Podcasts about voil

  • 3,119PODCASTS
  • 9,012EPISODES
  • 29mAVG DURATION
  • 2DAILY NEW EPISODES
  • Jun 20, 2025LATEST

POPULARITY

20172018201920202021202220232024

Categories



Best podcasts about voil

Show all podcasts related to voil

Latest podcast episodes about voil

Invité Afrique
Vers un accord de paix RDC-Rwanda le 27 juin: «Nous espérons que, cette fois-ci, ce soit la bonne»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 20, 2025 12:34


Un accord de paix entre la République démocratique du Congo et le Rwanda est-il vraiment possible le 27 juin prochain ? « Oui, répond le ministre de la Communication du Congo-Brazzaville, car, cette fois-ci, il y a l'intervention d'une grande puissance, à savoir les États-Unis ». Thierry Moungalla, qui est à la fois ministre de la Communication et des Médias et porte-parole du gouvernement du Congo-Brazzaville, s'exprime aussi sur la présidentielle prévue dans son pays au mois de mars 2026. Le président Denis Sassou-Nguesso sera-t-il candidat à sa réélection ? De passage à Paris, Thierry Mougalla répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Ce mercredi 18 juin, la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda se sont engagés à signer un accord de paix, le 27 juin prochain, lors d'une réunion ministérielle prévue à Washington, quelle est votre réaction ? Thierry Moungalla : Nous nous réjouissons de cette avancée qui nous paraît une avancée majeure. Ce qu'il faut retenir, c'est qu'il est prôné un arrêt des hostilités, un désarmement des forces qui sont considérées comme rebelles et la possibilité d'aller vers la conclusion d'un accord de paix. Donc, nous, les pays voisins, nous nous réjouissons de cet accord et nous espérons que les différentes étapes qui semblent attendues soient franchies sans encombres. Et après 29 ans de guerre dans les Grands Lacs, vous croyez à une paix définitive ? Nous espérons que cette fois-ci, avec l'intervention d'une grande puissance comme les États-Unis, que cette fois-ci soit la bonne. Depuis deux mois, ce sont en effet les États-Unis et le Qatar qui font la médiation entre la RDC et le Rwanda. Est-ce que l'Afrique n'est pas marginalisée dans cette affaire ? Non. Je considère qu'objectivement, quand une maison brûle, tous ceux qui amènent des seaux d'eau pour éteindre l'incendie sont les bienvenus. Depuis un an, la location de 12 000 hectares de terre congolaise à une société rwandaise suscite beaucoup d'émotion à Brazzaville, mais aussi à Kinshasa, où beaucoup y voient le risque que l'armée rwandaise en profite pour ouvrir un deuxième front contre la RDC. Est-ce que c'est la raison pour laquelle vous venez d'annuler ce contrat foncier avec le Rwanda ? Non. Il faut que je précise en deux mots la situation. Il y a d'abord des accords d'État à État qui sont des accords de coopération bilatérale classiques. Ce sont des accords dans des matières essentiellement économiques. Ces accords ne sont pas remis en cause et ils n'ont aucune raison de l'être. Il y a, à côté de cela, des contrats ponctuels qui ont été conclus pour la relance de la production agricole dans des zones très riches. Ces accords ont été conclus avec des sociétés rwandaises. Et malheureusement, on a constaté leur caducité parce que les entreprises n'ont pas accompli les diligences qui étaient attendues d'elles. Et donc, naturellement, la condition de caducité a été mise en œuvre depuis le 8 décembre 2024. Et donc, comme vous le voyez, rien à voir avec le conflit que nous évoquions tout à l'heure. Il n'y avait là, il n'y a là absolument aucune connotation militaire. Et puis, d'ailleurs, comment voudriez-vous qu'il y ait des connotations militaires à ce type d'accord, alors que notre pays est situé à près de 1 500 kilomètres du théâtre des opérations concernées, c'est-à-dire l'est de la RDC et les confins du Rwanda ? En tout cas, les autorités de Kinshasa étaient inquiètes et elles vous l'avaient fait savoir. Nous échangeons régulièrement avec les autorités de Kinshasa. Je peux même vous dire que récemment, le ministre de l'Intérieur du Congo a eu l'honneur de rencontrer le président [de la RDC] Félix Tshisekedi. Et je suis certain que nous apportons au quotidien toutes les assurances de notre volonté de faire que ça se passe bien. La présidentielle au Congo, c'est l'année prochaine. Le président congolais Denis Sassou-Nguesso a le droit de se représenter, mais il est au pouvoir depuis plus de 40 ans. Est-ce que vous pensez qu'il pourrait envisager de laisser la place aux jeunes ? Bon, moi, je poserai la question plutôt dans l'autre sens. Aujourd'hui, nous sommes dans une grande stabilité. Nous avons un président de la République expérimenté. Je pense, je suis convaincu que le président de la République est celui qui va favoriser cette transition générationnelle dans la paix, dans la stabilité et dans la cohérence. Parce que quand on se précipite vers ce qui ressemble à un changement, on s'aperçoit bien vite que les mains inexpertes, à qui on confierait trop vite les choses, pourraient conduire le pays à l'impasse. Je souhaite que le président de la République soit candidat, mais ce n'est pas à l'ordre du jour au moment où nous nous exprimons, puisque nous sommes à neuf mois de l'élection présidentielle. Et le président a un mandat à remplir entre-temps. Mais cette transition générationnelle dont vous parlez, elle pourrait avoir lieu dès l'année prochaine ou non ? Non, cette transition générationnelle, c'est lui qui est le transmetteur, qui porte cette transition générationnelle. Je dis qu'il va assurer cette transition en allant vers la capacité de rajeunir les équipes, d'y inclure le maximum de jeunes. Voilà neuf ans que les opposants Jean-Marie Michel Mokoko et André Okombi Salissa sont derrière les barreaux. La justice les a condamnés à 20 ans de prison, mais beaucoup les considèrent comme des prisonniers politiques. Est-ce qu'une grâce présidentielle pourrait avoir lieu avant l'année prochaine, avant la présidentielle ? Il me semble que, dans notre législation, ce sont des éléments qui souvent doivent faire l'objet d'initiatives de la part des condamnés. Donc, je n'ai pas d'opinion sur ce sujet. Je pense que le président de la République est le seul maître de la possibilité de gracier.

Maintenant Vous Savez - Culture
De quand date le premier écran tactile ?

Maintenant Vous Savez - Culture

Play Episode Listen Later Jun 20, 2025 5:17


Voilà une invention qui parle à tout le monde. Vous vous en servez tous les jours, pour beaucoup dès le réveil, et avant d'aller vous coucher le soir. Vous vous en êtes servi lorsque vous avez cliqué sur cet épisode de Maintenant, vous savez. Ce sont évidemment des écrans tactiles !  Ils traînent sous vous doigt et vous les manipulez tous les jours, mais connaissez-vous leur histoire ? Il se peut qu'il soit plus vieux que vous ne le pensez puisque les premiers écrans tactiles datent des années 60 !  Quel était l'usage des premiers écrans tactiles ? Quand ont-ils été commercialisés pour le grand public ? Quelle invention a fait de l'écran tactile une norme ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. En partenariat avec Brief.eco ⁠Abonnez-vous à la newsletter Brief.eco avec l'essai gratuit⁠ À écouter ensuite : ⁠Quand la première voiture électrique a-t-elle été inventée ?⁠ ⁠Dans quel pays le premier billet de banque est-il apparu ?⁠ ⁠Dans quel pays ont été inventés les congés payés ?⁠ Retrouvez tous les épisodes de ⁠"Maintenant vous savez".⁠ Suivez Bababam sur ⁠Instagram⁠. Première diffusion le 07/05/2025 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Investissement et Trading au quotidien
Voilà ce que je fais, pourquoi, comment ... en conservant mon esprit libre

Investissement et Trading au quotidien

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 15:46


Ce matin dans le Morning Mood, on parle d'indépendance : celle de penser, de choisir, d'investir, d'agir… mais aussi de rester ouvert aux idées des autres, sans se fermer ni se fanatiser. Le marché est mou avant la FED ? Justement, c'est dans ces moments-là que se préparent les vrais mouvements. On garde l'esprit clair, le cœur humble, et le plan prêt.Restez libre. Mais restez alerte. Ce soir, tout peut changer.

Manga Tv - Podcast - La 5e de couv'
Marvel & les Mangas – La 5e de Couv' – #5DC – Saison 10 épisode 39

Manga Tv - Podcast - La 5e de couv'

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 63:21


Marvel et les mangas ! Voilà une sacrée affiche pour terminer notre mois dédié aux super héros ! Après avoir décortiqué la fin de My Hero Academia, on devait se pencher sur ces productions, de... L'article Marvel & les Mangas – La 5e de Couv’ – #5DC – Saison 10 épisode 39 est apparu en premier sur La 5e de Couv' - Le podcast de débat autour du manga !.

Invité Afrique
«Les années Biya»: l'écrivain camerounais Haman Mana décrypte le parcours présidentiel de Paul Biya

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 7:57


Les années Biya, c'est le titre du livre qui vient de paraître aux Éditions du Schabel. Dans cette enquête de 700 pages, bâtie sur des confidences et des archives inédites, l'essayiste camerounais Haman Mana raconte en détail les 42 années et demie du président Paul Biya à la tête du Cameroun. Les succès comme les échecs. Tour à tour journaliste à Cameroon Tribune, puis directeur de publication au journal Mutations, puis patron du journal Le Jour, Haman Mana a été le témoin de beaucoup d'évènements sous la présidence de Paul Biya. À quatre mois de la présidentielle, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.  RFI : Haman Mana, l'un des temps forts de votre livre, c'est la présidentielle d'octobre 1992. Paul Biya a dû accorder le multipartisme. Dans le pays d'à côté, le Congo-Brazzaville, le président Denis Sassou Nguesso vient d'être battu par Pascal Lissouba. C'est le vent du changement. Et pourtant, Paul Biya est officiellement réélu, mais avec seulement quatre points d'avance sur John Fru Ndi, un score très serré. Est-ce à dire que le parti au pouvoir RDPC était moins aguerri, moins fort qu'aujourd'hui ? Haman Mana : Le parti RDPC était moins sophistiqué dans sa capacité à manipuler les chiffres. À l'époque, je pense qu'il y a une grande mobilisation autour du Social Democratic Front. De John Fru Ndi ? De John Fru Ndi et il y a ce raz-de-marée vers les urnes qui fait que tout le monde est d'accord là-dessus aujourd'hui. C'est John Fru Ndi qui a remporté ces élections, mais ce n'est qu'en dernière minute, à la Commission nationale de recensement des votes, avec un afflux de votes venant tardivement de l'Extrême Nord, qu'on a dû corriger les résultats. J'en parle parce que je suis un témoin oculaire. J'étais jeune journaliste à Cameroun Tribune et c'est moi qui ai couvert non-stop. On a appelé ça la Commission nationale de recensement des votes. Non, je pense que le pouvoir n'était pas encore aguerri dans ces techniques de modification des résultats de vote. Voilà. Vous rappelez aussi qu'en octobre 1992, le Nordiste Bello Bouba Maigari arrive troisième avec 19 % des voix. Est-ce que l'opposition aurait gagné si Fru Ndi et Bello n'avaient pas été divisés ? Si l'opposition avait été unie, peut-être que John Fru Ndi aurait gagné. Mais maintenant, c'est sans compter avec la volonté absolue, la volonté claire du Rassemblement démocratique du peuple camerounais et de Paul Biya de rester au pouvoir. Alors John Fru Ndi est décédé, mais Paul Biya et Bello Bouba Maigari sont toujours là. Est-ce que vous pensez qu'on va les revoir tous les deux comme candidats en octobre prochain ? Ecoutez, ça dépend de l'arithmétique. À l'heure actuelle, on sait que Bello Bouba, politiquement peut-être, n'est plus ce qu'il était à cette époque-là. Donc cela fera partie des calculs. Maintenant, il y a l'inconnue Maurice Kamto. Est ce qu'on acceptera sa candidature ? À ce qu'il me semble, peut-être que Bello Bouba Maigari n'est pas un protagoniste décisif dans l'élection de 2025, sauf s'il adoube Maurice Kamto. Autre temps fort dans votre livre, la querelle territoriale entre le Cameroun et le Nigeria sur la presqu'île de Bakassi. On est en 1994 et vous dites que là, c'est une réussite pour le régime de Paul Biya ? Oui, bien sûr. Mon livre est là pour rendre compte de ce qui s'est passé. Mon livre n'est pas là pour peindre en noir un régime. Non. Et ce qui me semble, tout le monde est d'accord là-dessus, Paul Biya a bien joué. C'est une carte qu'il a bien jouée par une forme de pondération, par une forme d'utilisation de ses relais internationaux et également par l'expertise juridique locale. C'est là où on retrouve Maurice Kamto. On savait déjà que Maurice Kamto n'était pas forcément quelqu'un de favorable au régime en place, mais compte tenu de son expertise, il était l'une des figures de proue de l'équipe et, après avoir remporté sur le plan juridique, Paul Biya a engagé une négociation politique pour pouvoir obtenir ce qu'il avait gagné juridiquement. Là, c'était bien joué. Pendant ces 43 années de présidence de Paul Biya, il y a dans votre livre plusieurs fils conducteurs, la corruption, la répression. Vous parlez notamment des plus de 100 jeunes émeutiers de la faim qui sont tués à Douala en février 2008. Pourquoi avez-vous tenu à faire le portrait de l'ancien Secrétaire général de la présidence, Marafa Hamidou Yaya, qui est en prison depuis 2012 ? Oui, c'est pour dire l'absurdité qui entoure la question de la succession de Monsieur Biya et ceci depuis le début des années 2000. C'est-à-dire qu'il est question de couper en réalité toutes les têtes qui dépassent. Voilà ! Oui, vous citez l'ambassadeur des États-Unis à Yaoundé qui dit que « Marafa est en prison parce qu'il a pensé au pouvoir ». Exactement. Ça, ce sont les fuites de Wikileaks qui ont mis cela dehors. Et voilà ce qu'il est advenu. Et puis, dans votre livre, vous dites : « Je raconte le long chemin sur lequel Paul Biya a mené le Cameroun au bord de l'abîme, non sans la complicité de ce peuple qui, paresseusement, s'est laissé choir. » Oui, je pense que c'est trop facile de dire que Paul Biya a fait ci, Paul Biya a fait ça. La société civile camerounaise, le peuple camerounais, se lie lui-même les mains dans un pacte de paresse, de corruption. Non, en réalité, chez moi, il est plus question de piquer l'orgueil des uns et des autres afin qu'ils se ressaisissent. En réalité, c'est un appel à la réappropriation du Cameroun par les Camerounais. À lire aussiCameroun: à 92 ans, Paul Biya investit les réseaux sociaux à cinq mois de la présidentielle

