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Google, Meta et OpenAI ont tous dégainé leurs modèles vidéo : Veo 3, Vibes et Sora 2. Trois applis et un même objectif : transformer nos feeds en un flux infini d'images générées par l'IA. On va revenir sur ces lancements, parce que derrière ces modèles, c'est une nouvelle ère qui s'annonce : celle des réseaux sociaux auto-générés. On va aussi décrypter la mécanique des cameos, ces clones numériques capables de reproduire ton visage et ta voix. On parlera des prouesses créatives, mais aussi des dérives possibles. Et puis, on va se projeter : à quoi ressemble un monde où l'actualité, les émotions et même nos souvenirs seraient générés par l'intelligence artificielle ?Bref, un épisode passionnant.Les amigos, nous sommes peut-être à l'aube d'une bascule historique : celle où la réalité n'a plus besoin d'être filmée, mais générée par l'intelligence artificielle.===============================
Quand on voyage au Sénégal, on est frappé par l'omniprésence française. Pour téléphoner, il faut passer par Orange. Pour faire le plein, par Total. Pour retirer de l'argent, on reçoit des francs. Comment expliquer cette familiarité troublante ? L'histoire entre la France et le Sénégal est longue et douloureuse : traite négrière, colonisation, tirailleurs sénégalais, massacre de Thiaroye. L'île de Gorée et sa Maison des Esclaves témoignent de la réalité brutale de cette histoire. Aujourd'hui, la présence française persiste : bases militaires, franc CFA, entreprises françaises dans tous les secteurs stratégiques. Dans cet épisode, Ingrid explore ce lien complexe entre attachement sincère et domination économique. Retrouvez la transcription de cet épisode sur www.innerfrench.com Retrouvez nos cours pour améliorer votre français sur www.courses.innerfrench.com
En pleine crise politique, AZ a tenu à apporter son soutien à Emmanuel Macron, à sa façon... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:24:54 - Le Mag de la vie quotidienne - par : Ali Rebeihi - Le running fait de plus en plus d'adeptes. À l'heure de s'y remettre ou de débuter, suivez les conseils de nos experts pour éviter les blessures et que la course devienne et reste un plaisir Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Retrouve la vidéo et la transcription sur : https://www.francaisauthentique.com/le-truc-infaillible-pour-savoir-quand-utiliser-le-subjonctif
Quand on pense au luxe français, certaines maisons incarnent à elles seules un mélange rare : indépendance, transmission familiale et capacité à se réinventer sans jamais perdre leur âme. Longchamp en fait partie.Pour la première fois dans ce podcast, j'ai choisi de donner la parole à 2 voix : Jean Cassegrain, président de Longchamp à l'échelle mondiale, et son fils Hector Cassegrain, directeur France.Dans cet échange, on a parlé de ce qui fait la singularité d'une maison familiale devenue une icône du luxe. Comment transmettre un héritage sans jamais le figer ? Comment préserver une identité forte tout en osant la réinventer ? Comment transformer une boutique en véritable lieu d'expérience ? Et bien sûr, comment un sac comme le Pliage peut devenir à la fois un symbole de continuité et d'audace.Mais au-delà de ces questions de stratégie, Jean et Hector se livrent avec une sincérité rare : sur leurs valeurs, leur attachement profond à la France, leur rapport au temps long… et ce que cela implique, très concrètement, de travailler en famille.C'est une plongée unique dans les coulisses d'une maison que j'admire profondément, et dont l'histoire résonne bien au-delà du monde du luxe.Bonne écoute !Notes et références de l'épisode :
En 2019, Marie quitte Paris avec son mari et leur fils pour tenter le rêve américain à New York. Le projet d'entreprise tombe à l'eau, la pandémie frappe, les économies s'évaporent. Un matin, déclic : depuis sa cuisine de Brooklyn, Marie lance une « home bakery ». Une tarte au citron, une baguette offerte… et les commandes affluent.Quand la vie la mène ensuite à Los Angeles, Marie repart de zéro : homeschooling, petits boulots, puis un site, une annonce… et la première mission de private chef. Dans cet épisode, elle raconte la réinvention, les sacrifices, la réalité des visas, l'exigence des clients — et surtout la force d'un savoir-faire qui soigne.Au menu : résilience, croissants, amour du geste et conseils sans filtre pour celles et ceux qui rêvent d'ailleurs.French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d'écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:30:14 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Anna Benjamin - Laure consulte un psychiatre pour se départir d'une relation toxique. Sur fond de dévoiement de la notion de transfert et de “câlinothérapie”, il l'abuse. Les parents de Chloé consultent un psychanalyste pour régler leurs problèmes de couple, mais la thérapie ne se passe pas comme d'habitude. - réalisation : Anne Depelchin, Eric Lancien
En 1989, Jean-Louis Etienne entreprend la traversée de l'Antarctique en traîneaux à chiens et devient témoin du réchauffement climatique. Aujourd'hui, les territoires de glace qu'il a parcourus n'existent plus…Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand on évoque les grandes civilisations précolombiennes, deux noms surgissent immédiatement : les Mayas et les Incas. Pourtant, si elles ont toutes deux marqué l'histoire de l'Amérique, elles sont très différentes dans leur localisation, leur organisation et leurs héritages.Les Mayas apparaissent bien avant les Incas. Leur civilisation se développe dès 2000 avant notre ère, dans les forêts tropicales du Yucatán, au sud du Mexique, ainsi qu'au Guatemala, au Belize et au Honduras actuels. Les Incas, eux, émergent beaucoup plus tard, au XIIIᵉ siècle, dans la cordillère des Andes, principalement au Pérou. Cette différence chronologique explique déjà un contraste : quand l'empire inca atteint son apogée au XVe siècle, les grandes cités mayas étaient déjà abandonnées depuis longtemps.Sur le plan politique, le contraste est frappant. Les Mayas n'avaient pas un empire unifié mais une mosaïque de cités-États indépendantes, comme Tikal, Palenque ou Copán, qui rivalisaient entre elles par des guerres et des alliances. Les Incas, au contraire, fondèrent un empire centralisé : le Tawantinsuyu. Depuis Cuzco, l'empereur, appelé le Sapa Inca, exerçait un pouvoir absolu sur des millions de sujets et un territoire immense s'étendant de la Colombie jusqu'au Chili.Sur le plan culturel, les Mayas brillèrent surtout par leur écriture et leurs connaissances scientifiques. Ils développèrent un système d'écriture hiéroglyphique complexe, unique en Amérique, qui permettait de noter aussi bien des événements politiques que des récits mythologiques. Ils élaborèrent également un calendrier extrêmement précis, basé sur l'astronomie, et laissèrent des monuments impressionnants comme les pyramides de Chichén Itzá. Les Incas, eux, ne connaissaient pas l'écriture. Pour conserver la mémoire des tributs ou des recensements, ils utilisaient les quipus, des cordelettes nouées dont les combinaisons servaient de code numérique. Leur génie s'exprima surtout dans l'ingénierie : routes pavées traversant les Andes, ponts suspendus, systèmes d'irrigation et villes perchées comme Machu Picchu.Enfin, leurs religions différaient. Les Mayas pratiquaient des rituels sanglants pour apaiser leurs dieux, y compris des sacrifices humains. Les Incas, eux, adoraient surtout Inti, le dieu Soleil, et considéraient l'empereur comme son descendant direct. Leurs sacrifices humains existaient, mais étaient plus rares et souvent réservés à des moments exceptionnels.En somme, les Mayas furent des astronomes et des scribes brillants, mais fragmentés politiquement. Les Incas, eux, bâtirent un empire solide et organisé, mais sans écriture. Deux civilisations fascinantes, qui montrent la diversité et la richesse des mondes précolombiens bien avant l'arrivée des Européens. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand on est adulte, on oublie parfois d'avoir des hobbies. On bosse, on s'occupe des enfants, on gère la maison… et on se dit que c'est pas ‘utile' d'avoir un passe-temps. Moi j'ai décidé que mes hobbies, c'était ma bouffée d'air, mon carburant. Aujourd'hui, je te raconte ceux qui me font kiffer en ce moment et surtout pourquoi ils comptent autant (et comment trouver les tiens !)RETROUVE MOI SUR :
Quand une erreur à l'antenne devient une légende radio : un jeu qui tourne mal, un patron furieux, un animateur au bord du licenciement… et un artiste qui sauve tout ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En 2006, personne n'achète sur internet.Mais Anne-Laure Constanza a une conviction.Elle lance la toute première marque française de prêt-à-porter créée et développée en ligne : Envie de Fraise.À une époque où Squarespace ou Shopify n'existent pas encore, elle construit tout de zéro.En quelques années, Envie de Fraise habille des millions de femmes enceintes en France et dans le monde, de Carla Bruni à Nathalie Portman.Malgré une entreprise rentable avec 20 millions de chiffre d'affaires en 2017, elle décide de vendre pour prendre soin de se ses enfants et sécuriser leur vie et leur avenir.Anne-Laure reprend la maison Toulemonde Bochart en 2023.La marque réalise 5,7 millions de chiffre d'affaires avec aucune présence en ligne.Sa première décision : lancer le digital.En deux ans, la marque a doublé son chiffre d'affaires, tout en restant rentable.Dans cet épisode, Anne-Laure nous livre les dessous d'une stratégie de digitalisation bien rodée, fondée sur la qualité des produits et de l'expérience client.TIMELINE:00:00:00 Le secret pour transformer une idée en succès00:11:24 Partir en Chine à 23 ans pour faire rayonner la France00:17:51 L'échec visionnaire du “Made by Chinese” en France00:24:02 La grossesse qui a révolutionné l'e-commerce00:34:30 La pub audacieuse avec Carla Bruni qui a fait exploser la marque00:44:16 Renoncer au rêve américain pour ses enfants00:52:07 Comment digitaliser un groupe centenaire00:59:10 Entreprendre pour ses enfants01:06:53 Lâcher prise pour trouver l'équilibre01:14:32 L'aventure qui a changé la vie de son fils01:24:46 Comment doubler le CA d'une marque iconique01:34:35 Pourquoi il faut savoir abandonner très vite01:44:54 Défiler à Rio, son prochain challenge01:55:31 Fuir le dév-perso pour une philosophie pratiqueLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #4 - Bruno Lévêque - Le codeur fou qui a lancé Prestashop !#483 - Carlos Ghosn - Out of the box : masterclass business de l'évadé du siècle#488 - Valentin Kretz - Le vrai business des Kretz derrière la série Netflix#485 - Tibo InShape - Le Syndrome du personnage principalNous avons parlé de :Le site officiel de Toulemonde Bochart“Alors Carla, envie de fraises ou pas ?”Le documentaire d'Oscar et Arthur au KilimandjaroDécouvrir le Raid AmazonesBridgewater - le fonds d'investissement de Ray DalioLes recommandations de lecture :Quand la Chine s'éveillera, le monde tremblera - Alain PeyrefittePenser contre soi-même - Nathan DeversLa force majeure - Clément RossetVous pouvez contacter Anne-Laure Constanza sur LinkedIn.J'ai négocié pour vous un code promo "DOIT" valable sur le site de Toulemonde Bochart : 10% pour les 20 premiers puis 5%.Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand on pense aux châteaux forts médiévaux, on imagine tout de suite des murailles épaisses, des ponts-levis et des tours de guet. Mais un détail, souvent oublié, intrigue les visiteurs : ces petites excroissances en pierre, perchées au-dessus du vide, parfois à plusieurs mètres de hauteur. Ce sont les latrines suspendues, ou garde-robes, un élément aussi essentiel qu'ingénieux de la vie quotidienne au Moyen Âge.Pourquoi donc construire les toilettes… à l'extérieur des murs ? La réponse tient à un subtil mélange de praticité, d'hygiène et de défense.D'abord, la question de l'évacuation. Les châteaux abritaient parfois des centaines de personnes : seigneurs, soldats, domestiques. Il fallait bien gérer les besoins naturels sans transformer les salles en cloaques insupportables. En plaçant les latrines en encorbellement au-dessus des fossés ou de la pente extérieure, les déchets étaient directement rejetés à l'extérieur du bâtiment. Un seau ou un simple conduit permettait d'évacuer tout cela par gravité. Pas très élégant, mais rudement efficace.Ensuite, l'hygiène relative. Les conceptions médicales de l'époque n'avaient rien de moderne, mais on comprenait que les miasmes — les mauvaises odeurs — pouvaient rendre malade. Mettre les latrines hors des murs limitait les nuisances et les risques de contamination. Certaines forteresses utilisaient même les fossés remplis d'eau pour entraîner les déchets, créant une forme primitive d'égout.Enfin, l'architecture défensive n'était jamais loin. Dans certains cas, les conduits des latrines donnaient directement sur les fossés, ajoutant aux eaux stagnantes une couche supplémentaire de répulsion pour l'ennemi. Et il arrivait que les assaillants tentent d'utiliser ces ouvertures pour s'infiltrer : d'où la présence de grilles ou de pierres escamotables, preuve que même les toilettes faisaient partie de la stratégie militaire.Bien sûr, le confort restait sommaire. Les sièges étaient en bois, percés d'un simple trou, parfois partagés. Les nobles pouvaient bénéficier de latrines privées attenantes à leur chambre, mais les soldats et les serviteurs se contentaient d'espaces collectifs. Le mot garde-robe lui-même vient de cette habitude d'y suspendre les vêtements : les odeurs fortes repoussaient naturellement les mites et autres parasites du tissu.En somme, ces latrines suspendues sont un symbole du pragmatisme médiéval. Ni luxe, ni raffinement, mais une réponse concrète aux défis d'hygiène et de logistique posés par la vie en autarcie derrière les murailles. La prochaine fois que vous verrez ces petites tourelles en surplomb, rappelez-vous : elles étaient le signe d'une architecture qui pensait autant à l'ennemi qu'aux besoins les plus quotidiens de ses habitants. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les dimanches à minuit, Daniel Riolo propose une heure de show en direct avec Moundir Zoughari pour les passionnés de poker. Conseils d'un joueur professionnel, actualité, tournois... Votre rendez-vous poker, sur RMC !
