Podcasts about Lausanne

Mes chers amis, accrochez vos ceintures : cet épisode est un vrai bijou.Je ne sais pas pourquoi je n'avais jamais fait ça auparavant, mais pour la 1ère fois sur ce podcast, j'ai eu la chance d'interviewer un duo hors du commun : Anne-Sophie Pic et son mari et associé, David Sinapian.Un couple inséparable, dans la vie comme dans leur maison emblématique.Grâce à eux, j'ai pu explorer non seulement leur histoire d'amour et leur parcours entrepreneurial, mais aussi les coulisses de l'une des plus belles success stories françaises.Anne-Sophie Pic, c'est la femme la plus étoilée au monde :11 étoiles au guide Michelin, 7 établissements, une exigence absolue et une sensibilité rare.Mais derrière cette légende vivante, il y a aussi David, discret, solide, fondamental dans l'aventure Pic. Leur regard l'un sur l'autre, leur complémentarité, leur sincérité… tout cela rend cet épisode profondément touchant.On a parlé de transmission, de leadership, d'héritage, d'identité mais aussi d'intuition et de ce qui fait réellement tenir une maison familiale depuis des générations.J'ai été fascinée par leur transparence, leur lucidité et leur humilité.J'espère que cette conversation vous fera, à vous aussi, regarder cette institution française d'un œil totalement nouveau.Je vous invite à envoyer un petit mot à Anne-Sophie sur Instagram ou sur LinkedIn, elle en sera, j'en suis sûre, très touchée.Chapitrage00:00 – Introduction02:24 – Le choc familial et la décision de reprendre la Maison Pic11:50 – L'apprentissage côte à côte : construire un duo professionnel et amoureux14:40 – Perte de la troisième étoile : résilience et reconstruction18:10 – Comment on reconquiert une étoile : vision, travail et intuition27:10 – Être femme, chef et légitime dans un univers masculin29:29 – Ouvrir l'international : Lausanne, premier tournant31:50 – Fonder un groupe tout en restant 100% indépendant33:20 – Comment transmettre l'ADN Pic dans chaque restaurant du monde40:17 – Le défi du temps : maternité, travail et équilibre de vie46:45 – Travailler en couple : confiance, complémentarité et zones d'expression53:20 – Nourrir la créativité : rêverie, collaborations et inspirations croisées56:15 – S'éduquer au goût : le travail du palais et de l'association57:30 – Le Crible du Podcast 1:07:30 – Leurs recommandations de livres Pour retrouver Anne-Sophie Pic et David Sinapian :Anne Sophie Pic David Sinapian Livres cités dans l'épisode : La traversée des temps d'Eric-Emmanuel Schmitt Le Défi de Jérusalem d'Eric-Emmanuel SchmittLes vertus de l'échec de Charles Pépin #annesophiepic #davidsinapian #longchamp #hautegastronomie #michelinstar #chefetoilee #podcastfrancais #paulinelaigneau #entrepreneuriat #excellencefrancaise #maisonpic #cuisinegastronomique #leadershipfeminin #succès #transmission #familleentrepreneurVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

We visited renowned architect Bernard Khoury in his studio in Karantina, who offered a critical, unvarnished look at the reality of practicing architecture in Lebanon, contrasting it with the sugarcoated story of the "Phoenix coming out of its ashes". He discusses his career beginnings, the 2020 Beirut port explosion, and how his first project—the infamous B018 nightclub—was a radically specific and necessary response to the city's complex, macabre history and unstable political and economic context. Khoury shares his philosophical approach to architecture, which rejects stylistic gestures in favor of an obsession with specificity and a direct confrontation with Beirut's explosive nature, arguing for a practice that produces honest, if sometimes "sour" meaning in the present rather than succumbing to toxic simplifications. 00:00 The Sourness and Complexity of Beirut01:23 Bernard Khoury's Karantina Studio and the Beirut Explosion03:12 His First Project: B018 in Karantina04:01 The Illusion and Disillusion of the Post-War Era05:42 An Architect's Dilemma: Designing for an Expiry Date12:56 Solidere, Immaterial Ownership, and a New Urbanism15:44 The Cultural Significance of B01817:05 B018's Site: A Macabre History19:40 From Furniture Factory to Architecture Practice22:52 Khalil Khouri: Modern Architect with Certainties27:23 A Generational Difference in Practice28:57 Rejected Labels: What Bernard Khoury Hates to Be Called...31:41 Style vs. Specificity 36:00 Estrangement and Addiction to a Very Intense Environment42:00 Bernard Khoury's Criticism of Solidere's Historical Narrative Born in Beirut (1968), Bernard Khoury studied architecture at the Rhode Island school of Design (BFA 1990 / B.Arch 1991) and Harvard University (M.Arch 1993). He was awarded by the municipality of Rome, the Borromini Prize honorable mention given to architects under 40 years of age (2001), the Architecture + Award (2004), the CNBC Award (2008) and nominated for several awards including the Aga Khan award (2002 / 2004/ 2021), the Chernikov prize (2010) and the Mies van der Rohe Award (2021). He co-founded the Arab Center for Architecture (2008), was a visiting professor in several universities including the Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne and L'Ecole Spéciale d'Architecture in Paris. He has lectured and exhibited his work in over 150 institutions, including solo shows at the Aedes gallery in Berlin (2003), the Spazio per l'architecttura Milano (2016) and numerous group shows including YOU prison at the Fondazione Sandretto in Torino (2008), the opening show of the MAXXI museum in Roma (2010), the Frac Architecture Biennale in Orleans (2018), the Oris House of Architecture in Zagreb (2020) and the Architecture Biennale of Seoul (2021). He was the architect and co-curator of the Kingdom of Bahrain's national pavilion at the Venice Architecture Biennale (2014). Over the years he has developed an international reputation and a diverse portfolio of projects in over fifteen countries. Khoury was nominated by the French Ministry of Culture Chevalier des Arts et des Lettres (2020) Connect with Bernard Khoury

Comment réussir un concept de restaurant? Carol et Olivier Cuche tiennent la Buvette Maillard, sur les hauts de La Chaux-de-Fonds, depuis vingt-cinq ans. Carol est seule en cuisine, mais on ne se prend pas la tête, on mise sur la simplicité et la générosité, le bouche-à-oreille faisant le reste. À Lausanne, Nathalie s'apprête à ouvrir son établissement. Elle ne veut rien laisser au hasard et fait appel à une coach pour définir un business plan. Reportages d'Alexandre Lachavanne Réalisation: Mathieu Ramsauer Production: Raphaële Bouchet

C'est la rentrée à l'École hôtelière de Lausanne. Au programme, visite du campus, suivi des essayages des costumes et autres uniformes de travail. Pendant leur première année, les étudiantes et étudiants vont apprendre les bonnes manières, tout comme les rudiments de la cuisine, du service et du nettoyage. Mais que l'on ne s'y trompe pas, ces jeunes pupilles ne sont pas là pour se salir: ils visent des postes à responsabilités. Reportages d'Alexandre Lachavanne Réalisation: Mathieu Ramsauer Production: Raphaële Bouchet

Zajda, Beatrice www.deutschlandfunk.de, Sonntagsspaziergang

Das vorherrschende gesellschaftliche System in Deutschland und im Westen generell kann als postmoderner Totalitarismus verstanden werden. In seinem Essay untersucht Michael Elsfeld, Professor für Wirtschaftsphilosophie an der Universität Lausanne, die Entstehungsgeschichte dieses Totalitarismus. In diesem benutzt die Staatsgewalt angebliche wissenschaftliche Lehrmeinungen wie zur „Corona-Pandemie“ und zur „Klimakatastrophe“, um das soziale und private Leben zu steuern, und setzt diese mithilfe der Medien und mit Zwang durch. Das System bedient sich eines kollektivistischen, moralischen Narrativs. Der Autor geht der Frage nach, wie es nach einer Periode der scheinbar vorherrschenden offenen Gesellschaften bis Ende der neunziger Jahre entstehen konnte.

