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Send us a textThis week on Haunt Weekly, we're talking about the relatively new practice of "Buy Now, Pay Later," a form of short-term loan that many are using to make expensive purchases. To the older crowd, it might not seem like that big of a deal. However, to your younger audience, this is rapidly becoming one of the most popular methods of payment. This is especially true for "treat yourself" purchases, you know, like haunt tickets.So sit down as we discuss the practice in full and decide if it's something that haunts should participate in.This Week's Episode Includes:1. Intro2. Work We Did for the Haunt3. Question of the Week4. What is BNPL5. The Customer's Perspective6. The Merchant's/Financer's Perspective7. Reasons to take BNPL8. Reasons to Avoid It9. ConclusionsAll in all, this is one episode you do NOT want to miss!Get in Touch and Follow Us!Facebook: @HauntWeeklyTwitter: @HauntWeeklyYouTube: @HauntWeeklyEmail: info@hauntweekly.com
durée : 00:13:06 - Une "TVA sociale" pour financer la Sécurité sociale ?
C'est un programme mis en place avec un CHU. Une partie des recettes récoltées par les radars de la région a été utilisée pour acheter du matériel de haute technologie dont un Exosquelette, cet appareil qui permet d'aider à la marche des patients ayant eu un grave accident cérébral par exemple. Sans cet argent, l'hôpital n'aurait pas pu financer l'achat de cet appareil qui coûte 160 000€.Pour cette deuxième semaine du festival de Cannes, c'est Louis Amar qui chaque jour vous raconte une des histoires qui a fait l'actualité du jour dans sa “Story”.
En ce 22 mai nous marquons la Journée internationale de la diversité biologique célébrée cette année sous le thème « En harmonie avec la nature et développement durable ».L'ONU appelle à une action urgente pour préserver et restaurer la biodiversité. Il rappelle que, malgré les avancées technologiques, notre survie dépend toujours d'écosystèmes sains qui nous fournissent eau, nourriture, vêtements, carburant, énergie et médicaments.Toutefois, en raison de la pollution, de la crise climatique, et de l'exploitation non-durable des ressources naturelles, l'humanité est en train d'anéantir la biodiversité à une vitesse fulgurante.Les menaces pèsent également sur les peuples autochtones « gardiens de la biodiversité », affirme le Rapporteur spécial pour les droits des peuples autochtones, précisant que bien qu'ils ne constituent que 6% de la population mondiale, ils protègent 80% de la biodiversité planétaire.Dans un entretien récent accordé au moment de la réunion annuelle de haut niveau de l'ONU sur les peuples autochtones, Dr Albert Barume, revient sur les principales préoccupations des peuples autochtones et pourquoi, à l'ère du développement durable et de la remise en question des droits acquis, « c'est vraiment le moment de financer la cause autochtone ».(Interview : Dr Albert Barume, Rapporteur spécial de l'ONU pour les droits des peuples autochtones ; propos recueillis par Hisae Kawamori ONU Vidéo)
TotalEnergies tient ses Assemblées générales ce vendredi à Paris. Les grandes compagnies pétrolières dont beaucoup ont des projets en Afrique sont sous le feu des critiques dans les pays occidentaux. Un contexte peu propice aux financements des projets. « Notre climat : non négociable ; notre futur : non négociable ». Devant le siège du Crédit agricole à Paris, la semaine dernière, des militants de l'ONG Amis de la Terre ont dénoncé le soutien financier accordé au projet gazier de TotalEnergies au Mozambique. Leur stratégie : pousser les établissements bancaires à se désengager des projets d'extraction d'énergies fossiles.« Derrière ces projets toxiques. Ce qu'on oublie souvent, c'est qu'il y a aussi des grandes banques qui financent directement ces projets, dénonce la militante écologiste Lorette Philipot. Donc, aux Amis de la Terre, on travaille directement avec des partenaires dans les pays et les communautés impactées pour faire cesser ces soutiens financiers qui rendent possibles des projets climaticides et contraires aux droits humains. »Les banques, cibles des militants écologistesLes établissements européens sont de plus en plus sensibles à ces pressions, tout comme certaines banques américaines, comme Citigroup, également prises pour cible par les associations l'année dernière.La pression des