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Tu as fait un gros chiffre d'affaires cette année en freelance mais tu es complètement épuisé ? Tu fais partie des freelances à cinq chiffres mais tu passes ton temps à répondre aux urgences clients ?Dans cette mini-série très spéciale, je donne la parole aux incubés de l'Incubateur Solopreneur pour qu'ils te racontent leur transformation et les résultats concrets obtenus grâce au programme.Pour cet épisode, je reçois Sébastien Millanvoye, freelance en product marketing et growth qui est en pleine structuration de son écosystème pour passer du rat dans sa roue -> à la roue automatisée. Aujourd'hui, il développe son média en parallèle de son activité freelance.On parle ensemble de son parcours :
durée : 00:02:48 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - C'est une question que je me pose, et c'est une question que tout le monde se pose — ou devrait se poser. Non par inquiétude métaphysique, mais par simple lucidité. - réalisation : Félicie Faugère
C dans l'air du 17 décembre 2025 - L'affaire Epstein continue de secouer les États-Unis. Dix-neuf photos ont été mises en ligne vendredi dernier par des élus démocrates. On y voit, en compagnie du prédateur sexuel, Donald Trump, Bill Clinton, Ghislaine Maxwell (aujourd'hui incarcérée), Bill Gates, Steve Bannon ou encore Andrew Mountbatten-Windsor. Ces nouvelles images, publiées par les législateurs démocrates de la commission de surveillance de la Chambre des représentants, ne sont qu'une petite partie des plus de 95 000 photos qu'ils ont reçues de la succession d'Epstein, qui s'est suicidé dans une cellule d'une prison new-yorkaise en 2019 alors qu'il attendait d'être jugé pour des accusations de trafic sexuel.Elles sont surtout distinctes des dossiers que le ministère de la Justice est désormais contraint de publier. Mais l'impatience grandit alors que l'administration Trump fait face à la date limite du 19 décembre pour produire les dossiers Epstein, mais aussi à de nouvelles révélations explosives.Mardi 16 décembre, le magazine américain Vanity Fair a publié une enquête basée notamment sur une dizaine d'entretiens avec Susie Wiles, la secrétaire générale de la Maison-Blanche. L'ancienne directrice de campagne du milliardaire républicain estime par exemple que l'ex-magnat de l'immobilier, marqué par la mort de son frère alcoolique, « a une personnalité d'alcoolique » — elle-même est fille d'un homme alcoolique. Il « fonctionne avec la conviction que rien ne lui est impossible. Absolument rien ». « Les alcooliques fonctionnels, ou les alcooliques en général, ont une personnalité exacerbée lorsqu'ils boivent », a-t-elle ajouté. La conseillère âgée de 68 ans égratigne aussi le vice-président, estimant qu'il est « adepte des théories complotistes depuis une décennie », ou encore Elon Musk, un temps à la tête du département de l'Efficacité gouvernementale (Doge), qualifié de destructeur…Sous pression, le camp Trump s'exprime et tente de désamorcer. Très discrète habituellement, Susie Wiles a dénoncé un article « malhonnête ». « Elle voulait dire que je… Voyez-vous, je ne bois pas d'alcool. Tout le monde le sait, mais j'ai souvent dit que si je buvais, j'aurais de fortes chances de devenir alcoolique. Je l'ai dit à maintes reprises », a déclaré de son côté Donald Trump. Quelques heures plus tard, le président des États-Unis a annoncé sur son réseau Truth Social que les États-Unis mettaient en place un blocus au Venezuela contre « les pétroliers sous sanctions », une nouvelle escalade dans la crise entre les deux pays. Accusé de faire diversion par ses opposants, le président des États-Unis doit s'exprimer une nouvelle fois ce soir.En face, ses adversaires surenchérissent. Ils affirment avoir d'autres clichés encore plus troublants alors que l'heure de vérité approche. Les autorités ont désormais moins de deux jours pour publier l'intégralité des documents non classifiés liés aux enquêtes portant sur Jeffrey Epstein, sur sa complice Ghislaine Maxwell et sur toute personne en lien avec les faits qui leur sont reprochés. Une affaire qui obsède depuis des années l'opinion publique américaine et a inspiré de multiples théories du complot.Alors que sait-on des liens entre Donald Trump et Jeffrey Epstein ? Cette affaire peut-elle provoquer la chute du président des États-Unis ? Pourquoi le mouvement MAGA se déchire-t-il ?Nos experts :- Laurence HAÏM - Journaliste spécialiste des Etats-Unis, autrice de Ghislaine Maxwell, une femme amoureuse, publié chez Robert Laffont- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste à Ouest-France, autrice du livre Requiem pour le monde libre, publié aux éditions de l'Observatoire- Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- Vincent JOLLY - Grand reporter pour Le Figaro Magazine
C dans l'air du 17 décembre 2025 - L'affaire Epstein continue de secouer les États-Unis. Dix-neuf photos ont été mises en ligne vendredi dernier par des élus démocrates. On y voit, en compagnie du prédateur sexuel, Donald Trump, Bill Clinton, Ghislaine Maxwell (aujourd'hui incarcérée), Bill Gates, Steve Bannon ou encore Andrew Mountbatten-Windsor. Ces nouvelles images, publiées par les législateurs démocrates de la commission de surveillance de la Chambre des représentants, ne sont qu'une petite partie des plus de 95 000 photos qu'ils ont reçues de la succession d'Epstein, qui s'est suicidé dans une cellule d'une prison new-yorkaise en 2019 alors qu'il attendait d'être jugé pour des accusations de trafic sexuel.Elles sont surtout distinctes des dossiers que le ministère de la Justice est désormais contraint de publier. Mais l'impatience grandit alors que l'administration Trump fait face à la date limite du 19 décembre pour produire les dossiers Epstein, mais aussi à de nouvelles révélations explosives.Mardi 16 décembre, le magazine américain Vanity Fair a publié une enquête basée notamment sur une dizaine d'entretiens avec Susie Wiles, la secrétaire générale de la Maison-Blanche. L'ancienne directrice de campagne du milliardaire républicain estime par exemple que l'ex-magnat de l'immobilier, marqué par la mort de son frère alcoolique, « a une personnalité d'alcoolique » — elle-même est fille d'un homme alcoolique. Il « fonctionne avec la conviction que rien ne lui est impossible. Absolument rien ». « Les alcooliques fonctionnels, ou les alcooliques en général, ont une personnalité exacerbée lorsqu'ils boivent », a-t-elle ajouté. La conseillère âgée de 68 ans égratigne aussi le vice-président, estimant qu'il est « adepte des théories complotistes depuis une décennie », ou encore Elon Musk, un temps à la tête du département de l'Efficacité gouvernementale (Doge), qualifié de destructeur…Sous pression, le camp Trump s'exprime et tente de désamorcer. Très discrète habituellement, Susie Wiles a dénoncé un article « malhonnête ». « Elle voulait dire que je… Voyez-vous, je ne bois pas d'alcool. Tout le monde le sait, mais j'ai souvent dit que si je buvais, j'aurais de fortes chances de devenir alcoolique. Je l'ai dit à maintes reprises », a déclaré de son côté Donald Trump. Quelques heures plus tard, le président des États-Unis a annoncé sur son réseau Truth Social que les États-Unis mettaient en place un blocus au Venezuela contre « les pétroliers sous sanctions », une nouvelle escalade dans la crise entre les deux pays. Accusé de faire diversion par ses opposants, le président des États-Unis doit s'exprimer une nouvelle fois ce soir.En face, ses adversaires surenchérissent. Ils affirment avoir d'autres clichés encore plus troublants alors que l'heure de vérité approche. Les autorités ont désormais moins de deux jours pour publier l'intégralité des documents non classifiés liés aux enquêtes portant sur Jeffrey Epstein, sur sa complice Ghislaine Maxwell et sur toute personne en lien avec les faits qui leur sont reprochés. Une affaire qui obsède depuis des années l'opinion publique américaine et a inspiré de multiples théories du complot.Alors que sait-on des liens entre Donald Trump et Jeffrey Epstein ? Cette affaire peut-elle provoquer la chute du président des États-Unis ? Pourquoi le mouvement MAGA se déchire-t-il ?Nos experts :- Laurence HAÏM - Journaliste spécialiste des Etats-Unis, autrice de Ghislaine Maxwell, une femme amoureuse, publié chez Robert Laffont- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste à Ouest-France, autrice du livre Requiem pour le monde libre, publié aux éditions de l'Observatoire- Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- Vincent JOLLY - Grand reporter pour Le Figaro Magazine
