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durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Donald Trump a ordonné la reprise des tests des armes nucléaires, tandis que Vladimir Poutine vante les mérites de ses missiles et drones sous-marins à capacité nucléaire. Pourquoi cette agitation autour de l'arme nucléaire ? Il s'agit d'abord d'une arme psychologique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Au menu de la troisième heure des GG du vendredi 31 octobre 2025 : "Foodwatch veut 100 aliments sains à prix coûtant !", avec Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Yves Camdeborde, restaurateur.
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Donald Trump a ordonné la reprise des tests des armes nucléaires, tandis que Vladimir Poutine vante les mérites de ses missiles et drones sous-marins à capacité nucléaire. Pourquoi cette agitation autour de l'arme nucléaire ? Il s'agit d'abord d'une arme psychologique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Demain, c'est Halloween. Si certains iront faire la fête ou le tour du quartier pour réclamer des sucreries, d'autres, préféreront un film à frissons. Avoir peur, être angoissé, sont généralement des sensations plutôt désagréables. Cela peut sembler paradoxal, et pourtant, les films d'horreur ont la cote. Que se passe-t-il dans notre corps lorsqu'on a peur ? Pourquoi se sent-on bien une fois que le suspens est passé ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. Première diffusion : octobre 2024 À écouter aussi : Qu'est-ce que Halloween ? Pourquoi la saga de films « Halloween » est-elle culte ? Qu'est-ce que la “vampire bimbo”, qui cartonne pour Halloween ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Pendant trois mois, Aurélie Vaquier, 38 ans, était la disparue de Bédarieux, petite ville proche de Béziers. Ses proches avaient beau la chercher partout, elle restait obstinément invisible. Difficile de croire à une fugue. Une disparition volontaire. Ou même à un accès de dépression. Tant la jeune femme avait plein de projets. Et affichait un caractère bien trempé. Aurélie n'était pourtant pas très loin. Elle n'avait même jamais quitté son logement du centre-ville. Elle reposait sous une épaisse dalle de béton, étouffée et enfouie ici par son meurtrier.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La gauche taxe tout son soûl, la droite défiscalise d'autant, les macronistes observent, impuissants, le résultat : un projet de loi de finances sans queue ni tête, qui ne réduit en rien le déficit.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Salut c'est Ibby,Dans cet épisode, on parle d'un sujet essentiel : rester fidèle à soi-même.Dans un monde où tout le monde veut te dire comment vivre, quoi penser, quoi devenir, c'est facile de se perdre.De vouloir plaire, de vouloir être validé, de s'adapter à tout sauf à soi.Mais la vérité, c'est que la paix ne se trouve pas dans le regard des autres, elle se trouve dans la cohérence entre ce que tu ressens, ce que tu penses et ce que tu fais.Être fidèle à toi-même, c'est refuser de te trahir pour appartenir.C'est choisir de rester aligné, même quand c'est inconfortable.Dans cet épisode, je t'invite à te reconnecter à ta vérité intérieure, à tes valeurs, à cette version de toi qui n'a pas peur d'être différente.Parce qu'au fond, le vrai courage, c'est pas de ressembler aux autres, c'est de te respecter, même si ça te coûte des gens.
Syndicat à la Banque de Maurice : la victoire est proche, la reconnaissance tant attendue est sur le point d'être officialisée by TOPFM MAURITIUS
Elle a monté sa startup à 19 ans. Elle a levé des millions. Elle a été listée dans les 30under30 de Vanity Fair et reconnue comme l'une des pionnières de la réalité augmentée avec Opuscope.Puis… le réel a frappé : Pandémie, pivots, déprime, liquidation. Tout ce qu'elle avait construit semblait s'écrouler. Dans cet épisode, Soraya Jaber raconte l'envers de l'entrepreneuriat : la fatigue qu'on cache derrière les distinctions, les rendez-vous annulés du jour au lendemain aux États-Unis, le masque qu'on garde pour rassurer les équipes alors qu'on n'y croit plus soi-même. Mais c'est aussi une renaissance :
Salut c'est Ibby,Dans cet épisode, on parle d'action — la vraie. Pas celle qu'on idéalise dans les livres de développement personnel, mais celle qui fait mal, qui secoue, qui demande du courage.Agir, c'est pas toujours fluide. C'est pas toujours motivant. Parfois, c'est juste inconfortable, épuisant, et même frustrant.Mais c'est normal. Parce que changer, avancer, construire quelque chose de grand, c'est censé être dur.On a trop cru que si c'était difficile, c'était un signe qu'on n'était pas fait pour ça.Mais en réalité, c'est l'inverse : si c'est dur, c'est que tu es en train de sortir de ce qui t'endort.C'est que tu es en train de te prouver à toi-même que tu peux aller plus loin.Dans cet épisode, je t'invite à voir la difficulté non plus comme un obstacle, mais comme un passage.Parce que l'action, c'est ce qui te libère de la peur, et c'est dans l'effort que tu te découvres.Alors arrête d'attendre que ce soit facile. Fais-le, même si c'est dur.
À la fin de chaque émission, retrouvez en exclusivité sur les plateformes de podcast le débrief des 2h30 d'antenne qui viennent de s'écouler, en compagnie d'une des Grosses Têtes du jour... Ce 28 octobre 2025, Éric Antoine s'est confié au micro de Rachel Azria. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Neuf mois après le retour de Donald Trump à la Maison Blanche et la fermeture de la frontière entre le Mexique et les États-Unis, le Mexique est devenu pour beaucoup de migrants latino-américains la seule option qui reste. Le pays devient une voie pour survivre quand le rêve américain s'effondre. De notre correspondante à Mexico, « J'ai 28 ans. Je suis vénézuélien. Ça fait déjà un an que je suis là », raconte Luis Marcano. Six jours sur sept, Luis traverse Mexico d'est en ouest pour aller travailler. Un job informel dans la construction. L'année dernière, il voulait d'aller aux États-Unis. Mais rien ne s'est passé comme prévu. Victime de la violence au Mexique, la frontière s'est fermée sous ses yeux. « On ne peut plus passer et maintenant, ils expulsent tout le monde. Eh bien moi, j'ai décidé de rester ici. Pour l'instant ça va, j'ai du travail. Je peux aider ma famille depuis ici », confie-t-il. En allant dans un café, il raconte comment il parvient à envoyer un peu d'argent à sa famille restée au Venezuela. « Hier, c'était l'anniversaire de ma grand-mère et je lui ai offert un téléphone », raconte-t-il. Il montre une vidéo de la fête qui a eu lieu et ajoute : « Là, c'est ma mère. Je suis loin, on ne peut pas partager ces moments. Elles me manquent, mais bon. Elles me disent de venir, de ne pas rester seul ici. Elles savent tout ce par quoi je suis passé. Mais je suis vivant, Dieu merci. Je ne regrette rien. » À lire aussiMexique : le retour difficile des migrants expulsés ou déçus des États-Unis Rester, attendre la fin de l'ère Trump et retenter sa chance ? Après dix ans loin du Venezuela, Luis imagine plutôt rentrer quand il aura réuni assez d'argent et obtenu son statut légal au Mexique. « S'ils me le donnent, je pourrais voyager et même faire des allers-retour. Je pourrais emmener des choses là-bas. Ici les vêtements, les chaussures sont accessibles. Je veux ramener quelque chose. Je ne veux pas partir sans rien. Tant d'années loin de chez moi pour rien ? », s'interroge-t-il. Et quand on lui demande de quoi il rêve maintenant, il répond : « Si je pouvais, je partirais demain. J'achèterais un terrain sur la plage dans mon pays. » Comme Luis, ils seraient des dizaines de milliers de personnes restées au Mexique. Encore loin de nourrir un rêve mexicain, beaucoup regardent désormais vers le sud, en direction de leur pays d'origine. À lire aussiTravel ban : Haïti, Cuba et le Venezuela concernés par la nouvelle mesure d'immigration américaine
