Commune in Brittany, France
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Head to the Binny's at 290 Hawthorn Village Commons in Vernon Hills to get your Parce this week! BRUCE BOLT - Texas-based designer of premium batting gloves: Look good. Hit dingers. https://brucebolt.us/?afmc=HAPP On this week's episode of the Compound Podcast with Ian Happ, the guys turn back the clock and look back at four of our favorite interviews from our 279 episode library. Listen to portions of our interviews with Joey Votto, Pete Crow-Armstrong, Sean Casey and Chris Sale! The Boys will return with a full playoff episode next week. Check out full video episodes on Marquee every Thursday and on YouTube on the Marquee Sports Network channel. To learn more about listener data and our privacy practices visit: https://www.audacyinc.com/privacy-policy Learn more about your ad choices. Visit https://podcastchoices.com/adchoices
durée : 00:57:49 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - Existe-t-il un horizon ultime, l'horizon des horizons ? Oui, cela s'appelle l'utopie. - réalisation : Nicolas Berger - invités : Jacob Rogozinski Philosophe et professeur de philosophie à l'université de Strasbourg; Amaena Guéniot Attachée temporaire d'enseignement et de recherche en théorie politique à Sciences po Paris; Jean-Philippe Milet Agrégé, Docteur en philosophie
Au Japon, l'histoire des 47 rōnin est sans doute la plus célèbre des récits de loyauté et de vengeance. Elle s'est déroulée au tout début du XVIIIᵉ siècle et est devenue, au fil du temps, une véritable légende nationale.Tout commence en 1701. Le seigneur Asano Naganori est chargé d'accueillir un émissaire impérial au château d'Edo. Mais il est humilié à plusieurs reprises par Kira Yoshinaka, un haut fonctionnaire corrompu et arrogant. Perdant son sang-froid, Asano dégaine son sabre dans l'enceinte du château, un acte interdit. Pour cette faute, il est condamné au seppuku, le suicide rituel, et ses terres sont confisquées. Ses samouraïs se retrouvent soudain sans maître : ils deviennent des rōnin, des guerriers errants.Au lieu d'accepter leur sort, quarante-sept d'entre eux décident de venger leur seigneur. Pendant près de deux ans, ils dissimulent leurs intentions : certains se font passer pour des ivrognes ou des miséreux, afin de tromper la vigilance de Kira. Puis, une nuit de l'hiver 1703, ils passent à l'action. Ils attaquent la résidence de Kira, la prennent d'assaut et finissent par le trouver caché dans un réduit. Ils le forcent à se suicider, et ramènent sa tête au tombeau de leur maître, accomplissant ainsi leur devoir de fidélité.Mais leur geste les place en contradiction avec la loi. Le shogun, conscient de l'admiration populaire que suscite leur acte, hésite longuement. Finalement, il décide de les condamner au seppuku, afin de respecter la justice tout en leur accordant une mort honorable. Les 47 rōnin se donnent la mort avec dignité, et leur mémoire entre dans l'histoire.Pourquoi cette histoire est-elle devenue si célèbre dans le monde ? Parce qu'elle incarne des valeurs universelles : la loyauté, le sacrifice, l'honneur. Au Japon, elle est enseignée comme un modèle du bushidō, le code d'honneur des samouraïs. Des sanctuaires et des tombes, comme celles du temple Sengaku-ji à Tokyo, attirent encore des milliers de visiteurs. Et cette légende a inspiré innombrables pièces de théâtre kabuki, films, mangas et même productions hollywoodiennes.En résumé, l'affaire des 47 rōnin n'est pas seulement une anecdote de l'histoire japonaise : c'est un récit fondateur, qui résonne bien au-delà des frontières du Japon. Elle rappelle la force des valeurs collectives, mais aussi le prix parfois terrible de la fidélité absolue. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
« Réjouissez-vous parce que vos noms se trouvent inscrits dans les cieux » (Lc 10, 17-24)Méditation par Soeur Catherine de CosterChant Final : "Père Seigneur du ciel et de la terre" de l'EmmanuelRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Halte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi est-il si difficile de raconter son histoire, quand on est asiatique en France ?Dans cet épisode solo, je vous parle à cœur ouvert de ce qui m'a bloquée pendant des mois. Ce n'est pas un manque d'idées. Ni du à mon perfectionnisme (un peu, mais pas que). Il y avait autre chose. Qui vous touche peut-être aussi. J'ai eu un déclic. Et j'ai voulu vous partager mes batailles intérieures, les mécanismes qui nous empêchent, souvent, de prendre la parole, et les réponses que j'ai trouvées récemment.Dans cet épisode, je vous parle de :ce qui m'a empêchée de publier des épisodes sur ce podcastdu mythe de la minorité modèle et de ses effets sur nos parcoursde l'exigence de perfection héritée de notre éducation et de notre culturede la légitimité à raconter nos histoires dites "ordinaires"de la violence de l'invisibilisation des récits asiatiquesde ce que signifie "reprendre la parole" dans un contexte de sous-représentationet de comment j'ai décidé de relancer Asiattitudes avec moins de blocagesC'est un bout de journal intime qui j'espère, résonnera chez certain•es d'entre vous. C'est ma manière de me rappeler, et de nous rappeler à tous•tes, par la même occasion, que nos histoires méritent d'exister. Même quand elles ne sont pas spectaculaires. Parce que ces histoires nous appartiennent. Elles ne seront racontées par personne d'autre que nous. Et qu'elles sont le seul moyen de transformer les représentations.Bonne écoute !Mélanie***Références citées dans l'épisode :Podcast : Comment écrire de nouveaux récits - Renverser la table, avec Alice ZeniterComprendre l'histoire des immigrations est et sud-est asiatiques - Asiattitudes, avec Simeng WangSuivre Asiattitudes :✨ Abonnez-vous au podcast sur votre application d'écoute ✨ Partagez les épisodes qui vous ont interrogé, qui ont résonné en vous✨ Suivez Asiattitudes sur les réseaux : Instagram, Linkedin✨ Abonnez-vous à la newsletter AsiattitudesCrédits :Ecriture, animation, réalisation : Mélanie Hong.Générique : Hongli