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En décembre 2014, Karl Lagerfeld, le légendaire couturier, exprimait son mépris pour le Père Noël... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes préférées. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Extraits de l'épisode 142 avec Albert MoukheiberVoici le titre de l'épisode complet si vous souhaitez aller plus loin : Cerveau : mythes et réalités
durée : 00:15:58 - L'invité du 13/14 - A la suite d'une maladie rare, Jade a été amputée de ses jambes à l'âge de 4 ans. La collégienne du Gard pratique l'athlétisme grâce à des prothèses-lames et joue au basket-fauteuil à Montpellier. Elle partage avec nous son parcours et ses ambitions sportives, notamment les Jeux Paralympiques. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Rares sont les couples qui traversent autant d'époques côte à côte. Philip Mountbatten et Elisabeth II ont été mariés pendant 73 ans. Une union qui ne pouvait être interrompue que par le décès d'un des deux, tant ils ont été un couple solide tout au long de leur histoire. Cette histoire met à l'honneur un homme qui a su se mettre en retrait pour laisser sa femme régner. Et c'est assez rare pour être souligné. Un podcast Bababam Originals Ecriture et voix : Alice Deroide Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
L'année 2025 restera comme une année charnière pour l'économie mondiale, marquée par le retour tonitruant de Donald Trump à la Maison-Blanche et ses décisions commerciales radicales. Cette émission spéciale d'Éco d'ici, éco d'ailleurs revisite, avec les experts qui sont intervenus à notre micro, les moments clés d'une année économique tumultueuse, entre guerres commerciales, crises géopolitiques, révolution de l'intelligence artificielle et urgence climatique.
En Syrie, il n'est pas rare de croiser dans les villages des habitants, pioches à la main, à la recherche du fameux butin. « Des pièces d'or », répètent-ils tous, enfouies sous terre par pilleurs et ancêtres de civilisations antérieures. Sur les réseaux sociaux, de nombreuses rumeurs d'hommes devenus millionnaires poussent à la pratique. Interdite du temps du régime de Bachar el-Assad, elle se propage depuis sa chute dans tout le pays. Ce qui n'est pas sans risque : plusieurs personnes sont décédées ces derniers mois alors qu'elles creusaient des tunnels. Une poignée de touristes, une cité antique et trois hommes qui vident sur une table un petit sac en plastique. À l'intérieur, des pièces. Du bronze, de l'argent, de l'acier, qu'ils viennent tout juste de trouver dans les ruines d'à côté. Un homme montre aux étrangers une pièce de monnaie ancienne : « C'est une pièce grecque. Celle-ci date de l'Empire byzantin. Je les vends 50 dollars au moins, mais on peut discuter », leur affirme-t-il. Quelques mètres plus loin s'étend Bosra et son antique cité. Ces derniers mois, le sol a été retourné, les pierres tombales, ouvertes, brisées. Les traces d'hommes venus chercher un soi-disant trésor à la nuit tombée. L'un d'eux accepte anonymement de témoigner : « Bosra est sous l'égide de l'Unesco. Il se peut qu'à l'avenir, ils interdisent ces fouilles. Car, on le sait, ces pièces devraient être dans un musée. C'est la faim qui nous conduit à faire cela. Sans la faim, personne n'aurait songé à creuser. » Recrudescence de la recherche d'or Interdite du temps de Bachar el-Assad, la recherche d'or a connu une recrudescence après sa chute, en décembre, avant d'être à nouveau interdite par le gouvernement. Ahmad, c'est un prénom d'emprunt, n'en a que faire. Détecteur de métaux dans une main, pioche dans l'autre, il fouille régulièrement les alentours de chez lui. « Regardez ! C'est un fragment de boulon datant de la période ottomane », s'exclame-t-il soudain. « Je suis comme mon père, complètement obsédé par ce sujet. Lui est comme ça depuis toujours, il a 75 ans. Mais lui comme moi n'avons jamais rien trouvé », regrette-t-il. Sur les réseaux sociaux, dans les villages, les rumeurs vont bon train en Syrie. Certains parlent de signes : des croix, des trous, que seuls certains experts pourraient reconnaître. D'autres affirment qu'ils seraient devenus millionnaires grâce à des caisses d'or trouvées sous la terre. « Dans mon village, 90 % des personnes cherchent. Ce trou, nous avons travaillé dur pendant trois, quatre jours, à creuser, et au final ça n'a servi à rien. Tout ça à cause de ce détecteur de métaux. L'écran s'allume et vous indique : "C'est ici qu'il faut chercher." Au final, vous ne trouvez qu'un caillou », déplore-t-il. Assis entre les membres de sa famille, une photo entre les mains, Ibrahim al Ahmad témoigne. Son fils, 40 ans, est mort le 9 juin dernier, étouffé avec un ami dans le tunnel qu'ils avaient creusé. « Ce jour-là, ils sont restés quatre ou cinq heures sous terre, jusqu'à l'arrivée des secours. Forcément… Une personne privée d'oxygène meurt en trois minutes. Tout ça parce qu'il a fait la connaissance d'un groupe qui lui a dit : "cette terre recèle d'or, tu y trouveras forcément quelque chose." Ça l'a convaincu. C'est du gâchis », soupire-t-il, endeuillé. Un gâchis, répète-t-il, provoqué par l'ennui. Alors que 80% de la population vit encore sous le seuil de pauvreté en Syrie, cette interminable chasse au trésor illustre surtout la misère de centaines de familles. À lire aussiSyrie: face à la possible résurgence de l'EI, des civils s'organisent
durée : 00:03:13 - Le procès tout à l'heure d'une détenue qui a frappé un surveillant Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Après vous avoir parlé de la sainte Trinité de DC Comics avec Batman, Superman et Wonder Woman dans une précédente émission, on s'intéresse cette fois au Martien vert préféré de l'éditeur.Absolute Martian Manhunter, écrit par Deniz Camp et dessiné par Javier Rodriguez, arrive en France chez Urban Comics et s'impose comme l'un des nouveaux titres du label Absolute piloté par Scott Snyder. Est ce que ce nouvel Absolute est le titre à ne pas rater chez DC Comics ? On vous en parle dans cet épisode de ComicsDiscovery. Absolute Martian Manhunter de Deniz Camp et Javier Rodriguez Un invité venu d'ailleursPour parler des aventures d'un extraterrestre, il nous en fallait bien un autre. Nous avons eu la joie d'accueillir Dr Salience, vidéaste qui aborde les comics avec une approche très personnelle. Vous pouvez retrouver sa chaîne YouTube ici :https://www.youtube.com/channel/UClAxorfXj27uDj9NZXu8rBg Si vous en avez assez des vidéos critiques classiques tournées devant une bibliothèque Billy remplie de figurines Pop, son univers décalé et son humour singulier devraient vous séduire. Nous vous invitons à découvrir son travail et à vous abonner si le cœur vous en dit pour le soutenir. Découvrons le limier martienMartian Manhunter, aussi connu sous le nom de J'onn J'onzz, est l'un des personnages majeurs de DC Comics. Pourtant, en France, le personnage reste relativement discret, en dehors de ses apparitions dans les séries animées, notamment la célèbre Super Justice League qui l'a révélé à toute une génération.Chez Urban Comics, seuls deux titres lui ont été consacrés en solo, Absolute Martian Manhunter étant la seconde publication centrée