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Au menu de la troisième heure des GG du jeudi 26 juin 2025 : "Les garagistes en panne de mécanos, la profession inquiète" avec Charles Consigny, avocat, Emmanuel de Villiers, entrepreneur, et Flora Ghebali, militante écologiste.
Avec : Pierre Rondeau, économiste. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Robert Sebbag, infectiologue à la Pitié-Salpêtrière. - Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Avec : Pierre Rondeau, économiste. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Robert Sebbag, infectiologue à la Pitié-Salpêtrière. - Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs L'Iran menace de bloquer le détroit d'Ormuz. Verrou du golfe Persique, ce passage maritime assure chaque jour entre 20 et 30 % de l'approvisionnement mondial de pétrole et de gaz. Sa fermeture aurait des répercussions économiques planétaires. Un article de Martine Orange publié lundi 23 juin et lu par Jérémy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pavel Durov, le patron du réseau social Telegram, a été arrêté et placé en garde à vue par la justice française samedi 24 août 2024. Une information judiciaire portant notamment sur des faits commis en bande organisée a été ouverte. Elle met en lumière les multiples controverses autour de la plateforme Telegram. À première vue, Telegram ressemble à n'importe quel service de messagerie instantanée, à l'instar de Whatsapp. C'est un service gratuit qui rassemble aujourd'hui près de 900 millions d'utilisateurs dans le monde. Il offre différents systèmes de communication, allant du simple chat entre amis, aux groupes comptant des milliers de personnes, ainsi que des canaux dans lesquels les abonnés peuvent seulement accéder au contenu partagé sans possibilité d'interagir. Qu'est-ce que Telegram ? Et qu'est-ce qu'on y trouve ? Quelles ont été les réactions à l'international après l'arrestation de Pavel Durov ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. À écouter aussi : Pourquoi ces villes ne pourront-elles plus accueillir les Jeux Olympiques ? Les femmes sont-elles vraiment plus émotives que les hommes ? Dracula a-t-il vraiment existé ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le : 29/08/2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Recomendados de la semana en iVoox.com Semana del 5 al 11 de julio del 2021
¿Cansado/a de las soluciones mágicas y las frases vacías en salud mental? En Inquietame, los psicólogos Jose Molina y Carla Melián te invitan a un espacio donde la verdad, por incómoda que sea, es siempre el primer paso hacia el bienestar. Aquí no encontrarás clichés ni autoayuda superficial. Nos adentramos en las realidades menos dichas, desafiamos los mitos populares y te ofrecemos una visión objetiva, crítica y técnica de lo que realmente significa cuidar tu mente. Cada episodio es una inmersión profunda en temas que te afectan: desde la presión de la "positividad tóxica" y el engaño de las "curas rápidas", hasta la complejidad de las relaciones que agotan y la importancia radical de poner límites. Queremos inquietarte para que pienses, para que cuestiones y para que te empoderes con conocimiento real. Si buscas una perspectiva honesta, sin adornos, y estás listo/a para desaprender lo que no te sirve y construir un bienestar sólido, Inquietame es tu podcast. Porque la claridad, aunque a veces duela un poco, es el camino más directo hacia una vida más consciente y plena. Escúchanos y empieza a comprender lo que de verdad importa en tu salud mental. 👇 MÁS INFO SOBRE NOSOTROS 👇 Inquiétame es un podcast de psicología creado por Jose Molina y Carla Melián, psicólogos en Centros Cambio, un centro de psicologia con sede en Las Palmas de Gran Canaria. Hablamos de salud mental como se habla de la vida: con ciencia, cercanía y sin filtros. Desmontamos mitos, abrimos melones emocionales y reflexionamos sobre lo que de verdad mueve, bloquea o transforma. 📍Atendemos de forma presencial en Las Palmas y también de manera online. 🔗 Descubre más sobre nuestro equipo y pide cita en: https://centroscambio.es 📅 Pide cita con nosotros: https://centroscambio.es/cita-psicologia-las-palmas/ 📬 Apúntate a nuestra newsletter de salud mental: https://centroscambio.es/psiconecta-newsletter-de-salud-mental/ 🎧 Inquiétame forma parte de la familia iVoox Originals.
Plongée dans les coulisses de la surprenante nomination de Léa Salamé au 20h de France 2.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Vous ne savez pas dans quoi investir en Bourse ? Des gérants vous donnent des idées de valeurs, secteurs, matières premières ...
Analyse, reportage, décorticage : les GG vous expliquent le gros dossier de la semaine !
durée : 00:05:41 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - La police et la classe politique portugaises s'inquiètent de la menace néonazie, après que des membres d'extrême droite ont été arrêtés pour terrorisme, notamment : ils prévoyaient d'envahir l'Assemblée nationale. Le parlement revoit ses règles de sécurité.
Vendredi 20 juin, la stratégie à adopter face à l'inquiétude des marchés sur la situation géopolitique, a été abordée par Wilfrid Galand, directeur stratégiste de Montpensier-Arbevel, Christopher Dembik, conseiller en stratégie d'investissement chez Pictet AM, Stéphanie Maugey, gérante de portefeuille à la Financière d'Uzès, et Céline Piquemal-Prade, présidente de Piquemal Houghton Investments, reçu par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.
