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Jim Hightower's Radio Lowdown
Is Ag Secretary Brooke Rollins Brilliant… Or What?

Jim Hightower's Radio Lowdown

Play Episode Listen Later Aug 19, 2025 2:10


A gaggle of self-righteous multimillionaires are now in charge of America's poverty agencies and policies, and they've been flaunting their deeply-held ignorance about poor families – almost none of whom they actually know.Consider the national embarrassment of Brooke Rollins, a patrician ideologue, who is Trump's plutocratic Secretary of Agriculture. Besides promoting a corporatized food and farm system, Rollins is advocating a program of back-to-the-future peonage for poor people. “We have way too many people that are taking government program that are able to work,” she snorts.Bad grammar aside, she falsely asserts that “34 million able-bodied adults” are freeloading on public health care. They're taking Medicaid benefits that they ought to have to “earn” by hard labor, she recently decreed. Her Dickensian solution: Put the moochers to work in the fields!Noting that Trump's militarized assault on immigrants has terrorized agricultural workers, thus creating a farm labor crisis, Rollins wants to hitch America's poor families to the plow. Voilà – labor shortage solved, and the poor are forced to earn their medical care. What a brilliant leader!Except for her rank ignorance. First, 64 percent of Medicaid recipients are already working and nearly all of the rest are retirees, unable to work, or struggling to find jobs. Second, she's obviously unaware that agriculture is skilled work – you can't just bus city and suburban people out to the country and say “grow stuff.”And third, it is beyond arrogant for a rich government autocrat – who takes $220,000 a year from taxpayers, plus platinum healthcare benefits and a fat pension – to be pontificating about forcing “undeserving” poor into hot fields to produce a nice leafy salad for her lunch.Jim Hightower's Lowdown is a reader-supported publication. To receive new posts and support my work, consider becoming a free or paid subscriber. This is a public episode. If you'd like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit jimhightower.substack.com/subscribe

Invité Afrique
Centrafrique: «Les conditions ne sont pas réunies pour des élections»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Aug 18, 2025 4:38


En Centrafrique, le premier tour de la présidentielle, celui des législatives, ainsi que les élections municipales et régionales, auront bien lieu le 28 décembre 2025. Mais, pour l'opposant Anicet-Georges Dologuélé, ancien Premier ministre et président du parti Urca, les conditions ne sont pas réunies - aujourd'hui - pour que ce quadruple scrutin se tienne dans de bonnes conditions. Il revient sur ces questions au micro de Liza Fabbian. RFI : Le gouvernement centrafricain promet des élections à bonne date, c'est-à-dire le 28 décembre, selon le calendrier qui a récemment été adopté. Ces dernières seront « organisées de manière convenable ». Êtes-vous aussi confiant que les autorités de votre pays ? Anicet-Georges Dologuélé : Nous sommes en train de parler d'une autorité nationale des élections (ANE) qui a des problèmes qui sont dénoncés par tout le monde. On est à quatre mois et demi de ces élections-là. L'ANE n'a pas un kopeck pour les organiser. Elle est incapable d'organiser le fichier électoral. La révision de la liste traîne depuis près d'un an. Et c'est cette ANE-là qui ne pouvait pas organiser les deux élections présidentielles et législatives qui sont organisées depuis 1993. On va y rajouter à la fois les municipales et les régionales. Cela fait quatre élections en même temps. Pour une institution qui a des problèmes d'organisation, c'est beaucoup trop. Lors de son discours pour la fête de l'indépendance, le 12 août, le président Touadéra a dit continuer à tendre une main fraternelle et patriotique à l'opposition démocratique. Ce sont ses mots. Allez-vous la saisir, cette main tendue ? En fait, il a inversé les choses. C'est nous qui demandons le dialogue depuis deux ans. Nous avons demandé par écrit. Nous avons demandé en utilisant l'entregent de la Minusca et il ne nous répond pas directement. Mais il annonce dans les discours qu'il est prêt au dialogue. Et dans le même discours, il nous présente toujours comme des ennemis de la paix et de la démocratie. Nous nous sommes rendu compte de ce déficit de confiance qui est énorme. C'est pour cela que nous avons proposé, par écrit, qu'il puisse accepter qu'on sollicite un chef d'État de l'Afrique centrale qui puisse nous accueillir. Comme ça, ça met tout le monde à l'aise pour que l'on puisse dialoguer sans arrière-pensée. À lire aussiCentrafrique: le calendrier électoral validé pour un quadruple scrutin fin décembre Mais demander à un médiateur extérieur et donc un dialogue direct avec le président, est-ce que ce n'est pas un peu irréaliste ? Cela fait deux ans que nous demandons le dialogue. Je pense que pour prendre la décision de dialoguer avec son opposition, cela lui prend cinq secondes. Et nous, nous n'avons pas les capacités de convoquer un dialogue. Mais selon vous, sans ce dialogue, est-il impossible pour les opposants de prendre part aux élections ? L'ANE ne fonctionne pas. C'est l'ANE qui organise les élections. Comment pouvons-nous aller à des élections en sachant que cela va mal se passer ? Ce n'est pas nous qui le disons. Ce sont des experts internationaux. Aujourd'hui dans la Constitution, ils nomment, lui et son président de l'Assemblée nationale, six membres sur onze du Conseil constitutionnel. C'est trop. Nous voulons la réforme de ces deux institutions. Et dans la Constitution, il y a un certain nombre d'articles qui vont entraîner de graves problèmes. Nous voulons discuter de ces articles-là. Dans l'option d'un boycott des élections, est-ce qu'il n'y a pas un risque d'acter le troisième mandat que vous dénoncez ? Est-ce que le président Touadéra a les moyens de financer les élections en Centrafrique ? Depuis 1993, notre pays n'a jamais pu financer lui-même ses élections. Je suis député, membre de la commission finances. Il y a zéro centime dans le budget pour financer les élections à venir. Nous avons besoin du financement de l'Union européenne et de la France. Nous avons aussi besoin de l'apport de la Minusca. Les élections sont une compétition. Dès lors qu'il n'y a pas de compétiteurs, pourquoi sortir l'argent du contribuable des pays de l'Union européenne pour aller faire de Touadéra un empereur ? Je pense qu'il n'aura pas les financements nécessaires pour faire ce qu'il croit vouloir faire. Alors est-ce que vous demandez aux bailleurs de suspendre leur financement s'il n'y a pas de dialogue avec l'opposition ? Je pense que sans même que nous le demandions, ils ont des représentants à Bangui. Ils se rendent compte qu'il y a des problèmes graves. La Minusca apporte beaucoup, mais quand il y a eu le référendum, elle ne s'est pas sentie concernée parce qu'elle voyait que c'était une violation de la démocratie. Donc, elle n'a pas participé au référendum. Nous pensons que pour les élections, même si c'est dans son mandat, les conditions ne sont pas réunies. Et pour l'intérêt du peuple centrafricain, elle ne participera pas aux opérations. Selon les termes de la Constitution de 2023, les binationaux ne peuvent pas se présenter à la présidentielle. Est-ce que vous envisagez d'abandonner votre nationalité française ? C'est-à-dire que l'on se concentre trop sur cette question de binationalité. Mais la Constitution a des éléments beaucoup plus graves que ça. Par exemple, la Constitution dit que ceux qui ne sont pas centrafricains d'origine, donc de père et de mère centrafricains, ne peuvent pas se présenter. Un binational peut renoncer à une nationalité. Mais comment faire pour ceux dont le père ou la mère sont d'un autre pays ? Pourquoi amener ces problèmes artificiels là où cela se passait bien depuis 65 ans ? Je pense que le dialogue, c'est pour voir tous ces articles qui posent problèmes Voilà pourquoi nous réclamons ce dialogue. À lire aussiCentrafrique: le dialogue politique et la participation de l'opposition aux élections du 28 décembre en suspens

Les matins
Guerre en Ukraine : Donald Trump échoue à arracher un cessez-le-feu à Vladimir Poutine

Les matins

Play Episode Listen Later Aug 16, 2025 7:12


durée : 00:07:12 - Journal de 8 h - L'image d'une poignée de main entre Vladimir Poutine et Donald Trump. Voilà ce que l'on retient pour l'instant du sommet tant attendu sur l'Ukraine en Alaska. Car sur le fond, il n'y a eu aucune avancée concrète.

Le journal de 8H00
Guerre en Ukraine : Donald Trump échoue à arracher un cessez-le-feu à Vladimir Poutine

Le journal de 8H00

Play Episode Listen Later Aug 16, 2025 7:12


durée : 00:07:12 - Journal de 8 h - L'image d'une poignée de main entre Vladimir Poutine et Donald Trump. Voilà ce que l'on retient pour l'instant du sommet tant attendu sur l'Ukraine en Alaska. Car sur le fond, il n'y a eu aucune avancée concrète.

InPower - Motivation, Ambition, Inspiration
Jean-Marc Jancovici, Ingénieur : Parcours d'un guerrier du climat [REDIFFUSION]

InPower - Motivation, Ambition, Inspiration

Play Episode Listen Later Aug 12, 2025 121:07


[REDIFFUSION 2023]“Le nouveau messie de l'écologie”.Voilà comment certains présentent Jean-Marc Jancovici, Polytechnicien et ingénieur de formation, expert du sujet climatique depuis plus de vingt ans.Qui eut cru que c'est d'un homme de soixante ans, suivi par près d'1 million de personnes sur LinkedIn, qui cumule plus de 20 millions de vues sur YouTube, que viendrait cet engouement pour l'écologie ?Son discours franc, sans langue de bois, sa critique du système politique et des élites ont grandement contribué à en faire un personnage apprécié et très médiatisé.Mais qui se cache réellement derrière Jean-Marc Jancovici ?Dans cet épisode, on aborde bien évidemment les sujets qui lui tiennent à coeur, mais on va aussi au-delà, afin d'en savoir plus sur l'homme qui se cache derrière la cause.J'espère que cet épisode vous plaira, et je remercie Jean-Marc pour sa transparence et sa sincérité.Bonne écoute !Pour découvrir les coulisses du podcast :https://www.instagram.com/inpowerpodcast/Pour retrouver Jean-Marc sur les réseaux :https://www.linkedin.com/in/jean-marc-jancovici/https://www.youtube.com/channel/UCNovJemYKcdKt7PDdptJZfQSi cet épisode t'as plu, celui-ci te plaira surement :https://podcasts.apple.com/fr/podcast/camille-etienne-activiste-pour-la-justice-sociale-et/id1373863417?i=1000577053464 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Comme un poisson dans l'eau
[Échange d'été] Le Club VG #38 - Je deviens co-responsable de mon groupe local AVF