ONG sur les banques commence à se faire sentir sur le terrain, notamment en Afrique. Pour Benjamin Augé, chercheur associé à l'Ifri, la dynamique est claire : « Les ONG environnementales en Occident commencent à exercer une forte pression pour que les banques n'investissent pas dans ces projets-là. Et donc, ça devient de plus en plus compliqué avec une enveloppe globale pour le pétrole et le gaz qui diminue et avec un nombre d'acteurs qui se dirige de plus en plus vers d'autres types d'investissements ou en tout cas dans l'énergie, plutôt dans les renouvelables et de moins en moins sur les hydrocarbures qui n'a plus vraiment la cote. »Des projets africains ralentis par manque de financementsRésultat : les projets prennent plus de temps à se concrétiser, faute de financements rapides. Verner Ayukegba, vice-président de la Chambre africaine de l'Énergie, en témoigne : « C'est difficile de réaliser ces projets, parce que ça peut seulement se faire avec des compagnies qui ont un énorme potentiel de fonds propres. En ce moment, il y a moins de dépendance sur des financiers internationaux. Désormais, il y a de moins en moins d'assureurs et de financiers qui s'engagent. »Malgré tout, les projets pétroliers et gaziers en Afrique attirent encore des capitaux : 43 milliards de dollars de dépenses sont prévues cette année, avec une projection de 54 milliards d'ici à 2030.
Vous ne savez pas dans quoi investir en Bourse ? Des gérants vous donnent des idées de valeurs, secteurs, matières premières ...
Dans cet épisode, Olivier Babeau partage ses réflexions sur le processus de déclaration de revenus en France. Il évoque la complexité du système fiscal, le choc du montant à payer, la progressivité de l'impôt, ainsi que son sentiment que l'argent des contribuables est souvent mal utilisé par l'État. Il souligne également l'impact grandissant de la dette publique sur les finances des ménages. Une analyse détaillée des enjeux économiques et fiscaux qui touchent les Français au quotidien.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Parlement européen a sorti les calculettes : le prochain budget de l'Union européenne se dessine en ce moment et l'équation paraît très difficile à résoudre pour les Vingt-Sept, qui doivent financer toujours plus de secteurs avec un budget très contraint. Celui-ci représente actuellement 1 % du PIB de l'Union, soit 1 000 milliards d'euros sur 7 ans. Il sert pour un tiers à la politique agricole commune, pour un autre tiers à la cohésion entre les régions d'Europe, pour assurer leur rattrapage économique, et pour le reste à payer le fonctionnement de l'Union et les autres politiques. Dans le même temps, les Vingt-Sept entendent développer leurs investissements dans la défense, le numérique et les nouvelles technologies. Avec quel argent ? Ils devront déjà rembourser un grand emprunt contracté pendant le Covid, qui risque de grever le budget de 15 à 20 % par an. L'Union européenne pourrait-elle avoir recours à de nouvelles ressources propres, indépendantes des contributions des États ? L'idée est avancée, mais les pistes, comme la taxe carbone aux frontières, suscitent beaucoup de scepticisme.
On se retrouve aujourd'hui avec Patrice Cros, directeur de Finances et Pédagogie pour parler du rapport à l'argent des artistes, mais aussi pourquoi il est important de s'en préoccuper. Patrice vous donne quelques pistes concrète pour mieux gérer votre argent. Les réseaux de Finances et Pédagogie si vous avez des questions: - https://www.finances-pedagogie.fr - https://www.linkedin.com/company/finances-pedagogie/posts/?feedView=all L'Instagram du podcast pour encore plus de contenu: https://www.instagram.com/grainedartiste.podcast/ Et ma chaîne perso pour vois tous les backstages: https://www.youtube.com/@chloe.brindos/videos Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Face aux tensions autour de la guerre en Ukraine et à l'incertitude concernant l'avenir de l'OTAN, l'Europe cherche à s'émanciper militairement. Financer le réarmement et les industries de défense est la nouvelle priorité et les enjeux sont colossaux. La France, deuxième pays exportateur mondial d'armes, voit ses industries en pleine expansion, mais les défis financiers et humains sont nombreux. Comment s'adapter à cette nouvelle cadence ? Reportage au cœur des entreprises qui tentent de satisfaire l'ambition militaire française.
