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Patch, Matt and Bon, Ben Bond walk through the 3-1 defeat.
Imaginez un peu : transformer de simples cellules de peau en ovule.Imagine that: transforming simple skin cells into egg cells.Ouais.Yeah.Et qu'ils puissent être fécondés.And that they can be fertilized.C'est la prouesse que des chercheurs expliquent dans Nature Communications.This is the feat that researchers explain in Nature Communications.C'est potentiellement énorme pour l'infertilité mais ça soulève de sacrées questions.It's potentially huge for infertility but it raises some serious questions.Alors, premier point : la science derrière tout ça.So, first point: the science behind all this.L'équipe de Paula Amato de l'Oregon Health and Science University, eh bien elle a réussi à créer ces ovocytes humains fonctionnels.The team of Paula Amato from the Oregon Health and Science University, well, they succeeded in creating these functional human egg cells.Ils ont même pu être fécondés par des spermatozoïdes.They could even be fertilized by sperm.Bon, ça a donné des embryons, mais ils avaient des anomalies, alors ils ont été détruits, hein.Well, it resulted in embryos, but they had abnormalities, so they were destroyed, you know.Les idées d'application, il y en a : traiter certaines infertilités, permettre aux couples de même sexe d'avoir des enfants génétiquement liés ou pallier le manque de don de gamètes, un vrai sujet en France par exemple.There are ideas for application: treating certain infertilities, allowing same-sex couples to have genetically related children or compensating for the lack of gamete donation, a real issue in France, for example.Mais, attention, hein, Paula Amato le répète, on parle de moins d'une décennie avant d'imaginer utiliser ça en clinique.But, be careful, Paula Amato repeats it, we're talking about less than a decade before considering using this in a clinical setting.On en est vraiment qu'au tout début.We are really only at the very beginning. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Julien : Franchement, je suis trop content de ce spectacle de scène ouverte de stand-up qu'on a pu voir ce soir.Louise : Oui, j'ai adoré ça ! Bon, parfois y'avait des blagues qui partaient un peu dans tous les sens, mais certains des humoristes étaient vraiment drôles.Julien : Et puis l'ambiance était cool, les gens étaient indulgents avec les débutants. D'ailleurs, je crois que ça m'a donné envie de monter sur scène.Louise : Sérieux ? En vrai, ça pourrait t'aller vachement bien, mais faut que tu te prépares avant, car le public peut quand même être dur parfois. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Solenne est à la tête du podcast Finscale depuis 5 ans. C'est devenue LA référence en France et (largement au delà) sur les Fintech & Insurtech. Elle interroge chaque semaine celles et ceux qui innovent et prennent des décisions stratégiques dans l'industrie financière.Ensemble, on va se poser une question cruciale : comment faire émerger une Europe vraiment indépendante d'ici 10 ans ? Bon teaser
"Bon dia, Cubelles" obre la programació de Ràdio Cubelles a les 8 h. i t'acompanya fins les 10h amb les notícies més destacades de l'actualitat social, política, econòmica, cultural i esportiva del municipi. El programa es divideix en franges de mitja hora que volen donar cobertura a les necessitats dels oients en cada moment. podcast recorded with enacast.com
Els apartats amb informació i entreteniment del Bon dia i Bona hora, amb Roger Martí. podcast recorded with enacast.com
Bon dia! Desperteu-vos que les campanes de Sant Joan fa estona que toquen i aquest és l'Infopòdcast de Valls d'aquest dimecres 1 d'octubre. Comencem el nostre capítol informatiu explicant-vos que Valls per la República, plataforma que agrupa les entitats i els partits independentistes de Valls, organitza aquest dimecres un acte conjunt per commemorar l'1 d'Octubre […]
Nous vivons tous et toutes des moments de transitions au cours de nos vies. Nous changeons d'emploi; nous connaissons des ruptures; nous déménageons dans une autre région. Comment réagissons-nous durant ces moments? Quelles sont nos sources de réconforts dans ces événements voulus ou non? Dans ce premier épisode de la quatrième saison, Joan et Stéphane nous partagent des moments personnels pour illustrer les réalités et les défis des transitions professionelles et intimes. Site internet: https://questiondecroire.podbean.com/ ApplePodcast: https://podcasts.apple.com/us/podcast/question-de-croire/id1646685250 Spotify: https://open.spotify.com/show/4Xurt2du9A576owf0mIFSj Réfome: https://www.reforme.net/podcast/ Contactez-nous: questiondecroire@gmail.com Notre commanditaire: L'Église Unie du Canada Moncredo.org * Musique de Lesfm, pixabay.com. Utilisée avec permission. * Photo de Caleb Jones, unsplash.com. Utilisée avec permission. Bonjour, bienvenue à Question de croire, un podcast qui aborde la foi et la spiritualité une question à la fois. Cette semaine, comment aborder les transitions professionnelles ? Bonjour Stéphane. Bonjour Joan. [Joan] On est de retour après un été un peu chargé de mon côté et du tien. [Stéphane] Oui, moi aussi. J'avais dit que j'étais pour faire des capsules, peut-être cet été. Je n'ai pas pu. Je m'en excuse à toutes les personnes qui sont à l'écoute. Ça a été très chargé. Un déménagement pour Joan [Joan] Et en parlant d'ailleurs de transition, là on va transitionner vers les soixante-dix ou septante quelque chose épisode. Bravo à nous ! [Stéphane] Oui, notre quatrième saison. [Joan] Et puis, moi j'ai une grosse transition cet été puisque ça y est, on a déménagé en famille en Suisse, après plusieurs années, voilà, d'exploration. Pour démarrer un petit peu la thématique de cet épisode, il y a un collègue il n'y a pas longtemps qui m'a écrit un WhatsApp comme ça, mais comme on dit en anglais, out of nowhere, c'est-à-dire vraiment qui est sorti de nulle part et il m'a écrit, peut-être qu'il se reconnaîtra, tu as trop de missions, je m'y perds dans ton cahier des charges. Et c'est vrai qu'entre cette période où j'étais entre l'Alsace et Zurich et puis l'Alsace et Lausanne, et maintenant j'ai un 80% pour les solidarités, notamment la migration et soutien aux paroisses autour d'Yverdon. Et j'ai aussi un 20% pour toute l'Église cantonale sur les questions d'inclusivité et de conjugalité plurielle. Alors moi, je le comprends. Il n'y a pas que lui qui est perdu. Je crois que mes parents sont perdus. Moi-même, des fois, je suis un peu perdue, mais vraiment très, très heureuse. Et puis aussi heureuse de te retrouver, Stéphane, et de retrouver les auditeuristes avec cet épisode de la rentrée. Les changements au travail [Stéphane] C'est vrai que ça peut être déstabilisant, mais en même temps, les transitions professionnelles, les changements, les nouveaux boulots, c'est une réalité de toutes les personnes. Ce n'est pas juste les pasteurs. Toutes les personnes à notre écoute, je suis pas mal convaincue, elles ont connu ou elles connaîtront beaucoup de changements de carrière, de boulot, de couple. Ça fait partie des choses normales de la vie, mais on dirait que c'est un petit peu plus difficile pour les pasteurs. On dirait que les gens aiment bien nous mettre comme dans une case. Toi, tu es pasteur à tel endroit, puis toi, tu es pasteur à un autre endroit, et on peut être là pendant 10, 15 ans, et les gens sont surpris qu'il y ait un changement. Tandis que pour monsieur et madame, tout le monde qui nous écoute, oui, il y en a qui demeurent dans la même boîte pendant 10-15 ans, mais il y en a plusieurs qui changent et on ne se casse pas la tête avec ça. Les transitions professionnelles [Joan] Ça me touche ce que tu dis parce qu'on a quitté vraiment une communauté qui était devenue une famille en Alsace, la paroisse Sous les Platanes, Grafenstaden, et on a eu droit à beaucoup de louanges, de prières, d'accompagnement pour cette transition. Et parmi les prières, il y avait aussi des prières qui étaient un petit peu des prières comme dans les psaumes, des prières un peu de lamentation. Au moment de nous envoyer, certains ont eu besoin de laisser monter un cri vers le Seigneur et de dire « Mais pourquoi Seigneur? Pourquoi tu nous les enlèves? On ne comprend pas, pourquoi est-ce que ça s'arrête? » C'est compliqué de comprendre les plans de Dieu. Et puis, en même temps, moi, je me disais, c'est beau de lancer ce cri vers Dieu. Et je trouve que cette confiance, elle est édifiante. Mais d'un autre côté, nous, on est des pasteurs. On est restés neuf années dans cette place. Je comprends tout à fait le cri vers le ciel. Et d'un autre côté, je me dis, notre vocation à nous, c'est d'être un peu en itinérance, d'être un peu en mouvement, en déplacement. Puis, comme tu dis, il y a beaucoup de métiers, en fait, où il y a du turnover. Je me rappelle l'une des réunions scolaires pour l'une de mes filles où le chef d'établissement a dit, « Écoutez, on va se mettre tout de suite d'accord. Là, on va parler des options, des options scolaires pour cette année. Mais maintenant, en fait, tout peut servir. » En fait, on n'est plus dans une époque où tu rentres dans une boîte et puis on te fait la fête d'au revoir pour la retraite 43 ans après ou quoi. On est dans une époque où vos enfants, en fait, ils vont changer peut-être dix fois de poste. Et donc, si là, ils font une option scolaire qui ne vous semble pas nécessaire ou importante, vous n'en savez rien, parce qu'ils vont avoir un itinéraire professionnel très varié, très changeant. Et moi, ça m'a fait du bien, tu vois, qu'il y ait ce grand temps de culte et de prière à l'Église. Et j'aimerais bien savoir, moi, les auditeurs, les auditrices, comment est-ce qu'ils et elles vivent leur temps de transition. Les transitions volontaires et involontaires [Stéphane] Et il y a les transitions voulues, et il y a des moments où ce qu'on est, pour prendre une expression que j'aime bien, expulsé de notre zone de confort. Quand je pense à des transitions voulues, je suis retourné aux études à 30 ans pour faire ma théologie. J'avais un emploi, bon, ce n'était pas une grande carrière, ce n'était pas spectaculaire, mais j'avais un boulot. L'argent rentrait, tout allait bien. Et j'ai laissé ça derrière moi pour devenir pasteur parce que c'est ce que je ressentais comme appel. C'est sûr que lorsque j'ai partagé ça avec des gens avec qui j'avais mon travail avant de rentrer aux études, ils étaient surpris. « Qu'est-ce que c'est ça? C'est complètement différent de ce que tu fais. » « Oui, mais c'est une autre facette de moi-même. On a plusieurs côtés dans notre personne, Mais il y a aussi les moments où on perd notre emploi parce qu'on se fait congédier, parce que la boîte ferme, parce qu'on est obligé de fuir son pays. Il y a ces transitions-là qui amènent plus de douleurs, avoir l'impression de perdre quelque chose. Oui, on peut toujours dire, ah, mais il y a des nouvelles possibilités qui s'ouvrent devant soi, il y a de nouvelles façons de voir les choses, mais il y a ce côté-là, un peu de douleur, un côté d'être peut-être un peu victime, dans le sens que ce n'est pas soi qui prend pleinement la décision. Il y a ces deux côtés-là au niveau des transitions et comment on navigue ça et comment on réagit aux transitions des autres. Joue un peu là-dedans, il faut avoir un peu de tact. Les transitions dans nos vies personnelles [Joan] Et puis, c'est important de se donner du temps pour les transitions. Et parfois, comme tu dis, on n'a pas le temps. En fait, parfois, on subit des choses de plein fouet pour lesquelles on n'est pas prête, je pense. Et puis, là, je mets un traumavertissement. Je pense à l'une de mes meilleures amies dont le mari était certes très malade. Ça, c'est vrai, il était très malade. La possibilité, l'éventualité d'une fin de vie était régulièrement évoquée par les médecins, mais à aucun moment on ne lui a dit qu'il pouvait mourir d'une crise cardiaque à cause des différents médicaments qu'il prenait. C'est une éventualité à laquelle elle n'était pas prête, elle n'était pas préparée plus précisément. Et cette crise cardiaque lui est tombée dessus. Et elle n'a pas eu le temps de s'y préparer du tout, contrairement à tout ce qu'on lui avait dit sur les soins palliatifs qui lui auraient donné du temps finalement. Et en l'occurrence, je me rends compte combien, en proportion gardée, cet été, la direction d'Église a décidé de me donner deux mois de remplacement en paroisse, de me laisser prendre des congés un peu longs, de me laisser prendre du temps pour le déménagement. Tout ça, ça a été bienfaisant et ça m'a aidée aussi à faire les différentes transitions entre les postes, entre les régions, entre les cures ou les presbytères. Et c'est un privilège d'avoir du temps, c'est un privilège. Et je crois que je vais me souvenir toute ma vie de ce temps qui m'a été donné pour aller mieux, pour me