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Quand les quatre enfants décident de suivre discrètement Adèle Poussière, une mystérieuse dame du village, ils ne s'attendent pas à ce qu'ils vont découvrir. Cette petite mamie au caddie couinant a une drôle de manie : elle semble collectionner les objets sans intérêt. Mais pourquoi fait-elle cela ?Découvrez l'aventure touchante de Léopold et ses amis qui vont transformer une simple curiosité en magnifique leçon de vie !
Bienvenue dans cette nouvelle Pépite Papa PhD ! Dans cet excerpt de mon entrevue avec Olivier Bernard, pharmacien et vulgarisateur reconnu, il parle de comment communiquer efficacement la science, même face à la pseudoscience et aux sujets polarisants. On a parlé de l'importance de l'empathie, de la nuance et de surmonter la peur de prendre la parole publiquement. Le message à retenir : 95% des gens sont prêts à entendre la vérité, alors ose partager tes connaissances et prends ta place dans la discussion scientifique. À très vite pour une nouvelle dose d'inspiration ! Olivier Bernard est un communicateur scientifique passionné par le partage du savoir et l'engagement du milieu académique dans la société. Après avoir constaté que la diffusion des connaissances demeure peu valorisée dans le monde universitaire, il s'est donné pour mission d'encourager ses collègues, en particulier les jeunes chercheurs, à prendre la parole dans l'espace public, malgré leurs doutes et les craintes face aux sujets polarisants. Lui-même a développé ses compétences en communication en acceptant toutes les occasions de s'exprimer dans des émissions, des chroniques ou des podcasts, convaincu que l'aisance s'acquiert par l'expérience. Aujourd'hui, il milite pour que la vulgarisation scientifique soit reconnue, et inspire les universitaires à surmonter leurs hésitations pour participer activement au dialogue public. Points à retenir : Osez prendre la parole : Même lorsque vous débutez, chaque voix compte. Dire « oui » aux invitations à des podcasts, chroniques ou émissions permet de gagner de l'aisance et de la légitimité en communication. Privilégiez l'empathie et la nuance : Faire preuve de compréhension envers les personnes possédant des croyances erronées ouvre la voie à des échanges constructifs, plutôt qu'à la confrontation. Gardez en tête l'impact positif : 95% du public apprécie l'accès à une information claire et vraie, même si une minorité bruyante résiste. Ne laissez pas cette minorité freiner votre envie de partager la science ! Pourquoi écouter cet épisode ? Ces conseils sont précieux, surtout quand il s'agit de débattre autour de la pseudoscience ou du climat, sujets si importants et pourtant si souvent controversés. Envoie-nous tes commentaires : Vous souhaitez réagir à cet épisode ou proposer un(e) invité(e) pour une prochaine entrevue ? Rien de plus simple : rendez-vous sur speakpipe.com/papaphd pour enregistrer un court message vocal. Nous avons hâte de vous entendre ! Passe à l'écoute : Ne manque pas cet épisode captivant et suis “Au-delà de la thèse avec Papa PhD” sur ton application préférée pour ne jamais rater une occasion d'apprendre davantage sur la réalité du marché du travail après le doctorat. Écoute cette pépite maintenant et laisse-toi inspirer par le parcours de Manon! Liens de l'épisode Olivier Bernard | Site Web Olivier Bernard | Instagram Transcription de l'épisode David Mendes: Salut. Dans cette nouvelle pépite papa PHD, je t'apporte une partie de mon entrevue avec Olivier Bernard, pharmacien et vulgarisateur scientifique reconnu pour son combat contre la pseudoscience. On discute de l'importance de la communication, de l'humour pour rendre la science accessible et surtout de l'impact qu'on peut avoir même quand ça semble difficile. Le message, osez communiquer, soyez nuancé et rappelez-vous, la majorité des gens sont prêts à entendre la vérité. Bonne écoute. Bienvenue sur au-delà de la thèse avec papa PHT. Ton inspiration hebdomadaire pour le développement de carrière après le doctorat. Avec moi, David Mendes. David Mendes: J'aimerais quand même un peu maintenant apporter un un peu de de ton expérience et faire le parallèle avec des jeunes chercheurs qui sont maintenant en train de faire leur doctorat ou leur maîtrise et qui ont un peu ce désir de, par exemple, combattre la pseudo science en lien avec le