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Dans la nuit du 31 mai 2025, À Puget-sur-Argens, Hichem Miraoui, 44 ans, coiffeur, est retrouvé mort, tué par balles dans son logement de la zone industrielle. Hichem était un homme simple, gentil et apprécié, victime de la haine de son voisin. Christophe Belgembe, chaudronnier licencié, s'est lentement radicalisé via les réseaux d'ultradroite, comme en témoignent ses publications sur Facebook, nourrissant une rancune raciste et antimusulmane. Solitaire et armé légalement, il avait déjà provoqué Hichem, qui vivait dans la peur. Deux existences opposées se sont ainsi croisées dans un voisinage de plus en plus tendu, où la haine ordinaire était sur le point d'exploser.La caméra d'un commerce voisin filme une tache de lumière vacillante, un halo immobile sur l'asphalte. C'est la nuit du 31 mai 2025, à Puget-sur-Argens, dans le Var. Une nuit tiède, sans vent. Les enseignes sont éteintes. Il n'y a que le bourdonnement des lampadaires diffusant un jaune malade, et ce parking qui sent le gasoil et la poussière chaude. Autrement, rien. Juste la respiration d'une zone industrielle endormie.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.
Éléonore a révélé à son neveu que son père n'était pas son père biologique, causant un drame familial. Elle a agi sous le coup de l'émotion après la perte de sa mère, sans mesurer les conséquences de cette révélation. Aujourd'hui, elle cherche à réparer les liens brisés avec sa famille. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
J'ai lu une newsletter d'Ilise Benun (marketing mentor US) qui m'a fait hocher la tête tout du long.Elle parle de “pipeline” — cette liste de vraies personnes avec qui on a déjà entamé une relation : clients passés, prospects chauds, partenaires…Et elle te propose de revenir vers eux, maintenant. Pas avec une offre agressive, non. Juste un message simple, personnalisé… et une question directe :→ “Tu as un petit budget à utiliser avant la fin de l'année ?”Est-ce que tu consacres assez d'énergie à nourrir ton pipe ? Ou tu te laisses embarquer par la chasse aux nouveaux contacts ?(Pour me répondre, envoie-moi un mp sur Linkedin
En novembre 1785, à St-Julien dans le Beaujolais, une petite fille de 7 ans, Catherine Démurgé est retrouvée en piteux état chez elle, étranglée avec un mouchoir et couverte de coups et de brulures. Juste avant de mourir, elle désigne son agresseur, l'un des domestiques de son père.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En novembre 1785, à St-Julien dans le Beaujolais, une petite fille de 7 ans, Catherine Démurgé est retrouvée en piteux état chez elle, étranglée avec un mouchoir et couverte de coups et de brulures. Juste avant de mourir, elle désigne son agresseur, l'un des domestiques de son père.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De Comédie Clubs en festivals, de soirées stand-up à l'École Nationale de l'Humour, une institution pionnière dans l'espace francophone, virée à Montréal où la blague et le rire sont au coin de la rue. Dans la cité cosmopolite et vibrante de Montréal, du quartier d'Hochelaga au Plateau-Mont-Royal en passant par le quartier de Verdun ou celui de la Petite Italie, il ne se passe pas un soir sans un spectacle d'humour, où le public vient rire et célébrer le rire ! C'est une industrie lourde de la ville et du Québec, et celui qui voyage à Montréal se doit de passer au moins un soir, par une stand-up ou un open-mic pour goûter aux blagues locales. Traditionnellement, le Québec est un «pays» de conteurs et d'oralité, que l'on doit notamment à la culture autochtone plurimillénaire et à l'histoire du peuple québécois. Et en trente ans, la plus grande ville francophone d'Amérique du Nord s'est imposée comme la plaque tournante des humoristes francophones mais aussi anglophones… Déjà, de longue date, Montréal est célèbre pour accueillir, à l'été, le plus grand festival d'humour : «Juste pour rire» qui, chaque année, rassemble des millions de spectateurs à travers ses shows et ses contenus télévisés, diffusés dans plus de 150 pays. Au départ uniquement francophone, ce festival créé en 1983 par Gilbert Bozon, qui a depuis démissionné, a connu une version anglophone «Just For Laughs», cofondé en 1985 par Andy Nulman. Ce dernier revendique d'ailleurs la contribution des communautés juives de la ville à son rang de capitale de l'humour. Un titre qu'elle n'a certainement pas volé et qui, là-bas, se vérifie et se vit, à la découverte d'une culture hybride, à la croisée de la stand-up américaine et des humours en tout genre. Autre fait important pour l'écosystème de l'humour à Montréal : en 1988, Louise Richer, directrice générale fondatrice de l'École Nationale de l'Humour, ouvre à Montréal la toute première école d'humour professionnelle et s'attache, avec ténacité, à faire reconnaître l'humour comme un art à part entière. 750 diplômés plus tard, sortis de l'école, ce laboratoire pionnier de formation en humour est connu dans tout l'espace francophone et chaque année, l'école reçoit des centaines de candidatures venus du Canada, mais aussi de France ou d'Afrique francophone. À l'initiative de Louise Richer, on trouve désormais aussi à Montréal, l'Observatoire de l'Humour, conçu comme un lieu d'échanges et de connaissances autour de l'humour francophone. Car aujourd'hui, l'humour, que l'écrivain Romain Gary désignait comme «l'arme des désarmés», sert largement la francophonie, sa diffusion, voire sa survie sur le continent américain comme dans le reste du monde. Le peuple québécois défend d'ailleurs largement cette idée d'une identité façonnée et racontée à travers l'humour et il se rend en masse aux spectacles comiques, qu'il vente ou qu'il neige. Exutoire populaire et rassembleur, l'humour à Montréal défend ainsi la langue française mais aussi une identité québécoise et montréalaise plurielle, sur une île de plus de 120 nationalités différentes. On y rit de la diversité et des différences et toute une scène queer ou féministe a vu le jour, la profession historiquement aux mains des hommes blancs s'étant largement féminisée et métissée. La culture des Premières Nations, où le rire est très important et se vit comme «un écran aux traumas coloniaux», a aussi marqué de son empreinte la société québécoise et son humour. Et chaque nouvelle communauté apporte sa pierre, son rire, à l'édifice. Un voyage sonore en deux épisodes de Laure Allary et Céline Develay-Mazurelle. Pour préparer votre voyage en mode humour : - Un article de Tourisme Montréal et un récit multimédia de Radio Canada sur l'apport de l'humour juif à Montréal - Un article de l'écrivain innu Michel Jean sur le rire au sein des Premières Nations - Le livre de référence du célèbre anthropologue Serge Bouchard «Le peuple rieur» sur les Innus - Le Festival Juste pour Rire qui se tient à la mi-juillet à Montréal - Le RDV populaire des «Lundis de l'humour» au Bar Le Jockey, animé par Lauriane Lalonde, avec Elisabeth Grondin à la chronique - Les incontournables Comédie Clubs Le Bordel ou Le Terminal qui, tous les jours, proposent des opens-mics et shows d'humour - Le circuit des bars comme Chez Roger qui, chaque lundi, propose des shows d'humour ou Chez Ernest qui, le dimanche, propose de l'impro et, le lundi, une soirée comedy club - Le «Couscous Comedy Show», l'évènement préféré de Boucar Diouf, humoriste d'origine sénégalaise et biologiste de formation qui a adopté, à sa manière, la culture québécoise. Boucar Diouf est notamment l'auteur du livre «Ce que la vie doit au rire», paru aux Éditions La Presse - Le Festival Afrikiri qui, depuis dix ans, met à l'honneur des humoristes de l'Afrique francophone - Pour ceux qui aiment «l'humour à saveur mangue-érable», allez-voir Garihanna Jean-Louis, humoriste québécoise et haïtienne, première femme noire diplômée de l'École Nationale de l'humour (ENH) - Pour en savoir plus sur le parcours de l'autrice en humour Suzanne Vallières-Nollet qui a gradué en 2024 de l'ENH - Le site de l'Observatoire de l'Humour, fondé en 2011. Un espace d'échanges et de connaissances interdisciplinaire sur l'humour francophone - Le site de l'École Nationale de l'humour, une école cofondée par Louise Richer en 1988, qui propose des formations à temps plein ou à temps partiel à tous les publics. Bientôt l'ENH va déménager dans le Quartier Latin à Montréal et aura certainement pignon sur rue…
Bienvenue sur le podcast Esprit Sérendipité !
Et si, pour une fois, on inversait les rôles ?Dans cet épisode spécial, ce sont mes meilleurs amis qui posent les questions.. Sans animation. Sans façade. Juste l'humain derrière ce que le public voit, ses silences, ses peurs, sa mission et ses transformations.Bonne écoute
Dans ce débrief hebdo, on démonte à froid ce que le marché a réellement retenu du discours de Jérôme Powell, et surtout ce qu'il a ignoré.
