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Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Ecoutez Ça va beaucoup mieux avec Jimmy Mohamed du 15 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:04 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Considérée comme la première armée européenne, la France a augmenté de 40% le budget alloué à sa Défense dans son plan de programmation militaire 2024 2030. Sera t-il à la hauteur de l'urgence ? La Cour des comptes s'inquiète des reports de charges qui ont atteint un record historique en 2024.
durée : 00:02:24 - Le brief politique - Une semaine décisive pour l'exécutif. Après Emmanuel Macron sur TF1, c'est le Premier ministre qui sera scruté, mercredi, auditionné par la commission d'enquête parlementaire qui est née de l'affaire de violences physiques et sexuelles au sein de l'institution religieuse de sa région.
L'Opus Dei, ou « Œuvre de Dieu » en latin, est une institution de l'Église catholique fondée en 1928 par le prêtre espagnol Josemaría Escrivá de Balaguer. Depuis 1982, elle bénéficie du statut unique de prélature personnelle, ce qui signifie qu'elle est directement rattachée au pape et non à un diocèse territorial . Son objectif principal est de promouvoir la sainteté dans la vie quotidienne, en encourageant les fidèles à sanctifier leur travail et leurs activités ordinaires.Pourquoi l'Opus Dei suscite-t-elle des inquiétudes ?Malgré sa reconnaissance officielle par l'Église, l'Opus Dei est au cœur de nombreuses controverses, alimentant des inquiétudes sur plusieurs aspects de son fonctionnement.1. Secret et influenceL'organisation est souvent perçue comme secrète, avec une structure hiérarchique rigide et une influence significative dans les sphères politiques, économiques et éducatives. Certains critiques la considèrent comme un « État dans l'État » au sein de l'Église, notamment en raison de son réseau étendu de membres influents et de ses ressources financières considérables .2. Pratiques disciplinairesL'Opus Dei est connue pour ses pratiques ascétiques, notamment la « mortification corporelle », où certains membres utilisent des instruments tels que le cilice ou la discipline pour se rapprocher spirituellement de Dieu. Bien que ces pratiques soient volontaires, elles sont critiquées pour leur caractère extrême et leur impact potentiel sur la santé mentale et physique des membres .3. Recrutement et traitement des membresDes allégations ont été faites concernant le recrutement de mineurs et la pression exercée sur eux pour qu'ils s'engagent dans des engagements de vie stricts dès un jeune âge. Par exemple, en Argentine, 43 femmes ont intenté une action en justice contre l'Opus Dei, affirmant avoir été exploitées dès l'adolescence, contraintes à un travail domestique non rémunéré et soumises à une discipline rigoureuse sous prétexte de formation religieuse .4. Cas d'abus et de négligenceL'Opus Dei a été impliquée dans plusieurs scandales liés à des abus sexuels et à une mauvaise gestion des allégations. Un cas notable est celui d'un professeur du collège Gaztelueta en Espagne, affilié à l'Opus Dei, qui a été condamné pour abus sexuels sur un élève. Le Vatican a finalement expulsé le professeur de l'organisation, mais des critiques ont été formulées concernant la lenteur et l'insuffisance de la réponse initiale de l'Opus Dei .5. Réformes et critiques internesFace aux critiques, l'Opus Dei a entrepris des réformes, notamment en réponse aux directives du pape François visant à renforcer la transparence et la responsabilité. Cependant, certains estiment que ces changements sont insuffisants et que l'organisation continue de fonctionner avec un manque de transparence et une résistance au changement.ConclusionBien que l'Opus Dei joue un rôle important dans la vie de nombreux catholiques, ses pratiques internes, son influence et les allégations d'abus suscitent des préoccupations légitimes. La combinaison de son pouvoir, de son secret et des controverses passées continue d'alimenter les inquiétudes quant à sa place et à son rôle au sein de l'Église catholique et de la société en général. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après seulement 3 jours de course le Giro faisait relâche ce lundi histoire de permettre au peloton et aux suiveurs de regagner la péninsule italienne après son petit séjour albanais. 3 jours de course et un maillot rose installé sur les épaules de Mads Pedersen l'un des coureurs phares de ce début de saison qui après une campagne de classiques réussie, a décidé de poursuivre sur sa lancée dans ce premier Grand Tour 2025. Et les Français dans tout ça me direz-vous ? Eh bien nos coureurs ont débuté ce Tour d'Italie de manière pour le moins discrète. Une 16e place pour Bardet, premier français lors de la 1e étape, de moyenne montagne. Une 29e le lendemain lors du chrono pour Godon et enfin une 39e dimanche pour Nicolas Prodhomme coureur de Decathlon AG2r. Bref nos français sont pour l'instant abonné aux etcetera, alors peut-on espérer durant le reste de la course que l'un de nos 13 représentants décroche un bouquet ou va-t-il falloir se contenter de toutes petites miettes comme cela est le cas depuis le début de la saison. Avec seulement 3 victoires tricolore décrochées en world Tour en 2025, nous sommes loin du compte et cela se vérifie au classement UCI où pour la première fois depuis des lustres, aucun coureur français ne figure dans le top 40. Alors faut-il s'inquiéter de cette absence de résultats ? Comment l'expliquer et peut-on espérer une éclaircie durant la saison des Grands Tours qui a débuté avec ce Giro ? Production : Roxanne LacuskaRéalisation : Kevin Paugam
C'est une photo, publiée par le journal le Monde, celle d'une femme en pleurs qui porte un petit garçon dans ses bras. « Elle a été évacuée », nous dit le quotidien français, « à la suite d'une montée des tensions frontalières, dans le village de Havelian, au Pakistan, près d'un poste-frontière indo-pakistanais ».Pour le Monde, c'est un fait : « l'escalade s'intensifie entre l'Inde et le Pakistan, et laisse penser que les deux ennemis sont entrés dans leur quatrième guerre. » En Inde, ajoute le journal, « la population commence à paniquer, notamment en raison de rumeurs et de fausses nouvelles propagées sur les réseaux sociaux, laissant croire à des pénuries de produits indispensables. Le ministre de l'alimentation et de la consommation a dû intervenir pour assurer que le pays dispose de stocks suffisants (…) »« Les deux belligérants », s'inquiète par ailleurs le quotidien français, « sont sourds aux appels de la communauté internationale. Ils sont, depuis le 7 mai, engagés dans une escalade militaire de plus en plus périlleuse. » Inquiétude partagée par le New York Times, notamment, qui