Où l'on parle de Batman, mais aussi de Wayward Pines.
Le Congrès américain débat actuellement de la réforme de Medicaid, le programme d'assurance santé pour les plus modestes. Pour financer des baisses d'impôts, les républicains proposent de couper jusqu'à 700 milliards de dollars dans Medicaid. Une mesure déjà votée par la Chambre des représentants, mais qui inquiète bénéficiaires et professionnels de santé. Reportage en Caroline du Nord par notre correspondant Edward Maille. Nancy est électrice de Donald Trump en Caroline du Nord, et handicapée depuis sa naissance. Elle craint de perdre l'accès aux soins vitaux que lui garantit ce programme, comme elle le confie au micro de notre correspondant Edward Maille. Medicaid couvre des millions d'Américains précaires, des personnes handicapées, des femmes enceintes ou encore des retraités. Son financement est partagé entre le gouvernement fédéral et les États, qui peuvent décider d'en élargir l'accès. En Caroline du Nord, l'extension de Medicaid a permis à des personnes comme Todd de se soigner sans se soucier du coût. Pour lui, couper dans ce programme n'est pas la bonne solution pour réduire le déficit, tant son rôle est crucial dans la vie de nombreux citoyens. Au-delà des bénéficiaires, une baisse du budget de Medicaid menacerait aussi l'équilibre économique des établissements de santé. Dans cette région, 60% des patients en maisons de soins infirmiers dépendent de Medicaid. Le président des services luthériens locaux, Ted Goins, alerte sur les conséquences : fermetures de centres, baisse de la qualité des soins et aggravation de la pénurie de personnel qualifié. Un affaiblissement du programme toucherait ainsi l'ensemble du système de santé. Aux États-Unis, un cinquième de la population et 40% des enfants bénéficient de ce programme public. Le New York Times met en garde contre une intervention américaine Dans son éditorial, met en garde le président américain : « Les États-Unis ne doivent pas se précipiter dans une guerre contre l'Iran », écrit le journal. Pour le journal, si Donald Trump veut engager les États-Unis aux côtés d'Israël, « le Congrès doit d'abord autoriser l'usage de la force militaire ». La Constitution américaine est claire : seul le Congrès peut déclarer la guerre, sauf en cas d'attaque directe – ce qui n'est pas le cas ici, souligne le New York Times. Le journal rappelle que même lors de conflits majeurs comme Pearl Harbor, le Vietnam ou l'Irak, le Congrès a toujours été consulté. Le New York Times n'exclut pas que l'Iran représente une menace nucléaire, mais rappelle qu'en 2015 un accord avait permis d'encadrer son programme nucléaire. Aujourd'hui, l'Iran est affaibli, et une solution diplomatique reste possible. Une guerre serait « un choix délibéré », pas une nécessité, poursuit le quotidien. Donald Trump, longtemps opposé aux interventions étrangères, a lui-même plaidé pour un accord diplomatique avec l'Iran. S'il change d'avis, conclut le journal, « il doit convaincre la nation » et non pas « contourner le débat public ». Car « les décisions de guerre ne doivent jamais reposer sur un seul homme. », écrit le New York Times. Les péronistes mobilisés en faveur de Christina Kirchner La presse revient aussi sur la mobilisation massive du péronisme en soutien à Cristina Fernández de Kirchner. Pour le journal Perfil, la manifestation hier sur la Plaza de Mayo ne se limitait pas à un acte de solidarité : elle voulait affirmer que c'est tout un modèle de société qui est attaqué. Les péronistes accusent le gouvernement de Javier Milei de représenter les intérêts des puissances économiques hostiles à une redistribution équitable. En parallèle, cette situation marque un tournant stratégique pour le péronisme, écrit Perfil. L'impossibilité pour Cristina Kirchner de se présenter aux prochaines élections ouvre un débat sur l'orientation future du mouvement et la question de savoir qui pourrait l'incarner. Tandis que la base se mobilise autour de la défense de l'ancienne présidente, des gouverneurs, des syndicalistes et autres cadres politiques commencent à esquisser un scénario post-kirchnériste, dans l'espoir de faire renaître un péronisme uni, capable de reconquérir le pouvoir. La détention d'un ancien président est une tradition en Argentine Oui, selon Clarin, c'est une constante dans l'histoire contemporaine de l'Argentine. Le journal rappelle que c'est Isabel Perón qui a connu la détention la plus longue pour un ancien chef d'État : 5 ans, après avoir été renversée par le coup d'État en 1976. Cristina Kirchner est donc la deuxième responsable péroniste à avoir été condamnée à une peine de prison, mais elle se distingue par son attitude très combattive. Elle mobilise ses partisans, cherche à incarner un leadership vacant — peut-être celui de l'opposition face à Javier Milei, selon Clarin. Journal de la 1ère La saison des cyclones s'annonce intense.