Que peut réellement apporter l'hypnose en coaching ?Dans cet épisode, je reçois Christophe BATS, auteur de "La Bible du Personal Trainer", pour analyser l'hypnose telle qu'elle est utilisée sur le terrain, loin des idées reçues.Pas de spectacle, pas de raccourcis.Juste des explications, du cadre et du bon sens.
De Comédie Clubs en festivals, de soirées stand-up à l'École Nationale de l'Humour, une institution pionnière dans l'espace francophone, virée à Montréal où la blague et le rire sont au coin de la rue. Dans la cité cosmopolite et vibrante de Montréal, du quartier d'Hochelaga au Plateau-Mont-Royal en passant par le quartier de Verdun ou celui de la Petite Italie, il ne se passe pas un soir sans un spectacle d'humour, où le public vient rire et célébrer le rire ! C'est une industrie lourde de la ville et du Québec, et celui qui voyage à Montréal se doit de passer au moins un soir, par une stand-up ou un open-mic pour goûter aux blagues locales. Traditionnellement, le Québec est un «pays» de conteurs et d'oralité, que l'on doit notamment à la culture autochtone plurimillénaire et à l'histoire du peuple québécois. Et en trente ans, la plus grande ville francophone d'Amérique du Nord s'est imposée comme la plaque tournante des humoristes francophones mais aussi anglophones… Déjà, de longue date, Montréal est célèbre pour accueillir, à l'été, le plus grand festival d'humour : «Juste pour rire» qui, chaque année, rassemble des millions de spectateurs à travers ses shows et ses contenus télévisés, diffusés dans plus de 150 pays. Au départ uniquement francophone, ce festival créé en 1983 par Gilbert Bozon, qui a depuis démissionné, a connu une version anglophone «Just For Laughs», cofondé en 1985 par Andy Nulman. Ce dernier revendique d'ailleurs la contribution des communautés juives de la ville à son rang de capitale de l'humour. Un titre qu'elle n'a certainement pas volé et qui, là-bas, se vérifie et se vit, à la découverte d'une culture hybride, à la croisée de la stand-up américaine et des humours en tout genre. Autre fait important pour l'écosystème de l'humour à Montréal : en 1988, Louise Richer, directrice générale fondatrice de l'École Nationale de l'Humour, ouvre à Montréal la toute première école d'humour professionnelle et s'attache, avec ténacité, à faire reconnaître l'humour comme un art à part entière. 750 diplômés plus tard, sortis de l'école, ce laboratoire pionnier de formation en humour est connu dans tout l'espace francophone et chaque année, l'école reçoit des centaines de candidatures venus du Canada, mais aussi de France ou d'Afrique francophone. À l'initiative de Louise Richer, on trouve désormais aussi à Montréal, l'Observatoire de l'Humour, conçu comme un lieu d'échanges et de connaissances autour de l'humour francophone. Car aujourd'hui, l'humour, que l'écrivain Romain Gary désignait comme «l'arme des désarmés», sert largement la francophonie, sa diffusion, voire sa survie sur le continent américain comme dans le reste du monde. Le peuple québécois défend d'ailleurs largement cette idée d'une identité façonnée et racontée à travers l'humour et il se rend en masse aux spectacles comiques, qu'il vente ou qu'il neige. Exutoire populaire et rassembleur, l'humour à Montréal défend ainsi la langue française mais aussi une identité québécoise et montréalaise plurielle, sur une île de plus de 120 nationalités différentes. On y rit de la diversité et des différences et toute une scène queer ou féministe a vu le jour, la profession historiquement aux mains des hommes blancs s'étant largement féminisée et métissée. La culture des Premières Nations, où le rire est très important et se vit comme «un écran aux traumas coloniaux», a aussi marqué de son empreinte la société québécoise et son humour. Et chaque nouvelle communauté apporte sa pierre, son rire, à l'édifice. Un voyage sonore en deux épisodes de Laure Allary et Céline Develay-Mazurelle. Pour préparer votre voyage en mode humour : - Un article de Tourisme Montréal et un récit multimédia de Radio Canada sur l'apport de l'humour juif à Montréal - Un article de l'écrivain innu Michel Jean sur le rire au sein des Premières Nations - Le livre de référence du célèbre anthropologue Serge Bouchard «Le peuple rieur» sur les Innus - Le Festival Juste pour Rire qui se tient à la mi-juillet à Montréal - Le RDV populaire des «Lundis de l'humour» au Bar Le Jockey, animé par Lauriane Lalonde, avec Elisabeth Grondin à la chronique - Les incontournables Comédie Clubs Le Bordel ou Le Terminal qui, tous les jours, proposent des opens-mics et shows d'humour - Le circuit des bars comme Chez Roger qui, chaque lundi, propose des shows d'humour ou Chez Ernest qui, le dimanche, propose de l'impro et, le lundi, une soirée comedy club - Le «Couscous Comedy Show», l'évènement préféré de Boucar Diouf, humoriste d'origine sénégalaise et biologiste de formation qui a adopté, à sa manière, la culture québécoise. Boucar Diouf est notamment l'auteur du livre «Ce que la vie doit au rire», paru aux Éditions La Presse - Le Festival Afrikiri qui, depuis dix ans, met à l'honneur des humoristes de l'Afrique francophone - Pour ceux qui aiment «l'humour à saveur mangue-érable», allez-voir Garihanna Jean-Louis, humoriste québécoise et haïtienne, première femme noire diplômée de l'École Nationale de l'humour (ENH) - Pour en savoir plus sur le parcours de l'autrice en humour Suzanne Vallières-Nollet qui a gradué en 2024 de l'ENH - Le site de l'Observatoire de l'Humour, fondé en 2011. Un espace d'échanges et de connaissances interdisciplinaire sur l'humour francophone - Le site de l'École Nationale de l'humour, une école cofondée par Louise Richer en 1988, qui propose des formations à temps plein ou à temps partiel à tous les publics. Bientôt l'ENH va déménager dans le Quartier Latin à Montréal et aura certainement pignon sur rue…
33. Alesso, Sacha - Destiny 32. Feel - Now We Are Free (Gladiator) 31. Don Diablo, Fitz And The Tantrums - Radio Baby 30. Juste, Jaxstyle, Jon - Turn The Lights Off 29. Faithless, Disclosure - Insomnia 28. Calvin Harris, Clementine Douglas - Blessings 27. Feel, Desmind, Natalie Rise - Never Go Away 26. Sam Feldt, Mc4D, Vize, Aloe Blacc - Hey Son 25. Cassian, Yotto, Da Hool - Love Parade 24. Felix Jaehn, Sarah Barrios - Now's A Good Time To Be 23. Dimitri Vegas, David Guetta, Loreen - Pum Pum 22. Dj Snake, Bipolar Sunshine - Paradise 21. Rudimental, Khalid - All I Know 20. Raye, David Guetta, Hypaton - Where Is My Husband 19. Argy, Meduza - Melodia 18. Gabry Ponte, Erika - I Don't Know 17. Inna, R3Hab - I'Ll Be Waiting 16. John Summit, Inez - Crystallized 15. Hurts, Purple Disco Machine - Wonderful Life '25 14. Akcent, Sera, Misha Miller - Don't Leave (Kylie) 13. Calvin Harris, Jessie Reyez - Ocean 12. Jonas Blue, Malive - Edge Of Desire 11. Kamrad - Be Mine 10. David Guetta, Tones And I, Teddy Swims - Gone Gone Gone 09. One-T, Ywy, Nika - The Way To Love 08. Huntr-X, Ejae, Audrey Nuna, Rei Ami, Dj Dark - Golden 07. Vize - Wait (Alibi Blue) 06. Lady Gaga, Dj Dark - The Dead Dance 05. Disco Lines, Tinashe - No Broke Boys 04. Albert Brite - Wild 03. Shouse, Cub Sport - Only You 02. Ava Max - Don't Click Play 01. Kddk, Alex Alta - 1&2
Un mono de François TJP.Ses 3 emojis contrainte étaient :
1925. Depuis cette année-là, on ne peut plus produire du roquefort n'importe où ni n'importe comment. C'est en décrochant son appellation d'origine, la toute première en France, que le « roi des fromages » a été défini par la loi. Pour le consommateur, cela assure sa traçabilité : fini le roquefort au lait de vache, de brebis et de chèvre réunis. Pour les éleveurs, les laitiers et les fabricants, c'est l'assurance d'ancrer l'activité sur un territoire précis et de pérenniser, ainsi, une filière économique non-délocalisable, par définition. 3 mastodontes mondiauxDans les grandes lignes, environ 2600 agriculteurs alimentent 7 entreprises, seulement, qui fabriquent aujourd'hui les 14 000 tonnes de roquefort commercialisées chaque année dans le monde. Parmi ses 7 fabricants, on compte trois mastodontes de l'industrie agroalimentaire mondiale : Lactalis, Savencia, Sodiaal. Les trois leaders industriels français ont leurs propres caves à Roquefort, c'est dire l'attrait de cette filière. A eux trois, ils représentent 95% de la production de roquefort. Les quatre « petits », comme on les appelle souvent, se partagent les 5% restants.Bataille foncièreJuste en disant cela, on comprend que, derrière la vitrine du centenaire, fêté en 2025, se cachent des enjeux plus insoupçonnés : car si la convoitise de grands groupes agroalimentaires a permis au roquefort de s'exporter dans le monde entier, d'être un fleuron du capistalisme agroalimentaire, elle a aussi participer à vider, littéralement, le village de Roquefort-sur-Soulzon, aujourd'hui quasi-fantôme. Puisque le cahier des charges de l'appellation d'origine oblige les fromages à être affinés dans les caves du village, et nulle part ailleurs, la bataille foncière fait rage. Jusqu'à laisser sur la touche des éleveurs qui voudraient renouer avec la fabrication fermière du roquefort, comme il était coutume jusqu'au XIXe siècle, avant l'industrialisation de la filière.Si les acteurs ont réussi, en 1925, à s'allier pour défendre bec et ongle leur fromage face à une concurrence débridée, à la sortie de la première guerre mondiale, il est une autre paire de manche que de faire perdurer cette solidarité dans un marché plus que jamais mondialisé, dans un contexte de difficile renouvellement des générations en agriculture, et parmi des habitudes alimentaires en perpétuelle évolution. Face à la baisse de consommation enregistrée par le roquefort depuis plusieurs années, la filière est bousculée. Mais le cahier des charges demeure pour protéger l'unicité du produit, du « roi des fromages ». Allier la puissance capitalistique du produit à son ancrage ancestral… en voilà un sacré défi à relever !Une trilogie documentaire de Finta !... le 20 décembre 2025, dans vos oreilles !
