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durée : 00:03:19 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Depuis le début de la COP 30 au Brésil, des manifestants issus des peuples autochtones d'Amazonie tentent de se faire entendre. Oui car ils sont écartés des négociations. Ils étaient déjà écartés de leurs terres, ils ont l'habitude… Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:19 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Depuis le début de la COP 30 au Brésil, des manifestants issus des peuples autochtones d'Amazonie tentent de se faire entendre. Oui car ils sont écartés des négociations. Ils étaient déjà écartés de leurs terres, ils ont l'habitude… Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:58:50 - LSD, la série documentaire - par : Aurélie Bambuck - Quand les descendants des acteurs de l'esclavage colonial donnent de la voix pour briser le silence et lever le tabou sur un crime contre l'humanité. Ils sont artistes, militants associatifs, psychiatres et veulent transmettre pour ne pas oublier. - réalisation : David Jacubowiez
Radio Foot ce lundi 16h10-21h10 T.U. À la Une de cette première émission de la semaine : - Ils l'ont fait et continuent de rêver au Mondial ! ; - Coup d'arrêt pour le Sénégal après 26 matches sans défaite. ; - Le Portugal facile pour sa dernière rencontre d'éliminatoires dimanche à Porto face à l'Arménie. - Ils l'ont fait et continuent de rêver au Mondial ! Les Léopards ont sorti les Super Eagles en finale de barrages africains hier (16 novembre 2025) à Rabat. 1-1 à l'issue du temps règlementaire. Il a fallu une prolongation et une longue séance de tirs au but pour départager les équipes. Timothy Fayulu, coup de poker de Sébastien Desabre ! Un capitaine encore décisif ! Chancel Mbemba valide l'ultime tentative congolaise, envoie son équipe au Mexique en mars 2026 pour un dernier tournoi avant l'Amérique. De demi-Dieu à Dieu tout court ? La RDC a-t-elle fait le plus dur ? La sortie d'Osimhen, tournant du match ? Le Nigeria était donné favoris mais a déçu. - Coup d'arrêt pour le Sénégal après 26 matches sans défaite. Les Lions de la Teranga battus à Londres en amical par un Brésil déterminé qui prend sa revanche après le revers de juin 2023. Estevao et Casemiro buteurs, les Lions ont raté l'occasion de revenir, mais le secteur offensif sénégalais a manqué de continuité pour tromper un bloc bien en place. Une dernière rencontre face au Kenya mardi pour l'équipe de Pape Thiaw, avant de mettre le cap sur le Maroc pour la CAN. - Le Portugal facile pour sa dernière rencontre d'éliminatoires dimanche à Porto face à l'Arménie. Cristiano Ronaldo était suspendu. Score final 9-1 pour les Rouge et Vert qui jouaient en noir. Triplé pour Bruno Fernandes et Joao Neves, qui s'est distingué tout comme un autre Parisien, Gonçalo Ramos. 4 succès et 1 nul pour les joueurs de Roberto Martinez qui se qualifient une 9è fois pour une phase finale. Vont-ils briller sur le continent américain ? Ils n'ont été battus que par l'Irlande qui finit barragiste du groupe F. Pour débattre avec Hugo Moissonnier, Yoro Mangara, Marc Libbra et Eric Rabesandratana. Technique/réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.
Radio Foot ce lundi 16h10-21h10 T.U. À la Une de cette première émission de la semaine : - Ils l'ont fait et continuent de rêver au Mondial ! ; - Coup d'arrêt pour le Sénégal après 26 matches sans défaite. ; - Le Portugal facile pour sa dernière rencontre d'éliminatoires dimanche à Porto face à l'Arménie. - Ils l'ont fait et continuent de rêver au Mondial ! Les Léopards ont sorti les Super Eagles en finale de barrages africains hier (16 novembre 2025) à Rabat. 1-1 à l'issue du temps règlementaire. Il a fallu une prolongation et une longue séance de tirs au but pour départager les équipes. Timothy Fayulu, coup de poker de Sébastien Desabre ! Un capitaine encore décisif ! Chancel Mbemba valide l'ultime tentative congolaise, envoie son équipe au Mexique en mars 2026 pour un dernier tournoi avant l'Amérique. De demi-Dieu à Dieu tout court ? La RDC a-t-elle fait le plus dur ? La sortie d'Osimhen, tournant du match ? Le Nigeria était donné favoris mais a déçu. - Coup d'arrêt pour le Sénégal après 26 matches sans défaite. Les Lions de la Teranga battus à Londres en amical par un Brésil déterminé qui prend sa revanche après le revers de juin 2023. Estevao et Casemiro buteurs, les Lions ont raté l'occasion de revenir, mais le secteur offensif sénégalais a manqué de continuité pour tromper un bloc bien en place. Une dernière rencontre face au Kenya mardi pour l'équipe de Pape Thiaw, avant de mettre le cap sur le Maroc pour la CAN. - Le Portugal facile pour sa dernière rencontre d'éliminatoires dimanche à Porto face à l'Arménie. Cristiano Ronaldo était suspendu. Score final 9-1 pour les Rouge et Vert qui jouaient en noir. Triplé pour Bruno Fernandes et Joao Neves, qui s'est distingué tout comme un autre Parisien, Gonçalo Ramos. 4 succès et 1 nul pour les joueurs de Roberto Martinez qui se qualifient une 9è fois pour une phase finale. Vont-ils briller sur le continent américain ? Ils n'ont été battus que par l'Irlande qui finit barragiste du groupe F. Pour débattre avec Hugo Moissonnier, Yoro Mangara, Marc Libbra et Eric Rabesandratana. Technique/réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.
Les New England Patriots font respecter leur statut de favoris face aux New York Jets, avec une victoire 27 à 14. La 8e victoire consécutive pour les coéquipiers de Drake Maye.Tout n'a pas été parfait, mais au moins, les hommes de Mike Vrabel s'extirpent du piège laissé par les hommes d'Aaron Glenn. Ils doivent cette victoire à TreVeyon Henderson. Le running back rookie des Patriots voit triple, et pourrait s'imposer comme le running back numéro 1 définitivement.Retour sur terre et des problèmes du côté des Jets. Malgré une prestation plus qu'honorable, Justin Fields est-il encore en danger ? Non menacé ces derniers temps, Aaron Glenn peut-il trouver les solutions pour que sa franchise ne termine pas sur une note très négative ?Nithinya Simuong et Kevin Renaudet au micro.Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Nigeria est de nouveau dans le viseur de l'administration Trump. Le président américain a récemment menacé le pays d'une intervention militaire pour protéger les chrétiens du Nigeria, qui seraient victimes, selon lui, de violences ciblées sous l'œil indifférent des autorités. Le Nigeria a été réintégré à la liste américaine des « pays particulièrement préoccupants en matière de liberté religieuse », dont il était sorti en 2021. Avant cela, Washington avait déjà annoncé un durcissement considérable des conditions d'obtention de visas « non immigrants » pour les citoyens nigérians désireux de se rendre aux États-Unis. Fin octobre, l'écrivain Wole Soyinka a également révélé que son visa américain avait été annulé. RFI a rencontré, à Paris, le premier prix Nobel africain de littérature, en 1986, qui a toujours été une voix critique de la politique de Donald Trump. RFI : Pensez-vous retourner un jour aux États-Unis ? Wole Soyinka : J'en doute vraiment. C'est peu probable Récemment, vous avez annoncé que votre visa américain avait été révoqué. Pour quelles raisons exactement ? C'est un problème ancien qui remonte déjà à la première élection de Donald Trump. J'enseignais aux États-Unis et j'ai vu l'émergence de cette rhétorique politique à la fois raciste, exclusioniste, mais aussi égocentrique. Et en général extrêmement méprisant vis-à-vis des immigrés et même des étrangers. Rappelez-vous, quand il est arrivé au pouvoir, il a désigné un certain nombre de pays comme « des pays de merde », pardonnez l'expression. Je l'ai compris dès la campagne et j'ai promis que si cet homme arrivait au pouvoir, je déchirerais ma carte verte. C'est exactement ce que j'ai fait. Pourtant, après cela, vous avez quand même obtenu un autre visa pour les États-Unis ? Oui, parce que, peu après avoir déchiré ma carte verte, j'ai reçu un courrier de l'administration fiscale américaine, pour m'annoncer que j'allais avoir un contrôle fiscal. Donc, je suis allé à l'ambassade au Nigeria, je leur ai expliqué que j'avais détruit mon permis de résidence aux États-Unis, mais que je ne voulais pas être considéré comme un fraudeur ou un fugitif. J'ai demandé un nouveau visa pour répondre à cette missive. C'est ce visa qui vient d'être annulé ? Oui, c'est correct. Cette fois, je n'ai même pas pris la parole. J'ai été directement ciblé, comme d'autres gens. J'ai reçu une lettre générique du consulat, une lettre qu'ils ont aussi adressée à d'autres Nigérians – et j'en suis sûr, aux citoyens d'autres pays – pour me demander de me présenter à un entretien. Parce que, je cite, « il y a eu des changements depuis l'émission de votre visa ». Ils me demandaient de me présenter au consulat, avec mon passeport. Je suis trop occupé pour cela et je savais très bien qu'ils avaient déjà pris leur décision, donc je n'y suis pas allé. Depuis que Donald