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Tout sur l'affaire Grégory, dans une HVF qui débute le 16 octobre 1984, avec la disparition de Grégory Villemin. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
C'est l'histoire d'une mère qui a perdu sa fille, Salomé Garnesson, sous les coups de son compagnon. C'est aussi une histoire d'emprise… En 2019, Salomé Garnesson a été la 100ème femme morte à la suite de violences conjugales. Malgré les procès, il y a encore un long chemin à parcourir pour combattre ce fléau… Tout au long de cette saison, Caroline Nogueras sera avec Muriel Dotta, la maman de Salomé pour évoquer l'affaire. Un crime de possession Quinze jours après le meurtre de Salomé Garnesson, sa mère Muriel Dotta prend une avocate et porte plainte contre Amin M. Mis en examen puis écroué à la maison d'arrêt de Grasse, l'ex petit ami de Salomé est soumis à plusieurs expertises psychiatriques. Jusque-là inconnu des services de police, Amin cachait bien son jeu. Derrière son apparente normalité se dissimule un homme bien plus violent, manipulateur et dangereux qu'il n'y paraît. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Capucine Lebot Voix : Caroline Nogueras Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Laura Warton Martinez, sophrologue, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Laura Warton Martinez, sophrologue, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tout ce qui fait partie de ma vie actuelle et qui enverrait la Anna de 15 ans dans un coma de KIFF !!! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est une histoire fascinante, presque incroyable : le design de nos fusées modernes, celles qui partent aujourd'hui vers la Lune ou Mars, doit en partie… aux chars romains. Ce n'est pas une légende urbaine : c'est une chaîne d'héritages techniques et de contraintes normalisées qui remonte à plus de deux mille ans.Tout commence avec les chars de guerre romains. Leur écartement entre les deux roues — environ 1,435 mètre — n'avait rien d'arbitraire. Cette largeur correspondait à la taille moyenne de deux chevaux attelés côte à côte, plus l'espace nécessaire à leurs sabots et aux roues du char. Ce standard s'impose dans tout l'Empire romain, car les routes pavées étaient creusées de sillons adaptés à cet écartement. Tout véhicule devait donc respecter cette dimension pour ne pas se briser les essieux.Des siècles plus tard, ce même écartement se retrouve dans les charrettes médiévales puis dans les wagons de mine britanniques. Quand les premiers ingénieurs du XIXᵉ siècle conçoivent les locomotives, ils reprennent naturellement les rails existants, eux-mêmes adaptés à la largeur des anciennes charrettes. C'est ainsi que l'écartement standard des chemins de fer modernes — 1,435 mètre, soit exactement celui des chars romains — est né et s'est imposé sur la quasi-totalité du globe.Et voici où cela devient étonnant : lorsque la NASA et les ingénieurs américains développent les premières fusées et les propulseurs des navettes spatiales, ils doivent fabriquer et transporter ces éléments gigantesques depuis leurs usines jusqu'au site de lancement, en l'occurrence le Kennedy Space Center. Or les segments des boosters à poudre de la navette américaine étaient produits dans l'Utah, puis acheminés… par chemin de fer. Les tunnels et wagons utilisés pour ce transport étaient calibrés sur la largeur standard des rails — 1,435 mètre — donc sur la taille des chars romains.Résultat : la taille maximale des propulseurs latéraux (Solid Rocket Boosters) a été partiellement contrainte par cette norme vieille de deux millénaires. Impossible de les élargir sans changer toute la logistique ferroviaire.Autrement dit, une partie du design de nos fusées modernes découle d'un choix pratique fait par des ingénieurs… de l'Antiquité. Ce n'est pas que les Romains ont inventé les fusées, mais que leurs chars ont fixé une mesure devenue universelle. Un simple écartement de roues, dicté par la largeur de deux chevaux, a fini par influencer la conquête spatiale.En somme, nos fusées ne portent pas seulement l'héritage de la science moderne — elles roulent encore, symboliquement, dans les traces des chars de Rome. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tout sur l'affaire Grégory, dans une HVF qui débute le 16 octobre 1984, avec la disparition de Grégory Villemin. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Send us a textActivité: Imagine et Dessine Ton Endroit SpécialDans cette activité créative et de pleine conscience, les enfants vont s'exercer à utiliser leur imagination pour voyager dans un "endroit spécial" dans leur esprit, qui est en fait un lieu réel !La visualisation d'aujourd'hui est : Une Méditation Créative au Centre Pompidou, à Paris.Tout d'abord, nous commencerons par notre pratique de respiration en cercle du cœur – une technique simple et apaisante pour aider chacun à se détendre et se recentrer.Ensuite, les enfants fermeront les yeux et écouteront une visualisation guidée, où ils exploreront un lieu réel dans leur imagination.Après cela, ils auront l'occasion de dessiner l'endroit qu'ils ont imaginé, en capturant tous les détails qu'ils ont vus, entendus et ressentis. Cette activité encourage la créativité, la pleine conscience et la joie de donner vie à leurs mondes intérieurs à travers l'art!À la fin, c'est une excellente idée de montrer aux enfants une photo du lieu réel afin qu'ils puissent comparer avec leur imagination!Intro/Outro music by Jef ShadoanSupport the showBig Belly Breathing (BBB) is a bilingual audio program for kids (and the grownups who love them), founded by Vanessa Hutchinson-Szekely. Featuring episodes in English and French, BBB focuses on mindfulness, health, and wellness—inviting young listeners into joyful, imaginative, and restorative practices. As a Physical Education and meditation teacher, parent of bilingual kids, yoga instructor, social-emotional learning facilitator, and holistic health & wellness coach, Vanessa created Big Belly Breathing to help children establish daily habits that nurture both body and mind. Healthy Habits = Happy Kids Through each episode, children are gently guided to: Breathe mindfully Stretch their creativity Build emotional awareness Practice gratitude And enjoy mini-moments of deep rest that help them reset, restore, and recalibrate. In today's busy, screen-heavy world, BBB offers kids a chance to feel centered, grounded, and good—helping them create their own self-care rituals, routines, and wellness habits that can last a lifetime. These tools support mental clarity, physical health, and emotional resilience, setting kids up for more joy today and as they grow into adulthood. But it's not just for kids! BBB also includes special episodes designed for ...
Dans un monde où tout va trop vite, où chaque minute doit être rentabilisée, le droit au repos semble presque subversif. Pourtant, se reposer n'est pas une faiblesse : c'est un acte de leadership. Dans cet épisode du podcast Sensées, nous explorons pourquoi et comment ralentir devient aujourd'hui un levier essentiel pour le bien-être au travail, la santé mentale et la performance durable des femmes leaders.À travers des exemples concrets et une réflexion puissante, Jenny Chammas, mastercoach certifiée, vous montre que le droit au repos n'est pas une récompense accordée “quand tout est fini”, mais une condition nécessaire à votre équilibre et à votre impact. Car sans repos, la fatigue mentale s'installe, la clarté s'érode et le risque d'épuisement professionnel augmente.Ce que vous saurez faire après écoute :– Identifier les six raisons invisibles qui vous empêchent de vraiment vous reposer.– Reconnaître les signaux physiques et émotionnels de la fatigue mentale avant qu'ils ne s'aggravent.– Apprendre à ralentir sans culpabilité pour préserver votre énergie.– Redéfinir la réussite en intégrant le bien-être au travail comme pilier de votre leadership.– Mettre en place des micro-actions simples pour prendre soin de vous au quotidien.Dans un environnement où la performance est souvent confondue avec la productivité, cet épisode vous invite à revisiter vos croyances sur le repos et à poser un regard neuf sur votre rapport à l'action. Le droit au repos est un acte de puissance : il vous reconnecte à votre corps, à vos limites et à ce qui compte vraiment. Il vous permet de prendre soin de vous tout en nourrissant votre ambition de manière durable.Écoutez l'épisode et (re)découvrez la force du repos : celle qui nourrit votre lucidité, votre créativité et votre impact.