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Antoine Diers et Etienne Liebig débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Oklahoma City mène 3-2 après son succès lundi soir au Paycom Center. Une victoire très bien maîtrisée malgré le retour des Pacers dans le quatrième quart-temps. Mais cette fois, le Thunder a appris de ses erreurs du game 1 pour conclure parfaitement la partie.Jalen Williams a signé son record en Playoffs (40 pts) tandis que Tyrese Haliburton, blessé au mollet, a été transparent (aucun tir marqué !). Le coaching de Rick Carlisle, qui a laissé son meneur sur le parquet en fin de match, a-t-il été défaillant ? En tout cas, OKC aura une première balle de match dans la nuit de jeudi à vendredi, sur le terrain des Pacers.On revient aussi sur le trade de Desmond Bane au Magic : avec ce transfert cher payé (4 premiers tours de draft notamment), Orlando a décidé de tenter un coup et s'affirme comme un candidat au titre la saison prochaine. Dans le même temps, ce transfert pourrait signifier le début d'une reconstruction à Memphis. Doit-on s'attendre aux départs de Ja Morant et Jaren Jackson Jr ?Avec Chris Singleton et Nicolas Sarnak.Jacques Monclar, Rémi Reverchon, Mary Patrux, Xavier Vaution, Fred Weis et Chris Singleton décryptent l'actualité de la NBA dans le Podcast NBA Extra, présenté par Nicolas Sarnak et Baptiste Denis.En complément de l'émission lancée en 2012, beIN SPORTS a créé, avec ce podcast, un nouveau format pour revenir en profondeur sur la ligue nord-américaine de basketball. Chaque semaine, les membres de l'émission débattent autour de trois thèmes majeurs, qui font l'actualité de la NBA.Un podcast à retrouver aussi sur Youtube : https://tinyurl.com/y4sabkns Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Pour débuter l'émission de ce lundi 16 juin 2025, les GG : Éléonore Lemaire, chanteuse lyrique et professeur d'aïkido, Charles Consigny, avocat, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent du sujet du jour : Israël/Iran, la guerre vous inquiète-t-elle ?
Budget 2025/2026 : l'âge d'éligibilité à la pension à 65 ans et le recrutement insuffisant, les inquiétudes des personnels hospitaliers by TOPFM MAURITIUS
Sans surprise, l'Iran a mené cette nuit une opération de représailles contre les frappes israéliennes. Le Jerusalem Post a passé, nous dit-il, « une nuit dans un abri israélien, sous les missiles iraniens ». L'un des habitants raconte : « j'étais à un dîner pour Shabbat lorsque les deux vagues de missiles ont été lancées depuis l'Iran (…) Nous étions une vingtaine, et nous avons été stupéfaits de voir la vidéo d'un missile s'écraser sur le centre d'Israël, d'autant que ça s'est passé à seulement quelques pâtés de maisons d'où nous nous trouvions ». Le reporter du Jerusalem Post raconte « les centaines de secouristes », qui sont sur place. « Plusieurs heures après le drame », ajoute-t-il, « des familles sortaient encore du bâtiment. Des parents portaient des bébés (…) je n'ai vu ni larmes ni panique. Seulement des gens qui en ont tellement vu, qui ont tellement vécu et qui sont terriblement fatigués. » Réactions en Iran De son côté, Courrier international a cherché à savoir comment les Iraniens réagissent aux frappes menées par Israël. « Réveillés en pleine nuit par le bruit assourdissant des multiples explosions dues aux frappes », nous dit-on, « les habitants de Téhéran sont descendus en panique dans les rues. Dès le matin, de longues files d'attente se sont formées devant les stations-services, aussi bien à Téhéran qu'ailleurs dans les grandes villes du pays, par crainte de pénurie ou de hausse des prix. » Courrier international reprend par ailleurs les propos du site réformateur Asr-e Iran, qui « reproche au régime "de ne pas avoir pris au sérieux les avertissements contre une possible infiltration" des services de renseignements israéliens ». Le même site d'information iranien ajoute que « si le régime n'est pas en mesure de faire "regretter aux Israéliens" leur attaque par une riposte d'envergure, il vaudrait mieux envisager "une révision de profondeur de sa politique", vis-à-vis d'Israël. » Pari risqué La situation, en tout cas, suscite l'inquiétude. Inquiétude exprimée notamment par le journal Libération, qui parle « d'un embrasement dangereux aux accents religieux ». « L'attaque israélienne spectaculaire contre l'Iran », poursuit le quotidien français (…) « représente d'un point de vue militaire une énorme réussite. Du point de vue politique, par contre, elle met en danger des millions de civils, y compris la population israélienne, et fait basculer le Moyen-Orient dans un embrasement que les pompiers habituels (les États-Unis, le Conseil de sécurité et les États avoisinants) ne peuvent ou ne veulent plus éteindre ». Enfin, en Espagne, El Païs parle « d'un pari risqué », estimant que « l'attaque israélienne encourage ceux qui, en Iran, voient la bombe atomique comme une garantie de survie du régime ».
Vendredi 13 juin, l'impact de la situation en Moyen-Orient sur l'économie et les marchés a été abordé par Hervé Goulletquer, conseiller économique senior chez Accuracy, Ana Boata, directrice de la recherche macroéconomique d'Allianz Trade, Christian Bito, professeur de finance à l'ESSEC Business School, et Frédéric Rozier, gérant chez Mirabaud France, reçus par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.
