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Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Yves Camdeborde, cuisinier, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Avec : Carine Galli, journaliste. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
On jase du célibat pendant les fêtes, on joue à la boulette avec des auditeurs et on parle des plus grands impacts positifs que peuvent avoir les chiens dans nos vies.
Quand un mec dit "soit bien prudente" à une femme quand elle rentre chez elle, c'est comme les phrases "calme-toi", "déstresse". Ça n'a jamais calmé personne et surtout, ce n'est pas aux femmes d'être prudentes. Et vous, vous en pensez quoi ? A retrouver en vidéo sur le compte Instagram @madame.meuf Retrouvez tous les épisodes de Madame Meuf ici. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Invité : Sylvain Maillard, député Ensemble pour la République de ParisHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lundi, le directeur général de Brookfield Corporation Justin Beber a témoigné pendant deux heures devant le comité d'éthique de la Chambre des communes. Les députés sont en train d’examiner la Loi sur les conflits d'intérêts et se demandent si les décisions prises par Carney en tant que premier ministre profitent à sa fortune personnelle. Notre invité du Bloc québécois, lui, le pense. Entrevue avec Luc Berthold, député conservateur dans Mégantic-L’Érable-Lotbinière. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Députés et sénateurs français ferraillent sur le budget 2026 mais, pour le moment, les résultats ne sont pas au rendez-vous. Symbole de la situation actuelle, le week-end dernier a été marqué par le rejet à l'unanimité moins une voix de la partie «recettes» du texte. Un vote qui oblige le Sénat à s'emparer à partir de demain mardi d'un texte dépourvu des amendements adoptés. Soit un mois de débats pour rien. Une «alerte» selon l'aveu exprimé ce lundi (24 novembre 2025) par le Premier ministre Sébastien Lecornu. Quelle est la porte de sortie ? Jusqu'où le blocage peut-il aller ? Quelles conséquences sur l'économie et l'opinion ? Pour en débattre - Émilie Zapalski, communicante politique et fondatrice de l'agence Émilie Conseil - Olivier Rouquan, politologue, enseignant-chercheur en Sciences politiques et chercheur associé au Centre d'Études et de Recherches de Sciences Administratives et Politiques (CERSA) - Valérie Gas, cheffe du service politique de RFI.
Notre invité Afrique ce lundi matin est le président centrafricain Faustin-Archange Touadéra. Le 28 décembre prochain, il briguera un troisième mandat à la tête du pays, face à six autres candidats. Organisation des élections, validation des opposants par le Conseil constitutionnel, accord avec les groupes armés, situation socio-économique, relations avec les Émirats arabes unis et la Russie… Il a abordé tous ses sujets avec François Mazet à Bangui. RFI : Monsieur le président, le 28 décembre, vous allez briguer un nouveau mandat à la tête de la République centrafricaine. Pour vous, cette candidature, c'était une évidence ? Faustin-Archange Touadéra : Effectivement, j'ai fait acte de candidature à cette élection. Le peuple centrafricain et ses communautés ont organisé des marches pour solliciter le fait que je puisse faire acte de candidature. Mais voyez-vous, cela fait suite à toutes les actions que nous avons menées pendant les deux derniers mandats, durant lesquels le pays était dans une très grande difficulté. Nous avons pu avoir des accords de paix avec les 14 groupes armés. Évidemment, en face de tout ça, le peuple centrafricain pense qu'aujourd'hui, il y a la paix qui est revenue. Il y a le déploiement de l'autorité de l'État à l'intérieur du pays, des avancées notables dans le sens du bien-être du Centrafricain. Je ne dis pas que tout est parfait, mais nous avons fait un grand pas, nous relevons la tête. Alors, on va revenir sur certains points de votre bilan. Mais d'abord, c'est fort de ce bilan que vous êtes convaincu, comme le dit la chanson qui tourne déjà, que ça sera le coup KO au premier tour ? (Il rit) Ben évidemment ! Pour nos compatriotes, beaucoup pensent que ce sera au premier tour. Nous sommes conscients, évidemment, que c'est un acte, une action démocratique ! Eh bien, le jeu est ouvert et chaque camp essaie de convaincre le plus de Centrafricains à voter pour lui. Vous aurez six adversaires. Évidemment, deux noms ressortent ceux de messieurs Henri-Marie Dondra et Anicet-Georges Dologuélé qui, après des mois de conjectures, ont finalement été validés par le Conseil constitutionnel. Est-ce que c'est une bonne chose que cette élection réunisse quand même des personnalités d'importance qui peuvent venir remettre en cause votre leadership ? Je ne peux pas, en tant que candidat, émettre des avis sur la décision du Conseil constitutionnel. Je prends acte. Nous allons competir et on va demander aux Centrafricains de faire leur choix. Évidemment, les personnalités dont vous parlez ici ne sont pas inconnues. On verra bien le 28 décembre. En tout cas, messieurs Dondra et Dologuélé disent que jusqu'au bout, vous avez fait le maximum pour qu'ils ne puissent pas s'opposer à vous. Qu'est-ce que vous leur répondez ? Mais en faisant quoi ? Qu'est-ce que j'ai fait pour m'opposer à leur candidature ? Nous avons des lois, chaque individu doit se conformer à nos lois, à nos textes. Et pour ça, il y a des juridictions. Donc, en quoi puis-je interférer ou faire quoi que ce soit pour empêcher qui que ce soit de se présenter ? La preuve, c'est qu'aujourd'hui, le Conseil constitutionnel a donné un avis. Je prends acte. Alors, justement, le 28 décembre, il y aura un quadruple scrutin. C'est historique en Centrafrique. Est-ce que vous êtes confiant dans la capacité des institutions d'organiser ces élections dans les meilleures conditions possibles ? C'est un grand challenge pour le pays et c'est important. Normalement, les élections locales devaient être organisées bien avant. Malheureusement, il y a eu des difficultés techniques quant à la disponibilité du fichier électoral, puisque c'est la base même d'une élection. C'est vrai, c'est un grand défi. C'est une première, mais nous faisons confiance aux hommes et aux femmes qui travaillent dans ces institutions pour que la République centrafricaine sorte de cela vraiment grandie. Je ne dis pas que tout est rose, qu'il n'y a pas de problème, il y a des difficultés. Nous avons par exemple des difficultés financières pour soutenir un certain nombre d'actions. On a eu des promesses qui n'ont pas été tenues dans le cadre de la mobilisation des ressources. Mais l'État fait face à ça, parce que c'est un enjeu important pour la démocratie. Pour vous, la date du 28 décembre, est-elle gravée dans le marbre ? Nous avons la Constitution. La date du 28 est constitutionnelle. Au-delà, il n'y aura que du désordre. Dès qu'on va dépasser cette date, ils vont commencer par parler de transition, ils vont parler de venir partager le gâteau... Nous ne pouvons pas prendre le risque. Notre pays a connu des moments très difficiles et il nous faut tenir ce délai pour renforcer notre démocratie, respecter nos textes. Sur la question de la sécurité, vous avez commencé à l'aborder. Vous avez signé ces derniers temps des accords avec plusieurs groupes rebelles, encore cette semaine avec le MPC. Est-ce que vous êtes confiant quant au fait