durée : 01:05:30 - Club Jazzafip - Après la sortie de son deuxième album "ok", le trompettiste, beatmaker et producteur partage avec nous sa programmation et ses coups de cœurs. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tes prestations se vendent bien mais tu sens que tu peux aller plus loin ? Tu aimeraispouvoir augmenter ton CA sans abandonner ce qui marche ?Dans cette mini-série très spéciale, je donne la parole aux incubés de l'Incubateur Solopreneur pour qu'ils te racontent leur transformation et les résultats concrets obtenus grâce au programme.Pour cet épisode, je reçois Mélanie Hong, experte en stratégie podcast et création de contenu avec l'IA. Elle aide les solopreneurs à construire tout leur contenu à partir du pilier podcast.En trois ans, elle a multiplié ses prix par 4 et créé un bootcamp rentable.On parle ensemble de son parcours :
Ce mercredi 17 décembre, la décision de l'UE de renoncer au tout-électrique en 2035, et la question du traité mercosur, ont été abordés par Rayan Nezzar, professeur à Sciences Po, Jean-Marc Daniel, éditorialiste BFM Business, et Olivier Lluansi, professeur au CNAM, auteur de "Réindustrialiser, le défi d'une génération", dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce 17 décembre marque le 15e anniversaire de la « révolution du jasmin » en Tunisie. En 2010, dans la ville de Sidi Bouzid, le jeune vendeur ambulant Mohamed Bouazizi s'immole par le feu devant le gouvernorat, après la saisie de ses marchandises par la police. Un geste de désespoir, qui illustre la détresse socio-économique dans le pays et la répression généralisée du régime de Ben Ali, qui sera renversé par une révolte populaire inédite un mois plus tard. L'événement inspire les populations du Maghreb et d'une partie du Moyen-Orient, et donne naissance à un vaste mouvement de contestation : le « Printemps arabe ». Quinze ans après, la Tunisie est désormais dirigée d'une main de fer par Kaïs Saïed. Quel bilan tirer de cette révolte populaire ? Notre grand invité Afrique est l'ancien dirigeant tunisien Moncef Marzouki, premier président élu démocratiquement après la chute du clan Ben Ali, et actuellement en exil. Il répond aux questions de Sidy Yansané. RFI : Quinze ans après l'immolation par le feu du jeune vendeur Mohamed Bouazizi, quel est l'héritage de la « révolution du jasmin » que son sacrifice a provoqué ? Moncef Marzouki : Quand on voit la situation actuelle, on se dit que la révolution a complètement échoué parce qu'on est revenu au point de départ, c'est-à-dire à l'ère Ben Ali. Nous avons un président, Kaïs Saïed, qui s'est fait élire à 90% après avoir éliminé tous ses concurrents. Le retour de la peur, le retour des prisonniers politiques, tous les chefs de partis politiques sont soit en exil, soit en prison, etc. Donc on est revenu vraiment à la case départ. Sauf que quelque chose de profond a été instauré ou instillé dans l'esprit du peuple tunisien : le goût de la liberté. À un moment donné, ils ont vu que la liberté de critiquer le président n'était pas dangereuse. Donc quelque chose est resté dans l'esprit des gens et je pense que ça va repartir. Maintenant, ceux qui disent que le printemps arabe c'est la fin ne comprennent rien à rien. Parce qu'en fait, le printemps arabe, il vient juste de commencer. Sidi Bouzid, à l'époque déjà, faisait partie de ces villes, de ces régions tunisiennes qui disent subir la marginalisation et l'abandon de l'État, « la hogra ». Quinze ans plus tard, est-ce que vous pensez qu'un acte aussi désespéré que celui de Mohamed Bouazizi puisse se reproduire en Tunisie ? En fait, ça a continué. La Tunisie est devenue malheureusement un pays où cette horreur absolue se répète tout le temps. Vous parlez de cette région déshéritée, mais toutes les régions de Tunisie sont restées déshéritées. Donc, au contraire, la Tunisie est en train de s'appauvrir chaque jour de plus en plus. Les classes moyennes sont en train de s'appauvrir. Le pouvoir actuel se retrouve exactement dans la même situation où se trouvait Ben Ali, à savoir qu'il a contre lui les classes les plus aisées parce qu'il leur a retiré toutes les libertés fondamentales sans apporter quoi que ce soit à la population et contre la pauvreté. Donc toute cette énergie contenue aussi bien chez le petit peuple, comme on dit, que chez la bourgeoisie, tout cela va exploser. Voilà encore une fois pourquoi le volcan va de nouveau exploser. Un volcan, dites-vous, d'abord provoqué par le sacrifice de ce jeune vendeur, qui dénonçait non seulement l'extrême précarité socio-économique de la jeunesse tunisienne, mais aussi l'asphyxie des libertés à tous les niveaux. Sur ces deux points, quelle évolution notez-vous entre la présidence de Ben Ali et celle de Kaïs Saïed, contre qui vous concentrez les critiques ? Les trois années où j'étais à la tête de l'État, nous avons vraiment mis en place un État de droit. La justice était indépendante, les libertés étaient respectées, il n'y avait personne dans les prisons pour des motifs politiques. Nous avons même commencé à lutter contre la corruption. Sauf que comme il y avait ce que j'appellerais un « veto régional » sur la démocratie en Tunisie et que nous manquions d'appui dans les démocraties occidentales, malheureusement, la révolution a échoué. Elle a échoué à cause des erreurs que nous avons commises, nous Tunisiens. Mais aussi, encore une fois, à cause de ce veto régional, essentiellement algérien. Le voisin algérien était une dictature corrompue et violente. Il était hors de question pour elle d'accepter un État, une démocratie tunisienne qui aurait pu donner le mauvais exemple si je puis dire. Et les généraux algériens avaient raison de se méfier de la révolution tunisienne, parce que le Hirak en 2019, c'était tout simplement la queue de la comète, c'était la continuation de ces révolutions. Tout le système politique arabe, aussi bien en Égypte que dans les Émirats arabes unis, en Arabie saoudite qu'en Algérie… Tout ce système-là se sentait menacé par cette vague de révolutions. Ils ont mis le paquet pour faire avorter ces révolutions. Ils l'ont fait avorter par la guerre civile en Syrie, par le coup d'État militaire en Égypte, par la guerre civile en Libye, par l'utilisation de l'argent sale, de l'information, de la désinformation et du terrorisme en Tunisie. Donc, il y a eu encore une fois un veto régional contre les révolutions démocratiques arabes. Le président Kaïs Saïed a su s'attirer les faveurs de l'Union européenne, notamment sur le volet migratoire. L'Europe est quand même un grand partenaire de la Tunisie. Comment voyez-vous l'évolution de la Tunisie sur les droits humains, la démocratie dans ce monde qui est en pleine redéfinition ? L'attitude des Européens, je ne peux pas dire que ça leur fait grand honneur. Ils appuient des dictatures, notamment le gouvernement italien, ils sont prêts à aider Kaïs Saïed à se maintenir au pouvoir. Ce sont des politiques de courte vue. On n'a pas arrêté de répéter à nos amis européens : « Vous pariez sur des régimes autoritaires, uniquement pour vous en servir comme gardes-frontières ». Mais ce n'est pas ça la solution. La solution, c'est qu'il y ait du développement social et économique. C'est comme ça qu'on règle le problème de fond. C'est pour ça que je dis et je répète, la démocratisation du monde arabe, c'est une affaire à l'intérieur du monde arabe et qu'il ne faut pas du tout compter sur les pays européens pour nous aider à cela. À part quelques déclarations hypocrites, je pense qu'il n'y a rien à espérer.
