En attendant le café, par Vie de pyjiste

Si tu es du genre à avoir TOUTES les bonnes intentions du monde pour te créer une routine et t'y tenir, mais que le lendemain tu chokes inévitablement, le p'tit épisode du jour est probablement parfait pour toi. 

"J'ai pas de clients ces temps-ci, c'est tranquille." "J'ai perdu un mandat, je suis un peu dans la m*rde, je sais pas quoi faire pour me motiver." "Je suis dans un entre-deux en attendant le prochain contrat, c'est L-O-N-G." L'épisode de podcast de la semaine répond à l'éternelle question qu'on se pose quand on a pas le moindre truc à l'agenda, et qu'on a besoin d'un p'tit push pour se motiver à faire quelque chose. C'est facile d'avancer et de se secouer quand on a le momentum qui nous aide derrière. Ça l'est ben moins quand on a l'impression de stagner et que le fait de n'avoir rien à faire casse la motivation. Pis sais-tu quoi? T'en as des tas, des trucs à faire, en attendant.  

Y'a une question que j'ai reçue cette semaine et qui m'a brisé le coeur. Pas moyen que je laisse la possibilité à qui que ce soit d'autre de se demander ça. L'épisode de podcast de la semaine est pas là pour te dresser le portrait d'un monde de licornes, maaaaaaais à mes yeux c'était important qu'on s'arrête un peu toi et moi et qu'on parle de la petite voix qui te bousille des fois. Et si j'étais poche? Et si la job que je fais est nulle? Et si je méritais pas de percer dans le domaine parce qu'il y a en a donc ben d'autres qui sont meilleurs que moi? Si tu doutes un peu pas mal de toi, j'pense que ce que j'ai à te dire va te faire du bien.

J'ai l'impression que quand on est pyjiste, on est automatiquement mis dans l'une ou l'autre de ces deux catégories : soit t'es là pour faire du cash, soit t'es foutument pauvre. Soit t'es un(e) crosseur(euse), soit tu manges des toasts au beurre de pin' matin, midi et soir. L'entre-deux est oublié, l'entre-deux est pas nécessairement ce sur quoi on met l'accent. On se dit que l'objectif c'est de faire dans les six chiffres, que c'est ça qui va définir si on est un(e) bon(ne) pyjiste ou pas. L'épisode de podcast de la semaine est pas là pour péter ta balloune, mais juste pour te rapeller que, tu sais tu quoi : c'est correct, de pas viser le million. Et c'est correct aussi, de le vouloir.  Ben là Caaaaath, branche-toé!

Maude, c'est une vétérante de Vie de pyjiste. Elle est arrivée sur le groupe à ses tous débuts, et probablement que tu l'as déjà vue popper sous une publication ou une autre, à toujours partager ses connaissances et ses conseils autant que ses opinions toujours aussi solides que bienveillantes. C'est une rétrospective de ses treize dernières années d'entrepreneure qu'on résume durant l'épisode d'aujourd'hui. Hey penses-y, quand elle s'est lancée à son compte, on se pokait sur Facebook pis le premier iPhone venait à peine de sortir.

Mathieu, c'est genre de gars (d'ami) qui va m'envoyer un vocal out of the blue sur Facebook pour me dire quand j'ai fail comme entrepreneure. C'est aussi le gars (l'ami) qui va être le premier à lever la main pour souligner un big win que mon entreprise a atteint, même - surtout - quand je le vois pas ainsi parce que j'ai le nez collé sur les gros résultats alors que chaque petite victoire est toute aussi sinon plus importante que les grosses. Des business, de leurs débuts jusqu'à leur fin, il en a vues. Et c'est une méchante maudite qualité qu'il a, d'être objectif au point d'arriver à voir que chaque élément n'a pas besoin d'être pris de façon émotive pour inspirer une belle et bonne carrière. L'épisode de podcast de la semaine va te permettre relativiser tes peut-être futurs débuts en tant que pyjiste. Ou juste t'assurer de pas laisser trop le heat of the moment avoir le meilleur de toi. C'est le retour des entrevues de pyj' sur le podcast, pis maudit que je suis fière de relancer ça avec lui.