reposer. Vraiment, ce mot, la reposer, il est important, je trouve. J'espère que moi-même, le jour où j'aurai l'occasion de donner du temps à quelqu'un, je me rappellerai qu'on m'en a donné aussi. L'importance des temps d'arrêt [Stéphane] Je t'écoute et ça me fait penser à cette traversée du désert des Hébreux. Une des façons qu'on nous a expliqué ça, c'est que ça ne prend pas 40 ans de marcher d'Égypte à la terre promise, mais il a fallu 40 ans pour que les gens acceptent de laisser aller une identité pour laisser place à une autre identité. Et ce qui est quelque chose de positif là-dedans, aussi dans cette histoire, c'est que malgré toutes les pérégrinations, les erreurs, les détours, Dieu était toujours là. Et lorsqu'on arrive à des endroits dans nos vies où on a l'impression qu'on traverse un désert. Moi, j'ai dû abandonner un poste pastoral malgré moi. Tout ce temps-là, entre deux postes pastorales, qui a duré environ presque 18 mois, j'ai souvent appelé ça ma traversée du désert. Parce que, du jour au lendemain, je n'avais plus rien. J'avais encore de l'argent, ce n'était pas ça le problème, mais j'avais plus mon identité de pasteur, je ne savais pas quoi faire, je tournais en rond dans la maison. J'ai dû énerver mon épouse huit fois par jour. Mais parfois on a besoin de ce temps-là, de désert, de jachère, peu importe, avant de se relancer. Juste se poser, juste refaire son énergie, juste changer sa façon de voir les choses et réfléchir. Qu'est-ce que je veux faire? C'est quoi la prochaine étape? Moi, je voulais continuer à être pasteur, mais peut-être que j'aurais pu découvrir que c'était autre chose. D'être confronté presque malgré soi-même, parce que c'est facile de dire on enchaîne les boulots, on enchaîne les contrats, ça va bien, mais d'avoir ce moment-là où on est obligé de se poser la question, Est-ce que c'est vraiment ça que je veux faire? C'est important aussi d'avoir ce temps d'arrêt C'est frustrant lorsqu'on est dedans, c'est vraiment désagréable dans mon cas, mais c'était très bénéfique pour moi en tant que personne. Explorer ses temps de transitions [Joan] Mais là, tu parles de temps d'arrêt. Et parfois, c'est important quand on fait une pause, quelque part, que quelqu'un nous écoute. Et je dois dire que vraiment, la Saint-Esprit m'a donné un superviseur digne de confiance. Voilà, je ne vais pas rajouter non plus des superlatifs et dire qu'il est super génial et tout. Quelqu'un que je connais dans le cadre de la supervision et qui, dans ce cadre-là, a su trouver la bonne posture qui me sécurise, qui me permet de me sentir accompagnée, reconnue, et puis aussi parfois challengée, interrogée, déplacée, parce que moi j'ai besoin de ça aussi. Et c'est incroyable combien quelqu'un qui t'écoute et qui a la bonne place, qui te déplacent aussi un peu dans un questionnement bienveillant, ça aide pour un temps de transition, ça aide, mais formidablement. Et on parle de quoi? On parle de deux, trois heures chaque deux mois, mais ça fait tout en fait. Et la supervision, pour celles et ceux qui peut-être ne connaissent pas le concept, ce n'est pas tout à fait comme un ou une psychologue, c'est-à-dire que la supervision peut avoir une dimension thérapeutique bien sûr, mais le ou la superviseure n'est pas là pour t'aider à réfléchir à tes traumas passés avec tes parents, ta famille, tes chéris. Mais le ou la superviseure est là pour t'aider à retrouver le fil, le fil spirituel, le fil de ta relation au Christ dans ta vie. Et puis nous les ministres, elle est là pour nous aider aussi à relier en nous les choses qui font sens, à nous relier de nouveau à notre vocation, à notre appel au Christ, aux Écritures, voilà, le ou la superviseuse sont là pour ça. C'est un exercice qui a l'air tout simple, mais ce tricotage-là, il demande quelque chose de très profond dans ces personnes, vraiment un ancrage profond dans le Christ. Avoir une diversité de gens pour nous accompagner [Stéphane] Et peut-être pour les personnes qui n'ont pas la chance d'avoir quelqu'un de cette nature dans leur vie, il y a les proches aussi, il y a les amis, il y a la famille biologique et la famille choisie. Et ce que j'ai remarqué souvent, c'est les personnes qui ont des cercles homogènes dans leurs amis, dans leurs collègues. C'est bien d'avoir des atomes crochus dans ce sens-là, mais lorsqu'on est obligé de quitter une Église, où comme toi, ce n'est pas juste une paroisse, tu changes de pays, tu changes de région, tout d'un coup, ils n'ont plus de proches, qui n'ont plus de réseau et je pense que ça rend ces transitions professionnelles peut-être plus difficiles. Souvent on me dit « bon, as-tu un bon cercle de support Stéphane en tant que pasteur? » Je dis oui et ce que je dis c'est que j'ai la chance d'avoir plein d'amis qui ne vont pas à l'église. Les gens sont surpris. Je dis oui, mais je peux parler de mon boulot comme tout le monde parle de son boulot à leurs proches et on se rejoint sur d'autres choses. Je n'ai pas pris des personnes comme ça d'une manière aléatoire sur la rue. On se rejoint sur d'autres choses. Mais c'est peut-être important, justement, sachant que nous vivons tous et toutes des transitions professionnelles. De ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier parce que ça peut être une mauvaise surprise à un certain moment. Si tous nos amis sont reliés à un emploi, on perd l'emploi, on peut perdre nos amis. Il y a quelque chose de sain d'avoir cette diversité-là autour de nous. Ne pas fuir ses émotions durant les transitions [Joan] Et puis tu parles d'église avec le petit e, de paroisse, mais d'une façon générale, mon expérience, c'est que l'Église n'est pas très douée pour les situations sur le seuil. Alors le deuil, oui. On sait assez bien faire l'absence, les étapes du deuil, accompagner les gens. Mais je l'ai remarqué avec notre départ d'Alsace, la direction d'Église en Alsace était toute paralysée, figée, stupéfaite. Je les comprends d'un côté, deux pasteurs qui partent, ce n'est pas rien un couple de pasteurs. Et puis, en même temps, je me dis que cette notion d'être comme figé ou presque endormi ou assoupi, ça me rappelle cette fameuse nuit, cette fameuse nuit au Mont des Oliviers, où Jésus demande une seule chose à ses disciples, à ses copains, à ses plus proches, c'est de veiller de ne pas s'endormir. Mais ils s'endorment parce que peut-être la tension est trop forte, parce qu'il y a trop d'émotions. Et c'est ça qui est compliqué dans les périodes de transition, c'est que moi je suis là avec mes émotions, puis celles et ceux dont je me sépare ou qui font qu'on se sépare, ils sont aussi tout pleins d'émotions. Et puis on aurait envie de croire que c'est la faute des uns ou des autres. Mais non, la situation est super inconfortable et elle ne peut que révéler ce trop plein d'émotions. Et d'ailleurs, je parlais avec une personne qui m'est proche et chère et qui est dans un processus de séparation avec une autre personne qui m'est aussi proche. Cette personne me disait, voilà, les cartons sont en train d'être faits, on est en train de regarder ensemble dans les armoires qu'est-ce qui appartient à qui, et puis tous les soirs on pleure. Mais on finit de pleurer ensemble et puis on va chacun se coucher dans son lit et avant de se coucher on se dit bonne nuit, c'est quand même la bonne décision. Et je suis très touchée par ça parce que parfois la situation est... Terriblement prenante, exigeante, mais ça reste la bonne décision. C'est quand même ça qu'il faut faire. Les multiples raisons derrières nos transitions [Stéphane] Tu as touché un point intéressant, c'est qu'on ne comprend pas toujours. On ne sait pas toutes les histoires derrière les choix. Je vais te partager ça. J'ai eu une conversation en 2011. Je travaillais dans un comité pour préparer le Conseil général de l'Église unie du Canada. Il y avait une personne qui travaillait pour l'Église, Karen Smart. Je ne crois pas qu'elle nous écoute, elle n'est pas bilingue. Et moi, un peu plus jeune, un peu moins sage, j'ai dit « Ah, moi, je suis un pasteur de paroisse. Moi, je ne serais pas capable de faire autre chose. C'est ça mon appel. Et elle m'a regardé ici. « Penses-tu que moi, vraiment, je voulais un poste administratif dans l'Église? C'était mon premier choix. » Puis là, elle m'explique qu'elle a un enfant qui a un handicap physique et qu'un horaire de pasteur de paroisse qu'elle avait, c'était devenu trop difficile parce que sa fille avait des besoins, il y avait des traitements, il y avait des choses comme ça. Donc, elle a choisi un poste avec un horaire plus régulier pour avoir une meilleure présence auprès d'elle. Elle a fait ce choix, elle l'assumait très bien, mais ce n'était peut-être pas son premier choix. Elle a fait cette transition-là pour le bien de sa famille. Et je peux pas m'empêcher de regarder qu'à 15 ans plus tard, j'ai quitté un poste de paroisse pour accepter un poste administratif dans mon Église. On m'a offert un très beau poste, mais il y a une partie que, oui, j'ai acceptée pour être plus proche de mon épouse et de mon fils, parce qu'il y a des enjeux pour chacun, et d'avoir un horaire un peu plus stable, un peu plus régulier, c'était bien pour ma famille. Des fois, il y a aussi ça dans les transitions professionnelles. On fait des choix pour soi, peut-être pour les autres qu'on aime, puis c'est important, et les gens ne comprennent pas toujours. Ils prennent pour acquis ou « Ah, bon, un tel a pris ce poste-là parce que ça payait plus. » Peut-être, mais ça permet d'être plus à la maison. C'est peut-être ça qui a joué. Donc, parfois, il faut faire attention à ces choses-là lorsqu'il y a transition professionnelle. Changer pour suivre son appel [Joan] Bien sûr, tout un chacun peut voir ma situation à tel ou tel endroit. Par exemple, je pense à ces deux personnes qui se séparent. Et la plupart des gens pourraient se dire qu'il n'y a aucune raison que ces personnes se séparent. Et puis, peut-être aussi nous, dans une certaine mesure, on était si bien dans notre communauté en Alsace. Mais il y a toujours la question qui est de savoir où est ma meilleure place. Où est-ce que je vais rayonner, en fait ? Où est-ce que je vais pouvoir vivre pleinement ma vocation ? Et ça, parfois, ça demande des tâtonnements, ça demande des essais, ça demande des transitions, ça demande des changements, ça demande des ruptures. On est vraiment très, très, très, très loin des itinéraires de jadis, c'est vrai. Et peut-être que l'on contribue comme ça à la fragmentation du monde, et peut-être que c'est une mauvaise chose, peut-être qu'on devra avoir beaucoup plus de discipline et s'obliger à rester à des endroits pour des raisons, par exemple, je ne sais pas moi, des directives d'Église. Mais d'un autre côté, il n'y aurait pas beaucoup de sens, parce que c'est devenu si important pour tout un chacun, cette notion un peu de développement personnel. Alors moi, je ne prends pas le côté New Age, mais je prends le côté, comment est-ce que je peux rayonner l'amour du Christ ? Comment est-ce que je peux le mieux être détendue dans ma relation aux autres, comment est-ce que je suis la mieux positionnée pour servir le Christ et son Église ? Alors peut-être que beaucoup, beaucoup de nos prédécesseurs, prédécesseuristes l'ont fait par contrainte, par question morale, par obligation, et peut-être que ça a porté du fruit, et puis voilà, vraiment je remets ça entre les mains de Dieu. Mais je crois que ce n'est pas vraiment comme ça qu'on va donner envie à d'autres de répondre à leur appel et de rentrer dans cette vocation. Je pense même qu'en termes d'exemple, c'est quand même mieux qu'on fasse les choses de façon à rayonner, de façon à être à la bonne place. Faire des transitions pour demeurer authentique [Stéphane] Tu me diras si c'est un peu la même chose dans ton coin du monde, mais ici tout est une question d'authenticité. Mais je pense qu'il y a quelque chose derrière ça. Lorsqu'on travaille avec des gens, nous en tant que pasteur, il y a plein d'autres boulots, il y a plein d'autres métiers et professions. Il faut être quelque part vrai. Si on sent que ce n'est pas incarné, ce n'est pas vécu, les gens s'en rendent compte. En même temps, ça amène un défi parce qu'on veut être authentique, mais il y a quand même la pression. Je te donne un exemple. Je ne suis plus en paroisse. Donc, la question qu'on me pose régulièrement, c'est à quelle paroisse vas-tu maintenant? Parce que tu es un pasteur. Tu n'es peut-être pas assigné à une paroisse, mais il faut que tu ailles à l'église. Eh bien, mes chers amis, je vais vous annoncer très honnêtement que ça fait environ huit mois que je n'ai pas été au culte le dimanche matin. Mais la question c'est, est-ce que je suis encore un pasteur? Est-ce que je suis encore un croyant? Moi je pense que oui, je fais toujours du ministère. Je n'ai pas arrêté pendant que j'étais en paroisse de dire aux gens, dimanche