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Mannheim, 23 mars 1819 cinq heures de l'après-midi. Dans cette ville du grand-duché de Bade, un des 38 États de l'Allemagne non encore unifiée, l'homme de lettres August von Kotzebue s'apprête à recevoir des amis pour un dîner. On introduit auprès de lui un jeune étudiant en théologie, Karl Ludwig Sand, qui lui donne immédiatement un coup de poignard dans le cœur… Pour ce quatrième volet de la série d'été « Un meurtre, une société », Antonin Dubois, maître de conférences à l'université de Lorraine, replace ce meurtre dans le contexte de la politisation patriotique et révolutionnaire des étudiants allemands d'avant 1848. Pour aller plus loin : Daniel Schönpflug, « Restauration et violence politique : l'attentat de Karl Ludwig Sand dans son contexte européen », dans Jean-Claude Caron et Jean-Philippe Luis (dir.), Rien appris, rien oublié ? Les Restaurations dans l'Europe postnapoléonienne (1814-1830), Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2015, pp. 427-438 ; George S. Williamson, « "Thought Is in Itself a Dangerous Operation": The Campaign Against "Revolutionary Machinations" in Germany, 1819–1828 », German Studies Review, vol. 38, n° 2, 2015, pp. 285-306. Une série de Paroles d'histoire, podcast créé et produit par André Loez, distribué par Binge audio. Contact pub : project@binge.audioMusique de générique : Neil Young, Cortez the Killer.Titre de la série en référence au livre de Bernard Guénée sur 1407. Un podcast créé, animé et produit par André Loez et distribué par Binge Audio. Contact pub : project@binge.audioHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Objectif Mars », « Mars, la nouvelle frontière de la conquête spatiale », titre le Nouvel Obs, avec en Une, une splendide photo, celle d'une planète où se mêlent harmonieusement l'orange et le rouge. Un peu comme dans un rêve, mais ne rêvons pas trop longtemps, car la réalité se mesure en termes de puissance et d'argent. « La planète Mars est aujourd'hui le Graal intersidéral, nous dit le Nouvel Obs, le terrain des grandes puissances, avec la Chine comme nouvel acteur. L'Amérique de Trump en a fait son nouveau fétiche, promettant les premiers pas de l'homme sur Mars d'ici à 2029, avant la fin du mandat du président. » Qu'importe si tous les scientifiques s'accordent à dire que c'est parfaitement impossible. Donald Trump y croit-il lui-même ? En tout cas, il mène le jeu comme n'importe quelle autre affaire commerciale. « Trump et ses amis de la tech mettent en danger les programmes de la Nasa basés sur la coopération internationale, pour privilégier les progrès strictement nationaux, nous explique le Nouvel Obs. « Derrière les accents triomphants annonçant la colonisation de Mars pour les prochaines années (…) se cache la captation des crédits publics par quelques "entreprises amies", celles des barons de la tech qui ont soutenu la campagne de Trump, avec en tête Elon Musk avec Space X et Jeff Bezos avec Blue Origin. ».Les passionnés, qui regardent la planète rouge avec des yeux d'enfant, en seront pour leurs frais. À lire aussiIl y a 60 ans, la sonde Mariner 4 révélait à l'humanité le vrai visage de Mars La fin de la guerre ? Après l'annonce d'une rencontre entre Trump et Poutine le 15 août en Alaska, le Journal du Dimanche (JDD) pose la question : « Et si la guerre se terminait la semaine prochaine ? », question faussement innocente, car l'analyse qui suit tend plutôt à démontrer le contraire. « Personne ne peut croire que la paix soit l'issue de ce tête-à-tête », estime le JDD. La Tribune Dimanche, de son côté, met l'accent sur ce qu'elle estime être l'ambition première de Donald Trump : « le président américain se rêve en prix Nobel de la paix, et multiplie les initiatives pour y parvenir. Le sommet du 15 août avec Vladimir Poutine est un pas de plus sur le chemin de son ambition ». À la question « le sommet du 15 août pourrait-il accoucher du plus grand succès diplomatique de la seconde présidence Trump ? David Salvo, analyste au German Marshall Fund, interrogé par la Tribune dimanche, répond : « Washington sous-estime à quel point le Kremlin veut continuer à mener cette guerre, la légitimité et le sort du régime poutinien ne dépendent pas seulement de la fin de ce conflit aux conditions dictées par la Russie, mais à sa prolongation jusqu'à nouvel ordre, avec une économie entièrement consacrée à cette guerre ». Bref, personne ne croit vraiment à un miracle pour le 15 août. À lire aussiUkraine: «Il n'y a qu'au prix de conditions favorables à la Russie que Poutine pourrait mettre fin au conflit» L'appétit du géant russe La guerre en Ukraine que les pays baltes suivent avec une attention particulière. L'Express s'est rendu en Estonie, le plus petit des trois pays baltes qui comptent aussi la Lettonie et la Lituanie. L'Estonie (avec moins d'1,35 million d'habitants) qui partage « 300 kilomètres de ligne de démarcation avec la Russie », « une frontière de tous les dangers, explique le Nouvel Obs, face à ce grand voisin avide de conquêtes. » « L'Otan pourrait être testée sur sa capacité à réagir "d'ici à cinq ans", répète son secrétaire général Mark Rutte », nous rappelle l'Express, qui a aussi consulté une récente étude de la Revue nationale stratégique française, « jugeant plausible une guerre majeure de haute intensité en Europe ». Cette étude souligne aussi « que le renforcement de l'armée russe se poursuit de façon accélérée pour recompléter de nombreux matériels détruits en Ukraine, mais également pour développer de nouvelles capacités et renforcer son arsenal d'ici à 2030 ». L'Estonie, elle, ne peut guère compter que sur ses 4 000 militaires de métier et ses appelés. Et puis bien sûr, il y a l'Otan. Un officier américain, dont le régiment s'entraîne en Estonie, témoigne : « Nous sommes ici pour changer les calculs de l'adversaire, le dissuader d'une agression et respecter notre engagement de l'article 5 de l'Otan. » Article qui stipule « qu'une attaque contre un État appartenant à l'Alliance atlantique est une attaque contre tous. Et qu'elle ne restera pas sans réponse. » Mais cette perspective arrêtera-t-elle Vladimir Poutine ? Rien n'est moins sûr. « À quelle échéance les Russes pourraient-ils passer à l'action ? », interroge l'Express, qui cite une source sécuritaire, selon laquelle « les Russes n'ont pas besoin d'arrêter la guerre en Ukraine, il leur suffit d'amasser des unités à la frontière, puis de prendre une décision politique ». Une perspective effrayante pour l'Estonie, mais aussi la Lettonie et la Lituanie. À lire aussiUkraine: «Il n'y a qu'au prix de conditions favorables à la Russie que Poutine pourrait mettre fin au conflit»
Je réalise que ce ne sont pas mes muscles qui m'apportent le bonheur. C'est la réflexion que je me suis faite sous les barres de traction récemment. J'ai beau faire partie du top 1 % dans ce PILIER, j'arrive encore à me demander si : je suis vraiment heureux ? Et avec toute cette phase temporaire de ma vie, il est dur de savoir si c'est le cas. Es-tu à ta place ? As-tu le sentiment d'avancer vers ton objectif ? Es-tu fier de qui tu deviens ? Et même si tu penses que toutes les réponses te sont dues de ton côté, sache que tu seras certainement insatisfait. À tomber dans une spirale du toujours plus, en dénigrant ton smile du quotidien. Décortiquons toi & moi toutes ces notions avec une introspection profonde & intime à notre sujet. Je te promets de te trouver ton bonheur qui existe vraiment ! ▶ Je te mets un petit Time Code (pour te retrouver plus facilement) ⏱️ : 0:00 à 1:32 : Es-tu heureux ? 3:48 à 4:35 : Ai-je le droit de me plaindre ? 4:35 à 10:06 : La France est-elle une prison ? 10:06 à 12:14 : RIEN ne se passera comme prévu. 12:14 à 14:45 : La discipline est surcotée. 14:45 à 18:45 : Tout se déconstruit demain. 18:45 à 23:35 : Relativise grâce à ÇA ! 23:35 à 26:45 : Le monde irait mieux si… 26:45 à 31:41 : Soutiens le podcast bâtard ! Sans plus de BLA-BLA : allume ta radio, ton enceinte, prends ta meilleure paire d'écouteurs breeeef assieds-toi confortablement, appuie sur "PLAY" & laisse-toi embarquer avec moi pendant plus de 30 minutes.Bonne écoute !