La Banque mondiale et le Fonds monétaire international se réunissent toute la semaine à Washington pour leurs sessions de printemps, l'occasion de parler du financement de la transition énergétique. La pollution de notre environnement entraîne sécheresses et cyclones, elle a donc un coût, il s'agirait donc de faire payer les pollueurs : le transport maritime ou l'aviation, par exemple, sont les premiers visés. Facile à dire, plus difficile à appliquer. C'est pour y arriver qu'un groupe de travail a été créé, il y a deux ans. Alors, faire payer les pollueurs, mission impossible ou solution réaliste ? Avec nos invités : - Anna Creti, professeure d'Économie à l'Université Paris Dauphine, directrice scientifique de la Chaire Économie du Gaz Naturel et de la Chaire Économie du Climat- Pascal Saint-Amans, associé chez Brunswick Group et professeur de Politique fiscale à HEC. Expert dans le groupe de travail sur les prélèvements solidaires mondiaux (Global Solidarity Levies Task Force).
Au Sénégal, les comptes du pays sont dans le rouge après la révélation d'une dette cachée de 7 milliards de dollars laissée par le régime de Macky Sall. Le Trésor public sénégalais a lancé une levée de fonds de 150 milliards de FCFA auprès des populations sur le marché des titres de l'UEMOA fin mars, avec pour objectif trouver des sources de financements pour réaliser l'ambitieux programme du président. « Saisissez une opportunité d'investissement sécurisé avec l'État », pouvait-on lire sur les téléphones des clients de la Société générale au Sénégal ces dernières semaines. L'opération en question est une levée de fonds de 150 milliards de FCFA du Trésor sénégalais par appel public à l'épargne. Devant une banque du centre-ville, beaucoup de Dakarois sont séduits par l'idée de prêter de l'argent à l'État. « Si c'est pour aider, il n'y a pas de problème, c'est le patriotisme. Donc, je le ferai volontiers », assure Abdourahmane Sow, standardiste de profession.Cette levée de fonds intervient alors que la dette atteint plus de 100% du PIB, 25 points de plus que ce qui avait été avancé par le régime sortant. Pour Charles, chauffeur coursier, cela fait une raison de plus pour investir dans ces bons : « C'est l'ancien régime qui nous a mis dans cette situation. Mais pas le régime actuel. Nous savons tous que le Sénégal traverse des moments difficiles. Et c'est à nous, la population, de pouvoir soutenir ce nouveau pouvoir, pour qu'on aille de l'avant. »Les taux d'intérêt vont de 6,40 à 6,95% et les bons sont à 10 000 FCFA l'unité, mais Yela Ba qui travaille dans la logistique ne voit pas l'intérêt pour les particuliers. « Je me dis que peut-être, pour un million de FCFA, le rendu sur trois ans n'est pas vraiment intéressant pour moi, estime-t-il. Maintenant, je me dis que peut-être pour ceux qui ont un gros capital, ça peut les intéresser. Moi, je vais passer mon tour. »Trouver des ressources, faire des économiesL'État sénégalais a souvent recours à ce type d'emprunt, mais la situation est particulièrement tendue aujourd'hui. Après les révélations de la Cour des comptes, la note du Sénégal a été abaissée deux fois par l'agence de notation Moody's et le programme du FMI suspendu. Il faut donc diversifier les sources de financement. « C'est sûr que l'emprunt extérieur demanderait des taux de plus en plus élevés parce que les bailleurs de fonds, les investisseurs vont prendre en charge effectivement les situations risquées. Donc, en passant par les marchés de l'UEMOA, par les marchés des titres publics, l'État peut bénéficier de ressources longues », analyse Abdou Khadre Dieng, professeur d'économie à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar.Pour Elimane Haby Kane, du think tank Legs Africa, un emprunt obligataire ou même la négociation d'un nouveau prêt avec le FMI ne sont pas les stratégies les plus soutenables pour redonner des moyens à l'État. Des économies pourraient sans doute être faites « sur des lignes qui existaient déjà sur des types d'investissements qui n'étaient pas très efficients » pour l'État et ainsi lui permettre de « souffler un peu ». L'opération a été un succès. Une semaine avant la fin, plus de 400 milliards de FCFA avaient été collectés et la levée de fonds clôturée. La première phase du programme du président Bassirou Diomaye Faye pour la période 2025-2029 a été chiffrée à 18 000 milliards de FCFA, soit plus de 28 millions d'euros.