Trump est revenu au pouvoir aux États-Unis, les immigrés sont ramassés dans la rue, au restaurant, et même dans les écoles. Je n'ai pas vraiment envie d'être associé à ce que cette société est devenue sous Donald Trump. Plus récemment, Donald Trump a fait de nouvelles déclarations concernant le Nigeria. Selon lui, les Chrétiens seraient les victimes d'une violence ciblée dans le pays. Qu'en pensez-vous ? D'abord, c'est arrogant, mais c'est aussi profondément irresponsable. Je ne connais aucun pays à travers le monde qui ne connait pas de frictions. Bien sûr, il n'est pas question de nier l'existence d'extrémistes religieux au Nigeria et plus spécifiquement d'islamistes intégristes. Je le dis ouvertement. D'ailleurs, j'ai même écrit une pièce sur le meurtre d'une jeune étudiante, accusée de blasphème, qui a été lynchée et déshumanisée. On sait qu'il y a un problème. Mais c'est un acte extrêmement hostile lorsqu'une personne venue de l'extérieur exacerbe et exagère ce problème. Il y a des tensions, il y a des violences, notamment entre les fermiers et les éleveurs. Des centaines de personnes ont été tuées dans ce conflit. Parfois, la religion est en cause, mais souvent, c'est plutôt une question économique. Bien sûr, les enlèvements d'enfants contre rançon sont des actes criminels. Mais choisir un aspect du problème, et affirmer que c'est la religion qui est au centre de toutes ces violences, ce n'est pas seulement mauvais, c'est aussi criminel. Rappelez-vous les mots qu'il a utilisés pour menacer le Nigeria d'une intervention militaire. Il a dit que les américains attaqueraient « armes à la main » et que ce serait « rapide, vicieux et doux ». Est-ce vraiment le genre de déclarations que l'on attend d'un leader ? Un chef d'État n'a pas le droit d'être simpliste. Et surtout n'a absolument pas le droit de creuser encore les divisions qui existent déjà. Il n'y a pas de société sans tensions, même aux États-Unis. Pour finir, au mois d'octobre, le théâtre national de Lagos a rouvert ses portes sous le nom de Centre Wole Soyinka pour la culture et les arts créatifs. Appréciez-vous cette attention pour votre 90e anniversaire ? Oui, c'est évidemment un honneur. Mais celui-ci devait-il m'être attribué ? C'est une autre question. Notamment lorsque vous avez passé, comme moi, toute votre vie à traverser toutes sortes de dictatures, où les dirigeants donnent leur nom à tout et n'importe quoi, y compris à des toilettes publiques. Je suis indifférent à ce genre de chose. J'ai vécu ma vie, j'ai fait mon travail, je suis satisfait. À lire aussiDonald Trump en croisade pour protéger les chrétiens africains?
Ce lundi 17 novembre, Alexis Karklins-Marchay, directeur général délégué d'Eight Advisory, était l'invité d'Annalisa Cappellini dans Le monde qui bouge - L'Interview, de l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier. Ils sont revenus sur la tension entre le Japon et la Chine au sujet de Taïwan. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ils sont 35% à souffrir de ce qu'on appelle "le syndrome du nid vide". Et parmi les premières concernées… les mamans. Ce syndrome s'apparente à une forme de dépression que peuvent ressentir nos génitrices quand nous, leurs enfants, prenons notre envol et quittons le nid familial. Il concerne principalement les mamans puisqu'elles sont statistiquement plus occupées par les enfants que leurs maris, chez les couples hétérosexuels. Mais pourquoi ce syndrome concerne-t-il principalement nos mères ? Que pouvons-nous faire pour l'éviter ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Johanna Cincinatis. Première diffusion : août 2021 À écouter aussi : Notre personnalité change-t-elle quand on parle une autre langue ? Qu'est-ce que la technique du sous-marin ? Que peut changer l'introduction de l'IVG dans la Constitution française ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:06:15 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Alors que sortent ce lundi soir les palmarès du Fooding et du Gault&Millau, Émilie Laystary, journaliste et autrice, "Passer à table - Ce que l'acte de manger dit de nous" (Divergences), est l'invitée du 6h20. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Recherché depuis 13 ans, un fugitif américain a été retrouvé en Alsace. Michael Wiseman, poursuivi pour pédocriminalité, vivait depuis un an à Kilstett, près de Strasbourg, sous un faux nom. Il était l'un des criminels les plus recherchés de l'Arizona, en Alsace, il se faisait appeler Robert Danilewski. Selon l'AFP, l'homme de 51 ans était recherché depuis 2012 après s'être enfui pendant une période de libération conditionnelle. Selon le communiqué de la police de Scottsdale, il aurait commis de nouveaux actes d'abus sexuels sur mineur de moins de 15 ans, potentiellement en France sur un des enfants qu'il aurait adopté. Il est actuellement détenu en France pour ses crimes commis sur le sol français avant d'être extradé aux Etats-Unis. Libérés après plus de trois ans de détention en Iran, Cécile Kohler et Jacques Paris débutent leur reconstruction mais toujours loin de leurs proches. Ils sont pour le moment toujours confinés dans l'enceinte de l'ambassade de France à Téhéran. Selon leurs proches et les informations de nos confrères des DNA, Cécile profite du parc de la résidence, lit de nouveau et a déjà retranscrit les 74 poèmes qu'elle avait composés en détention. Le couple vit dans un studio, au sein de l'ambassade, entouré d'une équipe du Quai d'Orsay pour leur accompagnement. La France de son côté continue de travailler à leur retour dans les meilleurs délais. A l'occasion de la 14ème semaine de l'industrie, l'association “Elles bougent” ouvre les portes des entreprises à plus de 5500 jeunes filles partout en France. L'objectif : leur faire découvrir les métiers de ce secteur, grâce à des ateliers, des visites et des rencontres avec des ingénieurs et des techniciennes. En Alsace, cinq événements sont organisés à partir d'aujourd'hui et jusqu'à vendredi pour immerger les collégiennes, lycéennes et étudiantes. Le programme complet est à retrouver sur le site internet ellesbougent.com. Grave accident de la route dans le Haut-Rhin. Hier, vers 2 heures du matin, un véhicule circulant entre Rustenhart et Dessenheim a fait une sortie de route avant de percuter un arbre. Quatre adolescents, trois mineurs et un majeur, étaient à bord. Une jeune femme qui était passagère à l'arrière est décédée sur le coup. Les trois autres, dont le conducteur âgé de 17 ans, ont été évacués à l'hôpital. Deux d'entre eux, le passager avant et le deuxième passager arrière, étaient dans un état grave et ont dû être désincarcérés. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'accident. Un policier rattrape en courant un livreur de stupéfiants. A Colmar ce samedi aux alentours de 16h, un adolescent circulait à trottinette électrique et a pris la fuite pour échapper à un contrôle de police. Les agents ont d'abord tenté de le rattraper en voiture et l'un deux est ensuite descendu du véhicule pour lui courir après. En possession d'une quarantaine de grammes d'héroïne, de trois ou quatre grammes de cocaïne et d'une centaine d'euros, l'adolesent de 17 ans a reconnu qu'il transportait ces produits pour les livrer. Il était hier soir toujours en garde à vue.A Strasbourg, un conducteur de bus a été agressé. Cela s'est déroulé vendredi soir à l'arrêt carpe Haute sur la ligne C1 dans le quartier de la Robertsau. Le passager a roué de coup le chauffeur alors que ce dernier lui demandait de descendre. Il a été transporté à l'hôpital et une enquête a été ouverte. L'agresseur est pour le moment toujours recherché. Et on termine ce journal par un mot de sport. En handball, le SAHB a accueilli vendredi soir Chambéry au Centre Sportif Intercommunal de Sélestat. Les deux équipes se sont quittées dos à dos, 33 à 33.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le gouvernement a voulu organiser un Choose France en version française. Ils seront plus de 150 chefs d'entreprises tricolores à se réunir autour du gouvernement pour parler de compétitivité et des investissements seront annoncés dans la santé, les data centers, le tourisme, le spatial, l'énergie. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'horoscope. Les Étoilés, c'est l'horoscope qui bouscule les règles. Pas de destin imposé, pas de promesses creuses : juste un éclairage céleste pour vous aider à avancer avec lucidité. Ici, les astres ne décident pas pour vous — ils vous inspirent. Ils deviennent un miroir, jamais un maître.Le concept ? Des messages courts, percutants, conçus pour vous reconnecter à votre intuition. Des repères simples, immédiats, pour capter l'énergie du moment et la transformer en élan personnel. Nul besoin d'être expert : tout est pensé pour être clair, accessible et utile au quotidien.Les Étoilés, c'est une dose de sens, pas de superstition. Une approche moderne où les symboles du ciel éclairent vos choix, votre état d'esprit, votre créativité. Positive, libre, assumée.