Cette histoire montre qu'avec de la volonté et de la positivité, on peut se sortir de beaucoup de galères ! La clarinettiste, Morgane Raoux, a bien cru qu'elle ne pourrait jamais plus jouer à la suite d'un problème de santé. Mais, dans sa tête, jamais n'existe pas !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:07 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Rachida Dati est en campagne pour l'élection municipale à Paris. Tout en étant ministre de la Culture. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:07 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Rachida Dati est en campagne pour l'élection municipale à Paris. Tout en étant ministre de la Culture. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cet épisode du format Le Déclic, Jenny Chammas, mastercoach certifiée et fondatrice de Coachappy, explore un enjeu central pour de nombreuses femmes leaders : la charge et surcharge mentale. Cette charge mentale, qui se glisse partout – dans la vie pro, la vie perso, la parentalité, l'organisation – finit par créer un état de surcharge mentale permanent où l'on fonctionne en mode pilote automatique, sans pause, sans respiration, sans espace pour soi. À travers le parcours de Sophie, 44 ans, cheffe de projets et mère d'une adolescente, Jenny montre comment la charge et surcharge mentale peut s'installer sans bruit mais avec une intensité qui épuise, fragilise et déconnecte.Sophie gère tout, tout le temps. Au travail, elle anticipe, porte, organise, absorbe. À la maison, elle continue sur le même mode : repas, devoirs, rendez-vous, logistique, préoccupations… Son corps est là, mais son esprit reste en vigilance permanente. Elle ne sait plus lâcher prise, et c'est exactement ça le cœur du problème : la surcharge mentale devient un mode de fonctionnement automatique dont on ne sait plus sortir.Ce que vous saurez faire après écoute :– Identifier les premiers signes de la surcharge mentale avant qu'elle ne devienne une surcharge.– Comprendre comment le mode pilote automatique s'installe et pourquoi il devient si difficile à interrompre.– Repérer les pensées typiques du control freak qui alimentent la surresponsabilisation.– Apprendre à lacher prise sans perdre en crédibilité ni en performance.– Recréer de l'espace mental et émotionnel pour vous reconnecter à vous-même et retrouver de l'élan.À travers cette séance de coaching immersive, Jenny montre comment un fonctionnement basé sur la performance, le devoir et la maîtrise peut finir par masquer un épuisement intérieur. Le plus dangereux n'est pas d'en faire trop : c'est de ne plus avoir accès à soi. De rester en action sans jamais repasser en présence. De ne plus savoir quand on est fatiguée, ni ce dont on a besoin.Le déclic pour Sophie a été de comprendre que la charge mentale n'est pas une fatalité, mais un système que l'on peut réapprendre à réguler. En ajoutant des transitions entre les rôles, en desserrant les attentes perfectionnistes, en redonnant de la souplesse au quotidien et en s'autorisant des espaces pour soi – même petits – elle a retrouvé du souffle, plus de disponibilité émotionnelle, et une capacité à répondre plutôt qu'à réagir.Cet épisode vous montre que sortir du mode “gestion permanente” ne demande pas de tout changer, mais de changer la manière dont vous vous relatez à vos responsabilités. Le vrai pouvoir ne réside pas dans le contrôle, mais dans la capacité à vous écouter, vous réguler et choisir ce qui compte vraiment.Pour être accompagnée, découvrez le programme Sensées, pensé pour soutenir les femmes leaders dans toutes les dimensions de leur vie : Cliquez ici pour en savoir plus.****Rejoignez la newsletter Sensées : elle vous donne accès à un concentré de coaching, d'inspiration et à un workshop offert chaque mois. Inscrivez-vous gratuitement en cliquant ici. Tout comme sur le podcast Sensées, on y parle de leadership, d'ambition, de confiance en soi, de motivation, de carrière, d'outils de développement personnel, de management, de prise de poste, de prise de parole, et. : bref, de tout ce qui concerne le quotidien des femmes ambitieuses.***Sensées, c'est aussi un programme de coaching pour les femmes dirigeantes, top managers et entrepreneures. Au sein du programme Sensées, vous êtes accompagnée en petit groupe ET en individuel dans votre croissance professionnelle. Vous êtes aussi formée et mentorée pour incarner pleinement votre leadership, avec les maîtres mots sérénité, plaisir, hauteur et impact. Intéressée ? Cliquez ici pour en savoir plus.**Notre guide "10 leviers essentiels pour les décideuses" est un véritable concentré d'outils de coaching et de mentoring, les mêmes que nous utilisons dans le programme Sensées. Il est conçu pour toutes les directrices, dirigeantes et entrepreneures qui sont fatiguées de porter seules les responsabilités. Si vous avez l'impression que votre quotidien vous échappe petit à petit, ce guide est fait pour vous. Cliquez ici pour obtenir votre exemplaire offert !*Vous représentez une entreprise et souhaitez développer le leadership de vos talents féminins ? : cliquez ici.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ton objectif c'était de pouvoir travailler max 20h par semaine pour profiter de tes enfants et tu te retrouves à travailler tard le soir et à frôler les 50h de travail par semaine ?Dans cette mini-série très spéciale, je donne la parole aux incubés de l'Incubateur Solopreneur pour qu'ils te racontent leur transformation et les résultats concrets obtenus grâce au programme.Pour cet épisode, je reçois Marine Aubaret, une stratège en herbe qui aide les entrepreneurs à structurer leur back office et leur organisation. Après deux ans dans l'Incubateur, elle a construit un business respectueux de ses objectifs de vie.On parle ensemble de son parcours :
durée : 00:51:46 - Les informés de franceinfo - Tous les soirs, les informés débattent de l'actualité autour de Victor Matet. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Pour débuter l'émission de ce mardi 16 décembre 2025, les GG : Barbara Lefebvre, prof d'histoire-géo, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent du sujet du jour : "Faut-il en finir définitivement avec le tout électrique ?".
Ce mardi 16 décembre, le renoncement au tout électrique envisagé par l'UE pour 2035, et la demande du report du vote sur le mercosur par la France, ont été abordés par François Ecalle, fondateur de FipEco.fr, Ludovic Desautez, directeur adjoint de la rédaction de La Tribune, et Roland Gillet, professeur d'économie financière à l'Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Créer une entreprise, c'est déjà difficile.Mais créer une entreprise dans un univers ultra-compétitif, sous pression permanente, où la performance ne pardonne rien, ça l'est encore plus.Dans cet épisode, j'ai reçu Fabien Devide, que beaucoup connaissent sous le nom de Neo, co-fondateur et dirigeant de Team Vitality, l'une des plus grandes équipes d'e-sport au monde.Ce que Fabien raconte ici va bien au-delà du gaming. Il parle de pouvoir, d'ego, de solitude, de responsabilité, de santé mentale, et surtout d'un sujet encore trop tabou chez les dirigeants : la vulnérabilité.Pendant longtemps, il a cru qu'un leader devait être solide, silencieux, presque invincible. Jusqu'au jour où cette posture a commencé à lui coûter cher.On parle de performance, bien sûr. De croissance, de levées de fonds, de pression. Mais on parle surtout du moment où un entrepreneur comprend qu'il doit changer pour ne pas se perdre.C'est une conversation rare, exigeante et profondément humaine.Je vous laisse découvrir ma conversation avec Fabien Devide.Bonne écoute ✨Chapitrage00:00 – Introduction : un leadership sous pression permanente02:36 – Créer Vitality : passion, ambition et inconscience07:50 – Performance avant tout : l'ADN e-sport14:20 – Argent, croissance et illusion du contrôle22:10 – Quand la pression commence à fissurer le dirigeant30:40 – Devenir patron : solitude, doutes et responsabilités38:55 – Santé mentale : le tabou qui a tout changé47:30 – Accepter sa vulnérabilité pour mieux diriger56:10 – Apprendre à lâcher prise sans renoncer à l'exigence01:02:30 – Le plus grand échec et ce qu'il lui a appris01:09:00 – Ce que la vulnérabilité change dans le leadershipNotes et références de l'épisode ✨ Pour retrouver Fabien (Neo) DevideSur LinkedInSur InstagramSur X (Twitter) ✨Pour retrouver Vitality : Sur leur siteSur Instagram Sur X (Twitter)Sur YouTubeSur LinkedIn #leadership #vulnerabilite #entrepreneuriat #dirigeant #performance #santementale #egoleadership #esport #teamvitality #fondateur #management #croissance #pression #responsabilite #resilience #podcastfrancais #paulinelaigneau #legratin #businesshumain Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
En Bulgarie, le président a commencé les consultations pour essayer de former un nouveau gouvernement après la démission du Premier ministre sur fond de manifestations monstres contre le budget 2026. Le pays s'apprête à adopter la monnaie européenne, mais il est miné par l'instabilité politique et une corruption endémique aux multiples formes. Parmi les pratiques qui se répandent, l'appropriation d'entreprises est en plein essor. Exemple à Sunny Beach, au cœur du tourisme balnéaire bulgare. L'hôtel Paradise Beach est le symbole d'une autre époque : des centaines de chambres sur plusieurs étages, plusieurs restaurants, bars et boîtes de nuit, sans oublier la tour sur la plage. Il fait partie du parc immobilier de Venelin Tachev, qui est propriétaire de cinq hôtels pour une capacité totale de 3 000 lits. C'est après avoir revendu un terrain à son voisin que les ennuis commencent. Après avoir déposé une demande auprès de la mairie pour mieux délimiter sa propriété, Venelin Tashev et ses clients sont harcelés. « Ils ont commencé à mettre de la musique à fond entre minuit et six heures du matin. Et de la musique horrible. Avec mes clients, on a dû appeler les autorités des milliers de fois. Sans aucune conséquence pour ce voisin. Les institutions ne font rien, ni la police, ni le parquet », relate le propriétaire de l'hôtel. Ce voisin n'est pas n'importe qui, c'est un mafieux suspecté de trafic de drogue. Le terrain racheté a été transformé en villa luxueuse avec un restaurant qui accueille des invités d'honneur. « Je n'ai jamais voulu de conflit avec cette personne, parce que je vois bien qui lui rend visite, poursuit Venelin Tashev. Des personnes très haut placées dans le pays, des personnalités connues, des politiques... Je ne veux pas donner de nom. Tout ça pour qu'on s'approprie mon business, pour