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Au Gondwana, c'est une rentrée sans vacances comme toutes les autres rentrées. Le mot vacances n'existe pas au Gondwana...
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Ecoutez Le Cave'réveil avec Philippe Caverivière du 01 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comme tous les jours, Eric Salliot vous fait les cartes postale de l'US Open 2025 en direct de Flushing Meadows. Aujourd'hui, notre spécialiste tennis revient sur une stat étonnante concernant les garçons français. Cet US Open n'a pas été mauvais pour les Bleus, loin de là. Mais ça fait quinze tournois du Grand Chelem où les garçons sont absents des quarts de finale. Quinze, c'est beaucoup...
Invité : Jean-Philippe Tanguy, député Rassemblement national de la Somme et président délégué du groupe RN à l'Assemblée nationale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comme tous les lundis à 7h, Tony et Romaric se retrouvent pour parler d'un sujet, et ça, pour vous bande de chiens ! Retrouvez toutes nos formations en ligne pour éduquer son chien sur : www.espritdog.comtiktok : https://www.tiktok.com/@espritdoginstagram : https://www.instagram.com/esprit.dog/facebook : https://www.facebook.com/espritdogproyoutube : https://www.youtube.com/@EspritDogHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Comme chaque été, l'équipe du Coin du Crime prend un petit mois de pause pour recharger les batteries et vous préparer une rentrée encore plus riche en histoires captivantes.On part en vacances juste après l'épisode de ce dimanche, et on se retrouve le 1er septembre.Mais… pas de panique ! Pendant ce mois d'août, vous pourrez découvrir nos épisodes les plus marquants, les plus écoutés, les plus aimés… Bref, de quoi patienter sans trop sentir le temps passer."Peter Scully, un criminel redouté ayant orchestré des crimes horrifiants via le dark web. Nous allons suivre les traces d'un homme sombre, sans aucune compassion, dont le nom évoque des actes inimaginables…c'est l'histoire du pire monstre violeur pédophile de l'histoire criminelle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Améliorer son français : 3 clés pour des phrases plus naturelles et avancéesDans cet épisode, je t'explique comment enrichir tes phrases et structures pour atteindre un niveau plus avancé en français. On parle du fond et de la forme : la grammaire et le vocabulaire vont toujours ensemble. Pourquoi il est essentiel d'être curieux et proactif dans ta recherche de vocabulaire. L'importance des expressions idiomatiques pour paraître plus naturel. Comment trouver des alternatives aux mots trop utilisés. Et enfin, pourquoi travailler avec un professeur peut t'aider à comprendre dans quel contexte utiliser telle ou telle expression.Si tu veux progresser, gagner en fluidité et t'exprimer comme un francophone, cet épisode est fait pour toi.Bonne écoute,Virginie d'ehoui!---------------------------------------------------------------------------------Les 40 erreurs à NE PLUS faire, c'est gratuit et c'est ici.Tu veux enfin passer à la vitesse supérieure ? Prends des cours avec moi, c'est ici.Le club de lecture de roman policier, c'est ici.Un dollar fait la différence pour sauver les chiens et chats errants au Mexique, fais un don.
Dans le supplément de ce samedi, Grand reportage week-end est entièrement consacré au changement climatique. En première partie, direction l'Allemagne, la capitale doit faire rapidement le nécessaire pour s'adapter aux effets du changement climatique. En deuxième partie, direction le Pérou, à Iquitos, où les riverains du fleuve Amazone subissent les dégâts du changement climatique (sécheresse, inondations). (Rediffusion) Berlin, ville éponge : sur la voie de l'adaptation au changement climatique Berlin vit la plus importante transformation de son histoire. Comme d'autres grandes villes dans le monde, la capitale allemande et ses quatre millions d'habitants doit faire vite pour s'adapter aux effets du changement climatique. La municipalité a donc adopté un nouveau concept : celui de la « ville-éponge ». Il s'agit de permettre à la terre d'absorber l'eau. Ou bien de la collecter pour la rendre ensuite disponible en période de sécheresse. Depuis 2018, pour chaque nouvelle construction, plus aucune goutte de pluie ne doit partir dans les canalisations. Cela pose des défis considérables et oblige à trouver des solutions innovantes. Un Grand reportage de Stefanie Schüler qui s'entretient avec Jacques Allix. À Iquitos, au Pérou, le changement climatique bouleverse le quotidien des riverains de l'Amazone Cette année encore, l'Amazonie connaît l'une des pires sécheresses, les images satellites sont édifiantes : des fleuves à sec, des bateaux échoués... Au Pérou, dans la région d'Iquitos, tout tourne autour de l'Amazone. Le fleuve géant de l'Amérique du Sud. Les habitants du quartier de Belen et des communautés alentours n'ont plus de repères face à des cycles de sécheresse et d'inondation, totalement bouleversés. La pêche, l'agriculture, le transport, l'éducation, la santé, le logement… pas un secteur n'échappe à ces chamboulements, faute de plan d'adaptation des autorités, les habitants tentent de faire face au jour le jour. Un Grand reportage de Juliette Chaignon qui s'entretient avec Jacques Allix.
