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J'ai le plaisir d'enregistrer cet épisode avec Romain Lanéry, youtubeur et créateur de contenus, à Station F à Paris, à l'occasion de la Paris Creator Week. Passionné très jeune par l'innovation, il s'est d'abord intéressé aux produits avant de se tourner vers celles et ceux qui les imaginent, les fabriquent et les racontent. À 16 ans, il se lance sur YouTube et, depuis, il n'a jamais arrêté de faire, d'apprendre et de s'entourer. Avec lui, on s'est demandé :Pourquoi certaines innovations nous fascinent autant qu'elles nous inquiètent ?Comment choisir les technologies sur lesquelles se concentrer, ou celles qu'il vaut mieux éviter ?L'IA pose-t-elle aujourd'hui une vraie question d'éthique ?Quels signaux écouter quand on lance un projet ?Dans cette conversation, Romain parle d'action, d'adaptation et de ce qu'on apprend des autres. Il évoque l'importance du terrain, du mentorat, du fait de s'entourer de personnes différentes de soi, et cette idée que le fond, l'histoire et ce que l'on fait ressentir comptent plus que la forme.Une conversation qui invite à ralentir, à prendre du recul sur notre rapport à la technologie, et à faire confiance au mouvement plus qu'aux certitudes.Je vous souhaite une très bonne écoute !________Pour découvrir les coulisses du podcast : https://www.instagram.com/inpowerpodcast/Pour retrouver Romain Lanéry sur les réseaux : https://www.instagram.com/romainlanery/?hl=frEt pour suivre mes aventures au quotidien : https://www.instagram.com/louiseaubery/Si cet épisode t'as plu, celui-ci te plaira surement :https://shows.acast.com/inpower/episodes/comment-prendre-le-pouvoir-de-ses-finances-les-conseils-de-l Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
US President Donald Trump hosted Ukraine's leader at Mar-a-Lago for high-stakes peace talks but failed to reach a breakthrough. Plus, FT markets columnist Katie Martin predicted that in 2025, the bond market would creak but not break. She explains why it held up and whether that will continue in 2026. Mentioned in this podcast:Trump and Zelenskyy talks fail to deliver breakthrough on Ukraine peace dealForecasting the World in 2025 Unhedged podcastNote: The FT does not use generative AI to voice its podcasts Today's FT News Briefing was hosted by Victoria Craig, and produced by Sonja Hutson and Marc Filippinio. Our show was mixed by Kent Militzer. Additional help from Adam Samson and Gavin Kallmann. The FT's acting co-head of audio is Topher Forhecz. The show's theme music is by Metaphor Music. Credit: White House Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Le dimanche, nous dépensons souvent de l'énergie sur des scénarios qui n'existent pas encore.Le dimanche est censé être un jour de repos.Et pourtant, pour beaucoup, l'esprit a déjà repris le rythme de la semaine à venir.Dans cet épisode de Happy Work, je vous propose une idée simple mais essentielle : tout ne mérite pas votre énergie. Apprendre à distinguer ce qui est bruyant de ce qui est vraiment important permet d'aborder la semaine avec plus de calme, de présence et de justesse.NOUVEAU : retrouvez moi sur WhatsApp sur la chaîne Happy Work... pas de spam, c'est gratuit et il n'y a que du feelgood !!! : https://whatsapp.com/channel/0029VbBSSbM6BIEm0yskHH2gEt pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos : www.gchatelain.comDÉCOUVREZ MON AUTRE PODCAST, HAPPY MOI, LE PODCAST POUR PRENDRE SOIN DE VOUS, VRAIMENT: lnk.to/sT70cYénergie émotionnellemotivationbien-être au travailcharge mentalestress anticipééquilibre intérieurfatigue invisibledéveloppement personnelHappy Work00:00 Introduction00:16 Tout ne mérite pas votre énergie00:45 Le dimanche, l'esprit repart déjà au travail01:50 Anticiper fatigue avant que la semaine commence03:07 Bruit versus importance05:21 Choisir où mettre son énergie06:49 La citation du jourSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Invité :Henry Jean Servat, journaliste écrivain et auteur du livre "Bardot la Légende" (nouvelle édition)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La foi nous permet de nous reposer, à la fois mentalement et émotionnellement. Même notre volonté est au repos quand nous avons foi en Dieu. Nous ne passons pas notre temps à nous inquiéter ou à réfléchir, nous ne sommes pas troublés ou déprimés, nous ne cherchons pas à forcer des événements qui ne sont pas selon la volonté de Dieu – nous sommes reconnaissants de ce qu'il a la situation en main, de sorte que nous pouvons nous reposer. Paul louait Dieu en prison. Jésus priait pour ses bourreaux alors qu'il était cloué à la croix. Joseph était déterminé à être le meilleur esclave que son maître ait jamais eu. Tout au long de l'Écriture, nous voyons le lien entre la foi, la gratitude et le repos. Nous devons être honnêtes quant à la véritable cause de notre stress. Est-ce vraiment notre situation, ou notre réaction face à elle ? Il est un repos qui découle de la gratitude et de la foi. Et c'est un repos dont nous pouvons jouir chaque jour. Je te remercie aujourd'hui, Père, parce que je peux vivre dans le repos. Je n'ai pas à m'inquiéter ou à me stresser lorsque je rencontre des difficultés. Merci de ce que je peux avoir confiance, sachant que tu as la situation en main. — Êtes-vous prêt à aller plus loin ?
J'ai lu un peu partout qu'on allait faire la fête, qu'on avait fait Noël, qu'on avait fait les magasins, et fait des frais, et qu'on s'était fait des cadeaux, et qu'on avait et fait des heureux, et fait bombance, et fait des photos, il n'y a rien qui vous frappe, vous ? Tous ces "fait" ?!Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:56:05 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Michel Piccoli, au micro de Serge Daney dans "Microfilms" en novembre 1986, revenait sur ses collaborations avec Leos Carax pour "Mauvais sang" et Jacques Doillon pour "La Puritaine". Il en profitait pour expliquer l'évolution de son tempérament d'acteur, nourrie par sa soif perpétuelle d'apprendre. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Michel Piccoli Acteur et réalisateur (1925-2020)
À la une aujourd'hui : douze photographies marquantes, choisies avec soin par la rédaction de Courrier International. Des images signées des photographes des agences AFP et Reuters, mais aussi du New York Times. La première, celle d'une « jeunesse en colère » prise dans les rues de la capitale du Népal, Katmandou, c'était le 8 septembre dernier. Une jeune femme, cheveux bruns, manifeste les yeux dans l'objectif, un regard en colère et un drapeau népalais derrière le dos. Selon Courrier International, cette photo « symbolise à elle seule la révolte de la génération Z, qui aura marqué les esprits dans de très nombreux pays en 2025 (...) » Donald Trump aura également marqué l'année 2025. Courrier International a choisi de publier une photo prise la veille de son investiture, le 19 janvier. On y voit le milliardaire républicain rejoindre sur scène le groupe Village People pour une danse pour le moins surprenante. « Depuis, le très disco “YMCA”, longtemps hymne de la communauté gay (même si le groupe s'en défend aujourd'hui), est devenu la bande-son officielle de toutes les sorties de Donald Trump. » explique la légende de la photo. Beaucoup de conflits représentés La guerre en Ukraine a aussi marqué l'année avec une photographie prise à Soumy, ville du nord-est du pays, le 13 avril 2025. « L'Ukraine sous pression » peut-on lire en titre. On y voit un soldat ukrainien épuisé, assis sur des débris, la main tenant sa tête changée à jamais par la guerre. « Le dimanche des Rameaux, deux missiles balistiques ont frappé le centre de Soumy, faisant 34 morts et 80 blessé » explique la légende. C'est l'une des attaques russes les plus meurtrières de l'année. « Gaza, un champ de ruines » est le titre donné à un autre cliché. Sur la photographie on voit un ciel bleu qui contraste avec des bâtiments gris et abîmés. L'un d'eux est en train de tomber, disparaître… avalé par une fumée noire et une poussière opaque. La scène se passe en septembre dernier, dans « le quartier de Tel Al-Hawa, dans le sud-est de la ville de Gaza, (...) après un nouveau bombardement israélien. » explique la légende. « Depuis, les armes se sont tues dans l'enclave palestinienne, mais la trêve reste fragile en attendant le lancement de la phase 2 du plan de Trump, qui prévoit notamment le