matin c'est bien mais vivre sa foi tous les jours, toutes les heures de la semaine, moi je trouve c'est bien aussi, c'est tout aussi bon. On essaie de trouver son chemin, on essaie d'être authentique, on essaie de concilier nos valeurs, notre profession, nos demandes, nos obligations. Comment trouver un milieu là-dedans? Quand on est en transition, comme toi, on change de région, on change de pays, quand on change de boulot, peut-être qu'on est obligé de changer de réseau. On veut demeurer honnête et en même temps on veut se donner de la place. Comment qu'on fait tout ça, ce n'est pas facile. Il y a cette pression extérieure de dire oui mais il faudrait que... Je comprends, mais il faudrait aussi que je dorme une fois de temps en temps, il faudrait que je vois mes amis aussi une fois de temps en temps, il faudrait que je garde une santé mentale, émotive et spirituelle une fois de temps en temps. Donc, il y a tout ce tiraillement et peut-être, comme tu disais, on est peut-être un peu mal équipé ou on ne réfléchit peut-être pas assez sur tous ces enjeux-là. Transition en sororité [Joan] En fait, l'année dernière, il y avait tellement de transitions autour de moi, dans ma propre vie professionnelle, avec cette amie qui a perdu brusquement son mari, une autre amie qui divorçait, une autre qui se séparait. Autour de moi, c'était un genre de tourbillon. Et donc, j'ai proposé à ces trois amies-là qu'on fasse un groupe WhatsApp qui s'appelait « Transition en sororité ». Et on se racontait un petit peu tout le bazar que c'était de changer, de changer de statut. Alors, ma copine qui est devenue veuve d'un seul coup, elle a découvert des trucs fous autour du veuvage, les dossiers dont s'occupait son mari. Puis quand elle voulait les reprendre, s'il y avait des hommes autour, ils disaient « laisse, laisse, laisse-moi faire, maintenant que tu n'as plus de mari ». J'aimerais vraiment garder la main sur les histoires de voitures ou de banques, s'il te plaît. On s'est rendu compte de plein de choses en discutant comme ça. Et cette période de transition, finalement, comme on l'a partagée à plusieurs, elle est devenue en tout cas pour la plupart trois au moins sur les quatre, c'est devenu un temps d'apprentissage, un temps d'exploration, un temps où on s'envoyait aussi à différents niveaux, chacune à un autre type de spiritualité, mais on s'envoyait beaucoup de ressources aussi intérieures pour cultiver un peu ce jardin intérieur, le lieu qui me relie à Jésus-Christ. Et puis, elles, ça se verbalisait autrement, mais c'était aussi hyper enrichissant. Et donc, je trouve que c'est beau de reconnaître que c'est difficile et puis de pouvoir faire appel à d'autres pour traverser ça, pour dépasser ça. J'ai une de mes meilleures amies qui va quitter un poste incroyablement, comment est-ce qu'on pourrait dire, coté. Le genre de postes où plein de gens font « waouh, waouh, dis donc, waouh ». Surtout à Paris, parce qu'elle a senti un appel en elle, comme toi un peu, pour reprendre les études de théologie. Elle ne s'est pas pour reprendre les études de théologie, mais elle a senti un appel en elle pour vivre tout à fait autre chose dans sa vie, pour être, comme tu dis, plus authentique. Elle vit une grande phase de transition comme ça. Elle a l'espace et la possibilité, peut-être financière aussi, peut-être l'environnement, comme tu dis, comme tu l'as fait toi pendant un an et demi, de regarder les choses en face et de les poser. C'est vrai que ça peut être un temps un peu dépressif. On pense à Eli, qui après avoir fait un certain nombre de conneries, des choses pas toujours très bien, tué des tas de gens, il passe par ce temps-là de dépression, un peu de déserts, et puis il cherche Dieu, il le cherche partout. Comme c'est écrit dans la Bible, Dieu c'est une petite brise, comme ça. Mais peut-être qu'on a besoin de passer par des moments comme ça jusqu'à ce qu'on ait cette brise, qu'on ait ce petit vent, ce petit souffle, qu'on le suive. Conclusion [Joan] Et tu sais, il y a une phrase qui m'énerve un petit peu des fois, qu'on utilise beaucoup dans les milieux chrétiens. J'aimerais bien voir l'avis des auditeurs, auditoristes, pour savoir si ça s'utilise ailleurs. Mais quand on nous dit « le meilleur est à venir ». Et puis alors, si tu veux être malin, tu écris « avenir » comme l'avenir, le futur, quoi, le meilleur est à venir. Mais c'est vrai que c'est quelque chose qu'il faut qu'on rappelle aux gens qui sont en transition, parce que quand t'es dedans, quand t'es vraiment là, dans le truc compliqué, t'as vraiment l'impression que t'as laissé, comme tu dis, la terre où t'avais tout, même si c'était une terre un peu d'esclavage, et que tu t'en vas vers quoi, en fait ? Bon, bah allez, hop, on y va. Le meilleur est à venir. [Stéphane] Et c'est le cas pour notre podcast parce qu'il y aura plein d'épisodes en cette quatrième saison. [Joan] Envoyez-nous des questions. [Stéphane] Oui, vos suggestions, on en a eu quelques-unes cet été, ne gênez-vous pas. Je veux prendre quelques secondes pour remercier l'Église unie du Canada, notre commanditaire. Peu importe la plateforme sur laquelle vous nous écoutez, n'oubliez pas d'aimer, de vous abonner, si on peut laisser un commentaire ou une note, et de partager. Alors, si vous voulez nous contacter, j'ai oublié de vous donner l'adresse courriel questiondecroire@gmail.com. Merci, Joan, pour cette nouvelle saison. [Joan] Merci Stéphane pour la confiance et merci l'Église Unie du Canada. [Stéphane] À très bientôt, au revoir. [Joan] Au revoir.
Le 24 avril 2002, au château de Montaiguillon en Seine-et-Marne, une jeune femme fait une macabre découverte. Alors qu'elle vient lui rendre visite, elle trouve son ami Frédéric Landelle, gardien passionné du site, sans vie. Il a été abattu d'une balle de calibre 12 tirée depuis l'extérieur. La mise en scène intrigue aussitôt les enquêteurs : fils téléphoniques sectionnés, absence de douilles, tir parfaitement ciblé. Tout indique un acte prémédité commis par quelqu'un connaissant les lieux...Tout d'abord, les gendarmes explorent la thèse d'un conflit de voisinage. En creusant dans ce sens, ils découvrent que Frédéric avait, dans les environs, une réputation de marginal voire même d'illuminé. Bon nombre des villageois eux pensaient qu'il occupait la maisonnette du château de façon illégale et voyaient d'un mauvais oeil les aller et venues de tous ces médiévistes venus faire la fête en tenue d'époque devant de grands feux de camp.
Bon, vous l'aurez compris, dans ce podcast je vous raconte tout, et ce serait vraiment très malhonnête de ma part de filtrer et de ne vous raconter que le positif de ma vie d'artiste et de chef d'entreprise. Surtout que tout le monde y perdrait parce que le plus pédagogique et le plus intéressant, j'en suis persuadée, ce sont les échecs, les impasses et les coups de massue. Et d'ailleurs, en parlant de coup de massue...Lien vers mon livre "Écrire l'humour" :https://www.amazon.fr/%C3%89crire-lhumour-Christine-Berrou/dp/B0BB65QKZX/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=36XRDIP3O22J7&dib=eyJ2IjoiMSJ9.2R2GKlw_dvBCBkBXTzFcBg.nLcRm3XoaX8QpXDSiXuYr6oNenVBFPCGZfOll22-kUg&dib_tag=se&keywords=%C3%A9crire+l%27humour+berrou&qid=1756745047&sprefix=%C3%A9crire+l%27humour+berrou%2Caps%2C75&sr=8-1Liens vers mon autre podcast "Le Mois de la guerrière" :Apple Podcasts : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/le-mois-de-la-guerri%C3%A8re/id1738987638Spotify : https://open.spotify.com/show/5V93IbBEOPv1W3QJ1jRHZKIMPORTANT : Il y a parfois un soucis avec Spotify, je vous informe donc que vous pouvez télécharger Apple Podcasts même si vous n'êtes pas client Apple.IMPORTANT 2 : Ce sont des abonnements payants (Avec 3 jours d'essai gratuit sur Apple Podcasts, vous pouvez donc tout écouter en 3 jours gratuitement ;) , mais si vous vous engagez au moins sur un mois, ça me permet de financer Gamberge, de ne plus payer mes techniciens occasionnels, mon matériel ou mes déplacements de ma poche
Bon dia! Desperteu-vos que les campanes de Sant Joan fa estona que toquen i aquest és l'Infopòdcast de Valls d'aquest dimarts 30 de setembre. Comencem el nostre capítol informatiu explicant-vos que el conseller de Justícia i Qualitat Democràtica, Ramon Espadaler, ha afirmat aquest dilluns que el nou Tribunal d'Instància de Valls, que es va posar […]
Bon. J'adore l'émission de dating de M6 qui vit sa vingtième saison (si si... ) et moi ma au moins 16e... J'adore, parce qu'il n'y aucun espace actuel télévisuel qui nous donne à voir le système patriarcal dans toute sa splendeur avec une telle candeur. Et que je crois dur comme fer que d'avoir conscience de tous ces gens autour de nous qui ne vivent et ne pensent pas comme nous, c'est très bon pour la démocratie (oui, ,tout de suite les grands mots...) et c'est hyper important de ne pas l'oublier, même si tout ceci a l'air tellement anecdotique. Bref. J'aime L'Amour est dans le Pré et je vous dis pourquoi...Bienvenue dans Les Bulles de Flo(w), un défi (un peu) fou : 100 bulles audio en 100 jours, entre confidences intimes, réflexions sensibles et outils concrets.Vous en avez, vous, de ces moments où vous avez choisi une voie plutôt qu'une autre ou alors que la vie s'en est chargée à votre place?Voici un joli sujet pour un lundi matin, n'est-ce pas?Je suis Florence Hügi, Facilitatrice des impossibles, et chaque jour, je vous propose une bulle pour souffler, questionner, transformer.Pas de perfection ici — juste des histoires, des ratés, des déclics.
Els apartats amb informació i entreteniment del Bon dia i Bona hora, amb Roger Martí. podcast recorded with enacast.com
Si aujourd'hui les Américains débarquent par colonies à Paris, on peut pointer du doigt les responsables : ça a commencé avec Le bossu de Notre-Dame, puis Midnight in Paris et Le Da Vinci Code, et puis ça ne s'est plus arrêté, j'en veux pour preuve Ratatouille ou la série Emily in Paris, puisque ça marche !, et c'est parti en vrille. Mais bon, les touristes américains ne datent pas des années 90. Il y a en Amérique, depuis plus d'un siècle, un véritable mythe du voyage à Paris avec tous ces couples de riches que montre si bien Woody Allen dans son film mais aussi tous ces couples aux revenus modestes qui économisent toute leur vie pour s'y rendre un jour. Voir la Tour Eiffel en vrai, et la vue depuis le troisième étage. Faire les grands magasins, les premiers de l'Histoire, avec leur architecture folle et leurs boutiques de luxe. Descendre les Champs Elysées. Ah ce n'est pas un hasard si la première chose que les Beatles vont faire en 1964, c'est de les descendre en compagnie d'une horde de photographes. On est en plein hiver, il fait glacial mais on va la prendre, cette photo, à la table d'une improbable terrasse ! Bon, il faut dire aussi qu'ils logent pas loin, à l'hôtel Georges V, sur la célèbre avenue du même nom qui converge, comme les Champs Elysées, vers l'Arc de Triomphe. Est-ce un hasard si la clientèle de cet hôtel était au départ essentiellement américaine, elle débarquait en masse des paquebots arrivant de New York. Les Beatles sont les premiers rockers à y descendre et à y loger longtemps, trois semaines, ils seront suivis par les Rolling Stones et tant d'autres comme les Doors. Et c'est ainsi que leur chanteur Jim Morrison débarque seul à Paris en 1970. Il songe en finir avec les Doors mais surtout se plonger dans cette ville qui le fascine. Et donc, ce n'est pas au George V qu'il va se retrouver en immersion : au bout d'une semaine il quitte ce qu'il appelle un bordel à tapis rouge, que je vous conseille quand même de visiter, c'est une merveille, pour un petit hôtel discret en plein quartier du Marais. C'est à la terrasse du Vin des Pyrénées, dans la rue Beautreillis, entre la Place des Vosges, la Bastille et la Seine, que Jim, un verre ou une tasse de café à la main, peut observer les gens passer, parler, vivre. Peu d'entre les passants reconnaissent sa grande carcasse avec sa barbe hirsute. Et quand il n'est pas là, il déjeune un peu plus loin dans la même rue, au Dindon en laisse. Les deux établissements existent toujours mais qui parmi ces milliers de touristes, sait la présence singulière que le lieu garde encore dans sa mémoire. On voudrait être une souris, une mouche sur le mur comme disent les anglo-saxons pour avoir pu entendre ce qui s'est dit à table, ces jours-là, entre Jim, sa petite amie, et ses potes.Car ils sont des millions d'Américains et d'Anglais à y venir encore, dans cette ville qu'ils qualifient de plus romantique au monde. Ils ne connaissent pas les chanteurs français, à part peut-être Edith Piaf, et encore, Jacques Brel, qui ne l'est même pas. Mais faut-il être Français pour être Parisien de coeur, la meilleure preuve est la chanson de Gary Moore, qui en dit tellement sur le fait que Paris est une fête, une ville où l'Amour se grave dans les pierres de ses façades et le pavé de ses ruelles.
