Commune in Brittany, France
POPULARITY
Categories
On part en Touraine pour la 9 édition de l'Incontournable « Noël Au Pays des châteaux ». qui débute le week-end prochain. C'est Azay le Rideau qui a retenu votre attention cette année …Déjà parce qu'Azay est d'une élégance incroyable, C'est l'un des fleurons de l'architecture du début de la Renaissance. Parce que sa cuisine prend une place assez centrale : on le voit encore à travers la dépense, le « garde-manger » attenant à la cuisine. On y entreposait la vaisselle, le linge de maison et les denrées alimentaires. Rappelons que La Touraine est une terre de gastronomie, le potager de la France. Et Toutes ces raisons ont poussé Azay le rideau a créée des noëls gourmands, des noëls à croquer à chaque édition. Et cette année la magie va opérer doublement puisque 10 contes vont envahir les pièces du château. Grâce à un travail scénographique qui rend hommage à l'art de vivre à la Française, et aux métiers d'art.Des savoir-faire qui font partie de notre Patrimoine … lesquels ?La Vaisselle, la Faïence de Gien qui date du 19eme et les Soieries de la manufacture Roze, la dernière soierie de Touraine. Qui existe depuis le 16 -ème siècle. Et Grâce aux textiles, aux services iconiques, à leurs couleurs et bien les contes prennent vie. Mes 2 pièces préférées : la chambre Renaissance avec des couleurs bleu profond et pourpres qui devient celle des Contes des mille et une nuit. C'est Le service du Jardin du Palais qui a été choisi pour son Fond noir et ses motifs d'animaux sauvages. Quant aux gourmandises sucrées, elles sont orientales. En revanche dans ma 2 pièce coup de cœur ce sont des sucreries Tourangelles a l'honneur. Celles de la grande pâtisserie familiale Allard depuis 4 générations. Toutes blanches ! Elles rejoignent la vaisselle et les soieries blanches qui envahissent l'immense table de 8 m de long dans la Grande Salle. Sublime : une belle immersion dans l'univers glacé de la reine des neiges. Et magique grâce a des chandeliers crées par une artisane d'art Veronique Pinault. Elle empile des soucoupes, assiettes et verres en verre chinés. Place à la fêteEvènement du 29 Novembre 2025 au 6 janvier 2026 : Noël au pays des châteaux – 6 châteaux aux couleurs de Noël Vente des différents pass visites : Tours en Val de Loire | Office de Tourisme & des Congrès Tours Loire Valley (37)LaituesDans la grande famille des salades, voilà la laitue… ou plutôt LES laitues. On les trouve toute l'année, mais la saison s'étale vraiment du printemps à la fin novembre.Il en existe différentes sortes :- Les laitues pommées : en forme de pomme, feuilles très serrées, comme l'iceberg- Batavia- Laitue romaine, plus longues, feuilles plus épaisses (parfaite pour la César)- La sucrine petite et dense.On ne compte plus les recettes pour les manger froides, en salade avec des lardons, du fromage, de la volaille ou une simple vinaigrette…Sucrines braiséesCouper les sucrines en 2 / faire revenir un oignon émincé et 1 carotte en dés dans un peu de matière grasse / ajouter les laitues et les colorer / mouiller avec du bouillon (volaille ou légume) / laisser mijoter à couvert 20 min. On peut y ajouter des lardons. Essayez le velouté de laitue avec une pomme de terre, du bouillon, un oignon, de la crème. Il se déguste bien chaud, mais aussi froid.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mon tout-petit, Ma toute-petite, de toute éternité, tu as été choisi/e pour devenir un être d'Amour... et pour donner aux autres cet Amour. Enfant de Mon Coeur, Je prends ton fardeau; je te comble de Mon Amour. Tendrement, Je t'aime. Follement, Je t'aime. Divinement, Je t'aime. Parce que l'Amour nous aime, nous devenons l'amour!
Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Abel Boyi, éducateur, et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Maintenant Vous Savez, c'est aussi Maintenant Vous Savez - Santé et Maintenant Vous Savez - Culture. Parce que l'offre est pléthorique ou parce que tu as peut-être des besoins spécifiques, choisir ton dentifrice peut s'avérer un petit casse-tête. D'ailleurs, on ne sait pas trop ce que contiennent ces produits ; s'il vaut mieux éviter certains dentifrices, ou encore si les versions bio sont tout aussi efficaces. Quels composants trouve-t-on dans les dentifrices ? Vers quels produits se tourner ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez - Santé". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Emilie Drugeon. Première diffusion : novembre 2023 À écouter aussi : Les dentifrices blanchissants sont-ils vraiment efficaces ? Pourquoi dit-on avoir les dents du bonheur ? Quels sont les dangers du limage des dents ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez Santé". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Aujourd'hui on va rencontrer une femme avec qui je travaille, elle est drôle, elle est intelligente, très généreuse, elle est incollable sur la maternité, mais c'est de périménopause dont elle va nous parler aujourd'hui. Parce qu'elle commence à ressentir petit à petit les premiers symptômes !Allez, on y va ? Allez j'ose !Mais oui je suis sure que vous avez deviné !C'est à ma très chère collègue et amie Agathe Lecaron que je vais tendre mon micro ce matin pour cet épisode ! Ah lala Agathe ! C'est simple, cette femme c'est quand même très difficile de ne pas l'adorer.Croyez-moi c'est un vrai bonheur de travailler à ses côtés dans l'émission Bel&Bien, sur France 2 tous les samedis. Elle est toujours à l'écoute, pleine d'empathie et n'oublie jamais de rire d'elle même, et ça c'est quand même une énorme qualité ! Autrement dit, c'est la collègue qu'on aimerait tous avoir!Bon, faut-il le rappeler ? L'émission La maison des Maternelles, qu'elle présente depuis 2016, est une référence absolue pour toutes les mamans, et pas que d'ailleurs. Et son podcast EX est devenu un énorme classique ! Agathe Lecaron est aussi une jeune maman de 50 ans qui fait tout pour avancer le plus sereinement possible. Elle a accepté aujourd'hui de partager son regard sur la période bien particulière qu'elle traverse: la péri ménopause ! Oui, j'ai bien dit la périménopause. Vous voyez ? Ce moment un peu déroutant, dont on parle trop peu, où le dérèglement hormonal commence à se faire sentir, un peu comme une annonce de l'arrivée de la ménopause dans votre vie. La durée et les symptômes de cette étape varient beaucoup d'une femme à l'autre,alors comment ça se passe pour Agathe Lecaron ? On écoute ça tout de suite !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, évoquons une question tout à fait vertigineuse.A quoi va ressembler la quête de sens, de but, ou encore d'identité humaine, dans un monde saturé d'intelligence artificielle ?La quête de sens ne disparaît pas avec l'automatisationEt le premier point, c'est que la quête de sens ne disparaît pas avec l'automatisation. Mais elle se déplace.D'abord, un peu de définition et de concept. Nous trouvons du sens dans ce dans quoi nous investissons notre énergie.Même si l'IA peut automatiser une partie monumentale des tâches cognitives et créatives, cela ne retire donc rien à la valeur du geste humain.Et voici un exemple. Nous continuons à tricoter, à peindre ou à cuisiner avec nos deux mains malgré l'existence de machines capables de faire mieux ou plus vite.Pourquoi cela ? Et bien parce que la satisfaction ne vient pas du résultat… mais de notre participation à une action.Faire avec ses mains revient en force à l'ère de l'IAMieux, et c'est le second point, l'analogique, c'est à dire la capacité de faire avec ses mains ou ses doigts, revient en force à l'ère de l'IA.Dans un monde où des modèles comme ChatGPT, Sora ou Gemini peuvent produire textes, vidéos ou analyses en quelques secondes, l'humain redécouvre la valeur de l'imperfection tangible.Prenez par exemple une séance de soufflage de verre. Un artisan qui souffle du verre est aux prises avec la chaleur, la matière et une part de hasard qui va dicter une partie de la forme du produit fini.Et dans ce cas précis, une IA sera capable d'imiter très certainement un objet, mais pas cette négociation physique, émotionnelle, très humaine avec la matière, la chaleur, et le hasard.C'est cette rareté, cette spécificité, qui devient précieuse.Finalement, l'avenir du sens pourrait être… le corps.Vers un véritable renouveau des activités incarnéesAlors que les IA prennent en charge une part croissante de la pensée et de la production intellectuelle, nous allons peut être vers un véritable renouveau des activités incarnées, c'est à dire pratiquées avec notre corps. Et je parle là d'arts martiaux, de danse, d'escalade, de poterie, ou encore de randonnée.Bref, tout ce qui implique la présence, le temps, l'effort, et la prise de risque.Et cela non pas parce que l'IA ne peut pas le faire. Mais parce que nous pouvons véritablement le vivre.Et même avec l'activité intellectuelle comme l'écriture, une activité pourtant facilement automatisée, il reste du plaisir dans la lutte pour trouver la bonne phrase, la recherche d'un rythme dans un texte, ou d'une intention.Pourquoi ? Parce que ces processus changent celui qui le traverse.Donc pour conclure, à l'ère de l'IA, le véritable sens pourrait ressembler à tout ce que la technologie cherche à optimiser ou éliminer. A savoir la lenteur, l'imperfection, le risque, le geste humain. Et c'est peut-être là que nous retrouverons ce qui nous touche vraiment.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans ce nouvel épisode de Toute Puissante !Aujourd'hui, je reçois une femme qui incarne à merveille le pouvoir de l'incarnation : Lucile Paye, conseillère en image et experte en visibilité professionnelle.Lucile aide les salariées et les entrepreneures à se réapproprier leur image, à mieux se connaître, à mieux se montrer — et surtout à le faire sans compromis, sans se travestir. ✨Avec elle, on a parlé d'un sujet aussi stratégique que sensible :Pourquoi l'image professionnelle est-elle trop souvent perçue comme un sujet « superficiel » ?Comment l'image qu'on renvoie influence notre crédibilité, notre impact, notre carrière — qu'on le veuille ou non ?Et surtout, comment s'en servir pour incarner pleinement qui on est, sans s'excuser d'exister ?Entre syndrome de la bonne élève, injonctions contradictoires faites aux femmes, biais sur l'apparence, poids de LinkedIn… et la puissance de dire au monde : « Voilà qui je suis. »Lucile partage aussi des conseils concrets pour oser être soi — dans ses fringues, sa posture, sa prise de parole, et même dans ses posts.