Si tu parles à un futur client qui te connaît pas avec le discours que tu utiliserais pour un client qui te connaît par coeur, ça passera pas. Si tu expliques en long et en large tes services à des abonnés sur les réseaux sociaux qui eux, veulent juste trouver le bouton "Acheter", ça marchera pas. Si tu penses que ton persona veut quelque chose, pis qu'au final il est pas du tout là où tu le vois, ça-fonctionnera-pô. L'épisode de podcast de la semaine va te permettre de situer tes clients dans la pyramide des besoins & d'adapter ton discours en conséquence. C'est full académique pis toute, comme discussion!

Bon ben, ça a l'air que t'es un mauvais employé. C'est pas la fin du monde parce que t'es ton propre boss - oui, mais non. L'épisode de podcast de la semaine t'aide à remettre à plat tout ce que tu fais de pas correct pour l'entreprise. La tienne là. Pas celle de qui que ce soit d'autre.

L'épisode de podcast de cette semaine jase d'un truc que j'entends plusieurs fois par semaine ces temps-ci. "Quand je vais être pyjiste, je vais EN-FIN tripper 24/7 sur ma job." Ish. À mes yeux, ça, c'est juste le moyen de te mettre de la pression en s'il-vous-plaît sur les épaules.

On veut voir les étapes, on veut voir le chemin, on veut voir par où tu es passé(e) pour en arriver au résultat que tu as aujourd'hui. Si t'as le goût de montrer ton expertise et de (mieux) te vendre comme pyjiste services + produits compris, l'épisode d'aujourd'hui est en plein ce que t'as besoin! 

On parle de l'après aujourd'hui : celui qui vient après le confinement, celui qui est encore bien inconnu de tous, qui n'est pas nécessairement très prévisible non plus. Y'a des tas de réflexions qui montent pendant ce p'tit talk là, à savoir comment adapter sa business, mais aussi (et surtout) comment s'adapter soi-même, à faire de la business. 

Ils sont partis, leurs mandats avec : et ça laisse un gros, gros vide dans ton agenda et dans ta tête. Cette semaine on jase de clients que tu as pu perdre depuis le début du confinement, mais on jase aussi de tout ce que tu peux faire pour t'assurer de virer la situation ben plus à ton avantage que ce que tu aurais pu penser! 

Pas facile hen, de trouver le "pourquoi" derrière ce qu'on doit/veut/devrait/voudrait faire, en temps de confinement? On passe par toutes les étapes, on spin dans notre tête, on tourne en rond et on finit par pas savoir du tout quoi faire et comment le faire. On manque de motivation : et c'est une bonne chose, ou pas? Mes p'tits pyjs d'amour, cette semaine, on jase de comment retrouver la motivation quand justement, rien ne nous motive pentoute. 

Le premier épisode de la Série Confinement (ahah), où on jase de quoi faire, avec ses plateformes et ses canaux, pendant la crise actuelle. Un p'tit truc pour vous aider à créer du contenu qui sera utile pour vos abonnés et futurs clients, et qui vous aidera à rester actifs et actives sur le web. Malgré le fait que des fois, c'est ben, ben, ben dur de se motiver à créer du contenu et que c'est ben, ben, bennnn facile de disparaître alors qu'en ce moment, c'est tout sauf ce qu'il faut faire! 

Un épisode un peu plus personnel aujourd'hui., on je vous jase du "what's next".  Entre les nouveaux projets et les anciens, quand est-ce qu'il faut commencer à réfléchir à la prochaine aventure? Où savoir à quel endroit mettre tout son temps? Je vous parle de mes questions, et je brainstorm aussi mes réponses! 

Égérie de Vie de pyjiste, muse et préposée non-officielle mais 100% officieuse aux gifs et autres memes, j'ai suivi chaque étape de la vie de pyjiste de Caro.  Il y a quelque chose de vraiment personnel et de raw dans cette entrevue-là, et c'est vraiment cheesy mais j'ai eu pas mal de frissons tout le long de voir tout son parcours accompli comme une queen. Caroline a passé à travers des dizaines d'interrogations et de remises en question qu'ont tous les pyjistes à un moment ou un autre dans leur carrière. Avec full humilité et autant d'humour, elle casse des tabous et jase de son pyj' de la plus honnête pis l'fun des façons.