J'ai envie de rien. (et c'est OK)
Novembre 1970, la société de logement Etrimo cesse ses activités. La conjoncture, les erreurs de gestion ont eu raison de l'empire belge de construction. Etrimo,le projet d'un homme ordinaire qui rêvait d'un destin d'exception :Jean-Florian Collin. Parti de rien, il disait souhaiter faire de chaque ménage le propriétaire de son logement. 14000habitations en trente-cinq ans. Rien que pour l'année 1970, 4300 appartements, 660 studios, 2500 garages. Deux milliards de francs de chiffre d'affaire, des dizaines de points de vente en Belgique. Reconnu par ses pairs qui l'élisent président de l'Union Européenne de la Construction. aimant le luxe avec ostentation ; le cœur, apparemment, sur la main, Jean-Florian Collin a connu le succès, la gloire et la fortune, il vivra l'échec et la disgrâce. Emportant avec lui la désillusion de ceux qui avaient cru en ses idéaux. " Avec Mathieu Frances Sujets traités : Jean- Florian Collin, logement, Etrimo, appartements, studios, garages, gloire, fortune, Bourgmestre, sénateur Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On se raconte souvent cette histoire : “Quand j'aurai plus de clients, plus d'argent, plus de liberté, plus de temps… alors je me sentirai enfin sereine, accomplie, alignée.”Et parfois, tu atteins ces objectifs.Tu lances ce projet.Tu remplis ce programme.Tu signes ce fameux “palier” financier.Et tu réalises que… ça ne change pas grand-chose.Pourquoi ? Parce que ce n'est pas l'objectif en soi qui te transforme. C'est l'espace intérieur que tu as en toi quand tu l'atteins.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Höstens trender 2025! Stilsnackarna möts över en virtuell morgonkaffe och diskuterar modenyheter och inredning som gäller i höst. Det blir också lite snack om Jannices senaste look. Don't miss! Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
En Guinée, il est de plus en plus probable que le numéro un du pays, le général Mamadi Doumbouya, sera candidat à la future élection présidentielle. « Les dispositions qui vont être proposées au peuple par référendum le 21 septembre n'interdisent pas sa candidature », déclare aujourd'hui sur RFI le Premier ministre Bah Oury, qui espère que cette présidentielle pourra avoir lieu avant la fin de l'année. Bah Oury s'exprime aussi sur les disparitions forcées de Foniké Menguè et de Mamadou Billo Bah, il y a plus d'un an. En ligne de Conakry, le Premier ministre guinéen répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Le 21 septembre est programmé le référendum constitutionnel en prélude à une prochaine élection présidentielle. Dans la charte de transition, le général Mamadi Doumbouya avait promis de ne pas se présenter à cette future élection. Pourquoi a-t-il changé d'avis ? Bah Oury : Bon, pour le moment, aucune information officielle n'a été délivrée sur ce sujet. Mais ce qui est sûr, les dispositions constitutionnelles qui vont certainement être proposées à la population le 21 septembre prochain n'interdisent pas la candidature principalement de Monsieur Mamadi Doumbouya. Et justement, pourquoi renonce-t-il à sa promesse de 2021 quand il avait pris le pouvoir ? Pour le moment, rien n'indique qu'il a renoncé à sa promesse. Laissons-lui le temps, le moment venu, de s'exprimer et de donner des motivations dans n'importe quel sens qu'il pencherait, il va expliquer cela à la population guinéenne. Mais pensez-vous qu'il y a un doute sur sa candidature à venir à la prochaine présidentielle ? Permettez-moi de lui laisser le soin, le moment venu, de s'exprimer sur sa position. Alors pour constituer le fichier des votants à ce référendum du 21 septembre, les autorités ont procédé à un recensement biométrique. Il y aura 6 700 000 votants. Mais les autorités ont oublié de recenser le numéro un de l'opposition, l'ancien Premier ministre Cellou Dalein Diallo. Pourquoi cet oubli ? Je pense qu'il a un problème en termes de résidence. Et vous savez, si vous êtes non-résident dans une ville ou dans une collectivité, il faut que vous attestiez d'une résidence d'une certaine durée. Donc, il n'y a aucune volonté d'exclure qui que ce soit dans ce processus. Dans ce projet de Constitution, il est prévu que, pour le président, le mandat de sept ans sera renouvelable une fois, sans plus de précisions. Est-ce que, par rapport à l'avant-projet initial qui était beaucoup plus restrictif, il n'y a pas la porte ouverte à une présidence à vie ? Non, pas du tout. Au contraire, les dispositions d'intangibilité ont été renforcées pour empêcher, de manière juridique, toute possibilité de procéder à des modifications de ces dispositions d'intangibilité. Et la question des mandats fait partie de ces dispositions d'intangibilité. Et si le « oui » passe, est-ce que la présidentielle aura lieu dans les semaines suivantes ? L'objectif, comme l'a dit le général Mamadi Doumbouya, l'année 2025 est une année électorale. Le référendum n'est pas une élection, donc ceci explique cela. Donc la présidentielle avant la fin de l'année ? Inchallah. Vous avez une date ? Non. On respectera les procédures réglementaires et législatives pour la fixation de n'importe quelle date après le référendum. Il y a treize mois, le 9 juillet 2024, les deux leaders de la société civile, Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah, ont été enlevés à Conakry par des hommes armés et en uniforme. Est-ce que vous avez de leurs nouvelles ? Nous cherchons toujours et de la manière la plus sérieuse. Nous cherchons à avoir des renseignements sur leur sort, sur les lieux où ils pourraient être. Et je dis que cela, c'est une préoccupation aussi bien du président de la République que du gouvernement dans sa globalité. Est-ce que Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah sont encore en vie ? Je souhaite ardemment que Billo et Foniké soient en vie. Ce jeudi 7 août viennent d'entrer en vigueur les nouvelles surtaxes douanières des États-Unis à l'égard de leurs partenaires commerciaux. Quel est l'impact pour votre pays, la Guinée ? Notre économie est une économie relativement pas importante au regard de la puissance de l'économie américaine, et nous exportons beaucoup plus des matières brutes comme la bauxite. Et dans les prochains mois, le fer. Et comme vous le savez, ça rentre dans des combinaisons de transformation dans des pays qui pourraient être peu ou prou affectés par ces hausses de tarifs. Mais nous, c'est relativement marginal puisque notre partenaire économique privilégié pour les matières premières, c'est la Chine. Donc notre économie n'est pas directement affectée au premier rang.