Bruno dans la radio
Les chiffres de Maurine du 16 juin - Le méchant de "Toy Story 5" vient d'être dévoilé

Bruno dans la radio

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 2:09


Chaque matin, Maurine nous dévoile des chiffres surprenants. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Apolline Matin
Le bonus RMC : Le studio Pixar a dévoilé les premiers éléments de "Toy Story 5" qui sortira dans un an - 16/06

Apolline Matin

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 1:04


Tous les matins à 7h50, l'actualité culture, TV ou cinéma avec Charles Magnien.

tv toy story voil premiers ments le studio studio pixar charles magnien
CKRL : Errances raynaldiennes
Errances raynaldiennes : 06/16/2025 00:00

CKRL : Errances raynaldiennes

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025


Errance raynaldienne propose aux auditeurs et auditrices une vision décalée, déstructurée et anarchistes de la réalité radiophonique. À travers des personnages (des voix) atypiques et des discours très souvent télescopés par des idées qui se croisent dans le grand carrefour des mots, l'errance n'en finit plus de défricher dans les champs narratifs et les inter zones de la folie langagière. Par cette orientation auditive inusitée, le deuxième degré s'impose. Mais . . . Dans ce décalage délirant, quelques récepteurs et réceptrices n'observent là que le premier niveau, la première strate qui, sans doute, les rebutent, les choquent et les conduisent à réagir vivement devant autant de verves chaotiques et d'excentricités verbales. Pour mieux apprécier l'errance raynaldienne il faut l'écouter avec toute la légèreté, la frivolité et l'énergie qu'elle dégage pour simplement, au bout du compte, oublier pendant deux heures les désagréments qui meublent notre quotidien. Voilà ! Le but originel de cette émission qui poursuit un seul résultat : DIVERTIR ! Page officielle de l'émission: http://erranceraynaldienne.blogspot.com

La petite voix
[Extrait du OFF] La folie des Jeux Paralympiques de l'intérieur vue par Amélie, la compagne de Dominique

La petite voix

Play Episode Listen Later Jun 15, 2025 1:40


Le Podcast De L'Antre
Episode 428: L'Antre, L'Emission du 12 Juin 2025 - La spéciale RADIO Z

Le Podcast De L'Antre

Play Episode Listen Later Jun 15, 2025 120:54


LE PROJET EST ENFIN DÉVOILÉ ! Radio Z arrive et on vous dit tout sur ce projet totalement fou qu'on garde secret depuis des mois ! La génèse, la réalisation, l'histoire, les morceaux : TOUT ! Fred, Pat, Gaëlle, Eden, Myster X et moi-même on est là pour tout déballer ! Le Crowfunding pour que vous puissiez participer à ce grand projet arrive online dans quelques jours ! Et puis l'ami Geoffrey MIND passe également faire un coucou, pour nous parler de la sortie de son nouveau single en exclusivité !Cela ne nous empêche pas de vous proposer en plus des morceaux déjà sorti de cet EP de GEISHA SKILLS et sacré playlist de nouveautés de la semaine avec HERE COMES THE KRAKEN, GRAVITY, KADAVAR, ARCHETYPES COLLIDE, MIND, COMBICHRIST, GRUESOME, EKTOMORF, ALIEN WEAPONERY, NOT ENOUGH SPACE, PRIMAL AGE, DISARMONIA MUNDIA et SLEEP THEORY !Voilà qui est posé là !La playlist complète est là : https://drive.google.com/file/d/1-5qY6aT4cz9dvDqo9weQdFlp_Dhe4LB6/view?usp=sharingRetrouvez la dernière AntreView : https://youtu.be/GqcUrz2A6mw?feature=sharedAbonnez-vous à notre chaine YouTube pour ne rien rater : https://www.youtube.com/@antremetal@Fatlab Studio @Skull strings @Asso We Rock @Actu-METAL Toulouse @Radio Transparence @Metal Invasion Radio/Podcast @poulettessisters #lesexplosdepit-------------------------------------THE Z PROJECT IS FINALLY UNVEILED ! Radio Z is here, and we're going to tell you all about this crazy project we've been keeping secret for months ! The genesis, the making, the story, the tracks : EVERYTHING ! Fred, Pat, Gaëlle, Eden, Myster X and myself are here to spill the beans !Crowdfunding for you to participate in this great project is coming online in a few days ! And our friend Geoffrey MIND is also stopping by to tell us about the exclusive release of his new single ! But that's not stopping us from offering you a selection of tracks from the GEISHA SKILLS EP, as well as this week's playlist of new releases, featuring HERE COMES THE KRAKEN, GRAVITY, KADAVAR, ARCHETYPES COLLIDE, MIND, COMBICHRIST, GRUESOME, EKTOMORF, ALIEN WEAPONERY, NOT ENOUGH SPACE, PRIMAL AGE, DISARMONIA MUNDIA and SLEEP THEORY !That's all there is to it !

Le flash éco de Capital
24 Heures du Mans : les retombées XXL d'une course mythique, dévoilées en 240 Secondes

Le flash éco de Capital

Play Episode Listen Later Jun 14, 2025 3:57


Ce week-end, 240 Secondes Enquête vous plonge dans les 24 Heures du Mans. Une course mythique qui attire près de 300 000 visiteurs chaque année, et surtout des retombées économiques qui se chiffrent en centaine de milliers d'euros. Capital a enquêté. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

C'est pas du vent
Les jeunes s'engagent pour la protection de l'océan

C'est pas du vent

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 48:30


Pollution, pêche, aménagement du littoral, les jeunes du réseau ePOP ont filmé la réalité de ces enjeux dans leurs pays. Ils viennent nous en parler. Nous sommes à Nice à l'occasion de la troisième conférence des Nations unies sur l'océan qui se termine aujourd'hui. Pendant une semaine, environ 20 000 personnes de 180 pays ont échangé pour faire progresser la protection de cet immense espace qui recouvre les 2/3 de la planète. L'océan régule le climat, il fabrique plus de la moitié de l'oxygène que nous respirons et il abrite une biodiversité fantastique. Il est vital pour notre espèce mais nous le maltraitons. Voilà pourquoi les jeunes se sont mobilisés pour se faire entendre durant cette conférence. Hier, ils étaient des centaines dans les stands et les auditoriums du palais des expositions, renommé la Baleine, où notre studio est installé. Émission spéciale ePOP depuis l'Unoc à Nice avec plusieurs jeunes ePOPERS. Adrien Poupard de Vannes, étudiant en ingénierie et gestion des ressources côtières pour le film La plage sauvée par ses amis Marine Berthelet, étudiante en géographie à l'Université de la Réunion pour le film Vague à l'âme du Port de Sainte-Marie Mariame Ndimblane, du Sénégal, étudiante en Économie Bleue à Brest pour le film Sur le quai de pêche de Rufisque Et la chercheuse Pascale Chabanet, chercheuse en écologie récifale à l'IRD, Marie-Eve Migueres Chargée de médiation scientifique à l'IRD Max Bale de Rfi Planète Radio. Musiques diffusées pendant l'émission Elida Almeida - Mar Sagrado João Selva - Banho De Mar (Brésil).

C'est pas du vent
Les jeunes s'engagent pour la protection de l'océan

C'est pas du vent

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 48:30


Pollution, pêche, aménagement du littoral, les jeunes du réseau ePOP ont filmé la réalité de ces enjeux dans leurs pays. Ils viennent nous en parler. Nous sommes à Nice à l'occasion de la troisième conférence des Nations unies sur l'océan qui se termine aujourd'hui. Pendant une semaine, environ 20 000 personnes de 180 pays ont échangé pour faire progresser la protection de cet immense espace qui recouvre les 2/3 de la planète. L'océan régule le climat, il fabrique plus de la moitié de l'oxygène que nous respirons et il abrite une biodiversité fantastique. Il est vital pour notre espèce mais nous le maltraitons. Voilà pourquoi les jeunes se sont mobilisés pour se faire entendre durant cette conférence. Hier, ils étaient des centaines dans les stands et les auditoriums du palais des expositions, renommé la Baleine, où notre studio est installé. Émission spéciale ePOP depuis l'Unoc à Nice avec plusieurs jeunes ePOPERS. Adrien Poupard de Vannes, étudiant en ingénierie et gestion des ressources côtières pour le film La plage sauvée par ses amis Marine Berthelet, étudiante en géographie à l'Université de la Réunion pour le film Vague à l'âme du Port de Sainte-Marie Mariame Ndimblane, du Sénégal, étudiante en Économie Bleue à Brest pour le film Sur le quai de pêche de Rufisque Et la chercheuse Pascale Chabanet, chercheuse en écologie récifale à l'IRD, Marie-Eve Migueres Chargée de médiation scientifique à l'IRD Max Bale de Rfi Planète Radio. Musiques diffusées pendant l'émission Elida Almeida - Mar Sagrado João Selva - Banho De Mar (Brésil).

Celtic Conversations with Christine Valters Paintner
Cultivating Seeds of Liberation Prayer Cycle: Day 7 Morning ~ Beauty

Celtic Conversations with Christine Valters Paintner

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 21:42


All songs and texts used with permission. All rights reserved. Opening Prayer written by Jo-ed Tome Opening Song: Beauty by Betsey Beckman, arranged and performed by Simon de Voil and Alexa Sunshine Rose from the album Monk in the World: Songs for Contemplative Living First Reading: Sophfronia Scott, The Seeker and the Monk: Everyday Conversations with Thomas Merton. Broadleaf Books (2021) page 60. Sung Psalm Opening and Doxology: Richard Bruxvoort Colligan from the album Monk in the World: Songs for Contemplative Living Psalm 65: Interpretation by Christine Robinson, musical setting and sung by Simon de Voil Second Reading: Cole Arthur Riley, This Here Flesh: Spirituality, Liberation, and the Stories That Make Us. Convergent Books (2023) page 38-41. Prayers of Concern written by Jo-ed Tome Sung Response: Words by Abbey Dream Team. Music by Betsey Beckman. Arranged and performed by Alexa Sunshine Rose and Simon de Voil © 2025 Closing Song: Only Grace by The Many from the album Cultivating Seeds of Liberation: Songs of Justice and Joy. Words by Lenora Rand, Music by Hannah Rand © 2016 Mirasion Music (ASCAP) Closing Blessing written by Jo-ed Tome Prayers, readings, and blessings voiced by Claudia Love Mair and Jo-ed Tome. Audio engineering by Simon de Voil. Please note: All of the songs and prayer responses are published on albums in the Abbey of the Arts collection unless otherwise noted. In addition, these songs & responses have accompanying gesture prayers and/or dances created by Betsey Beckman that can be found on the corresponding video collections. Audio and video recordings of the Prayer Cycles are available at AbbeyoftheArts.com.

Celtic Conversations with Christine Valters Paintner
Cultivating Seeds of Liberation Prayer Cycle: Day 7 Evening ~ Beauty

Celtic Conversations with Christine Valters Paintner

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 18:29


All songs and texts used with permission. All rights reserved. Opening Prayer written by Claudia Love Mair Opening Song: We Are Weaving Our Lives by Alexa Sunshine Rose from the album Cultivating Seeds of Liberation: Songs of Justice and Joy Sung Psalm Opening and Doxology: Richard Bruxvoort Colligan from the album Monk in the World: Songs for Contemplative Living Psalm 104: Interpretation by Christine Robinson, adapted, set to music and sung by Simon de Voil Reading of the Night: Makoto Fujimura, Art + Faith: A Theology of Making. Yale University Press (2021) page 12. Closing Song: On the Wings of Grace by Melanie DeMore from the album Cultivating Seeds of Liberation: Songs of Justice and Joy Closing Blessing written by Claudia Love Mair Prayers, readings, and blessings voiced by Claudia Love Mair and Jo-ed Tome. Audio engineering by Simon de Voil. Please note: All of the songs and prayer responses are published on albums in the Abbey of the Arts collection unless otherwise noted. In addition, these songs & responses have accompanying gesture prayers and/or dances created by Betsey Beckman that can be found on the corresponding video collections. Audio and video recordings of the Prayer Cycles are available at AbbeyoftheArts.com.