s'alarme de cette « forte escalade entre les deux voisins dotés de l'arme nucléaire ».Sens du sacrificeAutre conflit : la guerre en Ukraine. Alors que le Britannique Keir Starmer, le Français Emmanuel Macron et le nouveau chancelier allemand Friedrich Merz, sont arrivés ce matin à Kiev pour rencontrer et soutenir le président Volodymyr Zelensky, le journal le Temps publie un long reportage sur ce qu'il appelle « la fantastique résilience du réseau électrique ukrainien ». L'Ukraine, nous dit le quotidien suisse, « a passé l'hiver en maintenant l'approvisionnement du courant, malgré les nombreuses attaques russes sur ses infrastructures civiles ».Comment expliquer cette prouesse ? Elle est due à « une combinaison de facteurs » explique le Temps, qui en fait la liste : « le courage des ouvriers, les systèmes de défense anti-aériens, la multiplication des transformateurs et leur décentralisation, ainsi que l'interconnexion de l'Ukraine avec le réseau européen ». « La campagne du Kremlin, visant à briser la volonté de combat des Ukrainiens en transformant l'hiver en arme de guerre, a échoué » poursuit le Temps, qui met en avant « les sacrifices des ouvriers qui travaillent parfois au péril de leur vie, pour réparer le réseau ».« Nous avons acquis une solide expérience », se réjouit Volodymyr Zelensky. Au point que l'Ukraine a proposé son aide à l'Espagne, le 28 avril dernier, « alors que la péninsule Ibérique », rappelle le Temps, « était frappée par un black-out sans précédent ». Les pouvoirs du papeUn peu plus de 24 heures après l'élection du nouveau pape, de nombreux journaux s'attardent encore sur la personnalité de Léon XIV, mais aussi sur ses pouvoirs. « Quels sont les vrais pouvoirs du pape ? » interroge la Croix, au-dessus d'une photo montrant Léon XIV, sur le balcon de la basilique Saint-Pierre, souriant, les yeux levés vers le ciel. « Est-il un monarque absolu ? », interroge encore le quotidien français. Pas vraiment. « Pour l'Église catholique, la primauté du pape doit s'articuler avec la collégialité épiscopale, les évêques, successeurs des Apôtres, et le pape, leur chef ».« Le pape peut-il changer le dogme ? » interroge aussi la Croix, selon laquelle « le pape ne peut pas tout faire. Et notamment changer le dogme ». Car, nous explique le journal catholique, « le concile Vatican I précise que le Saint-Esprit n'a pas été promis aux successeurs de Pierre pour qu'ils fassent connaître (…) une nouvelle doctrine, mais pour qu'avec son assistance, ils gardent saintement et exposent fidèlement la révélation transmise par les Apôtres ».Image et paroleEnfin, à la question de savoir « si les catholiques peuvent contester la parole du pape », cela dépend de quoi l'on parle. Ainsi, précise la Croix, « il faut examiner le statut de la parole : entre l'encyclique et la conférence de presse dans l'avion, la parole pontificale n'a pas la même force ». Elle est toutefois de la plus haute importance, puisque « "l'arme principale du pape est la parole", entend-on souvent dans les couloirs du Vatican », raconte la Croix.L'image a aussi son importance. Le journal nous rappelle ainsi celle de « François, quelques mois après son élection, jetant une couronne mortuaire au large de l'île de Lampedusa », en mémoire des nombreux migrants ayant péri en traversant la Méditerranée.
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Hausse inquiétante du Chikungunya : 15 à 20 cas signalés chaque jour by TOPFM MAURITIUS
Suite à la rencontre entre Mark Carney et Donald Trump, le président américain ne songerait plus à annexer le Canada. Une première messe pour Leon XIV. Interdiction des cellulaires à l’école: la mobilisation s’organise. Réactions au dépôt du projet de loi 106. Inquiétudes dans les hôpitaux de la Montérégie. Hôpital Maisonneuve-Rosemont: appel d'offres lancé. L’Eurovision commence en fin de semaine. Défaite de la Victoire au match numéro 1. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Isabelle Perron et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:02:35 - Les inquiétudes d'Argelès-Gazost
C'est une boisson énergisante qui inquiète la répression des fraudes : le Vody. Très présente en Allemagne, on la trouve depuis peu dans quelques épiceries en France. Pourquoi cette boisson inquiète ? Pour son étiquetage qui n'est pas clair alors que la quantité d'alcool, en l'occurrence de Vodka, est élevée, mais aussi parce que les défis qui circulent autour du Vody se multiplient. Ecoutez RTL inside avec Valentin Boissais du 06 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est pourquoi je vous dis : ne vous inquiétez pas en vous demandant : « Qu'allons-nous manger ou boire ? Avec quoi allons-nous nous habiller ? » La vie ne vaut-elle pas bien plus que la nourriture ? Et le corps ne vaut-il pas bien plus que les vêtements ? Voyez ces oiseaux qui volent dans le ciel, ils ne sèment ni ne moissonnent, ils n'amassent pas de provisions dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. N'avez-vous pas bien plus de valeur qu'eux ? D'ailleurs, qui de vous peut, à force d'inquiétude, prolonger son existence, ne serait-ce que de quelques instants ? Quant aux vêtements, pourquoi vous inquiéter à leur sujet ? Observez les lis sauvages ! Ils poussent sans se fatiguer à tisser des vêtements. Pourtant, je vous l'assure, le roi Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n'a jamais été aussi bien vêtu que l'un d'eux ! Si Dieu habille ainsi cette petite plante des champs qui est là aujourd'hui et qui demain sera jetée au feu, à plus forte raison ne vous vêtira-t-il pas vous-mêmes ? Ah, votre foi est bien petite ! Ne vous inquiétez donc pas et ne dites pas : « Que mangerons-nous ? » ou « Que boirons-nous ? » ou « Avec quoi nous habillerons-nous ? » Toutes ces choses, les païens s'en préoccupent sans cesse. Mais votre Père, qui est aux cieux, sait que vous en avez besoin. Faites donc du royaume de Dieu et de ce qui est juste à ses yeux votre préoccupation première, et toutes ces choses vous seront données en plus. Ne vous inquiétez pas pour le lendemain ; le lendemain se souciera de lui-même. A chaque jour suffit sa peine. Matthieu 6:25-34