C'est l'histoire d'une mère qui a perdu sa fille, Salomé Garnesson, sous les coups de son compagnon. C'est aussi une histoire d'emprise… En 2019, Salomé Garnesson a été la 100ème femme morte à la suite de violences conjugales. Malgré les procès, il y a encore un long chemin à parcourir pour combattre ce fléau… Tout au long de cette saison, Caroline Nogueras sera avec Muriel Dotta, la maman de Salomé pour évoquer l'affaire. Sous emprise Nous sommes au début du mois de septembre 2019. Le gouvernement d'Emmanuel Macron s'apprête à lancer le Grenelle pour lutter contre les violences conjugales. Salomé, 21 ans, vient de décéder sous les coups de son petit ami et devient immédiatement un symbole : elle est la 100e femme tuée par son compagnon depuis le début de l'année. Salomé avait la vie devant elle : une famille aimante, des projets de voyage, des ambitions professionnelles… Mais elle a croisé la route d'Amin M et quelques mois plus tard, il l'a tué. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Capucine Lebot Voix : Caroline Nogueras Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Journée historique en Guinée. Ce mardi 11 novembre marquera le lancement de la mine de Simandou, cette immense réserve de deux milliards de tonnes de fer à haute teneur. Une mine dont les Guinéens attendaient l'exploitation depuis trente ans. Bientôt, les deux principaux opérateurs, Winning Consortium Simandou (WCS), un consortium d'entreprises chinoises, et Simfer, une filiale de l'anglo-australienne Rio Tinto associée à la chinoise Chinalco, exporteront 120 millions de tonnes de fer par an, générant des milliards de dollars de revenus pour l'État guinéen. Ce projet lèguera aussi un chemin de fer de plus de 600 km entre le port de Morebaya et la mine dans l'est du pays. Et prévoit la construction, dans un deuxième temps, d'un port en eau profonde et d'une usine de transformation du minerai. Le ministre des Mines Bouna Sylla répond aux questions de RFI. RFI : Ce mardi 11 novembre marque le lancement du projet Simandou. Cela fait presque trente ans que l'on parle de ce projet, qui se concrétise enfin. C'est un jour historique pour la Guinée. Est-ce une satisfaction pour vous ? Bouna Sylla: C'est plus qu'une satisfaction. C'est plutôt le passage du rêve à la réalité pour des millions de Guinéens. Depuis nos pères fondateurs, tous les dirigeants qui se sont succédé ont eu pour objectif de réaliser ce projet. Finalement, c'est grâce au leadership du président de la République, Mamadi Doumbouya, que ce projet voit le jour de manière concrète, avec les infrastructures que vous voyez devant vous. Ce gigantesque projet est le plus gros projet mine-infrastructures dans le monde, avec 20 milliards de dollars d'investissements. Comme vous le dites, ce sera un des plus grands projets miniers du monde. Les entreprises doivent produire et exporter à terme 120 millions de tonnes de fer par an. Cela va générer des revenus considérables pour l'État guinéen à travers des taxes et des impôts. À combien chiffrez-vous ces revenus ? Quand on atteindra les 120 millions de tonnes, ce sera environ deux milliards de dollars de revenus qui seront générés par le projet, sans compter les revenus indirects. Le projet ne sera pas uniquement pour l'exportation du minerai brut, comme on l'a connu par le passé, mais ce minerai sera également transformé sur place pour plus de valeur ajoutée. Les premières années, les entreprises bénéficieront d'exonérations d'impôts relativement importantes. Les dix premières années, Winning Consortium Simandou (WCS) ne payera pas d'impôts sur les sociétés et Simfer bénéficiera d'une exonération de 50 % les huit premières années. Pourquoi ces exonérations aux entreprises ? Dans l'industrie minière, les revenus les plus sûrs sont les royalties, c'est-à-dire les taxes minières. Il n'y a pas d'exonération sur les taxes minières. Dans le cas de Simfer, les impôts sur les sociétés sont remplacés par le pilier deux de l'OCDE pour que, dès les premières années de profits, il y a 15 % de profits qui sont partagés avec l'État. À la fin de la période de l'impôt minimum forfaitaire de l'OCDE, on passera au droit commun qui est de 30 %. Dans combien de temps atteindra-t-on la production de 120 millions de tonnes de fer ? Dans les accords, c'est trois ans. Mais avec l'avance qui a été prise par les partenaires industriels dans la réalisation du projet, nous atteindrons ces 120 millions de tonnes au bout de deux ans. Simandou en phase d'exploitation représente environ combien d'emplois directs et indirects ? En phase de construction, c'est plus de 50 000 emplois. En phase d'exploitation, c'est entre 10 000 et 15 000 emplois directs, sans compter tous les emplois indirects. Quand vous mettez tout ça ensemble, cela sera au moins plus de 20 000 emplois. On est en train de passer de la phase de construction de la mine à la phase d'exploitation. Ces prochains mois, on va vers une perte de 30 000 emplois à peu près. Justement, dans le cadre du comité stratégique du projet Simandou, on a une task force qui s'appelle la « Task force de mobilisation » afin d'éviter que les 50 000 personnes qui travaillent sur ce projet ne se retrouvent pas au chômage. C'est pour cela que nous travaillons pour créer de nouveaux projets dans le cadre du programme Simandou 2040. Dans le secteur minier, on a un projet de raffinerie qu'on a lancé au mois de mars dernier, qui va absorber une partie de ces employés. D'ici à la fin de l'année, on va lancer un nouveau projet de raffinerie de transformation de bauxite en alumine. Tous ces projets que nous allons lancer permettront d'absorber, dans le cadre de la remobilisation des démobilisés du projet, ces 50 000 personnes et leur trouver des perspectives. Ce qui va permettre de réduire la pauvreté dans le pays. Les conventions ont été renégociées en 2022 et 2023 sous le Comité national du rassemblement pour le développement (CNRD). Qu'est-ce qui a changé à la suite de ces renégociations ? Au niveau fiscal, on a amélioré substantiellement les revenus attendus par l'État dans le projet de plus de 20 % par rapport aux conventions initiales. Mais aussi, chose extrêmement importante, les infrastructures telles que renégociées vont faire du transport marchandises, passagers et minerais. Il y aura un train de passagers par jour dans chaque direction et trois trains marchandises par semaine, ce qui permettra d'augmenter encore plus l'impact économique du projet pour l'ensemble du pays. Les conventions ont été renégociées en 2022 et 2023. Une partie des résultats de ces négociations ont été publiés, mais pas tout. Notamment, la convention de codéveloppement, qui crée la Compagnie du Transguinéen (CTG) et qui encadre la gestion des infrastructures du projet, n'a pas été publiée. Certains observateurs estiment que c'est un manque de transparence. Quand est-ce que cette convention sera publiée ? Il faut se rendre compte que c'est un projet complexe. Il entre en production aujourd'hui, mais il y avait quelques documents qui étaient en cours d'ajustement. Après la construction des infrastructures, il faut six mois de mise en service pour s'assurer que