C'est la deuxième fois que Sarah Quan vient au micro de Everything Happens For A Reason.La première fois c'était à Milan, pour un épisode spécial avec 4 invités, que j'ai interviewés à chaud en pleine design week. Cette fois-ci, j'avais envie de lui consacrer un épisode entier et j'ai donc pris le train, direction Zürich.J'ai fait un retour aux sources en quelque sorte, car ma grand-mère maternelle était suisse.Zürich est une ville tournée vers la nature grâce au lac et aux collines alentours.Originaire de Morrens dans le canton de Vaud, près de Lausanne, Sarah vit et travaille à Zurich depuis plusieurs années, avec son compagnon et associé, Fortunat Lüthi alias Fortii. Ensemble, ils ont fondé Villa Nomad  — une agence de curation, production, communication, qui crée des ponts entre les marques et l'art & le design. Sarah nous raconte d'ailleurs comment cette agence est née d'un événement qu'ils ont créé — l'idée de leur business est finalement venue après. Nous avons aussi parlé :

In dieser Folge sprechen Anja und Nic über Reichtum – und was er mit Demokratie zu tun hat.Wir fragen:Wie viel Ungleichheit verträgt eine Gesellschaft?Warum ist die Konzentration von Vermögen nicht nur ein ökonomisches, sondern ein demokratisches Problem?Und was steckt wirklich hinter der Erbschaftssteuer-Initiative, über die die Schweiz am 30. November 2025 abstimmt?Wir sprechen über:die wachsende Vermögenskonzentration in der Schweizdie antidemokratische Wirkung von Reichtum und Lobbyismusdie Mythen rund um die Erbschaftssteuer (Familienunternehmen, Wegzug, Arbeitsplatzverlust)und die kulturelle Seite: Bro-Culture, Coaching-Wahn und das Märchen vom „selbstgemachten Reichtum“

(00:49) Im digitalen Zeitalter wird es immer wichtiger, Informationen kritisch zu prüfen. Dies ist auch Thema in der Dauerausstellung «Wirklich?! – Fakt, Fake oder Meinung?» im Verkehrshaus Luzern, die in Zusammenarbeit mit der SRG entstanden ist. Weitere Themen: (05:26) 20jährige Genfer Bratschistin Sarah Strohm gewinnt am Bratschenwettbewerb des Concours de Genève den ersten Platz. (07:29) Walliser Designer Kévin Germanier erhält mit Ausstellung «Les Monstreuses» am Musée cantonal de design et d'arts appliqués contemporains in Lausanne eine «Carte Blanche». (11:49) Brasilianischer Thriller «The Secret Agent» spielt während der Zeit der Militärdiktatur. (16:02) Neuer Roman «Eine Chance ist ein höchstens spatzengrosser Vogel» von Yulia Marfutova handelt von der tragischen Geschichte des 20. Jahrhunderts. (20:16) Nach einem Jahr Haft wieder frei: Algerien begnadigt französisch-algerischen Schriftsteller Boualem Sansal.