La Turquie est un pays à majorité musulmane, mais compte de nombreuses églises et de nombreux endroits très symboliques pour le christianisme. À Istanbul, tous les premiers jours du mois, une église réputée pour ses miracles, accueille les locaux et les touristes de toutes les religions, qui font la queue pour pouvoir faire un vœu. Elle attire beaucoup de monde, peu importe les obéissances. De notre correspondante à Istanbul, Une file d'attente s'étire dans la rue à l'extérieur de l'église grecque orthodoxe. Tous les premiers du mois, Notre-Dame-de-Vefa ne désemplit pas : de nombreuses personnes viennent faire un vœu, symbolisé par une clef. Aigül est kazakhe, de passage à Istanbul. À ses côtés, sa mère tient deux clefs dans ses mains : l'année dernière, elle avait fait deux vœux qui se sont réalisés, alors elle est venue ramener ces clefs comme l'indique la tradition. De son côté, Aigül est venue faire un souhait à son tour : « Je me suis renseignée sur cet endroit et beaucoup de gens pensent que leurs rêves se sont vraiment réalisés. Alors, moi aussi, je veux voir si c'est vrai. C'est intéressant et ma mère m'a dit que ses rêves se sont réalisés, c'est pourquoi elle a donné des bonbons. » Comme elle, certaines personnes remontent la file en offrant des sucreries, car leur vœu s'est réalisé. Ici les croyances se mélangent, en témoignent quelques chaussures laissées à l'entrée de l'église, comme à l'entrée d'une mosquée. Mine est turque et c'est une habituée : « Je suis musulmane. Mais je fréquente cette église depuis de nombreuses années. J'essaie surtout de ne pas manquer les premiers jours du mois. Cela m'apporte la paix. J'ai l'impression d'être guérie. Je prie. Je prie dans ma propre langue, selon ma propre religion. Je dis qu'Allah est unique. Je prends de l'eau des sources d'Ayazma. Je m'en sers pour me laver le visage le matin. » L'église, dédiée à la Vierge Marie, est construite sur une source d'eau considérée comme sacrée et réputée pour ses miracles. Notre-Dame-de-Vefa dépend du patriarcat œcuménique de Constantinople. Pour le père Hieronymos Sotirelis, en plus d'être un endroit religieux symbolique, c'est aussi un exemple du vivre-ensemble : « Cela permet à l'humanité de se rassembler, d'une manière magnifique qui fait abstraction de toute politique, idéologie personnelle et tout ce qui s'y rapporte. Nous sommes tous simplement des enfants de Dieu, debout ensemble, attendant sa grâce dans une petite cour d'église. La personne derrière moi est orthodoxe, celle devant moi est musulmane, celle après elle est arménienne… c'est un magnifique reflet de ce que l'humanité peut être. » Pour le père, l'église Vefa est à l'image d'Istanbul, un mélange historique de communautés et de religions. Mais les chrétiens représentent aujourd'hui moins de 1 % de la population turque, témoins du douloureux passé de la communauté. À lire aussiL'Église orthodoxe dans les relations internationales
durée : 00:50:02 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Durant la Première Guerre mondiale des petits Parisiens sont recueillis dans un village. C'est l'histoire de "La Maison des bois", la série tournée par Maurice Pialat en 1969. À l'occasion de sa rediffusion en 1980, le cinéaste Maurice Pialat évoque ce tournage dans "Le cinéma des cinéastes". - réalisation : Emily Vallat - invités : Maurice Pialat Réalisateur français
Pascale Rossler, ancienne responsable politique déléguée à la biodiversité, est coach, et conférencière. Formée aux Sciences de l'Environnement, elle accompagne aujourd'hui les transitions écologiques, pour des structures collectives comme pour des personnes privées. Pascale Rossler vient de publier un livre, Révélez votre nature !, qu'elle présente comme un « guide de l'écologie intérieure et relationnelle pour monde meilleur ». L'originalité de son approche, c'est la largeur en même temps que la profondeur de son regard : Largeur dans sa prise en considération des immenses défis écologiques qui se dressent devant nous ; profondeur dans sa vision d'une transformation personnelle par « l'écopsychologie » et aussi la spiritualité. C'est ainsi, selon elle, que nous pouvons réellement contribuer à l'avènement d'une meilleure manière d'habiter la Terre ensemble. Face à nos enjeux actuels, ceux de la perte de nos repères, la crise écologique, le délitement de la solidarité, toutes les déstabilisations individuelles et collectives que nous subissons, il est possible de redonner à nos vies des trajectoires personnelles épanouissantes. Avec son talent, son énergie et sa sérénité, Pascale Rossler offre un témoignage puissant et convaincant. Chez elle, l'amour de la nature et la passion du vivant composent une belle symphonie, portée par une joie rayonnante. Grâce à des acteurs engagés comme elle, le monde meilleur que nous espérons pour demain est déjà en marche, dès aujourd'hui. Pour lire Révélez votre nature !, le livre de Pascale Rossler, cliquer ici. Pour découvrir les activités de Pascale Rossler, cliquer ici. LES PREUX ET LES GUEUX ? Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Lorsque j'écrivais ma lettre hebdomadaire, envoyée dimanche dernier, le 24 août, je n'avais pas imaginé qu'elle susciterait tant d'émouvantes réactions… Au moment où j'écris cette nouvelle lettre, je continue de recevoir des messages de soutien et d'encouragements dont certains m'ont bouleversé par leur contenu, leur profondeur et leur délicatesse. Déjà, j'aurais aimé avoir le temps de répondre à chaque message. En attendant, j'ai retranscrit une sélection d'entre eux sur le site de Zeteo. Vous pourrez les lire en cliquant ici. Vous découvrirez des lignes et des mots qui m'ont tous particulièrement touché, et qui devraient vous toucher aussi. Mieux que tout ce que j'aurais pu dire, ils confirment ce qu'est le parcours de Zeteo depuis son lancement jusqu'à ce jour : une belle et fragile aventure, initiée par un homme de bonne volonté qui suit les intuitions de son cœur, et le fil des rencontres qui se nouent les unes après les autres. Zeteo n'est ni adossé ni soutenu par aucune structure ou Église. Ce podcast libre et indépendant est davantage le fruit d'une curiosité, d'un élan intérieur et du désir de partager au plus grand nombre ce qui fait du bien, qui réchauffe, qui console, qui guérit, qui aime et qui est beau. Avec toujours dans les yeux, dans le cœur et dans l'esprit, cette présence si douce, si intime, si aimante du Christ. C'est une belle et fragile aventure, et la fragilité a aussi une beauté. Comme la fragilité de Jésus, comme celle de tous ceux qui le suivaient sur les terres souvent arides et poussiéreuses de Palestine. La semaine passée, j'avais fait part des reproches de certains. Ils regrettaient que Zeteo ne suivait pas ou plus, selon eux, certaines règles de l'Église catholique. Je tiens ici à rassurer certains auditeurs qui se sont inquiétés. De tels reproches, il n'y en a pas eu beaucoup. Depuis le début de l'été, pas même eu de quoi former tous les doigts d'une seule main. Il est normal que Zeteo ne fasse pas l'unanimité. N'y a t-il pas plusieurs demeures dans la maison du Père ? Il est impossible que la bienveillance divine infinie ne vive seulement que dans une ou deux de ses maisons, et qu'elle abandonne toutes les autres. Zeteo n'est pas une de ces grandes maisons du Seigneur. Juste un petit couloir peut-être, ce qui serait déjà tellement bien. Ou encore, mieux qu'un couloir, un petit chemin parmi tous ceux qui, en traversant le coeur d'une immense et merveilleuse forêt, mèneraient vers une montagne où brille toujours le soleil. Sinon, que penser des messages d'auditeurs, reçus cette semaine, comme de tous ceux qui les ont précédés ? Ceux qui témoignent des bienfaits qu'ils ont reçu des invités entendus sur Zeteo, se trompent-ils ? Mentent-ils ? Ou, simplement, sont-ils dans l'illusion ? Ces témoignages valent-ils moins que ceux qui confessent un attachement plus direct à une Église, qu'elle soit catholique, protestante ou orthodoxe, voire à une religion non chrétienne ? Y aurait-it des témoins plus valables que d'autres ? D'un côté les preux, de l'autre les gueux ? Il n'y a pas d'un côté les bons et de l'autre les méchants. Ni les preux à droite et les gueux à gauche. Le bien et le mal, la division, la dualité, la vie et la mort sont en chacun de nous. C'est en chacun de nous que se livre le combat. Et nous ne sommes pas seuls pour le gagner. Il y a celui qui l'a déjà gagné pour nous, pour toujours. Celui qui nous attend tout le temps. Celui qui inspire, guide et accompagne