Max has got a crash pad in Yokohama with just one rule. Don't fall asleep in the living room. Thank you, Max, for sharing your story with Spooked!Produced by Erick Yáñez, original score by Lalin St. Juste, scouted by Dan Yashinsky. Hosted by Simplecast, an AdsWizz company. See pcm.adswizz.com for information about our collection and use of personal data for advertising.
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Pendant l'Avent, Prie en Chemin nous propose de faire le travail intérieur qui me permet d'accueillir la paix qui vient de Dieu. Aujourd'hui, nous sommes le vendredi 12 décembre et nous faisons mémoire de la bienheureuse Vierge Marie de Guadalupe. Je dispose mon corps, mon cœur et mon esprit à recevoir une parole de vie. Je manifeste à Dieu par un geste, un mot, une attitude, mon désir d'être à son écoute. Je lui demande la grâce d'un vrai cœur à cœur durant ce temps... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Soul path de Keri Newdigate interprété par Keri Newdigate - Still Waters © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes.
Cette semaine dans le balado, un titre trompeur, un réveillon mouvementé, et un regard nostalgique sur le cinéma. Bon épisode! 0:00 Actualités 14:50 Juste Xavier 21:33 Ella McCay 26:52 L'Agent secret 35:17 À la poursuite du Père Noël 37:59 Marche au pays réel 40:02 Autres sorties
Enfant de Savoie, Brice était déjà sur des skis alors qu'il savait à peine marcher ! Animé par un désir de performance, il progresse dans la hiérarchie nationale, devenant l'un des tous meilleurs jeunes skieurs français.Après une saison loin de ses espérances en termes de résultats, il arrête net la compétition en 2002 et file s'inscrire au rugby dans le club de Chambéry.Le voici donc en Reichel, découvrant un esprit collectif dans lequel il se retrouve totalement. Il se met rapidement en évidence, attirant l'attention de Bourgoin, dont il intègre le centre de formation, à peine plus d'un an après avoir fait ses débuts sur le pré.Il y progresse, tapant ainsi à la porte de l'équipe première, avec laquelle il évoluera 4 ans !En 2008, il quitte la Berjallie et devient Capitaine de l'ambitieuse Union Bordeaux Bègles de Laurent Marti. Deux ans plus tard, il s'engage à Oyonnax, alors mené par un certain... Christophe Urios.C'est alors qu'en 2012, il a l'opportunité de rejoindre une Section Paloise désireuse de retrouver l'élite : mission accomplie 3 ans plus tard !Doté d'un leadership inné et d'une impressionnante capacité de travail, Brice a su faire sa place dans tous les effectifs qu'il a intégrés.Retraité des terrains en 2016, il est toujours installé dans le Béarn avec sa petite famille et a réussi une belle reconversion !Je me suis régalé au cours de cette entrevue ! Vous allez rapidement le comprendre, mais pour Brice, "mérite" et "justice" ne sont pas de vains mots.Bonne écoute !-----------------------------
Une séance d'hypnose douce pour s'endormir sous la pluie
Il a 28 ans, il est jardinier, discret, père de famille et parle mal le français. Omar Raddad, immigré marocain, est arrêté le 25 juin 1991 et devient le coupable idéal. Pourtant, aucune empreinte, aucune arme, aucun témoin. Juste une inscription qui désigne son nom, Omar. Malgré une enquête que la défense juge bâclée et partiale, Omar Raddad sera jugé par la cour d'assises en janvier 1994. Une décision qui laisse perplexe. Comment ce jeune jardinier sans histoire, apprécié de ses employeurs, s'est-il retrouvé au cœur d'une affaire criminelle d'une telle ampleur ? Un podcast écrit par Mary-Lou Oeconomou - Raconté par Xavier LemarchandRestauration et Mixage : Stéphane Rives - Prise de son : Guillaume Solignat, Laurent Thomas - Unité de production : Delphine Lambard, Sophie Hériat, Sophie Da Costa - Création graphique : Ugo Bouveron.Musique(s) : Universal Production Music France. Photo (c) AFPChargée d'édition audio : Anouk Valverde - Cheffe de projet audio : Lӕtitia Fourmond - Responsable éditoriale : Zoé Macheret.
Plongez dans les coulisses de « Rouge », l'album culte de Jean-Jacques Goldman sorti en 1993.Dans cet épisode, découvrez comment Goldman, Carole Frédérics et Michael Jones ont uni leurs talents pour créer un disque engagé, marqué par des sonorités puissantes et des thèmes sociaux intemporels. À travers anecdotes et analyses, nous retraçons le parcours du trio, de leurs débuts dans les années 80 à la naissance de cet opus emblématique.À retenir :La genèse de l'album « Rouge » et son impact en 1993.Les inspirations derrière des titres forts comme « Juste après ».L'approche unique de Goldman pour aborder des sujets sociaux et politiques.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Salut c'est Ibby,Dans cet épisode, je te propose 5 minutes pour t'inspirer.Juste un court moment pour te recentrer, respirer, et remettre un peu de lumière dans ta journée.Peu importe ce que tu traverses – un échec, un ralentissement, une période floue ou un simple manque de motivation – je t'invite à voir ces instants non pas comme des barrières, mais comme des portes.Des portes vers quelque chose de nouveau, de plus aligné, de plus vrai pour toi.Je partage avec toi quelques réflexions et élans de motivation pour t'aider à reconnecter à ta force, à ta vision, à cette version de toi qui n'abandonne pas.Tu n'as pas besoin de tout changer aujourd'hui : parfois, 5 minutes suffisent pour relancer une dynamique.Souviens-toi : chaque fin cache un début plein de potentiel, et tu es capable de tout.Alors prends un moment pour toi, mets tes écouteurs, et viens te déposer ici.Rappelle-toi : le plus bel amour, c'est celui que tu te portes à toi-même.N'hésite pas à lâcher un 5 ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ et un petit commentaire
Dans la comédie JUSTE XAVIER, on assiste à un réveillon de Noël chargé en émotions pour une famille qui se prétend unie. On discute du projet avec le réalisateur et coscénariste Stéphane E. Roy et les comédiens Alexis Comte et Rémy Girard.