⚜️ Le Québec vient d'annoncer son nouveau plan des niveaux d'immigration… et il bouscule (encore !) les règles du jeu.Résidents temporaires, résidents permanents, quotas, objectifs, profils recherchés : dans cet épisode, je vous explique ce qui change, ce qui baisse, ce qui augmente… et ce que cela veut dire pour VOUS.
Mon enfant, prends le temps de te laisser aimer par Moi, de bien accueillir Mon Amour, comme tu laisses au bois le temps de s'enflammer avant de goûter à sa chaleur. De même, tu dois toujours te laisser enflammer de Mon Amour avant de pouvoir le donner aux autres. Parce que l'Amour nous aime, nous devenons l'amour!
Ils ont remporté une importante victoire judiciaire contre Meta. Ce mercredi 19 novembre 2025, les journaux espagnols ont obtenu que le géant soit condamné à leur payer 540 millions d'euros. C'est une victoire qui risque de faire jurisprudence en Europe, car Meta était poursuivi pour ne pas avoir respecté la loi sur la protection de la vie privée. Entre 2018 et 2023, la maison mère de Facebook et d'Instagram a recueilli une masse de données sur ses utilisateurs, sans leur consentement, pour établir des profils publicitaires ciblés qu'il a ensuite vendu à des annonceurs, ce qui lui a permis d'engranger des profits colossaux. Or, tout cela s'est fait au détriment des médias en ligne qui, eux, respectaient la législation et demandaient un consentement préalable. Un Tribunal de commerce de Madrid, saisi par l'Association des médias, a donc condamné Meta à verser un total de 540 millions d'euros à 87 éditeurs de presse numérique et agences de presse. Il est reproché au géant d'avoir obtenu un avantage concurrentiel en violant le RGPD, le règlement européen sur la protection des données. Meta est dans le collimateur des éditeurs de journaux pour un motif un peu différent, lié aux droits voisins du droit d'auteur, puisque Meta proposait en octobre 2024 de verser une somme ridicule, quatre millions d'euros, pour avoir le droit d'utiliser les contenus des éditeurs de presse d'information sur Facebook ou Instagram, soit 80% de moins que ce qu'il versait auparavant au motif qu'il avait arrêté son service Facebook News. Les éditeurs de presse français se sont tournés vers l'Autorité de la concurrence pour contraindre Meta à négocier de bonne foi, et dans le cas contraire, à le mettre à l'amende. Et ça, forcément, le géant y est sensible, car il sait que les éditeurs de presse ont fait condamner Google par cette même Autorité à un total de 750 millions d'euros en quatre ans sur ce sujet des droits voisins. Et derrière cette bataille, il y a aussi un enjeu démocratique. Emmanuel Macron l'a entendu cette semaine des patrons de presse régionale : ce qui nous menace, c'est le numérique et l'intelligence artificielle. Et c'est vrai que Google et Meta ne captent plus que les 2/3 des revenus publicitaires en ligne et que l'IA se nourrit des contenus des journaux sans verser de justes rémunérations. Pourquoi est-ce aussi une bataille démocratique ? Parce qu'il y a un lien direct entre la participation aux élections, l'engagement citoyen et la consultation de médias. Une étude de l'Association Les Relocalisateurs montre qu'un tiers des Français a vu disparaître un média local et que la vitalité démocratique s'en ressent. Surtout si, comme Meta, on sous-expose les contenus d'information, pour payer moins de droits voisins. À lire aussiFace à l'IA, la presse française s'attaque aux bases de données numériques pour défendre les droits d'auteur
Ce 21 novembre marque le dernier jour de la COP30, la grande conférence mondiale sur le climat qui réunit chaque année près de 200 pays pour tenter de ralentir le réchauffement climatique. L'objectif que les États continuent de viser est clair : limiter la hausse des températures à 1,5 °C par rapport à l'ère préindustrielle. C'est un seuil essentiel pour éviter des bouleversements qui rendraient certaines régions du monde très difficiles, voire impossibles à habiter.Parce que lorsque le climat se dérègle, ce n'est pas seulement la nature qui change : c'est notre vie quotidienne, nos maisons, nos villes, notre sécurité. Chez nous, en Belgique, les inondations de 2021 ont marqué un tournant. Beaucoup se demandent s'ils veulent encore vivre en zone inondable, alors que les épisodes climatiques extrêmes se multiplient. D'autres s'interrogent sur l'avenir des régions côtières, de la disponibilité de l'eau ou encore des vagues de chaleur. Bref : “Où habiter demain ?” n'est plus une question théorique.Et justement, ce questionnement est au cœur d'un petit livre très bien conçu : Où habiter demain ? du journaliste Jean-Michel Billioud, publié chez Casterman. Un ouvrage de 48 pages, écrit pour les adolescents mais extrêmement instructif pour les adultes aussi. L'auteur y démonte plusieurs idées reçues et explique de manière simple ce que l'on sait - et ce que l'on imagine - sur les déplacements de populations liés au climat.Par exemple, on y apprend que les migrations climatiques ne sont pas une hypothèse futuriste : elles existent déjà. Des régions du Sahel, de la Louisiane ou du Bangladesh voient des habitants partir parce que la sécheresse progresse, que les tempêtes détruisent, que les sols s'appauvrissent. Autre idée reçue déconstruite : non, ces migrations ne vont pas entraîner un “grand remplacement”. La réalité, c'est que 80 à 90 % des déplacements liés au climat se font à l'intérieur d'un même pays, ou entre pays voisins du Sud.Le livre rappelle aussi une distinction essentielle : la météo, c'est ce qu'il fait aujourd'hui ou demain ; le climat, c'est la moyenne de ces phénomènes sur plusieurs décennies. Cette différence aide à comprendre pourquoi un hiver froid n'est pas une “preuve” contre le réchauffement… et pourquoi une tendance lourde reste indépendante des variations quotidiennes.Enfin, le livre aborde d'autres conséquences souvent méconnues : la montée des eaux n'est pas le seul problème. Les océans se réchauffent, les cyclones se renforcent, les récifs coralliens s'effondrent, les zones côtières s'érodent. Tout cela influence directement notre manière de vivre et les endroits où il sera possible - ou prudent - de s'installer dans les décennies à venir.En bref, Où habiter demain ? est un outil clair, accessible, à mettre entre toutes les mains pour comprendre les enjeux de la COP30 sans jargon ni catastrophisme, mais avec lucidité.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be
Dans cet épisode, j'endosse ma fausse blouse pailletée de Dr Zaza