Revue de presse Afrique
La solidarité maghrébine pour Gaza en marche vers l'Égypte

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 4:35


Une grande caravane baptisée Soumoud, pour « résilience » a quitté Tunis en début de semaine avec pour objectif de rallier la capitale égyptienne ce matin, puis al-Arish, à une cinquantaine de kilomètres de Rafah, le poste frontière à la frontière entre l'Égypte et la bande de Gaza. Ces milliers de personnes, venus de plusieurs pays d'Afrique du Nord, « ne veulent plus se contenter de simples manifestations de rue pour exprimer leur soutien à la Palestine. Ils vont désormais au-delà », assure Le Pays. « Quand on connaît le calvaire que vivent les Gazaouis depuis quelque temps, on ne peut que saluer ce geste de solidarité qui vaut son pesant d'or. »  Le journal burkinabè se demande en revanche si le « Convoi maghrébin de la résilience arrivera à bon port. Ne sera-t-il pas bloqué par Israël ? On croise donc les doigts ». Le ministre de la Défense israélien, Israël Katz a d'ores et déjà ordonné à l'armée d'empêcher l'entrée à Gaza de ce qu'il a qualifié de « manifestants djihadistes ». Après l'épisode du Madleen, ce bateau humanitaire transportant des militants pro-palestiniens occidentaux et intercepté par Israël, La Presse, en Tunisie, fait part de son pessimisme, alors que « les sociétés civiles, partout, affichent leur volonté de faire passer l'aide aux Gazaouis. Ni la Flottille de la liberté ni les convois humanitaires terrestres, ni aucune marche ne peuvent lever le siège de Gaza », se désole un de ses éditorialistes.  À lire aussiÉgypte: Israël appelle les autorités du pays à bloquer une marche pro-palestinienne Prudence de mise coté égyptien « Pour défier le blocus israélien », Al-Ahram en Égypte rapporte que les délégations internationales devront d'abord obtenir une autorisation préalable des autorités égyptiennes « afin d'assurer leur sécurité, compte tenu de la sensibilité du terrain. »  Le président égyptien « Al-Sissi cèdera-t-il ? », se demande de son côté Algérie 360 pour qui « la tension monte » autour de cette caravane, notamment après l'arrestation hier de trois avocats algériens à l'aéroport du Caire. « Ces arrestations semblent liées à leur implication dans la caravane », ce qui « fait craindre une répression plus large. » Le média algérien craint aussi que ces arrestations n'enveniment « davantage les relations diplomatiques. Elle met également en lumière les restrictions imposées aux mouvements de solidarité pro-palestiniens, même lorsqu'ils sont pacifiques et humanitaires. »  Burundi : le parti au pouvoir vainqueur haut la main des législatives D'après les résultats publiés par la Céni, mercredi, le CNDD-FDD a en effet raflé la totalité des 100 sièges mis en jeu lors du scrutin du 5 juin. Dans certaines localités, les résultats « frôlent, voire dépassent des scores brejnéviens », s'exclame Iwacu. « Rien pour l'opposition », signale Afrik.com en Une de son site. L'opposition qui a qualifié de « grande mascarade » le résultat de ces scrutins, « est aujourd'hui laminé, cingle Iwacu. Cela n'augure donc rien de bon ». Pour Afrik.com, c'est « une nouvelle étape de la marche autoritaire dans un pays où le pluralisme politique est en net recul. » Le CNL, principal parti d'opposition, avait été formellement exclu, nous remémore le site. « Votes multiples », « bulletins pré-remplis », « emprisonnements arbitraires » d'observateurs, la formation a relevé de nombreuses irrégularités. À lire aussiLégislatives au Burundi: le parti au pouvoir rafle la totalité des sièges en jeu à l'Assemblée Une autopsie qui met le feu aux poudres au Kenya  « Un traumatisme à la tête, des marques de strangulation, des bleus sur les épaules, les mains, les jambes, du sang suintant du nez et de la bouche. » Voilà le descriptif sordide livré par Le Monde Afrique après la mort d'Albert Ojwang.  Ce blogueur « connu pour son franc-parler », comme le décrit The Star au Kenya, avait été retrouvé sans vie dans sa cellule dans l'ouest du pays quelques heures après son arrestation, les forces de l'ordre lui reprochant d'avoir terni le nom du numéro 2 de la police kényane. Celle-ci avait assuré que le professeur d'histoire et d'éducation religieuse s'était suicidé en détention. « Loin d'avoir convaincu l'opinion publique dans un pays régulièrement secoué par la question des violences policières », comme le rappelle Jeune Afrique, et version démentie donc par les légistes.  The Star croit même savoir que l'activiste a d'abord été torturé dans une forêt avant d'être emmené inconscient au commissariat. Le Daily Nation kényan nous apprend qu'une veillée aux chandelles organisée dans tout le pays demain par un syndicat national d'enseignants, « pour réclamer la justice non seulement pour lui, mais pour toutes les vies innocentes perdues à cause d'actions policières illégales ». À lire aussiKenya: la police dans la tourmente après la mort en détention d'Albert Ojwang

Revue de presse Afrique
La solidarité maghrébine pour Gaza en marche vers l'Égypte

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 4:35


Une grande caravane baptisée Soumoud, pour « résilience » a quitté Tunis en début de semaine avec pour objectif de rallier la capitale égyptienne ce matin, puis al-Arish, à une cinquantaine de kilomètres de Rafah, le poste frontière à la frontière entre l'Égypte et la bande de Gaza. Ces milliers de personnes, venus de plusieurs pays d'Afrique du Nord, « ne veulent plus se contenter de simples manifestations de rue pour exprimer leur soutien à la Palestine. Ils vont désormais au-delà », assure Le Pays. « Quand on connaît le calvaire que vivent les Gazaouis depuis quelque temps, on ne peut que saluer ce geste de solidarité qui vaut son pesant d'or. »  Le journal burkinabè se demande en revanche si le « Convoi maghrébin de la résilience arrivera à bon port. Ne sera-t-il pas bloqué par Israël ? On croise donc les doigts ». Le ministre de la Défense israélien, Israël Katz a d'ores et déjà ordonné à l'armée d'empêcher l'entrée à Gaza de ce qu'il a qualifié de « manifestants djihadistes ». Après l'épisode du Madleen, ce bateau humanitaire transportant des militants pro-palestiniens occidentaux et intercepté par Israël, La Presse, en Tunisie, fait part de son pessimisme, alors que « les sociétés civiles, partout, affichent leur volonté de faire passer l'aide aux Gazaouis. Ni la Flottille de la liberté ni les convois humanitaires terrestres, ni aucune marche ne peuvent lever le siège de Gaza », se désole un de ses éditorialistes.  À lire aussiÉgypte: Israël appelle les autorités du pays à bloquer une marche pro-palestinienne Prudence de mise coté égyptien « Pour défier le blocus israélien », Al-Ahram en Égypte rapporte que les délégations internationales devront d'abord obtenir une autorisation préalable des autorités égyptiennes « afin d'assurer leur sécurité, compte tenu de la sensibilité du terrain. »  Le président égyptien « Al-Sissi cèdera-t-il ? », se demande de son côté Algérie 360 pour qui « la tension monte » autour de cette caravane, notamment après l'arrestation hier de trois avocats algériens à l'aéroport du Caire. « Ces arrestations semblent liées à leur implication dans la caravane », ce qui « fait craindre une répression plus large. » Le média algérien craint aussi que ces arrestations n'enveniment « davantage les relations diplomatiques. Elle met également en lumière les restrictions imposées aux mouvements de solidarité pro-palestiniens, même lorsqu'ils sont pacifiques et humanitaires. »  Burundi : le parti au pouvoir vainqueur haut la main des législatives D'après les résultats publiés par la Céni, mercredi, le CNDD-FDD a en effet raflé la totalité des 100 sièges mis en jeu lors du scrutin du 5 juin. Dans certaines localités, les résultats « frôlent, voire dépassent des scores brejnéviens », s'exclame Iwacu. « Rien pour l'opposition », signale Afrik.com en Une de son site. L'opposition qui a qualifié de « grande mascarade » le résultat de ces scrutins, « est aujourd'hui laminé, cingle Iwacu. Cela n'augure donc rien de bon ». Pour Afrik.com, c'est « une nouvelle étape de la marche autoritaire dans un pays où le pluralisme politique est en net recul. » Le CNL, principal parti d'opposition, avait été formellement exclu, nous remémore le site. « Votes multiples », « bulletins pré-remplis », « emprisonnements arbitraires » d'observateurs, la formation a relevé de nombreuses irrégularités. À lire aussiLégislatives au Burundi: le parti au pouvoir rafle la totalité des sièges en jeu à l'Assemblée Une autopsie qui met le feu aux poudres au Kenya  « Un traumatisme à la tête, des marques de strangulation, des bleus sur les épaules, les mains, les jambes, du sang suintant du nez et de la bouche. » Voilà le descriptif sordide livré par Le Monde Afrique après la mort d'Albert Ojwang.  Ce blogueur « connu pour son franc-parler », comme le décrit The Star au Kenya, avait été retrouvé sans vie dans sa cellule dans l'ouest du pays quelques heures après son arrestation, les forces de l'ordre lui reprochant d'avoir terni le nom du numéro 2 de la police kényane. Celle-ci avait assuré que le professeur d'histoire et d'éducation religieuse s'était suicidé en détention. « Loin d'avoir convaincu l'opinion publique dans un pays régulièrement secoué par la question des violences policières », comme le rappelle Jeune Afrique, et version démentie donc par les légistes.  The Star croit même savoir que l'activiste a d'abord été torturé dans une forêt avant d'être emmené inconscient au commissariat. Le Daily Nation kényan nous apprend qu'une veillée aux chandelles organisée dans tout le pays demain par un syndicat national d'enseignants, « pour réclamer la justice non seulement pour lui, mais pour toutes les vies innocentes perdues à cause d'actions policières illégales ». À lire aussiKenya: la police dans la tourmente après la mort en détention d'Albert Ojwang

Invité Afrique
Mali: «Quand on fait la balance, l'action de Wagner est mitigée voire négative»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 7:51