"Bon dia, Cubelles" obre la programació de Ràdio Cubelles a les 8 h. i t'acompanya fins les 10h amb les notícies més destacades de l'actualitat social, política, econòmica, cultural i esportiva del municipi. El programa es divideix en franges de mitja hora que volen donar cobertura a les necessitats dels oients en cada moment. podcast recorded with enacast.com
Au Nord-Mali, l'accalmie sur le terrain militaire est trompeuse, affirment les rebelles touaregs du FLA, le Front de Libération de l'Azawad. « C'est le calme avant la tempête », précise le porte-parole du FLA, Mohamed Elmaouloud Ramadane. Depuis la sanglante bataille de Tine Zaouatène, il y a 14 mois, qui a coûté la vie à plus de 80 paramilitaires russes de Wagner, les rebelles du FLA et l'armée malienne affûtent leurs armes. Comment les rebelles se procurent-ils des drones ? Quels sont leurs vrais liens avec les jihadistes du JNIM ? De passage à Paris, le porte-parole du FLA répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI: Mohamed Elmaouloud Ramadane, bonjour Mohamed Elmaouloud Ramadane, depuis plusieurs semaines, aucun combat n'est signalé dans la région de Kidal et de Tinzawaten, les fiefs du FLN au Nord du Mali. Est-ce qu'on peut parler d'une accalmie ? Mohamed Elmaouloud Ramadane : Non, moi je ne pense pas que c'est une accalmie. Je peux dire que c'est ce qu'on appelle le calme avant l'arrivée de la tempête. Donc les FLA (Forces de libération de l'Azawad) sont bien présentes sur le terrain, de leur côté, l'ennemi aussi, il est là-bas. Ils sont soit à Kidal ou bien à Tessalit. Ils sont dans les camps laissés par la Minusma ou bien la force Barkhane. Et surveillés en général par les drones. Ils n'arrivent pas à quitter en dehors de ces camps comme auparavant. Ils avaient l'habitude de quitter, d'aller un peu dans les hameaux, d'aller sur les puits, de massacrer et de piller les populations. Maintenant, ce n'est plus le cas. Donc par rapport aux opérations ou bien aux combats, c'est une question de temps. C'est le terrain qui commande. En juillet 2024, il y a eu cette bataille de Tinzawaten, tout près de la frontière algérienne, où vous vous êtes affrontés durement aux forces armées maliennes et aux paramilitaires russes de Wagner. Vous dites que vous avez gagné, mais est-ce que vous n'avez pas perdu aussi beaucoup de combattants ? Bon, on ne peut pas faire la guerre et faire des combats sans perdre des combattants. L'essentiel, c'est de gagner la bataille. Nous avons gagné parce que nous avons détruit toute cette unité de mercenaires russes de Wagner. Aucun combattant n'a pu s'échapper, aucune voiture n'a pu s'échapper. Donc c'était une lourde défaite pour ces mercenaires. D'ailleurs, je crois que c'est une première sur le continent africain. Donc c'est vrai, nous avons perdu des hommes. D'ailleurs, on a même fait un monument à Tinzawaten avec les noms de tous les martyrs. C'est une vingtaine de nos martyrs avec une quinzaine de blessés. Et du côté des Maliens et des paramilitaires russes, quel est le bilan des pertes ? Vous savez, nous avons recensé à peu près 85 à 87 cadavres des mercenaires de Wagner avec quelques militaires maliens. Mais la majorité, c'étaient les mercenaires de Wagner. Nous avons aussi des prisonniers russes et des FAMA prisonniers. Combien de prisonniers russes avez-vous aujourd'hui ? Deux. Deux prisonniers ? Deux prisonniers russes. Lors de cette bataille de Tinzawaten de l'année dernière, vos ennemis ont utilisé des drones, mais vous aussi vous avez utilisé des drones. Quels sont les pays amis qui vous ont livré ces engins ? Nous n'avons aucun pays ami qui nous a vraiment livré ou bien dont nous avons bénéficié de son aide matérielle. Les drones sont sur le marché noir. On peut les acheter. Donc, ce sont des choses qu'on achète et qu'on sophistique et qu'on modifie, une fois arrivées chez nous. Depuis plus d'un an, le torchon brûle entre Alger et Bamako. Est-ce que naturellement l'Algérie s'est rapprochée de vous et vous a peut-être aidé à vous livrer en matériel ? L'Algérie, sa position par rapport à la question de l'Azawad a toujours été claire et par rapport au Mali en général. Donc il n'y a aucun rapprochement entre nous et les autorités algériennes, que ce soit politique, que ce soit autre chose, aucun rapprochement. En tout cas, Bamako est persuadé que l'Algérie vous sert de base arrière. Vous savez, Bamako accuse tout le monde. Accuse la France, accuse l'Ukraine, accuse l'Algérie. Qui n'est pas accusé ? Accuse la Côte d'Ivoire, accuse le Sénégal, la Mauritanie. Personne n'échappe à son accusation. Donc, c'est la théorie du complot qui les a toujours prolongés dans cette crise, qu'ils sont en train de vivre. Au Nord Mali, Il n'y a pas que le FLA, il y a aussi les jihadistes du Jnim. Vous avez combattu ensemble l'an dernier à Tinzawaten contre les forces armées maliennes et Wagner. Est-ce à dire que vous êtes désormais des alliés sur le terrain militaire ? Le Jnim n'est pas que dans l'Azawad. Il est un peu partout dans le Mali et dans tous les pays du Sahel. Il occupe une grande partie du territoire du Mali. Aujourd'hui, il est autour de Bamako et de Kayes. Donc, c'est un acteur qui est sur le terrain que nous ne pouvons pas nier. Nous sommes, c'est vrai, sur le terrain où il y a la présence des hommes du Jnim sur le territoire aussi, mais il n'y a aucune coordination entre nous. Vous connaissez l'adage « Les ennemis de mes ennemis sont mes amis ». Du coup, puisque vous avez les mêmes ennemis, est-ce que vous n'êtes pas devenus amis ? Oui, « les ennemis de mes ennemis sont mes amis », c'est vrai. Donc, on peut avoir un ennemi commun que nous combattons tous. Mais nous n'avons pas les mêmes objectifs. Le Jnim est présent un peu partout. Il a des revendications différentes des nôtres. Nous, nous sommes limités sur le territoire de l'Azawad. Nous n'avons pas d'autres combats en dehors de cela, nos revendications sont politiques. C'est seulement pour la population de l'Azawad. On ne veut pas aller au-delà de ça. Est-ce qu'il n'y a pas au moins, entre vos deux mouvements, un pacte de non-agression ? Exactement. Il y a un pacte de non-agression. Ça, je vous le confirme parce que, après les combats qui ont eu lieu sur la frontière avec la Mauritanie, entre les FLA et le Jnim en avril 2024, suite à cela, il y a eu des initiatives menées par des chefs des tribus, des communautés, parce que c'est leurs fils qui sont dans le Jnim et qui sont dans les FLA. Donc, pour éviter des confrontations, ils ont mis un mécanisme pour un accord de non-agression et pour éviter les accidents et les accrochages. À lire aussiNord du Mali: les rebelles du CSP veulent «un statut politique et juridique» pour l'Azawad À lire aussiRebelles du FLA et jihadistes du Jnim envisagent de mener des opérations conjointes dans le nord du Mali
En RDC, à la frontière avec la Zambie, environ 700 femmes de Kasumbalesa assurent le transport manuel des marchandises des petits commerçants. On les appelle les femmes « wowo ». Si leur travail est vital pour l'économie locale, il se fait dans la précarité et sous la menace permanente de violences. De notre correspondante de retour de Kasumbalesa, Dès le matin, les femmes « wowo », chargées de sacs de farine, de packs de biscuits, de lots de boissons sucrées pesant parfois de plus de 30 kilos, sont dans le couloir piétonnier de Kasumbalesa et dans la zone neutre. Un sac sur sa tête, Anto vient de braver les différentes barrières du couloir : « Il y a trois barrières. À la sortie de la Zambie, je paye 500 francs congolais. Au couloir, je donne 1 000 francs congolais et un peu plus loin, je débourse encore 1 000 francs congolais. Une fois en dehors du couloir, d'autres agents des services publics nous attendent. Des fois, je négocie avec eux et ils me laissent passer. » Des attouchements et des humiliations Au-delà de ces tracasseries, certaines femmes subissent des violences verbales de la part des agents publics. Jacquie, jeune femme veuve, rencontrée à la sortie du couloir piétonnier, témoigne : « On m'insulte souvent. Ces agents me disent. Pourquoi es-tu ici ? Où est ton mari ? Est-il incapable de te nourrir ? Bon, je n'en ai rien à faire, on supporte parce qu'ils ne connaissent pas ma situation. » D'autres subissent même des agressions sexuelles, déclare Régine Mbuyi, une autre femme « wowo » : « Lorsqu'un agent m'interpelle parfois, il me demande des faveurs sexuelles pour laisser passer la marchandise. Il arrive également que pendant la fouille, ces agents se permettent des attouchements jusque sur les parties intimes. C'est humiliant… » Les femmes « wowo » de Kasumbalesa n'ont aucune protection sociale ni de recours légal. L'Association des femmes actives dans le commerce transfrontalier (AFACT) dénonce une situation alarmante. Solange Masengo est la présidente : « Dans la zone de la Comesa, le Marché commun de l'Afrique orientale et australe, nous voyons les femmes assurer le transport transfrontalier sans problème. Mais ici, chez nous, ces femmes discriminées, elles sont chassées. Il y a des filles qui ont été humiliées et déshabillées, et nous avons des preuves. On a aussi des femmes qui ont été fouettées publiquement. Lorsque l'association veut intervenir, on nous demande de laisser la situation comme ça. Pourquoi la femme ne peut pas faire un travail de son choix ? » Pour l'heure, nous n'avons pas réussi à avoir la réaction du maire de Kasumbalesa et même du sous-directeur de la douane. Les femmes « wowo » quant à elles, continuent de porter le commerce frontalier sur leurs épaules malgré la fatigue et les humiliations. À lire aussiFemmes «wowo», ces forces invisibles du commerce transfrontalier entre la RDC et la Zambie [1/2]
Bon dia! Desperteu-vos que les campanes de Sant Joan fa estona que toquen i aquest és l'Infopòdcast de Valls d'aquest dilluns 29 de setembre. Comencem el nostre capítol informatiu explicant-vos les actuacions del cap de setmana de les dues colles dels Xiquets de Valls. La Colla Joves va participar, diumenge al migdia, a la diada […]
Els apartats amb informació i entreteniment del Bon dia i Bona hora, amb Roger Martí. podcast recorded with enacast.com
À Kasumbalesa, à la frontière entre la Zambie et la RDC, se vit un trafic parallèle, loin des grands camions et des formalités douanières. Chaque jour, plusieurs centaines de femmes congolaises transportent sur leur tête, ou leur dos, des marchandises pour traverser la frontière Zambienne. On appelle ces femmes « wowo », en référence aux camions chinois de la même marque. Notre correspondante a suivi quelques-unes de ces femmes. De notre correspondante de retour de Kasumbalesa, À Kasumbalesa, deuxième poste frontalier plus important de la RDC, elles sont là, à quelques mètres des files interminables de camions : des femmes portant de lourdes charges sur la tête et le dos, qui franchissent le couloir piétonnier. Ce sont les femmes « wowo » raconte avec sourire Alphonsine, l'une d'elles : « Je suis en mesure de faire passer la charge de tout un camion. Nous sommes les mamans "wowo", c'est l'image des camions qui transportent des charges importantes. Nous travaillons en équipe. S'il faut décharger le camion, nous le faisons et puis nous transportons la cargaison jusqu'à la destination au Congo, selon les instructions du propriétaire. » Selon l'association des femmes actives dans le commerce transfrontalier, elles sont près de sept cents, tous âges confondus, qui exercent ce métier. Les petits commerçants, eux, ne s'affichent pas dès qu'ils confient la marchandise aux femmes « wowo ». Témoignage de Régine Mbuyi, une autre transporteuse : « Le petit commerçant vient acheter toute sorte d'articles, du jus, de la farine de froment, de l'huile végétale… Il me sollicite pour faire traverser ces produits. S'il est de bonne foi, il me donne aussi l'argent pour payer la douane et d'autres services publics. Mais s'il n'a rien, je dois me débrouiller. » À la sortie de la frontière côté congolais, quatre femmes arrivent chacune avec cinq packs de boisson sucrée d'environ 30 kg sur sa tête. Coût de transport, 1 500 francs congolais par course, soit moins d'un dollar. La recette journalière de chacune est de près de 5 dollars. Ces femmes doivent transporter environ une tonne. Pour y arriver, c'est la course contre-la-montre, explique Keren pendant qu'elle range les packs : « Chacune de nous a une quantité qu'elle doit transporter. Moi, j'ai 25 packs. Le commerçant a acheté 100, ce n'est pas beaucoup. Bon, on y va pour la dernière course. » Les services de douanes, quant à eux, ne voient pas d'un bon œil cette activité des femmes, car elle favoriserait un manque à gagner quotidien de près de 3 000 dollars. Pour Malaxe Luhanga, président des petits transporteurs transfrontaliers, il faut formaliser cette activité : « On peut appliquer le système de groupage selon la catégorie des marchandises et qu'elles soient taxées officiellement. On peut adopter ce système qui est admis par les pays membres du Comesa pour faciliter les transactions et la taxation par les services publics. » En attendant, des centaines des femmes « wowo » de Kasumbalesa poursuivent leur activité de manière informelle. À lire aussiLa frontière entre la Zambie et la RDC rouvre après plusieurs jours de fermetures