Raphael Rohner:Es geht um Geld, um richtig, richtig viel Geld. Eigentlich müsste man meinen, dass jeder und jede in der Schweiz früher oder später über Nacht ein paar hundert Millionen Franken mehr auf seinem Konto hat und dann in Saus und Braus leben könnte. Zumindest wenn wir den Gegnerinnen und Gegnern der neuen Juso-Initiative zuhören, dann bekommt man das Gefühl, dass viele Leute von dieser neuen Initiative betroffen sind. Das ist aber nicht so. Nur wenige Leute haben überhaupt so viel Geld, dass sie zur Kasse beten würden. Ein durchaus emotionales Thema, wie immer, wenn es ums Geld geht. Ihr hört hinter der Schlagzeile diesen Podcast von CH Media. Am Mikrofon Raphael Rohner. Bei mir im Studio ist Politchefin von CH Media Doris Kleck. Worum geht es bei dieser Initiative genau? Doris Kleck:Die Juso will mit ihrer Initiative, dass grosse Erbschaften bestürzt werden. Genau geht es um Erbschaften ab 50 Mio. Franken. Für diese soll ein Steuersatz von 50% gelten. Ich kann ein Beispiel machen. Wenn du 60 Mio. Franken erbst, dann ist das 10 Mio. über einem Freibetrag. Dann müsstest du 50% auf 10 Mio. zahlen. Das heisst, du würdest eine Erbschaftsteuer von 5 Mio. entrichten müssen. Findest du nicht so viel? Wenn sie 1 Mio. sind, dann musst du die Hälfte von 950 Mio. steuern. Dann sind wir bei 475 Mio. Franken. Das ist der eine Teil. Die Juso will eine nationale Erbschaftsteuer-Initiative einführen. Bis jetzt haben wir kantonale Erbschaftsteuern. Die sind kantonal geregelt. Das Zweite ist, weil die Juso sagt, sie will, dass die Einnahmen für die Bekämpfung der Klimakrise und den besseren Klimaschutz verwendet werden. Die zusätzlichen Einnahmen wären zweckbund. Das sind die zwei Ziele der Initiative. Darum heisst sie auch «Initiative für eine Zukunft». Raphael Rohner:«Initiative für eine Zukunft». Das ist spannend. Wie viele Leute werden betroffen? Du hast gesagt, wenn ich jetzt so viel erbe, was wahrscheinlich nicht passieren würde, wirst du so viel Geld erben? Doris Kleck:Nein, ich werde auch nicht so viel Geld erben. Ich bin nicht direkt betroffen von dieser Initiative. Laut Steuerverwaltung sind 2500 Personen direkt betroffen. In der Schweiz leben 2500 Personen mit einem Vermögen von über 50 Mio. Franken. Aber diese Initiative wird indirekte Effekte haben. Das ist ein grosser Streitpunkt zwischen Befürworter und Gegner. Der Bund geht davon aus, dass ein grosser Teil der «Superreichen», wie die Juso sagt, wegziehen würde. Damit würden andere Einnahmen fehlen. Die Supervermögen zahlen Einkommensteuern und heute schon Vermögensteuern. Raphael Rohner:Ist es nicht so, dass die «Superreichen» zum Teil auch pauschal besteuert werden und keine grosse Wertschöpfung auf unsere Gesellschaft haben? Doris Kleck:Das ist etwas anderes. Nicht alle «Superreichen» werden pauschal besteuert. Vor allem nicht die Schweizer. Peter Spuler wird nicht pauschal besteuert in der Schweiz. Auch Willi Michel nicht. Pauschal besteuert werden können nur Ausländer. Die haben keinen Job oder Arbeitseinkommen mehr in der Schweiz. Darum werden sie nach Aufwand besteuert. Das ist etwas, was die Juso kritisiert. Die pauschal Besteuerten sind superreich und haben ein Vermögen auf der ganzen Welt. Das hat man bei den Datengrundlagen nicht berücksichtigt, dass es die pauschal Besteuerten auch gibt. Das Problem ist, dass die Kantone keinen Zugriff auf die Daten haben. Die werden nach Aufwand besteuert. Was man davon ausgehen kann, die pauschal Besteuerten kommen in die Schweiz, um Steuern zu sparen. Das sind extrem mobile Personen. Die haben drei Wohnsitze. Einen in Italien, einen in Dubai, einen irgendwo. Das sind auch Leute, die zum Steueroptimieren kommen. Das sind auch die ersten, die weg sind. Raphael Rohner:Aber es sind wahrscheinlich auch nicht die, die etwas vererben. Doris Kleck:Heute ist es in der Schweiz bei den kantonalen Erbschaftssteuern, dass du als Erbe bezahlst. Bei dieser Initiative wäre es so, dass der Erblasser, der besteuert wird, auf einem Nachlass erhoben wird. Das stimmt. Wenn ein pauschal Besteuerter mit einem Vermögen von 2 Mrd. in der Schweiz sterben würde, ist die Vorstellung, dass sein Nachlass, sein Vermögen von den 2 Mrd. in der Schweiz besteuert wird. Auch wenn seine Erben auf der ganzen Welt verteilt werden. Das ist ein anderer Mechanismus, wie die Erbschaftssteuer berechnet wird. Raphael Rohner:Wie gefährlich ist die Initiative wirklich? Doris Kleck:Die Gegner dieser Initiative sagen, sie treffe v.a. Unternehmer. Unternehmer haben ihr Vermögen. Das liegt nicht einfach auf dem Bankkonto. Das haben sie investiert in ein Unternehmen, in Anlagen, das ist Betriebsvermögen. Sie sagen, wenn wir die Erbschaftssteuer entrichten müssten, müssten wir die Unternehmen verkaufen, damit die Erbschaftssteuer bezahlt werden könnte. Das ist das eine. Wieso sich v.a. die in der Schweiz verankerten Unternehmen wehren, ich weiss nicht, vor einem Jahr oder im Sommer sagte Peter Spuler, der Bahnunternehmer aus Thurgau, er überlege sich schon wegzuziehen wegen dieser Initiative. Diese Initiative löste bei vielen reichen Leuten Nervosität aus. Das ist das eine. Das andere ist, wieso wir indirekt von diesen Unternehmen betroffen wären, wenn diese superreichen weggehen und Bund und Kantone andere Einnahmen fehlen. Die Schweiz hat z.B. eine recht hohe Vermögensteuer. Ich glaube, 1% der top Haushalte, der reichsten Haushalte, zahlen auf Vermögensteuer in der Schweiz. Sie bringt ca. 9 Mrd. Fr. ein. Das ist eine Steuer, die die Kantone sehr gerne haben, weil sie sehr konstant und gut berechenbar ist. 1% der vermögendsten Haushalte in der Schweiz zahlen 51% der Vermögensteuer. Die 5% der reichsten Haushalte zahlen sogar 87% der Vermögensteuer. Raphael Rohner:Also ein Haufen Geld, das am Schluss fehlen könnte. Doris Kleck:Genau. Die Schweiz hat eine hohe Progression bei den Einkommen. Raphael Rohner:Was heisst Progression? Doris Kleck:Je reicher du bist, desto grösser ist der Anteil des Einkommens, den du steuern zahlen musst. Je reicher, desto mehr beteiligst du dich an der Finanzierung des öffentlichen Lebens. Die Angst der Gegner ist auch, dass ein Teilhalt dieser Einnahmen wegfallen würde. Es gibt konservative Schätzungen des Bundes. Sie gehen davon aus, dass der Schweiz 1,3 bis 1,7 Mrd. Fr. entgehen würde, wenn diese Initiative angenommen wird. Die Frage ist, wie die Finanzierungslücke entdeckt wird, die entsteht. Es ist befürchtet, dass wir als Mittelstand geschröpft werden, wenn die Reichen weggehen. Die JUSO sagt, das sei alles Angstmacherei. Es ist doch ganz einfach. Je höher die Steuern sind, desto höher sind die Einnahmen. Raphael Rohner:Aber die JUSO sagt, dass umso mehr solche Steuern erhoben werden, umso mehr Geld reinkommt. Sie haben ja auch die Zahlen. Das zeigt mir auch der Rundschau, der heftig diskutiert wurde. Gibt es nicht auch mehr Geld, wenn man mehr Steuern einzieht? Doris Kleck:Bei den Steuern spricht man von Elastizität. Dieses Konzept gibt es auch in anderen Bereichen der Ökonomie. Du kannst die Steuern bis zu einem gewissen Grad erhöhen. Dann gibt es vielleicht höhere Einnahmen. Aber irgendwann kommt der Effekt, dass die Leute ihr Verhalten anpassen. Wenn du einen Steuersatz von 50 % hast, kannst du davon ausgehen, dass sie reichen. Sie haben auch die Mittel dazu, dass sie ihr Verhalten anpassen. Du kannst die Leute ja nicht in der Schweiz physisch festhalten. Die JUSO sagt, dass der Bundesrat schauen kann, dass die Steuern nicht umgehen. Aber du kannst diesen Leuten nicht den Pass wegnehmen und sagen, sie dürften nicht auswandern. Das geht einfach nicht. Wir haben keine Kapitalkontrolle. Auch wenn jemand von diesen Reichen auswandert, kann es sein, dass er wegen etwas anderem geht, weil er heiratet oder den Guggen war. Und gar nicht wegen dieser Erbschaftssteuer. Es ist extrem schwierig, das zu verhindern. Der Bund hat diese Elastizität auch berechnen lassen. Marius Brühlhardt, der Ökonom aus Lausanne, kennt sich wahrscheinlich am besten in der Schweiz mit den Erbschaftssteuern aus. Er ist ein Befürworter einer moderaten Erbschaftssteuer. Aber er kam auch zum Schluss, dass viele ihr Verhalten anpassen würden und weggehen würden. Ich würde sagen, das ist ein unverdächtiger Kronzeuge auf der Seite des Bundes. Raphael Rohner:Aber wie schlimm wäre es, wenn die reichen Leute gehen würden? Da würden sie viel Geld fehlen. Andererseits kommen sie vielleicht auch mehr Leute her, weil sie finden, es sei ein faires System. Doris Kleck:Boah, das glaube ich nicht. Sie könnten ja schon heute kommen und sagen, die Vermögenssteuer ist weltweit nicht verbreitet. Wenn jemand gerne Steuern zahlen will, ist es nicht so, dass die Schweiz die Reichen überhaupt nicht hart anlangt oder ihnen das Geld nicht nimmt. Die Schweiz hat auch hohe Steuern für vermögende Personen. Und wenn jemand findet, er würde gerne Vermögenssteuer zahlen, ist er da herzlich willkommen. Raphael Rohner:Fassen wir nochmals schnell zusammen. Die JUSO verlangt bei ihrer neuen Initiative, dass bei Erbschaften über 50 Mio. Fr. die Hälfte des Betrags an Bund geht. Und das Geld wird nicht für etwas ausgehen wie für Bildung. Nein, das Geld ist zweckgebunden und soll in den Klimaschutz fliessen. Schnell einen Blick auf die Befürworter. Welche Argumente haben sie? Haben sie auch gute Argumente für diese Initiative? Wie siehst du das? Doris Kleck:Sie sagen, die Reichen seien diejenigen, die unser Klima, unsere Umwelt kaputt machen. Und die sollen jetzt auch zahlen. Sie verbinden die Vermögensungleichheiten, die es gibt, die auch zunimmt, auch in der Schweiz. Das ist etwas, das sie anprangern. Und das Zweite ist die Klimakrise und der ganze Klimawandel. Und sie verbinden diese zwei Elemente. Sie sagen, die Reichen mit ihren Yachten und Privatschätzen verursachen mehr CO2-Emissionen. Und darum sollen sie auch für den Klimaschutz aufkommen. Das ist ihr Argument. Es ist tatsächlich so, wenn du reich bist, kannst du mehr konsumieren. Raphael Rohner:Aber es ist schon etwas so. Die reichen Leute mit ihren Yachten sorgen einfach auch beweisenermassen dafür, für eine grössere Umweltbelastung, für eine grössere Umweltzerstörung und für einen grösseren CO2-Ausstoss. Es ist ja eigentlich so. Dazu gibt es Fakten. Doris Kleck:Ja gut, es gibt verschiedene Studien. Ich gebe dir grundsätzlich recht. Je reicher du bist, desto mehr konsumierst du, fliegst du, hast du einen grösseren CO2-Ausstoss. Was aber interessant ist, die reichen Leute für den Franken, den sie konsumieren, ist der grösste Teil. Sie konsumieren nachhaltiger, als wahrscheinlich du und ich oder irgendjemand, der wenig Geld hat. Weil sie sich auch mehr leisten können. Sie gehen dann wahrscheinlich in den Naturwiegenposten oder das Biofleisch zum Beispiel zum Nahrungsmittel nehmen. Oder sie kaufen nachhaltiger produzierte Kleider, weil sie einfach teurer sind. Raphael Rohner:Aber dafür dreimal im Jahr neue Kleider? Doris Kleck:Das ist die Frage. Es gibt auch viele, die nicht so viel Geld haben, die dreimal im Jahr neue Kleider kaufen. Einfach billige Produkte aus China, die überhaupt nicht nachhaltig sind. Ich finde, ich warne einfach davon, zum... Ich meine, es ist auch extrem polemisch. Die haben einfach alle Yachts und Yachten und Privatjet und unbestritten, wenn man mehr Geld hat, konsumiert man mehr, aber man konsumiert vielleicht auch nachhaltiger. Das ist das eine. Und was mich etwas stört, ist, der Bund gibt 2 Mrd. pro Jahr für Klimaschutzmassnahmen aus. Zum Beispiel, wenn du dein Haus sanieren möchtest oder deine Höhenheizung ersetzen möchtest, kannst du dir Subventionen abholen. Es passiert einiges in diesem Bereich. Jetzt kann man sagen, 2 Mrd. ist uns zu wenig. Aber diese 2 Mrd. kommen aus dem Haushalt. Es sind Steuereinnahmen, die man dafür braucht. Und wer zahlt mehr Steuern? Das sind wieder die Reichen und die Vermögenden. Sie beteiligen sich heute überproportional an diesen Ausgaben für den Klimaschutz. Das passiert schon. Raphael Rohner:Braucht diese Initiative deiner Meinung nach gar nicht? Doris Kleck:Ich finde, diese Initiative hat Nebeneffekte, die nicht cool sind, die nicht gut sind. Ich finde, man sollte Unternehmertum in der Schweiz nicht anbürgen. Ich finde, die Vorstellungen der Juso sind einfach. Sie haben das Gefühl, wenn man die Unternehmen nichts für den Klimaschutz macht. Ich glaube, der Staat muss molenkend eingreifen und Klimaschutzmassnahmen fördern. Aber die Juso stellt alles am Pranger, wie wenn jedes Unternehmen und jeder Unternehmer extrem klimaschädigend wäre. Dass der Staat das besser könnte, das glaube ich nicht. Ich meine nur das Weltbild, das sie haben. Es schwirren auch Umsetzungsmassnahmen herum. Es gibt ein Papier der SP-Fraktion oder der Fraktion Spitze, das sagt, wir wollen gar nicht Familienunternehmen zerstören. Wir können das anders machen. Sie haben einen Vorschlag, dass sie die Unternehmen-Aktien dem Staat abgeben. Raphael Rohner:Das wäre eine Enteignung. Doris Kleck:Ja, bei aller Liebe, das ist wie Planwirtschaft pur. Dass der Staat, vielleicht ist das Geld besser, wenn das Geld im Unternehmen bleibt und das Unternehmen sich klimafreundlich verhält. Dort die Transformation investieren. Ich weiss nicht, ob du die Rundschau geschaut hast. Dort wurde die Juso-Präsidentin Hostetmana gefragt, wie sie sich die neue Wirtschaft vorstellt. Die Juso will nicht nur den Klimawandel bekämpfen, sondern sie will einen Totalumbau der Wirtschaft. Raphael Rohner:Das habe ich gesehen. Doris Kleck:Dann sagt sie, sie wollen weg vom Turbo-Kapitalismus, und wir wollen eine nachhaltigere Wirtschaft. Zum Beispiel müssen nachhaltige Sektoren wie der Care-Sektor massiv ausgebaut werden. Care-Arbeit ist wahrscheinlich die Kita-Betreuer und die ganze Pflege. Unsere Wirtschaft oder unsere Gesellschaft kann nicht bestehen, indem wir einfach mehr Leute... Ich sage nicht, dass der Care-Sektor nicht wichtig ist, aber wir können ja nicht die Leute einfach für den Care-Sektor ausbilden. Das kann auch nicht unsere Wirtschaft sein. Wir müssen ja Wertschöpfung erwirtschaften. Es ist auch ein komisches Bild, dass wenn ein paar Leute reicher werden, dass alle anderen ärmer werden. Sie machen einfach Milchbüchelrechnungen, die nicht stimmen. Sie haben wirklich ein komisches Bild unserer Wirtschaft. Ich glaube, das ist so... Ja... Das finde ich schwierig an dieser Initiative. Raphael Rohner:Was hättest du anders formuliert, wenn du diese Initiative lanciert hättest? Doris Kleck:Ich meine, die Diskussion über die Erbschaft steuert sich immer wieder. Die Kantone hatten früher noch höhere Erbschaftssteuern. Respektive sie haben früher noch Kinder noch bezahlen lassen. Viele Kantone sind davon weggekommen. Ich glaube ausser Kanton Waadt und Kanton Jura. Es kann funktionieren mit einer Erbschaftssteuer. Unsere Wirtschaft bricht nicht zusammen, aber dann muss es ein sehr moderater Satz sein. 50% ist wirklich einfach... Ja, das ist wirklich einfach so viel. Das funktioniert so nicht. Wenn man eine solche Steuer erhebt, gibt es viele negative Effekte. Die Initiative kann uns dazu bewegen, dass wir uns überlegen, wie unser Steuersystem aussehen würde, wenn wir es auf der grünen Wiese bauen würden. Raphael Rohner:Also komplett neu. Doris Kleck:Komplett neu. Dann kann man sich schon überlegen, wie es nicht sein würde, eine moderate Erbschaftsteuer zu haben. Aber dann muss man sich auch überlegen, wie sich das mit unserer Vermögenssteuer vertreibt. Vermögenssteuer ist von den Unternehmern auch nicht geliebt, weil es an der Substanz zerrt. Könnte man eine neue Mischform machen, eine moderate Erbschaftsteuer, um die Vermögenssteuer zu senken? Man könnte sich auch überlegen, ob es sinnvoll ist, immer nur unsere Mehrwertsteuer zu erhöhen. Raphael Rohner:Das wäre ein Ansatz. Doris Kleck:Da bin ich auch nicht sicher. Das Problem ist einfach, es gibt verschiedene Argumente für und gegen jede Steuer. Bei den Vermögenssteuern ist es so, dass die Kantone es sehr gerne haben, weil sie konstant fliessen. Bei den Erbschaften wird es viel volatiler, weil du nicht weisst, wenn in deinem Kanton eine hohe Erbschaft anfällt. So gibt es immer dafür und dann wieder. Ich finde es eine tolle, theoretische Überlegungsschiebung, ein neues Steuersystem zu schaffen. Aber wir sind nicht an diesem Punkt. Raphael Rohner:Wir sind an dem Punkt, wo es darum geht, ob wir die Juso-Initiative annehmen oder ablehnen. Danke für das Gespräch. Doris Kleck:Danke für die Einladung. Tschüss. 

