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Série Routines & Rituels : “Une santé mentale au top !” avec le Pr Pierre Philip, psychiatre et expert international du sommeil. Quels sont les signes concrets d'une bonne hygiène psychique ? Comment “muscler” sa santé mentale ? Comment installer de nouvelles routines mentales ou comportementales ? Le Pr Pierre Philip nous montre comment devenir des architectes de notre équilibre psychique.Bienvenue dans la série de [ROUTINES & RITUELS] avec le Pr Pierre Philip. Pendant 4 semaines, le Pr Pierre Philip et Anne Ghesquière explorent, chaque vendredi, des conseils concrets et des routines simples pour nourrir et protéger sa santé mentale. Ils abordent le sommeil, l'alimentation, le stress, les écrans, les thérapies, le brouillard mental… autant de thèmes essentiels pour retrouver clarté, énergie et équilibre au quotidien. Il est l'auteur des best-sellers : Antidéprime et Réapprendre à dormir (Albin Michel).ATTENTION : ces informations ne remplacent en aucun cas une consultation chez le médecin.Une citation avec le Pr Pierre Philip : "Une bonne santé mentale, c'est une santé mentale adaptative."À réécouter :Sommeil & santé mentale : insomnie, heures de sommeil, se coucher avant minuit ?La guérison mentale passe par le corpsRecevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseThèmes abordés lors du podcast avec le Pr Pierre Philip : 00:00Introduction02:55Signes d'une bonne santé psychique04:26Y a-t-il une explosion des pathologies mentales ?08:57Peut-on muscler sa santé mentale ?12:40Comment instaurer de bonnes habitudes ?17:38L'importance du lien social18:38Les thérapies les plus efficaces25:40Construire son propre bonheurAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Photo DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le sujet :La plupart des Français laissent leur argent dormir sur des comptes peu rémunérés ou font des choix d'investissement désordonnés. Apprenez à construire votre pyramide patrimoniale étape par étape, que vous partiez de zéro ou que vous ayez déjà commencé à investir.L'invité du jour :Mounir Laggoune est le CEO de Finary, une application de gestion de patrimoine. Au micro de Matthieu Stefani, il nous dit tout sur la pyramide patrimoniale.Découvrez :Les 3 niveaux de la pyramide patrimonialeCombien mettre de côté avant d'investir ?PEA, assurance vie, compte-titres : quel support choisir ?Faut-il investir dans l'immobilier ou acheter sa résidence principale ?Quelle est la place des cryptomonnaies dans cette stratégie ?Avantages :Bonne nouvelle ! Nous avons négocié pour vous un avantage exclusif. Avec le code LAMARTINGALE, obtenez 20 % de réduction sur votre abonnement Finary. Rendez-vous ici pour en profiter.Ils citent d'anciens épisodes de La Martingale :Le premier passage de Mounir dans La Martingale (épisode 70)L'épisode 237 sur l'assurance vie luxembourgeoiseL'épisode 160 sur la société holdingOn vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Merci à notre partenaire Enky de soutenir le podcast.Bénéficiez de 100€ à 300€ crédités selon le montant investi en cliquant sur ce lienHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, l'équipe d''Extraterrien pose ses valises dans la région de Bordeaux pour rencontrer Florence et Daniel Cathiard, propriétaire du château Smith Haut Lafitte. Ils dévoilent les coulisses de leur parcours de vie hors norme, entre le sport de haut niveau, l'entrepreneuriat avec Go Sport, et aujourd'hui l'art de faire des grands vins. Transmission familiale, secrets d'excellence, revers et victoires, découvrez une conversation inspirante sur le succès, l'audace, la convivialité et l'amour du terroir. Un épisode riche d'anecdotes qui vous donnera peut-être envie de vivre à votre tour plusieurs vies.#gosport #entrepreneur #cathiard_Chapitrage_00:00 Présentation & accueil au Château Smith Haut Lafitte00:48 Les débuts sportifs et souvenirs d'enfance04:52 Le rêve du haut niveau et les ambitions olympiques10:02 Fin du ski : entreprises familiales et raisons du virage15:04 Les qualités forgées par le sport et l'impact sur la vie professionnelle20:27 Naissance du couple et anecdotes sur leur rencontre22:01 L'entrée dans le business & les défis de la grande distribution28:30 Le développement fulgurant et les choix stratégiques avec Go Sport34:14 Erreurs, apprentissages et recette du succès en magasin37:52 La décision de vendre Go Sport et la transition vers le vin44:10 La genèse du projet viticole et l'acquisition du Château47:36 Apprendre le métier de vigneron et la gestion du domaine52:04 Secrets d'excellence, routines et transmission à la famille58:57 Vision pour l'avenir du Château Smith Haut Lafitte et de Napa01:00:27 Cours express sur le secret d'un grand cru classé01:03:12 Où acheter une bouteille, ordres de prix et conseils01:05:06 Routines, gestion de l'énergie et cohérence écologique01:07:00 Passage de flambeau : recommandations d'invités01:08:26 Conclusion, remerciements et invitation à découvrir le château⚔️ Notre Programme Rox Evolution : https://bit.ly/roxevolution-podcast
Richard Orlinski, Adil Rami, Christophe Beaugrand... Ils sont passés par le Fort Boyard avec Olivier Minne, et n'en gardent pas tous de très bons souvenirs. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Camille Jaccoux est né avec des skis aux pieds.Fils de guide de haute montagne il grandit à Chamonix et se prend très vite d'une passion dévorante pour la glisse.Au point qu'il n'a jamais imaginé faire autre chose de sa vie.Camille commence par le ski de bosse avant de prendre un virage radical vers le Freeride (ski hors-piste) au milieu des années 90.S'en suivent 10 ans d'une carrière pro exceptionnelle à explorer les montagnes du monde entier sur le fameux "Freeride World Tour".À 32 ans, il met fin à sa carrière et se libère enfin du temps pour un projet qu'il a en tête depuis plusieurs années : créer une marque de skis qui pourrait bousculer les "majors", les marques dominantes de l'industrie.Avec 2 amis et associés, il lance Black Crows en 2006 à Chamonix, là où tout a commencé.Ils misent sur des skis techniques mais accessibles, adaptés à toutes les neiges et surtout sur un design hors des codes de l'époque pensé par le talentueux Yorgo Tloupas.Poussée par l'explosion du freeride, la marque devient rapidement un symbole que les skieurs s'arrachent et envahit les pistes — et les hors-pistes — du monde entier.Camille est un vieux briscard qui a traversé toutes les époques, les modes et les tendances de la montagne depuis 30 ans et s'en est servi pour créer un intemporel.Entrez dans les coulisses d'une véritable “love brand” devenue icône de la culture ski à la française.Vous pouvez contacter Camille sur LinkedIn et le suivre sur Instagram.TIMELINE:00:00:00 : La montagne dans le sang00:16:28 : Flairer la puissance de la création de contenu avant tout le monde00:23:03 : Les meilleurs spots de ski du monde00:28:36 : Bousculer les majors00:39:11 : Le jour 1 de Black Crows00:45:19 : Créer une marque qui résonne bien au-delà du ski00:56:43 : Chamonix, la capitale des sports outdoors01:05:30 : Le hack marketing que toutes les marques devraient connaître01:12:50 : La collaboration iconique de Black Crows avec Colette Paris01:27:43 : Comment faire des US son premier marché01:37:51 : Utiliser les réseaux sociaux comme aucune autre marque de ski01:43:56 : “Les gens pensaient qu'on était 70, on était 14”01:49:36 : Le passage risqué de l'outdoor au lifestyle01:59:12 : Téhéran, Maroc, Japon : les endroits les plus dingues où Camille a skiéLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #509 - Nicolas Mermoud - HOKA - Retourner le marché du running avec des semelles "grotesques”#496 - Sébastien Kopp - VEJA - Faire du business autrement[Hors-Série Red Bull] - Luc Reversade - La Folie Douce - "On est les seuls à avoir un chef étoilé qui fait danser sur les tables à 2500m d'altitude”Nous avons parlé de :Claude Jaccoux, le père de CamilleBlack CrowsBruno CompagnetGlen Plake, un des précurseurs du freeskiBruno Gouvi qui descend l'aiguille des Drus en snowOscar MandinKristofer Turdell, champion du monde de Freeride en Black CrowsJackson Hole dans le WyomingJulien RegnierRabbit on the RoofYorgo Tloupas, le designer de génie derrière Black CrowsAYAQLes recommandations de lecture :Kolkhoze - Emmanuel CarrèreL'usure d'un monde : Une traversée de l'Iran - François-Henri DésérableL'invitation à l'altitude - Claude JaccouxUn grand MERCI à nos sponsors : SquareSpace : squarespace.com/doitQonto: https://qonto.com/r/2i7tk9 Brevo: brevo.com/doit eToro: https://bit.ly/3GTSh0k Payfit: payfit.com Club Med : clubmed.frCuure : https://cuure.com/product-onelyVous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 17 décembre 2025 - L'affaire Epstein continue de secouer les États-Unis. Dix-neuf photos ont été mises en ligne vendredi dernier par des élus démocrates. On y voit, en compagnie du prédateur sexuel, Donald Trump, Bill Clinton, Ghislaine Maxwell (aujourd'hui incarcérée), Bill Gates, Steve Bannon ou encore Andrew Mountbatten-Windsor. Ces nouvelles images, publiées par les législateurs démocrates de la commission de surveillance de la Chambre des représentants, ne sont qu'une petite partie des plus de 95 000 photos qu'ils ont reçues de la succession d'Epstein, qui s'est suicidé dans une cellule d'une prison new-yorkaise en 2019 alors qu'il attendait d'être jugé pour des accusations de trafic sexuel.Elles sont surtout distinctes des dossiers que le ministère de la Justice est désormais contraint de publier. Mais l'impatience grandit alors que l'administration Trump fait face à la date limite du 19 décembre pour produire les dossiers Epstein, mais aussi à de nouvelles révélations explosives.Mardi 16 décembre, le magazine américain Vanity Fair a publié une enquête basée notamment sur une dizaine d'entretiens avec Susie Wiles, la secrétaire générale de la Maison-Blanche. L'ancienne directrice de campagne du milliardaire républicain estime par exemple que l'ex-magnat de l'immobilier, marqué par la mort de son frère alcoolique, « a une personnalité d'alcoolique » — elle-même est fille d'un homme alcoolique. Il « fonctionne avec la conviction que rien ne lui est impossible. Absolument rien ». « Les alcooliques fonctionnels, ou les alcooliques en général, ont une personnalité exacerbée lorsqu'ils boivent », a-t-elle ajouté. La conseillère âgée de 68 ans égratigne aussi le vice-président, estimant qu'il est « adepte des théories complotistes depuis une décennie », ou encore Elon Musk, un temps à la tête du département de l'Efficacité gouvernementale (Doge), qualifié de destructeur…Sous pression, le camp Trump s'exprime et tente de désamorcer. Très discrète habituellement, Susie Wiles a dénoncé un article « malhonnête ». « Elle voulait dire que je… Voyez-vous, je ne bois pas d'alcool. Tout le monde le sait, mais j'ai souvent dit que si je buvais, j'aurais de fortes chances de devenir alcoolique. Je l'ai dit à maintes reprises », a déclaré de son côté Donald Trump. Quelques heures plus tard, le président des États-Unis a annoncé sur son réseau Truth Social que les États-Unis mettaient en place un blocus au Venezuela contre « les pétroliers sous sanctions », une nouvelle escalade dans la crise entre les deux pays. Accusé de faire diversion par ses opposants, le président des États-Unis doit s'exprimer une nouvelle fois ce soir.En face, ses adversaires surenchérissent. Ils affirment avoir d'autres clichés encore plus troublants alors que l'heure de vérité approche. Les autorités ont désormais moins de deux jours pour publier l'intégralité des documents non classifiés liés aux enquêtes portant sur Jeffrey Epstein, sur sa complice Ghislaine Maxwell et sur toute personne en lien avec les faits qui leur sont reprochés. Une affaire qui obsède depuis des années l'opinion publique américaine et a inspiré de multiples théories du complot.Alors que sait-on des liens entre Donald Trump et Jeffrey Epstein ? Cette affaire peut-elle provoquer la chute du président des États-Unis ? Pourquoi le mouvement MAGA se déchire-t-il ?Nos experts :- Laurence HAÏM - Journaliste spécialiste des Etats-Unis, autrice de Ghislaine Maxwell, une femme amoureuse, publié chez Robert Laffont- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste à Ouest-France, autrice du livre Requiem pour le monde libre, publié aux éditions de l'Observatoire- Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- Vincent JOLLY - Grand reporter pour Le Figaro Magazine
