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durée : 00:04:04 - Comme personne - À 32 ans, Jessica Buczek, photographe naturaliste française, s'est donné pour projet de photographier, pendant une année entière, la dernière forêt considérée comme primaire en Europe : la forêt de Białowieża.
Hard charging towards the end of the year, we dive into our most worn perfumes of 2025 and then steer right into the macabre as we discuss our death bed fragrances. Like the memories that will pass before our eyes, we travel that journey through scents and perfumes. Also, as we still live and breathe, we talk about the scents we've been wearing lately and a candle that has really burned its way into our hearts. All that and a very skin scent edition of The Game.Perfumes, etc mentioned in this episode:Black Spruce by Régime des Fleurs / Well Dressed Werewolf by DS & Durga / Room 1063 by Augment Candles / Into The Oud by Astrophil & Stella / Alien by Mugler / Amber Perfume Oil by Nemat / Fumabat by Couteau de Poche / Rose of No Man's Land by Byredo / Bois d'Encens by Armani Privee / Les Cahiers Secrets by Jouissance / Rosea Mundi by Profumom Roma / L'Astre by Le Galion / Flaming Creature by Marissa Zappas / Reve d'Ossian by Oriza Le Grand / L'Ame Perdue by Le Galion / Seven Veils by Byredo / Tiger by Her Side, Sandalwood Temple, Celestial Patchouli, Vanilla Nomad, Savage Jasmine, and Revolution de la Fleur by Sana Jardin / Coromandel by Chanel / Baudelaire by Byredo / Fille en Aiguilles by Serge Lutens / Wonderwood, Wonderoud and Incense Kyoto by Comme des Garçons / Mexican Baroque Candle by Arquiste / Lost in Flowers by Strangelove / Flower No 1 by Perfumer H / Carnal Flower by Frederic Malle / OroNardo by Xinu / Incense Rori, Oud Ulya, and Saffron Hamra by Amouage / 212 by Carolina Herrera / Bal D'Afrique by Byredo / Shalimar by Guerlain / Ice Blue by Aqua Velva / Nobile by Gucci / Drakkar by Guy LaRoche / Lagerfeld by Lagerfeld / Nag Champa Incense / Gloam by Aesop / Comète by Chanel / First Light Five Boroughs by DS & Durga / Material by Amouage / Fleur de Peau by Diptyque / Another 13 by Le Lebo / Molecule 02 by Escentric Molecules / Volutes by Diptyque / Bois D'Argent and Leather Oud by Christian Dior / Rimbaud by Celine / Cuir Velours by Naomi Goodsir / Almond Suede by Arquiste / Nudiflorum by NasomattoThe Game:Spoturno 1921 Extrait by Spoturno / Vanilla Edesia by Electimuss / Un Air d'Apogée by Maison Violet / Vanilla Diorama by Christian Dior / Reptile by Celine / Peau by ArquisteMovie Reference:Love Affair by Leo McCareyPod Reference:Christopher Sheldrake on Perfume Room(00:00) - - Intro and Ramblings (10:07) - - What Jeff Wore in 2025 (19:00) - - What Jane Wore in 2025 (28:20) - - Death Bed Scents for Jane (35:16) - - Death Bed Scents for Jeff (40:32) - - Scents of The Week (49:32) - - The Game Please feel free to email us at hello@fragraphilia.com - Send us questions, comments, or recommendations. We can be found on TikTok and Instagram @fragraphilia
Mes chers camarades, bien le bonjour !C'est le retour du service militaire en France. C'est ce que nous a annoncé Macron le jeudi 27 novembre 2025 lors d'une conférence de presse à Varces en Isère. Ce service militaire sera ouvert aux jeunes Français âgés de 18 à 25 ans sur base volontaire uniquement. Il durerait dix mois et serait rémunéré autour de 900 à 1000 euros par mois. L'objectif : accueillir 50 000 jeunes d'ici 2035. Comme vous vous en doutez, ça a fait réagir. Vu qu'en fait, c'est seulement depuis 1997 que le service militaire est suspendu. Et comme souvent en France, ça relance un vieux débat. Parce que figurez vous que l'histoire du service militaire, c'est un enchaînement de réformes, d'inégalités sociales, d'ajustements politiques, et même de résistances au nom de la conscience…Bonne écoute !
Le Timor Leste n'est indépendant que depuis 2002. C'est un État insulaire entre Australie et Indonésie. L'Indonésie, de sinistre mémoire, puisqu'il y a tout juste 50 ans, les Indonésiens envahissaient le territoire. Allaient suivre massacres et oppression. 27 années noires, après 4 siècles d'occupation portugaise. Mais le Timor Leste veut aller de l'avant. Fin octobre 2025, c'est enfin l'adhésion à l'ASEAN, la grande Alliance économique et politique d'Asie du Sud-Est : un espoir de stabilité économique. «Timor Leste : l'intégration régionale comme espoir de salut», un Grand reportage de Juliette Chaignon.
Je suis très heureuse de vous proposer cet épisode hors-série sur ls angles morts RH, né d'une conversation que j'ai eue en juin dernier avec plusieurs DRH pour préparer la nouvelle saison du podcast.Comme toujours, mon objectif est d'aller chercher des sujets que l'on n'aborde pas ailleurs et d'éviter de répéter ce qui existe déjà.J'ai donc voulu comprendre avec eux quels étaient les angles morts RH, ces points qui traversent les organisations sans être véritablement nommés.J'ai souhaité partager plus largement ces échanges, les prolonger et en faire un débat ouvert.Dans cet épisode, nous mettons en lumière ces angles morts RH, non pas pour en dresser la liste, mais pour comprendre ce qu'ils disent des organisations aujourd'hui.Nous avons été accueillis chez Chateauform, dans la maison des Jardins de Saint-Dominique, avec toute la chaleur qui fait partie de leur culture.Ce cadre a permis d'installer un climat propice à un échange simple et direct. Ce choix n'était pas anodin : j'ai un lien particulier avec Chateauform, depuis mes débuts professionnels. Ce sont des lieux propices aux conversations qui comptent, des conversations sincères et profondes, exactement ce que je voulais installer ce jour-là.J'ai eu la joie et l'honneur de recevoir pour cet épisode inédit :• Magali Charlin Gaudin, responsable des richesses humaines, talents et cultures – Chateauform• Claire Gathier-Caillaud, DRH – Safran Electronics & Defense• Jean-Yves Chameyrat, DRH – STEFEnsemble, ils mettent en mots ce qui circule réellement dans les équipes : des sujets du quotidien, parfois isolés, qui dessinent pourtant des lignes de fond dans le travail des collaborateurs, des managers et des RH.Ils évoquent notamment :• des signaux faibles liés à la santé au travail, difficiles à catégoriser ;• la charge portée par les managers face à des situations nouvelles ;• la contrainte du temps, entre rythme opérationnel et disponibilité ;• la circulation des responsabilités et la question de “qui fait quoi” ;• le rôle du collectif et des relais internes ;• des décisions qui engagent plusieurs prismes (talent, entreprise, planète).Ces angles morts révèlent aussi une dynamique plus large :un cadre de fonctionnement sous tension, des responsabilités qui se déplacent, des situations qui débordent les repères habituels, et un manque de temps qui fragilise la capacité à réguler.Cet échange apporte un éclairage différent sur la transformation du management, les dynamiques de confiance et le défi RH dans l'accompagnement des équipes.Un épisode utile pour comprendre ce qui se joue réellement dans les organisations.Bonne écoute!