On pense souvent que les plus grandes menaces pour notre santé viennent de ce que l'on consomme : la cigarette, l'alcool, la malbouffe. Mais il existe un autre poison, plus discret, plus insidieux : la solitude. Elle ne brûle pas les poumons, n'encrasse pas les artères, et pourtant, elle use le corps et le cerveau aussi sûrement qu'un paquet de cigarettes par jour.En 2023, une vaste étude publiée dans JAMA Network Open a analysé les données de centaines de milliers de personnes à travers le monde. Les chercheurs ont découvert que l'isolement social augmentait de 32 % le risque de mortalité prématurée, et la solitude ressentie, de 14 %. En clair : vivre seul et se sentir seul, même entouré, peut raccourcir la vie. Un constat que d'autres travaux confirment : selon une méta-analyse menée par Julianne Holt-Lunstad à l'université Brigham Young, les effets de la solitude sur la santé sont comparables à ceux du tabagisme.Pourquoi ? Parce que notre cerveau n'a pas été conçu pour vivre dans l'isolement. Pendant des millénaires, notre survie dépendait du groupe : la chaleur du feu, la veille commune, la chasse collective. Être seul, c'était être en danger. Aujourd'hui encore, notre corps réagit à la solitude comme à une menace : le rythme cardiaque s'accélère, le cortisol – l'hormone du stress – grimpe, le système immunitaire s'affaiblit. À long terme, cette inflammation silencieuse favorise les maladies cardiovasculaires, la dépression, et même certains cancers.Mais le danger ne se limite pas au corps. Les personnes isolées, souvent âgées, dorment moins bien, bougent moins, mangent plus mal. Elles consultent moins souvent les médecins, ont plus de mal à suivre un traitement. La solitude agit comme une spirale : plus on s'enfonce, plus il devient difficile d'en sortir.Et puisque Avast soutient cet épisode, je dois souligner que les effets néfastes de la solitude s'étendent à Internet. Bien que certaines personnes âgées soient familières avec Internet, les données du gouvernement français montrent que beaucoup d'entre elles manquent d'expérience en ligne et l'enquête menée par Avast révèle que les personnes âgées sont vulnérables aux escroqueries en ligne.C'est pourquoi Avast encourage à avoir ce qu'il appelle “La Discussion Cybersécurité” : un moment d'échange entre générations pour parler d'arnaques, de mots de passe, de vigilance numérique. Parce que protéger les plus âgés, c'est aussi recréer du lien, leur donner les outils et la confiance nécessaires pour naviguer sereinement dans ce monde numérique.La sécurité ne dépend donc pas seulement d'un logiciel, même si bien sûr je vous encourage à télécharger l'Antirus Gratuit d'Avast disponible depuis Google Play et l'App Store d'Apple ou en cliquant directement sur le lien suivant: https://www.avast.com/fr-fr/lp-free-av?full_trSrc=mmm_ava_tst_008_470_g&utm_source=codesource&utm_medium=referral&utm_campaign=mid-funnel_mmm_ava_tst_008_470_g&utm_content=mid_audio#mac La transmission et le partage de connaissance est aussi important : aider un parent à reconnaître un faux message ou un lien suspect, c'est déjà un geste d'amour. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La tuberculose reste l'une des maladies infectieuses les plus meurtrières au monde, tuant chaque année autant que la pandémie de COVID-19, sans susciter de mobilisation mondiale. Pourquoi ? Parce qu'elle touche surtout les jeunes, les pauvres, les oubliés. Maladie de la pauvreté, son diagnostic reste lent, complexe, souvent inaccessible. Et si une simple sonde d'échographie, reliée à un téléphone, permettait de détecter la tuberculose, même sans laboratoire, même loin d'un hôpital ? C'est le pari d'un groupe de chercheuses cliniciennes, engagées dans une étude menée entre la Suisse et l'Afrique de l'Ouest. Une science portée par la volonté de rendre le diagnostic accessible à toutes et tous, pour que la technologie serve enfin la justice sociale. _ Véronique Suttels est médecin-chercheuse, experte des maladies infectieuses liées à la pauvreté, comme la tuberculose. Elle dirige un projet de recherche au LiGHT-EPFL sur l'échographie pulmonaire pour un dépistage plus accessible. Formée en Belgique, elle a exercé en Suisse, à Madagascar et collabore avec le Bénin. Lauréate de plusieurs prix, elle défend des partenariats équitables en santé mondiale et s'engage activement pour le soutien des femmes dans la médecine académique. Enregistré au Club 44 le 6 novembre 2025
Aujourd'hui, parlons d'un sujet absolument central à l'ère de l'intelligence artificielle. Et ce sujet c'est celui de la confiance.Parce que plus les technologies deviennent performantes, plus elles bouleversent notre rapport au réel.Et donc plus nous avons besoin de repères pour rester serein dans justement notre usage de la technologie.L'IA brouille nos perceptions du réelD'abord, il faut bien comprendre que l'IA brouille nos perceptions du réel.Lors de la conférence SpiceWorld, l'experte Helen Papagiannis a pointé du doigt à quel point il devient difficile de distinguer les contenus authentiques des médias synthétiques.Images, vidéos, voix, textes… l'IA peut aujourd'hui tout fabriquer, au point de tromper même des professionnels les plus aguerris.Et cette disparition progressive du « réel » tel qu'on le connaît change profondément nos attentes non seulement envers les technologies, mais aussi envers les humains qui les utilisent.Effacement du réel et augmentation de nos compétences grâce à l'IACar, et c'est le paradoxe soulevé par le second point, ce brouillage intervient en même temps qu'une augmentation massive des capacités humaines.C'est ce que Papagiannis appelle la collision entre deux grandes transitions.D'un côté, l'effacement du réel sous l'effet des contenus générés par l'IA, et de l'autre, l'augmentation de nos compétences grâce à l'IA qui s'invite dans notre travail et notre quotidien.Oui, au point où nous en sommes, l'IA ne se contente plus de compléter nos activités. Elle redéfinit la manière même dont nous interagissons, apprenons et produisons.Et dans ce contexte, la confiance devient le nouveau centre de gravité.Il s'agit d'avoir confiance dans les outils, mais aussi confiance dans les intentions, dans la transparence, et surtout dans l'humain.Et là, il n'est plus du tout question de technologie.Restaurer la confiance passe d'abord par nous mêmeCar, et c'est le troisième point, restaurer la confiance passe d'abord par nous même.L'experte insiste sur ce point. Elle pense même que la confiance est le nouvel indicateur clé de performance, le fameux KPI.Pour les organisations, cela signifie établir très tôt des garde-fous éthiques clairs. Mais pour chacun d'entre nous, cela implique aussi un travail intérieur. Il faut se donner le droit de réfléchir, de douter, de ralentir.Faire d'abord confiance à son propre jugementEt voici un exemple très concret.Avant de demander systématiquement à un chatbot tout et n'importe quoi, pourquoi ne pas reprendre l'habitude d'examiner, de faire confiance à son propre jugement, et de cultiver sa propre curiosité.Parce que dans un monde où tout peut être synthétique, notre humanité, notre créativité, notre capacité à nous poser des questions, même à nous ennuyer, devient très clairement un atout essentiel.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tam Tam : Le recrutement par celles et ceux qui le font au quotidien
“Est-ce que les recruteurs peuvent devenir des T-Shaped… ou est-ce qu'ils naissent déjà comme ça ?”
Mon enfant, Je te remercie de Me faire confiance et de continuer à avancer sans savoir où Je te conduis. Tu vois bien que tu avances et que c'est Moi qui te conduis. L'important pour toi est de savoir que Je suis toujours avec toi. Je suis avec toi et en toi pour faire de toi un être rempli de Mon Amour, car, tendrement et follement, Je t'aime. Parce que l'Amour nous aime, nous devenons l'amour!