C dans l'air du 17 décembre 2025 - L'affaire Epstein continue de secouer les États-Unis. Dix-neuf photos ont été mises en ligne vendredi dernier par des élus démocrates. On y voit, en compagnie du prédateur sexuel, Donald Trump, Bill Clinton, Ghislaine Maxwell (aujourd'hui incarcérée), Bill Gates, Steve Bannon ou encore Andrew Mountbatten-Windsor. Ces nouvelles images, publiées par les législateurs démocrates de la commission de surveillance de la Chambre des représentants, ne sont qu'une petite partie des plus de 95 000 photos qu'ils ont reçues de la succession d'Epstein, qui s'est suicidé dans une cellule d'une prison new-yorkaise en 2019 alors qu'il attendait d'être jugé pour des accusations de trafic sexuel.Elles sont surtout distinctes des dossiers que le ministère de la Justice est désormais contraint de publier. Mais l'impatience grandit alors que l'administration Trump fait face à la date limite du 19 décembre pour produire les dossiers Epstein, mais aussi à de nouvelles révélations explosives.Mardi 16 décembre, le magazine américain Vanity Fair a publié une enquête basée notamment sur une dizaine d'entretiens avec Susie Wiles, la secrétaire générale de la Maison-Blanche. L'ancienne directrice de campagne du milliardaire républicain estime par exemple que l'ex-magnat de l'immobilier, marqué par la mort de son frère alcoolique, « a une personnalité d'alcoolique » — elle-même est fille d'un homme alcoolique. Il « fonctionne avec la conviction que rien ne lui est impossible. Absolument rien ». « Les alcooliques fonctionnels, ou les alcooliques en général, ont une personnalité exacerbée lorsqu'ils boivent », a-t-elle ajouté. La conseillère âgée de 68 ans égratigne aussi le vice-président, estimant qu'il est « adepte des théories complotistes depuis une décennie », ou encore Elon Musk, un temps à la tête du département de l'Efficacité gouvernementale (Doge), qualifié de destructeur…Sous pression, le camp Trump s'exprime et tente de désamorcer. Très discrète habituellement, Susie Wiles a dénoncé un article « malhonnête ». « Elle voulait dire que je… Voyez-vous, je ne bois pas d'alcool. Tout le monde le sait, mais j'ai souvent dit que si je buvais, j'aurais de fortes chances de devenir alcoolique. Je l'ai dit à maintes reprises », a déclaré de son côté Donald Trump. Quelques heures plus tard, le président des États-Unis a annoncé sur son réseau Truth Social que les États-Unis mettaient en place un blocus au Venezuela contre « les pétroliers sous sanctions », une nouvelle escalade dans la crise entre les deux pays. Accusé de faire diversion par ses opposants, le président des États-Unis doit s'exprimer une nouvelle fois ce soir.En face, ses adversaires surenchérissent. Ils affirment avoir d'autres clichés encore plus troublants alors que l'heure de vérité approche. Les autorités ont désormais moins de deux jours pour publier l'intégralité des documents non classifiés liés aux enquêtes portant sur Jeffrey Epstein, sur sa complice Ghislaine Maxwell et sur toute personne en lien avec les faits qui leur sont reprochés. Une affaire qui obsède depuis des années l'opinion publique américaine et a inspiré de multiples théories du complot.Alors que sait-on des liens entre Donald Trump et Jeffrey Epstein ? Cette affaire peut-elle provoquer la chute du président des États-Unis ? Pourquoi le mouvement MAGA se déchire-t-il ?Nos experts :- Laurence HAÏM - Journaliste spécialiste des Etats-Unis, autrice de Ghislaine Maxwell, une femme amoureuse, publié chez Robert Laffont- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste à Ouest-France, autrice du livre Requiem pour le monde libre, publié aux éditions de l'Observatoire- Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- Vincent JOLLY - Grand reporter pour Le Figaro Magazine
Dans cet épisode, l'équipe d''Extraterrien pose ses valises dans la région de Bordeaux pour rencontrer Florence et Daniel Cathiard, propriétaire du château Smith Haut Lafitte. Ils dévoilent les coulisses de leur parcours de vie hors norme, entre le sport de haut niveau, l'entrepreneuriat avec Go Sport, et aujourd'hui l'art de faire des grands vins. Transmission familiale, secrets d'excellence, revers et victoires, découvrez une conversation inspirante sur le succès, l'audace, la convivialité et l'amour du terroir. Un épisode riche d'anecdotes qui vous donnera peut-être envie de vivre à votre tour plusieurs vies.Épisode disponible sur YouTube !À propos du podcast Extraterrien
Mercredi 17 décembre, François Sorel a reçu Frédéric Simottel, journaliste BFM Business, Nicolas Guyon, animateur du podcast "Comptoir IA", et Yves Maître, operating partner Jolt capital. Ils se sont penchés sur l'investissement de 10 millions de dollars d'Amazon dans OpenAI, la menace de nouvelles taxes numériques sur les entreprises européennes par Washington, et les ambitions IA de Microsoft à la baisse, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 17 décembre, François Sorel a reçu Frédéric Simottel, journaliste BFM Business, Nicolas Guyon, animateur du podcast "Comptoir IA", et Yves Maitre, operating partner chez Jolt Capital. Ils se sont penchés sur la peine de Microsoft dans l'imposition de ses modèles d'IA avec des ambitions à la baisse, le nouveau succès de la fusée Ariane 6 pour son décollage avec deux satellites Galileo, l'entrée de MBDA au capital de NanoXplore pour le remplacement des puces américaines dans les équipements militaires, ainsi que les coups de coeur et déceptions marquant l'année 2025, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
Ce 17 décembre marque le 15e anniversaire de la « révolution du jasmin » en Tunisie. En 2010, dans la ville de Sidi Bouzid, le jeune vendeur ambulant Mohamed Bouazizi s'immole par le feu devant le gouvernorat, après la saisie de ses marchandises par la police. Un geste de désespoir, qui illustre la détresse socio-économique dans le pays et la répression généralisée du régime de Ben Ali, qui sera renversé par une révolte populaire inédite un mois plus tard. L'événement inspire les populations du Maghreb et d'une partie du Moyen-Orient, et donne naissance à un vaste mouvement de contestation : le « Printemps arabe ». Quinze ans après, la Tunisie est désormais dirigée d'une main de fer par Kaïs Saïed. Quel bilan tirer de cette révolte populaire ? Notre grand invité Afrique est l'ancien dirigeant tunisien Moncef Marzouki, premier président élu démocratiquement après la chute du clan Ben Ali, et actuellement en exil. Il répond aux questions de Sidy Yansané. RFI : Quinze ans après l'immolation par le feu du jeune vendeur Mohamed Bouazizi, quel est l'héritage de la « révolution du jasmin » que son sacrifice a provoqué ? Moncef Marzouki : Quand on voit la situation actuelle, on se dit que la révolution a complètement échoué parce qu'on est revenu au point de départ, c'est-à-dire à l'ère Ben Ali. Nous avons un président, Kaïs Saïed, qui s'est fait élire à 90% après avoir éliminé tous ses concurrents. Le retour de la peur, le retour des prisonniers politiques, tous les chefs de partis politiques sont soit en exil, soit en prison, etc. Donc on est revenu vraiment à la case départ. Sauf que quelque chose de profond a été instauré ou instillé dans l'esprit du peuple tunisien : le goût de la liberté. À un moment donné, ils ont vu que la liberté de critiquer le président n'était pas dangereuse. Donc quelque chose est resté dans l'esprit des gens et je pense que ça va repartir. Maintenant, ceux qui disent que le printemps arabe c'est la fin ne comprennent rien à rien. Parce qu'en fait, le printemps arabe, il vient juste de commencer. Sidi Bouzid, à l'époque déjà, faisait partie de ces villes, de ces régions tunisiennes qui disent subir la marginalisation et l'abandon de l'État, « la hogra ». Quinze ans plus tard, est-ce que vous pensez qu'un acte aussi désespéré que celui de Mohamed Bouazizi puisse se reproduire en Tunisie ? En fait, ça a continué. La Tunisie est devenue malheureusement un pays où cette horreur absolue se répète tout le temps. Vous parlez de cette région déshéritée, mais toutes les régions de Tunisie sont restées déshéritées. Donc, au contraire, la Tunisie est en train de s'appauvrir chaque jour de plus en plus. Les classes moyennes sont en train de s'appauvrir. Le pouvoir actuel se retrouve exactement dans la même situation où se trouvait Ben Ali, à savoir qu'il a contre lui les classes les plus aisées parce qu'il leur a retiré toutes les libertés fondamentales sans apporter quoi que ce soit à la population et contre la pauvreté. Donc toute cette énergie contenue aussi bien chez le petit peuple, comme on dit, que chez la bourgeoisie, tout cela va exploser. Voilà encore une fois pourquoi le volcan va de nouveau exploser. Un volcan, dites-vous, d'abord provoqué par le sacrifice de ce jeune vendeur, qui dénonçait non seulement l'extrême précarité socio-économique de la jeunesse tunisienne, mais aussi l'asphyxie des libertés à tous les niveaux. Sur ces deux points, quelle évolution notez-vous entre la présidence de Ben Ali et celle de Kaïs Saïed, contre qui vous concentrez les critiques ? Les trois années où j'étais à la tête de l'État, nous avons vraiment mis en place un État de droit. La justice était indépendante, les libertés étaient respectées, il n'y avait personne dans les prisons pour des motifs politiques. Nous avons même commencé à lutter contre la corruption. Sauf que comme il y avait ce que j'appellerais un « veto régional » sur la démocratie en Tunisie et que nous manquions d'appui dans les démocraties occidentales, malheureusement, la révolution a échoué. Elle a échoué à cause des erreurs que nous avons commises, nous Tunisiens. Mais aussi, encore une fois, à cause de ce veto régional, essentiellement algérien. Le voisin algérien était une dictature corrompue et violente. Il était hors de question pour elle d'accepter un État, une démocratie tunisienne qui aurait pu donner le mauvais exemple si je puis dire. Et les généraux algériens avaient raison de se méfier de la révolution tunisienne, parce que le Hirak en 2019, c'était tout simplement la queue de la comète, c'était la continuation de ces révolutions. Tout le système politique arabe, aussi bien en Égypte que dans les Émirats arabes unis, en Arabie saoudite qu'en Algérie… Tout ce système-là se sentait menacé par cette vague de révolutions. Ils ont mis le paquet pour faire avorter ces révolutions. Ils l'ont fait avorter par la guerre civile en Syrie, par le coup d'État militaire en Égypte, par la guerre civile en Libye, par l'utilisation de l'argent sale, de l'information, de la désinformation et du terrorisme en Tunisie. Donc, il y a eu encore une fois un veto régional contre les révolutions démocratiques arabes. Le président Kaïs Saïed a su s'attirer les faveurs de l'Union européenne, notamment sur le volet migratoire. L'Europe est quand même un grand partenaire de la Tunisie. Comment voyez-vous l'évolution de la Tunisie sur les droits humains, la démocratie dans ce monde qui est en pleine redéfinition ? L'attitude des Européens, je ne peux pas dire que ça leur fait grand honneur. Ils appuient des dictatures, notamment le gouvernement italien, ils sont prêts à aider Kaïs Saïed à se maintenir au pouvoir. Ce sont des politiques de courte vue. On n'a pas arrêté de répéter à nos amis européens : « Vous pariez sur des régimes autoritaires, uniquement pour vous en servir comme gardes-frontières ». Mais ce n'est pas ça la solution. La solution, c'est qu'il y ait du développement social et économique. C'est comme ça qu'on règle le problème de fond. C'est pour ça que je dis et je répète, la démocratisation du monde arabe, c'est une affaire à l'intérieur du monde arabe et qu'il ne faut pas du tout compter sur les pays européens pour nous aider à cela. À part quelques déclarations hypocrites, je pense qu'il n'y a rien à espérer.