Comme chaque premier jeudi du mois, nous consacrons notre émission à la sexualité. Ce mois-ci, la sexologue de l'émission, Noëlle Cayarcy, répond à toutes les questions que se posent les auditeurs sur les douleurs pendant les rapports sexuels. Objectif : identifier l'origine pour trouver le soulagement et retrouver confiance. Comment oser en parler à son partenaire, comme à un.e soignant.e ? La douleur au cours des rapports sexuels peut être multifactorielle. Dyspareunie chez la femme, algie sexuelle chez l'homme, cette douleur peut être physique, psychologique ou mixte… Dans tous les cas, elle n'est jamais normale, ni imaginaire et ne doit pas être banalisée. Il faut la considérer comme un signal à écouter, interpréter et prendre en compte. Ne pas taire sa douleur sexuelle La douleur, symptôme ou signal d'alerte, peut en effet freiner, gêner ou faire obstacle aux relations intimes. Il est essentiel d'en parler, que l'on soit en couple ou non : décrire la nature de la sensation et la localiser, identifier les conditions ou même les positions au cours desquelles les douleurs ou la gêne se font sentir. De multiples causes physiques ou non Les douleurs au cours de la sexualité sont multiples dans leurs manifestations comme dans leurs explications : douleurs d'origine physique, associées à une affection ou un trouble, des changements physiologiques et hormonaux, des actes médicaux, douleurs cicatricielles... Ces causes sont variées et appelleront des diagnostics et des réponses très différentes : endométriose, ménopause, sécheresse vaginale, suite de chirurgies, douleurs lors de l'érection, douleurs associées à l'utilisation d'accessoires inappropriés. Soulagement et patience Certaines douleurs sexuelles vont être réactionnelles, après un événement pénible ou traumatique, sans d'ailleurs que la personne ne soit forcément consciente du lien entre l'épreuve et sa manifestation douloureuse. Le soulagement peut prendre du temps. Certaines situations peuvent donc nécessiter de la patience, et dans tous les cas, de la bienveillance de la part du professionnel de santé, comme du partenaire de confiance, à qui l'on confie cette plainte. Avec : Noëlle Cayarcy, sage-femme, sexologue, oncosexologue, membre de l'Association inter-disciplinaire post-universitaire de sexologie, directeur de projets en prévention de santé, experte à la Haute Autorité de santé et présidente de la Communauté pluriprofessionnelle de santé de Paris XVIe. Programmation musicale : ► Bruno Mars, Anderson Paak, Thundercat – After last night ► Mightyyout, Davido – I Know
Comme chaque premier jeudi du mois, nous consacrons notre émission à la sexualité. Ce mois-ci, la sexologue de l'émission, Noëlle Cayarcy, répond à toutes les questions que se posent les auditeurs sur les douleurs pendant les rapports sexuels. Objectif : identifier l'origine pour trouver le soulagement et retrouver confiance. Comment oser en parler à son partenaire, comme à un.e soignant.e ? La douleur au cours des rapports sexuels peut être multifactorielle. Dyspareunie chez la femme, algie sexuelle chez l'homme, cette douleur peut être physique, psychologique ou mixte… Dans tous les cas, elle n'est jamais normale, ni imaginaire et ne doit pas être banalisée. Il faut la considérer comme un signal à écouter, interpréter et prendre en compte. Ne pas taire sa douleur sexuelle La douleur, symptôme ou signal d'alerte, peut en effet freiner, gêner ou faire obstacle aux relations intimes. Il est essentiel d'en parler, que l'on soit en couple ou non : décrire la nature de la sensation et la localiser, identifier les conditions ou même les positions au cours desquelles les douleurs ou la gêne se font sentir. De multiples causes physiques ou non Les douleurs au cours de la sexualité sont multiples dans leurs manifestations comme dans leurs explications : douleurs d'origine physique, associées à une affection ou un trouble, des changements physiologiques et hormonaux, des actes médicaux, douleurs cicatricielles... Ces causes sont variées et appelleront des diagnostics et des réponses très différentes : endométriose, ménopause, sécheresse vaginale, suite de chirurgies, douleurs lors de l'érection, douleurs associées à l'utilisation d'accessoires inappropriés. Soulagement et patience Certaines douleurs sexuelles vont être réactionnelles, après un événement pénible ou traumatique, sans d'ailleurs que la personne ne soit forcément consciente du lien entre l'épreuve et sa manifestation douloureuse. Le soulagement peut prendre du temps. Certaines situations peuvent donc nécessiter de la patience, et dans tous les cas, de la bienveillance de la part du professionnel de santé, comme du partenaire de confiance, à qui l'on confie cette plainte. Avec : Noëlle Cayarcy, sage-femme, sexologue, oncosexologue, membre de l'Association inter-disciplinaire post-universitaire de sexologie, directeur de projets en prévention de santé, experte à la Haute Autorité de santé et présidente de la Communauté pluriprofessionnelle de santé de Paris XVIe. Programmation musicale : ► Bruno Mars, Anderson Paak, Thundercat – After last night ► Mightyyout, Davido – I Know
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Chirinne Ardakani, avocate, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Pendant longtemps, les chercheurs répondaient : il y a environ 4 500 ans, en Mésopotamie, dans les premières tablettes cunéiformes où l'on voit apparaître la description de baisers amoureux ou familiaux. Mais une étude toute récente, publiée en 2025 dans la revue Evolution and Human Behavior, vient totalement bouleverser cette chronologie. Selon cette analyse, le « premier bisou » remonterait non pas à l'humanité… mais à nos ancêtres primates, il y a entre 21,5 et 16,9 millions d'années.Les chercheurs ont d'abord redéfini ce qu'ils entendaient par « bisou » : un contact bouche-à-bouche non agressif, sans transfert de nourriture, utilisé dans un cadre social ou affectif. Sur cette base, ils ont comparé les comportements d'un grand nombre de primates actuels : chimpanzés, bonobos, gorilles, orangs-outans et d'autres espèces moins étudiées. Or beaucoup d'entre eux pratiquent un équivalent du baiser, parfois pour apaiser un conflit, parfois pour renforcer un lien, parfois dans un contexte reproductif.À partir de ces observations modernes, les scientifiques ont utilisé des modèles phylogénétiques – des outils permettant de reconstruire le comportement probable d'espèces anciennes – pour remonter dans le temps. Le résultat est frappant : l'ancêtre commun des hominidés et des grands singes, qui vivait il y a environ 20 millions d'années en Afrique, avait très probablement ce comportement de contact buccal affectif. Autrement dit, le baiser n'est pas une invention culturelle humaine, mais un héritage évolutionnaire très ancien.Cette conclusion change totalement notre vision. Jusqu'ici, on pensait que le baiser naissait dans les sociétés humaines sédentarisées, et qu'il s'agissait d'un rituel social complexe. Or il apparaît maintenant que les humains n'ont fait que reprendre un geste déjà présent chez leurs ancêtres. Comme le toilettage social chez les singes, le bisou aurait servi à réduire le stress, renforcer les alliances, apaiser les tensions et signaler la confiance. Dans certaines espèces, il joue aussi un rôle dans la sélection de partenaire : le contact buccal permettrait d'évaluer des signaux chimiques liés au système immunitaire ou à l'état de santé.L'étude reste prudente : certains primates sont peu documentés et la définition du « bisou » varie selon les espèces. Mais l'idée est solide et cohérente avec un grand nombre de données comportementales.En résumé : le premier bisou, loin d'être une invention récente de l'humanité, serait un comportement vieux de près de vingt millions d'années. Quand nous embrassons quelqu'un aujourd'hui, nous perpétuons un geste hérité de nos ancêtres primates — un geste bien plus ancien que l'amour romantique lui-même. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il y a plus dans ta saison actuelle que ce que tes yeux peuvent voir! On a parfois tendance à définir nos saisons selon ce qu'on traverse, mais Dieu veut t'aider à les redéfinir selon qui Il est et ce qu'Il peut faire. Sa présence est plus proche et plus active qu'on ne le réalise. Et Dieu peut se servir de chacune de nos saisons pour accomplir Sa volonté. Dans ce message, pasteur Jean-Philippe Beaudry t'amène une nouvelle perspective sur ce que tu vis en ce moment. Que ta saison soit incompréhensible, exigeante, instable ou inattendue, il n'y a rien que Dieu ne puisse utiliser pour Sa gloire. Bonne écoute!Versets de référence : Genèse 28 et Genèse 35
S'autoriser à faire ce qu'on aime.Dans cet épisode de S'Entreprendre, je partage une réflexion profonde : combien de temps je me suis empêché de faire ce que j'aimais vraiment… au nom de ma boîte. Comme beaucoup d'entrepreneurs, j'ai longtemps fonctionné dans le « devoir », en mettant de côté mes passions, mes envies et tout ce qui alimentait mon énergie.Aujourd'hui, je te partage comment j'ai réappris à m'autoriser à faire ce qui me fait vibrer — la vidéo, la créativité, le partage — et comment ça a totalement transformé ma manière d'entreprendre.