Comme un poisson dans l'eau

Play Episode Listen Later Aug 11, 2025 37:35


Coucou, ce mois-ci je vous propose de découvrir d'autres podcasts engagés qui abordent également la question du spécisme.Et aujourd'hui, je vous parle du Club VG, le podcast qui démocratise l'alimentation végétale et le mode de vie vegan… sans pression, mais avec passion !  Il est animé par Maxime qui fait du super taf pour donner envie et rendre plus facile / accessible la transition notamment alimentaire qu'implique le véganisme. Il interviewe notamment des créateur·ices de contenu, des fondateur·ices de marques, de restaurants ou d'entreprises, des athlètes ou encore des activistes. Moi j'ai notamment beaucoup aimé l'épisode avec Franck qui tient le compte Vegan Tourist Paris et qui est hyper gentil. Il n'y a pas plus compétent que lui pour faire découvrir toutes les meilleures adresses véganes à Paname. J'ai aussi adoré l'épisode avec Lucie Nayak « dédier sa vie aux animaux rescapés des élevages ». C'est une personne formidable qui avait raconté la vie de Charlotte, une truie, dans Comme un poisson dans l'eau, et là elle parle plus généralement de son parcours vers l'antispécisme et le véganisme et du quotidien des sanctuaires antispécistes. Mais Maxime enregistre aussi parfois des épisodes ‘solo', c'est-à-dire sans invités, et c'est aussi très chouette. Notamment l'épisode que je vous diffuse aujourd'hui m'a paru important : il y raconte son engagement dans une association locale. Et je trouve que c'est des témoignages qu'on n'a pas souvent mai qui peuvent encourager à passer le pas et se mettre à militer, donc j'avais envie de vous le faire découvrir. Voilà abonnez-vous au Club VG, suivez son travail, et bonne écoute !_______________Je deviens co-responsable de mon groupe local de l'AVF : je te raconte tout !À l'occasion du Podcasthon 2025, j'ai choisi de mettre en lumière une association qui me tient à cœur : l'AVF (Association Végétarienne de France), qui accompagne avec bienveillance et sans jugement celles et ceux qui souhaitent découvrir une alimentation plus végétale — grâce à l'information, au partage et à des actions locales conviviales.-Le Podcasthon est le premier événement caritatif mondial qui rassemble plus de 1500 podcasteurs et podcasteuses. À travers un épisode dédié, le but est de tendre notre micro à une association afin de la soutenir et de renforcer la solidarité. Pour en savoir plus sur l'initiative : podcasthon.org-L'AVF compte 22 groupes locaux à travers la France qui contribuent à faire rayonner l'association en région et à animer une dynamique locale. En décembre 2024, je suis devenu co-responsable du groupe local AVF79 (Deux-Sèvres).Dans cet épisode solo, je te partage :- Ce qu'est vraiment l'AVF et le rôle essentiel des groupes locaux- Mon chemin (pas du tout prévu !) vers ce rôle de co-responsable- Les actions qu'on a mises en place pour relancer la dynamique de notre groupe- Les coulisses de l'organisation locale et du bénévolat- Les activités qu'on a déjà réussi à organiser- Mon retour d'expérience authentique et sincère — avec les réussites et les défisTu vas plonger dans les coulisses du monde associatif et du bénévolat… et qui sait, peut-être que ça te donnera envie de t'engager à ton tour ?

Invité Afrique
Guinée: l'opposant Cellou Dalein Diallo veut s'organiser pour «s'opposer à cet autre coup d'État» de la junte

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Aug 11, 2025 13:59


En Guinée, l'opposition se cherche une stratégie en vue du référendum constitutionnel du 21 septembre. Si le oui passe à cette consultation, le général Doumbouya, qui a pris le pouvoir par la force il y a quatre ans, pourra être candidat à la présidentielle qui suivra. Quel va être le mot d'ordre de l'opposition ? Cellou Dalein Diallo préside l'UFDG, l'Union des forces démocratiques de Guinée, le principal parti d'opposition. En ligne d'Abidjan, où il vit actuellement en exil, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Le 21 septembre, plus de 6 millions de Guinéens sont appelés à se prononcer par référendum pour ou contre la nouvelle Constitution. Est-ce que vous allez appeler à voter oui ou non ? Cellou Dalein Diallo : L'UFDG ne se sent pas concerné par cette opération parce que, d'abord, la junte n'a jamais accepté qu'il y ait un dialogue pour définir les termes dans lesquels le retour à l'ordre constitutionnel soit réorganisé. Et elle a toujours fait ce qu'elle a voulu. Et donc, l'UFDG et les coalitions dont on est membre ne se sentent pas concernés. Est-ce à dire que vous allez appeler à l'abstention ? Nous sommes en train de nous concerter puisque, au-delà de nos coalitions, il y a beaucoup d'autres partis politiques et d'organisations de la société civile qui n'acceptent pas cette Constitution imposée, dans la mesure où elle comporte une violation des engagements pris et du serment que le général avait prêté : de ne pas candidater, ni lui-même, ni les membres du Comité national du rassemblement pour le développement (CNRD), ni les membres du gouvernement. Donc, nous sommes en train de voir comment nous pourrions nous organiser pour effectivement s'opposer à cet autre coup d'État contre le peuple de Guinée, contre les droits et libertés des Guinéens de choisir librement leurs dirigeants. Parce que vous suivez sans doute toutes ces mobilisations, toutes ces « mamaya » comme on le dit chez nous, pour promouvoir, justifier la candidature de Mamadi Doumbouya qu'on veut présenter comme un homme providentiel qui doit continuer justement ce chantier, alors que sa gouvernance a été catastrophique pour le peuple de Guinée, marquée par une violation massive et récurrente des droits humains et des libertés fondamentales, marquée par les disparitions forcées. Vous connaissez Foniké Mengué, Billo Bah, Marouane Camara, Sadou Nimaga. Il y a au moins quatre acteurs majeurs de la société civile et des journalistes qui sont portés disparus et dont on n'a pas de nouvelles jusqu'à maintenant. Je ne parle pas de la corruption et de détournement des deniers publics. Avec la manne minière – comme vous le savez, la bauxite aujourd'hui s'exporte – ils vont faire peut-être 200 millions de tonnes cette année, contre une vingtaine de millions en 2015. Et donc, il y a de l'argent. Mais justement, vous pourriez appeler à voter non ? Non, mais les conditions d'un scrutin juste et transparent ne sont pas réunies. Je vous rappelle que c'est le ministère de l'Administration du territoire dirigé par un général, appuyé de ces préfets qui sont tous militaires et de ces sous-préfets qui sont à 60% issus des forces de défense et de sécurité, qui vont organiser ce référendum. Et donc, dans un environnement où il y a une terreur qui s'abat sur le peuple de Guinée, où il y a la peur, la corruption et donc l'expression de la volonté populaire ne sera jamais prise en compte. Donc, nous, nous ne sommes pas pour cette mascarade, tout juste pour doter le pays d'une Constitution qui permettra à Doumbouya de confisquer le pouvoir. Voilà plus de trois ans, Cellou Dalein Diallo, que vous vivez en exil en Afrique de l'Ouest, notamment parce que vous êtes poursuivi par la justice guinéenne. Et il y a six semaines, vous avez tenté de vous faire recenser à Abidjan afin de pouvoir voter au référendum du 21 septembre prochain, mais cela n'a pas marché. Qu'est-ce qui s'est passé alors ? On m'a dit « non », que des instructions ont été données par les autorités de Conakry de ne pas me recenser. Je suis allé à un bureau, on m'a renvoyé. On a même fermé le bureau dès mon arrivée pour plier tout et partir. Et donc, je n'ai pas pu me recenser. Pour justifier votre non-recensement, le Premier ministre actuel, Monsieur Bah Oury, a affirmé sur RFI, il y a quelques jours qu'il y avait vous concernant un problème en termes de résidence et qu'il fallait que vous attestiez d'une résidence d'une certaine durée ce que vous n'aviez pu faire et qu'il n'y a aucune volonté d'exclure qui que ce soit de ce processus. Le rôle de Bah Oury est de justifier ce que la junte a pris comme décision. Alors moi, je disposais de tous les documents requis. Donc, ce que le Premier ministre dit, c'est de la contre-vérité. Il y a un peu plus d'un an, c'était en juin 2024 sur RFI, vous nous avez dit : je vais rentrer bientôt à Conakry. Or, vous n'êtes toujours pas rentré. Pourquoi ? Les conditions de mon retour ne sont pas encore réunies. Il y a trop de haine et de harcèlement. Vous voyez tout ce qu'ils font tous les jours pour empêcher la tenue du Congrès, pour refuser que je m'enrôle dans le fichier électoral, pour déclencher des poursuites fantaisistes contre moi. Donc, j'attends qu'il y ait moins de passion et de haine. Mais dans tous les cas, ma place est là-bas auprès du peuple pour mener le combat contre les dérives qui s'annoncent.

Pascal Praud et vous
L'Association des Maires de France et la Fédération France Victimes s'associent face aux agressions d'élus, le détail du plan d'action et des mesures mises en place dévoilé en avant-première sur Europe 1

Pascal Praud et vous

Play Episode Listen Later Aug 11, 2025 33:21


Invité : Jérôme Moreau, vice-président et porte-parole de la Fédération France Victimes  Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La petite voix
[EXTRAIT] Le corps qui dit stop et la rupture qui sauve - Pauline

La petite voix

Play Episode Listen Later Aug 10, 2025 3:14


Voilà un extrait du prochain épisode… Rendez-vous mardi pour le découvrir dans son intégralité !Si vous aimez La petite voix, je compte sur vous pour laisser des commentaires, des étoiles ✨ et des bonnes notes sur votre plateforme de podcast préférée. Merci

Reportage culture
RDC: le centre Ndaku ya-La vie est belle décentralise l'art pour tous et dénonce la pollution au plastique