Head to the Binny's at 790 Royal St. George Dr in Naperville to get your Parce this week! BRUCE BOLT - Texas-based designer of premium batting gloves: Look good. Hit dingers. https://brucebolt.us/?afmc=HAPP On this week's episode of the Compound Podcast with Ian Happ, the guys welcome back Ian from New York and discuss the Cubs team gold glove win and Kyle Hendricks retirement. After that, we get a live reaction to Shota Imanaga accepting the qualifying offer and returning to the Cubs in 2026. Check out full video episodes on Marquee every Thursday and on YouTube on the Marquee Sports Network channel. To learn more about listener data and our privacy practices visit: https://www.audacyinc.com/privacy-policy Learn more about your ad choices. Visit https://podcastchoices.com/adchoices
Vous avez déjà entendu que les protéines animales sont “meilleures” ?Que les végétaux sont incomplets ?Ou que “sans viande, on manque de protéines” ?Ces phrases, vous les avez vues passer dans des débats télé, dans les médias, dans des pubs, peut-être même dans des conversations de famille. Elles semblent solides, évidentes, presque “scientifiques”.Mais d'où viennent-elles vraiment ?Et surtout… sont-elles vraies ?Dans cet épisode, je vous propose de remonter le fil d'un mythe qui dure depuis plus de 150 ans. Une histoire qui commence avec des chercheurs du XIXe siècle, se poursuit avec des expériences sur des rats… et qui a fini par influencer nos assiettes, nos croyances et les recommandations nutritionnelles pendant des décennies.Ce n'est pas un épisode pour vous convaincre de devenir végétarien.ne.C'est un épisode pour comprendre : comment naissent les idées reçues, pourquoi elles persistent, et ce que dit réellement la science en 2025 sur les protéines animales et végétales.Si vous vous êtes déjà demandé :“Est-ce qu'une protéine végétale est vraiment moins bonne ?”“Est-ce qu'on risque une carence si on mange moins de viande ?”“Pourquoi certains experts affirment l'inverse des autres ?”… vous êtes exactement au bon endroit.Ici, on détricote les croyances sans dogme, sans procès d'intention, et surtout avec de la nuance.Parce que derrière ce débat très émotionnel, il y a une vraie question : qu'est-ce que notre corps fait réellement des protéines que nous mangeons ?À la fin de cet épisode, vous saurez :d'où vient la hiérarchie “viande > végétal”, et pourquoi elle s'est imposéecomment des expériences faites sur des rats ont influencé nos recommandations pendant presque un sièclepourquoi les protéines végétales ont longtemps été jugées “incomplètes”ce qu'on sait aujourd'hui sur la digestibilité, la biodisponibilité et l'assimilationet surtout : comment couvrir vos besoins sans stress, sans dogme et sans calculs compliquésL'objectif n'est pas de choisir un camp.L'objectif, c'est de vous rendre + autonome.De vous permettre d'y voir clair dans un débat qui génère beaucoup de peur… et parfois beaucoup d'intérêts.Demain, on poursuivra cette mini-série avec un sujet essentiel : l'impact environnemental réel de nos choix alimentaires - au-delà du CO2 ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Sous la lueur froide de ton écran, une question te traverse : que sait vraiment l'intelligence artificielle de toi ?Dans cet épisode, Dans Le Noir explore les mythes et les vérités autour de ChatGPT. Peut-il te voir ? Te surveiller ? Garde-t-il tes informations ?Entre rumeurs virales, réalités techniques et zones d'ombre, découvre ce que l'IA retient vraiment de tes conversations, et ce qu'elle oublie aussitôt.
Pour que Les Lueurs continuent d'exister, nous avons besoin de vous ! Nous devons financer ensemble les 14 premiers épisodes de l'année 2026. Si vous croyez que chaque épreuve cache un trésor, si vous croyez que trouver des réponses à nos questions est la plus grande aventure de notre vie, si vous croyez que notre mal-être est le reflet d'un manque de vie intérieure, si vous croyez que travailler l'humain prépare au divin, alors vous croyez aussi que Les Lueurs a toute sa place aujourd'hui pour accompagner les gens dans leur quête de sens, dans leurs épreuves et sur leur chemin de vie. Parce que, tant qu'à faire, soyons vrais !Les Lueurs a besoin de vous pour continuer à exister. Pour nous soutenir, ça se passe ici
Le Congo-Brazzaville se mobilise face au défi des infrastructures de l'intelligence artificielle (IA). La capitale abritera bientôt un data center, financé en partie par la Banque africaine de développement (BAD). Il s'agit de développer la souveraineté du Congo en matière d'IA, et de permettre aux startups d'entraîner les modèles d'IA sur les données locales. Un immeuble en voie de finition se dresse sur l'avenue qui traverse Bacongo, le deuxième arrondissement de Brazzaville, la capitale du Congo-Brazzaville. Il s'agit d'un data center, destiné à loger les données numériques. « Au sein de ce data center, explique Eric Armel Ndoumba, conseiller aux télécommunications du ministre congolais des Postes et télécommunications, on peut héberger des ordinateurs de puissance, des supercalculateurs qui permettent de traiter des données massives, des données que l'intelligence artificielle (IA) utilise pour entraîner des modèles ». L'infrastructure est financée en grande partie par la Banque africaine de développement (BAD). Le rôle de l'État est déterminant, estime le ministre. « Ce sont des infrastructures que nous devons mettre à la disposition de nos jeunes startups, pour entraîner des modèles d'IA. Parce que ces startups n'ont pas d'argent, n'ont pas de moyens pour acheter ce genre d'ordinateurs », souligne-t-il. Souveraineté des données « Nous avons aujourd'hui un data center que l'État congolais est en train de construire, se félicite Eric Songo, le directeur de la sécurité des services d'information à la Banque postale du Congo. Il va naturellement servir de socle, de base, pour permettre cette éclosion, ce développement, tout en gardant la souveraineté des données ». La dynamique engagée par le Congo est également saluée par l'institution financière régionale. « Nous recevons des données et des rapports qui nous confirment que la République du Congo a fait beaucoup d'efforts », souligne Juan Bang Edu Mangué, directeur des systèmes d'informations à la Banque de développement des États de l'Afrique centrale (BDEAC). Brazzaville abrite déjà le Centre africain de recherches en intelligence artificielle (Caria). Selon les données de la Commission économique des Nations unies pour l'Afrique, le continent ne détient à ce jour que 2 % des data centers construits à travers le monde. À lire aussiComment l'Afrique veut performer dans la course à l'intelligence artificielle
Les enfants vont bien: homoparentalité et autres schémas familiaux
Il y a des configurations familiales qui forcent le respect.Celle de Louanne en fait partie.Elles sont si extra-ordinaires, que certains de leurs enjeux m'avaient complètement échappé… et ne me sont apparus qu'au moment de l'enregistrement.Louanne fait partie de ces enfants qui ont quatre parents, huit grands-parents et seize arrière-grands-parents.J'avoue que j'avais déjà fait le calcul à l'époque où je me posais seule la question de la façon dont je construirais ma famille.C'était, pour moi, l'option la plus plausible.Plus tard, quand on en a reparlé avec Aude, la possibilité est revenue sur la table… avant d'être assez vite écartée.On ne se sentait pas capables d'intégrer un ou deux adultes de plus dans notre famille : les décisions à plusieurs, les divergences éducatives… tout cela nous paraissait trop difficile à gérer.Louanne, elle, raconte très bien les complexités qu'elle a traversées — celles que j'imaginais déjà à l'époque — mais elle raconte surtout la grandeur de l'amour qu'elle a reçu.Parce que, pour elle, avoir quatre parents, c'est avoir quatre fois plus d'amour.Et finalement, son enfance n'est pas si différente de celle des enfants qui grandissent dans des familles recomposées.Son combat à elle, aujourd'hui, c'est de faire reconnaître ses quatre parents comme… ses parents.Tout simplement.Parce que c'est sa normalité à elle.Quand on vous dit que le combat est loin d'être terminé… et que la dernière loi bioéthique a laissé de grands oubliés derrière elle.Je vous laisse découvrir son histoire et je vous souhaite une bonne écoute. Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/lesenfantsvontbien. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Didier Giraud, éleveur de bovins, Bruno Poncet, cheminot, et Barbara Lefebvre, prof d'histoire-géo, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Vous le savez, je parle souvent de bienveillance. J'en ai même fait un concept avec le management bienveillant et j'ai écrit un livre sur le sujet : Les 10 commandements de la bienveillance en entreprise. Pourtant, il y a des situations où rester bienveillant semble impossible. Par exemple :Un collègue qui vous vole une idée.Une personne qui est tout sauf agréable avec vous.Alors, comment rester bienveillant face à cela ?
Quoi de mieux pour cette mi-novembre que trois choses qu'on ne dit pas assez concernant la créativité ? Parce qu'en cette période froide et grise, on a parfois qu'une envie : tout laisser tomber et particulièrement certains projets créatifs qui pourtant cet été nous motivaient beaucoup. Alors que se passe-t-il ? Voici des notions qu'il est important d'intégrer selon moi pour pouvoir aller jusqu'au bout de son projet quel qu'il soit et quel que soit votre état émotionnel...Lien vers mon livre "Écrire l'humour" :https://www.amazon.fr/%C3%89crire-lhumour-Christine-Berrou/dp/B0BB65QKZX/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=36XRDIP3O22J7&dib=eyJ2IjoiMSJ9.2R2GKlw_dvBCBkBXTzFcBg.nLcRm3XoaX8QpXDSiXuYr6oNenVBFPCGZfOll22-kUg&dib_tag=se&keywords=%C3%A9crire+l%27humour+berrou&qid=1756745047&sprefix=%C3%A9crire+l%27humour+berrou%2Caps%2C75&sr=8-1Liens vers mon autre podcast "Le Mois de la guerrière" :Apple Podcasts : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/le-mois-de-la-guerri%C3%A8re/id1738987638Spotify : https://open.spotify.com/show/5V93IbBEOPv1W3QJ1jRHZKIMPORTANT : Il y a parfois un soucis avec Spotify, je vous informe donc que vous pouvez télécharger Apple Podcasts même si vous n'êtes pas client Apple.IMPORTANT 2 : Ce sont des abonnements payants (Avec 3 jours d'essai gratuit sur Apple Podcasts, vous pouvez donc tout écouter en 3 jours gratuitement ;) , mais si vous vous engagez au moins sur un mois, ça me permet de financer Gamberge, de ne plus payer mes techniciens occasionnels, mon matériel ou mes déplacements de ma poche
durée : 00:53:54 - Very Good Trip - par : Michka Assayas - Premier rendez-vous d'une semaine d'émissions spéciales avec un groupe légendaire, Radiohead. L'adjectif n'a rien d'exagéré, en compagnie duquel nous allons passer toute cette semaine. Parce que Radiohead est de retour et c'est un événement. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Poudre dans un shaker. Blanc de poulet grillé. Gros biceps.