Est-ce que les Églises prennent le problème du racisme au sérieux? Le message de Jésus était pour l'ensemble de l'humanité. Alors, pourquoi retrouvons-nous toujours du racisme à l'intérieur de nos Églises? Pourquoi est-ce si difficile de changer ou de voir les choses du point de vue de l'autre? Dans cet épisode, Joan et Stéphane partagent des expériences d'inconfort, réfléchissent sur nos biais et discutent de la différence entre racisme et racisme systémique. Site Internet: https://questiondecroire.podbean.com/ ApplePodcast: https://podcasts.apple.com/us/podcast/question-de-croire/id1646685250 Spotify: https://open.spotify.com/show/4Xurt2du9A576owf0mIFSj Réforme: https://www.reforme.net/podcast/ Contactez-nous: questiondecroire@gmail.com Notre commanditaire: L'Église Unie du Canada Moncredo.org * Musique de Lesfm, pixabay.com. Utilisée avec permission. * Photo de Brian Lundquist, unsplasch.com. Utilisée avec permission. Bonjour, bienvenue à Question de croire, un podcast qui aborde la foi et la spiritualité, une question à la fois. Cette semaine, est-ce que les Églises prennent le problème du racisme au sérieux? Bonjour Stéphane. Bonjour, Joan, bonjour à toutes les personnes à l'écoute. Avoir des biais et des préjugés [Joan] J'ai une anecdote qui me concerne. C'est-à-dire que pour une fois, je me moque de moi-même. J'avais une réunion avec un collègue et pendant la même réunion, je me suis plainte à un moment donné d'un racisme que je considérais résiduel dans la communauté. Et à un autre moment de la réunion, je ne sais pas ce qui m'a pris, mais j'ai imité une dame d'un certain âge de la bourgeoisie genevoise. Parce qu'elle m'avait parlé, elle m'avait dit « oh, mais enchantée, très bien, très bien ». Et j'avais bien réussi à l'imiter. Ils rigolent un peu, puis le collègue me dit « Ce n'est pas raciste ça, d'imiter une vieille dame bourgeoise genevoise ?». Alors, je ne sais pas. Je suis restée avec cette question, à m'interroger moi-même sur mes propres ressorts un peu racistes, un peu classistes. Est-ce que c'est OK de se moquer des accents bourgeois? Après tout, elle a été élevée comme ça. Une fois, on avait parlé, toi et moi, et tu m'avais dit, c'est vrai que je suis un mec blanc depuis plus de 50 ans, mais je ne l'ai pas choisi. C'est vrai que souvent, quand on est bourgeoise et âgée, ce sont des choses qu'on ne choisit pas vraiment. Est-ce qu'on choisit son accent? Est-ce qu'on doit en changer pour avoir l'air moins bourgeoise ou moins française ou moins autre chose? Probablement pas, finalement. Donc voilà, on a nous-mêmes nos propres biais et ça peut être intéressant d'y réfléchir. La difficulté avec les pasteurs venus d'ailleurs [Stéphane] C'est vrai que je n'ai pas choisi d'être caucasien. Je n'ai pas choisi de naître en Amérique du Nord. Comme je dis souvent, si j'étais venu au monde au Burkina Faso, ma vie serait complètement différente. Je crois qu'il y a un peu d'angélisme dans les Églises, dans le sens où on a cette idée que nous sommes une Église universelle, que Jésus accueille tous et toutes et sans distinction. Oui, je suis pas mal convaincu que Jésus-Christ accueille tous et toutes. Le problème, ce sont les gens dans l'Église… c'est malheureusement une autre chose. Qu'on le veuille ou qu'on ne le veuille pas, les Églises chrétiennes ont un lourd passé colonial. On envoyait des gens avec un message quand même assez clair, vous allez dans des pays sous-développés, vous allez les sortir de leur culture et religion primitive. Maintenant qu'il y a ce qu'on appelle une crise de vocation dans nos Églises, nous avons de la difficulté à trouver des pasteurs occidentaux. On se dit bon, on a été évangéliser les gens là-bas, ben ils vont nous renvoyer des pasteurs. C'est un échange de bons procédés. Et d'un coup, hop, ils sont différents, ils parlent différemment, ils arrivent avec d'autres cultures. Là, ça ne marche pas. Donc, il y a une espèce de pensée magique que le racisme, la discrimination ou du moins l'inconfort n'existent pas. Ce n'est pas vrai. Prendre le temps de bien se comprendre [Joan] J'aime beaucoup que tu parles de l'inconfort. Je trouve ça génial en fait. L'inconfort, c'est ce qu'on ressent tous et toutes lorsqu'on est avec quelqu'un de différent. Et c'est ok de ressentir de l'inconfort. Quand c'est quelqu'un qui est dans une situation de vulnérabilité, c'est une personne qui fait déjà beaucoup d'efforts, ce n'est pas ok de lui montrer notre inconfort en fait. Il faut qu'on arrive à trouver d'autres endroits où déposer cet inconfort. Quand c'est quelqu'un qui nous met dans une situation un peu inconfortable, mais qu'elle le fait un peu sciemment et qu'elle le fait depuis une place quand même avec des privilèges, on peut l'interpeller et lui poser la question. Et ça se passe bien souvent. J'anime une petite page Instagram, trois fois rien, sur le ministère que j'ai la bénédiction de vivre depuis trois mois avec des personnes qui sont en situation migratoire, et pour une partie d'entre eux, qui sont en train de s'installer ici en Suisse. Et sur cette page Insta, dont je peux donner la référence si les gens nous écrivent, pas de problème, je racontais qu'à la fin d'une entrevue avec une marraine, donc une dame qui va former un tandem avec quelqu'un qui est arrivé depuis pas longtemps en Suisse, à la fin de la conversation, elle me dit « Mais pourquoi vous dites tout le temps “comme dit” ? » En fait, ça vient de wiegesatack et c'est un alsacisme. En fait, les Alsaciens disent « comme dit » pour dire « comme nous l'avons dit » ou « comme je te l'ai dit » ou « comme ça a été dit ». On dit « comme dit ». Elle me l'a dit comme ça, un peu à brûle pour point, mais avec un sourire et tellement gentiment. Et elle m'a expliqué qu'en fait, ça faisait une heure que je lui répétais « comme dit », « comme dit », « comme dit ». Et puis moi, je n'en avais pas du tout conscience. Donc parfois on est un petit peu inconfortable, notamment parce que c'est une expression qu'on ne comprend pas, qu'on n'est pas sûr de suivre le fil de l'autre. Je me rappelle qu'une fois, je parlais avec un collègue congolais qui s'appelle Moussa et que je salue au passage. Et j'avais besoin d'avoir une réponse à une question. Il me dit « Ah, si, si. Non, non. Voilà! » Voilà, j'avais des réponses, cela dit, mais pas du tout celle que j'attendais. C'est intéressant, parce que des fois ce n'est pas possible. On n'arrive pas à répondre. Il y a une distance culturelle. La question telle que posée ne correspond à rien, cognitivement, de ce que nous on connaît. Et si, sinon, on voit là, c'est une façon très polie de dire, voilà, laisse-moi du temps, je n'y suis pas encore, ta question me surprend, je ne la comprends pas. C'est OK aussi de se prendre ce temps-là. Ça peut éviter des réactions racistes, en fait, de se donner du temps. Le racisme ethnique dans la Bible [Joan] Par rapport au racisme, il y a eu un avant et un après pour moi dans ma lecture de la Bible. Et c'est quand j'ai compris que Aaron, le frère de Moïse, avait renvoyé dans le désert les femmes étrangères dans une espèce de recherche de purification ethnique. Vous ne vous marierez pas avec des étrangères parce qu'elles avaient d'autres dieux, elles n'avaient pas un dieu unique ou alors pas le dieu unique tel que le peuple hébreu le comprenait. J'étais saisie d'horreur et je me suis dit, mais quel racisme horrible de prendre des femmes, d'avoir des relations avec ces femmes, même des enfants, et puis d'un seul coup de leur dire « on ne veut pas de vous, on vous renvoie dans le désert ». Qu'est-ce qu'elle peut bien devenir, une femme seule ou plusieurs femmes seules dans le désert, parfois avec des bébés sous le bras? Quel est leur avenir en fait? Je me suis rendu compte que la Bible portait en elle beaucoup d'histoires teintées par ce racisme, ce racisme ethnique, tribal, ce besoin un peu de purification, et tout ça pour honorer Dieu. C'est dur, après, d'en faire quelque chose, de s'en saisir et de s'en dessaisir, d'être loyale; ça, c'est notre épisode de podcast d'il y a deux semaines. Et en même temps, de ne pas tomber dans une sorte de sectarisme, de racisme, quoi. Tenter de devenir conscient du problème du racisme [Stéphane] C'est vrai que les écrits bibliques ne sont pas neutres. C'est l'histoire du peuple de Dieu, donc avec tout ce qu'il y a de plus beau et de moins beau. C'est sûr qu'on aime bien le passage de Galates, chapitre 3 : « Il n'y a plus de Juifs, ni Grecs; il n'y a plus d'esclaves, ni libres; ni hommes ni femmes. Nous sommes tous un en Jésus-Christ. » Puis là on dit: “ah que c'est beau”. Mais lorsqu'on y pense quelques secondes, pourquoi l'auteur a-t-il voulu écrire ça? C'est parce