Reportage culture

Play Episode Listen Later Aug 10, 2025 3:36


En République démocratique du Congo, direction, La vie est belle à Kinshasa. Une résidence artistique en plein cœur de la capitale congolaise où peintres, sculpteurs et musiciens se rencontrent. Le lieu a été impulsé par Eddy Ekete, artiste plasticien connu pour ses performances dans des costumes géants dans les rues de Kinshasa. Reportage Aurélie Bazzara-Kibangula. De notre correspondante à Kinshasa, Avec des airs de rumba du groupe Bakolo, le temps s'arrête au centre Ndaku ya-La vie est belle à Matonge. Le groupe d'anciens musiciens y répète toutes les semaines. Le centre culturel est ouvert et accueille tous les artistes. Une résidence conviviale gérée par le sculpteur Eddy Ekete. « C'est une maison coloniale de la première femme qui a obtenu le permis de conduire dans tout le Congo et elle, elle travaillait avec son mari qui est l'oncle de papa Wemba. C'est pour cela, le film La vie est belle, il y a un petit morceau qui s'est fait ici », raconte Eddy Ekete Ndaku ya-La vie est belle est un musée à ciel ouvert. Partout sur les murs sont accrochés des toiles, parfois inachevées, de l'artiste Dolet, des dessins d'étudiants, des graffitis. Il y a aussi des dizaines de costumes aux allures de bibendums géants faits de déchets. Ces créations ont fait la réputation d'Eddy Ekete. « C'est aussi une sculpture et on peut aussi la porter et ça devient une sculpture vivante. Et quand on marche, des fois ça fait peur aux gens parce qu'une statue, quand ça bouge, ça impressionne, ça fait du bruit, raconte-t-il. On se rend compte, c'est la surconsommation de l'Occident qui se contamine aussi ici. Mais on ne se rend pas compte que si on ne travaille pas les déchets, on ne peut pas savoir pourquoi il y a toutes ces maladies, pourquoi il y a tous ces insectes. Parce que la poubelle, c'est un endroit, on vient, on jette seulement et après, on tourne le dos vite. Et maintenant, ce que nous, on fait, c'est que les gens regardent la poubelle », explique Eddy Ekete. Un espace « focalisé sur la Gombe », où l'art rencontre son public « Donc là, il y a une multitude de costumes. Il y en a de toutes formes. Il y a des caoutchoucs. Là, il y a les gobelets d'usage unique, là où on vend des boissons fortes. Il y a des claviers d'ordinateur. Voilà, ce sont des trucs qui traînent dans les rues de Kinshasa », détaille l'un des gérants du lieu. Si le centre veut booster la créativité des artistes, c'est aussi un espace où l'art rencontre son public. « Ici tout est focalisé dans la commune de la Gombe. Du coup, la culture n'est pas décentralisée. Nous, on s'est dit, pourquoi pas avoir une miniature du centre culturel dans la cité ? Les concerts de musique, les spectacles de ballet. Matonge c'est la capitale culturelle », explique Christian Miki Mundiri, membre du collectif. Le centre Ndaku ya-La vie est belle est ouvert aux enfants. Des ateliers y sont organisés avec les artistes. Pour Eddy Ekete, l'important, c'est de transmettre le gout de la création aux futures générations : « Moi, je leur fournis des feutres, des crayons de couleur, des feuilles, mais par terre. Et ça, c'est pour montrer et aux parents et aux autorités, les enfants, là, ils ont besoin de quelque chose parce qu'ils sont concentrés. On garde les enfants des heures et des heures, sans faire du bruit, sans qu'on leur dise quoi que ce soit. Mais je suis sûr puisqu'en fait, c'est quand même la génération qui va nous remplacer. » À Matonge, les différentes générations se côtoient entre musique et art plastique, signant un passage de témoin pour les créateurs de Ndaku Ya-La vie est belle pour continuer d'alerter sur les dangers des déchets en ville. À lire aussiStéphan Gladieu et Wilfried N'Sondé, les portraits de l'homo détritus

Reportage Culture
RDC: le centre Ndaku ya-La vie est belle décentralise l'art pour tous et dénonce la pollution au plastique

Reportage Culture

Play Episode Listen Later Aug 10, 2025 3:36


En République démocratique du Congo, direction, La vie est belle à Kinshasa. Une résidence artistique en plein cœur de la capitale congolaise où peintres, sculpteurs et musiciens se rencontrent. Le lieu a été impulsé par Eddy Ekete, artiste plasticien connu pour ses performances dans des costumes géants dans les rues de Kinshasa. Reportage Aurélie Bazzara-Kibangula. De notre correspondante à Kinshasa, Avec des airs de rumba du groupe Bakolo, le temps s'arrête au centre Ndaku ya-La vie est belle à Matonge. Le groupe d'anciens musiciens y répète toutes les semaines. Le centre culturel est ouvert et accueille tous les artistes. Une résidence conviviale gérée par le sculpteur Eddy Ekete. « C'est une maison coloniale de la première femme qui a obtenu le permis de conduire dans tout le Congo et elle, elle travaillait avec son mari qui est l'oncle de papa Wemba. C'est pour cela, le film La vie est belle, il y a un petit morceau qui s'est fait ici », raconte Eddy Ekete Ndaku ya-La vie est belle est un musée à ciel ouvert. Partout sur les murs sont accrochés des toiles, parfois inachevées, de l'artiste Dolet, des dessins d'étudiants, des graffitis. Il y a aussi des dizaines de costumes aux allures de bibendums géants faits de déchets. Ces créations ont fait la réputation d'Eddy Ekete. « C'est aussi une sculpture et on peut aussi la porter et ça devient une sculpture vivante. Et quand on marche, des fois ça fait peur aux gens parce qu'une statue, quand ça bouge, ça impressionne, ça fait du bruit, raconte-t-il. On se rend compte, c'est la surconsommation de l'Occident qui se contamine aussi ici. Mais on ne se rend pas compte que si on ne travaille pas les déchets, on ne peut pas savoir pourquoi il y a toutes ces maladies, pourquoi il y a tous ces insectes. Parce que la poubelle, c'est un endroit, on vient, on jette seulement et après, on tourne le dos vite. Et maintenant, ce que nous, on fait, c'est que les gens regardent la poubelle », explique Eddy Ekete. Un espace « focalisé sur la Gombe », où l'art rencontre son public « Donc là, il y a une multitude de costumes. Il y en a de toutes formes. Il y a des caoutchoucs. Là, il y a les gobelets d'usage unique, là où on vend des boissons fortes. Il y a des claviers d'ordinateur. Voilà, ce sont des trucs qui traînent dans les rues de Kinshasa », détaille l'un des gérants du lieu. Si le centre veut booster la créativité des artistes, c'est aussi un espace où l'art rencontre son public. « Ici tout est focalisé dans la commune de la Gombe. Du coup, la culture n'est pas décentralisée. Nous, on s'est dit, pourquoi pas avoir une miniature du centre culturel dans la cité ? Les concerts de musique, les spectacles de ballet. Matonge c'est la capitale culturelle », explique Christian Miki Mundiri, membre du collectif. Le centre Ndaku ya-La vie est belle est ouvert aux enfants. Des ateliers y sont organisés avec les artistes. Pour Eddy Ekete, l'important, c'est de transmettre le gout de la création aux futures générations : « Moi, je leur fournis des feutres, des crayons de couleur, des feuilles, mais par terre. Et ça, c'est pour montrer et aux parents et aux autorités, les enfants, là, ils ont besoin de quelque chose parce qu'ils sont concentrés. On garde les enfants des heures et des heures, sans faire du bruit, sans qu'on leur dise quoi que ce soit. Mais je suis sûr puisqu'en fait, c'est quand même la génération qui va nous remplacer. » À Matonge, les différentes générations se côtoient entre musique et art plastique, signant un passage de témoin pour les créateurs de Ndaku Ya-La vie est belle pour continuer d'alerter sur les dangers des déchets en ville. À lire aussiStéphan Gladieu et Wilfried N'Sondé, les portraits de l'homo détritus

Code source
[REDIFF] « J'ai une chance inouïe » : Nicky Doll, la reine de « Drag Race France » se raconte

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Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 18:25


[Première diffusion le 4 juin 2024] Voilà quatre saisons que Nicky Doll, 34 ans, est confortablement assise sur le trône de « Drag Race France ». Dans cette compétition de drag-queens, la reine du programme de France 2 a la lourde tâche de départager dix candidates qui rivalisent d'humour, de talent, et de tenues extravagantes pour décrocher la couronne.Karl Sanchez, alias Nicky Doll en civil, sait ce que cela fait de se retrouver dans une telle compétition. En 2019, ce natif de Marseille installé à New York a participé à l'incontournable version américaine du show. La première drag queen française de « RuPaul's Drag Race » en douze saisons. Ce qui a fait de lui la plus célèbre des reines de beauté tricolores.À l'occasion du lancement de la troisième saison de «Drag Race France» le 31 mai 2024, Nicky Doll a accepté de raconter son parcours dans Code source au micro d'Ambre Rosala.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : France Télévisions, Endemol, World of Wonder. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

We Love Belgian Brands
REPLAY 117: SOLO EPISODE - Astrid Lefèvre - Sales Expert - 5 étapes pour réussir commercialement (dans la mode mais pas que

We Love Belgian Brands

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 31:35


Un bonbon sur la langue
Rendez-vous avec la maîtresse : Les secrets du sonnet dévoilés

Un bonbon sur la langue

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 3:21


Dans cet épisode, Christophe Paco et Lisa Kamen explorent les règles du sonnet, un poème de 14 vers. Ils discutent des quatrains et tercets, des rimes embrassées et de l'alternance entre rimes féminines et masculines. Clément Marot, qui a introduit le sonnet en France, est mentionné, ainsi que des poètes comme Baudelaire et Rimbaud qui ont défié ces règles. Retrouvez l'épisode sur RTL.fr et en podcast.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Dolmen
Trop intelligent pour être heureux ?

Le Dolmen

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 70:08


Pourquoi certains êtres humains semblent-ils condamnés à s'éloigner doucement du monde, à se replier sur eux-mêmes et à se poser d'immenses questions métaphysiques ?Comment expliquer l'existence de ceux que Colin Wilson désigne, dans son livre du même nom, comme les Outsiders ? Et comment survivre à cette étrange condition ? Voilà quelques-unes des questions auxquelles nous tentons de répondre dans cet épisode.