sur le Martien. On l'a surtout découvert dans des récits d'équipe, dont le superbe New Frontier de Darwyn Cooke où il occupe un rôle clé.Cette rare présence éditoriale rend d'autant plus excitante la sortie d'un récit entièrement dédié au personnage. Créé en 1955 par Joseph Samachson et Joe Certa, Martian Manhunter appartient aux grandes figures de l'âge d'argent de DC Comics. J'onn J'onzz est souvent considéré comme l'âme de la Justice League, un héros profondément empathique, traumatisé par la disparition de son peuple.Sa personnalité mêle sagesse, mélancolie et sens du devoir, ce qui le distingue des autres membres de l'équipe.Ses pouvoirs variés, qui vont de la télépathie à la métamorphose en passant par la super force et l'intangibilité, en font l'un des héros les plus puissants de l'univers DC.Cette importance, bien reconnue aux États Unis, explique l'attente autour d'un récit qui lui redonne enfin toute sa place. Une réinvention du personnagePour revisiter Martian Manhunter, Scott Snyder s'est entouré de deux auteurs particulièrement inspirés.Deniz Camp s'est fait connaître avec des récits ambitieux comme 20th Century Men, où il explore déjà des thèmes humains, politiques et intimes.Javier Rodriguez apporte quant à lui une identité visuelle forte, grâce à son style expressif et ses compositions inventives aperçues dans Daredevil, Spider Woman ou The History of the Marvel Universe.Ensemble, ils donnent à ce titre Absolute une personnalité très marquée. Dans Absolute Martian Manhunter, Deniz Camp propose une interprétation originale en jouant sur la relation entre J'onn J'onzz et son identité humaine, l'agent du FBI John Jones.Le Martien est ici présenté comme une présence presque parasitaire dans l'esprit de l'agent, une conscience qui influence sa perception du monde.Cette idée rappelle par certains aspects la dynamique d'un Venom, mais avec une approche bien plus psychologique.Ce choix renforce les thèmes du récit, qui explore l'identité, la mémoire et la difficulté de trouver sa place.Le dessin de Javier Rodriguez accompagne parfaitement cette vision grâce à un jeu de couleurs expressif qui matérialise les émotions ressenties par l'enquêteur et accentue le décalage entre ses deux natures. Le titre à lire de la ligne Absolute ?Si vous aimez les séries des Big Two qui flirtent avec l'esprit des comics indépendants, comme The Vision de Tom King et Gabriel Walta ou Moon Knight de Jeff Lemire et Greg Smallwood, vous allez adorer ce titre.Absolute Martian Manhunter plonge au cœur de la psyché du dernier Martien et s'appuie sur une collaboration très réussie entre scénario et dessin.Le travail sur la couleur donne au récit un rythme particulier et renforce l'immersion dans l'enquête.Tout est pensé pour offrir un portrait complet du personnage et de son univers, tout en construisant un thriller haletant qui tient en haleine du début à la fin. Comme le titre de l'émission le laisse entendre, on est clairement devant le titre à ne pas manquer dans la ligne Absolute.Nous n'avons pas encore découvert le Flash, mais Absolute Martian Manhunter est déjà notre vrai coup de cœur de ce nouveau label DC. Si vous avez apprécié notre discussion avec Dr Salience, n'hésitez pas à aller découvrir son univers directement sur sa chaîne YouTube.Il propose des vidéos originales, décalées et très soignées autour des comics.Vous pouvez le retrouver ici et vous abonner pour soutenir son travail :https://www.youtube.com/channel/UClAxorfXj27uDj9NZXu8rBg Vous aimez les récits qui réinventent les super héros ou les plongées dans des univers forts et singuliers ?Voici quelques épisodes de ComicsDiscovery qui pourraient aussi vous plaire. DC The New Frontier de Darwyn Cooke :https://jamesetfaye.fr/comicsdiscovery-s07e30-dc-the-new-frontier/ Mister Miracle de Tom King et Mitch Gerads :https://jamesetfaye.fr/comicsdiscovery-s07e08mr-miracle/ The Vision de Tom King et Gabriel Walta :https://jamesetfaye.fr/comicsdiscovery-s07hsc-vision/ Le mot de la finMerci à tous et toutes de nous avoir suivi et merci à notre invité Salience. Nous sommes désolés pour l'attente , le mois de décembre nous a apporté une belle grippe. Prenez soin de vous et on se retrouve en Janvier pour de nouvelles découvertes. Retrouvez nos chroniqueurs James : Linktree Faye : Découvrez ses réseaux ici Sophie : Découvrez son Linktr.ee Suivez-nous sur les réseaux sociaux Facebook : ComicsDiscovery sur Facebook Instagram : @comicsdiscovery sur Instagram TikTok : @jamesetfaye sur TikTok Écoutez nos podcasts Spotify : ComicsDiscovery sur Spotify Ausha : ComicsDiscovery sur Ausha Apple Podcasts : ComicsDiscovery sur Apple Podcasts Deezer : ComicsDiscovery sur Deezer Pour nous soutenirSi vous appréciez notre travail et souhaitez aider une équipe passionnée par la BD, vous pouvez nous soutenir surTipeee.Chaque contribution nous aide à continuer à partager notre passion pour la BD, les comics et la pop culture. 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Bienvenue dans le premier épisode de cette série inédite consacrée à la méthode 108 Milliards.L'objectif de cette série est clair : vous donner tous les outils pour clarifier vos objectifs, prendre de meilleures décisions et devenir totalement autonome dans votre auto-coaching.La méthode 108-milliards repose sur deux principes fondamentaux validés par cinquante ans de neurosciences, mais rendus accessibles et immédiatement applicables. Vous découvrirez comment votre cerveau traite vos 60 000 pensées quotidiennes et pourquoi il cherche constamment de la cohérence - une quête qui peut autant vous servir que vous desservir.Tout au long de cette série, je serais accompagnée d'Antoine, coach 108 milliards et psychologue de formation. Avec ses 5 années d'études et de multiples thérapies à son actif, il pensait avoir tout vu. Et pourtant... il lui manquait une clé. C'est un outil simple qui a tout débloqué en quatre séances. Cet outil, c'est le téléchargement de pensée - cinq minutes d'écriture qui permettent de distinguer les faits de vos interprétations, vos émotions de vos comportements.Car voilà le principe clé : ce ne sont jamais les situations extérieures qui créent vos réactions, mais toujours ce que vous en pensez. Une fois ce mécanisme compris, tout devient possible.Dans cet épisode, vous repartirez avec un exercice concret à expérimenter dès maintenant : cinq minutes, un carnet, et vos pensées déversées sur le papier. Vous serez surpris de découvrir les croyances inconscientes qui dirigent votre quotidien.Ce n'est que le premier épisode d'une série qui vous donnera tous les outils pour maîtriser votre auto-coaching. Rendez-vous dans le prochain épisode pour approfondir les fondamentaux de cette méthode transformatrice.Timeline00:00:00 - 00:02:04 : Introduction à la méthode cent-huit-milliards : les piliers fondamentaux00:02:04 - 00:04:00 : Pourquoi l'écriture change tout : témoignage et passage à la pratique00:04:00 - 00:05:45 : Rencontre et évolution : du scepticisme à l'adoption de la méthode00:05:45 - 00:10:29 : Le téléchargement de pensée : exercice simple et puissant pour libérer son esprit00:10:29 - 00:13:43 : Les biais cognitifs et la cohérence du cerveau : comprendre sa vision du monde00:13:43 - 00:17:32 : Comment la pensée guide le comportement : le cercle vicieux des croyances limitantes00:17:32 - 00:25:02 : Exemples concrets et modèle d'analyse : faits, pensées, émotions, comportements et résultats00:25:02 - 00:29:28 : La transformation par l'écriture : émancipation des croyances limitantes00:29:28 - 00:35:50 : Dissonances cognitives et auto-sabotage : le récit d'une prise de conscience00:35:50 - 00:36:01 : Résumé des étapes clés et invitation à l'expérimentation personnelleHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu rêves de créer un produit qui tourne sans toi mais tu ne sais pas par où commencer ?Dans cet épisode, je te dévoile sans filtre comment j'ai construit une communauté payante qui me rapporte plus de 300K€ par an, sans pub et pour seulement 15 minutes d'animation par jour.Au programme de cet épisode :