durée : 00:12:20 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Des études scientifiques ont montré que les filtres de cigarette ne protègent pas la santé des fumeurs. Ils font en revanche des ravages sur les plages. L'ONG Surfrider milite pour leur interdiction. Egalement au programme : Audition Solidarité, qui récolte des appareils auditifs pour les donner. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ils sont les derniers à avoir régné à Versailles. Comme pour chacun, le hasard, le destin a joué pour beaucoup. Dans leur accession prématurée au trône, puis dans leurs vies, jusqu'à leur déchéance et leur mort. Un podcast Bababam Originals Ecriture et voix : Alice Deroide Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
À Nouadhibou, deuxième ville de Mauritanie, de nombreux Africains partent en pirogues vers les îles Canaries, en Espagne, au péril de leur vie. Dans cette ville portuaire devenue carrefour migratoire, de plus en plus de familles font le choix de rester sur place et tentent d'envoyer leurs enfants à l'école malgré la précarité. Une école, fondée par des migrants pour des migrants, leur ouvre aujourd'hui une chance d'avenir, dans un contexte où l'Europe renforce ses contrôles, et où la Mauritanie devient un partenaire clé de la gestion des flux migratoires. De notre correspondante en Mauritanie, À l'étage d'une petite maison de Nouadhibou, plusieurs pièces ont été transformées en salles de classe. Particularité : ces classes sont réservées aux enfants de migrants. Yama Fama Ndiaye, Sénégalaise de 12 ans, est à Nouadhibou depuis deux ans avec son père. Elle vient s'inscrire à l'école. « Mon papa travaille dans le poisson. Je veux apprendre le français et l'arabe », explique-t-elle. Les enfants viennent d'une dizaine de pays d'Afrique de l'Ouest et centrale. Les professeurs, eux, sont membres de l'Organisation de soutien aux migrants et aux réfugiés, qui a créé l'école en 2018. « Les enfants apprennent généralement le français. Ici, il y a plusieurs cultures : les Maliens, les Sénégalais... Ils apprennent les mathématiques arabes. Cela leur permet de s'intégrer dans le pays », précise Blanche, Camerounaise. Un enseignement adapté aux enfants en situation de migration Nouadhibou est un lieu de passage prisé des Africains qui cherchent à rejoindre l'Europe : frontalière du Maroc, à quelques jours seulement des Canaries par la mer. L'école adapte son enseignement aux besoins spécifiques de ces enfants venus parfois de très loin. « Ce sont des enfants qui ont traversé des pays et des moments très difficiles. On a aussi des enfants qui sont des réfugiés de guerre. Quand ils arrivent ici, ils ont un traitement quand même à part, surtout dans leur éducation. On a formé nos enseignants de sorte qu'ils puissent détecter ça, et puis améliorer leur éducation », précise Sahid Moluh, directeur de l'école. Baisse du nombre de migrants Sous pression des partenaires européens, la Mauritanie multiplie les contrôles et les rafles contre les migrants sans titre de séjour. Beaucoup de parents n'ont pas obtenu la carte de résidence et ne peuvent donc ni travailler librement ni se déplacer. « On rafle parfois les hommes. On laisse les femmes avec les enfants, raconte Amsatou Vepouyoum, présidente de l'Organisation. Ici, nous sommes en location. Il y a quand même l'apport des parents d'élèves. Ils apportent pour la contribution du loyer et pour donner aux encadreurs, qui sont des bénévoles. » L'école fait payer une petite participation : 600 ouguiyas, soit environ 13 euros par mois. Mais en cette rentrée, le portefeuille des familles est au plus bas, et les inscriptions se font timides. « Ça, c'est un centre qui accueille parfois 250 personnes. Mais depuis lundi, jusqu'à présent, nous n'avons pas encore 80 élèves, cela veut dire que l'impact est visible », poursuit Amsatou Vepouyoum. La tendance aux départs reste forte, même si les chiffres ont reculé. Entre janvier et août 2025, un peu plus de 12 000 migrants ont atteint les îles Canaries, soit une baisse de plus de 50% par rapport à la même période en 2024, selon Frontex et le ministère espagnol de l'Intérieur. À lire aussiGuinée: une nouvelle route dangereuse pour la migration vers les Canaries au départ de Kamsar
À quoi ressemblait le Dahomey de 1930 ? Une exposition historico-ethnographique se tient actuellement au musée Albert-Kahn de Boulogne-Billancourt, en banlieue de Paris, jusqu'en juin prochain. On y découvre des centaines de clichés et de films pris à l'époque par une expédition financée par l'homme d'affaires Albert Kahn, et organisée par un prêtre missionnaire, le père Aupiais. L'exposition s'intitule « Bénin aller-retour, regards sur le Dahomey de 1930 ». En janvier 1930, un drôle d'équipage quitte Paris pour le Dahomey. L'opérateur Frédéric Gadmer transporte de lourdes caméras et des appareils capables de produire des autochromes en couleurs, ancêtres de la diapositive. À ses côtés, se tient le père missionnaire Francis Aupiais. Un bien curieux missionnaire. Censé évangéliser le Dahomey, il tombe amoureux de sa culture et de sa religion, le vodun. « C'est un personnage très intéressant, parce qu'il est complètement acteur de la colonisation et, à la fois, c'est quelqu'un qui n'a pas du tout les préjugés de son époque », explique Julien Faure-Conorton, l'un des commissaires de l'exposition. Ce dernier a travaillé pendant des années sur les 1 102 clichés et les 140 bobines de films rapportés par l'expédition. Une équipée financée par le mécène Albert Kahn, soucieux de documenter les richesses du monde avant les bouleversements induits par le capitalisme. « Ce père missionnaire va aller voir Albert Kahn avec un projet double, qui est le projet officiel, à savoir documenter les œuvres missionnaires au Dahomey. Et puis de l'autre côté, ce dont on a l'impression qui constitue le vrai projet qui va être de documenter les pratiques cérémonielles, donc liées à la royauté, et les pratiques cultuelles liées en particulier au vodun. », poursuit Nathalie Doury, directrice du musée Albert-Kahn. À lire aussiFrance: des milliers de photos du début du XXe siècle en ligne sur internet Il embarque ainsi sur les routes du Dahomey. Il est un opérateur soucieux d'exactitude documentaire et un missionnaire que sa hiérarchie regarde de biais en raison de sa fascination pour les colonisés. « Il utilise la culture traditionnelle du Dahomey pour démontrer la valeur de cette culture aux Européens. C'est pour cela qu'il se focalise sur les cérémonies vaudoues, les cérémonies royales et funéraires, parce qu'elles sont l'occasion pour lui de montrer la sophistication de la culture traditionnelle du Dahomey. Et donc finalement, par un raisonnement par l'absurde, de dire : "Vu que ces gens-là sont si sophistiqués, et que leurs cérémonies sont si élaborées, on ne peut pas les traiter comme des gens inférieurs" », décrypte Julien Faure-Conorton. Près d'un siècle après, les commissaires ne se sont pas contentés de présenter les films et les autochromes dans une scénographie léchée. Ils ont aussi choisi d'interroger des artistes contemporains. « Il s'agissait déjà d'offrir des contrepoints thématiques, politiques aussi, sur le regard occidental. Et c'est pour cela que des artistes comme Ishola Akpo ou Roméo Mivekannin sont très importants, car ils permettent de contrebalancer ce poids historique qui est assez pesant sur ces images », précise David-Sean Thomas, co-commissaire. Sept artistes béninois et africains proposent donc des tableaux, des photos, des vidéos questionnant le regard ethnographique. L'exposition a aussi donné lieu à une collaboration scientifique avec des chercheurs béninois. Et tous les documents présentés sont d'ailleurs accessibles via internet au public international. À lire aussiIndépendance du Dahomey
Yves Saint Laurent et Pierre Bergé se rendent pour la première fois en vacances à Marrakech. Là bas, après plusieurs jours de pluie, alors que le soleil revient, ils ont comme un choc. Un choc esthétique à la vue des jardins luxuriants et des maisons ocres, surplombés par les monts enneigés de l'Atlas. Ils se sentent incroyablement bien, en écoutant le chant des oiseaux et en sentant l'odeur du jasmin. Ils décident immédiatement d'y acheter une maison et d'y revenir plusieurs fois par an. Un podcast Bababam Originals Ecriture et voix : Alice Deroide Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
