Commune in Brittany, France
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Peut-être que vous avez déjà perçu un brin d'anxiété chez votre enfant ?Peut-être que vous vous inquiétez parce que votre enfant montre des signes d'anxiété?Si c'est le cas, vous êtes au bon endroit !Astrid Billet est thérapeute spécialiste des réflexes archaïques et de l'anxiété.Dans cet épisode, Astrid vous explique les signes qui pourraient vous indiquer que quelque chose tracasse votre enfant, elle lève le voile sur notre rapport au corps. Parce que oui en 2025 ou en 2026 on a encore du mal à se reconnecter à notre corps et à comprendre comment il fonctionne pour l'apaiser.Ici on vous parle système nerveux, calin papillon, corps qui parle et respiration.Je vous souhaite une très bonne écouteLiens utiles :Il reste des places pour nos 2 retraites :JuinOctobreSi vous voulez télécharger notre guide gratuit pour faire le bilan 2025 Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous connaissez l'adage : le destin réunit ceux qui s'aiment…Eh bien, en écoutant l'histoire de Maud, vous allez peut-être avoir envie d'y croire encore un peu plus. Parce que franchement, par quel miracle un coup de foudre peut-il surgir en pleine vie quotidienne, au beau milieu d'un lieu public ? Par quel miracle deux inconnus peuvent-ils ressentir exactement la même chose au même moment ? Et par quel miracle, alors que tout semble les séparer, ils trouvent malgré tout un moyen de se recontacter… puis de se revoir… puis de ne plus se quitter ?Je vous le dis : ce que vous allez entendre, c'est littéralement un film de Noël, sauf que cette fois, c'est une histoire vraie !Clémentine De La Grange a réalisé cet épisode, Stéphane Bidart l'a monté et mis en musique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
We are running an audience survey to make sure we are best serving our listeners! Complete the survey here: tinyurl.com/thecompoundpod Head to the Binny's at 290 Hawthorn Village Commons in Vernon Hills to get your Parce this week! On this week's episode of the Compound Podcast with Ian Happ, the guys discuss the exodus out of the Mets in New York, with Pete Alonso being the latest Met to leave. Plus, Kenley Jansen, Merrill Kelly and others sign BIG free agent deals! Check out full video episodes on Marquee every Thursday and on YouTube on the Marquee Sports Network channel. To learn more about listener data and our privacy practices visit: https://www.audacyinc.com/privacy-policy Learn more about your ad choices. Visit https://podcastchoices.com/adchoices
Une kleptocratie est un système politique dans lequel les dirigeants utilisent le pouvoir qui leur est confié pour s'enrichir personnellement, au détriment du pays et de sa population. Le mot vient du grec kleptein (“voler”) et kratos (“pouvoir”) : littéralement, c'est le pouvoir exercé par des voleurs.Dans une kleptocratie, l'État fonctionne principalement comme un outil d'enrichissement pour une élite très restreinte : dirigeants politiques, hauts fonctionnaires, parfois familles proches et cercles d'influence. Les institutions censées protéger la société — justice, police, administration fiscale, parlement — deviennent des instruments permettant de dissimuler, faciliter ou légaliser le détournement de ressources publiques.Les caractéristiques d'une kleptocratie1. Corruption systémiqueLes détournements ne sont pas isolés : ils sont intégrés dans le fonctionnement du régime. Les contrats publics, les concessions minières, les marchés d'infrastructures deviennent des sources de commissions occultes.2. Opacité et absence de contre-pouvoirsLa justice est muselée, les médias contrôlés, les lanceurs d'alerte intimidés. La transparence budgétaire est réduite, ce qui permet aux dirigeants de cacher leurs enrichissements.3. Blanchiment de l'argent voléL'argent détourné est souvent transféré à l'étranger via des paradis fiscaux, des sociétés écrans ou des achats immobiliers. Certains kleptocrates possèdent des fortunes colossales dans des pays où ils peuvent les protéger.4. Appauvrissement du paysDans une kleptocratie, peu d'argent reste pour les services publics : santé, éducation, infrastructures. Les investissements sont détournés, ce qui ralentit le développement et aggrave les inégalités.Des exemples historiques et contemporainsDes régimes comme celui de Mobutu au Zaïre, de Ferdinand Marcos aux Philippines ou plus récemment de certains États dotés de ressources pétrolières ont été décrits comme des kleptocraties. Beaucoup tirent leurs richesses de ressources naturelles (pétrole, gaz, minerais), ce qui leur permet de capter des revenus énormes sans rendre de comptes à la population.Pourquoi le terme est-il important aujourd'hui ?Parce que la kleptocratie n'est pas seulement un phénomène local. Grâce aux circuits financiers internationaux, les richesses volées circulent partout dans le monde. De nombreux pays démocratiques accueillent — parfois sans le savoir — les capitaux issus de ces régimes corrompus.En résumé, une kleptocratie est un État capturé par une élite qui transforme le pouvoir politique en machine à voler, avec des conséquences profondes sur la justice, le développement et la stabilité sociale. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce 17 décembre marque le 15e anniversaire de la « révolution du jasmin » en Tunisie. En 2010, dans la ville de Sidi Bouzid, le jeune vendeur ambulant Mohamed Bouazizi s'immole par le feu devant le gouvernorat, après la saisie de ses marchandises par la police. Un geste de désespoir, qui illustre la détresse socio-économique dans le pays et la répression généralisée du régime de Ben Ali, qui sera renversé par une révolte populaire inédite un mois plus tard. L'événement inspire les populations du Maghreb et d'une partie du Moyen-Orient, et donne naissance à un vaste mouvement de contestation : le « Printemps arabe ». Quinze ans après, la Tunisie est désormais dirigée d'une main de fer par Kaïs Saïed. Quel bilan tirer de cette révolte populaire ? Notre grand invité Afrique est l'ancien dirigeant tunisien Moncef Marzouki, premier président élu démocratiquement après la chute du clan Ben Ali, et actuellement en exil. Il répond aux questions de Sidy Yansané. RFI : Quinze ans après l'immolation par le feu du jeune vendeur Mohamed Bouazizi, quel est l'héritage de la « révolution du jasmin » que son sacrifice a provoqué ? Moncef Marzouki : Quand on voit la situation actuelle, on se dit que la révolution a complètement échoué parce qu'on est revenu au point de départ, c'est-à-dire à l'ère Ben Ali. Nous avons un président, Kaïs Saïed, qui s'est fait élire à 90% après avoir éliminé tous ses concurrents. Le retour de la peur, le retour des prisonniers politiques, tous les chefs de partis politiques sont soit en exil, soit en prison, etc. Donc on est revenu vraiment à la case départ. Sauf que quelque chose de profond a été instauré ou instillé dans l'esprit du peuple tunisien : le goût de la liberté. À un moment donné, ils ont vu que la liberté de critiquer le président n'était pas dangereuse. Donc quelque chose est resté dans l'esprit des gens et je pense que ça va repartir. Maintenant, ceux qui disent que le printemps arabe c'est la fin ne comprennent rien à rien. Parce qu'en fait, le printemps arabe, il vient juste de commencer. Sidi Bouzid, à l'époque déjà, faisait partie de ces villes, de ces régions tunisiennes qui disent subir la marginalisation et l'abandon de l'État, « la hogra ». Quinze ans plus tard, est-ce que vous pensez qu'un acte aussi désespéré que celui de Mohamed Bouazizi puisse se reproduire en Tunisie ? En fait, ça a continué. La Tunisie est devenue malheureusement un pays où cette horreur absolue se répète tout le temps. Vous parlez de cette région déshéritée, mais toutes les régions de Tunisie sont restées déshéritées. Donc, au contraire, la Tunisie est en train de s'appauvrir chaque jour de plus en plus. Les classes moyennes sont en train de s'appauvrir. Le pouvoir actuel se retrouve exactement dans la même situation où se trouvait Ben Ali, à savoir qu'il a contre lui les classes les plus aisées parce qu'il leur a retiré toutes les libertés fondamentales sans apporter quoi que ce soit à la population et contre la pauvreté. Donc toute cette énergie contenue aussi bien chez le petit peuple, comme on dit, que chez la bourgeoisie, tout cela va exploser. Voilà encore une fois pourquoi le volcan va de nouveau exploser. Un volcan, dites-vous, d'abord provoqué par le sacrifice de ce jeune vendeur, qui dénonçait non seulement l'extrême précarité socio-économique de la jeunesse tunisienne, mais aussi l'asphyxie des libertés à tous les niveaux. Sur ces deux points, quelle évolution notez-vous entre la présidence de Ben Ali et celle de Kaïs Saïed, contre qui vous concentrez les critiques ? Les trois années où j'étais à la tête de l'État, nous avons vraiment mis en place un État de droit. La justice était indépendante, les libertés étaient respectées, il n'y avait personne dans les prisons pour des motifs politiques. Nous avons même commencé à lutter contre la corruption. Sauf que comme il y avait ce que j'appellerais un « veto régional » sur la démocratie en Tunisie et que nous manquions d'appui dans les démocraties occidentales, malheureusement, la révolution a échoué. Elle a échoué à cause des erreurs que nous avons commises, nous Tunisiens. Mais aussi, encore une fois, à cause de ce veto régional, essentiellement algérien. Le voisin algérien était une dictature corrompue et violente. Il était hors de question pour elle d'accepter un État, une démocratie tunisienne qui aurait pu donner le mauvais exemple si je puis dire. Et les généraux algériens avaient raison de se méfier de la révolution tunisienne, parce que le Hirak en 2019, c'était tout simplement la queue de la comète, c'était la continuation de ces révolutions. Tout le système politique arabe, aussi bien en Égypte que dans les Émirats arabes unis, en Arabie saoudite qu'en Algérie… Tout ce système-là se sentait menacé par cette vague de révolutions. Ils ont mis le paquet pour faire avorter ces révolutions. Ils l'ont fait avorter par la guerre civile en Syrie, par le coup d'État militaire en Égypte, par la guerre civile en Libye, par l'utilisation de l'argent sale, de l'information, de la désinformation et du terrorisme en Tunisie. Donc, il y a eu encore une fois un veto régional contre les révolutions démocratiques arabes. Le président Kaïs Saïed a su s'attirer les faveurs de l'Union européenne, notamment sur le volet migratoire. L'Europe est quand même un grand partenaire de la Tunisie. Comment voyez-vous l'évolution de la Tunisie sur les droits humains, la démocratie dans ce monde qui est en pleine redéfinition ? L'attitude des Européens, je ne peux pas dire que ça leur fait grand honneur. Ils appuient des dictatures, notamment le gouvernement italien, ils sont prêts à aider Kaïs Saïed à se maintenir au pouvoir. Ce sont des politiques de courte vue. On n'a pas arrêté de répéter à nos amis européens : « Vous pariez sur des régimes autoritaires, uniquement pour vous en servir comme gardes-frontières ». Mais ce n'est pas ça la solution. La solution, c'est qu'il y ait du développement social et économique. C'est comme ça qu'on règle le problème de fond. C'est pour ça que je dis et je répète, la démocratisation du monde arabe, c'est une affaire à l'intérieur du monde arabe et qu'il ne faut pas du tout compter sur les pays européens pour nous aider à cela. À part quelques déclarations hypocrites, je pense qu'il n'y a rien à espérer.