Aujourd'hui, Bruno Poncet, cheminot, Antoine Diers, consultant, et Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
« Donald Trump déploie des avions de surveillance au-dessus du Nigeria, prélude à une intervention militaire des États-Unis ? » titre Afrik.com. À l'origine de cette question : des données de suivi de vol, révélées par Reuters, en début de semaine. « Depuis fin novembre, un appareil (...) du Pentagone survole quotidiennement l'espace aérien nigérian. » De quoi alimenter « les spéculations sur les intentions réelles de l'administration Trump ». Tout ça, dans un contexte diplomatique en dents de scie, car les tensions étaient, il y a peu, encore palpables : le « 1ᵉʳ novembre [dernier], Donald Trump a menacé le Nigeria d'une intervention militaire » et accusé « le gouvernement de tolérer le massacre de chrétiens », rappelle Afrik.com. « [Donald Trump] a promis de pulvériser les terroristes islamistes ». Son ministre de la Défense a confirmé que le Pentagone « se prépare à passer à l'action ». Ces déclarations ont été vivement critiquées à Abuja, où les autorités rejettent l'idée d'un « génocide chrétien ». Fin de la brouille diplomatique Et il y a quelques jours, une conférence de presse a eu lieu à Abuja, à l'occasion de la visite d'une délégation américaine. La brouille diplomatique entre les États-Unis et le Nigeria semble passée, si l'on en croit les déclarations du ministre nigérian de l'Information, qui évoque « un engagement ferme et respectueux » des deux parties. Ces collectes de renseignements, au-dessus du Nigeria, ce serait donc le « signe d'une coopération sécuritaire accrue », commente pour sa part le journal nigérian The Guardian. D'après un analyste interrogé par Afrik.com, cette activité aérienne démontre aussi la volonté de Washington de reconstituer son réseau de renseignement, dans la région sahélienne. « Après la fermeture forcée de la base américaine d'Agadez au Niger et la montée en influence de la Russie, les États-Unis cherchent manifestement à maintenir une présence stratégique en Afrique de l'Ouest, via le Ghana et, de fait, au-dessus du Nigeria », peut-on lire. À lire aussiNigeria: la brouille entre Washington et Abuja «largement résolue», annonce le gouvernement Problème de sécurité au Nigéria « Ces opérations de surveillance interviennent également plusieurs mois après l'enlèvement, au Niger voisin, d'un pilote américain travaillant pour une organisation missionnaire », rappelle aussi The Guardian. Le scénario d'une intervention américaine est-il plausible ? C'est la question que se pose Afrik.com. Et le mot clé à retenir, c'est « prudence » : « Le Nigeria reste un allié stratégique de Washington et un acteur clé de la lutte régionale contre le terrorisme. Le président nigérian a rappelé que "la violence touch(ait) toutes les communautés" et rejeté toute accusation de persécution religieuse. » Par ailleurs, le Nigeria traverse aussi une période de forte instabilité. Le président a proclamé l'état d'urgence sécuritaire en novembre, « après une succession d'attaques meurtrières et l'enlèvement de plus de 300 écoliers, dans le nord du pays. » À ce sujet, et dans ses colonnes Edito, le journal burkinabé Le Pays commente : « Si l'on en croit les autorités nigérianes, aucun élève enlevé ne se trouve encore entre les mains des groupes armés. Tous, disent-elles, ont été libérés. » Mais, il y a encore des questions sans réponse pour l'instant : dans quelles conditions ont-ils été libérés ? Y a-t-il eu paiement de rançons ? « Car, il faut le dire, le paiement de rançons ne fait que renforcer la capacité de nuisance des groupes criminels. Franchement, le Nigeria, c'est peu de le dire, a mal à sa sécurité intérieure », écrit Le Pays. Au Bénin, pays voisin du Nigeria, Patrice Talon a « fait son au revoir au Parlement » « Une intervention à forte portée institutionnelle, marquée à la fois par la mise en perspective de dix années de réformes et par un ton d'adieu assumé », selon La Nouvelle Tribune. Le journal béninois La Nation revient aussi sur ce dernier discours sur l'état de la nation, aux allures de bilan mais dont le cœur a été consacré à la tentative de coup d'État manquée du 7 décembre, « date désormais inscrite dans l'histoire politique récente du pays ». Le président a mentionné « des assaillants qu'il a décrits comme des "marginaux insensés", manipulés par des intérêts internes et externes en quête de privilèges perdus », peut-on lire. Pour le journal La Nation, ces mots veulent ainsi « souligner la gravité de l'acte, mais surtout la solidité du rempart républicain que constituent les forces armées et de sécurité ». Alors que de futures élections approchent, le président a également dit croire en une transition apaisée, marquée par le renouvellement des institutions et la continuité de l'État. À lire aussiBénin: le président Patrice Talon défend son bilan dans un ultime discours sur l'état de la nation
Un viager, des soupçons d'empoisonnement… Les ingrédients parfaits pour une incroyable affaire, riche en rebondissements… Tout commence le 7 avril 2015, quand Suzanne Bailly, 85 ans, est prise d'un malaise dans son appartement du Cannet. Arrivée à l'hôpital, c'est la surprise : Ses analyses révèlent qu'elle a avalé du poison ! Après les premières investigations, les enquêteurs sont convaincus qu'il ne s'agit pas d'un accident. Mais alors, qui pouvait en vouloir à cette adorable vieille dame ? Les voisines de la résidence, qui pourraient jalouser sa retraite aisée ? Son homme à tout faire, pourtant si serviable ? Ou bien cet agent immobilier au passé trouble ? La réponse dans ce nouveau podcast de Chroniques Criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Restaurer quelqu'un, c'est choisir d'aimer malgré les murmures et d'ignorer les jugements. Lorsque l'on pèche, on pèche contre Dieu qui nous a établi. L'amour n'est pas une faiblesse, mais une noblesse.Tout le monde n'est pas capable de le donner, car aimer comme Christ demande du courage et de l'humilité.Un vrai père ne regarde pas à la faute, mais à la restauration. Entrer dans la mission de Dieu, c'est apprendre à aimer comme Christ a aimé. Il se leva et alla vers son père. Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion ; il courut se jeter à son cou et le baisa. Luc 15:20Soutenez-nous sur PayPal !
