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Retrouver l'histoire en version écrite ici : https://decouvrir.coletteseconfesse.fr/transcription-weekendsupriseUn club de vacances en Grèce. Deux transats au soleil. Une proposition qui fait monter la température."Ça te dirait pas un plan à trois?" lance son mec, pendant que Lily bronze sur un transat. Premier réflexe : "La honte ! Imagine, on le recroise le lendemain...". Mais les beaux hommes torse nu qui passent devant elle commencent à faire vaciller ses certitudes.Dans cet épisode qui va vous faire transpirer (et pas uniquement à cause du soleil grec), suivez les aventures d'un couple qui décide de pimenter ses vacances. Entre messages brûlants et rencontre sur un bateau qui tangue, découvrez comment un moniteur de ski nautique blond aux yeux bleus va bouleverser sa définition du couple.Sandwich humain, confessions sur l'oreiller ... La grande question : quand on ouvre la boîte de Pandore des fantasmes, peut-on encore la refermer ? Et surtout, en a-t-on vraiment envie ?
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Une neutralité ferme. Telle était la position officielle du gouvernement helvétique au cours de la Deuxième Guerre mondiale. Une attitude vertueuse mais un comportement, dans les faits, beaucoup moins net. Cinquante ans plus tard, le Congrès national juif et le Sénat américain demandent des comptes sur les fonds en déshérence déposés dans les banques suisses par les victimes du nazisme. Au milieu des années 1990, une boîte de Pandore s'ouvre comme jamais sur l'attitude réelle de la Suisse au cours de cette guerre avec la menace de sanctions en cas de sourde oreille. Les invectives pleuvent au-dessus de l'Atlantique entre responsables, banquiers suisses et états-uniens. Côté suisse on aimerait beaucoup que la poussière retombe sur ces vieilles affaires qui rappellent de cuisants moments. Avec Pietro Boschetti, journaliste et auteur de Les Suisses et les nazis. Le Rapport Bergier pour tous, (Editions Zoé, 2004) et Dominique Dirlewanger, historien et maître d'histoire au gymnase Provence de Lausanne, auteur de Tell Me, la Suisse racontée autrement (Editions Alphil, 2019).
Artiste indépendant dans la musique, REVER est un chanteur / rappeur de 20 ans vivant dans le sud-est de la France. Passionné de musique et de rap depuis tout petit, il se lance maintenant dans une carrière musicale où il espère trouver son public ! Titouan le reçoit au micro pour parler de son EP Pandore entre trap, reggaeton, et inspiration latino et son concert à la Boule Noire le samedi 5 avril 2025 à 19H30.
C'est une décision qui fait couler beaucoup d'encre, notamment en Haïti : la suspension immédiate par le gouvernement américain de son financement de la mission multinationale chargée d'aider la police haïtienne contre les gangs. Selon Le Nouvelliste, « ce gel intervient dans un contexte de sous-financement de la MMAS, de dégradation de la situation sécuritaire et notamment du massacre, la semaine dernière, d'au moins 50 personnes par des bandes armées à Kenscoff ». Le Miami Herald rappelle qu'en ce moment « des centaines de membres de gangs armés, retranchés dans les collines surplombant la capitale haïtienne, attendent l'ordre d'attaquer les dernières enclaves de Port-au-Prince qui ne sont pas actuellement sous leur contrôle ». Il ne fait aucun doute, selon le journal, que « l'effort multinational pour mettre fin à la terreur des gangs est entravé par le gel de l'aide étrangère décrété par l'administration Trump ». Le Miami Herald rapporte que certains conseillers américains engagés pour aider la police nationale d'Haïti ont déjà été licenciés. Hier mardi (4 février 2025), « des conseillers de la police canadienne, qui font également partie de la mission de sécurité, ont quitté Port-au-Prince en raison des restrictions imposées par les États-Unis », selon le Miami Herald.Sur la situation sécuritaire à Kenscoff, nous vous proposons une interview avec le maire de la ville, Jean Massillon. Huit jours après l'attaque meurtrière, les autorités peinent à établir un bilan précis, comme l'a confirmé le maire de la ville, Jean Massillon, à notre correspondant à Port-au-Prince, Peterson Luxma.La presse réagit au plan de Donald Trump de prendre le contrôle de Gaza Le plan de Donald Trump de « prendre le contrôle de Gaza » suscite évidemment beaucoup de commentaires dans la presse nord-américaine. Pour le New York Times, c'est l'une des idées « les plus provocantes qu'un dirigeant américain ait avancées depuis des années ». Donald Trump a beau présenter son projet comme « un impératif humanitaire et une opportunité de développement économique », mais, d'après le quotidien, « il a en fait rouvert une boîte de Pandore géopolitique aux implications considérables pour le Moyen-Orient ».Le Washington Post titre de manière également provocatrice : « De la rivière à la mer, la Palestine cessera-t-elle d'exister ? » En tout cas, poursuit le journal, les électeurs qui ont boudé les urnes le savent désormais : les élections ont des conséquences ! Toujours d'après le Washington Post, Donald Trump a proposé « un plan d'une cruauté inouïe ». Le monde n'a toujours pas trouvé de solution pour les réfugiés palestiniens existants, rappelle le journal : « 1,5 million vivent dans des camps de réfugiés dans la région. Et maintenant, le président américain envisage de créer quelque 2 millions de réfugiés palestiniens supplémentaires. Ou peut-être 5 millions de plus, s'il prévoit également de les expulser de Cisjordanie. »À écouter aussiDonald Trump assure que les États-Unis vont «prendre le contrôle de la bande de Gaza» La vision impérialiste de Donald Trump Selon CNN, l'ancien magnat immobilier considère Gaza comme une opportunité immobilière, d'où ses remarques sur le « potentiel de la bande de Gaza qui pourrait devenir la Riviera du Moyen-Orient », a déclaré l'investisseur immobilier devenu président. CNN rappelle que l'envoyé spécial de Donald Trump au Moyen-Orient, Steve Witkoff, est également un promoteur immobilier. En tout cas, quelles que soient ses véritables intentions, force est de constater que Donald Trump est en train de « redessiner la carte du monde dans la tradition de l'impérialisme du XIXè siècle », écrit le New York Times. Il veut acheter le Groenland, annexer le Canada, récupérer le canal de Panama et, maintenant, il envisage de s'emparer d'une zone de guerre dévastée au Moyen-Orient.Le New York Times précise que le président américain était incapable de dire si une « autorité juridique pourrait permettre aux États-Unis d'affirmer unilatéralement leur contrôle sur le territoire de quelqu'un d'autre ou si l'expulsion forcée d'une population entière constitue une violation du droit international ». Sans oublier, ajoute le journal, qu'une telle opération nécessiterait certainement l'envoi de plusieurs milliers de soldats américains et risquerait de déclencher un conflit encore plus violent. Il s'agirait aussi d'un revirement stupéfiant pour un président qui s'était présenté aux élections en 2016 en promettant de retirer les États-Unis du Moyen-Orient. À lire aussiDonald Trump veut-il sérieusement rattacher le Groenland aux États-Unis? L'influence de la droite alternative dans la vie politique américaineL'influence croissante d'Elon Musk sur les institutions américaines suscite l'inquiétude des sénateurs démocrates, qui demandent une enquête sur son contrôle du système de paiement du Trésor. L'homme d'affaires libertarien a fait de sa fortune et de son réseau social un outil politique, multipliant les provocations et franchissant les lignes rouges, comme en témoigne son salut nazi lors de l'investiture de Donald Trump. Pierre Mourier, doctorant en Civilisation américaine à l'Université Lyon 2 nous explique dans une interview que cephénomène s'inscrit dans une mouvance politique radicale qui ne date pas d'hier, puisant ses racines dans l'évolution du Parti républicain et l'essor de la droite alternative, notamment à travers les réseaux sociaux.L'arrivée d'Elon Musk à la tête de X (ex-Twitter) a renforcé l'écosystème conservateur, qui utilise ces plateformes pour imposer son agenda. Inspirés par des personnalités comme Steve Bannon, ces courants d'extrême droite exploitent les médias numériques et les podcasts pour structurer leur discours et mobiliser leurs partisans, explique Pierre Mourrier. L'assaut du Capitole en janvier 2021 en est une illustration marquante, avec des groupes tels que les Proud Boys, dont plusieurs membres ont récemment été graciés par Donald Trump. Leur remobilisation semble inévitable, estime le spécialiste des États-Unis, malgré des revers judiciaires ayant affaibli leur organisation.Le salut nazi de Musk s'inscrit dans une stratégie de saturation médiatique, une tactique chère à Bannon qui vise à monopoliser l'attention et à faire avancer une idéologie en entretenant la polémique. Ce geste largement commenté montre comment ces personnalités manipulent l'espace médiatique pour imposer leur vision et influencer le débat public. Une stratégie qui vise, selon Pierre Mourrier, à accentuer la radicalisation du paysage politique américain. À lire aussiÉtats-Unis: le milliardaire Elon Musk déconcerte en prenant le pseudonyme de «Kekius Maximus»Journal de la 1ère La campagne sucrière débute lundi prochain (10 février 2025) en Guadeloupe.
L'an dernier, l'État belge a récolté plus de 8 milliards d'euros grâce au précompte mobilier, aux taxes sur les comptes titres et aux taxes boursières. Une hausse de 39% soit 2,4 milliards de plus qu'en 2023 : un record.Pandore, La trêve, Into the Night ou encore Knokke off. Les séries belges rayonnent en Belgique mais également à l'étranger. Des séries à l'image d'Ennemi Public que l'on retrouve même sur Netflix. On vous en dit plus sur ce phénomène.Il y a 5 ans, le Royaume-Uni quittait l'Union européenne. 5 ans après, les promesses liées au Brexit laissent place aux regrets. Selon un sondage réalisé par l'institut YouGov, plus d'un Britannique sur deux estime que quitter l'Union européenne a été une erreur. Restez à l'écoute !