Pour recevoir les mails privés, clique ici : https://www.formactions.outilsdumanager.com/inscription-emails-prives-adf72f1d***Découvre ce que nous avons créé pour t'aider à aller plus loin :Des formactions pratiques et concrètes pour manager efficacement, quel que soit ton rôle ou ton secteur.Une communauté unique en ligne, le CIEL, où dirigeants et cadres dirigeants, s'entraident pour réussir ensemble.L'offre exclusive du moment pour t'aider à passer à l'action dès aujourd'hui.Clique ici pour explorer le catalogue ODM : https://www.formactions.outilsdumanager.com/cataloguecomplet***Tu veux aller plus vite, concrétiser plus de projets et arrêter de t'épuiser à tout faire toi-même ? Alors cet épisode est pour toi. Je te partage un changement de mindset qui a littéralement multiplié par 10 ma vitesse d'exécution : remplacer la question “comment je vais faire” par “qui peut le faire”. C'est une bascule simple, mais puissante — que ce soit dans ton rôle de chef d'entreprise, de manager, ou simplement dans ta manière d'aborder tes projets personnels.
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, prof de philo, Flora Ghebali, militante dans la transition écologique, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le Nigeria est de nouveau dans le viseur de l'administration Trump. Le président américain a récemment menacé le pays d'une intervention militaire pour protéger les chrétiens du Nigeria, qui seraient victimes, selon lui, de violences ciblées sous l'œil indifférent des autorités. Le Nigeria a été réintégré à la liste américaine des « pays particulièrement préoccupants en matière de liberté religieuse », dont il était sorti en 2021. Avant cela, Washington avait déjà annoncé un durcissement considérable des conditions d'obtention de visas « non immigrants » pour les citoyens nigérians désireux de se rendre aux États-Unis. Fin octobre, l'écrivain Wole Soyinka a également révélé que son visa américain avait été annulé. RFI a rencontré, à Paris, le premier prix Nobel africain de littérature, en 1986, qui a toujours été une voix critique de la politique de Donald Trump. RFI : Pensez-vous retourner un jour aux États-Unis ? Wole Soyinka : J'en doute vraiment. C'est peu probable Récemment, vous avez annoncé que votre visa américain avait été révoqué. Pour quelles raisons exactement ? C'est un problème ancien qui remonte déjà à la première élection de Donald Trump. J'enseignais aux États-Unis et j'ai vu l'émergence de cette rhétorique politique à la fois raciste, exclusioniste, mais aussi égocentrique. Et en général extrêmement méprisant vis-à-vis des immigrés et même des étrangers. Rappelez-vous, quand il est arrivé au pouvoir, il a désigné un certain nombre de pays comme « des pays de merde », pardonnez l'expression. Je l'ai compris dès la campagne et j'ai promis que si cet homme arrivait au pouvoir, je déchirerais ma carte verte. C'est exactement ce que j'ai fait. Pourtant, après cela, vous avez quand même obtenu un autre visa pour les États-Unis ? Oui, parce que, peu après avoir déchiré ma carte verte, j'ai reçu un courrier de l'administration fiscale américaine, pour m'annoncer que j'allais avoir un contrôle fiscal. Donc, je suis allé à l'ambassade au Nigeria, je leur ai expliqué que j'avais détruit mon permis de résidence aux États-Unis, mais que je ne voulais pas être considéré comme un fraudeur ou un fugitif. J'ai demandé un nouveau visa pour répondre à cette missive. C'est ce visa qui vient d'être annulé ? Oui, c'est correct. Cette fois, je n'ai même pas pris la parole. J'ai été directement ciblé, comme d'autres gens. J'ai reçu une lettre générique du consulat, une lettre qu'ils ont aussi adressée à d'autres Nigérians – et j'en suis sûr, aux citoyens d'autres pays – pour me demander de me présenter à un entretien. Parce que, je cite, « il y a eu des changements depuis l'émission de votre visa ». Ils me demandaient de me présenter au consulat, avec mon passeport. Je suis trop occupé pour cela et je savais très bien qu'ils avaient déjà pris leur décision, donc je n'y suis pas allé. Depuis que Donald Trump est revenu au pouvoir aux États-Unis, les immigrés sont ramassés dans la rue, au restaurant, et même dans les écoles. Je n'ai pas vraiment envie d'être associé à ce que cette société est devenue sous Donald Trump. Plus récemment, Donald Trump a fait de nouvelles déclarations concernant le Nigeria. Selon lui, les Chrétiens seraient les victimes d'une violence ciblée dans le pays. Qu'en pensez-vous ? D'abord, c'est arrogant, mais c'est aussi profondément irresponsable. Je ne connais aucun pays à travers le monde qui ne connait pas de frictions. Bien sûr, il n'est pas question de nier l'existence d'extrémistes religieux au Nigeria et plus spécifiquement d'islamistes intégristes. Je le dis ouvertement. D'ailleurs, j'ai même écrit une pièce sur le meurtre d'une jeune étudiante, accusée de blasphème, qui a été lynchée et déshumanisée. On sait qu'il y a un problème. Mais c'est un acte extrêmement hostile lorsqu'une personne venue de l'extérieur exacerbe et exagère ce problème. Il y a des tensions, il y a des violences, notamment entre les fermiers et les éleveurs. Des centaines de personnes ont été tuées dans ce conflit. Parfois, la religion est en cause, mais souvent, c'est plutôt une question économique. Bien sûr, les enlèvements d'enfants contre rançon sont des actes criminels. Mais choisir un aspect du problème, et affirmer que c'est la religion qui est au centre de toutes ces violences, ce n'est pas seulement mauvais, c'est aussi criminel. Rappelez-vous les mots qu'il a utilisés pour menacer le Nigeria d'une intervention militaire. Il a dit que les américains attaqueraient « armes à la main » et que ce serait « rapide, vicieux et doux ». Est-ce vraiment le genre de déclarations que l'on attend d'un leader ? Un chef d'État n'a pas le droit d'être simpliste. Et surtout n'a absolument pas le droit de creuser encore les divisions qui existent déjà. Il n'y a pas de société sans tensions, même aux États-Unis. Pour finir, au mois d'octobre, le théâtre national de Lagos a rouvert ses portes sous le nom de Centre Wole Soyinka pour la culture et les arts créatifs. Appréciez-vous cette attention pour votre 90e anniversaire ? Oui, c'est évidemment un honneur. Mais celui-ci devait-il m'être attribué ? C'est une autre question. Notamment lorsque vous avez passé, comme moi, toute votre vie à traverser toutes sortes de dictatures, où les dirigeants donnent leur nom à tout et n'importe quoi, y compris à des toilettes publiques. Je suis indifférent à ce genre de chose. J'ai vécu ma vie, j'ai fait mon travail, je suis satisfait. À lire aussiDonald Trump en croisade pour protéger les chrétiens africains?