d'innombrables hommes et femmes de bien sur cette terre et qui, à leur tour, libèrent, éveillent, guérissent les uns et les autres. Comme le dit si bien Fadila Semaï au micro de Zeteo, Jésus n'appartient pas aux catholiques. Le Christ appartient à toute l'humanité. N'oublions jamais l'attachement de Jésus, tranchant résolument sur les pratiques religieuses de son temps. Il allait parler à tous et à toutes. Il est celui qui « attire à lui tous les hommes » (Jn 12, 32). L'évangélisation, elle est pour tout le monde. Elle n'est pas conditionnée par des principes, des vérités et parfois des dogmes qui comptent pour certaines populations, selon la géographie, la culture ou la société. La moisson recouvre toute la Terre, et la tâche est immense. D'où peut-être, modestement, cette mission de Zeteo d'essayer d'aller toujours au plus grand nombre. Et de tenter de révéler ce qui nous rapproche tous, pas ce qui nous divise. Comme le révèle justement Philippe Dautais lors d'une de ses participations à Zeteo, il est frappant de voir à quel point toutes les spiritualités se rapprochent, depuis celles des peuples premiers. Il les comparait aux religions. Celles-ci sont des organisations humaines, et même si elles peuvent être inspirées et guidées divinement, elles peuvent tomber dans les pièges des divisions. Philippe Dautais est un religieux lui-même, il est une très belle figure de l'Église orthodoxe. Mais je crois qu'il est avant tout, comme de nombreux mystiques, un spirituel. Il est à l'écoute de l'Esprit qui souffle et qui anime, d'abord dans nos esprits et dans nos coeurs. L'Esprit divin souffle où il veut. Zeteo n'est pas au centre du monde. Ce podcast n'a pas la prétention de détenir une vérité immuable et infaillible. Mais il n'est pas vrai que l'Esprit ne souffle que d'un côté. La meilleure illustration, qui est en même temps notre meilleur soutien, ce sont ces témoignages d'auditeurs que je citais plus haut. N'est-il pas frappant, en lisant les Évangiles, de voir l'attitude du Christ dans presque tous ses échanges directs avec ceux qu'il rencontre ? Jésus est doux et aimant. Parfois, il ne parle pas. Ou il pose une, ou deux questions. En l'interrogeant, il invite toujours son interlocuteur vers son intériorité. Il l'invite à chercher, avec cette confiante certitude que c'est à l'intérieur de soi que l'on trouve le bon, le beau, le vrai et l'amour. C'est tout le sens du va-vers-soi de notre si chère Annick de Souzenelle. Alors que nos institutions et nos sociétés semblent au bord de craquer, que notre modèle civilisationnel est à bout de souffle, il est temps de réinviter l'homme à son intériorité et à sa liberté. Cela n'est pas en s'arc-boutant sur des principes dépassés, en se repliant et en se protégeant des autres que l'on sauvera le monde. C'est en faisant confiance en ce qui est le meilleur en chacun d'entre nous. Infiniment, je remercie ceux qui ont écrit un message d'encouragement cette semaine. Je remercie les auditeurs pour leur écoute et leur fidélité. Je remercie les donateurs, ceux qui ont fait un geste cette semaine, comme ceux qui le feront à leur tour un autre jour, ou dès aujourd'hui ? Beau dimanche, belle semaine à venir, belle rentrée à tous, et à bientôt pour la suite de nos aventures, si telle est la volonté divine, Fraternellement, Guillaume Devoud Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAsso Nous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 116 boulevard Suchet, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). 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durée : 01:48:23 - Comme un samedi - par : Arnaud Laporte - Depuis bientôt un quart de siècle, c'est comme musicienne que l'on connaît Rebeka Warrior (Sexy Sushi, Mansfield.TYA, Kompromat). C'est aujourd'hui comme écrivaine qu'on la découvre, alors que paraît son premier roman "Toutes les vies". Un livre sur la maladie, le deuil et la spiritualité qui sauve. - réalisation : Alexandre Fougeron - invités : Rebeka Warrior Chanteuse, musicienne, DJ; Vimala Pons Comédienne; Théo Mercier plasticien et metteur en scène; Brigitte Giraud Autrice, prix Goncourt 2022 pour "Vivre vite"; Jenys Artiste et productrice de musique
Avec Johan Theron, expert en IA
La Turquie est un pays à majorité musulmane, mais compte de nombreuses églises et de nombreux endroits très symboliques pour le christianisme. À Istanbul, tous les premiers jours du mois, une église réputée pour ses miracles, accueille les locaux et les touristes de toutes les religions, qui font la queue pour pouvoir faire un vœu. Elle attire beaucoup de monde, peu importe les obéissances. De notre correspondante à Istanbul, Une file d'attente s'étire dans la rue à l'extérieur de l'église grecque orthodoxe. Tous les premiers du mois, Notre-Dame-de-Vefa ne désemplit pas : de nombreuses personnes viennent faire un vœu, symbolisé par une clef. Aigül est kazakhe, de passage à Istanbul. À ses côtés, sa mère tient deux clefs dans ses mains : l'année dernière, elle avait fait deux vœux qui se sont réalisés, alors elle est venue ramener ces clefs comme l'indique la tradition. De son côté, Aigül est venue faire un souhait à son tour : « Je me suis renseignée sur cet endroit et beaucoup de gens pensent que leurs rêves se sont vraiment réalisés. Alors, moi aussi, je veux voir si c'est vrai. C'est intéressant et ma mère m'a dit que ses rêves se sont réalisés, c'est pourquoi elle a donné des bonbons. » Comme elle, certaines personnes remontent la file en offrant des sucreries, car leur vœu s'est réalisé. Ici les croyances se mélangent, en témoignent quelques chaussures laissées à l'entrée de l'église, comme à l'entrée d'une mosquée. Mine est turque et c'est une habituée : « Je suis musulmane. Mais je fréquente cette église depuis de nombreuses années. J'essaie surtout de ne pas manquer les premiers jours du mois. Cela m'apporte la paix. J'ai l'impression d'être guérie. Je prie. Je prie dans ma propre langue, selon ma propre religion. Je dis qu'Allah est unique. Je prends de l'eau des sources d'Ayazma. Je m'en sers pour me laver le visage le matin. » L'église, dédiée à la Vierge Marie, est construite sur une source d'eau considérée comme sacrée et réputée pour ses miracles. Notre-Dame-de-Vefa dépend du patriarcat œcuménique de Constantinople. Pour le père Hieronymos Sotirelis, en plus d'être un endroit religieux symbolique, c'est aussi un exemple du vivre-ensemble : « Cela permet à l'humanité de se rassembler, d'une manière magnifique qui fait abstraction de toute politique, idéologie personnelle et tout ce qui s'y rapporte. Nous sommes tous simplement des enfants de Dieu, debout ensemble, attendant sa grâce dans une petite cour d'église. La personne derrière moi est orthodoxe, celle devant moi est musulmane, celle après elle est arménienne… c'est un magnifique reflet de ce que l'humanité peut être. » Pour le père, l'église Vefa est à l'image d'Istanbul, un mélange historique de communautés et de religions. Mais les chrétiens représentent aujourd'hui moins de 1 % de la population turque, témoins du douloureux passé de la communauté. À lire aussiL'Église orthodoxe dans les relations internationales
Comme chaque samedi, voici le Ce à Quoi il Fallait Répondre dans lequel Antoine Pimmel, Shaï Mamou et Théophile Haumesser se proposent de répondre à toutes vos questions. On discute de nos gauchers préférés, des différences entre la NBA et la FIBA, des teams qui nous ont le plus fait vibrer et du "vrai" niveau de Tony Parker.Commandez l'Anthologie REVERSE Vol.1 https://www.basketsession.com/produit/reverse-anthologie-20-ans-de-basketball/Commandez le Mook REVERSE #16 spécial MIAMI https://www.basketsession.com/produit/mook-reverse-16-miami/Commandez le livre GOATs - Le meilleur (et le pire) de la NBA en 130 Tops https://www.basketsession.com/produit/goats-le-meilleur-et-le-pire-de-la-nba-en-130-tops/Commandez le livre Une saison en enfer https://www.basketsession.com/produit/une-saison-en-enfer/Nos émissions sur YouTube https://www.youtube.com/@BasketSessionREVERSELe Mook REVERSE ► http://bit.ly/MOOK_REVERSEInstagram ► https://www.instagram.com/reversemagazineBlueSky ►https://bsky.app/profile/reversemagazine.bsky.social Facebook ► https://www.facebook.com/BasketSession Twitch ► https://www.twitch.tv/reverse_basketsession
durée : 00:04:27 - Comme personne - Montbéliard, Boulogne-sur-Mer ou Saint-Urbain, Dorian Gamon sillonne le pays d'une boulangerie à l'autre. Avec ses platines, "DJ Baguette" tente de sensibiliser la population et encourage à consommer local.