C dans l'air du 16 décembre 2025 - Paix en Ukraine: Trump y croit, l'Europe aussi...Est-ce enfin un vrai tournant, près de quatre ans après le début de l'invasion russe en Ukraine ? Le président des États-Unis a affirmé qu'un accord n'a « jamais » été aussi « proche » afin de mettre fin à la guerre, ce lundi 15 décembre. Des propos prononcés depuis le Bureau ovale, à la suite d'un entretien avec son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, et plusieurs dirigeants européens réunis à Berlin. Les États-Unis ont assuré avoir offert à Kiev des garanties de sécurité « très fortes », comparables à la protection permise par l'article 5 de l'Otan, tout en restant acceptables pour Moscou.De leur côté, les dirigeants des principaux pays européens, dont la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne, ont fait part d'une proposition de « force multinationale pour l'Ukraine ». Cette unité, formée par des pays « volontaires » et soutenue par les États-Unis, aurait pour objectif d'aider l'Ukraine à maintenir durablement une armée de 800 000 soldats. Un « mécanisme de surveillance et de vérification du cessez-le-feu », dirigé par Washington, est également prévu. Désormais, il appartient « à la Russie de montrer sa volonté d'œuvrer en faveur d'une paix durable », ont avancé les dirigeants européens.Ce mardi, le Kremlin a écarté la proposition de Volodymyr Zelensky d'une trêve de Noël. Dans une interview à la chaîne ABC News, diffusée hier, un vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov, avait répété que la Russie n'accepterait « à aucun moment » la présence en Ukraine de forces de l'Otan ou de troupes européennes.Après sa rencontre avec le chancelier allemand Friedrich Merz à Berlin et un appel téléphonique avec Donald Trump hier soir, Volodymyr Zelensky a déclaré aux journalistes ukrainiens qu'il refusait d'abandonner le Donbass. « Les Américains veulent trouver un compromis. Ils proposent une zone économique libre », a-t-il poursuivi. « Je tiens à le souligner une fois de plus : une zone économique libre ne signifie pas un contrôle de la Fédération de Russie. Ce sont des caractéristiques importantes pour moi dans toute discussion concernant le Donbass. Ni de jure ni de facto, nous ne reconnaîtrons le Donbass comme russe », a-t-il déclaré avant de se rendre, cet après-midi, à un sommet du Conseil de l'Europe sur d'éventuelles réparations visant à indemniser l'Ukraine face à l'offensive russe.L'événement, qui se tient à La Haye, réunit de hauts responsables européens afin de mettre en place un organisme international chargé de statuer sur des dizaines de milliards d'euros. L'option d'un « prêt de réparation », gagé sur les avoirs russes immobilisés, provoque toujours des dissensions au sein des Vingt-Sept. Soutenu par de nombreux États membres de l'Union européenne, dont l'Allemagne, ce plan se heurte à l'opposition ferme de la Belgique, rejointe par trois pays (Bulgarie, Malte, Italie). Les dirigeants de l'UE vont devoir trancher lors d'un sommet qui débute jeudi.Pendant ce temps, la guerre se poursuit sur le front ukrainien, mais aussi bien au-delà. Le Service de sécurité ukrainien (SBU) a mené ces derniers jours une attaque contre deux plateformes pétrolières russes en mer Caspienne, à 700 kilomètres de ses frontières. Ces frappes, qui rappellent l'opération « Toile d'araignée », ont contraint le géant Lukoil à suspendre sa production. Kiev a également affirmé, lundi, avoir « fait exploser » un sous-marin russe à l'aide d'un drone naval dans le port de Novorossiïsk, en Russie, au bord de la mer Noire.Nos experts :- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Samantha de BENDERN - Chercheuse en relations internationales - Chatam House- Lucas MENGET - Grand reporter, réalisateur du documentaire Des trains dans la guerre- Pierre HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationale, Université Catholique de Lille
Nous poursuivons notre découverte des contes et légendes de l'arrondissement de Huy-Waremme. Aujourd'hui, nous prenons un peu de hauteur, direction Saint-Léonard, juste au-dessus de Huy. Un village dont la réputation n'a pas toujours été des plus flatteuses… Situé en lisière d'un bois occupé par de petits êtres discrets et travailleurs : les Nutons. Ils sont au cœur d'une première légende, et les témoins silencieux d'un vieux récit qui traverse encore les mémoires. On découvre tout cela avec avec Marc Houbart, de la Maison du Tourisme Terre de Meuse et Fanny Cuisset. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi 12 décembre, François Sorel a reçu Frédéric Simottel, journaliste BFM Business, Didier Sanz, journaliste tech, et Julien Villeret, directeur de l'innovation chez EDF. Ils se sont penchés sur le débat sur les moteurs des automobiles en oubliant l'IA au sein de l'Union Européenne, ainsi que les plans d'Apple pour les deux prochaines années, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
Mardi 16 décembre, François Sorel a reçu Frédéric Simottel, journaliste BFM Business, Didier Sanz, journaliste tech, et Julien Villeret, directeur de l'innovation chez EDF. Ils se sont penchés sur la flambée des prix liée à la pénurie de RAM, le projet de Vidal de connecter des agents IA à sa base de connaissances, et le bilan 2025, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
Ce mardi 16 décembre, Roland Gillet, professeur d'économie financière à l'Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, était l'invité d'Annalisa Cappellini dans Le monde qui bouge - L'Interview, de l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier. Ils ont discuté de la division de l'Europe sur l'utilisation des avoirs russes, ainsi que du sommet européen sur le financement de l'Ukraine au cours des deux prochaines années. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Les vétérinaires en ont plein les bottes. Ils tiennent aujourd'hui une conférence de presse, organisée par leur ordre. Au menu : explications détaillées sur la Dermatose nodulaire contagieuse et aussi alerte : ils ont été durement malmenés depuis le début de l'épizootie des bovidés. Voici ce que m'a dit un vétérinaire à qui je demandais comment ça allait parmi ses confrères : “Je parlerai d'une certaine angoisse. Angoisse d'être confronté à un foyer au sein de notre clientèle. Mais aussi une angoisse de se retrouver pris à partie, insulté, menacé par des messages haineux notamment sur les réseaux sociaux.” Dans l'épouvantable épizootie de DNC, des vétérinaires ont été physiquement menacés, agressés. On l'a vu en Savoie, dans le Sud Ouest. On le voit sur les plateaux de télé ces derniers jours Les vétérinaires sont les victimes inattendues d'une défiance vis à vis de l'autorité, révélée une nouvelle fois par cette crise De toute forme d'autorité. L'Europe, l'Etat, le gouvernement, la gendarmerie, la science, tout est remis en cause en bloc dans cet épisode. Les vétérinaires sont emportés dans ce rejet de toutes les structures. Ils voient leur expertise, leur connaissances niées Et c'est un contre-sens majeur Personne de sensé ne peut croire que les vétérinaires euthanasieraient des animaux s'ils n'étaient pas sûrs que c'est une nécessité. C'est une tâche difficile, douloureuse, mais pour laquelle ils pèsent le bénéfice et le risque. Pour sauver la France de l'élevage, il ne faut pas laisser la maladie s'installer. Ils savent ce qu'elle fait aux troupeaux à long terme. Des animaux qui meurent, qui ne se remettent jamais vraiment, qui ne produisent plus de lait, qui ne se reproduisent plus Les Humains ignorent ce qu'ils doivent aux vétérinaires pour leur propre santé. Les interactions entre les humains et le monde animal produisent le meilleur – le compagnonnage, l'élevage – et le pire : les maladies qui se transmettent ou affectent les filières économiques. Les vétérinaires sont aux premières loges pour observer la grippe aviaire des oiseaux migrateurs, la peste porcine chez les sangliers, la tuberculose des cerfs, ou détecter des maladies émergentes. Rouages essentiels de ce qu'on appelle” la santé globale” : celle des humains, des animaux, des plantes, de l'environnement. Tout est lié. On a assez de vétérinaires ? Ils sont un peu plus de 22 000. La France a été très en retard sur leur formation. Elle rattrape lentement. Mais on a quand même un problème. Les trois quarts des vétérinaires sont spécialisés dans les chiens et chats. 15% seulement sont des vétérinaires ruraux. Ils sont trop peu nombreux, et quand il faut vacciner massivement, comme maintenant, ça pose problème. S'ils devaient être malmenés encore dans cette épizootie, moins bien traités que des chiens, on ira vers un découragement général. Il nuira aux agriculteurs, aux animaux, et à terme, à nous tous. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À quel point le mouvement MAGA, pour Make America Great Again, peut-il influencer des formations politiques chez nous? Le mouvement de Donald Trump a déjà plusieurs points communs idéologiques avec des partis d'extrême droite en Europe. Ils poursuivent les mêmes obsessions....mais l'influence pourrait se muer en soutien bien plus organisé.. Comment pourrait se matérialiser ce soutien ? Quels sont les partis concernés? Et que serait l'intérêt des uns et des autres? C'est ce qu'on va voir avec la cheffe du pôle Idées, Véronique Lamquin.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
durée : 00:05:05 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Un père et son fils ont tiré sur une foule qui célébrait la fête juive de Hanouka sur la plage mythique de Bondi, à Sydney en Australie. Ils ont fait au moins 15 morts et plus de 40 blessés. Le Premier ministre australien veut réviser la législation sur les armes, plus dure que celle des Etats-Unis.