En Syrie, après 54 ans d'une dictature qui appliquait une censure implacable aux médias et éliminait toute voix critique, une nouvelle ère s'ouvre pour les journalistes en Syrie. L'agence de presse et les chaînes officielles, qui ne servaient qu'à diffuser la propagande du régime, ont été renversées et de nombreux reporters exilés se réinstallent progressivement en Syrie. Ahmed al-Charaa, le nouveau maître de Damas, a promis de faire respecter la liberté d'expression. Si certains veulent y croire et investissent dans la création d'un nouveau paysage médiatique pour la Syrie, d'autres restent méfiants. Travailler et émettre depuis Damas, en plein cœur de la Syrie. Une scène encore impensable il y a quelques semaines pour Mohamed Al Dughaim, producteur de la chaîne Syria TV, un des médias d'opposition les plus suivis en Syrie, dont le siège est à Istanbul en Turquie. « Nous sommes actuellement dans l'hôtel Sheraton, à Damas, et nous avons transformé une partie des chambres de l'hôtel en studio temporaire pour Syria TV, indique-t-il. Nous sommes arrivés à Damas progressivement avec les forces rebelles au fil des offensives militaires, d'abord Alep, puis Hama, puis Homs, et enfin Damas. C'est la première fois que l'on parle de Damas en étant à Damas. C'est un très beau sentiment pour tous les syriens et pour tous les journalistes. »Financée par le Qatar, Syria TV compte 250 employés répartis entre la Syrie et la Turquie. Sur la terrasse de l'hôtel, un plateau télé a été érigé. La chaîne diffuse des informations en direct 3 à 4 h par jour depuis Damas. Pour le producteur originaire d'Idlib, c'est le début d'une nouvelle ère. « Aujourd'hui, on peut parler de tout en Syrie sans être inquiété, sans que les services de renseignement ne vous convoquent, et sans risquer d'être emprisonné. L'avenir des médias en Syrie est bien meilleur qu'à l'époque de Bachar al-Assad. »Après 54 ans de dictature durant lesquels aucune critique du pouvoir n'était tolérée, la nouvelle administration dirigée par Hayat Tahrir Sham (HTS) – l'un des groupes rebelles qui a repris Damas – a annoncé début janvier s'engager en faveur de la liberté d'expression, avec quelques limites. « Dans la nouvelle Syrie, nous garantissons la liberté de la presse, mais il existe des lignes rouges sur certaines questions, comme la diffusion de la haine au sein de la société, ou tout ce qui touche à des sujets susceptibles d'attiser les tensions sectaires. Ne pas préserver la cohésion sociale est aussi une ligne rouge », explique Ali Al Rifai, directeur des relations publiques au ministère de l'Information. Le ministère a aussi annoncé que les journalistes ayant collaboré avec le régime devront rendre des comptes. Dans les cafés de la capitale, de nombreux Syriens se retrouvent pour débattre à haute voix de l'avenir du pays. Une scène, elle aussi, inimaginable il y a peu. « Nous sommes heureux d'avoir cette nouvelle liberté d'expression. J'ai beaucoup confiance dans la société syrienne qui est aujourd'hui très éveillée. Rien ne passe inaperçu. Il y a une pression populaire contre toute décision qui serait inappropriée », raconte Colette Bahna, écrivaine et activiste pour les droits des femmes, qui savoure cette liberté retrouvée. Pour de nombreux syriens, la prudence reste de mise. Seul le temps permettra de savoir si ces promesses de liberté dureront.À lire aussiSyrie: à Jaramana, la vie reprend dans une atmosphère de peur et de méfiance
Ecoutez Vous allez en entendre parler avec Tom Lefevre du 02 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En France, le sujet de l'exception culturelle, qui se trouve au cœur du bras de fer entre l'Union européenne et les États-Unis, suscite de nombreuses inquiétudes parmi les professionnels du cinéma. L'exception culturelle, c'est ce terme inventé en 1994 pour défendre le droit d'un pays à protéger sa culture par des subventions, des mesures de soutien ou des quotas. Si la France a pu défendre son cinéma, ses séries et ses dessins animés, c'est en grande partie grâce à ce dispositif d'exception par rapport aux traités de libre échange. Les œuvres du cinéma ou de l'audiovisuel bénéficient de l'aide du CNC, le Centre national du cinéma, les diffuseurs sont soumis à des quotas d'œuvres européennes ou d'expression française.Une taxe sur les billets des salles de cinéma financent les films indépendants. Et depuis 2021, les plateformes américaines ont aussi l'obligation d'investir 20 % de leur chiffre d'affaires dans la production en France. Ce sont ainsi près de 350 millions d'euros par an qui ont été injectés par Netflix, Disney+ ou Prime Vidéo dans l'audiovisuel et le cinéma français. Or, voilà que ce bel édifice pourrait être remis en cause dans le cadre des discussions autour des barrières douanières entre l'Union européenne (UE) et les États-Unis.L'administration Trump souhaite revenir sur ces obligationsLe 21 février, l'administration de Donald Trump a publié un mémorandum qui dénonce les régulations étrangères, en particulier européenne, qui désavantagent les entreprises américaines en taxant leurs plateformes ou en fixant des obligations d'investissement, comme le prévoit la directive sur les services de médias audiovisuels. L'administration Trump recommande des mesures de rétorsions douanières. Elle est d'ailleurs soutenue dans ce combat par le syndicat des réalisateurs américains et par la Motion Picture Association, le lobby des majors hollywoodiennes et des plateformes, qui parle de pratiques « déloyales ».La législation européenne est aussi pointée du doigt par les États-UnisDeux textes clés de l'Union sont visés : le règlement sur les marchés numériques, ou DMA, sur les pratiques anticoncurrentielles, et le règlement sur les services numériques, ou DSA, sur la régulation des contenus. Ce sont ces textes qui permettent à la Commission de prononcer de lourdes sanctions qui se chiffrent parfois en milliards d'euros. On l'a vu récemment lorsque Apple et Meta ont été condamnés à 500 et 200 millions d'euros d'amende au titre du DMA. Une sanction qui a été décidée sans grande publicité par Bruxelles qui craint d'envenimer la guerre commerciale avec Washington. Les défenseurs de l'exception culturelle craignent aussi qu'une révision dans un sens plus libéral de la directive sur les médias audiovisuels, l'an prochain, soit l'occasion d'amoindrir les règles au profit des plateformes américaines.À lire aussiÉtats-Unis: Donald Trump demande l'arrêt du financement fédéral des médias publics PBS et NPR