Émilie et moi, on connaît nos pyjamas depuis les tous débuts. Quand je lui ai demandé de venir me jaser de sa vie de pyj’ sur le podcast, elle croyait limite avoir rien à dire pis avoir besoin de prendre des notes avant : turns out que notre entrevue est la plus longue enregistrée, et aussi une de mes préférées.  On jase de #digitalnomad, on jase de la pression quand on se lance à son compte. On jase de comment jongler avec une job de 9 à 5(tard) et du pyjisme à côté, on jase du fameux gin tonic de rapports de taxes. On jase de pas mal d’aspects parce qu’Émilie est pyj’ depuis très longtemps, et quelque chose me dit qu’elle est là pour rester aussi. Faut prendre en note qu’après l’enregistrement de cet épisode, y’a à peine eu quelques semaines qui sont passées avant qu’elle se lance officiellement à nouveau et bien plus confortablement à son compte. You gooooo gurl!

  De retour au programme principal, et on relance les entrevues avec Frédérique Canuel, une pyj' que j'aime d'amour (et à distance, parce que oui, je la stalke hihi) depuis longtemps.  On jase de comment réinventer son pyjisme, des acquis (et des lacunes!) qu'on développe lorsqu'on est élevés dans l'entrepreneuriat et au final, on jase tellement que l'épisode part net, frette, sec sans intro!

Épisode particulier aujourd'hui, je vous partage l'entrevue faite durant l'émission Dans la tête des entrepreneurs avec Kim Auclair. On jase des débuts de Vie de pyjiste, de ma vie de pyjiste à moi. On parle de mon parcours en entrepreneuriat, de mes erreurs, de mes gros fails, de mes succès aussi, d'un beau melting pot de tout ça.  Enjoy! :)

P'tit épisode tout court aujourd'hui pour se remettre dedans et commencer l'année du bon pied. Des p'tits trucs par ci par là, des spoilers sur ce qui s'en vient, pis ben du love de lap art de mon pj au vôtre. Let's go 2020! 

Épisode full personnel aujourd'hui, yeah!, où je vous jase de mes résolutions à moi, des habitudes que je tente d'amener en 2020 et de ce que j'ai à faire comme post-mortem pour 2019. C'est un exercice de fin d'année qui fait du bien, et qui j'espère te donnera le goût de te prêter au jeu toi aussi.

J'ai pris le temps de cerner un p'tit peu ce que la communauté de pyjistes avait à partager et à dire, au sujet des fameuses résolutions, des fameuses habitudes qui suivront (ou se prendront) en 2020. Si ça te tente de savoir ce sur quoi la gang de Vie de pyjiste va travailler l'an prochain, ce qui sera au centre des priorités de tout ces beaux pigistes en pyjama, ça se passe dans cet épisode-là! 

On lance le mois spécial "fin d'année" avec une thématique qui me tenait vraiment à coeur : les résolutions versus les habitudes. Loin de moi l'idée de te rajouter une autre maudite affaire sur ta to-do list de l'année, mais si tu ne sais pas par où commencer pour t'assurer de finir en beauté, ça se passe avec l'épisode de cette semaine. 

C'est un épisode particulièrement larmoyant aujourd'hui (un autre) parce que Julie, je l'ai suivie dès ses tous débuts. C'est un genre de boucle bouclée, pas vraiment une conclusion mais plus un checkpoint de tout ce qu'elle a accompli comme pyjiste, et de tout ce qu'elle rêve maintenant de faire après trois ans à parler de visibilité web, et de marketing organique.  Julie prend son café avec BEN du sucre, refuse mes nombreuses propositions de passer à la cocaïne pour se tenir éveillée et passe une bonne et belle heure à me jaser de tout ce qui fait qu'elle aime sa vie de pyjiste, mais surtout la communauté incroyable qu'elle a autour d'elle, de clients, de collègues, d'amis, de cheerleaders, d'inspirations et de miroirs qui l'aident chaque jour à être un peu plus sur son X, pyjement parlant. 

La fameuse question de l'argent, quand tu es pyjiste. Le levier, la valeur, les revenus, le budget, les dépenses, le stress qui vient avec.  Je te jase de ma vision de l'argent, mais surtout, j'essaie de te partager un peu comment ma relation avec le cash a évolué à travers les années. Rien n'est parfait, c'est toujours un sujet inconfortable de mon côté, mais je me dis que plus la conversation est lancée, plus on arrivera à savoir mieux en parler.   