ESSENTIEL, les rendez-vous du jeudi – Un monde de livres Emission présentée par Josyane Savigneau qui reçoit Olivier Frebourg, éditeur et Sarah Gysler pour son livre « Emmenez-moi » aux éditions des équateurs. À propos du livre : « Emmenez-moi  » paru aux éditions des équateurs « J'ai appris à naviguer comme j'ai appris à écrire : juste ce qu'il faut pour tenir le cap. Pas assez pour me préserver, et sans intention de prévenir les creux.» Ce livre, c'est l'histoire d'une fille qui se demande ce qu'elle fait là. Elle s'appelle Sarah et passe son temps à s'enfuir, à errer, pour en revenir souvent au même point. C'est l'histoire du « pou », une bestiole imprévisible installée dans l'esprit de Sarah, à l'affût de nouveaux plans catastrophiques, et qui l'oblige à acheter un bateau. C'est l'histoire de ce bateau, Dune, une vieille bique à coque rouge, et de ses mises à l'eau rocambolesques. C'est l'histoire d'un père férocement attachant, fan de Renaud et d'orchidées, toujours prêt à inviter la terre entière à partager une raclette. Un père malade, acculé à prendre la décision que redoutait sa fille. C'est un deuil qui n'en finit pas, des années qui passent, des amis qui restent, des films en noir et blanc, un chat aveugle qui perd ses dents, des croque-morts en chemises hawaïennes... Un roman intime et pétulant, sans fard et sans pathos, dans lequel l'héroïne raconte sa douleur et ses doutes, ses joies et son envie de chanter quand même, très fort et très faux, en attendant qu'on l'emmène n'importe où ailleurs, pourvu qu'il y ait du soleil et des glaces stracciatella. Sarah Gysler est née en 1994 à Lausanne, Sarah Gysler a commencé à voyager seule et sans argent à l'âge de dix-neuf ans. Après le succès de Petite, publié en 2018 aux Equateurs, elle nous embarque dans un nouveau roman poignant et haut en couleur : Emmenez-moi.

Concrètement, la mission de l'association Samedi du partage est simple: organiser, durant deux jours, une récolte auprès du grand public d'articles de première nécessité afin de venir en aide à des personnes dans le besoin. Pour le donateur, il s'agit de faire un geste concret et simple par l'achat de produits de base en faveur d'une personne moins favorisée. Les bénéficiaires sont des personnes en situation de précarité en Suisse romande (familles monoparentales, working-poors, personnes victimes de violence, souffrant de troubles psychiques, sans domicile fixe etc). Lors de chaque édition, des centaines de bénévoles apportent leur aide précieuse. Ils sont chargés, d'une part, de promouvoir l'action auprès de la clientèle et en lui remettant un cabas, et d'autre part, de ranger la marchandise reçue dans les caisses à disposition. La prochaine récolte des associations Samedi du partage Genève, Vaud et Fribourg aura lieu les vendredi 28 et samedi 29 novembre 2025 dans une centaine de supermarchés de ces 3 cantons romands. De très nombreux bénévoles sont donc recherchés pour cette action de grande ampleur. DEMANDE: - Des bénévoles disponibles les vendredi 28 et samedi 29 novembre à Genève, Lausanne, dans le Chablais, le Nord vaudois, ainsi que dans le canton de Fribourg (tranches de 3-4h).

«Ich bin grundsätzlich positiv eingestellt, was die Schweizer Demokratie angebelangt.» Es gebe aber auch besorgniserregende Tendenzen wie etwa die Newsdeprivierten, hielt Adrian Vatter am Dienstagabend im Bierhübeli in Bern fest.Gar als gefährlich bezeichnete Rahel Freiburghaus den Umstand, dass der Rückgang der Demokratie ansteckend sei. «Das muss uns bewusst sein.»Der Professor an der Universität Bern und die Assistenzprofessorin an der Universität Lausanne, die im «Bund» auch monatlich die Politkolumne verfassen, waren zu Gast beim «Bund im Gespräch», wo es um die Frage ging, ob die Demokratie noch zu retten sei. Der Anlass im vollen, ausgebuchten Bierhübeli wurde moderiert von «Bund»-Chefredaktor Marcello Odermatt, der gleich eingangs von seinen Gästen wissen wollte, was sie politisiert hat.Bei beiden war es eine Wahl – für Vatter war es jene von Leni Robert in die Berner Regierung und für Freiburghaus die von Christoph Blocher in den Bundesrat.Weiter diskutiert wurden die Unterschiede der Demokratie in der Schweiz und in den USA, ob die Schweizer Landesregierung strukturell an ihre Grenzen kommt und warum die Jungen nicht an die Urne gehen.Moderation: Marcello OdermattGäste: Adrian Vatter und Rahel Freiburghaus 3 für 1: Lesen Sie drei Monate, bezahlen Sie nur einenGefällt Ihnen unser «Gesprächsstoff» Podcast? Entdecken Sie dann die besten Recherchen und Hintergründe unserer Journalist:innen. Speziell für Sie haben wir das ‘3 für 1' Angebot konzipiert: 3 Monate lesen, nur 1 Monat bezahlen. Gute Lektüre und viel Spass.https://info.tamedia.ch/gespraechsstoffHabt ihr Feedback, Ideen oder Kritik zu «Gesprächsstoff»? Schreibt uns an podcast.bern@tamedia.ch Hosted by Simplecast, an AdsWizz company. See pcm.adswizz.com for information about our collection and use of personal data for advertising.