« Si vous avez la foi, rien ne vous sera impossible » (Mt 17, 14-20)Méditation par le Père Michel QuesnelChant Final : "Celui qui met en Jésus" par Celui qui met en JésusRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Halte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
⬆️Ces mots, que je trouve tellement justes, ce sont ceux de Gen Gauvin. Une infopreneure brillante qui rafraîchit l'image qu'on se fait du succès et de l'entrepreneuriat. Dans sa newsletter de la semaine dernière, elle nous a présenté sa vision du personal branding. ça m'a donné envie de partager la mienne avec toi. Spoiler: elle me fait
Chaque matin, Jean-Christophe Buisson, directeur-adjoint du Figaro Magazine, livre son édito sur le temps fort de l'actualité politique.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:08 - Le grand format - La préfecture de l'Aude estime que 800 à 900 hectares de vignes ont été détruits par l'incendie qui fait rage depuis mardi 5 août. Les viticulteurs sont inquiets pour leur avenir. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Voici l'Évangile du samedi 9 août 2025 : « Si vous avez la foi, rien ne vous sera impossible » (Mt 17, 14-20) En ce temps-là, un homme s'approcha de Jésus, et tombant à ses genoux, il dit : « Seigneur, prends pitié de mon fils. Il est épileptique et il souffre beaucoup. Souvent il tombe dans le feu et, souvent aussi, dans l'eau. Je l'ai amené à tes disciples, mais ils n'ont pas pu le guérir. » Prenant la parole, Jésus dit : « Génération incroyante et dévoyée, combien de temps devrai-je rester avec vous ? Combien de temps devrai-je vous supporter ? Amenez-le-moi. » Jésus menaça le démon, et il sortit de lui. À l'heure même, l'enfant fut guéri. Alors les disciples s'approchèrent de Jésus et lui dirent en particulier : « Pour quelle raison est-ce que nous, nous n'avons pas réussi à l'expulser ? » Jésus leur répond : « En raison de votre peu de foi. Amen, je vous le dis : si vous avez de la foi gros comme une graine de moutarde, vous direz à cette montagne : “Transporte-toi d'ici jusque là-bas”, et elle se transportera ; rien ne vous sera impossible. » Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es ». C'est une série spéciale de RFI à la découverte des jeux populaires à travers le monde. Ces jeux qui, à travers les joueurs, parlent de la culture et de l'identité de chaque pays. Aujourd'hui, direction la Tunisie où l'on joue à la chkobba. Ce jeu de cartes, originaire de la migration sicilienne dans le pays au XIXe siècle, est le jeu favori des cafés tunisiens qui vendent d'ailleurs le jeu de cartes sur le menu, à côté du thé et du café. Jeu stratégique et populaire par excellence, la chkobba est aussi symbolique du patrimoine tuniso-italien dans le pays. De notre envoyée spéciale à Nabeul, Sur la route de Nabeul dans le Cap-Bon, en pleine chaleur, alors que beaucoup font encore la sieste, Zouhair, retraité, fait une partie de chkobba avec ses amis au café. « On joue toujours ensemble, celui qui perd paye la consommation des autres. Ou alors, chacun paye sa part, cela dépend. Le plus important, c'est qu'on s'amuse et que le meilleur gagne », raconte-t-il. Chaque jour, c'est le même rendez-vous : un café, une craie et une ardoise pour noter le score et les exclamations des joueurs qui s'entendent jusque dans la rue. Ce jeu se joue à deux ou quatre, le gagnant est celui qui récupère le plus de cartes à la fin de la manche. Mais sur le jeu de 40 cartes, chacune à sa valeur et chaque prise rapporte des points différents, comme l'explique Mohamed, le gérant du café : « Une carte en fonction de sa valeur permet de prendre ou de manger, comme on dit chez nous, les cartes qui sont sur le plateau, et d'effectuer ainsi une prise. Et à la fin de la manche, on compte les points. Le point dit "dinari" récompense celui qui a le plus de carreaux dans son jeu par exemple. » Il y a « chkobba » lorsqu'un joueur arrive à manger toutes les cartes sur le plateau en un seul coup. Le jeu se déroule très rapidement et requiert de la stratégie, mais aussi une gestuelle faciale pour communiquer entre partenaires sur le jeu de chacun. « Normalement, on a le droit de communiquer avec son partenaire juste lorsqu'on a le sept de carreau, la carte la plus importante. En tapant du poing sur la table, les autres grimaces sont interdites. Si on se fait prendre, on peut perdre des points, donc moi, je ne prends pas le risque », précise Zouhair. « Bien sûr qu'il existe une grimace sûre ou un geste subtil pour chaque type de carte. Mais les bons joueurs sont surtout ceux qui arrivent à suivre les cartes qui ont été mangées au fur et à mesure du jeu et à anticiper celles qui restent pour mieux faire leur prise ou empêcher un joueur de faire une chkobba. Ça, ce sont les vrais pros, ceux qui, à la fin de la partie, sont capables de te dire quelles cartes il reste dans la dernière manche », assure Mohamed, selon qui les plus habiles connaissent au moins une douzaine de mimiques en fonction des cartes. Convivial et stratégique, la chkobba est très populaire depuis deux siècles, souligne Alfonso Campisi, professeur universitaire sicilien et tunisien. Installé dans le pays depuis une trentaine d'années, il s'est intéressé à l'histoire du jeu. « Il naît en Espagne, importé par la domination arabe en Espagne. On pense aussi à travers les Mamelouks d'Égypte. Après, depuis l'Espagne, il s'est propagé un peu dans toute la Méditerranée et notamment les ports de la Méditerranée », détaille-t-il. Le jeu se joue quasi à l'identique en Tunisie et en Sicile, même pour les mimiques supposées interdites. « Rien ne change. Cela veut dire que si un Sicilien, qui ne parle même pas arabe ou français, vient jouer dans un café tunisien, il est dans son bain. C'est ça qui est beau et qui lie encore plus ces deux régions de la Méditerranée », explique l'universitaire. Jeu populaire et culturel, la chkobba rassemble de nombreux adeptes en Tunisie, même si les plus jeunes lui préfèrent le rami, une variante du poker à la tunisienne. À lire aussiLes délices du continent: en Tunisie, le mleoui est une institution de la street food [4/10]
C'est une petite révolution dans le monde de la synthèse vocale. Microsoft vient de lever le voile sur DragonV2.1, la nouvelle version de son moteur vocal intégré à Azure AI Speech. Et les promesses sont ambitieuses : des voix plus naturelles, plus justes… et plus difficiles à distinguer de la réalité. Là où il fallait auparavant plusieurs minutes de données vocales pour créer un clone convaincant, DragonV2.1 se contente désormais de quelques secondes seulement. Le tout, dans plus de 100 langues. De quoi faire frémir les studios de doublage et ravir les développeurs d'assistants vocaux ou de chatbots.Par rapport à la précédente version, DragonV1, les améliorations sont nettes. Le nouveau modèle affiche une réduction de 12,8 % du taux d'erreur de mot, et corrige les défauts de prononciation, notamment sur les noms propres. Microsoft promet une prosodie plus fluide, plus stable, plus humaine. Mais ce qui impressionne, c'est le niveau de personnalisation : accents, intonations, lexiques spécifiques, tout peut être modulé grâce aux balises SSML. Des profils vocaux comme Andrew, Ava ou Brian permettent même de tester rapidement les capacités du modèle.Bien sûr, avec une telle fidélité vocale, le spectre du deepfake plane. Microsoft en est pleinement conscient. Pour prévenir tout usage malveillant, l'entreprise impose des garde-fous stricts : consentement obligatoire, déclaration explicite d'un contenu synthétique, interdiction d'imitation trompeuse, et surtout, ajout automatique d'un filigrane audio. Ce filigrane invisible serait détectable dans 99,7 % des cas, selon l'entreprise. Suffisant pour rassurer ? Rien n'est moins sûr. Mais une chose est claire : avec DragonV2.1, les voix synthétiques viennent de franchir un cap. Entre progrès technologique et enjeu éthique, la voix de demain sera peut-être déjà celle d'une machine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Rien de plus banal et normal que des chicanes entre frères et sœurs, même si elles peuvent rendre la vie de famille infernale! La famille d'Emma ne fait pas exception. Ses deux filles âgées de 4 et 7 ans s'entendent bien, jouent ensemble, mais elles se disputent beaucoup. Beaucoup trop, selon Emma. La psychoéducatrice Solène Bourque lui propose plusieurs trucs pour diminuer les conflits et apprendre à ses filles à les gérer par elles-mêmes.Animation: Gabrielle CaronRecherche et coordination: Esther PilonMontage et musique: Virage SonoreProduction: Naître et grandir
« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es ». C'est une série spéciale de RFI à la découverte des jeux populaires à travers le monde. Ces jeux qui, à travers les joueurs, parlent de la culture et de l'identité de chaque pays. Aujourd'hui, direction la Tunisie où l'on joue à la chkobba. Ce jeu de cartes, originaire de la migration sicilienne dans le pays au XIXe siècle, est le jeu favori des cafés tunisiens qui vendent d'ailleurs le jeu de cartes sur le menu, à côté du thé et du café. Jeu stratégique et populaire par excellence, la chkobba est aussi symbolique du patrimoine tuniso-italien dans le pays. De notre envoyée spéciale à Nabeul, Sur la route de Nabeul dans le Cap-Bon, en pleine chaleur, alors que beaucoup font encore la sieste, Zouhair, retraité, fait une partie de chkobba avec ses amis au café. « On joue toujours ensemble, celui qui perd paye la consommation des autres. Ou alors, chacun paye sa part, cela dépend. Le plus important, c'est qu'on s'amuse et que le meilleur gagne », raconte-t-il. Chaque jour, c'est le même rendez-vous : un café, une craie et une ardoise pour noter le score et les exclamations des joueurs qui s'entendent jusque dans la rue. Ce jeu se joue à deux ou quatre, le gagnant est celui qui récupère le plus de cartes à la fin de la manche. Mais sur le jeu de 40 cartes, chacune à sa valeur et chaque prise rapporte des points différents, comme l'explique Mohamed, le gérant du café : « Une carte en fonction de sa valeur permet de prendre ou de manger, comme on dit chez nous, les cartes qui sont sur le plateau, et d'effectuer ainsi une prise. Et à la fin de la manche, on compte les points. Le point dit "dinari" récompense celui qui a le plus de carreaux dans son jeu par exemple. » Il y a « chkobba » lorsqu'un joueur arrive à manger toutes les cartes sur le plateau en un seul coup. Le jeu se déroule très rapidement et requiert de la stratégie, mais aussi une gestuelle faciale pour communiquer entre partenaires sur le jeu de chacun. « Normalement, on a le droit de communiquer avec son partenaire juste lorsqu'on a le sept de carreau, la carte la plus importante. En tapant du poing sur la table, les autres grimaces sont interdites. Si on se fait prendre, on peut perdre des points, donc moi, je ne prends pas le risque », précise Zouhair. « Bien sûr qu'il existe une grimace sûre ou un geste subtil pour chaque type de carte. Mais les bons joueurs sont surtout ceux qui arrivent à suivre les cartes qui ont été mangées au fur et à mesure du jeu et à anticiper celles qui restent pour mieux faire leur prise ou empêcher un joueur de faire une chkobba. Ça, ce sont les vrais pros, ceux qui, à la fin de la partie, sont capables de te dire quelles cartes il reste dans la dernière manche », assure Mohamed, selon qui les plus habiles connaissent au moins une douzaine de mimiques en fonction des cartes. Convivial et stratégique, la chkobba est très populaire depuis deux siècles, souligne Alfonso Campisi, professeur universitaire sicilien et tunisien. Installé dans le pays depuis une trentaine d'années, il s'est intéressé à l'histoire du jeu. « Il naît en Espagne, importé par la domination arabe en Espagne. On pense aussi à travers les Mamelouks d'Égypte. Après, depuis l'Espagne, il s'est propagé un peu dans toute la Méditerranée et notamment les ports de la Méditerranée », détaille-t-il. Le jeu se joue quasi à l'identique en Tunisie et en Sicile, même pour les mimiques supposées interdites. « Rien ne change. Cela veut dire que si un Sicilien, qui ne parle même pas arabe ou français, vient jouer dans un café tunisien, il est dans son bain. C'est ça qui est beau et qui lie encore plus ces deux régions de la Méditerranée », explique l'universitaire. Jeu populaire et culturel, la chkobba rassemble de nombreux adeptes en Tunisie, même si les plus jeunes lui préfèrent le rami, une variante du poker à la tunisienne. À lire aussiLes délices du continent: en Tunisie, le mleoui est une institution de la street food [4/10]
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L'incendie en cours dans l'Aude a déjà parcouru 13.000 kilomètres. Coustouge est l'une des communes touchée par les flammes. RTL a recueilli le témoignage d'une de ses habitantes, Fabienne. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis la fin du mois de juin 2025, au moins 30 personnes sont mortes en raison des inondations liées à la saison des pluies en Guinée. Chaque année, c'est le même scénario. Comment expliquer ce phénomène pourtant prévisible ? Quelles solutions concrètes pour briser ce scénario infernal ?
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Dans le dernier épisode des Dérangeants x Québec Tech en direct du Startupfest, Étienne reçoit Joannie Rochette — anesthésiste… et médaillée olympique. Oui, oui. Rien de moins. De la glace olympique à la salle d’opération, elle nous partage avec lucidité (et zéro filtre) comment elle a traversé les plus grands défis de sa vie : la performance sous pression, la tragédie familiale, la réorientation de carrière, et ce fameux matin où tout a basculé avant de monter sur la glace aux Jeux de Vancouver. C’est une conversation crue, drôle et profondément humaine. On parle de rigueur, de courage, d’alignement avec ses valeurs… et de pourquoi les entrepreneurs auraient tout intérêt à penser comme des athlètes de haut niveau (ou des médecins en salle d’urgence).
À l'occasion de sa revue de presse, mardi matin, Paul Arcand fait le point sur la situation à Gaza en marge du conflit entre Israël et le Hamas. Le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou va convoquer son cabinet afin de donner des instructions sur la poursuite de la guerre. Selon plusieurs médias, le chef de l'État hébreu aurait pris la décision d'occuper entièrement la bande de Gaza. «Malgré les grands discours, les belles promesses, le jeu politique, la diplomatie, rien ne change vraiment. Tous les jours, nous voyons ces images, ces Palestiniens qui ont faim, l'aide alimentaire qui arrive au compte-gouttes et les otages qui demeurent séquestrées. Israël résiste vraiment à toutes les pressions internationales.» Rappelons que près de 600 anciens responsables de la sécurité israélienne ont demandé, lundi, au président américain Donald Trump de faire pression sur Israël pour mettre immédiatement fin à la guerre à Gaza. Autres sujets abordés Vitesse et manœuvre dangereuse pourraient expliquer l’accident qui a fait quatre morts, dont trois enfants dans Bellechasse; Montréal est sale et les rats s’amusent; Omnium Banque Nationale: Victoria Mboko atteint la demi-finale. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Thème: Rien n'est impossible au Saint Esprit
Invités : - Frédéric Lauze, secrétaire général du Syndicat des commissaires de la Police nationale - Frédéric Bizard, professeur d'économie à l'ESCP et président de l'Institut Santé Chroniqueurs : - Eliott Mamane, chroniqueur politique - Paul Melun, écrivain et essayiste - Gilles Boutin, journaliste en politique économique au Figaro - Ophélie Roque, professeure de français et journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Du sang partout. Trois personnes d'une même famille, le père, la mère, une fille, retrouvés massacrés à coups de couteau dans un magasin au centre de Bruxelles. Au printemps 2007, une scène qui glace d'effroi la Belgique toute entière. D'autant plus que les Storme était une sympathique famille de commerçants, unie et besogneuse, toute dévouée à deux grands enfants qui le leur rendaient bien. Rien ne clochait chez les Storme et tout le monde s'aimait. Les enquêteurs vont pourtant s'intéresser au fils cadet, Léopold. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Du sang partout. Trois personnes d'une même famille, le père, la mère, une fille, retrouvés massacrés à coups de couteau dans un magasin au centre de Bruxelles. Au printemps 2007, une scène qui glace d'effroi la Belgique toute entière. D'autant plus que les Storme était une sympathique famille de commerçants, unie et besogneuse, toute dévouée à deux grands enfants qui le leur rendaient bien. Rien ne clochait chez les Storme et tout le monde s'aimait. Les enquêteurs vont pourtant s'intéresser au fils cadet, Léopold. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Aujourd'hui, nous sommes le samedi 2 août et nous fêtons saint Pierre Favre, l'un des fondateurs de la Compagnie de Jésus avec saint Ignace de Loyola et saint François Xavier. À la suite de Pierre Favre et des premiers compagnons jésuites, je peux demander la grâce au Seigneur d'apprendre à être disciple du Christ et témoin... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Nada te Turbe de Thérèse d'Avila, Jacques Berthier interprété par Communauté de Taizé - Laudate omnes gentes © Communauté de Taizé ; Lullaby de Jeff Wahl interprété par Jeff Wahl - Meditative Guitar © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes.