Ecoutez RTL Midi avec Céline Landreau et Vincent Parizot du 13 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, entre 9h et 9h30, retrouvez Pascal Praud dans L'Heure des Pros en direct sur CNews et Europe 1. Ce jeudi, il cherche des solutions pour éviter que le drame de Nogent ne se reproduise. Selon lui, il y a des choses à faire en matière d'éducation. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi 10 juin, le poids de la dette américaine, les risques liés au défaut de solvabilité de l'État américain et le principe de fonctionnement des CDS, des contrats d'assurance destinés à se protéger contre ces risques, ont été abordés par Florian Ielpo, chargé de la Macroéconomie chez Lombard Odier, dans Tout pour investir, présenté par Lorraine Goumot, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La guerre à Gaza est notamment subie par les enfants palestiniens, population qui représente la moitié des Gazaouis et à laquelle s'intéresse Politis cette semaine, avec ce titre « l'Enfance assassinée ».Il y a d'abord ce témoignage de Bilal, 15 ans. « Le jeune garçon est trop maigre pour son âge. Trop fatigué également. Parce que les adolescents sont considérés comme plus agiles, plus résistants, chaque jour, ils parcourent des kilomètres au milieu des tentes et des ruines pour trouver des aliments, de l'eau ou de quoi faire du feu. » La survie a désormais totalement pris le pas sur l'éducation dans ce territoire où le taux d'analphabétisme était déjà parmi les plus faibles au monde avant la guerre : autour de 2 %, selon l'Unicef. Depuis, neuf écoles sur dix ont été rayées de la carte, soupire Politis. « Un éducide », enchérit le chercheur Ziad Majed, pour qui les attaques israéliennes montrent une volonté d'en finir avec le système éducatif. « On m'a volé ma vie », souffle Rihab, 15 ans également, qui rêvait d'université.« On m'a volé cette joie » fulmine pour sa part Hala dans le dossier du Point intitulé « Où va Israël ? » et qui revient aussi sur le sort des Gazaouis. À 23 ans, la jeune femme a fini par obtenir une licence de littérature sous les bombes,« et remplit ses journées de lecture, d'écriture et de musique pour ne pas sombrer ».La « guerre sans fin » de Benyamin NetanyahouLe Point grogne devant cette « fuite en avant personnelle » de Benyamin Netanyahou, le premier ministre israélien s'enfermant dans une réalité parallèle, pensant ainsi qu' « une majorité immense [d'Israéliens] dit, Bibi n'arrêtez pas! », alors que la population rejette grandement la politique de son gouvernement. « Les sondages qui donnent sa coalition perdante au prochain scrutin ? Truqués et fabriqués de toutes pièces. »Interrogé par l'hebdo, l'ancien chef des renseignements de l'armée israélienne Tamir Hayman confie que « l'idée d'une victoire totale est illusoire ». « Sur le plan politique, explique-t-il, la raison pour laquelle l'exécutif ne veut pas la fin de la guerre, c'est qu'elle entrainera l'organisation de nouvelles élections qui aboutiront à la chute de la coalition gouvernementale de Benyamin Netanyahou. »Emmanuel Macron prend de la distance avec la politique d'Israël à GazaUne « trajectoire sinueuse » tracée par le président français que raconte Le Nouvel Obs avec notamment cette infographie qui tente d'établir une corrélation entre l'évolution du discours d'Emmanuel Macron sur ce conflit et celle du nombre de morts à Gaza.« Il sert du "dear Bibi" », (cher Bibi), cher Benyamin Netanyahou donc, « alors que 6 000 personnes ont déjà été tuées à Gaza », puis évoque une coalition anti-Hamas « dont il n'a parlé à personne ». Des ambassadeurs français dénoncent dans une note interne « le virage pro-israélien du président. »Puis la sémantique change à l'autonome dernier. Emmanuel Macron prend aussi conscience qu'une reconnaissance de l'État de Palestine lui « permettrait de laisser une trace dans l'Histoire ». Désormais, « il s'est engagé trop loin pour reculer, estime le chercheur Jean-Paul Chagnoleau, si la séquence qu'il a enclenchée n'aboutit pas, sa parole disparaitra. »La protection des océans, sujet de préoccupation internationaleAvec l'ouverture lundi de la conférence des Nations unies sur l'océan à Nice, Emmanuel Macron lance un appel à la « remobilisation sur l'écologie » dans plusieurs titres, dont Le Parisien Dimanche. Le dirigeant français « a connu des marées hautes et des marées basses », tente le journal de la capitale, mais estime « ne pas avoir de leçon d'écologie à recevoir. »Dans le sud-est de la France, « entouré d'une cinquantaine de chef d'États, il n'y en a jamais eu autant se félicite-t-il », il ratifiera un texte sur l'interdiction de la pêche illégale, et plaidera pour un renforcement des aires marines protégées et un moratoire d'exploitation des grands fonds marins.Des abysses convoitésLe Nouvel Obs part d'un exemple, celui de Gerard Barron, « sulfureux chef d'entreprise australien » à la tête d'un empire minier. Pour le « Elon Musk des abysses » comme il est surnommé, « l'horizon s'est subitement éclairci avec l'arrivée au pouvoir de Donald Trump », le président américain ayant signé en mars un décret autorisant l'extraction de minéraux jusque dans les eaux internationales.C'est même « une nouvelle ruée vers l'or », jubile une agence aux mains de l'administration Trump, qui pourrait doper le PIB de 300 milliards de dollars et créer 100 000 emplois en 10 ans. Également intéressée, « la Chine multiplie aussi les campagnes exploratoires dans le Pacifique », souligne l'Express qui dédie aussi ses pages Géopolitique à la « guerre des abysses. »« Un terrain qui par son opacité favorise les