que, probablement, il y avait un problème. Probablement, il y avait des gens qui disaient « Ah, eux, ce sont des Grecs; eux, ce sont des Juifs; puis eux, ce sont juste des esclaves; nous, on est libres. » Il y a ces problèmes-là qui sont là probablement depuis le début de l'humanité et l'Église n'y échappe pas; il faut en être conscient. Ça ne veut pas dire qu'on est mauvais, mais lorsque l'on devient conscient du problème, on peut y travailler. L'Église Unie a décidé, il y a quelques années, d'être une église antiraciste. Encore une fois, bravo, mais cette position-là a émergé après que plusieurs personnes aient raconté des histoires vraiment touchantes et très tristes, de racisme et tout ce qui venait avec, de discrimination, de commentaires vraiment pas gentils. L'Église a pris conscience du problème. Elle n'a pas dit qu'on est meilleur, non ça n'existe pas. L'Église a plutôt décidé de dire, oui, nous avons un problème et nous allons y travailler. Nous allons y faire face. Et c'est ça qui est difficile pour une Église, une paroisse, d'être capable de reconnaître notre problème. Multi culturalité et interculturalité [Joan] Tu sais qu'en fait, ce verset de Galates 3, mais tu dois le savoir, en tout cas tu l'as appris dans un de tes cours de théologie, se situe dans un contexte de liturgie de baptême. Et du coup, on a commis un petit article, ma collègue Juliette Marchais et moi, collègue qui exerce en Alsace, dans le bouquin Bible, genre et sexualité, ni mâle et femelle, sous la direction de Sébastien Douane. C'est un petit peu notre article qui a donné le nom au bouquin. On a fait un article sur la question des liturgies de baptême. Est-ce que les liturgies de baptême utilisent Galate 3? Et la réponse est non. C'est-à-dire qu'en fait, il en est fait mention parfois dans les marges, ou bien un petit peu. Par exemple, ils disent « il n'y a plus ni homme ni femme, car vous êtes un en Jésus-Christ ». Et puis le côté « ni juif, ni grec, ni esclave, ni libre », ça disparaît. Donc c'est intéressant parce que quand c'est utilisé, c'est utilisé de façon tronquée et finalement c'est peu utilisé pour te dire que c'est un verset qui n'est pas du tout consensuel. Comme tu dis, d'un seul coup on le brandit, c'est quand on n'en peut plus. Pourquoi? Parce qu'on n'ose pas assez se confronter à ce verset qui est pourtant riche et autour duquel on peut avoir des discussions franches. Et d'ailleurs, en parlant discussion franche, j'ai remarqué aussi quand je parle avec des gens de multi culturalité ou d'interculturalité, qui sont deux choses différentes. La multi culturalité c'est quand on est dans une communauté ou dans une église avec le grand E, un peu côte à côte. Une fois de temps en autre, on fait un truc ensemble. Ah, c'est super! Une fois par an, on fait le culte avec les Hmongs. Ah, ils préparent des petits nems succulents, c'est formidable et c'est joli, les chapeaux des dames. Et puis après, chacun retourne dans sa communauté, manger ses trucs et porter ses jeans et ses costumes habituels. Ça, c'est multiculturel. On aime bien la différence de l'autre. D'ailleurs, une fois par an, on se prend en photo avec. Interculturalité, c'est plus régulièrement mélanger les choses, les mélanger au risque que des fois ça frotte, ça coince. On recule aussi des fois, ou on avance. Et moi ce que j'ai souvent entendu quand je témoignais un peu de ce que nous vivions dans l'Église réformée francophone de Zurich, où il y a une chorale avec des personnes qui viennent de toute l'Afrique, et puis la communauté est majoritairement blanche avec une chorale majoritairement noire. Donc des fois ça donne lieu à des questionnements, il y a plein de choses qui peuvent se passer. Des fois j'en parlais autour de moi quand j'étais en ministère là-bas. Et il arrivait souvent qu'on me dise « Ah bon? Ah, chez vous, des fois, il y a des tensions, des frottements, des interrogations? Ah, pas chez nous, on a une famille érythréenne et ça se passe très bien. Qu'est-ce qu'ils sont bien élevés, les enfants. La dame, elle aide toujours et le monsieur, il porte les chaises. Ah non, nous, avec notre famille érythréenne, tout va très, très bien. » Ou bien le classique « Oh, on a un réfugié, Bienvenue. » Il s'appelle Bienvenue. Toute la communauté l'aide. On l'invite à manger à tour de rôle, ah non, nous on n'a pas de problème. Et ça, c'est un petit peu la différence entre avoir une famille érythréenne, un réfugié qui s'appelle Bienvenue, ou bien être carrément moitié-moitié. Parce que dès qu'il y a plus de personnes venant d'ailleurs que venant d'ici, ça pose question. Et que ça pose question, c'est OK en fait. Moi, je comprends que ça pose question. D'ailleurs, c'est bien qu'on se pose des questions. Quand on arrêtera de se poser des questions, ce ne sera plus bon. Mais si ça tourne au non-dit ou au conflit, c'est là qu'on se dit, on a du boulot à faire en tant que pasteur. Comme cette anecdote du jeûne fédéral qui m'a été rapportée par un collègue, dans une communauté avec beaucoup de personnes qui venaient d'ailleurs. Pour le jeûne fédéral suisse, d'un seul coup, il y avait surtout des personnes qui venaient d'ailleurs et pas beaucoup de personnes qui avaient l'air de venir d'ici. Et certaines personnes s'en sont émues, en disant: si le jour du jeûne fédéral suisse, il y a plus de personnes qui viennent d'ailleurs que de personnes qui viennent d'ici, c'est mal parti. Ce n'est ni mal parti ni bien parti, c'était comme ça cette année-là. Et ce sera peut-être différent l'année suivante. Finalement, ce qui est sûr, c'est que le racisme, c'est pénible. C'est pénible pour tout le monde, même pour ceux qui sont un peu racistes ou qui ont du mal avec les questions de multi-culturalité, pour eux c'est pénible. Mais en même temps, c'est lorsqu'il n'y a que des personnes de la même origine qu'il n'y a pas de racisme à l'Église. Finalement, le racisme, c'est quoi ? C'est l'expression d'une multi-culturalité, c'est l'expression d'une communauté qui est en mouvement, c'est l'expression de choses qui sont en train de changer. C'est ce qu'on appelle le point noir sur la feuille blanche. Sur une feuille blanche, on ne voit qu'un point noir, mais ça veut dire qu'il y a un point noir, et ça, c'est cool. Le racisme, c'est l'expression d'un changement, c'est l'expression d'un déplacement. Et c'est vrai que nous, en tant que ministre du culte, on a un rôle à jouer là-dedans, puis toute la communauté aussi. Racisme et racisme systémique [Stéphane] En Amérique du Nord, pas juste aux États-Unis, au Canada aussi, il y a eu pendant longtemps des lois qui divisaient les personnes afro-descendantes des Caucasiens. Et ces lois sont disparues pour trois quarts de siècle, au moins, tout dépendant des endroits. Ceci dit, dimanche matin, à l'église, c'est encore le moment de la semaine, l'endroit où la société est la plus ségrégationnée. Même si c'est accepté, même si au travail, on peut avoir des gens de différentes origines, de différentes cultures, on dirait que le dimanche matin, on va à une église blanche, on va à une église latino. Je peux comprendre un certain sentiment de tribalisme, dans le sens où on veut être entouré de gens qui me ressemblent, qui sonnent comme moi, qui ont les mêmes référents, mais en même temps, ce n'est pas la société dans laquelle on vit. On dirait qu'on essaie de créer comme un espace parallèle. OK, quand je vais à l'épicerie, je suis entouré de gens un peu différents, mais dans mon Église, ah là, là, on est tous des Québécois, cinquantenaires, tous pareils. Mais c'est à ce moment-là, moi, je trouve que l'Église perd sa pertinence. Si on n'est pas intégré dans notre société, si on n'est pas prêt à faire face justement à ces défis, c'est sûr que c'est désagréable. Personne ne veut se faire confronter, personne ne veut se faire dire « ben ça c'est peut-être une pratique raciste ». Depuis quelques années, un des grands débats qu'on a ici, c'est la différence entre le racisme et le racisme systémique. Il y a le racisme, les gens vont faire un propos raciste, et le racisme systémique. Les gens comprennent ça comme plus systématiquement. Non, c'est le système qui est raciste, c'est le système qui est brisé. Lorsqu'on prend pour acquis que tout le monde fonctionne selon les valeurs occidentales, c'est ça qui est normal, c'est ça qui est attendu. Et lorsque quelqu'un vient d'un autre pays et se comporte différemment, on ne l'engage pas pour un boulot ou pour n'importe quoi. Là, c'est le système qui est vicié. Juste un exemple, on a des comités comme toutes les Églises. On remarquait qu'il y avait des appels pour participer à des comités et qu'il n'y avait pas d'Autochtones qui portaient leur candidature. Quelqu'un a