En Corée du Sud, une cheffe nord-coréenne fait découvrir un aspect méconnu de son pays d'origine : sa gastronomie. Le régime nord-coréen est plutôt connu pour son manque de denrées alimentaires, mais il existe tout de même une véritable culture de la table. Une cuisine que la cheffe de 61 ans souhaite mettre au service de la réunification des deux pays. De notre correspondant à Séoul, En plein centre de Séoul, sur les pentes d'une colline, un restaurant pas comme les autres. Impossible de trouver ici les plats typiques de la cuisine sud-coréenne, riche et épicée. C'est une cuisine plus simple, plus subtile, qui vient tout droit de Corée du Nord. Une cuisine de survie comme l'explique la cheffe, Lee Ae-ran, réfugiée nord-coréenne qui partage aujourd'hui son savoir-faire de la cuisine nord-coréenne. Nous la retrouvons aux fourneaux de son restaurant, elle prépare un onban, un plat typiquement nord-coréen, méconnu au Sud : « Alors, la recette ? Ce sont des ingrédients simples, car on en manque au Nord. On sert du riz, des lamelles de poulet, du bouillon de poulet, des champignons, des pousses de soja et une galette d'haricot mungo sur le dessus. On verse le bouillon chaud par-dessus. C'est nourrissant, digeste, bon pour la santé, et apprécié notamment en période de régime. Beaucoup de réfugiés nord-coréens qui ont connu ce plat dans leur jeunesse en sont nostalgiques. » Comme ses compatriotes, Lee Ae-ran cultive ses souvenirs dans sa cuisine. Chacune de ces recettes est liée à une rencontre, un lieu, une mésaventure qu'elle a vécue dans le régime. « Je suis originaire de Pyongyang, la capitale, mais ma famille en a été expulsée par le régime car mes grands-parents étaient propriétaires terriens. On a été envoyés dans un camp de "rééducation révolutionnaire" avant de s'enfuir, plus tard. J'ai récemment écrit un livre dans lequel je partage mes souvenirs de ces moments difficiles au travers de ce qu'on trouvait à manger. » Le plat terminé, on peut se mettre à table. L'onban, manquant d'épices, difficile à trouver au Nord, est particulièrement apprécié des étrangers, notamment des Français, selon la cheffe. Pour Lee Ae-ran, la cuisine a un véritable pouvoir de rapprochement des peuples. Elle souhaite mettre son savoir-faire au service de la réunification des deux Corées, séparées depuis 80 ans. « Je pense que la réunification commence autour de la table. Partager un repas, c'est déjà établir un lien. En Corée du Sud, il est difficile pour les Nord-Coréens de vraiment s'intégrer, car nous n'avons pas la même culture. En revanche, tout le monde mange, chaque jour. À travers la cuisine, on peut communiquer de manière plus accessible, plus humaine. » Depuis son arrivée en Corée du Sud en 1997, Lee Ae-ran n'a cessé de plaider pour la réunification des deux Corées et l'intégration des réfugiés nord-coréens en mettant toujours sa cuisine au cœur de son engagement. À lire aussiSéoul: Lee Ae-ran, réfugiée nord-coréenne et fière de sa cuisine
Comme chaque vendredi, un médecin spécialisé répond aux questions des auditrices de Priorité santé. Cette semaine, nous parlons des soins de bébé. Comment prendre soin de la peau du bébé ? À quelle fréquence le laver ? Qu'est-ce que l'acné du nourrisson ? Comment et quand lui couper les ongles ? Comment lui déboucher le nez ? Pr Papa Moctar Faye, professeur titulaire de pédiatrie à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Chef du service de néonatologie et réanimation pédiatrique polyvalente à l'Hôpital d'enfants Albert Royer de Dakar, au Sénégal. La palabre au féminin de Charlie Dupiot Programmation musicale : ► Céline Dion – Goodbye's ► Mariana Froes – Gabriela (Rediffusion)
durée : 00:28:47 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En 1992, dans l'émission "Un livre des voix" sur France Culture, Robert Merle raconte la genèse de sa fresque historique "Fortune de France" avec des lectures de l'œuvre par François Chaumette. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Robert Merle
Comme chaque vendredi, un médecin spécialisé répond aux questions des auditrices de Priorité santé. Cette semaine, nous parlons des soins de bébé. Comment prendre soin de la peau du bébé ? À quelle fréquence le laver ? Qu'est-ce que l'acné du nourrisson ? Comment et quand lui couper les ongles ? Comment lui déboucher le nez ? Pr Papa Moctar Faye, professeur titulaire de pédiatrie à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Chef du service de néonatologie et réanimation pédiatrique polyvalente à l'Hôpital d'enfants Albert Royer de Dakar, au Sénégal. La palabre au féminin de Charlie Dupiot Programmation musicale : ► Céline Dion – Goodbye's ► Mariana Froes – Gabriela (Rediffusion)
durée : 00:02:06 - Le vrai ou faux - Le ministère de la Santé a envoyé une lettre aux ARS pour leur demander de préparer l'installation, en cas de besoin, de plateformes pour accueillir des milliers de soldats blessés au front. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
REDIFFDans ce nouvel épisode de Bye Bye procrastination, je te partage 10 règles d'or, faciles à appliquer, pour mieux t'organiser et booster ta productivité.Comme un concentré d'organisation, une grande tasse de conseils pour avancer, pour réaliser tes objectifs et te sentir plus épanoui.e et serein.e au quotidien !Bonne écoute !_Je t'aide à créer plus de sérénité et de temps dans ton business :5 mois pour organiser et structurer ton business, raccourcir tes journées et ne plus te sentir débordé.e ⚡️Clique ici pour en savoir plus sur le coaching
durée : 00:04:27 - Comme personne - Montbéliard, Boulogne-sur-Mer ou Saint-Urbain, Dorian Gamon sillonne le pays d'une boulangerie à l'autre. Avec ses platines, "DJ Baguette" tente de sensibiliser la population et encourage à consommer local.