l'ensemble de l'infrastructure est robuste. C'est après tout cela que l'on peut entrer dans les questions de publication des documents. On ne va pas publier quelque chose alors qu'on a six mois de mise en service. À la fin de la mise en service, c'est validé par les certificateurs indépendants internationaux qui sont recrutés, qui disent : « Tout est ok. Voici le coût des investissements. Le chemin de fer fonctionne bien, la signalisation fonctionne bien. Les boucles ferroviaires, etc. » C'est à la fin de tout cela que l'on pourra publier. Mais une fois que la mise en service du projet est finalisée, c'est-à-dire pas avant six mois, vers juin 2026. Puisque cette convention, pour l'heure, n'est pas publiée, on a peu de précisions encore sur la CTG qui sera l'opérateur des infrastructures. Quel est le statut de cette entreprise ? Les entreprises minières vont-elles, par exemple, devoir payer une redevance pour utiliser les infrastructures ? Qu'est-ce que va rapporter à l'État guinéen ? C'est une société anonyme, privée, de droit guinéen, qui est propriétaire des infrastructures et qui est opérateur de ces infrastructures pour les 35 prochaines années. Le modèle économique du projet, c'est que les principaux clients de la CTG, ce sont les mines. Les mines vont faire transporter leurs minerais sur le chemin de fer et l'exporter via le port. Ce n'est pas gratuit, ils vont payer des redevances d'utilisation de l'infrastructure. Ce sont ces redevances qui permettent à la CTG de fonctionner, mais également de rembourser les dettes contractées pour le financement de la réalisation de l'infrastructure. Certains responsables guinéens ont affirmé à plusieurs reprises que les entreprises minières construisaient un port en eau profonde pour accueillir les minéraliers, qui sont les bateaux servant à exporter le fer. Pourtant, sur les sites Internet de Simfer et de Winning Consortium Simandou, il est indiqué qu'ils construisent des ports de barges qui, elles, iront en haute mer pour déposer le fer sur des minéraliers. Finalement, quel type de ports aura-t-on pour ce projet ? À la fin de l'atteinte des 120 millions de tonnes, au bout de deux ou trois ans, on va engager les études de faisabilité pour l'extension de la capacité du port, pour passer à un port en eau profonde. Il faut d'abord faire les études de faisabilité qui nous diront combien de temps prendra la construction de l'infrastructure. Les conventions prévoient que les entreprises fassent une étude de faisabilité dans les deux ans, soit pour une aciérie d'une capacité de 500 000 tonnes par an, soit d'une usine de pellets - un produit intermédiaire entre le fer et l'acier - d'une capacité de deux millions de tonnes par an. En Guinée, l'un des problèmes majeurs pour l'industrialisation, c'est le manque d'énergie. Avec quelles solutions énergétiques peut-on construire de telles usines en Guinée ? Déjà, il y a une capacité aujourd'hui hydroélectrique qui permet de fournir de l'énergie à ce projet d'aciérie ou d'usines de pellets de 2 millions de tonnes. Il y a un barrage en construction de 300 mégawatts, qui est à plus de 45 % terminé. Il y a d'autres projets thermiques qui sont également en construction. Il y a une planification énergétique aujourd'hui du pays pour aligner les besoins énergétiques et industriels du pays avec le développement de nouveaux projets. Ce projet Simandou, avec les flux de revenus que cela va générer pour l'État, permettra également d'avoir plus de capacités de financement pour de nouvelles capacités énergétiques. En Guinée, il y a un autre grand gisement de fer, c'est la mine de fer du mont Nimba, qui n'est pas très loin de Simandou d'ailleurs. Ce projet reste bloqué parce que jusque là, les entreprises privilégiaient de faire sortir le minerai par le Liberia qui est plus proche, alors que l'État guinéen privilégiait une sortie par un port guinéen. Aujourd'hui, l'option que vous privilégiez, c'est de faire un raccordement entre le chemin de fer de Simandou et le mont Nimba ? La volonté du gouvernement, c'est de faire une boucle ferroviaire sur l'ensemble du pays. Le gisement du mont Nimba est à 130 kilomètres du chemin de fer de Simandou, ce n'est pas très loin. La question de capacité ne se pose pas, car il y a une capacité disponible sur l'infrastructure ferroviaire. Cela augmente aussi la viabilité du projet de Nimba, du fait de la disponibilité de l'infrastructure du Simandou. Il y a d'autres projets miniers de moindre envergure qui sont aussi en souffrance depuis un moment. Notamment la bauxite à Dabola-Tougué et le fer à Kalia, dans la région de Faranah. Envisagez-vous aussi de faire des raccordement de chemin de fer pour relancer ces projets miniers ? Tout le mérite de ce projet Simandou tel qu'il est pensé, conçu et réalisé, c'est d'être une infrastructure multi utilisateurs. Cela veut dire qu'il y a un droit d'accès des tiers qui sont le long du corridor. Vous avez parlé du projet de bauxite de Dabola-Tougué, du projet de minerai de fer de Kalia, et on vient de parler du mont Nimba. Tous ces projets négocieront des accords d'accès ferroviaire pour pouvoir transporter leurs minerais vers les ports qui se trouvent sur la côte. L'avantage du co-développement, c'est que ça permet d'avoir une infrastructure qui est économiquement viable parce que ça réduit les dépenses d'investissement de capital (Capex) pour tous les investisseurs. Cela permet aussi aux mines de pouvoir transporter leurs minerais à des prix compétitifs et devenir beaucoup plus viables. Le minerai de Kalia, s'il n'y avait pas la disponibilité de cette infrastructure, est difficile à sortir, car il est piégé dans l'arrière-pays. Mais du fait de la disponibilité de cette infrastructure et du droit d'accès qu'elle offre, avec des principes tarifaires extrêmement transparents pour tous les utilisateurs, c'est une chance pour tous les projets qui se trouvent le long du corridor d'être sur le marché. Une chance aussi pour la Guinée d'avoir à réaliser ces infrastructures conformément à cette vision. Sinon, on allait se retrouver avec une infrastructure dédiée uniquement au minerai de fer de Simandou, ce qui n'avait aucun sens. Malheureusement, sur les chantiers, il y a eu un certain nombre d'accidents et de morts. Winning Consortium a déclaré en octobre qu'il y avait eu deux morts chez eux. Nos confrères de Reuters ont publié en mars une enquête dévoilant qu'il y avait eu une dizaine de morts chez Winning Consortium. Au mois d'août, il y a eu un mort chez Rio Tinto. Quel est votre bilan du nombre de morts sur les chantiers ? Je ne commente pas les chiffres, mais ce que je peux vous dire que pour tous ces accidents, on a recruté des firmes indépendantes pour des enquêtes. Les résultats de ces enquêtes vont être révélés. Mais votre bilan, combien y a-t-il eu de morts sur la phase de construction en tout ? Comme je vous ai dit, il y a des enquêtes qui sont en cours. Quelqu'un peut aller au travail et il rentre le soir, il a la malaria, il meurt. On va déterminer si c'est à cause de son travail ou non. C'est pour cela que l'on met en place des enquêtes indépendantes. Il y a des firmes internationales qui ont été recrutées, qui font ces enquêtes dont les résultats seront communiquées ultérieurement. Les questions d'accident et de santé-sécurité pour les travailleurs du secteur minier sont un sujet extrêmement important pour nous. Nous travaillons avec tous les partenaires internationaux afin de prendre des mesures afin que ce type d'accident ne puisse se reproduire. Dans les conventions, il est prévu que 5 % des revenus induits par le projet Simandou aillent dans l'éducation. Pourriez-vous préciser ce projet ? 