Quand on imagine un pilote d'avion, on pense souvent à quelqu'un doté d'une vue d'aigle, capable de distinguer chaque détail dans le ciel. Mais en réalité, les choses sont plus nuancées. Les autorités aéronautiques n'exigent pas une vision “parfaite”, mais une vision suffisamment bonne, quitte à être corrigée par des lunettes ou des lentilles.Aux États-Unis, par exemple, la FAA impose que les pilotes de ligne obtiennent une acuité visuelle de 20/20 de loin dans chaque œil, mais cela peut être avec correction. Autrement dit, si un pilote a besoin de lunettes, il est tout à fait autorisé à voler, tant que sa vision corrigée atteint le seuil. Pour la vision de près – indispensable pour lire les instruments – une acuité de 20/40 est suffisante. En Europe, sous l'autorité de l'EASA, les règles sont similaires : l'important n'est pas d'avoir une vue naturellement parfaite, mais de pouvoir atteindre les normes grâce à une correction optique. Les pilotes qui portent des lunettes doivent simplement emporter une paire de secours dans le cockpit.Bien sûr, certaines conditions sont encadrées de près. Les lentilles de contact sont admises, mais pas la “monovision” (un œil corrigé pour le loin, l'autre pour le près), car elle perturbe la perception de la profondeur. La chirurgie réfractive, comme le LASIK, est également acceptée, à condition que la vision soit stabilisée et qu'il n'y ait pas de séquelles gênantes, comme des halos lumineux la nuit.Un autre point crucial est la vision des couleurs. Impossible de piloter sans distinguer clairement le rouge, le vert et le blanc : ce sont les couleurs des feux de navigation, des signaux lumineux ou encore des systèmes d'approche visuelle. Les candidats qui échouent aux tests classiques peuvent parfois prouver en situation réelle qu'ils reconnaissent bien ces signaux, mais sinon des restrictions s'appliquent, comme l'interdiction de voler de nuit.Enfin, la vision binoculaire et la perception de la profondeur sont indispensables pour estimer les distances, surtout lors des phases critiques comme l'atterrissage. Certaines pathologies, comme un strabisme important ou une perte du champ visuel, peuvent être éliminatoires.En somme, non, il n'est pas nécessaire d'avoir des yeux parfaits pour devenir pilote. Ce qui compte, c'est de respecter des normes précises, atteignables avec une bonne correction et un suivi médical. Et cela explique pourquoi de nombreux commandants de bord que nous croisons dans les avions de ligne portent… tout simplement des lunettes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:30 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Cyriane s'interroge sur la fragilité des sacs en plastique, matière dans laquelle sont encore faites beaucoup (trop) de choses. - réalisé par : Stéphanie TEXIER Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:46:55 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui, dans Affaires sensibles, l'affaire Mickaël Philetas, quand le masculinisme tue. - réalisé par : Stéphane COSME Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:13 - Géopolitique - par : Pierre Haski - De l'Asie à l'Afrique, du Népal au Maroc, la génération Z, les 13-28 ans, se révolte avec les mêmes codes générationnels issus de leur culture numérique commune. La fracture générationnelle se transforme en fracture politique, mais avec quels lendemains ? Les dirigeants politiques s'inquiètent. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:50:57 - Les Nuits de France Culture - par : Mathilde Wagman - "Projection privée" recevait Alain Cavalier en 2009 pour évoquer son film "Irène", un long-métrage qui partait en quête du souvenir de sa femme disparue accidentellement en 1972, quelques années après leur mariage. - réalisation : Lise Côme - invités : Alain Cavalier Cinéaste français
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
Jean-Baptiste Bernadotte, modeste béarnais, traverse la révolution française avec le surnom de "sergent Belle-Jambe". Compagnon d'armes de Napoléon en Italie, leurs destins ne cessent de se croiser mêlant rivalités, jalousies, et même mariage avec Désirée Clary, l'ex-fiancée de Bonaparte. Devenu maréchal d'empire en 1804, il rejoint pourtant la coalition contre la France. Découvrez le destin extraordinaire de ce palois devenu roi de Suède. Crédits : Lorànt Deutsch, Bruno Deltombe. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
De passage dans les locaux de RTL2, la chanteuse belge, coup de cœur du public lors de son passage dans "Star Academy" en 2023, en a profité pour faire un coucou à l'équipe de Bruno. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:13 - Géopolitique - par : Pierre Haski - De l'Asie à l'Afrique, du Népal au Maroc, la génération Z, les 13-28 ans, se révolte avec les mêmes codes générationnels issus de leur culture numérique commune. La fracture générationnelle se transforme en fracture politique, mais avec quels lendemains ? Les dirigeants politiques s'inquiètent. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Pourquoi est-il si difficile de raconter son histoire, quand on est asiatique en France ?Dans cet épisode solo, je vous parle à cœur ouvert de ce qui m'a bloquée pendant des mois. Ce n'est pas un manque d'idées. Ni du à mon perfectionnisme (un peu, mais pas que). Il y avait autre chose. Qui vous touche peut-être aussi. J'ai eu un déclic. Et j'ai voulu vous partager mes batailles intérieures, les mécanismes qui nous empêchent, souvent, de prendre la parole, et les réponses que j'ai trouvées récemment.Dans cet épisode, je vous parle de :ce qui m'a empêchée de publier des épisodes sur ce podcastdu mythe de la minorité modèle et de ses effets sur nos parcoursde l'exigence de perfection héritée de notre éducation et de notre culturede la légitimité à raconter nos histoires dites "ordinaires"de la violence de l'invisibilisation des récits asiatiquesde ce que signifie "reprendre la parole" dans un contexte de sous-représentationet de comment j'ai décidé de relancer Asiattitudes avec moins de blocagesC'est un bout de journal intime qui j'espère, résonnera chez certain•es d'entre vous. C'est ma manière de me rappeler, et de nous rappeler à tous•tes, par la même occasion, que nos histoires méritent d'exister. Même quand elles ne sont pas spectaculaires. Parce que ces histoires nous appartiennent. Elles ne seront racontées par personne d'autre que nous. Et qu'elles sont le seul moyen de transformer les représentations.Bonne écoute !Mélanie***Références citées dans l'épisode :Podcast : Comment écrire de nouveaux récits - Renverser la table, avec Alice ZeniterComprendre l'histoire des immigrations est et sud-est asiatiques - Asiattitudes, avec Simeng WangSuivre Asiattitudes :✨ Abonnez-vous au podcast sur votre application d'écoute ✨ Partagez les épisodes qui vous ont interrogé, qui ont résonné en vous✨ Suivez Asiattitudes sur les réseaux : Instagram, Linkedin✨ Abonnez-vous à la newsletter AsiattitudesCrédits :Ecriture, animation, réalisation : Mélanie Hong.Générique : Hongli Wang.Graphisme : Mélanie Hong.Email : asiattitudes (at) gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mes chers camarades, bien le bonjour ! Quand on parle de la colonisation européenne en Afrique, on entend souvent dire que c'est à la Conférence de Berlin en 1884 - 1885 que les occidentaux se sont partagés le continent et qu'ils en ont dessiné les frontières. Alors qu'en fait… c'est un peu plus compliqué que ça ! Alors que s'y est-il vraiment passé ? Eh bien pour le découvrir, je laisse la place à Camille Lefebvre, une spécialiste de l'histoire de la colonisation de l'Afrique de l'Ouest et des frontières ! Je l'ai récemment reçue en entretien pour parler de l'histoire de la colonisation du Sahel, entretien que vous pourrez écouter dans quelques jours sur le podcast. Mais pour le moment, revenons en à la conférence. Bonne écoute !