Wang.Graphisme : Mélanie Hong.Email : asiattitudes (at) gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition de cet épisode solo et provenant de ma newsletter, je vous parle d'un sujet qui me touche intimement : l'amitié entre hommes et femmes.Pendant longtemps, cela m'a semblé évident : oui, l'amitié homme-femme existe, profondément, sincèrement, durablement. Et pourtant, au fil des années, j'ai constaté à quel point cette évidence ne l'est pas pour tout le monde. Une rupture amoureuse m'a même forcé à reconsidérer mes certitudes.Dans cet épisode, j'ai voulu creuser ce tabou persistant. Pourquoi nos sociétés sexualisent-elles systématiquement les relations mixtes ? Pourquoi est-ce encore si difficile d'assumer une amitié profonde entre un homme et une femme sans arrière-pensée ? De l'histoire de la philia grecque aux analyses de bell hooks, en passant par mes propres expériences, j'explore cette question sous toutes ses facettes.J'y parle de mes amies – Émilie, Julie, Aurélie, et tant d'autres – qui m'ont formé, nourri, transformé. Je questionne les injonctions genrées, les scripts relationnels, les jalousies de couple, et je partage les outils que j'ai développés pour naviguer ces amitiés avec clarté, respect et authenticité.Parce qu'au fond, ces amitiés m'ont appris à aimer mieux. Et je suis convaincu qu'elles sont un laboratoire relationnel d'une richesse infinie.5 citations marquantes« Une femme est un être humain avant d'être un être sexué. »« L'amitié homme-femme est un laboratoire de justice relationnelle. »« Ce que mes amies m'ont appris, aucun homme ne me l'aurait transmis. »« Paradoxalement, c'est en étant ami avec des femmes que j'ai appris à les aimer sans les posséder. »« L'amitié, ce n'est pas un sentiment : c'est une pratique. »10 questions posées dans le texteUne amitié profonde entre hommes et femmes est-elle possible ?Pourquoi est-ce encore un tabou social ?Comment l'histoire a-t-elle conditionné notre regard sur ces relations ?Quels sont les obstacles concrets aux amitiés mixtes ?Que révèle notre inconscient collectif sur ce sujet ?Quelles différences de motivation existent entre les hommes et les femmes dans ces amitiés ?Pourquoi la jalousie des partenaires est-elle si fréquente ?L'ambiguïté dans l'amitié est-elle toujours un problème ?Comment construire des limites saines dans ces relations ?Que peuvent-elles nous apprendre sur notre société ?Timestamps clés (YouTube)00:00 – Introduction : pourquoi parler d'amitié homme-femme ?02:30 – Mon expérience personnelle et une rupture marquante06:40 – Histoire de l'exclusion des femmes de l'amitié13:00 – La révolution moderne des liens mixtes18:15 – Ce que disent les recherches en psychologie évolutionniste24:00 – Pourquoi j'ai plus d'amies que d'amis32:45 – L'amitié comme lieu de transformation personnelle38:20 – Les défis concrets à naviguer46:00 – Ambiguïté et richesse relationnelle51:10 – L'amitié homme-femme comme acte politiqueHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, on est avec Axel, chanteur de karaoké professionel, pour parler musique française, de Piaf à Stromae en passant par Bruel, Goldman ou Dalida. On échange sur nos chansons cultes, celles qui font danser en soirée, celles qu'on aime chanter (même faux !) et celles qu'on ne comprend pas toujours. Un épisode joyeux, nostalgique et plein de refrains dans la tête
Aujourd'hui, quand on dit qu'un récipient est “hermétiquement fermé”, on pense à un couvercle parfaitement étanche, qu'aucune goutte d'air ou de liquide ne peut traverser. Mais l'histoire du mot est bien plus ancienne et surprenante : elle nous mène aux pratiques mystérieuses des alchimistes et au dieu grec Hermès.Dans l'Antiquité tardive et au Moyen Âge, l'alchimie se présentait comme une quête à la fois scientifique et spirituelle. Les alchimistes cherchaient à transformer les métaux, à fabriquer la pierre philosophale ou à atteindre l'immortalité. Leur savoir, souvent codé et réservé à quelques initiés, fut désigné par le terme hermétisme. Pourquoi ce nom ? Parce que leur tradition se réclamait d'Hermès Trismégiste, figure mythique associée à la sagesse. Ce personnage, mélange du dieu grec Hermès et du dieu égyptien Thot, était censé avoir transmis aux hommes des textes ésotériques décrivant les secrets du cosmos et de la matière.L'adjectif hermétique servait donc d'abord à qualifier tout ce qui se rapportait à cette doctrine occulte, réputée incompréhensible pour le commun des mortels. C'est de là qu'est né le sens figuré que nous connaissons encore : un discours “hermétique” est obscur, réservé aux initiés.Mais le mot a pris aussi un sens beaucoup plus concret grâce aux pratiques mêmes des alchimistes. Dans leurs laboratoires, ils utilisaient des bocaux et des cornues pour réaliser leurs expériences. Or, pour que leurs réactions chimiques aboutissent, il fallait absolument empêcher l'air extérieur de pénétrer et sceller parfaitement les récipients. Ils ont ainsi mis au point des techniques de fermeture avec de la cire, des soudures ou des scellements divers. On parlait alors de récipients “fermés à la manière des hermétistes”, autrement dit des alchimistes. Peu à peu, le terme “hermétique” a désigné non plus seulement un savoir secret, mais aussi un objet totalement clos, imperméable à l'air et à l'eau.C'est cette double filiation – symbolique et technique – qui explique la richesse du mot. L'hermétisme, doctrine ésotérique, a donné naissance à l'adjectif “hermétique” pour qualifier ce qui est obscur. Puis, par extension, et grâce aux méthodes pratiques de fermeture utilisées dans les laboratoires alchimiques, le terme a pris son sens moderne d'“étanche”.Ainsi, chaque fois que l'on ferme un bocal “hermétiquement”, on perpétue sans le savoir un héritage venu de l'alchimie et des mystères d'Hermès Trismégiste. Un mot du quotidien qui, derrière sa banalité, cache une histoire faite de mythes, de secrets et d'expériences en laboratoire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Suivez Lila dans cette enquête pour résoudre un mystère gourmand au collège !