65 -Evènementiel et culture du 27/1au 03/2/2025 (détails dans podcast) 30° Festival « Contes en hiver » du 31/1 au 18/2 conte-en-hiver | ligue65Le 31/1, soirée ouverture contes et légendes du Burkina Faso au Foyer rural d'Odos : 19h Ibrahim KABA et 21h15 François-Moïse BARBALe 1/02 à :- 10h30, médiathèque Rabastens de Bigorre, Stéphane HERNANDEZ, contes japonais- 15h, bibliothèque Sarraute Soues, François-Moïse BAMBA « Aux origines du monde »- 20h30, salle culturelle Adé, François-Moïse BAMBA « A l'école des ancêtres »Le 2/02, Abbaye de l'Escaladieu, Stéphane HERNANDEZ « Balade en kimono »« La Nuit des conservatoires »Le 31/1 à 20h, Auditorium Gabriel Fauré, spectacle poétique autour de la Nuit(Jeunes voix du Conservatoire, CM2 école Th. Gautier et classe de clarinetteConférences :« Aux sources de l'antisémitisme : les Juifs vus par les Grecs et les Romains » par Jean HAILLET le 30/1 à 18h au STAPS« Les couples dans l'art » par Marie DELAHAYE le 31/1 à 18h, Espace de la Gare Argelès-Gazost« La révolution de 1848 à Bagnères de Bigorre » par Jean COURTADET, salle multiculturelle Beaudéan« Les frelons asiatiques » par Annick BALERI le 1/02 à 9h45 , médiathèque Lourdes« La nature est-elle bien faite ? » par Patrick DUPOUEY le 3/02 à 14h30, Hôtel de Journet Vic en BigorreMusée de la Déportation et de la Résistance : lectures théâtralisées « Près de la voie ferrée » par la Cie Hipotengo le 29/1 à 18h30Saison culturelle Bagnères de Bigorre : « La Boîte de Pandore » le 31/1 à 20h30 à la Halle aux GrainsSaison culturelle Lourdes : « Arlequin poli par l'Amour » le 30/1 à 20h30, Espace Robert HosseinSPECTACLES Parvis : www.parvis.net« 20000 lieues sous les mers », « Soon », « Sur le chemin des glaces », « African Jazz Roots »La Gespe : « L'Air de Rien » le 28/1 à 20h30 au PariThéâtre des Nouveautés : « La vague » les 28,30 et 31/1 à 10h et 14h30CAC Séméac : « Un fil à la patte » le 31/1 à 20h30 et « Concert d'Harmonie » le 1/02 à 20h30ECLA Aureilhan : "L'Autre est moi" le 31/1 à 20h30 - Théâtre du MatinMaison du Savoir St Laurent de Neste : Rock Alternatif MARELL le 31/1 à 18h30 et ciné-concert « La volonté du mort » le 1/02 à 20h30Tiers-Lieu Amassa Lourdes : soirée stand-up le 31/1 à 20hMaison Parc National Luz St Sauveur : »En dessous » le 31/1 à 18h30Théâtre de la Gare Cauterets : concert Three Pieces of Trash le 31/1 à 18hSalle fêtes Lannemezan « The Hypnotiseur » Jean-Marc VIDAL le 31/1 à 20h30 (Rotary Club de Lannemezan)« Le cercle » Larreule : « Une enfance sous Franco » lecture en musique le 31/1 à 18hAlamzic- Bagnères: « Epiphanie du DAHO » le 1/02 à 19hEspace Claude Miqueu Vic en Bigorre : « Repas dans le noir aux saveurs corses » le 1/02 à 19hSalle fêtes Lesponne : « Soirée Pastet » le 1/02 à 20h (Association Milharis)Cinéma : Atelier cinéma UTL le 30/1 à 15h au Palais Lourdes, « Hors-piste, sensible et sauvage » le 30/1 à 20h30 Maintenon Bagnères, détail autres séances dans podcastExpositions (toutes les expositions dans podcast)Nouvelles : « Aux sommets »au Hang-Hart à Esquièze-Sère du 1/02 au 31/3« Cito X Libérer l'Enfer » au Pari du 28/1 au 15/2Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Trump honni hier, financé aujourd'hui : Apple, Google, Meta, OpenAI…, tous ces géants de la tech qui critiquaient Trump viennent de signer des chèques à sept chiffres pour financer son investiture. Hypocrisie ou stratégie ? Que cherchent-ils en retour ? Et surtout, Trump va-t-il les récompenser ou les trahir ? Plongeons dans les coulisses de ce jeu dangereux… Ce lundi 20 janvier, Donald Trump va entrer officiellement à la Maison-Blanche. La cérémonie s'annonce grandiose, hollywoodienne, gargantuesque et surtout très chère, deux fois plus chère que celle de ses prédécesseurs. Alors ce n'est pas un problème. Donald Trump a récolté plus de 200 millions de dollars pour son investiture. Alors non, évidemment, ce n'est pas lui qui paye, il est bien trop malin pour ça. Ce sont ses donateurs et pas n'importe lesquels. Parmi eux, Apple, Google, Meta, Openai la maison mère de Chatgpt et Amazon. Oui, vous avez bien entendu les mêmes géants de la tech qui, il y a encore quelques mois, le conspuait publiquement, se drapant dans une indignation vertueuse, les mêmes d'ailleurs qui dénonçaient ses positions climatosceptiques, son populisme économique et son mépris pour la Silicon Valley. Plus de limites financières au financement politique, résultat : on ne finance plus aujourd'hui un candidat aux Etats-Unis, on investit en lui. Et les investisseurs, c'est normal, voudront leur dû. Mais l'histoire est cruelle. Si les oligarques pensent qu'ils vont tranquillement dicter leur loi, ils devraient revoir leurs cours d'histoire… Mots-Clés : exemple, banni, assaut du Capitole, propriété, Jeff Bezos, quotidien, Washington Post, fer de lance, opposition, cadres, danger, mandat, président, soutien, investissement, politique américaine, philanthropie, capital-risque, retour sur investissement, jackpot, déréglementation massive, secteur respectif, chaos, Twitter, modérer les fake news, discours de haine, pression, Europe, réguler, réglementer, intelligence artificielle, financiers, Wall Street, carnet de chèques, promesse, secteur bancaire, déréglementé, parfum, Joseph Stiglitz, prix Nobel d'économie, crise financière, Joe Biden, campagne, démocratie, oligarchie, pays, milliardaire, multinationales, influence, décision, Cour suprême, boîte de Pandore, limites financières, financement, résultat, investisseurs, histoire, cruelle, Philippe le Bel, siècle, Templiers, brûler vifs, confisquer, richesses, Louis XIV, jaloux, splendeur, Nicolas Fouquet, emprisonner, château, Vaux le Vicomte, précautions, alliés, inutiles, caprice, tweet, basculer, contrat fédéral, enquête, monopole, décret imprévu, analyste, commentateur, vérifier, passeport, Sud-Africain, valable, just in case. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
Si vous aimez mon univers, sachez que je propose des réflexions personnelles sur les sujets abordés ici (à savoir l'amour, la nourriture, la sexualité…) dans une newsletter qui s'intitule La vie gourmande.Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Morgane Sézalory.Morgane est la fondatrice de Sézane, la première marque de mode française née en ligne.Dans cet épisode, Morgane raconte la manière dont elle a grandi aux côtés de Sézane, des débuts seule jusqu'à endosser aujourd'hui le double rôle de directrice générale et de directrice de la création d'une entreprise qui compte plus de 300 collaboratrices et collaborateurs à Paris.Elle détaille la mise en musique au quotidien de ce travail de cheffe d'orchestre à 360 degrés, la tête dans les étoiles de la créativité, les pieds bien ancrés dans la réalité opérationnelle, les yeux grands ouverts en direction de l'innovation et le cœur à la transmission.A travers les différents thèmes que nous abordons et qui touchent sa vie de femme, de cheffe d'entreprise, de mère et d'amoureuse, ce qui se dessine dans la parole – rare – de Morgane, c'est la liberté comme poumon de vie, la réinvention comme une respiration, le bon sens comme boussole, la joie comme un travail, des vêtements comme des maisons à bâtir et un art de vivre comme une composition ouverte à tous les possibles. Je vous propose à présent de Ressentir avec le libre arbitre et la gourmandise de vie de Morgane.La musique et l'illustration sonore sont de Pandore.Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Les gens. Deux mots simples… mais qui ouvrent la boîte de Pandore
Nous sommes le 8 mars 1951, à la prison de Sing-Sing, à cinquante kilomètres de New York. Il est 23h02, heure à laquelle est prévue l'exécution , sur la chaise électrique, de Raymond Fernandez, puni de la peine de mort pour le meurtre de une veuve de 66 ans. Avant l'instant final , le condamné confie : « Je suis prêt à mourir. Ce soir, je mourrai comme un homme ». Une vingtaine de minutes plus tard, un prêtre protestant accompagne, vers la même chaise, Martha Beck la complice de Fernandez. Quelques temps auparavant, elle avait déclaré « dans l'histoire du monde, combien de crimes sont dus à l'amour ». Martha Beck et Raymond Fernandez n'ont commis qu'un seul meurtres. Combien , On ne le sait pas exactement. On les appelait « les tueurs de la lune de miel ». Avec Benoit Amez « Les couples de tueurs en série les plus monstrueux », éd. La Boîte à Pandore. Sujets traités : New York, Amérique, tueurs, Raymond Fernandez, Janet Faye, chaise, électrique, Martha Beck , couple, crimes Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Une question? Une remarque? Autre chose? Venez et causons!Dans le discours des adeptes du panafricanisme, mouvement en pleine croissance, le christianisme doit être rejeté au même titre que les autres éléments apportés par les occidentaux avec la colonisation. Ils voient comme une boîte de Pandore "la Bible qui leur a été apportée d'Europe". Ironie du sort, les plus anciens extraits de la Bible ont été trouvé en Afrique, le premier baptisé non Israélite fut un noir d'Ethiopie (actuel Soudan) seulement quelques années après la Passion du Christ, l'une des toutes premières écoles théologiques a été fondée en Afrique... Ainsi, les faits permettent-ils de valider cette théorie qui veut que le christianisme soit la religion des blancs? Au Crible de l'Histoire fait le point.Pour préparer cet épisode: Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique;Josèphe Flavius, Antiquités Judaïques;Veyne Paul, Quand notre monde est devenu Chrétien. Les extraits sonores sont tirés: De l'émission La Foi prise au Mot de KTOTV, consacrée à Saint Augustin;Du film Irénée de Lyon, artisan de paix et d'unité, réalisé par Neuf Média; Du film Les actes des Apôtres, par Robert Fernandez; Des films Passion du Christ selon les évangiles de Luc et de Matthieu.Conception, production et réalisation: Maxime BAZILE https://twitter.com/BLMaxime?lang=frSupport the show
La situation au Proche-Orient est toujours suivie avec attention par les médias du continent et la Syrie, bien sûr, ne fait pas exception…« Syrie: les rebelles annoncent avoir renversé le président Bachar el-Assad », s'exclame WakatSéra à Ouagadougou.« Lâché par la Russie, offensive fulgurante des rebelles : ce qui a perdu Bachar el-Assad », titre WalfQuotidien à Dakar. Le quotidien sénégalais qui s'alarme : « la chute du régime de Bachar el-Assad, jadis présenté comme un “président réformateur“, mais qui est devenu un “autocrate sanguinaire“, plonge la Syrie dans le chaos, et met le Moyen-Orient au bord de l'implosion. Et pour cause, à peine le cessez-le feu décrété entre Israël et le Hezbollah libanais, la guerre s'est réveillée en Syrie. Le Proche-Orient risque ainsi de s'embraser à nouveau, là où l'on ne l'attendait pas ».Le site ivoirien Afrique sur 7 revient sur les raisons de cette chute : « la révolution de 2011, en parallèle du printemps arabe, n'a offert au peuple Syrien ni vainqueur ni vaincu mais une désolation totale. (…) À cela s'ajoute l'ampleur des sanctions économiques et l'isolement diplomatique imposées par la Communauté internationale. L'ancien président syrien était affaibli de l'intérieur et de l'extérieur. (Des années durant) des milliers de Syriens ont préféré quitter le pays, à la recherche de la paix loin des canons et des bombardements. C'est pour ces raisons que l'offensive lancée fin novembre par la coalition des rebelles a eu raison du régime de Bachar el-Assad ».Désormais, pointe Afrique sur 7, « il y a la peur de l'inconnu : on craint que la Syrie d'après Bachir el-Assad ne devienne l'Irak d'après Saddam Hussein ». « On croise les doigts… »« La sortie de l'histoire, par la fenêtre, de celui qu'on surnommait le boucher de Damas, rappelle la triste fin de certains chefs d'État africains », relève Le Pays au Burkina Faso. « Ces dirigeants qui ont fui leurs pays respectifs pour se réfugier à l'étranger. On se rappelle encore des cas de Mobutu de l'ex-Zaïre ou encore de Ben Ali de Tunisie, qui, finalement, sont morts, loin des leurs et dans des conditions peu enviables ».Et Le Pays de s'interroger également sur la suite des événements : « maintenant que Bachar el-Assad n'est plus aux affaires, soufflera-t-il un vent de liberté sur la Syrie ? Ou alors la tyrannie continuera-t-elle de prévaloir ? Malgré les assurances qu'il donne, on ne saurait donner le bon Dieu sans confession au leader des rebelles (…). S'il est vrai que Bachar el-Assad n'est pas à plaindre, on ne saurait applaudir de facto l'arrivée de radicaux au pouvoir ; tant ces derniers peuvent être capables de tout. Il faut même craindre que le cas syrien n'ouvre une boîte de Pandore avec tout ce que cela pourrait engendrer comme conséquences. On croise les doigts. Mais en attendant, pointe encore Le Pays, il faut que les grandes puissances, qui ont joué les pyromanes, mettent les bouchées doubles pour assurer le service-après-vente en Syrie, au risque de voir le pays devenir une déglingue, comme c'est le cas de la Lybie, où on ne sait plus qui fait quoi et pourquoi ».« Réjouissons-nous ! »Le Matin d'Algérie s'interroge également : « quelle sera la conséquence de tout ce désastre ? (…) Que sera le destin de la Syrie avec des rebelles victorieux qui se proclament de l'islamisme ? Entre les islamistes, la mosaïque confessionnelle et le morcellement territorial, l'héritage est lourd en Syrie, pointe le site algérien d'opposition. Le monde arabo-musulman en est responsable car pour la gloire et le pouvoir d'un tyran, il faut un peuple qui chante ses louanges, un système militaro-policier qui le protège et des corrompus qui n'ont aucun intérêt à sa chute ».En tout cas, conclut Le Matin d'Algérie : « pour le moment, le tyran est tombé, réjouissons-nous ».Et, pour le site Tunisie Numérique, « on verra bien si cette coalition de rebelles, nébuleuse d'islamistes radicaux et de combattants, est vraiment éprise de liberté et de démocratie. On verra comment tout cela s'emboitera, comment cette mayonnaise très improbable prendra. Ce ne sera pas simple et le succès n'est pas garanti, mais l'essentiel est ailleurs, pointe le site tunisien. Il est dans cette joie profonde, ces liesses populaires qui n'ont rien de factice, ce sentiment de libération nationale, ces prisons qui se vident, des détenus dont certains étaient là sans aucune justification depuis le sombre règne d'Hafez el-Assad. (…) Tout ça, c'est terminé… Enfin, il faut l'espérer ».