Fabriquer de la viande végétale... à la main ? C'est le pari fou que relève Valérie depuis plusieurs années avec sa marque de viande végétale : Veggie Deli.Dans cet épisode, je retrouve Valérie dans son jardin, assis sur l'herbe avec une vue incroyable sur les montagnes près de Grenoble.On parle de son changement de vie, de la création de Veggie Deli et de tout ce que représente le fait de produire de la viande végétale de façon artisanale en France aujourd'hui.Elle fabrique ses alternatives végétales à partir d'ingrédients simples et gère chaque étape elle-même : recettes, emballage, livraisons…Au programme de l'épisode :- Pourquoi elle a quitté la finance après un burn-out- Le documentaire qui a déclenché sa transition alimentaire- Comment elle a appris la cuisine végétale- Pourquoi elle a lancé Veggie Deli et choisi de travailler le seitan- Ce que signifie produire de la viande végétale de façon artisanale- Les contraintes de l'artisanat au quotidien : matériel, logistique, transport frais, stocks...- L'impact de Top Chef sur sa visibilité… et le cyberharcèlement qui a suivi- Sa vision du futurCet épisode authentique et sans filtre avec Valérie rappelle qu'il est important de soutenir les artisan·e·s passioné·e·s qui font bouger les lignes ✨- - -Merci à Valérie pour cet échange. Retrouve-la sur Instagram.Découvre (et commande) tous ses produits sur Official Vegan Shop.Le document qui a aidé Valérie : La santé dans l'assietteÉpisode complémentaire : Similis carnés, c'est quoi le PROBLÈME ? Avec Florimond Peureux (épisode Comme un poisson dans l'eau)- - -
➜ La Croissance de l'Entreprise est propulsée - et limitée - par la Croissance de son Leader.La meilleure des stratégies ne sert à rien dans les mains du Leader qui se cogne à son plafond de verre mindset. Comme le disait Henry Ford: "Que vous pensiez être capable ou ne pas être capable, dans les deux cas, vous avez raison". Mettre de la conscience sur, et comprendre son propre fonctionnement (et ses limitations) n'est pas une option. ➜ Je suis Fabien Matte, coach de Dirigeant.e.s, et j'ai acquis cette conviction au travers des +300 Leaders Entrepreneurs que j'ai accompagné.e.s dans leur développement pro & perso.Entre deux coachings, je partage ici mes réflexions et des outils que tu peux utiliser pour accélérer ta Croissance, et donc celle de ton business.▬▬▬▬ ME CONTACTER ▬▬▬▬Instagram : https://www.instagram.com/fabien.matte/Linkedin : https://www.linkedin.com/in/fabienmatte/RDV 30mn : https://calendly.com/fabien-matte/30-minutes▬▬▬▬ MES CONTENUS VIDEOS ▬▬▬▬https://linktr.ee/fabien_matte Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Yves Camdeborde, cuisinier, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
Comme tous les airs emblématiques, la Marseillaise possède sa propre historie, bien racontée par Stefan Zweig. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : François-Xavier Bellamy, député européen et vice-président délégué des RépublicainsHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu sais ce moment où tu as l'intuition profonde que quelque chose doit changer…Non pas dans ton business, mais dans ta manière de voir le monde ?Comme si les modèles présentés ne faisaient plus assez sens, plus assez envie.Et tu te demandes :
Comme tous les lundis à 7h, Tony et Romaric se retrouvent pour parler d'un sujet, et ça, pour vous bande de chiens ! Aujourd'hui on parle d'intelligence !
C'est le premier voyage apostolique de Léon XIV. Après quatre jours en Turquie, le pape est au Liban jusqu'à demain. Un premier déplacement est forcément riche en symboles et scruté à la loupe. Comme d'autres papes avant lui, Léon XIV vient parler paix et unité. Il ne parle pas italien mais anglais et français. Il est prudent dans ses gestes et ses déclarations. Qu'est-ce que tout cela nous dit du pape et des priorités de son pontificat ? Avec : - François Mabille, chercheur au CNRS, directeur de l'Observatoire géopolitique du religieux à l'IRIS, auteur de Le Vatican. La papauté face à un monde en crise (Eyrolles) - Arnaud Alibert, rédacteur en chef de La Croix et prêtre assomptionniste. À lire aussiDans quel Liban éprouvé arrive le pape Léon XIV ?
Rendez-vous avec la revue «Esprit» dans ce numéro d'Idées, pour parler du numéro de novembre intitulé «Banlieues, les oubliées de la République». Pierre-Édouard Deldique reçoit Anne Dujin sa rédactrice en chef. Dans son dossier du mois, «Esprit» nous propose, en effet, une réflexion critique sur la manière dont certaines banlieues françaises sont perçues et traitées dans le débat public, par les hommes politiques ou les journalistes. Coordonné par le chercheur indépendant Hacène Belmessous, il revient sur vingt ans de dépolitisation et d'occultation, selon lui, d'une histoire sociale et politique. Le numéro s'ouvre sur le rappel des révoltes de l'automne 2005, déclenchées après la mort de deux jeunes à Clichy-sous-Bois. Vingt ans plus tard, «Esprit» constate que les banlieues ne sont plus évoquées qu'à travers des considérations sécuritaires, culturelles, effaçant leur dimension politique et sociale. Il faut dire que le narcotrafic pose aujourd'hui de redoutables questions dans certains quartiers, à Marseille notamment, mais on ne peut réduire les banlieues au trafic de drogue. À écouter aussiClichy-sous-Bois: la délicate reconstruction 20 ans après la mort de Zyed et Bouna Selon la revue, cette dépolitisation s'apparente à une stratégie qui invisibilise les luttes, les aspirations et les réalités vécues par des millions d'habitants. Les articles coordonnés par Hacène Belmessous montrent comment l'État et les médias ont contribué, selon leurs auteurs, à réduire les banlieues à des espaces de danger ou de déficit culturel, plutôt qu'à des lieux de citoyenneté et de créativité sociale. Le dossier (qui se compose également d'entretiens, avec le sociologue François Dubet notamment) insiste sur la nécessité de réinscrire les banlieues dans l'histoire de la République, en reconnaissant leur rôle dans les transformations sociales et politiques contemporaines. Les auteurs dénoncent la tendance à essentialiser les habitants des banlieues, en les réduisant à des catégories stigmatisées (jeunes, immigrés, musulmans). Ils mettent en lumière la richesse des expériences locales, des mobilisations associatives et des initiatives culturelles qui témoignent d'une vitalité démocratique ignoré. Comme dans chaque numéro, la revue «Esprit» propose des articles sur d'autres thèmes, en plus du dossier. On notera, par exemple, une intéressante analyse sur l'emprisonnement de Nicolas Sarkozy ou bien encore sur les relations entre la France et Israël. Programmation musicale : - Gogo Penguin - Living Bricks in Dead Mortar - IAM - Eldorado (Instrumental).