mettre la main sur l'hôtel. C'est un des meilleurs hôtels de Sunny Beach. C'est un hôtel cinq étoiles, sur la plage. » « Je m'inquiète [...] des proportions que la corruption va atteindre si on ne fait rien » Le mercredi 10 décembre, à Sofia, 150 000 personnes étaient mobilisées pour protester contre la corruption. Le récit de Venelin Tachev est loin d'être un cas isolé. C'est même devenu chose courante, en Bulgarie. C'est également une des raisons pour lesquelles Yoanna, la vingtaine, est venue protester : « Je m'inquiète surtout de l'avenir et des proportions que la corruption va atteindre si on ne fait rien. Combien de fois des proches de mes parents m'ont raconté comment des responsables politiques faisaient pression sur eux. C'est vraiment démotivant. » Le budget 2026 a remis de l'huile sur le feu d'un paysage politique déjà tendu. Dimitar, la quarantaine, travaille dans la finance. Pour lui, une chose est évidente : quelqu'un veut se remplir les poches sur le dos du contribuable. « La raison pour laquelle je suis ici, c'est la corruption et le budget. Il est évident qu'il a été conçu pour que Boïko Borissov, Delyan Peevski et leur clique continuent à s'approprier des millions, voire des milliards. Le fait qu'ils contrôlent tout le système judiciaire en appliquant le principe de la carotte et du bâton, c'est inacceptable. Et c'est pour cela qu'on veut leur démission », assène-t-il. Finalement, les manifestants ont obtenu gain de cause : le gouvernement de Rossen Jéliazkov, en fait contrôlé par Borissov et Peevski, a démissionné. Mais les législatives anticipées qui suivront risquent de reproduire le même problème que les sept élections qui se sont succédées depuis 2021 : un Parlement fragmenté, une majorité ingouvernable et un gouvernement instable. À lire aussiBulgarie : le Premier ministre Rossen Jéliazkov démissionne sous la pression de la rue
La NFL est imprévisible chaque semaine. Et cette semaine 15 ne fait pas exception.Outsiders avant la rencontre, les Atlanta Falcons réussissent l'exploit de s'imposer chez les Tampa Bay Buccaneers 29 à 28 sur un field goal de Zane Gonzalez de 43 yards. Tout cela malgré 125 yards de pénalités.Les coéquipiers de Baker Mayfield menaient pourtant de 14 points au début du dernier quart temps. Pourtant, malgré le retour de Mike Evans, Tampa Bay s'incline pour la 5e fois en 6 matchs. Une série négative qui peut profiter à des Panthers qui ont là l'occasion de faire le break. Comment expliquer une telle dynamique ?Du côté des Falcons, Kyle Pitts est le héros du match avec 3 touchdowns, et Kirk Cousins a été très bon. Peut-on dire que les Falcons ont des regrets sur la saison au vu de ce match ?Nithinya Simuong et Kevin Renaudet au micro. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
T'es freelance et tu fais un peu de tout : du WordPress, du social media, de la création de contenu ? Tu sens que l'IA menace ton business et tu ne sais pas comment te différencier ?Dans cette mini-série très spéciale, je donne la parole aux incubés de l'Incubateur Solopreneur pour qu'ils te racontent leur transformation et les résultats concrets obtenus grâce au programme.Pour ce premier épisode, je reçois Thaïs Jaumouillié, freelance en marketing digital qui s'est repositionnée en social media manager spécialisée LinkedIn après être entrée dans l'Incubateur.On parle ensemble de son parcours :
Dans cet extrait, François raconte l'une des vraies galères du voyage : une nuit où la pluie tombe sans interruption, le vent secoue la tente de toit et le sommeil devient impossible. Il finit par installer les enfants dans la voiture pour le reste de la nuit. Le récit se poursuit avec la route depuis Ullapool, le passage par Skye, puis la redescente progressive vers Édimbourg. Une fin de road trip très écossaise, entre imprévus, adaptation et paysages qui défilent.Pour écouter l'épisode en entier :Road trip en famille en Écosse : 15 jours entre lochs, pluie, moutons et liberté – Le voyage de François-----------Si l'épisode vous a plu, laissez-moi une note 5 ⭐️ou un commentaire sur Apple Podcasts ou Spotify
Pour la première fois depuis la fin de la dictature d'Augusto Pinochet, en 1990, et le retour de la démocratie, le Chili a choisi l'extrême-droite pour diriger le pays. José Antonio Kast a remporté la présidentielle hier (dimanche 14 décembre), avec 58% des voix, loin devant sa rivale de gauche. C'est le président le plus largement élu de l'histoire du Chili «en raison notamment du vote qui était obligatoire sous peine d'amende », précise la correspondante de RFI au Chili, Naïla Derroisné. Mais « même sans cela, José Antonio Kast aurait gagné », analyse Damien Larrouqué, maître de conférences en sciences politiques à l'université de Cergy. «Ce n'est pas une victoire étriquée, mais bien un triomphe », poursuit l'universitaire, qui rappelle que le Chili est un pays conservateur. «Son centre a toujours penché à droite. Sous Augusto Pinochet, le Chili a été un véritable laboratoire néolibéral. Aujourd'hui, la société reste marquée par les logiques individualistes et conservatrices.» José Antonio Kast « a promis d'en finir avec l'insécurité, le narcotrafic ou encore l'immigration illégale. C'est sur ces sujets qu'il a été élu », abonde Naïla Derroisné. «Mais dès hier, dans un discours de près d'une heure qu'il a tenu devant une foule venue l'acclamer, il prévenait déjà que les résultats de son programme « ne se verraient pas du jour au lendemain ». « Le plus dur reste à venir pour le nouveau président qui prendra, à la mi-mars, la tête d'un pays polarisé. «Au premier tour de la présidentielle, il avait récolté 24 % des voix. Un vote que l'on pourrait qualifier « d'adhésion ». Mais hier il a surtout bénéficié des voix de ceux qui voulaient faire barrage à la candidate de la gauche, issue du Parti communiste, ainsi que celles des mécontents de l'actuelle administration », détaille la journaliste de RFI. Pour Damien Larrouqué, on assiste surtout à un rejet de la classe politique traditionnelle en général depuis le soulèvement de 2019, les référendums sur la nouvelle constitution qui ont échoué et le Covid. «Pendant la pandémie, les gens se sont vraiment sentis abandonnés », explique-t-il. Désormais, José Antonio Kast va devoir s'allier avec la coalition «Chile Vamos », de la droite traditionnelle, son parti « Républicain » n'ayant pas obtenu de majorité au parlement. Il devra également négocier avec le libertarien Johannes Kaiser, arrivé 4ᵉ au premier tour et qui avait immédiatement soutenu Kast pour le second. Les deux hommes se connaissent bien même si Kaiser est considéré comme plus extrême que Kast, notamment sur les questions de société comme l'avortement. Des questions que José Antonio Kast avait mises de côté dernièrement pour lisser son image. Le nouveau président est également un nostalgique d'Augusto Pinochet tout comme certains Chiliens qui pensent que la dictature a provoqué le «miracle économique du du pays » pendant les années 90, explique Damien Larrouqué. Hier, certains partisans de José Antonio Kast brandissaient des drapeaux à l'effigie de Miguel Krassnoff, un militaire condamné pour de nombreuses atteintes aux droits humains pendant la dictature. Interrogé sur une possible grâce de ce détenu, José Antonio Kast n'a jamais clairement répondu. En Colombie, l'ELN décrète un « confinement ». La guérilla colombienne a demandé aux gens vivant dans les zones qu'elle contrôle, essentiellement des régions de production de cocaïne, de ne pas sortir pendant trois jours. En cause : une possible intervention militaire américaine, a indiqué l'ELN. Le mouvement a démarré dimanche 14 décembre et les conséquences de cette « grève armée », comme l'appelle El Espectador, se sont fait sentir dès hier matin dans quatre régions du pays : banderoles de revendications, routes coupées par des barrages, des arbres, des véhicules ou bien encore des engins explosifs, détaille le journal. Et déjà une victime à déplorer : le conducteur d'une ambulance tué lors d'une attaque contre le commissariat de Puerto Santander, dans le nord du pays. « Cette histoire, nous la connaissons déjà », regrette El Espectador dans un éditorial. Chaque mois de décembre, c'est pareil. « L'ELN terrorise certaines régions du pays, assassine des gens et menace les forces de l'ordre. Gustavo Petro «pensait pouvoir signer un accord de paix avec cette guérilla en quelques mois », poursuit le quotidien. Mais même si les autorités ont durci le ton, même si des renforts militaires ont été envoyés sur place, l'ELN reste influente dans les zones où elle était présente historiquement et aujourd'hui, la situation sécuritaire se détériore. Tout cela laisse une «sensation amère », se désole El Espectador. Les fêtes de fin d'année se dérouleront sur fond de menace, alors que la promesse de «paix totale » de Gustavo Petro s'efface, constate encore le journal qui s'interroge « Comment pouvons-nous lutter contre le terrorisme ? » Question à laquelle El Espectador n'a pas de réponse. Le IXᵉ congrès du Parti communiste cubain n'aura pas lieu en avril prochain L'annonce a été faite ce week-end lors d'une réunion plénière du Comité central du parti. Raison officielle de ce report : la situation économique de l'île. Mais «faute de solutions concrètes à la crise, le discours officiel a labouré le terrain sur lequel les autorités se sentent le plus à l'aise : celui de la confrontation symbolique », raconte 14yMedio. Il a été question d'« unité, de résistance, de discipline et de bataille idéologique », « le vieux scénario de la soi-disant révolution », ironise le site Cibercuba. Les problèmes que connaît Cuba ont été évoqués : les coupures de courant, les épidémies de dengue et de chikungunya, les sanctions américaines, le manque de devises, la pénurie de combustibles, la faible productivité de l'économie… Mais pour ce qui est des solutions, rien ne va changer, se désole 14yMedio. Les autorités comptent « corriger les distorsions sans s'attaquer à la racine de ces distorsions : le modèle lui-même ». Il n'y aura « ni ouverture politique, ni libéralisation économique réelle, ni autonomie totale pour les entreprises, ni respect des droits civiques. Une nouvelle fois, le Parti se proclame arbitre absolu de l'avenir du pays et garant d'une unité qu'il exige, mais qu'il ne construit pas sur la base de la pluralité », conclut 14yMedio. Une unité qui est en réalité un « ordre de soumission » de la part d'un pouvoir qui cherche juste à se perpétuer, insiste Cibercuba. Le journal de la 1ère Le centre pénitentiaire de Baie-Mahault, en Guadeloupe, est au bord de l'implosion.