Nelson Dusetti est directeur de recherche à l'Inserm, spécialiste du cancer du pancréas, un des plus redoutables aujourd'hui encore. Il est aussi le co-fondateur de PredictingMed, une startup qui ambitionne de mieux prédire les traitements les plus efficaces pour chaque patient grâce à l'intelligence artificielle et à l'analyse moléculaire. Ensemble, dans cet épisode, nous avons tenté d'imaginer à quoi pourrait ressembler la prise en charge du cancer dans 5 ans.Ce sujet est particulièrement difficile à aborder en cette période de fêtes, où l'on voudrait ne penser qu'à la joie et aux retrouvailles. Et pourtant, c'est précisément parce que Noël est un moment de vulnérabilité et d'amour que je crois essentiel de parler du cancer maintenant. J'ai récemment perdu un membre de ma famille, et une de mes plus proches amies vient d'être diagnostiquée. Il n'y a jamais de bon moment pour parler de cette maladie. Alors parlons-en.Dans cet épisode, j'ai voulu comprendre non seulement la science d'aujourd'hui, mais surtout vers quoi nous allons. Comment on soigne aujourd'hui, certes, mais surtout comment on soignera demain. Quels sont les espoirs concrets que la recherche fait naître ? Quels sont les obstacles, les leviers, les besoins ? Nelson explique avec clarté la différence entre prévention, pronostic et prédiction. Il nous parle aussi de ce qui rend le cancer du pancréas si complexe, mais aussi de ces patients rares qui y survivent, et de ce que la science peut apprendre d'eux.C'est un épisode riche, technique parfois, mais toujours profondément humain. Une conversation que j'espère engagée, pleine d'humilité, de lucidité et d'espoir sur ce que la médecine personnalisée et les avancées technologiques pourraient permettre très prochainement.Parce que derrière la complexité du cancer se cache aussi une promesse : celle d'un avenir où chaque patient pourra recevoir le bon traitement, au bon moment. Et ça, c'est une vision qui mérite d'être partagée.Comme soulignée dans l'épisode, si vous souhaitez bénéficier d'une offre exclusive de 15% de réduction sur Saily, c'est ici : www.saily.com/vlan 5 citations marquantes :« Le cancer est une conséquence presque inévitable de la vie. »« On peut vivre sainement et quand même avoir un cancer. »« Comprendre les patients qui survivent, c'est notre plus grand espoir. »« L'IA peut nous aider à choisir le bon traitement au bon moment. »« La science est une école d'humilité. » 10 questions structurées posées pendant l'épisode :Qu'est-ce qui t'a poussé à travailler sur le cancer du pancréas ?En quoi ce cancer est-il si difficile à traiter ?Quelle est la fonction du pancréas dans notre corps ?Qu'est-ce qu'un cancer, au fond ?Est-ce que notre mode de vie influence vraiment le risque de cancer ?Pourquoi l'incidence du cancer du pancréas augmente-t-elle ?Quelle est la différence entre prévention et prédiction ?Comment l'IA peut-elle contribuer à la médecine personnalisée ?Quelles sont les limites actuelles de la recherche ?Quel message tu veux faire passer aux familles concernées ?Récap des timestamps clés :00:00 – Introduction personnelle de Grégory et contexte du cancer02:00 – Présentation de Nelson Dusetti et de sa spécialité04:00 – Fonction du pancréas et nature du cancer09:00 – Impact du mode de vie et limites de la prévention14:00 – Augmentation de l'incidence et rôle de l'exposome20:00 – Intelligence artificielle et personnalisation des traitements24:00 – Importance du don de données et de la recherche collaborative29:00 – Essais cliniques et espoirs concrets33:00 – Dépistage, diagnostics précoces et inégalités38:00 – Humilité scientifique et communication grand public44:00 – Activité physique et retour à une vie plus naturelle49:00 – Les freins institutionnels à la recherche51:00 – Pourquoi Nelson a choisi de rester en France Suggestion d'autres épisodes à écouter : [BEST OF] La bouche , le baromètre de notre santé avec Bruno Donatini (partie 1) (https://audmns.com/kPIMzbq) [SOLO] On s'en fout de la longévité : guide pour ceux que ça saoule mais qui veulent quand même vivre en bonne santé (https://audmns.com/naYIAVO) #294 Les secrets de la longévité en bonne santé avec Docteur Christophe de Jaeger (https://audmns.com/yiQROWd)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le terme peut surprendre à l'ère des moteurs hybrides, des simulateurs et des millions de données analysées en temps réel. Pourtant, son origine est profondément liée à l'histoire du sport automobile.À l'origine, une écurie est tout simplement un lieu où l'on abrite, nourrit et entretient des chevaux. Or, lorsque l'automobile fait ses premiers pas à la fin du XIXᵉ siècle, elle ne remplace pas brutalement le cheval : elle s'inscrit dans sa continuité. Les premières courses automobiles sont organisées par des passionnés issus du monde équestre, et le vocabulaire suit naturellement.Au début du XXᵉ siècle, les voitures de course sont souvent financées, entretenues et engagées par de riches industriels ou aristocrates, à la manière des propriétaires de chevaux de course. Ces mécènes disposent d'ateliers, de mécaniciens et de pilotes, exactement comme un propriétaire possède des chevaux, des palefreniers et des jockeys. On parle alors d'écuries automobiles, par analogie directe avec les écuries hippiques.Le parallèle va encore plus loin. Dans les courses de chevaux, une écurie peut aligner plusieurs chevaux dans une même compétition, tout en poursuivant une stratégie globale. En Formule 1, une écurie engage plusieurs voitures, gère ses pilotes, définit des tactiques de course et cherche à maximiser ses chances de victoire. Le terme s'impose donc naturellement pour désigner une structure organisée, bien plus qu'un simple véhicule.Lorsque la Formule 1 est officiellement créée en 1950, le vocabulaire est déjà bien installé. Des noms mythiques apparaissent : Ferrari, Maserati, Alfa Romeo. Ferrari, d'ailleurs, adopte comme emblème le cheval cabré, directement hérité de l'aviation militaire italienne, mais parfaitement cohérent avec cet imaginaire équestre déjà omniprésent.Avec le temps, les écuries deviennent de véritables entreprises industrielles et technologiques. Elles emploient des centaines, parfois des milliers de personnes, développent leurs propres moteurs, châssis et logiciels. Pourtant, le mot écurie reste. Pourquoi ? Parce qu'il ne désigne plus un lieu physique, mais une identité sportive, un collectif uni autour d'un objectif commun : gagner.Aujourd'hui encore, parler d'écurie permet de rappeler que la Formule 1 n'est pas qu'une affaire de pilotes stars. C'est un sport d'équipe, où la coordination, la stratégie et la préparation sont essentielles — comme dans une écurie de course hippique.En somme, si l'on parle d'écuries en Formule 1, c'est parce que ce sport moderne garde, dans ses mots, la mémoire de ses origines. Une preuve que même à 300 km/h, l'histoire n'est jamais bien loin. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les enfants vont bien: homoparentalité et autres schémas familiaux
Vous connaissez déjà une partie de cette histoire.Peut-être même cette photo.Elle a déjà illustré un autre épisode… et ce n'est pas un hasard.Aujourd'hui, j'avais envie de vous faire entendre la voix d'Agnès.La maman de Lukas, que vous avez découvert dans l'épisode 3 de cette saison.Quand j'ai enregistré avec Lukas, je me suis dit une chose : Quelle force il faut avoir pour tout quitter et se lancer, à seulement vingt ans, dans une PMA solo aux États-Unis!Alors je lui ai demandé de nous mettre en contact. Et très vite, Agnès m'a raconté son histoire: un parcours hors norme...Pas seulement par ce qu'il est, mais par l'époque dans laquelle il a commencé.En 1997.Puis un retour en France, en pleine période des débats autour du PACS. Des souvenirs que beaucoup d'entre nous n'ont pas… mais qui ont pourtant marqué l'histoire.Avec Lukas, ils ont traversé ces années en solo. À un moment où la visibilité était faible, mais essentielle.En solo, oui, mais jamais seuls!Autour d'eux, il y avait une famille choisie. Et c'est cela que Lukas a très tôt revendiqué.Parce qu'il allait bien.Parce que sa famille était parfaite.Parfaite parce que choisie.Agnès le savait.Issue de ce qu'elle appelle une adoption ratée, elle a été extrêmement vigilante à créer autour de Lukas un environnement sain, sécurisant, aimant.Je ne vous en dis pas plus.Je vous laisse découvrir leur histoire.Je vous souhaite une bonne écoute.Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/lesenfantsvontbien. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les footballeurs parlent aux footballeurs ! « Rothen s'enflamme », le rendez-vous des passionnés du ballon rond revient pour une deuxième saison !
Parce que… c'est l'épisode 0x680! Shameless plug 25 et 26 février 2026 - SéQCure 2026 CfP 14 au 17 avril 2026 - Botconf 2026 28 et 29 avril 2026 - Cybereco Cyberconférence 2026 9 au 17 mai 2026 - NorthSec 2026 3 au 5 juin 2025 - SSTIC 2026 Description Collaborateurs Nicolas-Loïc Fortin Dominique Derrier Cyndie Feltz Nicholas Milot Julien Teste-Harnois Crédits Montage par Intrasecure inc Locaux virtuels par Riverside.fm Locaux réels par Intrasecure inc Locaux réels par Moxy Montreal Downtown
Avant le mètre, avant les règles graduées identiques partout dans le monde, mesurer était une affaire… de corps humain. Parmi ces anciennes unités, l'une des plus célèbres en France est le « pied du roi ». Mais à quoi servait-il exactement ?Le pied du roi était une unité de longueur officielle, utilisée en France jusqu'à la Révolution. Contrairement à ce que son nom pourrait suggérer, il ne correspondait pas au pied d'un roi en particulier, mais à une valeur standardisée par le pouvoir royal. Sa longueur était fixée à 32,48 centimètres.Ce pied servait de base à tout un système de mesures. Un pied était divisé en 12 pouces, chaque pouce en 12 lignes. Ce découpage en multiples de 12 pouvait sembler complexe, mais il avait un avantage pratique : il facilitait les divisions, bien plus que notre système décimal dans certaines situations concrètes.Le pied du roi était utilisé dans de nombreux domaines. En architecture, il permettait de concevoir bâtiments, ponts et cathédrales avec des proportions cohérentes. En artisanat, il servait aux menuisiers, tailleurs de pierre ou charpentiers pour fabriquer des pièces compatibles entre elles. En arpentage, il aidait à mesurer les terrains, même si d'autres unités, comme la toise, étaient aussi employées.Pourquoi “du roi” ? Parce que la mesure était garantie par l'autorité royale. À une époque où chaque région pouvait avoir ses propres unités, le pied du roi incarnait une tentative de centralisation et d'unification. Des étalons officiels — des règles en métal ou en pierre — étaient conservés dans des lieux de référence afin d'éviter les fraudes et les erreurs.Malgré cela, les confusions restaient nombreuses. Le pied variait selon les pays, parfois même selon les villes. Le pied anglais, par exemple, n'avait pas exactement la même longueur que le pied du roi français. Résultat : le commerce international devenait un véritable casse-tête.C'est précisément pour mettre fin à ce chaos que la Révolution française introduit le système métrique à la fin du XVIIIᵉ siècle. Le mètre, défini à partir de la Terre elle-même, devait être universel, rationnel et égal pour tous. En 1799, le pied du roi est officiellement abandonné.Pourtant, son héritage demeure. Les notions de pied et de pouce existent encore dans certains pays, et de nombreux bâtiments anciens portent la trace de ces mesures anciennes.Le pied du roi nous rappelle une chose essentielle : mesurer, ce n'est pas seulement une affaire de chiffres. C'est aussi une question de pouvoir, d'organisation sociale et de vision du monde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour recevoir les mails privés, clique ici : https://www.formactions.outilsdumanager.com/inscription-emails-prives-adf72f1d***Découvre ce que nous avons créé pour t'aider à aller plus loin :Des formactions pratiques et concrètes pour manager efficacement, quel que soit ton rôle ou ton secteur.Une communauté unique en ligne, le CIEL, où dirigeants et cadres dirigeants, s'entraident pour réussir ensemble.L'offre exclusive du moment pour t'aider à passer à l'action dès aujourd'hui.Clique ici pour explorer le catalogue ODM : https://www.formactions.outilsdumanager.com/cataloguecomplet***Et si le vrai problème de nos entreprises n'était pas le manque de rigueur… mais l'excès de perfection ? Dans cet épisode, je te propose un changement radical de posture :