La situation au Proche-Orient est toujours suivie avec attention par les médias du continent et la Syrie, bien sûr, ne fait pas exception…« Syrie: les rebelles annoncent avoir renversé le président Bachar el-Assad », s'exclame WakatSéra à Ouagadougou.« Lâché par la Russie, offensive fulgurante des rebelles : ce qui a perdu Bachar el-Assad », titre WalfQuotidien à Dakar. Le quotidien sénégalais qui s'alarme : « la chute du régime de Bachar el-Assad, jadis présenté comme un “président réformateur“, mais qui est devenu un “autocrate sanguinaire“, plonge la Syrie dans le chaos, et met le Moyen-Orient au bord de l'implosion. Et pour cause, à peine le cessez-le feu décrété entre Israël et le Hezbollah libanais, la guerre s'est réveillée en Syrie. Le Proche-Orient risque ainsi de s'embraser à nouveau, là où l'on ne l'attendait pas ».Le site ivoirien Afrique sur 7 revient sur les raisons de cette chute : « la révolution de 2011, en parallèle du printemps arabe, n'a offert au peuple Syrien ni vainqueur ni vaincu mais une désolation totale. (…) À cela s'ajoute l'ampleur des sanctions économiques et l'isolement diplomatique imposées par la Communauté internationale. L'ancien président syrien était affaibli de l'intérieur et de l'extérieur. (Des années durant) des milliers de Syriens ont préféré quitter le pays, à la recherche de la paix loin des canons et des bombardements. C'est pour ces raisons que l'offensive lancée fin novembre par la coalition des rebelles a eu raison du régime de Bachar el-Assad ».Désormais, pointe Afrique sur 7, « il y a la peur de l'inconnu : on craint que la Syrie d'après Bachir el-Assad ne devienne l'Irak d'après Saddam Hussein ». « On croise les doigts… »« La sortie de l'histoire, par la fenêtre, de celui qu'on surnommait le boucher de Damas, rappelle la triste fin de certains chefs d'État africains », relève Le Pays au Burkina Faso. « Ces dirigeants qui ont fui leurs pays respectifs pour se réfugier à l'étranger. On se rappelle encore des cas de Mobutu de l'ex-Zaïre ou encore de Ben Ali de Tunisie, qui, finalement, sont morts, loin des leurs et dans des conditions peu enviables ».Et Le Pays de s'interroger également sur la suite des événements : « maintenant que Bachar el-Assad n'est plus aux affaires, soufflera-t-il un vent de liberté sur la Syrie ? Ou alors la tyrannie continuera-t-elle de prévaloir ? Malgré les assurances qu'il donne, on ne saurait donner le bon Dieu sans confession au leader des rebelles (…). S'il est vrai que Bachar el-Assad n'est pas à plaindre, on ne saurait applaudir de facto l'arrivée de radicaux au pouvoir ; tant ces derniers peuvent être capables de tout. Il faut même craindre que le cas syrien n'ouvre une boîte de Pandore avec tout ce que cela pourrait engendrer comme conséquences. On croise les doigts. Mais en attendant, pointe encore Le Pays, il faut que les grandes puissances, qui ont joué les pyromanes, mettent les bouchées doubles pour assurer le service-après-vente en Syrie, au risque de voir le pays devenir une déglingue, comme c'est le cas de la Lybie, où on ne sait plus qui fait quoi et pourquoi ».« Réjouissons-nous ! »Le Matin d'Algérie s'interroge également : « quelle sera la conséquence de tout ce désastre ? (…) Que sera le destin de la Syrie avec des rebelles victorieux qui se proclament de l'islamisme ? Entre les islamistes, la mosaïque confessionnelle et le morcellement territorial, l'héritage est lourd en Syrie, pointe le site algérien d'opposition. Le monde arabo-musulman en est responsable car pour la gloire et le pouvoir d'un tyran, il faut un peuple qui chante ses louanges, un système militaro-policier qui le protège et des corrompus qui n'ont aucun intérêt à sa chute ».En tout cas, conclut Le Matin d'Algérie : « pour le moment, le tyran est tombé, réjouissons-nous ».Et, pour le site Tunisie Numérique, « on verra bien si cette coalition de rebelles, nébuleuse d'islamistes radicaux et de combattants, est vraiment éprise de liberté et de démocratie. On verra comment tout cela s'emboitera, comment cette mayonnaise très improbable prendra. Ce ne sera pas simple et le succès n'est pas garanti, mais l'essentiel est ailleurs, pointe le site tunisien. Il est dans cette joie profonde, ces liesses populaires qui n'ont rien de factice, ce sentiment de libération nationale, ces prisons qui se vident, des détenus dont certains étaient là sans aucune justification depuis le sombre règne d'Hafez el-Assad. (…) Tout ça, c'est terminé… Enfin, il faut l'espérer ».
Chronique avec Anatole de l'atelier Pandore pour parler de l'histoire de la profession d'archéologue. Réalisé en direct sur RBS le 03/12/24 avec Pierre Liermann
// Résumé de l'épisode : Dans cette deuxième partie, Brahim explore les profondeurs des conséquences d'une infidélité dans le couple : impact émotionnel, étapes de gestion de sentiments ambivalents et cheminement vers un éventuel pardonUn épisode intense et transparent, à écouter loin des oreilles sensibles, pour comprendre, se réparer et In chaa Allah avancer. ✉ Pour vous abonner à ma newsletter (pas de spoil juste des conseils et des réflexions sur le mariage, l'amour et le célibat et des bons plans… évidemment !) : https://m-guisse.systeme.io/aebee274✍️ Pour me contacter : madina@halallove.fr Dans la seconde partie de cet épisode, Brahim et moi ouvrons une boite de Pandore qui recèle un grand trésor. Celui de découvrir enfin ce qui se joue au sein d'un couple foudroyé par une infidélité avérée.Durant cette conversation Brahim nous précise les conséquences émotionnelles, physiques et sur le long terme d'une infidélité en tant que tel.Il partage également avec nous les différentes étapes de la gestion d'une telle trahison, comment gérer le flot d'émotions et le temps moyen à envisager avant d'éventuellement pardonner.On lève également le voile sur différents tabous :- Les jugements acérés des proches lorsque l'on décide de rester- La possibilité de s'aimer encore plus fort après s'être tant malmenés- Le travail colossal que cela nécessite de se reconstruire après avoir connu le pireC'est un épisode riche en réflexion, mais également en transparence notamment sur la fin de l'épisode que je vous invite à écouter à l'abri des oreilles d'un public trop jeune (je pense notamment à vos enfants).J'espère que ce voyage en terre inconnu pour beaucoup d'entre nous vous aura plu, mais surtout qu'il nous aidera à moins juger et à tout donner pour ne jamais avoir à traverser une épreuve d'une grande difficulté.Sans plus tarder, je vous laisse en compagnie de mon invité et vous souhaite In chaa Allah une excellente écoute ! Pour contacter Brahim Taghbalout c'est ICIHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Son histoire sur scène commence tôt puisque dès l'école primaire, elle se met au théâtre. Pour elle c'est une révélation et un lieu où exister. Quelques années d'études plus tard, dans le commercial pour rassurer ses parents et en parrallèle aux conservatoires de Bruxelles et de Paris, elle foule les scènes de théâtre régulièrement et apparait de plus en plus en télévision et au cinéma en France et en Belgique. Elle a tourné avec Jacques Doillon, Alain Berliner, Jean Pierre Mocky, Chantal Ackerman, Lucas Belvaux, Joachim Lafosse, Olivier Masset Depasse… On la retrouve dans la peau de Claire Delval, juge et avocate dans la série Pandore. Son rôle dans cette série belge va au-delà de sa présence à l'écran puisqu'elle a coécrit les deux saisons de Pandore avec Vania Leturcq et Savina Dellicour. Anne Coesens, plutôt réservée hors des plateaux, se confie à travers les mots des petits papiers pour parler de ce que le jeu lui apporte, de sa façon d'exprimer ses révoltes, sa joie de co-écrire Pandore, de la place des femmes, de ses choix de carrière et du trac qui augmente avec l'âge. Merci pour votre écoute Les petits Papiers c'est également en direct tous les dimanches de 17h à 18h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes des petits Papiers sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/2332 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Son histoire sur scène commence tôt puisque dès l'école primaire, elle se met au théâtre. Pour elle c'est une révélation et un lieu où exister. Quelques années d'études plus tard, dans le commercial pour rassurer ses parents et en parrallèle aux conservatoires de Bruxelles et de Paris, elle foule les scènes de théâtre régulièrement et apparait de plus en plus en télévision et au cinéma en France et en Belgique. Elle a tourné avec Jacques Doillon, Alain Berliner, Jean Pierre Mocky, Chantal Ackerman, Lucas Belvaux, Joachim Lafosse, Olivier Masset Depasse… On la retrouve dans la peau de Claire Delval, juge et avocate dans la série Pandore. Son rôle dans cette série belge va au-delà de sa présence à l'écran puisqu'elle a coécrit les deux saisons de Pandore avec Vania Leturcq et Savina Dellicour. Anne Coesens, plutôt réservée hors des plateaux, se confie à travers les mots des petits papiers pour parler de ce que le jeu lui apporte, de sa façon d'exprimer ses révoltes, sa joie de co-écrire Pandore, de la place des femmes, de ses choix de carrière et du trac qui augmente avec l'âge. Merci pour votre écoute Les petits Papiers c'est également en direct tous les dimanches de 17h à 18h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes des petits Papiers sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/2332 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Son histoire sur scène commence tôt puisque dès l'école primaire, elle se met au théâtre. Pour elle c'est une révélation et un lieu où exister. Quelques années d'études plus tard, dans le commercial pour rassurer ses parents et en parrallèle aux conservatoires de Bruxelles et de Paris, elle foule les scènes de théâtre régulièrement et apparait de plus en plus en télévision et au cinéma en France et en Belgique. Elle a tourné avec Jacques Doillon, Alain Berliner, Jean Pierre Mocky, Chantal Ackerman, Lucas Belvaux, Joachim Lafosse, Olivier Masset Depasse… On la retrouve dans la peau de Claire Delval, juge et avocate dans la série Pandore. Son rôle dans cette série belge va au-delà de sa présence à l'écran puisqu'elle a coécrit les deux saisons de Pandore avec Vania Leturcq et Savina Dellicour. Anne Coesens, plutôt réservée hors des plateaux, se confie à travers les mots des petits papiers pour parler de ce que le jeu lui apporte, de sa façon d'exprimer ses révoltes, sa joie de co-écrire Pandore, de la place des femmes, de ses choix de carrière et du trac qui augmente avec l'âge. Merci pour votre écoute Les petits Papiers c'est également en direct tous les dimanches de 17h à 18h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes des petits Papiers sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/2332 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Avec un taux de fécondité de 1,17 enfant par femme, le Chili se classe parmi les pays les moins féconds du monde. En dix ans, le nombre de naissances sur le sol chilien a baissé de près d'un tiers, conséquence de l'autonomie grandissante des Chiliennes, pour qui être femme n'est plus obligatoirement synonyme d'être mère. Dans son dossier Amériques, notre correspondante à Santiago, Naïla Derroisné, relate les mouvements de fond qui ont mené à cette petite révolution de la natalité chilienne : autonomie reproductive, meilleur accès des femmes à l'éducation et au monde du travail, perception plus moderne de la famille et baisse massive des grossesses juvéniles.Extrait du témoignage de Florencia, rencontrée devant l'Université du Chili : « Moi, je respecte complètement la décision de ne pas être mère, parce que je crois qu'il y a bien plus de raisons de ne pas vouloir d'enfants plutôt que d'en vouloir. Je pense qu'une femme ne peut pas complètement se réaliser une fois qu'elle devient mère. Elle est reléguée socialement, que ce soit dans ses études, dans sa carrière ou même dans son rôle dans la société. Et je crois que la pression pour devenir mère, elle vient des générations précédentes. Car il y a cette conception que la femme naît pour être mère. Elle naît pour prendre soin des autres. Elle naît pour rester à la maison. »Les Chiliennes veulent étudier, développer leur carrière professionnelle, et sont très conscientes de la vulnérabilité de leurs aînées, qui n'avaient pas accès à l'enseignement supérieur, souligne Martina Yopo Diaz, sociologue à l'Université de Cambridge et professeure à l'Université Catholique du Chili : « Il y a un facteur en particulier qui a participé à l'émancipation des Chiliennes face à l'injonction de la maternité. Après le retour de la démocratie, dans les années 1990, le taux de participation des femmes a fortement augmenté dans l'enseignement supérieur. Et aujourd'hui, « être une femme » ce n'est plus nécessairement « être une mère ». Les femmes ont d'autres aspirations. Dans