que, cette fois, ces accords seront respectés par toutes les parties, pas comme en 2019, 2020 ? Nous allons tout faire pour tenir nos engagements. C'est moi qui leur ai tendu la main, ce sont des fils du pays et je leur ai dit : "Votre lutte, là, je ne comprends pas les objectifs." Eh bien, ils sont d'accord. Je pense que cette fois-ci, chacun des leaders a compris que ce n'est pas la peine de continuer la guerre, la violence inutile. Qu'est-ce qu'ils y gagnent ? Et je pense que, de leur côté, ils font des efforts. Et d'ailleurs, le processus de désarmement pour les groupes UPC et 3R se déroule normalement. Il y a quelques défis, comme la prise en charge d'un certain nombre de gens désarmés. Donc, j'ai donné les instructions pour qu'on les règle. Du point de vue économique et social, la population continue de souffrir du coût de la vie. Concrètement, qu'est-ce que vous proposez pour changer la donne après déjà deux mandats ? Vous utilisez des mots, des mots très forts, mais il faut les mettre dans leur contexte. Pour le peuple centrafricain, il y a eu des avancées certaines, indéniables. Ça ne veut pas dire que tout va bien. Je n'ai pas dit que tout est pour le meilleur des mondes, ici. Non. Et c'est pour ça que nous avons proposé un plan national de développement. C'est pour ça qu'aujourd'hui, nous demandons aux Centrafricains de nous donner encore un mandat pour continuer ce que nous avons fait, parce qu'on était vraiment dans le gouffre. Et c'est sur ces progrès que nous allons tabler pour poursuivre. Nous sommes confiants. Un des points principaux pour la population, pour les entreprises, c'est la question des carburants. Les coûts des carburants qui sont extrêmement chers en Centrafrique, le plus cher du continent, la structure des prix a fait l'objet de critiques de la part de la société civile, d'ONG internationales, du FMI. Est-ce qu'il va y avoir une réforme du marché des carburants en Centrafrique ? Nous ne sommes pas un pays producteur de pétrole, nous sommes un pays continental et il nous faut de l'énergie pour faire tourner l'économie. Quand le carburant arrive dans un port, ce n'est pas le même prix que lorsqu'il arrive ici, il faut le transporter. Soit par bateau, par barge. Il y a un coût et même si c'est par la route, il y a un coût. Notre objectif, ce n'est pas d'avoir du carburant cher. Donc, pour vous, il n'y a pas de surcoût inexplicable ? En Centrafrique, ce n'est pas la volonté du gouvernement de faire surenchérir, ce sont les réalités des prix, parce que le gouvernement n'a rien à gagner en augmentant les prix, bien au contraire. Il y a cette guerre civile chez votre voisin, le Soudan. Quelle est la situation exactement dans le nord-est du pays ? Et est-ce que vous craignez qu'avec la poursuite de ce conflit, il y ait un débordement chez vous ? Nous avons connu la guerre ici, nous savons ce que c'est et ça a détruit notre pays. Une partie de notre population dans le nord s'approvisionnait au Soudan. Ça devient difficile économiquement et socialement parlant. Avec ce conflit, il y a des personnes, des Soudanais, des frères Soudanais, hommes et femmes, qui veulent la paix et viennent se réfugier en République centrafricaine, ce qui va encore perturber la situation économique et sociale de cette région. Nous sommes dans toutes les réunions, on participe, nous donnons notre contribution. Dans ce conflit, il y a quand même un acteur extérieur dont tout le monde parle, ce sont les Émirats arabes unis. Et vos adversaires disent que vous vous rapprochez d'eux et se questionnent : est-ce que la Centrafrique va servir de base arrière ? La République centrafricaine est un pays ouvert. On ne va pas dire que nous ne devions pas travailler avec un pays avec un autre. Non, vous voyez, c'est ça ces actes de désinformation. Nous avons une coopération avec les Émirats arabes unis sur des projets précis et nous continuons à travailler dans l'intérêt bien compris des deux parties. Un autre partenariat qui évidemment fait beaucoup parler depuis plusieurs années, c'est celui avec la Russie. Il a été dit et écrit que des membres du groupe Wagner allaient partir et être remplacés par une nouvelle entité, Afrika Corps, qui est directement rattachée au ministère russe de la Défense. Est-ce que vous confirmez des discussions en cours avec Moscou ? Oui, vos confrères m'ont toujours posé ce genre de questions. J'estime que j'ai toujours répondu que ce n'est pas devant votre micro que je vais m'étaler sur toutes les questions, les discussions, que nous avons avec des pays amis. Non. Si nous nous accordons, nos discussions ne vont pas être rendues publiques. Vous disiez que nous sommes en discussion ? Bien sûr, nous sommes en discussion sur beaucoup de sujets, pas seulement sécuritaires ou remplacer telle force par telle autre… Nous avons beaucoup de discussions sur le plan de la défense, sur le plan économique, sur le plan de l'éducation, de la santé. On a beaucoup de programmes ensemble. Alors, les personnes du groupe Wagner n'avaient pas seulement une activité de sécurité, ils avaient d'autres activités. Ils ont une activité économique avec des entreprises. Si les personnes de Wagner en uniforme partent, est-ce que les entreprises liées à Wagner restent ? La République centrafricaine est un pays ouvert. Il y a un code minier qui existe. Une société, n'importe laquelle, qui se constitue en République centrafricaine, qui remplit les conditions et qui fait une requête, pour avoir un permis de recherche, un permis d'exploitation, et qui remplit les conditions, eh bien ce sont des secteurs qui sont libéralisés aujourd'hui, que ce soient les mines, que ce soient les eaux et les forêts. Tout ça, c'est libéralisé. Alors, pourquoi vous voulez indexer certaines normes de sociétés comme étant des sociétés Wagner ou autres ? Ce sont des sociétés pour nous qui sont normalement constituées, légalement je veux dire, et qui exercent sur le territoire centrafricain en respectant nos lois. C'est tout. Et il n'y a pas que les Russes. Donc aucun passe-droit ici pour aucune entreprise, tout le monde est soumis aux mêmes règles. Nos textes sont clairs, il n'y a pas de passe-droit. Vous pouvez demander au ministère des Mines : telle société a rempli les conditions. Voilà, et c'est de la manière la plus transparente. À lire aussiCentrafrique: la mission d'observation électorale tente d'endiguer la désinformation avant la présidentielle
Députés et sénateurs français ferraillent sur le budget 2026 mais, pour le moment, les résultats ne sont pas au rendez-vous. Symbole de la situation actuelle, le week-end dernier a été marqué par le rejet à l'unanimité moins une voix de la partie «recettes» du texte. Un vote qui oblige le Sénat à s'emparer à partir de demain mardi d'un texte dépourvu des amendements adoptés. Soit un mois de débats pour rien. Une «alerte» selon l'aveu exprimé ce lundi (24 novembre 2025) par le Premier ministre Sébastien Lecornu. Quelle est la porte de sortie ? Jusqu'où le blocage peut-il aller ? Quelles conséquences sur l'économie et l'opinion ? Pour en débattre - Émilie Zapalski, communicante politique et fondatrice de l'agence Émilie Conseil - Olivier Rouquan, politologue, enseignant-chercheur en Sciences politiques et chercheur associé au Centre d'Études et de Recherches de Sciences Administratives et Politiques (CERSA) - Valérie Gas, cheffe du service politique de RFI.