En Syrie, après 54 ans d'une dictature qui appliquait une censure implacable aux médias et éliminait toute voix critique, une nouvelle ère s'ouvre pour les journalistes en Syrie. L'agence de presse et les chaînes officielles, qui ne servaient qu'à diffuser la propagande du régime, ont été renversées et de nombreux reporters exilés se réinstallent progressivement en Syrie. Ahmed al-Charaa, le nouveau maître de Damas, a promis de faire respecter la liberté d'expression. Si certains veulent y croire et investissent dans la création d'un nouveau paysage médiatique pour la Syrie, d'autres restent méfiants. Travailler et émettre depuis Damas, en plein cœur de la Syrie. Une scène encore impensable il y a quelques semaines pour Mohamed Al Dughaim, producteur de la chaîne Syria TV, un des médias d'opposition les plus suivis en Syrie, dont le siège est à Istanbul en Turquie. « Nous sommes actuellement dans l'hôtel Sheraton, à Damas, et nous avons transformé une partie des chambres de l'hôtel en studio temporaire pour Syria TV, indique-t-il. Nous sommes arrivés à Damas progressivement avec les forces rebelles au fil des offensives militaires, d'abord Alep, puis Hama, puis Homs, et enfin Damas. C'est la première fois que l'on parle de Damas en étant à Damas. C'est un très beau sentiment pour tous les syriens et pour tous les journalistes. »Financée par le Qatar, Syria TV compte 250 employés répartis entre la Syrie et la Turquie. Sur la terrasse de l'hôtel, un plateau télé a été érigé. La chaîne diffuse des informations en direct 3 à 4 h par jour depuis Damas. Pour le producteur originaire d'Idlib, c'est le début d'une nouvelle ère. « Aujourd'hui, on peut parler de tout en Syrie sans être inquiété, sans que les services de renseignement ne vous convoquent, et sans risquer d'être emprisonné. L'avenir des médias en Syrie est bien meilleur qu'à l'époque de Bachar al-Assad. »Après 54 ans de dictature durant lesquels aucune critique du pouvoir n'était tolérée, la nouvelle administration dirigée par Hayat Tahrir Sham (HTS) – l'un des groupes rebelles qui a repris Damas – a annoncé début janvier s'engager en faveur de la liberté d'expression, avec quelques limites. « Dans la nouvelle Syrie, nous garantissons la liberté de la presse, mais il existe des lignes rouges sur certaines questions, comme la diffusion de la haine au sein de la société, ou tout ce qui touche à des sujets susceptibles d'attiser les tensions sectaires. Ne pas préserver la cohésion sociale est aussi une ligne rouge », explique Ali Al Rifai, directeur des relations publiques au ministère de l'Information. Le ministère a aussi annoncé que les journalistes ayant collaboré avec le régime devront rendre des comptes. Dans les cafés de la capitale, de nombreux Syriens se retrouvent pour débattre à haute voix de l'avenir du pays. Une scène, elle aussi, inimaginable il y a peu. « Nous sommes heureux d'avoir cette nouvelle liberté d'expression. J'ai beaucoup confiance dans la société syrienne qui est aujourd'hui très éveillée. Rien ne passe inaperçu. Il y a une pression populaire contre toute décision qui serait inappropriée », raconte Colette Bahna, écrivaine et activiste pour les droits des femmes, qui savoure cette liberté retrouvée. Pour de nombreux syriens, la prudence reste de mise. Seul le temps permettra de savoir si ces promesses de liberté dureront.À lire aussiSyrie: à Jaramana, la vie reprend dans une atmosphère de peur et de méfiance
C'est une nouvelle guerre qui menace d'éclater. Un nouvel affrontement entre l'Inde et le Pakistan, deux ennemis jurés qui s'opposent, depuis presque 80 ans, sur le contrôle de la région du Cachemire. Dans la partie indienne, des hommes armés ont tué 26 touristes, mardi 22 avril. New Delhi accuse Islamabad d'être derrière cette attaque. Un énième incident dans l'histoire des deux pays, qui a rapidement fait monter les tensions et qui fait craindre le pire entre ces deux puissances nucléaires, dans un contexte régional et mondial déjà très compliqué. Comment expliquer une situation aussi inflammable ? Jusqu'où cette nouvelle escalade va-t-elle aller ? Quel rôle peut jouer la communauté internationale ? Avec notre invité Gilles Boquérat, chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS).
Au sommaire du Sous-Marin aujourd'hui : On revient sur la mort du Pape François et le futur de l'église catholique…
A 10h45, ce mardi 29 avril 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, et Dr Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de : Espagne, Portugal... panne d'une ampleur inquiétante ?
Produire plus de pétrole n'est pas un problème climatique pour le président américain, mais un moyen de faire baisser les prix à la pompe. Une politique résumée par le slogan « Drill Baby Drill ». Mission réussie : les prix du brut ont chuté à leur plus bas niveau en quatre ans. À vouloir satisfaire ses électeurs, Donald Trump court cependant le risque de se mettre à dos l'industrie pétrolière et rend déjà service paradoxalement à la Chine. En encourageant la production d'hydrocarbures, le président américain s'est positionné en allié des majors pétrolières qui sont implantées aux États-Unis, mais la baisse des prix qu'il alimente avec cette politique – qui s'explique aussi par la décision de l'OPEP+ de mettre fin progressivement à ses coupes de production à partir du mois de mai – pèse aussi sur les résultats financiers des entreprises.La société britannique BP, déjà en difficulté, vient d'annoncer un bénéfice divisé par trois au premier trimestre 2025. Parmi les raisons invoquées, la volatilité des marchés. Chevron, ExxonMobil, Shell ou encore TotalEnergies traversent, elles aussi, une zone de turbulence économique et pourraient, selon plusieurs analystes, être tentées de repenser leurs investissements. Inquiétude dans le secteur du schisteCe pétrole extrait des couches de schiste du sous-sol américain a un coût de production plus élevé et la baisse des recettes entame encore plus la rentabilité des exploitations. Pour réduire leurs dépenses, plusieurs opérateurs ont ralenti leur activité de forage comme ils avaient déjà été contraints de le faire pendant la pandémie en 2020. Si les prix ne se redressent pas dans les prochains mois, un avenir dévastateur se prépare pour le secteur du schiste, préviennent déjà des producteurs. Le scénario est écrit, expliquent-ils au Financial Times : à moins de 60 dollars, les sociétés qui réaliseront des bénéfices seront de moins en moins nombreuses et, avec un pétrole sous la barre des 50 dollars, la moitié des entreprises pourraient disparaître au profit des plus puissantes d'entre elles et la production baisser à court ou moyen terme.La baisse des prix profite à la Chine, 1ᵉʳ acheteur mondialLa stratégie de Donald Trump rend paradoxalement service à la Chine, son premier ennemi sur le front commercial. La Chine est le premier importateur mondial de brut et remplit ses stocks dès qu'ils sont bas, et dès que les prix sont favorables. Qu'importe presque le niveau de la demande, la Chine a une politique d'achat stratégique, ouverte à toutes les origines, que le pétrole soit russe, iranien ou vénézuélien.Au mois de mars, ses importations ont bondi et s'accélèrent encore en avril. En ce moment, le pays importe environ 11 millions de barils par jour. Cela fait 18 mois que l'Empire du Milieu n'a pas tenu un tel rythme. Certaines raffineries auraient même repoussé leur maintenance annuelle pour continuer à produire de l'essence, du diesel et du carburant pour l'aviation. La cadence finira par ralentir une fois que les stocks seront reconstitués, mais ce ne sera peut-être pas avant le second semestre, selon le Financial Times.