le passé, les Chiliennes n'étaient pas indépendantes financièrement et n'avaient pas fait d'études qui leur permettent d'accéder à cette indépendance. »Reportage de Naïla Derroisné à écouter dans son intégralité dans l'émission du jour. Haïti toujours sur le pied de guerreInauguration hier (18 novembre 2024) d'une nouvelle base militaire dans le district de Port-au-Prince, la base Vertières, pensée comme un symbole du renforcement des Forces armées d'Haïti. En théorie, 2 000 nouveaux soldats doivent s'y installer, avec des infrastructures modernisées, capables, par exemple, d'accueillir et d'entretenir plusieurs hélicoptères.L'évènement s'est tenu en grande pompe en présence des plus hauts représentants de l'État (Conseil présidentiel de transition, Premier ministre, chef de la police) et le n°1 de l'armée haïtienne, le lieutenant-général Derby Guerrier, a sauté sur l'occasion pour réclamer davantage de moyens afin de lutter contre les groupes armés : « Nous devons nous atteler à mettre de côté nos rancœurs et nos intérêts pour nous mettre au service de la patrie bien-aimée. Excellences, a-t-il lancé aux responsables politiques présents dans l'assistance, permettez que l'armée qui souffre dans sa chair comme dans son âme, réclame de vous les moyens nécessaires lui permettant, à côté de notre police, de récupérer les zones de non-droit et de garantir la tranquillité et la paix pour les fils de notre Nation. »Ironie de l'histoire, relate Echo Haïti News, cette cérémonie solennelle a dû s'interrompre après des tirs sporadiques entendus aux abords de la nouvelle base, près de l'aéroport international de Port-au-Prince. Évacuation précipitée des invités qui a, conclut le média en ligne, « jeté une ombre sur cette journée historique ». La galère des Haïtiens de l'étrangerOn a beaucoup parlé des discours de Donald Trump pendant sa campagne, mais tout n'est pas rose de l'autre côté du miroir. Dans le Boston Globe, reportage à lire au Chili, un pays que les communautés haïtiennes ont longtemps considéré comme un refuge, par la grâce de sa politique migratoire bienveillante et de son économie prospère. Chiffre stupéfiant cité par le Boston Globe, entre 2012 et 2020, le nombre d'Haïtiens au Chili est passé de 2 000 à plus de 182 000. Et sont arrivés en parallèle des ressortissants vénézuéliens, péruviens et boliviens. On y lit dans la bouche d'un sénateur chilien que « le pays n'était pas prêt à ça », qu'il n'y a pas d'emploi, que les immigrants haïtiens se retrouvent marginalisés, réduits aux petits boulots de vendeurs de rue, chassés par la police et logés dans des camps de fortune. Et pour conclure, qu'entre relents de racisme et pression politique, le Chili d'avant n'est plus comme avant. Nominations Trump, la valse continue à WashingtonLa liste des nommés s'allonge, les polémiques aussi. Deux piliers de l'administration Trump sont pointés du doigt dans des affaires de mœurs : Matt Gaetz, le futur patron de la justice américaine, accusé de relations sexuelles avec une mineure et Pete Hegseth, nommé à la Défense. Ce dernier reconnaît s'être fendu d'un gros chèque pour acheter le silence d'une femme qui avait porté plainte contre lui.Gaetz et Hegseth restent présumés innocents et nient toute infraction pénale. Mais vont-ils survivre à la vague #metoo aussi facilement que Trump lui a survécu ? C'est ce que se demande le Boston Globe. Et la réponse est dans la question, écrit Joan Vennochi dans sa tribune, « l'époque où les hommes étaient enfin tenus responsables de leurs transgressions sexuelles a déjà l'air si vieux et si loin, c'est presque un mirage » lorsque l'on sait que la majorité des femmes blanches a voté pour lui.Sombres prédictions qui semblent se confirmer puisque la Chambre des représentants ne veut rien rendre public de l'affaire impliquant Matt Gaetz, qui doit prendre le portefeuille de la Justice. On sait que le comité d'éthique de la Chambre a pondu un rapport sur ses agissements, on ne sait pas exactement ce qu'il y a dedans, mais on sait qu'il y est question de sexe, de drogue et de cadeaux à ses proches. On sait aussi que ce n'est pas près de sortir, puisque Mike Johnson, le speaker républicain, ne veut pas selon ses mots, « ouvrir la boîte de Pandore ». Ruth Marcus dans le Washington Post y voit un positionnement d'une « faiblesse pathétique », d'autant plus que Matt Gaetz a visiblement fait des pieds et des mains pour retarder la procédure. Et a démissionné le plus vite possible, le jour même de sa nomination à la Justice, sachant très bien que le comité d'éthique ne publierait rien s'il n'était plus membre de la Chambre. Le Post rappelle qu'avant de prendre ses fonctions, Gaetz va pourtant devoir être auditionné par le Sénat, l'autre chambre du Congrès, qui va le passer à la moulinette. Comment les sénateurs peuvent-ils se prononcer si l'enquête de la Chambre ne sort pas ? « Le Sénat n'aura qu'une seule option, refuser de confirmer la nomination de Matt Gaetz, ce qu'il devrait faire dans tous les cas ». Au Venezuela, le spectre de la catastrophe monétaireDepuis des années, les Vénézuéliens ont connu l'hyperinflation – jusqu'à 130 000% - et les dévaluations successives de la monnaie officielle, le bolivar. Rare parenthèse : le cours du bolivar était resté stable depuis la fin de l'année 2023, 36 bolivars pour un dollar. Mais ces derniers mois, depuis le scrutin présidentiel, il s'est remis à baisser. Il faut compter cette semaine 45 bolivars pour un dollar sur le marché officiel. Et il en va de même sur le marché parallèle, celui du dollar, où son prix augmente de façon exponentielle (53 bolivars pour un dollar). Le pays vit actuellement avec les deux monnaies, on achète et on paie en bolivars ou en dollars. Et le spectre des catastrophes monétaires passées pèse encore et toujours sur le Venezuela, rapporte notre correspondante à Caracas, Alice Campaignolle. Reportage à écouter dans son intégralité dans l'édition du jour. L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreUne épidémie de dengue se propage en ce moment en Guadeloupe.
En Haïti, crise ouverte entre le gouvernement et le Conseil présidentiel de transition. Ce mercredi 16 octobre 2024, Leslie Voltaire, le président du Conseil, a écrit officiellement au Premier ministre Garry Conille pour opérer, ensemble, un remaniement ministériel. La crise est inédite, explique Frantz Duval, le rédacteur en chef du Nouvelliste. Quelques heures avant la lettre de Leslie Voltaire, le Conseil des ministres s'était réuni et avait adopté une résolution pour apporter leur soutien à la ministre des Affaires étrangères – car le président Voltaire « ne le cache pas, il veut sa tête », alors que « le Premier ministre Conille ne le cache pas non plus, il veut garder son ministre des Affaires étrangères ». Selon la Constitution haïtienne, seul le Parlement peut renvoyer un ministre, sauf entente entre le président et le Premier ministre. Or, il n'y a ni entente ni Parlement, d'où ce blocage complet. Kamala Harris sur Fox NewsKamala Harris est sous pression, écrit leWashington Post, pour élargir son audience aux Républicains et aux conservateurs alors que la présidentielle approche. D'où cette interview sur Fox News, une chaîne qui soutient Donald Trump. Et l'entretien fut animée : « Elle était venue pour une interview, elle a eu un débat », titre le New York Times. Le quotidien remarque que l'interviewer, Bret Baier, a, à plusieurs reprises, insisté sur les thèmes qu'utilise Donald Trump pour attaquer la vice-présidente, comme l'immigration. Mais il n'a pas laissé la possibilité aux téléspectateurs de Fox, « que cela intéressait certainement », d'entendre les réponses de la candidate puisque, écrit USA Today, il lui a constamment coupé la parole. Pour le quotidien conservateur Washington Times, c'est au contraire Kamala Harris qui a « à plusieurs reprises éludé les questions, passant souvent à des attaques virulentes contre Donald Trump ».Quoi qu'il en soit,USA Today estime qu'en décidant d'aller sur Fox News, la candidate a montré qu'elle était « nettement plus courageuse que Donald Trump », qui a, lui, annulé une interview sur CBNBC, préférant faire des interviews comme celle du mercredi sur la Fox, où « de gentilles questions » lui ont été posées devant un public de supporters. 38 ans de prison pour l'ancien chef de la lutte contre la drogue au MexiqueGenaro García Luna a été condamné à New York, aux États-Unis, à 38 ans de prison et une amende de deux millions de dollars pour trafic de drogue, crime organisé et mensonge aux autorités américaines, détaille La Razon. Excelsior affirme que « Genaro García Luna est un miroir dans lequel le pays peut se regarder et voir le reflet de ses institutions ». La Razon insiste sur le fait que « la justice des États-Unis a trouvé le moyen déclarer quelqu'un coupable en se basant sur les témoignages de criminels ». Des témoignages toujours importants pour avancer dans les enquêtes, mais qui doivent s'accompagner de preuves matérielles. Or, dans le cas de Genaro García Luna, il n'y en a aucun, insiste Excelsior, qui voit dans ce procès l'ouverture de la boîte de Pandore : il en annonce de nombreux autres menés de la même manière. Milenio se demande d'ailleurs quel policier, quel procureur, quel militaire souhaitera collaborer avec les institutions américaines après les arrestations et jugements de responsables mexicains aux États-Unis ces dernières années Canada : Justin Trudeau auditionnéAu Canada, le Premier ministre était auditionné ce mercredi (16 octobre 2024) par le comité d'enquête sur l'influence étrangère à propos des révélations ayant mené à l'expulsion de six diplomates indiens. Il accuse le gouvernement de New Delhi d'être impliqué dans l'assassinat du militant sikh Hardeep Sing Nijjar. Justin Trudeau persiste et signe : « Des diplomates recueillaient des informations sur des opposants ou du moins des gens en désaccord avec le gouvernement Modi. Des renseignements ensuite transmis au plus haut niveau du gouvernement indien, qui à son tour les donnaient à des gangs pour commettre des actes de violence contre des Canadiens au pays. » Maïka Sondarjee, une professeure en Relations internationales interrogée par la correspondante de RFI Pascale Guéricolas, estime que cette défense vigoureuse des sikhs est peut-être un calcul électoral : « dans le cabinet des ministres de Monsieur Trudeau, il y a toujours eu au moins un ministre d'origine sikh. Pour le Parti libéral du Canada, le groupe d'électeurs sikhs est très important. » Au Brésil, un racisme systémique sur les réseaux sociauxLe racisme systémique qui règne au Brésil, selon Amnesty international, est aussi présent sur les réseaux sociaux. Ce « racisme algorithmique » n'est pas facile à chiffrer mais il est bien réel, explique la correspondante de RFI Sarah Cozzolino, qui a joint l'influenceuse Monique Correa. Monique Correa est noire, et elle a posté des femmes blondes sur Instagram pour tester l'algorithme. Ses chiffres ont alors augmenté, « comme par magie. » Elle accuse la plateforme de moins distribuer son contenu à ses abonnés en raison de sa couleur de peau. Et raconte : « les marques ont commencé à me bloquer à cause de mes prises de position. Elles ne m'ont plus contactée, car j'étais vue comme ‘la Noire en colère', j'étais considérée comme trop militante, quelqu'un qui parle trop, qui pose problème. J'ai dû rentrer dans le moule, parce que ça affectait trop mon travail et mes revenus. » En Argentine, manifestations pour l'université publiqueEn Argentine, les étudiants d'universités publiques ont organisé ce mercredi, avec leurs professeurs, des cours dans les rues, avant une marche aux flambeaux dans la soirée. Ils protestent contre les coupes budgétaires, et on peut voir, en Une de El Dia, une foule qui, en long cortège, défile dans une rue de Buenos Aires : « Le feu des bougies illuminait les visages des étudiants et des employés qui tenaient un grand drapeau argentin sur lequel on pouvait lire : ‘Unité pour l'éducation publique' », raconte Pagina 12. Cette marche aux flambeaux, c'était « une des mesures du plan de lutte visant à récupérer les salaires des enseignants et des non-enseignants et à exiger davantage de fonds dans le budget 2025 ». Il s'agissait aussi de protester contre les violences : dans l'université de Quilmes, un groupe de provocateurs libertariens (comme Javier Milei) a attaqué une assemblée d'étudiants et d'enseignants avec du gaz poivré, une violence, estime Pagina 12, « amplifiée par les insultes du président Milei ». Le journal de La PremièreEn Martinique, signature mercredi soir d'un accord sur une baisse des prix, qui n'a pas changé grand-chose à la position des uns des autres : pour l'État, la Collectivité Territoriale et la grande distribution, c'est « historique » ; pour le mouvement à l'origine de la contestation, c'est… nul et non avenu.