modes d'actions offensifs » décrypte encore l'Express, notant que l'armée de la France, pays « qui possède l'un des plus grands domaines maritimes avec ses territoires d'outre-mer », se dote d'outils de surveillance de pointe, comme ce drone pouvant plonger à 6 000 mètres de profondeur.Inquiétude des défenseurs de l'environnementSauf l'exploitation du cobalt, cuivre et autres manganèses sous-marins, ce n'est « pas sûr que Mère Nature s'en réjouisse » grince Le Nouvel Obs. L'océan joue « un rôle crucial de régulation du climat », avec un quart de nos émissions de CO2 captées chaque année.Le chercheur Bruno David craint qu'« une fois remués, les sédiments qui tapissent les fonds des mers ne relarguent dans l'atmosphère le CO2 stocké ». Sans oublier la « vie foisonnante » abritée par les fonds marins et qui risque d'être grandement perturbée.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Inquiétude autour de ce Français disparu en Ukraine. Le nombre total de Français tué en Ukraine depuis le début du conflit, qu'il s'agisse de bénévoles, de combattants, auprès de Kiev ou de Moscou, demeure assez difficile à évaluer. On estime que moins d'une dizaine de combattants français engagés auprès de l'armée ukrainienne sont morts. Parmi eux, Eric Coursier, 21 ans, originaire de Bron. Nicolas Burnens a pu s'entretenir avec sa famille pour RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'Union africaine s'est dite "préoccupée", N'Djamena "surprise", et Brazzaville a dénoncé un "malentendu" après l'interdiction d'entrée sur le territoire américain aux ressortissants de sept pays africains, dont le Tchad et le Congo-Brazzaville, sur douze Etats concernés au total. Le Tchad a annoncé jeudi "suspendre l'octroi des visas aux citoyens des États-Unis d'Amérique", en réaction à la décision du président américain Donald Trump, qui s'applique également à la Guinée équatoriale, l'Erythrée, la Libye, la Somalie et le Soudan.
Depuis près d'un an, les paysans du nord du Ghana peuvent cultiver et commercialiser un niébé génétiquement modifié, conçu localement. Mais cette évolution n'est pas perçue d'un bon œil par l'ensemble de la communauté agricole ghanéenne. Certains fermiers craignent notamment d'être dépossédés de leur organisation traditionnelle. De notre correspondant à Accra,Plus de résistance face aux ravageurs de cultures, moins de pesticides, un rendement jusqu'à quatre fois supérieure à sa variété traditionnelle : voici les promesses du Niébé Bt, cette légumineuse génétiquement modifiée, commercialisée depuis juillet 2024 au Ghana. Jerry Nboyine est l'un des chercheurs ghanéens qui ont conçu cette variété : « C'est le fruit d'un travail collaboratif avec le Burkina Faso et le Nigeria. Nous avons négocié ensemble auprès de Bayer-Monsanto pour avoir accès au gène avec lequel nous avons développé le niébé. »Selon le chercheur, les premières récoltes en octobre 2024 ont été un réel succès, malgré une sécheresse intense, provoquant de nombreuses pertes chez les fermiers ayant planté le niébé traditionnel. Mais, au-delà du rendement, Jerry Nboyine espère surtout préserver la santé des agriculteurs. « Les fermiers ne souffriront plus de l'empoisonnement lié à l'usage de pesticides. Même chose du côté du consommateur : l'empoisonnement dû aux insecticides présents sur le niébé que l'on a acheté appartiendra au passé », estime-t-il.Inquiétudes et réglementationD'autres acteurs de l'agriculture ghanéenne craignent au contraire que ces nouvelles variétés provoquent une multiplication du risque sanitaire. Parmi eux se trouve l'association des fermiers paysans du Ghana, forte de plus d'un million de membres à travers le pays. Awal Wepia en est le président. Il craint également une dépossession de la production au profit de multinationales du génie génétique. « Cela risque de détruire notre système traditionnel de distributions de graines. Nous avons des producteurs de graines, si on introduit les cultures OGM, bien entendu que cela va supprimer leur travail, met-il en avant. Les vrais problèmes à régler sont l'irrigation, la valeur ajoutée des cultures, la mécanisation et le marketing. » Réunies en coalition, les anti-OGM ont saisi la justice ghanéenne à deux reprises, sans succès.Les tribunaux ont néanmoins insisté sur la nécessité de respecter le droit en vigueur, par un corps législatif complet. « Nous avons la loi de biosécurité, également la réglementation sur la biosécurité, qui prévoit les lignes directrices sur ce que l'on peut cultiver. Nous sommes aussi signataires de nombreux protocoles internationaux en vigueur dans le monde entier », détaille Samuel Amofa, chargé de communication à l'autorité nationale de biosécurité, la NBA. À ce jour, le Ghana a autorisé la commercialisation de 14 autres cultures OGM de maïs et de soja.À lire aussiGhana: l'opposition manifeste contre la destitution de la présidente de la Cour suprême
Laurent Valdiguié, en compagnie de Ronald Guintrange, revient sur de grandes affaires policières et judiciaires faisant l'actualité. Chaque week-end, l'émission pilotée par Ronald Guintrange avec à ses côtés Laurent Valdiguié, consultant police/justice BFMTV, traite d'un événement majeur de la semaine, ainsi que d'autres affaires qui sont revenues sur le devant de la scène. BFMTV, 1ère chaine d'information en continu de France, vous propose toute l'info en temps réel avec 18h d'antenne live par jour et des directs partout à travers le monde où l'actualité le nécessite. BFMTV, c'est aussi les débats et les grands reportages d'actualité. Retrouvez BFMTV sur le canal 15 de la TNT et sur BFMTV.com.