Ce mardi 29 avril, Pascal Le Digol, directeur France de WatchGuard Technologies, Benoît Grunenwald, expert en cybersécurité chez ESET France, et Gérôme Billois, associé en cybersécurité et confiance numérique au sein du cabinet Wavestone, se sont penchés sur l'inquiétude autour des avis de vulnérabilité, le danger des exfiltrations de données sans chiffrement, les méthodes d'infiltrations de pirates nord-coréens en Europe, ainsi que l'alliance de la politique et du piratage, dans l'émission Tech&Co Business présentée par Frédéric Simottel. Tech&Co Business est à voir ou écouter le mardi sur BFM Business.
durée : 00:03:37 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Une semaine après l'attentat meurtrier attribué à un groupe islamiste au Cachemire, la tension est au plus haut entre l'Inde et le Pakistan. Les deux puissances nucléaires, qui se disputent cette région des contreforts de l'Himalaya depuis des décennies, sont sur le pied de guerre.
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
¿Te angustias cuando no te responden? ¿Sientes que amas más de lo que te aman? ¿Tienes miedo constante a que la relación termine? Puede que estés viviendo desde un estilo de apego ansioso. 📩 Si te gusta nuestro contenido, aquí tienes nuestra newsletter de salud mental sin filtros: https://centroscambio.es/psiconecta En este episodio de Inquiétame, hablamos del apego ansioso como una herida relacional que muchas veces se arrastra desde la infancia, y que en la adultez se expresa como necesidad, urgencia y miedo a perder. Te explicamos cómo se forma, cómo se manifiesta en las relaciones, y sobre todo, cómo empezar a sanar desde la autocompasión y la presencia. Un episodio para quienes sienten demasiado y no saben si eso es un defecto… o simplemente una parte que aprendió a sobrevivir. 💛 Comparte este episodio si conoces a alguien que necesita escucharlo. 🎧 Y si quieres contarnos cómo te resonó, escríbenos. Te leemos. 👇 MÁS INFO SOBRE NOSOTROS 👇 Inquiétame es un podcast de psicología creado por Jose Molina y Carla Melián, psicólogos en Centros Cambio, un centro de psicologia con sede en Las Palmas de Gran Canaria. Hablamos de salud mental como se habla de la vida: con ciencia, cercanía y sin filtros. Desmontamos mitos, abrimos melones emocionales y reflexionamos sobre lo que de verdad mueve, bloquea o transforma. 📍Atendemos de forma presencial en Las Palmas y también de manera online. 🔗 Descubre más sobre nuestro equipo y pide cita en: https://centroscambio.es 📅 Pide cita con nosotros: https://centroscambio.es/cita-psicologia-las-palmas/ 🎧 Inquiétame forma parte de la familia iVoox Originals.
Les CPAS wallons et bruxellois sont très inquiets par les mesures du gouvernement visant à exclure les demandeurs d'emploi qui perçoivent des allocations depuis deux ans. On estime qu'environ 100 000 personnes seront d'ores et déjà concernées dès le 1er janvier 2026. Les CPAS craignent des drames sociaux en rafale et des conséquences tout aussi graves sur le personnel. On en parle avec Alain VAESSEN, Directeur général de la Fédération des CPAS Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours à 12h50, Anthony Morel vous fait découvrir les dernières actus techno, dans Estelle Midi, sur RMC.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Recomendados de la semana en iVoox.com Semana del 5 al 11 de julio del 2021
¿Te angustias cuando no te responden? ¿Sientes que amas más de lo que te aman? ¿Tienes miedo constante a que la relación termine? Puede que estés viviendo desde un estilo de apego ansioso. En este episodio de Inquiétame, hablamos del apego ansioso como una herida relacional que muchas veces se arrastra desde la infancia, y que en la adultez se expresa como necesidad, urgencia y miedo a perder. Te explicamos cómo se forma, cómo se manifiesta en las relaciones, y sobre todo, cómo empezar a sanar desde la autocompasión y la presencia. Un episodio para quienes sienten demasiado y no saben si eso es un defecto… o simplemente una parte que aprendió a sobrevivir. 💛 Comparte este episodio si conoces a alguien que necesita escucharlo. 🎧 Y si quieres contarnos cómo te resonó, escríbenos. Te leemos. 👇 MÁS INFO SOBRE NOSOTROS 👇 Inquiétame es un podcast de psicología creado por Jose Molina y Carla Melián, psicólogos en Centros Cambio, un centro de psicologia con sede en Las Palmas de Gran Canaria. Hablamos de salud mental como se habla de la vida: con ciencia, cercanía y sin filtros. Desmontamos mitos, abrimos melones emocionales y reflexionamos sobre lo que de verdad mueve, bloquea o transforma. 📍Atendemos de forma presencial en Las Palmas y también de manera online. 🔗 Descubre más sobre nuestro equipo y pide cita en: https://centroscambio.es 📅 Pide cita con nosotros: https://centroscambio.es/cita-psicologia-las-palmas/ 📬 Apúntate a nuestra newsletter de salud mental: https://centroscambio.es/psiconecta-newsletter-de-salud-mental/ 🎧 Inquiétame forma parte de la familia iVoox Originals.
