scientifiques (CEMA).
Selon le sondage Harris Interactive pour le magazine Regards, publié ce mercredi 30 avril, la gauche pourrait rêver d'une possible accession au deuxième tour de la présidentielle 2027. Jusqu'à présent, cette possibilité n'était pas évidente. Ruth Elkrief est revenue sur les principaux scénarios testés lors de cette étude. Mais à deux ans du scrutin, elle estime qu'il faudrait quand même tempérer l'optimisme à gauche. La Commission de régulation de l'énergie parle de risque de surproduction d'électricité. La (CRE) propose alors d'ajuster à la baisse la production des énergies renouvelables (solaire et éolien), et mobiliser pleinement le potentiel pilotable (nucléaire). Pascal Perri souligne que la problématique est autant politique que technique. Il rappelle que cette commission n'avance que des suggestions, mais c'est le pouvoir politique qui finira par arbitrer. Il s'agit d'un sujet majeur pour l'économie française, pourtant, il a été débattu devant une Assemblée quasiment vide. Pascal Perri craint un grand risque d'appréciation en matière de programmation énergétique dans notre pays. On parle beaucoup des tentations identitaires en Occident. Mais la Côte d'Ivoire qui s'apprête à choisir son président cette année est aussi en plein dans ce débat, en particulier à travers le cas de Tidjane Thiam, franco-ivoirien, ancien directeur général du Crédit Suisse, président du parti démocratique et principal opposant dans le pays. Il a été éliminé de la course à la présidentielle par la justice ivoirienne. La loi impose que l'on soit exclusivement ivoirien pour pouvoir se présenter à l'élection présidentielle ivoirienne. Isabelle Lasserre estime que cette affaire fait resurgir les vieux démons de la Côte d'Ivoire et notamment le concept d'ivoirité qui a entraîné des poussées de xénophobie dans les années 90. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi, les députés ont visiblement préféré profiter du soleil plutôt que d'assister au débat, pourtant tellement important, sur l'énergie à l'Assemblée.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les Dicodeurs en mode sirène pour la 118ᵉ Assemblée des pompiers! Daniel Ruch, président dʹhonneur Mézières 2025, conseiller national, syndic de Corcelles-le-Jorat et entrepreneur. Manifestation: 118ème assemblée générale et concours de la fédération vaudoise des sapeurs-pompiers à suivre du 1er au 3 mai 2025 à Mézières. Dicodeurs et dicodeuses: Marie Riley, Marc Donnet-Monay, Christian Mukuna, Pascal Vincent, Daniel Rausis, Sandrine Viglino (claviers), Samuel Morier-Genoud (réalisation), Hervé Mermillod et Stéphane Tornare (technique), Jean-Löuc Sidan et Sébastien Corthésy (production), Arielle Serex (assistanat).
L'ancien ministre de l'Education décrit une Assemblée nationale où les députés « se détestent » Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Etienne Liebig et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Assemblée Générale de STELLANTIS aujourd'hui. On va beaucoup parler de la prime de départ de l'ancien patron, Carlos TAVARES débarqué à la fin de l'année dernière.: un peu plus de 23 millions et qu'on estime que c'est beaucoup pour solder les mauvais résultats de 2024. Mais il faut surtout relever de nombreux défis et notamment reconquérir l'Amérique.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Assemblée Générale de STELLANTIS aujourd'hui. On va beaucoup parler de la prime de départ de l'ancien patron, Carlos TAVARES débarqué à la fin de l'année dernière.: un peu plus de 23 millions et qu'on estime que c'est beaucoup pour solder les mauvais résultats de 2024. Mais il faut surtout relever de nombreux défis et notamment reconquérir l'Amérique.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jérôme Marty et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
À la Une de Radio Foot internationale à 16h10-21h10 T.U. : - Liga, la mauvaise passe de l'Atlético. ; - Éliminatoires Mondial 2026 sur le continent africain (5è et 6è journées, enjeux et présentation des matches. ; - Retour sur la 14è Assemblée générale extraordinaire de la CAF au Caire, la réélection de Patrice Motsepe, l'entrée de Samuel Eto'o au Comex, et le renouvellement des représentants du continent africain au conseil de la FIFA. ; - Éliminatoires Mondial 2026 en Amérique du Sud, pas de retrouvailles entre Messi et Neymar. - Liga, la mauvaise passe de l'Atlético. Opposés au FC Barcelone dimanche soir lors de la 28e journée, les Colchoneros qui menaient 2-0 à 20 minutes du terme de la rencontre, ont été renversés par les Catalans. Après l'élimination des Madrilènes en Ligue des champions, les joueurs de Diego Simeone ont presque tout perdu en l'espace de 4 jours. Côté Liga, la défaite à Getafe le 9 mars, et le revers face au Barça a fait perdre du terrain aux hommes du « Cholo », désormais à 4 points des Blaugranas. Le « cholismo touche-t-il à sa fin ? - Griezmann : 520 matches en Liga, mais l'ex-Bleu est dans une période plus compliquée. Les Matelassiers retrouvent le Barça dans une semaine en Coupe du Roi ! - Le Real reste au contact du rival barcelonais, le doublé express de Kylian Mbappé au stade de la Ceramica peut valoir cher en fin de saison.- Éliminatoires Mondial 2026 sur le continent africain (5e et 6e journées, enjeux et présentation des matches. Certaines équipes ont l'occasion de renforcer leur position (Côte d'Ivoire, Maroc, Égypte, Tunisie), d'autres doivent se relancer (Sénégal, RDC, Burkina Faso). Le Cameroun, leader du groupe D, affronte l'Eswatini en Afrique du Sud ce mercredi. L'adjoint de Marc Brys, Joachim Mununga n'est toujours pas sur la feuille de match. Nouvelles tensions en perspective ?- Retour sur la 14e Assemblée générale extraordinaire de la CAF au Caire, la réélection de Patrice Motsepe, l'entrée de Samuel Eto'o au Comex, et le renouvellement des représentants du continent africain au conseil de la FIFA.- Éliminatoires Mondial 2026 en Amérique du Sud, pas de retrouvailles entre Messi et Neymar. La « Pulga »n'est pas dans la liste de Scaloni contre l'Uruguay puis le Brésil. son pote sera forfait aussi contre la Colombie et l'Albiceleste. Avec Olivier Pron : Patrick Juillard, Hervé Penot et Étienne Moatti. Technique/réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.