Le coup d'envoi de la 35ème édition de la Coupe d'Afrique des nations de football sera donné dimanche prochain (21 décembre) au Maroc. Elle durera jusqu'au 18 janvier. Quels sont les grands favoris ? L'Afrique est-elle enfin reconnue à sa juste place dans le football mondial ? Joseph-Antoine Bell a été un grand international camerounais. Aujourd'hui, il est consultant pour RFI, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier, en ligne depuis Yaoundé. RFI : Joseph-Antoine Bell, le Maroc accueille cette compétition. Son équipe est la première nation africaine au classement Fifa (12ᵉ). Est-ce que du coup ce pays n'est pas le super favori ? Joseph-Antoine Bell : Oui ça arrive très rarement. C'est-à-dire qu'un pays qui est au sommet garde la forme et soit organisateur. Et là, le Maroc, ils ont une chance inouïe, ils sont en forme et ils organisent. Ils ont la chance de jouer chez eux. Souvent, jouer à la maison comporte aussi le revers de la médaille : c'est qu'on a la pression. Mais la pression, on la gère mieux quand on est au sommet de ses capacités. Donc là, le Maroc va jouer à la maison, cette fois en étant au sommet de sa forme, donc en étant capable de gérer la pression seulement. Et derrière le Maroc, qui voyez-vous comme équipes très très bien placées ? Je pense que le Sénégal ne devrait pas être mal placé. L'Afrique du Sud, la Côte d'Ivoire… Et à un degré moindre l'Égypte et la Tunisie. Alors il y a cette CAN qui démarre dans quelques jours et puis il y a la Coupe du monde qui démarre dans six mois et où vont compétir au minimum neuf équipes nationales africaines, ce qui est quasiment le double des éditions précédentes. Est-ce qu'on peut dire que, aujourd'hui, le football africain est de plus en plus présent dans le football mondial ? Oui, le football africain est de plus en plus présent. Il faut se rappeler qu'à l'époque où il y avait seize participants, dans un premier temps, l'Afrique n'en avait aucun. Puis après, l'Afrique a eu un sur seize, ça fait très très peu. Et on a commencé à gagner un peu de positions, notamment grâce à la performance du Cameroun et de l'Égypte en 1990, en quart de finale [Les Camerounais avaient été éliminés aux portes des demi-finales par les Anglais, NDLR]. Et maintenant, le Maroc est allé en demi-finale [du Mondial 2022, NDLR] et on devrait continuer pour bousculer toujours la hiérarchie et se rapprocher du top, le top qui est un jour de gagner la Coupe du monde. Il y a cette nouvelle marque de respect du football mondial à l'égard de l'Afrique. Mais en même temps, les clubs européens qui comptent dans leurs rangs des internationaux africains ne seront forcés de les libérer qu'à partir de ce 15 décembre pour la CAN, alors que la règle habituelle, c'est que les joueurs sont libérés au moins deux semaines avant un grand tournoi international… Oui, mais l'Afrique a un problème particulier, c'est-à-dire, quel est le poids de l'Afrique ? Et là, en l'occurrence, quel est le poids de la Confédération africaine de football (CAF) vis-à-vis de la Fédération internationale (Fifa) ? Parce que l'Afrique est obligée de déplacer sa compétition pour plaire à la Fifa. L'Afrique est obligée d'accepter que les joueurs soient libérés tard pour plaire à la Fifa qui elle-même a subi la pression des clubs sans pouvoir y résister. Donc, les sacrifices sont toujours faits par les Africains et ça ressemble à d'autres domaines où on en demande toujours plus aux plus faibles. Donc, il faut se montrer un petit peu plus costaud. Donc c'est à la CAF de se battre. Ce n'est pas logique que ce qu'on accorde aux autres, on ne puisse pas l'accorder à l'Afrique. Mais pour ça, il faut gagner le respect des autres en tant qu'organisation. Il faudrait commencer en Afrique par décider quand a lieu la CAN, qu'elle ne soit pas un coup en été, un coup en hiver et puis un coup on ne sait pas trop quand. Non, il va falloir que la CAF travaille sérieusement pour avoir une position claire. Et vous n'êtes plus que le continent qui fournit la matière première. Au Cameroun, votre cher pays, le ministre des Sports, Narcisse Mouelle Kombi, ne s'oppose pas au limogeage du sélectionneur belge Marc Brys par le président de la Fédération, Samuel Eto'o. Est-ce que c'est le signe d'un cessez-le-feu entre les deux hommes ? Chez nous, on dit : « Quand vous êtes au marigot et qu'un fou passe par là et vous prend vos vêtements pendant que vous êtes dans l'eau, ne lui courez pas après. » Donc, le ministre s'est dit : « Eh bien, on va laisser la fédération aller et faire comme elle veut », et comme ça il y a une trêve. Mais, je ne crois pas qu'elle soit favorable au football camerounais, parce que on va vite s'apercevoir de la limite des choix qui ont été faits. Il faudrait savoir qu'en Afrique, neuf fois sur dix, vous n'aurez pas de fédération sans l'État. Quand une fédération dit « non, laissez-nous, on va y aller tout seul », vous pouvez être sûr qu'elle va être en difficulté dès la première activité. Et donc, c'est dommage, mais je sais que les joueurs et tout le groupe ne passeront pas un moment tranquille. Parce que le retrait de l'État veut dire forcément le retrait de beaucoup de moyens, le retrait du soutien qui sera limité. À lire aussiTOUT SUR LA CAN 2025
Vous le savez, je parle souvent de bienveillance. J'en ai même fait un concept avec le management bienveillant et j'ai écrit un livre sur le sujet : Les 10 commandements de la bienveillance en entreprise. Pourtant, il y a des situations où rester bienveillant semble impossible. Par exemple :Un collègue qui vous vole une idée.Une personne qui est tout sauf agréable avec vous.Alors, comment rester bienveillant face à cela ?
Tu fais, tu coches, tu avances… et pourtant tu te sens vide.Cet épisode est une invitation à ralentir sans culpabiliser.On parle de productivité émotionnelle, de signaux du trop-plein, de clarté intérieure et de ces petits rituels qui ramènent au présent.Parce que ralentir, ce n'est pas renoncer — c'est revenir à soi.⏱️ Chapitres1:50 – Reconnaître les signaux du trop-plein4:33 – La productivité émotionnelle : faire moins, mais mieux9:08 – Ralentir pour retrouver la clarté intérieure12:10 – Les rituels qui ramènent au présent16:47 – Se faire accompagner pour aller plus loin⸻
Pour ce dernier épisode de l'année un outil made in France : PodcasticsPourquoi parler de diffusion alors qu'on vous parle habituellement de création ?Parce qu'un bon podcast pédagogique, ce n'est pas juste un bon micro et une belle voix : c'est aussi une diffusion bien pensée.Avec Podcastics, on héberge ses épisodes, on les diffuse automatiquement sur toutes les plateformes (Spotify, Deezer, Apple Podcasts…), on suit ses stats, on crée un mini-site, et on fait tout ça en toute simplicité et à un cout maitrisé.Un outil idéal pour les formateurs qui veulent se lancer dans le podcast avec une interface ultra accessible.
En direct de la Paris Creator Week, j'ai pu passer un petit moment avec un de ses co-fondateurs : Marc, aussi connu sous le pseudo "Jokariz". Passé de banquier à Streamer, il nous raconte son parcours et tout ce qu'il faut savoir sur la Creator Economy... Parce que la France a 10 ans de retard paraît-il, alors il s'agirait de s'y mettre... sans vous vouloir vous commander of course. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, j'avais besoin de te parler de ce qu'on appelle le suivi global. Parce qu'on confond trop souvent “suivi” avec “contrôle”. Mais ce que j'observe, ce que je vis, ce que j'incarne en tant que sage-femme, c'est bien plus qu'un protocole médical. C'est un lien. C'est de la confiance. C'est une présence. Et ce lien-là, il change tout.Le jour de la naissance, on est vulnérables, on doute, on a peur parfois. Et avoir une personne qui connaît ton histoire, qui t'a vue grandir dans ta maternité, ça fait toute la différence.Je t'explique ici la vraie différence entre un suivi conventionnel et un suivi global, souvent proposé dans les maisons de naissance, les gîtes intra-hospitaliers, ou pour les accouchements à domicile.On parle du fait qu'on choisit parfois un gynéco “par défaut” — parce que c'est celui de ta mère, de ta sœur ou d'une copine — mais on oublie que ce n'est pas lui ou elle qui sera forcément là le jour J. Et que la réalité en maternité, c'est aussi celle du stress, du flux tendu, des protocoles.Alors que dans un suivi global, la personne qui t'accueille le jour J, c'est celle qui t'a écoutée, qui connaît ton/ta partenaire, tes fragilités, ton projet de naissance… C'est un cocon, une bulle de confiance, une vraie préparation émotionnelle, humaine et physiologique.Je partage aussi des histoires vécues, comme cette maman qui a pu “parler à sa mère décédée” grâce à ce lien tissé pendant la grossesse. Ou celle qui s'est sentie “de trop” en arrivant en salle, face à des soignant·es dépassé·es.Si tu veux en savoir plus sur notre accompagnement ou si tu cherches une équipe qui propose un suivi global, va voir notre site internet de La Bulle ou cherche autour de chez toi des sages-femmes qui travaillent autrement.Et si cet épisode résonne… partage-le. Parce que je suis convaincue qu'entendre cela peut changer la naissance de quelqu'un·e.Liens vers les profils de médias sociaux- Instagram : https://www.instagram.com/sage_femme_authentique/?hl=fr- Site Web: www.sagefemmeauthentique.com-Blog: www.sagefemmeauthentique.com/blog- email: melyssa@sagefemmeauthentique.com- La Bulle Maison de Naissance :- Facebook : https://www.facebook.com/labulle.mdn- Instagram : https://www.instagram.com/labulle.mdn/?hl=frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mon enfant, c'est toujours à ton coeur que Je veux parler. Il se dilate continuellement, il est donc plus apte à accueillir Mon Amour et, par conséquent, plus apte à le donner. Il s'agit d'un long processus qui ne peut s'obtenir qu'en y mettant du temps, beaucoup de temps, en plus d'y avoir donné et de redonner continuellement tous tes «oui». Parce que l'Amour nous aime, nous devenons l'amour!