Le marché intérieur est atone, les ventes reculent en Chine et l'entreprise a traversé, à l'automne dernier, une des plus graves crises de son histoire. Volkswagen, le géant automobile allemand, fort de ses dix marques, va réduire ses effectifs de 35 000 personnes d'ici à 2030. Autant dire que l'annonce par l'administration Trump de droits de douane de 25 % sur les voitures importées tombe au pire moment pour Volkswagen qui vend un million de véhicules aux États-Unis. RFI s'est rendu au siège du groupe à Wolfsburg pour savoir comment la population et les salariés perçoivent cette mauvaise nouvelle. De notre envoyé spécial à Wolfsburg,À l'arrivée à la gare de Wolfsburg, au centre de l'Allemagne, la vue est imprenable sur le gigantesque site de Volkswagen (VW), l'équivalent de 650 stades de foot. De l'autre côté, la ville avec son charme d'après-guerre très discret. En cette journée printanière, de nombreux retraités prennent le soleil sur des bancs de la zone piétonnière. Ils ne sont pas menacés par les droits de douane, mais concernés. Volkswagen fait partie de leur ADN, comme pour cet Italien d'origine, Nicola Motta, qui a fait toute sa carrière dans l'entreprise. « Volkswagen, c'est tout pour moi. Regardez le dos de mon téléphone. Là, c'est mon village en Calabre et en dessous l'usine de Wolfsburg », montre-t-il.Le retraité est fier de ses deux fils, tous les deux ingénieurs chez Volkswagen, à Wolfsburg même et en Chine. Mais aussi inquiet pour eux. « Si ça va mal pour Volkswagen, ça nous concerne aussi. On s'inquiète avec ce président américain. Nous n'avons pas confiance en lui. Le matin, il dit blanc, à midi noir et le soir autre chose », explique-t-il.L'ingénieur Torsten Bleibaum travaille depuis trente ans chez Volkswagen. Pour lui, la crise sociale de l'automne dernier était bien plus grave que les actuels droits de douane américains. « Je ne peux pas confirmer dans mon entourage le pessimisme ambiant dans les médias actuellement, même s'il est peut-être justifié, estime-t-il. Pour beaucoup, ces droits de douane, c'est beaucoup trop abstrait. Je ne crois pas que ça soit si dramatique. »Au café Pinocchio, Silvestro Gurrieri sirote un espresso. Ce Sicilien est arrivé dans les années 1970 à Wolfsburg où il a fait toute sa carrière. Membre du parti social-démocrate et du puissant syndicat IG Metall, Volkswagen est sa deuxième famille. « Ces droits de douane de Donald Trump sont une catastrophe totale. Ça nous frappe fortement et on s'inquiète. Volkswagen a surmonté la crise de l'an dernier et maintenant ces problèmes surgissent sur lesquels nous avons peu d'influence », regrette-t-il.Alexander Jordan est le nouveau député de la circonscription. Ce chrétien-démocrate a fait carrière chez un sous-traitant de l'industrie automobile et connaît bien le secteur. « Les inquiétudes sont palpables même si la situation reste calme. Il n'y a pas de conséquences directes pour l'instant après l'introduction de ces droits de douane, mais elles se profilent à l'horizon », redoute-t-il.Les droits de douane de 25 % en vigueur depuis le début du mois pour les voitures exportées aux États-Unis s'appliqueront en mai à 150 produits fabriqués par les sous-traitants du secteur automobile. VW a entamé des négociations directes avec les États-Unis pour obtenir des taxes douanières plus avantageuses en échange d'une production plus importante de l'entreprise sur le sol américain, notamment pour Audi. À lire aussiTransport maritime : le grand plongeon après les tarifs douaniers américains
La F1 termine son premier triple-header de la saison en Arabie Saoudite pour la 5e manche du championnat du monde. Un circuit urbain qui a profité à Red Bull lors des 3 dernières années mais l'écurie autrichienne apparait en grande difficulté depuis le dernier Grand Prix de Bahreïn. Max Verstappen a reconnu les difficultés de son team pour rivaliser pour le titre. Christian Horner et Helmut Marko les deux patrons de Red Bull s'inquiètent d'un potentiel départ de leur quadruple champion du monde en fin de saison. Lando Norris, de son côté, doit absolument relever la tête et garder la 1e place du championnat. La pression mise par son coéquipier Oscar Piastri est de plus en plus insistante.
Inquiétude pour a Suisse du Moyen-Orient, autrement dit la Jordanie, petit pays de 11 millions d'habitants. Rarement à la Une des médias, et pourtant, selon l'Express, il est en train de « devenir une poudrière. Depuis le 7 octobre 2023, les habitants du Royaume Hachémite dansent sur un volcan, les opérations d'Israël en Cisjordanie et le 'plan' de Trump pour Gaza, font craindre le pire ». « Le royaume, rappelle l'hebdomadaire, a toujours été la terre d'accueil privilégiée des Palestiniens en exil ». En 1948, à la création de l'État d'Israël, ou en 67 après la guerre des Six-Jours. Le pays héberge aujourd'hui environ 2 millions de réfugiés palestiniens. Or le « plan » de Donald Trump pour Gaza, « prévoit de transférer ses 2 millions d'habitants vers l'Egypte et la Jordanie ». Mais la Jordanie a dit non. Et la punition ne s'est pas fait attendre. Donald Trump « a bloqué l'aide financière au royaume, versée chaque année depuis 1994, en contrepartie de la paix signée avec Israël. »Risque d'exode massifEt la situation en Cisjordanie inquiète aussi les Jordaniens…Selon un diplomate interrogé par l'Express, « les actions des colons et la poursuite très active de la colonisation, fragilisent l'Autorité Palestinienne, ce qui peut provoquer son effondrement et rendre à terme impossible la mise en place d'une solution à deux états. La Jordanie serait alors laissée avec une sorte de bombe à retardement ». « Des centaines de milliers d'habitants de la Cisjordanie possèdent un passeport jordanien, précise l'Express, et se sont fait construire un logement dans le royaume au cas où ». Mais, ajoute l'hebdomadaire, « les autorités jordaniennes savent pertinemment qu'un exode de Palestiniens déstabiliserait le royaume où les Frères Musulmans et le Hamas, sont plus populaires que jamais ».À lire aussiMoyen-Orient: la Jordanie peut-elle être entraînée dans le chaos régional?Fake news climatiquesA la Une également, un appel lancé par le Nouvel Obs. « Alerte à la désinformation climatique », s'exclame l'hebdomadaire. « Plus que l'Ukraine. Plus que la transidentité. Plus que le Proche Orient. Dans la grande foire aux fake news qui sature nos écrans, un sujet surclasse les autres en ce début d'année 2025, le climat », ajoute l'hebdomadaire, selon lequel « le climato-scepticisme s'est mué en une véritable industrie. Médias, réseaux sociaux, youtubers, librairies. C'est tout un écosystème qui permet le développement et la montée en puissance des discours dénialistes », nous dit le Nouvel Obs. Quelques expressions piochées ici et là dans la voix de différents intervenants : « la biodiversité ne s'effondre pas en Europe », ou, à propos du changement climatique, « on nous a baratinés pendant des années, il est temps d'arrêter ». Une étude des propos tenus dans les médias audiovisuels français sur trois mois révèle « 128 cas de désinformation climatique ». N'ayez pas d‘inquiétude, RFI et France 24 font partie des très bons élèves, aucune occurrence de désinformation climatique n'a été relevée sur leur antenne.Affaiblissement démocratiqueLa désinformation climatique en France est analysée dans les colonnes du Nouvel Obs par la climatologue française Valérie Masson -Delmotte. Et c'est d'une analyse politique qu'il s'agit car, selon la climatologue, « dans un contexte d'incertitude sociale, géopolitique et climatique, on voit émerger de nouveaux boucs émissaires : la protection de l'environnement, les agences environnementales, voire des scientifiques, que l'on jette en pâture à l'opinion publique pour distraire d'une réflexion d'ensemble sur les dysfonctionnements et injustices de nos sociétés ». Voilà qui est dit, et ce n'est pas tout. Valérie Masson-Delmotte pointe la politique éditoriale des médias français appartenant au milliardaire Vincent Bolloré. « Les questions climatiques », explique la climatologue, « sont devenues tellement transverses que les tentatives de s'opposer à la transition écologique vont de pair avec l'affaiblissement démocratique. »Bon appétitEnfin, tout autre chose, si c'est encore l'heure du petit déjeuner pour vous, voici une idée de menu… Et attention, il faut avoir l'estomac bien accroché. Car le Point nous parle de « l'assiette de Neandertal ». C'est une géochimiste française de 40 ans, Klervia Jaouen, qui a réussi « à reconstituer l'alimentation de Neandertal » « qui s'est éteint il y a environ 40 000 ans », en étudiant l'émail de ses dents. « La chercheuse » nous dit le Point, « dotée de tout son attirail d'instruments de dentiste, tente de déterminer précisément les proportions d'aliments d'origine animale, végétale ou marine de propriétaires des dents qu'elle passe au crible ». Résultat : « En Europe, Neandertal mangeait de grands mammifères, surtout du mammouth, mais aussi du cerf ou du renne. Et (détail croustillant) de la viande putride avec des asticots ». Végétariens s'abstenir…« Il y a bien quelques exemples de consommations de coquillages, poissons et mammifères marins mais on ne sait pas encore », nous dit Klervia Jaouen, « si c'était fréquent ou anecdotique. » Enfin, on sait aussi que « certains individus consommaient des dattes en Irak, et du nénuphar en Belgique» . Voilà peut-être de quoi relancer l'appétit des végétariens...