Au Mali, Wagner, c'est fini. Les troupes russes vont maintenant faire la guerre sous le nom d'Africa Corps. Pourquoi ce nouveau nom ? Est-ce seulement un changement de casquette ? « Pas si simple », répond Arthur Banga, qui est spécialiste des questions de défense à l'université Félix-Houphouët-Boigny d'Abidjan, en Côte d'Ivoire. L'enseignant-chercheur veut espérer qu'Africa Corps commettra moins d'exactions que Wagner contre les civils maliens. Arthur Banga répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : « Bravo à Wagner qui en trois ans a bouté les terroristes de nombreuses zones du Mali et reconquis la capitale régionale de Kidal », disent les médias pro-russes. Est-ce que c'est vrai ? Est-ce que le bilan militaire de Wagner est positif ? Arthur Banga : Il est très mitigé ce bilan. Il y a quand même la victoire de Kidal qui est importante pour l'image déjà de la reconquête mais importante aussi pour la stratégie du gouvernement malien. Mais depuis justement cette victoire significative en novembre 2023, il n'y a plus rien. Il y a plutôt des défaites : Tinzaouatène... Tout récemment, des attaques qui se multiplient. Et je pense que, quelque part, l'action de Wagner est mitigée, sinon peut-être même négative quand on fait la balance.  Alors, en effet, en juillet 2024, plus de 80 mercenaires de Wagner auraient été tués par les rebelles touaregs du FLA lors de la bataille de Tinzaouatène. Est-ce que cette défaite militaire a pu porter atteinte au moral des troupes russes ? Est-ce l'une des raisons du changement de nom aujourd'hui ? Oui, ça a été une défaite beaucoup commentée. Et puis, on a encore les images de prisonniers qui ont été faits par ces groupes. Et qui sont toujours aux mains des rebelles... Voilà. Et ces images diffusées ont vraiment porté atteinte parce que l'idée, c'est que Wagner venait de réussir le job que, par exemple, l'armée française ou Takuba n'avait pas pu faire. Et là malheureusement pour les Maliens, le constat est amer et cette défaite a marqué les esprits. Et a surtout décrédibilisé un peu Wagner, surtout après leur victoire à Kidal. Alors, justement, si on compare le bilan Wagner au bilan Barkhane, qu'est-ce qu'on peut dire ? Je pense que l'on peut tirer les mêmes enseignements de ces deux opérations : soit vous vous trouvez dans le cas de Barkhane, vous devenez perçu comme une force d'occupation, vous perdez votre statut de force de libération pour une force d'occupation. Soit comme Wagner, vous comprenez que l'on peut avoir des victoires tactiques, mais au final, le bilan est mitigé. Est-ce que Wagner faisait de la protection rapprochée des officiers supérieurs de la junte malienne ? Et est-ce qu'Africa Corps va continuer cette mission ? La mission ne va pas changer. Et on l'a bien vu sur certaines images très claires, authentifiées, que Wagner faisait souvent de la surveillance de personnalité. De la protection en fait ? De la protection, oui. Sur le plan opérationnel, Wagner jouissait d'une certaine autonomie, surtout du vivant d'Evgueni Prigojine. Est-ce qu'Africa Corps sera plus sous le contrôle direct du ministère russe de la Défense à Moscou ? Oui, ça, ça sera l'un des grands changements, parce que justement Prigojine s'est autorisé des largesses au nom de cette autonomie. Donc, clairement, la plus grande différence sera à ce niveau-là, ça sera l'impact direct des autorités russes, le contrôle direct sur l'action que va mener Africa Corps. Et ça, ça va changer de l'autonomie de Wagner. Sur le plan des droits de l'Homme, Wagner a commis plusieurs massacres, notamment dans la communauté peule du Mali. À Moura près de Mopti, en mars 2022, plus de 500 civils ont été tués par les Russes de Wagner. Est-ce que les Russes d'Africa Corps sont prêts à continuer les mêmes exactions à votre avis ou pas ? On verra. Si Wagner faisait le job entre guillemets et même sur le front ukrainien, recruter des prisonniers etc, c'est parce qu'on ne voulait pas mêler directement la Russie officielle à ces aspects-là, les massacres et cetera. Ça peut donc avoir un impact positif dans ce sens-là parce que le fait d'être lié directement au Kremlin peut avoir la conséquence d'être un peu plus regardant sur ces aspects-là, parce que ça peut remonter directement sur la réputation du Kremlin et de la Russie. On peut donc espérer qu'il y aurait moins d'exactions, même s'il faut rester vigilant et prudent.  Parce qu'Africa Corps, ça responsabilise directement Vladimir Poutine ? Beaucoup plus que Wagner. Sur le plan économique, Wagner crée des compagnies minières pour exploiter les ressources locales aussi bien au Mali qu'en République centrafricaine. Que va-t-il en être maintenant avec Africa Corps ? Je pense que la logique va se perpétuer, peut-être pas avec les mêmes acteurs, peut-être pas directement avec Africa Corps, qui va sans doute se concentrer sur ses aspects militaires. Mais il faut bien voir que l'on est dans une opération stratégique dans le sens large du terme, c'est-à-dire qu'on fait à la fois du politique, du militaire, du diplomatique, mais aussi de l'économie. Et donc, la Russie n'entend pas perdre les gains économiques de Wagner. Ce n'est pas possible. « Notre présence en Afrique s'accroît, nous allons nous concentrer principalement sur l'interaction économique et l'investissement », affirme Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin. Ça va se traduire comment sur le terrain économique ? Aujourd'hui, l'un des reproches que l'on fait justement à la Russie, c'est de n'apporter sur le continent que son savoir-faire militaire. Aujourd'hui, elle va aussi essayer de montrer qu'elle sait être un partenaire économique fiable au même titre que la Chine, les pays occidentaux. Wagner, c'était pour trois ans, Africa Corps, c'est pour 30 ans ? Sauf changement de régime, je pense que la Russie est encore pour le moment au Mali, au Niger et au Burkina, dans un cadre plus durable, dans un cadre plus global. Et vous avez rappelé les mots de Peskov : c'est, aujourd'hui, asseoir à la fois du militaire, du diplomatique, de l'économique et même du culturel.

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher
Fillette voilée: «Clairement, l'islamo-gauchisme a infiltré le département de communication de cette banque»

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 11:53


Une fillette voilée sur l’affiche du Club de lecture d’été à la Bibliothèque de Québec Entrevue avec Romain Gagnon, ingénieur, essayiste et auteur. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Accents d'Europe
Les scientifiques au chevet des océans

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 19:29


Plus de soixante chefs d'État au chevet des océans à Nice, dans le sud de la France... et les sujets d'inquiétude ne manquent pas : du réchauffement climatique à la pollution en passant par la surpêche et l'acidification des eaux, l'océan souffre,  et les scientifiques sont les premiers à le constater.  Dans le nord de l'Espagne, le centre océanographique de Gijon travaille sur le pythoplancton, lui aussi victime du réchauffement... c'est un acteur-clé de l'absorption du carbone, une vraie pompe biologique, et aussi un aliment pour les poissons... mais sa qualité laisse aujourd'hui à désirer... Reportage auprès des scientifiques de Diane Cambon.   «Les grands fonds ne peuvent pas devenir un far west»La lutte contre le chalutage, ou l'exploitation des fonds marins, l'ouverture du sommet de Nice a été l'occasion de dire haut et fort ses inquiétudes... «les grands fonds ne peuvent pas devenir un far west», a ainsi lancé le secrétaire général de l'ONU, référence à peine masquée aux projets prédateurs du président américain.Techniquement, l'exploitation des galets de nickel et autres métaux précieux à plus de 6 000 mètres de profondeur est déjà possible... un navire Le hidden gem de la société suisse Allseas a déjà testé un équipement ad hoc Laxmi Lota.   L'Europe synthétise sa position sur les océans Et face au traité mondial de protection de la haute mer, qui devrait entrer en vigueur à la fin de l'année 2025, l'Europe a voulu aussi faire entendre sa voix. La présidente de la Commission européenne a ainsi fait un arrêt à Nice pour présenter son pacte européen pour les Océans. On retrouve à Nice Agathe Cherki qui suit ce sommet pour le média en ligne Contexte avec lequel nous sommes partenaires.Les étudiants serbes toujours mobilisés Et direction la Serbie pour cette fin d'émission, le mouvement étudiant contre la corruption et l'autoritarisme du régime Vucic, ne faiblit pas. Voilà six mois que les universités sont bloquées. C'est le cas à Belgrade, où les professeurs qui sont solidaires du mouvement ne sont plus payés depuis plusieurs mois. Louis Seiller est allé rencontrer profs et élèves du département de musique, où se pose la question de la forme que doit prendre la suite du mouvement.

Accents d'Europe
Les scientifiques au chevet des océans

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 19:29


Plus de soixante chefs d'État au chevet des océans à Nice, dans le sud de la France... et les sujets d'inquiétude ne manquent pas : du réchauffement climatique à la pollution en passant par la surpêche et l'acidification des eaux, l'océan souffre,  et les scientifiques sont les premiers à le constater.  Dans le nord de l'Espagne, le centre océanographique de Gijon travaille sur le pythoplancton, lui aussi victime du réchauffement... c'est un acteur-clé de l'absorption du carbone, une vraie pompe biologique, et aussi un aliment pour les poissons... mais sa qualité laisse aujourd'hui à désirer... Reportage auprès des scientifiques de Diane Cambon.   «Les grands fonds ne peuvent pas devenir un far west»La lutte contre le chalutage, ou l'exploitation des fonds marins, l'ouverture du sommet de Nice a été l'occasion de dire haut et fort ses inquiétudes... «les grands fonds ne peuvent pas devenir un far west», a ainsi lancé le secrétaire général de l'ONU, référence à peine masquée aux projets prédateurs du président américain.Techniquement, l'exploitation des galets de nickel et autres métaux précieux à plus de 6 000 mètres de profondeur est déjà possible... un navire Le hidden gem de la société suisse Allseas a déjà testé un équipement ad hoc Laxmi Lota.   L'Europe synthétise sa position sur les océans Et face au traité mondial de protection de la haute mer, qui devrait entrer en vigueur à la fin de l'année 2025, l'Europe a voulu aussi faire entendre sa voix. La présidente de la Commission européenne a ainsi fait un arrêt à Nice pour présenter son pacte européen pour les Océans. On retrouve à Nice Agathe Cherki qui suit ce sommet pour le média en ligne Contexte avec lequel nous sommes partenaires.Les étudiants serbes toujours mobilisés Et direction la Serbie pour cette fin d'émission, le mouvement étudiant contre la corruption et l'autoritarisme du régime Vucic, ne faiblit pas. Voilà six mois que les universités sont bloquées. C'est le cas à Belgrade, où les professeurs qui sont solidaires du mouvement ne sont plus payés depuis plusieurs mois. Louis Seiller est allé rencontrer profs et élèves du département de musique, où se pose la question de la forme que doit prendre la suite du mouvement.

Baleine sous Gravillon (BSG)
HORS-SÉRIE Pêche industrielle : sous les radars de l'UNOC (Claire Nouvian)

Baleine sous Gravillon (BSG)

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 27:45


"L'UNOC, c'est du vent, voire une escroquerie". Voilà ce que m'a expliqué Claire Nouvian, au micro de Combats, quand je l'ai rencontrée au festival We love green ce week-end à Paris.Mais Bloom et Claire sont harcelés par les lobbies de la pêche, le 4 juin, la porte d'entrée de son appartement à été aspergée de peinture noire, une énième tentative d'intimidation juste avant le sommet de l'UNOC.Cette conférence de toutes les hypocrisie a lieu du 9 au 13 juin 2025 à Nice. Il est organisé par la France de Macron, responsable de quasiment 11 millions de km2 de ZEE, la zone économique exclusive de chaque pays juste derrière les États-Unis. En ne protégeant réellement que moins de 0,1% des eaux côtières de l'Hexagone, le gouvernement et Macron n'ont rien fait pour l'océan.En France, des chalutiers de plus de 80 mètres opèrent ainsi dans les rarissimes aires marines "protégées" de la Manche et de la Mer du Nord… au grand dam des pêcheurs artisans des Hauts-de-France.La France accorde près de 200 millions d'euros d'aides gasoil à quelque 800 chalutiers français. Mais, plutôt que de supprimer ces subventions, la France veut masquer son inaction en surcommuniquant sur son moratoire sur l'exploitation minière dans les eaux internationales.Selon Bloom et d'autres ONG, 3 mesures clés marqueraient un tournant par rapport au statu quo mortifère promu aujourd'hui :l'interdiction du chalutage dans les aires marines dites « protégées »,la protection des écosystèmes et des pêcheurs côtiers en excluant les méga-chalutiers de la bande côtière,et le fléchage des subventions publiques vers la transition sociale et écologique de la pêche plutôt que vers les techniques de pêche destructrices.Le reste et les vœux pieux, c'est de la gnognotte et de la poudre aux yeux._______Photo : Greg Lecoeur, prise à l'été 2024, en Méditerranée._______

Afrique Économie
Face au dérèglement climatique, les cotonculteurs africains obligés de s'adapter

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 2:34


La production du coton est comme la majorité des productions agricoles touchées négativement par le dérèglement climatique. Une situation sur laquelle alerte l'Association des producteurs de coton africain et pour laquelle les différents acteurs cherchent des solutions pour préserver leurs rendements. Dans le bassin cotonnier du Cameroun, Wagaye Amadou, petit cotonculteur, témoigne des conséquences sur ses cultures du changement climatique. « Il y a la sécheresse qui nous dérange donc le coton ne se produit pas comme auparavant. Quand il fait trop chaud, le coton ne donne pas parce que ça ne grandit pas. Ça fait déjà 2 ans ou 3 ans environ. C'est trop de perte, plus d'un tiers de la production. Qu'est-ce qu'on peut faire contre ça ? Quand il ne pleut pas abondamment, comment on peut avoir la solution ? »Alternance de fortes pluies et sécheresse Les cotonculteurs du continent expérimentent des épisodes pluvieux intenses qui noient les cultures et les font pourrir, ou des épisodes de sécheresse prolongée qui empêche la fleur de coton de se développer. « Les aléas climatiques, c'est ça qui fait que la production cotonnière est en train d'évoluer en dents de scie, explique Moussa Sabaly, président de la Fédération nationale des producteurs de coton du Sénégal, président d'honneur de l'AProCA, l'appel que je lance aux producteurs, c'est que comme on ne connaît pas si la pluie va s'installer précocement, on ne sait pas à quel moment ça va s'arrêter, il faut semer très tôt. Puisqu'il y a un moment où quand tu sèmes le coton des semis tardives, tu risques de ne pas avoir de bons rendements. Il faut adapter les périodes de plantation ».Indispensable adaptation des techniquesLe changement climatique contribue à l'appauvrissement des sols, aux phénomènes d'érosion. Un sujet de préoccupation depuis plusieurs années qui mobilise la recherche et les sociétés cotonnières. Adaptation des pratiques agricoles et recherche de semences résistantes.Au Cameroun, la Sodecoton travaille notamment avec l'Institut de recherche agricole pour le développement, l'IRAD. « Il y a des actions qui sont menées, notamment les actions agroécologiques qu'on appelle techniques agroécologiques, pour limiter l'impact de ce dérèglement sur la production agricole et donc maintenir un certain niveau de productivité », détaille le Dr Hinimbio Taïda Pierre agronome spécialisé en agro-écologie à la société cotonnière du Cameroun. « Donc, parmi cet ensemble de techniques, il y a par exemple la mise en place de l'arbre dans le système agraire qu'on appelle l'agroforesterie. Il y a également la lutte contre, par exemple, l'érosion pluviale et éolienne par la mise en place par exemple, (...) des bandes arbustives ou enherbées et même des plantations d'arbres. Voilà donc il y a beaucoup de techniques comme ça qui sont mises en place pour contrôler l'effet du dérèglement climatique », explique-t-il. Ces adaptations sont confrontées également à un certain nombre de pratiques persistantes telles que le pâturage, la culture sur brulis ou encore l'usage pas toujours approprié de certains produits phytosanitaires.