Troppi aiuti sociali agli stranieri penalizzano i ticinesi? Non sarebbe il caso di analizzare compiutamente la situazione? È questo il contenuto di una mozione a firma leghista depositata il 22 gennaio del 2024 e attorno alla quale si sarebbe dovuto discutere nella serata di ieri in Gran Consiglio a Bellinzona... Ma non sempre le cose vanno come prestabilito, i dibattiti precedenti hanno preso tempo e la trattanda è quindi stata rimandata a novembre... Tant'è, il tema rimane di attualità anche guardando alle possibili voci di risparmio per far quadrare i conti dello stato, tanto più che a questa mozione se n'è di recente aggiunta un'altra a firma UDC LEGA e PLR che chiede una revisione totale della Legge cantonale sulle prestazioni sociali, la LAPS, in vigore da vent'anni.Ne parliamo a Modem con Alessandro Mazzoleni, vice coordinatore della Lega dei Ticinesi, mozionanteGiulia Petralli, deputata in Gran Consiglio per i Verdi, co-relatrice di minoranza
Entré en vigueur le 6 août dernier, l'accord migratoire conclu entre Londres et Paris permet au Royaume-Uni de renvoyer des exilés en France et, en échange, d'en accueillir autant. Mais la mesure peine à se mettre en place et n'a aucun effet sur les traversées. Reportage à Calais, l'un des principaux points de départs des migrants. Une partie de football s'improvise dans la cour du Secours catholique à Calais. L'association offre, en plein centre-ville, un lieu de répit aux exilés. Ici, beaucoup ont déjà entendu parler de l'accord migratoire entre la France et la Grande-Bretagne, sans toujours en connaître les détails. « J'ai entendu parler de cet accord, c'est un peu comme si on était des animaux. Mais je ne peux pas faire demi-tour et je ne peux pas rester ici. Je n'ai pas d'autre choix », affirme Abdo, originaire du Yémen et arrivée à Calais il y a un mois. À l'intérieur du bâtiment, des dizaines d'hommes, souvent jeunes, discutent autour des multiprises si précieuses pour recharger leur portable. La fréquentation du centre n'a pas baissé, malgré la nouvelle menace qui pèse sur les candidats à la traversée. « Je pense qu'au début, il y avait des questions qui se posaient. Quand l'information est sortie, les gens, par pragmatisme, continuaient de passer en petits bateaux. Nous, on a tout de suite pensé que c'était inefficace. Tant que les personnes sont coincées dans ces politiques européennes, elles continueront d'aller en Angleterre », estime Léa Biteau, qui coordonne l'antenne du Secours catholique à Calais. De fait, depuis le 1e janvier, près de 37 000 personnes sont arrivées au Royaume-Uni à bord de petites embarcations, au départ des côtes françaises. Ce chiffre dépasse celui de l'ensemble de l'année 2024. Et depuis l'entrée en vigueur de l'accord entre Londres et Paris, seulement 42 personnes ont été expulsées de Grande-Bretagne et 23 ont obtenu un visa. À lire aussiFlux migratoire en hausse vers le Royaume-Uni malgré l'accord avec la France Pour bénéficier de ce principe du « un pour un », un expulsé de Grande-Bretagne pour un accueilli, le candidat doit s'inscrire de son propre chef sur une plateforme du ministère de l'Intérieur britannique, via un smartphone. Faut-il encore le savoir. Une ONG britannique a dû se déplacer à Calais ces dernières semaines pour aider les exilés dans leurs démarches. « Parmi les visiteurs réguliers de l'accueil de jour, il y en a pas mal qui ont fait des demandes, raconte Sakina, médiatrice au Secours catholique. Pour l'instant, je ne connais qu'une seule personne qui a eu un rendez-vous à Paris. Le problème, c'est qu'ils lui ont demandé l'original de son passeport. Sauf que c'est complètement déconnecté de sa réalité à lui et de la réalité de pas mal de personnes exilées d'ici. Il s'agit de beaucoup de personnes qui ont fui des situations de guerre, de conflit et qui n'ont donc pas les originaux de leurs papiers. » À lire aussiRoyaume-Uni: des milliards «gaspillés» pour héberger des migrants en hôtels pointe un rapport parlementaire CJ a la chance d'avoir pu conserver son passeport. Ce Soudanais de 28 ans, qui a plusieurs fois échoué à traverser la Manche, a tenté cette fois la voie légale. « Oui, j'ai déposé une demande sur cette nouvelle appli britannique, pour obtenir un visa. Mais elle n'a pas été acceptée », regrette-t-il. Alors est-ce que cela change ses projets ? Sa réponse n'est pas celle qu'espèrent les autorités britanniques. « En fait, oui, j'ai changé d'avis. Pas pour rester ici en France. Je vais essayer par camion. Mon objectif ne changera pas, jamais », affirme-t-il. En 2024, moins de 2 500 personnes ont choisi de tenter la traversée par camion, une voie extrêmement dangereuse et abandonnée depuis quelques années au profit des canots pneumatiques.
La hausse des coûts de construction a augmenté de 66 % depuis 2019, selon une récente étude de Desjardins. Cette hausse est principalement due à la pénurie de main-d'œuvre et à la faible productivité. Écoutez la chroniqueuse économie, Marie-Eve Fournier, faire le point à Lagacé le matin mardi.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Cela fait désormais un demi-siècle que sortait cette chanson, Bohemian Rhapsody, devenue depuis longtemps votre préférée dans les sondages. Ça ne rajeunit pas ceux qui, comme certains d'entre vous et moi, étaient déjà en âge de tomber sous son charme imparable. Et paradoxalement, c'est ce qui nous garde tous jeunes dans notre tête, quelle que soit notre génération. Alors imaginez toute l'histoire autour de sa naissance. D'une part vous avez les membres du groupe Queen, qui après trois albums à succès ne gagnent que des cacahuètes car ils ont signé le contrat qu'il fallait pas avec un studio, à un moment où personne ne voulait d'eux. Alors ils ont engagé un avocat spécialisé qui casse le contrat, et leur mince tirelire pour les en sortir. D'autre part, vous avez l'énorme succès qui est déjà le leur et qui leur permet de convaincre leur firme de disques de mettre de l'argent sur le tapis pour enregistrer l'album le plus cher de l'époque. Jugez plutôt, Bohemian Rhapsody, c'est plus de 180 pistes d'enregistrement. Ah oui, c'est ça le son si particulier de Queen, ces chœurs qu'ils enregistrent à trois pendant douze heures d'affilée. Et comme il n'y a alors que 24 pistes sur les enregistreurs, ça veut dire qu'on en réunit, par exemple, dix sur une bande qu'on remet ensuite en deux pistes sur une autre. Tant et si bien que les bandes finissent parfois par être transparentes tellement elles sont passées par l'aimant de la tête d'enregistrement, jusqu'à en perdre leur vernis. Alors pour éviter qu'elles ne se rompent, on prend parfois des ciseaux pour découper des bouts de bande et les coller afin de leur éviter un ou plusieurs passages supplémentaires sur la matrice finale.Enregistrant les titres au gré des tournées, les artistes sortent un album tous les ans au plus tard à l'époque, pas le temps de s'arrêter, Queen a fréquenté sept studios différents pour réunir les titres de ce nouvel album intitulé A night at the opera. Beau titre. Une nuit à l'opéra, ça sonne ! C'est ambitieux ! Et c'est tendance en 1975 en plein triomphe du rock progressif, aussi appelé symphonique. Mais la référence n'est pas là, il s'agit du titre d'un des meilleurs films des Marx Brothers que les membres de Queen ont regardé ensemble à la télé pendant les sessions d'enregistrement. Comédie musicale hollywoodienne, bien que atypique au moment de sa sortie, elle est dépassée en 1975, il faut bien le dire. Mais ses gags explosifs, et la maîtrise artistique totale des trois frères, de la danse au piano en passant par la harpe, ont bien diverti les quatre musiciens britanniques dont l'humour fait bien évidemment partie du Way of life. Et donc, on ne s'étonnera pas d'entendre une harpe sur ce disque, en plus du piano de Freddie sur un titre qui va être particulièrement remarqué, combien d'entre nous l'ont expérimenté pendant les séries de slows dans les boums de la génération des années 70. Il faut dire que les filles que ça a mis du rose dans la chambre des filles, en voilà une déclaration d'amour ! dont on apprendra bien plus tard qu'il s'agissait d'une situation vécue pour Freddie, un amour qui entrera dans la légende des belles histoires.