François Delétraz, président de la Fédération nationale des associations d'usagers des transports (FNAUT), répond aux questions de Dimitri Pavlenko.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Catherine Nay analyse la décision soudaine de Donald Trump de faire une pause de 90 jours dans la guerre commerciale avec la Chine. Elle explique les raisons qui ont poussé le président américain à reculer, notamment la pression des milieux d'affaires et la crainte d'une récession. Catherine Nay décrypte également les réactions de l'Europe et de la Chine face à ce revirement inattendu de la politique commerciale de Trump.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Périco Légasse, journaliste. Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. Et Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 25 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 21 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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On commence avec cet annonce du gouvernement qui va lancer un placement d'épargne pour financer le réarmement
Jean-Marie Colombani et Géraldine Woessner évoquent le placement accessible à 500 euros qui va être lancé pour financer la défense. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:54:34 - franceinfo: Les informés - Du lundi au jeudi, les informés débattent de l'actualité autour de Jean-Rémi Baudot et Agathe Lambret.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la mise en place d'une épargne à destination de la défense française.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les ministres français de l'Économie et des Armées reçoivent, ce jeudi 20 mars, les investisseurs privés et les industriels de la défense. Objectif de ce rendez-vous : mobiliser des financements pour le secteur, cela alors que l'Union européenne entend se réarmer face à la menace russe. À l'ordre du jour, trouver les financements pour mener à bien ce projet. Décryptage. L'objectif est ambitieux pour la France. Aujourd'hui, les dépenses de la défense tricolore s'élèvent à un peu plus de 2% du PIB, ce qui correspond à environ 50 milliards d'euros. Le président français veut augmenter ce budget pour atteindre d'ici cinq ans les 100 milliards. La grande interrogation réside dans le financement de ce projet. Ces dernières semaines, une multitude de pistes ont été évoquées, plus ou moins prises au sérieux d'ailleurs, et c'est de cela dont il sera question tout à l'heure à Bercy. Les banques sollicitées Il suffit de voir qui est convié à cette réunion pour envisager quelques options qui s'offrent à l'exécutif, puisque ce sont les banques, les assurances ou encore des fonds d'investissements qui prendront part à l'événement. Les banques d'abord, via les livrets d'épargne. Le ministre de l'Économie et des Finances n'exclut pas la possibilité de mobiliser cette épargne privée mais attention, cela ne veut pas dire que l'État pourra obliger à investir dans des livrets qui vont être dirigés vers la défense et vers l'armement. Cela veut juste dire qu'il pourra simplement utiliser l'épargne existante, comme le Livret A. Évidemment le tout avec l'accord des banques. À lire aussiL'Europe peut-elle devenir un géant de l'industrie de défense?Il a aussi été question de la création d'un nouveau livret d'épargne spécifique aux dépenses militaires. Il s'agit là d'un produit bancaire permettant aux citoyens de contribuer directement au financement de l'effort de défense tout en bénéficiant d'avantages fiscaux. À ce stade, ça reste une piste parmi d'autres, mais quoi qu'il en soit, les banques restent en première ligne car ce sont elles qui prêteront de l'argent aux entreprises. La Fédération bancaire française estime que les six plus grandes banques du pays soutiennent déjà le secteur à hauteur de 37 milliards d'euros. Un choix politique Il y a aussi les assurances vie qui peuvent permettre de trouver des fonds. Et ce n'est pas négligeable. Les assureurs en France disposent via les contrats d'assurance vie, de plus de 2 000 milliards d'euros placés principalement dans des obligations d'État et d'entreprises. Si le secteur de la défense n'a pas forcément les faveurs des assureurs, plus attentifs ces dernières années aux critères environnementaux notamment, leur regard sur le militaire est en train de changer, voyant que le sujet devient de plus en plus stratégique. À lire aussiL'Europe se réarme, le secteur de la défense se frotte les mainsEt puis on peut aussi penser à des financements 100% publics. L'Allemagne a fait ce choix et a trouvé une solution pour financer ses dépenses militaires en s'endettant. Mais s'endetter coûte cher et la France n'a plus les moyens, elle-même déjà très endettée. D'autant qu'Emmanuel Macron le promet, l'augmentation du budget militaire n'impliquera pas de hausse d'impôts. L'équilibre est donc très précaire. Faudra-t-il créer un nouvel impôt ? Faire des économies ? S'endetter ? Des enjeux financiers et économiques avec des conséquences sociales. Le financement de la défense française est plus que jamais une affaire de choix politique !