En sol majeur
Raymond Dikoumé, un Français en quête de son Cameroun

En sol majeur

Play Episode Listen Later Jun 8, 2025 48:29


1,81m, yeux marrons, cheveux noirs. Langues : bilingue, français-anglais (avec accent français), espagnol (notions), bassa (lu, parlé). Profession : auteur, acteur, metteur en scène, chanteur baryton (très bon niveau). Origine : Cameroun. Voilà pour ESM ce que dit la fiche artistique de Raymond Dikoumé. Mais ce que le CV ne dit pas c'est combien il reste difficile pour cet enfant de la République de se faire une place dans la grande famille du théâtre et du cinéma. Seule solution : remonter aux origines en montant une pièce de théâtre. C'est ainsi que lui et Lamine Diagne signent et interprètent Francé, l'histoire de deux Afro-descendants qui s'emparent de la grande Histoire coloniale pour croiser leur parcours et leur métissage, avec en point de suspension la question noire en France. À voir cet été au Festival d'Avignon.

Famille & Voyages, le podcast

Famille & Voyages, le podcast

Play Episode Listen Later Jun 6, 2025 77:52 Transcription Available


Mélanie, Vincent, Clara et Alexandre. Voilà une famille qui aime bouger ! Ils sont partis faire un tour du monde quand les enfants avaient 7 et 10 ans, et ça a commencé fort avec deux mois en Australie. Entre une maman organisée au millimètre, un papa plus cool sur l'impro, et des enfants toujours partants pour l'aventure, il y avait de quoi voir du pays.Ils ont avalé la Great Ocean Road, traqué les koalas planqués dans les eucalyptus, survécu à LA galère de van sous la pluie  (oui, un moteur qui ne s'arrête jamais, c'est possible), vu des plages de dingue, la vraie vie australienne, le Centre Rouge, l'incontournable Uluru et ont même vécu un réveil sous la neige en Tasmanie…Si vous êtes à la recherche de conseils pratiques pour organiser un grand voyage en famille en Australie, ou si vous avez juste envie d'imaginer la découverte du pays des kangourous à hauteur d'enfant, cet épisode est fait pour vous !Allez, c'est parti pour le carnet de voyage de Mélanie en Australie !-----------Idée originale et hôte : Stéphanie CordierMusique : Luk & Jo

Celtic Conversations with Christine Valters Paintner
Cultivating Seeds of Liberation Prayer Cycle: Day 6 Evening Prayer ~ Joy

Celtic Conversations with Christine Valters Paintner

Play Episode Listen Later Jun 5, 2025 15:51


All songs and texts used with permission. All rights reserved. Opening Prayer written by Jo-ed Tome Opening Song: Join in the Joy by Richard Bruxvoort Colligan from the album Singing with Monks and Mystics Sung Psalm Opening and Doxology: Richard Bruxvoort Colligan from the album Monk in the World: Songs for Contemplative Living Psalm 19: Interpretation, musical setting, and sung by Simon de Voil Reading of the Night: Howard Thurman, Meditations of the Heart. Beacon Press (2023) page 106. Closing Song: Joy to Life by Alexa Sunshine Rose from the album Cultivating Seeds of Liberation: Songs of Justice and Joy Closing Blessing written by Jo-ed Tome Prayers, readings, and blessings voiced by Claudia Love Mair and Jo-ed Tome. Audio engineering by Simon de Voil. Please note: All of the songs and prayer responses are published on albums in the Abbey of the Arts collection unless otherwise noted. In addition, these songs & responses have accompanying gesture prayers and/or dances created by Betsey Beckman that can be found on the corresponding video collections. Audio and video recordings of the Prayer Cycles are available at AbbeyoftheArts.com.

Celtic Conversations with Christine Valters Paintner
Cultivating Seeds of Liberation Prayer Cycle: Day 6 Morning Prayer ~ Joy

Celtic Conversations with Christine Valters Paintner

Play Episode Listen Later Jun 5, 2025 20:29


All songs and texts used with permission. All rights reserved. Opening Prayer written by Cassidhe Hart Opening Song: All Belong Here by The Many, from the album Cultivating Seeds of Liberation: Songs of Justice and Joy. Lyrics by Lenora Rand; Music by Hannah Rand As recorded by The Many ©2017 Plural Guild Music First Reading: Patrick Saint-Jean, Spiritual Work of Racial Justice: A Month of Meditations with Ignatius of Loyola. Harding House Publishing, Inc./Anamcharabooks, (2021) page 305. Sung Psalm Opening and Doxology: Richard Bruxvoort Colligan from the album Monk in the World: Songs for Contemplative Living Psalm 45: Interpretation by Christine Robinson, musical setting and sung by Simon de Voil Second Reading: Tracey Michea'l Lewis-Giggetts, Black Joy: Stories of Resistance, Resilience, and Restoration. Gallery Books (2022) page xxi. Prayers of Concern written by Cassidhe Hart Sung Response: Words by Abbey Dream Team. Music by Betsey Beckman. Arranged and performed by Alexa Sunshine Rose and Simon de Voil © 2025 Closing Song: Praise the Maker, by Alana Levandoski from the album Cultivating Seeds of Liberation: Songs of Justice and Joy Closing Blessing written by Cassidhe Hart. Final line in reference to “Praise the Maker” by Alana Levandoski Prayers, readings, and blessings voiced by Claudia Love Mair and Jo-ed Tome. Audio engineering by Simon de Voil. Please note: All of the songs and prayer responses are published on albums in the Abbey of the Arts collection unless otherwise noted. In addition, these songs & responses have accompanying gesture prayers and/or dances created by Betsey Beckman that can be found on the corresponding video collections. Audio and video recordings of the Prayer Cycles are available at AbbeyoftheArts.com.

C'est pas du vent
Préserver les forêts tropicales au-delà des clichés

C'est pas du vent

Play Episode Listen Later Jun 5, 2025 48:30


La forêt est notre meilleur allié, elle abrite 80% des espèces terrestres, elle stocke du carbone et fabrique l'oxygène que nous respirons grâce à la photosynthèse, elle filtre et stocke l'eau, elle nourrit et soigne plus d'1 humain sur 5 et c'est un formidable rempart contre les catastrophes naturelles comme l'érosion. Formidable, me direz-vous ! Oui, mais maintenant je vous propose de penser à la forêt près de chez vous ou à celle de votre enfance. Dans quel état est-elle ? Quelles sont les activités qui l'entourent ou qui sont pratiquées à l'intérieur ? Qui y vit ? Et c'est souvent là que ça se complique car si en théorie nous aimons tous la forêt, en pratique cela implique de concilier développement économique et préservation écologique dans un même endroit. Malheureusement, c'est souvent la forêt qui perd… à court terme car sur le temps long, elle gagne !!! Voilà pourquoi il faut raisonner localement pour agir efficacement…AvecChanee, fondateur de l'association Kalaweit. Installé en Indonésie, il consacre sa vie à la préservation des gibbons Jacques Tassin, chercheur en écologie végétale au Cirad pour son livre Vivre la forêt paru chez Odile Jacob Chloé Tankam, économiste des chaînes de valeur durable pour le CiradAlain Rival, agronome, correspondant pour la filière « Palmier à huile » au sein du CIRAD, directeur régional du Cirad pour l'Asie du Sud-Est Insulaire, basé à Jakarta depuis 2014.Musiques diffusées pendant l'émission- Carameloco - La Felicidad- Gabriel de Rosa - Pê Patu Pa.

Grand reportage
Grand Sud thaïlandais: l'insurrection oubliée

Grand reportage

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 19:30


C'est une guérilla dont on parle peu. Dans la longue pointe sud de la Thaïlande, à la frontière de la Malaisie, loin des caméras, les provinces thaïlandaises de Yala, Pattani et Narathiwat sont en proie à un conflit entre l'État central de Bangkok et un groupe armé séparatiste musulman. Bilan : plus de 7 700 morts depuis 2004. Le massacre, cette année-là, de manifestants musulmans d'origine malaise, toujours impuni, a laissé des traces. Elle continue de hanter toute la région. En témoigne la résurgence des violences meurtrières depuis le début de cette année. De notre correspondant à Bangkok,Des dizaines d'hommes, torse nu, mains ligotées, sont jetés un à un par des militaires dans une benne d'un camion. Entassés les uns sur les autres, ils reçoivent des volées de coups à mesure que l'arrière du véhicule se remplit. Puis le silence. Le moteur démarre. Durant le trajet qui semble interminable, on entend gémir, suffoquer. Avant que les cris s'estompent peu à peu. À nouveau, le silence. En cette soirée tiède, un court métrage diffusé en plein air aux abords du Patani Artspace, un centre culturel à Pattani, dans l'extrême sud de la Thaïlande, retrace la tragédie survenue il y a 20 ans, jour pour jour, à Tak Bai. Le 25 octobre 2004, devant le commissariat de cette ville paisible, une manifestation virait au drame. Et devenait le symbole le plus brutal des violations des droits de l'homme perpétrées dans le « Sud profond » de la Thaïlande, où vivent une majorité de musulmans d'ethnie malaise (minorité musulmane au sein d'une nation thaïlandaise de 71 millions d'habitants à plus de 90% bouddhiste). Ce jour-là, pour disperser la foule, l'armée intervient : 7 manifestants musulmans malais tombent sous les balles. Et 1 300 autres sont interpellés. Ligotés. Puis jetés à l'arrière de fourgons militaires, empilés comme des bûches. Pendant le trajet qui les mène à une base militaire, 78 d'entre eux meurent asphyxiés. Deux décennies plus tard, devant le film, les visages sont fermés. Certains trahissent quelques larmes qui coulent pendant le générique, où des archives défilent sur fond d'une chanson évoquant le massacre de Tak Bai. « La douleur est encore vive aujourd'hui », confie Maliki Doloh, debout grâce à deux béquilles et vêtu du Baju Melayu, costume traditionnel. L'homme, qui avait 27 ans à l'époque, a cru voir la mort. Ce survivant repense encore à ses semblables, écrasés par le poids des corps, et dont la respiration s'est tue, lentement. « C'était le Ramadan », se souvient-il, indiquant avoir rompu le jeûne en léchant la sueur qui dégoulinait sur son visage, avant de s'évanouir. À son réveil, les médecins lui ont dit qu'il fallait l'amputer. Le massacre de Tak Bai a soufflé sur les braises d'une insurrection séparatiste née des années plus tôt et plongé la région dans un conflit entre l'État central et le BRN (Barisan Revolusi Nasional), le principal groupe armé actif.  Véhicules piégés, fusillades, assassinats ciblés : depuis le tournant de 2004, ce conflit peu médiatisé a fait plus de 7 700 morts et près de 15 000 blessés, principalement des civils, recense l'ONG Deep South Watch. La mort d'une fillette tuée par balle et celle d'un jeune moine, il y a peu, rappelle que les habitants des trois provinces de Yala, Pattani et Narathiwat, tout au sud du royaume, vivent dans la violence permanente. À Yala, une femme au foulard pastel dont la silhouette présage l'arrivée prochaine d'un second bébé décrit ses angoisses de jeune mère. « J'en ai marre ! Parfois, je perds espoir, témoigne Azura Cheaauma, 35 ans. J'ai peur que quelque chose arrive à mes enfants. J'aimerais qu'ils grandissent dans un environnement sûr, où ils pourront jouer, étudier, sans avoir à entendre résonner le bruit des armes ». Les trois provinces à la pointe sud de la Thaïlande sont ainsi soumises à une loi martiale et à l'état d'urgence, prolongé maintes fois depuis 2004, lorsque 75 000 soldats, policiers et paramilitaires ont investi la région pour endiguer les violences. Les forces de sécurité sont tombées au nombre de 50 000, indique BenarNews, mais leur omniprésence continue d'être une source de tension. Les points de contrôle militaires quadrillent les villes, bordent les routes. Ici, un véhicule blindé, là une tour de guet. Sur la ligne de train qui relie Yala à Sungai Kolok, dernier arrêt avant la Malaisie, des soldats, mitraillettes sous le bras, sont stationnés à chaque village doté d'une gare. Souvent, ils montent à bord pour fouiller, interroger. Ici, « les violations des droits de l'homme sont nombreuses », affirme la militante Anchana Heemina. Visage connu de tous, elle a fondé en 2010 Duay Jay, une ONG locale qui, depuis sa création, a recensé 168 cas de torture et 444 exécutions extrajudiciaires. L'an passé, l'un de ses bénévoles a été abattu dans d'étranges circonstances : « Voilà les risques auxquels sont confrontés les défenseurs des droits humains dans le sud ». Loin des caméras, ce conflit insurrectionnel s'enracine dans le passé. Régie des siècles durant par des Rajahs musulmans, la région fut jadis le prestigieux sultanat de Patani. Avant d'être attachée de force en 1902 au royaume de Siam, ancien nom de la Thaïlande. Mais « la véritable rupture entre l'État central et les Malais du Sud intervint toutefois plus tard, sous la férule des gouvernements ultranationalistes de Phibun Songkhram [premier ministre et dictateur militaire de la Thaïlande de 1938 à 1944, puis de 1948 à 1957, ndlr] », écrivait le spécialiste du royaume et ancien correspondant de RFI Arnaud Dubus dans l'ouvrage Thaïlande : histoire, société, culture (2011). « Avides d'imposer à l'ensemble du pays une même identité thaïe, ajoutait-il, les agents du gouvernement central interdirent aux Malais — dont la plupart ne parlaient pas thaï — d'employer leur langue dans leurs démarches administratives, les forcèrent à quitter le sarong pour la nouvelle ‘tenue nationale' et obligèrent les enfants musulmans à se prosterner devant des statues de Bouddha ». Pour Don Pathan, expert sécuritaire à The Asia Foundation, il s'agit d'un conflit « ethno-nationaliste », qui « découle de l'échec de la politique d'assimilation visant à transformer les Malais en quelque chose qu'ils ne sont pas ». Lancé en 2013 et supervisé par la Malaisie voisine, le processus de paix entre le gouvernement thaïlandais et le BRN patine. Coups d'État, destitutions, dissolutions de partis et successions de gouvernements : l'instabilité politique de la Thaïlande, liée à la prédominance de l'armée, n'aide pas. Parmi les militants du Sud, nombreux sont conscients que le combat pour la paix ne se mène pas seul : « On doit participer, plus largement, à la démocratisation de la Thaïlande ! Le pays a besoin de changements structurels », soutient Arfan Wattana, qui reçoit dans le café qu'il tient à Sungai Kolok. Avec The Patani, l'organisation pacifique qui milite pour l'auto-détermination de la région dont il fait partie, ce père de famille souhaite retenir la jeunesse tentée de rallier le groupe armé séparatiste : « L'un des défis majeurs sur lequel on travaille, ce sont les jeunes qui soutiennent l'indépendance via des modes d'action violents. On leur dit que ce chemin n'est possible qu'à travers la non-violence. »« C'est notre responsabilité de dialoguer avec les groupes armés, les gens en colère contre les injustices qu'ils subissent et de leur dire que la violence ne nous fera pas gagner », abonde Artef Sokho, président de The Patani. ONG et pacificateurs s'efforcent de discuter avec toutes les parties prenantes du conflit. « Mais c'est loin d'être facile », concède ce militant, que le spécialiste Don Pathan qualifie de « Mandela du Sud de la Thaïlande ». En cette année 2025, la résurgence d'attentats, embuscades et tueries n'augure en effet rien de bon. Les perspectives de paix semblent encore s'éloigner. 