Aujourd'hui, Élina Dumont, Charles Consigny et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Élina Dumont, Charles Consigny et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Head to the Binny's at 290 Hawthorn Village Commons in Vernon Hills to get your Parce this week! BRUCE BOLT - Texas-based designer of premium batting gloves: Look good. Hit dingers. https://brucebolt.us/?afmc=HAPP On this week's episode of the Compound Podcast with Ian Happ, the guys discuss October baseball returning to Wrigley Field and take a look a the series going on around the bigs. Check out full video episodes on Marquee every Thursday and on YouTube on the Marquee Sports Network channel. To learn more about listener data and our privacy practices visit: https://www.audacyinc.com/privacy-policy Learn more about your ad choices. Visit https://podcastchoices.com/adchoices
A l'occasion d'Octobre Rose, nous recevons la docteure Véronique Vaini Cowen, chirurgienne gynécologue et plongeuse, pour raconter comment est né son programme « Bulles roses contre le cancer du sein » : un accompagnement innovant qui aide des femmes pendant et après les traitements grâce à la plongée sous-marine. On y parle prévention (auto-palpation sous la douche, signes d'alerte, mammographie au bon rythme), mais aussi d'un fait trop méconnu : les hommes peuvent eux aussi développer un cancer du sein, d'où l'importance de consulter dès le moindre doute.Pourquoi la plongée ? Parce qu'en immersion, avec un détendeur, la respiration se pose, la fréquence cardiaque ralentit et le corps entre dans un état d'apaisement comparable à celui provoqué par la méditation. Encadrées et suivies, les participantes s'entraînent toute l'année en piscine et en mer, passent leur niveau 1 de plongée, progressent ensemble, et mesurent l'impact réel sur leur bien-être. La force du groupe compte autant que la technique : au bord du bassin, soignante et patientes se retrouvent "à niveau", partageant le même rituel, la même eau, la même respiration.L'épisode répond à des questions concrètes : implants et plongée, reprise après chimio ou radiothérapie (être à l'écoute de sa fatigue) et contre-indications. Il raconte aussi le parcours de plongeuse de la docteure Vaini Cowen et ce qui la motive : proposer un soin qui redonne souffle, confiance et perspective d'avenir.Un épisode pour toutes celles et ceux qui veulent mieux comprendre le dépistage et découvrir comment la mer peut aider à se reconstruire.(Cet épisode ne remplace pas un avis médical : parlez toujours de votre situation avec votre médecin.)RETROUVER LE PROGRAMME "BULLES ROSES CONTRE LE CANCER DU SEIN"Les Bulles Roses contre le cancer du sein sur InstagramLa cagnotte HelloAsso pour soutenir le programmeLe site de l'association ASENOGYNLa page Facebook des Bulles RosesVéronique Vaini Cowen sur Instagram
Bienvenue dans la saison 5 "La voix en héritage"! Rejoins moi sur Sweet Elles : https://go.sweetpapipodcast.com/sweetelles Un matin ordinaire, une tasse de thé à la main… et une phrase qui change tout : « Un jour, ce sera vous qui prendrez les décisions à ma place. » Derrière ces mots de Sweet Papi, il y avait un vertige immense : et si je faisais le mauvais choix pour lui ? Et toi, serais-tu prêt à décider à la place de ton proche, sans savoir exactement ce qu'il voudrait ? Dans cet épisode, je t'emmène au cœur de cette peur universelle : celle de ne pas être à la hauteur. Tu vas découvrir :
La rivalité entre enfants est inévitable, mais comment l'accompagner ?Parce qu'il n'est pas toujours facile de gérer les petites (ou grandes) rivalités à la maison ou à l'école, cet épisode vous apporte des clés concrètes pour accompagner vos enfants sur ce chemin universel.Sylvie d'Esclaibes, éducatrice passionnée depuis plus de 30 ans, partage son expertise sur le développement de l'enfant en s'appuyant sur la pédagogie bienveillante et l'expérience de terrain. Dans cet épisode, elle nous propose des stratégies pratiques pour instaurer un climat sain entre frères, sœurs, et camarades.Dans cet épisode, vous allez découvrir :✨ Pourquoi la jalousie est normale et inévitable✨ L'arrivée du cadet : un grand bouleversement✨ Comment éviter l'écueil des comparaisons et des étiquettes✨ Où poser la limite : émotion vs. comportement✨ Pourquoi valoriser chaque enfant pour ce qu'il est vraiment change la donne✨ Les moments exclusifs : même dix minutes font la différenceRessources :Pour les adultes :Jalousie et rivalités entre frères et sœurs, Adele Faber & Elaine MazlishParler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent, Faber & MazlishFrères et sœurs sans rivalité : même auteures, avec de nombreux dialogues concrets.Frères et soeurs - Une histoire de complicité et de rivalité, Héloïse JunierPour les enfants :Un petit frère, ça sert à quoi ? de Sophie BellierUn petit frère, ça sert à rien ! de Mireille d'AllancéTrop de lapins de Tracey CorderoyMoi d'abord ! de Michael Escoffier et Kris Di GiacomoNon, c'est à moi ! de Michel Van ZeverenCet épisode vous aidera à poser un autre regard sur la jalousie, et à transformer les rivalités entre enfants en véritables apprentissages sociaux.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Bienvenue dans la saison 5 "La voix en héritage"! Rejoins moi sur Sweet Elles : https://go.sweetpapipodcast.com/sweetelles « Bien avant que la maison soit à vendre...", il y a ces phrases simples qui bouleversent tout : “Qu'est-ce que vous allez faire de la maison ?” Derrière les murs, il y a des souvenirs, une mémoire, une histoire. Mais un jour, il faudra signer, classer, décider. Et beaucoup vivent ce vertige : gérer l'intime avec des outils administratifs. Dans cet épisode, je t'emmène là où la maison familiale devient plus qu'un bien : un symbole, une épreuve, un héritage affectif. Je partage avec toi les 5 erreurs à ne pas commettre quand on attend trop longtemps pour parler succession, et surtout comment ouvrir le dialogue avant que la culpabilité ou les conflits ne s'installent. Parce que parler tôt de ce qui reste, ce n'est pas parler de mort. C'est protéger la vie de famille. ---------------------------------------- Je suis Anne Margalin, Créatrice de l'univers de Sweet Papi Podcast, Fondatrice d'un centre de ressources positives pour les aidants où nous prenons soin de nous et de nos parents en perte d'autonomie, avec bienveillance et sourire
À 34 ans, je suis encore dans un recommencement : personnel, professionnel. On va voir ensemble ce que ça signifie recommencer, comment mieux le vivre, choisir cette occasion pour rebondir. Parce que la vie est un éternel recommencement. Aujourd'hui je t'emmène dans les coulisses de ce que ça veut dire repartir de zéro quand t'as déjà construit, investi, et que tu dois tout repenser, encore une fois.RETROUVE MOI SUR :
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jean-Loup Bonnamy et Jeremstar débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jean-Loup Bonnamy et Jeremstar débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Parce qu'elle a laissé ses amies organiser leur escapade durant ce week-end de trois jours, Clotilde se retrouve dans une ville qu'elle avait rayée de la carte. Ici, il y a vingt ans, elle a vécu avec Monsieur, un homme qui fit d'elle sa Madame sous prétexte de lui faire du bien. C'est ainsi que Clotilde se dépouilla d'elle-même, jusqu'à devenir un simple objet, mais un objet d'amour. De son assujettissement d'alors, Clotilde a encore honte, et elle a beaucoup de mal à se découdre la bouche pour reconnaître les faits. La preuve : ni Adélaïde, ni Judith, ni Bérangère, ni Hermeline ne connaissent cette histoire, et aucune ne se doute qu'à deux rues de leur location, dans son immense maison, habite toujours Monsieur. Clotilde se demande si libérer sa parole pourrait aider la honte à enfin changer de camp. À lire – Chloé Delaume, Ils appellent ça l'amour, Seuil, 2025
Bienvenue dans la saison 5 "La voix en héritage"! Rejoins moi sur Sweet Elles : https://go.sweetpapipodcast.com/sweetelles Aujourd'hui, je démarre un défi un peu fou : 60 épisodes en 60 jours, jusqu'à mes 60 ans. Pourquoi ? Parce qu'il y a 6 ans, tout a basculé quand j'ai accompagné mon père — mon Sweet Papi — de sa perte d'autonomie à sa fin de vie. Ce chemin m'a bouleversée, transformée, et j'ai choisi de ne plus le garder pour moi. Chaque jour, je partagerai avec toi : ✨ un souvenir intime, ✨ un enseignement tiré de l'accompagnement, ✨ et une clé concrète pour mieux vivre la fin de vie — comme proche ou comme professionnel.