Tout commence par un simple mail reçu un soir de pluie : “J'aime votre travail.” Mais derrière ces mots polis se cache une réalité bien plus sombre. Dans ce nouvel épisode de votre podcast horreur, je vous plonge au cœur d'une relation perverse et malsaine entre un créateur de contenus et un prédateur. Cet homme n'est pas un simple fan, c'est un serial killer qui connaît des détails de mes récits que je n'ai jamais publiés.Ce récit horreur explore la frontière ténue entre la fiction audio et le true crime. À la manière d'une légende urbaine qui prendrait vie, l'obsession de cet auditeur pour ma voix transforme chaque mot en une caresse mortelle. Inspiré par l'esthétique viscérale de Clive Barker, ce récit mélange horreur et désir, où la narration devient un rituel presque sexuel et meurtrier. C'est une plongée dans l'horreur psychologique pure, un affrontement psychologique où la voix devient une arme.Pourquoi ce podcast horreur est-il différent ? Parce qu'il traite de l'interdit. On y parle de smut horreur, de cette attirance malsaine pour le macabre qui anime certains de nos auditeurs les plus sombres. Si vous cherchez une histoire vraie ou une fiction qui vous fera douter de chaque message reçu sur vos réseaux, vous êtes au bon endroit. Cet épisode est une fiction audio horreur psychologique conçue pour être endurée, pas seulement écoutée.L'horreur et désir se mêlent ici dans une danse macabre. Le tueur ne veut pas seulement être entendu, il veut fusionner avec l'œuvre. En tant que podcast narratif français, "Dans l'Ombre des Légendes" s'efforce de repousser les limites du genre. Ce podcast audio immersif vous place directement dans le studio, face à l'écran, attendant le prochain mail de celui qui tue en écoutant ma voix.Est-ce une légende urbaine moderne ou un témoignage de l'ombre ? La vérité est sans doute plus dérangeante. Ce podcast horreur complet est réservé à un public averti, prêt à explorer les zones taboues de la psyché humaine. Entre creepypasta français et réalité clinique, découvrez comment un simple podcast peut devenir l'obsession d'un monstre.Soutenez l'ombre : Si ce podcast horreur vous a marqué et que vous voulez plus de récits transgressifs, laissez 5 étoiles sur Apple Podcasts ou Spotify. Chaque avis est une pierre posée sur l'édifice de nos cauchemars communs et nous permet de rester un podcast horreur indépendant et libre.Dans l'Ombre des Légendes — Parfois, vos auditeurs ne sont pas innocents. Certaines histoires ne se racontent pas pour être comprises, elles se racontent pour être vécues jusqu'au dernier souffle.
Ce mercredi 24 décembre, Antoine Larigaudrie présente le tableau de bord dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 24 décembre, Antoine Larigaudrie a reçu Séverine Flottes de Pouzols, fondatrice de la Financière de l'Aubrac, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 24 décembre, Antoine Larigaudrie a reçu Valentin Nicaud, membre de la cellule infos d'expert de Bourse Direct, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 24 décembre, Antoine Larigaudrie vous présente le placement à suivre dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 24 décembre, Antoine Larigaudrie vous présente le coffre fort dans son émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 24 décembre, Antoine Larigaudrie a reçu Olivier Lechevalier, directeur général de Defthedge, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 24 décembre, Antoine Larigaudrie a reçu Olivier Lechevalier, directeur général de Defthedge, Valentin Nicaud, membre de la cellule infos d'expert de Bourse Direct, Séverine Flottes de Pouzols, fondatrice de la Financière de l'Aubrac, Éric Cosserat, président du groupe Perial, et François de Lassus, consultant Or en cash, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Avec : Elise Goldfarb, entrepreneuse et influenceuse. Pierre Rondeau, économiste. Et Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Aider son enfant à traverser ses émotions, ses peurs et ses difficultés sans les contrôler ni s'oublier soi-même est l'un des plus grands défis de la parentalité. Dans cet épisode Best of du podcast Sensées, Jenny Chammas, mastercoach certifiée et fondatrice de Coachappy, partage comment aider son enfant en utilisant concrètement les outils du coaching à la maison, avec plus d'écoute, de sérénité et de bienveillance.Être parent, c'est composer chaque jour avec des émotions intenses : colère, anxiété, peur de l'échec, frustration, découragement. Lorsque l'on cherche à aider son enfant, on se sent parfois démunie face à ce qu'il traverse, sans savoir quoi dire ni quoi faire. Cet épisode propose une approche réaliste et incarnée, issue du coaching, pour accompagner les enfants dans leur quotidien émotionnel tout en respectant leur rythme et leurs besoins.Jenny précise qu'il ne s'agit ni de recettes magiques ni de parentalité parfaite. Aider son enfant avec les outils du coaching, c'est avant tout adopter une posture : observer, écouter, poser des questions, accueillir les émotions sans les nier ni les dramatiser. C'est aussi accepter que cela ne fonctionne pas à tous les coups, et que vous êtes, vous aussi, humaine.Ce que vous saurez faire après écoute :– Aider son enfant à accueillir ses émotions intenses sans chercher à les faire disparaître.– Repérer les signaux faibles qui indiquent qu'un enfant traverse une difficulté.– Poser les bonnes questions pour l'aider à formuler son problème.– Transmettre des valeurs comme l'effort, la persévérance et la confiance sans pression.– Lui apprendre ce qui est sous son contrôle et ce qui ne l'est pas.À travers des exemples très concrets de son quotidien de mère, Jenny montre comment aider son enfant à mieux vivre avec ses émotions, à développer sa confiance en lui et à comprendre son fonctionnement interne. Elle rappelle aussi un point fondamental : pour accompagner ses enfants, il est essentiel de se faire accompagner soi-même, car accueillir les émotions de l'autre demande d'abord de savoir accueillir les siennes.Un épisode précieux pour toutes les mères qui souhaitent aider leur enfant avec plus de clarté, de calme et de justesse, tout en préservant leur propre équilibre émotionnel.
✨ Suis-moi sur Instagram : instagram.com/laurita.socaliente/ Les maux du quotidien, les émotions qui nous submergent, comment y faire face ? Comment naviguer ? Quelques réflexions sur nos maux : - Quand un déclencheur de trauma arrive, on agit comme si on avait l'âge qu'on avait lors du traumatisme. - La passion, c'est accepter de souffrir pour... - Quelle bénédiction d'être fatigué(e) - On contrôle ses réactions aux émotions incontrôlées - Transmuter cette peine. - Faire ce qui est le meilleur pour soi n'est pas toujours une sensation agréable ! - La frustration est une preuve d'amour - Un oeuf cassé ne peut pas être réparé... - Votre moral ne veut rien dire dans le confort ! - Un feu ne s'arrête pas de brûler parce qu'il est fatigué. - Rester en colère, c'est boire du poison et espérer que l'autre meurt. - Quand on crie sur quelqu'un, nos âmes sont loin - L'anxiété et l'excitation partagent les mêmes signaux - Tout puise sa source dans l'enfance, does it ? Et bien d'autres réflexions. A tout de suite ;)
REDIFF - Dans le petit village languedocien d'Artigat, Martin Guerre disparait un jour sans laisser de traces. Silence radio pendant huit ans... jusqu'à ce qu'un homme prétendant être Martin Guerre revienne. Tout le village le reconnaît : ses voisins, ses amis et surtout sa femme, Bertrande. Mais est-ce vraiment lui ? Un procès hors du commun révèlera la vérité. Découvrez l'histoire incroyable de Martin Guerre... et celle du plus grand imposteur du XVIe siècle. Crédits : Lorànt Deutsch, Ayrton Morice Kerneven. Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, l'inimitable Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« La politique russe de recrutement de combattants et d'ouvrières en Afrique subsaharienne », c'est le sujet de la note publiée jeudi dernier par Thierry Vircoulon, chercheur associé à l'Institut français des relations internationales. Le premier Africain tué sur le front russo-ukrainien, en 2022, était un étudiant zambien intégré au groupe Wagner. Depuis, plusieurs milliers d'Africains, des hommes mais aussi des femmes, ont été recrutés par Moscou. Au moment de partir, la plupart pensent aller travailler dans le domaine civil et ignorent complètement ce qui les attend. Comment ces recrutements se déroulent-ils ? Quel sort est réservé à ces recrues africaines ? Et, comment réagissent les gouvernements africains concernés ? Thierry Vircoulon est le grand invité Afrique de ce jour. RFI : Pour commencer, disposez-vous d'un chiffre sur le nombre de ces hommes et femmes d'Afrique subsaharienne recrutés par la Russie pour soutenir la guerre contre l'Ukraine ? Thierry Vircoulon : Les autorités ukrainiennes estiment qu'il y a probablement entre 18 000 et 20 000 combattants étrangers dans les rangs de l'armée russe. Sur ce nombre, il y aurait 3 000 ou 4 000 Africains. On a trouvé beaucoup de nationalités différentes, de Sierra-Léonais, de Centrafricains, de Camerounais, d'Africains du Sud, de Kényans, de Sénégalais, donc un peu tous les pays africains. Ce recrutement s'adresse, écrivez-vous, à une jeunesse urbaine pauvre avec des motivations strictement économiques, qui envisagerait la guerre en Ukraine comme une solution plus accessible que l'émigration clandestine en Europe… Ce n'est pas qu'elle envisage la guerre en Ukraine comme une immigration plus facile, c'est qu'elle émigre pour ses motifs habituels, c'est-à-dire chercher de nouvelles opportunités de travail mieux rémunérées. Et, elle se retrouve prise au piège de ce conflit. Beaucoup sont recrutés de manière trompeuse. Ils sont abusés et se retrouvent enrôlés à leur arrivée en Russie, piégés dans cette armée russe. Est-ce qu'il y a aussi une motivation idéologique chez ces jeunes recrues africaines ? La Russie a le vent en poupe dans certains pays. Pour une petite minorité, oui, il y a une adhésion au discours géopolitique russe, mais c'est vraiment pour une toute petite minorité. La majorité sont des gens qui ne pensaient pas combattre dans cette guerre. Vous parlez d'offres d'emploi ou de formation « mensongères ». De quel type ? Très souvent, ils répondent à des propositions d'emploi dans le secteur civil ou parfois dans le secteur militaire, mais dans des domaines logistiques, ou [pour être, ndlr] cuisiniers, etc. Or une fois qu'ils arrivent en Russie, ils sont rapidement enrôlés de force, formés de manière tout à fait expéditive et ils sont ensuite envoyés en première ligne, dans des unités qui sont les plus exposées sur le front. Bref, ils sont à la fois dans les zones les plus risquées et ce ne sont pas de vrais combattants. À lire aussi«Les maisons russes en Afrique servent de centres de recrutement industriel et militaire» Est-ce qu'on a une idée du nombre d'Africains tués sur le front russe ou ukrainien ? Non, c'est très difficile d'avoir le nombre des morts. Il est extrêmement rare que les autorités russes informent les familles de ceux qui sont morts au combat. C'est donc très compliqué d'avoir des chiffres. On apprend dans votre étude que le recrutement russe cible aussi les femmes africaines, qui deviennent des ouvrières pour l'industrie d'armement. Cette fois de manière officielle, mais tout aussi trompeuse… Tout à fait. Et, là, c'est pour la zone économique spéciale d'Alabouga, au Tatarstan. Là-bas, il y a une usine de montage de drones pour laquelle les autorités [russes, ndlr] recrutent un peu partout dans le monde et recrutent uniquement des jeunes femmes. On a décompté à peu près une trentaine de nationalités africaines dans cette usine. Là, c'est en effet un recrutement tout à fait ouvert qu'on trouve sur les réseaux sociaux en Afrique, qu'on a même trouvé sur des sites de ministères de l'Éducation en Afrique, qu'on retrouve aussi sur les sites des ambassades russes en Afrique et qui est présenté comme une coopération pour la formation professionnelle de ces jeunes femmes. Sans préciser que, évidemment, il s'agit de monter des drones. Est-ce que les gouvernements africains des pays concernés, qui sont au courant, qui ont reçu des témoignages, des plaintes, réagissent ? Jusqu'à cet automne, ils n'avaient pas réagi. Mais là, il y a eu un certain nombre de scandales qui les ont forcés à réagir, notamment au Kenya, en Afrique du Sud et plus récemment au Botswana. Les autorités de ces trois pays ont dû reconnaître qu'ils avaient des citoyens qui combattaient dans cette guerre parce qu'ils ont maintenant un certain nombre de ces citoyens qui ont appelé à l'aide leurs familles parce qu'ils veulent s'enfuir et rentrer chez eux. Ils ont donc appelé leur famille qui a contacté les médias de ces pays et ça s'est transformé en scandale. Maintenant, ces trois gouvernements enquêtent sur ces filières de recrutement et ont demandé à Moscou le rapatriement de leurs concitoyens. À lire aussiAu Kenya, des diplomates s'inquiètent de recrutements forcés pour l'armée russe On a longuement parlé du recrutement russe en Afrique, objet de votre étude. Du côté ukrainien, est-ce qu'il y a des pratiques similaires ? Non, il y a des recrutements d'étrangers, mais qui viennent pour combattre effectivement. Il n'y a donc pas de recrutement avec de fausses propositions d'emploi. Les étrangers qui viennent combattre dans ce qu'on appelle la Légion internationale pour la défense de l'Ukraine le font volontairement et en toute connaissance de cause. ►Pour en savoir plus
Nous y voici donc. C'est la dernière chronique boursière de l'année. Je vous retrouverais en 2026, le 5 janvier pour être précis. L'année qui est en train de se terminer aura encore une fois été spectaculaire. L'Intelligence Artificielle a fait un grand pas en avant et va devoir gérer ses propres problèmes de financement l'année … Continued
À l'approche des élections générales prévues le 28 décembre prochain, le pays se prépare à un rendez-vous politique majeur, qui coïncide avec les fêtes de fin d'année. Mais cette double actualité n'est pas sans conséquences sur le quotidien des populations. Depuis plusieurs semaines, les Centrafricains font face à une hausse significative des prix des produits de première nécessité. Une inflation alimentée notamment par le retour massif des Centrafricains de la diaspora et l'arrivée d'observateurs internationaux, exerçant une forte pression sur le logement, le transport et l'alimentation. De notre correspondant à Bangui, Au marché du PK5 de Bangui, la capitale de Centrafrique, les étals sont bien garnis et les clients nombreux. Pourtant, les visages se ferment au moment de payer. Ici, le sac de riz a pris plusieurs milliers de francs. L'huile, le sucre, les oignons, tout semble coûter plus cher. Une hausse des prix qui coïncide avec la période électorale et les fêtes de fin d'année selon Frédérica, une commerçante : « Le commerce ne fonctionne pas bien. Tout est devenu cher chez les grossistes. Beaucoup de clients pensent que nous augmentons les prix par plaisir, or ce n'est pas notre faute. Le transport devient plus cher à cause de la crise du carburant, parfois de l'insécurité ou des contrôles renforcés pendant les élections. On s'en sort difficilement. » Depuis une semaine, Bangui voit revenir de nombreux Centrafricains de la diaspora. Certains sont rentrés pour voter, d'autres pour observer ou accompagner le processus électoral. À eux s'ajoutent des délégations étrangères, observateurs internationaux, ONG et journalistes. « Pendant les fêtes de fin d'année, il y a des commerces qu'on appelle des commerces saisonniers. Les importateurs trouvent en cette circonstance un moment pour se faire de l'argent. Ils quittent leur segment traditionnel et ils se versent dans ces segments qui rapportent beaucoup d'argent en très peu de temps. Ce commerce saisonnier vient bouleverser le cycle de fonctionnement de notre pays, ce qui fait que nous connaissons les flambées des prix de première nécessité à chaque fête », explique l'économiste Lorenzo Ganazoui. « Je suis obligé de me contenter du strict minimum » Pour les commerçants, c'est une question d'équilibre. Pour les ménages locaux, en revanche, la situation devient préoccupante. Barnabé, père de famille, ne sait pas comment joindre les deux bouts : « Les prix des denrées alimentaires ont énormément augmenté sur tous les marchés. Je voudrais offrir un bon repas à mes enfants et des cadeaux pendant cette période de fête, mais c'est très compliqué. Je suis obligé de me contenter du strict minimum. » Cette inflation temporaire, liée aux dynamiques migratoires et au contexte politique, révèle une fragilité structurelle du pouvoir d'achat dans le pays, selon Lorenzo Ganazoui. Celui-ci propose des pistes de solutions : « Il va falloir travailler de manière que nous puissions commencer à produire, pour ne pas dire surproduire localement, de manière à palier à nos besoins d'abord localement, suggère-t-il. Ce sont les besoins qui auront manqué dans la production locale, qu'on pourra apporter ça de l'étranger. » À Bangui, chacun espère que cette flambée des prix ne durera pas. En attendant, faire ses courses est devenu un exercice de calcul et de résilience. À lire aussiCentrafrique: la campagne s'accélère et la pression monte à une semaine de la présidentielle