désarmement du Hamas et le retrait de [l'armée israélienne]. » Le Soudan aussi est représenté par une photo marquante : celle d'un Khartoum défiguré. Sur ce cliché pris le 28 mars 2025, on y voit un soldat soudanais faisant sa prière devant un véhicule blindé incendié. « Cette guerre qui échappe aux radars de l'actualité et qui oppose, depuis avril 2023, les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) du général Mohamed Hamdane Daglo, dit « Hemeti », aux forces armées soudanaises (FAS), dirigées par le général Abdel Fattah Al-Burhan ». La légende de la photo rappelle que c'est « une guerre qui « provoque “la pire crise humanitaire et de déplacement au monde”, selon l'ONU. Près de 13 millions de personnes ont été déplacées, les maladies se propagent et la famine, confirmée dans dix régions, s'étend. » Une autre photo, sélectionnée par Courrier international : deux femmes au regard épuisé, les mains autour de leurs enfants dans un bus pour fuir Goma – capitale du Nord Kivu dans l'Est de la RDC. Le cliché est pris « À la frontière, entre la République démocratique du Congo et le Rwanda, le 19 mai 2025. » Ce bus est « affrété par le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés [et] rapatrie des civils rwandais qui fuient les combats autour de Goma, où les rebelles du M23, soutenus par Kigali, font régner la terreur. » Courrier International recontextualise dans la légende : le 4 décembre, le président congolais, Félix Tshisekedi, et son homologue rwandais, Paul Kagame, ont signé à Washington un accord de paix très fragile. Et de fait, moins d'une semaine après, Uvira, deuxième grande ville du Sud-Kivu, tombe face à la pression du M23. « Au moins 10 000 réfugiés affluent vers le Burundi pour fuir les combats, selon le site burundais “Iwacu”. » Haïti, les manifestations de l'opposition en Turquie sont aussi représentées dans la sélection de photos 2025 de Courrier international. Sur une note un peu plus légère et sportive, on retrouvera aussi du bleu, du blanc, du rouge sur les Champs-Élysées… C'était le 1er juin 2025 avec « le sacre européen des joueurs du Paris Saint-Germain, qui défilent en bus pour présenter leur trophée à leurs supporteurs. La veille, les joueurs de Luis Enrique ont écrasé l'Inter de Milan en finale de la Ligue des champions (5-0), à Munich. Un titre après lequel le club de la capitale courait depuis des années. » Paris, capitale des espions ? Cette semaine dans l'Express on nous explique pourquoi Paris est surnommée la « capitale des espions ». Il faut dire que le folklore et la culture parisiennes ont été parfaitement intégrés par les services de renseignements du monde entier. On parle par exemple « de la diplomatie des grands hôtels ». Ces palaces parisiens où se déroulent souvent des discussions secrètes, notamment sur la guerre à Gaza. « Les services de renseignements ont intégré les charmes de Paris dans leur programme : tant à la DGSE qu'à la DGSI. (…) Le bateau-mouche, un « grand classique » sourit un ex-agent secret. » La cuisine française plaît aussi beaucoup aux agents des renseignements. Interrogé par l'Express, un ex-patron de la DST confie : « Les espions sont comme tout le monde, ils aiment la gastronomie. Ils ont souvent une préférence pour la cuisine française à l'ancienne. Après ça ils coopèrent tous. » Sur le plan pratique, certaines stations de métro comme La Motte-Picquet Grenell, dans le 15e arrondissement, sont particulièrement appréciées, car elles possèdent beaucoup d'entrées et de sorties, c'est qui est plus simple pour disparaître quand on est suivi, raconte un ancien agent de la CIA. Rivalisation avec d'autres capitales Comment expliquer cet attrait pour Paris chez les espions ? Parmi les raisons exposées, il y a la position géographique de la capitale. Paris est un lieu de choix pour les rendez-vous clandestins : « Si vos sources sont au Moyen-Orient ou en Afrique, leur connexion naturelle vers le reste du monde passe toujours par la France », peut-on lire. Paris rivaliserait à la fois « avec Vienne pour le fortement entre l'Ouest et l'Est, avec Genève pour les tractations dans les palaces, avec Bruxelles pour le renseignement politique et même avec New York L'Unesco est « une couverture de rêve », raconte L'Express. Le magazine explique que l'organisation internationale culturelle basée à Paris abrite de nombreux agents secrets opérant au nez et à la barbe du contre-espionnage français. Toutes les institutions internationales connaissent ce phénomène d'espionnage car « elles facilitent des procédures d'accréditation spécifique. » Par ailleurs, la culture « ça permet d'aller partout, personne ne vérifie ce que vous faites, vous avez du temps libre » raconte un ancien coordonnateur adjoint du renseignement de l'Élysée. Tout ça est digne d'un roman d'espionnage.
Sur le buzzer c'est le dernier débat des GG du Sport ! Pile à temps pour s'écharper une dernière fois lors de l'émission…
Invités :Joseph Macé-Scaron, essayisteAlbert Zennou, rédacteur en chef du service politique Le FigaroBernard Montiel, animateur de radioHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tout ce que Dieu nous demande vise notre bien. Tous ses commandements ont pour but de nous mettre sur la voie de la justice, de la paix et de la joie. Jésus n'est pas mort pour nous pour que nous ayons une religion, mais pour nous ouvrir le chemin d'une relation profonde et intime avec Dieu. Dieu veut que nous vivions avec, par et pour lui. Il nous a créés pour vivre en communion avec lui– voilà un grand sujet de reconnaissance ! Ce que beaucoup ignorent, c'est qu'ils ne pourront jamais être épanouis et connaître le bonheur auquel ils aspirent en dehors de Dieu. Il nous a créés pour son plaisir. Il nous donne la vie comme un cadeau, et si nous la lui offrons librement en retour, c'est alors et alors seulement que nous pourrons la vivre pleinement et dans la joie. Merci, Père, pour le cadeau d'une relation avec toi en Christ-Jésus. Merci parce que tout ce que tu me demandes vise mon bien ! Je te remercie de ce que tu as un plan merveilleux pour ma vie. — Êtes-vous prêt à aller plus loin ?
Homélie du P. Bernard Bastian pour la Messe du Jour de Noël — Année A (25/12/2025). Dans le Verbe, la Gloire de de Dieu s'est fait chair ! Tout ce queLire la suite "Noël, c'est Dieu qui livre son Corps de Chair à l'Humanité"
Après 3 ans d'attente il est enfin là ! Je parle bien sûr d'Avatar 3, la nouvelle pépite de James Cameron. Au programme de cet épisode : présentation du film, critique, anecdotes...Mais dans ce voyage sur Pandora que je vous propose, nous allons surtout nous demander si la magie opère toujours. Ne perdons alors pas plus de temps et rentrons dans le vif du sujet !
Wedding Divan - Le Podcast des pros du mariage (par Magaly ZARKA)
Quand ton business accélère…personne ne te prépare à ce que ça remue vraiment.Dans cet épisode du podcast Wedding Divan, je t'emmène dans les vraies coulisses de mon quotidien de coach business pour les pros du mariage, à un moment où tout s'est accéléré très vite :plus de clientes, plus de responsabilités, plus de pression… et pas forcément plus de sérénité.Je te parle sans filtre de ce que je vis en ce moment :- la croissance rapide du business,- la charge mentale qui explose,- la culpabilité de ne pas être partout,- les peurs qui reviennent quand tout va “bien”,et cette réalité qu'on montre rarement quand on parle de réussite.Dans cet épisode, on démonte plusieurs mythes très ancrés dans l'entrepreneuriat :– “Les gens n'achètent pas en fin d'année”– “Quand ça marche, tout devient plus simple”– “Il faut être ultra organisée pour réussir”Je partage aussi avec toi :– comment j'ai accueilli 30 nouvelles clientes en 2 mois,– pourquoi certaines investissent même quand on leur dit que “c'est pas le moment”,– ce que la croissance révèle vraiment sur toi,– comment gérer la culpabilité quand tu es entrepreneuse et maman,– pourquoi se faire accompagner reste indispensable, même quand tu accompagnes les autres.Cet épisode est pour toi si :– tu es pro du mariage et ton activité commence à décoller,– tu culpabilises de ne pas tout gérer “comme il faut”,– tu te demandes si tu es légitime à vouloir plus,– tu as peur de ne pas tenir le rythme,– ou si tu crois encore que la réussite devrait être plus “simple” que ça.Ici, pas de recette magique.Juste du réel, du vécu, et un message clair :n'aies pas peur de réussir !