L'Impact Incroyable de la Musique sur le Travail
Je ne sais pas si vous avez vu la trend du Winter Arc sur TikTok.Certains en parlent comme d'un mouvement pour ralentir, d'autres comme d'une énième mode.Dans cet épisode, j'avais envie de décrypter ce concept et de partager ma vision d'une saison plus simple, plus douce, sans pression ni performance.Parce qu'on n'a pas toujours besoin de se transformer pour aller mieux, parfois on a juste besoin de se reposer.Si cet épisode t'a plu, dis le moi en commentaire ou viens poursuivre la conversation sur Instagram : @lalaamisaki.Si t'as aimé cet épisode, partage-le à ta pote qui en a besoin.Et pour continuer la discussion, rejoins-moi sur Instagram @lalaamisaki Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Invités : - Xavier Melki, maire de Franconville (95) et conseiller régional d'Île de France. - Véronique Jacquier, journaliste politique à CNEWS. - Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si on vous disait que vous faites tout comme il faut — à la maison comme au bureau — et que vous n'avez aucune raison de culpabiliser ? Que ce n'est pas votre faute si vous gagnez moins, si vous avez revu vos ambitions pour préserver votre famille ?Ces « choix », en réalité, vous ne les avez jamais vraiment eus. Parce que le monde du travail trahit les femmes en leur faisant croire qu'elles peuvent tout faire — à condition de s'adapter sans jamais broncher.Dans son essai Les Méritantes (éditions Les Liens qui libèrent), la journaliste et autrice Lucile Quillet démonte les rouages d'un système pensé par et pour les hommes : un monde du travail où les femmes se contorsionnent pour s'intégrer, jusqu'à l'épuisement ou au renoncement. Elle y dévoile une vérité dérangeante : ce n'est pas un manque d'ambition qui freine les femmes, mais un environnement biaisé, qui les évalue, les paie et les attend différemment.Alors, que faire ? Et si, au lieu de chercher à « mieux s'adapter », les femmes exigeaient enfin que le monde du travail change ? Que les entreprises, les managers, les institutions prennent leurs responsabilités ? Le monde du travail peut-il vraiment se réinventer et comment ?C'est ce dont on parle dans cet épisode avec Lucile Quillet.Cet épisode de Mères est co produit par My Louves, le programme qui accompagne les entreprises sur les sujets liés à la parentalité et aux carrières féminines. Parce que 89% des salariés sont AUSSI des parents, ce sujet est primordial pour la performance des organisations et le bien-être des équipes.Parlez de My Louves à vos managers, directeurs ou responsables RH ; contactez-nous via la page Linkedin My Louves, et découvrez nos services sur MyLouves.com/entreprises.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:09 - Le Fil pop culture - Êtes-vous à l'aise dans vos baskets ? Les filles, savez-vous pourquoi elles ne sont pas vraiment faites pour vous ? Parce qu'elles sont conçues… pour des pieds d'hommes. Rétrécies, rosées, pailletées : bienvenue dans le design "Shrink it, Pink it". - réalisation : Colin Gruel
« L'Afrique est-elle le prochain califat ? », demandait il y a deux ans l'universitaire français Luis Martinez, dans un ouvrage au titre provocateur, paru aux éditions Tallandier. Aujourd'hui, la question se pose au Mali, où les jihadistes du Jnim essayent d'imposer le blocus de Bamako et où les États-Unis et la France conseillent à leurs ressortissants de quitter le pays au plus vite. Mais y a-t-il vraiment une menace sécuritaire de la part des jihadistes sur la ville de Bamako ? Luis Martinez, qui est directeur de recherches au Centre de recherches internationales (CERI), répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Deux ans après la sortie de votre livre, continuez-vous de penser que l'Afrique peut devenir le prochain califat ? Luis Martinez : Je pense qu'en Afrique, et en particulier dans le Sahel, il y a des conditions pour voir émerger des territoires qui seraient gouvernés par des jihadistes, qui chercheraient à mettre en œuvre ce qu'ils cherchent depuis quelques années, à savoir un califat. Quand vous dites que le jihadisme est en expansion, pensez-vous en priorité à l'Afrique de l'Ouest ou à l'Afrique de l'Est ? Disons que le vivier, le cœur ou l'épicentre, c'est clairement le Sahel. Tout simplement parce que les conditions de ces dix dernières années nous montrent qu'il y a eu une constellation qui a favorisé leur expansion. Je ne reviens pas sur les déterminants intérieurs et régionaux, mais les conditions ont été vraiment propices à leur développement. Et leur projet ne s'arrête pas là. Il est clair qu'on voit bien qu'il y a des tentatives vers l'Afrique de l'Ouest, sur le Bénin, le Togo, le Nigeria, bien évidemment, et depuis longtemps dans certaines régions. Mais le Sahel reste quand même l'épicentre en raison d'un certain nombre de conditions qui sont quand même très favorables. Certains observateurs disent qu'après ses échecs en Irak et en Syrie, le groupe État islamique essaie de faire de l'Afrique de l'Est une base de repli, notamment en Somalie ? En Somalie, c'est clair qu'il y a dans l'État semi-autonome du Puntland ou d'autres régions, là aussi, des conditions qui pourraient amener à une installation. Mais en même temps, on est en Somalie, c'est un environnement qui, peut-être, n'est pas celui du Sahel, avec un engagement des États-Unis qui, sans doute, limite ou limiterait, dans la durée, la possibilité de vraiment s'y installer. Pour revenir à l'Afrique de l'Ouest, quel est, à votre avis, le pays le plus exposé à l'instauration d'un éventuel califat jihadiste ? Clairement, c'est le Mali qui apparaît dans l'agenda jihadiste comme celui qui pourrait le plus facilement, dans les semaines, les mois, voire les années à venir, constituer un terrain nouveau d'instauration d'un califat. Alors pourquoi ? Tout simplement parce qu'il y a quand même un isolement de Bamako, à la fois vis-à-vis de la France et vis-à-vis du voisin algérien. Mais également, ses partenaires et alliés, que ce soit le Burkina ou le Niger, ont eux-mêmes de graves difficultés sur place pour pouvoir lui venir en aide. Quant à la Russie, je pense que les quelque 2 000 ou 3 000 mercenaires de l'Africa Corps ne peuvent strictement rien faire face à une insurrection jihadiste. On l'a vu avec la France avec ses 6 000 hommes, ce ne sont pas les 2 000 ou 3 000 hommes de la Russie qui vont modifier la donne. Je pense que l'approche militaire, de toute manière, est vouée à l'échec. Parce qu'il faudrait vraiment passer par les armes et faire des massacres dans toutes les régions du Mali pour restaurer l'ordre et la sécurité, ce que quasiment aucun État occidental n'assumerait de faire. Et évidemment, la Russie a d'autres soucis en Europe et en Ukraine pour pouvoir considérer que le Mali est stratégique dans sa politique. Aujourd'hui, l'armée malienne est quand même assez isolée pour pouvoir bénéficier d'une capacité, non seulement de résistance, mais de reconquête de son territoire. Cela me semble, comme beaucoup d'observateurs, voué à l'échec. Quand vous voyez que les États-Unis et les grands pays européens appellent leurs ressortissants à quitter Bamako, y voyez-vous le signe d'une prise possible de cette capitale africaine, notamment par le Jnim d'Iyad Ag Ghaly ? Je ne sais pas dans les détails. Aujourd'hui, Bamako peut tomber ou pas. Ce qui est sûr, c'est que depuis quelques années, le Jnim a construit une vraie stratégie pour, entre guillemets, isoler Bamako sur le plan territorial, isoler le pouvoir politique sur le plan sociétal, dont l'influence est limitée. Et maintenant, sans doute, chercher à l'isoler économiquement, financièrement. Toutes ces conditions vont-elles faire que les militaires à Bamako vont considérer qu'il n'y a plus d'échappatoire ? Ou bien vont-ils estimer qu'ils peuvent s'en accommoder ? Un peu comme à Kaboul où, pendant des années, on s'est accommodé de ne pas pouvoir sortir au-delà de 30 km de Kaboul, parce qu'il y avait les talibans à côté. Voilà, cela va dépendre. Le Jnim n'a aucune capacité, aujourd'hui, de conquête, au sens militaire du terme, d'entrer dans Bamako. Le Jnim a toujours recherché ce qu'on pourrait appeler des partenaires politiques, militaires et religieux pour lui ouvrir les portes de Bamako. C'est-à-dire faire en sorte que, de l'intérieur, on se débarrasse de la junte et on négocie des alliances avec le Jnim dans ce qu'on pourrait appeler une co-gouvernance de la capitale et de l'État malien. À une époque passée, pas très lointaine, il y avait l'imam Mahmoud Dicko qui aurait pu remplir ce rôle. Lui-même avait fondé le Coordination des mouvements, associations et sympathisants de l'imam Dicko (CMAS), ce qui est donc une sorte de coordination de mouvements civils et religieux qui avait encouragé un dialogue jusqu'en 2019 et 2020. À partir de 2022, les militaires au pouvoir à Bamako l'ont quasiment pourchassé. Il est exilé en Algérie en ce moment. Mais c'est ce type