Con comme un balai... c'est bizarre, après tout, un balai n'est pas plus stupide qu'une casserole ou un torchon... Je m'étais toujours posé la question. Ma mère dit "Con comme un balai sans poils", et là, on comprend mieux : voilà un truc inutile !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que pape Léon XIV est en visite au Liban, son déplacement met en lumière le système confessionnel qui régit le pays. En politique, le président doit être chrétien maronite, le Premier ministre musulman sunnite et le président du Parlement musulman chiite. Bien au-delà de la politique, le confessionnalisme régit aussi la vie des Libanais, de la naissance à la mort, car il n'y a pas de code civil unifié. Ce sont les tribunaux religieux qui régissent le droit de la famille. De notre correspondante à Beyrouth Mariage, divorce et héritage : au Liban, toutes les étapes de la vie sont régies par le droit religieux. En banlieue de Beyrouth, au tribunal des chrétiens maronites, ce sont les lois du Vatican qui s'appliquent. Ici impossible de divorcer, seule une annulation du mariage peut être décidée sur des critères très restrictifs et après plusieurs rendez-vous pour tenter de réunir le couple. Mona Khoueiry, responsable du centre de réconciliation du tribunal maronite de Beyrouth : « Notre objectif, c'est de se réconcilier, de trouver une issue pour la famille, de garder le noyau familial. » Les violences conjugales ne sont pas un motif pour défaire les liens sacrés. Au final, c'est le juge qui tranche. Monseigneur Alwan se félicite de ne compter que 10% d'annulation de mariage : « Le système confessionnel aide beaucoup à ne pas aller au divorce facilement. Pas comme le divorce civil, s'ils se mettent d'accord pour divorcer, ils divorcent. Les gens ici sont plus attachés à la foi. » À chaque communauté sa justice Un argument également prôné dans les autres communautés. Comme chez les musulmans sunnites. Dans le quartier populaire de Tariq Jdidé, le tribunal sunnite applique la charia Le Cheikh Khaled Wael Chbare est l'un des juges : « Ce qu'on fait le plus, ce sont les mariages et les divorces. Si les deux parties sont d'accord, le divorce peut être prononcé en une heure. » Pour le juge Chbare, pas question de parler de changement : « Un projet de loi civile ou de mariage civil, nous ne l'acceptons pas. La société ne l'accepterait pas. Il y aurait un refus populaire et puis cela serait en conflit avec les tribunaux islamiques. » À chaque communauté sa justice. Mais dans ces conditions, il est difficile de se marier avec quelqu'un qui n'est pas de la même confession. Nadine Hamdan est Druze, Patrick Mattar chrétien maronite. Pour se dire oui, le couple a dû se marier civilement à Chypre, il y a quatre ans. Sur leur téléphone, ils nous montrent une vidéo de leur mariage. Comme Nadine et Patrick, de plus en plus de Libanais s'affranchissent de la religion et se marient à l'étranger. À écouter aussiDans quel Liban éprouvé arrive le pape Léon XIV ? À lire aussiLiban: les chrétiens en perte de vitesse dans un pays en survie
durée : 01:00:07 - Bartabas, artiste écuyer - par : Priscille Lafitte - Le dernier spectacle équestre de Bartabas, au Théâtre Zingaro, donne une place prépondérante au dialogue entre gamelan javanais et mots, extraits des "Cantiques du corbeau", un récit des origines et de la place fragile de l'humanité dans l'écosystème, écrit lors de la pandémie de Covid en 2020. - réalisé par : Claire Lagarde Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Rendez-vous avec la revue «Esprit» dans ce numéro d'Idées, pour parler du numéro de novembre intitulé «Banlieues, les oubliées de la République». Pierre-Édouard Deldique reçoit Anne Dujin sa rédactrice en chef. Dans son dossier du mois, «Esprit» nous propose, en effet, une réflexion critique sur la manière dont certaines banlieues françaises sont perçues et traitées dans le débat public, par les hommes politiques ou les journalistes. Coordonné par le chercheur indépendant Hacène Belmessous, il revient sur vingt ans de dépolitisation et d'occultation, selon lui, d'une histoire sociale et politique. Le numéro s'ouvre sur le rappel des révoltes de l'automne 2005, déclenchées après la mort de deux jeunes à Clichy-sous-Bois. Vingt ans plus tard, «Esprit» constate que les banlieues ne sont plus évoquées qu'à travers des considérations sécuritaires, culturelles, effaçant leur dimension politique et sociale. Il faut dire que le narcotrafic pose aujourd'hui de redoutables questions dans certains quartiers, à Marseille notamment, mais on ne peut réduire les banlieues au trafic de drogue. À écouter aussiClichy-sous-Bois: la délicate reconstruction 20 ans après la mort de Zyed et Bouna Selon la revue, cette dépolitisation s'apparente à une stratégie qui invisibilise les luttes, les aspirations et les réalités vécues par des millions d'habitants. Les articles coordonnés par Hacène Belmessous montrent comment l'État et les médias ont contribué, selon leurs auteurs, à réduire les banlieues à des espaces de danger ou de déficit culturel, plutôt qu'à des lieux de citoyenneté et de créativité sociale. Le dossier (qui se compose également d'entretiens, avec le sociologue François Dubet notamment) insiste sur la nécessité de réinscrire les banlieues dans l'histoire de la République, en reconnaissant leur rôle dans les transformations sociales et politiques contemporaines. Les auteurs dénoncent la tendance à essentialiser les habitants des banlieues, en les réduisant à des catégories stigmatisées (jeunes, immigrés, musulmans). Ils mettent en lumière la richesse des expériences locales, des mobilisations associatives et des initiatives culturelles qui témoignent d'une vitalité démocratique ignoré. Comme dans chaque numéro, la revue «Esprit» propose des articles sur d'autres thèmes, en plus du dossier. On notera, par exemple, une intéressante analyse sur l'emprisonnement de Nicolas Sarkozy ou bien encore sur les relations entre la France et Israël. Programmation musicale : - Gogo Penguin - Living Bricks in Dead Mortar - IAM - Eldorado (Instrumental).