Baleine sous Gravillon - Nomen (l'origine des noms du Vivant)
Retour aux sources pour Nomen, petit frère du grand podcast et média Baleine sous Gravillon, avec une nouvelle saison sous le signe des cétacés !Une fois par mois durant cette cinquième saison, Marc et Pierre vous racontent les étymologies extraordinaires associées à nos immenses cousins aquatiques.Après le Béluga, petite présentation de son cousin à la dent longue, le Narval. Cette "baleine" des glaces est surnommée "Licorne de mer" en raison de son immense défense pointue et torsadée située au bout du nez, une "corne" qui fait office de vraie baguette magique ! En complément de cet épisode de Nomen, voici le premier volet de la série Tout un Art, dédié à la figure de la Baleine dans l'Art, ainsi que le troisième de la série Licorne, en partie consacré au Narval._______
durée : 00:03:30 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Est-ce que les personnes qui fabriquent des douceurs ne sont pas écœurées au point de ne plus vouloir en manger, ou au contraire, elles restent curieuses ? C'est la question posée par Elola, 14 ans. C'est la cheffe pâtissière Nina Metayer qui lui répond. - invités : Nina Metayer - Nina Métayer : Cheffe pâtissière - réalisé par : Stéphanie TEXIER Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Comment attirer dans les musées un public plus jeune ? Guimet, le musée des arts asiatiques à Paris, a trouvé une bonne idée : faire dialoguer ses collections avec un objet de pop culture par excellence. En l'occurrence, les mangas, les bandes dessinées japonaises. L'exposition, qui s'y tient actuellement jusqu'au 9 mars 2026, s'intitule « Manga, tout un art ! ». Le manga « c'est une pop culture qui n'a pas d'équivalent », précise Didier Pasamonik, l'un des commissaires de l'exposition. « Si on prend, en termes de vente, One Piece c'est 550 millions d'exemplaires, Tintin c'est 250 millions et Astérix doit être à 325 millions. On est vraiment sur des chiffres énormes. Et surtout, il s'agit de 1 118 épisodes de One Piece, en face il y a combien d'Astérix ? », ajoute-t-il. Des rouleaux anciens des monastères bouddhiques, préhistoire du geste du dessin japonais, jusqu'au triomphe des séries modernes, le musée Guimet fait dialoguer ses collections avec des centaines de planches d'auteurs majeurs. Le manga, proprement dit, naît à la fin du XIXᵉ siècle, avec l'ouverture du Japon à l'influence occidentale. « Rakuten Kitazawa, qui est en fait le premier mangaka professionnel, est directement influencé par la bande dessinée occidentale. Les mangas n'existent que quand une tradition du dessin et de la narration japonaise rencontre l'Occident. Rakuten Kitazawa va publier notamment une revue qui s'appelle Jiji Manga et qui va faire rentrer le mot manga pour la première fois dans un sens bande dessinée. Manga veut dire dessin libre, croquis », raconte le commissaire d'exposition. À lire aussiLe Japon veut quadrupler les exportations de ses mangas, dessins animés et jeux vidéo Les non-initiés et les amateurs du genre pourront admirer de nombreuses planches originales, dont celles du maître Osamu Tezuka, qui a révolutionné le manga au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. « Tezuka n'est pas nommé le dieu des mangas pour rien. Il est à la fois un dessinateur extrêmement productif, puisqu'il va dessiner 150 000 planches, mais en même temps c'est le premier à faire des dessins animés qui ont une portée internationale, puisque Astro Boy en 1963 va être diffusé aux États-Unis. Et là ça devient le modèle d'une production qui se pense comme un film, un objet de marchandising, d'adaptation au théâtre », explique Didier Pasamonik. Pour l'occasion, le musée expose à titre exceptionnel sa « Joconde »: La grande vague de Kanagawa, une des deux estampes d'Hokusai en sa possession, un chef-d'œuvre présenté en vis-à-vis de planches de bandes dessinées franco-belges qui lui rendent hommage. À lire aussiLe manga sous toutes ses coutures: au Japon comme en France, en livre comme en animé
Chroniqueurs : Matthieu Hocque, secrétaire général du think-tank Le MillénaireEric Naulleau, essayiste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En décembre 2014, Karl Lagerfeld, le légendaire couturier, exprimait son mépris pour le Père Noël... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes préférées. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Extraits de l'épisode 142 avec Albert MoukheiberVoici le titre de l'épisode complet si vous souhaitez aller plus loin : Cerveau : mythes et réalités
En Syrie, il n'est pas rare de croiser dans les villages des habitants, pioches à la main, à la recherche du fameux butin. « Des pièces d'or », répètent-ils tous, enfouies sous terre par pilleurs et ancêtres de civilisations antérieures. Sur les réseaux sociaux, de nombreuses rumeurs d'hommes devenus millionnaires poussent à la pratique. Interdite du temps du régime de Bachar el-Assad, elle se propage depuis sa chute dans tout le pays. Ce qui n'est pas sans risque : plusieurs personnes sont décédées ces derniers mois alors qu'elles creusaient des tunnels. Une poignée de touristes, une cité antique et trois hommes qui vident sur une table un petit sac en plastique. À l'intérieur, des pièces. Du bronze, de l'argent, de l'acier, qu'ils viennent tout juste de trouver dans les ruines d'à côté. Un homme montre aux étrangers une pièce de monnaie ancienne : « C'est une pièce grecque. Celle-ci date de l'Empire byzantin. Je les vends 50 dollars au moins, mais on peut discuter », leur affirme-t-il. Quelques mètres plus loin s'étend Bosra et son antique cité. Ces derniers mois, le sol a été retourné, les pierres tombales, ouvertes, brisées. Les traces d'hommes venus chercher un soi-disant trésor à la nuit tombée. L'un d'eux accepte anonymement de témoigner : « Bosra est sous l'égide de l'Unesco. Il se peut qu'à l'avenir, ils interdisent ces fouilles. Car, on le sait, ces pièces devraient être dans un musée. C'est la faim qui nous conduit à faire cela. Sans la faim, personne n'aurait songé à creuser. » Recrudescence de la recherche d'or Interdite du temps de Bachar el-Assad, la recherche d'or a connu une recrudescence après sa chute, en décembre, avant d'être à nouveau interdite par le gouvernement. Ahmad, c'est un prénom d'emprunt, n'en a que faire. Détecteur de métaux dans une main, pioche dans l'autre, il fouille régulièrement les alentours de chez lui. « Regardez ! C'est un fragment de boulon datant de la période ottomane », s'exclame-t-il soudain. « Je suis comme mon père, complètement obsédé par ce sujet. Lui est comme ça depuis toujours, il a 75 ans. Mais lui comme moi n'avons jamais rien trouvé », regrette-t-il. Sur les réseaux sociaux, dans les villages, les rumeurs vont bon train en Syrie. Certains parlent de signes : des croix, des trous, que seuls certains experts pourraient reconnaître. D'autres affirment qu'ils seraient devenus millionnaires grâce à des caisses d'or trouvées sous la terre. « Dans mon village, 90 % des personnes cherchent. Ce trou, nous avons travaillé dur pendant trois, quatre jours, à creuser, et au final ça n'a servi à rien. Tout ça à cause de ce détecteur de métaux. L'écran s'allume et vous indique : "C'est ici qu'il faut chercher." Au final, vous ne trouvez qu'un caillou », déplore-t-il. Assis entre les membres de sa famille, une photo entre les mains, Ibrahim al Ahmad témoigne. Son fils, 40 ans, est mort le 9 juin dernier, étouffé avec un ami dans le tunnel qu'ils avaient creusé. « Ce jour-là, ils sont restés quatre ou cinq heures sous terre, jusqu'à l'arrivée des secours. Forcément… Une personne privée d'oxygène meurt en trois minutes. Tout ça parce qu'il a fait la connaissance d'un groupe qui lui a dit : "cette terre recèle d'or, tu y trouveras forcément quelque chose." Ça l'a convaincu. C'est du gâchis », soupire-t-il, endeuillé. Un gâchis, répète-t-il, provoqué par l'ennui. Alors que 80% de la population vit encore sous le seuil de pauvreté en Syrie, cette interminable chasse au trésor illustre surtout la misère de centaines de familles. À lire aussiSyrie: face à la possible résurgence de l'EI, des civils s'organisent
durée : 00:15:58 - L'invité du 13/14 - A la suite d'une maladie rare, Jade a été amputée de ses jambes à l'âge de 4 ans. La collégienne du Gard pratique l'athlétisme grâce à des prothèses-lames et joue au basket-fauteuil à Montpellier. Elle partage avec nous son parcours et ses ambitions sportives, notamment les Jeux Paralympiques. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:20:08 - Lectures du soir - "Tout le peuple, ravi de voir tant de richesses que rapportait le Chevalier, le suivait avec mille acclamations dont le bruit parvint jusqu'au palais. Le roi ne put croire une chose si extraordinaire, il courut chez la reine pour l'en informer. "
L'année 2025 restera comme une année charnière pour l'économie mondiale, marquée par le retour tonitruant de Donald Trump à la Maison-Blanche et ses décisions commerciales radicales. Cette émission spéciale d'Éco d'ici, éco d'ailleurs revisite, avec les experts qui sont intervenus à notre micro, les moments clés d'une année économique tumultueuse, entre guerres commerciales, crises géopolitiques, révolution de l'intelligence artificielle et urgence climatique.