Aujourd'hui, nous allons explorer une compétence que personne ne nous enseigne et qui influence pourtant absolument tout dans notre vie professionnelle : le management de soi. S'écouter, poser ses limites, gérer ses émotions, comprendre sa propre énergie… rien n'est plus essentiel pour avancer sereinement et durablement.Merci du fond du cœur : vous êtes chaque jour plus nombreux à rejoindre ma chaîne WhatsApp, et ce lien quotidien est unique. Si vous souhaitez recevoir chaque matin un message positif, une réflexion ou un conseil pour mieux vivre votre journée, le lien est dans la description de cet épisode.Pour recevoir chaque matin un message positif ou un conseil feel-good, rejoignez mon canal WhatsApp Happy Work – Happy Moi : https://whatsapp.com/channel/0029VbBSSbM6BIEm0yskHH2gMerci d'être là.Et surtout… prenez soin de vous.Et pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos : www.gchatelain.comDÉCOUVREZ MON AUTRE PODCAST, HAPPY MOI, LE PODCAST POUR PRENDRE SOIN DE VOUS, VRAIMENT : lnk.to/sT70cY0:00 introduction0:13 Le besoin vital du management de soi1:32 Les piliers pour mieux se connaître2:42 Les limites, les émotions, le dialogue intérieur4:17 La récupération et la présence5:39 Comment progresser ?6:24 Que faut-il retenir de cet épisode ?6:49 La citation du jourmanagement de soibien-être au travailcharge mentalesanté mentalemanagement bienveillantémotions au travailconnaissance de soidéveloppement professionnelépuisement émotionnellimites professionnellesrécupérationGaël Chatelain-BerryHappy WorkSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans le podcast « Ça peut vous arriver » sur RTL, Julien Courbet et son équipe distribuent conseils conso et astuces juridiques pour lutter contre les arnaques dans la bonne humeur. Ecoutez Ça peut vous arriver avec Julien Courbet du 15 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au micro d'Ariane Artinian, Stéphane Anfosso, CEO de Figaro Classifieds, dévoile comment le groupe — 150 ans d'histoire dans les petites annonces — se réinvente face à l'explosion de l'intelligence artificielle et à la fin annoncée du modèle de recherche classique façon Google.Il raconte :• pourquoi la recherche conversationnelle et les agents IA bouleversent déjà l'immobilier,• la naissance du GEO (GenAI Engine Optimization), le nouveau “SEO” pour exister dans les moteurs IA,• les deux agents lancés par le Figaro (Charlie pour le luxe, Cléa pour le marché général),• l'arrivée des agents vocaux qui gèrent les appels clients 24h/24,• comment l'IA enrichit automatiquement les annonces (photos détectées, informations manquantes, pertinence),• et pourquoi Figaro Classifieds figure désormais parmi les 150 premières entreprises mondiales utilisatrices d'OpenAI.Stéphane Anfosso partage aussi un message fort aux professionnels : l'IA ne remplacera pas l'agent immobilier — elle lui rendra du temps pour l'essentiel : ses clients.Interview enregistrée en live du salon RENT - d'où l'ambiance sonore...Animé par Ariane Artinian, journaliste et fondatrice du média MySweetImmo
Ce lundi 15 décembre, Antoine Larigaudrie présente le tableau de bord dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 15 décembre, Antoine Larigaudrie a reçu Gustav Sondèn, cofondateur de Colbr, et Matthias Baccino, directeur Europe Trade Republic, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 15 décembre, Antoine Larigaudrie a reçu Jean-Louis Cussac, trader pour compte propre chez Perceval Finance Conseil, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 15 décembre, Antoine Larigaudrie a reçu Ludovic Froment, notaire associé chez Bernot-Froment-Pujol, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 15 décembre, Antoine Larigaudrie vous présente le placement à suivre dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
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En septembre 2015, le cadavre calciné d'un homme est découvert sous le tunnel d'une ancienne voie ferrée à Nîmes. L'autopsie révèle qu'il a été poignardé à plusieurs reprises, avant d'être transporté là où on l'a retrouvé et mis à feu. Tout laisse penser à un règlement de compte.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans Les Fabuleux Destins. Dans cet épisode, nous allons vous parler d'un soldat japonais. Pour lui, la Seconde Guerre mondiale ne s'est pas terminée en 1945, mais a duré jusqu'en 1974. Son nom : Hiro Onoda. De ses débuts dans l'armée à sa mort, découvrez son incroyable destin. Le soldat nippon qui refusait de se rendre Un matin d'octobre 1945, sur l'île de Lubang aux Philippines. Un soldat japonais est réveillé par le rugissement d'un bombardier. Il se lève d'un bond, son cœur tambourinant dans sa poitrine. Il secoue ses camarades endormis. L'ennemi les attaque, c'est certain. Les quatre hommes regardent le ciel avec appréhension, prêts à affronter le pire. Mais au lieu de recevoir la pluie de bombes qu'ils redoutent, quelque chose d'inattendu se produit. Des milliers de tracts en papier commencent à tomber du ciel. Les soldats restent figés, stupéfaits, alors que les tracts volent tout autour d'eux. Un des soldats se précipite pour en ramasser un, les mains tremblantes, il le déplie avec précaution. "La guerre s'est terminée le 15 août ! Descendez des montagnes !" Hirō replie soigneusement le tract. Il annonce à ses camarades la vérité : ceci est une ruse de l'ennemi. Le Japon ne peut pas perdre face aux Américains. Tout ceci n'est qu'une manœuvre pour pouvoir les capturer, leur combat n'est pas terminé. Mais ce qu'Hiro ignore, c'est qu'il va passer près d'un tiers de sa vie à participer à une guerre déjà terminée... Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Après le bannissement en 2022 de Facebook et d'Instagram, réseaux emblématiques du groupe Meta, les autorités russes renforcent leur emprise sur les espaces de l'internet et des applications étrangères. Depuis cet été, les appels via WhatsApp, FaceTime et Telegram sont bloqués, au nom de la lutte contre le fléau des fraudeurs. D'autres coupures et interdictions sont, quant à elles, justifiées au nom de la sécurité nationale, et notamment les attaques de drones. « Désolé de ne pas avoir donné signe de vie, mon téléphone s'est soudainement éteint et l'écran est devenu tout noir. Je ne comprends pas ce qu'il s'est passé. » Casquette sur la tête, bouille bienveillante et souriante, Nicolas Maschourov arrive tout essoufflé et un poil en retard au rendez-vous sur une place du centre de Yaroslavl, face à l'un des monastères les plus célèbres de cette ville au riche passé historique. Au fond, ce mystérieux incident du jour n'est pour lui qu'un de ceux qui s'ajoutent à une longue liste, tant la vie quotidienne est déjà bien compliquée localement. Dans cette ville-étape incontournable pour les touristes, cela fait en effet de longs mois que les liaisons téléphoniques et internet sont perturbées. Yaroslavl est en effet aussi une ville industrielle importante, ce qui fait d'elle une cible dans le conflit avec l'Ukraine. « On a ici une raffinerie très importante, elle fournit du pétrole à de nombreuses régions de l'Ouest du pays, explique Nicolas Maschourov. À l'heure actuelle, les règles y sont très strictes à l'intérieur, car il y a un risque de sabotage. Lorsque vous entrez dans l'usine, vous n'êtes même pas autorisé à prendre votre téléphone, vous devez le laisser dans votre voiture. Et si jamais vous avez oublié et qu'il est resté dans votre poche, l'amende que vous encourez atteint 30 000 roubles. Si on vous attrape une deuxième fois avec, vous êtes viré. Tout ça, c'est parce que cette raffinerie est périodiquement attaquée par des drones. Heureusement, jusque-là, les attaques ne se sont produites que vers 5 ou 6 heures du matin, lorsque les travailleurs n'étaient pas là. Mais la situation là-bas est quand même assez tendue. L'Internet mobile y est généralement désactivé. » Ce vendredi 12 décembre, selon les médias locaux, une attaque contre la raffinerie a été à l'origine d'un incendie. Une partie des routes y menant ont été fermées, causant des bouchons de plusieurs kilomètres. Mais le plus fréquent pour parer aux attaques reste de couper le réseau. « L'Internet mobile dans toute la ville est de toute façon souvent en mauvais état désormais, avance le professeur d'histoire et guide touristique. De temps en temps, c'est même totalement coupé ». À lire aussiRussie: le contrôle étatique de l'expression publique sur les réseaux sociaux s'accélère « J'ai envie de hurler tellement je suis furieux et tellement je trouve ça injuste. » Première conséquence : impossible d'utiliser la géolocalisation, très répandue en Russie. Mais d'autres usages sont désormais limités. Dans sa cuisine, avec sa bouilloire qui siffle sur le gaz pour chauffer l'eau du thé, Andrey Akimov explique qu'il aimerait pouvoir publier à sa guise sur les réseaux sociaux. « Je gère plusieurs chaînes Telegram, explique cet avocat et secrétaire d'un petit parti, qui tente d'être officiellement enregistré par les autorités. J'y poste diverses choses, et tout est légal et officiel. Mais parfois c'est impossible à faire. J'essaie une fois, deux fois. Puis je me dis : “Ok, je réessaie dans 10 minutes", et c'est peut-être à ce moment-là que j'ai un