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la mise en place d'une épargne à destination de la défense française.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Belgique veut se réarmer, mais comment et surtout avec quel argent alors que les caisses de l'Etat crient famine ? Quelles sont les options sur la table du gouvernement et qui va payer la facture ? L'Europe se réarme et la Belgique suit évidemment le mouvement. Objectif du gouvernement belge atteindre 2% du PIB pour la défense dès cet été. C'est un sacré bond quand on sait qu'en 2024, on en était encore à 1,31% du PIB. Alors concrètement, ça veut dire trouver 3,8 milliards cette année et 17 milliards sur la législature. Mais avec un déficit déjà en roue libre. La vraie question, c'est qui va payer la facture ? Alors jusqu'ici, la Belgique comptait sur l'OTAN et surtout sur la protection américaine pour assurer sa sécurité. Mais c'est fini la tranquillité, entre les menaces russes et l'incertitude sur la politique américaine, l'Europe n'a plus le choix, elle doit se défendre seule. Résultat, la Commission européenne sort le chéquier, comme d'ailleurs le reste du continent. Mais au-delà du montant, la véritable question c'est comment on va dépenser cet argent ? Acheter des chars et des avions de chasse, est-ce vraiment ce dont un petit pays comme la Belgique a besoin ? Ou serait il plus malin de miser sur la cybersécurité, sur le renseignement ou sur les infrastructures critiques ? Comment donc financer cet effort militaire alors ? Mots-Clés : piste, vendre, bijoux de famille, idée, participations de l'Etat, Proximus, Belfius, BNP Paribas Fortis, encaissé, dividendes, marge, avenir, solution, court terme, règle, durée, dette, critères, déficit, rembourser, taux d'intérêt, piège. Option, subventions, dépenses sociales, efficacité, services publics, logique, explosé, milliards, niche fiscale, emploi, infrastructure, transition énergétique, impact, croissance, entreprises, échelle, pays, booster, problème, achats militaires, Etats-Unis, autonome, dépendante, industrie de la défense, américaine, réinvestir, cyber, renseignement, technologies stratégiques, défense, financer, actifs publics, impôts, enjeu, complexe. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:45:04 - On n'arrête pas l'éco - par : Alexandra Bensaid, Valentin Pérez - Financer les dépenses militaires et faire baisser le déficit, avec une croissance revue à la baisse et sous le regard des agences de notation... Comment résoudre une équation budgétaire de plus en plus acrobatique ? Ce samedi, débat, reportage et entretien avec la ministre des Comptes publics. - invités : Amélie de Montchalin - Amélie de Montchalin : Ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires - réalisé par : Etienne BERTIN, Helene Bizieau
Agnès Verdier-Molinié analyse les difficultés de financement rencontrées par l'industrie de la défense en Europe. Elle explique comment les réglementations européennes sur les investissements durables ont longtemps considéré le secteur de la défense comme un investissement non recommandable, malgré les besoins de financement. Bien que la situation ait évolué depuis la guerre en Ukraine, de nombreuses entreprises du secteur peinent encore à lever des capitaux. Une situation préoccupante qui soulève des questions sur la capacité de l'Europe à soutenir son industrie de défense.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:20:21 - Journal de 12h30 - L'exécutif est réuni aujourd'hui à l'Elysée pour chercher des pistes destinées à augmenter le budget de l'armée française.
durée : 00:20:21 - Journal de 12h30 - L'exécutif est réuni aujourd'hui à l'Elysée pour chercher des pistes destinées à augmenter le budget de l'armée française.