Salut c'est Ibby,Dans cet épisode, on parle de cette voix dans ta tête… celle qui te juge, te critique, te compare. Celle qui te pousse à toujours faire plus, être plus, donner plus — jusqu'à t'oublier.Si tu te reconnais là-dedans, cet épisode est pour toi.Tu n'as pas besoin d'être parfaite pour mériter le repos, l'amour ou la fierté.Tu n'as pas besoin d'en faire toujours trop pour prouver ta valeur.Parfois, il faut juste apprendre à se parler avec douceur.Je t'invite ici à relâcher la pression, à respirer, à te pardonner pour tout ce que tu n'as pas encore réussi à être.Parce qu'en réalité, tu fais déjà de ton mieux — et c'est suffisant.
Neuf mois après le retour de Donald Trump à la Maison Blanche et la fermeture de la frontière entre le Mexique et les États-Unis, le Mexique est devenu pour beaucoup de migrants latino-américains la seule option qui reste. Le pays devient une voie pour survivre quand le rêve américain s'effondre. De notre correspondante à Mexico, « J'ai 28 ans. Je suis vénézuélien. Ça fait déjà un an que je suis là », raconte Luis Marcano. Six jours sur sept, Luis traverse Mexico d'est en ouest pour aller travailler. Un job informel dans la construction. L'année dernière, il voulait d'aller aux États-Unis. Mais rien ne s'est passé comme prévu. Victime de la violence au Mexique, la frontière s'est fermée sous ses yeux. « On ne peut plus passer et maintenant, ils expulsent tout le monde. Eh bien moi, j'ai décidé de rester ici. Pour l'instant ça va, j'ai du travail. Je peux aider ma famille depuis ici », confie-t-il. En allant dans un café, il raconte comment il parvient à envoyer un peu d'argent à sa famille restée au Venezuela. « Hier, c'était l'anniversaire de ma grand-mère et je lui ai offert un téléphone », raconte-t-il. Il montre une vidéo de la fête qui a eu lieu et ajoute : « Là, c'est ma mère. Je suis loin, on ne peut pas partager ces moments. Elles me manquent, mais bon. Elles me disent de venir, de ne pas rester seul ici. Elles savent tout ce par quoi je suis passé. Mais je suis vivant, Dieu merci. Je ne regrette rien. » À lire aussiMexique : le retour difficile des migrants expulsés ou déçus des États-Unis Rester, attendre la fin de l'ère Trump et retenter sa chance ? Après dix ans loin du Venezuela, Luis imagine plutôt rentrer quand il aura réuni assez d'argent et obtenu son statut légal au Mexique. « S'ils me le donnent, je pourrais voyager et même faire des allers-retour. Je pourrais emmener des choses là-bas. Ici les vêtements, les chaussures sont accessibles. Je veux ramener quelque chose. Je ne veux pas partir sans rien. Tant d'années loin de chez moi pour rien ? », s'interroge-t-il. Et quand on lui demande de quoi il rêve maintenant, il répond : « Si je pouvais, je partirais demain. J'achèterais un terrain sur la plage dans mon pays. » Comme Luis, ils seraient des dizaines de milliers de personnes restées au Mexique. Encore loin de nourrir un rêve mexicain, beaucoup regardent désormais vers le sud, en direction de leur pays d'origine. À lire aussiTravel ban : Haïti, Cuba et le Venezuela concernés par la nouvelle mesure d'immigration américaine
https://joycemeyer.fr/ Avez-vous l'impression que rien ne change dans votre vie, malgré vos prières et vos efforts ? Peut-être que Dieu attend un simple pas : celui de regarder à l'intérieur. Joyce Meyer partage ici des vérités profondes sur le changement authentique : celui qui commence en nous. Dans cette vidéo,...
C'est un procès très particulier, celui des fake news autour de Brigitte Macron, de son soi-disant changement de sexe. Pour la première fois, à la barre, sont apparus dix prévenus. Pour Ruth Elkrief, c'est un procès qui parle de notre époque, l'époque de l'excès, du complotisme, d'invraisemblables rumeurs amplifiées par les réseaux sociaux à travers le monde entier. Bras de fer sur les terres rares. On peut dire que ce qui devait arriver est en train d'arriver. La Chine, avec son monopole, exerce un chantage, bien sûr sur les États-Unis, mais aussi sur les Européens. Selon François Lenglet, on est en retard et il va falloir qu'on mette les bouchées doubles. Nous nous sommes trompés au sujet du "libertarien" Milei. Très mal vu en Europe, on lui promettait une défaite cuisante aux élections intermédiaires en Argentine. Pourtant, il remporte une victoire triomphante. D'après Abnousse Shalmani, Javier Milei n'a jamais menti. Résultat, l'économie argentine a rebondi. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans la saison 5 "La voix en héritage"! Rejoins moi sur Sweet Elles : https://go.sweetpapipodcast.com/sweetelles Je t'invite à explorer un sujet délicat mais universel : la place du conflit au chevet de nos proches en fin de vie. À travers une expérience personnelle bouleversante, je te partage comment des désaccords familiaux autour des décisions difficiles — comme le choix d'une hospitalisation — ne sont souvent que l'expression de différentes manières d'aimer. Ce ne sont pas toujours les conflits qui brisent les familles, mais plutôt les silences et les non-dits qui s'installent lorsqu'on n'ose pas exprimer ses peurs, ses besoins ou ses limites. Dans cet épisode, je te propose des clés concrètes pour transformer le désaccord en dialogue, en mettant l'accent sur l'écoute active, la reformulation et le respect des émotions de chacun. Prends place, écoute cette histoire touchante et laisse-toi inspirer par des outils précieux pour traverser ces moments fragiles où se mêlent amour, peur et volonté de bien faire. Et toi, as-tu déjà vécu un conflit qui, contre toute attente, t'a rapproché de quelqu'un ? Bonne écoute, et n'oublie pas de t'abonner pour ne rien manquer des prochains épisodes remplis de bienveillance et de soutien. Timeline de l'épisode 00:00:1400:00:19 Conflits en fin de vie : "ce n'est pas le désaccord qui détruit les familles, c'est tout ce qu'on n'ose pas dire." 00:01:1000:01:27 Le vrai dialogue dans les moments difficiles "Et si au lieu de fuir ces tensions on les regardait dans ce moment pénible particulièrement autrement dans cet épisode je te montre comment parler vrai peut devenir un soin et comment un désaccord peut révéler tout l'amour qu'on ne savait plus nommer." 00:02:4500:02:53 Les conflits et les relations humaines : "Parfois derrière le désaccord, il y a juste 2 coeurs qui veulent bien faire, mais qui n'ont pas encore trouvé les bons mots pour se le dire." 00:03:1600:03:21 Transformer les désaccords en opportunités de dialogue : "Un désaccord peut être une passerelle, un moyen de mettre en lumière les besoins cachés de chacun." 00:05:4800:05:59 Le pouvoir du désaccord en famille : "On dit souvent, le conflit est une vérité qui cherche à se dire. Et quand il se dit, même maladroitement, on met de la clarté là où il n'y a que des suppositions ou des peurs." 00:06:3400:06:44 Lien et Désaccords : "Alors oui, un désaccord bien accompagné ne brise pas le lien. Au contraire, il l'épaissit parce qu'il transforme la peur en dialogue et la colère en compréhension."
