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durée : 00:28:36 - L'Entretien archéologique - par : Antoine Beauchamp - Éternelle rivale de Rome, Carthage continue de livrer ses secrets. Les infrastructures portuaires au cœur de la vie de la cité sont encore mal connues des chercheurs. Des missions géoarchéologiques récentes nous en apprennent plus sur ce mythique et unique au monde port circulaire antique. - réalisation : Olivier Bétard - invités : Jean-Philippe Goiran Géographe au CNRS
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur des contradictions sur un accord entre Israël et l'Égypte et l'ingérence américaines dans la présidentielle hondurienne. Nigeria : quelles sont les vraies raisons de la démission du ministre de la Défense ? Au Nigeria, le ministre de la Défense Mohammed Badaru Abubakar a démissionné de son poste invoquant des raisons de santé. Ne s'agit-il pas d'un prétexte alors que le pays est confronté à une recrudescence des kidnappings de masse ? Pourquoi le président Tinubu a-t-il décidé de le remplacer par le général Christopher Musa, ancien chef d'état-major des armées limogé, il y a deux mois, pour des rumeurs de tentative de coup d'État ? Avec Liza Fabbian, journaliste au service Afrique de RFI. Gaza : pourquoi Israël a-t-il annoncé que les habitants pourraient quitter le territoire par l'Égypte ? Alors qu'Israël avait annoncé la sortie prochaine des Gazaouis par le point de passage de Rafah, situé entre l'enclave palestinienne et l'Égypte, Le Caire a immédiatement démenti avoir accepté un tel compromis. Comment expliquer ces contradictions ? Quelle était la stratégie des autorités israéliennes en annonçant l'ouverture de ce poste-frontière sachant que l'Égypte allait démentir ? Avec Frédérique Misslin, correspondante permanente de RFI à Jérusalem. Honduras : pourquoi Trump libère un ancien président narcotrafiquant ? Condamné à 45 ans de prison par la justice américaine pour avoir importé aux États-Unis des centaines de tonnes de cocaïne, l'ancien président hondurien Juan Orlando Hernández a bénéficié d'une grâce de Donald Trump. Comment expliquer cette décision ? Alors que le Honduras est en pleine période électorale, quelles peuvent être les conséquences politiques de cette libération ? Avec Daniel Vasquez, doctorant au CNRS, affilié au Centre d'Études Mexicaines et Centraméricaines (CEMCA) et spécialiste du Honduras. Et en fin d'émission, la chronique «Un oeil sur les réseaux de Jessica Taieb». Au programme, le témoignage TikTok d'un mannequin guinéen qui rencontre des difficultés à voyager à cause de son passeport.
Dans quelques jours, il y aura une annonce à propos de la tour Eiffel ! Nous allons découvrir les 72 noms de femmes scientifiques qui vont être inscrits sur la tour. Béatrice Marticorena, scientifique au CNRS a participé à une commission d'experts. Elle nous raconte dans cet entretien le projet, à quelle ambition il répond, qui en a eu l'idée et qui l'a porté. Elle aborde aussi le parcours pour devenir scientifique en France. Bref, c'est passionnant de l'entendre parler de ce projet qui mêle les femmes, les sciences et la tour Eiffel. Cet épisode est l'occasion idéale de découvrir le vocabulaire scientifique, l'histoire de la tour Eiffel, mais aussi des phrases complexes. N'hésitez pas à envoyer un message si cet épisode vous a plu sur www.onethinginafrenchday.com
durée : 00:38:57 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - Depuis la dissolution de juin 2024, les politiques n'ont toujours pas trouvé les ressources nécessaires dans la Constitution pour dépasser la fragmentation de l'Assemblée. La Ve République est-elle réparable ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Olivier Beaud Professeur de droit public à l'Université Paris 2; Perrine Simon-Nahum Directrice de recherche au CNRS, professeure à l'École normale supérieure de Paris
J'ai eu la chance de rencontrer Béatrice Marticorena, directrice de recherche au CNRS, le centre national de la recherche scientifique. Elle a participé à un comité chargé d'évaluer la possibilité de mettre des noms de femmes scientifiques sur la Tour Eiffel. La proposition ne surprend plus quand on sait que la Tour Eiffel arbore sur une frise du premier étage avec soixante-douze noms d'hommes scientifiques choisis par Gustave Eiffel. Dans l'épisode d'aujourd'hui, vous allez entendre une partie de cet entretien. Dnas la lettre qui accompagne cet épisode, il y aura des notes culturelles, bien sûr, et nous nous arrêterons sur quelques phrases un peu complexes qu'il faut maitriser et qui sont dans le discours de Béatrice Marticorena. Ce sera l'occasion de s'entraîner à les reconnaître et à les utiliser. Pour recevoir la lettre avec les notes culturelles et linguistiques, vous pouvez vous abonner sur www.cultivateyourfrench.com L'abonnement est à 4 euros par mois, les textes et leurs notes vous sont envoyés par email à chaque fois qu'un épisode est mis en ligne. En vous abonnant, vous recevez automatiquement les dix derniers épisodes avec notes du podcast. Sur la page d'accueil du podcast, vous pourrez aussi suivre tout au long du mois de décembre un calendrier culturel de Noël. Une case par jour avec un épisode à écouter pour chaque thème. Par exemple, le 1er décembre le sujet de la case était « Dire bonjour ».
durée : 00:59:04 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Sur les ponts, sous les routes et dans les murs, le béton est incontournable, alors que sa fabrication dévaste l'environnement. Cet état de fait paradoxal prend forme seulement après la Seconde Guerre mondiale. Comment expliquer la persistance de l'engouement pour le béton ? - réalisation : Thomas Beau - invités : Nelo Magalhães Chargé de recherches au CNRS en histoire environnementale, docteur en mathématiques; Léa Hobson Architecte, scénographe, maçonne et militante écologiste
Indissociablement lié aux pages les plus sombres de notre histoire, notre goût pour le sucre est en train de devenir une addiction. Pourquoi en met-on partout, au mépris de notre santé ? Et jusqu'où sommes-nous prêts à aller pour du sucre ? Pourquoi sommes-nous irrésistiblement attirés par tout ce qui est sucré ? Serions-nous câblés pour aimer ça et en vouloir toujours plus ? Serions-nous addicts au sucre, comme le marketing semble l'avoir si bien compris ? Et depuis quand ? Pour la douceur et pour le pire, le sucre est indissociablement lié aux pages les plus sombres de notre histoire, de l'esclavage à la colonisation. Jusqu'où sommes-nous prêts à aller pour du sucre ? Pourquoi en met-on partout aujourd'hui au mépris de notre santé ? Et qu'est-ce que ça dit de nous ? Avec Fiammeta Ghedini pour sa bande dessinée : Une insatiable envie de douceur : enquête sur le sucre parue chez Dargaud et le chercheur Serge Ahmed, neurobiologiste, directeur de recherche au CNRS et spécialiste de l'addiction, notamment au sucre. Musiques diffusées pendant l'émission Tito Puente and his orchestra - Azucar Pa' Un Amargao Fally Ipupa - Canne à sucre Mariana Froes - Figa De Guiné (Playlist RFI).