Le 18 novembre, Laurent Gerra fêtait ses 25 ans sur RTL. L'occasion pour lui de rejouer l'une de ses imitations favorites : celle de son ami, Benjamin Castaldi, égérie du programme de minceur "Comme j'aime". Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marc Bezançon est un homme habité par une foi vivante et un sens de l'engagement profond. Après de brillantes études, il a exercé des fonctions d'abord au service de l'État, au cours des négociations visant à l'harmonisation européenne des services bancaires. Il a ensuite intégré une des plus grandes banques françaises, au sein de laquelle il a développé les services d'assurance.Marc Bezançon témoigne d'une « recherche désespérée d'amour », engagée dès les premières heures de sa vie, avec son frère jumeau, en raison de la grave maladie de sa mère dont il a été trop longuement séparé. Marc Bezançon révèle comment la rencontre avec Jésus a bouleversé sa vie. Il revient sur les étapes marquantes de sa vie spirituelle abondée par une relation directe avec le divin. Il raconte les effusions de l'esprit, les visions, les locutions reçues aux moments charnières de sa vie, et qui continuent de l'accompagner aujourd'hui.Les grâces reçues par Marc Bezançon sont à la hauteur des épreuves rencontrées. La longue maladie de son épouse, la sienne, les décès autour de lui, ont creusé un puits de souffrance à chaque fois rempli par la lumière, la consolation et l'amour divin.Ces grâces lui permettent aujourd'hui de continuer d'avancer sur le chemin de l'entraide aux plus démunis à laquelle il consacre maintenant sa vie, au service du mouvement international Fondacio pour qui il recherche les fonds.Dans ce cœur à cœur vibrant avec Marc Bezançon, nous recevons de belles lueurs de la douce et réconfortante lumière divine. Nous sommes entraînés, comme lui, à ouvrir toujours plus grande notre confiance dans la bienveillance divine qui est partout. Nous sommes invités à lui demander, comme Marc le fait lui-même, les grâces dont nous avons besoin. Et à nous disposer à accueillir tout ce qui vient, avec l'esprit en paix et le cœur en joie.Pour découvrir Fondacio, cliquer ici.GRATITUDE ET DÉPASSEMENTChers amis, chers auditeurs de Zeteo,C'est un message de gratitude que j'aimerais partager avec tous ceux qui composent cette aventure qui nous permet de nous retrouver chaque semaine : les invités, les auditeurs, les donateurs.J'ai le profond sentiment que cette 6ème année depuis la création de Zeteo s'achève différemment.Il y a d'un côté la situation inquiétante du monde qu'on ne peut ignorer ou nier. Il y a aussi des grâces particulières pour notre temps. Comme le dira une prochaine invitée au moment de Noël, il y a une lumière qui vient pour chasser toutes les ombres, même les plus tenaces.Je suis ému en voyant la croissance de l'audience, plus dynamique encore cette année que les précédentes. Je suis bouleversé par les messages, les témoignages d'auditeurs que je reçois, et j'espère avoir le temps de pouvoir partager sur le site de Zeteo les plus récents dans les jours qui viennent.Je suis aussi touché par la générosité de certains d'entre vous. En fait, cela fait maintenant plus de 4 mois que j'ai cessé de faire des appels aux dons, et depuis, Zeteo a continué d'en recevoir, même un peu plus que l'année passée à la même période.Pour tout cela, pour tous les épisodes si beaux diffusés cette année, pour la communion partagée tous ensemble, pour la générosité de ceux qui ont fait un don, je tiens à dire à la fois toute ma gratitude et ce si agréable sentiment de dépassement.Gratitude et dépassement face à la bienveillance divine infinie, universelle, exprimée dans tout le vivant, c'est d'elle que nous recevons tout, le souffle, la vie, la lumière, l'amour, l'entraide.En ce moment, il y a lutte entre les ténèbres et la lumière, mais je n'ai aucun doute que c'est la lumière qui va l'emporter. Elle l'a déjà emporté, et je le mesure aussi à la joie, la légèreté, la vibration d'amour qui nous relie tous et qui me porte au quotidien, et je le mesure aussi en pensant à tous les épisodes à venir d'ici la fin de cette année. Ils sont désormais tous enregistrés, et je suis impatient de les diffuser tous.Je pense à cet épisode magnifique, celui d'aujourd'hui avec Marc Bezançon. Marc, dont la vie actuelle est consacrée à récolter des fonds pour aider les plus démunis, nous parle d'abandon et d'abondance.Alors je finirai ce message avec cette double espérance. Celle que l'abandon, c'est-à-dire la confiance, soit toujours de plus en plus grande, et celle de l'abondance pour vous, et aussi pour Zeteo.L'abondance, c'est la manne qui est juste. Ni trop, ni trop peu.Pour nous, cette période qui commence est la plus importante de l'année pour nos récoltes de dons. Elle détermine beaucoup la suite d'une aventure qui est à la fois belle pour tout ce que je viens d'écrire, et fragile, parce qu'elle est indépendante, donc libre, et qu'elle repose sur l'entière gratuité d'accès à Zeteo. Elle n'a aucune autre sources de revenus que vos dons.Alors d'avance, un grand merci à ceux qui, en cette fin d'année, feront un geste pour soutenir l'effort de Zeteo,à bientôt,et à tous, particulièrement ceux qui souffrent et qui sont seuls,belle montée vers Noël.Guillaume DevoudPour soutenir l'effort de Zeteo, podcast sans publicité et d'accès entièrement gratuit, vous pouvez faire un don. Il suffit pour cela de cliquer sur l'un des deux boutons ci-dessous, pour le paiement de dons en ligne au profit de l'association Telio qui gère Zeteo.Cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso.Ou cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal.Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAssoNous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 76 rue de la Pompe, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici.Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici.Pour lire les messages de nos auditeurs, cliquer ici.Nous contacter : contact@zeteo.frProposer votre témoignage ou celui d'un proche : temoignage@zeteo.fr
durée : 01:48:21 - Comme un samedi - par : Arnaud Laporte - Le comédien Antoine Reinartz est à l'affiche du film "Love Me Tender" de la réalisatrice Anna Cazenave Cambet, en salle le 10 décembre. Carte blanche à un mousquetaire du cinéma français ! - réalisation : Alexandre Fougeron - invités : Antoine Reinartz Acteur; Clara Hédouin Auteure, comédienne, metteuse en scène, membre du collectif 49701; Anna Cazenave Cambet Réalisatrice ; Youna De Peretti Directrice de casting
Unis comme les quatre mousquetaires, Candice de Traviole -heureusement rétablie d’une gastro-entérite foudroyante- , sir Jeff de la Tourette, Taberdan de Queb’, Pierre-Jérôme du Grand Massif et Jean-Hubert de Saint-Hilaire, s’en partent affronter les grands dangers de la courbe d’audience, la fleur au fusil! Comme le dit l’adage, les ondes de Radio Campus se méritent, […] L'article Welcome! du 29 novembre 2025 est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
De retour aux "Grosses Têtes", Joyce Jonathan a dévoilé en live sur RTL son nouveau titre "Comme d'hab" Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:34 - Comme personne - C'est un écrivain qui travaille dans la lenteur, en se trompant, en "bricolant", en digressant. Prix Médicis en 2009, il propose cette année un livre fleuve de 800 pages autour de son enfance avec sa tante en Algérie. Il a mis dix ans à l'écrire. Rencontre avec un conteur, audacieux et érudit. - invités : Alain Ferry Romancier, essayiste