5 % des revenus de chacune des mines, en termes d'impôts et taxes, que l'État guinéen va percevoir, vont être affectés au financement du système éducatif à l'intérieur du pays. Construire des écoles, des bibliothèques, des enseignants pour augmenter le niveau de l'éducation, le niveau d'alphabétisation. Ensuite 20 % des impôts et taxes que l'État va percevoir provenant de la CTG pour amener aux meilleurs lycéens guinéens, des 33 préfectures du pays pendant les 35 prochaines années, des bourses d'études en France, aux États-Unis, en Chine, au Japon, dans le monde entier pour former les générations futures. L'argent pour les générations futures, c'est l'investissement sur le capital humain. Avec les 5 % de revenus induits par Simandou et les 20 % de la CTG, combien tablez-vous pour le budget de ce programme ? Pas moins de 200 à 300 millions de dollars par an. Il faut préciser que toutes ces bourses seront pour les filières scientifiques et techniques, parce que il faut former plus de gens pour la production que pour la gestion. Ce qui ferait à peu près combien de bourses d'études par an ? Je ne peux pas vous dire aujourd'hui avec certitude combien de personnes on pourrait envoyer, mais c'est des milliers de jeunes qui vont en profiter. À lire aussiGuinée: les autorités inaugurent le mégaprojet minier de Simandou
Lors de son élection à la magistrature suprême de Venise, le doge Dandolo avait déjà 80 ans. Tout le monde pensait qu'il ne serait qu'un doge de transition ; il allait se révéler un stratège diabolique. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tout sur l'affaire Grégory, dans une HVF qui débute le 16 octobre 1984, avec la disparition de Grégory Villemin. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tu veux que je te raconte l'histoire du tout petit crocodile? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti !
Tu en as marre de galérer seul·e dans ton coin, de ne pas savoir comment scaler ton activité ou de te sentir perdu·e entre toutes les stratégies que tu vois passer ?Dans cet épisode collector, je t'ouvre les portes de l'Incubateur Solopreneur et te dévoile tout ce qui t'attend en 2026 : les nouveaux formats, les outils concrets, les accompagnements personnalisés, et surtout comment cet incubateur va t'aider à construire ton business pas à pas, sans te cramer.Au programme :
C'est l'histoire d'une mère qui a perdu sa fille, Salomé Garnesson, sous les coups de son compagnon. C'est aussi une histoire d'emprise… En 2019, Salomé Garnesson a été la 100ème femme morte à la suite de violences conjugales. Malgré les procès, il y a encore un long chemin à parcourir pour combattre ce fléau… Tout au long de cette saison, Caroline Nogueras sera avec Muriel Dotta, la maman de Salomé pour évoquer l'affaire. Un corps dans une poubelle Samedi 31 août 2019, Cagnes-sur-Mer, près de Grasse. Sous le doux soleil de la fin de l'été, on profite du dernier week-end avant la rentrée des classes. Il est midi, un homme s'avance dans l'impasse au bout de la rue Garigliano, juste à côté de la gare. Il veut vérifier : plus tôt dans la matinée, depuis son appartement, il a l'impression d'avoir vu un pied dépasser du tas d'ordures… Malheureusement, il n'a pas rêvé. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Capucine Lebot Voix : Caroline Nogueras Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, prof d'histoire-géo, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tu passes tes soirées sur tes missions clients au lieu de développer ton business ? Tu refuses des clients parce que tu n'as plus de temps ? Tu galères avec 15 outils différents qui ne communiquent pas entre eux ? Tu rêves de scaler mais tu ne sais pas par où commencer ?Dans cet épisode, je te révèle les 10 outils qui m'ont fait passer de freelance épuisée à 2K€/mois à solopreneure (350K€/an).Des outils concrets, testés et approuvés, qui te feront gagner un max de temps (et multiplier tes revenus).⚙️ Ma stack complète de 100 outils (avec codes promos exclusifs) : https://leboard.systeme.io/stacksolopreneurAu programme :▪️ 00:00 - Sans ces outils, je serais encore bloquée à 2K€/mois ▪️ 00:48 - Les 3 outils qui ont multiplié ma rentabilité par 10 ▪️ 03:24 - Comment je crée des produits à 350K€ sans développeur ▪️ 07:29 - Les 2 outils qui font de moi une machine à contenu ▪️ 11:03 - L'outil qui gère ma communauté de 300+ membres en autopilotVoir l'épisode en vidéo pour avoir un aperçu des outils : https://youtu.be/fxbLtdRjOl4
Découvrez prochainement la nouvelle saison inédite de Home(icides). C'est l'histoire d'une mère qui a perdu sa fille, Salomé Garnesson, sous les coups de son compagnon. C'est aussi une histoire d'emprise… En 2019, Salomé Garnesson a été la 100ème femme morte à la suite de violences conjugales. Malgré les procès, il y a encore un long chemin à parcourir pour combattre ce fléau… Tout au long de cette saison, Caroline Nogueras sera avec Muriel Dotta, la maman de Salomé pour évoquer l'affaire. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
L'évènement de la semaine est signé Renault, qui a dévoilé sa nouvelle Twingo, la 4e du nom, en version tout électrique. L'idée est de surfer sur ce qu'on appelle le néo rétro. : après la R5 et la 4L Renault choisit donc de faire renaitre la toute première Twingo dans une version modernisée. D'ailleurs, savez-vous d'où vient le nom Twingo ?Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Religions du Monde reçoit le cardinal franco-algérien Jean-Paul Vesco, qui vient de publier «L'audace de la fraternité», alors que les tensions se multiplient en ces temps de replis identitaires, de fractures multiples, de discours haineux et de guerres sanglantes. Le cardinal Jean-Paul Vesco est archevêque d'Alger depuis 2021. Il se décrit lui-même comme «un évêque et pasteur d'une petite église insérée dans le monde musulman». Une petite église mosaïque, dont les fidèles sont aujourd'hui majoritairement des immigrés ou des étudiants d'Afrique subsaharienne. Une fraternité qu'il vit profondément comme catholique en Algérie, son pays de cœur, qu'il décrit ainsi : «cette fraternité qui dépasse les préjugés religieux et les blessures de l'histoire ne va pas de soi, et c'est ce qui en fait son prix». Invité : Jean-Paul Vesco, cardinal franco-algérien, archevêque d'Alger. Auteur de « L'audace de la fraternité » (Éd. Cerf, 2025) ; « Tout amour véritable est indissoluble : plaidoyer pour les divorcés-remariés » (Éd. Cerf, 2015). Membre du Dicastère pour le dialogue interreligieux au Vatican. Témoignage : Mgr Claude Rault, Père Blanc, évêque émérite du Sahara – Diocèse de Laghouat (qui a vécu 50 ans en Algérie).