ressenti de 5% d'inconfort. Je réessaie trois- quatre fois. Et si, à la cinquième tentative, une demi-heure plus tard, je ne peux toujours pas publier, je commence à ressentir de l'anxiété et de la colère. À ce moment-là, bien sûr, mon inconfort est à 100%. J'ai envie de hurler tellement je suis furieux et tellement je trouve ça injuste ». Pour lui, les exigences sécuritaires d'un pays en conflit ne sont pas les seuls motifs à ces restrictions de plus en plus importantes. Avec prudence et des mots très pesés, il avance : « Je vais dire les choses de cette façon : je comprends un peu la stratégie des autorités. Il y a une tendance à réduire les libertés, à contrôler les ressources Internet. Mais c'est beaucoup plus facile de le faire si on procède progressivement, pas à pas, en supprimant une partie des droits et libertés des citoyens petit à petit, de telle sorte que l'indignation soit étalée dans le temps et qu'il n'y ait pas de pic soudain ». Depuis cet été, les autorités ont mis en place une messagerie nationale, Max, et tentent de convaincre les citoyens d'y migrer, la présentant comme plus sûre. Les critiques avancent qu'il s'agit d'une stratégie visant à surveiller les contenus, car Max est présentée comme totalement transparente pour les services de sécurité. Entre blocage des messageries étrangères et coupures de l'internet, de plus en plus de Russes vivent depuis plusieurs mois à l'heure des restrictions de communication. À lire aussiVers un «goulag numérique»: comment la Russie développe le contrôle et la surveillance de ses citoyens Yaroslavl est très loin d'être la seule ville touchée. Aux derniers décomptes effectués mi-décembre, une quarantaine de régions sur les 89 que compte la Russie ont souffert depuis le printemps d'incidents de types variés. Toutes les régions frontalières ou proches de la zone de combat sont plus ou moins touchées, de Rostov à Koursk et Voronej, ainsi que des villes de garnison comme Pskov ou des régions abritant d'importantes usines du complexe militaro-industriel comme celle de Sverdlovsk. D'autres villes et régions à des milliers de kilomètres à l'est ont aussi enregistré des plaintes d'usagers au sujet de très longues coupures : en Sibérie, à Omsk ou en Yakoutie, jusqu'à Khabarovsk, le Kamchatka et Sakhaline dans l'Extrême-Orient. Même Saint-Pétersbourg, deuxième ville du pays, a été le théâtre de deux jours consécutifs de perturbations. À Moscou, depuis mai dernier, des pannes régulières mais courtes sont observées. Comme à Yaroslavl, les autorités régionales expliquent en général ces coupures comme des « mesures de sécurité visant à se protéger contre les attaques de drones ». Selon le groupe de travail du kraï de Krasnodar, « un adversaire peut utiliser l'internet mobile à haut débit pour contrôler des drones et perpétrer des attentats terroristes ». Ces restrictions sont imposées dès réception d'un signal de « menace drone » et sont techniquement temporaires. Wikipedia.ru a fait ce décompte : 69 coupures avaient déjà été enregistrées en mai, mais en juin, ce nombre était passé à 655, et en juillet, il a atteint le chiffre record de 2 099 coupures à travers le pays. Ce chiffre a dépassé le total mondial des blocages d'internet pour toute l'année 2024 (296 incidents dans 54 pays), faisant de la Russie le pays le plus touché par les pannes de communications numériques. « Notre pays est en état de guerre, [...] nous ne pouvons pas revendiquer les libertés que nous avions auparavant. » À quelques kilomètres de Moscou, la ville de Balachika est une zone connue pour abriter notamment une importante base de l'armée russe. Une tradition ancienne : sous l'Union soviétique, la ville était d'ailleurs interdite aux étrangers. Zina, 42 ans, m'accueille dans la cour en bas de son immeuble, dans cette ville où elle a déménagé il y a trois ans « pour la nature et la vue sur le canal ». Pour elle, toutes les mesures de restrictions prises pour internet sont justifiées, y compris cette autre, récente, qui bloque l'usage des cartes SIM, russes comme étrangères, pendant 24 heures à tout retour de l'étranger. « Je comprends très bien qu'une carte SIM pourrait soudainement ne plus être entre les mains de son propriétaire officiel. Elle pourrait être volée, avec le téléphone ou pas d'ailleurs. Et cette carte SIM pourrait être utilisée par d'autres personnes à leurs propres fins. Moi, je compare cette décision à la quarantaine temporaire obligatoire pendant le Covid-19 ou à l'usage des masques. On peut quand même trouver le moyen de s'organiser et préparer un retour de vacances. Je comprends que des gens soient très énervés, mais notre pays est en état de guerre, alors pour moi, c'est évident, nous ne pouvons pas revendiquer les libertés que nous avions auparavant », affirme-t-elle. Pour elle, le vrai problème, qui la concerne de près, est ailleurs. « Je vais vous dire qui traverse, à cause de tout ça, de vraies difficultés, avance-t-elle. Ce sont ceux qui ne gagnaient leur vie que grâce au blogging, en vendant des publicités, par exemple, ou en monétisant leurs publications. C'est vrai, il existe des plateformes alternatives à celles qu'on avait avant, mais avec celles-là, on ne peut pas gagner autant d'argent. Elles sont mal conçues. Et cela a un impact sur toutes ces personnes, tous ces entrepreneurs, qui pendant de nombreuses années ont construit un système de diffusion en continu, produisaient du contenu. En fait, chaque blogueur avait en quelque sorte créé sa propre petite agence. C'est un système qui s'est effondré ». Sans Instagram, classé extrémiste en Russie, et avec l'interdiction depuis cet automne d'y faire de la publicité, Internet qui rame est le dernier clou dans le cercueil de son activité professionnelle de bloggeuse-coiffure. Sur un an, Zina chiffre sa perte de revenu à 80%. À lire aussiLa Russie resserre encore son contrôle sur internet
Le 29 avril 2008, le Barça tombe à Old Trafford en 1/2 retour de LDC. C'est la fin de l'ère Frank Rijkaard... et le début d'un nouveau Monde.
Tapis rouge dans le Point, cette semaine. Nicolas Sarkozy, souriant, est en Une, avec ce sous-titre : « Nicolas Sarkozy, le grand entretien ». Une longue interview, d'une dizaine de pages, dans laquelle celui qui vient de passer vingt jours en prison, et qui raconte ce séjour dans le Journal d'un prisonnier, est interrogé sur l'âge de la retraite, le pouvoir judiciaire, ou encore le christianisme. C'est Franz-Olivier Giesbert, l'éditorialiste du Point, qui mène l'interview avec enthousiasme et commence par cette question inattendue : « Aujourd'hui, dans votre situation, la solution la plus logique pour vous ne serait-elle pas de vous présenter à l'élection présidentielle afin de laver dans le suffrage universel l'affront de votre détention ? ». Nicolas Sarkozy répond que « techniquement, c'est impossible ». Il est en effet inéligible. Après cette interview, le Point revient d'ailleurs en détail sur « les batailles judiciaires » de l'ex-président. « Son procès en appel dans l'affaire libyenne s'ouvrira en mars », rappelle l'hebdomadaire, qui constate : « La promotion de son livre pourra le divertir, mais le répit sera de courte durée. Nicolas Sarkozy n'en a pas fini avec les juges, qui auront le dernier mot ». À lire aussiFrance: avec son livre, Nicolas Sarkozy «s'inscrit dans sa stratégie de défense médiatique» « J'ai prié » Le Canard enchaîné a lui aussi lu le Journal d'un prisonnier, et en livre un compte-rendu beaucoup plus caustique. « Merci, saint Nicolas ! », titre l'hebdomadaire satirique. « Nicolas Sarkozy, ironise le Canard, est sur le chemin de la sainteté. C'est ce qu'on comprend en lisant son Journal d'un prisonnier, qui raconte sa rédemption et la nouvelle vie qu'il compte mener désormais, loin des équipées chez Kadhafi, loin de ses liens sulfureux avec le Qatar, loin de l'affairisme pratiqué frénétiquement depuis son départ du pouvoir ». Le Canard enchaîné ne semble donc pas convaincu par les propos de Nicolas Sarkozy, qui dans son livre raconte notamment son rapport à la foi, quand il était en prison : « J'ai prié, assure l'ancien président, je priais pour avoir la force de porter la Croix de cette injustice ». Déclaration dont l'hebdomadaire satirique s'amuse en ces termes : « Dieu est partout à la prison de la Santé et il n'oublie pas la brebis égarée ». À lire aussiFrance: l'ex-président Nicolas Sarkozy raconte sa détention dans «Le journal d'un prisonnier» Ancien ministre En France, la fast-fashion est sur le banc des accusés. Et, cette fast-fashion se résume en un mot : Shein. C'est à la Une du Nouvel Obs cette semaine. L'hebdomadaire nous parle d'une « affaire d'État » et nous promet des « révélations sur un lobbying secret ». Car avant de faire office d'ennemi public numéro 1, en France en tout cas, « la plateforme qui reçoit un million de commandes par jour » a courtisé députés et ministres. Le Nouvel Obs s'en offusque : « Les dirigeants de l'enseigne de fast-fashion ont décroché de discrets rendez-vous à Matignon, pour faciliter leurs affaires en France. Plus dérangeant encore : des représentants bien introduits dans les cercles du pouvoir – l'ex-ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner en tête – ont été grassement rémunérés