Quatre-vingts ans après sa mort, Adolf Hitler continue de fasciner et d'intriguer. Lorsque le dictateur se suicide dans son bunker de Berlin en avril 1945, ses proches incendient et enterrent à la hâte son corps, suivant ses instructions pour empêcher qu'il ne tombe entre les mains de ses ennemis. Pourtant, malgré ces précautions, des traces biologiques ont survécu. Et aujourd'hui, une unique empreinte génétique semble lever un coin du voile sur l'homme derrière le mythe noir.Un documentaire britannique diffusé en 2025, Hitler's DNA: Blueprint of a Dictator, relate le travail de chercheurs qui, depuis 2018, analysent un fragment de sang retrouvé sur un morceau de tissu provenant du bunker. Grâce à des comparaisons génétiques avec des parents éloignés du Führer, les biologistes confirment que l'échantillon provient bien d'Hitler. Ce matériel exceptionnel leur a permis d'étudier certains traits biologiques entourés de rumeurs depuis des décennies.La première découverte porte sur une anomalie génétique touchant les gènes responsables du développement sexuel. L'absence d'un marqueur spécifique semble compatible avec le syndrome de Kallmann, une affection rare provoquant un retard ou une absence de descente des testicules. Un document médical de 1923, exhumé en 2015, évoquait déjà un testicule non descendu chez Hitler. Cette hypothèse, longtemps prêtée à la simple propagande, se trouve donc confortée par la génétique. Le syndrome est aussi associé à une libido très faible, un trait évoqué dans plusieurs témoignages contemporains.En revanche, une autre rumeur tenace est clairement infirmée : celle d'un prétendu ascendant juif. Les chercheurs n'ont retrouvé aucun marqueur génétique associé aux populations juives ashkénazes ou séfarades. Cette idée, brandie à la fois par la propagande antisémite et par certains biographes, semble donc relever du fantasme.Les scientifiques se sont également aventurés sur un terrain plus délicat : les prédispositions comportementales. L'analyse du génome suggère des marqueurs associés à une tendance aux comportements antisociaux, à l'impulsivité, voire à un trouble de l'attention ou à certains traits autistiques. Mais les spécialistes sont unanimes : la génétique ne suffit pas à expliquer Hitler. Comme le rappelle l'historien Alex J. Kay, ce type d'interprétation doit rester prudent : beaucoup de personnes partagent ces marqueurs sans jamais commettre de violences. De plus, Hitler a grandi dans un environnement familial marqué par les abus et l'autoritarisme, éléments déterminants dans la construction de sa personnalité.Enfin, réduire la naissance du nazisme à un seul génome serait trompeur. Hitler n'a pas agi seul. Il a bénéficié du soutien actif ou passif de millions d'Allemands, dont la grande majorité ne présentait aucun des traits génétiques identifiés par les chercheurs. L'ADN peut éclairer certaines zones d'ombre, mais il ne remplace ni l'histoire, ni la responsabilité collective. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comme près de 6.000 boites aux lettres jaunes ont été enlevées, Martin voudrait installer un bureau postal, chez un fromager, … qui n'a, évidemment, rien demandé
Depuis la chute du régime de Bachar el-Assad, un groupe de femmes tentent de faire survivre l'art traditionnel de la broderie en Syrie. Durant la guerre, la plupart d'entre elles ont été forcées à l'exil ont ont été tuées dans les bombardements. De 1 000, elles sont passées à 80. Ces rescapées essaient de relancer leur business, pour récupérer des fonds et reconstruire leurs villages, ainsi que pour former les nouvelles générations, et que jamais ne se perde cette tradition. Une dizaine de femmes se sont réunies dans une petite salle, un sac plastique à la main. À l'intérieur, des bouts de tissus colorés et des broderies qu'elles ont ces derniers mois fabriqués. Objectif : les vendre dans une galerie à Damas, explique Jamilé, pour faire revivre cet art en perdition. « Sur cette broderie, j'ai dessiné la montagne, l'herbe, et ici le linge suspendu. Au loin, il y a les maisons détruites par la guerre », détaille-t-elle. Comme les autres femmes ici présentes, Wattah, 61 ans, brode les contours de son village. Des dessins qui ont, depuis la guerre, perdus de leurs éclats. « Avant la guerre, nous étions plus sereines. Tout était beau à voir. Les terres verdoyantes, la tempête, les oiseaux... Désormais, notre humeur est plus morose. Même les couleurs que nous utilisons pour broder sont plus déprimantes », soupire-t-elle. Plus moroses, déprimantes, dit-elle, depuis qu'elles ont dû fuir leurs villages. Parmi elles, Um Loaï. Avant la guerre en Syrie, elle supervisait le travail de 200 femmes depuis sa maison, en périphérie d'Alep. Elle rêve aujourd'hui de s'y réinstaller afin de relancer son activité, mais sur place. « Quand je viens ici, c'est dur. Je ressens beaucoup de peine parce que... Regardez. C'est vrai, ce ne sont plus que des ruines, mais ça reste ma maison. Ma propre maison, que j'avais décoré avec l'argent des broderies », montre-t-elle en sanglotant. Partout, des impacts de balles, des murs éventrés... Les traces des années de combat entre le régime et l'armée syrienne libre, et des années d'occupation du groupe État islamique (EI). « Quand je suis arrivée ici pour la toute première fois, j'ai pleuré à chaudes larmes. Les portes avaient été volées, toute la maison avait été pillée », se remémore-t-elle. Sur la terrasse de la maison dans laquelle elle est réfugiée, Um Loaï compte les billets de ses dernières ventes. Aujourd'hui, coûte que coûte, elle et les dernières brodeuses essaient de remonter leur business. « On veut reconstruire nos villages. On a déjà installé un système de dessalement de l'eau financé par nos économies et par des dons. On a planté des oliviers sur nos terres et creusé un puits. J'essaie de rassembler à nouveau les filles pour broder. Mais c'est très difficile », confie-t-elle. À la tête de cette petite entreprise, il y a une Allemande, Heike Weber, tombée d'amour pour la broderie syrienne dans les années 1980. Depuis Damas, elle supervise le travail des dernières brodeuses et collectionne les pièces pour les vendre une à une. « Maintenant, elles sont assises entre quatre murs, sans lumière. La plupart de leurs maisons sont très sombres. L'inspiration de leur environnement, c'est très important pour créer. Si elles ne peuvent pas retourner dans leur village, je pense que tout cela va mourir », redoute-t-elle. Demain, Heike Weber recevra de nouvelles femmes pour leur apprendre la broderie. Pour que tout cela ne meure pas et que la tradition perdure. À lire aussiReconstruction de la Syrie: une opération à 216 milliards de dollars, selon la Banque mondiale
Comme chaque vendredi, un médecin spécialisé répond aux questions des auditrices de Priorité Santé. Cette semaine, nous parlons du lien entre fatigue et mémoire. Pourquoi la fatigue a-t-elle un impact sur notre mémoire ? Peut-on prévenir cette baisse de mémoire en agissant sur le niveau de fatigue ? Est-ce que les troubles de la mémoire sont réversibles ? Les troubles de la mémoire constituent des symptômes de certaines maladies neurologiques. Mais, d'autres facteurs peuvent expliquer les trous de mémoire. Aujourd'hui, nous nous intéressons au lien entre fatigue et mémoire. La fatigue est l'un des motifs les plus fréquents de consultation médicale. Cet affaiblissement général constitue, pour de nombreuses affections, un symptôme à ne pas négliger. Dette de sommeil, stress ou système immunitaire affaibli La fatigue ou l'asthénie peut avoir des origines nombreuses et diverses : la mauvaise qualité du sommeil (qui peut nécessiter des aménagements ou des explorations pour en comprendre les causes), qui peut être également associée à une maladie ou un trouble, tout comme à des périodes particulières (maternité, post-partum ou bouleversements comme un deuil, une agression, un changement de repères.). Fatigue physique et fatigue mentale Rechercher les causes de ces pertes de mémoire nécessite donc une remise à plat de ses habitudes : sommeil, emploi du temps, récupération, alimentation. Prendre en compte les contraintes y compris psychiques, le poids des obligations et des responsabilités et imaginer des adaptations qui vont permettre au corps comme au cerveau des temps de récupération. Agir sur le stress et le bien-être, en reprenant aussi une activité physique, en s'accordant des temps de pause, pour que cette hygiène de vie puisse aussi bénéficier au cerveau. Pr Marième Soda Diop Sène, neurologue épileptologue et neurophysiologiste à l'Hôpital de Fann de Dakar, au Sénégal. Secrétaire générale de la Ligue Sénégalaise contre l'épilepsie. La palabre au féminin de Raphaëlle Constant. Programmation musicale : ► Vanister Enama – Parle-moi de toi ► Maleïka, OBA – Miel.