"Le projet du deuxième enfant n'était pas une évidence. Passée l'explosion d'hormones de l'accouchement, tu te prends prend une claque quand tu deviens maman pour la première fois, c'est tellement de boulot !"Découvrez un extrait de notre conversation avec l'illustratrice Agathe Sorlet, que l'on rencontre à la veille de son deuxième accouchement pour évoquer sa vie de mère et d'artiste, sa relation avec son fils, sa grossesse et son couple...Un avant-goût avant d'écouter l'épisode intégral : RDV mardi 7 octobre ! #staytunedHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand on pense à la disparition de la vie sur Terre, on imagine souvent un scénario brutal : un astéroïde, une guerre nucléaire ou encore le Soleil qui explose. Pourtant, les modèles scientifiques indiquent un destin bien plus lent et inéluctable. D'ici environ un milliard d'années, la planète ne sera plus habitable, car l'oxygène atmosphérique, indispensable à la vie complexe, aura presque totalement disparu.Ce phénomène découle de l'évolution naturelle de notre étoile. Le Soleil, en vieillissant, devient progressivement plus lumineux : son intensité augmente d'environ 10 % tous les milliards d'années. Ce surcroît d'énergie modifie profondément le climat terrestre. À mesure que la température moyenne grimpe, l'évaporation des océans s'accélère. Plus de vapeur d'eau dans l'atmosphère signifie davantage d'effet de serre, ce qui amplifie encore le réchauffement : un cercle vicieux s'installe.Or, cette vapeur d'eau est fatale aux organismes producteurs d'oxygène. Les cyanobactéries et les plantes, qui réalisent la photosynthèse, voient leur activité s'effondrer. L'augmentation des températures perturbe leur métabolisme et entraîne une baisse massive de la production d'oxygène. Une étude publiée en 2021 dans la revue Nature Geoscience par Kazumi Ozaki (Université de Toho, Japon) et Christopher Reinhard (Georgia Tech, États-Unis) a modélisé ce processus : dans environ un milliard d'années, la concentration d'oxygène dans l'air chutera à moins de 1 % de son niveau actuel.Concrètement, cela signifie la fin de la biosphère telle que nous la connaissons. Les animaux, qui dépendent de la respiration aérobie, disparaîtront rapidement. Les plantes, elles-mêmes fragilisées, s'éteindront à leur tour. L'oxygène, qui représente aujourd'hui 21 % de l'atmosphère, n'aura été qu'une « parenthèse » dans l'histoire de la Terre : il n'est présent à de tels niveaux que depuis environ 2,4 milliards d'années, à la suite de la « grande oxydation » provoquée par les micro-organismes photosynthétiques.Après ce déclin, la Terre redeviendra un monde dominé par des formes de vie simples, adaptées à des conditions pauvres en oxygène, un peu comme celles qui existaient avant l'apparition des animaux complexes. Les seules survivantes seront probablement des bactéries anaérobies, capables de tirer de l'énergie sans oxygène, et des micro-organismes extrêmophiles, résistants à la chaleur et aux radiations.En résumé, dans un milliard d'années, ce ne sera pas une catastrophe soudaine mais une lente asphyxie. L'oxygène, ressource vitale pour la faune et la flore, aura disparu, conséquence directe de l'évolution solaire et de l'arrêt progressif de la photosynthèse. La vie complexe sur Terre n'aura donc été qu'un épisode transitoire dans la longue histoire de la planète. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cela fait un an, jour pour jour, ce 2 octobre 2025, que Claudia Sheinbaum est arrivée au pouvoir au Mexique. Pour la première fois, le pays accueillait une femme de gauche à la tête de l'État. La présidente poursuit le mouvement de la « quatrième transformation » de son prédécesseur Amlo. Sa politique sociale commence à montrer des résultats : plus de 13 millions de personnes sont sorties de la pauvreté. L'insécurité recule aussi dans une grande partie du pays. Avec une opposition qui peine à se relever depuis les dernières élections, le gouvernement Sheinbaum a une grande marge de manœuvre. Mais un élément perturbateur est arrivé de l'autre côté de la frontière : Donald Trump chamboule l'ordre mondial et le voisin mexicain a dû s'adapter. De notre correspondante à Mexico, « La présidente mexicaine est une femme adorable, mais elle est tellement effrayée par les cartels que sa vision est brouillée », a déjà lancé Donald Trump, dans son style si particulier. « Nous ne voulons pas polémiquer publiquement sur un ton de confrontation directe, cela ne nous aide pas. En revanche, nous disons ce que nous pensons, nous défendons la souveraineté et nous ne baissons pas la tête », a rétorqué Claudia Sheinbaum. Le président américain et son homologue mexicaine négocient avec deux styles extrêmement différents. Depuis des mois, la lutte contre le trafic de drogue est au cœur de leurs discussions. Face aux menaces de frais de douane, et même d'une intervention militaire américaine, Claudia Sheinbaum maintient sa stratégie visant à garder la tête froide. À lire aussiMexique : après un an au pouvoir, la popularité de Claudia Sheinbaum est toujours intacte Alejandra Lopez, professeur, analyse : « Dans sa manière de collaborer avec le gouvernement de Donald Trump, elle montre qu'elle ne compromet pas la souveraineté nationale. C'est l'un des aspects qui lui ont le plus profité dans sa gestion du conflit avec Donald Trump, car en réalité, c'est un conflit qu'il entretient avec le monde entier. Les tarifs douaniers ont été limités à l'égard du Mexique, en contrepartie d'une plus grande coopération sur le thème du crime organisé. Le fait que des grands chefs de cartel comme El Mayo Zambada et El Chapo soient emprisonnés aux États-Unis montre une coopération qu'elle sait très bien gérer. » Sécurité : des résultats qui parlent Devant les ֤États-Unis, le gouvernement Sheinbaum affiche les résultats de sa nouvelle politique sécuritaire menée par Omar Garcia Harfuch. En un an, plus de 240 tonnes de drogues ont été saisies, et environ 30 000 personnes ont été arrêtées. À l'échelle nationale, le nombre d'homicides diminue et, pour la première fois depuis des décennies, la violence au Mexique recule. Vanessa Romero, politologue, explique : « Quand des membres de l'opposition disent que la présidente Sheinbaum ne fait que réagir aux demandes de Donald Trump en matière de sécurité, je trouve que c'est une vision aveugle et hypocrite. Comme maire de Mexico, elle appliquait déjà cette même politique de sécurité, et maintenant, elle l'applique au niveau national. Trump est davantage une raison pour le tournant qu'elle prend dans sa politique, plutôt que la cause. » Préoccupation majeure des Mexicains, la gestion de l'insécurité par le gouvernement est centrale dans la grande popularité de Claudia Sheinbaum. Elle bénéficie de plus de 70% d'opinions favorables.