Le dopage reste un défi majeur pour le sport de haut niveau. Alors que les Enhanced Games, des "Jeux augmentés" autorisant le dopage sont prévus en 2026, Le Point J fait le point sur l'ampleur du phénomène avec Raphaël Faiss, responsable de recherche et chargé de cours à l'Institut des sciences du sport de l'Université de Lausanne. Journaliste: Jessica Vial Réalisation: Ludovic Labra >> Pour aller plus loin: - Le dossier de RTSDécouverte sur le dopage: https://www.rts.ch/education/sante-et-medecine/corps-humain/dopage - Anne-Isabelle Gomez, Laurent Guignard, "Festina: à l'insu de leur plein gré", Grand format archives RTS (en ligne) Nous écrire ou nous proposer des questions: +41 79 134 34 70 ou pointj@rts.ch

Les collectes du Samedi du Vaud bénéficient à toutes les personnes dans le besoin, quelle que soit leur situation. Il peut s'agir de familles monoparentales ayant de la peine à nouer les deux bouts, de working poors, de femmes et d'enfants victimes de violence, de personnes immigrées, sans domicile fixe ou encore souffrant de troubles psychiques. L'association organise chaque année deux collectes de produits de première nécessité dans plusieurs dizaines de supermarchés vaudois, genevois et fribourgeois. Rejoignez l'équipe du Samedi du partage en tant que bénévoles et soutenez les personnes dans le besoin en participant à la prochaine édition qui aura lieu les vendredi 28 et samedi 29 novembre prochain. DEMANDE: - Des bénévoles disponibles les vendredi 28 et samedi 29 novembre à Genève, Lausanne, dans le Chablais, le Nord vaudois, ainsi que dans le canton de Fribourg (tranches de 3-4h).

Premier épisode de la carte blanche accordée à Breakfast Club Records, label lausannois dédié à la bass music. Pour ce premier mix Breakfast Club Records présente Ostral, DJ / producteur basé à Lausanne. Ostral est un DJ / producteur basé à Lausanne en Suisse. Au fil des années, il s'est […] The post Breakfast Club Records presents : Ostral first appeared on Radio Vostok.

Aujourd'hui, à peu près le monde entier a les yeux rivés sur les Etats-Unis, leurs réactions, leurs décisions et leur santé démocratique. Depuis les deux guerres mondiales, ils sont considérés comme les champions du monde économique et militaire et on attend souvent leurs arbitrages, voire leur franc soutien. Afin de comprendre comment l'indépendance des Etats-Unis, proclamée le 4 juillet 1776, devient l'enjeu d'une guerre internationale, nous portons trois regards sur la Révolution américaine : la France, l'Ecosse et la Suisse. Avec Florence Pétroff, maitresse de conférences à l'Université de La Rochelle, autrice de La Révolution américaine et l'Écosse : regards croisés et identités hybrides (1765-1783) (Editions Honoré Champion). Bertrand Van Ruymbeke, professeur de civilisation et d'histoire des Etats-Unis à l'Université de Paris 8, spécialiste des Treize Colonies et de la Révolution américaine. Auteur de L'Amérique avant les États-Unis: Une histoire de l'Amérique anglaise, 1497-1776 (Editions Flammarion) et Histoire des États-Unis - De 1492 à nos jours (Editions Tallandier). Antoine Chollet, chercheur à l'Université de Lausanne et spécialiste des théories contemporaines de la démocratie.

Vous avez déjà entendu parler de ces lieux "no kids", comme des hôtels ou restaurants, qui affichent clairement que les enfants ne sont pas les bienvenus ? Entre argument commercial séduisant et pratique discriminatoire, Le Point J décrypte le phénomène avec Zoe Moody, professeure en psychologie scolaire à l'Université de Lausanne. Journaliste: Camille Degott Réalisation: Jonah Dubois Nous écrire ou nous proposer des questions: +41 79 134 34 70 ou pointj@rts.ch

In this Leveling Up episode of the PRS Global Open Deep Cuts Podcast, recorded live at PSTM 2025 in New Orleans, Louisiana, Dr. David Chwei-Chin Chuang discussed his career in nerve surgery, the importance of accurate diagnosis in brachial plexus reconstruction, and how he goes about documenting his evaluations and his surgeries, how he treats patients with aberrant motor reinnervation and synkinesis in the face and upper extremity, his approach to counseling patients before these complex surgeries, how to prevent burnout, and the future of nerve surgery. Dr. Chuang was joined by his nerve fellow Dr. Jing Tay, who provided insights into his experience working with Dr. Chuang, and the differences in the training models he has experienced in Taiwan and England.   Read a classic PRS Global Open article by Dr. Chuang and co-authors, "Postparalysis Facial Synkinesis Clinical Classification and Surgical Strategies":  https://journals.lww.com/prsgo/fulltext/2015/03000/postparalysis_facial_synkinesis__clinical.7.aspx    Dr. Chuang is a Professor of Surgery at Wan Fang Hospital in Taipei, Taiwan. He earned his medical degree from Kaohsiung Medical College in Taiwan and completed his internship and general surgery residency at the Veterans General Hospital in Taipei. He did a plastic surgery residency under Dr. Samuel Noordhoff at Chang Gung Memorial Hospital in Taipei, followed by extensive fellowship training with Dr. Terzis in Virginia, Dr. Narakas in Lausanne, Switzerland, Dr. Millesi in Vienna, Austria, and Dr. Kondo in Taiwan. He worked at Chang Gung Memorial Hospital in Taipei as a Professor of Surgery until 2024, and then joined the Wan Fang Hospital.   Dr. Jing Tay is a nerve reconstruction fellow working with Professor David Chuang at Wan Fang Hospital. He trained in plastic surgery in Oxford, England, and holds a PhD in Biomedical sciences and an executive MBA. He is the current Chair of the American Society of Plastic Surgeons International Residents Forum and serves as the UK's national trainee lead for the lymphedema special interest group.   Your host, Dr. Puru Nagarkar, is a board-certified plastic and hand surgeon, and Associate Professor of Plastic Surgery at the University of Texas Southwestern Medical Center in Dallas.   #PRSGlobalOpen #DeepCutsPodcast #PlasticSurgery #LevelingUp

C'est une image qui restera, celle d'une foule se pressant dans un grand magasin historique du centre de Paris, pour y acheter des produits chinois, issus d'une fast fashion, destructrice pour l'environnement et nos commerces, mais ô combien attractive pour les consommateurs. SHEIN a débarqué au BHV cette semaine, et la puissance de la marque chinoise a éclaté au grand jour. Une marque chinoise qui revendique 25 millions de consommateurs en France et qui inonde depuis des années notre pays de centaines de millions de petits colis sans véritable réaction politique. Suite au scandale des poupées pédopornographiques produites et vendues par SHEIN, la France cherche enfin à résister à ce tsunami. Certains veulent interdire la marque dans notre pays. Mais la France en a-t-elle les moyens ? Est-ce au consommateur de faire preuve de responsabilité ?- Gaspard KOENIG Philosophe, écrivain, président du cercle de réflexion GenerationLibre, auteur de « Agrophilosophie » aux éditions de L'Observatoire - Audrey MILLET Historienne, autrice de « La Couturière de Marie-Antoinette – Rose Bertin, l'invention de la haute couture » aux éditions Tallandier (23.10.25) et de « L'odyssée d'Abdoul. Enquête sur le crime organisé » aux éditions Les Pérégrines (30.08.24) et « Livre noir de la mode » aux éditions Les Pérégrines - Sandrine ZERBIB Fondatrice de ZW Conseil , ancienne représentante d'Adidas en Chine et co-autrice de « Dragon Tactics - les tactiques des entrepreneurs chinois pour mieux diriger dans l'incertitude » aux éditions Dunod (08.22)- Benoît HEILBRUNN Philosophe, professeur à ESCP Business School, co-directeur de l'Observatoire « Marques, imaginaires de la consommation et politique » à la Fondation Jean-Jaurès- Fanny PARISE Anthropologue, chercheuse associée à l'Université de Lausanne, experte en consommation, autrice de « Les Enfants gâtés. Anthropologie du mythe du capitalisme responsable » aux éditions Payot (05.22)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

durée : 01:59:02 - Le Bach du dimanche du dimanche 09 novembre 2025 - par : Corinne Schneider - Au programme de cette 357e émission : on fête les 70 ans du claveciniste et chef d'orchestre danois Lars Ulrik Mortensen (né le 9 nov. 1955) ; en avant-première, le nouveau CD « Baroque Encores » de David Fray (Erato 14 nov.) ; et la 27e édition du Festival Bach de Lausanne (du 7 nov. au 4 déc.) - réalisé par : Anne-Lise Assada Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Westlake, Lausanne, Jesus, Tamar, Judah, Advent

Der Langenthaler Valerio Moser ist Europameister im Poetry-Slam. Nicht alle seine Text-Perlen veröffentlicht er dem Publikum. Einige behält er ganz für sich. Unbedingt weitergeben will er seine Freude an der Sprache und das kreative Schreiben. Weiter in der Sendung: · Rückschlag für Gegner des Migros-Pouletschlachthofs in St-Aubin im Kanton Freiburg. · Der Emmentaler Unternehmer und Ypsomed-Gründer Willy Michel erhält den Prix Suisse 2025. · YB spielt auswärts gegen St.Gallen in der Super League. Der FC Sion misst sich auswärts gegen Lausanne.