Quand vous glissez des emojis dans vos messages ou dans vos publications sur les réseaux sociaux, vous en dites souvent bien plus que ce que vous croyez. C'est ce que révèle une étude récente menée par des chercheurs de l'Oklahoma State University, publiée dans la revue Current Psychology. Selon leurs résultats, ces petits symboles apparemment inoffensifs peuvent être révélateurs de traits de personnalité… parfois inquiétants.Une étude chiffrée et rigoureuseL'étude a été menée auprès de 285 étudiants universitaires : 145 femmes, 135 hommes et 5 personnes non-binaires. Chaque participant a été invité à indiquer la fréquence à laquelle il utilisait 40 emojis courants (20 positifs et 20 négatifs) dans différents contextes : messages personnels, publications publiques, ou réactions à d'autres contenus. En parallèle, ils ont rempli des questionnaires standardisés évaluant leurs traits de personnalité, notamment les Big Five (extraversion, névrosisme, etc.) et la Triade noire (narcissisme, machiavélisme, psychopathie).Ce que les emojis disent de vousLes chercheurs ont identifié des liens statistiquement significatifs entre l'usage des emojis et certains traits de personnalité :Chez les femmes, une utilisation fréquente des emojis est corrélée au narcissisme. Cela pourrait indiquer un désir accru de soigner leur image numérique et de susciter une réponse émotionnelle positive chez leurs interlocuteurs.Chez les hommes, une utilisation abondante d'emojis est associée à des scores élevés en machiavélisme (tendance à manipuler autrui à des fins personnelles) et en névrosisme (instabilité émotionnelle, anxiété, irritabilité).Plus surprenant encore, les hommes utilisent certains emojis bien plus fréquemment que les femmes :
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le second tour de la présidentielle polonaise dimanche a l'allure d'un combat entre libéralisme et illibéralisme, avec une forte dimension géopolitique en raison du rôle croissant joué par la Pologne. Trump, Poutine, Zelensky et les partenaires européens de la Pologne observent avec attention.
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le second tour de la présidentielle polonaise dimanche a l'allure d'un combat entre libéralisme et illibéralisme, avec une forte dimension géopolitique en raison du rôle croissant joué par la Pologne. Trump, Poutine, Zelensky et les partenaires européens de la Pologne observent avec attention.
Les millions de tonnes de glace et de roche qui ont détruit en un instant le petit village de Blatten dans les Alpes suisses mercredi ont donné naissance à un lac artificiel qui ne cesse de gonfler et qui risque d'inonder une partie de la vallée en contrebas, selon les autorités locales.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour se rendre "plus virils", de jeunes hommes se filment en train de se couper les cils sur les réseaux sociaux. Sauf que la pratique n'est pas sans risque. Vous allez en entendre parler, du lundi au vendredi à 6h10 sur RTL Ecoutez Vous allez en entendre parler avec Charles Ducrocq du 30 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les millions de tonnes de glace et de roche qui ont détruit en un instant le petit village de Blatten dans les Alpes suisses mercredi ont donné naissance à un lac artificiel qui ne cesse de gonfler et qui risque d'inonder une partie de la vallée en contrebas, selon les autorités locales.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Didier Giraud, Emmanuel de Villiers et Joëlle Dago-Serry débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le verdict du procès Le Scouarnec sera rendu ce mercredi après-midi. Si le pédocriminel encourt une peine de 20 ans de prison, les victimes placent leur espoir dans les peines complémentaires, sans lesquelles l'ancien chirurgien pourrait être libéré d'ici à 2033.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi 26 mai, la décision de l'administration Trump, encore suspendue par un juge, visant à retirer à l'université Harvard le droit d'accueillir des étudiants étrangers, notamment chinois, et les réactions internationales à cette mesure, ont été abordées par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:11:51 - Une semaine dans leurs vies - Dans cette émission littéraire, Florence Seyvos évoque son nouveau roman "Un perdant magnifique" (éditions de l'Olivier) en lice pour le Prix du livre Inter 2025, qui met en lumière la relation singulière entre une fillette, Anna, et son beau-père Jacques. - invités : Florence SEYVOS - Florence Seyvos : Écrivaine et scénariste
La saison des résultats touche à sa fin, et le mois de juin approche, condamnant les commentateurs boursiers – dont votre serviteur – à délaisser les chiffres d'entreprise pour se jeter dans les bras robustes mais redondants de la macroéconomie et de la géopolitique. Syndrome de la redite en vue, rabâchage garanti, platitude assurée. Les messages d'injure sont donc bienvenus pour m'éviter l'engloutissement dans la routine.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Ecoutez Ça va beaucoup mieux avec Jimmy Mohamed du 15 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:04 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Considérée comme la première armée européenne, la France a augmenté de 40% le budget alloué à sa Défense dans son plan de programmation militaire 2024 2030. Sera t-il à la hauteur de l'urgence ? La Cour des comptes s'inquiète des reports de charges qui ont atteint un record historique en 2024.