Indissociablement lié aux pages les plus sombres de notre histoire, notre goût pour le sucre est en train de devenir une addiction. Pourquoi en met-on partout, au mépris de notre santé ? Et jusqu'où sommes-nous prêts à aller pour du sucre ? Pourquoi sommes-nous irrésistiblement attirés par tout ce qui est sucré ? Serions-nous câblés pour aimer ça et en vouloir toujours plus ? Serions-nous addicts au sucre, comme le marketing semble l'avoir si bien compris ? Et depuis quand ? Pour la douceur et pour le pire, le sucre est indissociablement lié aux pages les plus sombres de notre histoire, de l'esclavage à la colonisation. Jusqu'où sommes-nous prêts à aller pour du sucre ? Pourquoi en met-on partout aujourd'hui au mépris de notre santé ? Et qu'est-ce que ça dit de nous ? Avec Fiammeta Ghedini pour sa bande dessinée : Une insatiable envie de douceur : enquête sur le sucre parue chez Dargaud et le chercheur Serge Ahmed, neurobiologiste, directeur de recherche au CNRS et spécialiste de l'addiction, notamment au sucre. Musiques diffusées pendant l'émission Tito Puente and his orchestra - Azucar Pa' Un Amargao Fally Ipupa - Canne à sucre Mariana Froes - Figa De Guiné (Playlist RFI).
La prolifération des sangliers n'en finit pas d'inquiéter à peu près tout le monde. Près de 900 000 sangliers ont été tués en France lors de la saison 2024-2025, le double d'il y a 20 ans ! En France, selon le CNRS, la population s'est multipliée par 20 depuis la fin des années 90.La prolifération de l'espèce, favorisée par le réchauffement climatique, a des conséquences d'abord sur l'agriculture, l'environnement et aussi sur la sécurité routière. En août 2025 , le Chasseur Français évoquait 40 000 accidents par an, causés par des collisions avec des animaux sauvages dont une majorité de sangliers.En 2025, le petit million de chasseurs actuel ne suffit pas à enrayer la prolifération des sangliers. Tout ce qu'il faut comprendre et savoir sur ce dossier complexe et brûlant dans cet épisode…___
En matière d'écologie, la « transition énergétique » est partout. Des ministères aux grandes entreprises en passant par les rapports du Giec, c'est le paradigme dominant de la lutte contre le changement climatique : pour sauver la planète, il faudrait remplacer les énergies fossiles par des énergies décarbonées, renouvelables ou nucléaire. Et ce récit repose en partie sur l'histoire de l'énergie, avec l'idée qu'il y aurait eu par le passé d'autres transitions, du bois au charbon, puis du charbon au pétrole. Mais cette histoire est-elle réelle? D'où vient cette idée de transition énergétique et comment est-elle devenue l'horizon incontournable de la lutte contre le dérèglement climatique? Et si la « transition énergétique » n'était qu'un mythe qui nous illusionne sur la volonté des dirigeants à prendre en compte l'urgence climatique? Jean-Baptiste Fressoz est historien des sciences et techniques, chercheur au CNRS et auteur de plusieurs ouvrages dont Sans transition, une nouvelle histoire de l'énergie. A travers un retour sur l'histoire des énergies et une analyse critique de la notion de « transition énergétique », il pointe les limites du tout-technologique et appelle à la lucidité sur le défi climatique. #Ecoloscope #9 présenté par Hélène Assekour
durée : 00:58:45 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Tracteurs, batteuses, remembrement, intrants… Après la Seconde Guerre mondiale, comment la France entre-t-elle dans une ère de mécanisation et de modernisation agricole aux lourdes conséquences environnementales ? - réalisation : Thomas Beau, Laurence Millet - invités : Christophe Bonneuil Directeur de recherche en histoire des sciences et en histoire environnementale au CNRS et enseignant à l'EHESS. ; Véronique Lucas Sociologue rurale à l'INRAE Bretagne; Céline Pessis Maîtresse de conférence en histoire des sciences et de l'environnement à AgroParisTech
durée : 00:58:43 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine - Les difficultés de Carmat, start-up française productrice de cœurs artificiels, révèlent les limites rencontrées par les start-up du domaine biomédical. Un sujet d'actualité suivi par le troisième épisode de notre série dédiée à la fabrique de l'expertise économique, aux côtés d'Olivier Pilmis. - réalisation : Sorj Leroy - invités : Julien Pénin Professeur en sciences économiques à l'université de Strasbourg; Julien Cottineau Journaliste à l'Usine Nouvelle; Olivier Pilmis Chargé de recherche au CNRS, affecté au Centre de Sociologie des Organisations – Sciences Po
durée : 00:33:37 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine - Les prévisionnistes sont souvent pointés du doigt après l'irruption d'évènements économiques indésirables. Olivier Pilmis revient sur leur rôle et leurs méthodes dans ce troisième épisode de notre série dédiée à la fabrique de l'expertise économique. - réalisation : Sorj Leroy - invités : Olivier Pilmis Chargé de recherche au CNRS, affecté au Centre de Sociologie des Organisations – Sciences Po
Dr Laurent Schwartz est médecin oncologue et chercheur français. Ancien directeur de recherche à l'INSERM et au CNRS, il est spécialisé dans l'étude du métabolisme des cellules cancéreuses. Son dernier livre *Le bleu de méthylène: Un remède oublié, un nouvel espoir contre le cancer, la dépression et les maladies du cerveau* est disponible partout.site officiel : https://dr-laurentschwartz.com/lien Amazon : https://amzn.to/4pCymbx CHAPITRES :0:00 Introduction3:00 État des Lieux des cancers aujourd'hui16:56 Comprendre la cellule tumorale20:22 La Fermentation et le Cancer26:35 Aggressivité des Cancers31:30 Peur et Dépistage du Cancer33:03 Vers une Nouvelle Compréhension du Cancer39:18 Facteurs Génétiques et Métaboliques du Cancer41:31 Stress et Risque de Cancer43:57 Importance du mode de vie47:08 Vieillissement et cancer50:37 Traitements et avancées52:10 Molécules prometteuses56:10 Recherche et obstacles1:01:47 Prévention et métabolisme1:05:48 Régime cétogène et cancer1:11:54 Futur des traitements1:16:06 Cas de guérison miraculeuse1:20:47 Prochaines préoccupations scientifiques1:25:39 Un appel à la révolutionBIOMÉCANIQUE :InstagramYoutubeSpotifyApple PodcastsDiscordWebsiteLa Lettre Biomécanique™ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Intervention de 'Abd-Al-Haqq Guiderdoni du samedi 22 novembre 2025 dans le cadre des veillées spirituelles. Abd-al-Haqq Guiderdoni est directeur de l'Institut des Hautes Etudes Islamiques Il a été astrophysicien au CNRS, et directeur de l'Observatoire de Lyon, à l'Université de Lyon. Il œuvre pour faire connaître la spiritualité musulmane et promouvoir le dialogue interreligieux. Il a également conduit plusieurs programmes internationaux de recherche sur le dialogue entre perspective scientifique et approche religieuse. Pour plus d'informations visitez notre site: https://consciencesoufie.com/
C'est le premier voyage apostolique de Léon XIV. Après quatre jours en Turquie, le pape est au Liban jusqu'à demain. Un premier déplacement est forcément riche en symboles et scruté à la loupe. Comme d'autres papes avant lui, Léon XIV vient parler paix et unité. Il ne parle pas italien mais anglais et français. Il est prudent dans ses gestes et ses déclarations. Qu'est-ce que tout cela nous dit du pape et des priorités de son pontificat ? Avec : - François Mabille, chercheur au CNRS, directeur de l'Observatoire géopolitique du religieux à l'IRIS, auteur de Le Vatican. La papauté face à un monde en crise (Eyrolles) - Arnaud Alibert, rédacteur en chef de La Croix et prêtre assomptionniste. À lire aussiDans quel Liban éprouvé arrive le pape Léon XIV ?