Chaque semaine, Christophe Schenk nous présente trois infos locales et inspirantes, sélectionnées parmi les émissions de la RTS. Cette semaine : des formations en informatique gratuites pour personnes migrantes à Zurich, Berne et Lausanne, des compléments alimentaires naturels pour enfants développés par une nutritionnistes genevoise, et un guide contre le gaspillage alimentaire publié par lʹAgroscope.

Invitée: Line Dépraz, pasteure. Manifestation: les 750 ans de la Cathedrale de Lausanne. Dicodeurs et dicodeuses: Marie Riley, Didier Gendraud, Laura Chaignat, Lord Betterave, Daniel Rausis, Olivier Magarotto (claviers). Réalisation: Samuel Morier-Genoud.

Invitée: Line Dépraz, pasteure. Manifestation: les 750 ans de la Cathedrale de Lausanne. Dicodeurs et dicodeuses: Marie Riley, Didier Gendraud, Laura Chaignat, Lord Betterave, Daniel Rausis, Olivier Magarotto (claviers). Réalisation: Samuel Morier-Genoud.

Here on PEP Talk, we often think about how each of us can share our faith, perhaps on our own or with our local church. But what about the big picture - the REALLY big picture? On a global scale, in this century, what is happening as Christians everywhere seek to fulfil the Great Commission? Today Simon and Gavin speak with the director of the "State of the Great Commission" report from the Lausanne Movement.You can access the full report here: https://lausanne.org/reportMatthew Niermann has served the Lausanne Movement since 2010 in a variety of roles including research and operations. He is currently serving as the director of the State of the Great Commission Report for Lausanne 4. In addition, he serves as a dean and professor of architectural design at California Baptist University, where his research partially focuses on the relationship between creativity and Christian witness.

Invitée: Line Dépraz, pasteure. Manifestation: les 750 ans de la Cathedrale de Lausanne. Dicodeurs et dicodeuses: Marie Riley, Didier Gendraud, Laura Chaignat, Lord Betterave, Daniel Rausis, Olivier Magarotto (claviers). Réalisation: Samuel Morier-Genoud.

Seit gut hundert Tagen ist Michael Kinzer Direktor der Pro Helvetia und somit oberster Kulturförderer der Schweiz. Was bekommen die Steuerzahlenden für die 47 Millionen Franken, welche die Schweizer Kulturstiftung jedes Jahr verteilt? Michael Kinzer ist Gast im «Tagesgespräch». Der Romand mit deutsch-österreichischen Wurzeln hat die Pro Helvetia in einem schwierigen Moment übernommen. Sein Vorgänger wurde, weil er seine Lebenspartnerin in hohe Positionen in der Schweizer Kulturstiftung befördert hatte, zum Rücktritt gedrängt. Die Stimmung in der Pro Helvetia war schlecht. Zudem muss auch die bundesnahe Stiftung sparen. Wie geht Kinzer damit um? Und wo setzt er in seinen ersten zwei Jahren Akzente? Gestritten wird in der Kulturförderung immer wieder über die Vergabepraxis. Gerade in einem kleinräumigen Land wie der Schweiz, wo sich in den verschiedenen Kulturszenen alle kennen, steht schnell der Verdacht der Vetternwirtschaft im Raum. Zudem kritisieren bürgerliche Parteien insbesondere das Engagement der Pro Helvetia im Ausland. Was bringen die Aussenstellen der Kulturstiftung in Neu-Delhi? Und sind die Auslandaufenthalte für Schweizer Kulturschaffende tatsächlich „bezahlte Ferien“, wie bürgerliche Politiker gerne kritisieren? Michael Kinzer ist ein Studienabbrecher und hat sich seine Kulturkompetenz in der Praxis angeeignet. Im alternativen Freiburger Kulturzentrum Frison hat er Konzerte organisiert, in La Chaux-de-Fonds ein Theater geleitet, in Lausanne jahrelang das „Festival de la cité“ organisiert und dann die Kulturabteilung geleitet. Und jetzt ist Kinzer Direktor der Pro Helvetia. Das klingt nach einem Weg hin zu mehr Macht, aber auch hin zu mehr Bürokratie. Wie geht Kinzer damit um? Roman Fillinger hat mit Michael Kinzer darüber gesprochen.

Invitée: Line Dépraz, pasteure. Manifestation: les 750 ans de la Cathedrale de Lausanne. Dicodeurs et dicodeuses: Marie Riley, Didier Gendraud, Laura Chaignat, Lord Betterave, Daniel Rausis, Olivier Magarotto (claviers). Réalisation: Samuel Morier-Genoud.

Invitée: Line Dépraz, pasteure. Manifestation: les 750 ans de la Cathedrale de Lausanne. Dicodeurs et dicodeuses: Marie Riley, Didier Gendraud, Laura Chaignat, Lord Betterave, Daniel Rausis, Olivier Magarotto (claviers). Réalisation: Samuel Morier-Genoud.

Truwant+Rodet+ is a Basel-based architecture firm founded in 2015 by Charlotte Truwant and Dries Rodet, which operates across the fields of architecture, landscape urbanism, exhibition making, installations, furniture design, research, and teaching.In 2017, they received the Swiss Art Award for their project A Pavilion. Since 2018, they have been developing the project, Fountain of Youth with Fabian Marti for the Campus Santé in Lausanne. In 2020, Truwant+Rodet+ won the renovation for the Centre Culturel Suisse in Paris with the Parisian firm ASBR. In 2022, they won the competition for the renovation of the Stadium of Bulle.This conversation was recorded remotely on 12 September in Basel and London. Special thanks this week to Bárbara Maçães Costa.The essay "Time as Material" referred to in the conversation can be accessed here. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

durée : 00:38:21 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Depuis le début du second mandat de Donald Trump aux États-Unis, le degré de fusion entre politique et religion atteint un niveau remarquable, mis en lumière le 21 septembre 2025 par la cérémonie d'hommage rendue à Charlie Kirk. - invités : Blandine Chelini-Pont Professeure d'histoire contemporaine et de relations internationales à l'université d'Aix-Marseille, spécialiste des relations entre politique et religion aux États-Unis; Philippe Gonzalez Maître d'enseignement et de recherche en sociologie à l'Université de Lausanne

Studie zeigt: Wohnungskrise für Sozialhilfebeziehende gross, Rekord-Hurrikan «Melissa» bedroht Jamaika, Sudan: Miliz nimmt Stadt El Fasher ein, «Vallotton Forever» – die Retrospektive in Lausanne

durée : 00:38:21 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Depuis le début du second mandat de Donald Trump aux États-Unis, le degré de fusion entre politique et religion atteint un niveau remarquable, mis en lumière le 21 septembre 2025 par la cérémonie d'hommage rendue à Charlie Kirk. - invités : Blandine Chelini-Pont Professeure d'histoire contemporaine et de relations internationales à l'université d'Aix-Marseille, spécialiste des relations entre politique et religion aux États-Unis; Philippe Gonzalez Maître d'enseignement et de recherche en sociologie à l'Université de Lausanne

Lorsque la Guerre civile prend fin en 1939, les nationalistes, mené par Franco, emportent la victoire. La Deuxième Guerre mondiale commence alors et l'Espagne reste neutre. La dictature s'installe au pouvoir et modèle la société espagnole selon ses valeurs, ses lois et sa version de l'histoire. On découvre L'Espagne des premières années de la dictature avec l'historien Sébastien Farré, directeur exécutif de la Maison de l'Histoire à Genève et spécialiste de l'Espagne contemporaine. Son livre : La Suisse et l'Espagne de Franco. De la Guerre civile à la mort du dictateur (Lausanne, Antipodes, 2006)

Nous sommes le 24 octobre 2019 et l'évènement alimente la presse nationale et étrangère pendant de très long mois. Antonio Tejero Molina, ancien colonel de la Garde civile espagnole, nostalgique du régime franquiste, tente d'assister au déplacement du corps de Franco à tout prix…. Cela fait alors 44 ans que Franco est mort. Entre temps, l'Espagne est devenue une démocratie, avec une loi qui impose l'oubli sur les crimes de la guerre civile mais aussi sur ceux de la dictature. Avec également une constitution, mais toujours l'impossibilité d'effacer son passé remuant. Nous retrouvons Sophie Baby, autrice du livre Juger Franco, (Editions La Découverte) et Sébastien Farré, directeur exécutif de la Maison de l'Histoire à Genève et spécialiste de l'Espagne contemporaine. Le livre de Sébastien Farré : La Suisse et l'Espagne de Franco. De la Guerre civile à la mort du dictateur (Lausanne, Antipodes, 2006)

What does it mean to follow Jesus in a city famous for witchcraft? Pastor Steven and Sarah White share how their family and church bring the light of Christ into the heart of Salem, Massachusetts—especially during Halloween, when the streets overflow with spiritual seekers and darkness feels most tangible. ✨ Summary In this episode of the Lausanne Movement Podcast, Jason Watson sits down with Pastor Steven and Sarah White to explore what faithful discipleship looks like in one of America's most spiritually charged cities. From prayer walks through the Satanic Temple to welcoming thousands of visitors during Halloween, the Whites describe how God is using gentle presence, prayer, and joy to advance the gospel in Salem. They also open up about the importance of rest, marriage, and raising children amid spiritual opposition—and how light truly shines brightest in the dark.