Tu connais le Festival Agir à Lyon ? Inscris-toi pour une journée de folie sur l'écologie et la solidarité le 28 septembre !__ Au moins 1% des gens n'ont pas envie de sexe avec d'autres personnes.Voici l'asexualité avec Aline Laurent-Mayard du podcast Free from Desire !Partage ce podcast à un.e ami.e qui a une vie sexuelle intense... ou pas du tout !SOMMAIRE00:00 Aline Laurent-Mayard du podcast Free from Desire 00:49 Ce que l'asexualité n'est PAS 02:04 J'ai jamais fantasmé sur une star 03:54 Le collège 07:44 Le lycée 10:06 L'aromantisme 10:44 Ouf, j'ai enfin un crush ! 20:47 Sa 1ère fois 22:02 TW : Viol et consentement enthousiaste 28:29 En couple sans sexe ? 41:07 Demi-sexuel, graysexuel, etc. 51:39 Que dit la science ? 57:51 Elle est maman ! 60:23 Son message aux non-asexuels __Soutenir Soif de Sens via Tipeee.__Merci au sponsor du mois : le Festival Agir à Lyon ! Ami Lyonnais, inscris-toi pour une journée de folie sur l'écologie et la solidarité à Lyon le 28 septembre !Au programme : Ateliers, balade sur la nature en ville et témoignages de reconversion pro ! L'Institut Transitions qui forme en 1 an aux métiers de la transition sera sur place.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À Gaza, les universités et les écoles ont disparu, bombardées pendant plus de 21 mois par l'armée israélienne. Comment vivre quand on est un jeune homme, une jeune femme ? À quoi peut-on bien rêver dans ces conditions que même les adultes ne peuvent plus imaginer ? À quoi ressemble le quotidien ? De notre correspondant à Gaza, « Je m'appelle Bayan Zaqout et en ce moment, je recherche du réconfort et de la sécurité dans un endroit où même la paix n'existe pas. Je suis une jeune écrivaine, une poète, qui n'aspire à rien d'autre qu'à vivre normalement avec sa famille, tenter de survivre dans la bande de Gaza. » La jeune femme qui parle, Bayan Zaqout, rêvait de devenir écrivaine. Elle s'imaginait déjà publier des romans avec son nom sur la couverture. Elle aurait aussi aimé avoir un bureau indépendant, créatif, à côté, dans lequel elle travaillerait dans la communication. Mais aujourd'hui, Bayan, Gazaouie d'une vingtaine d'années, dit ne plus aspirer à rien. « Chaque jour, il y a des martyrs et des blessés. Donc maintenant, quand on me demande d'où je viens, je dis que je viens du pays du sang : de Gaza, de cet endroit digne, de ceux qui résistent encore. J'habitais dans des tours qui ont été les premières à être visé, au tout début de cette guerre. Depuis, je vis dans une tente de déplacés, juste en face de ce qui était tout pour nous, en face de notre maison où j'espérais être réunie avec ma famille. Désormais, mon seul souhait, chaque jour, c'est d'essayer de trouver du pain le matin, trouver de l'eau que l'on peut boire. Rien que cela, c'est très difficile. J'aspire uniquement à retrouver un semblant de vie quotidienne, la routine que j'avais avant. » Bayan en est consciente : elle n'a pas le même quotidien que les jeunes femmes de son âge, celles qui vivent dans d'autre pays. Elle est devenue la principale ressource financière de sa famille. Son père, qui avait un garage, a dû cesser son activité. Elle aide aussi sa mère à nettoyer la tente, faire la vaisselle, cuisiner. « J'essaie de contribuer à ma façon, même si ce n'est pas énorme. Car ici, même si tu travailles beaucoup, et peu importe combien tu gagnes, cela ne suffit même plus pour acheter les choses les plus basiques de la maison. J'aide aussi en essayant d'allumer des feux, mais dès que tu y touches, tu te sens toute noire, toute salie. Ici même l'air que l'on respire nous noircit. Alors oui, je travaille, mais j'allume aussi, je cuisine, pourquoi pas, mais ce n'est pas que moi. C'est le cas de toutes les jeunes femmes de mon âge à Gaza. Nous avons le rôle de femme et d'homme, on fait les deux à la fois. » Tous les soirs, quand elle peut, elle enseigne l'anglais à ses quatre plus jeunes frères. Le plus difficile, raconte Bayan, c'est quand elle a été séparée – plus tôt dans l'année – de ses deux frères aînés, elle dans le sud, eux dans le nord de Gaza. « Pendant quatre mois, nous n'avions aucune nouvelle. Je ne savais pas s'ils étaient vivants ou morts, s'ils allaient bien ou pas. Être séparé de tes frères avec qui tu as grandi, sans rien savoir d'eux, c'est une douleur indescriptible », confie-t-elle. Alors comme les jeunes filles de son âge, elle s'échappe en lisant, en allant sur Internet quand elle le peut. Et pour oublier qu'elle vit dans un cauchemar, dit-elle, Bayan chante. Surtout lorsqu'elle est face à la mer, sa dernière lueur d'espoir. À lire aussi«Je ne vois rien de l'aide qui arrive»: à Gaza, l'aide humanitaire revendue à prix d'or
Rien ne va plus entre Benjamin et sa famille depuis son coming out. À chaque évènement familial, il se sent pris dans une dynamique de contrôle et de jugement. Il exprime le besoin de s'éloigner pour préserver sa santé mentale et son couple. Durant le mois de juillet, en direct, Cécilia Commo accueille les auditeurs pour 2h d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce soir, Jerome Powell va monter sur le podium et nous annoncer les résultats de deux jours de discussions. Le résultat est déjà théoriquement connu, puis que la FED devrait faire exactement ce qu'on attend d'elle : RIEN. Pas de baisse de taux. Pas de hausse. Juste une pause. Une de plus. Mais cette fois, … Continued
durée : 00:58:47 - Les Grandes Traversées - par : Stéphane Bonnefoi - La puissance nucléaire actuelle représenterait plus de 135 000 fois Hiroshima. Rien n'a donc changé ? Le 22 janvier 2021, le Traité sur l'interdiction des armes nucléaires a été ratifié par une centaine de pays, mais pas les neuf puissances nucléaires, au risque d'un chaos planétaire. - réalisation : Anne Perez