L'expression "boîte de Pandore" désigne une action ou une décision qui semble insignifiante mais qui entraîne une série de problèmes ou de malheurs. Mais, son origine repose sur une jarre, et non une boite ! Dans la mythologie grecque, l'objet contenant les maux de l'humanité que Pandore ouvre est bien une jarre. Cet objet est décrit comme un grand vase appelé "pithos" en grec ancien, un mot qui se réfère à une jarre en terre cuite utilisée pour stocker des denrées comme le vin, l'huile, ou le grain. Dans le mythe, cette jarre contient des maux que Pandore libère en l'ouvrant, laissant seulement l'espoir à l'intérieur. Pourquoi "boîte de Pandore" ?L'erreur de traduction qui a transformé la « jarre » de Pandore en « boîte » remonte à la Renaissance, lorsqu'un des premiers traducteurs du mythe, Érasme de Rotterdam, a traduit les œuvres d'Hésiode, poète grec qui raconte cette histoire dans sa Théogonie. Érasme, travaillant avec des versions du texte en latin, a utilisé le mot latin "pyxis" (qui désigne une boîte) pour traduire pithos, un choix peut-être fait par erreur ou peut-être parce que les jarres de ce type étaient moins courantes en Europe du Nord à cette époque. Cette mauvaise traduction s'est ensuite répandue dans les versions successives de l'histoire et est devenue la forme canonique. Depuis, le terme "boîte de Pandore" a été largement popularisé dans la culture occidentale, et il est resté ainsi même dans les œuvres littéraires et artistiques. Symbolique du terme "boîte"Le terme "boîte" pourrait aussi avoir pris racine, car il évoque l'idée d'un petit récipient, facile à ouvrir, qui renferme des éléments cachés. Une boîte symbolise quelque chose de fermé, de mystérieux, et qui peut être délibérément ouvert pour libérer ce qu'elle contient. Cette connotation mystérieuse correspond à l'idée de la "boîte de Pandore" comme un objet qui, une fois ouvert, révèle des conséquences inattendues et souvent désastreuses. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Morgane Sézalory. Morgane est la fondatrice de Sézane, la première marque de mode française née en ligne. Dans cet épisode, Morgane raconte la manière dont elle a grandi aux côtés de Sézane, des débuts seule jusqu'à endosser aujourd'hui le double rôle de directrice générale et de directrice de la création d'une entreprise qui compte plus de 300 collaboratrices et collaborateurs à Paris. Elle détaille la mise en musique au quotidien de ce travail de cheffe d'orchestre à 360 degrés, la tête dans les étoiles de la créativité, les pieds bien ancrés dans la réalité opérationnelle, les yeux grands ouverts en direction de l'innovation et le cœur à la transmission. A travers les différents thèmes que nous abordons et qui touchent sa vie de femme, de cheffe d'entreprise, de mère et d'amoureuse, ce qui se dessine dans la parole – rare – de Morgane, c'est la liberté comme poumon de vie, la réinvention comme une respiration, le bon sens comme boussole, la joie comme un travail, des vêtements comme des maisons à bâtir et un art de vivre comme une composition ouverte à tous les possibles. Je vous propose à présent de Ressentir avec le libre arbitre et la gourmandise de vie de Morgane. La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Marie Robert. Marie est auteure, professeure de philosophie, et directrice d'écoles Montessori. Vous la connaissez peut-être sous le nom @philosophyissexy, à travers lequel elle diffuse de la philosophie dans nos quotidiens à travers son compte Instagram, son podcast, sa newsletter, ses cours et ateliers en ligne, ainsi que ses interventions en entreprise. Dans cet épisode, Marie explique son besoin inouï de transmission, qui est le fil conducteur entre toutes ses activités, mais également son besoin de discipline, conçue comme une hygiène mentale. Elle évoque aussi la manière dont elle appréhende sa place au sein du monde de la philosophie, les questions de reconnaissance et de confiance en soi, ainsi que l'importance du récit que l'on fait de soi-même. Mais avec Marie, nous avons aussi discuté de l'enjeu majeur de réussir à maintenir sa concentration, de l'écrit comme canal d'expression le plus juste de ses émotions, des bénéfices du sport au service de la créativité et d'amour dans tout, au-dessus de tout, comme une manière de toucher à l'éternité. Je vous propose à présent de Ressentir avec la précision et la douceur de Marie. La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Marion Graux. Marion est potière. Dans cet épisode, elle explique en quoi son métier est une manière pour elle de participer à l'acte de manger mais aussi de contenir ses débordements, de se cadrer. Elle évoque son rapport à la nourriture, de l'abondance en héritage familial à une obsession pour le bien manger, ainsi que la manière dont elle choisit d'en transmettre les valeurs à ses enfants. Marion raconte également les contours de son quotidien à l'atelier, la répétitivité et le côté physique qu'elle chérit tant, ainsi que les émotions qui sont contenues dans les pièces qu'elle crée et qui traduisent les différentes facettes de la large gamme émotionnelle au sein de laquelle elle navigue. Mais avec Marion, nous avons aussi discuté de sa timidité, de sa conversion au judaïsme et des motivations et enjeux de son déménagement imminent en Bretagne. Je vous propose à présent de Ressentir dans toutes les couleurs de Marion. Cet épisode est soutenu par Propulse by CA, le compte pro 100% en ligne du Crédit Agricole. Vous pourrez profiter dès maintenant d'1 mois d'essai gratuit et commencer à « Ressentir » le soulagement d'être aidé à réussir en suivant le lien suivant : https://bit.ly/3V6IID4 La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Macron crie au loup et veut faire peur aux Français pour qu'ils ne votent pas pour le RN de Marine Le Pen. Mais pour l'heure, les Français n'ont pas peur du loup mais du berger. La boîte de Pandore est ouverte et les marchés financiers commencent à se méfier de la dette française. En tant que Belge, ce qui se passe en ce moment en France ne peut pas nous laisser indifférents. Pas seulement parce que la France est le principal pays de nos vacances, pas seulement parce que nous partageons la même langue et la même culture, mais également pour des raisons économiques. La France est extrêmement influente en Belgique au travers de ses entreprises, que ce soit BNP Paribas, Engie ou tant d'autres, mais aussi du fait que la France est un client et un fournisseur très important pour la Belgique. Et que c'est la deuxième économie de la zone euro après l'Allemagne, et que si elle devait déraper sur le plan économique, nous en payerons aussi le prix. Et en cette fin de semaine, on peut déjà faire plusieurs remarques. La première, c'est que personne encore aujourd'hui n'a compris pourquoi Emmanuel Macron a dissous l'Assemblée nationale et décidé d'organiser des élections législatives à quinze jours de l'ouverture des Jeux olympiques. C'est un choix sidérant, comme le faisait remarquer la journaliste politique Catherine Nay. L'autre constat, c'est que Macron a voulu ensuite secouer ses compatriotes et leur faire peur en criant au loup. Et le loup, évidemment, ce sont les autres partis et en particulier le RN, le Rassemblement National. Pour lui, si le RN applique son programme, une crise de la dette publique aura lieu à un autre moment. Les taux d'intérêt augmentent et les marchés s'affolent, les partenaires de la France s'inquiètent, le crédit risque de devenir plus cher et que les salariés, les retraités, les épargnants vont s'appauvrir… Mots-Clés : créer, dissolution à la japonaise, mort politique, déshonneur, hara-kiri, française, expression, Bruno Le Maire, ministre des finances, pouvoir, signature, péril, marchés financiers, peur, résultat, instant, sondage, interposés, formule, secteur bancaire, secoué, Bourse de Paris, taux d'intérêt, écart, cancre, vrai, important, investisseurs étrangers, fonds de pension, anglo saxons, souverain, chinois, émirs du pétrole, plausible, concitoyens, jachère, tas, sujets, leçon d'économie, gauche, droite radicale, quotidien, Figaro, roi, déficits budgétaires, 5e République, stratégie, résumer, chaos, tort, raison, moyens financiers, chaos, certitude, réponse, adéquat, colère, peuple, découvrir, tard. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment : www.rtbf.be/classic21 Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Chloé Bouscatel. Chloé est la co-fondatrice de Monday Sports Club, un groupe comprenant trois concepts sportifs – dynamo, dont je parle souvent ici, Punch et RIISE – qui prônent tous une expérience immersive basée sur le plaisir et le dépassement. Dans cet épisode, Chloé raconte sa découverte des « boutique fitness studios » pendant ses études à Londres et le lancement de Punch avec son mari, dans un premier temps en parallèle de son job chez l'Oréal, en travaillant soirs et weekends. Elle décrypte les contours de ce nouveau visage qu'ils œuvrent à donner au sport, décorrélé de la notion de performance et de l'objectif de perdre de kilos au profit d'une expérience joyeuse et inspirante, avec le bien-être mental en ligne de mire. Chloé explique également l'évolution de son quotidien d'entrepreneure depuis ses débuts jusqu'à la consolidation du groupe Monday Sports Club, qui comprend aujourd'hui 16 studios à Paris et en région. Elle évoque enfin la manière dont elle a géré ses deux grossesses et notamment la question de prendre – ou non – un congé maternité. Je vous propose à présent de Ressentir avec le feu sous la carapace de Chloé. Merci à Aime d'être le soutien de Ressentir. 20% de réduction valable du 14/06/2024 au 15/07/2024 sur votre commande dès 30€ d'achat sur aime.co uniquement, sur indication du code promotionnel RESSENTIR. Hors réservation de soin au Glow Studio. Non cumulable avec d'autres offres promotionnelles. Sans indication du code dans le champ code promotionnel de votre panier, la réduction ne sera pas appliquée. La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Cet été, on vous propose de re-découvrir cet épisode qui aborde le courage de dire les choses, une émotion qu'on rencontre quotidiennement au travail. Bonne émission et bon été ! Nous sommes tous.tes confrontées à des situations, insignifiantes ou dramatiques, où on a les mots au bord des lèvres et on n'arrive pas à les sortir. Dire à un·e ami·e que sa manie d'arriver en retard nous embête, dire à un·e partenaire sexuel·le ce qui nous plaît au lit, se déclarer à un·e crush ou parler à sa famille d'un secret qui nous pèse terriblement… C'est terrifiant. Il faut un courage incroyable pour sortir de cette paralysie et ouvrir la boîte de Pandore. On ne connaît pas les conséquences que ça aura. C'est un saut dans le vide, et on est souvent prêt à tout pour éviter LA discussion difficile. Pourquoi est-ce si difficile de dire les choses ? Et comment trouver le courage ?Dans cet épisode, Antonella Francini discute avec son ami Colin qui a préféré déménager, payer deux loyers, et se faire souffrir pendant des semaines plutôt que d'oser avouer à sa coloc qu'il voulait passer plus de temps avec elle. Elle s'entretient également avec Nathalie Achard, spécialiste de la communication non violente, pour savoir quand et comment prendre le taureau par les cornes, face à une situation qui nous dérange. Comment répondre à nos besoins tout en considérant ceux de notre interlocuteur·rice ?Pour aller plus loin :- Le livre “Les mots sont des fenêtres (ou bien ce sont des murs)” de Marshall B. Rosenberg aux Éditions La Découverte- Le livre “ La Communication NonViolente au quotidien” de Marshall B. Rosenberg aux Editions Jouvence- Le livre “La communication non violente: à l'usage de ceux qui veulent changer le monde”, Nathalie Achard- Le film “Juste la fin du monde” de Xavier Dolan- Le film “Speak” de Jessica SharzerAntonella Francini a tourné, écrit et monté cet épisode. La réalisation sonore est signée Thomas Rozès. Le générique est réalisé par Clémence Reliat, à partir d'un extrait d'En Sommeil de Jaune. Lena Coutrot est la productrice d'Émotions.Suivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter. Si vous aussi vous voulez nous raconter votre histoire, écrivez-nous en remplissant ce formulaire. Et si vous souhaitez soutenir Louie, n'hésitez pas à vous abonner au Club. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Michèle Evrard. Michèle est la fondatrice de Cosmetics 27, une marque de soins tournés vers la régénération cellulaire et à base d'une plante aux vertus extraordinaires : la Centella Asiatica. Pharmacienne de formation, Michèle explique les raisons pour lesquelles elle a transitionné vers l'industrie cosmétique, dans laquelle elle a évolué pendant 20 ans, et puis l'accident qui l'a amenée à développer une formule de soin pour réduire ses cicatrices… Une formule qui a tant fait ses preuves que la création d'une marque s'est imposée par elle-même. Dans cet épisode, Michèle raconte le regard qu'elle porte sur ses cicatrices, au sens littéral et au sens figuré, l'importance pour elle de promouvoir une approche intégrative de la médecine et puis la valeur travail qui est profondément ancrée en elle et qu'elle a héritée de son éducation. Mais avec Michèle, nous discutons aussi de son rejet de tout ce qui est « anti » (et notamment de l'anti-âge), de son regard sur la chirurgie esthétique, de longévité et de son approche utilitariste de l'alimentation. Je vous propose à présent de Ressentir avec le panache de Michèle. La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Lugdivine Meytre, la professeure de pilates qui rayonne sous le pseudo @ludipilates et qui allie activité physique et gourmandise en étant par ailleurs franchisée de l'enseigne de glaces Amorino. Dans cet épisode, Lugdivine revient sur ses années de sport à haut niveau – elle a été membre de l'équipe de France de natation synchronisée – et explique comment elle est sortie de la logique du « no pain, no gain », à la fois dans son approche du sport et du travail. Elle raconte son burn out et le chemin qui l'a menée à ce qu'elle fait aujourd'hui, c'est-à-dire donner de la joie aux gens par le mouvement, pour se réconcilier avec leurs corps. Elle décrit son parcours de réconciliation avec son propre corps, ponctué de troubles du comportement alimentaire et de recherches de soutiens, dont le Pilates fait partie. Lugdivine développe donc la philosophie derrière le Pilates et la manière dont elle l'appréhende au quotidien, mais dans cet échange, il est aussi question d'arrêter de vouloir devenir une meilleure version de soi-même, de retraites silencieuses et d'évolution du rapport à la sexualité. Je vous propose à présent de Ressentir avec la joie de Lugdivine. La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Anaïs et Alice, qui sont connues comme étant les « Delajoie », un nom orthographié en un mot, qu'elles utilisent comme un patronyme et qui désigne également leur marque d'édition de mobilier, leur activité de studio créatif ainsi que l'univers solaire qu'elles déploient sur leur compte Instagram @delajoie.editions Dans cet épisode, Anaïs et Alice expliquent comment elles se définissent en train que personnes, en tant que duo sur le plan professionnel, en tant que couple et en tant que mères, puisqu'elles viennent d'avoir une petite fille. Elles racontent la manière dont elles investissent leur lieu de vie comme un laboratoire d'expérimentation, leur vision du beau comme une possibilité de se sauver et de s'élever, ainsi que leur émancipation de leurs milieux respectifs pour créer un monde qui leur ressemble. Nous discutons généreusement de rapport au corps : celui d'Anaïs, qui est obèse depuis l'âge de 3 ans et qui mentionne le regard d'Alice mais aussi la représentation publique de corps non normés comme des facteurs de sa réconciliation avec le sien ; et puis celui d'Alice, qui évoque la transformation du corps sexualisé en corps nourricier. Mais avec Alice et Anaïs, nous avons aussi parlé de leur parcours de maternité, vécu comme étant initiatique, de rapport à l'argent, d'ivresse qui déshabille et de tout ce dont elles se nourrissent. Si elles ont choisi Delajoie comme « un nom pour les jours de pluie », Anaïs et Alice sont un arc-en-ciel de poésie et je vous propose à présent de Ressentir avec toute leur sensibilité. La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Émilie Duchêne. Émilie est la fondatrice de Thea, une marque de bijoux personnalisés, mais elle est également coach ainsi que la cofondatrice de Let's share our rollercoaster, un concept de speed meetings, soit une version améliorée et entrepreneuriale du speed dating. Dans cet épisode, Émilie évoque la Belgique, dont elle est originaire, la timidité maladive qu'elle a vaincue en sortant de sa zone de confort, ainsi que les hauts et les bas qui ont jalonné les 13 ans de son aventure entrepreneuriale. Elle explique le pouvoir guérisseur des mots, l'importance pour elle d'avoir une prise de parole décomplexante sur les réseaux sociaux et ce que ses expériences professionnelles ont eu comme pouvoir transformateur sur elle. Mais avec Émilie, nous avons aussi discuté de ne pas se laisser définir par sa boite, des vérités qui sont bonnes – ou non – à dire, d'ésotérisme et de conciliation de la liberté avec la maternité. Je vous propose à présent de Ressentir avec l'authenticité d'Émilie. Cet épisode est soutenu par Propulse by CA, le compte pro 100% en ligne du Crédit Agricole. Vous pourrez profiter dès maintenant d'1 mois d'essai gratuit et commencer à « Ressentir » le soulagement d'être aidé à réussir en suivant le lien suivant : https://bit.ly/Ressentir La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Agathe Ruga. Agathe est autrice et dentiste. Elle a publié trois romans : Sous le soleil de tes cheveux blonds, chez Stock et en poche, L'homme que je ne devais pas aimer, chez Flammarion et en poche Et Rendez-vous à la porte dorée, qui vient d'être publié chez Flammarion. Puisque ces livres relèvent de l'autofiction, j'ai choisi d'explorer les thèmes abordés et des situations décrites dans chacun d'eux comme des fenêtres sur l'histoire personnelle et l'intériorité d'Agathe. Agathe évoque ainsi les contours d'un chagrin d'amitié, le thème de l'absence qui parcourt toute son œuvre ou encore ce qui l'a poussée à fuir le confort d'une vie de famille en apparence parfaite. Elle explique également la manière dont elle a vécu ses maternités – la première lorsqu'elle avait à peine 20 ans et était en études de médecine, et les suivantes, qui l'ont menée à l'épuisement ; ainsi que son rapport à la séduction, sa redéfinition de l'amour au fil de ses relations et les enjeux qu'elle lie à la sexualité telle qu'elle se pratique aujourd'hui. Avec Agathe, nous avons par ailleurs discuté de ce que peut la littérature, de son processus d'écriture, d'amour virtuel, de l'idéal de vérité dans le couple, d'astrologie et de la face la plus enthousiasmante des réseaux sociaux. Je vous propose à présent de Ressentir avec l'intensité d'Agathe. Cet épisode est soutenu par Propulse by CA, le compte pro 100% en ligne du Crédit Agricole. Vous pourrez profiter dès maintenant d'1 mois d'essai gratuit et commencer à « Ressentir » le soulagement d'être aidé à réussir en suivant le lien suivant : https://bit.ly/Ressentir La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Carole Tolila. Carole est journaliste et animatrice télé. Vous la connaissez sans doute pour être la co-présentatrice de l'émission « Silence ça pousse » ou pour être tous les jeudis soir l'hôte d'un live Instagram qui s'intitule Pyjama thérapie, dans lequel des personnalités ouvrent les portes de leur intérieur pour dévoiler qui ils sont. Dans cet épisode, Carole évoque l'environnement familial structurant dans lequel elle a grandi, la grande sœur dans l'ombre de laquelle elle s'est développée avec une admiration dénuée de rivalité et son rêve de petite fille d'être journaliste, initialement étouffé par le sentiment de ne pas être assez intelligente. Elle raconte la découverte tardive de sa dyslexie et le travail qu'elle a dû fournir et fournit encore pour gravir les montagnes d'obstacles qui y sont liés. Elle évoque les troubles du comportement alimentaire dont elle a souffert et le choix de la joie qui s'est imposé à elle à un moment clé de sa vie et la guide aujourd'hui. Mais avec Carole, nous avons aussi discuté de ses questionnements autour d'un dernier enfant, de rapport décomplexé aux émotions et de sa vision tendre de l'amour. Je vous propose à présent de Ressentir avec l'ivresse de vie de Carole. Cet épisode est soutenu par Monday Sports Club, un groupe qui comprend trois concepts sportifs innovants : Dynamo, le pionnier de l'indoor cycling en France dont je n'en finis pas de vanter le mérite (et dont je fréquente les studios assidûment depuis 7 ans), Punch, qui allie des exercices de bootcamp et des enchaînements de boxe, ainsi que RIISE, qui propose des workouts inspirés du pilates et du yoga. La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Valérie de Sutter. Valérie est la fondatrice de JNPR, une marque premium de spiritueux sans alcool. Dans cet épisode, Valérie raconte à quel point la valeur travail a été importante dans l'environnement dans lequel elle a grandi et son rapport au travail aujourd'hui. Elle évoque la manière dont elle a procédé pour fabriquer des boissons sans alcool novatrices et créatrices d'émotions, ce que c'est, pour elle, qu'un goût d'adulte, ainsi que la façon dont elle envisage sa propre consommation d'alcool. Mais avec Valérie, nous avons aussi discuté de pistes pour bien vieillir, de son goût de la lecture et de nourriture du quotidien. Je précise comme il se doit que l'abus d'alcool est dangereux pour la santé et que l'alcool est à consommer avec modération. Je vous propose à présent de ressentir avec l'énergie et la détermination de Valérie. Cet épisode est soutenu par JNPR, qui propose une gamme de spiritueux sans alcool premium qui ne contiennent pas de sucre ou seulement très peu. Leurs saveurs subtiles ont modifié mon regard sur le genre et permettent de trinquer avec allégresse et raffinement en semaine, sans convier sa mauvaise conscience ou empiéter sur sa forme le lendemain. La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Vincent Louis Voinchet. Vincent est le co-fondateur de Maison Ceronne, une maison d'hôtes et table située dans le Perche. Dans cet épisode, Vincent raconte la manière dont il a vécu son homosexualité jusqu'à sa vingtaine, à titre personnel et dans ses relations aux autres et notamment à ses parents, qui se voyaient empêchés de l'accepter en raison des préceptes de leur foi religieuse. Il évoque son rapport à l'expression des émotions et aux manifestations d'affection en lien avec celui observé de sa famille, mais aussi ses questionnements sur sa propre foi et le sentiment d'injustice qui l'a amené à devenir avocat au début de sa carrière professionnelle. Il raconte le burn out qu'il identifie après coup comme une chance, la création d'une agence de communication et de publicité et l'achat d'une maison de campagne initialement pensée pour en faire profiter ses copains et les clients de son agence… Avant qu'il ne décide, avec son mari Clément, de la transformer en la maison d'hôtes ouverte au public qu'ils exploitent aujourd'hui. Maison Ceronne étant un bijou d'architecture et de design entièrement imaginé par Vincent, je l'interroge sur son goût de l'esthétisme, sur ce que peut le beau, sur son processus pour chiner du mobilier et sur la manière dont il entretient sa créativité. Mais avec Vincent, nous avons aussi discuté de ce que cela implique de travailler avec son partenaire de vie, des limites qu'il trace - ou non - entre sa vie personnelle et sa vie professionnelle, ainsi que de son rapport passionné au travail. Je vous propose à présent de ressentir avec le regard aiguisé de Vincent. Cet épisode est soutenu par JNPR, qui propose une gamme de spiritueux sans alcool premium qui ne contiennent pas de sucre ou seulement très peu. Leurs saveurs subtiles ont modifié mon regard sur le genre et permettent de trinquer avec allégresse et raffinement en semaine, sans convier sa mauvaise conscience ou empiéter sur sa forme le lendemain. La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Céline Chung. Céline est la co-fondatrice de la Bao Family, un groupe de restauration qui révolutionne la cuisine chinoise et l'un des plus éclatants succès de ces dernières années sur la scène gastronomique française. Dans cet épisode, Céline raconte les moqueries liées à ses origines chinoises pendant son enfance et la manière dont elle a transformé sa douleur et sa colère en énergie motrice dans son aventure entrepreneuriale. Elle décrypte sa relation avec ses parents, la pression à être la première en tout, la nécessité qu'elle a ressentie de s'en émanciper, le poids de la honte et celui de la fierté. Céline explique également ce que le développement fulgurant de la Bao Family a impliqué comme travail et comme investissement personnels, mais aussi tout ce que ces 5 dernières années ont transformé en elle, les multiples portes qu'elle a ouvertes, ainsi que la routine qu'elle a mise en place pour prendre soin de tout son être. Mais avec Céline, nous avons aussi discuté de sa connexion à son instinct et à son corps, de sa sensibilité comme un trésor, de la place du taoïsme et de la poésie dans sa vie, d'alimentation bien sûr, et de rapport à la créativité et à la sexualité. Je vous propose à présent de ressentir avec la profondeur de Céline. Cet épisode est soutenu par JNPR, qui propose une gamme de spiritueux sans alcool premium qui ne contiennent pas de sucre ou seulement très peu. Leurs saveurs subtiles ont modifié mon regard sur le genre et permettent de trinquer avec allégresse et raffinement en semaine, sans convier sa mauvaise conscience ou empiéter sur sa forme le lendemain. La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Morgane Ortin. Morgane est la fondatrice du compte Instagram @amours_solitaires, un projet d'archivage de l'intime qui dévoile anonymement les messages passionnés d'amoureux. Dans cet épisode, Morgane raconte sa passion pour le genre épistolaire, qu'elle a voulu rendre sexy et qu'elle souhaite démocratiser, au même titre que la poésie. Nous évoquons les livres qu'elle a écrits, et notamment « Le secret », qui nous donne l'occasion de discuter de son rapport obsessionnel à la mémoire et à l'archivage, ainsi que « La chambre sans murs », un recueil de poésie qui ouvre des fenêtres sur des sujets intimes, comme la dépression qu'elle a traversée et qu'elle a accepté d'évoquer. Plus récemment, Morgane a publié un carnet d'écriture intitulé « Le club des larmes », dans lequel elle invite à renouer avec sa vulnérabilité. A mon micro, elle raconte l'histoire des larmes mais aussi leur effet thérapeutique… Un effet qu'elles partagent avec l'écriture. Mais dans cet épisode, il est aussi question de l'impact d'un évènement sur son rapport à la nourriture et à son corps, ainsi que d'amour, bien sûr, tout au long, avec de très jolis textes lus à voix haute. Je vous propose à présent de ressentir avec le cœur si vaste de Morgane. Cet épisode est soutenu par JNPR, qui propose une gamme de spiritueux sans alcool premium qui ne contiennent pas de sucre ou seulement très peu. Leurs saveurs subtiles ont modifié mon regard sur le genre et permettent de trinquer avec allégresse et raffinement en semaine, sans convier sa mauvaise conscience ou empiéter sur sa forme le lendemain. La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Pandore, figure emblématique de la mythologie grecque, incarne un récit riche en symboles et en avertissements. Selon la légende, Zeus, le roi des dieux, ordonna à Héphaïstos de créer la première femme, Pandore, comme une punition pour les hommes. La naissance de Pandore était accompagnée de dons divins, tels que la beauté, la grâce, l'intelligence et la ruse. Cependant, chaque dieu olympien contribua à son existence en lui accordant des caractéristiques spécifiques. Héphaïstos lui offrit la forme, Athéna la raison, Apollon la musique, et ainsi de suite. Chacun contribuait à faire de Pandore une créature exceptionnelle. Cependant, Pandora portait également une boîte mystérieuse (qui est souvent décrite comme une jarre dans les versions anciennes). Elle fut avertie de ne jamais l'ouvrir. Curieuse et tentée, elle céda à la tentation et libéra ainsi une multitude de maux sur le monde : la maladie, la douleur, la misère, la tromperie, et bien d'autres. Seule l'Espérance resta prisonnière de la boîte. La mythologie de Pandore souligne la fragilité humaine, la curiosité périlleuse et les conséquences inattendues de nos actions. Elle nous invite à réfléchir sur les choix que nous faisons et les répercussions de nos décisions. Dans l'ombre de Pandore, découvrez la complexité des leçons mythologiques qui résonnent encore aujourd'hui. ✨