Manu dans le 6/9 : Le best-of
Bonne nouvelle, Google a dévoilé une nouvelle fonctionnalité qui permet d'essayer des vêtements qu'on voit sur internet grâce à l'IA !

Manu dans le 6/9 : Le best-of

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 3:13


Tous les matins à 7H10 et 9h45, on vous donne des bonnes nouvelles.

investir.ch
Optimisme OBLIGATOIRE sous peine d’excommunication du monde merveilleux de la finance

investir.ch

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 13:13


Voilà, c'est fait. Toute cette histoire de tarifs est en train de passer à l'as et nous sommes occupés à nous construire une conviction comme quoi tout va bien se passer. Que dis-je ? TOUT VA TRÈS BIEN SE PASSER. Pour l'instant les tensions entre la Chine et les USA sont tendues comme un string, … Continued

Revue de presse Afrique
A la Une: le Mali toujours sous la menace terroriste

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 3:53


L'offensive terroriste s'est intensifiée ces dernières semaines au Mali. Le 23 mai : attaque du camp militaire de Dioura. Bilan 41 soldats tués. Il y a deux jours à Boulkessi, dans le centre du pays, un autre camp militaire a été la cible d'une attaque terroriste. Selon un communiqué de l'état-major des armées, cité par le site Bamada, « les FAMa, les Forces armées maliennes ont vigoureusement réagi à cette attaque avant de se replier ».Et puis hier matin à Tombouctou, poursuit Bamada, « les forces armées maliennes ont déjoué une tentative d'infiltration des combattants terroristes. L'État-major précise que les terroristes ont été vite mis en déroute par la promptitude des soldats maliens. Le bilan provisoire est de treize assaillants neutralisés, de l'armement, mais aussi des moyens roulants et effets divers récupérés. La situation est sous contrôle et le ratissage est en cours dans toute la ville, rassure la hiérarchie militaire ».Un État « en pleine reconstruction »Alors, « Dioura, Boulkessi, Tombouctou : l'armée malienne sur tous les fronts », s'exclame Sahel Tribune, autre site d'information. « La récente offensive terroriste, loin d'annoncer la défaite, révèle au contraire la dure réalité d'un État en pleine reconstruction, claironne Sahel Tribune. Les FAMa, attaquées sur plusieurs fronts, opposent désormais une riposte mieux structurée, avec l'appui de partenaires stratégiques non-alignés. Dans ce contexte de tumulte, la Transition conduite par le président Assimi Goïta n'entend céder ni un pouce de souveraineté ni un millimètre de terrain. (…) Certes, reconnait Sahel Tribune, des lacunes persistent : retards de renforts, faiblesses de communication tactique, dépendance aux appuis aériens. Mais ces défis sont désormais intégrés dans un programme de réforme militaire globale. (…) Oui, des violations ont été signalées, reconnait encore le site malien. Oui, des bavures sont à documenter. Mais ne nous y trompons pas : le Mali ne mène pas une guerre sale, il mène une guerre juste dans un environnement tordu. Là où les FAMa interviennent, c'est souvent pour libérer des localités entières d'un joug terroriste qui pille, viole, tue et impose sa loi moyenâgeuse ».Le site Mali Actu le reconnait également,« malgré les succès des FAMa, la situation sécuritaire est préoccupante. Un grand nombre d'attaques ciblent les forces armées dans le nord et le centre du Mali. La mobilisation des troupes et le soutien de la population locale sont essentiels pour maintenir la sécurité. (…) La persistance de ces efforts sera essentielle pour instaurer la paix et la stabilité à long terme au Mali ».Insécurité croissante…Voilà pour les médias maliens qui s'appuient sur les communiqués de l'armée et sur la parole officielle. Autre point de vue, celui du site Afrik.com qui décrit une situation beaucoup plus sombre : « au Mali, le groupe djihadiste JNIM, affilié à Al-Qaïda, a intensifié ses attaques contre l'armée et les civils. À Boulkessi et Dioura, des casernes ont été prises, causant des dizaines de morts. Le groupe impose aussi des blocus meurtriers à Diafarabé et Nouh Bozo, provoquant famine et détresse humanitaire. L'armée malienne, jugée lente et désorganisée, peine à réagir, affirme encore Afrik.com. La population, abandonnée, subit de plein fouet l'insécurité croissante et la violence des groupes armés ».Un sommet extraordinaire ?Ledjely en Guinée, fait remarquer que le Niger et le Burkina Faso ont aussi subi récemment des attaques terroristes meurtrières. Et pour ce qui est du Mali : « que les autorités militaires aient réussi ou non à déjouer les assauts contre le camp militaire et l'aéroport de Tombouctou n'est pas l'essentiel. Le véritable problème, c'est que des assaillants aient eu l'audace de lancer de telles offensives. C'est le symptôme d'une menace qui demeure ».Au Mali, mais aussi au Niger et au Burkina, donc,« les pertes humaines, civiles et militaires, se comptent par dizaines chaque semaine. Et après chaque drame, on assiste à un jeu puéril de communiqués entre autorités et groupes armés, chaque camp s'acharnant à revendiquer la victoire ».Et Ledjely d'appeler à la tenue d'un sommet extraordinaire afin de mieux lutter contre le djihadisme dans la bande sahélienne. « Pendant que le Mali, le Burkina Faso et le Niger se démènent comme ils peuvent, le reste du continent semble se croiser les bras, voire détourner le regard. Pourtant, ce danger-là est à la porte de chacun de nous ».

Lenglet-Co
LES SECRETS DE LA CONSO - Naf-Naf, une nouvelle enseigne au tapis. Jusqu'où ?

Lenglet-Co

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 2:26


On a appris vendredi la mise en redressement judiciaire de Naf-Naf. Voilà une enseigne de plus sur une longue liste. 600 emplois sont menacés. Ecoutez Olivier Dauvers : les secrets de la conso du 02 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Ça peut vous arriver
SECRETS DE LA CONSO - Naf-Naf, une nouvelle enseigne au tapis

Ça peut vous arriver

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 2:43


On a appris ce vendredi 30 mai 2025 la mise en redressement judiciaire de Naf-Naf. Voilà une enseigne de plus sur une longue liste. 600 emplois sont menacés. Cette saison dans "RTL Matin", Olivier Dauvers part à la quête des bonnes affaires et vous livre ses secrets pour éviter les arnaques et devenir un consommateur avisé ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Tant qu'il y aura des hommes
03- Alice Tuyet: " En perdant mon père, j'ai perdu mon refuge."

Tant qu'il y aura des hommes

Play Episode Listen Later Jun 1, 2025 56:59


Alice Tuyet est une cheffe comme notre époque sait en imaginer. Libre, déterminée, convaincue, elle ose aller là où personne n'allait avant. Et notamment en cuisine, quand elle imagine des restaurants vegan/ veggie comme des bistrots classiques et traditionnels! Alice Tuyet veut qu'on se sente bien chez elle, qu'on ait envie d'y passer la soirée, de saucer ses plats et de reprendre du vin. Voilà en résumé comment est né le collectif Daimant et voilà la vision de la vie qu'a cette femme. Alors son enfance et ses origines vietnamiennes, les silences et le peu de mots dont ils avaient besoin pour se comprendre son père et elle, ainsi que sa disparition et l'immense place que prend son absence. Mais aussi le goût d'Alice pour la cuisine, son amour des défis et du travail, la frivolité, les hommes de sa vie et ce qu'elle pense d'elle même, tout cela et bien plus encore c'est à découvrir dans cet épisode vif, piquant et tellement smart, à l'image de cette jeune femme incroyablement inspirante!Bonne écoute et merci pour votre fidélité!Générique composé par le formidable Jean Thévenin!Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Kau dich schlank
Schluss mit Heißhunger - Entfache dein Verdauungsfeuer

Kau dich schlank

Play Episode Listen Later Jun 1, 2025 44:45


Sun, 01 Jun 2025 04:00:00 +0000 https://kau-dich-schlank.podigee.io/53-neue-episode 918a60ab3cb9192cdea281ca896434d1 Im Interview mit TCM-Expertin Christiane Poppenberger Fühlst du dich trotz "gesunder" Ernährung ständig hungrig? In dieser Folge teilt TCM-Expertin Christiane Poppenberger ihr Wissen, warum dein inneres Feuer vielleicht nur auf Sparflamme brennt – und wie du es wieder richtig zum Lodern bringst! In dieser Folge erfährst du:

Invité Afrique
«L'institution que j'aurais voulu à 20 ans»: Liz Gomis dévoile MansA, la Maison des mondes africains