« La nouvelle loi algérienne qui criminalise la colonisation française a plus une portée symbolique qu'un impact juridique ou financier », affirme l'historien français Benjamin Stora. Ce mercredi, à Alger, les députés algériens ont voté à l'unanimité une loi réclamant « des excuses officielles » de la part de la France. Ils ont même précisé que ces excuses étaient le préalable à toute réconciliation mémorielle. Benjamin Stora, qui co-préside une commission mixte d'historiens français et algériens, et qui vient de publier avec Thomas Snégaroff France / Algérie - Anatomie d'une déchirure aux éditions Les Arènes, répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Sur le plan politique, l'Algérie demande aujourd'hui à la France des excuses officielles. Est-ce que vous voyez Emmanuel Macron présenter des excuses ? Benjamin Stora : Maintenant non. La question des excuses devait être l'aboutissement d'un travail mémoriel qui a commencé, fondamentalement, depuis quelques années, notamment à partir de mon rapport de 2021. Il s'agissait de la mise en œuvre d'un chantier mémoriel qui visait précisément, pourquoi pas, à aboutir à des excuses. Mais ce chantier mémoriel s'est brusquement interrompu depuis maintenant presque deux ans. Donc la question des excuses devait être un aboutissement à, disons, une connaissance beaucoup plus grande de ce qui s'était passé dans toute cette histoire qui a duré 132 ans. Or, aujourd'hui, je vois mal la question des excuses se poser à nouveau du côté français. Notamment avec la montée de l'extrême droite française. Non ? Tout à fait. C'est-à-dire que l'extrême droite ne reconnaît absolument pas les exactions commises, les massacres, etc. Fondamentalement par anti-gaullisme, d'ailleurs. Il y a dans cette montée en puissance de l'extrême droite française la volonté de désigner l'Algérie comme un pays avec lequel on ne peut décidément pas s'entendre. Sur le plan juridique, la nouvelle loi algérienne affirme que les crimes de la colonisation sont imprescriptibles. Est-ce que ce n'est pas contradictoire avec les accords d'Évian de 1962 ? Oui, il y a effectivement un problème. Ces accords ont été signés par les deux parties. La partie française, bien sûr, mais aussi par la partie algérienne. Les accords d'Évian stipulaient de manière très claire qu'aucune poursuite pénale ne devait être engagée contre les exactions commises pendant la guerre d'Algérie. Alors maintenant, bien entendu, le texte adopté par les Algériens est bien plus une volonté de démonstration symbolique et politique plutôt qu'une concrétisation sur le plan juridique. Le texte voté mercredi 24 décembre ? Bien sûr. Le texte qui a été voté est, pour moi, une mise en œuvre d'un rapport de force symbolique, plutôt qu'une stricte application sur le plan juridique. Alors, vous dites que ce nouveau texte est en grande partie symbolique, mais sur le plan financier, les députés algériens demandent « une indemnisation complète et équitable » pour tous les dommages commis par la France. Est-ce qu'un tribunal international pourrait se déclarer compétent ? Pas à ma connaissance. Il s'agit là d'une revendication qui n'avait jamais été exprimée auparavant par les Algériens. La question de la réparation financière, c'est une nouveauté qui est apparue dans ce texte. C'est effectivement une revendication, une demande, dont on se demande quel peut être le « chiffrage » entre guillemets. Encore une fois, je pense qu'il s'agit essentiellement d'une mesure à caractère politique et symbolique. Sur le plan militaire, l'Algérie demande les cartes précises des essais nucléaires réalisés par la France au Sahara dans les années 60, afin de pouvoir décontaminer ces territoires. Est-ce que la France peut faire un geste dans ce sens ? Des experts français, qui travaillent sur la question des essais nucléaires, ont demandé plusieurs fois à se rendre sur place. Ils demandent qu'une commission internationale puisse vérifier, et se rendre compte sur place, des effets néfastes de ces essais nucléaires sur les populations civiles. Or, à ma connaissance, pour l'instant, il n'y a pas eu de délégation d'experts internationaux qui ont pu se rendre dans le désert saharien pour voir les effets des contamination sur les populations civiles. Dans la nouvelle loi algérienne, il est dit que le préalable à toute réconciliation mémorielle sont des excuses officielles de la France. Peut-on dire que, si la France ne s'excuse pas, la commission mixte franco-algérienne que vous présidez avec votre homologue algérien, Mohamed Lahcen Zeghidi, va disparaître ? Je ne sais pas. Je ne sais pas quel sera l'avenir de cette commission. Ce que je peux dire, c'est que la collaboration réelle et le partage du savoir et des connaissances ne pourront pas s'interrompre. Et c'est pour moi quelque chose d'essentiel, parce que les jeunes générations d'aujourd'hui, en France et en Algérie, ont une soif de connaissance et de savoir très grande sur cette histoire. Donc la mise en partage, la mise en circulation des savoirs et des connaissances ne pourra pas s'interrompre. Enfin, c'est tout du mins ce que j'espère pour l'avenir : que les choses pourront se poursuivre à ce niveau-là. Quelle est la dernière fois que vous avez vu votre homologue Mohamed Lahcen Zeghidi ? Quelle est la dernière fois que votre commission mixte s'est réunie ? Elle s'est réunie la dernière fois en mai 2024. Deux mois avant la reconnaissance de la marocanité du Sahara par la France ? Tout à fait. À lire aussiBenjamin Stora: «Il faut commencer à procéder à des restitutions des archives algériennes»
À Paris, les appartements de Jacques Prévert et de Boris Vian sont sauvés. Les deux logements, laissés à l'identique depuis cinquante ans, risquaient de disparaître, menacés par un projet d'expansion du Moulin Rouge, le propriétaire des lieux. Un accord a finalement été trouvé. Depuis des mois, la petite-fille de Jacques Prévert, Eugénie Bachelot-Prévert, se battait pour sauver ce patrimoine historique. Combien de touristes passent à côté de ce petit bijou sans même le savoir ? Pour accéder aux appartements de Jacques Prévert et de Boris Vian, dans le quartier Pigalle (XVIIIe arrondissement), il faut emprunter une petite ruelle adossée au Moulin Rouge. Tout au fond se trouve une petite bâtisse. Là, derrière une lourde porte du deuxième étage, se cache l'appartement dans lequel Jacques Prévert a vécu de 1954 à 1975, juste avant sa mort en 1977. De la table de travail du poète au fauteuil consacré à sa sieste – et qui porte encore la trace de sa sueur –, tout a été conservé à l'identique. Un petit miracle que l'on doit à Eugénie Bachelot-Prévert, la petite-fille et unique ayant droit de l'auteur. Un véritable inventaire à la Prévert Ici, un pape lumineux ; là, une carte postale qui fait du bruit lorsque l'on appuie dessus. « Il y a tout l'univers de Jacques Prévert dans son bureau, comme un cabinet de curiosités », raconte Eugénie Bachelot-Prévert. Un monde fantasque, aux accents malicieux, et surtout plein d'humour. « Les surréalistes adorent les farces et attrapes, il y en a plein ici », explique encore celle qui est aujourd'hui artiste. Mais l'appartement et ses 100 m² sont aussi une véritable capsule temporelle. Il y a d'abord les murs eux-mêmes : l'endroit a été aménagé par Jacques Couëlle, architecte-sculpteur emblématique du milieu du siècle dernier. C'est lui qui a pensé ces murs blanchis à la chaux, grêlés de dizaines de petites niches de rangement, dans une ambiance méditerranéenne. Et puis il y a ces objets, qui témoignent de l'actualité d'une époque : une lampe de mineur, offerte par les grévistes de 1963 – Jacques Prévert avait publiquement soutenu le mouvement – ; des portraits disséminés de Brigitte Bardot, que le poète admirait ; un vieux téléphone à cadran ; et même le lit d'Esmeralda, interprétée par Gina Lollobrigida dans le film Notre-Dame de Paris sorti en 1956. Des souvenirs dans un écrin, un temps menacés Le matériel, c'est une chose ; le vivant en est une autre. De la vie, cet appartement en a connu : « Jean Gabin est venu ici fumer des cigarettes avec mon grand-père ; Arletty y a lu un texte... Sur cette table [dans la pièce à vivre], Serge Gainsbourg est venu, solennellement et timidement, demander l'autorisation à Jacques Prévert d'utiliser son nom pour sa chanson, la chanson de Prévert. Il l'a chantée à mon grand-père qui a dit : "C'est très bien, mon p'tit gars", puis ils ont ouvert une bouteille de champagne à 10 heures. » Une foule de souvenirs qui ont failli disparaître lorsque le Moulin Rouge, propriétaire des lieux, a refusé de renouveler le bail, sans concertation préalable. Il s'agissait, pour le célèbre cabaret, de mener d'importants travaux afin de réhabiliter la salle historique dans laquelle se produisait la chanteuse Mistinguett. « L'appartement de Jacques Prévert représente 0,67 % de la superficie totale du Moulin Rouge, c'est une goutte d'eau. Il n'y a pas un patrimoine qui doit en écrabouiller un autre », se désolait à l'époque Eugénie Bachelot-Prévert. Courriers adressés au ministère de la Culture, pétition en ligne, demandes de conciliation. Rien ne semblait y faire, jusqu'à un rendez-vous fin décembre au cours duquel un accord de principe, formulé oralement, a été trouvé. « Cela nous a donné l'occasion de discuter, ce qui aurait dû être fait dès le début, relate l'unique ayant-droit de Jacques Prévert. En fait, on a eu l'impression d'un grand malentendu. » Les termes de l'accord restent encore à définir mais l'appartement de Jacques Prévert et celui de son voisin, Boris Vian, pourraient être transformés en musée. « Tout est à inventer, pointe Eugénie Bachelot-Prévert. Mais j'ai confiance, cela va être fait en bonne intelligence. » En attendant, pour éviter toute frayeur à l'avenir, elle a pris une décision : les démarches pour que l'appartement soit classé aux monuments historiques ont été lancées. À écouter aussiNotre-Dame de Paris, le miracle touristique
L'année 2025 restera comme une année charnière pour l'économie mondiale, marquée par le retour tonitruant de Donald Trump à la Maison-Blanche et ses décisions commerciales radicales. Cette émission spéciale d'Éco d'ici, éco d'ailleurs revisite, avec les experts qui sont intervenus à notre micro, les moments clés d'une année économique tumultueuse, entre guerres commerciales, crises géopolitiques, révolution de l'intelligence artificielle et urgence climatique.