Les chroniqueurs du soir :Hélène Roué, journaliste politique au JDDJean-Claude Dassier, chroniqueur politique Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Soudan, se déroule depuis avril 2023 l'un des conflits les plus meurtriers. À l'origine de « la plus grande crise humanitaire au monde », selon l'ONU. Massacres, violences à caractère ethnique, viols et agressions sexuelles. C'est l'horreur décrite par ceux qui ont réussi à fuir El-Fasher, la capitale du Darfour-Nord, tombée aux mains des paramilitaires FSR du général Mohamed Hamdan Dogolo, dit Hemedti. Certains Soudanais ont réussi à quitter El-Fasher pour se réfugier au Tchad voisin. Témoignage de certains d'entre eux à Tiné, au nord du pays et le long de la frontière soudanaise. De notre envoyée spéciale de retour de Tiné, Dans le centre de transit de Tiné, Kaltouma est assise par terre, entourée de ses enfants. Le regard abattu, fixant le vide, cette mère de 32 ans a quitté El-Fasher, il y a moins d'un mois, elle y a vécu l'enfer. Kaltouma Ibrahim Abakar : « Nous étions encore à El-Fasher avant la chute. Il y a eu quatre ou cinq jours d'affrontements avec des bombardements. Le jour de la chute, il était impossible de sortir des trous qu'on a creusés sous-terre. On ne pouvait pas risquer d'aller chercher à manger ou à boire pour les enfants. Il fallait rester à l'abri, sous-terre. » Après la chute d'El-Fasher, Kaltouma et ses enfants réussissent à fuir. « Ils ont creusé toute la ville. Certains ne pouvaient pas sortir des tranchées. Ils sont restés bloqués à l'intérieur. Mais on devait passer par ces trous creusés. On n'avait pas le choix. Ceux qui avaient la force d'en sortir partaient et ceux qui n'y arrivaient pas mourraient dedans. Les enfants, les femmes sans force, les vieillards, tous sont restés bloqués là-bas. » À lire aussi«Soit tu passes, soit tu meurs»: au Tchad, des réfugiés soudanais racontent leur fuite d'El-Fasher Hawa Adam Abdallah s'avance d'un pas décidé. Elle veut parler, raconter ce que traverse son pays : « À la sortie d'El-Fasher, il y avait des tranchées creusées. En sortant de là, il y avait des paramilitaires. Ils ont tué certains d'entre nous. Parmi eux, mon frère, et ils ont enlevé mon père. Et j'ai un autre frère perdu, plus aucune nouvelle. Et puis sur la route, quand on a dépassé El-Fasher, ils nous sont tombés dessus. Ils nous ont chassés, frappés. Ils nous ont enlevé tout ce qu'on avait. Et si on n'a aucun bien, ils nous font enlever nos vêtements. On est arrivé ici sans rien. » Les deux femmes sont arrivées il y a quelques jours. Elles attendent d'être relocalisées au camp de Touloum, à deux heures de route de la frontière. « Beaucoup sont morts sur la route » Abdelmajad Ahmad Mouhammad descend du camion qui l'a transporté à Touloum. Avec ces quatre jeunes garçons, il espère retrouver sa femme et sa fille parties plus tôt : « Morts, tortures, déplacements forcés, exécutions, destructions, incendies, que des choses horribles ». C'est ainsi qu'Abdelmadjid décrit sa ville natale El-Fasher. Pourtant, ce père de 34 ans n'a quitté la capitale du Darfour du Nord qu'après sa chute le 26 octobre dernier. « Certains ont réussi à sortir, d'autres non. Beaucoup sont morts sur la route aussi à cause de la soif, de la faim, de la torture, mais d'autres, on ne sait même pas quelles directions ils ont empruntées. Leurs propres familles ne savent pas où ils sont. Ils ne savent même pas s'ils sont morts ou vivants. » Plusieurs organisations humanitaires font état de crimes de guerre, de crimes contre l'humanité. Les Nations unies parlent d'« une spirale d'atrocités » Impossible de communiquer avec ceux qui sont encore à El-Fasher. 170 000 à 250 000 personnes étaient encore bloquées dans la ville au moment de sa chute.
durée : 00:54:39 - Questions politiques - "La ligne politique qu'elle défend aujourd'hui ne me convient pas", regrette Yannick Jadot au sujet de la patronne des Ecologistes, Marine Tondelier, candidate à l'élection présidentielle via une primaire, déplorant que l'écologie "est devenue la thérapeute de couple de la gauche" entre PS et LFI. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:54:39 - Questions politiques - "La ligne politique qu'elle défend aujourd'hui ne me convient pas", regrette Yannick Jadot au sujet de la patronne des Ecologistes, Marine Tondelier, candidate à l'élection présidentielle via une primaire, déplorant que l'écologie "est devenue la thérapeute de couple de la gauche" entre PS et LFI. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'est le coup de gueule de la semaine dans le monde du sport : décorticage et débat autour de cette sortie médiatique !
Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Nemrod est un podcast de fiction pour enfants, mais derrière les aventures d'un petit renard se cache un projet très ambitieux.Depuis quatre ans, Sornac et Clémence produisent un épisode chaque semaine, sans interruption. Soit près de 200 épisodes, une communauté de fans engagés (petits et grands), un business model rodé, un livre autoédité... et un sacré défi créatif, avec un univers narratif qui prend vie au fil de leur collaboration, comme une saga ! Respect !Dans cet épisode, on revient sur :les coulisses de la création de Nemrod (et pourquoi ils se sont fixé un rythme aussi dingue),leur modèle économique hybride (freemium + paywall),leur processus créatif à deux,l'écriture au fil de l'eau et la construction d'une saga feuilletonnante,les retours d'enfants qui influencent directement le récit (parfois jusqu'à faire réécrire un épisode !),leur approche DIY, entre narration indépendante et rigueur entrepreneuriale,et bien sûr, l'autoédition du livre tiré du podcast, pensé comme une extension naturelle du projet.À écouter si tu veux comprendre :→ comment transformer un podcast de fiction en univers transmédia,→ pourquoi les “mauvaises pratiques” peuvent parfois devenir une force,→ comment créer une fanbase puissante même sans être présent·e 24/7 sur Instagram,→ ce que ça change de prendre ses projets créatifs au sérieux dès le départ.Sornac et Clémence partagent avec générosité les galères, les surprises, et ce qu'ils ont appris “en marchant”. Ce duo est lucide et ultra inspirant pour tous les créateurs et créatrices en quête d'indépendance… et d'alignement.Tu me diras ce que ça t'a donné envie d'imaginer, de lancer ou d'assumer ?
En ces temps où la semaine de 4 jours est de plus en plus débattue au sein des entreprises, la question à 1 000 000 d'euros que pose les opposants à celle-ci est la suivante : comment produire autant en travaillant 20% de moins ? Dit comme cela, l'équation semble complexe, et pourtant la mission est loin d'être impossible. Franchement, quand vous faîtes le bilan de l'une de vos journées, en moyenne, combien de temps êtes -vous véritablement productif ou productive. Bien entendu, là, je ne parle pas des ouvriers à la chaîne dont le travail est chronométré, mais de tous les autres. Selon une étude d'Invitation Digital Ltd, le temps quotidien véritablement productif pour une personne travaillant dans un bureau est de 2.53 mn ! Soit un peu moins de 15 heures par semaine ! Si nous poussions le raisonnement à son maximum, nous pourrions presque faire une semaine de 2 jours… et être aussi productif. Bien entendu, ce raisonnement ne tient pas car nous avons besoin de pauses, de temps sociaux dans l'entreprise. Mais cela montre qu'une semaine de 4 jours tout en étant aussi productif est loin, très loin d'être une utopie. Une semaine de 4 jours, c'est 30 heures travaillées, le double du temps véritablement production. Plusieurs structures suédoises ont déjà testé la semaine de 30 h réparties sur 4 jours, avec une rémunération équivalente à ce que les salariés touchaient lorsqu'ils travaillaient 40 h. C'est notamment le cas à Göteborg, une ville du sud de la Suède, où un concessionnaire Toyota a décidé de passer à la semaine de 30 heures. Résultat ? Les profits de Toyota ont augmenté de 25 % depuis 2002, alors même que les salaires y sont plus élevés que la moyenne dans le secteur. Autre exemple ? Depuis juin 2022, 70 entreprises britanniques et leurs 3300 salariés testent la semaine de 4 jours (30 ou 32 heures) sans diminution de salaire. Les premiers retours sont largement positifs, d'après un sondage de l'association 4 Day Week Global, à l'initiative de cette expérimentation à grande échelle : 88 % des personnes interrogées affirment ainsi que cette semaine de 4 jours fonctionne « bien » à ce stade, 46 % que la productivité globale de leur entreprise s'est « maintenue à peu près au même niveau », tandis que 34 % déclarent qu'elle s'est « légèrement améliorée » et 15 % qu'elle s'est « considérablement améliorée ». Pour passer à la semaine de 4 jours, il ne s'agit donc pas de supprimer tous les temps non-productif, mais d'en réduire le nombre. En faisant quoi ? C'est ce que j'explique dans cet épisode.Et pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos : www.gchatelain.comSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:27:08 - Jean-Claude Casadesus, chef d'orchestre - En 60 ans de carrière, le chef fondateur de l'Orchestre national de Lille a contribué à façonner le paysage symphonique français. Il célèbre sur scène son parcours et ses 90 ans avec son petit-fils, le pianiste Thomas Enhco. Portrait d'un musicien que rien n'arrête. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