Bienvenue dans Les Fabuleux Destins. Dans cet épisode, nous allons vous parler d'un conquérant extraordinaire au charisme et à la cruauté presque inégalables. Élevé dans la misère au milieu d'un pays divisé, il a su réunir tout son peuple et bâtir un empire gigantesque. Son nom : Temüjin, plus connu sous le nom de Gengis Khan. Des steppes sauvages de Mongolie jusqu'aux confins de l'Asie, découvrez son fabuleux destin. Le plus grand conquérant de l'Histoire Automne, 1170. Dans le silence des steppes de Mongolie, une femme marche seule, avec ses 7 enfants. Son mari vient d'être empoisonné par une peuplade rivale. C'était un guerrier respecté, un chef de clan. Mais sa mort emporte tout son prestige avec lui. Et à présent, sa famille n'est plus rien aux yeux de leur tribu. Son fils le plus âgé, Temüjin, n'a encore que 9 ans. Il est trop jeune, trop faible pour prendre la place de son père. Ils ont donc été abandonnés au milieu des steppes. Sans yourte pour s'abriter, sans clan pour se défendre, et sans troupeau, le jeune Temüjin, sa mère, et ses frères et sœurs sont voués à une mort certaine… Quasi certaine… Car pendant sept ans, dans la misère d'une vie nomade et solitaire, la petite famille réussit à survivre. Dans les steppes sauvages de Mongolie, on vit ensemble ou on meurt seul. Et chaque année qu'il passe ici, à chasser à l'arc, à trembler de froid la nuit, à marcher des dizaines et des dizaines de kilomètres par jour, Temüjin sculpte son corps de jeune adulte et s'endurcit. À 16 ans, sa taille est désormais plus élevée que la plupart des hommes. Et sous son large front, dans ses yeux de chat effilés comme des lames de rasoir, un feu brille continuellement : celui de la fierté, de l'ambition et de la vengeance. Mais ce qu'il ne sait pas encore, c'est que dans les années qui suivent, il ne sera pas seulement un puissant chef mongol… Il va devenir l'un des conquérants les plus redoutables de l'Histoire et bâtir le plus grand empire que l'humanité ait jamais connu. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Elie Olivennes Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
En Bulgarie, le président a commencé les consultations pour essayer de former un nouveau gouvernement après la démission du Premier ministre sur fond de manifestations monstres contre le budget 2026. Le pays s'apprête à adopter la monnaie européenne, mais il est miné par l'instabilité politique et une corruption endémique aux multiples formes. Parmi les pratiques qui se répandent, l'appropriation d'entreprises est en plein essor. Exemple à Sunny Beach, au cœur du tourisme balnéaire bulgare. L'hôtel Paradise Beach est le symbole d'une autre époque : des centaines de chambres sur plusieurs étages, plusieurs restaurants, bars et boîtes de nuit, sans oublier la tour sur la plage. Il fait partie du parc immobilier de Venelin Tachev, qui est propriétaire de cinq hôtels pour une capacité totale de 3 000 lits. C'est après avoir revendu un terrain à son voisin que les ennuis commencent. Après avoir déposé une demande auprès de la mairie pour mieux délimiter sa propriété, Venelin Tashev et ses clients sont harcelés. « Ils ont commencé à mettre de la musique à fond entre minuit et six heures du matin. Et de la musique horrible. Avec mes clients, on a dû appeler les autorités des milliers de fois. Sans aucune conséquence pour ce voisin. Les institutions ne font rien, ni la police, ni le parquet », relate le propriétaire de l'hôtel. Ce voisin n'est pas n'importe qui, c'est un mafieux suspecté de trafic de drogue. Le terrain racheté a été transformé en villa luxueuse avec un restaurant qui accueille des invités d'honneur. « Je n'ai jamais voulu de conflit avec cette personne, parce que je vois bien qui lui rend visite, poursuit Venelin Tashev. Des personnes très haut placées dans le pays, des personnalités connues, des politiques... Je ne veux pas donner de nom. Tout ça pour qu'on s'approprie mon business, pour mettre la main sur l'hôtel. C'est un des meilleurs hôtels de Sunny Beach. C'est un hôtel cinq étoiles, sur la plage. » « Je m'inquiète [...] des proportions que la corruption va atteindre si on ne fait rien » Le mercredi 10 décembre, à Sofia, 150 000 personnes étaient mobilisées pour protester contre la corruption. Le récit de Venelin Tachev est loin d'être un cas isolé. C'est même devenu chose courante, en Bulgarie. C'est également une des raisons pour lesquelles Yoanna, la vingtaine, est venue protester : « Je m'inquiète surtout de l'avenir et des proportions que la corruption va atteindre si on ne fait rien. Combien de fois des proches de mes parents m'ont raconté comment des responsables politiques faisaient pression sur eux. C'est vraiment démotivant. » Le budget 2026 a remis de l'huile sur le feu d'un paysage politique déjà tendu. Dimitar, la quarantaine, travaille dans la finance. Pour lui, une chose est évidente : quelqu'un veut se remplir les poches sur le dos du contribuable. « La raison pour laquelle je suis ici, c'est la corruption et le budget. Il est évident qu'il a été conçu pour que Boïko Borissov, Delyan Peevski et leur clique continuent à s'approprier des millions, voire des milliards. Le fait qu'ils contrôlent tout le système judiciaire en appliquant le principe de la carotte et du bâton, c'est inacceptable. Et c'est pour cela qu'on veut leur démission », assène-t-il. Finalement, les manifestants ont obtenu gain de cause : le gouvernement de Rossen Jéliazkov, en fait contrôlé par Borissov et Peevski, a démissionné. Mais les législatives anticipées qui suivront risquent de reproduire le même problème que les sept élections qui se sont succédées depuis 2021 : un Parlement fragmenté, une majorité ingouvernable et un gouvernement instable. À lire aussiBulgarie : le Premier ministre Rossen Jéliazkov démissionne sous la pression de la rue
Lundi 15 décembre, François Sorel a reçu Damien Douani, responsable de l'innovation de l'école Narratiiv et fondateur de Topos, Augustin Sayer, cofondateur d'Ovni, et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business. Ils se sont penchés sur le passage d'IRobot sous pavillon chinois, et les dix ans de collaboration entre STMicro et Starlink, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Romain Treussard, responsable Digital et Innovation chez SEPUR, et Vincent Hipault, CEO et co-fondateur de FICHA, , étaient les invités de François Sorel dans Tech & Co, la quotidienne, ce lundi 15 décembre. Ils se sont penchés sur l'utilisation de l'IA dans la collecte des déchets sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
Ce lundi 15 décembre, François Sorel a reçu Damien Douani, responsable de l'innovation de l'école Narratiiv et fondateur de Topos, Augustin Sayer, cofondateur d'Ovni, et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business. Ils se sont penchés sur l'arrivée de la traduction vocale avec les AirPods, ainsi que le renouvellement d'une signature entre la DGSI et l'Américain Palantir, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Le coup d'envoi de la 35ème édition de la Coupe d'Afrique des nations de football sera donné dimanche prochain (21 décembre) au Maroc. Elle durera jusqu'au 18 janvier. Quels sont les grands favoris ? L'Afrique est-elle enfin reconnue à sa juste place dans le football mondial ? Joseph-Antoine Bell a été un grand international camerounais. Aujourd'hui, il est consultant pour RFI, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier, en ligne depuis Yaoundé. RFI : Joseph-Antoine Bell, le Maroc accueille cette compétition. Son équipe est la première nation africaine au classement Fifa (12ᵉ). Est-ce que du coup ce pays n'est pas le super favori ? Joseph-Antoine Bell : Oui ça arrive très rarement. C'est-à-dire qu'un pays qui est au sommet garde la forme et soit organisateur. Et là, le Maroc, ils ont une chance inouïe, ils sont en forme et ils organisent. Ils ont la chance de jouer chez eux. Souvent, jouer à la maison comporte aussi le revers de la médaille : c'est qu'on a la pression. Mais la pression, on la gère mieux quand on est au sommet de ses capacités. Donc là, le Maroc va jouer à la maison, cette fois en étant au sommet de sa forme, donc en étant capable de gérer la pression seulement. Et derrière le Maroc, qui voyez-vous comme équipes très très bien placées ? Je pense que le Sénégal ne devrait pas être mal placé. L'Afrique du Sud, la Côte d'Ivoire… Et à un degré moindre l'Égypte et la Tunisie. Alors il y a cette CAN qui démarre dans quelques jours et puis il y a la Coupe du monde qui démarre dans six mois et où vont compétir au minimum neuf équipes nationales africaines, ce qui est quasiment le double des éditions précédentes. Est-ce qu'on peut dire que, aujourd'hui, le football africain est de plus en plus présent dans le football mondial ? Oui, le football africain est de plus en plus présent. Il faut se rappeler qu'à l'époque où il y avait seize participants, dans un premier temps, l'Afrique n'en avait aucun. Puis après, l'Afrique a eu un sur seize, ça fait très très peu. Et on a commencé à gagner un peu de positions, notamment grâce à la performance du Cameroun et de l'Égypte en 1990, en quart de finale [Les Camerounais avaient été éliminés aux portes des demi-finales par les Anglais, NDLR]. Et maintenant, le Maroc est allé en demi-finale [du Mondial 2022, NDLR] et on devrait continuer pour bousculer toujours la hiérarchie et se rapprocher du top, le top qui est un jour de gagner la Coupe du monde. Il y a cette nouvelle marque de respect du football mondial à l'égard de l'Afrique. Mais en même temps, les clubs européens qui comptent dans leurs rangs des internationaux africains ne seront forcés de les libérer qu'à partir de ce 15 décembre pour la CAN, alors que la règle habituelle, c'est que les joueurs sont libérés au moins deux semaines avant un grand tournoi international… Oui, mais l'Afrique a un problème particulier, c'est-à-dire, quel est le poids de l'Afrique ? Et là, en l'occurrence, quel est le poids de la Confédération africaine de football (CAF) vis-à-vis de la Fédération internationale (Fifa) ? Parce que l'Afrique est obligée de déplacer sa compétition pour plaire à la Fifa. L'Afrique est obligée d'accepter que les joueurs soient libérés tard pour plaire à la Fifa qui elle-même a subi la pression des clubs sans pouvoir y résister. Donc, les sacrifices sont toujours faits par les Africains et ça ressemble à d'autres domaines où on en demande toujours plus aux plus faibles. Donc, il faut se montrer un petit peu plus costaud. Donc c'est à la CAF de se battre. Ce n'est pas logique que ce qu'on accorde aux autres, on ne puisse pas l'accorder à l'Afrique. Mais pour ça, il faut gagner le respect des autres en tant qu'organisation. Il faudrait commencer en Afrique par décider quand a lieu la CAN, qu'elle ne soit pas un coup en été, un coup en hiver et puis un coup on ne sait pas trop quand. Non, il va falloir que la CAF travaille sérieusement pour avoir une position claire. Et vous n'êtes plus que le continent qui fournit la matière première. Au Cameroun, votre cher pays, le ministre des Sports, Narcisse Mouelle Kombi, ne s'oppose pas au limogeage du sélectionneur belge Marc Brys par le président de la Fédération, Samuel Eto'o. Est-ce que c'est le signe d'un cessez-le-feu entre les deux hommes ? Chez nous, on dit : « Quand vous êtes au marigot et qu'un fou passe par là et vous prend vos vêtements pendant que vous êtes dans l'eau, ne lui courez pas après. » Donc, le ministre s'est dit : « Eh bien, on va laisser la fédération aller et faire comme elle veut », et comme ça il y a une trêve. Mais, je ne crois pas qu'elle soit favorable au football camerounais, parce que on va vite s'apercevoir de la limite des choix qui ont été faits. Il faudrait savoir qu'en Afrique, neuf fois sur dix, vous n'aurez pas de fédération sans l'État. Quand une fédération dit « non, laissez-nous, on va y aller tout seul », vous pouvez être sûr qu'elle va être en difficulté dès la première activité. Et donc, c'est dommage, mais je sais que les joueurs et tout le groupe ne passeront pas un moment tranquille. Parce que le retrait de l'État veut dire forcément le retrait de beaucoup de moyens, le retrait du soutien qui sera limité. À lire aussiTOUT SUR LA CAN 2025
Dans cette édition :Un attentat terroriste a frappé la plage de Bondi Beach à Sydney, en Australie, faisant au moins 16 morts et 40 blessés. Les deux assaillants, un homme de 50 ans et son fils de 24 ans, ont ciblé la fête juive de Hanouka. Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a critiqué la réponse du gouvernement australien, tandis que le Premier ministre australien Anthony Albanese a condamné fermement cette attaque.En France, le ministre de l'Intérieur a demandé un renforcement de la sécurité autour des lieux de culte juifs, avec notamment plus de patrouilles de police et des contrôles d'identité, face à une menace terroriste jugée "extrêmement forte".Les agriculteurs se mobilisent en France pour dénoncer l'abattage systématique de leurs troupeaux en cas de détection de la dermatose nodulaire contagieuse, une maladie virale touchant les bovins. Ils jugent cette mesure "incompréhensible et trop extrême".La ministre de l'Agriculture, Annie Gennevard, se rend à Toulouse pour tenter d'apaiser la colère des éleveurs face à cette situation.À Marseille, le trafic de drogue continue de gangrener la ville, obligeant l'entreprise Orange à fermer temporairement son site du quartier de Saint-Mauron. Malgré un renforcement de la sécurité, les salariés restent inquiets à leur retour sur le site.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bruno Guglielminetti et Jérôme Colombain reviennent sur l'entrée en vigueur de la loi australienne interdisant les réseaux sociaux aux moins de 16 ans, une mesure déjà contournée par les adolescents via des plateformes non visées par le texte. Ils analysent ensuite le flou entourant un décret américain qui pourrait obliger les voyageurs à fournir l'historique de leurs comptes de réseaux sociaux lors d'une demande d'entrée aux États-Unis. Le duo s'attarde aussi au partenariat entre Adobe et OpenAI, qui permet désormais d'utiliser Photoshop, Acrobat et Adobe Express directement dans ChatGPT. Ils commentent la décision du magazine Time de désigner les grands patrons de l'IA comme personnalités de l'année 2025. Enfin, ils discutent des projets de centres de données dans l'espace, une idée autrefois théorique qui gagne désormais en crédibilité.