durée : 00:57:17 - Toute une vie - par : Antoine Ravon - Écrivain homosexuel et radical, Guillaume Dustan a recherché, à travers son œuvre, les conditions d'une existence plus libre, moins injuste. Sous son aspect provocateur, une pensée complexe et une écriture novatrice. - réalisation : Gilles Mardirossian
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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« Le président-candidat Paul Biya est en pleine forme de ses moyens et il n'y a aucune raison qu'il ne tienne pas de meetings avant la présidentielle », affirme le ministre camerounais du Travail Grégoire Owona, qui est aussi le secrétaire-général adjoint du parti au pouvoir RDPC. En vue de la présidentielle du 12 octobre, le candidat Paul Biya ne risque-t-il pas de perdre des voix après la démission de deux de ses ministres ? Et fera-t-il des réformes s'il est réélu ? En ligne de Yaoundé, l'un des hommes forts de sa majorité répond aux questions de Christophe Boisbouvier. Grégoire Owona, quelles seront les deux premières priorités du président Paul Biya s'il est réélu ? Grégoire Owona : Mais le président Paul Biya, certainement, va mieux préciser ses priorités dans sa profession de foi qui va bientôt sortir. Mais je crois que si on devait parler des deux premières priorités en tant que RDPC qui soutient sa candidature, je prendrais la consolidation de la paix, de l'unité nationale et la sécurité en premier, et ensuite la promotion des jeunes et le renforcement du rôle de la femme. La grande inquiétude de l'opposition, c'est la fraude électorale. Même Bello Bouba Maigari affirme que les élections sont truquées au Cameroun et que c'est encore arrivé à la présidentielle de 2018. Qu'est-ce que vous lui répondez ? Je crois que tous ceux qui disent ça font un peu de la diversion. On ne peut pas appeler par exemple au boycott d'une élection locale, sachant qu'on déclare en plus pertinemment quelles sont les conséquences, à savoir l'exclusion à l'élection présidentielle, pour dire après que le système électoral n'est pas bon ou qu'il est mauvais. Donc, je crois qu'il faut faire très attention. Le dépouillement est public. Chacun des candidats ou des représentants des candidats rentrant avec un procès-verbal signé par tous. Quelle autre transparence peut-on vouloir dans un système électoral ? Et si le candidat Paul Biya est battu, est-ce qu'il reconnaîtra sa défaite ? Nous allons à une compétition dans un esprit démocratique. Nous sommes bien préparés, nous espérons gagner. Et si cela arrivait, on se comporterait comme des républicains. C'est-à-dire que le RDPC reconnaîtrait à ce moment-là, la défaite de son champion ? Mais absolument. Mais sur la base des résultats des urnes, pas sur la base des procès d'intention, des interprétations malsaines des lois. Ce 12 octobre, le président Paul Biya va être candidat pour un huitième mandat. Mais beaucoup estiment qu'à 92 ans, c'est une charge trop lourde pour lui. Qu'est-ce que vous en pensez ? J'ai entendu sur votre radio que quand on parle d'âge, c'est qu'on a plus d'arguments. J'ai entendu quelqu'un dire ça. C'est en effet ce qu'a dit Issa Tchiroma. Nous, on a des arguments. Notre candidat est en pleine forme de ses moyens, il conduit le pays, il est à même de poursuivre ce qu'il a commencé. Donc, je ne vois pas le problème que vous êtes en train de soulever sur cet aspect. Actuellement, le chef de l'Etat séjourne en Europe. Est-ce que vous savez quand est-ce qu'il va rentrer ? Mais c'est un court séjour privé. Quand il devra rentrer, on sera bien informé. Et quand il va rentrer, est ce qu'il va tenir un ou plusieurs meetings ? Il n'y a aucune raison qu'il ne tienne pas de meeting. Je vous ai dit au début qu'il rendra publique sa profession de foi. Il n'y a aucune raison qu'il ne tienne pas de meeting. Et je peux même vous dire que s'il faut faire des réformes, il se permettra de faire des réformes. Le départ du gouvernement de deux poids lourds du nord du pays Bello Bouba et Issa Tchiroma. Est-ce que cela ne va pas vous faire perdre des voix ? Les démissions de Bouba Bello et d'Issa Tchiroma, je peux vous dire qu'elles ne vont pas spécialement nous faire perdre des voix. Pourquoi ? Pour deux choses. Parce que d'abord, ces deux candidats se sont discrédités par leur façon de faire et par leur façon d'être. La deuxième raison, c'est que dans les zones où ils ont leur base, il y a de nouveaux alliés qui nous ont rejoints, que ce soit en termes de partis politiques ou en termes d'associations. Mais est-ce que nécessairement, et notamment à cause de ces deux ministres démissionnaires, vous n'allez pas faire un score inférieur à celui de 2018 ? Wait and see. Moi, je n'en suis pas du tout convaincu, parce que plusieurs candidats se sont discrédités par leur façon d'être, par leur façon de faire. Ils ont dit des choses et leur contraire en même temps. Ils ont eu des agissements qui font qu'on ne croit plus en eux. Et nous, nous sommes restés dans la même ligne politique et nous sommes crédibles. Notre candidat est crédible. Voulez-vous dire que Bello Bouba et Tchiroma ne sont pas crédibles parce qu'ils étaient encore avec vous il y a quatre mois et que ce ne sont pas de vrais opposants ? Ce n'est pas ça que j'ai dit, mais ils ont fait pire que démissionner. Qu'est-ce qu'ils ont fait ? Ce n'est ni le lieu ni le moment de vouloir parler négativement des autres candidats. Nous, on est fair-play. À lire aussiPrésidentielle au Cameroun: le parti au pouvoir présente «l'armée» de Paul Biya pour la campagne À lire aussiÉlections au Cameroun: pour battre Paul Biya, «il faudra un raz-de-marée» de l'opposition, martèle Issa Tchiroma Bakary
Bon, voilà : tu as triché à une éval' et tu t'es fait prendre… maintenant, il va falloir assumer. Parce que tricher, on est d'accord, c'est pas bien mais c'est pas la fin du monde non plus !Dans cet épisode, tu vas découvrir qu'en parler avec ses parents, c'est important pour regagner leur confiance, qu'une note n'a absolument rien à voir avec l'intelligence et qu'on fait tous des p'tites erreurs dans la vie : l'essentiel, c'est de savoir les reconnaître et de ne pas les reproduire.CréditsDirection éditoriale : Aurélya Guerrero. Scénario : Sarah Barthère. Réalisation : Qude. Avec les voix de Candice Sansano, Augustine Pouplin et Alexia Neveu. Création visuelle : Emma Tissier. Responsable marketing : Jean-Luc Monchy.Un podcast de Milan presse 2025. Droits réservés.