3 milliards d'euros, c'est ce que représente le marché funéraire, en France. Car oui, au-delà de la tristesse de perdre un proche, la mort rapporte et coûte de l'argent. En moyenne, les frais d'obsèques s'élèvent à 3 350 euros pour une inhumation et à 3 609 euros pour une crémation, selon un rapport de la Cour des comptes de 2019. Une dépense conséquente pour de nombreuses familles, même si les chiffres datent un peu. Choix des pompes funèbres, du cercueil, du capiton, chambre funéraire ou non, cérémonie, ... l'organisation des obsèques implique de multiples décisions qui coûtent plus ou moins chères selon les options choisies. Alors que les familles sont endeuillées, le moment n'est pas propice aux choix rationnels et aux comparaisons de prix, pour autant, le passage devant les pompes funèbres est obligatoire. En France, deux acteurs privés dominent le marché funéraire. Quelles sont leurs pratiques ? Quelles connaissances a-t-on réellement sur les obsèques avant d'y être confronté ? Finalement, la mort peut-elle être un secteur économique comme un autre ? Avec : • Brianne Huguerre-Cousin, journaliste, co-autrice du livre Les charognards. Pompes funèbres. Enquête sur le business de la mort (Seuil, 2025) • Matthieu Slisse, journaliste à Médiacités, co-auteur du livre Les charognards. Pompes funèbres. Enquête sur le business de la mort (Seuil, 2025). Un reportage de Tom Malki qui a visité une coopérative funéraire à Nantes, dans l'ouest de la France. C'est une initiative qui nous vient du Canada. Les coopératives funéraires commencent à s'implanter dans certains pays comme en France. Elles se présentent comme des organisations citoyennes qui ne feraient pas de bénéfices sur le dos des défunts et des familles endeuillées. Une initiative qui fait forcément du bruit alors que les prix des obsèques ont augmenté de 24% en quatre ans en France. Soit deux fois plus vite que l'inflation, selon une étude publiée en 2024. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, sur l'évolution des sociétés africaines mondialisées à travers les écrans, les réseaux sociaux et la technologie. Cette semaine, elle nous parle de la rivalité qui s'amplifie sur les réseaux sociaux entre des internautes afro-américains et africains. Une montée des tensions liée au climat tendu entre immigrés aux États-Unis, attisé par la présidence Trump, conservatrice et toujours aussi clivante. Programmation musicale : ► SAD! - XXXTentacion ►Ce monde est fou - Daddy Mory & Tiwony.
3 milliards d'euros, c'est ce que représente le marché funéraire, en France. Car oui, au-delà de la tristesse de perdre un proche, la mort rapporte et coûte de l'argent. En moyenne, les frais d'obsèques s'élèvent à 3 350 euros pour une inhumation et à 3 609 euros pour une crémation, selon un rapport de la cour des comptes de 2019. Une dépense conséquente pour de nombreuses familles, même si les chiffres datent un peu. Choix des pompes funèbres, du cercueil, du capiton, chambre funéraire ou non, cérémonie, ... l'organisation des obsèques implique de multiples décisions qui coûtent plus ou moins chères selon les options choisies. Alors que les familles sont endeuillées, le moment n'est pas propice aux choix rationnels et aux comparaisons de prix, pour autant, le passage devant les pompes funèbres est obligatoire. En France, deux acteurs privés dominent le marché funéraire. Quelles sont leurs pratiques ? Quelles connaissances a-t-on réellement sur les obsèques avant d'y être confronté ? Finalement, la mort peut-elle être un secteur économique comme un autre ? Avec : • Brianne Huguerre-Cousin, journaliste , co-autrice du livre Les charognards. Pompes funèbres. Enquête sur le business de la mort (Seuil, 2025) • Matthieu Slisse, journaliste à Médiacités, co-auteur du livre Les charognards. Pompes funèbres. Enquête sur le business de la mort (Seuil, 2025) Un reportage de Tom Malki qui a visité une coopérative funéraire à Nantes, dans l'ouest de la France. C'est une initiative qui nous vient du Canada. Les coopératives funéraires commencent à s'implanter dans certains pays comme en France. Elles se présentent comme des organisations citoyennes qui ne feraient pas de bénéfices sur le dos des défunts et des familles endeuillées. Une initiative qui fait forcément du bruit alors que les prix des obsèques ont augmenté de 24% en quatre ans en France. Soit deux fois plus vite que l'inflation selon une étude publiée en 2024 En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, sur l'évolution des sociétés africaines mondialisées à travers les écrans, les réseaux sociaux et la technologie. Cette semaine, Elle nous parle de la rivalité qui s'amplifie sur les réseaux sociaux entre des internautes afro-américains et africains. Une montée des tensions liée au climat tendu entre immigrés aux États-Unis, attisé par la présidence Trump, conservatrice et toujours aussi clivante. Programmation musicale : ► SAD! - XXXTentacion ►Ce monde est fou - Daddy Mory & Tiwony
Chaque semaine dans l'émission, Olivier Dauvers répond aux questions des auditeurs ! Un auditeur demande si inscrire la date limite d'un pot de crème fraiche uniquement sur le couvercle est autorisé, au risque qu'il soit interchangé avec celui d'un autre produit. Le journaliste lui répond dans la question conso ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Noëlle Lenoir, Présidente du comité de soutien de Boualem Sansal - Matthieu Valet, eurodéputé RN - Sébastien Lignier, journaliste politique Valeurs Actuelles - Christophe Bordet, rédacteur en chef Europe 1 Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:48:45 - La 20e heure - par : Eva Bester - L'écrivain sénégalais, prix Goncourt 2021 pour La Plus secrète mémoire des hommes aux Éditions Philippe Rey signe la préface des Œuvres complètes à quatre mains de Jorge Luis Borges et Adolfo Bioy Casares aux Editions Seghers. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ne soit pas la raison de mes larmes by Rav David Touitou
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Avec : Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Et Daniel Riolo, journaliste RMC. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Invités : - Gauthier Le Bret, journaliste. - Fabien Onteniente, réalisateur. - Sarah Saldmann, avocate. - Georges Fenech, ex magistrat. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Gauthier Le Bret, journaliste. - Fabien Onteniente, réalisateur. - Sarah Saldmann, avocate. - Georges Fenech, ex magistrat. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Gauthier Le Bret, journaliste. - Fabien Onteniente, réalisateur. - Sarah Saldmann, avocate. - Georges Fenech, ex magistrat. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Gauthier Le Bret, journaliste. - Fabien Onteniente, réalisateur. - Sarah Saldmann, avocate. - Georges Fenech, ex magistrat. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Gauthier Le Bret, chroniqueur. - Eliot Deval, chroniqueur. - Georges Fenech, chroniqueur. - Elisabeth Assayag, chroniqueuse. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Gauthier Le Bret, chroniqueur. - Eliot Deval, chroniqueur. - Georges Fenech, chroniqueur. - Elisabeth Assayag, chroniqueuse. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous avez déjà entendu votre petite voix dire de tout arrêter ? C'est dans ces moments-là qu'on sait qu'on est pas sur le bon chemin, et qu'il faut vite changer de direction. Qu'il s'agisse d'un job, d'une relation, d'une amitié, d'une situation... pour avancer, il faut parfois abandonner, et y'a aucun mal à ça ! Episode complémentaire : Votre ego n'est jamais trop gros Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Un jeune de moins de 35 ans sur dix a déjà consommé du protoxyde d'azote, selon une étude de l'Ipsos pour la sécurité sous-routière. Elle pointe une montée en puissance de cette drogue, appelé "gaz hilarant" et se trouvent sous la forme de petites bonbonnes qui s'aspirent et qui provoquent une sorte d'euphorie et de perte de contrôle. C'est peut-être ce qui a provoqué la mort de Matisse, 19 ans, à Lille dans la nuit du samedi 1 novembre, renversée par un chauffard. Des petites bonbonnes de ce gaz ont été retrouvées à l'intérieur du véhicule. Laetitia, la maman de Matisse, a témoigné au micro de RTL. "Plus entendre sa voix, plus voir ses pitreries. Donc c'est ça qui va être dur. Je voyais l'accident sans l'avoir vécu. Je me suis imaginée ce que lui a pu ressentir, le choc de la voiture", a-t-elle raconté. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Danemark enverra bientôt quelque 300 prisonniers, dans des cellules au Kosovo. Soit à quelque 2 000 kilomètres plus au sud. L'accord qui a pour but de désengorger les prisons surpeuplées rapportera 200 millions d'euros au petit pays des Balkans, soit quatre fois le budget du ministère de la Justice. Pour Pristina, il s'agit d'un juste retour des choses, car le Danemark a soutenu son indépendance face à la Serbie. Mais les critiques ne manquent pas, face à une externalisation de plus qui ne s'embarrasse guère de considérations morales. Reportage à Gjilan signé Louis Seiller. Les Roumains viennent d'inaugurer la plus grande cathédrale orthodoxe du monde Après plus de dix ans de travaux, l'hyperbole est de mise... la cathédrale du Salut de la nation se veut un symbole du pouvoir de l'Église. Mais elle a coûté 270 millions d'euros dont une grande partie d'argent public. Ce qui soulève beaucoup de critiques en pleine période d'austérité alors que le système de santé et l'éducation sont sous dotés. À Bucarest, notre correspondante Marine Leduc a assisté à l'inauguration. L'endoctrinement patriotique russe à hauteur d'enfant C'est tout l'objet du documentaire Mr Nobody against Putin nommé pour les oscars. Il a été tourné par le vidéaste officiel d'une école de province en Russie, aujourd'hui exilé à Prague où il a pu obtenir le statut de réfugiés. Images édifiantes qu'a pu regarder pour nous notre correspondant Alexis Rosenzweig. La chronique musique de Vincent Théval Miguel Araújo : Quem?
Cours vidéo de 13 minutes donné par Rav Ariel GAY.
Le Danemark enverra bientôt quelque 300 prisonniers, dans des cellules au Kosovo. Soit à quelque 2 000 kilomètres plus au sud. L'accord qui a pour but de désengorger les prisons surpeuplées rapportera 200 millions d'euros au petit pays des Balkans, soit quatre fois le budget du ministère de la Justice. Pour Pristina, il s'agit d'un juste retour des choses, car le Danemark a soutenu son indépendance face à la Serbie. Mais les critiques ne manquent pas, face à une externalisation de plus qui ne s'embarrasse guère de considérations morales. Reportage à Gjilan signé Louis Seiller. Les Roumains viennent d'inaugurer la plus grande cathédrale orthodoxe du monde Après plus de dix ans de travaux, l'hyperbole est de mise... la cathédrale du Salut de la nation se veut un symbole du pouvoir de l'Église. Mais elle a coûté 270 millions d'euros dont une grande partie d'argent public. Ce qui soulève beaucoup de critiques en pleine période d'austérité alors que le système de santé et l'éducation sont sous dotés. À Bucarest, notre correspondante Marine Leduc a assisté à l'inauguration. L'endoctrinement patriotique russe à hauteur d'enfant C'est tout l'objet du documentaire Mr Nobody against Putin nommé pour les oscars. Il a été tourné par le vidéaste officiel d'une école de province en Russie, aujourd'hui exilé à Prague où il a pu obtenir le statut de réfugiés. Images édifiantes qu'a pu regarder pour nous notre correspondant Alexis Rosenzweig. La chronique musique de Vincent Théval Miguel Araújo : Quem?
Aujourd'hui, Antoine Diers, Fatima Aït Bounoua et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Invité : Arthur Delaporte, député PS du Calvados et membre de la Commission des affaires économiques Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Akaa, la grande foire d'art contemporain africain se tient à Paris durant tout le week-end. Akaa fête cette année ses dix ans dans un marché de l'art plutôt morose en raison de la crise économique, mais le nouveau directeur artistique d'Akaa, le Franco-Sénégalais Sitor Senghor entend professionnaliser encore davantage le secteur, et ramener les collectionneurs dans les travées de la foire. À lire aussiLa foire AKAA fête ses dix ans et célèbre la création africaine À lire aussiAKAA 2025: Serge Mouangue révolutionne l'esthétique entre l'Afrique et le Japon
C'est le titre affiché à la Une de la Nouvelle Tribune, qui précise que la Cour constitutionnelle avait été saisie « par le député Abdel Kamel Ouassagari et plusieurs autres élus du parti Les Démocrates, contre l'ordonnance du tribunal de première instance de Cotonou, ayant annulé le parrainage de Michel Sodjinou. ». Les Démocrates, principal parti d'opposition, se voit ainsi privé, dans l'état actuel des choses, de participation à l'élection présidentielle, qui aura lieu l'année prochaine. « La Cour constitutionnelle, précise le journal béninois la Nation, a considéré que le litige en cause, ne relevait pas de la Constitution, mais du droit commun. » Ce qui, nous explique la Nouvelle Tribune, constitue « un précédent : désormais, tous les différends internes liés aux parrainages ne relèvent pas nécessairement du contentieux électoral ». C'est jeudi, également, « que la Céna, la commission électorale, a publié la liste provisoire des candidats », relate de son côté Banouto. « Sur les cinq duos de candidats ayant déposé leur dossier de candidature, explique le site d'information béninois, seuls deux duos sont provisoirement validés. » Soit celui de la majorité présidentielle et celui du parti d'opposition FCBE. L'attente au Cameroun Le Cameroun attend toujours les résultats de l'élection présidentielle du 12 octobre, qui devraient être connus lundi prochain. Et la tension est palpable sur le terrain. Le Journal du Cameroun explique ainsi que les habitants de la population de l'Adamaoua, « ont pris le relais des manifestations qui secouent les deux autres régions septentrionales du pays depuis quelques jours ». « À moto comme à pied, précise le Journal du Cameroun, des groupes de personnes se déplacent en scandant le nom d'Issa Tchiroma Bakari », soit le candidat de l'opposition qui s'était déclaré vainqueur, prenant tout le monde de court. « Certains parents ont retenu les enfants à la maison, tandis que d'autres ont encouragé les leurs à aller à l'école, relate encore le Journal du Cameroun. Les responsables d'établissements scolaires n'avaient pas suspendu les cours, en raison du fait que rien ne présageait des tensions ». Issa Tchiroma serait lui-même inquiet, selon Actu Cameroun : « Je reçois des informations qu'un assaut musclé se prépare contre moi, a-t-il déclaré. Tout ça pour Tchiroma ? Allez-vous lancer un assaut contre tout le peuple camerounais ? », a-t-il demandé sur les réseaux sociaux. Disparition inquiétante Enfin, Afrik.com s'interroge sur un probable nouveau naufrage en Méditerranée. « La disparition en mer de 44 migrants partis de Dakhla : l'inquiétude grandit face au silence des autorités, annonce Afrik.com. Quarante-quatre personnes, dont des femmes et des enfants, sont portées disparues depuis près d'un mois, ils avaient quitté la côte sud du Maroc, dans l'espoir de rejoindre les îles Canaries », ajoute le site d'information panafricain. « Les familles, désespérées, interpellent les autorités marocaines et espagnoles. Elles appellent à lancer une opération de recherche urgente ». Dans la pirogue, se trouvaient 27 marocains, dont trois femmes et deux enfants. Il y avait également « 17 ressortissants d'Afrique subsaharienne ». Plusieurs associations de défense des migrants sollicitent « l'intervention du Conseil National des Droits de l'homme, du Croissant Rouge marocain et de la Croix-Rouge internationale. » Et Afrik.com d'ajouter : « Selon l'Organisation Internationale pour les Migrations (OMI), la route des Canaries est un couloir mortel vers l'Europe », plus de 2 000 personnes ont disparu sur cette route depuis 2020.