Culture Numérique, c'est le podcast qui décrypte pour vous le meilleur de l'actu tech, chaque semaine ! Au programme de cet épisode :L'AGI pourrait arriver avant 2030 et mettre en danger l'humanitéLes jeunes passent plus de 5 heures par jour devant les écrans, l'ARCOM s'inquièteTrump relance une guerre économique, l'Europe prépare sa riposte contre les GAFAMVotre futur iPhone pourrait coûter 43 % plus cher à cause des taxes de TrumpAmazon lance un bouton “Acheter pour moi”, même sur les sites concurrentsMicrosoft offre 50 000 certifications IA gratuites pour booster vos compétencesSuivez toute l'actualité du numérique sur Siècle Digital et abonnez-vous au podcast Culture Numérique pour ne manquer aucun épisode ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le 9 février 2004, Maura Murray, une étudiante de 21 ans en soins infirmiers à l'Université du Massachusetts à Amherst, disparaît dans des circonstances mystérieuses. Vers 19 h, sa voiture est retrouvée accidentée contre un banc de neige sur la route 112, à Woodsville, dans le New Hampshire. Un témoin appelle la police à 19 h 27, mais lorsque les autorités arrivent sur place, vers 20 h, Maura s'est volatilisée. En 2025, un homme du nom de Steffen Baldwin est arrêté pour un tout autre crime. Dans la foulée de son arrestation, ses empreintes digitales sont associées à d'autres relevées dans la voiture abandonnée de Maura Murray en 2004. Vous allez voir, c'est fascinant!
Marie-Laure partage son inquiétude face à l'engagement religieux de sa fille unique, Déborah, qui semble sous l'emprise d'une communauté évangélique, mettant en péril leur relation et sa propre stabilité.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le PSG a décroché son treizième titre de champion de France et est toujours en course pour terminer invaincu ! Grâce à sa victoire face à Angers (1-0) au Parc des Princes, le Paris Saint-Germain est déjà champion de France alors que les observateurs annonçaient une saison compliquée pour les Parisiens, les coéquipiers de Dembélé ont écrasé la concurrence et se dirigent vers une saison historique avant d'affronter Aston Villa en Ligue des Champions. Retour sur la saison du PSG dans le mag du WFC.
ENEBA.com – Le meilleur endroit pour acheter des jeux (PS4, Xbox, PC) https://ene.ba/TheSharePlayersCartes cadeau numériques https://ene.ba/TheSharePlayers-Gift-CardsAchetez vos jeux vidéo favoris au meilleur prix ! https://ene.ba/TheSharePlayers-GamesSuite à mécontentement des joueurs et aux premières previews de la presse spécialisée, nous vous faisons part de notre inquiétude concernant la switch 2.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Didier Giraud et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
L'Europe fait face à une situation géopolitique inédite, marquée par l'incertitude entourant la politique américaine et l'agressivité russe. La guerre en Ukraine a poussé les Européens à renforcer leurs capacités de défense, mais des interrogations demeurent sur leur capacité à structurer une stratégie commune. Les Européens ont compris que les États-Unis ne sont plus un allié fiable pour assurer la défense de l'Europe. Une diplomatie de la force se met en place avec des menaces économiques réelles via des taxes sur les produits que les Européens exportent vers les États-Unis. Un double basculement est intervenu, idéologique et économique. La guerre n'est plus un objet lointain. Elle devient un possible. L'inquiétude prédomine désormais en Europe. Inquiétude, mais aussi indignation d'une certaine manière. Indignation et également colère. L'attitude du président américain constitue un tournant. La géopolitique mondiale est en pleine recomposition.Invité : Thierry de Montbrial, fondateur et président de l'IFRI. « L'ère des affrontements. Les grands tournants géopolitiques. Comment en est-on arrivé là ? » éditions Dunod.
Pas de répis pour nos Grandes Gueules du Sport, ils passent la seconde ! L'une des grosses actus sportives décryptée par nos GG.