À contre courant de la consommation jetable et de la surconsommation comme en cette journée de "Black Friday", la tendance de faire du neuf avec du vieux gagne du terrain. Cela s'appelle "up-cycling" ou "sur-cyclage » en bon Français : on donne une nouvelle vie totalement différente à des matériaux déjà utilisés par ailleurs... Ecoutez Olivier Dauvers : les secrets de la conso du 28 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comme chaque vendredi, un médecin spécialisé répond aux questions des auditrices de Priorité Santé. Cette semaine, nous parlons du lien entre fatigue et mémoire. Pourquoi la fatigue a-t-elle un impact sur notre mémoire ? Peut-on prévenir cette baisse de mémoire en agissant sur le niveau de fatigue ? Est-ce que les troubles de la mémoire sont réversibles ? Les troubles de la mémoire constituent des symptômes de certaines maladies neurologiques. Mais, d'autres facteurs peuvent expliquer les trous de mémoire. Aujourd'hui, nous nous intéressons au lien entre fatigue et mémoire. La fatigue est l'un des motifs les plus fréquents de consultation médicale. Cet affaiblissement général constitue, pour de nombreuses affections, un symptôme à ne pas négliger. Dette de sommeil, stress ou système immunitaire affaibli La fatigue ou l'asthénie peut avoir des origines nombreuses et diverses : la mauvaise qualité du sommeil (qui peut nécessiter des aménagements ou des explorations pour en comprendre les causes), qui peut être également associée à une maladie ou un trouble, tout comme à des périodes particulières (maternité, post-partum ou bouleversements comme un deuil, une agression, un changement de repères.). Fatigue physique et fatigue mentale Rechercher les causes de ces pertes de mémoire nécessite donc une remise à plat de ses habitudes : sommeil, emploi du temps, récupération, alimentation. Prendre en compte les contraintes y compris psychiques, le poids des obligations et des responsabilités et imaginer des adaptations qui vont permettre au corps comme au cerveau des temps de récupération. Agir sur le stress et le bien-être, en reprenant aussi une activité physique, en s'accordant des temps de pause, pour que cette hygiène de vie puisse aussi bénéficier au cerveau. Pr Marième Soda Diop Sène, neurologue épileptologue et neurophysiologiste à l'Hôpital de Fann de Dakar, au Sénégal. Secrétaire générale de la Ligue Sénégalaise contre l'épilepsie. La palabre au féminin de Raphaëlle Constant. Programmation musicale : ► Vanister Enama – Parle-moi de toi ► Maleïka, OBA – Miel.
Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 27 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La réponse, de plus en plus évidente pour les neuroscientifiques, tient en grande partie à la dopamine libérée lorsque vous consultez votre téléphone.Chaque notification, chaque défilement de fil d'actualité, chaque ouverture d'application déclenche un petit pic de dopamine dans le système de récompense du cerveau. Ce circuit, centré sur le striatum et le cortex préfrontal, réagit fortement à la nouveauté, à l'anticipation et à la surprise – trois éléments que les smartphones offrent en continu. Le problème, c'est que ces micro-stimulants répétés finissent par modifier la sensibilité de ce circuit.À force d'être sollicité des dizaines, parfois des centaines de fois par jour, le cerveau s'adapte. Il augmente son seuil d'activation : il faut plus de stimulation pour obtenir le même degré de satisfaction. Résultat : les plaisirs simples – écouter de la musique calmement, savourer un café, marcher, lire – déclenchent moins de dopamine, donc moins de plaisir. Le contraste avec l'intensité rapide et imprévisible du téléphone rend les activités du quotidien « plates » en comparaison.Une étude publiée en 2022 par Upshaw et al., intitulée The hidden cost of a smartphone: The effects of smartphone notifications on cognitive control from a behavioral and electrophysiological perspective, apporte un éclairage important. Les chercheurs montrent que les notifications de smartphone captent instantanément les ressources attentionnelles et altèrent le contrôle cognitif, modifiant le fonctionnement du cerveau même lorsqu'on ignore volontairement la notification. Si l'étude ne mesure pas directement la dopamine, elle met en évidence un mécanisme compatible avec la saturation du système de récompense : une exposition continue aux signaux numériques perturbe les circuits impliqués dans l'attention, la motivation et, indirectement, la perception du plaisir.Ce phénomène s'apparente à une forme de « tolérance ». Comme pour toute stimulation répétée du circuit dopaminergique, le cerveau devient moins réceptif aux récompenses modestes et réclame des stimuli plus intenses ou plus fréquents pour atteindre le même niveau de satisfaction. Le téléphone, avec ses micro-récompenses permanentes, devient alors l'option la plus simple pour obtenir un petit shoot dopaminergique. Et à l'inverse, les petites joies du quotidien deviennent silencieuses.La bonne nouvelle, c'est que ce processus est réversible. En réduisant l'exposition aux notifications, en créant des plages sans écran, et en réintroduisant des activités lentes et régulières, le circuit de récompense peut se réajuster. Mais il faut du temps : un cerveau saturé de petites récompenses demande un sevrage progressif pour réapprendre à goûter l'essentiel. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vincent Klingbeil fait partie de ces personnes ambitieuses et profondément humaines. Ancien avocat d'affaires, il se lance dans l'aventure entrepreneuriale et revend sa première société Ametix au groupe La Poste pour près de 30 millions d'euros. Le vendredi, il signe la cession, le lundi, il crée European Digital Group. Avec EDG, Vincent veut réunir les meilleurs spécialistes du Digital IT. Son objectif, acquérir et fédérer les entreprises du marché comme personne ne l'a encore fait. En 6 ans les statistiques sont époustouflantes : 2 600 collaborateurs, 320 millions d'euros de chiffre d'affaires et 50 millions d'EBITDA. Son modèle unique l'est tout autant avec 300 collaborateurs actionnaires du groupe et 50 entrepreneurs associés. Pour réussir, Vincent Klingbeil a su s'entourer des fonds les plus prestigieux afin de construire un écosystème capable de peser durablement sur la scène européenne. Il démarre avec Montefiore, l'un des fonds les plus performants d'Europe avec ses 20% de TRI par an puis plus récemment avec Latour Capital. Deux mastodontes qui ne misent pas uniquement sur les bilans, mais sur la force intérieure de ceux qui les construisent. Des investisseurs capables de reconnaître, en un regard, la rareté d'un entrepreneur qui exécute vite, juste et loin. Et c'est précisément ce regard-là qu'ils portent sur Vincent, car sa manière de penser l'entreprise dépasse le simple cadre du business. Pour lui, l'entrepreneuriat est une suite d'équations à résoudre. Comme une partie d'échecs, un juste équilibre entre instinct, analytique, émotions et vision stratégique. Son ambition est simple : faire grandir son groupe avec ceux qui l'entourent grâce à un épanouissement total. Dans cet épisode, il partage son histoire, la réalité du modèle LBO, la puissance de l'actionnariat salarié et l'ambition internationale d'EDG, aujourd'hui présent dans dix pays. Bonne écoute !===========================
En Cisjordanie occupée, les enfants sont sur-représentés parmi les victimes de l'occupation militaire israélienne. Cinquante mineurs palestiniens ont été tués depuis le début de l'année 2025, la plupart par l'armée. Plus de 2 000 enfants et adolescents ont été arrêtés depuis les attaques du 7-Octobre, pour des séjours plus ou moins prolongés dans les prisons israéliennes, où ils subiraient des sévices dénoncés par les principales ONG de défense des droits humains. RFI est allé à la rencontre de Bassam : il a 17 ans et a été libéré dimanche 23 novembre, après six mois de détention dans la prison israélienne d'Ofer. De notre correspondant à Ramallah, Sous le regard de sa mère, Bassam soulève son t-shirt sous lequel les marques, sur son corps amaigri, racontent la prison israélienne. « J'ai encore les traces des coups, les marques des menottes. Pendant trois mois, je ne pouvais pas sentir mes mains. C'est le résultat de la maladie qu'on attrape en prison, la gale », témoigne-t-il. Le jeune homme de 17 ans a été arrêté pour avoir jeté des pierres sur une jeep de l'armée, puis condamné après des aveux contraints : « Ils m'ont interrogé pendant trois jours pour m'arracher des aveux. Ils menaçaient ma mère. Toute cette pression, surtout quand il parlait de ma mère, cela m'a détruit. J'ai eu peur pour elle, alors j'ai fini par avouer. Pour qu'ils ne lui fassent rien. » Prison ou pas, Bassam est un adolescent. Comme de nombreux jeunes de son âge, il vit et rêve football. « J'ai fourré un bout de drap dans une chaussette et j'ai serré autour avec un bout de tissu. Je l'ai cousue et j'ai commencé à jouer avec, comme un petit ballon. Un truc pour m'entraîner et jouer au foot dans la cellule », détaille-t-il. Des rêves qui n'ont pas leur place dans les cellules de la prison. « Le gardien m'a dit : "Toi, tu n'es pas au Camp Nou, tu n'es pas au Bernabeu", et il a commencé à me frapper en répétant : "Ici, ce n'est pas un terrain de jeu, ce n'est pas dans un stade." Moi, je me disais : avec tout ce que j'invente juste pour réussir à vivre un peu, ils me frappent quand même », se souvient-il. Pour avoir, lui aussi, jeté des pierres sur une jeep de l'armée israélienne, le frère de Bassam a été tué d'une balle dans la tête, en 2018. Il avait 16 ans. Son sourire juvénile est encadré sur les murs du salon. Sami, 15 ans, fan de football... abattu par un sniper À Kufr Aqab, près de Ramallah, un autre rêveur de ballon rond a été fauché par un tir de sniper, vendredi 21 novembre. Il s'appelait Sami et il avait 15 ans. « Il jouait sur sa trottinette électrique avec ses amis et son cousin, ils faisaient le tour du quartier, ils étaient contents. Ils ont entendu qu'il y avait une incursion de l'armée, alors comme n'importe quel jeune, par curiosité, ils sont allés voir. Le sniper a tiré et la balle l'a frappé dans le dos », raconte sa mère avec douleur. Celle-ci nous ouvre la chambre du garçon. Sur son lit, soigneusement pliée, sa tenue complète de l'équipe palestinienne de football. « Ils l'ont aussi arraché à ses frères et sœurs. Chaque matin, en se réveillant, ils respirent son odeur sur ses vêtements restés à la maison, et cela leur rappelle sa présence. C'est la seule chose qui nous aide à supporter son absence », confie-t-elle. Comme tous les vendredis, Sami aurait dû se rendre à l'entrainement. « Comme n'importe quelle mère palestinienne, je vivais dans la crainte : est-ce que mon fils va rentrer à la maison ou non ? Chaque fois qu'il quittait la maison, je le confiais à Dieu », se lamente-t-elle. Secouée de sanglots, la mère serre contre son cœur, les chaussures imbibées de sang que son fils portait, ce jour-là. À lire aussiL'armée israélienne lance une «vaste opération» dans le nord de la Cisjordanie
Un supporter interpelle directement un membre de la Dream Team
Retrouvez Rothen s'enflamme de 18h à 20h sur RMC.