durée : 01:27:30 - En pistes ! du mercredi 22 octobre 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Que vous préfériez le printemps ou l'hiver, vous découvrirez ce matin le nouvel enregistrement de l'oratorio "Les Saisons" de Joseph Haydn, par le chef Jordi Savall. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le mercredi 17 septembre, une petite fille de 3 ans est rentrée seule chez elle depuis son centre de loisirs de Rosny-sous-Bois en Seine-Saint-Denis, où elle avait passé la journée. Soit un trajet de vingt minutes de marche. Elle aurait échappé à la surveillance des animateurs à la sortie. Depuis plusieurs mois, les cas de négligence, de maltraitance et les affaires d'abus sexuels impliquant des animateurs périscolaires se sont multipliés. En France, la loi permet qu'une équipe d'animateurs soit composée de 20% de personnes non qualifiées, et depuis plusieurs mois, le recrutement des animateurs est remis en cause. Cet épisode de Code Source revient sur les défaillances de recrutement et les abus dans le périscolaire avec Victoire Haffreingue-Moulart, journaliste au pôle fait-divers et Vincent Mongaillard, journaliste au pôle reportage du Parisien. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Pénélope Gualchierotti, Clara Garnier-Amouroux, et Clara Grouzis - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette semaine, je reçois Laureen, fondatrice de HappyCherisKids. Enseignante, maman de trois enfants et passionnée de découvertes, elle a fait du voyage un véritable outil éducatif. Pour elle, chaque destination est l'occasion d'ouvrir un peu plus les horizons de ses enfants, de nourrir leur curiosité et de leur donner confiance en eux.Laureen nous partage sa vision du voyage en famille : pourquoi c'est bien plus qu'une parenthèse dépaysante, comment les enfants grandissent à travers les rencontres et les découvertes, et de quelle manière le voyage peut transformer le quotidien une fois de retour à la maison. Elle revient aussi sur ses expériences marquantes : le choc culturel au Maroc, l'émerveillement en Thaïlande, la richesse historique de Londres, mais aussi et surtout son amour pour l'Ile Maurice.Elle nous livre ses adresses coup de cœur pour vivre l'île autrement, entre plages fréquentées par les locaux et expériences hors des sentiers battus.On parle aussi organisation, équilibre entre rythme d'adulte et rythme d'enfant, astuces pratiques pour voyager sereinement, mais surtout de cette conviction profonde : le voyage n'est pas réservé aux grands aventuriers ou aux tours du monde. Même un court séjour peut être une aventure formatrice, tant qu'on y met de l'ouverture et de l'envie.Pour retrouver l'épisode en intégralité taper "Laureen : éduquer par le voyage et vivre l'île Maurice autrement" sur votre plateforme de podcasts préférée.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
How often do you say, “I don't have time?” This is a common excuse we hear from property management business owners and their teams. The truth is, we all have the same amount of time. In this episode of the #DoorGrowShow, property management growth experts Jason and Sarah Hull discuss the myth of not having enough time and the true issue: having the wrong priorities. You'll Learn [01:28] Time: The Biggest Excuse for Staying Stagnant [06:02] You Don't Make Money on Bad Clients [10:20] Building Trust with Clients Without Overcommunicating [19:35] Finding the Bottleneck in Your Business Quotables “Don't optimize for the wrong things. You have to make sure you're optimizing for the right things.” “We all have the same amount of time every day.” “The issue is not time. The issue is priorities.” Resources DoorGrow and Scale Mastermind DoorGrow Academy DoorGrow on YouTube DoorGrowClub DoorGrowLive Transcript Jason Hull (00:00) most of you listening have some properties and some owners in your portfolio that are losing you money. Your operational cost on them is higher than you being able to pull profit on them. All right, we are Jason and Sarah Hull, the owners of DoorGrow, the world's leading and most comprehensive coaching and consulting firm for long-term residential property management entrepreneurs. For over a decade and a half, we've brought innovative strategies and optimization to the property management industry. At DoorGrow, we have spoken to thousands of property management business owners, coached, consulted, and cleaned up hundreds of businesses. helping them add doors, improve pricing, increase profit, simplify operations, and build and replace teams. At DoorGrow, we believe that good property managers can change the world and that property management is the ultimate high trust gateway to real estate deals, relationships, and residual income. At DoorGrow, we are on a mission to transform property management, business owners, and their businesses. We want to transform the industry, eliminate the BS, build awareness, change perception, expand the market, and help the best property management entrepreneurs win. Now, let's get into the show. All right, so what are we chatting about today? Sarah? Time. Time. Time. Why are we chatting about time? And this is where most people mess it up because it's so precious here's the little captain's face It's precious. Okay, Captain for those listening is a little dog that we have. It's one of our dogs. Okay, so the reason we're talking about time is because time is one of the biggest excuses that we get. Are you working and growing your business? I just don't have time. Or have you been making the calls that you need to make to get your business growing? I don't have time. I'm so busy. I'm so overwhelmed. And so it's everybody is out of time. Nobody has time. Nobody's so busy. There's a meme that it's old, but it's like classic. Ain't nobody got time for that. Ain't nobody got time for that? Yes, you do. So time, time is an issue. Why is time an issue? We all have the same amount of time every day. We get a whole new 24 hours the next day, every day. The issue isn't time. And we've talked about this, think, before, but the issue is not time. The issue is priorities. You're prioritizing the wrong things. And one of the things we've noticed with clients. We just recently wrote for our clients a time optimization playbook for property managers. It's got some brilliant stuff in it. A lot of it from her brain, some of it from my brain, and it's really good. But one of things we've noticed, Elon Musk has these principles for how he goes and optimizes businesses. He's made businesses way more efficient. When he came into Twitter and rebranded it to X he cleaned house, thousands of wasteful employees that were just bloat and not really contributing to code, not really updating it. One of his key principles is don't optimize for the wrong things. You have to make sure you're optimizing for the right things. And a lot of people are optimizing when they should have been cutting stuff out first. So they didn't ask the question, should we even be doing this thing at all? And most property managers we find are optimizing for the wrong thing. They are optimizing for how do I take every phone call from every tenant and how do I take every phone call from every owner and how do I please everybody and do all this stuff that I have to do instead of what? Instead of saying, should I even be talking to these people at all? Your owners don't really want to talk to you. They really would love if they could just trust you to do your job and do it well and not have to talk to you. Like that's really what owners want. When they feel anxious because they don't trust you because you aren't doing a good job or you've set incorrect boundaries or you haven't made them feel safe from the beginning or you onboarded them poorly, they now feel anxious. They want to talk to you all the time because why? They now believe they need to manage the manager. They're trying to manage you. How ridiculous is that? They hire you to manage their property and then they manage you to manage the property. They just traded their job for another job instead of offloading it to you. so we need to optimize for the right things. And so we need to start questioning things. And so some of the things we'll have people do is we'll have them audit their time by doing a time study. And ours is a little bit different. It focuses on identifying the five currencies of time, energy, focus, cash, and effort, which is a framework I got from one of my mentors, Alex Charfen. And so the idea of the time study showcases all of these. It shows all of these. Sarah's, used to say it didn't show cash, but Sarah was like, you should add cash. And so now it has the money piece in it too. just said. You're trading your time. Right. And this is thing I to my clients all the time. I say, if your time was worth, let's just call it a low amount like $50 an hour, you just traded $50 an hour for $13 an hour. It was not a good trade. Yeah. Of course it wasn't. Not a good trade at all. were you doing those things? Instead of using $50 an hour time to do $50 or $100 or $1,000 an hour work, you're using $50 an hour time. to do $13 an hour work, you have to just look at the things that you're doing and place a dollar sign next to them and then kind of compare that with what your pay rate is and what you want your pay rate to be, not just what it currently is. So I just said, just put a dollar sign next to them. And we did. We updated it. So you might be thinking, how do I deal with all my tenants and all my clients? And maybe you should be asking Should I even have all of these tenants, properties, and clients? After all, a lot of our clients, when they first come to us, are not making money on every property. They're losing money on some of the properties. They're losing money on some of the owners that they're dealing with. If you actually ran a P &L, a profit and loss statement on every individual owner, every individual unit that you manage, some of them in your business are losing you money. Would you manage for free? Would you do it for free? People came to you, hey, could you do this? You won't make any money, but I'd like you to manage this anyway. I'll pay you nothing. You would probably say no to that, right? If they came to you and said, hey, I would like you to manage this and you will actually lose money, but it benefits me. Would you do it? You're like, Jason, that's stupid. But right now, most of you listening have some properties and some owners in your portfolio that are losing you money. Your operational cost on them is higher than you being able to pull profit on them. And so it's the 80-20 principle. 