Pour débuter l'émission de ce mardi 11 mars 2025, les GG : Jérôme Marty, médecin généraliste, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent du sujet du jour : Prêts à passer aux 36 heures pour financer l'effort de guerre ?
Ecoutez Le débat du jour avec Amandine Bégot et Thomas Sotto du 11 mars 2025.
Ecoutez Le débat du jour avec Amandine Bégot et Thomas Sotto du 11 mars 2025.
durée : 00:23:57 - Budget de la défense en France, comment financer ?
Ecoutez Le débat du jour avec Amandine Bégot et Thomas Sotto du 10 mars 2025.
Ce vendredi 7 mars, les changements qui affecteront notre budget, notamment celui de la défense, en marge de la décision de l'Europe pour soutenir l'Ukraine ont été abordés par Céline Antonin, économiste à l'OFCE, Isabelle Bordry, fondatrice de Retency, et Robin Rivaton, directeur général de Stonal, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Emilie Baujard du 07 mars 2025.
L'investissement privé peut soutenir davantage l'industrie de défense si certaines contraintes sont levées, et si les carnets de commandes sont pleins.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi 4 mars, la soutenabilité de la dette publique, les coupes de dépenses publiques pour financer la défense militaire de l'Europe et la contribution des générations actuelles et futures dans l'effort de guerre ont été abordées par Jean-Marc Daniel, professeur émérite à l'ESCP; Jérôme Dedeyan, associé de ToutSurMesFinances.com, et Eric Heyer, directeur du département analyse et prévision à l'OFCE, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi, sur Europe 1, Olivier Babeau s'intéresse au réarmement de l'Union européenne.
Oui ou non ? À vous de voter ! Donnez votre avis et découvrez celui des autres internautes en répondant à la question du jour. Les résultats sont publiés sur la première page de notre quotidien Le Figaro. Vous retrouverez également sur cette page les autres questions posées par la rédaction numérique du Figaro pour débattre de l'actualité avec les lecteurs.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 10h, ce vendredi 21 février 2025, les GG : Bruno Poncet, cheminot, Marie-Sophie Bufarull, secrétaire, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de : "Prêts à mobiliser votre épargne pour financer la défense ?"
Avec : Yael Mellul, ancienne avocate. Périco Légasse, journaliste à Marianne. Et Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Ce mercredi 12 février, l'utilité de la nouvelle taxe régionale des entreprises appelée "versement mobilité", la discussion autour de la taxe sur la fortune et ce que signifie la taxe Zucman, le patron de la CPME qui veut s'inspirer d'Elon Musk pour réduire les dépenses publiques, ainsi que le taux de chômage qui est en légère baisse, ont été abordés par Céline Antonin, économiste à l'OFCE, Sylvain Orebi, président d'Orientis et de Kusmi Tea, et Agnès Michel, associée chez Ixos Formation, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Cela fait près de deux ans que l'alliance française de Ziguinchor, en Casamance dans le sud du Sénégal, a été presque entièrement détruite par le feu. Deux incendies eurent lieu en mai et en juin 2023, au moment où Ousmane Sonko, encore maire de Ziguinchor et opposant, avait été condamné par la justice. Ses partisans, très remontés, avaient manifesté violemment. Pour réparer l'alliance, l'équipe qui y travaille a lancé une levée de fonds et organise une soirée de gala, le 15 février, pour participer au financement des travaux de ce bâtiment qui fait partie du patrimoine de Ziguinchor. C'est la directrice de l'alliance de Ziguinchor qui nous guide. « Vous pouvez voir, c'est tout brulé », constate-t-elle en entrant dans les lieux. Partout, les traces de l'incendie sont bien visibles. Les colonnes de l'entrée sont noircies et rongées par le feu, une partie du mur de ce bâtiment rond et coloré est détruit, le toit de la grande salle de spectacle est parti en fumée... Ce sont les conséquences du double incendie du 15 mai et du 1ᵉʳ juin 2023.