COMMENTAIRE DE L'ÉVANGILE DU JOUR Lc 21, 5-19 En ce temps-là, comme certains disciples de Jésus parlaient du Temple, des belles pierres et des ex-voto qui le décoraient, Jésus leur déclara : « Ce que vous contemplez, des jours viendront où il n'en restera pas pierre sur pierre : tout sera détruit. » Ils lui demandèrent : « Maître, quand cela arrivera-t-il ? Et quel sera le signe que cela est sur le point d'arriver ? » Jésus répondit : « Prenez garde de ne pas vous laisser égarer, car beaucoup viendront sous mon nom, et diront : ‘C'est moi', ou encore : ‘Le moment est tout proche.' Ne marchez pas derrière eux ! Quand vous entendrez parler de guerres et de désordres, ne soyez pas terrifiés : il faut que cela arrive d'abord, mais ce ne sera pas aussitôt la fin. » Alors Jésus ajouta : « On se dressera nation contre nation, royaume contre royaume. Il y aura de grands tremblements de terre et, en divers lieux, des famines et des épidémies ; des phénomènes effrayants surviendront, et de grands signes venus du ciel. Mais avant tout cela, on portera la main sur vous et l'on vous persécutera ; on vous livrera aux synagogues et aux prisons, on vous fera comparaître devant des rois et des gouverneurs, à cause de mon nom. Cela vous amènera à rendre témoignage. Mettez-vous donc dans l'esprit que vous n'avez pas à vous préoccuper de votre défense. C'est moi qui vous donnerai un langage et une sagesse à laquelle tous vos adversaires ne pourront ni résister ni s'opposer. Vous serez livrés même par vos parents, vos frères, votre famille et vos amis, et ils feront mettre à mort certains d'entre vous. Vous serez détestés de tous, à cause de mon nom. Mais pas un cheveu de votre tête ne sera perdu. C'est par votre persévérance que vous garderez votre vie. »
Marion a pris une semaine de congé avec ses 3 enfants (2 ½, 4 ½ ans et 6 ans) et son mari. Ils ont voyagé en avion et ont résidé à l'hôtel durant toute la durée de leur séjour. Quelles sont les éléments à considérer avant le départ, pendant le vol, durant le séjour et au retour afin de répondre aux besoins de plaisir et de sommeil de chacun. Marion nous partage son expérience !Bonne écoute
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Quelles solutions face à la crise du logement que traverse la France ? Alors que de nombreux jeunes en particulier ne parviennent plus à se loger dans les grandes villes, une nouvelle forme d'habitat partagé se développe de plus en plus ces dernières années : le coliving. Il s'agit, comme la colocation, d'un même appartement dont plusieurs personnes louent les chambres. Sauf que chacun a ici son propre bail, pour une chambre, et un accès partagé à des services. Face à ce que les détracteurs de ce système qualifient de « machine à cash », la ville de Paris a agi : en octobre, elle a adopté une délibération pour refuser tout nouveau projet immobilier de coliving. Nous sommes dans un coliving. Ici, chacun loue sa chambre meublée, et les 600m² de cuisine, salon et salle de sport communes. Ce n'est pas vraiment une colocation traditionnelle, car les baux sont individuels et gérés par une société qui vend un logement clé en main. Victor Augais, le gérant, défend son modèle : « Le modèle habituel de la Casa, c'est de racheter des grandes maisons qui logeaient quatre, six personnes, et puis en fin de vie, deux personnes âgées. Nous, après réaménagement, on va faire une douzaine de chambres. Ça me semble plutôt positif, dans un cadre de pénurie de logements, que négatif. » Le loyer est de 675 euros, auxquels s'ajoutent 275 euros de charges et services, dont un petit-déjeuner quotidien. « On loue chambre et une partie des parties communes. Une douzaine de m² pour la chambre et la salle de bain, et à peu 11m² de part de partie commune », poursuit-il. Payer 950 euros par mois, n'est-ce pas un peu cher pour 10m² de partie individuelle ? Il répond : « Les pratiques de loyer sont conformes au marché. Si vous voulez avoir juste une partie privative et rien d'autres, louez un studio. » Vers une régulation du marché du coliving ? Un discours trompeur selon Ian Brossat, sénateur communiste de Paris et membre du conseil municipal. Son groupe a rédigé la délibération du 8 octobre 2025 pour rejeter tout nouveau projet de coliving dans la capitale. « Non, ça ne se justifie que le prix d'une chambre de 9m² s'élève à 950 euros de loyer, même si on a la possibilité de fréquenter des espaces communs. Comme nous avons encadré Airbnb, eh bien, les mêmes acteurs se tournent vers un nouveau produit qui doit leur permettre d'atteindre les mêmes niveaux de rentabilité qu'ils n'atteignent plus aujourd'hui sur Airbnb. C'est ça, la réalité », analyse Ian Brossat. Une expérience qu'a vécue Julia, étudiante argentine arrivée à Paris il y a deux ans. Elle a loué pendant un an une chambre dans un coliving du 15e arrondissement de Paris : 10m² meublés pour 990 euros par mois. « C'est hyper cher », précise-t-elle. Les garants argentins de Julia étaient presque systématiquement refusés par les bailleurs. « À ce moment-là, c'est la seule solution que j'avais trouvée pour pouvoir vivre ici à Paris. Ils profitent de la situation des étrangers désespérés. J'avais surtout de l'argent de côté. J'ai payé le loyer pendant six mois, et après, j'ai trouvé un travail ici en France. C'est devenu un peu plus facile. » Ian Brossat et le groupe communiste au Sénat ont déposé une proposition de loi pour réguler le marché du coliving à l'échelle nationale. D'autres villes, comme Lyon ou Montreuil, envisagent aussi d'encadrer ce type d'habitat. À lire aussiPourquoi les prix des logements s'envolent ?
Je vous présente Tatiana, VP Product de Mirakl.Depuis des mois, on nous parle d'IA dans le Product.Mais entre la hype et la réalité, il y a un monde.Car quand l'IA est mal utilisée, elle devient un gadget :Elle génère du contenu génériqueElle fait perdre du temps aux équipesElle crée de fausses attentesElle n'apporte aucune valeur businessElle finit aux oubliettes après 2 semaines.Chez Mirakl, c'est différent.Ils ont intégré l'IA dans leurs process produit.2 personnes sur 3 ont créé leur propre agent IA.Je voulais comprendre leurs usages concrets de l'IA.Du coup j'ai proposé à Tatiana de discuter.Pour m'expliquer leurs cas d'usage réels.Bonne nouvelle : elle a tout partagé sur Le backlog.Prépare-toi à découvrir comment l'IAAide à prioriser le backlog (sans remplacer le PM)Valide ta roadmap avec des simulations client IAExtrait les insights de tes calls clientsBooste la productivité des PMEst utilisée dans des agents IA par 2/3 des équipesAide les Sales à mieux vendreHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À quoi ressemblait le Dahomey de 1930 ? Une exposition historico-ethnographique se tient actuellement au musée Albert-Kahn de Boulogne-Billancourt, en banlieue de Paris, jusqu'en juin prochain. On y découvre des centaines de clichés et de films pris à l'époque par une expédition financée par l'homme d'affaires Albert Kahn, et organisée par un prêtre missionnaire, le père Aupiais. L'exposition s'intitule « Bénin aller-retour, regards sur le Dahomey de 1930 ». En janvier 1930, un drôle d'équipage quitte Paris pour le Dahomey. L'opérateur Frédéric Gadmer transporte de lourdes caméras et des appareils capables de produire des autochromes en couleurs, ancêtres de la diapositive. À ses côtés, se tient le père missionnaire Francis Aupiais. Un bien curieux missionnaire. Censé évangéliser le Dahomey, il tombe amoureux de sa culture et de sa religion, le vodun. « C'est un personnage très intéressant, parce qu'il est complètement acteur de la colonisation et, à la fois, c'est quelqu'un qui n'a pas du tout les préjugés de son époque », explique Julien Faure-Conorton, l'un des commissaires de l'exposition. Ce dernier a travaillé pendant des années sur les 1 102 clichés et les 140 bobines de films rapportés par l'expédition. Une équipée financée par le mécène Albert Kahn, soucieux de documenter les richesses du monde avant les bouleversements induits par le capitalisme. « Ce père missionnaire va aller voir Albert Kahn avec un projet double, qui est le projet officiel, à savoir documenter les œuvres missionnaires au Dahomey. Et puis de l'autre côté, ce dont on a l'impression qui constitue le vrai projet qui va être de documenter les pratiques cérémonielles, donc liées à la royauté, et les pratiques cultuelles liées en particulier au vodun. », poursuit Nathalie Doury, directrice du musée Albert-Kahn. À lire aussiFrance: des milliers de photos du début du XXe siècle en ligne sur internet Il embarque ainsi sur les routes du Dahomey. Il est un opérateur soucieux d'exactitude documentaire et un missionnaire que sa hiérarchie regarde de biais en raison de sa fascination pour les colonisés. « Il utilise la culture traditionnelle du Dahomey pour démontrer la valeur de cette culture aux Européens. C'est pour cela qu'il se focalise sur les cérémonies vaudoues, les cérémonies royales et funéraires, parce qu'elles sont l'occasion pour lui de montrer la sophistication de la culture traditionnelle du Dahomey. Et donc finalement, par un raisonnement par l'absurde, de dire : "Vu que ces gens-là sont si sophistiqués, et que leurs cérémonies sont si élaborées, on ne peut pas les traiter comme des gens inférieurs" », décrypte Julien Faure-Conorton. Près d'un siècle après, les commissaires ne se sont pas contentés de présenter les films et les autochromes dans une scénographie léchée. Ils ont aussi choisi d'interroger des artistes contemporains. « Il s'agissait déjà d'offrir des contrepoints thématiques, politiques aussi, sur le regard occidental. Et c'est pour cela que des artistes comme Ishola Akpo ou Roméo Mivekannin sont très importants, car ils permettent de contrebalancer ce poids historique qui est assez pesant sur ces images », précise David-Sean Thomas, co-commissaire. Sept artistes béninois et africains proposent donc des tableaux, des photos, des vidéos questionnant le regard ethnographique. L'exposition a aussi donné lieu à une collaboration scientifique avec des chercheurs béninois. Et tous les documents présentés sont d'ailleurs accessibles via internet au public international. À lire aussiIndépendance du Dahomey