C'est l'heure de notre rendez-vous quotidien avec Mamane. Et vous nous parlez ce matin de l'IA… L'« Inversion Accusatoire »...
« Dans mon Chinatown », c'est le nom de notre série d'été sur RFI. On vous emmène explorer les quartiers chinois des grandes villes du monde. Aujourd'hui, direction Port-Louis à l'île Maurice, où les Chinois ne représentent que 3 % de la population, mais leur présence rayonne bien au-delà des chiffres. La communauté chinoise est à la fois discrète, bien intégrée, métissée et économiquement influente. Le Nouvel An chinois est d'ailleurs un jour férié dans l'île. Au cœur du Chinatown mauricien, traditions, gastronomie et mémoire des anciens se mêlent aux visages de toutes les communautés. De notre correspondant à Port-Louis, Dans les ruelles de Chinatown à Port-Louis, le mandarin résonne encore. Aujourd'hui, notre présence attire la curiosité. Aaron Kwang Poon nous accompagne. Né ici, il connaît l'histoire des commerçants chinois à Maurice. « Au pic de leur activité, il y avait environ 300 boutiques chinoises à travers Maurice. Pratiquement dans chaque village, il y avait au moins une boutique chinoise. » Ces petits commerces ont nourri l'île pendant des décennies avant et après l'indépendance. Ils ont approvisionné la population en denrées de base, tissant leurs racines dans chaque communauté locale. Pour sa part, Chinatown à Port-Louis reste un haut lieu du commerce. Dans les rues, on croise davantage une population locale diverse que des Mauriciens d'origine chinoise. Mais les grands symboles sont là : l'arc monumental de la rue Royale, ombrelles, et lanternes qui ponctuent façades et allées, ainsi que les enseignes en caractère chinois. C'est ici qu'Amélie, 88 ans, venue de la ville la plus éloignée de Port-Louis, fait ses courses : « J'habite à Curepipe. Je viens acheter des choses, ce qui me manque. » « Tous les Mauriciens adorent ça » Elle s'arrête devant une épicerie Yue Hwa, rue Dr Sun Yat Sen. Dans ce petit espace, un concentré de Chine : « Des ailerons de requin, des nids d'hirondelles, et des œufs de 100 ans », détaille le commerçant. Produits rares, nouilles, graines, fruits séchés, ustensiles, tout l'univers culinaire chinois dans quelques mètres carrés. La gastronomie chinoise est le fast-food préféré dans l'île : « Les nouilles frites, les "mines frites", le riz frit et les boulettes sont devenus des plats mauriciens. » Siddick Yerally, 82 ans, se joint à la conversation. Dans le quartier, tout le monde l'appelle Nala : « Tous les Mauriciens adorent ça ! Même rue Desforges, il y a un restaurant chinois musulman, halal, et c'est rempli tous les soirs. » Nala est musulman, marié à une Chinoise. Certains l'appellent Ah Young. Il siège à la Chinatown Foundation et il veut nous montrer les trésors du quartier : « Là, je vais vous emmener à la pagode, elle appartient au clan des Chan. » Une communauté influente Les descendants chinois de Maurice ont maintenu les liens claniques. Il existe une bonne dizaine de clans chinois à Maurice. À 200 mètres, nous découvrons une autre pagode, celle du clan Fock qui trône au 9e étage d'un immeuble résidentiel. Dans la pagode, des stèles en bois portent les noms des ancêtres, sous le regard de Kwan Tee, le guerrier légendaire. Au rez-de-chaussée, rencontre avec Bernard Li Kwong Ken qui nous explique ce que son nom dit de ses racines et de son identité : « En Chine, je m'appellerais Li Sui Chong. Nous gardons à travers les générations le nom du clan Li. Mon grand frère, c'est Li Kwet Chong, moi Li Sui Chong, mon petit frère Li Moy Chong. » Li (ou Lee), c'est le lien commun. Bernard est un descendant du clan Li, le deuxième nom le plus répandu de Chine. Comme beaucoup de Sino-Mauriciens, il porte aussi un prénom catholique. La plupart fréquentent l'église, héritage de l'intégration mauricienne. Cependant, cette population décline : de 40 000 âmes dans les années 1980 à environ 12 000 aujourd'hui. Les jeunes émigrent vers l'Australie, le Canada. Malgré cela, les Sino-Mauriciens demeurent une influente communauté économique dans l'île. À lire aussiDans mon Chinatown: visite guidée de Lognes, première ville asiatique de France
C'est l'heure de notre rendez-vous quotidien avec Mamane. Et vous nous parlez ce matin de l'IA… L'« Inversion Accusatoire »...
Tu t'es déjà sentie spectatrice de ta propre vie ?Comme si tu regardais ta vie défiler derrière une vitre.Dans cet épisode (Jour 23), tu vas découvrir :✨ Pourquoi on glisse parfois dans ce mode “automatique”✨ Comment reprendre ta place petit à petit✨ Et comment une petite décision peut tout changer Et si reprendre ta place passait aussi par apprendre quelque chose pour toi ?Les cours Miftah sont là pour ça, tu apprendras à lire, écrire et t'exprimer en arabe dans une ambiance bienveillante, structurée et adaptée à ton rythme.