eu la brillante idée d'aller voir les communautés autochtones. Il a dit, mais qu'est-ce qui ne fonctionne pas? Est-ce que c'est une question de langage? Ils ont dit, ben, pas vraiment. Nous, dans notre culture, personne ne va se porter volontaire. C'est les anciens qui se rassemblent, qui disent, telle personne, je pense qu'elle serait bonne pour cette position-là. Donc, il y a eu un changement. Quelque part, le modèle qu'on avait, c'était le modèle blanc occidental. On était confrontés à un certain racisme dans le sens où le système prenait pour acquis que nos valeurs étaient les valeurs de tout le monde. Et on a été confronté à ça et on a réfléchi. Mais c'est sûr que ce n'est pas plaisant de se faire dire que le système dans lequel nous on évolue très bien, ça va bien, tout va bien, moi je suis un homme caucasien, tout le monde m'écoute. Mais il y a des gens qui souffrent de ça, des gens qui souffrent du fait qu'ils sont nés sur un autre continent, qui ont un nom à consonance entre guillemets « étrange » et n'ont pas les mêmes chances que moi, c'est sûr que c'est difficile à accepter. Les Églises identitaires [Joan] C'est bien que tu parles des églises issues de la migration comme ça, parce que je me rappelle pendant mes études de théologie, notamment pendant les journées doctorales de la faculté de théologie de Strasbourg, qui étaient obligatoires à un certain nombre d'heures quand on était en doctorat. Il y avait eu une période où il y avait énormément de réflexions autour des Églises ethniques ou bien affinitaires. Puis après, il y a eu le mot afropéenne, des Églises afropéennes. Alors, entre-temps, on a rediscuté ce mot. Des Églises identitaires aussi. À un moment donné, être d'une culture ou d'une nationalité, c'était être identitaire. Mais moi, ça m'amuse beaucoup parce que y a-t-il une église qui ne soit pas identitaire? Parfois, on a des Églises multi-identitaires. J'ai un collègue en Grande-Bretagne qui m'expliquait qu'il sert dans un consortium de trois paroisses. Je ne me rappelle plus très bien des détails, mais une, c'est méthodiste anglicane, l'autre, c'est méthodiste je ne sais plus quoi, et la troisième, ça s'appelle église œcuménique parce que c'est une période où plusieurs courants se sont mis ensemble pour créer un courant œcuménique. Et il semblerait que ce soit pareil en Suède aussi, maintenant il y a de plus en plus d'Églises post-confessionnelles qui s'appellent œcuméniques et qui ont toutes sortes de marqueurs identitaires à l'intérieur. Donc, finalement maintenant on a des Églises multi-identitaires aussi, mais néanmoins elles restent identitaires. Et donc se pose un petit peu la question de comment peut-on imaginer une Église qui, dès le départ, semble assez multi-identitaire pour que, quand on y arrive, on n'ait pas l'impression d'être invité dans la tribu de l'autre? Ça, c'est intéressant parce que c'est une question qui part de beaucoup de privilèges aussi, par exemple des privilèges blancs. On va dire oui, moi je vais dans une Église noire et puis je ne sais pas trop où m'y mettre. Et puis d'ailleurs, ce n'est pas leur objectif que tu te sentes spécialement accueilli, selon certaines communautés. Moi par exemple, quand j'étais à New York, dans l'une des communautés noires de Harlem. Ils m'ont dit très clairement qu'ils ont un quota. Ils prennent 25 Blancs, pas plus. Sinon, leurs cultes ne sont pas intéressants. Ils ont l'impression d'être scrutés. Puis les Blancs, ils n'ont pas les us et coutumes. Ils ne chantent pas, ils ne dansent pas. On m'a bien expliqué qu'il se trouvait qu'étant ministre, j'étais acceptée, mais alors du bout des doigts, vraiment. Je comprends leur perspective. Est-ce que c'est du racisme? Ils veulent pouvoir vivre leur expérience de culte noir, afro-gospel, puis c'est tout. Nous, par contre, si on fait ça depuis la place de privilège qu'on a et qu'on disait, oui, non, mais alors s'il y a des gens qui viennent d'autres cultures, voilà, ça allait nous déranger, ça ne va pas du tout, parce qu'on parle depuis une autre place, quoi. Mais on fait bien sentir souvent aux gens qu'ils n'ont pas les codes, qu'on le veuille ou non. Moi, je me rappelle d'un culte où était venue une famille pentecôtiste et la dame s'était bien habillée. Elle était canon belle, elle avait un chapeau et tout. Et à chaque fois que le pasteur disait quelque chose, elle disait « Amen! Alléluia! ». Je ne sais pas, on n'a pas eu l'intelligence collective de le faire aussi un petit peu, pour qu'elle se sente à l'aise et elle n'est plus revenue. Ce sont des détails. On dirait que c'est anecdotique mais en fait, ça veut dire beaucoup. Comment est-ce qu'on peut faire pour que dans nos cultes, tout un chacun trouve un petit quelque chose où ils se disent « ah, mais là je suis à la maison ». C'est ce petit quelque chose qui fera de nous, individuellement et collectivement, des communautés en marche vers l'antiracisme. Ça ne se décrète pas d'être antiraciste, ça se vit en fait. Et c'est très, très compliqué parce que moi je peux penser que je suis antiraciste, mais en fait j'imite les accents des autres des fois un petit peu de façon… et puis on peut penser qu'on fait un culte panafricain, j'ai fait ça aussi des cultes panafricains. Pendant les réunions de préparation du culte panafricain, quelqu'un a dit: ce serait quand même bien qu'il n'y ait pas trop de viande. Du coup, on a fait un buffet avec pas trop de viande et on a pu jeter la moitié du buffet parce que la plupart des personnes qui étaient là trouvaient qu'un culte panafricain où on célèbre l'Afrique, on mange de la viande. C'est hyper intéressant parce qu'on va cumuler des expériences, des échecs, des réussites. Il faut absolument que l'on continue, qu'on insiste, qu'on persévère et qu'on ait des lieux où on peut se raconter un peu tout ça. Des lieux qui incluent des personnes concernées dans nos démarches antiracistes. Parce que comme tu l'as dit avec l'anecdote des délégués de la communauté d'une autre culture ou de différentes cultures. Si on met en place des protocoles, mais qu'on n'inclut pas les personnes concernées dans nos protocoles, on va forcément viser à côté, comme tu l'as dit. Pour moi, ce sont des chantiers, des idées, des impulsions, et j'aimerais tellement qu'il y ait plus d'endroits où on puisse partager ça. Accepter l'inconfort [Stéphane] J'ai trouvé une expression que j'aime bien: l'inconfort universel. Que tout le monde se sente inclus et en même temps inconfortable, à peu près au même niveau. Je te donne un exemple. Il y a quelques semaines, on m'a invité à un culte. Toutes les personnes qui étaient là étaient des gens d'origine du Cameroun. Je n'avais pas de référent culturel pour la majorité des choses. Je ne connaissais pas les cantiques, la façon d'organiser le culte n'était pas celle que je connais. Mais pour moi, ce fut une belle expérience parce que, un, ils m'ont invité, ils m'ont très bien accueilli, et deux, j'ai découvert quelque chose. J'ai surtout eu le rappel que les blancs sont coincés, parce que, oui, c'était top énergie, l'essence de la célébration. Je me suis dit, oui, mais c'est vrai: pourquoi chez nous, c'est toujours de la musique solennelle? Il faut toujours se concentrer et être sobre, alors que c'est supposé être un jour de célébration? Je ne dis pas nécessairement que c'est mieux, mais j'ai été confronté à mes préjugés, à mes façons de faire. Je me suis remis en question. Je n'ai pas blâmé cette communauté-là pour ce qu'elle faisait. C'est moi qui me suis remis un peu en question, qui ai essayé de grandir, qui ai essayé d'évoluer comme fort probablement, j'espère, ces personnes-là font la même chose lorsqu'elles sont confrontées à d'autres réalités. Je pense que c'est ça l'espoir, lorsqu'on accepte que ce soit différent, lorsqu'on accepte que ce soit peut-être inconfortable. Lorsqu'on accepte que l'autre soit sûrement inconfortable, comment se rejoindre, comment se respecter tout en demeurant soi-même et en essayant de voir la façon dont l'autre voit les choses, je pense que c'est un bon début. Conclusion [Joan] Et encore une fois, Amen! Racontez-nous vous aussi vos expériences, si vous êtes d'accord, d'interculturalité inconfortable ou confortable. Dites-nous un peu comment vous vivez les choses, ça nous intéresse, écrivez-nous. [Stéphane) Écrivez-nous questiondecroire@gmail.com. Merci beaucoup à l'Église Unie du Canada, notre commanditaire qui nous permet d'être diffusés sur beaucoup de plateformes. Merci à Réforme.net aussi. Merci à toutes les personnes qui laissent un commentaire, un pouce en l'air, une évaluation. C'est toujours bon pour le référencement. Merci surtout à toi, Joan, pour cette conversation. À bientôt. À bientôt.