Ce supplément du Grand reportage est consacré aux attentats de Saint-Denis et Paris du 13 Novembre 2015. Des explosions à Saint-Denis au Stade de France vers 21h15, un passant est tué. Dix minutes plus tard, fusillades multiples dans le Xè et le XIè arrondissement de Paris visant des terrasses de cafés, une trentaine de morts. À 21h45, une troisième équipe de terroristes attaque la salle de concert du Bataclan et ses 1 500 spectateurs, 90 personnes sont tuées. 13 novembre 2015: vivre, 10 ans après C'était, il y a 10 ans, jour pour jour : les attentats de Paris et Saint-Denis, commis au nom du groupe État islamique. 130 morts à l'époque ; 132 désormais. Car le traumatisme peut être un lent poison. Arthur Desnouveaux est sorti physiquement indemne du Bataclan. Depuis 2017, il est le président de l'Association de Victime life for Paris. Nadia Mondeguer a perdu sa fille Lamia, assassinée à 30 ans, sur la terrasse du bar La Belle Équipe. Face au poids du traumatisme et du deuil, quel a été leur cheminement, leur chemin de vie, leur chemin de survie, ces 10 dernières années ? 13 novembre 2015: 10 ans après, le sens du souvenir Les noms des 132 victimes des attentats de Paris et de Saint-Denis. Ils sont égrenés, chaque 13 novembre, depuis 10 ans. Ces actes terroristes majeurs ont été commis au nom du groupe État islamique. Nadia Mondeguer est la maman de Lamia, tuée à 30 ans sur la terrasse du bar La Belle Équipe. Elle est un pilier de l'association 13onze15. Arthur Dénouveaux a réchappé à l'attentat du Bataclan, physiquement indemne. Il est, depuis 2017, le président de l'association Life for Paris, qui a décidé de se dissoudre ce 13 novembre 2025. Quelle importance apportent-ils aux commémorations qui sont organisées ? Quel regard portent-ils sur la mémoire collective, l'héritage de ces attentats ? Deux Grands reportages de Laura Martel qui s'entretient avec Jacques Allix.
Ils formèrent le couple le plus iconique de l'histoire de la mode. Yves Saint Laurent et Pierre Bergé écrivirent ensemble, pendant 50 ans, une page de l'histoire de la haute couture et du prêt à porter. Ensemble ils traversèrent les infidélités, les excès, les jalousies. Leur secret résidait peut être dans leur amour commun pour les Arts. Une histoire de génie, d'angoisses et de couleurs. Une histoire d'amour. Un podcast Bababam Originals Ecriture et voix : Alice Deroide Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
On fait le point ensemble sur la disparition inquiétante de la navigatrice française Marie Descoub.We take stock together of the worrying disappearance of the French sailor Marie Descoub.Alors voilà, Marie qui a 28 ans et son coéquipier américain Nathan Perrins ont disparu le 5 novembre.So, Marie, who is 28, and her American teammate Nathan Perrins disappeared on November 5th.Ils étaient en train de convoyer un voilier du Maine jusqu'à Porto Rico.They were in the process of conveying a sailboat from Maine to Puerto Rico.La question c'est : que s'est-il passé ?The question is: what happened?Premièrement, les circonstances.Firstly, the circumstances.Leur voilier, le SV Liona, a cessé d'émettre le 5 novembre.Their sailboat, the SV Liona, stopped transmitting on November 5th.À ce moment-là, il n'était plus qu'à environ 16 heures de leur but.At that time, they were only about 16 hours from their destination.Le seul souci signalé par le capitaine, c'était un manque de carburant.The only problem reported by the captain was a lack of fuel.Deuxièmement, les recherches.Secondly, the search.Bien sûr, les garde-côtes américains et les équipes des Bermudes se sont mobilisés, mais pour l'instant, ça n'a rien donné.Of course, the American Coast Guard and the Bermuda teams mobilized, but for now, it hasn't yielded anything.Pourtant, les proches, eux, ils gardent espoir.Yet, their loved ones, they are holding onto hope.Ils se disent que ça pourrait juste être un problème de communication.They are telling themselves that it could just be a communication problem.Le sort des deux marins reste donc incertain.The fate of the two sailors therefore remains uncertain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une santé au top ! avec le Dr Yann Rougier, médecin spécialiste des hôpitaux de Paris, passionné de neurosciences appliquées et de nutrition-santé. Pourquoi prend-on du poids plus facilement en hiver ? Quels réflexes adopter pour prévenir cette prise de poids ? Comment soutenir le microbiote pendant les fêtes ? Le Dr Yann Rougier nous accompagne pour profiter pleinement des mois autour de l'hiver sans culpabiliser.Bienvenue dans la série de [ROUTINES & RITUELS] avec le Dr Yann Rougier. Pendant 4 semaines, le Dr Yann Rougier et Anne Ghesquière discutent santé & bien être en cette période hivernale. Ils abordent la vitalité, le sommeil, l'alimentation, la gestion du stress et l'immunité.Une citation avec le Dr Yann Rougier : "Il faut donner des messages de douceur et de consolation à notre humanité en hiver qui normalement hiberne un tout petit peu autrement que par la nourriture."À réécouter : 5 conseils pour booster son énergie en hiverRecevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseThèmes abordés lors du podcast avec le Dr Yann Rougier : 00:00Introduction05:02Pourquoi on stocke en hiver ?07:48Comment bien pratiquer le sport en hiver10:27La règle des 3M pour éviter les excès alimentaires18:10Surveiller les index glycémiques (IG)20:11La marche avec bâton ?24:12Les oligo-aliments à prendre27:01Que faire en cas d'excès !Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Photo DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pendant des siècles, le homard n'a pas été ce mets raffiné qu'on savoure aujourd'hui dans les restaurants étoilés. Bien au contraire : il fut longtemps considéré comme le “poulet du pauvre”, un aliment de misère réservé aux marginaux, aux prisonniers et aux domestiques. L'histoire de ce renversement de prestige est à la fois sociale, économique et culturelle.Au XVIIᵉ et XVIIIᵉ siècle, sur les côtes d'Europe comme d'Amérique du Nord, le homard abondait. Tellement abondait, en réalité, qu'il s'échouait parfois en masse sur les plages après les tempêtes. En Nouvelle-Angleterre, certaines villes de pêcheurs voyaient ces crustacés s'entasser par milliers dans les filets. Ils étaient si nombreux qu'on les utilisait comme engrais pour les champs ou nourriture pour les cochons. Autant dire qu'ils n'avaient rien de rare ni de noble.Pour les colons et les populations pauvres, le homard représentait la solution facile : riche en protéines, gratuit, facile à pêcher. Dans les prisons du Massachusetts, les détenus s'en plaignaient ouvertement : certains règlements interdisaient même d'en servir plus de trois fois par semaine, tant les prisonniers s'en disaient écœurés. En Europe aussi, sur les côtes bretonnes ou irlandaises, le homard faisait partie de la ration des serviteurs ou des marins les plus modestes.Alors, que s'est-il passé pour qu'il devienne un produit de luxe ?Au XIXᵉ siècle, plusieurs changements s'opèrent. D'abord, le rail et la conservation permettent de transporter le homard vivant ou en conserve vers les grandes villes. Le crustacé devient exotique pour les citadins. Ensuite, la raréfaction naturelle due à la surpêche en fait un produit moins commun. Et surtout, la montée de la gastronomie française transforme son image : les grands chefs le cuisinent avec des sauces riches, des présentations spectaculaires, et le homard devient synonyme de raffinement.En quelques décennies, il passe du rôle de “nourriture du pauvre” à celui de “symbole du luxe”. Son prix grimpe, sa consommation se raréfie, et