Dramathis
Le bilan critique de juillet (S3E11)

Dramathis

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 96:32


Les Maîtres du mystère
Un messager de la mer, d'après Charles Dickens [REDIFF]

Les Maîtres du mystère

Play Episode Listen Later Aug 5, 2025 51:53


Voilà trois ans que les Raybrock n'ont aucunes nouvelles de Hugues, l'ainé de la famille. Parti en mer, le jeune marin est porté disparu, laissant derrière lui son épouse et une petite fille. Alors, que d'émotions lorsque Jonas, armateur américain, débarque dans leur petit village du Devonshire avec un message écrit de sa main ! Il déclare l'avoir trouvé au Cap Horn, glissé dans une bouteille, non loin d'ossements humains. Un message très énigmatique dans lequel il est question d'argent volé… *** Fiction radiophonique diffusée dans l'émission “Les Maîtres du mystère”, de Pierre Billard et Germaine Beaumont. "Un message de la mer" d'après une nouvelle de Charles Dickens. Avec : Jacques Morel, Pierre Vernier, Charlotte Clasis, Dominique Paturel, Arlette Thomas, Laurence Weber, André Var, Raymond Pélissier et Jean Fontaine. Réalisation : Pierre Billard. Adaptation : Germaine Beaumont. Première diffusion : le 20/02/1962 sur la chaîne France II Régionale de la RTF. Un podcast INA. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

LONG LIVE
[REDIFFUSION] MICHEL BILLÉ

LONG LIVE

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 45:33


Lucile Woodward reçoit dans cet épisode Michel Billé, sociologue, spécialisé dans les questions relatives à la vieillesse. Michel Billé refuse l'injonction du "bienvieillir"! Il souligne le réflexe trop partagé dans notre société de ne pas regarder la vieillesse en face. Vouloir vieillir et rester jeune, c'est presque selon lui ce qu'on nous demande aujourd'hui or prendre de l'âge et l'accepter c'est aborder une nouvelle vie ! Accepter de perdre un peu de ce qu'on a été, c'est commencer à se regarder en face pour re-découvrir le monde autrement. Sans édulcorer ce qui nous attend tous, la parole de Michel Billé aide très certainement à se dire qu'on peut se réjouir à tout âge. Vieillir c'est encore être bien vivant! Mieux c'est être capable encore de bien des choses notamment de porter une parole et de mener des combats pour les générations futures! Voilà l'énergie que porte Michel Billé dans cet épisode!Les livres de Michel Billé:Vieillir comme le bon vin Dictionnaire impertinent de la vieillesse La tyrannie du bienvieillir Interview: Lucile Woodward Programmation: Delphine Cantelli-Fidele Prog Réalisation: David Ordono Mixage: Nathan Cohen Production: NOLA Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

CHEFS
[REDIFFUSION] PAUL PAIRET - ÉPISODE COMPLET

CHEFS

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 114:32


Aujourd'hui, CHEFS reçoit un grand nom de la gastronomie devenu familier : Paul Pairet.Pour le grand public, il est cette silhouette reconnaissable entre mille, lunettes et casquette vissées sur la tête, tempérament vif et regard malicieux. Depuis quelques années, il régale les téléspectateurs dans Top Chef, et vous allez découvrir derrière cette image médiatique un chef à l'engagement total, un chercheur insatiable, un cuisinier qui va toujours plus loin dès qu'il entreprend.On connaît son restaurant Ultraviolet à Shanghai, triplement étoilé, ce lieu mystérieux où dix convives par service vivent une expérience sensorielle unique, où sons, images et saveurs se répondent dans un ballet millimétré. Mais ce que l'on connaît moins, c'est son histoire, son parcours, les influences et rencontres qui ont façonné sa vision de la cuisine.Cet épisode a une résonance particulière : alors que Paul Pairet vient de réapparaître dans la saison 16 de Top Chef, il ferme en parallèle un chapitre majeur de sa carrière: Ultraviolet ne rouvrira pas. Une annonce qu'il me fait en plein enregistrement, alors que la nouvelle n'a pas encore été communiquée (l'épisode a été enregistré en janvier 2025).Voilà donc un enregistrement dont la saveur est particulière et je vous invite à écouter cette dernière partie sur la vision que le chef a déployé à Ultraviolet, c'est une masterclass, à l'heure où le maître referme définitivement la porte.Bon heureusement, l'histoire n'est pas finie car s'il vient d'éteindre les trois étoiles qu'il faisait briller dans le ciel de Shangaï, on peut toujours le retrouver en cuisine dans ses restaurants, là-bas au bout du monde pour les plus voyageurs, et chez Nonos au sein de l'Hôtel de Crillon, à Paris, où je l'ai retrouvé ce ce jour là.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le jazz sur France Musique
Soul sucrée : Erroll Garner, Remy Le Boeuf, François Couturier, Buddy DeFranco et d'autres

Le jazz sur France Musique

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 59:18


durée : 00:59:18 - Soul sucrée - par : Nathalie Piolé -

Pascal Praud et vous
«Une cruauté abjecte, une inhumanité sans limite : voilà ce qu'incarne le Hamas», dénonce Emmanuel Macron après la publication d'images d'otages israéliens

Pascal Praud et vous

Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 35:06


Invité : Hen Felder, porte-parole de l'ambassade d'Israël en France Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Un bonbon sur la langue
Rendez-vous avec la maîtresse : Les mystères de la Lune dévoilés

Un bonbon sur la langue

Play Episode Listen Later Aug 3, 2025 3:36


Dans cet épisode, la rédaction de RTL explore les secrets de la Lune. De la découverte récente de molécules d'eau à ses phases lunaires, l'émission nous éclaire sur cet astre fascinant. Les auditeurs découvrent pourquoi la Lune a une face cachée et apprennent à reconnaître ses différentes phases, tout en enrichissant leur vocabulaire avec des termes comme "gibbeuse". Une plongée instructive dans l'univers lunaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Un bonbon sur la langue
Rendez-vous avec la maîtresse : La poésie à l'école et ses secrets dévoilés par RTL

Un bonbon sur la langue

Play Episode Listen Later Aug 3, 2025 3:49


Dans cet épisode, la rédaction de RTL explore la poésie enseignée à l'école, en mettant l'accent sur les structures poétiques comme les octosyllabes et les alexandrins. Les intervenants discutent de l'importance des rimes et de la musicalité des vers, tout en évoquant des auteurs classiques tels que Victor Hugo et Apollinaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La petite voix
[EXTRAIT] Tatouage thérapeutique et reconstruction de soi – Elisa

La petite voix

Play Episode Listen Later Aug 3, 2025 3:34


Voilà un extrait du prochain épisode… Rendez-vous mardi pour le découvrir dans son intégralité !Si vous aimez La petite voix, je compte sur vous pour laisser des commentaires, des étoiles ✨ et des bonnes notes sur votre plateforme de podcast préférée. Merci

Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
"Ne craignez donc pas ces gens-là ; rien n'est voilé qui ne sera dévoilé, rien n'est caché qui ne sera connu." Mt 10,24-27

Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin

Play Episode Listen Later Aug 2, 2025


Aujourd'hui, nous sommes le samedi 2 août et nous fêtons saint Pierre Favre, l'un des fondateurs de la Compagnie de Jésus avec saint Ignace de Loyola et saint François Xavier. À la suite de Pierre Favre et des premiers compagnons jésuites, je peux demander la grâce au Seigneur d'apprendre à être disciple du Christ et témoin... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Nada te Turbe de Thérèse d'Avila, Jacques Berthier interprété par Communauté de Taizé - Laudate omnes gentes © Communauté de Taizé ; Lullaby de Jeff Wahl interprété par Jeff Wahl - Meditative Guitar © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes.

One Thing In A French Day
Le concert de Jean-François Zygel (série Jean-François)

One Thing In A French Day

Play Episode Listen Later Aug 1, 2025 2:49


Voilà, il est temps d'entrer Salle Gaveau et de voir, en vrai, Jean-François ! Nous continuons notre découverte des Jean-François qui sont apparus sur le podcast depuis sa création. Ils sont 5 en tout.  www.onethinginafrenchday.com  

Nintendo Dads Podcast
#538: Voilà (Wala?)

Nintendo Dads Podcast

Play Episode Listen Later Aug 1, 2025 116:20


**Use the code NINDADS at checkout to receive 20% plus free shipping at Manscaped.com** On this week's episode of the Nintendo Dads Podcast: News ● Nintendo Direct: Partner Showcase 7.31.2025 ● Nintendo sold over 512,000 Switch 2 Pro Controllers in June ● Mario Paint is now available for NSO ● Mario Kart World receives a hefty update ● Game Releases/Updates Games we've been playing ● Nintendo Switch Online: Playtest Program ● Donkey Kong Bananza ● Donkey Kong (1981) ● Pokémon Friends ● Liar's Bar Poker ● Mario Kart World Community Spotlight Check out our website at http://nintendodads.org for our latest videos, episodes, tweets, and social media links. Apple Podcasts feed: https://podcasts.apple.com/us/podcast/nintendo-dads-podcast/id950582320?mt=2 YouTube Music feed: https://music.youtube.com/playlist?list=PLyID_QWdPfjM17EE3cg8Pin30jHkLqWKr Become a patron and help us improve the show! https://www.patreon.com/NintendoDads Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Invité Afrique
Présidentielle au Cameroun: la candidature de Maurice Kamto «fait peur» au régime, dit Claude Assira