Invitée :Florence Bergeaud-Blackler, docteur en anthropologie et chargée de recherche au CNRS. Auteure de Le djihad par le marché. Comment l'islam radical s'empare du marché halal aux éditions Odile JacobHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Deux-cent-trente-sixième numéro de Chemins d'histoire, neuvième numéro de la septième saison, émission animée par Luc Daireaux Émission diffusée le dimanche 30 novembre 2025 Thème : Géographie morale des mobilités Invitée : Camille Schmoll, directrice d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, autrice de Chacun sa place. Une géographie morale des mobilités, CNRS éditions, 2025.
Invitée : Inès Anrich. Au XIXème siècle, les entrées en religion des femmes sont en plein essor. Dans la littérature, les vocations forcées sont un thème populaire. Pourtant, les parents sʹopposent aussi à lʹentrée au couvent des jeunes-filles. Quels sont leurs arguments ? Comment une jeune femme du XIXème siècle peut-elle décider de son avenir ? Lʹhistorienne Inès Anrich en parle au micro de Jessica Da Silva. Photo: Lʹhistorienne Inès Anrich. Bibliographie: Filles en conflits: consentement et vocations religieuses, France-Espagne au XIXe siècle, Inès Anrich, CNRS éditions, 2025, 331p.
durée : 00:05:00 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - La dépression résistante au traitement concerne jusqu'à 30 % des patients. À partir d'un échantillon sanguin, une nouvelle étude montre un profil biologique distinct, avec des gènes régulés autrement et une immunité différente. Un pas vers une identification plus précoce de cette pathologie. - invités : Marie-Claude Potier Directrice de recherche CNRS, co-responsable de l'équipe Maladie d'Alzheimer, maladies à prions à l'Institut du Cerveau et de la Moelle épinière.
durée : 00:59:12 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Mahomet, prophète de l'islam, reste un personnage mystérieux. S'il a fait l'objet de nombreux écrits, les connaissances scientifiques à son sujet restent rares. L'ouvrage 'Le Mahomet des historiens' compile les commentaires sur sa vie, de la philosophie rationaliste aux chroniques chrétiennes. - réalisation : Thomas Beau, Laurence Millet - invités : Mohammad Ali Amir-Moezzi Directeur d'études émérite à l'École Pratique des Hautes Études; Pierre-Olivier Léchot Professeur d'histoire du christianisme à l'époque moderne à l'Institut Protestant de Théologie.; Meryem Sebti Historienne des idées, directrice de recherche au CNRS; John Tolan Historien, professeur d'histoire médiévale à Nantes Université
durée : 00:12:10 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Avant-hier, en Guinée-Bissau, l'armée a arrêté Umaro Sissoco Embaló, le président sortant, puis investi le général Horta N'Tam comme “président de la transition”. Un coup d'État que l'Union africaine condamne “sans équivoque”, alors que le pays attendait les résultats d'élections controversées. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Vincent Foucher Politiste, chargé de recherche CNRS au laboratoire Les Afriques dans le Monde (LAM) de Sciences Po Bordeaux
durée : 00:09:27 - Le Point culture - par : Marie Sorbier - À partir des années 1960, de plus en plus de films racontent la vengeance sanglante de femmes contre leur patron ou leur mari. Pourtant, on ne trouve quasiment pas de traces de cette violence dans le monde réel. Comment alors expliquer cette abondance de femmes meurtrières au cinéma ? - réalisation : Laurence Malonda - invités : Dominique Memmi Directrice de recherches en sciences sociales au CNRS, autrice de "La vengeance des femmes" (PUF)
durée : 00:58:30 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - Les embouteillages du matin, la machine à café en panne ou encore ce collègue pénible à la pause déjeuner : trop nombreux sont les éléments du quotidien qui nous agacent. Faut-il céder à la colère ou adopter, avec l'hypocrisie, cette fuite, cette contenance, lorsqu'autrui m'est insupportable ? - réalisation : Nicolas Berger - invités : Jean-Charles Darmon Professeur de littérature; Frédérique Ildefonse Directrice de recherche au CNRS, rattachée au laboratoire d'anthropologie sociale; Clara Degiovanni Journaliste
On choisit souvent nos vêtements en fonction d'elles, certains les aiment vives, d'autres plus sobres pour aller avec tout. Les couleurs ont une place importante en matière de mode, pourtant on s'intéresse peu à la manière dont on les fabrique, la façon dont elles imprègnent plus ou moins difficilement les tissus. La teinture textile est un savoir-faire qui s'est développé au cours des siècles et un peu partout autour de la planète. Petit à petit, les colorants naturels issus du végétal, ont laissé la place aux colorants de synthèse, les expérimentations, les recherches ont aussi permis de mettre au point de nouvelles couleurs, de les rendre plus résistantes et surtout pour l'industrie textile, de réduire les coûts. La production de teinture est devenue un enjeu économique mais aussi environnemental. Selon l'ADEME, 20% de la pollution des eaux dans le monde serait due aux teintures du secteur textile. Teindre un vêtement n'a donc rien d'anodin pour la planète. L'impact écologique de la couleur invite professionnels et consommateurs s'interroger sur ses modes de productions. Peut-on revenir au tout naturel en matière de teinture? Existe-t-il un patrimoine de recettes ancestrales ? Avec : • Marie-Jeanne Serbin Thomas, rédactrice en chef du magazine Brune • Dominique Cardon, historienne, spécialiste de l'histoire et de l'archéologie du textile et de la teinture, directrice de recherche émérite au CNRS. Elle a consacré plusieurs ouvrages à la teinture dont Le monde des teintures naturelles (Belin, 2014) et le dernier Les 85 couleurs d'Antoine Janot (Les mots qui portent, 2025) • Nadia Adanle, styliste et fondatrice de la marque de vêtements béninoise Couleur Indigo. En fin d'émission, la chronique IA débat, de Thibault Matha, un nouveau rendez-vous bimensuel chez 8 milliards de voisins. Alors que l'intelligence artificielle devient omniprésente dans notre quotidien et que son utilisation se démocratise, Thibault Matha interrogera les outils, et analysera la pertinence de leurs réponses. Aujourd'hui, il s'intéresse à la création musicale grâce à l'IA. Programmation musicale : ► Vestes de couleurs - Mandarine ► Feelings Everytime - PapaRaZzle.