Parce que… c'est l'épisode 0x679! Shameless plug 25 et 26 février 2026 - SéQCure 2026 CfP 14 au 17 avril 2026 - Botconf 2026 28 et 29 avril 2026 - Cybereco Cyberconférence 2026 9 au 17 mai 2026 - NorthSec 2026 3 au 5 juin 2025 - SSTIC 2026 Notes IA Surfer Block all AI browsers for the foreseeable future: Gartner Google says Chrome's AI creates risks only more AI can fix Se tirer dans le pied Gemini Enterprise No-Click Flaw Exposes Sensitive Data Copilot's No Code AI Agents Liable to Leak Company Data ClickFix Style Attack Uses Grok, ChatGPT for Malware Delivery Over the top New OpenAI models likely to pose “high” cybersecurity risk AI hackers are coming dangerously close to beating humans New cybersecurity guidance paves the way for AI in critical infrastructure AI-Powered Free Security-Audit Checklist 2026 3 ans d'audits cybersécu et finalement, c'est une IA qui trouve la faille en 4 jours New Prompt Injection Attack via Malicious MCP Servers Let Attackers Drain Resources ‘Botnets in physical form' are top humanoid robot risk Building Trustworthy AI Agents Microsoft to Bundle Security Copilot in M365 Enterprise License Privacy Firewall - Le garde fou de vos IA Red Malicious Go Packages Mimic as Google's UUID Library to Exfiltrate Sensitive Data Ransomware gangs turn to Shanya EXE packer to hide EDR killers Researchers spot 700 percent increase in hypervisor attacks New Mirai Botnet Variant ‘Broadside' Actively Attacking Users in the Wild 700+ self-hosted Git instances battered in 0-day attacks 10K Docker images spray live cloud creds across the internet Infoblox Threat Intel: “Canadian online marketplace se…” - Infosec Exchange Kali Linux 2025.4 released with 3 new tools, desktop updates Apple fixes two zero-day flaws exploited in ‘sophisticated' attacks Blue Windows PowerShell now warns when running Invoke-WebRequest scripts Stop Breaking TLS Daring Fireball: iMessage's Delivery Architecture Makes It Hard to Block Without Blocking All iOS Push Notifications Why a secure software development life cycle is critical for manufacturers Le BISO, maillon opérationnel entre cybersécurité et métiers Microsoft bounty program now includes any flaw impacting its services MITRE Releases Top 25 Most Dangerous Software Weaknesses of 2025 Harden Windows Security - Blindez votre Windows sans installer un seul logiciel tiers ! Privacy ICO: Home Office hushed up facial recognition biases Hackers Can Leverage Delivery Receipts on WhatsApp and Signal to Extract User Private Information Identité The EFF Nails It: What's Wrong With UK Digital ID Why Isn't Online Age Verification Just Like Showing Your ID In Person? Australia social media ban: Teens navigate new world without social media as ban takes effect Lawmaker calls facial recognition on doorbell cameras a ‘privacy nightmare' Effacer son téléphone devant les douaniers peut vous envoyer en prison (logique) Canada's privacy regulator to probe billboards equipped with facial scanning tech Firefox Survey Finds Only 16% Feel In Control of Their Privacy Choices Online Information warfare The war on disinformation is a losing battle UK calls on Europe to counter Russia's expanding info wars Germany summons Russian ambassador over cyberattack, election disinformation Want to sway an election? Here's how much fake online accounts cost Divers Bad OPSEC Considered Harmful Should You Trust Your VPN Location? Collaborateurs Nicolas-Loïc Fortin Crédits Montage par Intrasecure inc Locaux réels par Moxy Montreal Downtown
Parmi les figures de style qui donnent de l'éclat et de l'originalité à un texte, le zeugma – parfois écrit zeugme – occupe une place très particulière. Il s'agit d'une figure qui associe, sous une même construction grammaticale, deux éléments qui n'appartiennent pas au même plan de signification. Concrètement, un même verbe ou un même adjectif va gouverner deux compléments très différents… créant un effet souvent drôle, inattendu ou poétique.L'exemple classique est celui-ci : « Il a pris le train et ses jambes à son cou. » Le verbe prendre relie deux réalités incompatibles : un moyen de transport et une expression figurée. Le lecteur est surpris, parfois amusé, parce que l'esprit doit faire un petit écart mental pour associer deux images qui ne vont normalement pas ensemble.Le zeugma peut prendre deux formes principales. Le zeugma sémantique est le plus fréquent : on y associe des termes dont les sens n'ont rien à voir. On peut dire par exemple : « Elle a perdu ses clés et le sourire », où perdre s'applique à un objet concret puis à un état émotionnel. Vient ensuite le zeugma syntaxique, plus rare, qui joue non pas sur le sens mais sur la structure grammaticale : un verbe commun sert de lien à deux constructions grammaticalement différentes. Par exemple : « Il admire son courage et d'être venu », où admirer relie un nom et un infinitif.Le zeugma a une longue histoire. On en trouve des traces dans l'Antiquité grecque – le mot lui-même vient du grec zeugnynai, « joindre » – mais il s'épanouit particulièrement dans la littérature classique, puis chez les romantiques et les auteurs contemporains. Victor Hugo, Rabelais ou encore Voltaire l'utilisent pour surprendre, créer un contraste ou faire sourire. Plus près de nous, Raymond Queneau ou Amélie Nothomb affectionnent ce procédé qui bouscule la logique du discours.Pourquoi cette figure fonctionne-t-elle si bien ? Parce qu'elle joue sur une rupture de sens, un décalage qui oblige le lecteur ou l'auditeur à reconstruire mentalement l'image. Le zeugma brise nos automatismes linguistiques et déclenche une petite gymnastique intellectuelle. Soudain, le langage devient un terrain de jeu : les mots glissent, se superposent, se heurtent avec malice.En somme, le zeugma est l'art de faire tenir ensemble des choses qui ne vont pas ensemble, pour mieux étonner. Une figure brève, parfois subtile, mais qui révèle toute la créativité de la langue française. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Déverrouillez la Confiance d'un Manager Sceptique
Mon enfant, Je veux te donner des grâces particulières afin que tu sois plus certain de Mon Amour, accepte-les! C'est en acceptant Mon Amour que tu deviens 'Amour'. Elle est là toute la sécurité que tu cherches, pas ailleurs. Tendrement, Je t'aime. Parce que l'Amour nous aime, nous devenons l'amour!
13/24. Aujourd'hui, on parle de romantiser sa vie avec Ava & May, de ces petits rituels qui nous recentrent. Le code promo GARCE est actif sur tout le site pour commencer à romantiser TA vie parce que ce n'est pas romantiser uniquement un couple, un mec. On explore comment, à vingt ans, on confond souvent l'intensité avec l'attention, et comment à trente, on apprend à se décentrer des hommes pour remettre le focus sur nous. Sur ce qui nous calme, nous inspire, nous construit. Parce que la vraie vie romantique commence par soi.Découvrir Ava & May : https://world.ava-may.com/r9cGuo Code : GARCEHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Amala Klep Kremmel est une jeune femme au parcours de vie déjà riche. En quête de sens depuis son enfance, attirée à la fois par l'art, en particulier le théâtre, et la spiritualité, son cheminement l'a d'abord conduite à la découverte de la sagesse orientale.Elle a développé une pratique de la méditation et du yoga qui l'ont conduite à animer des cercles de formation, d'enseignement et de prière, en France et en Belgique. Dans ses livres, explorant mythes et récits, elle a partagé une vision forte et originale de la souveraineté de la femme.« J'avais beaucoup prié pour recevoir une foi inébranlable, je l'ai reçue » : Les épreuves qu'Amala a traversées, avec des moments où, comme elle le dit-elle-même, elle avait le sentiment d'avoir tout perdu, ont ouvert un nouveau chemin. Celui de la rencontre avec le Christ.Depuis, en s'appuyant sur une vaste lecture de la Bible, des Pères de l'Église, des grands mystiques de la tradition chrétienne, comme d'auteurs contemporains, dont Annick de Souzenelle, Jean-Yves Le Loup et Denis Marquet, Amala Klep Kremmel creuse un sillon large et profond.Large, avec les initiatives d'une jeune mère de deux enfants, pour qui la spiritualité doit être accessible et simple, où le corps, le cœur et l'âme participent : Des cercles de partage, de prière et de louange, nourris par la Parole divine lue dans l'Ancien et le Nouveau Testament, et ouvertes aux autres spiritualités.Large aussi avec les créations et les sessions théâtrales d'une actrice et metteuse en scène, pour des expériences individuelles et collectives en quête de connexion entre la spiritualité, la psychologie et les émotions.Profond, avec les livres d'une autrice féconde, qui a déjà écrit sur les rêves et leur signification, sur le chant comme médecine de l'âme, ou sur le féminin sacré. Profond aussi, avec les créations artistiques d'une artiste pénétrée par la beauté de la lumière, qu'elle exprime par ses icônes et ses vitraux. Depuis son enfance, Amala dit avoir toujours aimé rassembler les citations, parce qu'elles « ouvrent un chemin qui va directement de la tête au cœur ». D'où l'idée d'un coffret qu'elle a créé et qu'elle publie cette année, et qui contient plus d'une centaine de citations, essentiellement celles du Christ : L'Oracle de la Lumière Christique, qu'elle commente longuement au cours de cet épisode.Avec ces citations, Amala propose un autre accès aux lectures quotidiennes de l'Évangile, une pratique originale de la lectio divina enrichie, pour chaque citation, par une méditation et un rituel.Avec Amala, nous continuons la redécouverte d'un Christianisme de feu, si bien engagée dans les précédents épisodes de Zeteo. Nous allons à la rencontre d'une femme à la sagesse aussi étonnante qu'inspirante.Pour découvrir L'Oracle de la lumière Christique, le coffret créé par Amala Klep Kremmel, cliquer ici.Pour découvrir La Voie de la Grâce, le site d'Amala Klep Kremmel, cliquer iciLA PAROLE ET LE CERCLEChers amis, chers auditeurs de Zeteo,J'ai beaucoup de choses à vous dire, mais je vais tenter de faire au plus court.J'avais prévu, comme chaque année à la même période, un appel aux dons, dans une campagne un peu pensée, réfléchie, au mieux de mes capacités.Et puis tout est bousculé.Ces derniers mois, particulièrement depuis certains épisodes de l'été dernier, les choses changent autour de Zeteo. Elles ont pris plus de profondeur, d'intensité, il y a plus de partages aussi.Elles changent aussi pour le monde, mais pas dans le même sens.Parce que je sentais que les choses changeaient, j'ai cessé de faire des appels aux dons pendant plusieurs mois. Et pendant ce temps, les dons ont continué d'arriver, il y en a même eu un peu plus que les autres années aux mêmes périodesJ'ai vécu une suite de rencontres bouleversantes, et j'ai bien senti que vous étiez de plus en plus nombreux à être bouleversés vous aussi par ces rencontres.Parce que le monde change, qu'il donne les signes qu'il ne va pas dans le bon sens, un monde qui est tenté par le néant et qui semble aspiré par l'ombre… Il y a la double nécessité de l'urgence et de la beauté à accueillir et à relayer ceux qui portent le réel et la lumière.Il y a les témoignages tellement bouleversants sur Zeteo, je pourrais tous les citer.Pour n'en prendre que quelques uns, je pense à Denis Marquet, qui nous a rappelé que le Christianisme ne prend vie qu'au contact de l'autre, des autres, avec les autres, pour les autres.Il y a le message d'une des grandes invitées régulières de Zeteo, qui, parce qu'elle est une femme aussi humble que lumineuse, ne souhaite pas trop que je parle d'elle et donc que je ne nommerai pas. Elle dit qu'ensemble autour de ce podcast, nous formons justement un groupe, une communauté, celle des chevaliers de l'invisible. Avant elle, je n'avais pas réellement pris conscience de cette communauté.Il y a la rencontre avec Amala, et pour qui je n'ai pas hésité à bousculer le programme pour une diffusion dès aujourd'hui, à quelques jours de Noël. Quand vous aurez écouté cet épisode, je crois que vous serez nombreux à comprendre pourquoi c'était bien comme ça.Amala a un don particulier de rassembler toutes les paroles, les citations de la Bible, de Jésus, des grands mystiques chrétiens et pas que chrétiens. Elle a un autre don, celui d'une sagesse intérieure d'une profondeur et d'une richesse que j'ai rarement rencontrées. Et elle a encore d'autres dons, dont celui de créer des cercles, des communautés qui se rassemblent, qui découvrent et écoutent ensemble la parole biblique, qui prient, qui chantent le plus beau des chants, celui de la louange.Il y aura la semaine prochaine, juste avant Noël, la rencontre avec une femme à qui Zeteo doit tant… J'ose le dire, sans révéler encore son nom, un peu par coquetterie ou par goût du mystère, elle est avec Annick de Souzenelle, dont elle était tellement proche, la personne à qui Zeteo doit tellement. Cela sera un grand moment.La semaine dernière, Linda Bortoletto nous parlait du cercle, celui de la femme sacrée, et du glaive, celui de l'archange. Au moment de ce message, je vois un rapprochement de plus, celui du glaive, comme la parole, et du cercle, comme le