Juin 1963, si les Britanniques commencent à se méconduire quand elles voient leurs nouvelles idoles, les Beatles ne sont pas encore arrivés en France. La jeunesse parisienne vit encore à l'heure américaine grâce à Johnny Hallyday, Eddy Mitchell et Dick Rivers. On les appelle les Yéyés et il en pousse quinze nouveaux par mois dont presque tous disparaissent aussitôt qu'ils sont arrivés. Il faut dire que les firmes de disques signent tout ce qui passe, enregistrent et abandonnent aussi sec si le premier single, pressé à 200 exemplaires, ne marche pas.Heureusement pour Michel Berger, 16 ans, son disque est le « Chouchou de la semaine » de l'émission Salut les Copains sur Europe 1. Michel a donc droit à un passage au début et à la fin de l'émission, écoutée par un million de paires d'oreilles, au moins, et article dans le magazine pour lequel Jean-Marie Périer fait le déplacement jusqu'à la maison de vacances de la nouvelle vedette. Pour l'occasion, la jeune Première Marlène Jobert pose avec lui sur les photos du reportage. Elle n'est pas là par hasard : Marlène est une amie de sa sœur aînée, Franka, et elle est aussi courtisée par son frère Bernard.Contrairement à Eddy, Johnny et Dick, Michel ne change rien à son quotidien qui se résume en dehors de la promotion et des galas, aux cours et aux devoirs. L'argent ne change rien puisqu'il n'en a jamais manqué à la maison. Bien sûr qu'il a le trac lors de sa première télé. Il ne remarque d'ailleurs pas une débutante comme lui qui vient y chanter son premier tube. Oui, à part quelques mauvaises expériences comme la huée du public de l'Olympia alors qu'il assure la première partie des Kinks (c'était pas vraiment une bonne idée, pas le même public), Michel Berger est un Yéyé à succès. Les sept disques qu'il publie ont plutôt bien marché, sans casser la baraque, hein, et même si pour s'en défendre, Michel dira plus tard : ça ne veut rien dire, tout marchait à l'époque. Une politesse de plus car cela est faux, bien évidemment.Et pourtant, alors que le 12 avril 1966, il pose avec tous les Copains yéyés pour ce qu'on appellera un jour la photo du siècle, devant l'objectif de Jean-Marie Périer, Michel Berger décide d'arrêter les frais. En effet, en cette année où les Américains et surtout les Anglais comme les Beatles, Rolling Stones et Bob Dylan publient chef d'œuvre sur chef d'œuvre, Michel dit qu'ils ont pris trop d'avance : les Français ne peuvent plus les suivre sur leur terrain. Michel arrête la chanson, passe son bac et rentre à la Fac. Oui, après un bac philo, il entame une maîtrise de Philosophie, dit-il, parce son voisin est un passionné, ce dont Jacques Attali, le voisin, c'était lui, a eu l'occasion depuis de démentir : Michel était modeste, il avait de solides bases en philo, et pas que. D'ailleurs les examinateurs de sa maîtrise ne sont pas près d'en oublier le thème : L'esthétique de la musique pop, dans laquelle il se lance dans l'exégèse de deux albums de Jimi Hendrix.Car si Michel a quitté le monde de la chanson en tant qu'interprète, il a accepté de sa maison de disques un rôle de directeur artistique. Alors qu'il est toujours étudiant, vous le croyez ça. Bon, on est dans les années 60, alors c'est vrai, pour tous ces gars qui gèrent la carrière d'Edith Piaf ou des Compagnons de la Chanson, qui mieux qu'un Yéyé de bonne famille pour dénicher et s'occuper d'autres yéyés.
Bon dia Catalunya - un programa de participació presentat per. Queralt Gilibets i Jaume Serra amb mùsica i tota la informació que cada setmana ens porten els nostres corresponsals des de la Ametlla de Merola Mateu Fitè - Gironella Joan Garcia - Casserres Enric Genesca - a Avia Ramon Xandri, a Puig-reig , Josep Genescà - a la comarca de la Cerdanya, en Xavier Cruïlles i en Jordi Pau Caballero amb tota la actualitat de les terres Ceredanes . podcast recorded with enacast.com
Cette fin de semaine est consacrée aux Journées du patrimoine, et quel plus beau patrimoine que notre langue ? C'est une œuvre d'art, un monument et une tradition. Bon, aimer ce n'est pas fermer les yeux, donc reconnaissons à notre langue quelques défauts : elle a une orthographe et une grammaire farceuses, et elle porte en elle, il faut le dire, une bonne dose de misogynie : il suffit tout de même qu'il y ait dans une pièce une seule paire de chromosomes XY, pour qu'on doive accorder toute sa population au masculin. "Les 29 filles et le garçon de ma classe sont intelligents", et non intelligentes. "Mes 3 cousines et mon cousin sont des crétins", et non des crétines...Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a des lieux hantés qui se contentent de faire peur… et puis il y a le Clown Motel. Un lieu qui trône dans l'ombre des légendes.Situé à Tonopah, au Nevada, à quelques mètres d'un ancien cimetière minier, cet hôtel hanté est devenu une légende urbaine et l'un des lieux hantés les plus terrifiants des États-Unis.Derrière sa façade colorée et ses centaines de figurines et peintures de clowns, se cachent des rumeurs persistantes : portes qui s'ouvrent seules, fantômes aperçus dans les couloirs, rires dans la nuit… et des histoires bien plus sombres que les propriétaires n'osent pas raconter.Dans cet épisode de Dans l'Ombre des Légendes, Chandleyr plonge dans une histoire d'horreur inspirée du Clown Motel : un séjour qui vire au cauchemar, où les clowns en plastique semblent observer chaque geste, où les murs se mettent à saigner, et où la nuit ne se termine jamais vraiment.Entre histoire vraie, horreur, paranormal et fiction gore, découvrez pourquoi ce clown motel fascine autant les amateurs d'horreur que les passionnés de true crime et de légendes urbaines américaines comme chandleyr. Bon voyage dans l'enfer du clown motel au travers de ce podcast horreurReplay: https://smartlink.ausha.co/danslombresdeslegendes/800-sauts-en-parachute-puis-la-chute-de-trop-podcast-horreurReplay: https://smartlink.ausha.co/danslombresdeslegendes/le-carnet-maudit-du-19-rue-des-saules-podcast-horreurReplay: https://smartlink.ausha.co/danslombresdeslegendes/la-porte-103-l-horreur-du-sanatorium-d-aincourt-podcast-horreurReplay: https://smartlink.ausha.co/danslombresdeslegendes/pris-au-piege-dans-sa-propre-histoire-podcast-horreurReplay: https://smartlink.ausha.co/danslombresdeslegendes/ce-que-cache-vraiment-la-ligne-13-podcast-horreurHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Fluent Fiction - Catalan: Intern Heroics: Sea Lion Escapades at Barcelona Aquarium Find the full episode transcript, vocabulary words, and more:fluentfiction.com/ca/episode/2025-09-26-07-38-20-ca Story Transcript:Ca: El sol brillava sobre la façana de vidre de l'Aquàrium de Barcelona.En: The sun shone on the glass facade of the Aquàrium de Barcelona.Ca: L'interior estava ple de gent: famílies, grups d'escolars i turistes fascinats pel món submarí.En: The interior was full of people: families, groups of schoolchildren, and tourists fascinated by the underwater world.Ca: Júlia estava allà, amb els ulls brillants plens d'entusiasme.En: Júlia was there, her eyes bright with enthusiasm.Ca: Era el seu primer dia com a estudiant en pràctiques.En: It was her first day as an intern.Ca: Pau, el seu supervisor, semblava una mica despistat aquell dia.En: Pau, her supervisor, seemed a bit distracted that day.Ca: Portava massa papers a les mans i no sabia on havia deixat el seu cafè.En: He carried too many papers in his hands and didn't know where he had left his coffee.Ca: Al seu costat, Xavi, un turista amb ganes de passar-ho bé, ja estava preparat amb el mòbil per fer-se selfies.En: Beside him, Xavi, a tourist eager for a good time, was already ready with his phone to take selfies.Ca: De sobte, es va sentir un crit: "El lleó marí!En: Suddenly, a shout was heard: "The sea lion!Ca: S'ha escapat!".En: It's escaped!Ca: Enmig del caos, un jove lleó marí havia trobat la porta oberta del seu tanc.En: In the midst of the chaos, a young sea lion had found the door of its tank open.Ca: Amb un mig rodolí, mig salt, es movia entre els visitants sorpresos, creant una barreja de rialles i crits.En: With a half-roll, half-jump, it moved among the surprised visitors, creating a mix of laughter and shouts.Ca: Júlia va veure la cara de pànic a Pau i va saber que havia de fer alguna cosa.En: Júlia saw the panic on Pau's face and knew she had to do something.Ca: Va recordar les classes sobre el comportament dels lleons marins.En: She remembered the lessons about sea lion behavior.Ca: "Amanida de peixos!", va pensar.En: "Fish salad!" she thought.Ca: És el menjar preferit del lleó marí.En: It's the sea lion's favorite food.Ca: Va córrer cap al magatzem de menjar i va preparar un plat ple.En: She ran to the food storage and prepared a full dish.Ca: Mentrestant, el lleó marí es dirigia cap al recinte dels pingüins.En: Meanwhile, the sea lion headed towards the penguin enclosure.Ca: Xavi, amb el seu mòbil, no deixava de fer fotos de l'animal jugant amb els nens.En: Xavi, with his phone, kept taking pictures of the animal playing with the children.Ca: Júlia va aparèixer prop dels pingüins amb el plat de menjar.En: Júlia appeared near the penguins with the dish of food.Ca: "Ei, valent! Mira què tinc aquí!", va cridar amb veu animada.En: "Hey, brave one! Look what I have here!" she called out in a lively voice.Ca: L'olfacte del lleó marí va detectar el menjar i va començar a seguir-la.En: The sea lion's sense of smell detected the food and started to follow her.Ca: Amb habilitat, Júlia va guiar el lleó marí de tornada cap al seu tanc.En: With skill, Júlia guided the sea lion back to its tank.Ca: La multitud s'havia aglomerat al seu voltant, cada cop més entusiasmada.En: The crowd had gathered around her, increasingly excited.Ca: Júlia, amb un somriure, va posar el menjar dins el tanc i el lleó marí va saltar a dins amb elegància.En: Júlia, with a smile, placed the food inside the tank and the sea lion jumped in with grace.Ca: El públic va esclatar en aplaudiments.En: The audience burst into applause.Ca: Pau, alleujat, va abraçar Júlia i li va dir: "Bon treball, Júlia!En: Pau, relieved, hugged Júlia and said, "Good job, Júlia!Ca: Ara sé que puc comptar amb tu per a més responsabilitats".En: Now I know I can count on you for more responsibilities."Ca: Xavi, amb una selfie guanyadora, va marxar content d'haver capturat l'incident amb humor.En: Xavi, with a winning selfie, left happy to have captured the incident with humor.Ca: Júlia se sentia satisfeta i més segura de si mateixa.En: Júlia felt satisfied and more confident.Ca: Aquell dia va aprendre que podia resoldre qualsevol emergència amb rapidesa i determinació.En: That day she learned she could handle any emergency quickly and with determination.Ca: Havia superat el seu primer repte, i el mar era, més que mai, el seu escenari per a noves aventures.En: She had overcome her first challenge, and the sea was, more than ever, her stage for new adventures. Vocabulary Words:the sea lion: el lleó maríthe facade: la façanato escape: escapar-sethe tank: el tancthe chaos: el caosthe intern: l'estudiant en pràctiquesdistracted: despistatto guide: guiarthe enclosure: el recinteto capture: capturareager: amb ganesthe applause: els aplaudimentsthe challenge: el repteenthusiasm: l'entusiasmeto shout: cridarthe visitor: el visitantto prepare: prepararthe crowd: la multitudto hug: abraçarto overcome: superarthe audience: el públicrelieved: alleujatto fascinate: fascinarthe incident: l'incidentdetermination: la determinacióthe emergency: l'emergènciato burst: esclatarthe penguin: el pingüíthe food storage: el magatzem de menjarto detect: detectar
Bon, voilà : tu as triché à une éval' et tu t'es fait prendre… maintenant, il va falloir assumer. Parce que tricher, on est d'accord, c'est pas bien mais c'est pas la fin du monde non plus !Dans cet épisode, tu vas découvrir qu'en parler avec ses parents, c'est important pour regagner leur confiance, qu'une note n'a absolument rien à voir avec l'intelligence et qu'on fait tous des p'tites erreurs dans la vie : l'essentiel, c'est de savoir les reconnaître et de ne pas les reproduire.CréditsDirection éditoriale : Aurélya Guerrero. Scénario : Sarah Barthère. Réalisation : Qude. Avec les voix de Candice Sansano, Augustine Pouplin et Alexia Neveu. Création visuelle : Emma Tissier. Responsable marketing : Jean-Luc Monchy.Un podcast de Milan presse 2025. Droits réservés.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:25:55 - Le Mag de la vie quotidienne - par : Ali Rebeihi - Pas le temps de cuisiner ? Vous rêvez pourtant de repas sains et savoureux avec des produits de saison. Nos invitées livrent leurs astuces ainsi que des recettes simples et rapides mettant à l'honneur les stars de l'automne : potimarron, chou-fleur, brocoli... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tema del dia Avui entrevisten en Reuben Constantine, un poliglot del Regne Unit que ha après el català per plaer i que ens explicarà en què consisteix això del mètode natural d'aprenentatge de llengües. Som-hi! Últims dies per apuntar-se als cursos de català d'Easy Catalan. Comencem el 29 de setembre! (https://classes.easycatalan.org/) Segueix en Reuben a Instagram! @reubenlingo (https://www.instagram.com/reubenlingo/) Vídeo d'Easy Catalan sobre el passat perifràstic (https://youtu.be/baR9Rw3xrkE?si=vNooNYWFaRj453uF) L'expressió de la setmana El Reuben ens explica l'expressió següent: Nen! Bonus La conversa continua i parlem sobre la IA i els efectes que pot tenir per als creadors de continguts. Transcripció Andreu: [0:15] Bon dia! Benvinguts un cop més al pòdcast d'Easy Catalan! Ja falta poquíssim per acabar el Repte de 30 Dies, i si els que l'esteu fent esteu escoltant ara mateix aquest episodi, només vull dir-vos que ho esteu fent molt i molt bé i que ja no queda res per la meta, així que va, ànims, vosaltres podeu! I recordeu que el dia 30 ens veiem a la videotrucada final per celebrar que hem acabat aquest gran Repte. Una altra cosa per a la qual falten molt pocs dies és l'inici dels pròxims cursos d'Easy Catalan. Ho hem estat dient al llarg d'aquest mes, però aquesta és l'última crida: el dia 29 comença el nou trimestre de català, així que si voleu aprendre i practicar en un grup petit en línia durant els pròxims tres mesos, entreu a classes.easycatalan.org i trieu el curs que millor s'adapti a vosaltres. Potser necessiteu un curs amb teoria, exercicis, etc., o potser preferiu un curs centrat en l'expressió oral. Sigui com sigui, ho trobareu tot a la web que he dit: classes.easycatalan.org. Tema del dia Andreu: [1:23] I ara sí, us presento el nostre convidat d'avui, el Reuben Constantin, conegut a Instagram com a @reubenlingo. Potser ja el coneixeu. Es tracta d'un autèntic poliglot del Regne Unit que domina llengües com el francès, el grec modern, l'italià o el català, entre moltes altres. A més, el Reuben va ser voluntari d'Easy Catalan durant un temps, en el qual ens va ajudar en la revisió dels subtítols en anglès dels nostres vídeos. I avui que el tenim aquí, doncs compartirà amb nosaltres algunes anècdotes, trucs i segurament alguna curiositat lingüística. Vinga, comencem! Bon dia, Reuben! Reuben: [2:02] Bon dia, Andreu! Moltes gràcies per la invitació. Oh, em fas posar vermell! Moltes gràcies per les teves paraules. Quin privilegi ser aquí avui amb tu i amb vosaltres que escolteu. Andreu: [2:13] Per nosaltres també, o sigui, per mi sempre és un gust entrevistar persones com tu, que heu après la llengua. No em refereixo a poliglots, sinó a algú que ha après la llengua, doncs, no per necessitat, perquè tu no vius a Catalunya, no?, sinó que l'has après per gust. Reuben: [2:27] Sí, sí, exacte. Bé, encara no visc a Catalunya. Andreu: [2:30] Encara no vius…? Ah, d'acord, d'acord. Reuben: [2:33] Però no, és veritat. Andreu: [2:35] D'acord. Bé, sigui per necessitat, sigui per interès lingüístic, per qualsevol raó, tot va bé. La qüestió és: tenir aquestes converses amb aprenents, crec que és una inspiració per a altres oients del pòdcast. Durant el Campus vaig fer aquesta pregunta als participants, no? "Què us semblen aquests episodis en què entrevistem altres aprenents?", no?, i hi havia opinions de tot. Hi havia gent que diu: "No, per mi… ai, a mi no m'agrada, perquè sento els errors que també faig jo i llavors em poso nerviós/nerviosa", o "Sí, a mi m'agraden molt perquè són una inspiració", no? "Penso, si aquesta persona ho ha pogut fer, va, jo també". Tu què diries, Reuben? Fes-te membre de la subscripció de pòdcast per accedir a les transcripcions completes, a la reproducció interactiva amb Transcript Player i a l'ajuda de vocabulari. (http://easycatalan.org/membership)
In this episode of Hambassadors, we cover it all: parenting chaos, podcasting lessons, new beers, and one unforgettable message from Laura McGoldrick.Laura shares the powerful reminder that “one day you'll put your child down for the very last time” - a truth about time, parenting guilt, and family that hit us both hard.But it's not all serious…- Bon accidentally smashes Billy in the face during a parents vs kids football match.- Seamus bombs with the worst MC joke at prizegiving.- We reveal our very own Ambassador Hazy IPA (cheers, Good George).- And we share the biggest interviewing lessons from 6 years of Between Two Beers.Plus, movie rankings (Moana vs Predator?!), an epic Betterman event, and a sneak peek at our next guest — Al Brown.Hambassadors proudly brought to you by Stark. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Ep. 165 : La Bristôle ! Pas de miracle pour Les Bleues! Coupe du Monde Féminine 2025 demi-finalesDans un stade bouillant où notre chère Amélie criait parfois plus fort que 25000 anglais, les françaises ont tutoyé les étoiles avant de rentrer dans le rang. Après une mi-temps à vendanger les occasions, les françaises tournaient à -2 et c'était pour les Red Roses un petit miracle tant elles avaient été dominées, marquant leur seul essai d'entrée sur une grossière erreur de défense… Il ne fallait pas plus de cadeaux aux anglaises pour reprendre le deuxième acte par le bon bout et renvoyer les vaillantes bleues à leurs études. Avec cette 17e défaite de rang face à des anglaises solides mais pas invincibles, il va falloir se poser les bonnes questions, et surtout apporter les bonnes réponses sans chercher les coupables ailleurs que dans les actrices (et acteurs en tribune) de cette demi-finale. Dans l'autre demie, les canadiennes sont venues à bouts des Black Ferns de Nouvelle Zélande avec une belle marge, dans un match de toute beauté. Cela annonce une finale Cananda / Angleterre aussi indécise qu'alléchante entre deux équipes pleines de convictions et d'ambitions. Que les meilleures gagnent !! Et bien sur on continue à soutenir nos Bleues pour la petite finale France / NZ de ce RWC 2025 ce samedi !Bon mercredi avec le pack! Et n'oubliez pas d'écouter notre dernier épisode, le Preview TOP 14 avec Didier Plana ! https://smartlink.ausha.co/pack-de-potes-rugby-podcast/ep-164-peur-bleue-coupe-du-monde-feminine-2025-2025-top-14-preview-avec-didier-planaVoici l'autre podcast de TK --> L'Année Sobre, un an sans alcool ! https://podcast.ausha.co/un-peu-plus-leger/playlist/l-annee-sobre-saison-3-de-un-peu-plus-leger-podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On Tuesday's show: If you could wave a magic wand and change the design of any roadway in Houston, what would you change and why? We welcome your suggestions.Also this hour: We discuss the history of lethal injection, which is the subject of Secrets of the Killing State, a book by legal scholar and former criminal prosecutor Corinna Lain, who will be in Houston for an event at Brazos Bookstore Friday evening at 6:30.And writer Sasha Bonét reflects on how Houston has shaped her and discusses her new memoir, The Waterbearers. Bonét will be at Kindred Stories tonight at 7.Watch
Duel à l'Unesco. Dans deux mois au plus tard, à la mi-novembre 2025, on connaîtra le nom du successeur de la Française Audrey Azoulay au poste de directeur général de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco). Il n'y a que deux candidats en lice et ils sont tous deux africains : le Congolais de Brazzaville Edouard Firmin Matoko et l'Égyptien Khaled El-Enany. Qui va gagner ? Le grand enquêteur et essayiste Abdou Latif Coulibaly a été ministre sénégalais de la Culture de 2017 à 2019, sous la présidence de Macky Sall. En ligne de Dakar, il livre son pronostic. RFI : Quel bilan faites-vous des huit ans d'Audrey Azoulay à la Direction générale de l'Unesco ? Abdou Latif Coulibaly : Oui, je pense qu'elle a fait ce qu'elle pouvait faire par un certain nombre de réalisations qu'elle a faites. Dans le cas d'Audrey Azoulay, je vais citer par exemple les importants travaux de restauration et de reconstruction dans des villes comme Mossoul, dévastées par la guerre. Au nord de l'Irak… Au nord de L'Irak. Mais également, je citerai le cas au Liban. Et en Afrique également, il y a aujourd'hui beaucoup de sites qui ont été promus patrimoine mondial de l'humanité. Elle a également, de ce point de vue, fait beaucoup de choses dans le domaine de l'éducation avec l'Alliance mondiale d'éducation qui est au cœur de la mission de l'Unesco. En tant que ministre sénégalais de la Culture de 2017 à 2019, quel souvenir vous gardez de l'action de l'Unesco ? Vous savez, c'est en 2018, précisément, que le Musée des Civilisations noires a été installé et inauguré définitivement au Sénégal. Et tous les documents qui ont été faits à ce sujet et la démarche qui a été opérée, c'est moi-même, ministre de la Culture, qui a demandé à madame Audrey Azoulay de les transférer à l'Etat du Sénégal à l'occasion de l'inauguration du 6 décembre 2018. Et elle l'a fait avec beaucoup d'enthousiasme. Et également, elle a beaucoup conseillé, à l'époque, le gouvernement sénégalais dans le processus de mise en œuvre et de finalisation de ce musée-là. Et c'est ça qui m'a mis en rapport avec madame Azoulay, qui a beaucoup travaillé de ce point de vue-là à permettre aux Etats africains, et en particulier au Sénégal, de sauvegarder les sites qui sont déjà classés. Ce n'est pas évident quand vous prenez une ville comme Gorée, une ville comme Saint-Louis qui est patrimoine mondial de l'humanité, nous avons beaucoup de difficultés au plan national à trouver les moyens et l'ensemble des outils nécessaires pour que ce caractère de patrimoine universel soit préservé. En cette période très conflictuelle dans le monde, Audrey Azoulay affirme que l'Unesco est un des derniers lieux de consensus pour un multilatéralisme d'action. Est-ce que vous êtes d'accord ou pas ? Oui, je suis d'accord. Ce qui se réalise à l'Unesco aujourd'hui en termes de promotion de l'éducation, de la culture, je pense que s'il n'y avait pas une organisation de cette nature, cela n'aurait pu jamais se produire, ça j'en suis certain. Bon, aujourd'hui, nous les Africains, nous avons deux candidats qui se présentent. Il y a le Congolais Edouard Firmin Matoko et l'Égyptien Khaled El-Enany, qui sont actuellement en compétition. Quel que soit le candidat qui sera élu, je pense que l'intérêt pour l'Afrique, c'est que le travail qui est aujourd'hui engagé, qui l'avait été d'ailleurs bien avant elle, mais qu'elle a su consolider et qu'elle a su élargir en intégrant davantage beaucoup de pays dans le processus de prise de décision, mais également dans les activités qui sont menées… Je pense que c'est cela qui est le plus important. Et je pense que pour ce qui concerne les candidats africains, leurs déclarations rassurent de ce point de vue-là. Est-ce qu'ils auront tous les moyens pour le faire ? Je ne suis pas sûr, mais le maximum qu'ils feront, ce sera au bénéfice de l'Afrique et des pays en voie de développement. Alors justement, entre les deux candidats, le Congolais de Brazzaville Edouard Firmin Matoko et l'Égyptien Khaled El-Enany, quel est, à votre avis, celui qui est le plus apte à tenir la barre de l'Unesco dans les prochaines années ? Je pense que tous les deux sont aptes pour le faire. Ce sont des techniciens de très haut niveau. Le Congolais, qui a un très long séjour à l'Unesco, il dit « moi, je suis l'Unesco », pour dire sa compétence et pour dire également l'efficacité qu'il pourrait apporter à l'organisation. Mais il y a également l'Égyptien qui bénéficie déjà du soutien de l'Union africaine, je pense qu'il est assez bien placé, probablement, peut-être, je dis bien peut-être, pour gagner. Qui est le mieux placé ? Je pense que tous les deux ont les compétences pour ça. Je ne peux pas dire qui est le mieux placé, mais enfin, le pedigree des deux rassure par rapport à leurs capacités à diriger l'Unesco. Vous avez une petite préférence quand même, non ? Préférence comme telle… Je n'ai pas de préférence, parce que je considère pour ma part que tous les deux pourraient être bien à cette place-là. Même si je constate que l'Egyptien bénéficie de beaucoup de soutien diplomatique à travers le monde, il faut l'accepter. En Asie, dans les pays arabes. Mais malheureusement, ça va conduire à un affrontement bloc africain contre bloc africain, c'est clair. Mais même si l'Union africaine aujourd'hui soutient officiellement la candidature de l'Égyptien, il me semble que ce combat ne manquera pas de se poser.
durée : 00:04:33 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - En reconnaissant l'Etat de Palestine, Emmanuel Macron prend une décision majeure. Ses prédécesseurs l'évoquaient depuis longtemps, sans la mettre en œuvre.
Taylor Swift and her "swifties" nearly ruined AMC Stubs A-List members' movie theater experience, "Sinners" is going for gold at the Golden Globes, "The Long Walk" non-spoiler review, "One Piece" promos, "Avengers: Doomsday" wraps filming, local filming, and more!The Hub on Hollywood, hosted by Jamie and James, delves into the thriving film industry in New England. The podcast explores the production of various projects, including commercials, television shows, and full-length feature films.The podcast insights into New England's growing film industry, as well as entertainment news and reviews. Subscribers can access the podcast on the iHeartRadio app and follow the hosts on Instagram and TikTok for updates.
durée : 03:29:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1987, Christine Goémé proposait de passer trois heures et demie en compagnie d'André Chastel, historien de l'art de renom, pour un Bon plaisir durant lequel il faisait partager son immense érudition et l'enthousiasme de sa passion pour l'art qu'il aura toujours su conserver intacte. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : André Chastel Historien de l'art; Marc Fumaroli Historien, essayiste, membre de l'Académie française; Jacqueline de Romilly Helléniste, membre de l'Académie française et de l'Institut, professeur honoraire au Collège de France (1913-2010); Paul Veyne Historien, spécialiste de l'Antiquité romaine; Philippe Sollers Écrivain français; Michel Laclotte Critique d'art; Olivier Merlin Ecrivain, journaliste
Je pense qu'il faut beaucoup de courage pour abandonner une course ou un défi que l'on avait mis à son programme. Vous avez votre dossard mais vous vous demandez si vous y aller ? C'est toujours difficile de renoncer même si ça parait logique. Voilà pourquoi il faut quelques arguments pour s'auto-convaincre. Cet épisode vous donne justement quelques questions de préparation mentale pour vous aider à faire ce choix.Liens Le formulaire pour poser vos questions : https://tally.so/r/3yBqXWTous les liens et anciens épisodes : https://km42.soulier.xyz/373
Bon, je vous le dis tout de suite, l'histoire que vous allez entendre et digne d'un scénario de film. Entre quête d'identité et enquête sur sa propre histoire, Sarah va faire la rencontre la plus EX…traordinaire de sa vie !Floriane Gillette a réalisé cet épisode, Stéphane Bidart l'a monté et mis en musique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette semaine dans tech 45', on parle animation, IA et franchises jeunesse avec Animaj. Créée il y a 3 ans, cette scale-up parisienne bouscule les géants comme Disney en rachetant des licences et des chaînes YouTube pour les transformer en franchises mondiales. Son cofondateur, Sixte, a déjà vendu sa première boîte à Elior dans la foodtech. Avec un rythme annuel effréné de 22 milliards de vues et une techno maison, Animaj produit 5 à 10 fois moins cher que les studios classiques, sans sacrifier la qualité. Ils viennent de lever 75 M€ (juin 2025) après un 1er gros tour de 100M€ (2023) ; objectif : bâtir les grandes marques jeunesse de demain, à l'intersection de l'IA et de la création
I denne uges udgave af Bag Om Nyhederne, tager vi i særdeleshed fat på underbelyste nyheder. Måske er nyhederne denne gang underbelyste, fordi DR og Politiken ikke ønsker, at der skal komme en historie.I 2016 blev ”the Panama Papers” lækket. The Panama Papers var nogle dokumenter, der viste, hvem og hvor mange mennesker der havde penge i skattely i Panama – og der var mange. Over hele verden blev politikeres korruption afsløret og tvivlsomme skattedispositioner belyst.I Danmark kørte DR og Politiken en stor historie om, hvordan 400 danske navne optrådte i dokumenterne. Det skabte et pres, og det endte med, at staten opkøbte oplysninger om danskerne i papirerne, som faktisk var stjålet fra det firma, de kom fra velvidende, at de var stjålet.Nu er der kommet en afgørelse på, hvor mange af de her sager, der er belæg for at køre en straffesag på, og DR og Politiken er usædvanligt stille. Hvorfor mon det?Det og meget andet kan du høre meget mere om i denne uges afsnit af Bag Om Nyhederne.Vi skal også et smut til EU for at diskutere Ursula von der Leyens tale om Unionens tilstand og sidst til Danmark for at se til vores folkeskole, som igen er i krise… eller er den?Vi har selvfølgelig også ugens lyspunkt og skævert med. Det er lige ved, at vi snart må tilføje et segment udelukkende for de københavnske kommunalpolitikere, når vi når til ugens skævert, så der også er plads til andre. Det har vi dog endnu ikke fået gjort, så se med i denne episode af BON for at finde ud af, hvilken københavnsk politikker, der er denne uges vinder af ugens skævert.Dagens emner: 00:00 Ursula von Der Leyens tale (SOTEU)15:53 Ro på der er plads til forbedring i folkeskolen29:53 Historien der blev væk - Panama Papers40:40 Ugens Skævert44:50 Ugens lyspunkthttps://www.dr.dk/nyheder/penge/karsten-lauritzen-koeb-af-panama-papirer-bliver-en-god-investeringhttps://www.berlingske.dk/synspunkter/venstrefloejens-boligpolitik-er-ekstrem-usolidarisk https://mobiltv.ft.dk/embed/20241/BUU/tv.10861 https://www.berlingske.dk/synspunkter/rektor-efter-debat-om-intolerance-paa-koebenhavns-universitet-vi-tager-kritikken-alvorligt?gaa_at=eafs&gaa_n=ASWzDAgXn_fhuS2gQ_5TZWGhZX8Q3btxng0g2EHJa7DVjiz5f2Mvzww0RFjDXU-8CvA%3D&gaa_ts=68cbb6cf&gaa_sig=6TDiLmFRuJqpz0Cvu2eBuFQCoxR4g7fivqY9DPkays1ImZedOCY9LZEwu3dGOb5UYVOQPz8xYABAFq4DZH0dVg%3D%3D https://nyheder.tv2.dk/politik/2025-09-15-enhedslisten-klar-til-markant-boligopgoer https://www.ft.dk/samling/20241/spoergsmaal/s1451/svar/2162030/3067850.pdf https://www.dr.dk/nyheder/tema/den-store-skattelaek https://www.dr.dk/nyheder/seneste/ingen-danske-privatpersoner-fra-panama-papers-straffes https://cepos.dk/artikler/draghis-dagsorden-kan-koste-danmark-dyrt/ https://www.berlingske.dk/kronikker/kommunalpolitik-er-praeget-af-vanetaenkning-og-snaeversyn-her-er-ti-liberale-teser-der-skal-aendre-det?gaa_at=eafs&gaa_n=ASWzDAgFD8QQFoHPQJKz6Js2aWKk1t3AH85wqzsuv44T8VRerT3R5L-1eVvIdSO8xXY%3D&gaa_ts=68cbc4d6&gaa_sig=gpXj-Q29iaObb8MEi4kiNrMkfJD1Fc7Dhj1xJ1QHHB6OIJxSzri4-NW1x7eBQneLKYqeonnwig-LT7_izwiotA%3D%3Dhttps://www.ft.dk/samling/20241/almdel/reu/spm/1425/svar/2161735/3067337/index.htm
Tema del dia Ens posem molt contents quan compartiu amb nosaltres els vostres assoliments, com ara el Jan, que fa poc va aprovar el C1 de català i ha estat acceptat com a estudiant de Medicina. En aquest episodi parlem de canvis vitals i, també, de les feines més estranyes o curioses que han fet altres membres de la comunitat. Som-hi! Nota important: Ben aviat comencen els pròxims cursos de català d'Easy Catalan. Apunta-t'hi ara fent clic aquí! (https://classes.easycatalan.org/) L'abraçada Fem una abraçada a tots aquells que us trobeu en un moment de canvi. Ànims, força i molts èxits! Bonus Continuem la conversa sobre feines estranyes. Transcripció Andreu: [0:15] Bon dia, Sílvia! Sílvia: [0:16] Bon dia, Andreu! Andreu: [0:17] Com va? Sílvia: [0:18] Molt bé, i tu? Andreu: [0:20] També, molt bé. Avui vull començar felicitant un membre de la comunitat, el Jan. Crec que en vam parlar en més d'un episodi, perquè… de fet, tu vas explicar una anècdota, que és que vau quedar un dia presencialment, perquè viviu a prop. Sílvia: [0:35] Oi tant. Més d'un dia. Andreu: [0:36] Més d'un dia. I que tu i el Joan li fèieu moltes preguntes per coneixe'l i… no?, i vaja, sí, saber qui és, què fa i tot això, i ell no us feia cap pregunta, i que llavors li vau dir: "Però fes-nos alguna pregunta també, si vols", no? I ell va dir: "No, és que ja ho sé tot de vosaltres". Recordo aquesta anècdota. Sílvia: [0:58] Aquesta és la sensació que té molta gent que ens escolta, perquè molta gent diu: "És que ja sou com els meus amics", però clar, nosaltres no us coneixem, a vosaltres. Ja m'està bé que us sentiu amics nostres i em fa molta il·lusió que tinguem aquesta relació tan especial, però per nosaltres és com conèixer una persona de nou, no? Llavors… Andreu: [1:17] Clar. Això em va passar al Campus. El dia de la gimcana estàvem xerrant el Matthew, la Neia i jo, no? I jo li anava fent preguntes a la Neia. Preguntes com, no sé... Sílvia: [1:28] Molt bàsiques. Andreu: [1:29] "Com és el teu dia a dia a Roma?" o jo què sé, "De què treballes?", coses així. I hi va haver un moment que diu: "És que se'm fa molt estrany, perquè jo tinc la sensació que sou amics meus, que sé moltes coses de vosaltres, i aquestes preguntes que em fas, és com que no me les espero, perquè d'alguna manera penso que tu ja saps això de mi, però no". Sílvia: [1:49] Ja ho hauries de saber, Andreu, ja ho hauries de saber. Andreu: [1:52] Clar, clar. És curiós. Sílvia: [1:54] Però és bonic, és bonic, no? Tenir aquesta relació amb la gent és bonic. Andreu: [1:59] Per això us diem sempre que ens envieu àudios, perquè si no la cosa està descompensada. Vosaltres ens sentiu a nosaltres, però nosaltres a vosaltres no. Sílvia: [2:08] Tornant al tema, què li ha passat al Jan? Andreu: [2:10] Sí! Total, perdona, que me'n vaig per les rames. El Jan, tenim molt bones notícies del Jan, les ha compartit a la comunitat. La primera és que ha aprovat el C1 de català. Sílvia: [2:22] Uau! Enhorabona, Jan! Andreu: [2:25] Enhorabona. I no només això, sinó també les proves d'accés a la universitat per a majors de 25 anys. Sílvia: [2:31] Uau! Molt bé, molt bé, molt bé! Andreu: [2:34] I aquestes proves les ha fet perquè volia anar a la universitat i ha estat acceptat, ja, ja està confirmat que ha estat acceptat com a estudiant de medicina! Sílvia: [2:44] Uh, un futur metge! Molt bé, molt bé! Andreu: [2:47] Un futur metge. O sigui que, Jan, ets un crac, tio. Sílvia: [2:50] Sí, sí. Andreu: [2:52] Enhorabona. Sílvia: [2:53] Enhorabona per tot. T'ho mereixes. Andreu: [2:55] Que vagi molt bé aquesta nova etapa. I parlant de noves etapes, la meva mare ha fet, avui que estem gravant, dia 8 de setembre, i que a més a més és el seu sant, perquè és el dia del… com m'has dit tu fa un moment, dia de les verges trobades, per tant, Santa Núria, Santa Meritxell i moltes santes més. Sílvia: [3:16] Sí, Santa Queralt, Santa Covadonga… Totes les que hagin trobat. Andreu: [3:20] Doncs avui la meva mare comença el seu primer dia com a professora de música. Sílvia: [3:27] Molt bé! És veritat, que m'ho havies dit, que volia ser professora? Sí, sí, sí. D'institut, o m'equivoco? Fes-te membre de la subscripció de pòdcast per accedir a les transcripcions completes, a la reproducció interactiva amb Transcript Player i a l'ajuda de vocabulari. (http://easycatalan.org/membership)
You are who you eat. A patron pick episode from patron "writhe"! A stranded military unit in 1840s California faces a terrifying truth when a mysterious visitor reveals a tale of cannibalism. When hunger takes hold, humanity is the first thing to go. This week we cover the 1999 cult classic RAVENOUS. Also this week: Lance isn't impressed by restaurants, David Arquette's WCW drama, and our Ravenous Evanescence Remix. All this--and a whole lot more--on this week's episode of NEON BRAINIACS! "Bon appétit." ----- Check out our Patreon for tons of bonus content, exclusive goodies, and access to our Discord server! ----- Ravenous (1999) Directed by Antonia Bird Written by Ted Griffin Starring Robert Carlyle, Guy Pearce, Jeffrey Jones, Jeremy Davies, Neal McDonough, and David Arquette ----- 00:00 - Intro & Opening Banter 37:20 - "The Shpiel" 01:00:18 - Film Breakdown 01:46:48 - The Brain Bucket & Outro
durée : 03:28:35 - Les Nuits de France Culture - par : Geneviève Huttin - En 1986, Renée Elkaïm-Bollinger réalise un portrait de Jacques Lacarrière. L'écrivain se dévoile à travers ses passions : la mythologie, la Grèce, le voyage, les mots. Les témoignages de ses proches révèlent un homme épris de liberté et doté d'une curiosité inépuisable. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jacques Lacarrière Écrivain français
durée : 00:06:05 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Ce 18 septembre dans la rue, on croisera aussi des pharmaciens, qui protestent contre la mise en place d'un arrêté réduisant la possibilité de faire des remises commerciales. Béatrice Clairaz, porte-parole de l'USPO nationale (l'Union de syndicats de pharmaciens d'officine), est notre invitée. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cet épisode de DV TALKS MOTO, Marvin Musquin, Hugo Manzato et David Vuillemin débriefent le SMX de St Louis ainsi que du MXGP de Chine, les 2 avant-dernières épreuves de la saison! Bon visionnage/écoute et n'oubliez pas de vous abonner.
Troisième et dernière partie de notre long podcast en hommage à David Lynch. Bien entendu, il reste quelques perles à défendre, comme les formidables LOST HIGHWAY et UNE HISTOIRE VRAIE. Mais il faut également reconnaître que c'est à cette époque-là que le réalisateur de BLUE VELVET et ELEPHANT MAN perd Julien Dupuy, Stéphane Moïssakis et Rafik Djoumi dans les méandres de son cinéma, notamment dès MULHOLLAND DRIVE (considéré comme un classique indéniable aujourd'hui) et INLAND EMPIRE. Reste quelques émotions dans TWIN PEAKS : THE RETURN que l'ami Érich Vogel souhaitait défendre dans cette dernière partie. Bon voyage, David Lynch !Retrouvez toutes nos émissions sur http://www.capturemag.frPour nous soutenir, il y a deux adresses :PATREON : https://www.patreon.com/capturemagTIPEEE : https://www.tipeee.com/capture-magLISEZ CAPTURE MAG !Toutes nos revues sont disponibles dans les librairies, les magasins de produits culturels et sites marchands.Akileos : https://bit.ly/AkilsCMCapture Mag est sur LETTERBOXD : https://letterboxd.com/CaptureMag/En MP3 sur Acast : https://bit.ly/3v6ee7sSur SPOTIFY : https://spoti.fi/3PJYnF3Sur DEEZER : https://bit.ly/2wtDauUSur APPLE podcasts : https://apple.co/2UW3AyO#twinpeaks #DavidLynch #MulhollandDrive Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tema del dia Avui és 11 de setembre, un dia assenyalat a Catalunya. Però per què és un dia especial? Què és el que commemorem? En quins casos parlem de "diada"? Tot això, i també algunes qüestions més personals, a l'episodi d'avui. Som-hi! Informació important: Els pròxims cursos de català comencen el 29 de setembre. Apunta't a un curs de català amb Easy Catalan! (https://classes.easycatalan.org/) Bonus L'Andreu comparteix com va ser el seu comiat de solter. Transcripció Andreu: [0:15] Bon dia, Joan! Joan: [0:17] Bon dia! Andreu: [0:18] Com estàs? Ui, quina veu! Joan: [0:20] Sí. Doncs la veritat és que estic fet caldo, perquè... o sigui, entre que... ara s'han acabat les meves vacances, com si diguéssim, però han sigut 15 dies de treballar en la reforma de casa meva, i ara he agafat un encostipat i és com... torno a la feina fet puré de patates. Andreu: [0:42] "Fet puré"… "Fet caldo", això ho diem molt, no?, quan estem xof, quan estem fatal, per un refredat, una grip, "estic fet caldo". També anímicament, ho podríem, dir, "estic fet caldo", després d'una desgràcia. Joan: [0:53] I tu què, com estàs? Andreu: [0:55] Carai! Doncs jo també estic fet caldo, però el caldo va per una altra banda, perquè uf, tinc… estic amb diarrea, tinc molt... tinc la panxa fatal. Joan: [1:06] Mare meva, entre l'un i l'altre… Andreu: [1:10] Sí. I bé, és perquè... a veure, jo també he de compartir coses aquí al… coses potser més personals, no?, aquí al pòdcast. Vosaltres, tu i la Sílvia, ja heu compartit la gran notícia del 2025, i és que sereu pares ben aviat, però jo aquest any… per mi també és un any important, perquè em caso! Joan: [1:30] Uau! Andreu: [1:33] Em caso ara a finals de setembre. Joan: [1:35] L'Andreu se'ns casa! Em sap greu donar la mala notícia a tots els nostres oients, però… Andreu: [1:43] Sí. Sí, sí. I aquest cap de setmana, justament, hem fet el comiat de solters. Joan: [1:49] Ah! Andreu: [1:50] Que l'hem fet junts. Joan: [1:51] D'acord. Ui! Andreu: [1:51] L'hem fet junts amb els meus amics i els seus amics, i… Joan: [1:54] Que estrany… Andreu: [1:55] Sí, mira, diferent. Joan: [1:56] Molt bé. Andreu: [1:58] Com ha anat el comiat de solter, t'ho explicaré al bonus. Joan: [2:01] D'acord. Andreu: [2:02] Perquè n'hi ha per sucar-hi pa. O sigui, ha sigut una cosa... Joan: [2:05] Sabem com ha acabat. Què vas menjar, Andreu? Andreu: [2:09] Sí. Doncs al bonus t'explicaré què vaig menjar o quina és la possible causa de la meva diarrea, ara mateix. Parèntesi lingüístic, "comiat de solter", per qui no conegui el terme, és la festa que fas o que se sol fer, doncs, abans de casar-te, amb els teus amics, no? Joan: [2:30] Jo em vaig casar fa molts anys i no vaig fer ni casament ni comiat de solter. Andreu: [2:35] Fa molts anys? Home, no tants anys, no? Joan: [2:37] Ja fa tres anys, no? Andreu: [2:39] Tres anys, ja? Joan: [2:40] Potser dos, no ho sé. Però sí que és veritat que amb la Sílvia portem 15 anys i ha sigut com si estiguéssim casats des del principi. No sé. Andreu: [2:48] Clar, doncs bé, al bonus t'explicaré el comiat de solter, com ha anat i la bogeria que ha sigut. Joan: [2:55] Avui tenim un bonus superpotent, eh? Ja tinc ganes de que arribi, ja l'episodi ja m'és igual. Andreu: [3:01] Sí, recordem que el bonus són, això, uns minuts extra de conversa al final, després de la música del final de tot, al qual hi teniu accés, si us feu membres de la comunitat, amb la subscripció de pòdcast, d'acord? Els altres dies, no ho sé, però crec que avui valdrà la pena. Els altres dies també! Joan: [3:22] Com en diuen ara, "salseig" d'aquest, no?, així com... Andreu: [3:26] "Salseig". Joan: [3:27] Fem safareig, fem safareig. Andreu: [3:28] Sí. Joan: [3:29] Però escolta, avui quin dia som, Andreu? Fes-te membre de la subscripció de pòdcast per accedir a les transcripcions completes, a la reproducció interactiva amb Transcript Player i a l'ajuda de vocabulari. (http://easycatalan.org/membership)
Dans cet épisode, on est de nouveau avec Louis pour parler d'organisation : ce qui marche pour nous, ce qui ne marche pas du tout, et toutes les méthodes qu'on a testées avec plus ou moins de succès. On partage nos routines, nos astuces (comme la méthode Pomodoro ou les to-do lists), nos contradictions, et notre besoin de rester souples. En bonus, on vous raconte la routine (très) matinale d'Amélie Nothomb et le joli projet musical que Louis a mené grâce à sa régularité. Interactive Transcript and Vocab Helper Support Easy French and get interactive transcripts, live vocabulary and bonus content for all our episodes: easyfrench.fm/membership Open the Interactive Transcript (https://play.easyfrench.fm/episodes/s0f1ra5b93po5zk3s1yj0) Download transcript as HTML (https://www.dropbox.com/scl/fi/s0f1ra5b93po5zk3s1yj0/easyfrenchpodcast159_transcript.html?rlkey=3d7rl31ursev1xdiag5gkie1y&st=wufmm5ms&dl=1) Download transcript as PDF (https://www.dropbox.com/scl/fi/occmnsjfhjkgohy96o1hz/easyfrenchpodcast159_transcript.pdf?rlkey=j0yi2z4t0waopxxe8oottp0et&st=avjm00hv&dl=1) Download vocab as text file (https://www.dropbox.com/scl/fi/9mee6vzp7tnnxf5xaetp8/easyfrenchpodcast159_vocab.txt?rlkey=a7fj7fxio0r3c7w3vk74z6e52&st=xtdde15b&dl=1) Download vocab as text file with semicolons (https://www.dropbox.com/scl/fi/eoobsqyzij8yf0i8jwd7t/easyfrenchpodcast159_vocab-semicolon.txt?rlkey=5qa57wwhb5jbywb30xdwwk96u&st=v5ro6xc6&dl=1) (for flashcard apps) Subscribe using your private RSS feed to see the transcript and vocabulary helper right in your podcast app while you listen. Show Notes
Ces dernières semaines, tech 45' était avec Contentsquare ou Stockly qui aident les e-commerçants, aujourd'hui ton podcast favori braque ses projecteurs sur Veesion dont la solution s'adresse aux magasins en dur, d'abord pour lutter contre le vol qui représente jusqu'à 4/5% de leur chiffre d'affaires tous les jours. Bon teaser avec Thibault le CEO
durée : 00:07:56 - Le Masque et la Plume - par : Jérôme Garcin - C'est le roman le plus médiatisé de cette rentrée littéraire, certains lui prédisent déjà le prix Goncourt. Malgré quelques longueurs, les critiques du Masque s'accordent sur le "génie" d'un conteur 'surdoué", "virtuose", "inégalable". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.