« Un héritage qui tombe du ciel, ce n'est pas sain », a dit récemment Yaël Braun-Pivet, la présidente de l'Assemblée nationale… Une phrase qui a fait réagir parce que derrière les légitimes débats sur les droits de succession, il y a aussi quelque chose de profondément intime : hériter, c'est recevoir ce qu'on ne choisit pas, c'est être dépositaire d'une histoire, d'un nom, d'un bien… mais aussi parfois d'un fardeau. La transmission est visible mais aussi invisible. Mais si l'héritage est précieux dans un monde où l'avenir est incertain, il est aussi un profond accélérateur d'inégalités, voire d'injustices… Alors faut-il repenser la manière dont on transmet — et dont on reçoit ?▶︎ Serge HEFEZ psychiatre et psychanalyste, responsable de l'unité de thérapie familiale dans le service de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière▶︎ Anne BEREST Romancière et scénariste, autrice de « Finistère » aux éditions Albin Michel (20.08.25)▶︎ Nicolas FRÉMEAUX Économiste, professeur d'économie à l'université de Rouen Normandie et chercheur au sein du Laboratoire d'Economie Rouen Normandie (LERN), auteur de « Les Nouveaux Héritiers » aux éditions du Seuil (04.10.18)▶︎ Mélanie PLOUVIEZ Philosophe, professeure à l'université Côte d'Azur, autrice de « L'injustice en héritage. Repenser la transmission du patrimoine » aux éditions La Découverte (13.03.25)▶︎ Monique DAGNAUD Sociologue et directrice de recherche au CNRS, autrice de « Génération Reset. Ils veulent tout changer » aux éditions Odile Jacob (08.10.25)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode du Sparring Podcast, Edouard, Aury et Clément reviennent d'abord sur le terrible scénario du combat entre Cyril Gane et Tom Aspinall... qui s'est terminé par un no contest suite à un high poke. Ils analysent les performances des combattants, et ensuite l'ensemble de la carte comme d'habitude. Enjoy !
Shutdown ? On s'en fout. Dette à 38'000 milliards ? On s'en fout. Inflation ? “Moins pire”, donc tout va bien. Le S&P500, le Nasdaq et même le SOX volent de record en record pendant que Trump menace, négocie, insulte, puis re-négocie et RE-RE-négocie.— et que Powell s'apprête à ...baisser les taux. Pendant ce temps, en Suisse, Roche déçoit, Lonza cartonne, Galderma rayonne, Sonova innove et Schindler licencie… mais globalement, tout le monde garde le sourire, parce que l'espoir d'une baisse de taux fait office de dopamine collective. Bref : le monde brûle, mais la Bourse a du feu dans les yeux Et la semaine prochaine ? Powell, Trump, Xi, les Magnificent 7 et une avalanche de résultats… autant dire qu'on ne va pas s'ennuyer.
Laura Toleano, directrice générale de Zalando France, s'exprime sur les enjeux liés à la fast-fashion, un secteur cherchant à s'installer dans des espaces grand public. Ce glissement n'est pas sans conséquences : certaines enseignes, comme Disney, préfèrent renoncer à passer Noël au BHV, à Paris, afin d'éviter toute association avec des marques comme Shein. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La croissance humaine ne s'arrête pas à un âge fixe, mais dépend d'un processus biologique précis : la fermeture des plaques de croissance, aussi appelées cartilages de conjugaison. Ces plaques, situées à l'extrémité des os longs (comme le fémur ou le tibia), produisent du nouveau tissu osseux pendant l'enfance et l'adolescence. Tant qu'elles restent ouvertes, on peut continuer à grandir. Lorsqu'elles se ferment sous l'effet des hormones sexuelles, la taille devient définitive.Chez la plupart des filles, cette fermeture intervient entre 15 et 17 ans ; chez les garçons, un peu plus tard, entre 17 et 19 ans. Mais ces moyennes cachent une grande variabilité individuelle. Certains adolescents continuent à grandir légèrement jusqu'à 21 ans, voire exceptionnellement jusqu'à 22 ou 23 ans, si la maturation osseuse est plus lente.Une étude publiée en 2013 dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism (R. Rogol et al.) a précisément mesuré ces différences à partir de radiographies des poignets et des genoux. Les chercheurs y montrent que l'âge osseux — c'est-à-dire le degré de maturation du squelette — varie parfois de 2 à 3 ans par rapport à l'âge chronologique. En clair : deux adolescents de 17 ans peuvent être à des stades de croissance très différents, selon leurs gènes, leur nutrition ou leurs taux hormonaux.Le principal moteur de la croissance reste la hormone de croissance (GH), produite par l'hypophyse. Elle agit de concert avec les hormones sexuelles (œstrogènes et testostérone), qui stimulent d'abord la poussée de croissance pubertaire avant de provoquer, paradoxalement, la fermeture des plaques. C'est pourquoi les garçons, dont la puberté commence plus tard, grandissent souvent plus longtemps et finissent plus grands.L'environnement joue aussi un rôle : une alimentation suffisante en protéines, calcium et vitamine D, un sommeil de qualité et une bonne santé générale favorisent la croissance. À l'inverse, des troubles hormonaux, une carence nutritionnelle ou un stress chronique peuvent la freiner.Passé 21 ans, la taille ne change généralement plus, car les cartilages sont ossifiés. Les variations observées ensuite (le fameux “je mesure un centimètre de moins à 40 ans”) ne traduisent pas une perte osseuse, mais un tassement naturel de la colonne vertébrale au fil du temps.En résumé, on grandit en moyenne jusqu'à 17 ans chez les filles et 19 ans chez les garçons, mais la biologie, plus que l'âge civil, dicte la fin de la croissance — et c'est le squelette, pas le calendrier, qui a le dernier mot. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui sur Femelliste, on reçoit Gabrielle Cluzel pour parler de la place des enfants dans notre société. Gabrielle Cluzel est journaliste, éditorialiste, chroniqueuse. Elle intervient régulièrement sur Cnews et Europe 1, et est rédactrice en chef de Boulevard Voltaire. Elle a publié plusieurs livres et est aussi mère de sept enfants. Dans une France où la natalité atteint un niveau historiquement bas et où les lieux interdits aux enfants se multiplient, Gabrielle Cluzel nous alerte : vivons-nous dans une société qui n'aime plus les enfants ? Les discours positifs autour de la maternité manquent, et ce sujet nous est particulièrement cher, parce qu'on vient d'un féminisme qui a longtemps abordé cette question sous un angle négatif. Et cet entretien avec Gabrielle Cluzel, qui est à nos yeux un peu wonder woman, vous allez rapidement comprendre pourquoi, c'est exactement ce qu'on aurait eu besoin d'entendre un peu plus tôt dans nos vies. Ces voix sont pourtant essentielles, car elles peuvent encourager les femmes à vivre pleinement cette grande aventure qu'est la maternité. Ce soir, nous allons donc discuter de la place des enfants, de la famille et de l'avenir qui se dessine pour ceux qui viendront après nous.____Par Dora Moutot et Marguerite SternÉgalement disponible sur Youtube Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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La rencontre Mulroney-Dutrizac avec Ben Mulroney, animateur du Ben Mulroney show. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Amélie Nothomb vous présente son ouvrage "Tant Mieux" aux éditions Albin Michel. Entretien avec Sylvie Hazebroucq.