Alain Pacouret, Monique Calippe, 84 ans tous les deux. Un couple mort à dix-sept jours d'intervalle, alors qu'ils séjournaient chez un fils et une belle-fille. Emportés par l'âge et la maladie. Ils n'avaient plus toute leur tête, pourtant, c'est sous les coups, les humiliations et les insultes que sont morts les retraités. Sans quelques doutes, ce double assassinat familial aurait été parfait.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Un attentat terroriste a frappé la plage de Bondi Beach à Sydney, en Australie, faisant au moins 16 morts et 40 blessés. Les deux assaillants, un homme de 50 ans et son fils de 24 ans, ont ciblé la fête juive de Hanouka. Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a critiqué la réponse du gouvernement australien, tandis que le Premier ministre australien Anthony Albanese a condamné fermement cette attaque.En France, le ministre de l'Intérieur a demandé un renforcement de la sécurité autour des lieux de culte juifs, avec notamment plus de patrouilles de police et des contrôles d'identité, face à une menace terroriste jugée "extrêmement forte".Les agriculteurs se mobilisent en France pour dénoncer l'abattage systématique de leurs troupeaux en cas de détection de la dermatose nodulaire contagieuse, une maladie virale touchant les bovins. Ils jugent cette mesure "incompréhensible et trop extrême".La ministre de l'Agriculture, Annie Gennevard, se rend à Toulouse pour tenter d'apaiser la colère des éleveurs face à cette situation.À Marseille, le trafic de drogue continue de gangrener la ville, obligeant l'entreprise Orange à fermer temporairement son site du quartier de Saint-Mauron. Malgré un renforcement de la sécurité, les salariés restent inquiets à leur retour sur le site.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au cœur de la guerre froide, les États-Unis comme l'URSS multiplient les programmes secrets les plus extravagants. Parmi eux, un dossier longtemps resté dans l'ombre porte un nom anodin : le “sous-projet 94”. Derrière cette appellation administrative se cachait pourtant une idée déroutante : utiliser certains animaux comme outils militaires, capables d'espionner, de détecter des cibles, voire d'endommager des infrastructures ennemies. Un projet qui en dit long sur l'imagination — et l'inquiétude — des stratèges de l'époque.Les documents déclassifiés évoquent plusieurs pistes explorées en parallèle. D'abord, l'idée d'exploiter les capacités sensorielles exceptionnelles de certains animaux, notamment les oiseaux, les chiens ou les mammifères marins. L'objectif n'était pas de les transformer en armes au sens létal, mais plutôt d'utiliser leurs talents naturels là où la technologie humaine était encore limitée. Ainsi, durant les années 1960, on espérait qu'un oiseau dressé puisse discrètement transporter un dispositif d'écoute miniature, ou qu'un dauphin reconnaisse une forme sous-marine suspecte mieux qu'un sonar.Dans le cadre du sous-projet 94, les chercheurs examinaient également comment ces animaux réagissaient au dressage, à la contrainte ou à des environnements inhabituels. Le but était de contrôler leur comportement suffisamment précisément pour les déployer dans des missions délicates : repérage d'un sous-marin, surveillance d'un port, détection d'explosifs. Rien de spectaculaire, mais une volonté très pragmatique d'exploiter la biologie comme un complément à la technologie.Cependant, ce projet s'est heurté à deux obstacles majeurs. Le premier est éthique : la simple idée d'utiliser des êtres vivants comme instruments militaires soulevait déjà des résistances, même dans un contexte de tension internationale extrême. Le second est pratique : les animaux ne sont pas des machines. Ils restent imprévisibles, sensibles au stress, aux bruits, aux environnements inconnus. Leur “fiabilité opérationnelle” s'est révélée largement insuffisante, au point que plusieurs lignes du programme furent rapidement abandonnées.Avec le temps, le sous-projet 94 est devenu un symbole des limites de la science militaire. Il incarne cette époque où l'on croyait encore que la biologie pourrait être modelée à volonté, sans mesurer la complexité du vivant. Aujourd'hui, il demeure un épisode fascinant : un projet à la fois ambitieux, dérangeant et révélateur des angoisses technologiques de la guerre froide, où l'on cherchait désespérément à trouver l'avantage décisif — quitte à regarder du côté du règne animal. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le sommet ordinaire de la CEDEAO s'est refermé ce dimanche à Abuja. Hasard du calendrier, ce sommet se tenait une semaine après la tentative de coup d'état au Bénin et moins d'un mois après celui de Guinée-Bissau menacée de sanctions ciblées. Ils demandent la mise en place d'une transition courte et inclusive à Bissau. Ils ne prononcent pas de sanctions dans l'immédiat en revanche des sanctions pourraient cibler toutes personnes empêchant la mise en place des mesures préconisés par la CEDEAO.
Les volets rouges du château de Martel sont clos. Les terres accolées à la petite commune de Monflanquin, dans le Lot-et-Garonne, ont pris les allures d'un domaine hanté. La famille De Védrines, noble et protestante, implantée dans la région depuis le XVIIe siècle, n'est devenue que l'ombre d'elle-même. Voilà des semaines, des mois, des années, que l'on ne voit plus aucun de ses membres. Ils congédient tout visiteur, rasent les murs les jours de marché, annulent chaque été leur festival d'art lyrique, et demeurent reclus nuit et jour derrière les enceintes de leur forteresse. Ils ont confié leur patrimoine, leur libre-arbitre et leur vie à une simple voix qui, par téléphone, dicte le moindre de leurs faits et gestes. Un protecteur, un maître à penser, un gourou pensent certains, qui leur répète inlassablement quoi dire, quoi penser, envers qui se méfier : l'État, les banques, les francs-maçons, et le monde entier.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.
Tu penses que déposer ta marque te protège ?Attends de voir ce qui m'est arrivé...Le 3 avril 2023, je reçois un mail d'un cabinet d'avocats représentant Instagram France.Ils me poursuivent en justice.Dans cette vidéo, je te raconte toute l'histoire... Comment j'ai voulu bien faire et comment ça s'est retourné contre moi.Dans cette vidéo, tu découvriras :✅ Pourquoi j'ai reçu une mise en demeure d'Instagram✅ L'erreur que font 90% des entrepreneurs avec leur nom de marque✅ Comment fonctionne le système de dépôt à l'INPI (et ses pièges)✅ Ce que j'aurais dû savoir avant de déposer ma marque
Le Maroc se prépare à accueillir la CAN. Le pays est bien décidé à remporter à nouveau le trophée ! Dans l'histoire du football africain, c'est comme une anomalie : le royaume fait partie des grandes nations du continent, et pourtant, il n'a remporté la compétition qu'une seule fois en 1976, en Éthiopie. S'il y a bien des personnes qui savent comment faire pour gagner, ce sont les anciens internationaux marocains de cette époque. Rencontre avec Abdelâali Zahraoui et Abdallah Tazi, deux joueurs de la sélection 1976. De notre correspondant de retour de Fès, En 1976, la compétition oppose alors huit sélections. Parmi elles, il y a le Zaïre, le Nigéria, la Guinée, l'Égypte, des cadors du continent. Le Maroc ne fait pas partie des favoris. Abdelâali Zahraoui était milieu de terrain de la sélection marocaine : « Tout le monde a joué avec leur force, avec leur volonté, avec tout ! » L'Éthiopie accueille la CAN cinq mois tout juste après un coup d'État militaire. Abdallah Tazi est également ex-milieu de terrain marocain. « Il y avait deux chars devant l'hôtel. Quand on sortait, on était suivis par des policiers », se remémore-t-il. Cette CAN se joue sous la forme d'une poule finale. Le dernier match, le 14 mars 1976, oppose le Maroc à la Guinée. Une équipe légendaire avec des grands noms comme Petit Sory, Papa Camara… Les Lions de l'Atlas ont besoin d'un match nul pour finir en tête du classement, les Guinéens doivent absolument l'emporter. « Les Guinéens, dès le début du match, ils ont été supérieurs à nous. Ils avaient une très belle équipe, c'était le Brésil d'Afrique, certainement la meilleure du continent », retrace Abdallah Tazi. À lire aussiCAN 2025 : Rabat, ville majeure du tournoi et nouveau centre névralgique du football marocain [1/6] C'est le Syli national qui ouvre le score à la 33ᵉ minute, et pendant près d'une heure, il est champion d'Afrique. Mais à la 86ᵉ minute, venu de la défense marocaine, Ahmed Magrouh, alias « Baba », envoie un boulet de canon pleine lucarne. « Un but exceptionnel, mais Baba, il monte seulement dans le corner. Si tu lui demandes de tirer 50 fois, il ne marquera jamais. Ils avaient de la réussite », commente Abdelâali Zahraoui. Il ressort les photos de cette époque. Sur l'un des clichés en noir et blanc, on le voit poser amoureusement ses yeux sur une petite coupe de métal brillant, c'est la CAN 76. « On nous demande à chaque fois de parler de notre parcours, s'amuse Abdallah Tazi. Il n'y en a que pour la CAN 76. L'équipe actuelle va remporter la CAN et on sera enfin tranquilles, les journalistes n'auront plus à nous appeler ! » Pour Abdelâali Zahraoui, également, c'est une certitude : « Au Maroc, on va gagner la Coupe d'Afrique. Cette année ! » À lire aussiCAN: ces héros peu connus qui ont illuminé la Coupe d'Afrique
Briser les schémas amoureux qui nous font souffrir, c'est possible. Et on t'explique comment avec 3 cas très concrets : personnes indisponibles, dépendance affective, poser ses limites.Avec Sandy Kaufmann, thérapeute spsycho-corporelle, on plonge dans les mécanismes inconscients qui nous poussent à revivre, encore et encore, les mêmes histoires amoureuses dysfonctionnelles.Pourquoi est-on attiré par des personnes indisponibles ?Pourquoi donne-t-on tout trop vite, au point de s'oublier ?Pourquoi est-ce si difficile de poser ses limites ou d'exprimer ses besoins ?On explore les blessures affectives héritées de l'enfance, les dynamiques d'attachement, les réflexes de fuite ou de suradaptation.Mais surtout, on t'aide à en sortir avec des outils concrets et des pistes d'actions claires.