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Aujourd'hui, je vous propose de rencontrer Pauline, de Juste pour goûter, qui partage avec nous son parcours autour de la pâtisserie créative. Elle a démarré en tant qu'artiste de biscuits décorés, mais désormais elle se consacre à la transmission de son savoir-faire avec des formations en ligne : elle nous explique donc ce qui l'a poussée à faire pivoter son modèle économique. Pauline nous parle également de la manière dont elle se différencie dans un marché saturé, ainsi que sa philosophie de la pâtisserie. Pour les membres du Club Fait Main, vous aurez accès à un bonus dans lequel Pauline nous livre ses conseils, notamment au niveau du matériel qu'elle utilise au quotidien pour travailler. Et pour découvrir Copilot', le cocon pour entrepreneurs créatifs, c'est juste ici ! Bonne écoute,Mélanie
durée : 00:06:22 - La tech la première - La carte de référence de la guerre en Ukraine a été falsifiée pendant quelques heures. Juste assez pour déclencher le paiement d'un pari sur Polymarket, la plateforme crypto où l'on mise sur la prise de villes ukrainiennes. L'affaire révèle les dérives d'un nouveau marché : les paris sur la guerre. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
L'affaire commence comme une scène de roman noir. En pleine nuit, quelqu'un dépose discrètement une vitrine en verre devant le siège d'un service archéologique en Allemagne, dans la ville de Spire, devant l'antenne locale de l'Office archéologique .À l'intérieur : des os humains, des fragments de tissus anciens, et ce qui ressemble à du mobilier funéraire. Aucun message, aucune revendication, aucune explication. Juste un colis macabre et un mystère qui intrigue aujourd'hui les archéologues aussi bien que la police.Pourquoi cette histoire fascine-t-elle autant ? D'abord parce que les premiers examens ont confirmé que les os ne sont pas récents : il s'agit bien de restes humains médiévaux, probablement âgés de plus d'un millénaire. Autrement dit, quelqu'un a eu entre les mains un matériel archéologique sensible — et l'a déposé comme une bouteille à la mer. Le geste est totalement inhabituel : les découvertes de ce type sont en général signalées obligatoirement aux autorités, car elles relèvent du patrimoine national.L'énigme s'épaissit lorsque les experts constatent que les objets dans la vitrine semblent appartenir à une même sépulture. Les tissus, bien que fragmentaires, évoquent un linceul ou des vêtements funéraires. Certains os portent même des traces suggérant un ensevelissement ancien, non une manipulation moderne. Tout laisse penser qu'un tombeau médiéval a été ouvert — mais par qui ? Et pourquoi le fruit de cette fouille clandestine se retrouve-t-il déposé anonymement devant des archéologues ?Plusieurs hypothèses sont envisagées. Une première piste évoque un pilleur de tombes amateur, effrayé par l'illégalité de sa découverte et cherchant à se débarrasser rapidement des preuves. Une autre suggère un héritage encombrant, retrouvé dans une cave ou un grenier, et confié anonymement aux autorités pour éviter les complications. Mais certains spécialistes privilégient une version plus troublante : quelqu'un aurait volontairement voulu attirer l'attention sur une fouille illicite, ou signaler qu'un site archéologique est en danger.Ce qui frappe aussi les experts, c'est la façon dont les restes ont été déposés : proprement, méthodiquement, comme si le mystérieux donateur voulait transmettre un message. Mais lequel ? S'agit-il d'un acte de conscience, d'une dénonciation silencieuse, ou d'un simple abandon ?Pour l'instant, personne ne sait. La vitrine et son contenu sont désormais entre les mains de spécialistes en anthropologie et en datation. Une enquête de police a été ouverte pour déterminer l'origine des os, identifier la tombe dont ils proviennent et comprendre les circonstances de ce dépôt nocturne.Ce qui est certain, c'est que cet étrange geste soulève autant de questions qu'il n'apporte de réponses. Et rappelle que l'archéologie n'est pas seulement une science du passé, mais parfois aussi une enquête sur le présent. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Yves Camdeborde, cuisinier, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
L'idée est simple : réunir autour d'un dîner des personnalités de la Tech que vous connaissez, et les laisser parler librement, sans micro officiel, sans mise en scène. Juste une table, du vin, et la promesse de conversations vraies.Au menu cette fois-ci : l'Éducation. A l'heure de l'Intelligence Artificielle comment preparer nos enfants a évoluer dans un monde ou tout change a une vitesse folle.
33. Maesic, Marshall Jefferson, Salome Das - Life Is Simple 32. Juste, Jaxstyle, Jon - Turn The Lights Off 31. Alesso, Sacha - Destiny 30. Playmen, Damiano, Michael Tsaousopoulos, Ferrylake - Naked 29. Raye, David Guetta, Hypaton - Where Is My Husband 28. Dj Antoine, Mad Mark, Sergio Trillini, Matway, Johnny Joined - Show Me 27. Oneil, Kanvise, Smola - The Riddle 26. Don Diablo, Fitz And The Tantrums - Radio Baby 25. John Summit, Inez - Crystallized 24. Gabry Ponte, Erika - I Don't Know 23. Vanco, Aya - Ma Tnsani (Yalla Habibi) 22. Calvin Harris, Clementine Douglas - Blessings 21. Dimitri Vegas, David Guetta, Loreen - Pum Pum 20. Cassian, Yotto, Da Hool - Love Parade 19. Dj Snake, Bipolar Sunshine - Paradise 18. David Guetta, Tones And I, Teddy Swims - Gone Gone Gone 17. Jonas Blue, Malive - Edge Of Desire 16. Rudimental, Khalid - All I Know 15. Albert Brite - Wild 14. Argy, Meduza - Melodia 13. Vize - Wait (Alibi Blue) 12. Hurts, Purple Disco Machine - Wonderful Life '25 11. Inna, R3Hab - I'Ll Be Waiting 10. Kamrad - Be Mine 09. Akcent, Sera, Misha Miller - Don't Leave (Kylie) 08. Calvin Harris, Jessie Reyez - Ocean 07. Kddk, Alex Alta - 1&2 06. One-T, Ywy, Nika - The Way To Love 05. Huntr-X, Ejae, Audrey Nuna, Rei Ami, Dj Dark - Golden 04. Ava Max - Don't Click Play 03. Disco Lines, Tinashe - No Broke Boys 02. Lady Gaga, Dj Dark - The Dead Dance 01. Shouse, Cub Sport - Only You
33. Maesic, Marshall Jefferson, Salome Das - Life Is Simple 32. Juste, Jaxstyle, Jon - Turn The Lights Off 31. Alesso, Sacha - Destiny 30. Playmen, Damiano, Michael Tsaousopoulos, Ferrylake - Naked 29. Raye, David Guetta, Hypaton - Where Is My Husband 28. Dj Antoine, Mad Mark, Sergio Trillini, Matway, Johnny Joined - Show Me 27. Oneil, Kanvise, Smola - The Riddle 26. Don Diablo, Fitz And The Tantrums - Radio Baby 25. John Summit, Inez - Crystallized 24. Gabry Ponte, Erika - I Don't Know 23. Vanco, Aya - Ma Tnsani (Yalla Habibi) 22. Calvin Harris, Clementine Douglas - Blessings 21. Dimitri Vegas, David Guetta, Loreen - Pum Pum 20. Cassian, Yotto, Da Hool - Love Parade 19. Dj Snake, Bipolar Sunshine - Paradise 18. David Guetta, Tones And I, Teddy Swims - Gone Gone Gone 17. Jonas Blue, Malive - Edge Of Desire 16. Rudimental, Khalid - All I Know 15. Albert Brite - Wild 14. Argy, Meduza - Melodia 13. Vize - Wait (Alibi Blue) 12. Hurts, Purple Disco Machine - Wonderful Life '25 11. Inna, R3Hab - I'Ll Be Waiting 10. Kamrad - Be Mine 09. Akcent, Sera, Misha Miller - Don't Leave (Kylie) 08. Calvin Harris, Jessie Reyez - Ocean 07. Kddk, Alex Alta - 1&2 06. One-T, Ywy, Nika - The Way To Love 05. Huntr-X, Ejae, Audrey Nuna, Rei Ami, Dj Dark - Golden 04. Ava Max - Don't Click Play 03. Disco Lines, Tinashe - No Broke Boys 02. Lady Gaga, Dj Dark - The Dead Dance 01. Shouse, Cub Sport - Only You