Rares sont les couples qui traversent autant d'époques côte à côte. Philip Mountbatten et Elisabeth II ont été mariés pendant 73 ans. Une union qui ne pouvait être interrompue que par le décès d'un des deux, tant ils ont été un couple solide tout au long de leur histoire. Cette histoire met à l'honneur un homme qui a su se mettre en retrait pour laisser sa femme régner. Et c'est assez rare pour être souligné. Un podcast Bababam Originals Ecriture et voix : Alice Deroide Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Au Cameroun, l'archevêque de Douala saisit l'occasion de la fête de Noël pour appeler le pouvoir à libérer les centaines de personnes arrêtées après la présidentielle du 12 octobre. Et, pour joindre le geste à la parole, Monseigneur Samuel Kleda est allé, mercredi 24 décembre, célébrer une première messe de Noël à la prison de New Bell, à Douala. La mort en détention de l'opposant Anicet Ekane, la réélection de Paul Biya pour un huitième mandat… L'archevêque catholique de Douala s'exprime sans détours sur tous les récents événements au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : Quel est votre message en ce jour de Noël ? Monseigneur Samuel Kleda : Le message est très simple parce que nous célébrons la fête de Noël, la naissance du Fils de Dieu parmi les hommes. Dieu nous aime et il a choisi de nous envoyer son Fils qui s'est fait l'un d'entre nous. Ça veut dire que Dieu nous rencontre par son Fils, et le Fils de Dieu vient nous donner la paix et surtout dans ce monde. En ce moment, beaucoup de pays, beaucoup de peuples sont en crise. Et alors maintenant, nous avons à redécouvrir que tous, nous pouvons nous accepter les uns les autres et vivre ensemble en paix. Alors vous appelez à la paix, mais le sang a coulé au Cameroun lors des violents affrontements entre forces de l'ordre et manifestants après la présidentielle du 12 octobre. Quelle est votre réaction ? Ma réaction, c'est d'abord de condamner cela. Lorsque nous organisons des élections, c'est pour mieux construire notre pays. Lorsque cela se transforme en une crise, je condamne totalement cela. Et aussi, on a l'impression que chaque fois qu'il y a une élection présidentielle au Cameroun, il y a toujours la violence. Maintenant, j'invite tous les Camerounais à profiter de la fête de Noël pour créer vraiment un monde de paix, une société où nous pouvons vivre en paix les uns avec les autres. À l'issue de la répression des manifestations, il y a eu de nombreux morts, mais aussi beaucoup d'arrestations. Selon les autorités, 963 personnes sont toujours en prison. Que souhaitez-vous à leur sujet ? Tout simplement que ces gens-là soient libérés pour amener les gens à une sorte de paix. Parce que les gens sont inquiets. Mais tant de personnes arrêtées, ce n'est pas normal. Étant donné que le Christ est né pour tous les hommes, pour chaque homme. Voilà pourquoi hier, je suis allé célébrer la messe avec les prisonniers, leur dire que le Christ est né pour eux aussi, que le Christ vient les rencontrer dans leurs conditions de vie. Dans quelle prison de Douala êtes-vous allé hier ? La plus grande prison, New Bell, à Douala. Où vous avez célébré la messe avec les prisonniers ? Oui, j'ai vraiment prié avec eux pour leur apporter ce message d'espérance. Parce que c'est à Douala qu'il y a eu le plus d'arrestations, qu'il y a eu aussi beaucoup plus de morts. À Douala, et j'avais même fait une déclaration à ce sujet, invitant déjà les gens au calme, et ce calme demande que tous ceux qui sont arrêtés, qu'ils soient libérés. Alors parmi les personnes arrêtées après la présidentielle du 12 octobre, il y avait l'opposant Anicet Ekane. Le 1er décembre, il est mort dans sa cellule de Yaoundé. Comment avez-vous réagi quand vous avez appris la nouvelle ? Moi, j'ai prié. Vraiment, j'ai beaucoup prié pour lui. Mais il n'est pas le seul, ses compagnons sont même encore en prison. Mais quelqu'un comme Ekane, mais il est malade. On le sait, mais on devrait mettre en place un système de traitement pour ne pas qu'il meure en prison. Mais je crois que lui, il était en danger de mort, puisqu'il vivait avec un appareil pour la respiration. On devait faire attention en l'interpellant, mais malheureusement ça n'a pas été fait. Voilà le résultat. Monseigneur Samuel Kléda, dans votre message de Noël de l'an dernier, vous aviez dit qu'une nouvelle candidature de Paul Biya n'était pas réaliste et que vous souhaitiez pour votre pays une transition pacifique. Alors, au lendemain de la réélection officielle de Paul Biya pour un huitième mandat, quel est votre sentiment ? Vraiment, je dirais, je suis triste. Je suis triste parce que, selon moi, quand on est une autorité, ça veut dire qu'on doit être capable de gouverner. Mais nous le savons, sur le plan humain, une personne âgée de 92 ans ne peut plus travailler nuit et jour pour gouverner. Mais ça, ça ne dépend pas de nous, c'est notre condition humaine. Justement, voilà pourquoi je dis qu'on devait être réaliste, dire que non, ce n'est pas ça. Essayons de choisir une autre personne qui puisse gouverner le pays. Mais malheureusement, nous sommes là à ce niveau. À lire aussiUne nouvelle candidature du président Biya en 2025 «n'est pas réaliste» selon l'archevêque de Douala
Merci à Gilbert Montagné d'être venu sur Legend.Du jour où il a piloté un avion à celui où il a frôlé la mort, Gilbert nous a tout raconté. Sa carrière, son handicap, ses plus grands exploits… Il a partagé avec nous ses plus belles anecdotes de vie.Retrouvez toutes les informations concernant notre invité par ici ⬇️Son nouveau titre ➡️ https://gilbertmontagne.lnk.to/Casertaca_streamingIDSon livre ➡️ « J'ai toujours su que c'était toi » https://amzn.to/48L635cL'application Be me eyes ➡️ https://www.bemyeyes.com/fr/Retrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/6D_H53ZZI1g Pour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tu rêves de créer un produit qui tourne sans toi mais tu ne sais pas par où commencer ?Dans cet épisode, je te dévoile sans filtre comment j'ai construit une communauté payante qui me rapporte plus de 300K€ par an, sans pub et pour seulement 15 minutes d'animation par jour.Au programme de cet épisode :
Aujourd'hui, Bruno Poncet, cheminot, Antoine Diers, consultant, et Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
« Donald Trump déploie des avions de surveillance au-dessus du Nigeria, prélude à une intervention militaire des États-Unis ? » titre Afrik.com. À l'origine de cette question : des données de suivi de vol, révélées par Reuters, en début de semaine. « Depuis fin novembre, un appareil (...) du Pentagone survole quotidiennement l'espace aérien nigérian. » De quoi alimenter « les spéculations sur les intentions réelles de l'administration Trump ». Tout ça, dans un contexte diplomatique en dents de scie, car les tensions étaient, il y a peu, encore palpables : le « 1ᵉʳ novembre [dernier], Donald Trump a menacé le Nigeria d'une intervention militaire » et accusé « le gouvernement de tolérer le massacre de chrétiens », rappelle Afrik.com. « [Donald Trump] a promis de pulvériser les terroristes islamistes ». Son ministre de la Défense a confirmé que le Pentagone « se prépare à passer à l'action ». Ces déclarations ont été vivement critiquées à Abuja, où les autorités rejettent l'idée d'un « génocide chrétien ». Fin de la brouille diplomatique Et il y a quelques jours, une conférence de presse a eu lieu à Abuja, à l'occasion de la visite d'une délégation américaine. La brouille diplomatique entre les États-Unis et le Nigeria semble passée, si l'on en croit les déclarations du ministre nigérian de l'Information, qui évoque « un engagement ferme et respectueux » des deux parties. Ces collectes de renseignements, au-dessus du Nigeria, ce serait donc le « signe d'une coopération sécuritaire accrue », commente pour sa part le journal nigérian The Guardian. D'après un analyste interrogé par Afrik.com, cette activité aérienne démontre aussi la volonté de Washington de reconstituer son réseau de renseignement, dans la région sahélienne. « Après la fermeture forcée de la base américaine d'Agadez au Niger et la montée en influence de la Russie, les États-Unis cherchent manifestement à maintenir une présence stratégique en Afrique de l'Ouest, via le Ghana et, de fait, au-dessus du Nigeria », peut-on lire. À lire aussiNigeria: la brouille entre Washington et Abuja «largement résolue», annonce le gouvernement Problème de sécurité au Nigéria « Ces opérations de surveillance interviennent également plusieurs mois après l'enlèvement, au Niger voisin, d'un pilote américain travaillant pour une organisation missionnaire », rappelle aussi The Guardian. Le scénario d'une intervention américaine est-il plausible ? C'est la question que se pose Afrik.com. Et le mot clé à retenir, c'est « prudence » : « Le Nigeria reste un allié stratégique de Washington et un acteur clé de la lutte régionale contre