silence et l'accueil.Le cercle, celui de nos communautés, et la parole, comme les citations d'Amala, la parole du Christ, celles de la Bible, comme vos messages, qui disent mieux que tout discours ce que ce podcast peut apporter de bien. Ces messages, vous pouvez les lire en cliquant sur le lien indiqué en bas de ce texte, à la rubrique « nos auditeurs » du site web de ce podcast. Ils sont très nombreux, et j'ai pu y ajouter beaucoup de ceux qui ont été reçus au cours de ces derniers jours.La parole, c'est aussi celle de Servanne.Servanne m'a envoyé cette semaine le message le plus poignant. Je voudrais vous inviter à nous unir en pensée et en prière pour elle, pour l'épreuve qu'elle traverse, pour qu'elle ne se sente pas seule, pour qu'elle soit rejointe par ce cercle qui nous relie, et par beaucoup d'autres cercles. Pour l'opération prochaine, pour la guérison de la maladie de Servanne, comme de tous ceux qui nous sont proches, pour tous ceux qui souffrent, qui sont seuls, qui sont dans le deuil, l'angoisse ou le désespoir.La guérison et la lumière viendront pour eux.Beaucoup de choses changent. Ce qui change pour Zeteo, c'est cette belle avancée vers la lumière divine que nous effectuons tous ensemble, dans la liberté belle et fragile de ce podcast. Et cela, malgré les temps inquiétants que nous vivons et les ombres qui menacent de recouvrir la Terre. La lumière finira par l'emporter, au creux le plus profond de l'ombre, des souffrances, des peurs et des doutes.Je reprends ici une citation que me confiait Amala pas plus tard qu'hier, elle qui en connaît des milliers, dont celle-ci de Marie Elia : « L'ombre a été tant aimée qu'elle en est devenue lumière. »Aimer nos ombres, c'est aimer la part de soi-même que l'on aime pas, dont on a peur, c'est aimer l'autre, c'est jusqu'à aimer l'ennemi, c'est suivre le Christ.J'avais beaucoup d'autres choses encore à vous dire que je vous dirai une autre fois.Et puisqu'à l'origine, ce message devait être un appel aux dons, je l'achève avec l'espoir et la confiance que si Zeteo est aligné sur la bienveillance universelle et divine, alors cette bienveillance saura susciter des donateurs parmi vous. Cette dernière quinzaine de l'année est le moment le plus décisif, pour que nous puissions continuer la mission d'un podcast à l'accès entièrement gratuit et qui est ouvert à tous.Je tiens ici à exprimer toute ma gratitude à ceux qui ont déjà fait un don, et à ceux qui vont le faire.Belle montée vers la lumière de Noël à tous, et ne l'oubliez pas,L'ombre a été tant aimée qu'elle en est devenue lumière.Guillaume DevoudPour soutenir l'effort de Zeteo, podcast sans publicité et d'accès entièrement gratuit, vous pouvez faire un don. Il suffit pour cela de cliquer sur l'un des deux boutons ci-dessous, pour le paiement de dons en ligne au profit de l'association Telio qui gère Zeteo.Cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso.Ou cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal.Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAssoNous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 76 rue de la Pompe, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici.Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici.Pour lire les messages de nos auditeurs, cliquer ici.Nous contacter : contact@zeteo.frProposer votre témoignage ou celui d'un proche : temoignage@zeteo.fr
Je me souviens très bien de ma première interaction avec Franck Gastambide.Je pensais connaître son parcours. Je pensais savoir d'où il venait. J'en étais loin.J'avais en face de moi quelqu'un qui n'était pas destiné à une carrière dans le cinéma. Un gamin multidys, dernier de sa classe, élevé dans une barre d'HLM, qui ne trouvait pas sa place à l'école et qui passait davantage de temps avec des chiens qu'avec des amis. Rien, absolument rien, ne laissait penser qu'il deviendrait l'un des réalisateurs les plus bankables du pays.Et pourtant.Quand Franck parle de son parcours, il a une lucidité presque désarmante et une émotion très touchante. Il raconte les humiliations, les refus, les complexes qui le collent à la peau, les moments où il a failli lâcher. Et aussi ce tournant, celui où il comprend que personne ne viendra lui ouvrir la porte. Alors il la défonce.Les Kaïra, Pattaya, Taxi 5… puis Validé. Des projets suivis par des millions de personnes, mais qui, derrière, sont le résultat d'une volonté immense de changer sa trajectoire.Cet épisode de PAUSE est l'un de ceux qui m'a le plus marqué. Parce qu'il montre ce qu'on voit trop peu : un homme qui s'est construit sans modèle, sans réseau, sans permission. Et qui rappelle que la trajectoire n'est jamais écrite d'avance.Si vous aimez son travail, si vous attendiez avec impatience la dernière saison de Validé, ou si vous traversez une période de doute, écoutez cet échange.Il permet de rappeler une chose essentielle : le talent aide, mais la rage de s'en sortir fait souvent la différence.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Parmi les signaux discrets que surveillent certains économistes pour anticiper un ralentissement, il en est un particulièrement méconnu mais redoutablement révélateur : l'indice “carton”. Son principe est simple : observer la production de boîtes en carton ondulé, ces emballages qui expédient l'immense majorité des biens du quotidien. Et cet indicateur pourrait annoncer, avant les statistiques officielles, l'arrivée d'une récession.L'idée n'est pas nouvelle. Alan Greenspan, l'ancien président de la Réserve fédérale américaine, utilisait déjà les volumes de cartons produits pour prendre la température de l'économie. Pourquoi ? Parce que plus de trois quarts des biens non durables — nourriture, produits ménagers, vêtements bon marché, électronique, etc. — sont transportés dans ces boîtes. Si les entreprises réduisent leurs commandes de cartons, c'est souvent parce qu'elles anticipent une baisse de la demande. Et lorsque l'activité ralentit à la base même de la chaîne logistique, cela peut être le signe que la consommation se contracte.En 2024, l'économiste Jadrian Wooten, de Virginia Tech, a remis cet indicateur sous les projecteurs. Il relève une chute notable dans l'industrie américaine du carton : les fabricants prévoient de fermer environ 9 % de la capacité nationale de production. C'est un recul massif, sans équivalent depuis la grande crise de 2008. Une telle contraction implique aussi des conséquences directes : potentiellement des milliers d'emplois supprimés et une activité industrielle affaiblie.Ce mouvement n'arrive jamais par hasard. Si les producteurs ferment des lignes, c'est qu'ils ne reçoivent plus suffisamment de commandes. Et cette baisse des commandes reflète souvent un phénomène plus large : les entreprises vendent moins, donc elles expédient moins, donc elles emballent moins. En d'autres termes, l'indice carton agit comme un thermomètre placé au tout début du cycle économique.Si cette tendance se prolonge, d'autres indicateurs risquent de suivre la même trajectoire : ralentissement du PIB, recul de la production industrielle, puis montée du chômage. Car moins de cartons, c'est finalement moins de biens qui circulent, moins de consommation, et un tissu économique qui commence à se contracter.À travers un objet aussi banal qu'une boîte, l'indice carton rappelle une vérité simple : parfois, ce sont les signaux les plus ordinaires qui permettent de détecter, avant tout le monde, les tensions qui se préparent dans l'économie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Une élection présidentielle se tient en Centrafrique le 28 décembre prochain. Le président sortant, Faustin-Archange Touadera, est candidat pour un troisième mandat, mais il va affronter notamment un poids lourd de l'opposition, l'ancien Premier ministre Anicet-Georges Dologuélé, qui l'avait mis en ballotage en décembre 2015, un expert des questions économiques et financières. Quel est son programme pour sortir les Centrafricains de la pauvreté ? En ligne de Bangui, le candidat Dologuélé, qui dirige l'Union pour le Renouveau Centrafricain, répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Anicet-Georges Dologuélé si vous êtes élu, quelles seront vos deux priorités ? Anicet-Georges Dologuélé : La première chose, c'est qu'il faut apaiser le climat politique qui est très lourd. Redonner confiance aux Centrafricains d'abord en eux-mêmes et ensuite vis-à-vis des institutions républicaines de l'administration publique. Parce que la neutralité de l'administration et des institutions commence à devenir un lointain souvenir. Ensuite, la deuxième chose, c'est de construire une véritable économie en prenant des mesures pour inciter le secteur privé national comme étranger, parce que sans secteur privé, ça restera un pays très pauvre et nous recommencerons avec les mêmes problèmes, comme nous le faisons depuis des décennies. Je vois par exemple Monsieur Touadéra qui est au pouvoir depuis maintenant dix ans. Il y a des centaines d'hommes d'affaires qui sont venus à Bangui, aucun ne s'est installé parce que la seule chose qu'on fait, c'est qu'on les rackette. Il est grand temps de respecter les investisseurs qui viennent, à travers la justice, à travers les règles, et puis de faire en sorte qu'ils gagnent de l'argent et que le Centrafricain gagne, et que les populations aussi se retrouvent à l'aise. Vous critiquez beaucoup le bilan du président sortant. Mais il y a cinq ans, lors de la dernière présidentielle, plus de la moitié du territoire était sous le contrôle des rebelles. Aujourd'hui, ce n'est plus le cas. Est-ce que Faustin-Archange Touadéra n'a pas ramené la paix dans votre pays ? Dans un pays où il y a 14 000 casques bleus, où il y a plus de 3 000 forces spéciales alliées, c'est normal. Et puis, en face, vous avez des groupes armés qui finalement ont des revendications très floues et qui se sont plus transformés en groupes qui s'intéressent aux ressources naturelles qu'aux questions politiques. Donc, ça n'a pas été compliqué d'en venir à bout. Oui, mais tout de même, ces accords qui ont été signés entre le pouvoir centrafricain et les mouvements rebelles, comme les 3R, comme l'UPC et tout récemment le MPC, est-ce que ce n'est pas à mettre à l'actif du président Touadéra ? Nous verrons pendant les élections si ces accords ont été efficaces, parce que ces groupes armés comme les 3R n'ont été que très peu démobilisés. Moi, je suis de la région du Nord-Ouest du pays. Il y a encore beaucoup d'hommes en armes qui circulent, qui effraient les populations. J'espère que les accords, c'est effectivement pour la paix et non pas pour empêcher que des candidats comme moi fassent campagne dans des régions très peuplées comme le Nord-Ouest, qui représente mon bastion électoral. Depuis le départ des militaires français, ce sont les militaires russes qui occupent une très grande place dans votre pays. Si vous êtes élu, est-ce que vous leur demanderez de rester ou de partir ? Je ne pense pas qu'ils occupent une grande place. Nous avons des relations naturellement avec la Fédération de Russie, mais ce n'est pas une raison pour dire que Wagner est un groupe composé de soldats russes. Et donc, moi, les relations avec la Russie, je suis demandeur. Je suis preneur. La sécurité avec l'armée des pays amis, quels qu'ils soient, je suis d'accord. La sécurité avec des mercenaires, c'est à discuter. Vous n'êtes pas satisfait de ce que font les hommes de Wagner aujourd'hui dans votre pays, c'est ça ? Aucun Centrafricain n'est satisfait de la brutalité. Aucun Centrafricain ne se satisfait du fait que des richesses sortent du pays sans 1 centime pour le Trésor. Et si les hommes de Wagner sont remplacés par des hommes d'Africa Corps, la nouvelle unité officielle de la Russie en Afrique, que diriez-vous ? Eh bien, je ne suis pas encore au pouvoir. Quand j'y serai, je discuterai avec la Fédération de Russie. On trouvera des solutions mieux adaptées. Craignez-vous la fraude ? Le 28 décembre, est ce que vous êtes prêt à unir vos forces avec celles de l'ancien Premier ministre Henri-Marie Dondra pour surveiller tous les bureaux de vote du pays le jour du scrutin ? Ah oui, je suis prêt à unir mes forces avec tous les démocrates, candidats comme Henri-Marie Dondra ou non candidats, pour faire un bloc et empêcher que Monsieur Touadéra vole encore les élections pour rester sept ans à la tête du pays. Et si Faustin-Archange Touadéra est mis en ballotage par Henri-Marie Dondra ou par vous-même, est ce que vous envisagez un accord de désistement entre Dondra et vous pour le deuxième tour ? Il faut que Monsieur Touadéra, après dix ans de pouvoir, puisse prendre sa retraite et avoir une vie paisible d'ancien chef d'État. Et si nous conjuguons nos efforts pour y arriver, c'est une excellente chose pour tous les Centrafricains. À lire aussiCentrafrique: le président Faustin-Archange Touadéra défend son bilan À lire aussiCentrafrique: l'opposant Henri-Marie Dondra envisage de «reconcilier le pays et lutter contre la pauvreté»