Aujourd'hui, nous allons parler des forêts tropicales. Comme leur nom l'indique, elles sont situées de part et d'autre de l'Équateur, entre le Tropique du Cancer et le Tropique du Capricorne. Réparties entre l'Amazonie, le bassin du Congo et l'Asie du Sud-Est, elles représentent près de la moitié des forêts mondiales. (Rediffusion du 10 octobre 2024) Sèches ou humides en fonction du climat et du sol, elles ont comme point commun de ne connaître que rarement des températures inférieures à 20 degrés et de recevoir du fait de leur situation géographique une forte intensité lumineuse. Voilà pourquoi elles abritent une incroyable biodiversité : près de la moitié des espèces végétales et animales connues y vivent. 700 millions d'humains aussi y habitent et en dépendent. Alors est-ce possible de conserver et d'exploiter les forêts tropicales en même temps ? Avec : Plinio Sist, écologue des forêts tropicales, il dirige l'Unité de recherche Forêts & Sociétés qui regroupe 42 chercheurs du Cirad, le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement. Il vient de publier Exploiter durablement les forêts tropicales, aux éditions Quae Lucas Mazzei, ingénieur forestier et chercheur à l'Embrapa, la Société brésilienne de recherche agricole Bernard Mallet, chercheur émérite Cirad sur les forêts tropicales, au cours de sa carrière il a travaillé dans plusieurs pays africains du bassin du Congo
Parfois l'IA n'est pas du tout l'IA qu'on croit... Rediffusion du 12 février 2025.
Depuis plusieurs années maintenant, nous vous proposons deux fois par mois d'écouter une conversation avec un homme ou une femme de cheval.De chacune de ces rencontres, nous avons su retirer un enseignement, un nouveau leitmotiv ou tout simplement un nouveau regard sur notre sport. ☀️
Tony est un auditeur qui s'inquiète de la rupture de communication avec sa fille après avoir reçu un message conflictuel de sa part. Malgré ses efforts pour renouer le contact, sa fille reste distante, ce qui le préoccupe d'autant plus qu'il la sait dans une situation précaire. Tony envisage de laisser un message dans le foyer de jeunes travailleurs où elle réside pour tenter de rétablir le lien. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Parfois l'IA n'est pas du tout l'IA qu'on croit... Rediffusion du 12 février 2025.
Écrire, ce n'est pas tout faire d'un coup : c'est avancer par strates. Comme un peintre qui superpose les couches de couleur, tu ajoutes peu à peu texture, rythme et nuances à ton roman. Dans cet épisode, je te montre comment chaque strate a sa mission… et comment ton texte gagne en puissance à chaque passage.⭐ PROCHAIN ÉVÉNEMENT ⭐Le Bootcamp : 5 jours pour trouver son idée de romanhttps://licares.fr/bootcamp~~ Ton bonus ~~Télécharge notre fiche de personnage ultime :F i c h e P e r s o : https://licares.fr/fichepersoTu seras alors inscrit à notre newsletter et tu recevras nos meilleurs conseils une fois par semaine !~~~~ Retrouve-nous ~~~~W e b : https://licares.fr/I n s ta g r a m : https://instagram.com/licaresfrY o u T u b e : https://youtube.com/c/licares
La tension monte entre Washington et Caracas. La semaine dernière, les États-Unis ont envoyé dans les Caraïbes trois destroyers lance-missiles et 4 000 marines et, en réponse, Nicolas Maduro a annoncé, mardi, poster plus de 15 000 hommes, mais aussi des navires et des drones au large des côtes vénézuéliennes et colombiennes. Le ministre vénézuélien de la Défense, Vladimir Padrino López, a précisé les contours de cette opération en tenue militaire. Dans une vidéo sur Instagram, devant une carte géante du Venezuela, il pointe les zones où seront déployés des moyens conséquents. « Il y aura un déploiement important de couloirs aériens, d'hélicoptères, de moyens d'écoute, de surveillance, de renseignement, d'exploration. (...) Nous allons également déployer un nombre important de drones pour différentes missions, des points d'attention citoyenne, des points d'exploration et de surveillance, des points ou des parcours fluviaux avec l'infanterie marine, sur tous les fleuves, en particulier le Catatumbo qui se jette dans le golfe du Venezuela. Nous sommes convaincus que cela donnera d'excellents résultats », a-t-il déclaré. Dans un éditorial, Tal Cual, un des rares médias de l'opposition, critique la « rhétorique anti-impérialiste ronflante et trompeuse » du régime et parle de « farce patriotique » de Maduro, « en réponse à l'opérette militaire caribéenne du duo Trump-Rubio ». Selon le media en ligne, l'autodétermination vantée par Maduro est « un alibi politique pour perpétuer des projets autocratiques »... Et pendant ce temps, les « Vénézuéliens restent prisonniers d'un labyrinthe sans issue, sans boussole et sans horizon pour surmonter la crise ». Interview de Thomas Posado, maître de conférences en civilisation latino-américaine à l'université de Rouen Normandie. Il a publié Venezuela : de la Révolution à l'effondrement (Presses universitaires du Midi). À lire aussiÉtats-Unis : Donald Trump envoie trois navires de guerre près des côtes du Venezuela En Haïti, les églises sont désertées à cause de la violence des gangs Comme le raconte Alterpress, en Haïti, « le simple fait de prier dans une église relève du privilège ». L'agence en ligne a interviewé le Père Brillère Aupont, auteur d'un rapport sur le recul de la présence catholique. Il y déplore que de nombreuses paroisses soient totalement ou partiellement abandonnées. Le média liste celles de Port-au-Prince, quartier par quartier, et explique que certaines ont dû réduire ou interrompre leurs activités quand d'autres sont passées sous contrôle des gangs. L'homme d'Église résume : « Le désordre est devenu incontrôlable. Quarante ans d'instabilité sont à la base de ce chaos. Les enfants d'aujourd'hui sont les enfants du chaos. » Aux États-Unis, 20 ans après l'ouragan Katrina 180 fonctionnaires de l'Agence fédérale de gestion des situations d'urgence, la FEMA, dénoncent dans une lettre les dysfonctionnements de cet organisme gouvernemental chargé des grandes catastrophes naturelles. Ce qui a valu à une partie d'entre eux d'être sanctionnés. Oui, ce mardi, 12 des 180 signataires ont été mis à pied, au lendemain de l'envoi de cette lettre aux membres du Congrès et à d'autres responsables. Ils y dénoncent l'inexpérience des dirigeants actuels qui « nuit à la mission de la FEMA et pourrait entraîner une catastrophe du niveau de l'ouragan Katrina », relate le Washington Post, pour qui cette « résistance ouverte (...) est le dernier exemple en date de fonctionnaires fédéraux dénonçant les actions et les politiques de l'administration Trump, mettant souvent leur emploi en péril ». La plupart des signataires sont restés anonymes, mais ceux qui ont été temporairement évincés ont signé avec leurs vrais noms... Sur la chaîne CNN, Virginia témoigne. Elle dit être « déçue, mais pas surprise », et « fière de ceux qui ont réagi ». Pour elle, « le public mérite de savoir ce qui se passe, car des vies et des communautés en pâtiront si cela continue ». Début juillet, lors des inondations monstrueuses qui ont ravagé le centre du Texas et fait 135 morts, la FEMA avait tardé à intervenir à cause d'une baisse des budgets et des moyens qui lui sont alloués. Du glamour et des paillettes Les réseaux sociaux ne parlent que de ça depuis ce mardi soir : les fiançailles de Taylor Swift et Travis Kelce, et la presse généraliste n'y est pas non plus indifférente… Même le très sérieux Washington Post analyse les moindres détails des fiançailles des deux célébrités. Deux journalistes du quotidien commentent les cinq photos du couple publiées sur Instagram, la bague en diamant, la robe de Taylor Swift et le décor composé de fleurs roses… Selon elles, « peu de fiançailles de célébrités dans l'histoire moderne, hormis celles des membres de la famille royale (...) peuvent interrompre l'actualité comme celle-ci ». USA Today va jusqu'à y consacrer une édition spéciale de huit pages. Elle retrace l'histoire d'amour entre la chanteuse et le joueur de football américain et relaie les félicitations qui ont plu du monde entier de la part de leurs proches, des fans… et de Donald Trump ! Le président américain leur a souhaité « bonne chance », lui qui dénigrait violemment la chanteuse il y a encore quelques mois. Journal la 1re En Guadeloupe, une association appelle à observer ce jeudi une minute de silence pour dire « non » aux violences faites aux femmes. En Martinique, 18 parcelles expérimentales de café arabica sont pilotées par le Parc naturel régional, à Saint-Pierre.