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis le 18 septembre, de jeunes auteurs de bande dessinée, illustrateurs et animateurs présentent leurs œuvres à l'Institut français d'Abidjan. Une initiative du collectif nouveau-né, Lumia, l'Union des Métiers de l'Illustration et de l'Animation. Et une vitrine nécessaire, dans un secteur encore balbutiant, où les opportunités d'édition manquent. Reportage de notre correspondante à Abidjan, Les expositions ne sont pas rares à Abidjan. Mais celles consacrées à la bande dessinée, beaucoup plus. Pendant un mois, une vingtaine de jeunes artistes présentent des illustrations grand format, des planches de BD et même de courts films d'animation diffusés sur des écrans. À l'initiative du projet, l'illustrateur Nandy D. Diabaté, auteur de BD et directeur artistique des studios d'animation Bouya : « Le but est de faire voir leur talent, puisqu'ils sont hyper-talentueux, et de montrer ce que les jeunes font aujourd'hui : quelles sont les tendances, quels sont les styles graphiques qui dominent ? Créer une connexion entre eux, des éditeurs, des studios d'animation, pour qu'ils comprennent que c'est ce qu'il faut là, maintenant, à la Côte d'Ivoire, ce type de création. Il ne faudrait pas qu'on soit en retard sur notre temps, parce qu'on a déjà beaucoup de retard dans ces métiers-là. En vrai, en Côte d'Ivoire, on n'en vit pas. » La Côte d'Ivoire ne compte aucune maison d'édition de bande dessinée à proprement parler, regrette l'un des exposants, Stéphane Guy Lago, illustrateur et graphiste : « Il n'y a pas une industrie de la bande dessinée ici, donc il y a beaucoup à faire. Il y a beaucoup d'appréhension à imprimer de la bande dessinée ici, à éditer de la bande dessinée. Les maisons d'édition ne maîtrisent pas assez le marché ivoirien, en fait. On a vu plusieurs œuvres éditées, sans citer de nom, qui n'ont pas eu le succès qu'elles méritaient, parce qu'il n'y avait pas la bonne stratégie. » « On veut vraiment avoir des histoires qui nous ressemblent » Pourtant, la demande locale est là, insiste Polver, un autre exposant, illustrateur et auteur de BD : « Les gens se sont mis à consommer des produits qui venaient de l'étranger, parce que si tu es fan de bande dessinée en Côte d'Ivoire, et que tu n'as pas de bandes dessinées ivoiriennes, tu vas acheter peut-être des mangas, ou des webtoons, ou des comics. Ce qu'on a compris, c'est qu'il y a bien un marché qui existe. C'est juste qu'il n'y avait pas encore de produit adapté. On aime ça, mais on n'en a pas assez. Donc c'est l'occasion d'en faire ! » Le collectif Lumia prépare justement le lancement d'un magazine en auto-édition, Case 225. Un bimensuel, qui où seront publiées uniquement des BD écrites par et pour les Ivoiriens. Bilhal Ouattara, responsable marketing aux studios Bouya, et auteur de BD lui aussi : « On veut vraiment avoir des histoires qui nous ressemblent. Je travaille beaucoup sur des histoires traditionnelles, ou des histoires qui s'inspirent du folklore ivoirien. Parce que je trouve que sur le plan culturel, on n'a pas assez de représentation. Moi, ma BD dans Case 225 va parler des Gouros et de leurs alliés. Donc, on va faire de notre mieux pour montrer aux gens qu'il y a de l'intérêt, c'est juste que les histoires et les dessins n'étaient pas adaptés. » Lumia ambitionne de publier le premier numéro de Case 225 début 2026. En attendant, l'exposition Impact Frame restera visible à l'Institut français jusqu'au 18 octobre. À lire aussiCôte d'Ivoire: le dessin de presse face aux fake news, lors du Festival Cocobulles
Dans cet épisode, Judith partage quelques réflexions personnelles qu'elle a eues pendant l'été, sur des sujets comme l'argent, le temps, la parentalité, et ce qui a vraiment de la valeur à ses yeux aujourd'hui. Interactive Transcript and Vocab Helper Support Easy French and get interactive transcripts, live vocabulary and bonus content for all our episodes: easyfrench.fm/membership Open the Interactive Transcript (https://play.easyfrench.fm/episodes/2rrzz5uo389zqjfd8dyyf) Download transcript as HTML (https://www.dropbox.com/scl/fi/2rrzz5uo389zqjfd8dyyf/easyfrenchpodcast160_transcript.html?rlkey=26drxjljlsm3qrlml4v23ahip&st=qn45rwu8&dl=1) Download transcript as PDF (https://www.dropbox.com/scl/fi/r5cfza8xoheewssnsle9r/easyfrenchpodcast160_transcript.pdf?rlkey=n6df5wac2feumcfsdjlfnyrjs&st=d7manf3h&dl=1) Download vocab as text file (https://www.dropbox.com/scl/fi/gynzxoeacattq3wq94r6c/easyfrenchpodcast160_vocab.txt?rlkey=r9kbh1mi9xnlg7h13euje5apk&st=idc459ey&dl=1) Download vocab as text file with semicolons (https://www.dropbox.com/scl/fi/4kxu4h0xxouqrtocprrx4/easyfrenchpodcast160_vocab-semicolon.txt?rlkey=iuahuh9a7chbzewdf03pfmhcy&st=lnby7fxo&dl=1) (for flashcard apps) Subscribe using your private RSS feed to see the transcript and vocabulary helper right in your podcast app while you listen. Show Notes
Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 25 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 25 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Congo-Brazzaville, la mode revient à une peau sans éclaircissant. Il y a plusieurs années, les jeunes étaient tentés de se faire blanchir l'épiderme à l'aide de produits. La pratique a largement reculé ces derniers temps, à cause, notamment, des conséquences de ces produits, mais aussi parce que la tendance est à la beauté naturelle aujourd'hui. Reportage de notre correspondant à Brazzaville, Il est midi. Nous sommes devant l'école des beaux-arts de Moukoundzi Ngouaka, dans le premier arrondissement de Brazzaville. Son sac accroché au dos, Alioty, la quarantaine révolue, marche, en pensant à ce phénomène de blanchiment de la peau. Il se rappelle de ses origines. « Ce phénomène, on le constatait davantage avec les gens de la diaspora. C'est surtout ceux de la diaspora, quand ils revenaient, ils se blanchissaient la peau », témoigne-t-il. Les jeunes filles et les garçons restés au pays, à Brazzaville et dans l'intérieur du pays, ont pris le relais, en enduisant leurs visages de différents produits. Pour le sociologue Éric Aimé Kouizoulou, la pratique d'éclaircissement de la peau vient de loin : « Ce sont les effets psychologiques qu'a eus la colonisation sur les colonisés que nous sommes. On nous a poussés à penser que la peau blanche était la meilleure », affirme-t-il. Au fil du temps, les produits et autres pommades utilisés ont pourtant eu des effets néfastes : certains hommes ou certaines femmes ont déclenché des cancers de la peau ou ont vu apparaître des taches indélébiles sur leur visage. Jadis habitué de ces produits, Didier Clotaire, fonctionnaire, a préféré renoncer par précaution : « Parce que j'ai vu les conséquences. Tu peux être malade facilement. Tu peux attraper une sale maladie de la peau. Ça détruit la peau et ça pousse quelqu'un à vieillir, avec le soleil. Il y a beaucoup de conséquences. Ça n'est pas bien de faire cela. On doit rester tel qu'on est », argumente-t-il. Chimène, 25 ans, prodigue conseils et met en garde les uns et les autres : « Je leur conseille de ne pas se décaper [la peau]. Mais, s'ils se décapent, quand ils vont devenir "bizarres", ça leur regarde » lance-t-elle. Du bio pur, du mixa ou du coco pur sont autant de laits mis par les jeunes congolais, pour maintenir leur teint. Observateur de l'évolution de la beauté congolaise, Bazin Mboungou parle d'un retour à l'authenticité : « Cette fois-ci, nous remarquons que les jeunes filles et les jeunes garçons reviennent à leur peau d'origine, de naissance. La peau de leur race. C'est encourageant, le retour à l'originalité. Il n'y a pas de race au-dessus d'une autre », analyse-t-il. Cela fait au moins une dizaine d'années que l'usage des produits éclaircissants a diminué à Brazzaville. À lire aussiDépigmentation volontaire, une mode dangereuse