Ce mardi 23 décembre, Antoine Larigaudrie vous présente le placement à suivre dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 23 décembre, Antoine Larigaudrie présente le tableau de bord dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 23 décembre, Antoine Larigaudrie a reçu Christian Fontaine, directeur de la rédaction chez Le Revenu, et Félix Baron, fondateur du Club des Investisseurs Indépendants, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 23 décembre, Antoine Larigaudrie a reçu Christian Fontaine, directeur de la rédaction Le Revenu, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 23 décembre, Antoine Larigaudrie a reçu Gilles Santacreu, trader algorithmique et administrateur du site Boursikoter.com, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 23 décembre, Antoine Larigaudrie a reçu Christian Fontaine, directeur de la rédaction chez Le Revenu, et Félix Baron, fondateur du Club des Investisseurs Indépendants, Gilles Santacreu, trader algorithmique et administrateur du site Boursikoter.com, Jean-Baptiste Pascal, directeur général d'Inter Invest, et Aurélien Jeauneau, marchand d'art à Paul Bert Serpette dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 23 décembre, Antoine Larigaudrie vous présente le coffre fort dans son émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
De la solitude sauvage des forêts canadiennes aux dérives théocratiques de La Servante écarlate, Margaret Atwood s'est imposée comme la vigile de nos libertés. Enracinée dans une enfance hors du monde, cette figure de proue du féminisme n'invente rien : elle assemble les débris de l'Histoire pour anticiper le réel et nous offre une boussole pour identifier, avant qu'il ne soit trop tard, les premiers craquements de nos démocraties.Juliette Livartowski raconte.Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Paul Bertiaux. Production et édition : Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour prendre vos billets pour le LEGEND TOUR c'est par ici ➡️ https://www.legend-tour.fr/ Merci à Laurette et Adrien d'être passés nous voir dans le studio de LEGEND ! Laurette et Adrien forment un couple traditionnel (trad wife et trad dad), vivant comme les couples d'antan. Elle s'occupe des enfants en leur faisant l'école à la maison, elle fait sa propre nourriture. De son côté, Adrien travaille la journée et le reste du temps, il s'occupe des extérieurs (couper du bois…).Retrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/Rl5whGOyF14 Retrouvez Laurette sur instagram ➡️ https://www.instagram.com/laurettedessources_tradwife?igsh=MWZqaGp0NGJtdWpkOQ== Retrouvez la boutique LEGEND ➡️ https://shop.legend-group.fr/ Pour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.com Retrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND ! Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafr Instagram : https://www.instagram.com/legendmedia/ TikTok : https://www.tiktok.com/@legend Twitter : https://twitter.com/legendmediafr Snapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Twitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est la der des ders — en tout cas pour la quotidienne du Nova Club.Mais pas de panique : le Nova Club revient dès février avec un tout nouveau format, le dimanche soir.Pour cette ultime soirée, les équipes de Radio Nova et toutes celles et ceux qui ont fait vivre l'émission au fil des années se sont réunis pour célébrer cette aventure en musique. Une grande fête collective, marquée par les DJ sets remarquables de Romain Bno, Legit Girl DJ et DJ Gilb-R. Revivez cette soirée de festivités à travers l'intégralité des sets diffusés à l'antenne — un dernier tour de piste, chargé d'énergie et d'émotion, avant la suite de l'histoire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rediffusion. Que sont devenus Jacques, Pierrette Méchinaud et leur deux fils Eric et Bruno disparus dans la nuit du 24 au 25 décembre 1972 près de Cognac ? Cette question reste depuis cinquante ans sans réponse. L'affaire Méchinaud est un mystère sans corps, sans indice, sans aucune piste. Dans le dernier épisode, Caroline Nogueras reçoit Ismaël Karroum, rédacteur en chef adjoint de la Charente Libre, pour parler de ce cold case à la française. Une disparition mystérieuse le soir de Noël L'histoire débute le 25 décembre 1972, à Boutiers-Saint-Trojan, petite commune à l'ouest de la Charente. Au petit matin, Boutiers se réveille. Tout semble normal. Sauf peut-être la maison des Méchinaud. Ce jour-là, comme les suivants, les volets verts resteront fermés. Désespérément fermés. Jacques, Pierrette Méchinaud et leurs deux fils sont absents. Les voisins pensent qu'ils sont partis en vacances. Et puis, les jours passent... Un podcast Bababam Originals Ecriture : Virginie Guedj Voix : Caroline Nogueras Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, entrepreneur, Joëlle Dago Serry, coach de vie, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Avant de parler de la Coupe d'Afrique des nations, les journaux s'intéressent aussi au renouvellement du mandat de la Monusco. Ce week-end, les Nations unies ont renouvelé, pour un an, le mandat de leur mission en République démocratique du Congo. Et ce alors même que « la mission onusienne avait amorcé un processus de désengagement, notamment au Sud-Kivu, après plus de deux décennies de présence sur le sol congolais », rappelle Le Potentiel en RDC. Mais le contexte sécuritaire aura eu raison de cette volonté : la situation est « particulièrement préoccupant[e] », rappelle actualite.cd, en raison des affrontements dans l'est du pays. « La rébellion de l'AFC/M23, soutenue par le Rwanda, occupe de vastes zones dans les territoires de Rutshuru, Nyiragongo, Masisi, Lubero et Walikale », pointe ainsi le titre. Conclusion : une « aggravation » des crises humanitaire et sécuritaire. Mais après plus de 20 ans de mandats successifs, le média burkinabè Le Pays s'interroge : « Que peut-on encore attendre de cette mission onusienne ? (…) À quoi servira ce renouvellement de mandat ? » Le quotidien est circonspect, même s'il admet que ce n'est pas entièrement la faute de la Monusco. Celle-ci aurait bien besoin, pour agir, « d'un mandat robuste, comme ce fut le cas en 2013 », ce qui lui avait à l'époque permis « de mettre le M23 en déroute », se remémore Le Pays. Tout de même, le journal accorde au moins un mérite à la Monusco : celui de pouvoir être « une force tampon » et d'être « mise à contribution dans le cadre de la sécurisation des populations ». Le Maroc et la CAN en étendard Les journaux marocains ne sont pas peu fiers que leur pays héberge la compétition. Ainsi de L'Opinion, qui s'enorgueillit que « le nom du Maroc [soit] devenu un véritable label d'excellence dans le monde très concurrentiel du football ». Le 360 se gargarise de la même manière de cette « organisation grandiose » et de « la ferveur déjà palpable dans chaque ville, chaque rue, chaque café ». Accueillir la compétition est autant une preuve des mérites du Maroc qu'une occasion d'éblouir encore un peu plus le monde entier, « une opportunité majeure, de doper davantage ce soft power en présentant (…) au monde entier notre meilleur visage », poursuit l'Opinion. H24 Info ne s'y trompe pas non plus : sur le terrain comme ailleurs, le pays « n'a pas le droit à l'erreur » ; le sélectionneur Walid Regragui fait face à « une énorme pression » tandis que le président de la Fédération royale marocaine de football « doit rendre une copie parfaite du point de vue de l'organisation ». Le Royaume a donc mis les petits plats dans les grands. Le Monde Afrique parle même de « moyens hors norme ». Quitte parfois à s'attirer les foudres de la société civile. Car le dispositif impliquant « surveillance avec drones, caméras avec systèmes de reconnaissance faciale, commissariats à l'intérieur des enceintes sportives » est regardé d'un mauvais œil, quelques semaines après le mouvement Gen Z 212 qui a vu des dizaines de milliers de jeunes manifester pour réclamer un meilleur accès aux soins ou au logement. Une vitrine au-delà de la CAN Dans quatre ans, le royaume chérifien remet le couvert avec cette fois la Coupe du monde, co-organisée avec l'Espagne et le Portugal. Ce qui fait du Maroc, rappelle H24 Info, le « deuxième pays africain à accueillir une Coupe du monde, 20 ans après l'Afrique du Sud ». La Coupe d'Afrique des nations a donc des airs de « répétition générale », pour faire du pays « une vitrine internationale », abonde L'Économiste. C'est d'ailleurs pour cela, rappelle Le Monde Afrique, que Rabat a investi l'équivalent de près de deux milliards d'euros dans « ses infrastructures hôtelières, aéroportuaires, routières et sportives » et dans la rénovation de ses stades. Puis il est aussi question, bien sûr, de soft power. Ici, le ballon rond est surtout un prétexte pour « renforcer l'influence économique et diplomatique du royaume sur la scène internationale, et pas seulement en Afrique ». Dans cette perspective, chaque Marocain est rien de moins qu'un « ambassadeur de son pays », estime L'Opinion. Pour reprendre les mots de Walid Regragui : « remporter la CAN n'est pas un choix », c'est « une obligation ».