le regard social s'inverse totalement.Aujourd'hui encore, ce contraste fascine : un même animal qui, jadis, symbolisait la misère, incarne désormais l'élégance et la réussite. Manger du homard, c'est goûter à une ironie de l'histoire — celle d'un crustacé qui, sans changer de carapace, a changé de monde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est une page sombre de l'histoire irlandaise. Jusqu'à la fin des années 1970, des milliers d'enfants, pauvres ou orphelins, étaient placés par les tribunaux, sous la tutelle de religieuses, dans des institutions censées les éduquer. Or, ces « écoles » dites industrielles furent souvent le théâtre de violences – physiques, psychologiques et sexuelles –, infligées à des générations d'enfants. Quatre survivants, trois femmes et un homme, ont vécu pendant près de deux mois dans la rue, devant le Parlement de Dublin. Emmitouflée dans plusieurs pulls, Miriam se tient devant la tente qu'elle a partagée avec trois autres survivants durant 52 jours. Placée bébé à l'école industrielle de Tralee, dans l'ouest de l'Irlande, elle raconte, à 68 ans aujourd'hui, l'enfer que les religieuses faisaient subir aux enfants « La première chose que les Sœurs faisaient, c'est te voler ton nom pour t'attribuer un numéro : le mien, c'était 1-0-6-1. Elles t'arrachaient ta personnalité, ta dignité, ta voix… Nous n'allions jamais nulle part, nous n'avions ni dentifrice, ni savon, et jamais d'eau chaude. Nos journées se résumaient à coudre, à travailler, pour des gens de dehors. Et pour cela, nous n'avons jamais été payés », témoigne-t-elle. En plus du travail forcé, les religieuses – dont la « charité » n'avaient que le nom – infligeaient aux enfants violences et humiliations. « Elles t'attachaient nue à un lit, l'une d'elles comptait, et elles te frappaient cent fois. Et elles forçaient tes frères et sœurs, et tes amis, à regarder… », se souvient-elle avec effroi. Ces écoles industrielles font partie de ces institutions gérées conjointement par l'État irlandais et l'Église, tout au long du XXe siècle. L'un des plus grands scandales du pays, au même titre que les couvents de la Madeleine, où plus de 30 000 femmes – considérées impures – étaient condamnées à travailler sans relâche, exploitées par les nonnes. Selon James Gallen, professeur et spécialiste des institutions religieuses à la Dublin City University (DCU), après huit siècles de domination britannique, l'Église catholique a su profiter à cette époque de la fragilité d'un État tout juste sorti de la guerre civile pour étendre son emprise. « L'Irlande nouvellement indépendante était en proie à une profonde insécurité sur son identité. On craignait de découvrir que les Irlandais étaient incapables de se gouverner eux-mêmes, que notre idéal d'une Irlande sainte et catholique n'était qu'une illusion. C'est pourquoi les autorités étaient très déterminées à présenter l'Irlande comme un pays moralement pur », explique-t-il. Depuis presque deux mois, les quatre survivants affirmaient ne vivre que d'eau et de café. Et pourtant, rien n'a entamé la force du groupe, selon Miriam : « Je pense que c'est parce que nous avons souffert enfants : nous sommes des survivants, et c'est pour ça que nous sommes plus forts qu'ils ne le pensent. Ils commencent seulement à comprendre la résilience et la détermination que nous avons. Nous resterons ici jusqu'à ce que nous obtenions ce que le gouvernement nous a promis. » Et c'est enfin chose faite ! Mardi, le Premier ministre irlandais, Micheál Martin, les a appelés à mettre fin à leur mouvement. Les grévistes de la faim devraient désormais bénéficier de soins médicaux gratuits, ainsi que d'un soutien financier. Le soulagement pour Miriam, qui dit s'être battue non seulement pour elle, mais aussi pour les 4 000 autres survivants des écoles industrielles irlandaises. À lire aussiIrlande: exhumation de 796 bébés d'un foyer religieux, «nous pensions que ce jour n'arriverait jamais»
Ce vendredi 14 novembre, Cyrille Bret, expert en géopolitique de Europe centrale -Institut Montaigne, était l'invité dans Le monde qui bouge - L'Interview, de l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier. Ils sont revenus sur les enjeux de la visite du président de la République serbe en France ainsi que l'avancement de la candidature de la Serbie pour intégrer l'Union européenne. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
C'est la dernière ligne droite au Chili avant le premier tour de l'élection présidentielle, dimanche prochain. La campagne est très polarisée : d'un côté, la candidate de gauche Yanette Hara, et de l'autre, l'extrême droite. Des camps que tout oppose, nous raconte notre correspondante Naïla Derroisné. Ce dimanche, 16 novembre 2025, plus de 15 millions de Chiliens seront appelés aux urnes pour choisir entre les 8 candidats présidentiels qui se présentent. Jeannette Jara, la candidate communiste du bloc de la gauche est, pour le moment, la favorite. Mais selon les sondages, elle ne remporterait pas assez de voix pour gagner dès le premier tour. Face à elle, trois candidats de la droite et de l'ultra-droite, dont José Antonio Kast, fondateur du parti Républicain bien positionné lui aussi, pour passer au second tour. Ces derniers mois, la campagne a fortement été marquée par les questions de sécurité, de narcotrafic et de délinquance. Tous les candidats en ont fait leur priorité car ce sont les principales préoccupations des Chiliens, nous précise notre correspondante Naïla Derroisné dans un reportage à Santiago. L'affaire Epstein secoue les républicains et une partie du camp MAGA En voulant étouffer la controverse autour des «Epstein files», les républicains ont finalement ravivé l'affaire, estime le New York Times. Face aux démocrates qui tentaient d'imposer un vote pour publier les documents, les dirigeants du Parti républicain ont lancé en septembre une manœuvre destinée à éviter une mise en difficulté politique : confier à la commission de contrôle de la Chambre, déjà dirigée par les conservateurs, la poursuite d'une enquête sur le dossier Epstein. L'objectif, poursuit le journal, était de montrer un effort de transparence tout en protégeant Donald Trump. Mais cette stratégie s'est retournée contre eux. Coincés entre les appels croissants à la transparence et leur volonté de protéger Trump, les républicains peinent désormais à reprendre le contrôle du dossier. Mais ce n'est pas le seul dossier qui pose un problème à Donald Trump Oui, selon le Washington Post, le président américain fait face à une fronde inhabituelle au sein de sa base MAGA, après avoir affirmé que les États-Unis manquaient de travailleurs «talentueux» et avaient besoin de faire venir davantage d'étrangers qualifiés. Une déclaration qui a été jugée contraire à la devise «l'Amérique d'abord». Ces tensions révèlent les limites de l'autorité de Trump sur son propre mouvement, même si tous s'accordent à dire que la base ne se détournera pas durablement de lui. Les critiques, de plus en plus ouvertes, montrent un populisme désormais autonome, parfois prêt à «guider» Trump plutôt qu'à le suivre. En tout cas, d'après le Washington Post, plusieurs stratèges républicains s'inquiètent que l'enthousiasme pro-Trump s'érode à l'approche des élections de mi-mandat de 2026. Des footballeurs en grève Des footballeurs colombiens se sont couchés sur la pelouse pour protester contre leurs conditions de travail. D'après le journal La Nacion, les joueurs demandent un accord visant notamment à augmenter le pourcentage qui leur revient lors des transferts, à améliorer la couverture santé et à leur accorder une part des revenus liés aux droits de diffusion télévisuelle. Le malaise touche le football colombien depuis un certain moment. Il y a quelques jours, un club a menacé de faire grève pour demander le paiement d'un mois de salaire qui leur est dû. Selon le site Infobae, la saison 2025 du football colombien se termine dans un contexte de graves difficultés financières pour de nombreux clubs. En Colombie, le Bullerengue est devenu patrimoine immatériel de la nation Ce genre musical et cette danse traditionnelle de la côte caribéenne de Colombie sont nés au cœur des communautés afro-colombiennes à l'époque de l'esclavage. Ils constituaient un outil de résistance contre les colons, un art pour exprimer la liberté et l'identité de ces peuples. Avec une nouvelle loi, le gouvernement vient de franchir un pas historique pour la préservation de la culture afro-colombienne. Notre correspondante à Medellín, Najet Benraba, nous en dit plus, après avoir assisté à plusieurs concerts de Bullerengue. Journal de la 1re Le Conseil départemental de la Guadeloupe veut en faire avec le conflit qui est en cours au centre hospitalier universitaire.