« C'est un tel gâchis. Ça fait mal au cœur à chaque fois. Ça limite beaucoup l'offre culturelle, puisqu'on n'a plus de salle de spectacle. On se réinvente dans le jardin », explique Nathalie Carraye Faye.« C'est magnifique, c'est tranquille. Tu viens, tu écris »Dans le jardin luxuriant, véritable parc où se mêlent fromagers, eucalyptus, palmiers et bougainvilliers, deux containers remplacent les salles de classe détruites. La bibliothèque a été installée à l'extérieur. Sira Gassama, slameuse de Ziguinchor, fréquente ce lieu culturel depuis le lycée.« Tu vois comme c'est magnifique, c'est tranquille. Tu viens, tu écris. En plus, tu as deux scènes, tu as la possibilité de répéter pendant des heures et travailler pendant des heures. C'est quelque chose qui nous appartient et qu'on devrait essayer de faire revivre », confie Sira Gassama, alias « La Reine du Sud ».Mohamadou Sahir Diang, 16 ans, qui vient ici depuis qu'il a 10 ans, est du même avis.Un appel aux donateurs est lancé pour la reconstructionDepuis l'incendie, les 35 Sénégalais employés de l'alliance et leur directrice n'ont jamais arrêté de travailler, de se réinventer pour faire fonctionner le lieu. Mais pour Nathalie Carraye Faye, en l'état actuel, l'accueil des élèves plus nombreux que jamais et des artistes est dégradé. Il y a un nombre record d'inscriptions en cours d'anglais et de soutiens scolaire, mais pas assez de place pour les accueillir. Il faut réparer le plus vite possible :« Il y a vraiment urgence, car tous les murs sont imprégnés de moisissures. On espère pouvoir récupérer l'aile Est. Il faut refaire tout le système électrique. Il faut tout refaire. »Un projet de reconstruction a été validé. L'architecte sénégalais Cheikh Tidiane Seck est chargé de le réaliser. Coûts des travaux : 2 millions d'euros environ. Pour les financer, l'alliance a lancé un appel aux donateurs ; 200 000 € ont déjà été levés, mais il faut continuer. C'est l'idée du dîner-spectacle et dansant de ce samedi 15 février à l'alliance de Ziguinchor.À lire aussiA Ziguinchor, les nouvelles ambitions de l'Alliance franco-sénégalaise
Les enfants vont bien: homoparentalité et autres schémas familiaux
Une fois n'est pas coutume, je vous retrouve aujourd'hui pour vous parler de GPA. La GPA est toujours sujette à controverse alors qu'en réalité, elle est surtout victime de méconnaissance et de désinformation. La preuve en est, Loic et Yann debunkent, encore dans cet épisode, certaines croyances autour de la GPA. Alors tant qu'à y etre, je leur ai posé LA question qui inquiète le plus les futurs papas et toutes les personnes qui passent par une GPA, celle du financement. Sans tabou ni langue de bois, ils vous expliquent comment ils ont monté eux meme leur plan de financement, la ou les banques leur ont opposé systématiquement une réponse négative. La naissance de Rose était attendue, elle a nécessité 9 transferts, 3 femmes porteuses et le matériel génétique des 2 papas pour aboutir. Elle a surtout été rendu possible par un joli concours de circonstance: 1- Le Mexique, pays qu'ils avaient choisi pour réaliser leur parcours de GPA, était un pays « accessible » financièrement , en tous cas, plus que les États Unis ou le Canada, 2- La clinique mexicaine proposaient plusieurs formules, dont une permettant autant de transferts que nécessaire, pour aboutir à une naissance. Sans cela, Loic et Yann auraient certainement du abandonner leur désir de parentalité. Du début à la fin, ils n'ont rien lâché et vous racontent aussi comment ils ont réussi à rester ancrer dans ce projet malgré la distance et les 7 années qui les ont menées à Rose. Je vous laisse découvrir leur histoire et je souhaite une bonne écoute.Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/lesenfantsvontbien. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Astrid Panosyan-Bouvet veut mettre à contribution les retraités les plus aisés pour renflouer les comptes de la sécurité sociale. Une piste qui risque de faire grincer des dents.