Échangé aux Jacksonville Jaguars lors de la trade deadline, Jakobi Meyers vient renforcer une meilleure attaque, avec un meilleur quarterback et devrait profiter de l'absence de Travis Hunter pour bénéficier d'un rôle important.Tout l'inverse de Kyler Murray, dont l'avenir aux Cardinals s'inscrit désormais en pointillés. Quelles conséquences pour lui, Marvin Harrison Jr. et Trey McBride ?Antoine Ajavon et Alexandre Lauque répondent à cette question, et se demandent si le déclin de la production de Daniel Jones et Jonathhan Taylor a commencé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après un UFC 321 au gout amer, Fernand Lopez revient sur ses actualités entre Ciryl Gane, Jordan Zebo et la suite de ses aventures entrepreneuriales. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tu rêves de revenus récurrents mais tu ne sais pas par où commencer ? Tu te demandes comment transformer ton expertise en communauté payante qui génère un chiffre d'affaires stable, sans te cramer ?Dans cette mini-série, je reçois Jolhane Leite, solopreneur qui a créé sa propre communauté "UnlockM" pour les Chief Marketing Officers et génère aujourd'hui 120k€ de chiffre d'affaires avec son membership.Au programme :
À l'Antichambre, Luc Bellemare est en compagnie de Karell Emard, Norman Flynn et P.J. Stock pour parler des Canadiens.
Rubrique:poesies Auteur: edmond-rostand Lecture: Christiane-JehanneDurée: 02min Fichier: 02 Mo Résumé du livre audio: Le Souvenir vague ou les Parenthèses Extrait : « Et tandis qu'un espoir ouvrait en moi des ailes (Un espoir qui n'était peut-être qu'un désir), Votre balancement m'éventait de dentelles Que mes doigts au passage essayaient de saisir. Sur le nombre des plis de vos volants de gazes Je faisais des calculs infinitésimaux, Et languissants, distraits, nous échangions des phrases (Des phrases qui n'étaient peut-être que des mots). » Tout l'Art poétique… Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
L'émission 28 minutes du 08/11/2025 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Lionel Zinsou, économiste, ancien Premier ministre de la République du Bénin (2015-2016), Eva Morletto, correspondante à Paris pour le magazine italien “Grazia”, Maya Khadra, enseignante et journaliste franco-libanaise et le dessinateur de presse Patrick Chappatte. Mamdani élu à New-York : le début de la remontada pour la gauche américaine ?Un an après la victoire des républicains à l'élection présidentielle avec Donald Trump, les démocrates reviennent en force avec l'élection de Zohran Mamdani à la tête de New York. Socialiste assumé, défenseur de la cause palestinienne, Mamdani redonne de l'espoir à la gauche américaine. Dans le même temps, des démocrates, centristes cette fois, ont remporté des postes de gouverneurs dans deux États.L'ultra fast-fashion, un désastre écologique et social…mais qui cartonne !Impossible d'y échapper cette semaine, l'arrivée de l'enseigne de vêtements Shein dans les murs du BHV, a animé les débats publics. C'est bien connu : la fast-fashion est un désastre environnemental et social puisqu'elle pollue énormément pour produire des vêtements à un coût horaire défiant toute concurrence. Mais s'ajoute en plus de cela, un signalement à la justice pour la mise en vente de poupées à caractère pédocriminel sur la plateforme de vente en ligne. Pourtant, malgré le bad buzz, la clientèle était au rendez-vous pour l'ouverture. Nous recevons Françoise Adamsbaum, directrice du Musée international des arts modestes de Sète. Elle présente l'exposition “Superbemarché, Papiers d'agrumes & Co”, jusqu'au 8 mars 2026. Au travers des papiers d'agrumes, elle raconte de nombreuses histoires notamment des débuts de la mondialisation. Valérie Brochard nous emmène chez nos chers voisins lettons, où les députés ont voté la sortie du pays de la Convention d'Istanbul sur la prévention des violences faites aux femmes. Face à cette décision, le Conseil de l'Europe, à l'origine de cette Convention, a dénoncé un message dangereux.Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine à Duralex. En 2024, quelque 200 employés décident de reprendre l'entreprise après un énième redressement judiciaire. Cette semaine, ils ont lancé une opération de levée de fonds qui a porté ses fruits. Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télévision égyptienne, qui vient de rouvrir le Grand musée du Caire après plus de 20 ans de travaux. Collection antique, trésors de Toutânkhamon, pour le président, Abdel Fattah al- Sissi, l'enjeu est colossal : il s'agit de remettre du carburant dans le moteur du tourisme. Natacha Triou nous invite à méditer sur la richesse et s'intéresse à la manière dont elle est perçue. Enfin, ne manquez pas Dérive des continents de Benoît Forgeard ! 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 8 novembre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
POUR COMMANDER MON LIVRE : Sur Amazon : https://amzn.to/3ZMm4CY Sur Fnac.com : https://tidd.ly/4dWJZ8OBlaise Pascal appelait demi-habiles ceux qui s'arrêtent à mi-chemin de la pensée : ils ont assez d'esprit pour initier une réflexion, mais pas assez pour aller jusqu'au bout. En philosophie, certaines affirmations relèvent de cette posture. Elles traduisent une perspicacité de surface qui fait obstacle à la compréhension. Penser véritablement, c'est remettre en question ces grandes phrases toutes faites. SOMMAIRE : 00:00 Introduction 02:19 Penser par soi-même, ça ne veut rien dire 06:59 La liberté n'existe pas 14:05 Il faut que je vous parle de quelque chose 14:55 Le mérite n'existe pas 16:00 Tout est politique 20:21 Tout ce qu'on fait, on le fait par égoïsme---Envie d'aller plus loin ? Rejoignez-moi sur Patreon pour accéder à tout mon contenu supplémentaire.