Quand on pense réchauffement climatique, gaz à effet de serre, empreinte carbone, on pense souvent transport aérien ou trajets en voiture. On oublie souvent les courses au supermarché, alors que l'empreinte carbone de l'alimentation représente 22 % de notre empreinte carbone individuelle. Ça fait environ 2,1 tonnes équivalent CO2 par personne et par an, c'est-à-dire le troisième poste d'émissions après le transport et le logement... Ecoutez Olivier Dauvers : les secrets de la conso du 02 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
EXCLU PODCAST – Aujourd'hui, autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot : Elina Dumont, Bruno Poncet et Charles Consigny.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Flora Ghebali, militante écologiste, et Didier Giraud, éleveur de bovin, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Alors qu'Adil Rami a toujours eu peur de saluer Léonardo DiCaprio, Arielle Dombasle, elle, a eu le droit à une invitation à dîner...Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:23 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La Chine a stoppé ses achats de soja aux États-Unis en raison de la guerre commerciale de Donald Trump, privant les fermiers américains de plusieurs milliards de dollars. La « géopolitique du soja » s'invite dans la mondialisation, un enjeu invisible mais aux conséquences considérables. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Merci à notre partenaire Red Bull d'avoir rendu cette série d'épisodes possible, et de nous donner des ailes pour aller toujours plus loin.Dans cette série spéciale, nous mettons en lumière des personnalités phares du secteur des CHR (cafés, hôtels, restaurants) et de la fête en France.Pour cette série spéciale comme pour tous les épisodes de GDIY, notre équipe garde toujours la main sur la ligne éditoriale et le choix des invités.Nous espérons que ces épisodes vous plairont autant qu'à nous.Créer un festival, c'est comme partir à la guerre.En dix ans, Sarah Renard est passée de serveuse à co-fondatrice du festival Madame Loyal et Sonora.Elle découvre cet univers en 2015, derrière le bar du Rituel, fondé par Guillaume et Geoffrey, mais ne cache pas son ambition de vouloir travailler avec eux.Ils se sont associés et ont alors lancé leur festival en autofinancement.Le projet s'est rapidement développé dans plusieurs villes de France, jusqu'à atteindre les 8 millions d'euros par an. Transformant la "teuf" en une expérience immersive et rentable.Mais derrière les scènes flamboyantes et les ambiances électro se cache une obsession du détail et une organisation militaire.Dans cet épisode, elle nous livre les clés de sa réussite :L'art de bien choisir ses partenaires.Comment le Covid a rendu les festivals mainstream.Quand dire stop pour éviter une catastrophe financière.Comment gérer les imprévus, fidèle au “show must go on”.Les métiers de l'ombre : quand les techniciens deviennent artistes.Sarah, une entrepreneure bulldozer, nous rappelle que derrière les paillettes et les basses, le succès se construit avec passion, méthode et une capacité à apprendre constamment.Le business des évènements et des festivals livré en cours magistral dans ce nouvel épisode.Vous êtes dans le business du hors domicile, gérant d'établissement(s) (bars, clubs, restaurants, vente à emporter) ou bien organisateur de festival ?N'hésitez pas à remplir vos coordonnées en cliquant sur le lien suivant : https://www.gdiy.fr/red-bull/Les 100 premiers inscrits pourront bénéficier d'un pack de gratuités de la part Red Bull.TIMELINE:00:00:00 : Mélanger fête foraine et festival électronique en un seul événement00:10:55 : Comment Sarah est passée de serveuse à fondatrice de festival00:19:55 : Le pire ennemi des festivals00:25:13 : La recette pour financer un festival00:35:13 : Pourquoi le public accepte de payer plus cher qu'avant00:47:44 : Pourquoi la sécurité coûte des dizaines de milliers d'euros00:58:34 : Le plus gros cachet artistique01:05:58 : Les métiers de l'ombre : quand les techniciens deviennent artistes01:15:34 : Sonora : la rave techno tout confort01:26:58 : Comment gérer les artistes et les bénévoles01:38:47 : Combien ça gagne un festival ?01:47:55 : Les leçons d'une croissance fulguranteLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : [Hors-Série Red Bull] - Aurélien Antonini - Bonjour/Bonsoir - Boîtes de nuits, clubs, comment se lancer et durer dans le monde de la nuit[Hors-Série Red Bull] - Yoann Le Nevé - Hellfest Festival - Créer le Disneyland du métal sans vendre son âme au diableLes précédents épisodes dans la série Red Bull : [Hors-Série Red Bull] - Christophe Coutal - Moorea Plage - « C'est moi le roi, pas le client » la légende de St-Tropez[Hors-Série Red Bull] - Yoann Le Nevé - Hellfest Festival - Créer le Disneyland du métal sans vendre son âme au diable[Hors-Série Red Bull] - Luc Reversade - La Folie Douce - "On est les seuls à avoir un chef étoilé qui fait danser sur les tables à 2500m d'altitude”[Hors-Série Red Bull] - Aurélien Antonini - Bonjour/Bonsoir - Boîtes de nuits, clubs, comment se lancer et durer dans le monde de la nuitNous avons parlé de :Site officiel de Madame LoyalSolidaysLa scène brûlée du TomorrowlandSite officiel du HellfestWe Love GreenRose Festival de Bigflo & OliShlømo set au festival Sonora de BordeauxLes recommandations de lecture : L'âme du monde - Frédéric LenoirVous pouvez contacter Sarah sur Linkedin.J'ai finalement réussi à négocier : le code GDIY20 vous permettra de bénéficier de 20€ de réduction sur votre place au festival Sonora du 18 octobre.Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 1er octobre 2025 - Lecornu : pas de gouvernement et déjà un test dans la rueÀ peine nommé et déjà menacé. Alors qu'il devrait annoncer son nouveau gouvernement en fin de semaine, le Premier ministre Sébastien Lecornu voit peser sur lui la menace de la censure à deux semaines de l'examen par l'Assemblée nationale du projet de loi finances. Ces derniers jours, le nouveau locataire de Matignon a reçu les principales formations politiques, dont les socialistes avec qui il espère pactiser en vue d'éviter la censure. Pourtant, le représentant du PS est ressorti déçu des premières négociations. Vendredi, Sébastien Lecornu a confirmé dans le Parisien avoir écarté l'idée d'une taxe Zucman, le retour de l'Impôt sur la fortune ou la suspension de la réforme des retraites. "Si rien ne change, le résultat est déjà connu. Il y aura une censure, donc ce gouvernement tombera et il y aura vraisemblablement une dissolution", menace Olivier Faure, tandis que les députés Renaissance, dirigés par Gabriel Attal préparent déjà des élections législatives anticipées. Reste qu'il faut ménager le socle commun. Lundi, Sébastien Lecornu a dit que son futur gouvernement ferait des "propositions" de baisse d'impôts "notamment en faveur du travail".Dans l'attente d'une possible censure, les syndicats ne relâchent pas la pression et se préparent à une forte mobilisation jeudi, deux semaines après une première réussie (500 000 manifestants le 18 septembre). Les revendications des 8 organisations syndicales demeurent les mêmes : abandon du plan d'austérité de 44 milliards d'euros, suppression du report de l'âge à la retraite à 64 ans ou encore une meilleure justice fiscale. Parmi les principales figures de proue de ce mouvement, la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binnet, mais aussi celle de la CFDT, Marylise Léon, réputée comme à l'écoute et mosdérée.Quand 68 % des Français se montrent favorables à la taxe Zucman, réclamée par la gauche, un homme s'y oppose. Entrepreneur ultralibéral, co-fondateur de la licorne Ledger, Eric Larchevêque veut alerter sur ce qu'il considère comme une mesure absurde. Selon lui, la plupart des entrepreneurs dont le patrimoine est composé d'actions, "c'est‑à‑dire en grande partie virtuel", seront incapables de payer cette taxe. Plus globalement, il estime que taxer davantage les riches ne changerait rien, car "la dette est colossale" et qu'un tel impôt ne ferait que fuir les chefs d'entreprises français.Sébastien Lecornu peut-il réussir à négocier un pacte de non censure avec la gauche ? Les syndicats peuvent-ils mettre davantage la pression sur le Premier ministre grâce à la mobilisation de demain ? Et pourquoi les entrepreneurs s'opposent à la taxe Zucman ?LES EXPERTS :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Mathilde SIRAUD - Rédactrice en chef du service politique - Le Point- Fanny GUINOCHET - Éditorialiste économique - France Info- Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Flora Ghebali, militante écologiste, et Didier Giraud, éleveur de bovin, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Flora Ghebali, militante écologiste, et Didier Giraud, éleveur de bovin, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:03:23 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La Chine a stoppé ses achats de soja aux États-Unis en raison de la guerre commerciale de Donald Trump, privant les fermiers américains de plusieurs milliards de dollars. La « géopolitique du soja » s'invite dans la mondialisation, un enjeu invisible mais aux conséquences considérables. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Les agents intelligents, commencent à transformer les processus métiers dans les entreprises. Nicolas Gaudilliere, directeur Technologie et Innovation chez Capgemini Invent, explique comment les architectures multi-agents ouvrent la voie à une nouvelle ère de collaboration homme-machine. En partenariat avec CapgeminiAutomatisation, adaptabilité, interaction avec des systèmes externes : leur potentiel est immense, mais les défis sont tout aussi importants. De la banque aux télécoms, en passant par le support client, il détaille les cas d'usage les plus prometteurs, les gains déjà observés et les conditions pour réussir un passage à l'échelle.Nous évoquons également les enjeux cruciaux de sécurité et de gouvernance, sans lesquels cette révolution ne pourra s'ancrer durablement dans les organisations.Au programme :Qu'est-ce qu'un agent intelligent et en quoi diffère-t-il d'un simple chatbot ?Automatisation des processus métiers : exemples concrets dans la banque (KYC), les télécoms et le support client.Les architectures multi-agents : spécialisation, orchestration et collaboration avec l'humain.Les promesses de productivité (jusqu'à 30% de gain) et leurs limites actuelles.Les défis à relever : sécurité, intégration native, passage à l'échelle.L'adoption progressive par toutes les entreprises, des grands groupes aux PME.