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jul 31, 2025 13:54


Les Camerounais attendent l'avis du Conseil constitutionnel sur la participation ou non à la présidentielle du 12 octobre du principal opposant Maurice Kamto, après la décision en première instance de la commission électorale Elecam de l'en écarter. Quelle est la valeur juridique de cette exclusion de samedi dernier ? Quelles sont les chances de Maurice Kamto d'être repêché par les onze magistrats du Conseil ? Claude Assira est avocat au barreau de Yaoundé et défenseur des droits de l'Homme. Également enseignant à l'Université catholique d'Afrique centrale, il répond depuis Yaoundé aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Le principal événement de ce début de campagne, c'est l'éviction, du moins pour l'instant, du candidat Maurice Kamto, le principal opposant. Est-ce le signe qu'il fait peur au régime camerounais ? Maître Claude Assira : J'ai envie de vous répondre positivement. Oui, je pense qu'on peut dire sans risque de se tromper qu'il fait peur. Et ça, ce n'est pas seulement du fait de l'épilogue de samedi 26 juillet. La décision qui a été prise par le Conseil électoral Elecam, samedi 26 juillet, c'est surtout parce que c'est la chronique d'une fin qui était annoncée depuis le début. Tout le monde sait que, à la précédente élection présidentielle de 2018, il a été le principal challenger et qu'il est arrivé effectivement en position de numéro 2. Tout le monde sait également que depuis lors, depuis 2018 et de façon plus marquée encore en 2019, il a mené des actions et un combat, d'abord de revendications de la victoire. Et puis ensuite les actions sur le terrain juridique, sur le terrain politique. Et que tout au long de cet intervalle, on a vu la réaction du pouvoir, les objurgations des membres du gouvernement qui, à chacune de ses apparitions, traduisaient une certaine fébrilité, pour ne pas dire une crainte, une peur. On a vu parfois ce que je considère comme étant la machine de guerre de l'État se mettre en œuvre même pour des événements banals comme la convocation d'un événement politique interne à Yaoundé ou une de ses apparitions à Douala. Donc toutes ces choses sont autant de manifestations de la peur, de la crainte qu'on a pour ce seul nom. Il faut dire qu'aux côtés de cela, vous avez également, d'un point de vue de la crainte psychologique, beaucoup de ses partisans, qui sont particulièrement virulents et agités sur les réseaux sociaux, qui cristallisent autant de raisons d'avoir peur de la personne, de ce candidat. Bref, il y a toujours eu un tir de barrage, de sorte que les esprits des observateurs avisés étaient forcément prêts à ce qu'il puisse y avoir la touche finale qui serait apportée d'une façon ou d'une autre à sa candidature devant le tir de barrage systématique auquel il a eu à faire face. Ce qui fait qu'aujourd'hui, même si Elecam, qui tire son origine d'un décret de désignation du président de la République, j'allais dire du seul président de la République qui lui-même est à nouveau candidat… Donc il ne peut pas être complètement un organe considéré comme étant neutre. Quels que soient les efforts qu'il aurait faits, lorsqu'Elecam vient donc en bout de course consacrer tout ce que nous avons vu se dessiner, se profiler au fur et à mesure du temps, aucune concession ne lui a jamais été faite. La décision d'Elecam du 26 juillet apparaît évidemment comme étant la consécration de la volonté politique d'éliminer un adversaire dont on a peur aujourd'hui. Est-ce qu'Elecam, qui est donc l'organe en charge des élections, a motivé par écrit sa décision d'exclure la candidature de Maurice Kamto ? Elecam l'a motivée et a justifié cette motivation sur la demande des avocats de Maurice Kamto. Et le motif qui a été avancé alors, le seul motif qui a été invoqué à l'appui de la décision de rejet de sa candidature, c'est la multiplicité d'investiture par le parti qui a finalement accepté d'investir, Maurice Kamto, à savoir le Manidem. Alors l'argument d'Elecam, c'est donc de dire que le parti que Maurice Kamto représente, le Manidem, compte dans ses membres un autre candidat et qu'il ne peut pas y avoir une pluralité d'investitures au sein d'un même parti. Qu'est-ce que vous pensez de cet argument ? Comme je pense avoir essayé de vous l'indiquer, l'argument est tout simplement l'aboutissement d'un processus. Donc l'argument qui est soulevé par Elecam est très largement sujet à caution. Mais même en lui-même simplement, l'argument peut être très largement discutable lui aussi. Parce qu'il est effectivement fort probable qu'il y ait eu une deuxième investiture par un organe plus ou moins infiltré du Manidem. Et cette situation, il faut le dire encore, est aussi une certaine forme de flou organisé et entretenu par les pouvoirs de l'État. Je m'explique. Les partis politiques, les formations politiques sont considérés comme étant des associations. Or ces associations voient régulièrement l'interférence, j'allais dire l'ingérence du pouvoir politique au travers du ministère de l'Administration territoriale, qui croit devoir organiser le fonctionnement et la direction de ces associations. Ce n'est pas que le Manidem. On a vu le cas pour le PCRN. Ça a été le cas pour le CPP de Kah Walla et je pense pour d'autres formations encore. Or, nous savons tous qu'il y a un principe consacré par la Constitution qui est le principe de la liberté d'association, la liberté d'expression. Les partis politiques concourent, contribuent à l'expression de la démocratie. Et ils le font dans un cadre qui est organisé par la Constitution, qui est un cadre de liberté. Donc il n'y a que les associations qui, dans leur organisation, ont la possibilité de déterminer qui est leur mandataire, celui qui peut parler pour elles, ces associations. Pourtant, nous voyons toujours régulièrement, sans aucune explication ni justification juridique ou autre, l'interférence du pouvoir qui vient indiquer qui, selon lui, est la personne qu'il a choisie pour pouvoir être le représentant, c'est à dire son interlocuteur. Il n'est donc pas à exclure que, profitant de cette ambivalence, de cette ambiguïté organisée et entretenue, qu'il puisse y avoir effectivement quelqu'un d'autre qui, au sein de la même organisation du Manidem, ait pu éventuellement se prévaloir du titre qui lui a été donné dans les conditions que je viens de vous indiquer pour pouvoir brouiller les pistes. Et ainsi contrecarrer pour finaliser la mise en échec de la candidature de Kamto. Je pense que la procédure devant le Conseil constitutionnel nous permettra certainement d'être fixé. Il suffira de comparer, de voir quel était l'organe qui a présenté l'investiture de Maurice Kamto, celui qui a présenté l'investiture de l'autre, et j'incline à penser que c'est le président actuel, Monsieur Anicet Ekane, celui qui a donné l'investiture à Maurice Kamto, qui devrait pouvoir l'emporter si les choses sont faites avec justice et avec justesse. Alors, vous parlez du ministère de l'Administration territoriale de Paul Atanga Nji. Jusqu'au 22 juillet dernier, sur le site de ce ministère, le président du parti Manidem, c'était Anicet Ekane, mais depuis le 23 juillet, sur le même site, son nom est remplacé par celui de Dieudonné Yebga, le candidat surprise qui provoque aujourd'hui la disqualification de Maurice Kamto. Est-ce un signe de ce que vous appelez l'ingérence du ministère de l'Administration territoriale dans l'organisation des partis politiques ? L'ingérence est intervenue déjà bien auparavant et je crois qu'elle pourrait se manifester encore là, sauf que là, en l'occurrence, à la veille d'une transmission des dossiers à Elecam, cette ingérence, ou plutôt cette manipulation, apparaît comme étant une forfaiture désormais. Ce n'est plus une simple ingérence, mais là, c'est une forfaiture et une volonté manifeste d'induire en erreur. J'ai envie de vous indiquer que je ne sais même pas si cette activité, cette action de ces personnes, ces organes publics, devraient être considérés comme étant une action banale. Je pense qu'elles doivent interroger. L'actuel président de la République a mis au centre de son rôle politique historique qu'il voulait qu'on retienne que c'est lui qui a apporté la démocratie. Je ne suis pas sûr que ce qui est fait en son nom représente l'idée de la démocratie qu'il a envie de laisser. Donc si c'est pour lui, pour ce candidat-là, que toutes ces forfaitures sont faites, je crains qu'on salisse son nom pour l'histoire alors que c'est la seule chose au moins qu'il aurait pu laisser. Donc j'invite toutes les personnes qui jouent aux apprentis sorciers à faire attention et à rester aussi neutres que possible dans les fonctions publiques qui leur ont été confiées par le peuple. Alors Elecam écarte, du moins pour l'instant, Maurice Kamto, au prétexte que son parti Manidem avait deux candidats, mais Elecam accepte le candidat Paul Biya, alors que son parti RDPC avait lui aussi deux candidats le président sortant et l'élu local Theiller Onana. Est-ce qu'il n'y a pas deux poids, deux mesures ? Alors là, je ne pense pas. Parce que là, vous avez parlé de candidature. Mais s'agissant du motif de rejet de la candidature de Maurice Kamto, on a parlé plutôt d'investiture. Donc il ne faut pas confondre candidature et investiture. La déclaration de candidature est le fait d'un individu qui se présente au peuple. Or la déclaration d'investiture, c'est une formation politique qui adoube un candidat qu'elle a présenté, qui s'est réclamé de lui. Donc je ne pense pas que la même situation que celle que vous évoquez au Manidem soit comparable à ce qui se passe au RDPC, parce qu'il ne me semble pas que le parti RDPC ait donné une investiture à quelqu'un d'autre qu'à l'actuel président de la République. Suite à cette décision d'Elecam, Maurice Kamto a déposé ce lundi un recours devant le Conseil constitutionnel. Mais si le régime est décidé à écarter Maurice Kamto, est-ce que les magistrats du Conseil constitutionnel pourront prendre une décision contraire à la volonté du régime ? Là, vous me demandez encore une fois de prendre une boule de cristal pour pouvoir lire l'avenir. Et on peut juste se contenter de faire un certain nombre de conjectures. La première, ce serait d'imaginer que le Conseil constitutionnel est un organe indépendant, puisqu'on sait aujourd'hui que le pouvoir est relativement plus faible, plus vacillant, plus chancelant qu'il ne l'a été autrefois. Ça se voit non seulement au travers de l'âge relativement avancé du titulaire de la fonction aujourd'hui, mais cela se voit aussi au travers de la grande fébrilité dont ses partisans font montre de façon publique.  Il y a une grosse opposition à l'intérieur du camp. Donc je pense qu'aujourd'hui peut-être qu'une nouvelle philosophie pourrait éventuellement animer le fonctionnement du Conseil constitutionnel et ses décisions. On peut donc miser là-dessus et se dire qu'il s'agit peut-être d'un organe qui va être indépendant, même si, encore une fois, là aussi, son mode de désignation exclusivement confié au décret du président de la République peut aussi interroger sur son indépendance.  Mais faisons lui confiance et disons-nous que cela est possible au regard du contexte sociopolitique que je vous ai décrit. Mais d'un autre côté aussi, on peut parfaitement craindre, quand on voit l'irrédentisme dont ont fait preuve aujourd'hui les agents du pouvoir. Quand on sait que les institutions judiciaires ou juridictionnelles ont souvent eu par ailleurs à se voir dicter un certain nombre de leurs décisions ou de leurs attitudes, on peut parfaitement craindre que le Conseil constitutionnel, même si vraiment, par extraordinaire, il venait à en avoir envie, avoir envie de s'autonomiser, on peut craindre qu'il n'ait pas finalement les moyens de le faire, cela est aussi possible. Parfaitement. Maintenant, nous tous, nous observons l'histoire. Nous pouvons donc nous dire qu'au stade où nous sommes, peut être que le Conseil constitutionnel, aussi, investi d'une mission historique, peut avoir envie de se surpasser et de montrer, d'essayer de montrer aux uns et aux autres que les décisions qu'il va prendre doivent être empreintes de la confiance qu'on doit normalement à cette institution-là. Donc, il est possible que cette occasion leur soit donnée pour valider en ultime recours la candidature de Maurice Kamto. Je le souhaite en tout cas énormément. Issa Tchiroma Bakary, l'un des deux ministres démissionnaires, qui est à présent candidat à la présidentielle, réclame du Conseil constitutionnel qu'il fasse preuve d'impartialité et d'intégrité. Est-ce à dire que cet homme d'expérience a de sérieux doutes sur cette impartialité et cette intégrité des magistrats ? Il faut que vous rappeliez peut-être aussi que c'est le même Issa Tchiroma Bakary qui a défendu bec et ongles le même pouvoir auquel il a appartenu, donc je pense que, si aujourd'hui il vient nous dire le contraire, on ne peut pas faire autre chose que d'avoir foi en sa parole. Il est crédible sur ce qu'il indique. Les propos contradictoires sur RFI, il y a trois semaines, des ministres René Sadi et Fame Ndongo sur la candidature ou non de Paul Biya cette année, de quoi est-ce le signe à votre avis ? C'est un signe, j'allais dire un signe de plus sur un tout petit peu, j'allais dire la déliquescence de l'action de l'État, des pouvoirs de l'État. Sur beaucoup de sujets, auparavant, on a observé un camp, une division qui traduit les intérêts conflictuels qui, à chacune des décisions de justice ou non, démontrent parfaitement qu'il y a un clivage, une scission nette dans l'appareil gouvernant. Et que ce clivage est le fait de deux choses, un effet de cisaillement entre un président de la République qui est souvent absent, qui n'a plus vraiment les choses en main et qui a tout abandonné à chacun. Il n'y a, par exemple, jamais eu je pense, en sept ans un conseil des ministres rien que pour coordonner et contrôler l'action en interne du gouvernement. Donc chacun fait un peu sa petite tambouille dans son coin. Et la deuxième chose du cisaillement, c'est que tout le monde voit très bien que le pouvoir est vacant. Donc à l'intérieur, il y a des prétentions qui naissent. D'autres, il y en a qui essaient de combler ce vide là en faisant un peu plus, en dépassant leurs fonctions ou en essayant de rattraper ce qu'ils peuvent encore pour essayer de conserver leurs positions, leurs rentes de situation. Voilà, c'est tout ça qui crée forcément un cafouillage. Et comme il n'y a pas de coordination pour permettre de siffler la fin de la récréation, la peur qui est toujours très mauvaise conseillère finit par s'emparer des uns et des autres pour essayer de sauvegarder ce qui peut encore être sauvé des acquis. C'est tout ça qui explique un peu cette Bérézina de la communication.