Najomie est fondatrice de Naj & Co, directrice artistique et conférencière qui s’assume de plus en plus (ok pas encore officiellement conférencière mais je pousse fort pour que ça arrive guys, promis). On fangirl l’une sur l’autre, mais surtout on jase de confort (autant dans ses vêtements que dans son équipe), de background (et de comment ta famille et la façon dont tu as grandi influencent toutes les sphères de ta vie, la professionnelle aussi), et de l’importance de passer par la rocky road pour arriver à ta vie de pyjiste de rêve. Naj n’arrivera pas toute nue au bureau, trippe sur son creamer au lait d’amande, et parle autant des étapes qui l’ont forgée à être l’entrepreneure qu’elle est aujourd’hui, que de comment elle est arrivée à s’entourer d’une équipe qu’elle adore et qui, j’suis sûre, l’aime tout autant. 

Oh boy que vous avez été nombreux & nombreuses à me demander cet épisode-là : et moi, je l'avoue amplement, j'avais vraiment envie (besoin) de l'enregistrer. Je te partage le plus humblement du monde ma version du syndrome de l'imposteur, le côté positif de tout ça, mais surtout les questions que tu devrais te poser lorsque tu réalises que tu es en train de t'imposteur-iser. Ce n'était pas facile à enregistrer (pas parce qu'on entend Bet qui s'amuse en background), mais parce que je sais que le contenu ne sera pas nécessairement facile à entendre. Mais t 'es capable, je suis sûre. Et c'est pour le mieux.

Aimée Desrosiers est designer graphique, maman, spécialiste du branding, licorne, figure montante du micro-vlogging sur Instagram, & une maudite de bonne personne. C'est un épisode tout en humilité où on entre dans sa vie (et pas juste de pyjiste). Aimée a été tellement généreuse de ses connaissances et de son parcours, tout en touchant une corde sensible qui va résonner avec pas mal de pyj's je suis certaine : l'importance de connaître ses limites, autant qu'on connaît sa valeur.  On abuse du café et des brocolis, on se donne le défi de se lever à 4h30 du matin le lendemain & on célèbre le parfait équilibre thé/café.   

C'est juste moi, aujourd'hui.  Juste moi, et mon besoin de mettre un truc au clair. La (maudite) perfection qui te ronge et qui t'auto-sabote.  On a tendance à se mettre toute la pression du monde parce que notre nom est associé à notre entreprise, à nos services, à qui on est derrière un logo ou un branding. J'avais envie de te jaser de tout ce qui est imparfait quand justement, c'est d'être parfait que tu vises.

Gen Gauvin connaît son marketing affilié comme je connais mon pyjama. Elle est en plein lancement de sa formation Marketing affilié : édition créateur, et passe aujourd’hui sur le podcast pour jaser de son lancement oui, mais aussi et surtout de sa vision du pyjisme (lol), de ses vrais chiffres, de ses stratégies de feu, de ses plus beaux succès et de ses meilleurs ratés pour vous aider à bâtir votre entreprise de rêve (OUI CECI EST UN MASHUP AVEC SON INTRO DE PODCAST, LIVIN MY BEST LIFE).  Son pyj est absent, elle aime les lattés au lait d’avoine & après une intro de 40 minutes on a enfin fini par faire le tour d’un méchant bon melting pot de contenu pour tout pyjiste qui souhaite ajouter du passif (et du marketing affilié, on s’entend!) à son offre de service. Tous les détails sur MAEC (la formation présentée dans l’épisode d’aujourd’hui!) sont ici : https://ccormier--genevievegauvin.thrivecart.com/maec-297/

Entrevue avec Gabrielle Darveau, stratège marketing. Le podcast d'aujourd’hui a des airs de talk de développement personnel, et de quotes ben inspirantes à mettre sur de beaux visuels à la Pinterest. Gab a choisi de s’accorder la liberté d’être pyjiste et raffine chaque jour sa définition de l’entrepreneuriat. Elle connaît sa valeur et nous donne le goût de connaître (et surtout d’assumer) la nôtre en maudine. Son pyj est propre, c’est une fille de douche de soir, elle stool la fameuse ruse du haut propre et du bas de pyj’ mou et rêve de donner des conférences à travers la province en talons hauts roses à brillants. Avec elle, on apprivoise et on a pas mal le goût de rejoindre la gang des pyjistes confortables au milieu!