Cette semaine, nous parlons d'entrepreneuriat et de leadership. Au sein du Club RFI, une véritable pensée entrepreneuriale se développe. Des initiatives à caractère économique portées par des membres engagés voient régulièrement le jour. Ils transforment leurs idées en projets concrets. L'entreprenariat : quels défis ? Quelles opportunités ? Comment le leadership transforme une idée en succès ? Avec la participation de : Bahati Nicole, Club RFI Bukavu (RDC) ; Viviane Gokouzou, fondatrice du Club RFI Bangui ; Aman Baptiste Ado, Club RFI Abidjan (Côte d'Ivoire) ; Mbaugoto Josué du Club RFI Moundou (Tchad). Musique : «Persévérer», Talino Manu. Réalisation : Cécile Bonici et Julien Boileau.
Voici un résumé de l'accident assez spectaculaire qui s'est produit à la piscine de La Ciotat. Here is a summary of the rather spectacular accident that occurred at the La Ciotat swimming pool.Alors, le contexte est simple, mais complètement fou. So, the context is simple, but completely crazy.Imaginez, jeudi soir, une voiture finit sa course directement dans le grand bassin de la piscine municipale. Imagine, on Thursday evening, a car ended up its journey directly in the main pool of the municipal swimming pool.Comment ça a pu arriver ? How could this have happened?Eh bien, à bord du véhicule, il y avait une mère de 38 ans et sa fille de 5 ans. Well, on board the vehicle, there was a 38-year-old mother and her 5-year-old daughter.Pour une raison qui reste encore floue, en manœuvrant sur le parking, la voiture a percuté le grillage, puis la baie vitrée de l'établissement, avant de tomber à l'eau. For a reason that is still unclear, while maneuvering in the parking lot, the car hit the fence, then the bay window of the facility, before falling into the water.L'intervention de trois personnes a été ultra rapide. The intervention of three people was ultra-fast.Deux maîtres-nageurs et un témoin ont plongé sans hésiter. Two lifeguards and a witness dove in without hesitation.Ils ont réussi à secourir la mère et sa fille de la voiture, vraiment in extremis. They managed to rescue the mother and her daughter from the car, truly at the last minute.Elles sont indemnes, mais bien sûr, en état de choc. They are unharmed, but of course, in a state of shock. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:14:12 - Journal de 8 h - Des agriculteurs en colère bloquent des axes routiers dans le sud de la France. Ils protestent contre la stratégie d'abattage face à la dermatose contagieuse qui touche les bovins français.
durée : 00:14:12 - Journal de 8 h - Des agriculteurs en colère bloquent des axes routiers dans le sud de la France. Ils protestent contre la stratégie d'abattage face à la dermatose contagieuse qui touche les bovins français.
durée : 00:14:12 - Journal de 8 h - Des agriculteurs en colère bloquent des axes routiers dans le sud de la France. Ils protestent contre la stratégie d'abattage face à la dermatose contagieuse qui touche les bovins français.
De la guitare flamenca au bouzouki, un labyrinthe de lumière et de twang ! (Rediffusion) Nos 1ers invités de la #SessionLive sont les Radio Tutti pour la sortie de l'album Twang Club. Après huit ans d'existence et plus de 250 concerts, Radio Tutti, combo à géométrie variable pose un nouveau jalon avec son troisième album : Twang Club. Les frontières de l'électro et de l'acoustique sont toujours repoussées dans ce pays imaginaire au folklore azimuté, avec un son d'ensemble qui tend toujours plus vers la rugosité des musiques traditionnelles : les pieds sur la terre du labeur quotidien et la tête dans l'infinité des étoiles... Entre l'ancrage dans des traditions locales symbolisé par le twang (effet vocal venu de différents folklores du monde qui permet notamment d'augmenter la puissance de chant) et la dynamique électro du club, Radio Tutti connecte l'hier et l'aujourd'hui dans sa recherche infatigable de lendemains qui dansent. Musiques traditionnelles du sud de l'Italie et de Galice viennent se télescoper avec les arrangements épiques dont le groupe a le secret, insufflant de nouvelles influences rétrofuturistes venues de musiques de transe du monde entier… Et la recette s'applique également avec bonheur à un soupçon de lingua franca (ancienne langue véhiculaire parlée dans le pourtour méditerranéen) proposé par la plume de Djé Baleti. Le binôme Pauline Rivière et Pierre-Alexis Lavergne est devenu le noyau dur autour duquel gravite la galaxie Radio Tutti. Ils signent Twang Club avec la complicité d'un sorcier des studios, Colin Buffet, réalisateur et artisan de la sono mondiale 2.0. Titres interprétés au grand studio : - Saca Punto Live RFI (ordinateur, bombo, petit synth (Minibrute)), petites percussions (cayambe, coquillages) - La Rosa, extrait - Curre a Mamma Toja Live RFI (guitare électrique, bouzouki, ordinateur). Line Up : Pauline Rivière, Lavergne Pierre-Alexis Son : Benoît Letirant. ► Album Twang Club (Daydream Music/Inouïe Dist. 2025). Site Radio Tutti - Facebook - Bandcamp - YouTube. Puis nous recevons l'inoxydable Juan Carmona qui fête ses 40 ans de carrière avec Laberinto de Luz Le guitariste flamenco de renommée internationale célèbre quatre décennies d'une carrière tracée au fil des désirs et des rencontres avec la sortie de son nouvel album Laberinto de Luz. Ce nouvel opus propose une aventure sonore inédite au carrefour du flamenco, du jazz et des rythmes latins, un témoignage vibrant de son parcours exceptionnel. Reconnu comme l'un des plus grands compositeurs et virtuoses de sa génération, Juan Carmona continue d'innover tout en restant enraciné dans les traditions ancestrales de l'Andalousie. En collaborant avec des artistes de prestige tels que le légendaire guitariste Al Di Meola et une palette de voix féminines captivantes allant du chant gitan au scat, l'artiste rend hommage à la richesse de ces voix, explorant leur timbre et leurs sensibilités si singulière. « À l'écoute du dernier album de Juan Carmona, j'ai été émerveillé par la diversité et la profondeur des voix, ainsi que par l'exceptionnelle virtuosité de son jeu à la guitare. Cet album, magnifiquement produit, met en avant des compositions contemporaines qui enveloppent chaque morceau d'une atmosphère captivante, toujours portée par la magnifique guitare de Juan.» Al Di Meola. Juan Carmona s'est emparé d'une guitare à l'âge de 10 ans, et ne l'a plus lâchée. Pour ce gamin né à Lyon dans une famille espagnole fraîchement exilée d'Afrique du Nord, l'instrument est vite devenu une clé universelle : un outil pour se construire une identité et une langue à soi, une baguette de sourcier pour retourner vers l'Andalousie de ses ancêtres – où, tout jeune homme, il part étudier auprès des plus grands maîtres du flamenco ; mais aussi une boussole pour s'ouvrir d'innombrables voies et rencontres, de ses frères gitans à Al Di Meola, de musiciens gnaoua à l'Inde, des scènes du monde entier aux plateaux de cinéma… En 2025, Juan Carmona fête ainsi 40 années d'expériences en tous sens et fera halte avec ses musiciens dans les grands opéras et théâtres français pour une tournée avec notamment des orchestres symphoniques comme celui de l'Opéra de Lyon dirigé par Miguel Pérez Iñesta mais aussi Zahia Ziouani pour l'orchestre Divertimento, l'Orchestre de l'Opéra de Marseille… Titres joués au grand studio : - Aroma Tierra Live RFI - Tesoro de melodías feat. Al Di Meola, extrait de l'album - De Casablanca a Granada, qui est plus ancien. Live RFI Line Up : Juan Carmona (guitare), Isidro Suarez (cajon). Son : Benoît Letirant, Camille Roch. ► Album Laberinto de Luz (Nomades Kultur / L'Autre Distribution 2025). Site - YouTube.
De la guitare flamenca au bouzouki, un labyrinthe de lumière et de twang ! (Rediffusion) Nos 1ers invités de la #SessionLive sont les Radio Tutti pour la sortie de l'album Twang Club. Après huit ans d'existence et plus de 250 concerts, Radio Tutti, combo à géométrie variable pose un nouveau jalon avec son troisième album : Twang Club. Les frontières de l'électro et de l'acoustique sont toujours repoussées dans ce pays imaginaire au folklore azimuté, avec un son d'ensemble qui tend toujours plus vers la rugosité des musiques traditionnelles : les pieds sur la terre du labeur quotidien et la tête dans l'infinité des étoiles... Entre l'ancrage dans des traditions locales symbolisé par le twang (effet vocal venu de différents folklores du monde qui permet notamment d'augmenter la puissance de chant) et la dynamique électro du club, Radio Tutti connecte l'hier et l'aujourd'hui dans sa recherche infatigable de lendemains qui dansent. Musiques traditionnelles du sud de l'Italie et de Galice viennent se télescoper avec les arrangements épiques dont le groupe a le secret, insufflant de nouvelles influences rétrofuturistes venues de musiques de transe du monde entier… Et la recette s'applique également avec bonheur à un soupçon de lingua franca (ancienne langue véhiculaire parlée dans le pourtour méditerranéen) proposé par la plume de Djé Baleti. Le binôme Pauline Rivière et Pierre-Alexis Lavergne est devenu le noyau dur autour duquel gravite la galaxie Radio Tutti. Ils signent Twang Club avec la complicité d'un sorcier des studios, Colin Buffet, réalisateur et artisan de la sono mondiale 2.0. Titres interprétés au grand studio : - Saca Punto Live RFI (ordinateur, bombo, petit synth (Minibrute)), petites percussions (cayambe, coquillages) - La Rosa, extrait - Curre a Mamma Toja Live RFI (guitare électrique, bouzouki, ordinateur). Line Up : Pauline Rivière, Lavergne Pierre-Alexis Son : Benoît Letirant. ► Album Twang Club (Daydream Music/Inouïe Dist. 2025). Site Radio Tutti - Facebook - Bandcamp - YouTube. Puis nous recevons l'inoxydable Juan Carmona qui fête ses 40 ans de carrière avec Laberinto de Luz Le guitariste flamenco de renommée internationale célèbre quatre décennies d'une carrière tracée au fil des désirs et des rencontres avec la sortie de son nouvel album Laberinto de Luz. Ce nouvel opus propose une aventure sonore inédite au carrefour du flamenco, du jazz et des rythmes latins, un témoignage vibrant de son parcours exceptionnel. Reconnu comme l'un des plus grands compositeurs et virtuoses de sa génération, Juan Carmona continue d'innover tout en restant enraciné dans les traditions ancestrales de l'Andalousie. En collaborant avec des artistes de prestige tels que le légendaire guitariste Al Di Meola et une palette de voix féminines captivantes allant du chant gitan au scat, l'artiste rend hommage à la richesse de ces voix, explorant leur timbre et leurs sensibilités si singulière. « À l'écoute du dernier album de Juan Carmona, j'ai été émerveillé par la diversité et la profondeur des voix, ainsi que par l'exceptionnelle virtuosité de son jeu à la guitare. Cet album, magnifiquement produit, met en avant des compositions contemporaines qui enveloppent chaque morceau d'une atmosphère captivante, toujours portée par la magnifique guitare de Juan.» Al Di Meola. Juan Carmona s'est emparé d'une guitare à l'âge de 10 ans, et ne l'a plus lâchée. Pour ce gamin né à Lyon dans une famille espagnole fraîchement exilée d'Afrique du Nord, l'instrument est vite devenu une clé universelle : un outil pour se construire une identité et une langue à soi, une baguette de sourcier pour retourner vers l'Andalousie de ses ancêtres – où, tout jeune homme, il part étudier auprès des plus grands maîtres du flamenco ; mais aussi une boussole pour s'ouvrir d'innombrables voies et rencontres, de ses frères gitans à Al Di Meola, de musiciens gnaoua à l'Inde, des scènes du monde entier aux plateaux de cinéma… En 2025, Juan Carmona fête ainsi 40 années d'expériences en tous sens et fera halte avec ses musiciens dans les grands opéras et théâtres français pour une tournée avec notamment des orchestres symphoniques comme celui de l'Opéra de Lyon dirigé par Miguel Pérez Iñesta mais aussi Zahia Ziouani pour l'orchestre Divertimento, l'Orchestre de l'Opéra de Marseille… Titres joués au grand studio : - Aroma Tierra Live RFI - Tesoro de melodías feat. Al Di Meola, extrait de l'album - De Casablanca a Granada, qui est plus ancien. Live RFI Line Up : Juan Carmona (guitare), Isidro Suarez (cajon). Son : Benoît Letirant, Camille Roch. ► Album Laberinto de Luz (Nomades Kultur / L'Autre Distribution 2025). Site - YouTube.