Désigné par des petites mains comme étant le « cerveau » du casse, Spaggiari est arrêté et avoue. Quelques mois plus tard, il parvient à s'évader. En cavale, il publie un livre à sa gloire. Tout le monde croit à sa légende de bandit « magnifique ».Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Désigné par des petites mains comme étant le « cerveau » du casse, Spaggiari est arrêté et avoue. Quelques mois plus tard, il parvient à s'évader. En cavale, il publie un livre à sa gloire. Tout le monde croit à sa légende de bandit « magnifique ». Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Est-il judicieux de remettre en question son service dans l'Église après un divorce, même lorsqu'il est permis par les Écritures ? Bien que la Bible ne présente aucun exemple concret ou directement comparable au contexte évoqué, Florent répondra en expliquant ce qu'implique un divorce, ce qui devrait rester inchangé pour un serviteur de Christ, et le rôle de l'Église dans notre marche en tant que tel.
C'est l'histoire d'une collaboration artistique de prestige entre Londres et Tel-Aviv qui s'effondre. Le Royal Ballet & Opera du Royaume-Uni a annulé sa participation à Tosca, refusant d'associer son nom à l'opéra israélien. En cause : le soutien affiché de l'institution à l'armée israélienne dans la guerre à Gaza. Les Britanniques dénoncent un lieu qui « récompense et légitime ouvertement les forces même, responsables des meurtres quotidiens de civils à Gaza », en référence aux billets gratuits offerts aux soldats. Mais loin d'annuler, l'opéra israélien contre-attaque : il monte l'œuvre seul et promet une version éminemment politique. De notre envoyé spécial à Tel-Aviv « Quand les canons ont tonné, les muses ne se sont pas tues », proclame Nili Cohen, la présidente du conseil d'administration de l'opéra israélien de Tel-Aviv. Et c'est précisément ce qui est reproché à cette institution dans une lettre ouverte de plus de 200 membres du Royal Ballet and Opera de Londres, qui ont annulé une coproduction de la Tosca de Puccini. « C'est un alignement délibéré avec un gouvernement actuellement engagé dans des crimes contre l'humanité », affirment les signataires du texte. Tali Barash Gottlieb, directrice générale l'opéra israélien, raconte : « Nous avons rencontré de grandes difficultés au cours de l'année qui s'achève. Et nous nous attendons à des problèmes pas moindres lors de la prochaine saison. Et c'est pour cela que nous mettons l'accent sur la participation de créateurs israéliens. C'était, de toute façon, notre intention pour cette quarantième saison qui est véritablement l'occasion de présenter sur le devant de la scène des talents israéliens, car les productions internationales présentent un grand défi. » La Tosca est donc au programme de cette nouvelle saison emblématique. Mais dans une production purement israélienne donc. Une situation qu'Anat Czarny, mezzo-soprano à l'Opéra de Tel-Aviv, regrette profondément. « Je peux comprendre les deux protagonistes concernés. Mais j'étais très déçue, car je crois que l'art est quelque chose de sacré. C'est quelque chose produit pour rapprocher les gens les uns des autres. J'ai un peu l'impression que ce n'est pas la politique qui est gagnante, mais plutôt l'art qui est perdant », se désole la chanteuse. Après la période du Covid-19, et surtout depuis le 7 octobre 2023, la profession de chanteuse lyrique est très précaire en Israël. Mère de deux enfants, Anat Czarny va entamer une carrière parallèle d'infirmière, un de ses rêves d'enfance : « Le matin, je suis soit à l'hôpital, soit à l'opéra. Le soir, soit à l'opéra, soit à l'hôpital. Mais quand même, je veux être chanteuse d'opéra. C'est tout ce que je voudrais faire. » Également au cœur de cette nouvelle saison de l'opéra israélien : le Dibbouk, histoire dans la tradition juive kabbaliste d'un esprit qui entre dans le corps d'un vivant pour le posséder, à la suite de mauvaises actions. Tout un programme. À lire aussi«J'ai retrouvé mon enfant démembré»: à Gaza, les bombes israéliennes non-explosées sèment la terreur
Bienvenue sur Sensées, le format audio de ma newsletter hebdomadaire.Chaque semaine, je vous partage avec authenticité des réflexions sur le leadership féminin, le bien-être au travail et la prévention du burn-out, pour avancer avec confiance et sérénité.Cette semaine : Burn-out féminin – ces freins invisibles qui vous épuisent à petit feu.Je connais peu de femmes leaders qui n'ont pas, un jour, frôlé la ligne rouge.Dans mes accompagnements, je retrouve les mêmes schémas : perfectionnisme, peur de décevoir, hyper-responsabilité et culpabilité de ralentir.Ces mécanismes, profondément ancrés, mènent peu à peu à l'épuisement professionnel.À travers les histoires de Caroline, Sophie, Amel et Julia, je décrypte comment ces dynamiques s'installent, pourquoi elles sont si difficiles à repérer et surtout, comment les désamorcer avant qu'il ne soit trop tard.Vous comprendrez pourquoi le problème n'est pas vous, mais le système — celui qui valorise la performance, la disponibilité et le don de soi, mais oublie la santé mentale et la joie.Un épisode essentiel pour toutes celles qui se reconnaissent dans la fatigue émotionnelle, la charge mentale, ou le besoin de tout gérer.Parce qu'éviter le burn-out, ce n'est pas “tenir bon” : c'est apprendre à se préserver, à poser ses limites et à choisir une réussite qui ne coûte pas votre énergie.****Rejoignez la newsletter Sensées : elle vous donne accès à un concentré de coaching, d'inspiration et à un workshop offert chaque mois. Inscrivez-vous gratuitement en cliquant ici.***Sensées, c'est aussi un programme de coaching pour les femmes dirigeantes, top managers et entrepreneures. Au sein du programme Sensées, vous êtes accompagnée en petit groupe ET en individuel dans votre croissance professionnelle. Vous êtes aussi formée et mentorée pour incarner pleinement votre leadership, avec les maîtres mots sérénité, plaisir, hauteur et impact. Intéressée ?Cliquez ici pour en savoir plus.**Notre guide "10 leviers essentiels pour les décideuses" est un véritable concentré d'outils de coaching et de mentoring, les mêmes que nous utilisons dans le programme Sensées. Il est conçu pour toutes les directrices, dirigeantes et entrepreneures qui sont fatiguées de porter seules les responsabilités. Si vous avez l'impression que votre quotidien vous échappe petit à petit, ce guide est fait pour vous. Cliquez ici pour obtenir votre exemplaire offert !*Vous représentez une entreprise et souhaitez développer le leadership de vos talents féminins ? : cliquez ici.****Rejoignez la newsletter Sensées : elle vous donne accès à un concentré de coaching, d'inspiration et à un workshop offert chaque mois. Inscrivez-vous gratuitement en cliquant ici. Tout comme sur le podcast Sensées, on y parle de leadership, d'ambition, de confiance en soi, de motivation, de carrière, d'outils de développement personnel, de management, de prise de poste, de prise de parole, et. : bref, de tout ce qui concerne le quotidien des femmes ambitieuses.***Sensées, c'est aussi un programme de coaching pour les femmes dirigeantes, top managers et entrepreneures. Au sein du programme Sensées, vous êtes accompagnée en petit groupe ET en individuel dans votre croissance professionnelle. Vous êtes aussi formée et mentorée pour incarner pleinement votre leadership, avec les maîtres mots sérénité, plaisir, hauteur et impact. Intéressée ? Cliquez ici pour en savoir plus.**Notre guide "10 leviers essentiels pour les décideuses" est un véritable concentré d'outils de coaching et de mentoring, les mêmes que nous utilisons dans le programme Sensées. Il est conçu pour toutes les directrices, dirigeantes et entrepreneures qui sont fatiguées de porter seules les responsabilités. Si vous avez l'impression que votre quotidien vous échappe petit à petit, ce guide est fait pour vous. Cliquez ici pour obtenir votre exemplaire offert !*Vous représentez une entreprise et souhaitez développer le leadership de vos talents féminins ? : cliquez ici.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Patrick Sébastien, chanteur, imitateur et animateur à la personnalité singulière, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au menu de la troisième heure des GG du vendredi 7 novembre 2025 : Patrick Sébastien dans la peau d'une GG, avec Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Mourad Boudjellal, éditeur de BD.