La plage, le soleil, les vacances… Rien de mieux qu'une journée à la mer pour profiter de l'été et surtout se rafraîchir lors des grosses chaleurs. Se baigner n'est pourtant pas une partie de plaisir pour tout le monde. Pour certains, mettre les pieds dans l'eau est une véritable épreuve, voire une phobie : l'aquaphobie. L'aquaphobie, qu'on appelle aussi hydrophobie, c'est la peur irrationnelle de l'eau. Vous vous en doutez, ce n'est pas la peur du verre qui traîne au coin de la table, mais plutôt des étendues d'eau, donc la mer, les lacs et même les piscines. Autant dire que l'été peut être une période particulièrement redoutée. Mais d'où ça vient ? Comment surmonter cette phobie ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. À écouter aussi : Quelles sont les 3 astuces pour dépenser moins en vacances ? Qu'est-ce que le volontourisme ? Quelles sont les 3 astuces pour vraiment se débarrasser des moustiques ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. première diffusion le 12/04/2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
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RO 051 25, c'est le numéro du copieux dossier sur lequel les juges de la haute cour militaire du palais de justice de la Gombe vont devoir se pencher. « Une étape judiciaire inédite », raconte le site d'informations Les volcans news, fruit d'une procédure enclenchée par le parquet général militaire après la levée de son immunité parlementaire par le Sénat en mai dernier. Car Kabila est sénateur à vie, un titre qui lui permettait de passer entre les gouttes de la justice jusqu'à ce que le pouvoir en place en décide autrement et que ses collègues sénateurs ne votent en ce sens. Les chefs d'accusation font froid dans le dos : « les plus lourds jamais instruits contre une ancienne figure présidentielle en RDC », poursuit le site d'information Les volcans news, participation à un mouvement insurrectionnel, des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité, de la trahison, de l'apologie d'actes criminels, du viol, de la torture, de l'homicide volontaire ou encore de la déportation. Alors que reproche-t-on exactement à l'ancien chef d'État ? « Un soutien présumé à la rébellion de l'Alliance fleuve congo/M23 », détaille la radio congolaise Ouragan et de poursuivre, « le parquet militaire l'accuse de trahison pour avoir entretenu des intelligences avec une puissance étrangère, en l'occurrence le Rwanda ». Celui qui est resté au pouvoir pendant deux décennies se voit désormais accusé d'avoir voulu aider une puissance étrangère à renverser le pouvoir de Kinshasa. « Rien n'indique toutefois que Kabila qui ne s'est pas présenté devant le Sénat lors de la levée de son immunité parlementaire sera présent à son procès », tempère EcoNews RDC. Un procès qui s'inscrit selon le site d'information dans la stratégie affichée du président Tshisekedi de déboulonner le système de son prédécesseur, une promesse électorale désormais concrétisée. Kabila une variable d'ajustement dans les négociations en cours à Doha ? « Il sera pris en charge par l'accord de paix négocié directement entre ses hommes et nous. Nous ne pensons pas lui réserver de traitement particulier », détaille Jacquemain Shabani, vice premier ministre et ministre de l'Intérieur, dans les colonnes de Jeune Afrique. « Ses hommes ? Ce sont ceux de la rébellion AFC/M23 », affirme Jacquemain Shabani. Sur la toile, poursuit EcoNews RDC, les partisans dénoncent le martyr que vit leur leader : « effacer un homme comme Joseph Kabila de la scène publique ne peut se faire ni par la force ni par la manipulation de la justice ». La fin d'une ère conclut le site d'actualité. Reste à savoir si elle ouvre la voie à une démocratie apaisée ou à de nouvelles tensions. À lire aussiRDC: le procès de l'ex-président Joseph Kabila s'ouvre devant la Haute Cour militaire À Madagascar, pas encore de procès, mais une enquête qui permet de lever le voile sur les circonstances de la mort de 32 personnes lors d'une fête d'anniversaire à Ambohimalaza juin dernier. Mais la scène avait tout l'air d'un réquisitoire sur les télévisions malgaches hier soir. Andry Rajoelina avait convoqué ministres, procureurs et représentants de la gendarmerie pour une émission diffusée en direct sur la télévision d'État. Plusieurs heures durant lesquelles, « le secret de l'enquête a été largement dépassé pour laisser place à l'épreuve des faits », décrit L'Express de Madagascar. Et dès le début, le président de la République veut jouer carte sur table : « l'État ne couvre personne dans cette affaire », a-t-il lancé, rapporte le site d'informations AA. Première révélation. La substance toxique utilisée pour empoisonner les victimes est l'atropine, principe actif contenu dans le datura et la belladone. « Deux fleurs présentes à Madagascar », poursuit L'Express. « L'état a défendu sans équivoque la thèse de l'empoisonnement », précise Midi Madagasikara car selon le ministre de la Santé publique, Zely Arivelo Randriamanantany, les autopsies réalisées sur les victimes montrent des symptômes qui ne collent pas avec la thèse du botulisme. Des atteintes au rein, au cœur et au foie qui ne peuvent pas avoir été causées par cette infection. Reste que selon les révélations de RFI, les analyses effectuées par l'institut de médecine légale de Strasbourg n'ont pas pu confirmer la cause des décès. Autres éléments mis en avant lors de ce moment de télévision judiciaire, la principale accusée est passée aux aveux selon le général Andriantsarafara Rakotondrazaka, ministre délégué à la Gendarmerie nationale qui évoque un acte de vengeance en raison d'une dispute familiale. « Des conversations téléphoniques et des SMS compromettants ont été découverts durant l'enquête », précise L'Express de Madagascar. Huit personnes sont sur les bancs des accusés dans cette affaire. Cinq en contrôle judiciaire et trois femmes en détention dont la suspecte principale. À lire aussiMadagascar: des sources médicales contestent l'empoisonnement défendu par les autorités lors du drame d'Ambohimalaza
Si vous avez constamment l'impression de n'avoir "rien d'intéressant" à partager en ligne, que ça vous bloque dans votre création de contenu ou votre communication... cet épisode est fait pour vous ! En 10min je vous explique pourquoi personne ne vous demande de créer du contenu intéressant (et quoi faire à la place) et les deux prises de conscience qui feront sauter cette croyance limitante à chaque fois qu'elle pointera le bout de son nez.[Quiz] Découvrez quel type d'entrepreneur vous êtes et quelle stratégie adopter, en fonction de votre personnalité
Pour débuter l'émission de ce jeudi 24 juillet 2025, les GG : Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent du sujet du jour : "Crise Retailleau/Macron : rien ne va plus au gouvernement !".