Head to the Binny's at 290 Hawthorn Village Commons in Vernon Hills to get your Parce this week! BRUCE BOLT - Texas-based designer of premium batting gloves: Look good. Hit dingers. https://brucebolt.us/?afmc=HAPP On this week's episode of the Compound Podcast with Ian Happ, the guys discuss the Cubs playoff clinching win in Pittsburgh and what it meant to Ian. After that the guys discuss Clayton Kershaw's legacy and Dakota and Tom project the Cubs' playoff roster. Check out full video episodes on Marquee every Thursday and on YouTube on the Marquee Sports Network channel. To learn more about listener data and our privacy practices visit: https://www.audacyinc.com/privacy-policy Learn more about your ad choices. Visit https://podcastchoices.com/adchoices
Imaginez cette situation : vous réussissez un examen difficile. Tout de suite, vous pensez : « J'ai travaillé dur, j'étais bien préparé, je suis intelligent. » Mais si, à l'inverse, vous échouez, il est tentant de se dire : « Le sujet était trop compliqué, le professeur a été injuste, j'ai manqué de chance. » Ce mécanisme porte un nom : le biais d'auto-complaisance.Ce biais est une tendance psychologique universelle : nous attribuons nos réussites à nos qualités personnelles, et nos échecs à des facteurs extérieurs. C'est une manière de protéger notre estime de soi. Après tout, il est plus agréable de se voir comme compétent et de rejeter la responsabilité de nos erreurs sur les circonstances.Les chercheurs en psychologie sociale ont étudié ce phénomène dès les années 1970. Ils ont montré que, dans des expériences contrôlées, les participants avaient systématiquement tendance à revendiquer leurs succès comme mérités, tout en minimisant leur part de responsabilité dans leurs échecs. Par exemple, un étudiant qui obtient une bonne note pensera que c'est grâce à son intelligence, mais si la note est mauvaise, il accusera l'examinateur ou le manque de temps.Ce biais n'est pas seulement individuel : il se retrouve aussi au niveau des groupes. Une équipe sportive victorieuse mettra en avant son talent, sa cohésion, son travail acharné. Mais si elle perd, elle parlera de l'arbitre, du terrain ou du mauvais temps. Dans le monde de l'entreprise, c'est pareil : un projet réussi est attribué à la stratégie et au leadership ; un échec, à la crise économique ou à la concurrence déloyale.Pourquoi agit-on ainsi ? Parce que notre cerveau cherche à maintenir une image positive de nous-mêmes. C'est une sorte de mécanisme de défense psychologique. Il nous aide à garder confiance, à ne pas nous effondrer face aux difficultés. Mais ce confort a un prix : le biais d'auto-complaisance nous empêche parfois de tirer les bonnes leçons de nos erreurs. Si tout est toujours la faute des autres, il devient plus difficile de progresser.Être conscient de ce biais est déjà un premier pas pour le limiter. Accepter qu'un échec peut venir aussi de nos choix, de notre préparation ou de nos limites, ce n'est pas se rabaisser : c'est se donner une chance de s'améliorer. De même, reconnaître que parfois la chance ou les circonstances jouent dans nos succès, c'est garder une humilité précieuse.Ainsi, comprendre le biais d'auto-complaisance, c'est apprendre à mieux évaluer nos réussites et nos échecs, et donc à mieux grandir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nouvelle saison. Nouveau souffle. Même exigence.Depuis 2018, j'ai fait de L'Entreprise de Demain un espace rare : celui où dirigeants, DRH, managers et chercheurs osent parler de leurs vrais défis. Pas de jargon. Pas de recettes magiques. Un espace de partage de nos convictions, nos doutes, nos apprentissages et des pratiques concrètes. Avec une envie sincère de réinventer notre manière de travailler.Cette saison, j'ouvre le bal avec un manifeste.Parce que nous vivons un paradoxe : on demande aux managers des résultats immédiats, alors que les vraies transformations s'écrivent dans le temps long. Parce que la peur et la crise de sens traversent les équipes, mais que nous avons grand besoin d'activer engagement et plaisir. Parce que l'IA peut être une opportunité incroyable… si nous savons l'utiliser pour libérer l'humain au lieu de l'écraser.Dans cet épisode d'ouverture, je vous propose un cap.Un cap pour naviguer ensemble dans les contradictions du travail, et retrouver du souffle dans nos rôles de leaders et de managers.Je vous annonce aussi les nouveaux formats du podcast à retrouver chaque semaine : des interviews inspirantes de dirigeants et DRH,des formats courts avec des clés concrètes,et des conversations mentoring inédites.Parce que même dans les environnements les plus contraints, il existe toujours des espaces pour activer plaisir, sens et impact. Et c'est exactement ce que nous allons explorer ensemble.Bonne écoute et à bientôt ! Lien d'inscription vers la newsletter gratuite : Le cercle des leaders de demain : https://lecercledesleadersdedemain.substack.com/?r=1t1xsv&utm_campaign=pub-share-checklistHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Cameroun, le ministre d'État Bello Bouba Maïgari a fait sensation le 28 juin 2025, quand il a démissionné du gouvernement et annoncé sa candidature contre Paul Biya à la présidentielle du 12 octobre. En effet, son parti, l'Union nationale pour la démocratie et le progrès (UNDP), est un poids lourd dans le pays. Mais quelles sont ses chances de gagner si l'opposition reste divisée ? Aujourd'hui, le candidat Bello Bouba annonce qu'il « peut arriver à une entente » avec le candidat Tchiroma Bakary. En ligne de Yaoundé, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Si vous êtes élu, quelles seront vos deux priorités ? Bello Bouba Maïgari : Mes priorités, si je suis élu, ce sera d'abord pour la formation d'un gouvernement de large union. Parce qu'il faudra que nous nous attaquions aux problèmes essentiels de notre pays, à savoir la