Pour l'épisode de cette semaine, je reçois Reda Ouafi, cofondateur et CTO de Juno.Juno est une plateforme qui permet aux industriels d'optimiser leurs procédés de production en combinant données machines, mesures qualité et expertise métier des ingénieurs process. L'objectif : augmenter la qualité, améliorer le débit et réduire la consommation énergétique grâce à des recommandations opérationnelles exploitables dès le lendemain.Au cours de cet épisode, Reda revient sur le pivot majeur de Juno. Leur premier produit — un outil de traçabilité terrain apprécié par les utilisateurs — peinait à démontrer un ROI clair pour les décideurs. Ils ont donc opéré une transformation profonde pour devenir un produit ROI-first, centré sur l'amont du process industriel : comment régler une machine pour obtenir un gain immédiat et mesurable.Nous avons longuement parlé :- de la captation de l'expertise tacite des ingénieurs procédés,- de la combinaison entre data historique, mesures qualité et connaissances métier,- de la manière dont Juno construit ses modèles IA (ML, deep learning, GenAI),- de leur approche “vibe coding” pour générer des micro-apps adaptées à chaque client,- et du nouveau go-to-market orienté groupes industriels internationaux.Enfin, Reda explique comment certains industriels dégagent plusieurs millions de dollars grâce à ces optimisations, et comment Juno explore aujourd'hui des modèles de pricing liés à la performance.Vous pouvez suivre Reda sur LinkedIn.Bonne écoute !Mentionnés pendant l'épisode :OSS VenturesIndustrie du FuturLa French FabPour soutenir SaaS Connection en 1 minute⏱ (et 2 secondes) :Abonnez-vous à SaaS Connection sur votre plateforme préférée pour ne rater aucun épisode
Ils parcourent des kilomètres dans le Sahara, avec leurs troupeaux. Et les yeux rivés au sol, à la recherche de météorites. En Mauritanie, ces chasseurs de pierres venues de l'espace sont de plus en plus nombreux, espérant décrocher le gros lot en vendant un fragment tombé de la Lune ou de Mars. Mais faute d'un encadrement officiel et d'un système d'authentification, ces trésors sont difficiles à écouler. De notre envoyée spéciale de retour de Nouakchott, Des jours et des jours à marcher derrière les bêtes dans le Sahara. Et peu à peu, l'œil s'exerce à reconnaître les pierres pas comme les autres. À Nouakchott, Hame Ould sidi Othmen, longue barbe et lunettes vissées sur le nez, montre fièrement sur une natte les météorites qu'il a dénichées dans le désert : « Je pars chercher des météorites dans toute la Mauritanie. » Il y a une dizaine d'années, après la découverte au Maroc de la grande météorite martienne de Tissint, la fièvre des pierres venues du ciel a gagné tout le Sahara. Ces passionnés sont devenus des experts pour les distinguer : « Ça, c'est une chondrite. On la reconnaît grâce à la couche qui l'enveloppe quand elle tombe du ciel, poursuit Hame Ould sidi Othmenn. On la distingue avec les yeux, mais parfois, on utilise des loupes. » « Les prix peuvent aller jusqu'à 1 000 euros » Tous se retrouvent au centre de la capitale pour vendre leurs trouvailles sous un grand arbre. L'activité est calme : « J'ai des météorites, mais je ne veux pas vendre pour le moment, explique notre « chasseur ». J'aimerais les vendre à 100 dollars le gramme. Le prix peut aller jusqu'à 1 000 dollars. Mais ici les gens ne payent pas, il te propose 10 dollars, c'est insignifiant, [alors] je ne vends pas. » Beaucoup de ventes se font désormais en ligne, via WhatsApp ou sur les réseaux sociaux comme TikTok. Certains intermédiaires, dans le nord du pays, autour de Bir Moghrein, inspectent les pierres avant de les revendre à l'étranger. Mais il n'existe pour l'instant aucun centre d'évaluation des pierres en Mauritanie. Les nomades se fient à leur œil, ou envoient leurs échantillons à l'étranger. « Ils ont des comptes de certains chercheurs internationaux à qui ils envoient les photos de leurs trouvailles ou par voie postale un échantillon de la roche », détaille le Dr Ely Cheikh Mouhamed Navee, premier planétologue mauritanien. Un secteur encore très informel, pas encore réglementé, regrette le chercheur : « Les météorites représentent pour chaque pays un patrimoine. Malheureusement, en Mauritanie, il n'y a aucun règlement dans ce secteur. » Une réglementation existe déjà dans des pays voisins, comme le Maroc. Le Dr. Navee voudrait aussi faire installer des caméras pour surveiller les chutes de météorites dans le désert, et créer un musée pour exposer ces pierres venues de l'espace.
L'artiste Lionel Estève expérimente différentes matières et techniques pour créer des collages, des assemblages, des sculptures ou des mobiles. Il considère son travail comme la source d'un perpétuel apprentissage.Son esthétique inclassable échappe à la rhétorique habituelle de l'art contemporain pour évoquer plutôt un sentiment de beauté absolue.Il a choisi aujourd'hui de nous parler d'un des derniers grands maitres de la peinture classique : Francisco de Goya Le podcast L'Amour de l'Art invite des artistes à parler d'autres artistes. Musique, littérature, cinéma, arts visuels, théâtre... Ils et elles nous partagent, de manière très personnelle, leur regard sur ces œuvres qui les fascinent. L'Amour de l'Art est un podcast de la galerie Perrotin L'épisode avec Lionel Estève a été enregistré le 23 octobre 2025 à la galerie Perrotin, Paris. Entretien réalisé par Vanessa Clairet Stern Prise de son, réalisation et sound design : Seb Lascoux Langue : Française Identité graphique : Perrotin Musique : CDM Music Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cyrille-Mason, 6 ans, est arraché du Cameroun par son oncle et sa tante qui le font venir en France. Ils le martyrisent avec, notamment, de la purée de piment dans les yeux… Aujourd'hui, il est aveugle.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a des événements en France à côté desquels on ne peut pas passer. Les événements, qu'ils soient joyeux ou tristes, forment et forgent la personnalité des personnes qui les vivent mais aussi de leur entourage. Il y a 10 ans, la France et l'Europe ont connu une série d'attentats de la pire espèce. 10 ans déjà ou seulement, je ne sais plus. 10 ans après les attentats du Bataclan, j'aimerais profiter de la portée de mon podcast pour rendre hommage aux victimes du terrorisme. Avec le terrorisme, personne ne gagne. C'est perdant-perdant pour tout le monde. Pour les victimes, pour leur entourage mais aussi pour les terroristes eux-mêmes. Les douleurs sont indescriptibles. S'en est suivi des amalgames épouvantables et d'une laideur infinie où les médias et les partis d'extrême-droite ont profité de ces événements tragiques pour diviser les Français, notamment les personnes d'origine maghrébine ou de confession musulmane. Ils oublient, évidemment, que parmi les victimes, un grand nombre de musulmans sont morts aussi. Le terrorisme n'a pas de guest list. Il frappe, détruit tout le monde et n'épargne personne, y compris des musulmans. Les réseaux sociaux en sont aussi responsables. La liberté de parole flirte avec la liberté de blesser et la liberté de raconter des bêtises. C'est à nous de rester vigilant, notamment avec les personnes qui sont plus susceptibles de flancher. Selon moi, la solution n'est pas d'exclure ni de diviser. Tant que des personnes se sentent exclues d'une société, et la France est championne dans cette discipline, il y aura des personnes qui seront capables du pire. 10 ans après, n'oublions pas toutes les victimes du terrorisme et pour elles, continuons à vivre. Il y a 3 manières de soutenir ce podcast pour qu'il continue à être libre, indépendant et rebelle : 1️⃣ Le Club de Yasmine Le Club privé du podcast qui donne accès à toutes les transcriptions des épisodes, aux épisodes secrets, la newsletter privée en français et l'accès à la communauté des élèves et membres sur Discord. https://lefrancaisavecyasmine.com/club 2️⃣ Les livres du podcast Les transcriptions du podcast sont disponibles dans les livres sur Amazon : http://amazon.com/author/yasminelesire 3️⃣ Les cours de français avec YasmineRendez-vous sur le site de mon école pour découvrir le catalogue des cours disponibles : www.ilearnfrench.eu ➡️ Les réseaux sociaux Instagram : https://www.instagram.com/ilearnfrench/LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/yasmine-lesire-ilearnfrench/ ➡️ Crédit musique La musique de cet épisode est créée par le groupe Beam. Merci à Maayan Smith et son groupe pour la musique. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La poursuite du cessez-le-feu dans la bande de Gaza est suspendue au sort de militants du Hamas , piégés dans un tunnel dans le sud de l'enclave contrôlée par Israël. Ils sont près de 200 et les États-Unis ont bien l'intention de régler le problème pour éviter de voir "capoter" le plan de Donald Trump.Écoutez RTL autour du monde du 13 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:28 - Journal de 8 h - Ils et elles continuent de vivre avec, dix ans après les attentats de Paris et Saint-Denis. Des commémorations sont prévues ce jeudi. Un ancien otage du Bataclan témoigne dans cette édition. Que reste-t-il du groupe État islamique ? Reportage à suivre en Syrie.