✍️ Épisode 2 – C'était pas ce que j'avais prévu (spoiler : rien ne l'est jamais)
durée : 00:43:18 - Les Midis de Culture - par : Chloë Cambreling - A l'occasion de la publication récente de deux de ses ouvrages, retour sur l'œuvre de la poétesse, activiste et icône américaine Maya Angelou, avec l'autrice Axelle Jah Njiké, préfacière de "Maman et moi et maman" et Santiago Artozqui, traducteur du recueil de poèmes "Rien ne me fera plier". - réalisation : Olivier Bétard - invités : Axelle Jah Njiké Autrice et militante féministe; Santiago Artozqui Traducteur
durée : 00:58:47 - Les Grandes Traversées - Dépressif, alcoolo-tabagique, peintre, amoureux de l'art et des animaux, sir Winston Churchill est un homme qu'il faut découvrir en faisant le tour, notamment en comprenant ce qu'il a fait quand il s'est retiré de la vie politique. À Chartwell, dans l'intimité de la demeure de Winston Churchill, se dévoile l'univers personnel de l'ancien Premier ministre britannique. Passion pour la peinture, lutte contre la dépression et héritage familial tissent le portrait d'un homme aux multiples facettes. Une salle à manger, une toile, une époque La visite commence dans la salle à manger de Chartwell, que Churchill avait aménagée bien avant de s'y installer définitivement. Rien n'est laissé au hasard, et l'on découvre un espace à la fois bourgeois et vivant, utilisé pour le thé plus que pour les repas. C'est aussi là qu'il a peint Bottlescape, un tableau né d'un jeu familial qui consistait en ce que ses enfants rassemblent les bouteilles éparpillées dans la maison. La peinture apparaît comme le reflet d'un moment intime, presque ludique. Un peintre amateur à l'âme tourmentée La peinture de Churchill ne laisse pas indifférent. Jean Blot, écrivain et biographe, compare avec une pointe d'ironie le style de Churchill à celui de Hitler : "un art sentimental de jeunes filles bien élevées", techniquement maîtrisé, mais sans audace. Cette observation ouvre une réflexion plus large : malgré leurs antagonismes politiques, les deux hommes partagent une certaine candeur restée intacte. Winston Churchill peignait pour se libérer, en amateur passionné, exposant même sous pseudonyme en France. Dans les tranchées de la Somme, il s'acharnait à reproduire la couleur exacte des cratères d'obus – un détail qui en dit long sur sa rigueur et sa persévérance. Dans Churchill d'Angleterre, l'écrivain Albert Cohen voyait en cet homme la force du prophète, la qualité du poète révélant à son pays sa grandeur. Un extrait lu à l'antenne rappelle la ferveur avec laquelle Albert Cohen célébrait Winston Churchill, louant sa détermination et sa bonté. Mais Churchill savait aussi manier l'ironie, comme en témoigne une anecdote rapportée par l'un de ses gendres : à la question "qui auriez-vous aimé être ?", Churchill répondit : "Mussolini, parce qu'il a fait fusiller son gendre" – un trait d'humour noir typique de son esprit caustique. Famille, alcool et zones d'ombre La face sombre de Churchill n'est pas éludée. Son alcoolisme – il buvait du matin au soir, mais sans perdre le contrôle – contraste avec le destin tragique de ses enfants : trois sur quatre sont morts des conséquences de leur alcoolisme. Son fils Randolph, malgré un réel courage et une intelligence certaine, ne parvint jamais à sortir de l'ombre paternelle. Quant à Churchill lui-même, il faisait face à des épisodes dépressifs qu'il appelait son "Black dog" : des phases de mélancolie profonde, parfois suicidaires, qui jalonnèrent toute sa vie.
REDIFF - Marie-Claude Franz était une femme dépressive qui ne croyait plus à la vie. Elle l'avait même écrit dans un message d'adieu. Quand Fabrice Franz, son mari, l'a découverte sans vie dans leur chambre, il a tout de suite évoqué le suicide. Il était choqué, tremblant. En ce jour d'automne 2019, vingt-huit ans après leur rencontre, il perdait la femme qu'il aimait. Rien, semble-t-il, ne pourrait contredire ce triste scénario. Les gendarmes vont pourtant émettre tout de suite des doutes sur cette mort des plus limpides. Une scène de suicide ressemblant parfois étrangement à une scène de crime. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Marie-Claude Franz était une femme dépressive qui ne croyait plus à la vie. Elle l'avait même écrit dans un message d'adieu. Quand Fabrice Franz, son mari, l'a découverte sans vie dans leur chambre, il a tout de suite évoqué le suicide. Il était choqué, tremblant. En ce jour d'automne 2019, vingt-huit ans après leur rencontre, il perdait la femme qu'il aimait. Rien, semble-t-il, ne pourrait contredire ce triste scénario. Les gendarmes vont pourtant émettre tout de suite des doutes sur cette mort des plus limpides. Une scène de suicide ressemblant parfois étrangement à une scène de crime. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:47 - Les Grandes Traversées - par : Stéphane Bonnefoi - La puissance nucléaire actuelle représenterait plus de 135 000 fois Hiroshima. Rien n'a donc changé ? Le 22 janvier 2021, le Traité sur l'interdiction des armes nucléaires a été ratifié par une centaine de pays, mais pas les neuf puissances nucléaires, au risque d'un chaos planétaire. - réalisation : Anne Perez
Quand les quatre enfants décident de suivre discrètement Adèle Poussière, une mystérieuse dame du village, ils ne s'attendent pas à ce qu'ils vont découvrir. Cette petite mamie au caddie couinant a une drôle de manie : elle semble collectionner les objets sans intérêt. Mais pourquoi fait-elle cela ?Découvrez l'aventure touchante de Léopold et ses amis qui vont transformer une simple curiosité en magnifique leçon de vie !
Bienvenue dans cette nouvelle Pépite Papa PhD ! Dans cet excerpt de mon entrevue avec Olivier Bernard, pharmacien et vulgarisateur reconnu, il parle de comment communiquer efficacement la science, même face à la pseudoscience et aux sujets polarisants. On a parlé de l'importance de l'empathie, de la nuance et de surmonter la peur de prendre la parole publiquement. Le message à retenir : 95% des gens sont prêts à entendre la vérité, alors ose partager tes connaissances et prends ta place dans la discussion scientifique. À très vite pour une nouvelle dose d'inspiration ! Olivier Bernard est un communicateur scientifique passionné par le partage du savoir et l'engagement du milieu académique dans la société. Après avoir constaté que la diffusion des connaissances demeure peu valorisée dans le monde universitaire, il s'est donné pour mission d'encourager ses collègues, en particulier les jeunes chercheurs, à prendre la parole dans l'espace public, malgré leurs doutes et les craintes face aux sujets polarisants. Lui-même a développé ses compétences en communication en acceptant toutes les occasions de s'exprimer dans des émissions, des chroniques ou des podcasts, convaincu que l'aisance s'acquiert par l'expérience. Aujourd'hui, il milite pour que la vulgarisation scientifique soit reconnue, et inspire les universitaires à surmonter leurs hésitations pour participer activement au dialogue public. Points à retenir : Osez prendre la parole : Même lorsque vous débutez, chaque voix compte. Dire « oui » aux invitations à des podcasts, chroniques ou émissions permet de gagner de l'aisance et de la légitimité en communication. Privilégiez l'empathie et la nuance : Faire preuve de compréhension envers les personnes possédant des croyances erronées ouvre la voie à des échanges constructifs, plutôt qu'à la confrontation. Gardez en tête l'impact positif : 95% du public apprécie l'accès à une information claire et vraie, même si une minorité bruyante résiste. Ne laissez pas cette minorité freiner votre envie de partager la science ! Pourquoi écouter cet épisode ? Ces conseils sont précieux, surtout quand il s'agit de débattre autour de la pseudoscience ou du climat, sujets si importants et pourtant si souvent controversés. Envoie-nous tes commentaires : Vous souhaitez réagir à cet épisode ou proposer un(e) invité(e) pour une prochaine entrevue ? Rien de plus simple : rendez-vous sur speakpipe.com/papaphd pour enregistrer un court message vocal. Nous avons hâte de vous entendre ! Passe à l'écoute : Ne manque pas cet épisode captivant et suis “Au-delà de la thèse avec Papa PhD” sur