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Delphine Plisson. Delphine est la fondatrice de la Maison Plisson, une halle culinaire comprenant des marchés alimentaires située boulevard Beaumarchais à Paris, où les produits sont sélectionnés chez près de 500 producteurs, éleveurs et vignerons pour leur gout, leur naturalité et leur qualité. Dans cet épisode, Delphine raconte les premiers évènements et étapes qui ont participé à sa construction personnelle : un job d'hôtesse de l'air tous les weekends et jour fériés pour financer ses études, un stage à New York vers lequel elle s'est envolée sans argent et sans savoir où elle dormirait le soir même, le suicide de son premier petit ami, un voyage initiatique en Inde… Nous abordons ensuite son expérience de 20 ans dans la mode et son rapport – amoureux, foisonnant, respectueux – à la nourriture, qui est pour elle une source de joie de vivre si grande qu'elle en a fait son métier en fondant la Maison Plisson. Mais avec Delphine, nous creusons aussi les questions de savoir si les gens intelligents sont toujours gentils, si bien manger coute cher ou encore si l'on devient ce que l'on mange. Je propose à présent de ressentir avec la hardiesse et l'humour de Delphine. Cet épisode est soutenu par JNPR, qui propose une gamme de spiritueux sans alcool premium qui ne contiennent pas de sucre ou seulement très peu. Leurs saveurs subtiles ont modifié mon regard sur le genre et permettent de trinquer avec allégresse et raffinement en semaine, sans convier sa mauvaise conscience ou empiéter sur sa forme le lendemain. La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Nina Métayer. Nina a été élue Pâtissière mondiale 2023 et elle est la première femme à avoir obtenu ce titre. Ensemble, nous retraçons son parcours de la boulangerie à la pâtisserie et tout ce que cela a impliqué comme challenges pour elle, ces domaines étant largement l'apanage des hommes, surtout lorsqu'il s'agit de prendre des postes à responsabilité. Elle évoque aussi ce qu'elle doit à sa force de travail, plutôt qu'à son talent, mais aussi son obsession d'aller au bout des choses, sa recherche constante de la perfection. Elle décrit le regard qu'elle porte sur son quotidien, dans lequel elle tient à s'amuser à chaque moment, et ce que signifie, pour elle, prendre du temps pour soi. Mais avec Nina, nous discutons aussi de la culpabilité qu'elle a ressentie lorsqu'elle est tombée enceinte, de la possibilité – ou non – de tout cumuler, de son rapport à la nourriture (gourmand mais raisonné) et de ce qu'elle endosse comme fierté et comme responsabilité du fait de l'octroi du titre de Pâtissière mondiale. Je vous propose à présent de ressentir avec la positivité de Nina. La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Nous sommes tous.tes confrontées à des situations, insignifiantes ou dramatiques, où on a les mots au bord des lèvres et on n'arrive pas à les sortir. Dire à un·e ami·e que sa manie d'arriver en retard nous embête, dire à un·e partenaire sexuel·le ce qui nous plaît au lit, se déclarer à un·e crush ou parler à sa famille d'un secret qui nous pèse terriblement… C'est terrifiant. Il faut un courage incroyable pour sortir de cette paralysie et ouvrir la boîte de Pandore. On ne connaît pas les conséquences que ça aura. C'est un saut dans le vide, et on est souvent prêt à tout pour éviter LA discussion difficile. Pourquoi est-ce si difficile de dire les choses ? Et comment trouver le courage ?Dans cet épisode, Antonella Francini discute avec son ami Colin qui a préféré déménager et se faire souffrir pendant des semaines plutôt que d'oser avouer à sa coloc qu'il voulait passer plus de temps avec elle. Elle s'entretient également avec Nathalie Achard, spécialiste de la communication non violente, pour savoir quand et comment prendre le taureau par les cornes, face à une situation qui nous dérange. Comment répondre à nos besoins tout en considérant ceux de notre interlocuteur·rice ?Pour aller plus loin :- Le livre “Les mots sont des fenêtres (ou bien ce sont des murs)” de Marshall B. Rosenberg aux Éditions La Découverte- Le livre “ La Communication NonViolente au quotidien” de Marshall B. Rosenberg aux Editions Jouvence- Le livre “La communication non violente: à l'usage de ceux qui veulent changer le monde”, Nathalie Achard- Le film “Juste la fin du monde” de Xavier Dolan- Le film “Speak” de Jessica SharzerAntonella Francini a tourné, écrit et monté cet épisode. La réalisation sonore est signée Thomas Rozès. Le générique est réalisé par Clémence Reliat, à partir d'un extrait d'En Sommeil de Jaune. Lena Coutrot est la productrice d'Émotions.Suivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter.Si vous aussi vous voulez nous raconter votre histoire, écrivez-nous en remplissant ce formulaire. Et si vous souhaitez soutenir Louie, n'hésitez pas à vous abonner au Club. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Isabelle Carron. Isabelle est la fondatrice d'Absolution, une marque pionnière de la cosmétique bio en France. Dans cet épisode, Isabelle raconte ce qui l'a poussée à lancer Absolution il y a 15 ans, ce que cela a impliqué de proposer un discours et des produits extrêmement novateurs sur le marché à l'époque, ainsi que sa manière d'appréhender la croissance de sa société aujourd'hui. Isabelle, qui a 61 ans, explique aussi l'évolution de son rapport au vieillissement, sa décision d'arrêter de teindre ses cheveux, ses craintes, le changement qu'elle a perçu dans le regard des autres, ainsi que ce que le passage des années peut apporter de libérateur. Mais avec Isabelle, nous avons aussi discuté de sa passion pour la cuisine, d'ivresse et du mystère de la sexualité. Je vous propose à présent de ressentir avec la maturité d'Isabelle. Cet épisode est soutenu par Absolution, qui a entrepris une démarche sincère, exigeante et pionnière il y a 15 ans en proposant des soins cosmétiques certifiés bio, mêlant actifs botaniques et minéraux, adaptables à toutes les humeurs de peau. Leur démarche m'évoque la cuisine que je préfère : celle qui ne fait que sublimer la nature, puisqu'elle contient tout ce qu'il nous faut, mais en ne sacrifiant rien à l'esthétique, puisque le beau nous fait autant de bien que le bon et le bio. Grâce au code « Ressentir », pour toute commande passée chez Absolution, vous recevrez mon produit coup de cœur - le masque velours repulpant - en format découverte dès 50 € d'achat. La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Alexandre Giesbert. Alexandre est le co-fondateur du groupe Daroco, qui comprend trois restaurants et deux bars à cocktails diffusant de délicieuses vibrations italiennes à Paris et à Londres. Dans cet épisode, Alexandre raconte l'impact de la notoriété de son père Franz-Olivier Giesbert sur le dessin de sa trajectoire professionnelle. Il décrypte l'évolution de son rapport conflictuel à son corps et le vide qu'il ressent souvent, ainsi que les différentes façons dont il a pu essayer de le combler. Il est question de nourriture, d'ivresse, de sexualité, de cadeaux, dans un rapport tantôt débordant, tantôt apaisé. Mais avec Alexandre, nous avons aussi discuté d'acceptation de sa sensibilité, du dégoût des orangettes, d'intranquillité de l'entrepreneur et des restaurants comme générateurs de bonheur. Je vous propose à présent de ressentir avec l'intensité d'Alexandre. Cet épisode est soutenu par Absolution, qui a entrepris une démarche sincère, exigeante et pionnière il y a 15 ans en proposant des soins cosmétiques certifiés bio, mêlant actifs botaniques et minéraux, adaptables à toutes les humeurs de peau. Leur démarche m'évoque la cuisine que je préfère : celle qui ne fait que sublimer la nature, puisqu'elle contient tout ce qu'il nous faut, mais en ne sacrifiant rien à l'esthétique, puisque le beau nous fait autant de bien que le bon et le bio. Grâce au code « Ressentir », pour toute commande passée chez Absolution, vous recevrez mon produit coup de cœur - le masque velours repulpant - en format découverte dès 50 € d'achat. La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Alessandra Montagne. Alessandra est la cheffe et propriétaire du restaurant Nosso, situé dans le 13ème arrondissement de Paris. Dans cet épisode, elle raconte son enfance vécue dans la plus grande simplicité au Brésil et l'incidence qu'a eu sur sa personnalité le fait de se voir confier à sa grand-mère alors qu'elle n'avait que quelques jours et de devenir ainsi la petite 10ème d'une fratrie. Elle détaille son arrivée à Paris à 22 ans, les petits boulots qu'elle a enchainés et la manière dont la nourriture a pris de plus en plus de place dans sa vie, jusqu'à devenir son métier. Elle explique à quel point la cuisine l'a sauvée mais aussi la difficulté à accepter de se faire appeler cheffe et le syndrome de l'imposteur dont elle peine à se défaire. Mais avec Alessandra, nous avons aussi discuté de la façon dont elle s'y est prise pour évoluer vers la gastronomie, de la réalité économique du secteur, de lutte contre le gaspillage alimentaire, de son amour pour la France et de sa réconciliation avec le Brésil. Je vous propose à présent de ressentir avec la sensibilité d'Alessandra. Cet épisode est soutenu par Absolution, qui a entrepris une démarche sincère, exigeante et pionnière il y a 15 ans en proposant des soins cosmétiques certifiés bio, mêlant actifs botaniques et minéraux, adaptables à toutes les humeurs de peau. Leur démarche m'évoque la cuisine que je préfère : celle qui ne fait que sublimer la nature, puisqu'elle contient tout ce qu'il nous faut, mais en ne sacrifiant rien à l'esthétique, puisque le beau nous fait autant de bien que le bon et le bio. Grâce au code « Ressentir », pour toute commande passée chez Absolution, vous recevrez mon produit coup de cœur - le masque velours repulpant - en format découverte dès 50 € d'achat. La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
Je suis Jessica Troisfontaine et vous écoutez le podcast Ressentir. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Mathilde Lacombe. Passionnée de beauté depuis toujours, Mathilde a d'abord co-fondé Joliebox – devenue Birchbox puis Blissim – qui fut la première marque de box beauté du marché français, tout en tenant le blog à succès « La vie en blonde ». Il y a 5 ans, elle a co-fondé Aime, une marque qui a pour ambition de réinventer le soin de la peau en proposant des compléments alimentaires et des produits cosmétiques enrichis de soins. Dans cet épisode, Mathilde raconte les problèmes de peau qui l'ont amenée à découvrir que l'aspect extérieur de notre corps est intrinsèquement lié à notre santé intérieure, et ce qu'elle déploie, dans sa vie personnelle et chez Aime, au profit de cette santé. Elle explique aussi la manière dont elle a réconcilié son profil créatif et l'appréhension des chiffres, le rôle du beau dans sa vie et les clés de son équilibre, qu'elle tient par-dessus tout à préserver. Mais avec Mathilde, nous avons aussi parlé d'introversion, de management et de floraline. Je vous propose à présent de Ressentir avec la douceur de Mathilde. Cet épisode est soutenu par la Maison Veuve Clicquot, qui a créé le prix Bold Woman Award pour récompenser chaque année une femme exceptionnelle, et ce depuis 1972. Dans le podcast Bold Voices, dont la saison 2 vient d'être lancée, la journaliste et auteure Lisa Vignoli reçoit à son micro des fondatrices, créatrices et cheffes d'entreprise qui se sont vu décerner ce prix prestigieux. La musique et l'illustration sonore sont de Pandore. Le montage a été réalisé par Touch Prod. Et si vous vous posez d'autres questions ou si vous avez des suggestions, n'hésitez pas à m'écrire un message via mon compte Instagram @jessica_troisfontaine.