le terrorisme. Le président nigérian a rappelé que "la violence touch(ait) toutes les communautés" et rejeté toute accusation de persécution religieuse. » Par ailleurs, le Nigeria traverse aussi une période de forte instabilité. Le président a proclamé l'état d'urgence sécuritaire en novembre, « après une succession d'attaques meurtrières et l'enlèvement de plus de 300 écoliers, dans le nord du pays. » À ce sujet, et dans ses colonnes Edito, le journal burkinabé Le Pays commente : « Si l'on en croit les autorités nigérianes, aucun élève enlevé ne se trouve encore entre les mains des groupes armés. Tous, disent-elles, ont été libérés. » Mais, il y a encore des questions sans réponse pour l'instant : dans quelles conditions ont-ils été libérés ? Y a-t-il eu paiement de rançons ? « Car, il faut le dire, le paiement de rançons ne fait que renforcer la capacité de nuisance des groupes criminels. Franchement, le Nigeria, c'est peu de le dire, a mal à sa sécurité intérieure », écrit Le Pays. Au Bénin, pays voisin du Nigeria, Patrice Talon a « fait son au revoir au Parlement » « Une intervention à forte portée institutionnelle, marquée à la fois par la mise en perspective de dix années de réformes et par un ton d'adieu assumé », selon La Nouvelle Tribune. Le journal béninois La Nation revient aussi sur ce dernier discours sur l'état de la nation, aux allures de bilan mais dont le cœur a été consacré à la tentative de coup d'État manquée du 7 décembre, « date désormais inscrite dans l'histoire politique récente du pays ». Le président a mentionné « des assaillants qu'il a décrits comme des "marginaux insensés", manipulés par des intérêts internes et externes en quête de privilèges perdus », peut-on lire. Pour le journal La Nation, ces mots veulent ainsi « souligner la gravité de l'acte, mais surtout la solidité du rempart républicain que constituent les forces armées et de sécurité ». Alors que de futures élections approchent, le président a également dit croire en une transition apaisée, marquée par le renouvellement des institutions et la continuité de l'État. À lire aussiBénin: le président Patrice Talon défend son bilan dans un ultime discours sur l'état de la nation
En Centrafrique, la fête de Noël se vit chaque année avec ferveur, partage et espoir. Cette année encore, un phénomène retient particulièrement l'attention : celui des cadeaux venus de l'étranger. À l'approche de Noël, les envois de colis et les transferts d'argent de la diaspora se multiplient. Pour de nombreuses familles centrafricaines ayant des proches hors du pays, ces gestes deviennent essentiels. Au-delà de l'aide matérielle, c'est un lien affectif fort qui traverse les frontières, ravive les souvenirs et réchauffe les cœurs. Sous la véranda, la radio grésille, diffusant un chant de Noël. Debout, l'air souriant, Nickson Bandoma arrange le circuit électrique de son sapin tout neuf. Dans cette famille, chaque fin d'année a un parfum particulier : celui de l'espoir contenu dans un carton venu de loin. Nickson sait de quoi il est question : « Chaque année, ma sœur qui vit avec son mari à l'étranger nous envoie des cadeaux pour célébrer Noël. Dès qu'elle nous a annoncé qu'un colis était en route, tout le monde était impatient. Chaque jour, les enfants demandaient si le paquet de jouets était arrivé. » Entrepreneure, la sœur de Nickson Bandoma s'est installée en France il y a huit ans. Elle a économisé toute l'année afin que sa famille ne manque de rien en décembre. « La fête de Noël est très importante pour nous les chrétiens. Maintenant que le colis qu'elle a envoyé est enfin là, nous sommes heureux. À l'intérieur, il y avait des cadeaux choisis avec soin, dont des véhicules, des motos et des vélos. Mais surtout un message d'amour qui nous a beaucoup touchés comme cadeau », témoigne aussi Nickson Bandoma. « En ouvrant les colis envoyés de si loin, j'ai retrouvé le goût de la vie » Chez Gladys Yalimendé, le jour tant attendu arrive sans prévenir. Un coup de klaxon devant la maison. Les enfants se précipitent. Le carton est là, scellé de ruban. Aujourd'hui, grâce à son fils installé au Canada, la fête prend une autre dimension chez elle en Centrafrique. « En tant que personne âgée, je n'ai plus de force pour travailler et offrir des cadeaux. Heureusement, mon fils vit à l'étranger et même si son absence se fait toujours sentir à cette période, il trouve chaque fois une façon de me rappeler que je suis dans ses pensées. En ouvrant les colis qu'il m'a envoyés de si loin, j'ai retrouvé le goût de la vie », confie-t-elle. Sa fille Pascale se souvient des Noëls sans cadeaux et sans repas. « Tout petit, ma mère nous disait que le Père Noël passerait plus tard pour nous offrir des cadeaux. Mais il n'est jamais passé. Nous avons grandi avec le sentiment d'être en dehors du monde. De savoir que, partout ailleurs, des gens riaient, ouvraient des paquets, partageaient un repas chaud. Aujourd'hui, en recevant ces cadeaux et un repas chaud, je pense à ceux qui n'ont rien », explique-t-elle. À Bangui, quand la nuit de Noël s'illumine de chants et de rires, beaucoup savent que, quelque part ailleurs, un proche a travaillé dur pour rendre ce moment unique. À lire aussiEn Centrafrique, la préparation des fêtes se déroule en période électorale [3/5]
Un viager, des soupçons d'empoisonnement… Les ingrédients parfaits pour une incroyable affaire, riche en rebondissements… Tout commence le 7 avril 2015, quand Suzanne Bailly, 85 ans, est prise d'un malaise dans son appartement du Cannet. Arrivée à l'hôpital, c'est la surprise : Ses analyses révèlent qu'elle a avalé du poison ! Après les premières investigations, les enquêteurs sont convaincus qu'il ne s'agit pas d'un accident. Mais alors, qui pouvait en vouloir à cette adorable vieille dame ? Les voisines de la résidence, qui pourraient jalouser sa retraite aisée ? Son homme à tout faire, pourtant si serviable ? Ou bien cet agent immobilier au passé trouble ? La réponse dans ce nouveau podcast de Chroniques Criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Restaurer quelqu'un, c'est choisir d'aimer malgré les murmures et d'ignorer les jugements. Lorsque l'on pèche, on pèche contre Dieu qui nous a établi. L'amour n'est pas une faiblesse, mais une noblesse.Tout le monde n'est pas capable de le donner, car aimer comme Christ demande du courage et de l'humilité.Un vrai père ne regarde pas à la faute, mais à la restauration. Entrer dans la mission de Dieu, c'est apprendre à aimer comme Christ a aimé. Il se leva et alla vers son père. Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion ; il courut se jeter à son cou et le baisa. Luc 15:20Soutenez-nous sur PayPal !
Aider son enfant à traverser ses émotions, ses peurs et ses difficultés sans les contrôler ni s'oublier soi-même est l'un des plus grands défis de la parentalité. Dans cet épisode Best of du podcast Sensées, Jenny Chammas, mastercoach certifiée et fondatrice de Coachappy, partage comment aider son enfant en utilisant concrètement les outils du coaching à la maison, avec plus d'écoute, de sérénité et de bienveillance.Être parent, c'est composer chaque jour avec des émotions intenses : colère, anxiété, peur de l'échec, frustration, découragement. Lorsque l'on cherche à aider son enfant, on se sent parfois démunie face à ce qu'il traverse, sans savoir quoi dire ni quoi faire. Cet épisode propose une approche réaliste et incarnée, issue du coaching, pour accompagner les enfants dans leur quotidien émotionnel tout en respectant leur rythme et leurs besoins.Jenny précise qu'il ne s'agit ni de recettes magiques ni de parentalité parfaite. Aider son enfant avec les outils du coaching, c'est avant tout adopter une posture : observer, écouter, poser des questions, accueillir les émotions sans les nier ni les dramatiser. C'est aussi accepter que cela ne fonctionne pas à tous les coups, et que vous êtes, vous aussi, humaine.Ce que vous saurez faire après écoute :– Aider son enfant à accueillir ses émotions intenses sans chercher à les faire disparaître.– Repérer les signaux faibles qui indiquent qu'un enfant traverse une difficulté.– Poser les bonnes questions pour l'aider à formuler son problème.– Transmettre des valeurs comme l'effort, la persévérance et la confiance sans pression.– Lui apprendre ce qui est sous son contrôle et ce qui ne l'est pas.À travers des exemples très concrets de son quotidien de mère, Jenny montre comment aider son enfant à mieux vivre avec ses émotions, à développer sa confiance en lui et à comprendre son fonctionnement interne. Elle rappelle aussi un point fondamental : pour accompagner ses enfants, il est essentiel de se faire accompagner soi-même, car accueillir les émotions de l'autre demande d'abord de savoir accueillir les siennes.Un épisode précieux pour toutes les mères qui souhaitent aider leur enfant avec plus de clarté, de calme et de justesse, tout en préservant leur propre équilibre émotionnel.