protection de l'unité nationale, son renforcement notamment dans les régions anglophones, mais également les problèmes de sécurité dans d'autres régions du Cameroun, notamment l'Extrême Nord. Alors, vous parlez de la très grave crise anglophone au Nord-Ouest et au Sud-Ouest. Beaucoup de Camerounais, y compris des candidats, prônent le retour au fédéralisme. Qu'en pensez-vous ? Aucun sujet ne sera tabou. D'abord, pour qu'il y ait une vraie inclusivité au Dialogue national inclusif que nous allons convoquer dans les six premiers mois de notre mandat, nous parlerons même aux leaders politiques des régions aujourd'hui troublées par cette crise anglophone, et nous envisageons de libérer ceux d'entre eux qui veulent travailler avec nous pour aboutir à un large consensus. Votre fief, c'est le nord du pays, mais comme vous le savez, il ne suffit pas de gagner au nord. Est-ce que vous avez la stature nationale pour être élu président ? Qui peut dénier à l'UNDP une implantation nationale ? Quel autre parti au Cameroun peut nous dénier cette bonne implantation que nous avons à travers l'ensemble des dix régions ? Oui, mais tout de même, Monsieur le Premier Ministre, votre parti UNDP est pour l'instant très loin derrière le parti au pouvoir RDPC. Qu'est-ce que vous comptez faire d'ici au 12 octobre pour combler ce retard ? D'abord, ce que vous appelez « très loin derrière le parti » au pouvoir, nous pensons que c'est parce que les conditions de transparence, de liberté et d'organisation des élections dans notre pays ne sont pas remplies. Nous travaillons pour cela et, d'ici à la fin du premier trimestre de 2026, vous verrez un renforcement de la représentation de l'UNDP dans toutes les assemblées de notre pays. Mais pourquoi la fraude s'arrêterait-elle au Cameroun ? Parce que d'abord, nous pensons, dans nos contacts avec les candidats et les anciens candidats, renforcer la collaboration entre nous pour assurer la vérité des urnes par une présence massive et digne des partis de l'opposition dans tous les bureaux de vote, dans toutes les commissions départementales où se passera le décompte des voix. Tout récemment, il y a quelques jours, l'opposant Maurice Kamto, qui n'a pas le droit de se présenter et qui n'a pas encore donné de consigne de vote, vous a invité, Issa Tchiroma et vous-même qui êtes tous deux originaires du nord du pays, à vous entendre pour fusionner vos deux candidatures, qu'est-ce que vous en pensez ? C'est pour cela que, après avoir écouté non seulement l'appel du professeur Kamto, mais aussi d'autres responsables de partis, nous avons relancé cette demande de rencontre entre nous pour que nous puissions nous entendre. Une rencontre entre Tchiroma et vous ? Une rencontre entre, oui, Monsieur Tchiroma, mais également avec d'autres candidats aussi. Les choses sont en train d'être explorées et nous n'avons pas perdu l'espoir qu'elles aboutiront à un consensus acceptable, non pas entre nous seuls, mais également à qui répondra à l'attente de beaucoup de Camerounais. Et vous pourriez arriver à fusionner vos deux candidatures ? Nous pourrons arriver, je l'espère, à trouver la solution que beaucoup attendent. C'est-à-dire une entente entre nous. C'est ma détermination pour laquelle je veux travailler. Et que répondez-vous à ceux qui disent, comme le candidat Cabral Libii, qu'il faut renouveler la classe politique camerounaise et que les nonagénaires, comme Paul Biya, et les septuagénaires, comme Issa Tchiroma et vous-même, devraient peut-être laisser la place aux jeunes ? C'est son opinion, mais la loi permet encore qu'un candidat de cet âge-là puisse se présenter. Je n'ai aucun commentaire à ce sujet.
Au Cameroun, une part importante de la campagne électorale se joue désormais sur les réseaux sociaux. Des influenceurs assument publiquement leurs choix politiques pour convaincre les électeurs, certains allant jusqu'à rejoindre officiellement des équipes de campagne. Mais ce déplacement du débat vers les plateformes numériques s'accompagne d'une prolifération de « fake news ». De notre correspondant à Yaoundé, « Dans le monde numérique, je pense qu'il ne faut pas se prendre très au sérieux à la base. » Valery Ndongo est humoriste et présentateur télé bien connu. Dans son podcast, il donne la parole à des personnes qu'il rencontre dans la rue : « La plupart des questions que je pose aux gens dans la rue, c'est de savoir si, un, ils sont au courant qu'il y a une élection au Cameroun, et ensuite, est-ce qu'ils peuvent dire pour qui ils vont voter ? » Un candidat a cité son nom, Cabral Libii pour ne pas le nommer, comme étant un de ses soutiens ? « Ça, ce n'est plus un secret pour quelqu'un. Je l'ai dit, je l'ai annoncé, je l'ai publié, j'ai mis sa photo, j'ai partagé ses publications et je vais continuer à le faire. » La politique à l'heure des réseaux À quelques kilomètres de là, Yvanna Besseke, ancienne Miss Cameroun France, tient une réunion avec son équipe. L'influenceuse, qui ne se sépare jamais de son téléphone, a été choisie par Hiram Iyodi, le benjamin des candidats, comme porte-parole : « Ma génération aujourd'hui est hyper connectée, il faut pouvoir amener la politique justement là où elle est. Parce que lorsqu'on veut parler à une population, il faut pouvoir parler avec ses codes. Et aujourd'hui, la population camerounaise est composée à 75% de personnes de moins de 30 ans. » On l'interroge : fait-il des contenus qui parleraient plus facilement à cette génération Z ? « En réalité, on adapte les contenus par rapport à la plateforme. Vous verrez qu'on ne communique pas pareil sur TikTok que sur Twitter, parce que la cible n'est pas la même. Mais, effectivement, oui, il faut pouvoir s'adapter aux codes. Il y a les codes sur TikTok, il y a des musiques qui fonctionnent bien, pour pouvoir adapter ça à la politique. » Prolifération de fausses infos Cette bataille de l'attention favorise aussi la circulation de fausses informations, comme l'explique Chedjou Kamdem, expert en communication digitale : « Les contenus émotionnels, polémiques ou spectaculaires circulent plus vite, même s'ils sont faux. Ce mécanisme est exploité par ceux qui veulent manipuler en diffusant des rumeurs, en modifiant des images, des vidéos, ce qu'on appelle les "deepfake". Ou encore en créant des récits alternatifs pour influencer des électeurs. Le danger, c'est qu'une fausse information bien construite peut atteindre une audience massive avant d'être corrigée. Il est indispensable que chaque citoyen développe un réflexe critique en ligne. » Avec environ cinq millions d'utilisateurs actifs sur les réseaux sociaux, selon l'Institut national de la statistique, le Cameroun vit sa première présidentielle véritablement digitale.