On choisit souvent nos vêtements en fonction d'elles, certains les aiment vives, d'autres plus sobres pour aller avec tout. Les couleurs ont une place importante en matière de mode, pourtant on s'intéresse peu à la manière dont on les fabrique, la façon dont elles imprègnent plus ou moins difficilement les tissus. La teinture textile est un savoir-faire qui s'est développé au cours des siècles et un peu partout autour de la planète. Petit à petit, les colorants naturels issus du végétal, ont laissé la place aux colorants de synthèse, les expérimentations, les recherches ont aussi permis de mettre au point de nouvelles couleurs, de les rendre plus résistantes et surtout pour l'industrie textile, de réduire les coûts. La production de teinture est devenue un enjeu économique mais aussi environnemental. Selon l'ADEME, 20% de la pollution des eaux dans le monde serait due aux teintures du secteur textile. Teindre un vêtement n'a donc rien d'anodin pour la planète. L'impact écologique de la couleur invite professionnels et consommateurs s'interroger sur ses modes de productions. Peut-on revenir au tout naturel en matière de teinture? Existe-t-il un patrimoine de recettes ancestrales ? Avec : • Marie-Jeanne Serbin Thomas, rédactrice en chef du magazine Brune • Dominique Cardon, historienne, spécialiste de l'histoire et de l'archéologie du textile et de la teinture, directrice de recherche émérite au CNRS. Elle a consacré plusieurs ouvrages à la teinture dont Le monde des teintures naturelles (Belin, 2014) et le dernier Les 85 couleurs d'Antoine Janot (Les mots qui portent, 2025) • Nadia Adanle, styliste et fondatrice de la marque de vêtements béninoise Couleur Indigo. En fin d'émission, la chronique IA débat, de Thibault Matha, un nouveau rendez-vous bimensuel chez 8 milliards de voisins. Alors que l'intelligence artificielle devient omniprésente dans notre quotidien et que son utilisation se démocratise, Thibault Matha interrogera les outils, et analysera la pertinence de leurs réponses. Aujourd'hui, il s'intéresse à la création musicale grâce à l'IA. Programmation musicale : ► Vestes de couleurs - Mandarine ► Feelings Everytime - PapaRaZzle.
durée : 00:57:35 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - L'amour-propre ou amour de son propre moi, est sévèrement condamné par des auteurs comme Augustin ou Pascal. Au fond, pourquoi s'aimer soi-même serait-il un vice ? Et n'est-ce pas le contraire qui est aujourd'hui prôné ? - réalisation : Nicolas Berger - invités : Christophe Litwin Maître de conférences en histoire de la philosophie moderne à Université Paris Cité.; Alain Ehrenberg Sociologue français, directeur de recherche au CNRS; Laurence Devillairs Philosophe
Episode Hors série 4 : Mieux comprendre les enfants d'aujourd'hui Qui sont les enfants d'aujourd'hui ?Ils grandissent dans un monde rapide, saturé d'écrans et d'injonctions éducatives… mais leurs besoins fondamentaux, eux, restent universels.Pour mieux comprendre cette génération, j'accueille Josette Serres, psychologue du développement et chercheuse associée au CNRS.Nous parlons neurosciences, rythme de vie, surstimulation, anxiétés contemporaines, et de ce que la science confirme ou balaie sur l'enfance.Un épisode riche, nuancé et profondément rassurant, pour aider chaque parent à accompagner son enfant… sans chercher la perfection.Bonne écouteÉcoutez Parentalité(s) sur Deezer, Apple Podcast et Spotify.Retrouvez et suivez Parentalité(s) sur instagram Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Du Népal au Pérou, de Madagascar au Maroc, le drapeau du manga «One Piece» s'est hissé dans les manifestations d'une jeunesse qui a bousculé plusieurs gouvernements. Au Mexique aussi, des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue en se réclamant de la «Génération Z», le 15 novembre 2025. Mais ce mouvement est-il réellement impulsé par les jeunes ? Et quels courants agglomère-t-il ? «C'est une mobilisation extrêmement hétéroclite», explique Hélène Combes, directrice de recherche au CNRS rattachée au CERI (Sciences Po). Le Mexique est un «pays très contestataire, rappelle-t-elle, où se coalisent des acteurs parfois très différents». D'abord, «une frange très marquée à droite», dans la lignée du milliardaire libertarien proche de l'extrême-droite latino-américaine, Ricardo Salinas Pliego, propriétaire de la chaîne TV Azteca. La droite traditionnelle, «beaucoup plus modérée», est bien présente elle aussi, par exemple avec le parti Acción Nacional (PAN). Les jeunes sont une composante de plus de cette mosaïque, mais leur spontanéité est à nuancer. «Un des influenceurs les plus actifs dans le mouvement, qui a appelé à la manifestation, est en fait un salarié du parti Acción Nacional», souligne Hélène Combes. Enfin, le mouvement est aussi composé «de personnes venues de zones rurales prospères», dans l'État du Michoacán, d'où est partie la mobilisation après l'assassinat du maire d'Uruapan, Carlos Manzo, le 1er novembre. L'ensemble forme ainsi un groupe très divers «qui se coalise contre le gouvernement de Claudia Sheinbaum, qui est par ailleurs toujours extrêmement populaire», conclut la chercheuse. Haïti : sanctionné par les États-Unis, Fritz Alphonse Jean se défend En Haïti, des officiels continuent d'être la cible de sanctions américaines. Après des anciens présidents, Premiers ministres, parlementaires et hommes d'affaires, c'est au tour de Fritz Alphonse Jean d'être frappé de restrictions par Washington pour ses liens supposés avec les gangs, explique le correspondant de RFI à Port-au-Prince, Peterson Luxama. Des accusations que Fritz Alphonse Jean, ancien Gouverneur de la Banque Centrale, rejette, a-t-il expliqué lors d'une conférence de presse ce mardi (25 novembre 2025). Il a reçu le soutien de certains membres de la classe politique, à commencer par Claude Joseph. Cet ancien Premier ministre par intérim (2021) dénonce une ingérence étrangère, rapporte Gazette Haïti. Il parle même de «représailles diplomatiques», qui viseraient à punir Fritz Alphonse Jean d'avoir voulu pousser vers la sortie le Premier ministre de transition, Alix Didier Fils-Aimé. Mais ce scénario n'est pas nouveau, prévenait mardi Frantz Duval dans Le Nouvelliste : «Cela fait plus de vingt ans que les États-Unis [tiennent] par les visas les [...] politiciens haïtiens», écrit-il. Avant de prévenir : «la classe politique, qui, hier, demandait [des] sanctions contre des adversaires peut, [le] lendemain, devenir la cible de ces mêmes sanctions». Jair Bolsonaro incarcéré, symptôme d'une consolidation de la démocratie brésilienne ? Au Brésil, Jair Bolsonaro a commencé officiellement sa peine de 27 ans de prison pour tentative de coup d'État. La Cour Suprême a confirmé ce mardi qu'il a épuisé tous les recours judiciaires. Alors s'agit-il d'un «nouveau départ pour la démocratie brésilienne ?», se demande Folha de Sao Paulo. L'incarcération de Jair Bolsonaro, ancien président, mais aussi celle de hauts gradés de l'armée est un fait «historique» dans ce «pays de coups d'État impunis», se félicite le journal. Il s'agit même d'un symptôme de «consolidation de la démocratie», renchérit O Globo. La conclusion de Folha est toutefois moins optimiste : «les réformes manquent» encore pour mieux