Dans son discours de jeudi, lors de sa prestation de serment pour un huitième mandat, le président camerounais Paul Biya a appelé ses adversaires politiques à « l'union sacrée », mais a accusé certains politiciens d'être « irresponsables » et a assuré que « l'ordre règnera ». Comment pourrait se matérialiser cette « union sacrée » ? Quelle peut être, à présent, la stratégie de son principal adversaire, Issa Tchiroma ? Armand Leka Essomba enseigne la sociologie à Yaoundé 1 et dirige le Laboratoire camerounais d'études et de recherches sur les sociétés contemporaines. Il est l'invité de Christophe Boisbouvier. RFI : Dans le résultat officiel de la présidentielle, Paul Biya perd quatorze points par rapport à 2018. Est-ce à dire que son parti RDPC traverse un passage à vide ? Armand Leka Essomba : Je pense que cela est évident dans la mesure où on doit pouvoir reconnaître que le parti au pouvoir traverse effectivement une phase de grande perturbation et que probablement soit ce parti, ou alors celui qui l'incarne a perdu probablement une grande part de son attractivité et de son charisme d'antan. Quand l'archevêque de Douala, Mgr Kleda, dit que le résultat officiel de cette présidentielle n'est pas crédible, est-ce qu'il reflète l'opinion de beaucoup de Camerounais ? Disons que ces suspicions, naturellement, sont d'autant plus alimentées que nous sommes à l'ère des réseaux sociaux. Nous avons eu un temps long [entre le jour du vote et le jour des résultats]. La durée des deux semaines, c'est surtout l'injonction qui est faite à tout le monde de ne point communiquer, ni les tendances, etc. Et donc ça jette parfois de la suspicion. La percée d'Issa Tchiroma, même dans les résultats officiels, dans la région du nord et dans les deux régions de l'ouest et du littoral, c'est-à-dire à Douala, quels enseignements vous en tirez ? L'habileté tactique du candidat Issa Tchiroma aura été effectivement d'incarner, à défaut ou par défaut, disons, la synthèse de toutes ces frustrations. Ce d'autant plus qu'un discours social à connotation, j'allais presque dire métaphysique, circulait pour dire qu'il s'agit de transformer cette élection en un référendum pour ou contre Paul Biya. Et finalement, ce qui se révèle, c'est le niveau d'exaspération. Des gens sont prêts tout à fait à dealer avec n'importe qui, à condition qu'ils mettent à la retraite le président dans son exceptionnelle longévité politique. Issa Tchiroma affirme aujourd'hui qu'il y a désormais deux présidents : le président élu, qu'il est lui-même, et le président nommé par le Conseil constitutionnel, c'est-à-dire Paul Biya. Est-ce qu'on va vers un Cameroun coupé en deux ? Ce que je peux dire, c'est d'exprimer quelque peu mon scepticisme. Il est évident que pendant les jours qui viennent, les moments de tension persisteront, notamment dans certaines des régions qui sont des fiefs du candidat Issa Tchiroma. Tout dépendra aussi des mesures importantes qui vont être prises. Donc les mesures d'apaisement, puisque le président de la République, Paul Biya, a demandé à ce qu'une union sacrée se fasse. Il a explicitement fait mention d'une union sacrée. J'ignore si on ira vers des expériences institutionnelles de large ouverture ou d'union nationale, en termes de structuration, par exemple, d'un nouveau gouvernement, mais les jours qui viennent, il faudra être absolument attentif à la manière dont on pourra traduire les propos assez apaisants du chef de l'Etat dans la pratique et dans les orientations politiques. Tout dépendra de ce qui se fera, notamment en termes de gestes d'apaisement, si l'on se réfère au discour d'hier. Et donc l'atmosphère dépendra beaucoup de la traduction politique de cet apaisement. Dans les années 90, Paul Biya avait déjà affronté un adversaire coriace qui proclamait sa victoire et qui organisait des journées ville morte, c'était John Fru Ndi. Et à la fin, c'est Paul Biya qui avait pris le dessus. Est-ce que vous pensez que le même scénario va se reproduire ? Alors personne n'est en mesure de dire ce qui va se passer demain ou après-demain. Mais il est évident que les contextes ont changé. En 1992, Paul Biya était en effet au pouvoir depuis dix ans, il y avait une certaine vitalité humaine et physique. Il faut en tenir compte. La longévité exceptionnelle au pouvoir crée des dynamiques d'inertie systémique et la fragilité physique et humaine, qui est quelque chose de tout à fait naturel, s'associent parfois pour interférer sur, disons la réactivité institutionnelle. S'installent dès lors des formes de paresse, de lenteur, qui peuvent conduire à des expériences d'immobilisme qui sont tout à fait dommageables. Et peut-être dans sa stratégie, Issa Tchiroma compte-t-il sur un essoufflement du parti au pouvoir et de son président ? Alors je crois qu'il y a derrière effectivement un certain imaginaire dans la stratégie d'un certain nombre des challengers de Paul Biya. L'idée que finalement quelque chose pourrait se passer, qu'un accident pourrait survenir et créer les conditions effectivement d'une transition.