Si certaines personnes adorent les films d'horreur tandis que d'autres les fuient, la raison se trouve en grande partie dans notre cerveau. Les neurosciences montrent que tout dépend de la manière dont chacun traite la peur, cette émotion universelle mais extrêmement variable d'un individu à l'autre.Lorsqu'on regarde une scène effrayante, l'amygdale, une petite structure située au cœur du cerveau, s'active. C'est elle qui déclenche la réponse de peur : accélération du rythme cardiaque, sécrétion d'adrénaline, contraction musculaire. En temps normal, cette réaction prépare à fuir ou à se défendre. Mais dans un cinéma ou sur un canapé, le cerveau sait qu'il n'y a aucun danger réel. Résultat : la peur devient une expérience contrôlée, une montée d'adrénaline sans risque, un peu comme les montagnes russes.Chez les amateurs de films d'horreur, cette activation de l'amygdale s'accompagne souvent d'une libération de dopamine, le neurotransmetteur du plaisir et de la récompense. Ils ressentent donc un mélange paradoxal de peur et d'excitation. C'est cette combinaison – la montée du stress suivie du soulagement – qui crée le frisson agréable. Des chercheurs de l'Université de Copenhague ont montré en 2020 que le cerveau des amateurs de films d'horreur alterne très vite entre état d'alerte et retour à la sécurité, un peu comme un entraînement émotionnel : ils apprennent à “jouer” avec leur peur.À l'inverse, certaines personnes ont une hyperactivité de l'amygdale ou une moindre régulation de cette zone par le cortex préfrontal, la région du raisonnement. Leur cerveau a plus de mal à distinguer la fiction du réel. Pour elles, les images d'horreur déclenchent un véritable état de stress, avec libération excessive de cortisol (l'hormone du stress), sueurs et anxiété prolongée. D'où le rejet total du genre.Enfin, le goût de la peur dépend aussi de la personnalité et du câblage neuronal. Les personnes curieuses, en quête de sensations fortes, ou dotées d'un système dopaminergique plus sensible (comme les amateurs de sports extrêmes) trouvent dans l'horreur une stimulation gratifiante. D'autres, plus anxieuses ou empathiques, activent plus intensément les circuits de la douleur et du dégoût.En résumé, aimer les films d'horreur, c'est une question de chimie cérébrale : pour certains cerveaux, la peur est un jeu excitant ; pour d'autres, c'est une alarme qu'il vaut mieux ne jamais déclencher. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le parcours de Mimoun El Alami pourrait sortir tout droit d'un film de Scorsese ou Spielberg.Une ascension fulgurante, une chute brutale, puis une renaissance spectaculaire.Passé par la banque d'affaires chez Rothschild, il quitte la finance à 25 ans pour lancer Findrive, sa première startup dans le secteur des VTC.À l'époque, il veut être millionnaire avant 30 ans et le devient, en dettes.Mais là où beaucoup auraient arrêté, lui décide d'apprendre.Apprendre du chaos, de la faillite, des échecs.Parce que la résilience, il la tient de son père, entrepreneur lui aussi, tombé après la réussite.Huit ans plus tard, Mimoun revient plus fort, avec Stairling.Un modèle clair, humain et redoutablement efficace : permettre aux chauffeurs VTC d'être indépendants tout en bénéficiant de la sécurité du salariat.Ils sont déjà 1 200 chauffeurs, 1 000 candidatures par mois, et une croissance éclair, de 1 à 7 millions d'euros d'ARR en un an.Stairling n'est pas une plateforme de plus, c'est un label de qualité, une vision sociale du travail et une revanche sur un marché qu'il connaît par cœur.Son ambition, dépasser 100 millions de valorisation, tout en gardant les pieds sur terre.Dans cet épisode, Mimoun raconte les illusions, les coups durs, les paris audacieux et cette foi inébranlable dans sa vision.Un récit de résilience, de revanche et de business.L'histoire d'un visionnaire qui a traversé la fosse aux lions pour réussir a dompter la jungle.Bonne écoute !===========================
Ils représentent plus de 70 % de la surface de la terre, sont un véritable régulateur du climat et abritent une faune immense : pourtant, les océans sont aujourd'hui en danger. Alors que la France accueille dans quelques jours une importante conférence des Nations unies pour assurer leur préservation, on s'intéresse cette semaine à ceux qui tentent d'exploiter les mers. De la surpêche à l'exploitation des métaux rares, en passant par “l'eau pure”, les business se multiplient et aggravent la situation des fonds marins. Dans ce dernier épisode, Sébastien Julian, rédacteur en chef du service Climat de L'Express, nous emmène à la découverte de l'eau venue des océans vendue pour être bue. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage : Emeline DulioRéalisation : Jules KrotCrédits : TF1Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Annonce politique : Le sponsor est Instagram, qui fait partie de Meta Platforms Ireland Ltd. Cette annonce est en lien avec les réflexions des États membres de l'UE en faveur d'une majorité numérique commune pour accéder aux services en ligne.Consulter toutes les informations relatives à la transparence sur https://eur-lex.europa.eu/eli/reg/2024/900/oj/eng Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« Ce qu'on a vécu ne nous définit pas. Ce qu'on en a fait, oui. »Il y a dix ans, la vie de Pierre Cabon a basculé lors des attentats du Bataclan. Touché à la moelle épinière, il est devenu paraplégique. Avec sa femme Myriam, il aurait pu se laisser définir par cette tragédie. Mais ils ont choisi une autre voie : transformer l'horreur en vie, en action et en aventure.Dans notre interview enregistrée l'année dernière et que nous republions aujourd'hui en hommage, ils racontent comment ils ont décidé de vivre à fond, malgré tout. Pierre explique : « On ne fuit rien. On avance. On vit. On célèbre la vie qu'on a réussi à se (re)construire. »Ensemble, ils ont parcouru le monde : Canada, Argentine, Pérou, Île de Pâques, Nouvelle-Zélande. Ils ont escaladé le Kilimandjaro, participé au half-marathon des sables, et créé Wheeled World, un média dédié à l'aventure accessible à tous. Leur message est simple : les limites sont celles que nous nous imposons, et la vie peut rester belle même après l'horreur.Cette interview est un témoignage de résilience, de joie retrouvée et d'espoir, et nous rappelle que ce que nous faisons de nos vies compte plus que ce que nous avons subi.En ce jour de commémoration, nous pensons à toutes les victimes et à leurs proches, et nous honorons leur mémoire. Que ce message de résilience et d'espoir puisse inspirer chacun à célébrer la vie.*Leur association : https://wheeledworld.org/*Leur compte Instagram : https://www.instagram.com/wheeled_world/?hl=fr**************************************Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à nous laisser 5 étoiles ou un commentaire sur Apple Podcasts ou Spotify. Ce serait vraiment un sacré coup de pouce pour nous !**************************************Production : Sakti ProductionsVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Jeudi 13 novembre, François Sorel a reçu Frédéric Simottel, journaliste BFM Business, Anthony Morel, journaliste BFM Business et Amélie Charnay, journaliste La Tribune. Ils sont revenus sur la troisième édition de l'Artificial Intelligence Marseille, qui vise à explorer les grands enjeux de l'IA et l'ascension des robotaxis de Waymo, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Jeudi 13 novembre, François Sorel a reçu Anthony Morel, journaliste BFM Business, Amélie Charnay, journaliste à La Tribune, et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business. Ils se sont penchés sur ElevenLabs et le lancement de Meta Vibes en Europe dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
Paul Delair et Caroline Dublanche explorent une question universelle : pourquoi avons-nous peur de nos désirs ? Loin de se limiter à la sexualité, le désir est abordé sous toutes ses formes, qu'il s'agisse d'amour, de carrière ou de passions personnelles. Ils invitent les auditeurs à s'interroger sur les freins inconscients qui nous empêchent de vivre pleinement. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:28 - Journal de 8 h - Ils et elles continuent de vivre avec, dix ans après les attentats de Paris et Saint-Denis. Des commémorations sont prévues ce jeudi. Un ancien otage du Bataclan témoigne dans cette édition. Que reste-t-il du groupe État islamique ? Reportage à suivre en Syrie.