prévenir d'autres tentatives de coup d'État à l'avenir, conclut le journal. À lire aussiBrésil: l'ex-président Jair Bolsonaro commence à purger ses 27 ans de prison ferme pour tentative de putsch Donald Trump et les grâces présidentielles... de dindes C'est une tradition aux États-Unis, le président a gracié ce mardi (25 novembre 2025) deux dindes, qui ne seront donc pas mangées lors de la fête de Thanksgiving, jeudi 27 novembre. Le président-milliardaire en a profité pour faire de l'évènement une tribune politique. «Trump informe une dinde de tout ce qu'il a accompli», titre le Washington Post, qui s'en donne à cœur joie. «Imaginez, [...] vous avez une belle vie en Caroline du Nord, [...] vous mangez du maïs et passez du temps dehors. [...] Puis, on vous emmène à Washington, [...] et un mec aux cheveux dorés se met à parler très fort de «démocrates d'extrême gauche» et de [prison] au Salvador.» Évidemment, la dinde n'y comprend rien, précise le quotidien, qui ne résiste pas à l'envie de rappeler que Donald Trump n'a pas gracié que des volatiles depuis le début de son mandat. Il a aussi accordé une grâce à près de 1 500 personnes impliquées dans l'assaut du Capitole du 6 janvier 2021. Et gracié certains de ses proches, comme l'ancien maire de New York, Rudy Giuliani, ancien avocat de Donald Trump. Dans le journal de La 1ère... Dans l'ouest de la Guyane, le nombre de sites d'orpaillage illégal ne recule pas. C'est le triste constat des responsables du Parc Amazonien, explique Benoît Ferrand.
durée : 00:05:29 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Le cannibalisme fait partie des comportements attestés dans la lignée humaine depuis plus d'un million d'années. Une nouvelle étude rapporte qu'à Goyet, en Belgique, des Néandertaliens ont consommé des femmes et des enfants venus d'ailleurs, preuve d'un cannibalisme sélectif. - invités : Isabelle Crevecoeur Paléoanthropologue, chargée de recherche au CNRS (laboratoire PACEA - de la Préhistoire à l'Actuel : Culture, Environnement et Anthropologie - Bordeaux)
durée : 00:03:19 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Léna, cinq ans, pose la question au micro des P'tits bateaux. Et c'est le chercheur François Parcy, spécialiste des fleurs, qui lui répond et lui décrit cette énorme plante que l'on retrouve dans les forêts indonésiennes. - invités : Francois Parcy - François Parcy : Généticien, directeur de recherche CNRS au Laboratoire de Physiologie cellulaire et végétale à Grenoble - réalisé par : Stéphanie TEXIER Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:30:20 - Les Nuits de France Culture - par : Antoine Dhulster - En mars 2001, la Maison des Cultures du Monde présentait pour la première fois en Europe une cérémonie : le Zikr Jahar d'Ouzbékistan. À cette occasion Daniela Langer recevait dans "Les chemins de la musique" Roberte Hamayon et Thierry Zarcone pour évoquer les liens entre soufisme et chamanisme. - réalisation : Rafik Zénine - invités : Roberte Hamayon; Thierry Zarcone Chercheur au CNRS
Plus de 50 ans après les premiers pas humains sur la Lune, une nouvelle course vers notre satellite a démarré. C'est Donald Trump qui en a formellement donné le coup d'envoi en 2017.Et cette fois, la Chine est sur la ligne de départ à côté des Etats-Unis et non pas l'Union Soviétique des années 1960.Pékin s'est donné comme objectif d'envoyer des hommes sur la lune d'ici 2030, et grâce aux succès de son programme spatial, elle pourrait damer le pion aux Américains.Car Artémis, le programme de la Nasa, prend du retard : la méga fusée Starship développée par SpaceX, dont une version doit servir d'alunisseur, est loin d'être prête.Invitées: Isabelle Sourbès-Verger directrice de recherche émérite au CNRS, spécialiste des questions de politique de l'espace, Jing Xuan Teng, journaliste au bureau de l'AFP à Shanghai, Charlotte Causit, journaliste au bureau de l'AFP à WashingtonRéalisation: Emmanuelle Baillon et Maxime MametDoublages: Maxime Mamet, Agnès Coudurier Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En 1945, à Nuremberg, de hauts responsables nazis étaient jugés pour crime de guerre et crime contre l'humanité… 80 ans après ce procès historique, comment s'inspirer de ce tribunal fondateur de la justice internationale pour en finir avec l'impunité dans les conflits armés en Ukraine, à Gaza ou encore en RDC ? Le 20 novembre 1945 s'ouvrait à Nuremberg, en Allemagne, le plus grand procès de l'histoire. D'un commun accord, la France, les États-Unis, l'Union soviétique et le Royaume-Uni affirmaient leur volonté de juger vingt-deux dignitaires nazis, chefs militaires ou hauts fonctionnaires, tous accusés de crimes de guerre ou de crimes contre l'humanité. Mais pourquoi invoquer Nuremberg lorsque l'on réclame la fin de l'impunité ? Le président ukrainien Volodymyr Zelensky l'a fait pour son pays l'Ukraine en interpellant le peuple russe dès le 4 avril 2022, suite à l'invasion russe du 24 Février : « Le moment viendra où chaque Russe apprendra toute la vérité sur ceux de ses concitoyens qui ont tué. Qui a donné des ordres. Qui a fermé les yeux sur ces meurtres. Nous allons établir tout cela. Et le faire connaitre dans le monde entier. Nous sommes maintenant en 2022. Et nous avons beaucoup plus d'outils que ceux qui ont poursuivi les nazis après la Seconde Guerre mondiale. » Et le docteur Mukwege, prix Nobel de la paix a explicitement fait référence à Nuremberg, en octobre 2024, lors d'un passage à l'Université de Strasbourg en France : « Les Congolaises et les Congolais ont aussi droit à leur Nuremberg. Telle est la raison pour laquelle nous plaidons aux côtés des victimes et des survivant.es pour l'établissement d'un Tribunal international pénal pour le Congo et/ou des chambres spécialisées mixtes. » Un Nuremberg pour l'Ukraine, Gaza ou la RDC est-il possible ? Une enquête signée Clémentine Méténier avec William Schabbas, professeur de droit pénal international et des droits de l'homme à Londres, Université de Middlesex, Leyden et Sciences Po ; Christian Delage, historien et cinéaste, réalisateur du film historique «Nuremberg, les nazis face à leur crime» ; Thierry Cruvellier, rédacteur en chef du site Justice Info ; Rafaëlle, professeure de droit international à l'Université Paris Saclay et travaille sur la justice pénale internationale, précisément sur la notion de génocide. Reagan Miviri, avocat au Barreau de Goma dans le Nord-Kivu, il travaille au sein de Ebuteli l'Institut congolais de recherche sur la politique, la gouvernance et la violence. À lire sur le site Justice Info Le grand entretien de Clémentine Méténier avec l'historien et cinéaste Christian Delage. À suivre au Mémorial de la Shoah à Paris la journée d'étude Nuremberg et son héritage, 1945-2025. Le 20 novembre 2025 marque le 80è anniversaire de l'ouverture, à Nuremberg, du procès des grands criminels nazis, où, pour la première fois, des responsables politiques et militaires de haut niveau – accusés des crimes de conspiracy (complot), crimes contre la paix, crimes de guerre et crimes contre l'humanité – étaient traduits devant une cour internationale, composée des principales forces alliées victorieuses de l'Allemagne nazie. Pour le procureur général Robert H. Jackson, il s'agissait de