20 % of your properties and 20 % of your owners probably cost you 80 % of your operational costs, right? They're eating it up. So one of the principles we share recently, we've been sharing at some of our Jumpstart sessions because we onboard clients in person. We have them come out to our Jumpstart sessions is this idea of, well, do you remember? The Hamburglar. Do remember the Hamburglar? The sneaky, shady guy with the bands and over his like this little thing around his eyes and he's sneaking around stealing burgers, right? Well, there is a burglar sneaking around your business and you can't even see him. He's invisible. And he is the interruption burglar. He's just sneaking around stealing money and time throughout your business all day long. the interruption burglar. One interruption costs between, depending on the studies, you look at 18 minutes to maybe up to 26 minutes of productivity and your team members and you are getting interrupted constantly throughout the day. And then they have to like reset their mind, get back into the flow, get back to what they were doing. But if they're just dealing with interruptions all day long, you are losing probably half the amount of labor that you should be getting. This is why Sarah was able to run her business so efficiently when she was a property manager and why some of her clients have just as many doors as her, but they have a whole team. A huge team. Yeah. They have a whole bunch of people. Between me and my assistant. And they're not making much money. I didn't even have one full-time equivalent. And you were working maybe 20 hours a week. You had 60 to 90 % profit margin. And these were C-class difficult properties, right? But Sarah optimizes. She optimizes for the right things. I hate wasting my time. Yeah, she values her time. biggest pet peeve out of everything in the world is wasting my time. So Sarah values her time. One thing Sarah did not give out, Sarah did not give out this magical check that all of you tend to give out to all of your clients and your tenants. This is this big, giant, glowing golden check that says, steal all of my profits, call me anytime. And you give this to tenants, every tenant and owner, you give them this blank check to steal all of your profitability. I had a client come to me once with 600 units and he was making zero dollars in his business. How is that possible? That's exactly what I asked him. said, there's a previous podcast episode, you can check it out. It's with Preston Brown. I think he was out in New Mexico and he had 250 units that probably they shouldn't been in his portfolio out of the 600. He fired them. It's almost half. Then he fired half of his staff. Now you think, oh, maybe his workload, his got kind of half. No, it went down dramatically like 80-20 rule. Like he had way more profitability available. He was making a lot of money then. He had a healthy business. So It's not just about doors. It's about profit. It's about optimizing for the right things. There's no point going and getting more doors if your pricing is terrible, if your time is messy, if you don't have priorities set correctly. Okay, so what else do we run into with clients with time that we'd like to share here with the audience? I think the biggest thing that they tell themselves is just, I'm so busy. Yeah. piece of the business they're focused in, they always just say, my God, like I'm just so busy and I can never get everything done. That seems to be the thing that we hear again and again and again. I mean, we even had, he's a former client, but he had asked me several times. We were actually helping him implement his daily huddles after he hired a new team because he completed an acquisition. And he said, okay, what we're gonna track on the daily huddles. He wanted a 98 or 97 % call answer rate. Optimizing for the wrong things. And I went, okay, I won't say his name, but I said, that's the worst idea I've ever heard. And he's like, no, it's really important that we answer the phone every time that it rings or almost every time that it rings. Because if we don't answer the phone, then people won't trust us because they can't get ahold of us. And then that shatters everything that I'm trying to do and everything that I'm trying to build. And I think the big misconception is that those two things go hand in hand. For people to trust me, I must always be available. For people to trust me, I must be at their beck and call. For people to trust me, I must get back to them immediately. Okay, well some are freaking out right now. Some are going, I don't believe what Sarah's saying. Because the number one reason in most studies why people supposedly, why they leave property management companies is a lack of communication or poor communication. Correct. But I think that's a red herring. You can over communicate, and we've had clients do this too. So you can over communicate. You can tell your clients every little single thing that you are doing in whichever method or manner you feel like is appropriate. So you can call them, you can text them, you can send them emails, you can have your system automatically send them notifications. You can do whatever, but you can tell them, we did this today, and we did that today, and we did this many showings, and we got this many leads, and we're working on this many applications, and this 10 a call, and we did this, and this, this, this, this, this. Can we agree that that is excellent communication? Sure. Do you think that doing that though makes somebody more likely to trust you? I would argue that it doesn't. I would argue that it makes them less likely to trust you. And the reason is because you're inviting them to babysit you. You're inviting them to be a watchdog. You're inviting them to question you and want to micromanage and monitor. And go, ⁓ what is Jason doing today? What did Jason do on my property today? How many of my tenants did Jason talk to you today? ⁓ What about how many showings did Jason do today and then if all of a sudden? Well, why wasn't there a showing at my property today Jason? I don't understand now. It seems like he's not doing anything, right? So you're you're training people the wrong way by over Communicating with them and you are teaching them to not trust you because they are inherently Question you So I love this because the idea in these surveys and a lot of people at NARPM and people in property management have said, communication is key. We answer the phone, which is cool. Answer the phone. You still don't need to optimize for reducing the phone calls. How do we eliminate as many as possible? And so I think it's a red herring. I think it's a false idea that communication is the number one reason because there's something that comes before communication. and that is you set bad expectations, you set poor boundaries, that leads to anxiety in the tenants and the owners, and then communication becomes this crazy thing that they need more of instead of being able to trust you. The lack of trust is the real problem. It's not communication. There's plenty of investors out there that have good property managers that do not want to talk to them ever. I just had Dustin Heiner on a previous episode of our podcast. Very savvy investor. Every investor listening to this should probably listen to that guy, a really good friend of ours. He goes and finds a property manager first before he finds a property and he says, I will even pay them a little bit more if I have to because I don't want to ever have to talk to them. I don't want to have to deal with the property. I want to be able to trust them to do job so I can just live my life. He wants it to be passive. He's a good investor. You're creating bad investors and you're making them anxious by not setting healthy boundaries and setting expectations and making sure that they can trust you. And so they trust you less and less over time because they're anxious. And then what happens? Then they have to and call more and more and they have to babysit more and more. And then they have to watch over your shoulder and then they want more reports and then they want more communication. then it's this constant. And then you have to hire more people. Now they need more. And now that they've had more, now that they're more anxious and they trust you even less, now they want more of that. And you're just getting in this cycle that's eventually going to be the death of you and your team and perhaps your entire business. It gets worse because yeah, you have to build out this whole team of people you don't even need. You hire a bunch of extra people and these people are not, like if you're hiring that many people, you can't afford to pay them all super well. So you're not getting the most amazing people. And these are the frontline people that are dealing with your tenants and owners. And then they're frustrated with them because they don't have all the answers and they don't sound confident and competent. And so then they want to talk to you. And so you're getting escalations constantly. And so now you're having to talk with them even more to calm down the anxiety because Susie at the front desk had no clue what they were talking about. And then all of a sudden you have this whole team that's not capable of running the business without you. So now everything is still coming to you, but you're paying everybody to do things and it doesn't matter because they do things, they fail, people