pour défendre les intérêts du dragon de la mode instantanée ». « Que vient faire un proche du chef de l'État dans ce dossier alors que le Parlement est en train de légiférer ? », interroge le Nouvel Obs. En effet, en mars 2024, les députés sont appelés à se prononcer « sur une proposition de loi, déposée par le groupe Horizons, visant à réguler l'ultra fast-fashion ». BHV et taxe Shein Toutefois, le lobbying en faveur de Shein se heurte à la réalité. Avec tout d'abord, la désastreuse installation de la plateforme chinoise au très chic BHV à Paris, installation qui a fait fuir les marques de luxe, mais aussi les clients. Et, ce n'est pas tout : « La riposte s'organise enfin », s'exclame le Nouvel Obs : « L'État demande devant le tribunal judiciaire de Paris, la suspension du site pendant trois mois, pour avoir commercialisé des poupées à caractère sexuel d'apparence enfantine. Et, dans le cadre du chaotique débat budgétaire, les députés ont adopté une "taxe Shein" de deux euros ciblant les petits colis d'origine extra-européenne ». La partie n'est pas terminée pour autant. Shein s'active dans les coulisses à Bruxelles, « un ancien commissaire européen est à la manœuvre, l'allemand Günther Oettinger », explique le Nouvel Obs, qui reste méfiant et qui soupçonne Ursula von der Leyen de manquer de cran sur la question de la fast-fashion. La présidente de la Commission européenne serait « tétanisée à l'idée de provoquer une guerre commerciale avec la Chine ». À lire aussiFrance: «C'est le naufrage de l'année pour Shein et le BHV» Plaider l'humanité Enfin, l'Express s'inquiète pour Christophe Gleizes. Le journaliste sportif français, récemment condamné, en appel, à 7 ans de prison en Algérie, ne semble pas avoir bénéficié de l'éclaircie entre Paris et Alger, entrevue à l'occasion de la libération de l'écrivain franco-algérien, Boualem Sansal, le 12 novembre. « Alger a manifestement opté pour le cynisme », accuse l'Express, qui poursuit : « en se délestant de ses deux prisonniers politiques, le régime algérien se serait privé d'un levier utile dans ses négociations, notamment migratoires et mémorielles, avec la France ». « Tout espoir n'est pas perdu », assure toutefois l'Express : « La possibilité d'une grâce demeure entre les mains du président Abdelmadjid Tebboune. Il faudra plaider l'humanité ; Christophe Gleizes aimerait revoir sa grand-mère Georgette. Elle a bientôt 102 ans.» À lire aussiCondamnation de Christophe Gleizes: «Nous sommes sous le choc de ce verdict», disent ses parents
Le Maroc se prépare à accueillir la CAN. Le pays est bien décidé à remporter à nouveau le trophée ! Dans l'histoire du football africain, c'est comme une anomalie : le royaume fait partie des grandes nations du continent, et pourtant, il n'a remporté la compétition qu'une seule fois en 1976, en Éthiopie. S'il y a bien des personnes qui savent comment faire pour gagner, ce sont les anciens internationaux marocains de cette époque. Rencontre avec Abdelâali Zahraoui et Abdallah Tazi, deux joueurs de la sélection 1976. De notre correspondant de retour de Fès, En 1976, la compétition oppose alors huit sélections. Parmi elles, il y a le Zaïre, le Nigéria, la Guinée, l'Égypte, des cadors du continent. Le Maroc ne fait pas partie des favoris. Abdelâali Zahraoui était milieu de terrain de la sélection marocaine : « Tout le monde a joué avec leur force, avec leur volonté, avec tout ! » L'Éthiopie accueille la CAN cinq mois tout juste après un coup d'État militaire. Abdallah Tazi est également ex-milieu de terrain marocain. « Il y avait deux chars devant l'hôtel. Quand on sortait, on était suivis par des policiers », se remémore-t-il. Cette CAN se joue sous la forme d'une poule finale. Le dernier match, le 14 mars 1976, oppose le Maroc à la Guinée. Une équipe légendaire avec des grands noms comme Petit Sory, Papa Camara… Les Lions de l'Atlas ont besoin d'un match nul pour finir en tête du classement, les Guinéens doivent absolument l'emporter. « Les Guinéens, dès le début du match, ils ont été supérieurs à nous. Ils avaient une très belle équipe, c'était le Brésil d'Afrique, certainement la meilleure du continent », retrace Abdallah Tazi. À lire aussiCAN 2025 : Rabat, ville majeure du tournoi et nouveau centre névralgique du football marocain [1/6] C'est le Syli national qui ouvre le score à la 33ᵉ minute, et pendant près d'une heure, il est champion d'Afrique. Mais à la 86ᵉ minute, venu de la défense marocaine, Ahmed Magrouh, alias « Baba », envoie un boulet de canon pleine lucarne. « Un but exceptionnel, mais Baba, il monte seulement dans le corner. Si tu lui demandes de tirer 50 fois, il ne marquera jamais. Ils avaient de la réussite », commente Abdelâali Zahraoui. Il ressort les photos de cette époque. Sur l'un des clichés en noir et blanc, on le voit poser amoureusement ses yeux sur une petite coupe de métal brillant, c'est la CAN 76. « On nous demande à chaque fois de parler de notre parcours, s'amuse Abdallah Tazi. Il n'y en a que pour la CAN 76. L'équipe actuelle va remporter la CAN et on sera enfin tranquilles, les journalistes n'auront plus à nous appeler ! » Pour Abdelâali Zahraoui, également, c'est une certitude : « Au Maroc, on va gagner la Coupe d'Afrique. Cette année ! » À lire aussiCAN: ces héros peu connus qui ont illuminé la Coupe d'Afrique
Entre anecdotes inédites, moment d'imprévus et fous rires… Tout peut arriver en direct devant des millions de téléspectateurs ou auditeurs.Pour en parler, j'ai réuni trois profils maîtrisants à merveille l'exercice:- Bruno Guillon, animateur radio et télé, qui vit le direct au quotidien en télé et radio depuis plus de 20 ans.- Jean-Marc Généreux, danseur, chorégraphe et juré iconique de Danse avec les stars, habitué des grands shows artistiques où chaque instant compte.- Et enfin, Lora Barbouth, première assistante réalisateur, qui coordonne toutes les équipes sur les plus grands plateaux télé.J'espère que vous passerez un bon moment avec nous, merci à Laura Barbouth, Bruno Guillon et Jean Marc Généreux pour leur temps précieux ainsi que leurs confidences!J'ai hâte de savoir ce que vous en avez pensé dans les commentaires et surtout, dites moi quels sont les thèmes que vous aimeriez découvrir dans les prochains épisodes❤️------ Retrouvez Moi Ici ------▶ INSTAGRAM - https://www.instagram.com/alix.grousset/▶ TIKTOK - alixgrousset▶ TWITTER - https://twitter.com/GroussetAlix▶ PODCAST - "Alix Grousset" dispo sur toutes les plateformes▶ BLOG - http://alixgrousset.com▶ CONTACT - grousset.alix@gmail.com--------------------------------------------------------------------- ------Réalisation: Sarah VeysseyreImage: Sarah Veysseyre et Juliette LeignielSon: Jonathan HemmemMixage son: William MazureCoiffure: Virginie MoissonCheffe de projet: Fiona BochatayCoordination: Florie BodinAnimation et écriture: Alix GroussetGénérique: Camille BelliardLogo: Solène Delgrange (Nomadgency)Miniature: Laura (@ _itshoneystudio)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode de La voix est livre, Nicolas Carreau reçoit Laurent Nunez pour évoquer son ouvrage « Tout ira bien », un récit intime sur les superstitions et croyances magiques qui ont marqué son univers familial. À travers anecdotes et humour, l'auteur explore l'origine de ces pratiques, héritées d'une histoire marquée par l'exil du Maroc vers la France et la peur de l'avenir. Ces croyances, loin d'être ridiculisées, sont présentées comme un patrimoine affectif et culturel, essentiel à la construction de son identité.À retenir :Les superstitions comme refuge face à la précarité et l'incertitude.Un portrait tendre et drôle d'une « tribu » familiale régie par des codes magiques.Une réflexion sur la pensée magique et son rôle dans l'identité personnelle.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:11:18 - L'Avant-scène - par : Aurélie Charon - Simon Roth présente dans le Festival de théâtre émergent Impatience sa pièce "Erdal est parti", qui retrace la vie d'Erdal Karagoz, réfugié politique kurde en France. - réalisation : Alexandre Fougeron - invités : Simon Roth comédien, metteur en scène
C dans l'air l'invité du 11 décembre 2025 avec Nicolas Dufourcq, directeur général de Bpifrance, auteur de "La Dette sociale de la France", aux éditions Odile Jacob.La dette..."Tout le monde en connaît l'existence (...) Il s'agit d'un crédit à la consommation, et non d'un investissement dans le futur de la France ou dans sa défense contre des ennemis. Elle paie les factures mensuelles de millions de nos concitoyens", écrit Nicolas Duforucq. Dans "La Dette sociale de la France", le directeur général de la Banque publique d'investissement (BPI), décrit notre société vieillissante, et les défis qu'elle doit relever pour surmonter ses peurs. Il revient aussi sur 50 ans de hausse de la dette. Alors que nous fêtons les 80 ans de la Sécurité sociale, il relate comment le pays en est arrivé là, et quelles mesures il faudrait prendre, selon lui, pour sauver notre système social, et protéger les générations futures. Nicolas Dufourcq reviendra également avec nous sur l'adoption mardi du budget de la Sécu. Un ouf de soulagement pour le Premier ministre Sébastien Lecornu, mais quelles conséquences pour les milieux économiques ? Et sur la dette ?
