La vie frémissante derrière le confinement d'un immeuble de banlieue
Parce que toutes les bonnes choses ont une fin... Retrouvez-moi sur Amazon !
Et voilà la toute fin. Ou peut-être n'est-ce que le début ?
Il se passe des choses étranges dans le parc, à la lueur du solstice d'été...
Bonne fête à tous les pères, bonne fête papa :*
Pastiche de l'appel du 18 juin, devenu appel de la Nature
Parce que la vie parfois ressemble bien à un trip sous acide !
Acrostiche sur "le monde d'après". Merci Maurice Chevalier :)
Inquiétant gardien de la porte des enfers... rencontré, en vrai !...
Notre joueur de Fifa, persuadé d'être un Dom Juan, déchante un peu...
Une toile de Bacon prend vie, ou presque, au cœur du déconfinement sans fin.
Nietzsche a raison : "nous avons l'art, pour ne pas mourir de la vérité."
Quand les petites injustices du quotidien réveillent "l'œil du tigre" !
Parce que le mot "ami" est souvent galvaudé... choisissez bien les vôtres !...
Parce que l'an dernier, à la même date, nous fêtions la fête des mères :*
Rêve ou vision de futur ? Espérons que ce ne soit qu'un cauchemar...
Le temps de l'agonie de Floyd, le temps de la rédemption ou de la révolte. La voix de Billie Holiday nous montre la voie.
Acrostiche, pour se rappeler qu'il est urgent de vivre. Jouons à la marelle !
Où l'on retrouve notre prof, enfin de retour au lycée.
Quand sous la dorure apparaît le plâtre écaillé. Pour séduire, le physique, c'est important, mais la conversation, c'est indispensable !
Dans la solitude absolue, on s'attache même à des rats volants.
Quand partout sur les écrans s'étale l'horreur d'un racisme systémique puant.
Les frustrations du déconfinement partiel. Des envies de voyage ?...Dommage.
Ne jamais renoncer à exister, sortir de son scaphandre ou de son invisibilité.
Acrostiche un peu bancal, comme cette période en demi-teinte...
Les suites des aventures du prof... franchement mesquin cette fois. "Rir pra não chorar", rire, pour ne pas pleurer...
Ah, le petit quelque chose que déclenche toujours l'uniforme sous les yeux bleus...
Grain de folie, de déprime ou de beauté, qu'importe, tout passe...
Voilà le texte le plus court des 100 textes du recueil. Courts extraits de musique traditionnelle japonaise pour l'encadrer.
C'est tellement bien, la technologie...
Aznavour et Barbara l'on déjà chanté... Quand l'amour déçu devient mortel.
Petit débat sur l'idée de génie ou pas, de procréer dans ce monde-là...
Vous reprendrez bien une petite tranche de vie, bien cuite ?
Quand les Parques, maîtresses de nos vies, rappellent l'urgence de vivre l'instant présent, malgré toutes les souffrances, toutes les épreuves...
On donne enfin la parole au 41, l'immeuble qui abrite malgré lui toutes ces vies et tous ces destins.
Faire cours en visio avec ses jumelles diaboliques dans le viseur... tout un art !
Après le pass sanitaire, la puce salutaire ?...
Parce qu'il n'y a pas de mal à se faire du bien, surtout après tant d'interdictions !!
Quand les allergies de printemps freinent les amours naissantes...
Pourquoi quitter la chaleur de son 5e étage, pour retrouver les cons, finement ciselés par le confinement ?
Dernier jour de confinement... ou, comment oublier l'enfermement en s'absorbant tout entier dans un travail de création...
Comment expliquer la guerre à un gamin de 8 ans ?
Bon anniversaire Daniel ! Dur dur les anniv' confinés.
L'adieu au grand-père, hommage à tous ceux qui sont partis seuls dans cette folie de confinement...
Allons b... sous la lune ;) Chanson de Georges Brassens, "Marquise", en fermeture.
À tous les livreurs à vélo et moto, qui risquent le pire tous les jours...
Petite balade en forêt de Vincennes pour notre prof papa de deux jumelles maléfiques... Il faut bien que le corps exulte ;)