aren't satisfied and they still go, yeah, but I'm still putting out all the fires all day. You're right, you are. And that's because of how you are training people. And you know you have the wrong team if one of your key questions is, why won't my team just think for themselves? If you constantly are asking that question, why won't they just think for themselves? It's because you. have bad leadership. You've set it up incorrectly and you have not created the right team. You've built the wrong team around the wrong person. You're showing up as the wrong person. You're over involved and you have not been able to create, but you created the wrong environment. And that started with picking, know, setting up the game incorrectly with tenants and owners and not setting good boundaries and not setting good expectations. And it doesn't even mean that you have bad clients. No. It doesn't mean you have bad clients. You're making them bad. bad properties, doesn't even mean that you have bad tenants, it just means that you're training them to treat you that way. And you're allowing them to treat you that way. And then you're wondering why it's so hard to manage them and why everyone goes, Sarah, how is it possible that you ran 260 units and you were part time? I just don't understand how it's possible. And most people wouldn't understand how it's possible because they're making so many mistakes. with their time and throughout their entire day, that almost the entire day, I would be willing to bet that about 80 % or more of the average property manager's day is bullshit. Yeah. Complete bullshit. So that's why when you're spending most of your day doing stupid things, yeah, no wonder why I can outwork you. And it's not even hard to do. It's just hard when you're trying to do everything. And it's hard when you're not training your team, your clients, your tenants. They're all like puppies. You just, have to train all of them. If you want a dog that's going to go to the bathroom outside, you've got to train it. If you want an owner that's going to trust you and not question you and not consistently bother you and wonder what's happening on my property today, you've got to train them to do that. And some of them may have come to you with those intentions. And then because of how your system is set up, you broke that. And now they're just used to, okay, well, they're gonna tell me every day or every once a week. Now I'm gonna get on a phone call once a week. Here's our weekly call. Here's my weekly email. Yeah. There's several other things related at a time. One that I'll... related to what Sarah's talking about is if your goals are too low, like your goal right now is a shitty goal, like your goal is survival, or how do I just deal with all this time? That's an awful goal. That goal yields really terrible results. That's not a goal that's going to get you to think differently. It's not a goal that's going to get you to innovate or find a better path or to be able to grow and scale dramatically faster. That's a really low level goal. And so it doesn't raise the floor high enough. And so you're dealing with all this low level garbage in your business. And that relates to priorities. Time is not, everybody has the same amount of time. It's not about time. It's about prioritization, as we mentioned at the beginning. And so you are intentionally filling your, uses a golf ball analogy. Do you want to share that? No. No. Okay. Well, I'll just, but basically you're filling up, you're filling up your day with all of the riff raff and the little stuff instead of prioritizing the main thing. And so I'll share this. You need to figure out what your biggest bottleneck is. Anything other than that, there's only one bottleneck in your business. There's always one. It's one at a time. That's your biggest constraint is the bottleneck. And you have to always focus on what is the bottleneck that I need to be dealing with right now. I recently heard Alex Hermosy talk about this and there's lots of different leaks and lots of different constraints in the business, but You need to figure out where is the biggest bottleneck. That's the priority. You need to prioritize the right things. Right now you're prioritizing the wrong things. Go back, find a previous episode where I talk about the six core functions of business. That will help reveal to you which of those six is the priority. And then you can figure out where's the bottleneck inside of that area of the business, that constraint. These are like six children you need to feed and take care of. And I guarantee you've got your fat healthy favorite. You keep shoving. food down its throat, and then you've got the other kids that are starving, emaciated, sitting in the corner that you're neglecting. And that means you're not prioritizing the right thing in the business. You're being a bad steward over your own business. And so you've got to make intelligent decisions based on where's the constraint, where's the bottleneck. And that's how you should prioritize your time. And the rest has to fit elsewhere. And you need to set boundaries for your own time because you're not productive. as often as you're working if you're working a ridiculous amount of hours. Some of your hours are probably a tenth as productive as some of your early morning hours where you're sharp and you're working on things effectively. And so it's not about more time. It's about prioritizing and it's about being more productive and more effective. Some say working smarter instead of harder. And so if you would like to do that, reach out to Sudorgo. We can help you with that. little bit more about bottlenecks and speaking of bottlenecks, a lot of property managers they end up telling us that maintenance is probably I would say arguably the biggest bottleneck in their entire business because everyone seems to struggle with maintenance and unfortunately it is part of being property manager but it's definitely the most time-consuming yeah What if you could cut that workload by up to 85 % and even some of our clients have gotten up to 95 % automation for their maintenance coordination? that's exactly what Vendoroo has achieved because they've leveraged cutting edge AI technology to handle nearly all of your maintenance tasks. That's right. From initiating work orders and troubleshooting to coordinating with vendors and reporting, the AI doesn't just automate, it becomes your ideal employee. It learns your preferences and executes tasks flawlessly, never needing a day off and not quitting. This frees you up to focus on the critical tasks that really move the needle for your business, whether that's refining your operations, expanding your portfolio, or even just taking a well-deserved break because we all need one of those. Over half the room at last year's DoorGrow Live conference signed up with Vendoroo right then and there. One year later, they're not just satisfied. They're raving about how Vendoroo has transformed their business. Don't let maintenance drag you down. Step up your property management game with Vendoroo. You can visit vendero.ai slash door grow. That's vendero.ai slash door grow today to make this the last maintenance hire that you're ever going to need. All right. There's the word from the sponsor. Okay, so yeah, there's a lot of different time hacks that we could get into. You know, we help coach clients on this all the time. It's always this constant excuse, oh, I don't have time to work on growing my business. If your business isn't growing, it's dying. And if you're just burning yourself out on the hamster wheel, thinking you're making progress, but you're not, and there's no focus on growth, that's a really stressful drain. That's a really terrible goal. That's a survival goal. We've got to get you dreaming bigger. We've got to get you seeing bigger. We've got to get you prioritizing better. We've got to get you eliminating a lot of stuff that you're prioritizing and that you're optimizing for that doesn't even need to exist. There's a lot of work in your business right now that doesn't even need to exist. It's just being created because of bad boundaries and bad set up. If you'd like some help with this, reach out to us at DoorGrow. Anything else you want to add about time? I would say time is not something that you feel like you have a plethora of as a property manager. Then that tells me there are some shifts that you can make, relatively simple shifts that you can make in your business. I will admit I was bored as a property manager. Yeah. Running. 260 C-class properties, I was part-time. I was bored. That's why I'm here at DoorGrow That's how I convinced her. I was like, you got some time? Come help us optimize things Most property managers don't say that they're bored throughout the day and don't go, geez, what am I going to do for the next eight hours? I have no idea what to do. If you would like to figure out how you can run your business in only a few hours a week, that's definitely something I can help you with and it's super fun for me. I like helping people optimize their time because I know that I can make you a lot more money. And that's exciting for me. I like making people more money. So if that's something that you're struggling with, and if you feel like, hey, I would really love to learn how I can be a part-time property manager, making a lot of money and not pulling my hair out, not hitting my life, then contact us. We can chat with you. our sales team would be very happy to answer any questions that you might have. this is one of the biggest things that we can do for you here at DoorGrow is clean up your time and then you get to use that time to make more money, yeah. To make more money. Perfect. So if you feel stuck, stagnant, you want to take things to the next level, visit us at doorgrow.com. Also join our free Facebook community. You can get to that by going to doorgrowclub.com. We only let in business owners and property management companies. 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