Nouveauté pour la rentrée : Le E-carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" est disponible pour seulement 39 € ! 1️⃣ Présentation de l'invitée : Avez-vous déjà rêvé d'un séjour à la campagne qui combine le confort de l'hôtellerie de luxe avec l'authenticité d'une maison familiale ? Dans cet épisode, j'ai le plaisir d'accueillir Camille Personnat, une entrepreneure dynamique qui a su créer un concept unique en réponse aux nouvelles tendances du travail flexible et du bien-être. Camille a un parcours impressionnant dans le monde de l'hôtellerie et du tourisme. Après ses études à l'École Hôtelière de Lausanne et des expériences marquantes chez Airbnb et dans des établissements de luxe, Camille a cofondé The Oasis House, avec Guillaume Prigent. Leur objectif était de repenser l'expérience de séjour à la campagne en intégrant des éléments de confort, de qualité et des processus automatisés pour offrir le meilleur des deux mondes. Nous plongeons, donc, dans l'univers de The Oasis House et de La Prairie, l'une des maisons de cette collection située près de Paris. Camille nous explique comment elle a conçu ces espaces pour répondre aux besoins des entreprises et des particuliers en quête d'un cadre propice à la créativité, au travail et au bien-être. Avec des services sur mesure, une expérience clé en main et une forte dimension de bien-être, The Oasis House se positionne comme une réponse innovante aux besoins du travel BtoB, dans un cadre bucolique et ressourçant. 2️⃣ Notes et références : Airbnb ; l'École Hôtelière de Lausanne (EHL) ; HEC ; Les Airelles ; Le livre "De Zéro à Un" de Peter Thiel. 3️⃣ Pour contacter l'invitée : LinkedIn Site web de The Oasis House Son email : camille@theoasishouse.fr 4️⃣ Le partenaire de l'épisode : Influence Society Influence Society Prendre un rendez-vous avec le fondateur Sébastien Felix En venant de la part d'Hospitality Insiders, vous bénéficiez de 45 minutes en tête-à-tête avec Sébastien Felix pour repenser votre stratégie digitale et parler d'Intelligence Artificielle. Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

On fait parler la poudre d'escampette avec la grande écrivaine et voyageuse suisse du siècle passé: Ella Maillart. Voyage dans son pays natal qui, près de 30 ans après sa mort, continue d'honorer sa mémoire et son legs immense. À Si loin si proche, Ella c'est une sorte de marraine, d'aînée que l'on convoque souvent, tant elle a ouvert la voie à d'autres sur les chemins de l'ailleurs, de la liberté et de l'Asie. Née en 1903 sur les bords du Lac Léman, Ella Maillart va très tôt tracer sa route au-delà des frontières et des conventions, voyageant seule le plus souvent et refusant «de remplir un destin tout tracé par son sexe» -on dirait genre aujourd'hui… Tour à tour sportive de haut niveau, marin, reporter, photographe, écrivaine, guide et conférencière jusqu'à l'âge de 80 ans, l'autrice de «La Voie cruelle» ou de «Oasis interdites» a laissé derrière elle une œuvre puissante et singulière : des images et des récits dans lesquels son regard bleu perçant avait à cœur de raconter le monde et de dire aussi sa vérité.  Aujourd'hui encore, on est frappé par la modernité, la cohérence de son existence. On la cite et on la lit encore, certain.e.s voyagent sur ses traces en Asie… Et en Suisse, à travers des lieux, des musées ou des expositions temporaires, on continue de célébrer, partager la géographie complexe d'Ella Maillart, «la femme du globe», comme l'avait surnommé le poète Paul Valéry.  Nouvel épisode de notre série de portraits radiophoniques d'écrivain.e.s voyageurs-voyageuses, dans les yeux d'Ella en Suisse. Entre les rives du Léman de son enfance et son refuge d'altitude à Chandolin où elle s'est installée en 1946, entre les vitrines du Musée Rath de Genève qui lui a consacré une rétrospective au printemps 2024 et celles du Musée Bolle de Morges qui s'est penché sur son passé de navigatrice.  Dans «Ma philosophie du voyage», Ella Maillart faisait sienne les mots d'Antoine de Saint-Exupéry : «Une mauvaise littérature nous a parlé du besoin d'évasion. Bien sûr, on s'enfuit en voyage à la recherche de l'étendue. Mais l'étendue ne se trouve pas, elle se fonde. Et l'évasion n'a jamais conduit nulle part.». Puis terminait ainsi : «Ces mots résument ma vie.» Un voyage sonore de Céline Develay-Mazurelle et Laure Allary, initialement diffusé le 8/09/2024.   Partir en Suisse dans les yeux d'Ella : À Chandolin, dans la quiétude des Alpes valaisannes, on retrouve à près de 2 000 mètres, le chalet Atchala d'Ella Maillart et l'émouvant musée qui lui est dédié. Contacter l'Association des Amis d'Ella Maillart pour le chalet, un lieu particulièrement touchant et intouché. L'espace Ella Maillart est tout aussi passionnant. Un vrai voyage dans le temps et dans la vie d'Ella Le Musée Rath, musée d'art et d'histoire de Genève, a consacré une grande exposition à l'écrivaine voyageuse et convoqué deux artistes plasticiennes pour interroger le sillon profond qu'a laissé Ella Maillart derrière elle Le Musée Bolle de Morges s'est penché sur le passé de navigatrice d'Ella. À partir du travail de l'autrice suisse Carine Bertola, autrice de Ella Maillart Navigatrice. Libre comme l'eau paru aux Éditions Glénat Le Musée photo Élysée de Lausanne concentre la fabuleuse collection d'images d'Ella Maillart Plus d'infos pour organiser votre voyage sur le site de Suisse Tourisme. À lire en voyage : Ella Maillart. Navigatrice. Libre comme l'eau de Carine Bertola. Éditions Glénat 2024  Ella Maillart, l'intrépide femme du globe de Gwenaëlle Abolivier. Éditions Paulsen 2023 Les Éditions Payot publient en poche, en France, les différents ouvrages d'Ella Maillart  Regards sur Chandolin d'Ella Maillart. Éditions Zoé 2021.

durée : 00:57:43 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - Loin d'être une enveloppe neutre, le corps porte la marque de la société qui le façonne. Pour Marcel Mauss, il devient un vecteur d'apprentissage et de transmission culturelle et prolonge le grand geste durkheimien. - réalisation : Nicolas Berger - invités : Mélanie Plouviez Maître de conférences en philosophie à l'université Côte d'Azur, en charge du pilotage du projet de recherche "Philosophie de l'héritage" ; Nathan Schlanger Archéologue et historien des sciences sociales, professeur d'archéologie à l'École nationale des Chartes; Jean-François Bert Sociologue et historien des sciences sociales, maître d'enseignement et de recherche à l'Université de Lausanne.

En 2025, on célèbre les 750 ans de la cathédrale de Lausanne. Mais pourquoi un tel anniversaire dans une ville qui compte aussi une mosquée, une synagogue et de nombreuses autres églises ? Parce que ce monument raconte l'histoire de Lausanne, du canton et même de la Suisse, bien avant que le pays n'existe. De son passé savoyard à la domination bernoise, des guerres de religion à l'invention du patrimoine, la cathédrale traverse les siècles. Croyants ou non, elle nous concerne tous. Pourquoi la cathédrale de Lausanne abrite-t-elle plusieurs représentations de Moïse, toutes avec des cornes ? Née d'une erreur de traduction, cette tradition artistique se perpétue du XIII? au XIX? siècle, du portail médiéval au Moïse "Charlton Heston". Entre sculptures, beffroi et musée du Palais de Rumine, ces figures intrigantes interrogent encore notre regard. Avec Karina Queijo (historienne de l'art et archiviste de la cathédrale), Kerim Berclaz (docteur en histoire de l'art), Pierre-Olivier Dittmar (historien des images médiévales), Sabine Utz (conservatrice au Musée cantonal d'archéologie), Dave Lüthi (historien de l'art, UNIL). Nous remercions chaleureusement Laurence Terrier Aliferis, historienne de l'art, pour sa générosité dans la préparation de cette série.