Plus de 7 millions de Honduriens votent ce dimanche (30 novembre 2025), à la fois pour l'élection présidentielle, les législatives et les municipales. La campagne s'est déroulée dans un climat tendu, les différents camps politiques accusant l'autre de préparer une fraude. Les électeurs, eux, attendent du changement pour améliorer la sécurité et lutter contre la pauvreté qui touche 73% de la population. Notre correspondante au Honduras, Marie Griffon, a rencontré des Honduriens qui malgré des diplômes, ne trouvent pas de travail. Nouvelles menaces des États-Unis contre le Venezuela Les tensions entre le Venezuela et les États-Unis ne s'apaisent pas. Donald Trump menace de lancer des opérations terrestres contre les trafiquants de drogue vénézuéliens. «Nous allons le faire très bientôt», a-t-il déclaré hier (27 novembre) lors d'une allocution télévisée aux forces armées, à l'occasion de Thanksgiving. Juste avant, Nicolas Maduro avait défié les États-Unis. Lors d'un discours adressé aux militaires, retransmise à la télévision d'État, le président vénézuélien a dénoncé «17 semaines de guerre psychologique» orchestrée par Washington, mais qui ne font pas vaciller son pays. L'administration Trump cache de moins en moins son ambition de voir Nicolas Maduro quitter le pouvoir. Le Washington Post le verrait bien se réfugier en Turquie, le cas échéant. Le président vénézuélien y a de nombreux contacts et surtout d'importantes richesses, notamment de l'or, affirme le quotidien. La Turquie y a également intérêt. Elle deviendrait ainsi «un acteur essentiel de la politique étrangère de Trump», analyse Lisel Hintz, spécialiste de la Turquie et professeure à l'Université Johns Hopkins, interrogée par le Washington Post. Après être intervenu dans les dossiers de Gaza, de l'Ukraine et de la Syrie, «le Venezuela pourrait être «le quatrième conflit qu'Erdogan contribue à résoudre avec Trump»», estime Soner Cagaptay, politologue turco-américain, également dans les colonnes du journal. Enfin, Nicolas Maduro et Recep Tayyip Erdogan s'entendent très bien. Une source anonyme au sein de l'administration Trump qui confirme que c'est une piste sur laquelle les autorités travaillent. S'il acceptait de s'exiler en Turquie, Nicolas Maduro ne serait vraisemblablement pas extradé vers les États-Unis où il est mis en examen pour trafic de drogue, corruption et narcoterrorisme, assure encore cet informateur. Se réfugier en Turquie serait un choix positif pour tout le monde, écrit encore le journal. Donald Trump ne perdrait pas la face ; Nicolas Maduro serait en sécurité. Nicolas Maduro protégé par son armée Il n'y a qu'au Venezuela, protégé par l'armée, que Nicolas Maduro est en sécurité, écrit le Wall Street Journal. L'armée restera fidèle au président jusqu'au bout, estiment plusieurs experts interrogés par le Wall Street Journal, car ils sont irrémédiablement liés. Nicolas Maduro ne veut pas céder le pouvoir. Accusé de violations des droits humains, d'enrichissement illicite et de trafic de drogue, il sait que la justice internationale pourrait le rattraper. Et du côté de l'armée, les généraux mouillés dans des trafics de drogue et des affaires de corruption, ont peur de se retrouver en prison si l'opposition arrive au pouvoir. «La cohésion du régime provient de la nécessité pour eux de continuer leurs activités criminelles et de sauver leur peau, un peu comme dans une mafia de lâches», juge un ancien diplomate américain qui a été en poste au Venezuela. Un mégaport pour le Chili Après Chancay au Pérou, le Chili ambitionne, à son tour, de se doter d'un mégaport en agrandissant celui de la ville de San Antonio. Le pays veut ainsi conserver son rôle de porte d'entrée sur le continent, tout en anticipant une augmentation du commerce international dans les décennies à venir. Pour l'instant, sept entreprises, dont deux chinoises, ont répondu à l'appel d'offres. Depuis plusieurs années, Pékin accroît sa présence en Amérique Latine pour devenir la première puissance commerciale mondiale. Mais à San Antonio, l'extension du port préoccupe la population et les défenseurs de l'environnement. Le reportage de Naïla Derroisné. Le journal de la 1ère En Guadeloupe, 255 nouvelles plaintes pour «mise en danger d'autrui» vont être déposées ce vendredi (28 novembre 2025), au Palais de Justice de Pointe-à-Pitre…
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durée : 01:59:22 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - C'est à une "Juste parmi les nations" qu'est consacré cet "Atelier de création radiophonique" en 1991. Marie-Louise Charpentier témoigne de son engagement dans la Résistance à Rennes durant la Seconde Guerre mondiale. Une émission qui aborde aussi la problématique du silence et de la mémoire. - réalisation : David Jacubowiez
Chaque matin, l'équipe vous parle du con du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Cet épisode est une présentation de Dose. Obtenez 20 % de rabais avec mon code SOUSECOUTE20 : http://go.dosejuice.com/sousecouteSaily eSIM : Obtenez une réduction exclusive de 15 % sur vos premiers forfaits de données Saily ! Utilisez le code mikeward à la caisse. Téléchargez l'application Saily ou rendez-vous sur http://saily.com/mikeward ⛵Pour cet épisode de Sous Écoute, Mike reçoit Mégan Brouillard et Matthieu Pepper pour parler de l'impact de Juste pour rire et des galas.---------Pour vous procurer la Ward Vodka - http://wardvodka.ca/ et la Ward Diet Cola - http://wardcola.ca/Pour vous procurer des billets du spectacle Modeste - https://mikeward.ca/fr--------Patreon - http://Patreon.com/sousecouteTwitter - http://twitter.com/sousecouteFacebook - https://www.facebook.com/sousecoute/instagram - https://www.instagram.com/sousecouteTwitch - https://www.twitch.tv/sousecouteDiscord - https://discord.gg/6yE63Uk Cet épisode est une présentation de Dose. Obtenez 20 % de rabais avec mon code SOUSECOUTE20 : http://go.dosejuice.com/sousecoute ★ Support this podcast on Patreon ★
Aujourd'hui, Joëlle Dago Serry, coach de vie, Charles Consigny, avocat, et Chirinne Ardakani, avocate, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Si Stephen Curry est toujours capable de prendre feu, Golden State ne fait plus peur. Deuxième équipe la plus âgée de la Ligue, la franchise californienne souffre aussi d'un manque de taille évident dans son cinq, alors que le cas Jonathan Kuminga continue de cristalliser les interrogations. Et l'avenir incertain de Steve Kerr, en fin de contrat l'été prochain, n'arrange pas les choses.A Denver, Nikola Jokic a poussé un coup de gueule après la défaite contre Sacramento. Les Nuggets, avec trois défaites de plus que le Thunder, pourrait vivre une fin d'année compliqué sans Aaron Gordon et Christian Braun...A 40 ans, Chris Paul a annoncé qu'il jouait sa dernière saison en NBA. Drafté en 2005, CP3 a symbolisé pendant sa carrière la définition type du meneur de jeu. Mais les regrets accompagnent aussi la "legacy" du deuxième meilleur passeur de l'histoire.Avec Chris Singleton. Présenté par Nicolas Sarnak.Jacques Monclar, Rémi Reverchon, Mary Patrux, Xavier Vaution, Fred Weis et Chris Singleton décryptent l'actualité de la NBA dans le Podcast NBA Extra, présenté par Nicolas Sarnak et Baptiste Denis.En complément de l'émission lancée en 2012, beIN SPORTS a créé, avec ce podcast, un nouveau format pour revenir en profondeur sur la ligue nord-américaine de basketball. Chaque semaine, les membres de l'émission débattent autour de trois thèmes majeurs, qui font l'actualité de la NBA.Un podcast à retrouver aussi sur Youtube : https://tinyurl.com/y4sabkns Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:58:22 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - C'est en 2021, après 129 ans de spoliation par la France, que le trésor royal d'Abomey a été restitué au Bénin. La restitution de ce pan d'histoire s'inscrit dans une bataille engagée, dès 2016, par le Bénin, pour faire de son patrimoine la pierre angulaire de son rayonnement culturel. - réalisation : Vivian Lecuivre, Margot Page - invités : Saskia Cousin Anthropologue, sociologue et professeure à l'Université Paris Nanterre; Didier Houénoudé professeur d'histoire de l'art à l'université d'Abomey Calavi et membre du comité de préfiguration du projet de musée d'art contemporain ; Massamba Guéye Enseignant-chercheur à l'université Cheikh Anta Diop, conteur, écrivain, producteur, fondateur-directeur de la Maison de l'Oralité et du Patrimoine, Kër Leyti, et référent national patrimoine, convention 2003 de l'Unesco.