Un Conseil des ministres exceptionnel a été/va être convoquer pour adopter ce texte qui permet d'assurer la continuité de l'Etat, notamment le prélèvement de l'impôt, avant une reprise des discussions budgétaires en début d'année prochaineHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On ne va pas se mentir ; la semaine qui nous attend ne sera pas la plus excitante de l'année. Tout d'abord, la moitié du temps nous serons en train de digérer et l'autre moitié, on sera en train de préparer la soirée du 31 décembre. Autant vous dire que se concentrer sur les marchés … Continued
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Pour leur dernière publication de l'année, le Point et le Nouvel Obs ont eu la même idée et proposent cette semaine un numéro double, dont une grande partie est consacrée à la Chine. « L'empire qui sidère le monde », titre le Point, alors que le Nouvel Obs évoque « l'irrésistible expansion d'un empire ». Le Nouvel Obs qui consacre une cinquantaine de pages à la Chine et à son histoire, depuis le premier empereur, en 221 av. J.-C., jusqu'au président Xi Jinping, au pouvoir depuis 2012. Une histoire riche, souvent méconnue alors que, nous dit l'hebdomadaire, « pour comprendre son avenir, il ne suffit pas de comprendre son propre passé, il faut aussi étudier celui des autres ». Et sur ce point, les Occidentaux se sont laissé surprendre. « Notre aveuglement aurait-il été si total si nos experts avaient pris la peine, il y a 25 ans, d'ouvrir quelques livres d'histoire chinoise ? En aspirant à être la première puissance mondiale, explique le Nouvel Obs, la Chine ne cherche pas à conquérir une place jamais atteinte. Elle entend retrouver celle qui fut la sienne pendant des siècles. » Une Chine méconnue Une analyse que ne dément pas le Point qui lance : « Offrons un voyage en Chine à nos députés », que visiblement l'hebdomadaire pense bien mal informés. « Laissons nos députés voir cela !, s'exclame-t-il. Le silence de ces villes aux voitures électrifiées, les nombreux parcs dévolus à la robotique – la Chine "emploie" déjà cinq fois plus de robots industriels que les États-Unis – et ces universités où des milliers d'ingénieurs sont formés en vue de conquérir la suprématie mondiale en matière d'intelligence artificielle ». Le Point a interrogé l'écrivain canadien Dan Wang, d'origine chinoise, et lui a demandé « si l'Occident devait s'inspirer d'une partie du modèle chinois pour redevenir compétitif ». « Je crois que l'essentiel tient à une attitude, à une foi, à une conviction, répond Dan Wong. Tous les pays veulent se présenter comme des puissances technologiques, mais les Chinois y croient vraiment. » Angelina Jolie en Une de la première édition de Time France Nouveau venu dans le monde des magazines français, Time France publie son premier numéro. Inspiré bien sûr du célèbre Time Magazine américain, « Time est de plus en plus une voix qui compte », nous dit l'éditeur Dominique Busso. « Time s'est associé à Time France pour vous raconter la France et le monde, tout en étant attentif aux bouleversements qui écrivent l'histoire moderne. » Résultat : un beau magazine de presque 200 pages, richement illustré, qui propose aussi bien un reportage sur le front du Donbass en Ukraine, qu'une enquête sur le trafic d'art... ou encore une longue interview d'Angelina Jolie, qui fait la Une de ce premier numéro français. Time France déroule le tapis rouge à l'actrice américaine et la décrit ainsi : « D'une beauté à se damner (…) elle est portée par un corps que l'on croirait fragile si l'on oubliait qu'il a été forgé par plus de 20 années de révolte et de combats pour défendre les plus opprimés. » Mais si Angelina Jolie prend la pose, torse nu, une main couvrant son sein, c'est pour porter un message de prévention contre le cancer. À destination des femmes qui, comme elle, sont porteuses d'un gène lié au cancer du sein. S'il est dépisté à temps, comme chez Angelina Jolie, une mastectomie peut sauver la vie d'une femme. C'est ce qu'a fait l'actrice. « Chaque femme, dit-elle, devrait toujours pouvoir déterminer son propre parcours de santé et disposer des informations nécessaires pour faire ses choix. » Notez que Time France ne paraîtra que tous les trois mois, contrairement à son homologue américain qui, lui, est hebdomadaire. Un monde romanesque Tous les auditeurs de RFI le savent, c'est aujourd'hui le coup d'envoi de la CAN 2025 au Maroc. Et à cette occasion, le Parisien Dimanche donne la parole à Leïla Slimani, la romancière marocaine qui « s'apprête à vibrer pour la Coupe d'Afrique des Nations » se déroulant dans son pays natal. Aux yeux de l'écrivaine, le Maroc sera sans aucun doute « en finale » le 18 janvier. La lauréate du prix Goncourt 2016 ne cache pas son enthousiasme et se décrit elle-même lorsqu'elle regarde un match : « Je suis très nerveuse, dit-elle, un peu hystérique, et cela doit être assez insupportable pour les autres (…) Parfois, avec mes copains qui sont un peu partout dans le monde, explique Leïla Slimani, on est en même temps sur des groupes WhatsApp, donc on se retrouve à tous hurler simultanément. » Mais le football est avant tout un « monde romanesque », estime Leïla Slimani : « Une coupe du Monde, c'est comme un petit roman avec des personnages secondaires qui deviennent des personnages principaux, ou l'inverse, et du suspense. Tout ce qu'il faut pour un bon livre. »
Voici une comédie romantique française écrite et réalisée par Claude Pinoteau, sur un scénario de Danièle Thomson, sortie en 1980, la Boum. Cette Boum qui met en scène une Sophie Marceau de 13 ans face à ses amours, à sa grand-mère, à ses parents. Un film qui raconte son temps, les années 80, les émois adolescents, les premiers frissons, et les danses collées serrées sur des slows langoureux. Ahhh nostalgie. On ne danse plus sur des slows pour faire connaissance. On se rencontre via des Applications, on sʹaime par messages interposés, et la musique bascule sur la rap et la techno. Le monde a changé. La Boum est le film dʹune génération et dʹune époque révolue. Et on se met à regarder ce film par le prisme de lʹhistoire, celui dʹune société parisienne de classe moyenne dont on nous dresse le portrait en creux. Cʹest le film sur une crise de couple des quarantenaires, sur une crise dʹadolescence, et sur la fin dʹune crise économique qui a marqué les années 70 avec cette envie de progresser néanmoins dans ces années 80 qui sʹannoncent. La Boum fait un triomphe en France, puis en Europe et surtout en Italie où les aventures de Vic créent des émeutes. Tout le monde se reconnaît dans cette histoire, cliché photographique dʹun moment de transition que nous traversons toutes et tous. Claude Pinoteau et Danièle Thompson ont su, à leur manière, dresser le portrait dʹun âge charnière et certainement dʹune génération et de son temps. Ne tardons plus, Vic est invitée à une Boum. Cʹest là quʹelle va rencontrer son premier amour, Mathieu. Cʹest ce qui arrive quand on a 13 ans et des poussières. REFERENCES Les enfants de la Boum https://www.youtube.com/watch?v=zZ2z3CHyv3U Vladimir Cosma sur la musique de la Boum https://www.youtube.com/watch?v=JTqR-eMQe1M la Boum, souvenirs de tournage https://www.youtube.com/watch?v=UQWfZNPILTc Claude Pinoteau et Sophie Marceau sur Antenne 2 https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/caa8002020501/claude-pinoteau-et-sophie-marceau La Boum dans Blow Up https://www.youtube.com/watch?v=D9KX35J1kWg