Amala Klep Kremmel est une jeune femme au parcours de vie déjà riche. En quête de sens depuis son enfance, attirée à la fois par l'art, en particulier le théâtre, et la spiritualité, son cheminement l'a d'abord conduite à la découverte de la sagesse orientale.Elle a développé une pratique de la méditation et du yoga qui l'ont conduite à animer des cercles de formation, d'enseignement et de prière, en France et en Belgique. Dans ses livres, explorant mythes et récits, elle a partagé une vision forte et originale de la souveraineté de la femme.« J'avais beaucoup prié pour recevoir une foi inébranlable, je l'ai reçue » : Les épreuves qu'Amala a traversées, avec des moments où, comme elle le dit-elle-même, elle avait le sentiment d'avoir tout perdu, ont ouvert un nouveau chemin. Celui de la rencontre avec le Christ.Depuis, en s'appuyant sur une vaste lecture de la Bible, des Pères de l'Église, des grands mystiques de la tradition chrétienne, comme d'auteurs contemporains, dont Annick de Souzenelle, Jean-Yves Le Loup et Denis Marquet, Amala Klep Kremmel creuse un sillon large et profond.Large, avec les initiatives d'une jeune mère de deux enfants, pour qui la spiritualité doit être accessible et simple, où le corps, le cœur et l'âme participent : Des cercles de partage, de prière et de louange, nourris par la Parole divine lue dans l'Ancien et le Nouveau Testament, et ouvertes aux autres spiritualités.Large aussi avec les créations et les sessions théâtrales d'une actrice et metteuse en scène, pour des expériences individuelles et collectives en quête de connexion entre la spiritualité, la psychologie et les émotions.Profond, avec les livres d'une autrice féconde, qui a déjà écrit sur les rêves et leur signification, sur le chant comme médecine de l'âme, ou sur le féminin sacré. Profond aussi, avec les créations artistiques d'une artiste pénétrée par la beauté de la lumière, qu'elle exprime par ses icônes et ses vitraux. Depuis son enfance, Amala dit avoir toujours aimé rassembler les citations, parce qu'elles « ouvrent un chemin qui va directement de la tête au cœur ». D'où l'idée d'un coffret qu'elle a créé et qu'elle publie cette année, et qui contient plus d'une centaine de citations, essentiellement celles du Christ : L'Oracle de la Lumière Christique, qu'elle commente longuement au cours de cet épisode.Avec ces citations, Amala propose un autre accès aux lectures quotidiennes de l'Évangile, une pratique originale de la lectio divina enrichie, pour chaque citation, par une méditation et un rituel.Avec Amala, nous continuons la redécouverte d'un Christianisme de feu, si bien engagée dans les précédents épisodes de Zeteo. Nous allons à la rencontre d'une femme à la sagesse aussi étonnante qu'inspirante.Pour découvrir L'Oracle de la lumière Christique, le coffret créé par Amala Klep Kremmel, cliquer ici.Pour découvrir La Voie de la Grâce, le site d'Amala Klep Kremmel, cliquer iciLA PAROLE ET LE CERCLEChers amis, chers auditeurs de Zeteo,J'ai beaucoup de choses à vous dire, mais je vais tenter de faire au plus court.J'avais prévu, comme chaque année à la même période, un appel aux dons, dans une campagne un peu pensée, réfléchie, au mieux de mes capacités.Et puis tout est bousculé.Ces derniers mois, particulièrement depuis certains épisodes de l'été dernier, les choses changent autour de Zeteo. Elles ont pris plus de profondeur, d'intensité, il y a plus de partages aussi.Elles changent aussi pour le monde, mais pas dans le même sens.Parce que je sentais que les choses changeaient, j'ai cessé de faire des appels aux dons pendant plusieurs mois. Et pendant ce temps, les dons ont continué d'arriver, il y en a même eu un peu plus que les autres années aux mêmes périodesJ'ai vécu une suite de rencontres bouleversantes, et j'ai bien senti que vous étiez de plus en plus nombreux à être bouleversés vous aussi par ces rencontres.Parce que le monde change, qu'il donne les signes qu'il ne va pas dans le bon sens, un monde qui est tenté par le néant et qui semble aspiré par l'ombre… Il y a la double nécessité de l'urgence et de la beauté à accueillir et à relayer ceux qui portent le réel et la lumière.Il y a les témoignages tellement bouleversants sur Zeteo, je pourrais tous les citer.Pour n'en prendre que quelques uns, je pense à Denis Marquet, qui nous a rappelé que le Christianisme ne prend vie qu'au contact de l'autre, des autres, avec les autres, pour les autres.Il y a le message d'une des grandes invitées régulières de Zeteo, qui, parce qu'elle est une femme aussi humble que lumineuse, ne souhaite pas trop que je parle d'elle et donc que je ne nommerai pas. Elle dit qu'ensemble autour de ce podcast, nous formons justement un groupe, une communauté, celle des chevaliers de l'invisible. Avant elle, je n'avais pas réellement pris conscience de cette communauté.Il y a la rencontre avec Amala, et pour qui je n'ai pas hésité à bousculer le programme pour une diffusion dès aujourd'hui, à quelques jours de Noël. Quand vous aurez écouté cet épisode, je crois que vous serez nombreux à comprendre pourquoi c'était bien comme ça.Amala a un don particulier de rassembler toutes les paroles, les citations de la Bible, de Jésus, des grands mystiques chrétiens et pas que chrétiens. Elle a un autre don, celui d'une sagesse intérieure d'une profondeur et d'une richesse que j'ai rarement rencontrées. Et elle a encore d'autres dons, dont celui de créer des cercles, des communautés qui se rassemblent, qui découvrent et écoutent ensemble la parole biblique, qui prient, qui chantent le plus beau des chants, celui de la louange.Il y aura la semaine prochaine, juste avant Noël, la rencontre avec une femme à qui Zeteo doit tant… J'ose le dire, sans révéler encore son nom, un peu par coquetterie ou par goût du mystère, elle est avec Annick de Souzenelle, dont elle était tellement proche, la personne à qui Zeteo doit tellement. Cela sera un grand moment.La semaine dernière, Linda Bortoletto nous parlait du cercle, celui de la femme sacrée, et du glaive, celui de l'archange. Au moment de ce message, je vois un rapprochement de plus, celui du glaive, comme la parole, et du cercle, comme le silence et l'accueil.Le cercle, celui de nos communautés, et la parole, comme les citations d'Amala, la parole du Christ, celles de la Bible, comme vos messages, qui disent mieux que tout discours ce que ce podcast peut apporter de bien. Ces messages, vous pouvez les lire en cliquant sur le lien indiqué en bas de ce texte, à la rubrique « nos auditeurs » du site web de ce podcast. Ils sont très nombreux, et j'ai pu y ajouter beaucoup de ceux qui ont été reçus au cours de ces derniers jours.La parole, c'est aussi celle de Servanne.Servanne m'a envoyé cette semaine le message le plus poignant. Je voudrais vous inviter à nous unir en pensée et en prière pour elle, pour l'épreuve qu'elle traverse, pour qu'elle ne se sente pas seule, pour qu'elle soit rejointe par ce cercle qui nous relie, et par beaucoup d'autres cercles. Pour l'opération prochaine, pour la guérison de la maladie de Servanne, comme de tous ceux qui nous sont proches, pour tous ceux qui souffrent, qui sont seuls, qui sont dans le deuil, l'angoisse ou le désespoir.La guérison et la lumière viendront pour eux.Beaucoup de choses changent. Ce qui change pour Zeteo, c'est cette belle avancée vers la lumière divine que nous effectuons tous ensemble, dans la liberté belle et fragile de ce podcast. Et cela, malgré les temps inquiétants que nous vivons et les ombres qui menacent de recouvrir la Terre. La lumière finira par l'emporter, au creux le plus profond de l'ombre, des souffrances, des peurs et des doutes.Je reprends ici une citation que me confiait Amala pas plus tard qu'hier, elle qui en connaît des milliers, dont celle-ci de Marie Elia : « L'ombre a été tant aimée qu'elle en est devenue lumière. »Aimer nos ombres, c'est aimer la part de soi-même que l'on aime pas, dont on a peur, c'est aimer l'autre, c'est jusqu'à aimer l'ennemi, c'est suivre le Christ.J'avais beaucoup d'autres choses encore à vous dire que je vous dirai une autre fois.Et puisqu'à l'origine, ce message devait être un appel aux dons, je l'achève avec l'espoir et la confiance que si Zeteo est aligné sur la bienveillance universelle et divine, alors cette bienveillance saura susciter des donateurs parmi vous. Cette dernière quinzaine de l'année est le moment le plus décisif, pour que nous puissions continuer la mission d'un podcast à l'accès entièrement gratuit et qui est ouvert à tous.Je tiens ici à exprimer toute ma gratitude à ceux qui ont déjà fait un don, et à ceux qui vont le faire.Belle montée vers la lumière de Noël à tous, et ne l'oubliez pas,L'ombre a été tant aimée qu'elle en est devenue lumière.Guillaume DevoudPour soutenir l'effort de Zeteo, podcast sans publicité et d'accès entièrement gratuit, vous pouvez faire un don. Il suffit pour cela de cliquer sur l'un des deux boutons ci-dessous, pour le paiement de dons en ligne au profit de l'association Telio qui gère Zeteo.Cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso.Ou cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal.Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAssoNous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 76 rue de la Pompe, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici.Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici.Pour lire les messages de nos auditeurs, cliquer ici.Nous contacter : contact@zeteo.frProposer votre témoignage ou celui d'un proche : temoignage@zeteo.fr
Série Routines & Rituels : “Une santé mentale au top !” avec le Pr Pierre Philip, psychiatre et expert international du sommeil. Comment le corps peut-il apaiser ou transformer nos troubles psychiques ? En quoi le respect des “horloges du corps” influence-t-il directement notre santé mentale ? Yoga, sophrologie, méditation, danse, TCC... quelles sont les approches corps-esprit les plus efficaces ? Le Pr Pierre Philip partage avec nous ses observations cliniques et ses conseils concrets pour faire de notre corps un levier de notre santé mentale.Bienvenue dans la série [ROUTINES & RITUELS] avec le Pr Pierre Philip. Pendant 4 semaines, le Pr Pierre Philip et Anne Ghesquière explorent, chaque vendredi, des conseils concrets et des routines simples pour nourrir et protéger sa santé mentale. Ils abordent le sommeil, l'alimentation, le stress, les écrans, les thérapies, le brouillard mental… autant de thèmes essentiels pour retrouver clarté, énergie et équilibre au quotidien. Il est l'auteur des best-sellers : Antidéprime et Réapprendre à dormir (Albin Michel).ATTENTION : ces informations ne remplacent en aucun cas une consultation chez le médecin.Une citation avec le Pr Pierre Philip : "La conscience a un support organique."À réécouter :Sommeil & santé mentale : insomnie, heures de sommeil, se coucher avant minuit ?Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseThèmes abordés lors du podcast avec le Pr Pierre Philip : 00:00Introduction02:29Cerveau : l'état actuel des connaissances06:10Le Default mode network10:36Éteindre la peur avec l'ACT et les TCC19:48Lien corps / pathologie psy24:23Définition de la "maladie structurée"27:16Stratégies pour une bonne santé mentale28:48Le yoga nidra ?31:45Stratégies adaptatives et régulation36:11Sortir de la crainte !Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Photo DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les volets rouges du château de Martel sont clos. Les terres accolées à la petite commune de Monflanquin, dans le Lot-et-Garonne, ont pris les allures d'un domaine hanté. La famille De Védrines, noble et protestante, implantée dans la région depuis le XVIIe siècle, n'est devenue que l'ombre d'elle-même. Voilà des semaines, des mois, des années, que l'on ne voit plus aucun de ses membres. Ils congédient tout visiteur, rasent les murs les jours de marché, annulent chaque été leur festival d'art lyrique, et demeurent reclus nuit et jour derrière les enceintes de leur forteresse. Ils ont confié leur patrimoine, leur libre-arbitre et leur vie à une simple voix qui, par téléphone, dicte le moindre de leurs faits et gestes. Un protecteur, un maître à penser, un gourou pensent certains, qui leur répète inlassablement quoi dire, quoi penser, envers qui se méfier : l'État, les banques, les francs-maçons, et le monde entier.En décembre 2009, une véritable délégation se mobilise à Oxford. Me Picotin, l'avocat de Jean Marchand, a réuni autour de lui des psychanalystes, des psychologues, une criminologue, un détective... Il lance l'opération Bow Window, du nom de l'adresse où vivent encore les derniers reclus, et inspirée de l'Exit Counseling : la méthode, importée des États-Unis, consiste à désamorcer en douceur les mensonges d'un gourou, ou d'une secte, enrayer leur discours, les mécanismes de manipulation, pour redonner aux victimes leur libre-arbitre.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.