Laurent Gerra
PÉPITE - François Mitterrand : sa liaison avec une étudiante dévoilée !

Laurent Gerra

Play Episode Listen Later Jul 25, 2025 5:07


REDIFF - Le Dernier Secret de Solenn de Royer révèle, à travers des lettres intimes, la romance clandestine entre François Mitterrand, 71 ans, et une étudiante de 19 ans. Un livre qui promet de faire du bruit ! Cet été, retrouvez tous les jours le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les matins
Jean Jouberton : chaque jeu vidéo est un musée

Les matins

Play Episode Listen Later Jul 25, 2025 4:47


durée : 00:04:47 - Jean Jouberton : chaque jeu vidéo est un musée - Jean Jouberton, 36 ans, a lancé un site consacré aux représentations d'œuvres d'art dans les jeux vidéo. Intitulé "Every Game A Museum", il catalogue les peintures et sculptures qu'il découvre au fur et à mesure de ses pérégrinations dans des univers vidéoludiques. Première diffusion le 18 octobre 2024 Jean Jouberton pianote sur son clavier avant de pointer l'ordinateur : "Voilà. J'ai référencé 326 œuvres de 193 artistes, conservées dans 132 musées. Elles ont été cataloguées dans 34 jeux". À l'écran, le nom s'affiche en grand : Every Game A Museum. Sur ce site, le chercheur indépendant a commencé à cataloguer toutes les représentations d'œuvres d'art, bien réelles, qu'il découvre au fur et à mesure de ses pérégrinations vidéoludiques. "Potentiellement, dans chaque jeu, on peut trouver des œuvres et donc chaque jeu est un musée virtuel", détaille-t-il. "Every Game Museum, c'est un projet de catalogage des œuvres d'art citées dans les jeux vidéo ; je veux dire par là peintures et sculptures essentiellement, mais aussi, mine de rien, dessins, gravures, et même des cartes..." Jean Jouberton prend donc des captures d'écran de chaque jeu qu'il parcourt : "Ça prend beaucoup de temps. Faire un jeu, c'est long, et parfois, je me force un peu quand ce sont des jeux qui ne sont pas le genre de jeux que j'affectionne... mais bon, c'est pour la science !", sourit-il. Un projet né à l'École du Louvre D'abord un compte Twitter, Every Game A Museum a fait sa mue, début septembre, pour devenir un site internet, grâce à l'aide d'un ami développeur de Jean Jouberton. Mais le projet est bien antérieur à ça. Il est né de sa passion de pour les jeux vidéo, présente depuis l'enfance, et de son intérêt pour l'histoire de l'art. "Mon histoire avec le jeu vidéo commence relativement jeune, de manière tout à fait classique : c'est mon père qui m'a initié aux jeux vidéo", se remémore-t-il. "J'ai découvert les jeux en le regardant jouer et moi, après, j'ai un peu pris mon indépendance... J'ai passé beaucoup de temps dans mon adolescence au cybercafé". En débutant son cursus d'histoire de l'art, sur les bancs de l'Ecole du Louvre, l'étudiant ignore encore qu'il va y trouver un lien avec les jeux vidéo : "La généalogie du projet, je dirais que ça remonte au moment où j'étais en cursus d'histoire de l'art durant mes études, et que je jouais à Tomb Raider Anniversary.  Et dedans, j'ai découvert des citations d'œuvres... J'ai notamment été frappé de trouver une stèle égyptienne, la stèle de Séthi Ier, qui est conservée au musée du Louvre et que je connaissais pour l'avoir étudiée en cours et pour l'avoir vue au musée. Ça a vraiment été l'élément déclencheur, de me dire "tiens, il peut y avoir des œuvres d'art dans des jeux"." Avant même de lancer Every Game A Museum, Jean Jouberton a d'ailleurs été vidéaste, et a créé la chaîne Youtube, "Homo Ludens", dont le nom est une référence à l'ouvrage Homo ludens : Essai sur la fonction sociale du jeu, de l'historien Johan Huizinga. Sa première vidéo, parue en 2018, est ainsi intitulée "Peinture et jeux vidéo". La symbolique des œuvres d'art Il faut dire que, des Danseuses Ukrainiennes d'Edgar Degas dans le jeu Splinter Cell à Les Forces du Mal de Gustav Klimt dans The Last Express, les représentations de peintures ne manquent pas dans ces univers virtuels. Pour Jean Jouberton, le déclic s'est cependant fait lors d'une partie du jeu vidéo The Walking Dead : "c'est là que je me suis vraiment dit que la peinture peut avoir une signification, une portée à l'intérieur d'un univers de jeu dans un récit vidéoludique". Ce jeu narratif en plusieurs épisodes place le joueur dans un monde apocalyptique en pleine invasion zombie : "un petit groupe de survivants dont notre héros fait partie est hébergé par une famille qui ont l'air très accueillants au premier abord... et qui en fait se révèlent être cannibales", décrit Jean Jouberton. "Dans la pièce adjacente on découvre un de nos compagnons, qui s'est fait couper les jambe

Le Reportage de la rédaction
Jean Jouberton : chaque jeu vidéo est un musée

Le Reportage de la rédaction

Play Episode Listen Later Jul 25, 2025 4:47


durée : 00:04:47 - Jean Jouberton : chaque jeu vidéo est un musée - Jean Jouberton, 36 ans, a lancé un site consacré aux représentations d'œuvres d'art dans les jeux vidéo. Intitulé "Every Game A Museum", il catalogue les peintures et sculptures qu'il découvre au fur et à mesure de ses pérégrinations dans des univers vidéoludiques. Première diffusion le 18 octobre 2024 Jean Jouberton pianote sur son clavier avant de pointer l'ordinateur : "Voilà. J'ai référencé 326 œuvres de 193 artistes, conservées dans 132 musées. Elles ont été cataloguées dans 34 jeux". À l'écran, le nom s'affiche en grand : Every Game A Museum. Sur ce site, le chercheur indépendant a commencé à cataloguer toutes les représentations d'œuvres d'art, bien réelles, qu'il découvre au fur et à mesure de ses pérégrinations vidéoludiques. "Potentiellement, dans chaque jeu, on peut trouver des œuvres et donc chaque jeu est un musée virtuel", détaille-t-il. "Every Game Museum, c'est un projet de catalogage des œuvres d'art citées dans les jeux vidéo ; je veux dire par là peintures et sculptures essentiellement, mais aussi, mine de rien, dessins, gravures, et même des cartes..." Jean Jouberton prend donc des captures d'écran de chaque jeu qu'il parcourt : "Ça prend beaucoup de temps. Faire un jeu, c'est long, et parfois, je me force un peu quand ce sont des jeux qui ne sont pas le genre de jeux que j'affectionne... mais bon, c'est pour la science !", sourit-il. Un projet né à l'École du Louvre D'abord un compte Twitter, Every Game A Museum a fait sa mue, début septembre, pour devenir un site internet, grâce à l'aide d'un ami développeur de Jean Jouberton. Mais le projet est bien antérieur à ça. Il est né de sa passion de pour les jeux vidéo, présente depuis l'enfance, et de son intérêt pour l'histoire de l'art. "Mon histoire avec le jeu vidéo commence relativement jeune, de manière tout à fait classique : c'est mon père qui m'a initié aux jeux vidéo", se remémore-t-il. "J'ai découvert les jeux en le regardant jouer et moi, après, j'ai un peu pris mon indépendance... J'ai passé beaucoup de temps dans mon adolescence au cybercafé". En débutant son cursus d'histoire de l'art, sur les bancs de l'Ecole du Louvre, l'étudiant ignore encore qu'il va y trouver un lien avec les jeux vidéo : "La généalogie du projet, je dirais que ça remonte au moment où j'étais en cursus d'histoire de l'art durant mes études, et que je jouais à Tomb Raider Anniversary.  Et dedans, j'ai découvert des citations d'œuvres... J'ai notamment été frappé de trouver une stèle égyptienne, la stèle de Séthi Ier, qui est conservée au musée du Louvre et que je connaissais pour l'avoir étudiée en cours et pour l'avoir vue au musée. Ça a vraiment été l'élément déclencheur, de me dire "tiens, il peut y avoir des œuvres d'art dans des jeux"." Avant même de lancer Every Game A Museum, Jean Jouberton a d'ailleurs été vidéaste, et a créé la chaîne Youtube, "Homo Ludens", dont le nom est une référence à l'ouvrage Homo ludens : Essai sur la fonction sociale du jeu, de l'historien Johan Huizinga. Sa première vidéo, parue en 2018, est ainsi intitulée "Peinture et jeux vidéo". La symbolique des œuvres d'art Il faut dire que, des Danseuses Ukrainiennes d'Edgar Degas dans le jeu Splinter Cell à Les Forces du Mal de Gustav Klimt dans The Last Express, les représentations de peintures ne manquent pas dans ces univers virtuels. Pour Jean Jouberton, le déclic s'est cependant fait lors d'une partie du jeu vidéo The Walking Dead : "c'est là que je me suis vraiment dit que la peinture peut avoir une signification, une portée à l'intérieur d'un univers de jeu dans un récit vidéoludique". Ce jeu narratif en plusieurs épisodes place le joueur dans un monde apocalyptique en pleine invasion zombie : "un petit groupe de survivants dont notre héros fait partie est hébergé par une famille qui ont l'air très accueillants au premier abord... et qui en fait se révèlent être cannibales", décrit Jean Jouberton. "Dans la pièce adjacente on découvre un de nos compagnons, qui s'est fait couper les jambe

Revue de presse Afrique
À la Une: des candidats à la présidentielle du Cameroun à ne plus savoir qu'en faire