La cathédrale de Lausanne n'a jamais cessé de se transformer. D'abord romane, puis gothique, elle met près d'un siècle à sortir de terre avant d'être consacrée en 1275, en présence du pape et de l'empereur. Elle échappe de peu à la destruction, devient protestante, tombe peu à peu dans l'oubli, puis renaît sous l'impulsion du XIX? siècle. Ce monument inachevé, traverse les âges. Avec Karina Queijo (historienne de l'art et archiviste de la cathédrale), Dave Lüthi (historien de l'art et de l'architecture, UNIL), Mathias Glaus (archéologue), et Kerim Berclaz (auteur d'un mémoire de doctorat sur la cathédrale). Nous remercions chaleureusement Laurence Terrier Aliferis, historienne de l'art, pour sa générosité dans la préparation de cette série.

La cathédrale de Lausanne n'a pas toujours été paisible. En 1440, elle devient le théâtre de la proclamation de l'antipape Félix V, duc de Savoie. Mais le plus souvent, ce sont les évêques et les chanoines qui s'affrontent, entre querelles et grands travaux comme ceux d'Aymon de Montfalcon. À travers ces luttes, la cathédrale reste au cœur de la vie de la ville, rythmée par ses fêtes, ses processions et son guet, encore présent chaque nuit. Avec Dave Lüthi (professeur d'histoire de l'art), Karina Queijo (historienne), Kerim Berclaz (chercheur) et Mathias Glaus (archéologue). Nous remercions chaleureusement Laurence Terrier Aliferis, historienne de l'art, pour sa générosité dans la préparation de cette série.

En 1536, l'histoire de la cathédrale bascule: Berne impose la Réforme. Elle devient temple protestant, ses usages changent et l'iconoclasme prend possession du lieu. Pourtant, une Vierge, un vitrail et des trésors préservés rappellent que, malgré destructions et choix pratiques, cette époque marque encore la pierre. Avec Karina Queijo (historienne de l'art), Kerim Berclaz (chercheur), Dave Lüthi (professeur d'histoire de l'art et de l'architecture). Nous remercions chaleureusement Laurence Terrier Aliferis, historienne de l'art, pour sa générosité dans la préparation de cette série.

La cathédrale de Lausanne est aussi une nécropole. Des tombeaux sculptés aux monuments imposants comme celui d'Henriette Canning, jusqu'aux sépultures oubliées, elle garde la mémoire des puissants et des anonymes. Des figures comme Othon de Grandson rappellent que ses pierres racontent autant la vie que la mort. Avec Mathias Glaus (archéologue), Dave Lüthi (professeur d'histoire de l'art et de l'architecture), Karina Queijo (historienne de l'art) et Kerim Berclaz (chercheur). Nous remercions chaleureusement Laurence Terrier Aliferis, historienne de l'art, pour sa générosité dans la préparation de cette série

Depuis 2022, Maurine Mercier est correspondante en Ukraine. Pour la RTS, radio publique suisse francophone, elle produit un podcast nommé Carnets d'Ukraine. Le 11 octobre 2025, un de ses reportages a été récompensé au prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre. Maurine Mercier est l'invitée de L'atelier des médias. Lauréate du 1er prix radio au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre 2025 pour son reportage « Pokrovsk de fleurs dans les ruines », Maurine Mercier a exprimé sa surprise. « Je ne pensais pas que le jury de Bayeux serait assez punk pour récompenser ce reportage » dans lequel deux Ukrainiennens racontent qu'elles « redécouvrent leur plaisir sexuel dans une ville qui se fait envahir », a-t-elle expliqué sur scène. Correspondante en Ukraine depuis 2022, Maurine Mercier explique que les récompenses comme celle-ci – c'est la 3e fois en quatre ans qu'elle reçoit le 1er prix à Bayeux – l'aident à défendre devant sa hiérarchie l'importance de couvrir les conflits qui durent, malgré la « news fatigue ». Elle met en garde contre le risque que l'Ukraine devienne un « trou noir » médiatique. De Salgado au rejet de l'envoyé spécial Née à Lausanne en 1981, Maurine Mercier se souvient avoit été marquée à l'âge de six ans par une exposition du photographe brésilien Sebastião Salgado : un « déclic » pour « aller voir le monde ». Elle se souvient de la leçon que Salgado lui a donnée lors d'une interview : « Tu ne regardes pas assez bien. » Après avoir appris son métier à la télévision locale TVRL, elle entre à la RTS en 2012. Mais le rôle d'envoyée spéciale ne luit convient pas. Elle préfère « rester des années dans un pays pour être sûre de dire le moins de bêtises possible ». Aussi, en 2016, elle part s'installer à Tunis pour couvrir l'Afrique du Nord, principalement la Libye. Elle y restera six ans. Carnets d'Ukraine : le format « note vocale » Lorsque l'invasion à grande échelle de l'Ukraine éclate en 2022, Maurine Mercier est en Tunisie. Sa première expérience de zone de guerre remonte à 2014, lorsqu'elle s'était « autoprojetée » à Donetsk. Elle livre un « bras de fer » pour convaincre la RTS de l'envoyer en Ukraine, où elle s'installe durablement en août 2022. En février 2024, elle lance Carnets d'Ukraine, diffusé d'abord en radio sur la RTS. Avec une « écriture podcast » basée sur des pastilles au format « note vocale », afin de créer de la proximité avec les auditeurs. Pour la première fois, elle s'autorise l'emploi du « je » pour décrire ses émotions, car « mon je, en fait, c'est vous ».  Être une femme journaliste en zone de conflit Être une femme est « toujours un avantage » sur le terrain, affirme Maurine Mercier. Elle prend l'exemple de la Libye, où les reporters masculins, ne pouvant entrer dans les maisons, sont privés d'échange avec la moitié de la population. En Ukraine, cela permet des « dialogues » plus profonds avec les soldats, car elle leur rappelle leurs proches. Maurine Mercier mentionne aussi Artem, son ami et fixeur, et avec qui l'humour est leur « médicament antidouleur ». Honnêteté et nécessité d'être à la hauteur Sa frustration professionnelle est de ne couvrir la guerre russe en Ukraine que depuis un seul côté car elle n'obtient pas de réponse à ses demandes pour aller dans les territoires ukrainiens occupés. Elle soutient qu'une guerre « ça se couvre de toutes parts », car c'est une manière de rétablir le dialogue et de dénoncer l'absurdité de la propagande. L'honnêteté est fondamentale pour le pacte de confiance avec le public, rappelle Maurine Mercier pour qui il est essentiel de montrer que l'Ukraine est complexe, ne pas omettre la corruption et les divisions. Elle conclut son intervention en espérant que ses reportages « puissent permettre à des jeunes [...] de faire quelque chose pour bâtir la paix, la démocratie », soulignant que les Européens doivent être « à la hauteur de ce qu'[ils] prétend[ent] défendre ».

Nestlé is the world's largest packaged food and drink company, but after a turbulent period it has announced plans to cut 16,000 jobs over the next two years. But after selling its water division for €5bn earlier this year, will it lead to the Swiss conglomerate slimming down further? Andrew Peach finds out why the US Chamber of Commerce is trying to stop the Trump administration charging businesses US$100,000 for each foreign skilled worker visa. Elsewhere, Japan is known for its political stability, but amid numerous economic challenges, could a new prime minister be the answer to its problems? And what's all the fuss about with Microsoft's first-ever handheld Xbox console? The latest business and finance news from around the world, on the BBC. (Picture: The Nestlé logo is seen during the opening of the 151st Annual General Meeting of Nestlé in Lausanne, Switzerland on 12th April, 2018. Credit: Reuters / Pierre Albouy.)

In a recent speech to the UN, US president Donald Trump set out some remarkable figures on the proportion of inmates in European prisons who were foreign nationals.Citing statistics from the Council of Europe, he references Greece, Germany and Austria, as having rates around 50%.“In Switzerland, beautiful Switzerland,” he said “72% of the people in prisons are from outside of Switzerland.” These numbers are correct, but why are the percentages so high – particularly in Switzerland?Tim Harford speaks to Professor Marcelo Aebi, a criminologist from the University of Lausanne, who wrote the prisons report for the Council of Europe.If you've seen a number in the news you think we should take a look at, let us know: moreorless@bbc.co.ukPresenter: Tim Harford Producer: Tom Colls Sound mix: Rod Farquhar Editor: Richard Vadon