durée : 00:09:32 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - À 7h50, Manuel Valls, ancien Premier ministre et actuel soutien d'Emmanuel Macron, est l'invité de Sonia Devillers. Il juge le projet de loi pour limiter le droit du sol à Mayotte "inutile et dangereux". - invités : Manuel VALLS - Manuel Valls : Ancien Premier ministre
durée : 00:09:32 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - À 7h50, Manuel Valls, ancien Premier ministre et actuel soutien d'Emmanuel Macron, est l'invité de Sonia Devillers. Il juge le projet de loi pour limiter le droit du sol à Mayotte "inutile et dangereux". - invités : Manuel VALLS - Manuel Valls : Ancien Premier ministre
Au Sénégal, beaucoup attendent avec impatience la décision du Conseil constitutionnel saisi par plusieurs candidats d'opposition qui affirment que le report de l'élection présidentielle du 25 février est un « coup d'État constitutionnel ». Les sept « sages » du Conseil vont-ils trancher ou vont-ils tout simplement se déclarer incompétents ? Le chercheur français Étienne Smith est spécialiste de l'histoire politique sénégalaise. Il enseigne à Sciences Po Bordeaux et travaille au laboratoire Les Afriques dans le monde (LAM). RFI : Étienne Smith, quel est à votre avis la vraie raison pour laquelle Macky Sall a reporté les élections ?Étienne Smith : Alors, les indices convergent vers un constat que le président de la République ne voulait sans doute pas aller aux élections sans certitude pour le camp présidentiel de l'emporter. Et si possible au premier tour. Parce que le second tour est particulièrement dangereux pour le camp sortant dans les élections au Sénégal. Donc, on suppose une forme de volonté de contrôler sa succession, en tout cas d'être assuré que les élections donneraient un résultat favorable pour le camp présidentiel. Or, les sondages auraient montré que l'élection leur échappait en grande partie, ce qui expliquerait du coup cette volonté de report. Et l'autre élément, c'est la validation en fait de la candidature du candidat du Pastef, Bassirou Diomaye Faye, qui est une vraie épine dans le pied pour le camp sortant qui semblait ne pas l'avoir vu venir. Et donc, c'est un paradoxe, dans un pays où les sondages électoraux, sont interdits, que les élections auraient été annulées sur la base de mauvais sondages. C'est assez paradoxal finalement.Donc, vous pensez que Macky Sall veut changer de candidat. Est-ce qu'il envisage éventuellement un troisième mandat pour lui-même ?Ah ça, on ne peut pas savoir, personne n'est dans sa tête. Mais en tout cas, ce que l'on peut constater, c'est que toutes les prises de paroles présidentielles depuis juin sont assez curieuses, avec un candidat qui semble mal à l'aise sur cette question du troisième mandat. En juin dernier, il a annoncé bien sûr ne pas envisager de troisième mandat, mais depuis les phrases sibyllines se répètent, donc on sent quelque part que le candidat n'est pas tout à fait, en tout cas, il ne semble pas avoir complètement fait le deuil de cette possibilité de maintien au pouvoir.Et s'il change de candidat, vers qui pourrait-il se tourner ?Alors ça, c'est trop tôt pour le dire. À ce stade, est-ce que même l'option de changer de candidat est sur la table ? Comme le Pastef, lui-même, avait plusieurs plans, A, B, C, peut-être que le parti au pouvoir, l'APR, a lui-même, ces plans B ou C. Par exemple, il y avait le candidat Boun Abdallah Dionne, l'ancien Premier ministre, et cetera. Donc, il y a potentiellement, du côté du camp du pouvoir, la possibilité de permuter des candidats si le besoin s'en fait sentir.Alors, pour le report, il y a le parti au pouvoir APR de Macky Sall et le PDS de Karim Wade. Est-ce qu'on peut parler d'une reconstitution du camp libéral comme au temps d'Abdoulaye Wade, il y a 15 ans ?Il y a en tout cas un retournement spectaculaire d'alliance avec effectivement cette alliance APR-PDS, qui a des effets très concrets pour ces deux partis. C'est, d'une part, que le camp du pouvoir dispose maintenant d'une majorité des trois-cinquièmes à l'Assemblée, donc une majorité automatique des trois-cinquièmes, qui permet de retoucher la Constitution à loisir. Et aussi, dans une perspective plus électorale cette fois, [cela lui permet] de disposer de réserves de voix pour un éventuel second tour puisque, du coup, le PDS pourrait être une réserve de voix pour le parti au pouvoir en cas de difficulté pour le second tour. Mais il faut souligner que cette alliance de l'APR avec le PDS ne fait pas que des heureux, puisqu'au sein déjà de la coalition présidentielle Benno Bokk Yakaar, l'APR n'est pas seule, et les alliés de l'APR, eux, ne voient pas d'un bon œil forcément ce retour du PDS. Et même dans le camp de l'APR lui-même, dans le camp d'Amadou Ba, s'allier avec un parti, le PDS, qui a nommément accusé le Premier ministre de corruption, c'est assez étrange comme attelage, et ça en dit long sur le fait que cet attelage APR-PDS ne fait pas que des heureux.Un attelage qui pourrait faire face électoralement au candidat du Pastef d'Ousmane Sonko ?L'arithmétique électorale imposerait en tout cas ce genre d'alliance puisque, effectivement, le camp du pouvoir tout seul ne semblerait pas être capable de l'emporter face au Pastef.Le pouvoir affirme que le report est légal, alors que l'opposition affirme, au contraire, que le report est illégal. Qu'en est-il réellement ?Alors, il ne m'appartient pas de répondre sur cet aspect en tant que chercheur non constitutionnaliste et en plus en tant que chercheur étranger. C'est bien sûr au Conseil constitutionnel sénégalais de trancher et son avis est grandement attendu, peut-être dans cette semaine qui vient. Alors, effectivement, on peut constater qu'Ismaïla Madior Fall donc, le ministre des Affaires étrangères et ancien ministre de la Justice, a, lui-même, fait connaître son avis, et certains juristes l'ont appuyé, pour souligner que le Conseil constitutionnel devrait se déclarer incompétent. Mais ça reste, il me semble, un avis plutôt isolé parce que, de l'autre côté, tout ce que le Sénégal compte de spécialistes ou ténors du droit constitutionnel a montré aussi, donc à l'encontre de la position gouvernementale, que le Conseil constitutionnel avait toute légitimité et latitude à se prononcer pour éventuellement censurer cette loi de dérogation. En argumentant que la loi votée au Parlement viole plusieurs articles de la Constitution, notamment l'article 27 qui fixe la durée du mandat présidentiel à cinq ans et l'article 103 qui précise que le nombre et la durée des mandats ne peut pas faire l'objet de révision. Alors, les discussions porteront peut-être sur la question de savoir jusqu'où on peut aller dans la dérogation et la différence, peut-être, entre dérogation et révision, jusqu'où on peut déroger à la Constitution sans la violer. Mais bon, c'est en tout cas une question qui sera tranchée par le Conseil constitutionnel qui a une occasion quelque part d'exister historiquement, d'incarner son rôle de défenseur de la Constitution et de redonner une certaine sacralité au processus électoral. Donc, cette décision va être extrêmement attendue, elle va être un tournant dans l'histoire, on peut déjà le prédire, un tournant, quelles que soient les décisions, dans l'histoire politique du Sénégal.Dans le camp d'Ousmane Sonko, on dit notamment que, si on peut faire des dérogations sur la durée du mandat, on pourra faire demain des dérogations sur le nombre de mandats, voire sur la forme républicaine de l'État.Tout à fait. Est-ce que le Sénégal est prêt à ouvrir une forme de boîte de Pandore où, sur une simple majorité des trois-cinquièmes, un camp au pouvoir peut changer la Constitution de façon radicale sur la base de cette dérogation et des dispositions existantes ? C'est effectivement une porte ouverte à toutes sortes d'abus. Donc, il y aura vraiment cette question de la proportionnalité et le rapport entre l'objectif et les moyens. Est-ce que ce moyen constitutionnel n'est pas la porte ouverte à des objectifs qui seraient encore pire par la suite ? Donc, le nombre de mandats, pourquoi pas même imaginer que le Conseil constitutionnel soit lui-même quelque part démis par une réforme de la Constitution, et cetera ? Donc, tout est envisageable. Ce qu'il faut comprendre, c'est que le Conseil constitutionnel est lui-même potentiellement divisé et que les pressions et les chantages qui s'exercent sur lui sont énormes. Puisqu'il y a eu cette mise en accusation par l'Assemblée du Conseil constitutionnel, c'est déjà quelque chose qui ne lui permet pas forcément de s'exprimer en toute sérénité puisqu'il y a ces pressions, voire ce chantage, contre certains membres du Conseil constitutionnel. Après, les magistrats peuvent distinguer les choses et peuvent s'exprimer, par exemple, sur le refus de l'extension du mandat présidentiel, puisque la Constitution précise bien qu'il ne peut pas dépasser cinq ans. Donc, il pourrait par exemple dire que, au 2 avril, le président sortant devrait démissionner et, par contre, dissocier cette question-là de l'organisation du scrutin électoral qui, lui, pourrait s'organiser sous une forme de transition, par exemple avec le président de l'Assemblée nationale qui, dans les trois mois, doit organiser un scrutin en cas de démission du président de la République. Donc, le Conseil constitutionnel dispose de plusieurs pistes de sortie possibles de crise malgré tout dans ses textes.Il n'est pas obligé de se déclarer incompétent…Non, tout à fait. Il est attendu et, effectivement, beaucoup de juristes, une majorité de juristes d'ailleurs, ont plaidé pour le fait qu'il se déclare compétent.Selon la Constitution, le mandat de Macky Sall doit donc se terminer le 2 avril. Est-ce qu'il y a un risque de vide juridique au-delà de cette date ?Alors, tout va dépendre de la décision prise par le Conseil constitutionnel, donc on ne peut pas encore préjuger de ce que sera cette décision. Mais il y a des risques d'instabilité tout simplement. On entre dans un inconnu complet, un inconnu constitutionnel, politique, qui laisse à penser qu'ensuite ça peut être de purs rapports de force qui s'expriment si, justement, on s'affranchit du calendrier, ou en tout cas d'une forme de stabilité ou de prévisibilité juridique. Donc, effectivement, l'avenir est plutôt lourd de menaces après le 2 avril. Et il faut noter que le président lui-même, dans son interview à Associated Press, a été assez sibyllin, parlant du fait que nous ne sommes pas seuls sur la scène, et cetera. Ça a été interprété différemment dans le champ politique sénégalais comme menace ou chantage de coup d'État, et cetera. C'était assez curieux. Donc, les observateurs sont assez désemparés. Ce qu'il faut comprendre, c'est que, si on reste sur le calendrier prévu par cette proposition de loi, au 15 décembre 2024, ça suppose une année complète, une année préélectorale qui, on le sait, historiquement au Sénégal est souvent source de tensions. Donc, c'est quelque part le pire des scénarios qu'un report au mois de décembre, c'est une année complète garantie en termes d'instabilité, donc pour les acteurs économiques, pour les Sénégalais dans leur vie au quotidien, et cetera. Cette incertitude d'une année électorale complète, c'est assez problématique.Dans la Constitution sénégalaise, il existe un article 52 qui donne au président les pleins pouvoirs en cas de circonstances exceptionnelles. Est-ce que c'est un scénario envisageable ?Alors, il est trop tôt pour le dire. Ce qu'on peut noter toutefois, c'est que, dans les éléments de langage qui ont été diffusés au moment où la loi, la proposition de loi a été faite, des éléments de langage qui reprenaient texto les circonstances posées par l'article 52 pour une activation de celui-ci avaient été émis par les députés dans le texte de proposition de loi. Donc, c'est un signe quand même que c'est un scénario qui, me semble-t-il, a pu être envisagé ou qui reste pour l'avenir envisageable, qui reste en réserve quelque part comme une option pour le pouvoir. Donc, c'est là aussi quelque chose d'assez inquiétant.À lire aussiSénégal: les deux anciens présidents Abdou Diouf et Abdoulaye Wade apportent leur soutien à Macky Sall
Après le succès surprise d'Antoinette dans les Cévennes, Laure Calamy revient pour un film dans l'air du temps, la comédie réjouissante Iris et les hommes.Antoinette dans les Cévennes, sorti dans un contexte sinistré pour le cinéma, cette comédie solaire (et animalière, avec l'irrésistible âne Patrick !) avait déjoué tous les pronostics en s'imposant comme l'un des succès de l'année : une excellente note presse de 4 sur 5, 800 000 entrées (8ème plus grand succès français de l'année 2020), et un César pour terminer la carrière hors norme de ce film !Pour leurs retrouvailles, l'actrice et la cinéaste changent de décor. Les scènes de vie parisiennes ont remplacé la verdure des Cévennes. La fraicheur et l'humour sont en revanche toujours au cœur de cette comédie pétillante et dans l'air du temps. Nous avons rencontré la scénariste et réalisatrice Caroline Vignal.L'histoire : Un mari formidable, deux filles parfaites, un cabinet dentaire florissant : tout va bien pour Iris. Mais depuis quand n'a-t-elle pas fait l'amour ? Peut-être est-il temps de prendre un amant. S'inscrivant sur une banale appli de rencontre, Iris ouvre la boite de Pandore. Les hommes vont tomber… Comme s'il en pleuvait !Iris et les hommes de Caroline Vignal avec Laure Calamy et Vincent Elbaz est à voir actuellement au cinéma. Il est à l'affiche depuis le 3 janvier 2024.Si ce podcast vous a plu, vous pouvez nous laisser un commentaire, des likes et vous abonner à notre chaine Allociné.CréditsJournaliste : Brigitte BaronnetRéalisation et montage : Chanelle Morvan