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 23, 2025 4:25


Pas moins de 81 candidatures enregistrées pour la présidentielle d'octobre : une « inflation record », pour Jeune Afrique, une « pluie de candidatures », selon Cameroon Tribune, ou une « augmentation inédite », chez le Journal du Cameroun. Quel que soit le terme choisi, tous s'accordent à le dire : un nombre particulièrement élevé de personnalités se verraient bien sûr le fauteuil présidentiel. Et des vocations se sont révélées jusqu'à la dernière minute ou presque : Cameroon Tribune raconte ainsi comment la direction générale des élections a vibré toute la journée de lundi au rythme des dépôts, dans « une véritable ambiance de ruche », alors que « pas moins d'une vingtaine de personnalités, candidats et mandataires de candidats, ont pris d'assaut les lieux ».  Face à ce nombre qu'il juge carrément « exorbitant », Aujourd'hui au Faso s'interroge : « Faut-il en rire, ou se lamenter ? ». Et surtout, « tous sont-ils vraiment présidentiables ? ». À cette question, JA a une réponse toute trouvée, puisque pour le magazine, il y a « une certitude : très peu [de dossiers] seront validés ». Et le Journal du Cameroun rappelle ainsi qu'en 2018, sur « 28 candidatures déposées à l'étape initiale, (…) neuf ont été » approuvées. Or, cette année, le couperet pourrait être encore plus tranchant : « le législateur camerounais a multiplié les mesures visant à faire disparaître les candidatures fantaisistes », rappelle ainsi JA, grâce notamment à de strictes conditions financières. À lire aussiCameroun: le nombre record de candidatures à la présidentielle fait débat Des profils extrêmement variés  « Ancien chef de gouvernement, ex-ministres, hommes ou femmes d'affaires, pour certains de jeunes loups de la politique, d'autre des dinosaures bien installés », comme Paul Biya, Maurice Kamto ou Cabral Libii, énumère Jeune Afrique, c'est bien simple : « jamais, au Cameroun, pareille diversité n'avait été observée dans les dossiers de candidature déposés devant les instances électorales » pour la présidentielle. Une seule constante relie l'immense majorité de ces personnalités : ce sont quasiment tous des hommes, puisque, note le Journal du Cameroun, « les candidatures masculines dominent, avec 74 figures au compteur » pour seulement sept femmes, dont six tentent leur chance pour la première fois.  Comment analyser cette flambée ? Le titre camerounais estime qu'on pourrait y voir « l'impatience de certains citoyens à voir enfin une alternance au sommet de l'État », après plus de quatre décennies sous la houlette d'un Paul Biya allant sur son 93ème anniversaire. Mais cette explosion indique surtout « l'instabilité et les fissures de la démocratie camerounaise », juge le journal. D'autant qu'on observe de multiples candidatures au sein de plusieurs partis, qui « dévoilent leurs discordances ». Voilà, ironise Aujourd'hui au Faso, « une opposition en désordre de bataille ». Mais qui pourrait rentrer dans les rangs après le passage au « tamis » de l'Elecam : rendez-vous le 2 août pour connaître la liste provisoire des candidatures officiellement reconnues. À lire aussiPrésidentielle au Cameroun: près de 80 dossiers de candidatures ont été déposés Nouveau retrait d'une instance internationale pour les États-Unis Du Donald « Trump tout craché » soupire Le Pays : Washington se retire de l'Unesco, comme elle l'avait déjà fait en 2018, lors du précédent mandat du magnat. Pourquoi ? En raison d'un « prétendu parti pris contre Israël » et d'une « orientation idéologique jugée incompatible avec [la] politique étrangère » américaine, dénonce Actu Cameroun. « Tout le monde est donc prévenu », s'agace Le Pays : l'administration Trump « ne cautionne pas toute mesure ou décision qui va à l'encontre de [son] chouchou Israël, (…) et tous ceux qui l'ont osé en ont pris pour leur grade ».  C'est aussi une attaque de plus contre les instances internationales, après le démantèlement en début d'année de l'USAID et ses conséquences dramatiques. Le Monde Afrique se penche mercredi matin sur le cas de Madagascar où, dans l'ouest, écrit le quotidien, « un millier de paysans » ont été « abandonnés, après le retrait de l'aide américaine ». Une décision politique, administrative, mais bien concrète pour la population, comme ce paysan qui, raconte le journal, « ignore qui est Donald Trump, mais sait qu'au mois de février, tout, pour lui, s'est arrêté : la promesse d'une maison en dur, des semences pour cinq ans, des engrais, du matériel agricole » mais aussi « le centre de santé et l'école pour ses enfants ». Des promesses qui l'ont attiré, lui et des centaines d'autres paysans, dans cette province malgache. Le deal était simple : quitter l'aire protégée où il était installé, grâce à une opération de relocalisation financée par USAID, pour mettre fin à la déforestation. Les déménagements ont eu lieu, la sensibilisation aussi, puis plus rien, conclut, amer, ce paysan : « ils nous ont annoncé la coupure des financements. Et ils ont disparu ». À lire aussiLes États-Unis annoncent leur retrait de l'Unesco, une décision «regrettable» pour l'organisation

Les Grosses Têtes
MEILLEUR DE LA SAISON - Sébastien Thoen en litige avec Brad Pitt

Les Grosses Têtes

Play Episode Listen Later Jul 22, 2025 4:27


Voilà une anecdote inattendue : Brad Pitt a porté plainte contre... Sébastien Thoen ! Explications de la grosse tête dans cet extrait ! Fous rires, réponses inattendues, nouvelles rencontres, cet été redécouvrez les meilleurs moments de cette saison 2024-2025 ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La petite voix
[EXTRAIT] Arrêter l'alcool : se libérer pour mieux s'aimer - Jean-Loup

La petite voix

Play Episode Listen Later Jul 20, 2025 3:45


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Tous les cinémas du monde
L'Apocalypse au cinéma, ou la poétique de la destruction

Tous les cinémas du monde

Play Episode Listen Later Jul 19, 2025 48:30


Quel plus grand et effroyable spectacle que la destruction du monde ? L'Apocalypse de Saint-Jean, écrit à la fin du 1ᵉʳ siècle après Jésus-Christ, ressemble à un script de superproduction hollywoodienne : « Le ciel se retira comme un livre que l'on roule ; et les rois de la terre, les grands du monde, et tous les hommes, esclaves ou libres, se cachèrent dans les cavernes parce que le grand jour de leur colère est arrivé, et qui pourra subsister ? » (Rediffusion) Le texte biblique inspire depuis des siècles nombre de représentations, et reste une source inépuisable pour l'art spectaculaire par excellence, le cinéma.Un cycle à la Cinémathèque française, adossé à une grande exposition à la BNF, explore la représentation de l'Apocalypse au cinéma.Nous recevons François Angelier, l'un des commissaires de l'exposition et expert associé au cycle de la Cinémathèque lors duquel sont projetés 25 longs métrages, notamment Deep Impact de Mimi Leder, Dr Folamour de Stanley Kubrick, la série des Mad Max de George Miller, ou encore Melancholia de Lars Von Trier.À l'affiche de notre cinéma également ce samedi 15 février 2025, nous reviendrons sur les polémiques qui plombent les chances d'Emilia Perez aux Oscars, et notamment les critiques négatives émises au Mexique (avec notre correspondante Gwendolina Duval).► Pauses musicales : System System de Voilààà et Lass, Loose control de Jafunk, Apocalypse de Cigarette after sex.

Catherine la Psy
Trouver la cause du problème : fausse piste en thérapie ?

Catherine la Psy

Play Episode Listen Later Jul 18, 2025 45:23


Bien comprendre le problème des patient·es et des client·es, en découvrir ses origines et son pourquoi, est-ce indispensable en thérapie ?Voilà un débat qui divise les psys ! Pour certain·es c'est un passage obligatoire pour une guérison durable tandis que pour d'autres c'est au contraire problématique. On vous explique tout ça !

Reportage culture
Au off d'Avignon, «Fast», une pièce sur le frénétique marché du vêtement

Reportage culture

Play Episode Listen Later Jul 18, 2025 2:43


Quel besoin a-t-on d'acheter tant de vêtements ? Comment devient-on esclave de l'industrie du textile en suivant la mode ? Comment s'enrichissent les fabricants de vêtements au détriment de plein de petites mains en Asie tout en polluant la terre ? Voilà autant de questions que pose la pièce Fast programmée au festival Off d'Avignon. Une pièce à succès au Théâtre des Doms, le repaire belge du festival, au pied du Palais des Papes.    À lire aussiAvignon 2025: «Delirious Night», une chorégraphie «chaotique» de Mette Ingvartsen

Un Jour dans l'Histoire
George Catlin , le premier peintre des Indiens des plaines le long du Missouri en 1832

Un Jour dans l'Histoire

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 26:30


« M.Catlin est parti seul, sans amis et sans conseils, armé de ses pinceaux et de sa palette, pour fixer sur la toile et sauver de l'oubli les traits, les mœurs et les costumes de ces peuplades dites sauvages, et qu'il faudrait plutôt désigner par le nom d'hommes primitifs. Il a consacré huit années à cette exploration, et visité, au péril de sa vie, les divers établissements d'une population d'environ cinq cent mille âmes, aujourd'hui déjà réduite de plus de la moitié, par l'envahissement du territoire, l'eau de vie, la poudre à canon, la petite vérole et autres bienfaits de la civilisation. » Voilà ce qu'écrit George Sand à propos de George Catlin, peintre de Philadelphie qui, au dix-neuvième siècle, mit tout son talent et toute son énergie à la sauvegarde de la culture des Indiens d'Amérique du Nord. Avec Patrick Grainville "le bison" Editions duSeuil Sujets traités : George Catlin, peintre, Indiens , plaines ,Missouri , George Sand Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Lenglet-Co
L'ANGLE ECO - Le bitcoin bat un nouveau record

Lenglet-Co

Play Episode Listen Later Jul 15, 2025 3:50


Tout va bien au pays des crypto ! 123 000 dollars : Voilà le prix atteint hier par une seule de ces pièces d'or numériques... ça fait un peu plus de 105 000€ et c'est du jamais vu. Il faut voir la courbe de progression de cette monnaie virtuelle. Elle s'envole. + 7% sur une semaine, +13% sur un mois, +26 sur 6 mois et même + 100% par rapport à l'an dernier. La valeur du bitcoin à carrément doublé. Ecoutez L'angle éco de Pierre Herbulot du 15 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les journaux de France Culture
Plan d'action budgétaire à venir de François Bayrou : un objectif plus politique qu'économique

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Jul 15, 2025 15:25


durée : 00:15:25 - Journal de 12h30 - Voilà comment il faut apprécier les mesures que va présenter le Premier ministre cet après-midi pour faire 40 milliards d'économies l'année prochaine.