Nous nous rendons aujourd'hui dans les campagnes de Centrafrique, où les villages restent caractérisés par l'architecture des cases, habitations traditionnelles faites à base de matériaux naturels collectés dans la forêt. C'est le cas par exemple au village de Bobangui, dans le sud-ouest du pays. Dans cette localité, les cases symbolisent l'héritage culturel et participent à la création d'un paysage architectural unique. Mais aujourd'hui, ces bâtisses font face au défi de la modernité. Si certains continuent de préserver les modes de construction traditionnels, d'autres cherchent à améliorer les anciennes méthodes. Le village de Bobangui, en Centrafrique, semble perdu au cœur d'une forêt dense de la Lobaye. Vu d'en haut, il est dessiné sur un terrain plat d'une forme rectangulaire. Une fois passée la barrière en bois qui se trouve à l'entrée, des centaines de cases traditionnelles sont visibles. Ici, c'est la concession de Grégoire, un cultivateur. Âgé d'une quarantaine d'années, il est en train de construire sa propre case : « Ce style de construction, nous l'avions hérité de nos ancêtres. Comme vous le voyez, nous sommes en train d'implanter des poteaux en bois solides dans le sol, avant de développer le mur en terre battue. Cela nous permet de stabiliser et de protéger la case contre la pluie torrentielle et les vents violents. » Pour l'avancement des travaux, les enfants sont chargés d'apporter la paille, le raphia et le bambou utilisés pour le tressage de la toiture. Les femmes, elles, puisent de l'eau pour la confection des briques en terre pétrie : « C'est un travail à la chaîne très complémentaire. Nous, les hommes, nous nous occupons de l'élévation des murs et des travaux de finition tels que le crépissage, le damage du sol, l'embellissement des murs et le tressage de la toiture. Nous utilisons des matériaux 100% naturels issus de la forêt. Ici, on transforme la nature brute sans aucun objet moderne. » À lire aussiTata Somba: un habitat traditionnel à préserver « Ce type de maison est adapté pour accueillir tout le monde » Ces cases sont généralement divisées en deux chambres et un salon. Selon Nicodème, un habitant de Bobangui, elles sont conçues de manière à valoriser la solidarité, la proximité et l'amour du prochain : « Notre société est constituée de familles nombreuses. Les membres de familles issus de différentes générations vivent ensemble soit dans la même maison, soit dans la même concession. C'est pourquoi ce type de maison est adapté pour accueillir tout le monde. Une maison de ce type peut avoir une durée de vie de vingt ans avant que nous ne songions à en construire une autre. » Mais aujourd'hui, à Bobangui, certains habitants s'inspirent des normes de construction occidentales pour améliorer la fabrication des cases. Wilfried en fait partie : « J'ai utilisé des tôles, des briques et des ciments pour construire cette maison. Dans ce contexte actuel dominé par le changement climatique et les inondations, il nous faut des maisons solides construites par des maçons compétents. Comme source d'énergie, j'ai installé des panneaux solaires qui me permettent d'avoir un poste téléviseur et de quoi recharger mes appareils. C'est une maison de quatre chambres. » Mais une chose est sûre : à Bobangui comme dans les autres villages du pays, avoir une maison est synonyme de responsabilité et de liberté. À lire aussiTchad: l'architecture traditionnelle disparaît-elle?
Nous allons parler d'agriculture aujourd'hui car savez-vous qui nourrit le monde aujourd'hui ? Ce sont essentiellement des exploitations familiales. Elles produisent 70% de l'alimentation mondiale essentiellement pour les marchés locaux et régionaux avec des méthodes de culture traditionnelle. Et pour améliorer leurs rendements, une méthode se développe à travers le monde. (Rediffusion du 20 septembre 2025) Son nom ? L'agroécologie. C'est une façon de concevoir des systèmes de production qui s'appuient sur les capacités de leur milieu naturel. C'est un ensemble de pratiques hyper efficaces pour concilier production agricole et respect de l'environnement. Nous vous le démontrerons d'ailleurs dans un instant avec un reportage à Cuba où l'agroécologie s'est fortement développée suite à la crise des années 90. Mais alors pourquoi cette méthode pourtant soutenue par des instances internationales ne se développe pas plus vite ? Avec Sébastien Carcelle, sociologue des mouvements sociaux ruraux du Brésil et de l'Amérique latine au Cirad. Il vient de publier une bande dessinée avec Laurent Houssin Sertao, en quête d'agroécologie au Brésil, aux éditions Futuropolis. Et un reportage de Nicolas Celnik sur l'agroécologie à Cuba.
Berlin vit la plus importante transformation de son histoire. Comme d'autres grandes villes dans le monde, la capitale allemande et ses quatre millions d'habitants doivent faire vite pour s'adapter aux effets du changement climatique. La municipalité a donc adopté un nouveau concept : celui de la « ville-éponge ». Il s'agit de permettre à la terre d'absorber l'eau. Ou bien de la collecter pour la rendre ensuite disponible en période de sécheresse. (Rediffusion) Depuis 2018, pour chaque nouvelle construction, plus aucune goutte de pluie ne doit partir dans les canalisations. Cela pose des défis considérables et oblige à trouver des solutions innovantes. « Berlin, ville éponge : sur la voie de l'adaptation au changement climatique », un Grand reportage de Stefanie Schüler.
[REDIFFUSION] Il y a les familles nombreuses et puis il y a les familles... très nombreuses. Comme celle de Caroline, 45 ans et 13 enfants. Ni religieuse, ni mégalo, cette Fribourgeoise est tombée amoureuse de la maternité – comme une révélation. Au micro, Caroline raconte le gymkhana quotidien, les kilos de patates, les vacances en caravane et la force de la tribu. Bienvenue dans le septième saison de «Brise Glace»! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:01:44 - Le vrai ou faux - Le Premier ministre François Bayrou a appelé les députés à un vote de confiance et alerté sur le poids de la dette dans le budget de la France, lors d'une prise de parole lundi 25 août. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tony Parker futur coach ? À 43 ans, la légende du basket français se lance dans l'obtention du Diplôme d'État, lui qui s'inspire de ses vieux amis Thierry Henry et... Zinédine Zidane ! Notre TP national peut-il écrire l'histoire sur un banc de touche ?