De nombreux pays européens se préparent à une éventuelle escalade et redoutent un impact sur les exportations agroalimentaires à destination des États-Unis. Les fromages, vins et spiritueux – dont le whisky écossais - sont particulièrement concernés. La guerre commerciale entre les États-Unis et l'Europe aura-t-elle lieu ?La stratégie économique de Donald Trump passe clairement par les taxes douanières, Washington impose 25% sur l'acier, et menace de taxer le vin et les spiritueux européens à 200%. Pour l'instant en Grande-Bretagne, l'industrie des boissons se fait discrète pour ne pas s'attirer la colère des États-Unis, grands consommateurs de Gin et de Whisky. En Écosse, la production du scotch, le whisky single malt, repose pour partie sur les exportations outre-atlantique, et un conflit ouvert pourrait être fatal aux distilleries indépendantes. Reportage à Aberdeen, Thomas Harms. La chronique de la revue Contexte Indépendance énergétique de l'UE : peut mieux faireEn février 2022, l'invasion de l'Ukraine par la Russie forçait les Européens à se libérer de leur dépendance aux énergies russes. Après un mouvement de panique inflationniste, les 27 ont réformé les règles du marché et diversifié les approvisionnements... Est-ce suffisant aujourd'hui ? Avec Anna Hubert, journaliste spécialisée dans les questions énergétiques chez Contexte.com. Le choix musical de Vincent Théval : Skjold & Peder (Danemark) Stille Les réseaux sociaux dans le box des accusésEn Allemagne, un procès unique en son genre a eu lieu la semaine dernière : celui des médias sociaux... Un procès symbolique organisé par le Tribunal des peuples du monde, organisation basée à Berlin qui met en lumière les lacunes de la justice internationale. Elle avait déjà mené un procès contre Vladimir Poutine et un autre contre le régime chinois. Cette fois, cette instance avait pour objectif de mettre en lumière les limites des médias sociaux en matière de droits de l'homme, à travers le témoignage de victimes. Reportage à Berlin, Delphine Nerbollier.
La stratégie économique de Donald Trump passe par les taxes douanières : 25% sur l'acier, menace de 200% sur le vin et les spiritueux européens. En Grande-Bretagne, l'industrie de la boisson se fait discrète pour ne pas attirer le courroux américain, grand consommateur de gin et de whisky. En Écosse, le whisky single malt, le scotch, repose en partie sur les exportations outre-Atlantique. Une guerre économique pourrait être fatale pour les distilleries indépendantes. Un reportage de notre correspondant à Aberdeen à retrouver dans la longueur dans Accents d'Europe.À lire aussiLe whisky écossais peut-il devenir un modèle de transition écologique?
Dans cette édition :Panne informatique lors du vote d'une disposition de la proposition de loi contre le narcotrafic à l'Assemblée nationale, surchauffe du système de vote électronique après des débats enflammés.Débat sur la nécessité d'imposer aux plateformes de messagerie cryptées comme WhatsApp de communiquer les échanges des trafiquants de drogue aux services de renseignement, la majorité des députés estimant que ce serait une atteinte à la confidentialité des conversations.Inquiétude pour l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal qui risque 10 ans de prison ferme en Algérie, appel d'Emmanuel Macron pour sa remise en liberté.Annonce d'un sommet à Paris la semaine prochaine avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky pour finaliser le soutien militaire à l'Ukraine.Inauguration d'une nouvelle unité de production de poudre explosive pour obus de 155mm à Bergerac, dans le cadre du réarmement européen.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le pape François, hospitalisé depuis trois semaines, a passé une nuit tranquille. Son état de santé préoccupe les fidèles du monde entier. Traduction:Pope Francis, hospitalized for three weeks, had a peaceful night. His health condition worries faithful around the world. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au programme de Radio foot internationale ce lundi à 16h10 TU : - Le classico entre le PSG et l'OM s'est joué hier soir (16 mars 2025). Verdict : 3 buts à 1 pour les Parisiens leaders du championnat, reléguant Marseille, 2ème, à 19 points. ; - En Angleterre, Newcastle a remporté son premier trophée depuis 70 ans face à Liverpool ce week-end. ; - Ce week-end, avait lieu une vente aux enchères de maillots de collection qui appartenaient à l'ancien intendant des Bleus, Henri Émile. Le classico entre le PSG et l'OM s'est joué hier soir. Verdict : 3 buts à 1 pour les Parisiens leaders du championnat, reléguant Marseille, 2ème, à 19 points.Le PSG est-il trop fort ? Le classico existe encore ?Nous ferons aussi un point sur la course à la qualification à la Ligue des Champions en Ligue 1.En Angleterre, Newcastle a remporté son premier trophée...depuis 70 ans face à Liverpool ce week-end.Une semaine ratée pour les Reds, à l'image des performances de son leader Mohamed Salah.Inquiétant pour la suite ?Ce week-end, avait lieu une vente aux enchères de maillots de collection, qui appartenaient à l'ancien intendant des Bleus Henri Émile. Un maillot de Zinedine Zidane a été adjugé à 52 000 euros.Mathis Landais, reporter pour le service des sports de RFI, était présent, il sera en studio pour nous raconter les coulisses.Autour d'Hugo Moissonnier, nos consultants Chérif Ghemmour, Marc Libbra et Dominique Séverac. Réalisation/TCR : Saliou Diouf, Laurent Salerno.
Au programme de Radio foot internationale ce lundi à 16h10 TU : - Le classico entre le PSG et l'OM s'est joué hier soir (16 mars 2025). Verdict : 3 buts à 1 pour les Parisiens leaders du championnat, reléguant Marseille, 2ème, à 19 points. ; - En Angleterre, Newcastle a remporté son premier trophée depuis 70 ans face à Liverpool ce week-end. ; - Ce week-end, avait lieu une vente aux enchères de maillots de collection qui appartenaient à l'ancien intendant des Bleus, Henri Émile. Le classico entre le PSG et l'OM s'est joué hier soir. Verdict : 3 buts à 1 pour les Parisiens leaders du championnat, reléguant Marseille, 2ème, à 19 points.Le PSG est-il trop fort ? Le classico existe encore ?Nous ferons aussi un point sur la course à la qualification à la Ligue des Champions en Ligue 1.En Angleterre, Newcastle a remporté son premier trophée...depuis 70 ans face à Liverpool ce week-end.Une semaine ratée pour les Reds, à l'image des performances de son leader Mohamed Salah.Inquiétant pour la suite ?Ce week-end, avait lieu une vente aux enchères de maillots de collection, qui appartenaient à l'ancien intendant des Bleus Henri Émile. Un maillot de Zinedine Zidane a été adjugé à 52 000 euros.Mathis Landais, reporter pour le service des sports de RFI, était présent, il sera en studio pour nous raconter les coulisses.Autour d'Hugo Moissonnier, nos consultants Chérif Ghemmour, Marc Libbra et Dominique Séverac. Réalisation/TCR : Saliou Diouf, Laurent Salerno.
durée : 00:05:23 - Avec sciences - par : Alexandre Morales - Une nouvelle publication dans The Lancet soutient qu'à travers le monde, l'obésité et le surpoids ont doublé en 30 ans. En 2050, 60 % de la population mondiale devrait être touchée.
Démarrez-vous parfois vos journées avec un nuage d'inquiétude qui vous suit partout et qui colore votre journée en gris foncé ? Je vais vous faire une confession, je suis moi-même de nature anxieuse.
durée : 00:06:27 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - A Pékin, des femmes enceintes et des bébés présentent des taux de lithium anormalement élevés, jusqu'à 20 fois supérieurs à ceux d'autres villes industrielles chinoises.