Nous sommes aujourd'hui avec Sandrine et Florian Favario, de l'Auberge de Montmin. Tous les gastronomes (ou presque) connaissent leur "maison de cuisine" doublement étoilée et nichée sur les hauteurs du somptueux lac d'Annecy. Ils y proposent une expérience gastronomique de haut vol où le sens du service de Sandrine sublime la cuisine instinctive et maîtrisée de Florian. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Pierre Marcolin, le co-fondateur du restaurant Bloomer à Annecy.Dans ce 2ème chapitre, Sandrine et Florian nous racontent la suite de leur parcours. C'est chez Thierry Marx que leurs chemins se croisent enfin. Un coup de foudre professionnel et personnel. Florian enchaîne les grandes maisons à travers le monde, Sandrine affine son sens du service sur le terrain, toujours au plus près du client. De cette rencontre naît un lien nourri d'admiration partagée. Très vite, l'idée d'un projet à deux s'impose. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Révolution d'Octobre de 1917, est un événement déterminant du 20e siècle. Quelle en est l'histoire ? Aujourd'hui, on s'attaque aux évènements entourant février 1917. Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Script: Vladimir Bliznetsov https://www.facebook.com/vip.petrarka et @Kekpeck @polukotnedokot - Instagram Révision: Carl Pépin https://carlpepin.com/ 00:00:00 - Introduction 00:00:36 - Contexte historique 00:01:07 - Les deux révolutions de 1917 00:01:56 - Le rôle de Nicolas II 00:02:42 - L'impact de la Première Guerre mondiale 00:03:14 - L'Empire russe avant la révolution 00:04:05 - Nicolas II et l'impératrice Alexandra Fedorovna 00:06:54 - L'année 1915 : un tournant 00:07:15 - La Douma d'État et la politique 00:11:51 - L'influence de Grégory Rasputin 00:12:40 - La prise de décisions politiques 00:15:06 - Soupçons d'espionnage et rumeurs d'adultère 00:16:11 - L'instabilité du gouvernement et l'étrangeté de Protopopov 00:17:57 - L'influence croissante de Raspoutine et l'isolement du couple impérial 00:18:15 - Le complot pour assassiner Raspoutine 00:18:46 - La mort de Raspoutine et ses conséquences 00:20:00 - La crise alimentaire et l'agitation sociale 00:22:10 - L'indifférence de Nicolas II et l'émeute de Petrograd 00:26:42 - La formation du double pouvoir 00:28:12 - L'effondrement du gouvernement impérial 00:28:51 - L'insurrection de Petrograd et l'aveuglement de Nicolas II 00:30:13 - Le blocage de Nicolas II à Pskov 00:31:02 - La formation du gouvernement provisoire 00:32:19 - L'influence du soviet des ouvriers de Pétrograde 00:35:16 - L'abdication de Nicolas II 00:36:22 - L'abdication de Michael 00:38:16 - L'arrestation de Nicolas II et sa famille 00:38:45 - Les nouvelles réformes du gouvernement provisoire 00:39:30 - L'arrivée de Vladimir Lénine 00:39:43 - Conclusion Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. S ources et pour aller plus loin: Eric Hobsbawm, L'Âge des extrêmes, Complexe, 2003. Mikhail Zygar, The Empire Must Die: Russia's Revolutionary Collapse, 1900-1917, 2017. https://www.nlobooks.ru/books/chto_takoe_rossiya/27237/ Anna Geifman, Revolutionary Terrorism in Russia 1894-1917, Princeton University Press, 2020. René Girault et Marc Ferro, De la Russie à l'U.R.S.S : l'histoire de la Russie de 1850 à nos jours, Nathan, 1989. Marc Ferro, La Révolution de 1917, Albin Michel, 1997. Jean-Jacques Marie, La Guerre civile russe. 1917-1922. Tallandier, 2016. Nicolas Werth, 1917: la Russie en révolution, Paris, Gallimard, 1997. Alexandre Sumpf, 1917, la Russie et les Russes en révolutions, Perrin, 2017. Boterbloem, K. (2020) Russia as Empire: Past and Present. London: Reaktion Books. Malia, M. (1995). Soviet Tragedy: A History of Socialism in Russia 1917-1991. New York: Free Press. Suny, R. G. (Ed.). (2006). The Cambridge History of Russia: Volume 3, The Twentieth Century. Cambridge: Cambridge University Press. Sheila Fitzpatrick, The Russian Revolution, Oxford University Press, 1982. Daniels, R. V. (1972). The Russian Revolution. Englewood Cliffs: Prentice-Hall. Kowalski, R. I. (1997). The Russian Revolution, 1917–1921 London: Routledge. Malone, R. (2004). Analysing the Russian Revolution. Cambridge: Cambridge University Press. Rabinowich, A. (2017). The Bolsheviks Come to Power: The Revolution of 1917 in Petrograd. Chicago: Haymarket Books. Laura Engelstein, Russia in Flames: War, Revolution, Civil War, 1914–1921, Oxford University Press, 2017. Rex A. Wade, The Russian Revolution, 1917, Cambridge University Press, 2000. Steve Smith, Russia in Revolution: An Empire in Crisis, 1890 to 1928, Oxford University Press, 2016. Orlando Figes, A People's Tragedy: The Russian Revolution 1891–1924, London, Jonathan Cape, 1996. Catherine Merridale, Lenin on the Train, Metropolitan Books, 2016. https://en.wikipedia.org/wiki/Russian_Revolution https://en.wikipedia.org/wiki/Bibliography_of_the_Russian_Revolution_and_Civil_War https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9volution_russe Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #russie #russia #romanov #tsar #raspoutin
durée : 00:59:04 - Le Book Club - par : Marie Richeux - Yaryna Chornohuz a composé ses poèmes sur le front ukrainien, elle y raconte la peur, l'attente et la perte d'un être cher. Ketty Nivyabandi écrit depuis l'exil : cette militante burundaise des droits humains a quitté un pays essoufflé par la dictature. Le Book Club vous invite à les découvrir. - réalisation : Vivien Demeyère - invités : Yaryna Chornohuz poétesse; Ketty Nivyabandi poétesse
Quand une canicule s'installe sur la France, comme cela a été le cas cet été, les armées doivent elles aussi s'adapter. Si la hausse des températures globales impacte tout un chacun, c'est également le cas des forces militaires du pays, appelées à intervenir sous toutes les latitudes – territoires d'outre-mer, déploiements à l'étranger, etc. Pour relever ce défi majeur, elles disposent d'une “stratégie défense et climat”, adoptée en 2022, comme l'explique dans ce nouvel épisode de L'Etat-Major Bastien Alex. Conseiller climat du major général des armées depuis l'année dernière, il a travaillé auparavant au WWF France et menait des recherches à l'Institut de relations internationales et stratégiques, en tant que directeur de l'observatoire défense et climat.