C dans l'air l'invité du 11 décembre 2025 avec Nicolas Dufourcq, directeur général de Bpifrance, auteur de "La Dette sociale de la France", aux éditions Odile Jacob.La dette..."Tout le monde en connaît l'existence (...) Il s'agit d'un crédit à la consommation, et non d'un investissement dans le futur de la France ou dans sa défense contre des ennemis. Elle paie les factures mensuelles de millions de nos concitoyens", écrit Nicolas Duforucq. Dans "La Dette sociale de la France", le directeur général de la Banque publique d'investissement (BPI), décrit notre société vieillissante, et les défis qu'elle doit relever pour surmonter ses peurs. Il revient aussi sur 50 ans de hausse de la dette. Alors que nous fêtons les 80 ans de la Sécurité sociale, il relate comment le pays en est arrivé là, et quelles mesures il faudrait prendre, selon lui, pour sauver notre système social, et protéger les générations futures. Nicolas Dufourcq reviendra également avec nous sur l'adoption mardi du budget de la Sécu. Un ouf de soulagement pour le Premier ministre Sébastien Lecornu, mais quelles conséquences pour les milieux économiques ? Et sur la dette ?
On entend parfois dire que le christianisme serait une religion de Blancs. C'est ainsi qu'est formulée la question du jour, et c'est Florent qui la posera à Nathanaël, notre invité. Professeur de mathématiques et animateur de la chaîne Kurious, appréciée pour ses exposés éclairants, Nathanaël est également l'auteur du livre Car Dieu a tant aimé les Noirs, avec lequel il viendra déconstruire certains clichés malheureusement associés à un christianisme occidental.
Bienvenue sur Sensées, le format audio de ma newsletter hebdomadaire. Chaque semaine, je vous partage avec authenticité des conseils de leadership féminin, des expériences vécues et toute l'énergie dont vous avez besoin pour réussir avec confiance et sérénité.Cette semaine : Deux outils essentiels pour traverser une période difficile et retrouver votre stabilité émotionnelle.Dans cet épisode de Sensées, Jenny Chammas, mastercoach certifiée et fondatrice de Coachappy, explore deux outils puissants pour traverser une période difficile avec plus de conscience, de stabilité et de douceur. Au travail comme dans la vie privée, chacune de nous vit des moments de vulnérabilité : inquiétudes pour les enfants, maladie d'un parent, séparations, transitions, déménagements, deuils… Autant de situations personnelles qui pèsent sur l'état émotionnel et rendent le quotidien professionnel plus exigeant. Cet épisode propose une manière simple, accessible et profonde d'accueillir ce que vous vivez pour mieux traverser une période difficile sans vous épuiser.Nous avons tendance à refouler, minimiser ou ignorer les émotions qui émergent dans ces moments. Pourtant, lorsqu'elles ne sont pas reconnues, elles s'impriment dans le corps, amplifient la fatigue mentale et altèrent la qualité de nos actions et de nos décisions. Les femmes leaders que nous accompagnons en témoignent chaque semaine : la surcharge émotionnelle est souvent un poids invisible qui impacte directement leur charge mentale, leur concentration et leur bien-être au travail.Dans cet épisode, Jenny partage deux outils essentiels à intégrer dans votre quotidien :Saisir sa chance infime pour accueillir ses émotions.Même les journées les plus chargées recèlent cinq minutes pour respirer, fermer les yeux et observer ce qui se passe en vous. Localiser l'émotion dans le corps, décrire sa texture, visualiser sa couleur : autant de micro-rituels qui permettent de remettre de la distance, de l'apaisement et de la présence. Ce geste simple est l'un des moyens les plus efficaces pour traverser une période difficile sans se couper de soi.L'écriture du flot de pensées.Écrire ce que votre esprit produit sans filtre ni logique est un outil de clarté remarquable. Le flot de pensées vous aide à décoder vos pensées automatiques, à dissocier faits et interprétations, et à identifier ce qui vous sabote. Cet exercice offre une véritable décantation émotionnelle : il ramène du recul, de la lucidité et la possibilité de choisir vos pensées intentionnelles.Ce que vous saurez faire après écoute :– Accueillir vos émotions sans les fuir ni les minimiser.– Identifier les pensées qui intensifient votre charge mentale.– Comprendre comment une situation personnelle influence votre vie professionnelle.– Utiliser l'écriture comme outil de régulation émotionnelle.– Mettre en place des micro-actions pour soutenir votre bien-être au travail.Ces outils sont au cœur de notre méthode dans le programme Sensées. Pendant quatre mois, vous êtes accompagnée chaque semaine pour traverser vos défis professionnels et personnels, retrouver de la sérénité et développer un leadership féminin aligné, même lorsque la vie devient intense. Le prochain groupe démarre le 3 février 2026, et une séance individuelle est offerte à toutes celles qui s'inscrivent avant le 19 décembre.Pour être accompagnée, découvrez le programme Sensées, pensé pour soutenir les femmes leaders dans toutes les dimensions de leur vie : Cliquez ici pour en savoir plus.****Rejoignez la newsletter Sensées : elle vous donne accès à un concentré de coaching, d'inspiration et à un workshop offert chaque mois. Inscrivez-vous gratuitement en cliquant ici. Tout comme sur le podcast Sensées, on y parle de leadership, d'ambition, de confiance en soi, de motivation, de carrière, d'outils de développement personnel, de management, de prise de poste, de prise de parole, et. : bref, de tout ce qui concerne le quotidien des femmes ambitieuses.***Sensées, c'est aussi un programme de coaching pour les femmes dirigeantes, top managers et entrepreneures. Au sein du programme Sensées, vous êtes accompagnée en petit groupe ET en individuel dans votre croissance professionnelle. Vous êtes aussi formée et mentorée pour incarner pleinement votre leadership, avec les maîtres mots sérénité, plaisir, hauteur et impact. Intéressée ? Cliquez ici pour en savoir plus.**Notre guide "10 leviers essentiels pour les décideuses" est un véritable concentré d'outils de coaching et de mentoring, les mêmes que nous utilisons dans le programme Sensées. Il est conçu pour toutes les directrices, dirigeantes et entrepreneures qui sont fatiguées de porter seules les responsabilités. Si vous avez l'impression que votre quotidien vous échappe petit à petit, ce guide est fait pour vous. Cliquez ici pour obtenir votre exemplaire offert !*Vous représentez une entreprise et souhaitez développer le leadership de vos talents féminins ? : cliquez ici.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Samedi 13 décembre, c'est la très officielle Journée internationale de la raclette. La recette vient des Alpes. Le fromage à raclette est fabriqué avec du lait de vache. À l'origine, on coupait une meule en deux, on l'approchait du feu et on "raclait" le fromage qui commençait à fondre. D'où le nom de raclette... Ecoutez Olivier Dauvers : les secrets de la conso du 12 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les Champs-Elysées, la plus belle avenue du monde. Nous allons tenter d'en percer le mystère en la descendant depuis la place de l'Etoile. Industries du luxe, restauration, histoire, showroom de constructeurs automobiles, cinéma, magasins mainstream : qu'est-ce qui fait le charme de cette avenue? Anne-Laure et moi avons testé plusieurs moments de la journée : l'après-midi (première visite), le soir et enfin le matin de bonne heure pour une grande promenade. L'avenue peut se révéler assez déconcertante, mais elle ne laisse pas indifférent. On peut y suivre les différentes étapes de son histoire. Je détaillerai davantage l'ambiance de chaque lieu dans la lettre qui accompagne cet épisode, n'hésitez pas à découvrir mes Lettres parisiennes sur www.onethinginafrenchday.com. Enfin, parce que cet épisode est long, vous pourrez jouer à tester votre compréhension au fur et à mesure de l'écoute (réservé aux abonnés des Lettres parisiennes). Ah, et n'oubliez pas le calendrier de décembre sur le site du podcast ! Le 20 décembre, il y aura un concours avec des livres à gagner ! Et à partir de la semaine prochaine, le podcast ouvre sa malle aux trésors… que contient-elle ? Vous le découvrirez en écoutant les épisodes de la semaine prochaine.
durée : 00:28:47 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Karine Le Loët - Valentin crée des chaînes TikTok où il diffuse de fausses rumeurs pour gagner abonnés et revenus. Tout est fake, mais il assume. Audrey est journaliste, elle découvre sa photo et sa signature sur un faux site relayant une rumeur sur Brigitte Macron, une usurpation d'identité la laissant démunie. - réalisation : Clémence Gross
Good news: economic downturns don't have to mean disaster for your studio. In fact, with the right messaging and moves, you can turn uncertainty into opportunity. In Episode 693: Your Economy-Proof Plan, Part 2, Coach Matt Hanton and I tackle growth strategies that can position your studio to excel while everyone else is playing defense. Reframe the message: emphasize value—fitness is an investment, not a luxury Tout value: compare your offer to pricier experiences like dinner and concerts Hit the 5 kinds of wealth: exercise feeds the mind, body, wallet, time and relationships Be greedy for growth: look for acquisition, talent and market share opportunities Diversify your stool: add new revenue legs, like retail or events, to steady your base Economic slumps don't have to mean shrinking ambitions. Trade fear for faith and take a proactive approach to come out ahead of the curve. Episode 693 lays out your roadmap. Catch you there, Lise PS: Join 2,000+ studio owners who've decided to take control of their studio business and build their freedom empire. Subscribe HERE and join the party! www.studiogrow.co www.linkedin.com/company/studio-growco/
The President is speaking right now in Pennsylvania after giving himself an “A+++++” for his handling on the economy. Plus, top Democrats say Pete Hegseth is dodging releasing video of the controversial boat strike in the Caribbean. Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices