Podcasts about l'ecole nationale

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Latest podcast episodes about l'ecole nationale

De cause à effets, le magazine de l'environnement
Économie et écologie, un mariage de raison...

De cause à effets, le magazine de l'environnement

Play Episode Listen Later May 24, 2020 57:57


durée : 00:57:57 - De cause à effets, le magazine de l'environnement - par : Aurélie Luneau - Quelle relance de l'économie pourrait se faire en respect de l'environnement ? - réalisation : Alexandra Malka - invités : Sophie Swaton Philosophe et économiste, enseignante-chercheure à l'Université de Lausanne et Présidente de la fondation d'utilité publique ZOEIN; Gaêl Giraud directeur de recherche au CNRS en économie, enseignant à L'École Polytechnique, professeur à l'Ecole Nationale des Ponts Paris tech', fellow associé à l'Institut des Études Avancées de Nantes, jésuite, président de l'Institut Rousseau

Matières à penser
Tout va très vite : une année d’accélération (5/5) : Climatiser la finance pour financer le climat

Matières à penser

Play Episode Listen Later Jun 28, 2019 43:49


durée : 00:43:49 - Matières à penser - par : Dominique ROUSSET - Pour la dernière série de « Matières à penser », cette saison, retour sur l’année 2018/2019 pour illustrer le sentiment, partagé avec nos invités, d’un emballement dans les différents domaines parcourus ces derniers mois. A cette occasion, nous accueillons ce soir Etienne Espagne. - invités : Etienne Espagne - Etienne Espagne : Economiste au Centre d'études prospectives et d'informations internationales (CEPII), professeur à l'Ecole Nationale des Techniques Avancées à Paris (ENSTA ParisTech). - réalisé par : Anne-Laure Chanel

HEC Stories
Heure H avec Patrick Artus

HEC Stories

Play Episode Listen Later Apr 10, 2019 99:08


Patrick Arthus était l'invité de l'Heure H du 27 avril 2016 Diplômé de l'Ecole Polytechnique, de l'Ecole Nationale de la Statistique et de l'Administration Economique et de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris, Patrick ARTUS est aujourd'hui le Chef économiste de Natixis et membre du Comité Exécutif. Il débute sa carrière en 1975 à l'INSEE où il participe entre autres aux travaux de prévision et de modélisation. Il travaille ensuite au Département d'Economie de l'OCDE (1980) puis devient Directeur des Etudes à l'ENSAE et Responsable de Séminaire de Recherche à l'Université Paris Dauphine (1982). Il enseigna dans diverses Universités (Dauphine, ENSAE, Centre des Hautes Etudes de l'Armement, Ecole Nationale des Ponts et Chaussées, HEC Lausanne...), et il est actuellement Professeur d'économie à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Il cumule ses fonctions d'enseignant avec ses travaux de recherche et s'associe à diverses revues ou associations économiques. Il est membre des Conseils d’administration de TOTAL et d'IPSOS en qualité d'Administrateur.

Présages
Gaël Giraud : le portrait du monde qui vient

Présages

Play Episode Listen Later Apr 10, 2018 51:20


Gaël Giraud est chef économiste de l'Agence Française du Développement (AFD), et prêtre jésuite. Un homme singulier, inclassable, au parcours pour le moins atypique, qui oscille entre des univers que tout oppose a priori. Diplômé de l'Ecole Normale Supérieure de la rue d'Ulm et de l'Ecole Nationale de la Statistique et de l'Administration Economique, il est également docteur en mathématiques appliquées de l'Ecole polytechnique, spécialiste de la théorie des jeux, et directeur de recherches au CNRS. Gaël Giraud a travaillé pour les marchés financiers à New York, avant de devenir membre de la compagnie de Jésus en 2004, puis prêtre en 2013. Il a fondé le centre d'accueil d'enfants de la rue à Balimba, au Tchad, où il a passé deux années qui l'ont éveillé aux problématiques du climat et de l'énergie. Sa parole juste et lucide tranche avec le discours ambiant, et explore une véritable éthique de l’économie. Nous avons parlé de l'influence de ses différentes casquettes, entre spiritualité et rationalité, finance et voeu de pauvreté ; d'un épisode très méconnu de l'Histoire en 1890, durant lequel 50 millions de personnes sont mortes en moins de deux ans ; de ce que signifie concrètement une planète à +3 degrés ; des facteurs explicatifs de l'inaction et du déni : la prime au vice engendrée par l'absence de vraie législation et la mythologie de la concurrence entre entreprises, ainsi que le cynisme, la bunkerisation et le syndrome du Titanic d'une partie des élites économiques et sociales. Nous avons discuté de l'évolution de la démographie, du rôle des femmes dans la transition écologique et dans la conversion de notre relation à la nature, pour passer d'un rapport de domination à une forme de coexistence et de partage. Nous avons également parlé de l'urgence de créer de nouveaux modèles économiques qui prennent en compte les ressources naturelles, et du besoin de revaloriser la dépense publique. > Entretien enregistré le 6 avril 2018 EXTRAITS "Ce que je crains moi, c'est que nous rééditions ce type d'exploit morbide. C'est à dire que les élites du Nord arrivent à se protéger des menaces environnementales qui sont devant nous, provoquent des catastrophes et des espèces de génocides analogues à celui de 1890, et ne tiennent même pas compte de la réalité de ceci." "C'est ça le portrait de la planète à la fin du siècle à +3 ou +4 degrés. Ca veut dire aussi très certainement une planète qui est largement hostile à la présence humaine sur des pans entiers des continents sur lesquels nous vivons aujourd'hui." "Il y a là quelque chose de désespérant du coté des scientifiques quand on voit l'inaction de la classe politique, et d'une certaine manière on pourrait parler d'obscurantisme de la part d'une partie des médias qui ne relaie pas la réalité catastrophique de ce que nous savons par ailleurs." "Une bonne partie d'entre nous n'arrive pas à croire ce que nous savons, ce qui renvoie à une question d'acte de foi dans la manière dont nous comprenons l'avenir qui est devant nous." "Tant qu'on continue de régir les relations entre entreprises par de la concurrence, il y aura une prime au vice, une prime à l'industrie brune." "On a absolument besoin de revaloriser la dépense publique, une dépense publique intelligente, on a besoin de "mieux d'état", non pas de moins d'état." "La vérité, c'est qu'on a absolument besoin d'investissements publics massifs dans le train, parce que le train c'est la mobilité verte de demain." *** Abonnez-vous sur iTunes : apple.co/2IgEClh Inscrivez-vous à la newsletter : bit.ly/2p2so7n Facebook : www.facebook.com/presages.podcast/ Approfondissez les sujets et découvrez des ressources sur www.presages.fr *** Présages est un podcast indépendant. La musique est un extrait du morceau L’eau de Sabrina Bellaouel, mixé par Paloma Colombe.