✨ Suis-moi sur Instagram : instagram.com/laurita.socaliente/ Les maux du quotidien, les émotions qui nous submergent, comment y faire face ? Comment naviguer ? Quelques réflexions sur nos maux : - Quand un déclencheur de trauma arrive, on agit comme si on avait l'âge qu'on avait lors du traumatisme. - La passion, c'est accepter de souffrir pour... - Quelle bénédiction d'être fatigué(e) - On contrôle ses réactions aux émotions incontrôlées - Transmuter cette peine. - Faire ce qui est le meilleur pour soi n'est pas toujours une sensation agréable ! - La frustration est une preuve d'amour - Un oeuf cassé ne peut pas être réparé... - Votre moral ne veut rien dire dans le confort ! - Un feu ne s'arrête pas de brûler parce qu'il est fatigué. - Rester en colère, c'est boire du poison et espérer que l'autre meurt. - Quand on crie sur quelqu'un, nos âmes sont loin - L'anxiété et l'excitation partagent les mêmes signaux - Tout puise sa source dans l'enfance, does it ? Et bien d'autres réflexions. A tout de suite ;)
REDIFF - Dans le petit village languedocien d'Artigat, Martin Guerre disparait un jour sans laisser de traces. Silence radio pendant huit ans... jusqu'à ce qu'un homme prétendant être Martin Guerre revienne. Tout le village le reconnaît : ses voisins, ses amis et surtout sa femme, Bertrande. Mais est-ce vraiment lui ? Un procès hors du commun révèlera la vérité. Découvrez l'histoire incroyable de Martin Guerre... et celle du plus grand imposteur du XVIe siècle. Crédits : Lorànt Deutsch, Ayrton Morice Kerneven. Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, l'inimitable Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« La politique russe de recrutement de combattants et d'ouvrières en Afrique subsaharienne », c'est le sujet de la note publiée jeudi dernier par Thierry Vircoulon, chercheur associé à l'Institut français des relations internationales. Le premier Africain tué sur le front russo-ukrainien, en 2022, était un étudiant zambien intégré au groupe Wagner. Depuis, plusieurs milliers d'Africains, des hommes mais aussi des femmes, ont été recrutés par Moscou. Au moment de partir, la plupart pensent aller travailler dans le domaine civil et ignorent complètement ce qui les attend. Comment ces recrutements se déroulent-ils ? Quel sort est réservé à ces recrues africaines ? Et, comment réagissent les gouvernements africains concernés ? Thierry Vircoulon est le grand invité Afrique de ce jour. RFI : Pour commencer, disposez-vous d'un chiffre sur le nombre de ces hommes et femmes d'Afrique subsaharienne recrutés par la Russie pour soutenir la guerre contre l'Ukraine ? Thierry Vircoulon : Les autorités ukrainiennes estiment qu'il y a probablement entre 18 000 et 20 000 combattants étrangers dans les rangs de l'armée russe. Sur ce nombre, il y aurait 3 000 ou 4 000 Africains. On a trouvé beaucoup de nationalités différentes, de Sierra-Léonais, de Centrafricains, de Camerounais, d'Africains du Sud, de Kényans, de Sénégalais, donc un peu tous les pays africains. Ce recrutement s'adresse, écrivez-vous, à une jeunesse urbaine pauvre avec des motivations strictement économiques, qui envisagerait la guerre en Ukraine comme une solution plus accessible que l'émigration clandestine en Europe… Ce n'est pas qu'elle envisage la guerre en Ukraine comme une immigration plus facile, c'est qu'elle émigre pour ses motifs habituels, c'est-à-dire chercher de nouvelles opportunités de travail mieux rémunérées. Et, elle se retrouve prise au piège de ce conflit. Beaucoup sont recrutés de manière trompeuse. Ils sont abusés et se retrouvent enrôlés à leur arrivée en Russie, piégés dans cette armée russe. Est-ce qu'il y a aussi une motivation idéologique chez ces jeunes recrues africaines ? La Russie a le vent en poupe dans certains pays. Pour une petite minorité, oui, il y a une adhésion au discours géopolitique russe, mais c'est vraiment pour une toute petite minorité. La majorité sont des gens qui ne pensaient pas combattre dans cette guerre. Vous parlez d'offres d'emploi ou de formation « mensongères ». De quel type ? Très souvent, ils répondent à des propositions d'emploi dans le secteur civil ou parfois dans le secteur militaire, mais dans des domaines logistiques, ou [pour être, ndlr] cuisiniers, etc. Or une fois qu'ils arrivent en Russie, ils sont rapidement enrôlés de force, formés de manière tout à fait expéditive et ils sont ensuite envoyés en première ligne, dans des unités qui sont les plus exposées sur le front. Bref, ils sont à la fois dans les zones les plus risquées et ce ne sont pas de vrais combattants. À lire aussi«Les maisons russes en Afrique servent de centres de recrutement industriel et militaire» Est-ce qu'on a une idée du nombre d'Africains tués sur le front russe ou ukrainien ? Non, c'est très difficile d'avoir le nombre des morts. Il est extrêmement rare que les autorités russes informent les familles de ceux qui sont morts au combat. C'est donc très compliqué d'avoir des chiffres. On apprend dans votre étude que le recrutement russe cible aussi les femmes africaines, qui deviennent des ouvrières pour l'industrie d'armement. Cette fois de manière officielle, mais tout aussi trompeuse… Tout à fait. Et, là, c'est pour la zone économique spéciale d'Alabouga, au Tatarstan. Là-bas, il y a une usine de montage de drones pour laquelle les autorités [russes, ndlr] recrutent un peu partout dans le monde et recrutent uniquement des jeunes femmes. On a décompté à peu près une trentaine de nationalités africaines dans cette usine. Là, c'est en effet un recrutement tout à fait ouvert qu'on trouve sur les réseaux sociaux en Afrique, qu'on a même trouvé sur des sites de ministères de l'Éducation en Afrique, qu'on retrouve aussi sur les sites des ambassades russes en Afrique et qui est présenté comme une coopération pour la formation professionnelle de ces jeunes femmes. Sans préciser que, évidemment, il s'agit de monter des drones. Est-ce que les gouvernements africains des pays concernés, qui sont au courant, qui ont reçu des témoignages, des plaintes, réagissent ? Jusqu'à cet automne, ils n'avaient pas réagi. Mais là, il y a eu un certain nombre de scandales qui les ont forcés à réagir, notamment au Kenya, en Afrique du Sud et plus récemment au Botswana. Les autorités de ces trois pays ont dû reconnaître qu'ils avaient des citoyens qui combattaient dans cette guerre parce qu'ils ont maintenant un certain nombre de ces citoyens qui ont appelé à l'aide leurs familles parce qu'ils veulent s'enfuir et rentrer chez eux. Ils ont donc appelé leur famille qui a contacté les médias de ces pays et ça s'est transformé en scandale. Maintenant, ces trois gouvernements enquêtent sur ces filières de recrutement et ont demandé à Moscou le rapatriement de leurs concitoyens. À lire aussiAu Kenya, des diplomates s'inquiètent de recrutements forcés pour l'armée russe On a longuement parlé du recrutement russe en Afrique, objet de votre étude. Du côté ukrainien, est-ce qu'il y a des pratiques similaires ? Non, il y a des recrutements d'étrangers, mais qui viennent pour combattre effectivement. Il n'y a donc pas de recrutement avec de fausses propositions d'emploi. Les étrangers qui viennent combattre dans ce qu'on appelle la Légion internationale pour la défense de l'Ukraine le font volontairement et en toute connaissance de cause. ►Pour en savoir plus
Dans cet épisode, je t'explique pourquoi tes rechutes ne sont pas des échecs.Parce que guérir n'est pas linéaire, et parce que traverser un moment plus difficile ne retire rien à tout ce que tu as déjà construit. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