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ouverture d'émission par un hommage, encore...Cette fois, c'est John Lodge, le bassiste des MOODY BLUES qui s'en est allé tutoyer les étoiles ce 10 octobre, il avait 82 ans. S'il n'en était pas membre fondateur, il était très vite devenu un élément essentiel suite à un changement de personnel deux ans seulement après la création du groupe qu'il rejoindra avec Justin Hayward en 1966. La musique classique s'invitera dans les compositions et arrangements de Moody Blues, direction les routes de ce qu'on appellera plus tard... le rock progressif. Extrait dans ce numéro de l'album "To Our Children's Children's Children" paru en 1969 et un titre fort à propos et composé notamment par John... Puisque nous sommes dans les légendes de sa Majesté, un certain PAUL MCCARTNEY, certes le Grand Maca ne fait pas spécialement dans le rock prog, mais c'est un touche à tout, et c'est en réécoutant cette semaine son album "Chaos And Creation In The Backyard" (l'un de mes préférés ! ) que j'ai eu envie de partager un extrait avec vous et j'ai choisi un titre somme toute, pas complètement hors de propos ici... Un (petit) YES, pour se faire plaisir avec un extrait de l'album "TORMATO" paru en 1978, dont la pochette n'est pas (pour la 2ème fois consécutive) attribuée à Roger Dean mais à Hipgnosis, célèbre collectif de graphistes anglais avec le fameux Storm Thorgerson. Mais le rendu n'était pas à la hauteur des attentes du groupe, puisque la légende veut que son claviériste Rick Wakeman mécontent du visuel proposé, lui jettera une tomate (sur le visuel, pas sur Storm ! ) L'album qui devait s'intituler "Yes Tor", deviendra un mix de "Tor" et de "Tomato" (tomate) et la pochette conservera le graphisme original gratifié de la solanacée écrasée...Yes qui par ailleurs est en pleine tournée américaine pour célébrer l'album "Fragile" et dont son vétéran, le guitariste Steve Howe, s'apprête à publier un EP vinyle en tirage très limité (qui devrait toutefois sortir sur les plateformes) consacré à Bob Dylan... En parlant d'Hipgnosis, on associe forcément ce nom à PINK FLOYD dont la quasi intégralité du catalogue est signé de cette boite mythique ! Et quand deux mythes se rencontrent : un visuel parfait pour représenter l'absence, thème d'un album majeur (voire pour beaucoup le meilleur) du Floyd, on obtient "Wish You Were Here". Vous le savez, depuis la fin de saison dernière on revient sur cet album dans l'ordre des morceaux. Depuis la rentrée nous en sommes à la face B et dans ce numéro c'est au tour de la chanson-titre d'être mise à l'honneur. Fans du groupe préparez vous à mettre la main à la poche, depuis que Sony s'est offert le catalogue des anciens de Cambridge, ils doivent chercher à rentabiliser leur investissement ! Bref, une nouvelle édition spéciale 50 ans paraîtra le 12 décembre prochain sous différent formats (CD, digital, LP, Blu-ray, coffret) avec des démos et versions inédites (en plus des quelques unes déjà parues dans la réédition de 2011) et un bootleg live à Los Angeles de 1975 restauré et remixé par un certain... Steven Wilson... Je parlais de musique classique intégrée au rock des Moody Blues, ce qui fut la même tendance chez leurs collègues du BARCLAY JAMES HARVEST qu'on réecoute toujours avec beaucoup de plaisir, ici avec un extrait de leur 2ème opus "Once Again" ce qui nous amène à l'année 1971... Pour limiter ce vertige temporel, quelques anglais contemporains mais également talentueux comme NICK FLETCHER considéré par un certain Steve Hackett (Genesis) comme le meilleur guitariste rock/jazz du Royaume de Sa Majesté, rien que ça ! Il faut dire que Nick nous entraine dans une fusion efficace, ici autour d'un concept à propos de "La Persona", théorie du psychiatre suisse, Carl Jung selon laquelle un individu présente un visage social au monde pour donner une certaine impression et cacher sa vraie nature, ce qui donne pour titre à cet album concept :"The Mask Of Sanity". C'est tout nouveau et fort recommandé par votre serviteur (qui fait de la radio pour éviter de mettre un masque ! ) Il n'y a pas que les anglais dans la vie ! La Pologne par exemple nous gratifie de belles formations rock prog que vous pouvez parfois entendre dans cette émission ! Ainsi PINN DROPP qui vient de publier son 4ème album (après un EP numérique à leur débuts en 2017). "For The Love Of Drama" est le titre de cette galette toute chaude, et là encore c'est un régal pour les cages à miel ! Et puis l'Italie, avec RANESTRANE, ce groupe formé en 1998, inspiré par leurs aînée Goblin ou PFM mais aussi par les cousins britanniques Genesis ou Marillion... Marillion dont deux représentants (le guitariste Steve Rothery et le chanteur Steve Hogarth) ont ramené leurs talents sur l'album inspiré de Stanley Kubrick et son "2001, L'Odyssée de L'Espace". Ici extrait du 1er volet de la trilogie consacrée à l'œuvre Kubrickienne : "A Space Odyssey Vol.1", paru en 2018 avec la guitare de Mr Rothery sur le titre diffusé ce soir... En France, nous ne sommes pas en reste avec deux générations dans ce numéro. Celle de ANGE, avec un 2ème extrait du tout nouvel album fort réussi "Cunégonde", album qui sera entièrement présenté au cours de la saison ! Pendant ce temps là, le groupe poursuit sa tournée "Quitter la Meute", vérifiez les dates près de chez vous. Pour notre belle région, il faudra attendre le 13 février 2026 (Tours) ou le mois de mars pour la Bretagne mais on en reparlera d'ici là ! Enfin, l'espoir de voir briller le rock progressif français passe aussi par la jeune génération et je mise notamment beaucoup sur "PLEDGE OF HEALING" dont "One Step Closer" le 1er album a fait les belles soirées d'Amarok en 2023. Fondé par Claire et Cyril, le projet ne peut et ne doit pas en rester là ! La bonne nouvelle c'est que le groupe est entré en résidence et semble avoir du boulot sur la planche...Tant mieux, je ne sais pas vous mais j'espère et rêve de connaître une suite discographique à l'aventure.... Thierry Joigny Chaque jeudi, à 20h Suivez Amarok sur Facebook également sur Instagram
Invité : Laurent Nunez, ministre de l'Intérieur Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Maigrir rapidement. C'est la promesse de nombreux influenceurs faisant la promotion du Wegovy ou de l'Ozempic sur les réseaux sociaux. Ces médicaments, à destination des obèses et des diabétiques, sont utilisés par des personnes non malades pour perdre du poids de façon spectaculaire. A l'ère du “Skinny Tok”, cette tendance qui fait l'apologie de la maigreur sur TikTok, ces traitements “miracle” jouissent d'une grande publicité. Certains font tout pour se les procurer créant des pénuries pour les personnes diabétiquesEffets secondaires, médicaments frauduleux, mauvaise utilisation du traitement … Maigrir à tout prix n'est pas sans danger. Code source décortique le phénomène derrière ces médicaments minceurs avec Nicolas Berrod, journaliste spécialiste des sujets de santé au Parisien. Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert, Pénélope Gualchierotti et Anaïs Godard - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : TikTok. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous sommes le 1er décembre 1901, à Montmartre. Ce jour-là est officiellement inaugurée la Galerie B. Weill. B pour Berthe. Pour l'occasion, l'illustrateur Lobel-Riche a gravé un carton sur lequel on peut lire « Place aux Jeunes ». Le Tout-Paris est invité et le tapage est grand auprès de la presse. L'exposition qui célèbre l'événement rassemble des toiles de Pierre Girieud, Fabien Launay et Raoul de Mathan ainsi que des figurines en terre cuite d'Aristide Maillol, qui rencontrera peu de temps après la notoriété. L'histoire de Berthe Weill, marchande et mécène, est celle d'une pionnière. Elle a fait de sa galerie un espace d'expression pour toute une nouvelle frange d'artistes émergents. En accueillant ceux, et celles, qui « débutaient dans la carrière et n'étaient soutenus par personne », elle a joué un rôle primordial dans l'avènement de l'art moderne. C'est elle qui présenta, pour la première fois en galerie à Paris, les œuvres de Matisse et Picasso. Paul Reboux, écrivain et peintre, la décrira, en 1933, en "pourfendeuse héroïque du dragon de la banalité". Dix ans plus tôt, dans un texte intitulé « Les berceaux de la jeune peinture », André Warnod, critique d'art et fidèle allié, la résume ainsi : « Voyez aussi le cas d'une galerie comme celle de Mlle Berthe Weill. Lorsqu'on consulte la collection des catalogues de toutes les expositions qu'elle organisa dans sa boutique (…), on reste stupéfait qu'elle n'ait pas à sa porte une limousine grosse comme une locomotive. Tous les peintres qui ont un nom à présent, tous ceux qui ont joué un rôle dans l'art d'aujourd'hui ont été accueillis par elle alors qu'ils débutaient dans la carrière et n'étaient soutenus par personne. Ils y sont tous ». Un parcours hors-norme que celui de Berthe Weill, celui d'une femme dans un monde de l'art encore très misogyne, une femme qui a su s'imposer par sa volonté inébranlable mais aussi par son humour et son sens de l'autodérision. N'oublions pas celle que ses protégés avaient baptisé « la mère Weill »… Avec nous : Marianne Le Morvan, docteure en histoire de l'art et commissaire d'exposition. « Berthe Weill – Marchande et mécène de l'art moderne »éditions Flammarion. Sujets traités : Berthe Weill, marchande , mécène, art , moderne, Pierre Girieud, Fabien Launay , Raoul de Mathan, Matisse , Picasso, Galérie, peinture, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 2 décembre prochain, le Maroc organisera une grande conférence anti-terroriste, avec notamment les trois pays de l'AES, l'Alliance des États du Sahel. C'est ce qu'annonce le site Africa Intelligence et ce que confirme ce matin Abdelmalek Alaoui, qui préside l'Institut marocain d'intelligence stratégique, basé à Rabat. Il y a deux ans, le Maroc a lancé le projet de relier les pays sahéliens enclavés à la côte atlantique. Et depuis 2023, le Maroc fait médiation entre les trois pays de l'AES et plusieurs pays européens, dont la France. Pourquoi cette stratégie ? En ligne de Rabat, Abdelmalek Alaoui répond à Christophe Boisbouvier. RFI : Il y a deux ans, en novembre 2023, le Maroc a lancé le projet de relier les pays sahéliens enclavés à la côte atlantique. Deux ans après, est-ce que ce projet avance ? Abdelmalek Alaoui : Le projet avance et il est structuré autour du port qui va être dans la région. Et il procède du triptyque sécurité, développement et intégration régionale. Il y a évidemment quelques retards sur toutes les dimensions route, parce qu'il y a des dimensions sécuritaires qui sont extrêmement importantes, mais c'est un projet qui est concret et qui est en train d'avancer. Alors, vous parlez des problèmes sécuritaires, concrètement, pour aller de Bamako, par exemple, au port de Dakhla ou au port de Laâyoune, il faut passer par la Mauritanie. Est-ce que ce pays est d'accord pour laisser transiter des camions ? Alors, au cours des deux dernières années, il y a eu beaucoup de discussions avec la Mauritanie sur les points de passage, sur la sécurisation de ces points de passage. Il y a eu des goulots d'étranglement, mais la situation à date est beaucoup plus fluide. Et puis Nouakchott et Rabat, au vu des derniers développements géopolitiques dans la région, sont alignés pour faire avancer ce projet. Et puis pour aller de Bamako aux ports de l'océan Atlantique comme Dakhla et Laâyoune, il faut aussi passer par le territoire disputé du Sahara occidental. Est-ce que les camions qui vont circuler dans cette zone ne vont pas être exposés à d'éventuelles représailles de la part du Front Polisario ? Alors la question de la sécurisation des routes lorsque l'on passe par le « no man's land » qui est cette zone sous contrôle de l'ONU, c'est une question qui est au cœur de la nouvelle approche sécuritaire du Maroc. Et le Maroc, au cours des dernières années, a montré qu'il était en capacité de pouvoir sécuriser ces routes. Lorsqu'il y a eu la résurgence d'actions violentes de la part du Front Polisario, à chaque fois, elles ont subi la condamnation des instances multilatérales et notamment des Nations unies. Mais le Maroc est confiant sur sa capacité à pouvoir projeter à la fois sécurité et fluidité dans toutes les zones qui permettent l'accès au port de Dakhla. Et concrètement, d'ici combien de temps pensez-vous que cette route pourra s'ouvrir entre Dakhla et Bamako par exemple ? Les dernières estimations, les plus sérieuses chiffrées d'économistes qui datent de l'an dernier, font état d'un investissement qui n'est pas loin du milliard de dollars afin de pouvoir sécuriser ces routes. Et il y a évidemment des retards qui sont inhérents, comme je vous l'ai dit, à la situation sécuritaire. L'horizon qui paraît le plus vraisemblable serait autour de 2027-2028, pour avoir une ceinture qui fonctionne à peu près. Alors, en décembre dernier, quatre agents de la DGSE française qui étaient détenus au Burkina Faso ont été libérés grâce à une médiation marocaine. Depuis le 14 août dernier, un agent de l'ambassade de France à Bamako, Yann Vezilier, est en prison. Est-ce que le Maroc peut trouver une solution à ce problème au Mali ? Je ne peux ici que vous rappeler la doctrine marocaine qui est celle d'agir d'abord et de parler ensuite. Le Maroc s'est imposé comme étant le pays qui était prêt à faire la médiation avec les différents pays de l'AES, là où les contacts sont rompus avec la France, mais également avec d'autres pays européens. Ça a été le choix du Maroc de garder ce fil du dialogue toujours vivant. Donc, on ne peut que supposer que le Maroc jouera son rôle s'il est sollicité. Et vous dites en effet que le Maroc est un médiateur très discret. Est-ce qu'il fait médiation aussi entre le pouvoir militaire aujourd'hui à Bamako et les groupes armés du nord du Mali ? Alors, sur la question du renseignement, le Maroc est organisé en deux pôles, un pour le renseignement intérieur qui est la DGST et le BCIJ, qui est le FBI marocain, et un avec la Direction générale des études et documentation qui, elle, organise la projection extérieure du Maroc, un peu à l'image de la DGSE. Cette DGED a, au cours de ces dernières années, été extrêmement présente à chaque fois qu'il y avait des discussions qui pouvaient être enclenchées entre des groupes extrémistes et les autorités. Mais moi, je ne suis pas dans le secret de ces institutions. On suppose qu'elle travaille encore une fois dans la discrétion. Il y a aussi des prisonniers maliens et des prisonniers russes aux mains des rebelles touaregs du FLA, Le Front de libération de l'Azawad. Que fait le Maroc de ce point de vue ? Comme vous le savez, cette zone où il y a les rebelles touaregs est une zone où il y a beaucoup d'influences. Il y a aussi une influence algérienne. Quant au Maroc, je ne peux pas vous dire avec précision ce qu'il fait sur place. Mais est-ce que le Maroc peut faciliter la libération des deux prisonniers russes aux mains du Front de Libération de l'Azawad ? Alors ce que je peux constater, c'est que le Maroc veut travailler avec tous les membres permanents du Conseil de sécurité. C'est le cas avec la Russie, puisqu'il vient d'y avoir à Moscou une rencontre bilatérale entre le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, et son homologue russe Sergueï Lavrov, qui portait sur la coopération globale entre le Maroc et la Russie, et elle avait évidemment comme point la future résolution sur le Sahara occidental qui est attendue à la fin du mois. Je ne saurais vous dire s'ils se sont entretenus de la situation dans le Sahel ou au Mali.