À la Une de Radio Foot internationale à 16h10-21h10 T.U. : - Liga, la mauvaise passe de l'Atlético. ; - Éliminatoires Mondial 2026 sur le continent africain (5è et 6è journées, enjeux et présentation des matches. ; - Retour sur la 14è Assemblée générale extraordinaire de la CAF au Caire, la réélection de Patrice Motsepe, l'entrée de Samuel Eto'o au Comex, et le renouvellement des représentants du continent africain au conseil de la FIFA. ; - Éliminatoires Mondial 2026 en Amérique du Sud, pas de retrouvailles entre Messi et Neymar. - Liga, la mauvaise passe de l'Atlético. Opposés au FC Barcelone dimanche soir lors de la 28e journée, les Colchoneros qui menaient 2-0 à 20 minutes du terme de la rencontre, ont été renversés par les Catalans. Après l'élimination des Madrilènes en Ligue des champions, les joueurs de Diego Simeone ont presque tout perdu en l'espace de 4 jours. Côté Liga, la défaite à Getafe le 9 mars, et le revers face au Barça a fait perdre du terrain aux hommes du « Cholo », désormais à 4 points des Blaugranas. Le « cholismo touche-t-il à sa fin ? - Griezmann : 520 matches en Liga, mais l'ex-Bleu est dans une période plus compliquée. Les Matelassiers retrouvent le Barça dans une semaine en Coupe du Roi ! - Le Real reste au contact du rival barcelonais, le doublé express de Kylian Mbappé au stade de la Ceramica peut valoir cher en fin de saison.- Éliminatoires Mondial 2026 sur le continent africain (5e et 6e journées, enjeux et présentation des matches. Certaines équipes ont l'occasion de renforcer leur position (Côte d'Ivoire, Maroc, Égypte, Tunisie), d'autres doivent se relancer (Sénégal, RDC, Burkina Faso). Le Cameroun, leader du groupe D, affronte l'Eswatini en Afrique du Sud ce mercredi. L'adjoint de Marc Brys, Joachim Mununga n'est toujours pas sur la feuille de match. Nouvelles tensions en perspective ?- Retour sur la 14e Assemblée générale extraordinaire de la CAF au Caire, la réélection de Patrice Motsepe, l'entrée de Samuel Eto'o au Comex, et le renouvellement des représentants du continent africain au conseil de la FIFA.- Éliminatoires Mondial 2026 en Amérique du Sud, pas de retrouvailles entre Messi et Neymar. La « Pulga »n'est pas dans la liste de Scaloni contre l'Uruguay puis le Brésil. son pote sera forfait aussi contre la Colombie et l'Albiceleste. Avec Olivier Pron : Patrick Juillard, Hervé Penot et Étienne Moatti. Technique/réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.
Au sommaire de votre émission du jeudi 13 mars 2025 (16h10 et 21h10) : Ligue des Champions – Huitièmes de finale retour: clap de fin ! : - Real Madrid-Atlético Madrid ; - Lille-Dortmund (1-2). Afrique, 14è Assemblée de la CAF au Caire : - Patrice Motsepe réélu : la mainmise de la FIFA sur le football africain ? ; - Les nouveaux représentants de la CAF au Conseil de la FIFA : qui sont-ils ? ; - Samuel Eto'o entre au COMEX : quelles ambitions pour le président de la FECAFOOT ? Ligue des Champions – Huitièmes de finale retour : clap de fin !- Real Madrid - Atlético Madrid : une qualification arrachée aux tirs au but ! Retour sur l'affaire du penalty de Julián Álvarez. Les Merengue accèdent aux quarts sans briller : ont-ils les moyens de faire mieux ?- Lille - Dortmund (1-2) : les Dogues tombent avec les honneurs. Peuvent-ils nourrir des regrets ? Comment capitaliser sur ce beau parcours pour la suite de leur saison ? Afrique – 14è Assemblée de la CAF au Caire- Patrice Motsepe réélu : la mainmise de la FIFA sur le football africain ?- Les nouveaux représentants de la CAF au Conseil de la FIFA : qui sont-ils ?- Samuel Eto'o entre au COMEX : quelles ambitions pour le président de la FECAFOOT ?Olivier Pron, qui a suivi ces élections, nous dira tout ! Pour en débattre autour d'Annie Gasnier : Étienne Moatti, Salim Baungally et Patrick Juillard. Édition : David Fintzel. Réalisation : Laurent Salerno.