de personnage que les groupes jihadistes recherchent. C'est-à-dire des figures religieuses, politiques, voire demain militaires, qui puissent être des passerelles pour ouvrir les portes de Bamako. Parce que les djihadistes du Sahel sont pour beaucoup des Arabes et des Touaregs qui seraient minoritaires dans la ville de Bamako ? Il y a à la fois cette dimension ethnique, communautaire qui jouerait, mais en même temps, il y a l'expérience passée, c'est-à-dire la conquête militaire d'une ville, voire sa prise complète du pouvoir. Le Jnim a bien regardé ce qui s'est passé avec le groupe État islamique du côté de Syrte, en Libye. Cela a généré immédiatement une coalition internationale pour déloger le groupe État islamique de la ville de Syrte en 2014 et 2015. Donc il y a cette idée que le Jnim ne veut pas apparaître comme un projet politique radical qui s'imposerait à la société, mais comme une alternative politique et religieuse que la société serait prête à accompagner. Cela fait quelques années que le Jnim, entre guillemets, gouverne un certain nombre de régions, et Bamako serait un peu la vitrine. Entrer par la force à Bamako pourrait susciter des réactions tout à fait contraires à son projet. Il y a dix ans, les attentats de Paris et de Saint-Denis ont été prémédités et préparés au Moyen-Orient, et donc pas en Afrique de l'Ouest. Est-ce à dire que les jihadistes qui opèrent en Afrique et au Sahel ne représentent pas une menace terroriste pour l'Europe ? Il me semble que le contexte du Moyen-Orient, qui était quand même un contexte d'ingérence de forces étrangères extrêmement importantes – la guerre d'Irak, la guerre contre Al-Qaïda, et toute une série de variables – avait construit une vraie haine de l'Occident et des pays alliés à l'Occident. Il me semble que l'on n'a pas cette configuration aujourd'hui dans le Sahel. À la rigueur, je dirais presque que c'est une chance pour la France aujourd'hui de ne pas être associée à cette avancée spectaculaire des jihadistes et de ne pas chercher à les combattre militairement sur place. Tout simplement parce qu'ainsi cela ne va pas générer un certain nombre de griefs, de colère contre la France. Il y a déjà le passé colonial. Il y a déjà le passé post-colonial de la Françafrique. Je pense qu'aujourd'hui, la France est, entre guillemets, mieux lotie en étant loin de ce type de transformation de la société du Sahel plutôt qu'en y étant présente. Cela ne veut pas dire demain que cette région ne pourrait pas, bien évidemment, devenir une base pour certains groupes qui, entre guillemets, échapperaient à la gouvernance du Jnim et chercheraient à exploiter les failles d'une gouvernance califale pour frapper l'Occident. Cela, en toute sincérité, je n'en sais rien aujourd'hui. À lire aussiMali: record d'enlèvements d'étrangers par les jihadistes
Le scénario est souvent celui-ci : Il pleure. Sa voix tremble. On devine les sanglots étouffés d'un jeune homme en détresse. Il dit s'appeler Lucas, il dit avoir eu un accident. Il a besoin d'aide. Et vous, à l'autre bout du fil, vous n'avez aucun doute : c'est bien la voix de votre neveu. Vous la reconnaissez. Sauf que… Lucas n'a jamais décroché son téléphone. Ce n'est pas lui. C'est une IA.Autre scénario, et qui a vraiment eu lieu celui-ci, en 2023, Jennifer DeStefano, une mère de famille américaine, reçoit un appel paniqué : sa fille de 15 ans, Briana, pleure, supplie qu'on vienne la sauver. En arrière-plan, des voix masculines hurlent qu'ils vont lui faire du mal si elle ne paie pas une rançon. Jennifer est tétanisée : la voix est celle de sa fille, les intonations, les sanglots, tout y est. Mais la police découvrira plus tard qu'il s'agissait d'une copie vocale générée par IA à partir de quelques secondes de vidéos postées sur TikTok. L'arnaque n'a duré que quelques minutes, mais elle a suffi à plonger une famille entière dans la terreur. Depuis, les experts en cybersécurité tirent la sonnette d'alarme : les IA vocales émotionnelles savent désormais imiter non seulement la voix, mais aussi la peur, la douleur, la tendresse. Bref les émotions ! En moins d'une minute d'enregistrement, un logiciel peut ainsi créer une fausse conversation chargée émotionnellement et d'une authenticité glaçante.C'est ce qu'on appelle des “arnaques émotionnelles IA” et elles se multiplient : faux appels d'urgence, fausses vidéos de proches, voire faux amoureux numériques sur des sites de rencontre, capables de vous parler des heures avant de réclamer une aide financière.Le danger, vous l'avez compris, et c'est là toute la nouveauté, c'est l'émotion. Ces IA savent exactement où frapper : dans le réflexe humain de compassion. Pourquoi ? Parce que ace à une voix qui pleure, notre cerveau perd en rationalité. Il baisse la garde. Une étude neuro-cognitives publiée en 2024 dans Nature Communications montre ainsi que lorsqu'une voix émotive (pleurs, détresse) parvient à un auditeur, la réponse cérébrale de celui-ci priorise le signal affectif plutot que la rationnalité— ce qui réduit la vigilance et favorise une décision impulsive.La solution ? La protection numérique.Toujours vérifier, toujours rappeler via un autre canal. Et s'équiper d'outils capables de repérer les signaux d'alerte : comme les antivirus et les solutions de protection contre les arnaques d'Avast, qui soutient cet épisode. La version payante d'Avast identifie et bloque les appels frauduleux, permettant aux utilisateurs de choisir entre répondre, ou ignorer ses appels.D'ailleurs faites particulièrement attention aux arnaques liées aux achats de fin d'année. Une récente étude d'Avast révèle que 22 % des consommateurs français affirment en avoir été victimes pendant les fêtes l'année dernière. A cette période, nous avons tendance à baisser la garde en ligne et les escros le savent. Les arnaques vont donc se multiplier et seront toujours plus sophistiquées.Aussi je vous invite à tester l'Antivirus Gratuit d'Avast qui offre une protection complète contre les virus, les malwares et les escroqueries en ligne sur PC, Mac, et smartphones (iOS et Android). A télécharger depuis depuis Google Play et l'App Store d'Apple ou en cliquant directement sur le lien suivant:https://www.avast.com/fr-fr/lp-free-av?full_trSrc=mmm_ava_tst_008_470_g&utm_source=codesource&utm_medium=referral&utm_campaign=mid-funnel_mmm_ava_tst_008_470_g&utm_content=mid_audio Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le parcours de Mimoun El Alami pourrait sortir tout droit d'un film de Scorsese ou Spielberg.Une ascension fulgurante, une chute brutale, puis une renaissance spectaculaire.Passé par la banque d'affaires chez Rothschild, il quitte la finance à 25 ans pour lancer Findrive, sa première startup dans le secteur des VTC.À l'époque, il veut être millionnaire avant 30 ans et le devient, en dettes.Mais là où beaucoup auraient arrêté, lui décide d'apprendre.Apprendre du chaos, de la faillite, des échecs.Parce que la résilience, il la tient de son père, entrepreneur lui aussi, tombé après la réussite.Huit ans plus tard, Mimoun revient plus fort, avec Stairling.Un modèle clair, humain et redoutablement efficace : permettre aux chauffeurs VTC d'être indépendants tout en bénéficiant de la sécurité du salariat.Ils sont déjà 1 200 chauffeurs, 1 000 candidatures par mois, et une croissance éclair, de 1 à 7 millions d'euros d'ARR en un an.Stairling n'est pas une plateforme de plus, c'est un label de qualité, une vision sociale du travail et une revanche sur un marché qu'il connaît par cœur.Son ambition, dépasser 100 millions de valorisation, tout en gardant les pieds sur terre.Dans cet épisode, Mimoun raconte les illusions, les coups durs, les paris audacieux et cette foi inébranlable dans sa vision.Un récit de résilience, de revanche et de business.L'histoire d'un visionnaire qui a traversé la fosse aux lions pour réussir a dompter la jungle.Bonne écoute !===========================
Head to the Binny's at 790 Royal St. George Dr in Naperville to get your Parce this week! BRUCE BOLT - Texas-based designer of premium batting gloves: Look good. Hit dingers. https://brucebolt.us/?afmc=HAPP On this week's episode of the Compound Podcast with Ian Happ, Ian Happ is off traveling for the Gold Glove awards, so we make a call to bullpen and bring back returning champions Zack Short and Scott Effross to talk World Series, Gold Gloves, Kyle Hendricks' retirement and some football. Check out full video episodes on Marquee every Thursday and on YouTube on the Marquee Sports Network channel. To learn more about listener data and our privacy practices visit: https://www.audacyinc.com/privacy-policy Learn more about your ad choices. Visit https://podcastchoices.com/adchoices