L'Opus Dei, ou « Œuvre de Dieu » en latin, est une institution de l'Église catholique fondée en 1928 par le prêtre espagnol Josemaría Escrivá de Balaguer. Depuis 1982, elle bénéficie du statut unique de prélature personnelle, ce qui signifie qu'elle est directement rattachée au pape et non à un diocèse territorial . Son objectif principal est de promouvoir la sainteté dans la vie quotidienne, en encourageant les fidèles à sanctifier leur travail et leurs activités ordinaires.Pourquoi l'Opus Dei suscite-t-elle des inquiétudes ?Malgré sa reconnaissance officielle par l'Église, l'Opus Dei est au cœur de nombreuses controverses, alimentant des inquiétudes sur plusieurs aspects de son fonctionnement.1. Secret et influenceL'organisation est souvent perçue comme secrète, avec une structure hiérarchique rigide et une influence significative dans les sphères politiques, économiques et éducatives. Certains critiques la considèrent comme un « État dans l'État » au sein de l'Église, notamment en raison de son réseau étendu de membres influents et de ses ressources financières considérables .2. Pratiques disciplinairesL'Opus Dei est connue pour ses pratiques ascétiques, notamment la « mortification corporelle », où certains membres utilisent des instruments tels que le cilice ou la discipline pour se rapprocher spirituellement de Dieu. Bien que ces pratiques soient volontaires, elles sont critiquées pour leur caractère extrême et leur impact potentiel sur la santé mentale et physique des membres .3. Recrutement et traitement des membresDes allégations ont été faites concernant le recrutement de mineurs et la pression exercée sur eux pour qu'ils s'engagent dans des engagements de vie stricts dès un jeune âge. Par exemple, en Argentine, 43 femmes ont intenté une action en justice contre l'Opus Dei, affirmant avoir été exploitées dès l'adolescence, contraintes à un travail domestique non rémunéré et soumises à une discipline rigoureuse sous prétexte de formation religieuse .4. Cas d'abus et de négligenceL'Opus Dei a été impliquée dans plusieurs scandales liés à des abus sexuels et à une mauvaise gestion des allégations. Un cas notable est celui d'un professeur du collège Gaztelueta en Espagne, affilié à l'Opus Dei, qui a été condamné pour abus sexuels sur un élève. Le Vatican a finalement expulsé le professeur de l'organisation, mais des critiques ont été formulées concernant la lenteur et l'insuffisance de la réponse initiale de l'Opus Dei .5. Réformes et critiques internesFace aux critiques, l'Opus Dei a entrepris des réformes, notamment en réponse aux directives du pape François visant à renforcer la transparence et la responsabilité. Cependant, certains estiment que ces changements sont insuffisants et que l'organisation continue de fonctionner avec un manque de transparence et une résistance au changement.ConclusionBien que l'Opus Dei joue un rôle important dans la vie de nombreux catholiques, ses pratiques internes, son influence et les allégations d'abus suscitent des préoccupations légitimes. La combinaison de son pouvoir, de son secret et des controverses passées continue d'alimenter les inquiétudes quant à sa place et à son rôle au sein de l'Église catholique et de la société en général. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après seulement 3 jours de course le Giro faisait relâche ce lundi histoire de permettre au peloton et aux suiveurs de regagner la péninsule italienne après son petit séjour albanais. 3 jours de course et un maillot rose installé sur les épaules de Mads Pedersen l'un des coureurs phares de ce début de saison qui après une campagne de classiques réussie, a décidé de poursuivre sur sa lancée dans ce premier Grand Tour 2025. Et les Français dans tout ça me direz-vous ? Eh bien nos coureurs ont débuté ce Tour d'Italie de manière pour le moins discrète. Une 16e place pour Bardet, premier français lors de la 1e étape, de moyenne montagne. Une 29e le lendemain lors du chrono pour Godon et enfin une 39e dimanche pour Nicolas Prodhomme coureur de Decathlon AG2r. Bref nos français sont pour l'instant abonné aux etcetera, alors peut-on espérer durant le reste de la course que l'un de nos 13 représentants décroche un bouquet ou va-t-il falloir se contenter de toutes petites miettes comme cela est le cas depuis le début de la saison. Avec seulement 3 victoires tricolore décrochées en world Tour en 2025, nous sommes loin du compte et cela se vérifie au classement UCI où pour la première fois depuis des lustres, aucun coureur français ne figure dans le top 40. Alors faut-il s'inquiéter de cette absence de résultats ? Comment l'expliquer et peut-on espérer une éclaircie durant la saison des Grands Tours qui a débuté avec ce Giro ? Production : Roxanne LacuskaRéalisation : Kevin Paugam