ton application préférée pour ne jamais rater une occasion d'apprendre davantage sur la réalité du marché du travail après le doctorat. Écoute cette pépite maintenant et laisse-toi inspirer par le parcours de Manon! Liens de l'épisode Olivier Bernard | Site Web Olivier Bernard | Instagram Transcription de l'épisode David Mendes: Salut. Dans cette nouvelle pépite papa PHD, je t'apporte une partie de mon entrevue avec Olivier Bernard, pharmacien et vulgarisateur scientifique reconnu pour son combat contre la pseudoscience. On discute de l'importance de la communication, de l'humour pour rendre la science accessible et surtout de l'impact qu'on peut avoir même quand ça semble difficile. Le message, osez communiquer, soyez nuancé et rappelez-vous, la majorité des gens sont prêts à entendre la vérité. Bonne écoute. Bienvenue sur au-delà de la thèse avec papa PHT. Ton inspiration hebdomadaire pour le développement de carrière après le doctorat. Avec moi, David Mendes. David Mendes: J'aimerais quand même un peu maintenant apporter un un peu de de ton expérience et faire le parallèle avec des jeunes chercheurs qui sont maintenant en train de faire leur doctorat ou leur maîtrise et qui ont un peu ce désir de, par exemple, combattre la pseudo science en lien avec le climat. Ce que j'aimerais, ce serait de poser la question de comment est-ce que tu te positionnes en tant que jeune chercheur dans ce type de conversation souvent qui sont polémiques et et c'est quoi des bons principes pour des fois dans des conversations qui peuvent avoir l'air un peu perdues déjà au départ de quand même avoir des résultats positifs et de pas juste se frustrer ou ou se fâcher. C'est quoi des des bons principes pour être dans une conversation avec quelqu'un que tu sais qui est comme un sceptique ou ou qui a une pseudo croyant une croyance, une fausse croyance très enracinée. Est-ce que tu en as appris au cours de ces années Olivier Bernard: Oui, j'ai tellement de choses à dire là-dessus. Je vais essayer de je vais essayer de résumer tout ça puis en particulier parce que là tu me poses la question par rapport à des jeunes chercheurs chercheuses des gens qui seraient au doctorat ou au post-doctorat par exemple ou même des des jeunes chercheurs qui sont demandés mais j'ai envie de commencer ça. Bon premièrement on le sait là le le les gens du milieu académique ça fait partie de la mission académique de diffuser le savoir donc c'est pas très valorisé malheureusement c'est pas ça qui donne des de t'investir sur la place publique, de participer à des podcasts, ce n'est pas ça qui fait que tu as des demandes de que tu as plus de subventions et plus de bourses malheureusement, mais on le sait que ça fait partie de la mission académique de le faire. Moi, je le sens quand je parle à des gens du milieu académique, des universitaires, je sens un désir il y a beaucoup de gens qui aimeraient ça pouvoir parler et il rencontre certaines barrières la première étant je sais pas comment faire je suis peut-être pas assez bon je suis peut-être pas assez bonne ça j'adresse ça rapidement moi il faut que je convainque souvent les gens que oui ils sont assez bons il faut souvent là que je me batte avec les gens là en disant comme oui non regarde je te dis que tu es capable go donc des fois les gens ont besoin de vaincre cette espèce de résistance là puis la faire aussi c'est que si on cessait pas on deviendra jamais bon c'est devenir un bon communicateur une bonne communicatrice exprimée bien c'est quelque chose qu'on développe par l'expérience donc si vous avez des invitations à des podcasts vous avez des invitations à des émissions à faire des chroniques des télé radio sur le web dites oui à tout moi c'est ça que j'ai fait personnellement au début je disais oui à tout qui était dans mon champ de compétences puis c'est comme ça que j'ai développé une certaine aisance deuxième chose c'est sûr qu'aujourd'hui ça fait un peu peur de parler de certains sujets sur la place publique il y a beaucoup de sujets qui sont polarisants qui sont délicats et puis ça je comprends complètement je comprends complètement des universitaires de dire ça j'ai pas envie de m'embarquer là-dedans moi il y a des gens que je contacte puis qui me disent j'aimerais vraiment ça pouvoir faire une entrevue avec toi là-dessus mais j'ai peur des conséquences que ça va avoir sur j'ai peur des qui est du backlash des choses comme ça. David Mendes: Est-ce qu'il va apparaître dans ma boîte courriel tout à coup Olivier Bernard: Ouais. Ben moi il y a déjà un chercheur qui m'a dit que un de ses collègues s'était fait crever ses pneus de voiture quand il y avait parlé d'un sujet en particulier sur lequel je lui demandais de parler il m'a dit je vais le faire mais je te dirais je te cacherai pas que j'ai peur tu sais je pense qu'en ce moment c'est un nouveau phénomène mais je pense qu'il faut pas non plus comment dire il faut il faut quand même s'investir il faut ceci puis il y a moyen puis je le dis là moi ça fait 10 ans que je fais ça j'ai dit des choses vraiment là que maintenant je leur dirais pas les choses de la même façon parce que je me rends compte que ça a fâché des gens que c'était pas la bonne manière de m'y prendre garde un moment donné là il y a moyen de le faire il y a moyen de se positionner sur des sujets qui sont délicats on peut le faire d'une manière nuancée je pense que la clé parce que tu me demandais comment le faire je pense que la clé là c'est que il faut l'aborder avec beaucoup d'empathie puis de compréhension pour l'autre c'est à dire que moi puis moi j'ai encore une fois j'ai commencé comme ça en 2012 là j'étais vraiment comme telle croyance c'est faux pour telle raison puis les gens qui croient ça ben ils devraient pas croire à ça c'est pas une bonne façon de faire c'est on le voit dans la recherche là d'y aller par une méthode qui est confrontationnelle ça marche pas donc je pense qu'au départ il faut aborder la question sous l'angle de et moi là cette croyance là imperistante dans l'espace public ça m'intéresse je me demande pourquoi les gens croient à ça je comprends aussi pourquoi les gens croient ça je pense que c'est normal c'est quand j'ai lu j'ai lu ça c'est normal d'avoir des doutes normal d'être inquiet aussi d'avoir des inquiétudes de dire aussi qu'il y a un fond de vérité souvent c'est rare qu'il y a des croyances qui ont complètement fausses puis qu'il y a absolument rien de vrai il y a souvent des choses vraies puis après à travers ça il y a des choses qui sont peut-être un peu exagérées donc de le présenter plus sous cet angle là plutôt que d'arriver juste en disant c'est faux pour la raison suivante moi personnellement quand j'ai vu des gens faire ça quand moi je l'ai fait généralement ça se passe bien c'est ça la réalité c'est quatre-vingt-quinze pour 100 des gens sont toujours très heureux d'avoir accès à la bonne information puis je pense que le 5 de gens qui sont toujours très mécontents si on a tendance à mettre beaucoup de focus là-dessus ou d'avoir peur ou tout ça je pense pas que c'est la bonne approche David Mendes: et 95 c'est déjà très bon en effet Olivier Bernard: C'est un chiffre approximatif, là. J'utilise souvent ce chiffre-là 95/5, là. Quatre-vingt-quinze pourcent des gens sont contents mais le 5 pourcent qui sont pas contents, ils font quatre-vingt-quinze pour 100 du bruit là. David Mendes: Ah oui c'est ça c'est ça Olivier Bernard: Mais ça, il faut il faut toujours se ramener à la plupart des gens sont très contents en ce moment qu'on puisse parler de ça. David Mendes: Merci d'avoir écouté ce nouvel épisode de la saison 6 d'au-delà de la thèse avec papa PHP. Tu as une question sur cette entrevue Tu veux laisser un commentaire sur le balado Tu veux recommander quelqu'un pour une autre entrevue Rends-toi sur speak pipe point com slash papa phd et laisse-moi un message vocal. Clique sur le gros bouton enregistrer et laisse-moi un message de jusqu'à quatre-vingt-dix secondes. Je les écoute tous et je les considère tous pour passer sur des épisodes à venir. Encore une fois c'est speak pipe point com slash papa PHD. Bien d'entendre ta voix. Merci Olivier ! 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