Invité Afrique

Play Episode Listen Later May 31, 2025 5:37


En septembre 2025, la Maison des mondes africains ouvrira ses portes à Paris, après un véritable parcours du combattant pour trouver un lieu. À sa tête : Liz Gomis, journaliste et réalisatrice, de caractère bien trempé, qui n'esquive pas les tensions du moment. « C'est l'institution que j'aurais voulu à 20 ans », confie-t-elle. Elle porte ce projet avec force, mémoire et convictions. Rencontre avec une femme bien trempée, portée par un désir de transmission, de réparation, et de dialogue entre les récits afro-diasporiques et l'espace culturel français. RFI : Pour celles et ceux qui ne la connaissent pas encore, qu'est-ce que la Maison des Mondes Africains, la MansA ?Liz Gomis : La MansA, c'est une institution culturelle. C'est également un laboratoire. Nous ne nous inscrivons pas comme un musée puisque nous n'aurons pas de collection d'œuvres d'art ou autres. Nous sommes centrés sur la création contemporaine. Je dirais qu'on a un prisme aussi sur la création numérique et l'audiovisuel, parce que je viens de là. L'idée, c'est de pouvoir monter un centre qui sera pluridisciplinaire et qui croisera aussi bien les arts du spectacle, que la littérature, que le cinéma. MansA, le nom de l'institution, c'est Maison des mondes africains. Quand on dit mondes africains, on parle des Caraïbes, on parle des Amériques – du nord et du sud –, on parle de l'océan Indien et on parle évidemment de la diaspora européenne. Parce que l'idée, c'est justement de croiser ces savoirs. L'idée, c'est aussi de les faire découvrir parfois à un public plus jeune. Ce sera notre mission d'éducation, toujours sous le prisme de la culture, qui permettra, je pense, de permettre à certaines personnes de se libérer un peu de l'exigence – parce qu'on a toujours le sentiment qu'il faut avoir lu Achille Mbembe pour pouvoir rentrer dans ces sujets. Alors qu'en fait, on peut y entrer par différents biais. On peut y entrer par des œuvres d'art – en ce moment, il y a l'exposition au Centre Pompidou, Paris Noir – des moments musicaux, des moments d'expositions. Voilà, ce sera un bouillonnement de culture. Vous faites référence à Achille Mbembe qui est à l'origine de ce projet. Comment le projet a-t-il évolué depuis ce premier jet ? Achille Mbembe, effectivement, est à l'initiative de ce projet. Ensuite, j'ai vite été mise à contribution pour écrire le rapport de préfiguration. Achille est arrivé évidemment avec la philosophie et l'idée du projet, mais ensuite, il fallait transformer cela en un projet tangible. Voilà comment le projet a évolué. Je peux dire que j'y ai mis toutes mes tripes et j'y ai également mis une part de moi parce que, quelque part, la MansA, c'est un peu l'institution que j'attendais lorsque j'avais 20 ans. C'est l'institution qui m'aurait permis, il y a 20 ans, de mieux comprendre qui j'étais en tant que Française dont les parents sont nés sur le continent africain et qui parfois avaient du mal à trouver sa place. Aujourd'hui, j'en ai 24 de plus, donc je ne me pose plus cette question. Mais je sais que c'est une question qui continue de perturber et de questionner de jeunes gens et de jeunes femmes qui sont pleinement français et qui se posent toujours la question de savoir quelle est leur place dans le pays dans lequel ils sont nés. Vous parlez de cette difficulté à trouver sa place. Comment faire entendre cette voix dans une France où les crispations identitaires s'accentuent ? C'est toujours compliqué de monter un projet, en premier lieu. Évidemment, on sait bien que le sujet de l'Afrique et de ses descendants, cela crispe. Mais moi, j'ai juste envie de dire aux Français, ayez de la mémoire. Rappelez-vous qu'à un moment donné, on était content d'avoir les tirailleurs sénégalais. Rappelez-vous qu'on était heureux d'aller voir Joséphine Baker sur scène. Rappelez-vous que Manu Dibango était le directeur musical de la seule émission musicale de l'ORTF, Pulsations, et que le producteur était Gésip Légitimus. Rappelez-vous de tout cela. Je suis juste là pour dire, nous avons une mémoire. Si on fait le choix de se replier en invoquant le fantasme d'une France qui aurait toujours été monochrome, c'est un mensonge que l'on se fait. Ce pays a toujours été un brassage. Tout ce qu'on fait avec MansA, c'est de rappeler les Français à leur histoire. Il ne faudrait pas glisser vers cette voie du repli. Au fond, qu'est-ce que ça nous apporte ? On voit bien les États-Unis en train de se replier. Honnêtement, cela ne donne pas envie, ce qu'on est en train de voir aujourd'hui. Est-ce que c'est cela, la marche du monde ? Je ne crois pas. Comment est financée la Maison des Mondes Africains ?Pour l'instant, c'est financé par la puissance publique. Nous sommes en train de monter notre cellule de mécénat, parce qu'il s'agit aussi d'aller lever des fonds privés. Mais pour le moment, oui, nous sommes financés par la puissance publique. Personnellement, qu'est-ce qui vous porte dans ce projet ? Ce qui me motive, ce sont mes parents. C'est le parcours de mes parents. C'est de se dire qu'une femme qui s'appelle Émilie Mendy, qui est partie de Guinée-Bissau, qui est arrivée au Sénégal à l'âge de douze ans, qui est ensuite arrivée en France à l'âge de 19 ans, qui a fait des ménages et qui s'est battu toute sa vie pour en avoir une, de vie digne, mais aussi pour que ses enfants soient sur un chemin qui soit digne également. Ma motivation, c'est de me dire : « Je ne peux pas décevoir ce parcours. » Ma motivation première, c'est celle-ci, c'est d'abord de rendre hommage à mes parents. La deuxième motivation, c'est que maintenant, je regarde derrière moi et je vois les plus jeunes. Je ne peux pas me dire que ces plus jeunes vivront le même parcours que le mien. Je suis obligé d'être à la hauteur. Voici ce qui me motive tous les matins et qui fait que je me lève et que je me bats pour que cette institution existe parce qu'on a besoin de « role model », de modèles en français. Je ne sais pas si je suis un « role model », mais de voir les stagiaires d'observation qu'on a pu avoir nous renvoyer des messages en nous disant : « J'ai eu 20 sur 20 à mon rapport de stage et c'est grâce à vous, j'aimerais bien faire mon stage de seconde chez vous. » Alors que ce sont des gens qui sont motivés par le football et qui m'ont dit qu'ils n'avaient pas envie d'aller faire un stage dans un club de foot ou à la fédération. Pour moi, ce sont des victoires. Parce que pour une fois, ils se sont dit : « Je fais un stage d'observation et la directrice est une femme d'origine africaine, elle ressemble à ma sœur, elle ressemble à ma mère, elle ressemble à ma tante. En fait, c'est possible. » L'idée est de se dire qu'on a ouvert la porte. On offre un champ des possibles quelque part infini. Moi, à partir de ce moment-là, ma motivation démarre et après, plus rien ne peut m'arrêter.  À lire aussiLa Maison des mondes africains a trouvé ses locaux à Paris après des mois de controverses

Revue de presse Afrique
À la Une: une personnalité mauritanienne à la tête de la Banque africaine de développement

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later May 30, 2025 4:09


Après 10 ans sous la houlette du Nigérian Akinwumi Adesina, la Banque africaine de développement sera, pour les cinq années à venir, dirigée par Sidi Ould Tah. « Trois heures seulement ont suffi » s'étonne Sahara Médias, à l'élire. Réaction partagée parLe Monde Afrique, surpris que « le dernier candidat à être sorti du bois » ait « finalement coiffé tous ses adversaires au poteau, » et ce en trois tours seulement. Il faut dire que le parcours de Sidi Ould Tah lui a taillé un costume sur-mesure : « docteur en économie formé entre Nouakchott et la France, » rappelle Le Point Afrique, « passé (…) par la Banque mauritanienne pour le développement et le commerce, ». Il a surtout dirigé la Banque arabe pour le développement économique en Afrique pendant dix ans. Et sous sa direction, pointe Le Faso, l'institution a « financé des ports, des aéroports, participé à la construction de plus de 200 routes, (…) tout en générant une baisse des coûts de transport. » Coup de pouce des dirigeants mauritaniensSahara Médias raconte que pendant le vote, le président Mohamed Ould Ghazouani « passait plusieurs appels, » qui, croit savoir le titre, « ont joué un rôle décisif pour changer la donne. » Parmi ces contacts cruciaux, le Nigeria, qui a « changé de position de manière soudaine et décisive. » Et le résultat est là : plus de 76% des voix, contre un peu plus de 58% à l'époque pour Akinwumi Adesina. Mais attention, prévient Wakat Séra : il faut voir dans ce score élevé non pas un blanc-seing mais une « interpellation à la tâche. » La présidence de tous les défis Sur ce point, les journaux sont unanimes. D'abord, Sidi Ould Tah va devoir faire avec l'héritage de son prédécesseur. Akinwumi Adesina a, souligne Le Pays, « réalisé la plus importante augmentation de capital » de l'histoire de la BAD : ce dernier a plus que triplé en 10 ans.Plutôt donc que de s'affranchir de ce passé, le nouveau patron de la banque compte, analyse Le Monde, « s'inscrire dans la continuité des grandes priorités définies par son prédécesseur, » les ‘High Five' : électrification, accès à la nourriture, industrialisation, intégration et amélioration de la qualité de vie. Autant de points sur lesquels « les défis restent immenses », juge le quotidien.Environnement économique difficile Par rapport à 2010, la part que les pays africains consacrent à leur dette a connu « une hausse de 167% ». Et puis il y a les États-Unis et leur « désengagement progressif des mécanismes d'aide au développement », soit des centaines de millions de dollars en moins.Heureusement, se souvient Le Point Afrique, Sidi Ould Tah dispose de « relations de marque avec certains pays du Golfe » qui « pourraient l'aider à attirer de nouveaux capitaux. » Il a en tout cas quelques mois pour y penser : sa prise de fonctions est prévue le 1er septembre. Voilà qui devrait lui laisser le temps, conclut Wakat Séra, de « souffler un coup, en attendant de donner un nouveau souffle à la BAD ! » Une boisson inquiète en Côte d'IvoireElle s'appelle la Vody. Et ne vous laissez pas avoir par sa cannette au format aussi petit que ses couleurs sont éclatantes : 250ml de cette boisson contiennent « de la caféine, de la taurine, beaucoup de sucre, et 18 à 22% de vodka. » Voilà pour la recette, décortiquée par Le Monde Afrique. Et ça marche : « depuis son arrivée à Abidjan, au milieu des années 2010, retrace le quotidien, la Vody est devenue la boisson fétiche des rappeurs ivoiriens » qui la popularisent auprès des jeunes.C'est vrai, « le gouvernement ivoirien a tenté en 2023 de mettre un frein au phénomène » en interdisant l'importation de boissons énergisantes alcoolisées. Conclusion, les fabricants ont changé la recette de leurs canettes sur le marché local, « en retirant les composantes énergisantes. » Mais le taux d'alcool, lui, est le même. Or, raconte un adolescent, « le but premier a toujours été de se saouler, ». Et ce à moindre coût : une canette coûte entre 500 et 700 francs CFA, soit entre 0.75 et 1 euro. À ce prix-là, balaie l'étudiant, « si on veut l'effet énergisant, on peut se faire son cocktail soi-même. » La Vody a donc encore de beaux jours devant elle.

Monde Numérique - Jérôme Colombain

Les chatbots comme ChatGPT ou Perplexity risquent-ils de supplanter les moteurs de recherche traditionnels ? Une étude répond en partie à cette interrogation.Dans cet épisode, je décrypte une étude approfondie menée par One Little Web, qui analyse deux années de données de trafic web mondial (2023-2025) pour comparer l'usage des moteurs de recherche classiques (Google, Bing...) et des chatbots (ChatGPT, Gemini, Copilot…). Résultat : le trafic des chatbots explose (+80 à +90 % de croissance annuelle), mais, pour autant, ils restent encore très loin derrière les moteurs traditionnels qui génèrent encore 34 fois plus de trafic.On découvre aussi dans cette étude que Google demeure ultra-dominant (près de 88 % de parts de marché), tout comme ChatGPT côté IA (66 %). Et pendant que certains acteurs historiques comme Yahoo peinent à suivre, d'autres comme DeepSeek ou Grok connaissent une croissance fulgurante.Plus qu'un remplacement, c'est donc une coexistence qui semble s'installer. On comprend mieux pourquoi les moteurs, Google en tête, cherchent à intégrer au maximum l'IA. Les utilisateurs mixent recherche traditionnelle et réponse directe. Voilà qui modifie progressivement notre rapport à la connaissance.

Celtic Conversations with Christine Valters Paintner
Cultivating Seeds of Liberation Prayer Cycle: Day 5 Evening ~ Peace

Celtic Conversations with Christine Valters Paintner

Play Episode Listen Later May 29, 2025 15:02


All songs and texts used with permission. All rights reserved. Opening Prayer written by Melinda Thomas Opening Song: May I Be Empty by Batya Levine (a queer Jewish artist) © 2020, from the album Karov Sung Psalm Opening and Doxology: Richard Bruxvoort Colligan from the album Monk in the World: Songs for Contemplative Living Psalm 84: Interpretation by Christine Robinson, musical setting and sung by Simon de Voil Reading of the Night: Cynthia Bailey Manns, Embodied Spirits: Stories of Spiritual Directors of Color. Morehouse Publishing (2013) page 64. Closing Song: Nairobi Women's Peace Song by Karen MacKay and Nancy Nordlie, recorded by Lorraine Bayes from the album Cultivating Sees of Liberation: Songs of Justice and Joy Closing Blessing written by Melinda Thomas Prayers, readings, and blessings voiced by Claudia Love Mair and Jo-ed Tome. Audio engineering by Simon de Voil. Please note: All of the songs and prayer responses are published on albums in the Abbey of the Arts collection unless otherwise noted. In addition, these songs & responses have accompanying gesture prayers and/or dances created by Betsey Beckman that can be found on the corresponding video collections. Audio and video recordings of the Prayer Cycles are available at AbbeyoftheArts.com.