De la solitude sauvage des forêts canadiennes aux dérives théocratiques de La Servante écarlate, Margaret Atwood s'est imposée comme la vigile de nos libertés. Enracinée dans une enfance hors du monde, cette figure de proue du féminisme n'invente rien : elle assemble les débris de l'Histoire pour anticiper le réel et nous offre une boussole pour identifier, avant qu'il ne soit trop tard, les premiers craquements de nos démocraties.Juliette Livartowski raconte.Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Paul Bertiaux. Production et édition : Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour prendre vos billets pour le LEGEND TOUR c'est par ici ➡️ https://www.legend-tour.fr/ Merci à Laurette et Adrien d'être passés nous voir dans le studio de LEGEND ! Laurette et Adrien forment un couple traditionnel (trad wife et trad dad), vivant comme les couples d'antan. Elle s'occupe des enfants en leur faisant l'école à la maison, elle fait sa propre nourriture. De son côté, Adrien travaille la journée et le reste du temps, il s'occupe des extérieurs (couper du bois…).Retrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/Rl5whGOyF14 Retrouvez Laurette sur instagram ➡️ https://www.instagram.com/laurettedessources_tradwife?igsh=MWZqaGp0NGJtdWpkOQ== Retrouvez la boutique LEGEND ➡️ https://shop.legend-group.fr/ Pour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.com Retrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND ! Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafr Instagram : https://www.instagram.com/legendmedia/ TikTok : https://www.tiktok.com/@legend Twitter : https://twitter.com/legendmediafr Snapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Twitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est la der des ders — en tout cas pour la quotidienne du Nova Club.Mais pas de panique : le Nova Club revient dès février avec un tout nouveau format, le dimanche soir.Pour cette ultime soirée, les équipes de Radio Nova et toutes celles et ceux qui ont fait vivre l'émission au fil des années se sont réunis pour célébrer cette aventure en musique. Une grande fête collective, marquée par les DJ sets remarquables de Romain Bno, Legit Girl DJ et DJ Gilb-R. Revivez cette soirée de festivités à travers l'intégralité des sets diffusés à l'antenne — un dernier tour de piste, chargé d'énergie et d'émotion, avant la suite de l'histoire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rediffusion. Que sont devenus Jacques, Pierrette Méchinaud et leur deux fils Eric et Bruno disparus dans la nuit du 24 au 25 décembre 1972 près de Cognac ? Cette question reste depuis cinquante ans sans réponse. L'affaire Méchinaud est un mystère sans corps, sans indice, sans aucune piste. Dans le dernier épisode, Caroline Nogueras reçoit Ismaël Karroum, rédacteur en chef adjoint de la Charente Libre, pour parler de ce cold case à la française. Une disparition mystérieuse le soir de Noël L'histoire débute le 25 décembre 1972, à Boutiers-Saint-Trojan, petite commune à l'ouest de la Charente. Au petit matin, Boutiers se réveille. Tout semble normal. Sauf peut-être la maison des Méchinaud. Ce jour-là, comme les suivants, les volets verts resteront fermés. Désespérément fermés. Jacques, Pierrette Méchinaud et leurs deux fils sont absents. Les voisins pensent qu'ils sont partis en vacances. Et puis, les jours passent... Un podcast Bababam Originals Ecriture : Virginie Guedj Voix : Caroline Nogueras Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, entrepreneur, Joëlle Dago Serry, coach de vie, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Avant de parler de la Coupe d'Afrique des nations, les journaux s'intéressent aussi au renouvellement du mandat de la Monusco. Ce week-end, les Nations unies ont renouvelé, pour un an, le mandat de leur mission en République démocratique du Congo. Et ce alors même que « la mission onusienne avait amorcé un processus de désengagement, notamment au Sud-Kivu, après plus de deux décennies de présence sur le sol congolais », rappelle Le Potentiel en RDC. Mais le contexte sécuritaire aura eu raison de cette volonté : la situation est « particulièrement préoccupant[e] », rappelle actualite.cd, en raison des affrontements dans l'est du pays. « La rébellion de l'AFC/M23, soutenue par le Rwanda, occupe de vastes zones dans les territoires de Rutshuru, Nyiragongo, Masisi, Lubero et Walikale », pointe ainsi le titre. Conclusion : une « aggravation » des crises humanitaire et sécuritaire. Mais après plus de 20 ans de mandats successifs, le média burkinabè Le Pays s'interroge : « Que peut-on encore attendre de cette mission onusienne ? (…) À quoi servira ce renouvellement de mandat ? » Le quotidien est circonspect, même s'il admet que ce n'est pas entièrement la faute de la Monusco. Celle-ci aurait bien besoin, pour agir, « d'un mandat robuste, comme ce fut le cas en 2013 », ce qui lui avait à l'époque permis « de mettre le M23 en déroute », se remémore Le Pays. Tout de même, le journal accorde au moins un mérite à la Monusco : celui de pouvoir être « une force tampon » et d'être « mise à contribution dans le cadre de la sécurisation des populations ». Le Maroc et la CAN en étendard Les journaux marocains ne sont pas peu fiers que leur pays héberge la compétition. Ainsi de L'Opinion, qui s'enorgueillit que « le nom du Maroc [soit] devenu un véritable label d'excellence dans le monde très concurrentiel du football ». Le 360 se gargarise de la même manière de cette « organisation grandiose » et de « la ferveur déjà palpable dans chaque ville, chaque rue, chaque café ». Accueillir la compétition est autant une preuve des mérites du Maroc qu'une occasion d'éblouir encore un peu plus le monde entier, « une opportunité majeure, de doper davantage ce soft power en présentant (…) au monde entier notre meilleur visage », poursuit l'Opinion. H24 Info ne s'y trompe pas non plus : sur le terrain comme ailleurs, le pays « n'a pas le droit à l'erreur » ; le sélectionneur Walid Regragui fait face à « une énorme pression » tandis que le président de la Fédération royale marocaine de football « doit rendre une copie parfaite du point de vue de l'organisation ». Le Royaume a donc mis les petits plats dans les grands. Le Monde Afrique parle même de « moyens hors norme ». Quitte parfois à s'attirer les foudres de la société civile. Car le dispositif impliquant « surveillance avec drones, caméras avec systèmes de reconnaissance faciale, commissariats à l'intérieur des enceintes sportives » est regardé d'un mauvais œil, quelques semaines après le mouvement Gen Z 212 qui a vu des dizaines de milliers de jeunes manifester pour réclamer un meilleur accès aux soins ou au logement. Une vitrine au-delà de la CAN Dans quatre ans, le royaume chérifien remet le couvert avec cette fois la Coupe du monde, co-organisée avec l'Espagne et le Portugal. Ce qui fait du Maroc, rappelle H24 Info, le « deuxième pays africain à accueillir une Coupe du monde, 20 ans après l'Afrique du Sud ». La Coupe d'Afrique des nations a donc des airs de « répétition générale », pour faire du pays « une vitrine internationale », abonde L'Économiste. C'est d'ailleurs pour cela, rappelle Le Monde Afrique, que Rabat a investi l'équivalent de près de deux milliards d'euros dans « ses infrastructures hôtelières, aéroportuaires, routières et sportives » et dans la rénovation de ses stades. Puis il est aussi question, bien sûr, de soft power. Ici, le ballon rond est surtout un prétexte pour « renforcer l'influence économique et diplomatique du royaume sur la scène internationale, et pas seulement en Afrique ». Dans cette perspective, chaque Marocain est rien de moins qu'un « ambassadeur de son pays », estime L'Opinion. Pour reprendre les mots de Walid Regragui : « remporter la CAN n'est pas un choix », c'est « une obligation ».
Anne Ghesquière reçoit Jeanne Siaud Facchin, psychologue, psychothérapeute, auteure et fondatrice des centres de psychologie intégrative Cogito'z. D'où viennent nos blessures les plus profondes ? Pourquoi certaines douleurs se taisent alors que d'autres s'expriment à travers nos émotions, nos pensées ou même notre corps ? Peut-on vraiment échapper aux traces laissées par l'enfance ? Comment reconnaître ces « psycatrices » qui nous habitent, les apprivoiser, les consoler, et enfin les laisser guérir ? Le corps sait-il avant nous ce qui cherche à se dire ? Et comment retrouver l'espérance quand tout semble figé, étouffé ou trop lourd ? Jeanne Siaud-Facchin nous propose un voyage poétique au cœur de nos ressentis et de notre histoire, en faisant un cheminement intime pour une profonde guérison et un retour à la lumière. [SÉLECTION WEEK-END – METAMORPHOSE] Cet épisode a été diffusé, la première fois, le 20 juillet 2023.Quelques citations du podcast avec Jeanne Siaud Facchin :"Le passé nous construit mais nous ne définit pas.""On a tous une soif profonde de cet amour qui nous fait vivre, de sentir qu'on fait partie de cette Vie, de ce grand Tout, de ce grand Lien.""À force de vouloir tout maitriser, tout contrôler, on passe à côté de la vie."Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseThèmes abordés lors du podcast avec Jeanne Siaud Facchin : 00:00Introduction02:00Présentation invité06:05A-t-on tous des psychiatrices ?10:51Se libérer de nos masques15:44Se réconcilier avec notre corps20:58Les 4 piliers CAPE pour guérir23:35Consolation et lien26:30La puissance du toucher30:33"gri-gri" et ancrage33:35Bercement et émotions40:51Le shoot du rire44:46Abandonner la lutte48:44Aller au bout de son chagrin54:15Le réconfort de la nostalgie douce56:09La mécanique du pardon01:00:43Se libérer du lien de souffrance01:05:02Espérance et élan de vieAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.