RTL Matin
L'ANGLE ECO - Le bitcoin bat un nouveau record

RTL Matin

Play Episode Listen Later Jul 15, 2025 3:50


Tout va bien au pays des crypto ! 123 000 dollars : Voilà le prix atteint hier par une seule de ces pièces d'or numériques... ça fait un peu plus de 105 000€ et c'est du jamais vu. Il faut voir la courbe de progression de cette monnaie virtuelle. Elle s'envole. + 7% sur une semaine, +13% sur un mois, +26 sur 6 mois et même + 100% par rapport à l'an dernier. La valeur du bitcoin à carrément doublé. Ecoutez L'angle éco de Pierre Herbulot du 15 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La petite voix
[EXTRAIT] Peau neuve : Renaissance et guérison - Nach (Anna Chedid)

La petite voix

Play Episode Listen Later Jul 13, 2025 2:58


[PARTENAIRE] Mieux consommer, sans se compliquer la vie, c'est possible ! Greenweez, ce sont +180 000 produits bio et engagés livrés chez vous, sans abonnement. Testez l'appli ou leur sur greenweez.com

RTL Matin
14 juillet - Le compositeur Michaël Boumendil présente "Le souffle du bleuet", un hymne qui sera dévoilé en clôture de la cérémonie

RTL Matin

Play Episode Listen Later Jul 13, 2025 7:23


Ecoutez RTL Midi avec Guillaume Ouattara du 13 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Reportage International
«Exit», célèbre festival de musique de Serbie, menacé de disparition

Reportage International

Play Episode Listen Later Jul 12, 2025 2:15


Le plus célèbre festival de Musique de Serbie, Exit, voit son existence menacée, pour avoir apporté son soutien au mouvement étudiant contre la corruption. Le régime du président Vucic attaque le festival au portefeuille, quitte a affaiblir l'économie du pays. Avec notre correspondant à Novi Sad en Serbie, Laurent Rouy Directeur du festival musical EXIT, Dusan Kovacevic ne s'attendait pas à être pris pour cible par le régime. Mais le soutien du festival aux étudiants qui manifestent contre la corruption n'a visiblement pas plu aux membres du parti au pouvoir en Serbie. « D'abord, ils ont menacé de nous supprimer les subventions que nous recevons chaque année. Puis, ils ont mis leur menace à exécution. Cet argent qu'ils investissent leur revient, pourtant, puisque chaque année Exit rapporte entre 25 et 30 millions d'euros à la Serbie », nous explique Dusan Kovacevic, le directeur du festival. La manifestation est soutenue par des groupes qui défendent aussi des valeurs démocratiques, tel que Atheist Rap, un groupe de musique punk, comme son nom ne l'indique pas. Son bassiste Zoran Lekic témoigne du prix à payer pour avoir exprimé publiquement son soutien : « On annule nos concerts, par exemple ceux qui sont financés par les mairies. En Serbie, toutes les mairies sont aux mains du parti au pouvoir actuel. Les boîtes de nuit nous expliquent qu'elles subissent des pressions pour annuler nos concerts, sous peine de voir débarquer des commissions de sécurité ou des agents du fisc. Voilà le genre de méthodes employées par ce régime ». À lire aussiSerbie: l'opposition anti-Vučić manifeste devant un bâtiment bombardé par l'Otan devenu un symbole En face, les étudiants profitent de la visibilité du festival pour informer le public, comme l'explique Aleksa, un étudiant ayant participé à un blocage devant l'entrée d'Exit. « Le blocage du pont aujourd'hui était juste une performance, pour montrer aux visiteurs étrangers que notre lutte continue. Les gens étaient très peu informés. Mais ils ont compris que c'était une bataille pour la démocratie ». Et il y a même une scène musicale dédiée aux étudiants dans le festival cette année. Elle attire beaucoup de spectateurs serbes. C'est un bon moyen d'aborder le sujet de la contestation avec un public plus large, selon Novak, de la faculté des sciences et techniques : « Les étudiants ont tout organisé. Nous avons trouvé les groupes, les DJ qui vont jouer en concert. Nous avons imaginé une exposition sur les manifestations anticorruption. Et de son côté, Exit a fourni toute la partie technique ». Le festival Exit envisage de déménager à l'étranger l'an prochain. La vitrine culturelle de la Serbie pourrait ne pas survivre au tournant autoritaire pris par le président Aleksandar Vucic.

Invité Afrique
Investiture du candidat MCU en Centrafrique: «Pour moi, il ne fait aucun doute que ce soit le président Touadéra»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 11:54


En République centrafricaine, les inquiétudes sur l'état de santé du chef de l'État se sont dissipées. Faustin-Archange Touadéra se porte bien et sera candidat à l'élection présidentielle de décembre prochain. C'est ce qu'affirme l'un de ses proches sur RFI. Évariste Ngamana est à la fois le premier vice-président de l'Assemblée nationale et le porte-parole du parti au pouvoir MCU, Mouvement Cœurs Unis. En ligne de Bangui, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier et s'exprime d'abord sur la catastrophe qui a provoqué la mort de 20 personnes dans la capitale centrafricaine, le 25 juin dernier. RFI : Le 25 juin, c'était le jour des examens au lycée Barthélemy Boganda de Bangui. Il y a eu une bousculade mortelle qui a tué 20 personnes, dont 19 lycéens. À l'origine de cette tragédie, il y a eu l'explosion d'un transformateur électrique. Que répondez-vous à l'opposition qui dénonce votre irresponsabilité, à vous les autorités centrafricaines, et qui vous accuse d'avoir « failli à votre devoir de garantir la sécurité des élèves » ?  Évariste Ngamana : C'est faux et archi-faux, ce que dénonce l'opposition. Il s'agit ici d'une récupération politique. Nous regrettons tous ce qui s'est passé au niveau du lycée Barthélemy Boganda, mais cet accident malheureux est dû à une explosion du transformateur qui se situe dans l'enceinte même de ce lycée. Et au moment où les élèves composaient, le personnel de l'Enerca, la société nationale d'électricité, est passé faire des travaux d'entretien et c'est par la suite qu'il y a eu cette explosion. Donc une enquête est en cours. Le directeur général de l'Enerca, il est mis aux arrêts et il est entendu, ses collaborateurs sont entendus et si leur responsabilité est établie, à ce moment-là, ils vont être placés sous mandat de dépôt. Mais le cas échéant, ils vont être purement et simplement relâchés. Donc, nous laissons la justice faire son travail et, à l'issue, nous saurons qui a fait quoi.  Pour la première fois depuis 1986, c'est-à-dire depuis presque 40 ans, l'État centrafricain veut organiser cette année des élections locales. La date est fixée au 31 août, mais l'expert des Nations unies Yao Agbetse dit que cette date est compromise par « de sérieux obstacles opérationnels » ...  Vous savez que nous avons des calendriers qui ont été établis par l'Autorité nationale des élections et, effectivement, l'ANE a connu quelques problèmes liés à des questions techniques. Le gouvernement, ainsi que l'Autorité nationale des élections, sont à pied d'œuvre. Une alternative est en train d'être trouvée et, pour ce qui me concerne, je pense qu'il y aura un léger décalage par rapport à cette date, lié à ces problèmes techniques qui sont en train d'être réglés. Dès lors que la liste définitive va être publiée, à ce moment-là, nous saurons à quelle date ces élections locales vont être organisées.  La liste définitive des électeurs ? Effectivement. Alors, vous dites que ces élections locales vont sans doute être décalées. Est-ce à dire qu'elles auront lieu après l'élection présidentielle et les élections législatives prévues le mois de décembre prochain ?  Oui, pourquoi pas. Nous avons attendu depuis plus de 40 ans. Je pense qu'il n'y a pas feu en la demeure. L'essentiel, c'est que ces élections soient organisées.  Lors de cette élection présidentielle, est-ce que le président Touadéra sera bien candidat à un nouveau mandat ?  Le parti MCU a prévu d'organiser son congrès du 25 au 26 juillet et c'est au cours de ce congrès-là que le Mouvement Cœurs Unis va investir son candidat. Et pour moi, il ne fait aucun doute que cela soit le président Touadéra.  Alors, il y a tout de même eu des inquiétudes au sujet de la santé du chef de l'État, puisque le 21 juin, il est parti en Belgique pour se faire soigner. Qu'est-ce qui s'est passé ?  Pour moi, le chef de l'État reste un humain susceptible d'être malade, d'avoir eu quelques maux de tête, ce n'est pas un extraterrestre. Mais cette rumeur vient du fait de la manipulation de l'opposition qui n'espère que la mort du président. Mais c'est Dieu qui détient la vie de tout le monde. Donc, puisque l'opposition est en perte de vitesse, donc cette rumeur, cette manipulation est du fait de l'opposition. Mais le président se porte bien, vous l'avez vu, il a participé au sommet de l'Alliance Gavi [à Bruxelles le 25 juin]. Il est revenu au pays. Il était au chevet des accidentés du lycée Boganda. Le week-end, il a reçu les parents des élèves qui sont décédés. Il est en train de mener à bien sa mission. Il se porte bien et, au moment venu, il sera candidat.  Il y a quand même eu une certaine inquiétude, je crois, le 21 juin. Nos confrères d'Africa Intelligence précisent qu'il a été évacué en urgence vers la Belgique à bord d'un jet médicalisé Bombardier Challenger… Ce que Africa Intelligence dit n'engage que Africa Intelligence, mais je vous dis que le président a profité de son séjour à Bruxelles pour faire quelques bilans de santé. Et la preuve, c'est que, quelques jours après, vous l'avez vu, il était présent à ce sommet de l'Alliance Gavi. Il est rentré au pays, il se porte bien. Voilà.  N'a-t-il pas eu un malaise soudain lors d'une réunion ministérielle à Bangui, comme le disent nos confrères d'Africa Intelligence ? Je dis que ceux qui parlent là, ils n'ont jamais eu quelque chose dans leur vie, ne serait-ce qu'un mal de tête. Donc pour moi, ce sont des détails inutiles. Aujourd'hui, il y a un élément factuel qui est là. Le président de la République se porte très bien, il est en train de travailler comme d'habitude et le reste n'est que des supputations pures et simples.

Couleurs tropicales
Mariah Carey a dévoilé «Type dangerous», premier extrait de son nouvel album

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Jul 8, 2025 48:30


Debordo Leekunfa de la Côte d'Ivoire, Zakalara du Congo et le rappeur Cinco dans la sélection musicale des nouveautés. Dans la séquence Gold, Mtume, samplé par Notorious BIG dans les années 90, Souzy Kasseya, Eric Brouta, Lady Gaga et Beyoncé. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :  Debordo Leekunfa - Reconnaissance d'Atouro Zakalara - Mossala Kenny Haïti feat Richard Cave - Pi bon chwa Cinco - Not today Mariah Carey - Type dangerous Mtume - Juicy fruit Maqflah et Reks - Black people Lady B - La pression Ja Mike Zion - Urban act Valérie Tribord, Monique Seka - Gadé nou fas a fas Passi feat K-Reen - Hold up Souzy Kasseya - Le téléphone sonne Eric Brouta - Téléphone Lady Gaga feat Beyoncé - Telephone Retrouvez notre playlist sur Deezer.