Celtic Conversations with Christine Valters Paintner
Cultivating Seeds of Liberation Prayer Cycle: Day 5 Morning ~ Peace

Celtic Conversations with Christine Valters Paintner

Play Episode Listen Later May 29, 2025 22:41


All songs and texts used with permission. All rights reserved. Opening Prayer written by Jo-ed Tome Opening Song: Arms of Love by Alexa Sunshine Rose from the album Cultivating Sees of Liberation: Songs of Justice and Joy First Reading: Tyler Sit, Staying Awake: The Gospel for Changemakers. Chalice Press (2021) page xli. Sung Psalm Opening and Doxology: Richard Bruxvoort Colligan from the album Monk in the World: Songs for Contemplative Living Psalm 46: Interpretation by Christine Robinson, musical setting and sung by Simon de Voil Second Reading: Howard Thurman, Meditations of the Heart. Beacon Press (2023) page 29. Prayers of Concern written by Jo-ed Tome Sung Response: Words by Abbey Dream Team. Music by Betsey Beckman. Arranged and performed by Alexa Sunshine Rose and Simon de Voil © 2025 Closing Song: Deep Peace by Bill Douglas, adapted by Simon de Voil Closing Blessing written by Jo-ed Tome Prayers, readings, and blessings voiced by Claudia Love Mair and Jo-ed Tome. Audio engineering by Simon de Voil. Please note: All of the songs and prayer responses are published on albums in the Abbey of the Arts collection unless otherwise noted. In addition, these songs & responses have accompanying gesture prayers and/or dances created by Betsey Beckman that can be found on the corresponding video collections. Audio and video recordings of the Prayer Cycles are available at AbbeyoftheArts.com.

Revue de presse Afrique
À la Une : la démocratie sénégalaise en examen de conscience

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later May 29, 2025 4:16


« Cap sur un nouveau pacte démocratique », s'exclame Le Soleil en première page. « Le dialogue national lancé hier par le président Bassirou Diomaye Faye marque une rupture salutaire dans la tradition politique sénégalaise. Longtemps perçus comme des exercices de rattrapage organisés sous pression, les dialogues politiques au Sénégal survenaient généralement lorsque le pouvoir était acculé, à la recherche d'une porte de sortie. Cette fois, il n'en est rien, affirme Le Soleil. L'initiative émane d'un pouvoir légitimé par les urnes, dans un climat apaisé, avec une volonté manifeste de refondation. Cela mérite d'être salué. »Pour le site d'information Senego, « l'heure du changement a sonné ». Il s'agit d'une « concertation historique qui vise à repenser en profondeur l'architecture politique et électorale du Sénégal dans un esprit d'inclusion et de cohésion nationale. Dans son discours d'ouverture, le président a insisté sur l'importance de mettre en place un système politique inclusif où tous les acteurs auront la possibilité de participer pleinement aux processus décisionnels. Cela implique des mesures visant à assurer une représentation équitable de tous les groupes, à faciliter leur accès à l'information et à promouvoir le dialogue et la collaboration. »Trois axes majeursConcrètement, précise Dakar Matin, « les travaux seront organisés autour de trois axes majeurs. Le premier point, “démocratie, libertés et droits humains“, sera abordé avec des sous-thèmes portant sur la rationalisation des partis politiques et du calendrier républicain, le financement des partis, le statut de l'opposition, la protection et renforcement des libertés publiques, la révision de certaines dispositions juridiques. Le deuxième point de discussion sera axé sur le processus électoral : révision et modernisation du système de parrainage, mise en œuvre effective du bulletin unique et vote électronique, audit et la sécurisation du fichier électoral, et inscription automatique et permanente des électeurs (…). »Enfin, précise encore Dakar Matin, « le troisième axe portera sur les réformes institutionnelles : transformation du Conseil constitutionnel en Cour constitutionnelle, création d'un organe indépendant de gestion des élections et discussion sur les attributions de l'organe de régulation des médias. »Un climat politique agitéVoilà pour le programme… Reste, pointe Le Monde Afrique, que « cette concertation nationale a été boycottée par quelques partis de l'opposition, dont celui de l'ex-président Macky Sall, qui accuse le pouvoir de s'en prendre à ses responsables. De nombreuses poursuites judiciaires ont (en effet) été lancées contre des dignitaires de l'ancien régime. Cinq ex-ministres ont récemment été inculpés par la Haute Cour de justice, pour des malversations présumées. Néanmoins, la majorité de l'opposition a pris part, hier, à la cérémonie d'ouverture de la concertation. »Jeune Afrique pour sa part rappelle que le Sénégal a déjà connu trois dialogues nationaux. « Deux des trois précédentes éditions de l'exercice se sont ouvertes dans des moments de fortes crispations : l'une, le 31 mai 2023, à la veille de la condamnation d'Ousmane Sonko à deux ans d'emprisonnement, épisode qui allait embraser le pays ; la seconde, le 26 février 2024, au climax d'une crise préélectorale provoquée par le forcing inattendu de l'ex-président Macky Sall visant à tenter de reporter la présidentielle. La session qui s'ouvre ce jeudi ne fait pas exception à la règle. Elle intervient dans un contexte de tensions entre le duo Diomaye-Sonko et le camp de Macky Sall. »« Parlons-nous ! »Alors, « de grâce, ne sortez pas les revolvers ! Parlons-nous ! », s'exclame le poète Amadou Lamine Sall dans une tribune publiée par Walf Quotidien. « Notre pays est certes debout, mais encore fragile, poursuit-il, inachevé, errant, corrompu par des contestations récurrentes devant des juridictions à qui le Droit et ses libertés d'interprétations donnent le tournis. On devrait pouvoir mettre fin à de telles impasses qui ouvrent sur des accusations fondées ou infondées. Les conclusions du Dialogue national doivent nous conduire à une vie politique régulée, implore encore Amadou Lamine Sall, décente, responsable, éthique, sécuritaire, désormais solidement gouvernée par des organes juridiques et institutionnels garantissant sans détours les libertés individuelles et celles de la justice, sans ôter à l'État son autorité et son pouvoir de veille publique. »

Dans Le Noir | Creepypasta
Survol Risqué

Dans Le Noir | Creepypasta

Play Episode Listen Later May 29, 2025 8:10


Histoire postée sur le subreddit Nosleep en Mars par l'utilisateur NumerousInformation4.Voici son histoire : On dit que l'île North Sentinel abrite l'une des dernières “tribus intactes” au monde. Un peuple si isolé, si farouchement territorial, que le gouvernement indien a interdit à quiconque de s'approcher à moins de cinq milles nautiques de la côte. On dit que les insulaires n'ont aucune notion du monde extérieur, aucune immunité contre les maladies modernes, et que toute tentative de contact est accueillie avec violence.Tu as sûrement vu les gros titres : un missionnaire transpercé de lances en essayant de les “sauver”, des hélicoptères de la garde côtière indienne criblés de flèches pour avoir volé trop bas. Une tribu violente, figée à l'âge de pierre. Voilà l'histoire qu'on raconte.Mais je ne pense pas qu'il reste qui que ce soit sur cette île. Du moins, rien d'humain.Source : https://www.reddit.com/r/nosleep/comments/1k1kt4f/im_a_pilot_last_month_i_flew_too_close_to_north/Pour m'envoyer vos histoires danslenoirpdcst@gmail.comPour participer à cette émission horrifique, écrivez à Dans Le Noir sur les réseaux sociaux, j'accepte tout le monde !Mon Instagram HorrifiquePATREONLE seul podcast qui fait peur !Armez-vous de votre casque ou de vos écouteurs !Podcast Horreur, Podcast Surnaturel, Podcast Paranormal & Podcast Creepypasta mais surtout un podcast qui fait peur !Bonne semaine horrifique à tous ! Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Les Grandes Gueules
L'économie du jour - Emmanuel de Villiers : "C'est un journal socialiste. C'est né à un moment où il n'y avait pas d'informations et de médias. On n'a plus besoin du service public. En voilà une grosse économie&qu

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 28, 2025 2:05


Aujourd'hui, Didier Giraud, Emmanuel de Villiers et Joëlle Dago-Serry débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Bruno dans la radio
Les chiffres de Maurine du 28 mai - Les 3 acteurs d'un reboot d'une célèbre saga cinématographique viennent d'être dévoilés

Bruno dans la radio

Play Episode Listen Later May 28, 2025 1:34


Chaque matin, Maurine nous dévoile des chiffres surprenants. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Celtic Conversations with Christine Valters Paintner
Cultivating Seeds of Liberation Prayer Cycle: Day 4 Morning ~ Justice

Celtic Conversations with Christine Valters Paintner

Play Episode Listen Later May 22, 2025 22:41


All songs and texts used with permission. All rights reserved. Opening Prayer written by Claudia Love Mair Opening Song: We Rise by Batya Levine (a queer Jewish artist) © 2020, from the album Karov  First Reading: Kat Armas, Abuelita Faith: What Women on the Margins Teach Us about Wisdom, Persistence, and Strength. Brazos Press (2021) page 72. Sung Psalm Opening and Doxology: Richard Bruxvoort Colligan from the album Monk in the World: Songs for Contemplative Living Psalm 37: Interpretation by Christine Robinson, adaptation, musical setting and sung by Simon de Voil Second Reading: Barbara Holmes, Joy Unspeakable: Contemplative Practices of the Black Church. Fortress Press (2017) page 11. Prayers of Concern: Claudia Love Mair Sung Response: Words by Abbey Dream Team. Music by Betsey Beckman. Arranged and performed by Alexa Sunshine Rose and Simon de Voil  © 2025 Closing Song: We Shall Be Known by MaMuse from the album Prayers for Freedom Closing Blessing written by Claudia Love Mair Prayers, readings, and blessings voiced by Claudia Love Mair and Jo-ed Tome. Audio engineering by Simon de Voil. Please note: All of the songs and prayer responses are published on albums in the Abbey of the Arts collection unless otherwise noted. In addition, these songs & responses have accompanying gesture prayers and/or dances created by Betsey Beckman that can be found on the corresponding video collections.  Audio and video recordings of the Prayer Cycles are available at AbbeyoftheArts.com.

Celtic Conversations with Christine Valters Paintner
Cultivating Seeds of Liberation Prayer Cycle: Day 4 Evening ~ Justice

Celtic Conversations with Christine Valters Paintner

Play Episode Listen Later May 22, 2025 14:55


All songs and texts used with permission. All rights reserved. Opening Prayer written by Cassidhe Hart Opening Song: May This Body Be a Bridge by Te Martin from the album Cultivating Sees of Liberation: Songs of Justice and Joy Sung Psalm Opening and Doxology: Richard Bruxvoort Colligan from the album Monk in the World: Songs for Contemplative Living Psalm 13: Interpretation, musical setting, and sung by Simon de Voil Reading of the Night: Barbara Holmes, Joy Unspeakable: Contemplative Practices of the Black Church. Fortress Press (2017) page 111. Closing Song: Prayer of St. Francis  by Simon de Voil from the album Monk in the World: Songs for Contemplative Living Closing Blessing written by Cassidhe Hart Prayers, readings, and blessings voiced by Claudia Love Mair and Jo-ed Tome. Audio engineering by Simon de Voil. Please note: All of the songs and prayer responses are published on albums in the Abbey of the Arts collection unless otherwise noted. In addition, these songs & responses have accompanying gesture prayers and/or dances created by Betsey Beckman that can be found on the corresponding video collections.  Audio and video recordings of the Prayer Cycles are available at AbbeyoftheArts.com.

Choses à Savoir
Pourquoi l'alphabet commence-t-il par la lettre A ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later May 22, 2025 2:27


Voilà une question qui paraît simple, presque enfantine — et pourtant, sa réponse nous entraîne dans un voyage de plus de 3 000 ans, entre écritures anciennes, transmission culturelle et évolution phonétique. Car non, le choix de cette première lettre n'est pas arbitraire.Aux origines : un bœuf phénicienTout commence vers 1700 av. J.-C., chez les Phéniciens, un peuple de marins et de commerçants établi sur les côtes du Liban actuel. Ils développent un alphabet composé de 22 signes consonantiques — c'est l'un des tout premiers alphabets de l'histoire. Et la première lettre s'appelle ? aleph, ce qui signifie… "bœuf" en langue sémitique.Graphiquement, cette lettre représentait à l'origine une tête de bœuf stylisée, vue de face, avec deux cornes. Avec le temps, ce pictogramme se simplifie et s'incline à 90°, pour donner — des siècles plus tard — notre lettre A majuscule.D'Aleph à AlphaLes Grecs, qui adoptent l'alphabet phénicien vers le 9e siècle av. J.-C., gardent l'ordre des lettres mais adaptent leur prononciation. Le aleph devient alpha, et surtout, il gagne un son vocalique (le « a » que nous connaissons), car le grec avait besoin de voyelles, contrairement au système phénicien, purement consonantique.Les Grecs conservent aussi l'ordre alphabétique original — non pas pour des raisons linguistiques, mais par tradition. Cet ordre est ensuite transmis aux Romains, qui l'intègrent dans le latin, devenu à son tour le socle des alphabets occidentaux modernes, dont le nôtre.Pourquoi garder cet ordre ?Le classement alphabétique est resté essentiellement par convention. Une fois que les sociétés ont commencé à classer les informations — listes, dictionnaires, inventaires — il était pratique de garder un ordre fixe. Comme le aleph était déjà en tête chez les Phéniciens, le A s'est figé en première position au fil des siècles.Il n'y a donc aucune raison phonétique ou logique pour que le A soit en premier — c'est simplement une tradition millénaire, d'origine sémitique, transmise intacte jusqu'à aujourd'hui.En résuméL'alphabet commence par la lettre A parce qu'il descend du aleph phénicien, un symbole de bœuf devenu lettre. De l'Orient ancien à nos claviers modernes, le A est le premier par héritage culturel, pas par choix raisonné. Comme souvent dans l'histoire : c'est la coutume, et non la logique, qui fait autorité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.