Dans les rues de Bangui et des provinces de Centrafrique, ils sont partout. On les appelle les « docta » ou encore « les docteurs de quartier ». Ce sont ces vendeurs de médicaments à la sauvette, installés à même les trottoirs ou dans de petites cabanes en bois, au bord de la route et dans les marchés. Pour beaucoup, ils sont devenus une solution de santé de proximité, accessible, rapide, sans ordonnance, et surtout sans frais élevés. Mais derrière cette facilité d'accès se cache une réalité bien plus inquiétante : automédication, médicaments de qualité douteuse, erreurs de traitement… La pharmacie de rue, bien qu'elle réponde à une détresse sanitaire réelle, pose aujourd'hui un grave problème de santé publique. Alors que la situation prend de l'ampleur, le gouvernement centrafricain a pris des mesures. De notre correspondant à Bangui, Au coin d'une rue animée, entre les cabines de transfert de crédits et les boutiques de commerce général, une cabane en bois attire les passants. À l'intérieur : des flacons sans étiquettes, des cartons de médicaments aux couleurs vives, des pommades et des seringues… Bintou Dayonko, une femme d'une quarantaine d'années, chemise fleurie et regard alerte, accueille ses clients avec un mince sourire : « Je suis diplômée en médecine, mais après l'obtention de mon diplôme, je me suis retrouvée sans emploi. J'ai donc décidé d'ouvrir cette pharmacie afin d'avoir une activité professionnelle, mais aussi et surtout pour venir en aide aux familles démunies et vulnérables de mon quartier. » Dans les quartiers populaires de Bangui, ces vendeurs répondent à un besoin de certains habitants. Le phénomène s'est amplifié depuis 30 ans à cause de la pauvreté généralisée, de l'absence des pharmacies de proximité et surtout, de l'accès inégal aux soins. « Ces petites pharmacies sont très importantes, considère Elvire Ndiba, une mère de famille. En cas de fièvre, de paludisme ou de maladies moins graves, elles nous soignent efficacement. Même avec seulement 100 ou 500 FCFA, on peut se faire soigner. Le personnel est très accueillant et attentionné. » Danger sanitaire Mais ce marché parallèle n'est pas sans conséquences. Selon Elvire Ndiba, les malades font également face à des mauvaises qualités de médicaments, le surdosage avec des effets secondaires graves : « L'inconvénient est que la majorité de ces pharmaciens de rue ne maîtrisent pas réellement leur métier. Dans ces kiosques, les médicaments sont souvent mal conservés, exposés à la chaleur et à l'humidité, voire périmés. Ces pratiques peuvent entraîner des complications graves, mais les cas de décès sont rares. » Selon certains professionnels de santé, la plupart des médicaments de rue sont des poisons pour le corps humain. « Ça dépend des malades, mais ces produits font plus de mal que de bien, prévient un médecin sous couvert d'anonymat. Le vrai problème, c'est l'accès aux soins de qualité qui est difficile dans notre pays. Tant que les pharmacies officielles resteront hors de portée financière pour les plus pauvres, ce marché existera. L'État peut toutefois former ces vendeurs, contrôler leurs produits, créer des structures de santé de proximité à bas coût : ce serait déjà un pas. » La vente de médicaments de rue est interdite par le ministère de la Santé depuis 2020. Et le gouvernement mène régulièrement des opérations de sensibilisation.
durée : 00:23:57 - 8h30 franceinfo - Louis Aliot, maire de Perpignan, vice-président du Rassemblement national, est l'invité du "8h30 franceinfo", mardi 21 octobre 2025. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Bien le bonjouuuuuur d'une petite dame qui s'empare d'un sujet compliqué aujourd'hui...Je voulais vous parler de mon expérience en tant que personne racisée dans des couples mixtes aka avec des personnes blanches
Aujourd'hui, Didier Giraud, éleveur de bovins, Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
S'engager, c'est faire un choix conscient qui a un prix.“Tant qu'on ne s'est pas engagé, persistent l'hésitation, la possibilité de se retirer, et cette inefficacité qui empêche de créer, d'agir, de donner forme à ses idées.Il existe une vérité élémentaire dont l'ignorance tue quantité de projets magnifiques : dès l'instant où l'on s'engage totalement, la Providence bouge aussi.Toutes sortes de choses se produisent, qui viennent en aide à celui qui s'est mis sur sa voie.Des événements inattendus se déclenchent, des rencontres, des aides matérielles, des appuis qu'on n'aurait jamais osé rêver d'obtenir.Quoi que vous puissiez faire, quoi que vous rêviez de faire, entreprenez-le !L'audace a du génie, de la puissance et de la magie.Mais commencez maintenant.”— Goethema vidéo YouTube sur l'échec : https://youtu.be/13rD2gw4pIc?si=yqNxifcrsrm03u_2mon compte instagram : https://www.instagram.com/ania.tayri/PS : audio nul désolé pas parfait mais fait avec le coeur
durée : 00:09:06 - France Musique est à vous - par : Nicolas Lafitte - Aujourd'hui dans le Labo musical de Nico, on branche les guitares, on sort les batteries et on échauffe les voix ! Prêts pour un voyage décoiffant ? Direction un univers où le classique et le métal s'accordent à merveille ! - réalisé par : Sophie Pichon Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Au Royaume-Uni, la Croix de George est la récompense la plus importante qu'un civil peut recevoir. Rares sont les personnes à pouvoir porter fièrement cette insigne de la Seconde Guerre Mondiale, mis en place par le roi George VI. Plus rares encore sont les femmes à l'avoir reçue. Elles ne sont que trois ; Noor Khan, Violette Szabo et Odette Samson. Trois icônes de la résistance, trois femmes au destin tragique, trois incroyables histoires à retrouver dans Secrets d'Agents.Tant pis si elle n'est pas la plus forte ou la plus rusée, le SOE ne veut pas se séparer de Violette Szabo aussi facilement. Son tempérament est très apprécié au sein de l'organisation. Elle a ce don de remonter le moral des troupes, même si elle porte en elle le deuil encore récent de son mari, tombé au combat. On lui propose une formation d'opératrice radio, un poste souvent confié aux espionnes.