Anne Ghesquière reçoit Jeanne Siaud Facchin, psychologue, psychothérapeute, auteure et fondatrice des centres de psychologie intégrative Cogito'z. D'où viennent nos blessures les plus profondes ? Pourquoi certaines douleurs se taisent alors que d'autres s'expriment à travers nos émotions, nos pensées ou même notre corps ? Peut-on vraiment échapper aux traces laissées par l'enfance ? Comment reconnaître ces « psycatrices » qui nous habitent, les apprivoiser, les consoler, et enfin les laisser guérir ? Le corps sait-il avant nous ce qui cherche à se dire ? Et comment retrouver l'espérance quand tout semble figé, étouffé ou trop lourd ? Jeanne Siaud-Facchin nous propose un voyage poétique au cœur de nos ressentis et de notre histoire, en faisant un cheminement intime pour une profonde guérison et un retour à la lumière. [SÉLECTION WEEK-END – METAMORPHOSE] Cet épisode a été diffusé, la première fois, le 20 juillet 2023.Quelques citations du podcast avec Jeanne Siaud Facchin :"Le passé nous construit mais nous ne définit pas.""On a tous une soif profonde de cet amour qui nous fait vivre, de sentir qu'on fait partie de cette Vie, de ce grand Tout, de ce grand Lien.""À force de vouloir tout maitriser, tout contrôler, on passe à côté de la vie."Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseThèmes abordés lors du podcast avec Jeanne Siaud Facchin : 00:00Introduction02:00Présentation invité06:05A-t-on tous des psychiatrices ?10:51Se libérer de nos masques15:44Se réconcilier avec notre corps20:58Les 4 piliers CAPE pour guérir23:35Consolation et lien26:30La puissance du toucher30:33"gri-gri" et ancrage33:35Bercement et émotions40:51Le shoot du rire44:46Abandonner la lutte48:44Aller au bout de son chagrin54:15Le réconfort de la nostalgie douce56:09La mécanique du pardon01:00:43Se libérer du lien de souffrance01:05:02Espérance et élan de vieAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis le mois de février, près de 32 000 Palestiniens des camps de réfugiés de Jénine, Tulkarem et Nour Shams, au nord de la Cisjordanie occupée, ont été déplacés de force par l'armée israélienne. Un exil imposé qui bouleverse les gestes les plus simples du quotidien. Pour les femmes, cette violence prend souvent la forme d'une double peine. Perdre un toit, c'est perdre aussi l'intimité, les repères, l'espace du soin et du quotidien. Surtout dans la société traditionnelle palestinienne. Raghad Lafi a 25 ans. Elle est mère de trois enfants et vit avec son mari et quinze autres personnes de sa famille élargie dans un appartement de Tulkarem. Sa maison, dans le camp de réfugiés, a été démolie en juin dernier par l'armée israélienne. Depuis, sa vie a changé du tout au tout. « Ici, il n'y a pas d'intimité. Pas de repos. On ne se sent pas bien entourée non plus. La maison, c'est tout pour un être humain. Là, on doit payer un loyer cher… et les écoles sont loin pour les enfants… Et je ne sors pas. Je reste dans cet appartement depuis, et je reste enfermée vingt-quatre heures sur vingt-quatre », raconte-t-elle. Ce sont des femmes comme Raghad que Nehaya al Jundi essaie d'aider au quotidien. Elle est la responsable du comité populaire pour les services du camp de réfugiés de Nour Shams. Elle aussi, à 54 ans, a été déplacée de force. Elle n'a pas vu sa maison depuis environ dix mois et le précise : pour les femmes, ces évictions sont une double peine. « Aujourd'hui, la femme palestinienne traverse la période la plus difficile de sa vie. Elle souffre d'une crise immense, parce qu'elle est le pilier du foyer », explique-t-elle. « J'en suis arrivée au point où, par manque d'intimité, j'ai peur de me laver » Car dans la société traditionnelle palestinienne, la femme est celle qui assure que le foyer est un lieu où l'on se sent bien. Celle qui assure l'éducation, la nourriture. Tout repose sur elle. Nehaya al Jundi ajoute : « Aujourd'hui, les femmes se retrouvent dans des logements très simples, impropres à l'habitation. Certaines vivent dans des maisons sans fenêtres, où l'on a simplement tendu une bâche. D'autres louent des maisons très anciennes, abandonnées dans les villages par leurs propriétaires, qui ont construit des maisons neuves ailleurs. Les familles ont été contraintes de louer ces logements, juste pour se cacher, pour se couvrir. Aujourd'hui, des femmes viennent, elles me disent sans cesse : "J'ai l'impression d'être à la rue." Et moi aussi, je le dis : "J'ai l'impression d'être à la rue, même quand je suis dans ma maison". J'étais quelqu'un avant qui, été comme hiver, prenait une douche tous les matins. Aujourd'hui, je ne peux même plus. J'en suis arrivée au point où, par manque d'intimité, j'ai peur de me laver. Imagine jusqu'où on en est arrivés. » Le plus grand déplacement forcé de Palestiniens de Cisjordanie depuis 1967 C'est ça la souffrance de chaque femme palestinienne déplacée, dit-elle. Celles de Nour Shams, où elle vivait, mais celles du camp de réfugiés de Tulkarem, de Jénine. Ces camps vidés de leurs habitants en février par l'armée israélienne. Le plus grand déplacement forcé de Palestiniens de Cisjordanie depuis 1967. « Je fais partie de ces femmes qui souffrent rien qu'à cause du mot déplacement. Je le déteste. Je le déteste profondément et je n'aime pas que quelqu'un le répète, ou dise que je suis une déplacée. Mais on est obligés de l'utiliser avec les médias pour qu'ils comprennent ce que signifie le déplacement. Mais celui qui ne l'a pas vécu, pas expérimenté, ne pourra jamais nous comprendre », affirme-t-elle. « Beaucoup veulent avant tout aider les autres », précise Nehaya. « Parfois, dit-elle, en s'oubliant soi-même. » À lire aussiEn Cisjordanie, les Palestiniens de Nour Shams face aux démolitions annoncées par l'armée israélienne