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Depuis plusieurs mois, Donald Trump cible directement l'Afrique du Sud. Dans ses discours, le président américain accuse Pretoria de ne pas protéger les fermiers afrikaners blancs, qu'il prétend victimes d'un « génocide ». De notre envoyé spécial de retour de Johannesburg Les démentis sud-africains n'y changent rien. Washington sanctionne : boycott du G20 organisé à Johannesburg, exclusion de l'Afrique du Sud du prochain sommet États-Unis/Afrique et, surtout, décisions économiques lourdes, notamment des droits de douane de 30% sur les exportations sud-africaines. Pour East London, ville du Cap-Oriental dont l'économie dépend largement de l'usine Mercedes-Benz, la punition américaine est un séisme. Sur le port d'East London, la scène est pourtant immuable : rangées de berlines alignées sous les projecteurs, grues immobiles dans l'air salin, ouvriers qui s'affairent en attendant les navires. Dirk Botes, responsable clientèle, détaille l'organisation du terminal automobile : « Cette zone peut préstocker environ 1 400 voitures. Dans le hangar là-bas, un peu moins de 4 000, et sur l'esplanade ouverte environ 1 500. » Ce soir, un navire doit pourtant accoster avec plusieurs heures de retard, perturbé par le mauvais temps. « Il va charger ces véhicules, décharger ceux qui arrivent d'Europe, puis on recommencera avec le bateau suivant », explique-t-il. Ce ballet, autrefois parfaitement réglé, s'est ralenti au fil des mois. Le port exporte de moins en moins de voitures, essentiellement des Mercedes Classe C dont les ventes déclinent depuis plusieurs années. Sphiwe Mthembu, le directeur du port, ne masque pas son inquiétude : « La situation nous touche directement. Quand un constructeur présent depuis soixante-cinq ans commence soudain à souffrir d'une baisse de volumes, cela nous affecte immédiatement. Nous recevons des conteneurs destinés à l'usine : si l'usine tourne moins bien, le port en subit l'impact. Nous devons absolument garder Mercedes-Benz ici et attirer un deuxième grand constructeur. C'est vital pour l'économie locale. » En ville, la chambre de commerce suit de près la situation. Sa directrice, Lizelle Maurice, femme d'affaires respectée et ardente défenseure de l'économie locale, résume l'impact en quelques mots : « Le marché américain était notre plus gros marché, environ 30% de toutes les commandes. Quand les volumes ont commencé à baisser, les fournisseurs de Mercedes-Benz ont immédiatement réduit leurs effectifs. Et cela, c'était avant même les tarifs de Trump. La pandémie avait déjà mis notre économie à genoux. L'an dernier, l'usine est passée de trois à deux équipes, puis 700 départs volontaires ont été annoncés. Les décisions de Washington n'ont fait qu'aggraver une situation déjà très tendue. » Pour comprendre la centralité de Mercedes-Benz dans la région, Ted Keenan, journaliste du Daily Dispatch, déroule une liste : Auria Africa, Valeo International, AIH, et bien d'autres. Tous ont licencié ces derniers mois. «Certaines estimations parlent de 160 000 personnes potentiellement touchées dans la région si Mercedes s'en allait », glisse-t-il, avant de nuancer : « Je ne crois pas que ce soit réaliste. Ce serait la pire chose qui puisse arriver. Mais, il y a des rumeurs persistantes venues de Chine : Mercedes-Benz serait prêt à partager son usine. Aujourd'hui, beaucoup de constructeurs partagent leurs installations. Ce n'est pas impensable. » Pour les employés, c'est jour de fête. Plusieurs centaines d'entre eux sont rassemblés sur un terrain de rugby pour la traditionnelle célébration de fin d'année. Brochettes, musique, danses. Thabile Bevu, délégué du syndicat Numsa, explique pourtant que cette année a été rude : « La production s'est arrêtée plus tôt que d'habitude, quatre semaines en avance. C'est une combinaison de facteurs. Les taxes américaines ont forcé l'usine à réduire. En juillet, on a aussi été en chômage technique pendant six semaines. Beaucoup d'employés embauchés l'an dernier ont déjà perdu leur travail. Alors, tout le monde se demande : est-ce que je serai le prochain ? Mais Mercedes a toujours réussi à faire face, en travaillant avec nous. » Le lendemain, l'un des ouvriers, Phiwe Qaba, arborant un maillot bleu clair des Orlando Pirates, confirme que la crainte est constante : « On parle toujours du même sujet. Parce que dès que les États-Unis arrêtent de commander, notre vie quotidienne change. » Si lui bénéficie d'accords garantissant un revenu minimum même en cas de chômage technique, il pense aux autres, à ceux qui gravitent autour de l'usine : « La dame qui vend des fruits à l'entrée, le gars qui fait le ménage, celle qui prépare la nourriture… eux rentrent chez eux sans un sou. C'est une catastrophe. » À quelques kilomètres du centre-ville, dans le township historique de Duncan Village, on ressent déjà les secousses de la crise. Khulile Jacobs, éducateur et figure locale, fait visiter le lycée du quartier et raconte l'effet sur les familles : « Beaucoup avaient pris des prêts logement ou auto. Avec les licenciements, tout risque de s'effondrer. Des familles qui avaient quitté le township pour des quartiers plus aisés reviennent déjà. Le mouvement a commencé juste après l'élection américaine de novembre. Les entreprises savaient ce qui allait arriver. » Pour Khulile Jacobs, les raisons des décisions de Donald Trump dépassent largement les questions agricoles ou sécuritaires : « C'est une nouvelle forme de guerre froide. L'Afrique du Sud est un hub d'investissements sur le continent. On a l'impression que Trump essaie de détourner ces investissements vers les États-Unis. » Il ajoute un facteur géopolitique majeur : « Le fait que notre pays ait amené Israël devant la Cour internationale de justice a pesé lourd. Pour Trump, c'est comme si l'Afrique du Sud s'était opposée à un allié stratégique. » Et lorsqu'on lui demande s'il soutient son gouvernement dans cette démarche, la réponse est sans ambiguïté : « À 100 %, même plus. Nous nous tiendrons toujours aux côtés du peuple palestinien. Moralement, nous ne pouvons pas faire autrement. » Malgré tout, certains veulent croire à un possible apaisement. Lizelle Maurice, la directrice de la chambre de commerce, appelle à ne pas couper le dialogue : « Trump doit comprendre que ses décisions touchent des millions de personnes. Il doit revoir sa stratégie vis-à-vis de l'Afrique du Sud. Comme je le dis toujours : garde tes amis près de toi, mais tes ennemis encore plus près. »
Tous les matins à 8H10, on vous donne des infos aléatoires du monde.
Les États-Unis et les grands pays européens appellent les rebelles du M23 et l'armée rwandaise à « cesser immédiatement » leur offensive sur Uvira, en République démocratique du Congo. Le Burundi, qui a dépêché des troupes au Congo pour défendre Uvira, est inquiet. « Ce qui menace Uvira menace aussi Bujumbura », affirme ce matin sur RFI Edouard Bizimana, le ministre burundais des Affaires étrangères, qui ajoute que son pays est « prêt à user de tous les moyens pour protéger ses frontières », et empêcher la chute de la grande cité congolaise. « Toutes les options sont sur la table », dit-il. En ligne de Bujumbura, le chef de la diplomatie burundaise répond aux questions de Christophe Boisbouvier. Monsieur le ministre Édouard Bizimana est-ce que vous pensez que la ville d'Uvira est menacée ? Édouard Bizimana : oui, la ville d'Uvira est menacée depuis le 2 décembre quand ils ont intensifié les combats. Bien sûr, c'était avec le renfort venu du Rwanda. On a vu des camions remplis de militaires. La première fois 17 camions remplis, la deuxième fois 22 camions remplis qui traversaient Bugarama, une localité du Rwanda pour aller vers la frontière congolaise. Et ils ont aussi utilisé des armes lourdes, de l'artillerie et des drones kamikazes, des drones de fabrication turque. Mais du côté des FARDC et de votre task force, il n'y a pas de drones ? Ah ça, je ne sais pas, je ne suis pas sur le terrain. Donc, ce que vous nous dites, c'est que les assaillants ont une supériorité aérienne, c'est ça ? Bon, ce n'est pas ce que je veux dire, mais ce que nous regrettons, c'est que ce sont des armes qui tuent à l'aveuglette. Ils ont lancé les bombes sur les populations civiles, qui ont obligé les gens à fuir les localités. Donc nous avons maintenant beaucoup, beaucoup de réfugiés qui affluent vers le Burundi. Et pour ces réfugiés qui fuient vers le Burundi, est-ce que la frontière est ouverte ? Oui, la frontière est ouverte et nous avons déjà depuis trois jours enregistré plus de 30 mille réfugiés et demandeurs d'asile. Alors la ville congolaise d'Uvira est à quelque 20 kilomètres à peine de la capitale économique du Burundi, Bujumbura. Si les rebelles et leurs alliés rwandais entrent dans Uvira, vous réagirez comment ? En tout cas, toutes les options sont sur la table. Parce que Uvira et Bujumbura, ce sont des villes côtières. Et ce qui menace Uvira menace aussi Bujumbura. Donc le Burundi est prêt à user de tous les moyens pour protéger sa population et ses frontières. Et pourquoi dites-vous que ce qui menace Uvira menace aussi Bujumbura ? Parce que les deux villes sont très proches, ce sont deux villes jumelles au bord du lac Tanganyika, c'est ça ? Oui, oui, c'est ça. C'est ça. De Bujumbura, vous voyez l'autre côté de la rive et Uvira est là, et d'Uvira, vous voyez Bujumbura. Et donc c'est à quelques minutes de conduite par la route, si vous voulez. Et dans cette hypothèse là, vous estimez que vos intérêts vitaux seraient menacés ? Oui, bien sûr, nous serions menacés. Dans cette hypothèse, la capitale économique sera menacée et les mouvements des biens et des personnes entre nos deux pays seront perturbés. Et le flux des réfugiés, bien sûr, avec la pression que cela exerce sur les ressources que nous avons. Donc là, c'est une menace directe sur le Burundi. Parce que vous craignez peut-être l'arrivée au Burundi de dizaines de milliers de civils fuyant la ville d'Uvira. C'est ça ? Oui, oui, ils sont déjà en train de fuir. Et puis quand les gens fuient, même si vous faites le contrôle, il peut y avoir des malfaiteurs qui se cachent dedans, ou même des combattants qui se cachent dedans, pour en fait servir d'éclaireurs sur le sol burundais. Donc les enregistrements s'accompagnent de vérification minutieuse pour justement éviter qu'il y ait des gens armés qui puissent se faufiler entre les réfugiés. Et vous dites que, en cas de prise d'Uvira, vous prendrez toutes les mesures nécessaires. Lesquelles ? Ici, je ne peux pas donner les détails, mais toutes les options sont sur la table. Option militaire ou option politique ? Le tout. Parce que déjà, sur le plan militaire, vous êtes sur le terrain congolais. Qu'est-ce que vous pouvez faire de plus ? On est sur le terrain congolais, mais toutes les ressources n'ont pas été déployées. Peut-être qu'il y aura des mesures supplémentaires. Vous avez des troupes en réserve ? Vous savez, toute l'armée burundaise n'est pas en RDC. Ça ne peut pas se faire. Mais s'il le faut, il y aura des renforts burundais qui traverseront la frontière vers le Congo. C'est ça que vous nous dites ? Oui, j'ai dit que toutes les options sont sur la table. S'il faut des renforts, s'il faut quoi que ce soit, tout est sur table. Et je pense que aussi, si le président Trump croit à l'accord signé le 4 décembre à Washington, et vous le savez, les Etats-Unis, c'est une grande puissance, quand les Etats-Unis parlent, je crois que c'est difficile de fermer les yeux ou de se boucher les oreilles. Donc, il suffirait que les Etats-Unis mettent un peu de pression sur Kagamé. Je pense que le reste va se résoudre parce que le M23 sans Kagamé, sans le Rwanda, ce n'est rien. Et pratiquement, le Rwanda est devenu un facteur de déstabilisation. Et concrètement, dans les deux ou trois jours qui viennent., qu'est-ce que vous attendez de Donald Trump ? Non, c'est à lui de décider. C'est à lui de décider comment le faire. Parce que si l'accord du 4 décembre est signé et qu'il n'est pas appliqué alors que c'est lui qui avait fait les efforts pour convaincre les deux chefs d'Etat à se rendre à Washington pour signer, si ça reste dans les tiroirs, donc, je pense que ça serait aussi une humiliation pour les Américains. Edouard Bizimana, je vous remercie. À lire aussiRDC: au Sud-Kivu, l'accord de paix de Washington reste un lointain mirage À lire aussiEst de la RDC: au Sud-Kivu, le front se déplace en direction de la deuxième ville de la province
Mes chers camarades, bien le bonjour !Quel est votre animal préféré ? Parce que les grands dirigeants de l'Histoire avaient parfois des goûts très particuliers : chiens de chasse, lions ou panthères apprivoisés, ou pourquoi pas… les asticots ! Eh oui, les plus célèbres rois et empereurs ont même fait construire des palais rien que pour leurs vers nécrophages favoris : ce sont les plus grands tombeaux du monde, comme le mausolée de l'empereur Qin, ou les pyramides de Gizeh ! Et de fait, vu qu'on est mort, je vois pas bien à quoi ça sert, à part être des HLM à asticots… À moins que ces sépulcres aient en réalité un rôle symbolique, politique, ou historique à jouer ? Je vous propose de découvrir lesquels, à travers un petit top 7 des plus grands tombeaux de l'Histoire !Bonne écoute !