Dans l'Europe du XVIIIᵉ siècle, un nom suscite fascination et crainte : Cagliostro. Derrière ce personnage aux mille visages se cache Giuseppe Balsamo, né à Palerme en 1743. Aventurier, escroc, guérisseur autoproclamé, alchimiste et occultiste, il devient l'une des figures les plus énigmatiques de son temps.Cagliostro se rend célèbre d'abord par son talent à jouer des apparences. Doté d'un charisme certain et d'un verbe flamboyant, il parcourt l'Europe en se présentant comme comte, mage ou médecin. À Londres, à Strasbourg, à Varsovie ou encore à Saint-Pétersbourg, il attire curieux et puissants grâce à ses promesses de guérison miraculeuse, ses séances de magnétisme et ses expériences d'alchimie. Ses remèdes, parfois efficaces, souvent mystérieux, lui donnent une réputation de thaumaturge.Mais ce n'est pas tout. Cagliostro se rapproche des loges maçonniques et fonde son propre rite, la « maçonnerie égyptienne », où il mêle symbolisme, rites initiatiques et pratiques occultes. Dans une Europe avide d'ésotérisme et de secrets, il séduit de nombreux adeptes, renforçant son aura de prophète moderne.Sa célébrité atteint cependant son apogée à Paris, à la fin des années 1780, lors de la fameuse affaire du collier de la reine. Cette escroquerie retentissante, qui éclabousse Marie-Antoinette, alimente les rumeurs et la haine contre la monarchie. Bien que son rôle réel soit resté mineur, le nom de Cagliostro est associé à l'intrigue. Emprisonné à la Bastille puis finalement acquitté, il en sort auréolé d'une réputation sulfureuse. L'opinion publique voit en lui soit un génie des arcanes, soit un charlatan dangereux.Sa fin est moins glorieuse. De retour à Rome, il est arrêté par l'Inquisition en 1789, accusé d'hérésie et de pratiques occultes. Condamné à la prison à vie, il meurt en 1795 dans la forteresse de San Leo.Pourquoi Cagliostro reste-t-il célèbre ? Parce qu'il incarne à lui seul les ambiguïtés de son siècle : entre foi dans les sciences nouvelles et fascination pour l'occultisme, entre rationalité des Lumières et goût pour le mystère. Il symbolise aussi l'Europe d'avant la Révolution française, marquée par la crédulité, la soif de merveilleux et la peur des complots.De Giuseppe Balsamo à Cagliostro, le personnage a inspiré d'innombrables récits, de la littérature romantique aux études historiques. Charmeur, imposteur, guérisseur, mystique… il demeure une énigme vivante, et c'est bien ce qui explique sa célébrité durable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque matin, près de 8 adultes sur 10 dans le monde consomment une boisson caféinée. Mais derrière ce geste devenu un rituel universel, la science commence à dévoiler un phénomène fascinant : le café du matin ne se contente pas de réveiller, il rend aussi plus heureux.La preuve par les étudesUne étude conjointe des universités de Bielefeld (Allemagne) et Warwick (Royaume-Uni) a suivi plus de 230 jeunes adultes dans leur quotidien. Grâce à une application, les participants notaient leur humeur plusieurs fois par jour, en précisant s'ils avaient bu du café dans les 90 minutes précédentes. Résultat : les émotions positives — enthousiasme, sentiment de bien-être, motivation — étaient significativement renforcées après la consommation de café. L'effet était particulièrement marqué dans les deux heures et demie suivant le réveil, puis s'atténuait, pour réapparaître plus faiblement en fin de journée.La biologie du bonheurPourquoi le café agit-il plus fortement le matin ? La réponse tient à notre chronobiologie. Pendant la nuit, une molécule appelée adénosine s'accumule dans le cerveau et ralentit l'activité neuronale, favorisant le sommeil. Or la caféine bloque ces récepteurs à l'adénosine, ce qui provoque une libération accrue de dopamine et de noradrénaline, des neurotransmetteurs associés à l'éveil, à la vigilance et… au plaisir. Après une nuit sans caféine, l'effet est donc maximal : c'est pourquoi la première tasse a un impact émotionnel bien plus fort que celle de l'après-midi.Plus qu'un effet de sevrageCertains chercheurs avaient suggéré que l'amélioration d'humeur ne serait que le simple soulagement des symptômes du manque de caféine. Mais l'étude publiée dans Scientific Reports a montré que même les personnes consommant peu de café ressentaient une hausse du bien-être. Cela signifie que l'effet n'est pas seulement un « retour à la normale », mais bien un véritable coup de pouce positif pour le cerveau.L'impact psychologique et socialIl existe aussi une dimension psychologique. L'anticipation même de ce moment de réconfort crée un effet placebo qui renforce l'action de la caféine. Cependant, les chercheurs ont observé que l'effet positif était moins marqué en présence d'autres personnes. Pourquoi ? Parce que la stimulation sociale agit déjà comme un booster émotionnel, réduisant la marge d'impact du café. À l'inverse, lorsque les participants étaient plus fatigués que d'habitude, la caféine produisait un gain d'humeur encore plus net.Un allié… avec des limitesLes scientifiques rappellent toutefois que ces bienfaits concernent une consommation modérée, surtout le matin. En fin de journée, le café peut perturber le sommeil, et un excès entraîne parfois irritabilité ou dépendance. Mais pris au bon moment, il agit comme un catalyseur de bonne humeur, confirmant ce que des milliards de personnes pressentaient déjà : le café du matin est bien plus qu'une boisson, c'est un vrai levier biologique pour démarrer la journée du bon pied. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Didier Giraud, agriculteur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Yves Camdeborde, chef restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Didier Giraud, agriculteur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Yves Camdeborde, chef restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Didier Giraud, Joëlle Dago-Serry et Yves Camdeborde débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Saviez-vous qu'en France, une femme meurt toutes les 7 minutes d'une maladie cardiovasculaire ?Moi, non. Saviez-vous qu'en France, les femmes sont parfois plus exposées que les hommes à certains risques cardiaques, en particulier l'AVC ?Moi, non.
Parce qu'elle s'est terminée tragiquement, l'avant-dernière campagne militaire de Napoléon passe pour désastreuse. En vérité, elle aura été héroïque. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Head to the Binny's at 790 Royal St. George Dr in Naperville to get your Parce this week! BRUCE BOLT - Texas-based designer of premium batting gloves: Look good. Hit dingers. https://brucebolt.us/?afmc=HAPP On this week's episode of the Compound Podcast with Ian Happ, the guys discuss Anthony Rizzo, the prodigal son, returning home to Wrigley Field and Ian's emotions around the big day. After that, they discuss Ian's donation to his high school in Pittsburgh and Nico Hoerner's monster 2025 season. Check out full video episodes on Marquee every Thursday and on YouTube on the Marquee Sports Network channel. To learn more about listener data and our privacy practices visit: https://www.audacyinc.com/privacy-policy Learn more about your ad choices. Visit https://podcastchoices.com/adchoices
Head to the Binny's at 790 Royal St. George Dr in Naperville to get your Parce this week! BRUCE BOLT - Texas-based designer of premium batting gloves: Look good. Hit dingers. https://brucebolt.us/?afmc=HAPP On this week's episode of the Compound Podcast with Ian Happ, the guys discuss Derek Lee and Sammy Sosa going into the Cubs HOF, the players in MLB with their numbers retired for two teams, Ian's highest exit velocity and the Kyle Freeland/Rafael Devers benches clearing situation. Check out full video episodes on Marquee every Thursday and on YouTube on the Marquee Sports Network channel. To learn more about listener data and our privacy practices visit: https://www.audacyinc.com/privacy-policy Learn more about your ad choices. Visit https://podcastchoices.com/adchoices