Clément Briga est gendarme depuis des années mais son quotidien ressemble rarement à ce qu'on imagine. Entre situations absurdes, quiproquos inattendus, moments de solitude ou scènes franchement drôles, il raconte la réalité du terrain à travers des anecdotes authentiques et savoureuses. Durant le confinement, il crée Gus, un personnage sur les réseaux sociaux qui mêle humour et prévention pour raconter ces instants improbables vécus par les gendarmes. Avec lui, on découvre une gendarmerie à la fois humaine, surprenante... et souvent pleine de légèreté. Si vous souhaitez partager votre histoire dans "Un Jour Une Vie", écrivez nous à l'adresse suivante : unjourunevie@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La franc-maçonnerie serait née au début du XVIIIe siècle en Angleterre, avant d'arriver en France quelques années plus tard. Plus que secrets, les francs-maçons sont surtout discrets. Tournés vers la connaissance, les loges sont d'abord des groupes de sociabilité et de réflexion, essentiellement masculins. En 1773, une nouvelle obédience apparaît : le Grand Orient. Mais le Grand Orient ne se veut pas mixte. Les femmes initiées sont cantonnées à des loges d'adoption, elles-mêmes rattachées à une loge mère masculine qui supervise leur réunions. À la même époque, Marie-Josèphe-Rose Tascher de la Pagerie, la future Joséphine, débarque en France depuis sa Martinique natale et épouse Alexandre de Beauharnais. Plusieurs membres de cette famille ambitieuse sont initiés à la franc-maçonnerie. Comme les loges sont majoritairement fréquentées par des aristocrates, elles sont suspectes aux yeux des révolutionnaires. La franc-maçonnerie connaît cependant un regain d'activité sous Napoléon. Virginie Girod vous raconte l'histoire de Joséphine de Beauharnais, grand amour de Napoléon, mais aussi grande figure de la franc-maçonnerie ! (rediffusion)Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1.- Auteure et Présentatrice : Virginie Girod - Production : Caroline Garnier- Réalisation : Nicolas Gaspard- Composition de la musique originale : Julien Tharaud - Edition et Diffusion : Nathan Laporte et Clara Ménard- Visuel : Sidonie ManginHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Histoire écrite par Céline Kallmann et Benjamin Muller, en collaboration avec Skyjo, le jeu de cartes amusant pour toute la famille.
Eléa Goarnigou, 24 ans, on disait d'elle qu'elle était belle comme un Botticelli. A l'été 2019, elle disparait. Ses amis vont dire que depuis quelque temps, elle n'était parfois plus elle-même. Comme droguée par une herbe tout aussi magique que toxique. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quatre-vingts ans après sa mort, Adolf Hitler continue de fasciner et d'intriguer. Lorsque le dictateur se suicide dans son bunker de Berlin en avril 1945, ses proches incendient et enterrent à la hâte son corps, suivant ses instructions pour empêcher qu'il ne tombe entre les mains de ses ennemis. Pourtant, malgré ces précautions, des traces biologiques ont survécu. Et aujourd'hui, une unique empreinte génétique semble lever un coin du voile sur l'homme derrière le mythe noir.Un documentaire britannique diffusé en 2025, Hitler's DNA: Blueprint of a Dictator, relate le travail de chercheurs qui, depuis 2018, analysent un fragment de sang retrouvé sur un morceau de tissu provenant du bunker. Grâce à des comparaisons génétiques avec des parents éloignés du Führer, les biologistes confirment que l'échantillon provient bien d'Hitler. Ce matériel exceptionnel leur a permis d'étudier certains traits biologiques entourés de rumeurs depuis des décennies.La première découverte porte sur une anomalie génétique touchant les gènes responsables du développement sexuel. L'absence d'un marqueur spécifique semble compatible avec le syndrome de Kallmann, une affection rare provoquant un retard ou une absence de descente des testicules. Un document médical de 1923, exhumé en 2015, évoquait déjà un testicule non descendu chez Hitler. Cette hypothèse, longtemps prêtée à la simple propagande, se trouve donc confortée par la génétique. Le syndrome est aussi associé à une libido très faible, un trait évoqué dans plusieurs témoignages contemporains.En revanche, une autre rumeur tenace est clairement infirmée : celle d'un prétendu ascendant juif. Les chercheurs n'ont retrouvé aucun marqueur génétique associé aux populations juives ashkénazes ou séfarades. Cette idée, brandie à la fois par la propagande antisémite et par certains biographes, semble donc relever du fantasme.Les scientifiques se sont également aventurés sur un terrain plus délicat : les prédispositions comportementales. L'analyse du génome suggère des marqueurs associés à une tendance aux comportements antisociaux, à l'impulsivité, voire à un trouble de l'attention ou à certains traits autistiques. Mais les spécialistes sont unanimes : la génétique ne suffit pas à expliquer Hitler. Comme le rappelle l'historien Alex J. Kay, ce type d'interprétation doit rester prudent : beaucoup de personnes partagent ces marqueurs sans jamais commettre de violences. De plus, Hitler a grandi dans un environnement familial marqué par les abus et l'autoritarisme, éléments déterminants dans la construction de sa personnalité.Enfin, réduire la naissance du nazisme à un seul génome serait trompeur. Hitler n'a pas agi seul. Il a bénéficié du soutien actif ou passif de millions d'Allemands, dont la grande majorité ne présentait aucun des traits génétiques identifiés par les chercheurs. L'ADN peut éclairer certaines zones d'ombre, mais il ne remplace ni l'histoire, ni la responsabilité collective. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.