Trouvez-la votre gang, trouvez-le vot' monde.  La chose que j'entends le plus souvent de la part des pyjistes qui rejoignent la communauté de VDP, c'est ça : maudit que j'me sentais tout(e) seul(e) dans mes affaires avant de m'en venir ici.  L'épisode d'aujourd'hui n'est pas là pour bitcher qui que ce soit, pour pointer du doigt votre entourage qui ne comprend pas votre job même s'il essaie fort, ou la personne avec qui vous partagez votre vie qui vous soutient du mieux possible mais pas assez des fois. Plutôt, on jase de l'importance de former vous-même votre propre communauté, votre propre gang. De pas forcer personne à vous entendre, mais plutôt de monter votre crew de pyjistes qui seront là, envers et contre tout.

Entrevue avec Marie-Pier Deschênes de Comme des lapins. Marie-Pier Deschênes est diplômée de la maîtrise en travail social et a construit sa business, Comme des lapins, autour de coaching personnalisé et d'outils variés pour aider les femmes à reprendre le pouvoir de leur vie sexuelle, un orgasme à la fois. On jase bien sûr de comment faire sa place dans un milieu un p'tit peu plus complexe mais oh combien l'fun que celui du traditionnel travailleur autonome. Et à travers, y'a pas mal d'insights vraiment très intéressants (dit-elle, humblement) sur l'importance de se sentir soutenue par sa relation, sur ce qui peut motiver à vivre dans l'action, à être sur son X professionnellement et personnellement parlant. Son pyj est ben mou, elle est #teamthe (pfffff), et surtout, MP t'aide à voir plus facilement c'est quoi TA réponse à la question : j'ai-tu la chienne parce que je devrais pas me lancer à mon compte, ou juste parce que c'est le trip d'une vie qui s'amorce le jour où je deviendrai pyjiste?

Entrevue avec Aicha Tohry d'ARTY LAW. Aicha Tohry est avocate pour créatifs et conférencière. Fondatrice d'ARTY LAW, elle est entrepreneure depuis plus de 2 ans, prend son café avec de la boisson d'avoine et porte des pyj' propres pis verts.  Avec elle, on jase de liberté, de finances, de programmation web, de SEO et de l'importance de mettre les bons prix sur les bons services. Aicha a un discours hyper concret sur différents aspects de sa vie de pigiste qu'elle a raffinés au fil des années, mais surtout sur sa façon bien à elle de mettre son expertise de l'avant et d'avoir 100% confiance en sa valeur. 

Dire "oui" c'est l'fun, dire "non" c'est encore mieux. Y'a tellement de conseils pour les pigistes qui commencent par ces mots-là, ou du moins, qui en viennent à une p'tite morale du genre. Que c'est donc ben mieux de dire "non", que c'est donc ben plus logique, que ça fait plus de sens et pour toi, et pour ta business. Mais le "non", y'a une mauvaise réputation. Il est tout le temps associé à un stress. Un stress d'en manquer, un stress de passer à côté de quelque chose, un stress tout court. Pis quand t'es pyjiste, tu tentes de stresser le moins possible. Le ah-HA moment que je veux te faire vivre dans cet épisode-là, c'est de comprendre à quoi tu dis "non" de toute façon quand tu dis "oui" ailleurs. 

Ben oui 'garde donc ça, j'suis rendue avec un podcast. Premier épisode, première tentative, et on parle des premières fois. On parle des projets qui commencent, des débuts tout court. On parle de ce qui arrive, quand on se lance en petit comme en grand, du thrill positif et du stress négatif que ça engendrent. Comme savoir si on s'emballe pour rien, ou si on doit écouter sa petite voix et foncer? Comment savoir si on est pas en train de partir su'une chirre qui va juste nous faire angoisser plus qu'il faut, ou si on tient la meilleure (nouvelle) idée du siècle? // En attendant le café, on jase de business, on jase de notre vie de pigistes, de ce qui nous rend fiers, pis de ce qui nous fait suer. On se partage des potins, on relâche la pression, on bitche un peu sur nos clients, mais promis c’est de façon constructive là.  Si tu cherches ta gang de collègues ben nices avec qui sociabiliser entre deux cafés, entre deux courriels, ben ici t’es à la bonne place.