Comme grands névrosés, les IA font-elles de bons thérapeutes ? De bons responsables politiques ? On fait la revue des modèles de la semaine et une revue du matériel de la tech du moment dans cet épisode de podcast tech, avec la hausse du prix de la mémoire vive. On observe aussi comment les États-Unis voudraient gagner en indépendance vis-à-vis de l’européen ASML pour construire des appareils capables de graver les processeurs de demain. Nouveau : offrez un abonnement Patreon pour Noël : techcafe.fr/cadeau Patreon YouTube Discord Modèles de la semaine Kling O1 et le bon son. Neural Remaster, Ultra Image, LATTICE et RELIC Nano banana, la beauté de l'imperfection. Dans un océan de fake, la réponse c'est… la PSP. L'IA peut nous influencer politiquement. Moi, je voterais pour elle. En tant que grands névrosés, les LLM font pas de bons thérapeutes. Ça va ramer Aux Ram citoyens, pleurez configurations ! Un choc qui restera dans les mémoires… La Chine passe au 5nm, va-t-on acheter ? Partenaire particulé : ça s'accélère E pluribus unum : share moment share life avec Hodak. Ils plient mais ne rompent pas. Réforme des retraites chez Apple. Pour votre sécurité, soyez Reactif. Participants Une émission préparée par Guillaume Poggiaspalla Présenté par Guillaume Vendé
Au programme de Radio foot aujourd'hui (16h10 / 21h10 T.U) : - La Ligue des Champions. Nous revenons sur la 6è journée de phase de Ligue. ; Nous faisons le point sur le classement, dominé par Arsenal qui a poursuivi son carton plein. ; J-10 avant la CAN. Ligue des Champions Nous revenons sur la 6è journée de phase de Ligue. - Real Madrid 1 - 2 Manchester CityRetour sur le choc de la semaine et la nouvelle défaite des Merengue, privés de Kylian Mbappé. - Athletic Bilbao 0 - 0 Paris SGDominateurs, les champions d'Europe en titre ont buté sur la défense basque. Ils restent bien installés dans le top 8. - Nous faisons le point sur le classement, dominé par Arsenal qui a poursuivi son carton plein. Qui finira dans le top 8 et accédera aux huitièmes de finale ? Qui passera par les barrages ? Nous nous projetons sur les deux dernières journées de la phase de ligue. J-10 avant la CAN ! Début de la série du service des sports de RFI consacrée aux joueurs de Ligue 1 qui s'apprêtent à participer à la Coupe d'Afrique des Nations au Maroc. Aujourd'hui, entretien de Baptiste Leduc avec Lionel Mpasi, le gardien des Léopards de RDC. Autour d'Olivier Pron ce jeudi : Patrick Juillard, Salim Baungally et Yoro Mangara. Laurent Salerno aux manettes, Victor Missistrano à la préparation.
C dans l'air du 11 décembre 2025 - Ukraine : Zelensky prêt à lâcher des territoiresUne proposition concernant des concessions territoriales ukrainiennes dans le cadre d'un plan pour mettre fin à la guerre en Ukraine a été soumise à Donald Trump, a annoncé ce jeudi 11 décembre le chancelier allemand Friedrich Merz. Le président américain s'était montré ces derniers jours particulièrement critique envers les dirigeants ukrainiens et même européens. Hier, il a déclaré avoir eu des "mots assez forts" pendant son entretien un peu plus tôt avec le président de la République, le Premier ministre britannique et le chancelier allemand."Ils aimeraient que nous participions à une réunion en Europe ce week-end. Nous allons prendre une décision en fonction de ce qu'ils nous diront. Nous ne voulons pas perdre notre temps", a ensuite affirmé Donald Trump, ajoutant : "Avant d'aller à une réunion, il y a des choses que nous voulons savoir". Mardi, dans une interview accordée au média en ligne Politico, quelques jours après la publication de la Stratégie de sécurité nationale américaine, Donald Trump a également redoublé de critiques contre des dirigeants politiques européens qu'il juge faibles et une Europe déclinante ; contre l'Ukraine, qui n'a selon lui aucune chance car la Russie est la plus grande, et un Zelensky "perdant" accusé d'"utiliser la guerre" pour ne pas remettre en jeu son mandat.Visé par de nouveaux propos acerbes de Donald Trump, le président ukrainien avait assuré mardi être "prêt" à organiser une élection présidentielle en Ukraine, mais pas dans n'importe quelles conditions. "Je demande maintenant (...) aux États-Unis de m'aider, avec nos partenaires européens, à garantir la sécurité nécessaire pour la tenue d'élections. Si cela se produit, l'Ukraine sera prête à organiser des élections dans les 60 à 90 prochains jours", a-t-il assuré. Avec cette déclaration, Volodymyr Zelensky renvoie la balle aux Américains, qui ont échoué à obtenir un cessez-le-feu malgré des mois de négociations avec la Russie.Pour l'heure, la guerre se poursuit et l'Ukraine a lancé ce jeudi une importante attaque aérienne sur Moscou et plusieurs régions de Russie. En mer Noire, un pétrolier russe de sa flotte fantôme a également été touché hier par un drone ukrainien. Le secteur énergétique russe, poumon économique du pays, est sous la pression des sanctions occidentales visant à assécher le financement de la guerre menée par Moscou et de l'intensification, depuis cet été, des frappes ukrainiennes qui visent ses raffineries et infrastructures d'hydrocarbures. Selon l'AIE, les revenus pétroliers du pays sont tombés à leur plus bas niveau depuis 2020.Alors, où en sont les discussions sur un plan de paix en Ukraine ? Pourquoi Donald Trump multiplie-t-il les critiques envers l'Europe ? Faut-il craindre des ingérences étrangères lors des prochaines élections en France ? Enfin, que faut-il retenir du débat et du vote sur la défense nationale qui se sont déroulés hier à l'Assemblée ?Nos experts :- James ANDRÉ - Grand reporter – France 24- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur de D'un monde à l'autre - Marion VAN RENTERGHEM ( en duplex) - Grand reporter, chroniqueuse - L'Express, auteure de Le piège Nord Stream
C dans l'air du 11 décembre 2025 - Ukraine : Zelensky prêt à lâcher des territoiresUne proposition concernant des concessions territoriales ukrainiennes dans le cadre d'un plan pour mettre fin à la guerre en Ukraine a été soumise à Donald Trump, a annoncé ce jeudi 11 décembre le chancelier allemand Friedrich Merz. Le président américain s'était montré ces derniers jours particulièrement critique envers les dirigeants ukrainiens et même européens. Hier, il a déclaré avoir eu des "mots assez forts" pendant son entretien un peu plus tôt avec le président de la République, le Premier ministre britannique et le chancelier allemand."Ils aimeraient que nous participions à une réunion en Europe ce week-end. Nous allons prendre une décision en fonction de ce qu'ils nous diront. Nous ne voulons pas perdre notre temps", a ensuite affirmé Donald Trump, ajoutant : "Avant d'aller à une réunion, il y a des choses que nous voulons savoir". Mardi, dans une interview accordée au média en ligne Politico, quelques jours après la publication de la Stratégie de sécurité nationale américaine, Donald Trump a également redoublé de critiques contre des dirigeants politiques européens qu'il juge faibles et une Europe déclinante ; contre l'Ukraine, qui n'a selon lui aucune chance car la Russie est la plus grande, et un Zelensky "perdant" accusé d'"utiliser la guerre" pour ne pas remettre en jeu son mandat.Visé par de nouveaux propos acerbes de Donald Trump, le président ukrainien avait assuré mardi être "prêt" à organiser une élection présidentielle en Ukraine, mais pas dans n'importe quelles conditions. "Je demande maintenant (...) aux États-Unis de m'aider, avec nos partenaires européens, à garantir la sécurité nécessaire pour la tenue d'élections. Si cela se produit, l'Ukraine sera prête à organiser des élections dans les 60 à 90 prochains jours", a-t-il assuré. Avec cette déclaration, Volodymyr Zelensky renvoie la balle aux Américains, qui ont échoué à obtenir un cessez-le-feu malgré des mois de négociations avec la Russie.Pour l'heure, la guerre se poursuit et l'Ukraine a lancé ce jeudi une importante attaque aérienne sur Moscou et plusieurs régions de Russie. En mer Noire, un pétrolier russe de sa flotte fantôme a également été touché hier par un drone ukrainien. Le secteur énergétique russe, poumon économique du pays, est sous la pression des sanctions occidentales visant à assécher le financement de la guerre menée par Moscou et de l'intensification, depuis cet été, des frappes ukrainiennes qui visent ses raffineries et infrastructures d'hydrocarbures. Selon l'AIE, les revenus pétroliers du pays sont tombés à leur plus bas niveau depuis 2020.Alors, où en sont les discussions sur un plan de paix en Ukraine ? Pourquoi Donald Trump multiplie-t-il les critiques envers l'Europe ? Faut-il craindre des ingérences étrangères lors des prochaines élections en France ? Enfin, que faut-il retenir du débat et du vote sur la défense nationale qui se sont déroulés hier à l'Assemblée ?Nos experts :- James ANDRÉ - Grand reporter – France 24- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur de D'un monde à l'autre - Marion VAN RENTERGHEM ( en duplex) - Grand reporter, chroniqueuse - L'Express, auteure de Le piège Nord Stream