construire un «procès documentaire», où, en raison des crimes considérables commis par les nazis, notamment leur politique d'extermination des Juifs d'Europe, il était nécessaire de faire reposer l'accusation sur des preuves irréfutables, pour éviter qu'à l'avenir leur réalité fasse l'objet d'une négation. Contre toute attente, les images allaient jouer un rôle majeur pour confronter les nazis à leurs propres crimes. La journée de colloque s'interrogera sur l'héritage des «principes de Nuremberg» depuis les années 1990, grâce au développement d'une justice internationale fondée sur des tribunaux ad hoc (du Rwanda à la Centrafrique) et des cours permanentes (Cour pénale internationale, Cour internationale de justice), appelées à statuer en particulier sur le risque potentiel ou la commission de génocides. Or, la collecte de preuves qui s'inspire de la jurisprudence de Nuremberg est forte des nouveaux outils mis en place par les autorités judiciaires, en collaboration avec des ONG et des applications en open source qui en garantissent la fiabilité. Pour la première fois dans l'histoire, en Europe comme au Proche-Orient, la fabrique du dossier probatoire se déroule en co‑construction avec la société civile, en flux tendu et en temps réel. 11h - LE CHOIX DU PROCÈS DOCUMENTAIRE La construction de la preuve, de Nuremberg à Kiyv, 1945-2025 de Christian Delage, historien, Institut d'histoire du temps présent De Nuremberg au TPIY : la jurisprudence de l'image comme preuve pénale de Ninon Maillard, maîtresse de conférences à Paris Nanterre Modération : Ghislaine Glasson Deschaumes, directrice de la MSH Mondes, Paris Nanterre. 14h - LA CONSOLIDATION D'UNE JUSTICE PÉRENNE Tribunaux pénaux internationaux, tribunaux mixtes, Cour pénale internationale : du Rwanda à la Centrafrique, des instances judiciaires multiples de Joël Hubrecht, responsable d'études et de recherche à l'Institut Robert Badinter. Le rôle de la Cour internationale de justice dans les conflits contemporains de Jean-Louis Iten, professeur de Droit international, et Sharon Weill, professeur de Droit international, American University, Paris. Modération : Emanuela Fronza, professeure de Droit pénal international à l'Université de Bologne. 16h - LE RÔLE DES ONG Mémorial face à la réécriture de l'histoire par Poutine de Nicolas Werth, directeur de recherche honoraire au CNRS, président de l'Association Mémorial. Prendre davantage en compte les violences sexuelles en temps de guerre de Yuliia Chystiakova, chercheuse en droits humains, East Ukrainian Center for Civic Initiatives. Modération : Henry Rousso, directeur de recherche émérite au CNRS (IHTP).
durée : 00:05:03 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Les cancers du sein triple négatif n'ont pas de marqueurs, ce qui les rend difficiles à identifier. Un tiers des patientes rechutent à cause de cellules persistantes. Une nouvelle étude identifie FOSL1 comme protéine commune à ces cellules, ouvrant la voie à de nouvelles stratégies thérapeutiques. - invités : Céline Vallot Directrice de recherche au CNRS et à l'Institut Curie
durée : 00:39:10 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Le 18 novembre 2025, onze sénateurs ont proposé de mettre fin, au 1er janvier 2026, au remboursement des soins et prestations "se réclamant de la psychanalyse ou reposant sur des fondements théoriques psychanalytiques". - invités : Elsa Godart psychanalyste, philosophe et chercheur statutaire à l'Université Gustave Eiffel. ; Franck Ramus Directeur de recherche CNRS en Sciences cognitives à l'École normale supérieure. Membre du Conseil scientifique de l'Éducation nationale.; Louis Sciara psychiatre, psychanalyste, ancien directeur du cmpp de Villeneuve-Saint-Georges
durée : 01:02:21 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Par Jean Montalbetti - Avec Pierre Chaunu (historien), Emmanuel Le Roy Ladurie (universitaire et historien) et Madeleine Foisil (historienne au CNRS) et Louis du Mesnildot (exploitant agricole à Anneville en Saine) - Réalisation Albert Morin - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:37:46 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Le nom hawaien « Oumuamua » signifie « éclaireur » ou « messager ». Repéré le 19 octobre 2017 par le télescope Pan-STARRS 1 installé sur l'observatoire du Haleakalā, à Hawaï, Oumuamua a d'abord été classé comme comète puis astéroïde avant d'être reconnu comme le premier « objet interstellaire » - invités : Patrick MICHEL - Patrick Michel : Astrophysicien, directeur de recherche CNRS au laboratoire Lagrange de l'Observatoire de la Côte d'Azur. Il est responsable scientifique de la mission européenne Hera - réalisé par : Jérôme BOULET Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:41 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - 11 000 ans avant notre ère, les chiens préhistoriques présentaient déjà une grande variété de formes. En reconstituant en 3D plus de 600 crânes anciens, cette nouvelle étude parue dans Science remet en cause l'idée d'une diversification récente. - invités : Allowen Evin Bioarchéologue et directrice de recherche CNRS à l'Institut des sciences de l'évolution de Montpellier
The choices a high schooler makes about how to spend their time outside of classes tell prospective schools a lot about what kind of college student they'll be. However, in terms of admissions, not all activities are created equal. Amy and Mike invited educational consultant Marlena Corcoran to review the best & worst extracurriculars for high schoolers. What are five things you will learn in this episode? What are the worst extracurricular activities for college-bound students? What are the runners-up for the prize? Are there any harmless extracurricular activities? opportunity cost What are the best extracurriculars--the supercurriculars? What about the importance of timing? Which activities should you do when? MEET OUR GUEST Dr. Marlena Corcoran is the founder of Athena Mentor: International University Admissions Counseling (Munich and New York). Before starting Athena Mentor, Marlena held visiting research appointments at Brown, Harvard, Princeton, Oxford, and the CNRS in Paris. For almost 20 years, she has helped young people discover who they are and what they really care about—and present themselves with confidence, enthusiasm, and success to the most selective colleges and MBA programs in the world. Marlena is the author of Year by Year to College: For IB and International Students. Marlena previously appeared on the podcast in episode 386 to discuss How To Tell the Ivies Apart. Marlena can be reached at athenamentor.com. LINKS Extracurriculars Matter To You and To Colleges RELATED EPISODES Building an A+ Extracurricular Resume Intentionality On The Road To College Crafting a College Resume ABOUT THIS PODCAST Tests and the Rest is THE college admissions industry podcast. Explore all of our episodes on the show page. ABOUT YOUR HOSTS Mike Bergin is the president of Chariot Learning and founder of TestBright, Roots2Words, and College Eagle. Amy Seeley is the president of Seeley Test Pros and LEAP. If you're interested in working with Mike and/or Amy for test preparation, training, or consulting, get in touch through our contact page.