C'est pour répondre à la question "Pourquoi tant de gens comprennent le français, mais ont toujours des difficultés à le parler ?" qu'Anne Morel a créé le site "Facile comme bonjour" et a développé une approche différente, centrée sur l'oral, la confiance, et le vécu.
En Thaïlande, près d'un mois après l'entrée en vigueur du cessez-le-feu avec le Cambodge, les affrontements se sont calmés dans les zones frontalières. Fin juillet, après deux mois de tension, un très ancien différent frontalier avait été ravivé durant cinq jours, faisant au moins 36 morts et 300 000 déplacés. Malgré la fin des combats armés, les habitants des provinces frontalières de Sisaket et Ubon Ratchathani, à quelques dizaines de kilomètres du Cambodge, sont encore loin d'être rassurés. De notre correspondante de retour de Sisaket et Ubon Ratchathani, Des étagères calcinées, des gels douches à moitié fondus, des bris de verres qui tapissent le sol… Il ne reste presque rien du 7-Eleven de la station service de Ban Phue, frappé le 24 juillet 2025 par des roquettes attribuées au Cambodge. Bilan : huit morts, dont plusieurs enfants, et 19 blessés. Jeab, femme de ménage dans la station, n'entend plus de l'oreille gauche : « L'explosion a été si forte que mon corps est resté engourdi, je n'entendais plus rien. Et maintenant, même quand j'entends le tonnerre, je pars me cacher. » Des passants viennent déposer des fleurs et des amulettes bouddhistes en hommage aux victimes, et les boutiques restent fermées. Jeab, elle, vient de reprendre son travail ici : « J'ai peur que ça recommence. Mais je dois travailler. Sinon, je ne vois pas de quoi je vais vivre. » Sa patronne, Auan, doute du cessez-le-feu. Elle parle des trois soldats thaïlandais blessés au début du mois d'août, d'après l'armée, par des mines cambodgiennes. Elle est inquiète pour l'avenir du magasin : « L'assurance ? On ne sait même pas si elle nous aidera. Ils disent que ça ne rentre peut-être pas dans les cas couverts. Les pertes dépassent déjà quinze millions de bahts [461 000 euros]. Deux millions [61 000 euros] de marchandises sont parties en fumée et près d'un million [30 000 euros] en liquide. » À lire aussiCambodge-Thaïlande : « Il y a une méfiance très grande entre les deux pays » « La peur est toujours là » Dans la province voisine, à quelques kilomètres de la frontière cambodgienne, le marché de Nam Yuen a rouvert, mais trop peu de clients sont là, d'après cette vendeuse de légumes : « Chez les clients, la peur est toujours là… Certains avaient évacués, sont revenus puis repartent car la situation n'est pas stable. » À côté de son étal, des militaires en treillis font leurs courses. La vendeuse n'en avait jamais vu autant patrouiller dans la zone : « La dernière fois, en 2011, le conflit ne s'était pas rapproché autant. Mais cette fois, c'est tout près. » Plus loin, dans le hameau de Bang Na, des adolescents volontaires réparent les toitures et les façades. Quatre maisons ont été détruites et une vingtaine d'autres touchées par des éclats d'artillerie. Paeng et sa famille sont relogés dans des préfabriqués du gouvernement. « Le gouvernement dit qu'il reconstruira en moins de deux mois. C'est déjà bien qu'ils nous aident, ça redonne un peu de courage », salue Paeng. En regardant son terrain, désormais vide, il retient ses larmes : « Je suis triste… J'ai du mal à trouver les mots… Tout est allé si vite… Ici, c'est correct, mais ce n'est pas notre maison. On vit à plusieurs dans une même pièce : mon père malade, couché au lit, et une mère âgée à m'occuper. On vit dans du provisoire, avec des tuyaux raccordés à la va-vite. » Comme beaucoup, Paeng espère que la trêve va durer. Lors de leurs dernières réunions, la Thaïlande et le Cambodge ont dit tout faire pour, mais les relations entre les deux pays restent dégradées. À lire aussiThaïlande-Cambodge : après les affrontements, l'angoisse des étudiants khmers restés à Bangkok
Témoins des superpouvoirs de notre cerveau, les rêves que nous faisons chaque nuit nous échappent. Qu'est-ce que nos rêves individuels et collectifs disent de nous ? Et comment les étudier ? La chercheuse en neuroscience Perrine Ruby partage sa science des rêves. Rediffusion du 10 février 2025. Partageons nos rêves, les rêves que nous faisons chaque nuit... Nous passons un tiers de notre vie à dormir et une bonne partie de ce temps à rêver, mais pourquoi ? Et comment approcher ce qui nous échappe ? Comme si on tirait sur une corde de sable pour reprendre l'expression de Borges. Jusqu'où nos rêves, témoins des superpouvoirs de notre cerveau endormi, peuvent-ils nous entraîner ? Que nous permettent-ils ? Et comment les étudier ? Entre rêve et réalité... Émission autour de l'exposition Le temps d'un rêve qui se tient au musée Confluences à Lyon jusqu'au 24 août 2025 avec Perrine Ruby, chercheuse française, spécialisée en neurosciences cognitives, docteure au Centre de recherche en neurosciences de Lyon. Son ouvrage Rêver pendant le confinement est paru aux Editions EDP Sciences en 2021. Musiques diffusées : Jan Van den Broeke ft. Catherine Jauniaux – Le rêve de CJ Gabriel Fauré, Sheku Kanneh-Mason – Après un rêve, Op.7, No. 1 Señor Coconut and His Orchestra – Sweet Dreams
durée : 00:07:05 - "Comme en amour" d'Alice Ferney Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Salut les amis :"Comme chaque été, l'équipe du Coin du Crime prend un petit mois de pause pour recharger les batteries et vous préparer une rentrée encore plus riche en histoires captivantes.On part en vacances juste après l'épisode de ce dimanche, et on se retrouve le 1er septembre.Mais… pas de panique ! Pendant ce mois d'août, vous pourrez découvrir nos épisodes les plus marquants, les plus écoutés, les plus aimés… Bref, de quoi patienter sans trop sentir le temps passer."En 1997, le Japon est secoué par une affaire glaçante : un adolescent de 14 ans, Shinichiro Azuma, commet des meurtres d'une violence inouïe à Kobe. Surnommé “le tueur de Kobe”, il décapite un camarade et laisse un message de défi à la police. Derrière ce crime choquant, se cache une jeunesse troublée et une société en état de choc. Plongée dans l'esprit dérangé de l'un des plus jeunes tueurs en série du Japon. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.