Parmi les signaux inattendus que les économistes scrutent pour prendre la température d'un pays, il en existe un particulièrement étonnant : la vente de slips et de caleçons masculins. Derrière son apparence anecdotique, cet indicateur repose pourtant sur une logique comportementale simple et révélatrice.L'idée a été popularisée par Alan Greenspan, l'ancien président de la Réserve fédérale américaine. Selon lui, la consommation de sous-vêtements masculins évolue très lentement… sauf en période de tension économique. Pourquoi ? Parce que, pour beaucoup d'hommes, l'achat de slips n'est pas une priorité. Contrairement à des produits visibles comme les chaussures ou les vêtements de dessus, personne ne remarque vraiment si vos sous-vêtements sont neufs ou un peu usés. En temps normal, les achats se font à un rythme stable. Mais lorsque l'économie se dégrade, ces dépenses jugées secondaires sont les premières à être repoussées. Autrement dit : si les hommes conservent plus longtemps leurs vieux sous-vêtements, c'est souvent que le portefeuille se serre.Ce comportement fait des ventes de slips une sorte de baromètre discret, un indicateur avancé de ralentissement économique. À la différence d'autres grandeurs macroéconomiques — chômage, PIB, inflation — qui bougent avec inertie, les dépenses du quotidien réagissent immédiatement au moral des ménages. Dès que la confiance baisse, même légèrement, les achats non essentiels sont reportés. Les sous-vêtements masculins, avec leur cycle de renouvellement très régulier, deviennent alors un marqueur sensible de cette prudence accrue.Ce principe s'applique d'ailleurs à d'autres consommations “banalisées”. La fréquentation des restaurants, ou des salons de coiffure, recule souvent avant que les statistiques officielles ne signalent une crise. Et parfois, certains produits deviennent presque des thermomètres économiques traditionnels. À New York, par exemple, le célèbre restaurant Gray's Papaya propose depuis des décennies un menu surnommé sans détour le “Recession Special” : un repas bon marché qui voit ses ventes bondir chaque fois que l'économie vacille. Lorsque les clients affluent vers ces offres à bas prix, c'est généralement que la population commence à ajuster son budget.Ainsi, derrière l'humour apparent de l'“indice du slip”, se cache une observation sérieuse : dans l'économie, les petits arbitrages du quotidien disent souvent plus que les grandes statistiques. Suivre la consommation de biens anodins permet de capter très tôt les changements d'humeur des ménages. Et parfois, un simple slip raconte beaucoup sur l'état d'un pays. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Lien pour s'inscrire au challenge : https://preview.mailerlite.io/forms/1181199/173338081192052699/shareComment transformer une peur en véritable force ?Comment passer d'une élève hésitante à la fondatrice d'une école de langue en ligne ?Dans cet épisode, on plonge dans le parcours fascinant de Lauriane, ancienne élève de la formation énergétique, qui partage comment l'énergétique a transformé sa vie personnelle et professionnelle.Elle nous raconte comment la découverte de soi, la confiance retrouvée et l'intégration de l'énergie l'ont guidée vers la création d'un projet profondément aligné avec qui elle est.Ce que vous allez découvrir dans cet épisode :Transformation personnelleComment Lauriane a surmonté ses doutes et transformé ses peurs pour lancer une école innovante mêlant coaching, développement personnel et apprentissage des langues.Une nouvelle approche de l'apprentissagePourquoi il devient essentiel de réinventer l'enseignement des langues en valorisant l'expression de soi, la confiance, et une pédagogie plus humaine et consciente.L'énergie comme outil pédagogiqueComment l'énergétique enrichit les pratiques professionnelles, facilite l'apprentissage et ouvre la voie à une approche plus intuitive et puissante.Moments clés et prises de conscienceQuels instants de connexion, de libération et de transformation ont marqué le parcours de Lauriane — et comment ils ont façonné son regard sur l'enseignement.Au-delà d'un simple témoignage, cet échange met en lumière l'importance de l'alignement intérieur et de l'incarnation de ses pratiques.Pour transmettre efficacement, il est essentiel d'être en phase avec soi-même.Lauriane nous invite à réfléchir à notre propre chemin et à voir comment l'énergie peut transformer notre manière d'apprendre, d'enseigner et d'entreprendre.Pourquoi écouter cet épisode ?Parce qu'il inspire, motive et montre que la transformation est possible pour chacun.Vous y trouverez des clés pour explorer votre plein potentiel et intégrer l'énergétique dans votre vie professionnelle comme dans votre vie personnelle.Ne manquez pas cet épisode vibrant, où chaque mot porte l'énergie de la transformation et du courage intérieur. Contact Lauriane : https://www.instagram.com/laurianelegrand_/**********************************************Je suis Amba, énergéticienne, formatrice en énergétique, en cartomancie, et en médiumnité. J'accompagne depuis plusieurs années celles et ceux qui veulent intégrer la spiritualité dans leur vie, à travers mes formations professionnelles, mes accompagnements individuels et ce podcast qui rassemble aujourd'hui des centaines de contenus disponibles gratuitement !
Certaines relations ne s'effondrent pas d'un coup. Elles vous empoisonnent petit à petit, vous vident, vous font douter de vous… jusqu'à ce que vous ne sachiez plus ce qui est “normal” ou acceptable.Dans cet épisode, je t'explique :
Parce que ce sont vos épisodes favoris de 2025, découvrez notre Best of des meilleurs moments de Mères cette année.Depuis 2021, les femmes célibataires peuvent avoir recours à la PMA en France. Mais à quoi ressemble vraiment le parcours des mamans solos aujourd'hui ? Dans cet épisode, Judith Duportail raconte son chemin vers la maternité, la naissance de ses jumeaux, ses doutes, ses joies, et surtout le « village » qu'elle s'est créé. Un récit puissant, souriant, libre et profondément inspirant.Mères est un podcast produit par le média leslouves.com, qui accompagne les femmes dans la maternité depuis 2015.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui on parle d'un sujet qui m'a tellement touchée perso : être ambitieux quand t'es jeune… sans tomber dans la hustle culture.Parce que oui : avoir des projets, c'est génial. Mais quand ton ambition commence à te bouffer, que tu culpabilises de ne pas “bosser h24” ou que tu paniques d'être “en retard” par rapport aux autres… c'est plus vraiment sain.Dans cet épisode, je te raconte mon histoire (spoiler : j'ai toujours été une enfant BEAUCOUP trop ambitieuse), ce que ça m'a apporté… et ce que ça m'a coûté.On parle aussi de slow life, d'équilibre, d'objectifs, de raisons profondes, de burn out, de pression… et de comment trouver sa voie sans se perdre.Bref : hustle culture VS vivre vraiment.✨ Et si tu veux participer aux prochains épisodes et partager ton histoire ou tes réflexions, envoie un DM à @jpeuxtefaireunvocal✨ ✨Mon insta : @imperatricewu ✨Abonne-toi pour ne louper aucun d'épisode ❤️ !!! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Graffi a grandi loin des grandes écoles, dans une famille immigrée qui repartait de zéro.Mais…Elle décroche HEC et elle co-crée PNY avant même la fin de ses études.Aujourd'hui, PNY c'est 12 restaurants en propre répartis dans les grandes villes françaises et une franchise en pleine expansion.Mais ce parcours n'a rien d'un long fleuve tranquille.Parce qu'avant d'avoir des équipes et des franchises, elle a commencé en cuisine, tablier noué et mains dans le service, de 9h à minuit, sept jours sur sept.Et malgré tout ?Une humilité désarmante.Une force tranquille.Une sagesse inattendue.Et une ambition profondément ancrée.Dans cet épisode, tu découvriras :Comment on passe d'un lycée de banlieue… à HECLa vérité derrière la création de PNY pendant ses étudesLes premières années : 9h–minuit, 7 jours sur 7Comment elle a bâti l'une des chaînes de burgers les plus solides de FranceSon rapport à l'argent, à l'ambition… et à l'humilité////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Deux jours après la publication de son rapport mondial, le 4 décembre, l'Organisation mondiale de la Santé alerte sur une hausse des cas et des décès du paludisme l'an dernier : environ 282 millions de cas et 610 000 morts. Une progression alimentée par la résistance croissante des moustiques aux médicaments, les effets du climat, les conflits… et des coupes de financement qui menacent d'effacer vingt ans de progrès. L'Afrique reste l'épicentre de la maladie, avec 94 % des cas mondiaux, et les enfants de moins de cinq ans en paient toujours le plus lourd tribut. Arnaud Le Menach, auteur principal du rapport, nous explique pourquoi la lutte marque le pas et ce qui peut encore changer la donne. Il est l'invité de Christina Okello.