durée : 00:04:29 - Le Reportage de la rédaction - Sur le plateau de Saclay, en région parisienne, une équipe de chercheurs pluridisciplinaire du CEA et du CNRS étudient la corrosion des métaux depuis la préhistoire jusqu'à aujourd'hui, afin de mieux les adapter aux changements climatiques et aux besoins de l'industrie nucléaire.
En Guinée-Bissau, la présidentielle et les législatives, c'est dimanche 23 novembre. Et le président Umaro Sissoco Embaló se présente pour un second mandat, en se faisant surnommer « General do Povo », en français « Général du Peuple ». Il croit d'autant plus en ses chances que la justice a écarté du scrutin la candidature de son principal adversaire, Domingos Simões Pereira, le leader du parti historique PAIGC. Mais est-il sûr de gagner à 100% ? Vincent Foucher est chercheur au CNRS. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Pour la première fois depuis l'indépendance, le parti historique PAIGC ne pourra pas présenter de candidat. Est-ce à dire que le président sortant Umaru Sissoco Embalo a un boulevard devant lui ? Vincent Foucher : Alors un boulevard, non. Le PAIGC participe quand même à la compétition puisqu'il soutient un autre candidat, Fernando Dias, qui est du parti issu du PRS, qui est un autre parti qui a une assise assez forte. Et donc, entre la base du PRS et la base du PAIGC, il y aura un adversaire, en tout cas pour Sissoco. Mais c'est sûr que Sissoco a pris beaucoup de dispositions pour renforcer ses chances de se faire réélire. La victoire du PAIGC aux dernières législatives de 2023, est-ce le signe que ce parti est loin d'être fini et peut revenir sur le devant de la scène d'ici peut-être 2030 ? Oui, le PAIGC a un capital historique accumulé, une popularité fondamentale, une présence aussi à travers tout le pays, dans tous les bassins électoraux qui composent un pays très varié qu'est la Guinée-Bissau. Et donc c'est évidemment un adversaire important. La question, c'est évidemment : est-ce que le soutien apporté par le PAIGC à Dias, à un autre candidat que le sien, puisque le PAIGC a été interdit de présenter sa candidature, est-ce que vraiment on aura un transfert de voix efficace ? L'ancien Premier ministre Domingos Simoes Pereira appelle les partisans du PAIGC à voter ce dimanche à la présidentielle pour ce candidat indépendant, Fernando Dias. C'est donc une alliance de circonstance. Est-ce que ça peut marcher ? C'est difficile à dire. Fernando Dias est un jeune homme qui n'a pas une sorte de présence très profonde, dans l'espace public bissau-guinéen. Mais il est quand même l'héritier du PRS, qui est un parti qui est très enraciné, notamment dans l'électorat des Balantes, une communauté importante dans les zones rurales, notamment en alliance avec le PAIGC. Voilà, qu'est-ce que ça peut donner ? On ne sait pas au fond. C'est la première fois que Fernando Dias se présente. Par ailleurs, du côté de l'opposition, il y aura clairement des suspicions quant à la qualité du scrutin. Il y a eu beaucoup de controverses sur la façon dont Sissoco a recomposé la Cour suprême, le Supremo Tribunal de Justiça, et puis la Commission nationale des élections un peu à sa main. En tout cas, c'est la perception que l'opposition en a. Et donc ça, ça risque aussi d'entacher un peu la recevabilité du scrutin aux yeux de l'opposition. Alors, la Cour suprême et la Commission électorale, l'opposition accuse le président Sissoco Embalo de les avoir noyautées. Le président réplique que ce n'est pas vrai, puisque lors des législatives d'il y a deux ans, la victoire a été donnée au parti d'opposition PAIGC. Qui a raison dans cette controverse ? Justement, c'est depuis les élections d'il y a deux ans qu'il y a eu des changements à la Cour suprême et à la Commission nationale électorale. Donc, on va voir comment ça fonctionne. Mais ce qui est assez étonnant dans la vie politique en Guinée-Bissau, c'est au fond que les élections, jusqu'à présent, ont été plutôt bien acceptées. Il y a eu au final assez peu de controverses, alors même que la vie politique est assez tendue, assez compétitive, avec des alliances et des contre-alliances en permanence. Mais au fond, les élections en elles-mêmes ne suscitent pas beaucoup de controverse d'habitude. Est-ce que ça va changer cette fois-ci ? On va voir. « Je ne suis pas un dictateur, mais j'aime l'ordre », affirme le président Sissoco Embalo dans une interview à Jeune Afrique. Est-ce qu'il pourrait accepter d'être mis en ballotage dimanche prochain ? Bon, là, si effectivement les résultats donnent ça et que les institutions les soutiennent et les défendent, il sera bien obligé. Il faut pour cela que la Commission électorale et la Cour suprême restent indépendantes ? Effectivement. Et les principaux trafiquants de drogue du pays, pour qui vont-ils voter dimanche prochain, pour le président sortant ou pour l'opposition ? Question difficile. Il y a quelques indices un peu objectifs. On a vu comment certaines figures du narcotrafic qui ont été poursuivies, parfois, qui ont été condamnées, ont bénéficié d'un traitement très favorable, depuis la prise de pouvoir du président Embalo, de la part de la justice. Il se dit, il se murmure que la police judiciaire a beaucoup moins de marge de manœuvre qu'auparavant. Elle avait mené quelques grosses opérations précédemment dans la lutte contre le trafic de cocaïne. Et, semble-t-il, ces marges-là sont en train de se réduire. Voilà, vous en conclurez ce que vous voudrez. Et la saisie d'un jet privé bourré de cocaïne, c'était il y a un an sur l'aéroport de Bissau, c'est de la poudre aux yeux ? Alors bon, il y a une controverse. Est-ce que c'était vraiment de la poudre ou pas ? Mais il me semble qu'effectivement c'était bien le cas. Un jet n'arrive pas tout à fait par hasard sur l'aéroport d'une capitale. Ça ne se fait pas sans certaines protections. Mais était-ce un leurre pour que le trafic de cocaïne continue de plus belle ? Alors, sur beaucoup d'épisodes de la vie politique bissau-guinéenne, il y a des interprétations diverses. Même la mort de Nino Vieira en 2009, son assassinat, au fond, n'est toujours pas clarifié. Il y a toujours deux ou trois versions qui circulent. Et au fond, je crois que c'est un des traits de la vie politique en Guinée-Bissau, c'est qu'on a des versions très, très différentes. On n'a pas vraiment d'instances qui soient capables d'établir la vérité. Il y a beaucoup de faux-semblants ? Exactement.