Après 8 années de sommeil haché, je vois enfin le bout… et au lieu de vous parler du sommeil de mes enfants, j'ai eu envie de vous parler de mon sommeil.Parce qu'à m'être focalisée sur le sommeil de mes filles j'en ai oublié le mien et mes immenses difficultés.Je suis rentrée dans la case de ce qu'on appelle les dyssomnies.Ces troubles ont un impact spécifique sur la durée du sommeil et/ou sa qualité.Après avoir compris les besoins de mes filles en fonction de leur particularité, j'aurais absolument dû apprendre à me concentrer sur moi. La première fois que j'y ai pensé c'est en lisant le livre d'Anna Roy sur le baby clash où elle explique que nos troubles du sommeil sont à prendre au sérieux. Avant ça j'étais tellement dans le dur que je ne voyais que la galère des nuits à cause de mes enfants.Mais au final, les nuits hachées ont créé chez moi des petits troubles qui ont eu des effets très néfastes sur ma santé.La maternité m'a aussi appris ce qu'était l'hypervigilance et je m'en serai bien passé.A l'automne 2022, mon monde s'écroule. Mon mari décide de se séparer et je me retrouve seule avec 3 enfants qui ne dorment pas.Le choc émotionnel dû à ma séparation m'a fait prendre du xanax pour baisser mon anxiété et arriver à dormir…Mais ce type d'anxiolytiques vous empêche d'avoir accès à un sommeil réparateur.J'étais dans un état de fatigue extrême. J'ai demandé à un moment à me faire interner. Je n'ai pas honte de le dire. Il n'y avait pas de places pour moi et ça ne s'est pas fait mais j'étais dans une grande détresse.Chaque nuit je dormais moins de 4h, de manière ininterrompue en permanence, avec des réveils toutes les 30 minutes. Je vivais une situation que j'ai assimilée à de l'enfer. Les réveils de mes filles se sont estompés, j'en parlerai dans un autre épisode. Ce que j'ai mis en place pour les aider et les accompagner. Ça a pris beaucoup de temps, mais j'y suis arrivée. En revanche, mon sommeil est resté abimé par cette période extrêmement délicate de ma vie.J'avais donc du pain sur la planche pour prioriser mon hygiène du sommeil.Et puis j'ai passé 35 ans… mes hormones ont changé et les réveils nocturnes à 3h du matin sont arrivés sans que je ne comprenne ce qu'il se passait.A cette époque j'ai reçu dans mon podcast le Professeur Pierre Philip qui est un des plus grands spécialistes français du sommeil qui explique tout ce qu'il faut mettre en place pour que notre hygiène de sommeil soit au top.Ça m'a beaucoup aidé. A recadrer les choses. L'épisode c'est le 176.Je vous donne ce que moi j'ai mis en place et comment je l'ai mis en place. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Gilles Babinet, multi-entrepreneur, président de Café IA et ancien président du Conseil National du Numérique, est une figure incontournable pour décrypter les enjeux numériques européens. J'ai la chance de connaître Gilles depuis près de 15 ans et, à chaque conversation, je suis toujours frappé par la richesse de sa pensée et la profondeur de ses analyses. Il a ce talent rare de rendre limpide des sujets complexes, sans jamais céder à la facilité ni au sensationnalisme.Dans cet épisode, nous plongeons ensemble dans une réflexion aussi essentielle qu'urgente : celle de la souveraineté numérique. En tant qu'Européens, nous utilisons massivement des services américains ou chinois – des réseaux sociaux à l'IA en passant par le cloud – sans toujours saisir les implications profondes que cela entraîne sur notre liberté de penser, notre démocratie et notre modèle de société.J'ai questionné Gilles sur des sujets qui me tiennent à cœur : la domination des plateformes, le rôle des IA génératives dans la manipulation de l'opinion, le techno-féodalisme, l'inaction européenne, mais aussi les possibles voies de résistance. Nous avons parlé des alternatives européennes, de la culture du risque, de la productivité réelle de l'IA mais également du paradoxe de Solow.C'est un épisode dense, sans concession, mais qui propose aussi des pistes de solutions concrètes. Parce qu'il ne s'agit pas seulement de critiquer, mais de reprendre le contrôle de notre destin technologique. Bonne écoute !5 citations marquantes“La technologie est le nerf invisible de la puissance.”“Si on ne fait rien, l'Europe disparaîtra en tant qu'acteur numérique.”“Les réseaux sociaux nous contaminent avec la vision du monde de leurs créateurs.”“L'IA n'est pas neutre, elle a une induction programmée.”“Faire, même crado, vaut mieux qu'un rêve parfait.”10 questions posées pendant l'interviewPourquoi l'Europe a-t-elle perdu la course au numérique ?Qu'est-ce que la souveraineté numérique, concrètement ?Comment les réseaux sociaux influencent-ils nos démocraties ?En quoi l'IA aggrave-t-elle ces enjeux ?Peut-on encore construire des alternatives européennes crédibles ?Que révèle le cas Spotify sur nos usages numériques ?Pourquoi les médias deviennent-ils eux aussi “putaclic” ?Comment développer une culture numérique populaire en Europe ?Quel est l'impact réel de l'IA sur la productivité ?L'IA va-t-elle vraiment remplacer massivement les emplois ?Timestamps clés 00:00 – Introduction sur la vassalisation numérique de l'Europe02:15 – Le parcours atypique de Gilles Babinet, autodidacte04:00 – Qu'est-ce que la souveraineté numérique ?08:30 – Trump, Microsoft et les risques de dépendance géopolitique13:30 – L'impact cognitif des réseaux sociaux17:30 – Peut-on concilier démocratie et IA ?20:00 – TikTok et la manipulation électorale24:00 – Le paradoxe de nos choix technologiques (cloud, IA)29:00 – Pourquoi l'Europe n'a pas de champions numériques ?34:00 – IA et productivité : déconstruire les fantasmes42:00 – L'Europe : autostoppeur ou puissance d'avenir ? Suggestion d'autres épisodes à écouter : #348 I.A. entre mythes et réalités avec Tariq Krim (partie 1) (https://audmns.com/cNpkHUt) #302 Quand la technologie se transforme en arme de guerre avec Asma Mhalla (https://audmns.com/oBtUPgb) #178 Les technologies vont-elles nous permettre de faire face au défi climatique? avec Philippe Bihouix (https://audmns.com/ktZSlzb)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Gilles Babinet, multi-entrepreneur, président de Café IA et ancien président du Conseil National du Numérique, est une figure incontournable pour décrypter les enjeux numériques européens. J'ai la chance de connaître Gilles depuis près de 15 ans et, à chaque conversation, je suis toujours frappé par la richesse de sa pensée et la profondeur de ses analyses. Il a ce talent rare de rendre limpide des sujets complexes, sans jamais céder à la facilité ni au sensationnalisme.Dans cet épisode, nous plongeons ensemble dans une réflexion aussi essentielle qu'urgente : celle de la souveraineté numérique. En tant qu'Européens, nous utilisons massivement des services américains ou chinois – des réseaux sociaux à l'IA en passant par le cloud – sans toujours saisir les implications profondes que cela entraîne sur notre liberté de penser, notre démocratie et notre modèle de société.J'ai questionné Gilles sur des sujets qui me tiennent à cœur : la domination des plateformes, le rôle des IA génératives dans la manipulation de l'opinion, le techno-féodalisme, l'inaction européenne, mais aussi les possibles voies de résistance. Nous avons parlé des alternatives européennes, de la culture du risque, de la productivité réelle de l'IA mais également du paradoxe de Solow.C'est un épisode dense, sans concession, mais qui propose aussi des pistes de solutions concrètes. Parce qu'il ne s'agit pas seulement de critiquer, mais de reprendre le contrôle de notre destin technologique. Bonne écoute !5 citations marquantes“La technologie est le nerf invisible de la puissance.”“Si on ne fait rien, l'Europe disparaîtra en tant qu'acteur numérique.”“Les réseaux sociaux nous contaminent avec la vision du monde de leurs créateurs.”“L'IA n'est pas neutre, elle a une induction programmée.”“Faire, même crado, vaut mieux qu'un rêve parfait.”10 questions posées pendant l'interviewPourquoi l'Europe a-t-elle perdu la course au numérique ?Qu'est-ce que la souveraineté numérique, concrètement ?Comment les réseaux sociaux influencent-ils nos démocraties ?En quoi l'IA aggrave-t-elle ces enjeux ?Peut-on encore construire des alternatives européennes crédibles ?Que révèle le cas Spotify sur nos usages numériques ?Pourquoi les médias deviennent-ils eux aussi “putaclic” ?Comment développer une culture numérique populaire en Europe ?Quel est l'impact réel de l'IA sur la productivité ?L'IA va-t-elle vraiment remplacer massivement les emplois ?Timestamps clés 00:00 – Introduction sur la vassalisation numérique de l'Europe02:15 – Le parcours atypique de Gilles Babinet, autodidacte04:00 – Qu'est-ce que la souveraineté numérique ?08:30 – Trump, Microsoft et les risques de dépendance géopolitique13:30 – L'impact cognitif des réseaux sociaux17:30 – Peut-on concilier démocratie et IA ?20:00 – TikTok et la manipulation électorale24:00 – Le paradoxe de nos choix technologiques (cloud, IA)29:00 – Pourquoi l'Europe n'a pas de champions numériques ?34:00 – IA et productivité : déconstruire les fantasmes42:00 – L'Europe : autostoppeur ou puissance d'avenir ?Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.