Nous sommes en 1955. Dans la revue « The New Decade » que publie le Musée d'Art Moderne de New York, on retrouve, parmi les témoignages de vingt-deux peintres européens, celui de la portugaise Vieira da Silva. Elle dit : « Je crois qu'en ajoutant petite tache par petite tache, laborieusement, comme une abeille, le tableau se fait. Un tableau doit avoir son cœur, son système nerveux, ses os et sa circulation. Il doit ressembler à une personne en ses mouvements, il doit y avoir le temps de ses mouvements. Il faudrait que celui qui le regarde se trouve devant un être qui lui tiendra compagnie, qui lui racontera des histoires, qui lui donnera des certitudes. Parce que le tableau ce n'est pas l'évasion, il doit être un ami qui vous parle, qui découvre les richesses cachées en vous et autour de vous. » Maria Helena Vieira da Silva est née à Lisbonne, au début du vingtième siècle, mais son parcours artistique commence véritablement à Paris à la fin des années 1920. C'est dans la capitale française qu'elle rencontre celui qui deviendra son époux et son compagnon de longue date, le peintre hongrois Árpád Szenes. Ensemble, ils vont former un couple artistique de premier plan, mais jamais, elle ne deviendra « la femme de … ». Vieira da Silva a développé un style caractérisé par des compositions complexes, des lignes fuyantes et des perspectives déstabilisées, évoquant souvent des espaces urbains labyrinthiques, des bibliothèques foisonnantes ou des paysages intérieurs. Après un exil au Brésil, durant la Seconde Guerre mondiale, de retour en France, elle devient une figure majeure de ce que l'on appelle la Nouvelle École de Paris. Vieira da Silva laisse derrière elle une œuvre immense et une influence durable sur l'abstraction lyrique européenne. Tentons de percer les mystères de son univers … Avec nous : Anne Hustache, historienne de l'art. Sujets traités : Maria Helena Vieira da Silva, artiste, peintre, Lisbonne, Árpád Szenes, univers, abstraction Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mes chers camarades, bien le bonjour !C'est le retour du service militaire en France. C'est ce que nous a annoncé Macron le jeudi 27 novembre 2025 lors d'une conférence de presse à Varces en Isère. Ce service militaire sera ouvert aux jeunes Français âgés de 18 à 25 ans sur base volontaire uniquement. Il durerait dix mois et serait rémunéré autour de 900 à 1000 euros par mois. L'objectif : accueillir 50 000 jeunes d'ici 2035. Comme vous vous en doutez, ça a fait réagir. Vu qu'en fait, c'est seulement depuis 1997 que le service militaire est suspendu. Et comme souvent en France, ça relance un vieux débat. Parce que figurez vous que l'histoire du service militaire, c'est un enchaînement de réformes, d'inégalités sociales, d'ajustements politiques, et même de résistances au nom de la conscience…Bonne écoute !
Head to the Binny's at 790 Royal St. George Dr in Naperville to get your Parce this week! BRUCE BOLT - Texas-based designer of premium batting gloves: Look good. Hit dingers. https://brucebolt.us/?afmc=HAPP On this week's episode of the Compound Podcast with Ian Happ, the guys discuss former Cubs farmhand Dylan Cease's big 210 million dollar deal with the Blue Jays. After that, they discuss how college athletics have evolved since Ian and Dakota were in college. Check out full video episodes on Marquee every Thursday and on YouTube on the Marquee Sports Network channel. To learn more about listener data and our privacy practices visit: https://www.audacyinc.com/privacy-policy Learn more about your ad choices. Visit https://podcastchoices.com/adchoices
L'Autriche célèbre, cette année, les 30 ans de son adhésion à l'Union européenne. La République alpine de 9 millions d'habitants a, en effet, adhéré à l'UE en 1995 et trois décennies plus tard, un constat s'impose : l'Autriche profite largement de son adhésion sur le plan économique. De notre correspondante à Vienne, Gabriel Felbermayr, directeur de l'Institut de recherche économique Wifo, voit trois avantages essentiels de cette adhésion pour l'Autriche : « Il y a d'abord, évidemment, le marché intérieur [européen]. Si l'Autriche ne dépendait que de son propre marché, les entreprises ne pourraient pas se spécialiser autant. Cela est beaucoup plus vrai pour les petits pays comme l'Autriche que pour les grands comme la France. Il y a aussi l'espace Schengen et enfin, la politique monétaire européenne. Elle est très importante pour un pays comme l'Autriche, qui s'était auparavant aligné sur le mark allemand, mais qui n'avait pas son mot à dire. » Gabriel Felbermayr a mené une étude pour Wifo dans laquelle il quantifie ces avantages et donc ce que le pays perdrait s'il y avait un « Öxit », le terme qui désigne une sortie de l'Autriche de l'UE. Et les résultats sont sans appel : « On arrive, selon nos calculs, à un effet positif de l'adhésion de l'Autriche à l'UE qui se situe entre 7 et 8% du PIB. C'est beaucoup. Et comme l'Autriche est un pays riche, 7% représentent environ 4 000 euros par habitant. En Autriche, on critique souvent le fait que ces 4 000 euros ne sont pas gratuits, qu'il faut payer une contribution. Mais cette contribution est relativement faible. L'Autriche verse environ trois milliards d'euros à l'UE et en récupère deux milliards, soit une contribution nette d'un milliard. Nous avons 9 millions d'habitants, ce qui signifie que la contribution nette par habitant est d'environ 110 euros. On paie donc 110 euros et on en récupère 4 000, ce qui est un assez bon investissement ! » Une forte insatisfaction Pourtant, année après année, les enquêtes Eurobaromètre, études d'opinion réalisées à l'échelle de l'Union européenne, montrent l'insatisfaction des Autrichiens vis-à-vis de l'Europe. Dans la plus récente, publiée en septembre 2025, seuls 60% d'entre eux se disent convaincus que leur pays bénéficie de son adhésion à l'UE contre une moyenne de 73% dans l'ensemble de l'Union européenne. Et seuls 38% des Autrichiens ont une opinion positive de l'UE. L'Autriche est ainsi l'un des pays les plus insatisfaits des 27. Un thème cristallise ce mécontentement et est, selon cette étude, la priorité pour les Autrichiens : l'immigration. On le constate à Nickelsdorf, village de moins de 2 000 habitants, situé à la frontière avec la Hongrie, dans la région autrichienne du Burgenland. En 2015, lors de ce qu'on a appelé « la crise des réfugiés », ce village a été l'un des principaux points de passage. En quelques semaines, 300 000 réfugiés, principalement originaires de Syrie, d'Afghanistan et d'Irak, sont arrivés dans ce village, depuis la Hongrie - jusqu'à 20 000 par jour au plus fort de la vague. Des tentes ont été installées, des moyens de transport déployés, car ces réfugiés voulaient gagner l'ouest de l'Europe, notamment l'Allemagne. Le maire social-démocrate de la commune depuis près de 30 ans, Gerhard Zapfl, reconnaît qu'ils se sont sentis seuls à l'époque pour faire face à cette situation d'urgence, déplorant le manque de stratégie coordonnée des 27 États européens : « En 2015, l'Union européenne n'avait pas de réponse à ce problème et, jusqu'à présent, je constate qu'elle n'en a toujours pas. » Cette crise a, selon lui, laissé des traces durables à Nickelsdorf, mais aussi dans toute l'Autriche. « La conséquence de cette vague de réfugiés est que le scepticisme à l'égard des étrangers n'a cessé d'augmenter. Et cette situation peut être instrumentalisée. C'est le cas en Autriche avec le parti d'extrême droite FPÖ, qui ramène tous les sujets qui touchent le pays à l'immigration », affirme-t-il, ajoutant que ce scepticisme concerne aussi l'Union européenne. « L'UE échoue totalement sur cette question et cela déçoit un très grand nombre de personnes. » Intéresser les jeunes à l'UE Le FPÖ est actuellement dans l'opposition, mais il est le premier parti dans les sondages, crédité d'environ 35% des intentions de vote. Kevin dit se reconnaître dans ce parti. Ce jeune homme vit à Sattledt en Haute-Autriche, commune de moins de 3 000 habitants « où tout le monde se connaît » et où il a ouvert un café, il y a deux ans. « L'idée d'une union entre les pays européens, du point de vue d'une communauté économique, d'un projet de paix, est quelque chose de très positif », reconnaît-il. Mais s'il se dit aujourd'hui très critique de l'Union européenne, c'est avant tout, insiste-t-il, en raison de la politique migratoire de l'UE : « Nous ne parviendrons pas à maîtriser la situation si nous n'avons pas de protection aux frontières. [...] C'est typique de l'UE : nous discutons et négocions éternellement au lieu de prendre rapidement des mesures. » C'est pour comprendre cette insatisfaction des Autrichiens vis-à-vis de l'UE et la combattre que Rüya Buga parcourt l'Autriche depuis deux ans. Cette jeune bénévole de l'association ÖGfE anime des ateliers sur l'Union européenne dans les écoles, partout dans le pays. « J'entends souvent la réponse suivante de la part des élèves : "Ça ne m'intéresse pas." Mais alors, je leur réponds : "Tu es jeune, n'est-ce pas ? Tu aimerais peut-être déménager un jour, avoir un bon travail, pouvoir t'offrir certaines choses ? Tout ça, ce sont des sujets politiques qui influencent ta vie. Alors, cela doit t'intéresser d'une manière ou d'une autre." » Le but des ateliers qu'elle anime est de mieux faire connaître le travail de l'UE et ses effets concrets dans notre vie de tous les jours. Faire naître « une prise de conscience » car, conclut-elle, « nous vivons tous dans l'Union européenne et devons contribuer à la façonner. Parce que nous sommes la masse et ici, il s'agit de notre avenir. »
Il y a des conversations, des chocs et des prises de conscience qui changent une vie. Pour Béranger Natanelic, le déclic est venu de son père. Un homme qui rêvait de repartir au Népal à la retraite, mais dont le corps a dit stop avant l'heure.Alors Béranger a compris : il ne voulait pas attendre “plus tard”. Il voulait vivre, maintenant.Deux ans plus tard, il a traversé l'Atlantique en bateau-stop, parcouru l'Amérique du Sud du nord au sud puis du sud au nord en passant par la Colombie, le Pérou, l'Argentine, le Brésil, le Panama, ou encore le Mexique… près de 400 conducteurs, des centaines de visages, de rencontres et de repas partagés.Toujours en stop. Toujours porté par la confiance et l'hospitalité.Dans cet épisode, il raconte son déclic, ses débuts "à l'arrache," les galères, les peurs, les vagues à traverser - celles de la mer comme celles du cœur - mais surtout, il nous raconte ce que cette vie en itinérance lui a appris sur la liberté, la simplicité et la beauté du lien humain. Un épisode qui donne envie de lever le pouce, d'ouvrir la porte, mais aussi … de croire un peu plus en les autres.Tous les liens pour retrouver Béranger, son voyage, ses rencontres et son podcast par ici : https://papamamantoutvabien.fr/French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d'écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Head to the Binny's at 790 Royal St. George Dr in Naperville to get your Parce this week! BRUCE BOLT - Texas-based designer of premium batting gloves: Look good. Hit dingers. https://brucebolt.us/?afmc=HAPP On this week's episode of the Compound Podcast with Ian Happ, the guys welcome Ian's Postural Therapist Tyler Skovron on to the show. Ian works with Tyler every single day during the season to get his body ready to play in the games, and Tyler has a unique perspective on how the human body connects. Plus, the guys look at several big trades from around the bigs. Check out full video episodes on Marquee every Thursday and on YouTube on the Marquee Sports Network channel. To learn more about listener data and our privacy practices visit: https://www.audacyinc.com/privacy-policy Learn more about your ad choices. Visit https://podcastchoices.com/adchoices