This episode, University of Edinburgh PhD candidate Mia Belle Frothingham chats with Dr Frances Westall, leader of the Exobiology Group of the CNRS in Orléans (France). We talk about Frances's diverse and inspiring path, the dramatic and divisive period after a Martian meteorite found (ALH84001) in Antarctica in 1984, and the politic motivations behind false pretences of the discovery of extraterrestrial life.
durée : 00:05:19 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Le moustique du métro londonien est-il "né" dans le métro ? Une nouvelle étude parue dans Science révèle que cet insecte nommé Culex pipiens molestus s'est adapté à l'humain et aux espaces confinés au Moyen Orient il y a plusieurs millénaires avant de coloniser les souterrains européens. - invités : Fabien Aubry Chargé de recherche CNRS et responsable de l'équipe Génétique de la résistance des moustiques aux arbovirus de l'Institut de Biologie Moléculaire et cellulaire à Strasbourg
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'éviction du vice-président sud-soudanais, une demande de Donald Trump pour gracier Benyamin Netanyahu et les pourparlers de paix pour la guerre au Soudan. Sénégal : Diomaye/Sonko au bord de la rupture ? Dernière crise en date entre le président de la République et son Premier ministre, la personnalité chargée de diriger la coalition présidentielle. Perçu comme un désaveu pour Ousmane Sonko, Bassirou Diomaye Faye a limogé Aïda Mbodj pour la remplacer par Aminita Touré. Pourquoi le chef de l'Etat a-t-il décidé de ce changement, maintenant ? Ousmane Sonko peut-il réellement contester l'autorité du président ? Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar. Soudan du Sud : pourquoi le président a-t-il évincé son « prince héritier » ? Nommé vice-président il y a seulement 9 mois, Benjamin Bol Mel a été limogé de ses fonctions alors qu'il était pressenti pour succéder un jour au président Salva Kiir. Comment expliquer cette décision ? Cette situation ne risque-t-elle pas de créer des tensions au sein du parti au pouvoir ? Avec Florence Miettaux, correspondante de RFI à Juba. Israël : Trump s'immisce dans les dossiers judiciaires de Netanyahu Dans une lettre adressée à son homologue israélien, Donald Trump demande d'accorder une grâce à Benjamin Netanyahu, poursuivi dans plusieurs affaires pour corruption, fraude et abus de confiance. Pourquoi le président américain s'intéresse-t-il aux déboires judiciaires du Premier ministre ? Quelle sera la réponse d'Isaac Herzog ? Avec Lyna Ouandjeli, chercheuse à l'Institut européen d'études sur le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord (Eismena). Soudan : des négociations avec Abu Dhabi sont-elles possibles ? Le gouvernement soudanais refuse de participer aux réunions du Quartet censées parvenir à la paix. En cause, la présence des Émirats arabes unis accusés de soutenir les paramilitaires des Forces de soutien rapide. Dans ce contexte, qu'est-il envisagé pour obtenir un cessez-le-feu ? Comment les paramilitaires des FSR se positionnent-ils sur ces pourparlers ? Avec Marc Lavergne, directeur de recherche émérite au CNRS, spécialiste de la Corne de l'Afrique et du Moyen-Orient.
durée : 00:03:37 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Louise se demande s'il est possible de sentir des odeurs sous l'eau. Pour lui répondre, Hirac Gurden, neuroscientifique et directeur de recherches au CNRS, spécialiste du cerveau et de l'odorat. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Stéphane Bern remonte au commencement, haut, très haut dans le temps, et raconte notre ancêtre direct, qui a vécu à des dizaines de millénaires de notre époque. Ou la véritable histoire de l'homme de Néandertal (et la femme aussi)... Comment savons-nous autant de choses sur lui, et sur elle aussi ? Quelle était sa vie quotidienne ? Pourquoi a-t-il disparu ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Marylène Patou-Mathis, préhistorienne, directrice de recherches au CNRS, grande spécialiste des comportements des Néandertaliens et des premiers hommes modernes et auteure de "Neandertal de A à Z" (Tallandier, collection Texto). (rediffusion)- Présentation : Stéphane Bern - Réalisation : Guillaume Vasseau- Rédaction en chef : Benjamin Delsol- Auteur du récit : Eloi Audoin-Rouzeau- Journaliste : Armelle ThibergeHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:36:26 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon - Arrêté en mars 2025, le maire d'Istanbul, Ekrem İmamoğlu, risque jusqu'à 2352 années de prison. Malgré un large mouvement de contestation, l'opposition à Erdoğan se retrouver affaiblie dans un contexte de répression croissante de la vie civile et politique. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Didier Billion directeur adjoint de l'IRIS, dirige le Programme Moyen-Orient/Afrique du Nord de cet institut, spécialiste de la Turquie.; Gülçin Erdi directrice de recherche au CNRS au sein du laboratoire CITERES-MSH à Tours
durée : 00:58:57 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Comme chaque vendredi, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Max Laulom qui rentre d'Oklahoma aux États-Unis, puis table-ronde sur la Turquie où l'opposition à Erdoğan est affaiblie suite à l'arrestation du maire d'Istanbul, en mars 2025 : Ekrem İmamoğlu. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Max Laulom Réalisateur/Producteur; Didier Billion directeur adjoint de l'IRIS, dirige le Programme Moyen-Orient/Afrique du Nord de cet institut, spécialiste de la Turquie.; Gülçin Erdi directrice de recherche au CNRS au sein du laboratoire CITERES-MSH à Tours
durée : 00:28:34 - L'Entretien archéologique - par : Antoine Beauchamp - Au carrefour des routes commerciales entre l'Afrique équatoriale et le Maghreb, la ville de Sijilmassa a été pendant mille ans un lieu de convoitises. Malgré son importance historique, le site reste méconnu des archéologues en raison des conditions de fouilles difficiles aux portes du Sahara. - réalisation : Olivier Bétard - invités : Chloé Capel Archéologue, chargée de recherche au CNRS au laboratoire Orient et Méditerranée au sein de l'équipe Islam médiéval.