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“Skinny” pour mince en anglais et “Tok” en référence au réseau social TikTok. L'association de ces deux termes donne “SkinnyTok”, un hashtag qui cumule des dizaines de milliers de publications. La tendance SkinnyTok prône l'extrême maigreur, et les professionnels de santé s'inquiètent du risque d'aggravation des troubles du comportement alimentaire pour les adolescentes. Un enjeu de santé publique qui pose aussi la question de la régulation des réseaux sociaux, à commencer par TikTok, développé par l'entreprise chinoise ByteDance. Pour en parler, Sur le Fil a invité Charlyne Buigues, infirmière spécialiste des troubles du comportement alimentaire et Justine Atlan, directrice d'e-enfance, association de protection des mineurs sur internet. Réalisation : Madeleine de Blic Voix : Emmanuelle Baillon Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En Syrie, après 54 ans d'une dictature qui appliquait une censure implacable aux médias et éliminait toute voix critique, une nouvelle ère s'ouvre pour les journalistes en Syrie. L'agence de presse et les chaînes officielles, qui ne servaient qu'à diffuser la propagande du régime, ont été renversées et de nombreux reporters exilés se réinstallent progressivement en Syrie. Ahmed al-Charaa, le nouveau maître de Damas, a promis de faire respecter la liberté d'expression. Si certains veulent y croire et investissent dans la création d'un nouveau paysage médiatique pour la Syrie, d'autres restent méfiants. Travailler et émettre depuis Damas, en plein cœur de la Syrie. Une scène encore impensable il y a quelques semaines pour Mohamed Al Dughaim, producteur de la chaîne Syria TV, un des médias d'opposition les plus suivis en Syrie, dont le siège est à Istanbul en Turquie. « Nous sommes actuellement dans l'hôtel Sheraton, à Damas, et nous avons transformé une partie des chambres de l'hôtel en studio temporaire pour Syria TV, indique-t-il. Nous sommes arrivés à Damas progressivement avec les forces rebelles au fil des offensives militaires, d'abord Alep, puis Hama, puis Homs, et enfin Damas. C'est la première fois que l'on parle de Damas en étant à Damas. C'est un très beau sentiment pour tous les syriens et pour tous les journalistes. »Financée par le Qatar, Syria TV compte 250 employés répartis entre la Syrie et la Turquie. Sur la terrasse de l'hôtel, un plateau télé a été érigé. La chaîne diffuse des informations en direct 3 à 4 h par jour depuis Damas. Pour le producteur originaire d'Idlib, c'est le début d'une nouvelle ère. « Aujourd'hui, on peut parler de tout en Syrie sans être inquiété, sans que les services de renseignement ne vous convoquent, et sans risquer d'être emprisonné. L'avenir des médias en Syrie est bien meilleur qu'à l'époque de Bachar al-Assad. »Après 54 ans de dictature durant lesquels aucune critique du pouvoir n'était tolérée, la nouvelle administration dirigée par Hayat Tahrir Sham (HTS) – l'un des groupes rebelles qui a repris Damas – a annoncé début janvier s'engager en faveur de la liberté d'expression, avec quelques limites. « Dans la nouvelle Syrie, nous garantissons la liberté de la presse, mais il existe des lignes rouges sur certaines questions, comme la diffusion de la haine au sein de la société, ou tout ce qui touche à des sujets susceptibles d'attiser les tensions sectaires. Ne pas préserver la cohésion sociale est aussi une ligne rouge », explique Ali Al Rifai, directeur des relations publiques au ministère de l'Information. Le ministère a aussi annoncé que les journalistes ayant collaboré avec le régime devront rendre des comptes. Dans les cafés de la capitale, de nombreux Syriens se retrouvent pour débattre à haute voix de l'avenir du pays. Une scène, elle aussi, inimaginable il y a peu. « Nous sommes heureux d'avoir cette nouvelle liberté d'expression. J'ai beaucoup confiance dans la société syrienne qui est aujourd'hui très éveillée. Rien ne passe inaperçu. Il y a une pression populaire contre toute décision qui serait inappropriée », raconte Colette Bahna, écrivaine et activiste pour les droits des femmes, qui savoure cette liberté retrouvée. Pour de nombreux syriens, la prudence reste de mise. Seul le temps permettra de savoir si ces promesses de liberté dureront.À lire aussiSyrie: à Jaramana, la vie reprend dans une atmosphère de peur et de méfiance