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Clément Daniez Invité : Dimitri MinicRéalisation : Jules Krot Production : Thibauld Mathieu et Charlotte Baris Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand on pense aux symboles de la République française, l'image de Marianne s'impose immédiatement : une figure féminine coiffée du bonnet phrygien, incarnation de la liberté et de la nation. Les États-Unis, eux aussi, ont eu leur équivalent au XIXᵉ siècle : Columbia, une allégorie féminine qui personnifia longtemps l'Amérique avant que l'Oncle Sam ne lui vole la vedette.Le nom « Columbia » dérive de Christophe Colomb, perçu à l'époque comme le découvreur du Nouveau Monde. Dès la fin du XVIIIᵉ siècle, on utilise ce nom pour désigner poétiquement les États-Unis. Dans les discours, la poésie ou les chansons patriotiques, Columbia représente la jeune république américaine, indépendante de la Grande-Bretagne. On la retrouve notamment dans des vers de Philip Freneau ou dans des journaux politiques de la période révolutionnaire.Visuellement, Columbia prend la forme d'une femme noble, souvent drapée à l'antique comme une déesse grecque ou romaine. Comme Marianne, elle incarne à la fois la liberté, la vertu et la force de la nation. On la représente parfois avec une lance, un bouclier frappé de l'aigle américain, ou tenant la bannière étoilée. Elle est à la fois guerrière et protectrice, symbole d'une nation jeune mais ambitieuse.Tout au long du XIXᵉ siècle, Columbia devient omniprésente dans la culture populaire. On la voit sur les affiches de recrutement, les gravures, les caricatures politiques et même dans les salles de classe. Elle incarne l'idéalisme américain, le progrès, mais aussi l'expansion territoriale. Pendant la guerre de Sécession, on l'utilise pour symboliser l'unité retrouvée du pays. Après 1870, elle apparaît régulièrement aux côtés de « Brother Jonathan » (autre personnage symbolisant l'Américain ordinaire) avant que l'Oncle Sam ne s'impose définitivement comme figure nationale.Le cinéma a d'ailleurs prolongé ce mythe : le logo de la société Columbia Pictures, créé dans les années 1920, reprend cette figure féminine, debout, drapée comme une déesse, tenant une torche lumineuse. Preuve que, même si Columbia a perdu sa centralité politique, elle a survécu comme image culturelle durable.Pourquoi a-t-elle été éclipsée ? Au tournant du XXᵉ siècle, l'Oncle Sam, caricature masculine plus directe et plus identifiable, incarne mieux la puissance militaire et industrielle des États-Unis. Columbia, figure allégorique et classique, apparaissait peut-être trop abstraite face à une Amérique en pleine modernisation.En résumé, Columbia fut la Marianne américaine : une femme symbolisant liberté et république, héritière des mythes antiques, utilisée pour unir et inspirer la nation. Même oubliée, elle continue de briller à travers l'iconographie du cinéma et les archives d'une Amérique en quête de symboles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand on pense aux symboles de la République française, l'image de Marianne s'impose immédiatement : une figure féminine coiffée du bonnet phrygien, incarnation de la liberté et de la nation. Les États-Unis, eux aussi, ont eu leur équivalent au XIXᵉ siècle : Columbia, une allégorie féminine qui personnifia longtemps l'Amérique avant que l'Oncle Sam ne lui vole la vedette.Le nom « Columbia » dérive de Christophe Colomb, perçu à l'époque comme le découvreur du Nouveau Monde. Dès la fin du XVIIIᵉ siècle, on utilise ce nom pour désigner poétiquement les États-Unis. Dans les discours, la poésie ou les chansons patriotiques, Columbia représente la jeune république américaine, indépendante de la Grande-Bretagne. On la retrouve notamment dans des vers de Philip Freneau ou dans des journaux politiques de la période révolutionnaire.Visuellement, Columbia prend la forme d'une femme noble, souvent drapée à l'antique comme une déesse grecque ou romaine. Comme Marianne, elle incarne à la fois la liberté, la vertu et la force de la nation. On la représente parfois avec une lance, un bouclier frappé de l'aigle américain, ou tenant la bannière étoilée. Elle est à la fois guerrière et protectrice, symbole d'une nation jeune mais ambitieuse.Tout au long du XIXᵉ siècle, Columbia devient omniprésente dans la culture populaire. On la voit sur les affiches de recrutement, les gravures, les caricatures politiques et même dans les salles de classe. Elle incarne l'idéalisme américain, le progrès, mais aussi l'expansion territoriale. Pendant la guerre de Sécession, on l'utilise pour symboliser l'unité retrouvée du pays. Après 1870, elle apparaît régulièrement aux côtés de « Brother Jonathan » (autre personnage symbolisant l'Américain ordinaire) avant que l'Oncle Sam ne s'impose définitivement comme figure nationale.Le cinéma a d'ailleurs prolongé ce mythe : le logo de la société Columbia Pictures, créé dans les années 1920, reprend cette figure féminine, debout, drapée comme une déesse, tenant une torche lumineuse. Preuve que, même si Columbia a perdu sa centralité politique, elle a survécu comme image culturelle durable.Pourquoi a-t-elle été éclipsée ? Au tournant du XXᵉ siècle, l'Oncle Sam, caricature masculine plus directe et plus identifiable, incarne mieux la puissance militaire et industrielle des États-Unis. Columbia, figure allégorique et classique, apparaissait peut-être trop abstraite face à une Amérique en pleine modernisation.En résumé, Columbia fut la Marianne américaine : une femme symbolisant liberté et république, héritière des mythes antiques, utilisée pour unir et inspirer la nation. Même oubliée, elle continue de briller à travers l'iconographie du cinéma et les archives d'une Amérique en quête de symboles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
This episode of our Resisting Empire series explores the life of Samory Touré, the 19th-century West African leader who built an empire across Guinea, Mali, Sierra Leone, Côte d'Ivoire, and Liberia. Known as the “Napoleon of Africa,” he modernised his armies, outmanoeuvred the French for over sixteen years, and used scorched-earth tactics to hold back European expansion. But Samory was more than a military strategist. He united diverse groups under Islam, pursued bold ambitions, and ruled with authoritarian discipline that left deep divides. Captured in 1898 and exiled to Gabon, his legacy remains complex — both celebrated as a symbol of resistance and remembered as a ruthless conqueror. PSA: You Are African First Before Anything REFERENCES Samory - African History (journal article) Samori Touré (1830-1900) Quand les empires se faisaient et se défaisaient en Afrique de l'Ouest : le cas Samory Touré (in French) West Africa the fight for survival Follow us on IG: itsacontinentpod and Twitter: itsacontinent. It's a Continent (published by Coronet) is available to purchase: itsacontinent.com/book We're on Buy me a Coffee too: https://www.buymeacoffee.com/itsacontinent Visit our website: itsacontinent.com Artwork by Margo Designs: https://margosdesigns.myportfolio.com Music provided by Free Vibes: https://goo.gl/NkGhTg Warm Nights by Lakey Inspired: https://soundcloud.com/lakeyinspired/... Follow us on IG: itsacontinentpod and Twitter: itsacontinent. It's a Continent (published by Coronet) is available to purchase: itsacontinent.com/book We're on Buy me a Coffee too: https://www.buymeacoffee.com/itsacontinent Visit our website: itsacontinent.com Artwork by Margo Designs: https://margosdesigns.myportfolio.com Music provided by Free Vibes: https://goo.gl/NkGhTg Warm Nights by Lakey Inspired: https://soundcloud.com/lakeyinspired/... Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:12:41 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Dans cette émission Sacha Guitry rendait hommage aux ouvriers du cinéma et à son public, 1ère diffusion le 28/12/1953 sur la Chaîne Parisienne. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Sacha Guitry Dramaturge, acteur, metteur en scène, réalisateur et scénariste français
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jean-Loup Bonnamy et Jeremstar débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.