Tu te juges sur tes stats ? Tu paniques à chaque remarque ? Tu crois que tu “vaux” seulement quand tu réussis ? Dans cet épisode, je te montre les comportements qui détruisent l'estime de soi des auteurs et comment les remplacer par des réflexes sains et durables. ⭐ PROCHAINE SESSION ⭐Devenir écrivain : autoéditéDu 3 novembre au 21 décembre 2025https://licares.fr/autoedition~~ Ton bonus ~~Télécharge notre fiche de personnage ultime :F i c h e P e r s o : https://licares.fr/fichepersoTu seras alors inscrit à notre newsletter et tu recevras nos meilleurs conseils une fois par semaine !~~~~ Retrouve-nous ~~~~W e b : https://licares.fr/I n s ta g r a m : https://instagram.com/licaresfrY o u T u b e : https://youtube.com/c/licares
77% des auditeurs hebdomadaires de podcast s'intéressent aux faits-divers. Mais cet intérêt dépasse largement le monde du podcast. À l'été 2021, le magazine Society dévoilait deux numéros consacrés à Xavier Dupont de Ligonnès et en vendait 400 000 exemplaires. Ces contenus, que l'on appelle “True Crime” dans le monde anglophone, nous fascinent et ce n'est pas anodin… Comme les tragédies grecques, les faits divers déclenchent en nous un phénomène de catharsis, une manière de purger ses pensées malsaines, ses vices enfouis, ou de nourrir une curiosité un peu morbide. Il y a aussi un côté interactif, grâce à l'enquête, où l'on se prend dans le mystère et on forme des théories. D'où vient le “true crime” ? Pourquoi ça fascine autant ? Écoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast écrit et réalisé par Maële DIallo Première diffusion : décembre 2023 À écouter aussi : Quels sont les 3 cold cases les plus mystérieux de France ? Le mystère du triangle des Bermudes a-t-il enfin été résolu ? Qui est Luigi Mangione, inculpé du meurtre du PDG d'UnitedHealthcare ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Depuis plus de trente ans, Amélie Nothomb écrit chaque matin, de 4h à 8h, sans exception. Une discipline inébranlable, née du chaos d'une adolescence marquée par la douleur, l'anorexie, et la nécessité de se reconstruire seule.Dans cet épisode, on parle de ce que la souffrance fait de nous, de la manière dont on apprend à apprivoiser ses ténèbres, et du rôle salvateur de la création quand tout vacille. On parle de cette frontière fine entre la rigueur et le contrôle, entre l'instinct vital et le besoin d'échapper à soi.Amélie raconte son rapport au corps, à la discipline, à la thérapie, à la foi, à la mort, à la honte et à cette phrase bouleversante de sa mère devenue le titre de son dernier livre : « Tant mieux. »On évoque ensemble :Comment la discipline l'a sauvée là où elle l'avait d'abord enferméePourquoi l'écriture est devenue sa manière de tenir deboutSa vision de l'amour, entre fidélité et indépendance,C'est une conversation sur la douleur, la vitalité, la beauté du réel et cette forme d'insouciance qu'on reconquiert après un long travail sur soi. Un épisode profond, sensible et traversé d'humour à l'image d'Amélie.Invitée recommandée : Adèle Exarchopoulos______Pour découvrir les coulisses du podcast :https://www.instagram.com/inpowerpodcast/Pour suivre Amélie Nothomb sur les réseaux :https://www.instagram.com/amelie_nothomb_officielle/?hl=frEt pour suivre mes aventures au quotidien :https://www.instagram.com/louiseaubery/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:59:57 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1985, les "Nuits magnétiques" proposent une rencontre avec le cinéaste Akira Kurosawa, son producteur Serge Silberman et le directeur de production Ully Pickardt. Kurosawa analyse son oeuvre, dont son dernier film "Ran". - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Akira Kurosawa Cinéaste japonais
Il vient de remporter une victoire éclatante. Khaled el-Enany a été élu lundi 6 octobre directeur général de l'Unesco, avec 55 voix sur 57. L'égyptologue, ancien ministre du Tourisme et des Antiquités, devient le premier Arabe et le deuxième Africain à prendre la tête de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture. Après deux années de campagne intense à travers le monde, il succède à la Française Audrey Azoulay, à un moment charnière pour l'Unesco : le retrait annoncé des États-Unis en 2026 fera chuter son budget de près de 11 %. Au soir de son élection, il répond aux questions de RFI. RFI : Khaled el-Enany, vous avez récolté pratiquement toutes les voix sauf deux. Comment réagissez-vous à cette victoire très nette ? Khaled el-Enany : C'est un beau début. C'est une étape très importante. C'est l'aboutissement d'une carrière consacrée entièrement à l'éducation, à l'enseignement universitaire, à la recherche scientifique, à la préservation du patrimoine culturel, à la gestion de grandes institutions, à des valeurs qui croient beaucoup au respect, au dialogue interculturel, au respect mutuel. Le nombre de voix qui m'a été accordé, c'est une énorme responsabilité. Ça veut dire qu'il y a presque un consensus des États membres. Je ne m'attendais pas du tout à un chiffre pareil. Qu'allez-vous faire en premier ? Quelles sont vos priorités ? Les 100 premiers jours, ça va être des réunions individuelles avec chacun des États membres, des réunions collectives par groupes, par thèmes, des rencontres avec les partenaires de l'Unesco, de la famille onusienne, des donateurs, des grandes entreprises, le secteur privé, les représentants de la société civile. Discuter avec la famille Unesco. Je veux vraiment établir beaucoup, beaucoup de synergie. Je viens d'une région qui est un carrefour de cultures. Je suis Egyptien aussi bien qu'arabe, africain, méditerranéen, citoyen du Sud, citoyen du monde. Je veux vraiment servir de pont culturel. Le départ des États-Unis, prévu en 2026, va provoquer une baisse du budget de l'Unesco de 11 %. Comment comptez-vous gérer cette nouvelle situation financière ? Je dois féliciter la direction actuelle d'avoir mobilisé des ressources énormes. C'est l'une des plus grandes croissances dans le système onusien. Presque 490 millions de dollars en 2024. J'ai une expérience dans ce domaine parce que je ne viens pas d'un pays très riche. J'ai géré deux ministères, le tourisme et les antiquités que j'ai fusionnées, et donc j'avais beaucoup travaillé avec le secteur privé, avec les grandes entreprises pour mobiliser des fonds, pour signer des partenaires avec le secteur privé. Donc avec les États membres, je vais continuer ces efforts pour rassurer les anciens donateurs, de continuer à donner davantage même, et attirer de nouveaux gouvernements, les donateurs et le secteur privé. Je crois que le secteur privé c'est aussi une priorité, mais tout en gardant et préservant les valeurs de l'Unesco, qui ne doivent pas être trop commercialisées. Et là, je crois qu'il y a un compromis qu'on pourra atteindre avec la famille Unesco. Comment réagissez-vous aux critiques qu'a pu formuler par exemple Donald Trump qui dit que l'Unesco est trop politisée ? C'est une demande qui m'a été faite par la plupart des États membres. On veut une Unesco moins politisée. Un Unesco qui respecte son mandat, qui est un mandat technique et préparant un consensus et atteindre un consensus. C'est un rôle très important du secrétariat d'être impartial et de ne pas servir un groupe au détriment de l'autre, ni une culture au détriment de l'autre. Je suis le premier égyptien et le premier arabe. Et là, j'ai été très clair que je ne viens pas avec un agenda culturel. J'ai intitulé mon slogan donc ma campagne « l'Unesco pour les peuples ». Je veux Unesco qui a de l'impact sur la vie des gens, l'Unesco qui est connue et reconnue par les gens au-delà du patrimoine culturel. Une des missions principales de l'Unesco et la promotion de la paix. Comment l'organisation peut-elle jouer ce rôle dans un monde où les conflits se multiplient ? Tant qu'un étudiant ou un élève étudie dans les manuels scolaires que son voisin est un ennemi. Il n'y aura pas de paix. Et là, je crois que c'est là qu'il faut commencer. C'est par l'enfance. Je crois aussi que l'inégalité entre les gens sur la planète en termes d'éducation, de science, créé une haine. Malheureusement, en ce moment, il y a beaucoup de discours de haine. Et là, je crois que la raison d'être de l'Unesco, c'est de rapprocher les peuples parce que les accords gouvernementaux et politiques rapprochent les gouvernements. Mais l'éducation, la science et la culture et la communication rapprochent les peuples. Deuxième rôle, c'est pendant les conflits préserver les sites de patrimoine naturel et culturel, les établissements scolaires, les professeurs, les journalistes, les établissements de recherche scientifique. Et après ? Dans la phase de reconstruction de système éducatif, scientifique et culturel des pays en crise. Quand j'écris, ce n'est pas seulement conflit, mais c'est aussi l'impact des changements climatiques, notamment pour les petits États insulaires. À lire aussiL'Égyptien Khaled el-Enany désigné pour prendre la tête de l'Unesco À lire aussiDeux nouveaux sites africains rejoignent la liste du patrimoine mondial de l'Unesco
durée : 00:45:06 - La 20e heure - par : Eva Bester - Après la sortie de son quinzième album en janvier, le chanteur canadien Pierre Lapointe, vient pour huit dates en France. L'occasion de découvrir son parcours éclectique et son univers. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
À l'aube de la Semaine 5, c'est déjà l'heure des trades en fantasy. Et au jeu des bonnes affaires le receveur des Bears est un joueur sur lequel miser malgré son début de saison en dents de scie. Quel autre joueur remplit ce critère et quels sont ceux dont il est bon de se séparer pendant que leur cote et haute ?Antoine Ajavon et Alexandre Lauque répondent à ces questions et donnent leur bons plans parmi les remplaçants devenus titulaires ces dernières semaines.Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.