Cette semaine aux Anti-Pods de la Lutte, Kevin et Pat discutent de la réélection de Raymond Rougeau à la mairie de Rawdon, du premier Saturday Night’s Main Event à Montréal et d’AEW qui ajoute encore un autre titre. Tout ça et bien plus dans un autre épisode à ne pas manquer.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Une affaire carcérale - Affaire jugée au Tribunal correctionnel de Chalon-sur-Saône. À travers un tour de France des tribunaux, Justice en direct rend compte sans artifice, ni commentaire, au plus près de la réalité, du déroulement des audiences correctionnelles qui représentent l'essentiel de l'activité judiciaire. Trafics de stupéfiants, vols, violences conjugales, mise en danger de la vie d'autrui… autant de délits qui racontent le quotidien des tribunaux correctionnels. Exceptionnellement, l'enregistrement des audiences que vous allez entendre a été autorisé. Justice en direct est un podcast co-produit par Initial Studio et Morgane Production, adapté de la série documentaire audiovisuelle « En direct du tribunal », produite par Morgane Production. Cet épisode a été écrit et réalisé par Samuel Luret et Déborah Braun.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Crédits du podcastProduction exécutive : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic assistée de Louise Nguyen Montage : Victor Benhamou Musique : La Grande Table Illustration : Paul Grelet Avec la voix de Pauline Josse[Entre 2010 et 2013, Morgane Production a bénéficié d'une autorisation exceptionnelle pour filmer des procès devant des tribunaux correctionnels. Une collection de 45 documentaires a ainsi pu être réalisée dans différentes juridictions françaises, retraçant dans leur temporalité et de manière brute, sans commentaire ni intervention, les audiencements d'une centaine d'affaires. Ce sont ces audiences correctionnelles que restituent aujourd'hui Justice en Direct sous forme de podcasts. Morgane Production et Initial Studio précisent que les lois en vigueur entre 2010 et 2013 sont susceptibles d'avoir évoluées. Les jugements prononcés à l'époque par les tribunaux correctionnels pourraient ainsi ne plus refléter la réalité juridique d'aujourd'hui.] Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Tu rêves de revenus récurrents mais tu ne sais pas par où commencer ? Tu te demandes comment transformer ton expertise en communauté payante qui génère un chiffre d'affaires stable, sans te cramer ?Dans cette mini-série, je reçois Jolhane Leite, solopreneur qui a créé sa propre communauté "UnlockM" pour les Chief Marketing Officers et génère aujourd'hui 120k€ de chiffre d'affaires avec son membership.Au programme :
REDIFF - Jérémy Lupu est dermatologue. Dans le nouvel épisode du podcast "Symptômes", il raconte le cas d'une patiente de 35 ans, pharmacienne, qui l'a particulièrement marqué. Tout allait bien pour elle, jusqu'au jour où "elle a eu des maux de gorge qui, au départ, ne l'inquiètent pas plus que ça. Mais sa douleur ne passe pas et s'étend à l'oreille. Finalement, le diagnostic va la conduire dans le bureau du docteur Lupu...Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Didier Giraud, agriculteur, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:25:17 - La Série fiction - Harry Quebert est innocenté. Marcus Goldman publie son livre. Tout pourrait s'arrêter là… Mais il reste des éléments d'enquête inexpliqués.
Au Coeur de l'Histoire est un podcast Europe 1. - Présentation : Stéphane Bern - Réalisation : Paul Laporte - Rédaction en chef : Benjamin Delsol - Auteure du récit : Charlotte Chaulin - Journaliste : Armelle Thiberge Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marion Duchêne reçoit Soundous Moustarhim, ancienne cadre dans la finance et désormais autrice et interprète. Quand tout s'effondre, travail, amour, santé, que reste-t-il ? Qu'est-ce qui, dans ces moments de crise, permet de se relever ? Comment trouver la force de renaître après une rupture, un échec, ou une perte ? Est-ce la foi, l'amour ou simplement le souffle de la vie qui nous guide ? Soundous Moustarhim nous dévoile les moments clés de sa transformation, nous parle de la force de la foi, de la puissance du pardon et de la manière dont elle a appris à se réconcilier avec elle-même. Mais aussi de son lien à la boxe ! Elle nous invite à réfléchir sur nos propres traversées intérieures et sur ce qui permet de renaître après chaque épreuve. Son livre, Mon chemin de foi, est publié aux Éditions J'ai Lu.Quelques citations du podcast avec Soundous Moustarhim :"On ne vit que des épreuves qu'on peut surmonter.""Le cheminement c'est quelque chose qui ne se termine pas, jusqu'à la fin de nos jours.""Quand on tend vers l'équilibre, on tend vers le bien-être."Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseThèmes abordés lors du podcast avec Soundous Moustarhim :00:00Introduction02:00Présentation de l'invitée03:47Le chemin sinueux de la foi05:17La foi en héritage06:56La foi à l'épreuve de la souffrance physique11:59L'avant et l'après maladie15:14Les signaux d'alerte16:09Perfectionnisme et instant présent17:39Neuroatypisme et sentiment de différence19:40Contrôle et équilibre22:58Deux piliers : Niyya et Tawakkul24:06Le pouvoir de la prière28:10Dieu comme une présence29:14Dire non pour se dire oui33:06Le socle de béatitude35:16Croyance et expression37:36La prière de Soundous Moustarhim39:08Revenir à l'essentiel40:16Un message à l'adolescente qu'elle a été40:41L'objet symbolique de Soundous MoustarhimAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Photo (c) Ahmed Bahhodh Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Août 2012. Deux aventuriers parcourent l'Océan Arctique à la seule force de leurs bras, embarqués sur de lourds kayaks chargés de vivres. Tout autour se dressent de majestueux géants de glace qui dérivent lentement vers le sud, au gré du courant est-Groenlandais.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est un paradoxe rarement évoqué : le mot « antisémite » est, en lui-même, porteur d'une erreur historique et linguistique qui reflète… une certaine forme d'antisémitisme. Autrement dit, le terme qu'on utilise pour désigner la haine des Juifs naît, à l'origine, d'un raisonnement biaisé et idéologiquement chargé.Tout commence à la fin du XIXᵉ siècle, en Allemagne, avec un journaliste nommé Wilhelm Marr. En 1879, il publie un pamphlet intitulé La victoire du judaïsme sur la germanité, où il popularise pour la première fois le mot Antisemitismus. À cette époque, Marr cherche à donner une apparence scientifique à la haine des Juifs. Il remplace donc les expressions religieuses comme « haine des Juifs » par un terme pseudo-ethnique, plus « moderne », inspiré des classifications linguistiques de son temps.Le mot « sémite » désigne alors non pas un peuple, mais un groupe de langues : l'hébreu, l'arabe, l'araméen, l'amharique… En théorie, les « Sémites » engloberaient donc aussi bien les Arabes que les Juifs. Parler d'« antisémitisme » pour désigner la haine des Juifs revient donc à faire une confusion grossière : il n'existe pas, biologiquement ou culturellement, de « race sémite ». Le terme est donc faux sur le plan scientifique.Mais ce glissement n'est pas innocent. Marr et les penseurs racistes de son époque utilisent ce mot précisément pour détacher leur haine du domaine religieux et la faire passer pour une opposition « rationnelle », « ethnique » ou « sociale ». Le mot « antisémite » naît donc d'une volonté de dissimuler l'idéologie antisémite sous un vernis de science. C'est pourquoi certains historiens et linguistes estiment qu'il est, dans son essence même, « antisémite » : il perpétue une idée forgée pour légitimer la haine.Ce paradoxe persiste encore aujourd'hui. Par habitude, on continue d'utiliser le mot « antisémitisme », car il est entré dans le langage courant et dans les textes juridiques. Mais beaucoup de chercheurs rappellent que, d'un point de vue sémantique, il serait plus juste de parler de “judéophobie” — un terme plus précis, qui désigne clairement l'hostilité envers les Juifs sans reprendre la terminologie raciale du XIXᵉ siècle.Ainsi, le mot « antisémite » est doublement révélateur : il désigne la haine des Juifs, mais il en porte aussi l'empreinte idéologique originelle, forgée pour rendre cette haine socialement acceptable. Un mot piégé, né d'une falsification linguistique, et devenu malgré lui un symbole de la dérive qu'il décrit. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.