climat. Ce que j'aimerais, ce serait de poser la question de comment est-ce que tu te positionnes en tant que jeune chercheur dans ce type de conversation souvent qui sont polémiques et et c'est quoi des bons principes pour des fois dans des conversations qui peuvent avoir l'air un peu perdues déjà au départ de quand même avoir des résultats positifs et de pas juste se frustrer ou ou se fâcher. C'est quoi des des bons principes pour être dans une conversation avec quelqu'un que tu sais qui est comme un sceptique ou ou qui a une pseudo croyant une croyance, une fausse croyance très enracinée. Est-ce que tu en as appris au cours de ces années Olivier Bernard: Oui, j'ai tellement de choses à dire là-dessus. Je vais essayer de je vais essayer de résumer tout ça puis en particulier parce que là tu me poses la question par rapport à des jeunes chercheurs chercheuses des gens qui seraient au doctorat ou au post-doctorat par exemple ou même des des jeunes chercheurs qui sont demandés mais j'ai envie de commencer ça. Bon premièrement on le sait là le le les gens du milieu académique ça fait partie de la mission académique de diffuser le savoir donc c'est pas très valorisé malheureusement c'est pas ça qui donne des de t'investir sur la place publique, de participer à des podcasts, ce n'est pas ça qui fait que tu as des demandes de que tu as plus de subventions et plus de bourses malheureusement, mais on le sait que ça fait partie de la mission académique de le faire. Moi, je le sens quand je parle à des gens du milieu académique, des universitaires, je sens un désir il y a beaucoup de gens qui aimeraient ça pouvoir parler et il rencontre certaines barrières la première étant je sais pas comment faire je suis peut-être pas assez bon je suis peut-être pas assez bonne ça j'adresse ça rapidement moi il faut que je convainque souvent les gens que oui ils sont assez bons il faut souvent là que je me batte avec les gens là en disant comme oui non regarde je te dis que tu es capable go donc des fois les gens ont besoin de vaincre cette espèce de résistance là puis la faire aussi c'est que si on cessait pas on deviendra jamais bon c'est devenir un bon communicateur une bonne communicatrice exprimée bien c'est quelque chose qu'on développe par l'expérience donc si vous avez des invitations à des podcasts vous avez des invitations à des émissions à faire des chroniques des télé radio sur le web dites oui à tout moi c'est ça que j'ai fait personnellement au début je disais oui à tout qui était dans mon champ de compétences puis c'est comme ça que j'ai développé une certaine aisance deuxième chose c'est sûr qu'aujourd'hui ça fait un peu peur de parler de certains sujets sur la place publique il y a beaucoup de sujets qui sont polarisants qui sont délicats et puis ça je comprends complètement je comprends complètement des universitaires de dire ça j'ai pas envie de m'embarquer là-dedans moi il y a des gens que je contacte puis qui me disent j'aimerais vraiment ça pouvoir faire une entrevue avec toi là-dessus mais j'ai peur des conséquences que ça va avoir sur j'ai peur des qui est du backlash des choses comme ça. David Mendes: Est-ce qu'il va apparaître dans ma boîte courriel tout à coup Olivier Bernard: Ouais. Ben moi il y a déjà un chercheur qui m'a dit que un de ses collègues s'était fait crever ses pneus de voiture quand il y avait parlé d'un sujet en particulier sur lequel je lui demandais de parler il m'a dit je vais le faire mais je te dirais je te cacherai pas que j'ai peur tu sais je pense qu'en ce moment c'est un nouveau phénomène mais je pense qu'il faut pas non plus comment dire il faut il faut quand même s'investir il faut ceci puis il y a moyen puis je le dis là moi ça fait 10 ans que je fais ça j'ai dit des choses vraiment là que maintenant je leur dirais pas les choses de la même façon parce que je me rends compte que ça a fâché des gens que c'était pas la bonne manière de m'y prendre garde un moment donné là il y a moyen de le faire il y a moyen de se positionner sur des sujets qui sont délicats on peut le faire d'une manière nuancée je pense que la clé parce que tu me demandais comment le faire je pense que la clé là c'est que il faut l'aborder avec beaucoup d'empathie puis de compréhension pour l'autre c'est à dire que moi puis moi j'ai encore une fois j'ai commencé comme ça en 2012 là j'étais vraiment comme telle croyance c'est faux pour telle raison puis les gens qui croient ça ben ils devraient pas croire à ça c'est pas une bonne façon de faire c'est on le voit dans la recherche là d'y aller par une méthode qui est confrontationnelle ça marche pas donc je pense qu'au départ il faut aborder la question sous l'angle de et moi là cette croyance là imperistante dans l'espace public ça m'intéresse je me demande pourquoi les gens croient à ça je comprends aussi pourquoi les gens croient ça je pense que c'est normal c'est quand j'ai lu j'ai lu ça c'est normal d'avoir des doutes normal d'être inquiet aussi d'avoir des inquiétudes de dire aussi qu'il y a un fond de vérité souvent c'est rare qu'il y a des croyances qui ont complètement fausses puis qu'il y a absolument rien de vrai il y a souvent des choses vraies puis après à travers ça il y a des choses qui sont peut-être un peu exagérées donc de le présenter plus sous cet angle là plutôt que d'arriver juste en disant c'est faux pour la raison suivante moi personnellement quand j'ai vu des gens faire ça quand moi je l'ai fait généralement ça se passe bien c'est ça la réalité c'est quatre-vingt-quinze pour 100 des gens sont toujours très heureux d'avoir accès à la bonne information puis je pense que le 5 de gens qui sont toujours très mécontents si on a tendance à mettre beaucoup de focus là-dessus ou d'avoir peur ou tout ça je pense pas que c'est la bonne approche David Mendes: et 95 c'est déjà très bon en effet Olivier Bernard: C'est un chiffre approximatif, là. J'utilise souvent ce chiffre-là 95/5, là. Quatre-vingt-quinze pourcent des gens sont contents mais le 5 pourcent qui sont pas contents, ils font quatre-vingt-quinze pour 100 du bruit là. David Mendes: Ah oui c'est ça c'est ça Olivier Bernard: Mais ça, il faut il faut toujours se ramener à la plupart des gens sont très contents en ce moment qu'on puisse parler de ça. David Mendes: Merci d'avoir écouté ce nouvel épisode de la saison 6 d'au-delà de la thèse avec papa PHP. Tu as une question sur cette entrevue Tu veux laisser un commentaire sur le balado Tu veux recommander quelqu'un pour une autre entrevue Rends-toi sur speak pipe point com slash papa phd et laisse-moi un message vocal. Clique sur le gros bouton enregistrer et laisse-moi un message de jusqu'à quatre-vingt-dix secondes. Je les écoute tous et je les considère tous pour passer sur des épisodes à venir. Encore une fois c'est speak pipe point com slash papa PHD. Bien d'entendre ta voix. Merci Olivier ! 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Rienäcker, Cai www.deutschlandfunkkultur.de, Studio 9
Invités : - Eric Woerth, député EPR d'Oise et ancien ministre du Budget - Hervé Morin, président de la région Normandie et ancien ministre de la Défense Chroniqueurs : - Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles - Louis de Raguenel, chef du service politique d'Europe 1 - Georges Fenech, ancien magistrat et député honoraire du Rhône - Vincent Roy, journaliste et écrivain Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rienäcker, Cai www.deutschlandfunk.de, Das war der Tag
durée : 00:08:33 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Santa est l'invitée exceptionnelle du Monde d'Élodie à l'occasion de sa tournée des festivals et des zéniths. Dans ce deuxième épisode, elle revient sur son premier titre en français, "Popcorn salé". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
⚖️ Raphaëlle Petitperrin et Samuela Berdah - Juristes au CN D – Centre national de la danse.Toutes deux accompagnent au quotidien les danseureuses, chorégraphes, administrateurices, professeur.es et directeursrices d'école dans leurs questionnements juridiques et administratifs : contrat de travail, statut social, droit d'auteur, gestion de structure, conventions collectives. Rien ne leur échappe !Raphaëlle Petitperrin a d'abord exercé comme avocate en droit social avant de rejoindre le CN D, il y a plus de dix ans. Spectatrice de danse avant tout, sa première révélation artistique a eu lieu à l'adolescence avec "Fase" d'Anne Teresa De Keersmaeker. Depuis, elle met son expertise juridique au service du secteur chorégraphique, à travers des formations, des fiches pratiques et des accompagnements sur mesure.Samuela Berdah, quant à elle, a pratiqué la danse en amateur pendant vingt ans. Juriste au CN D, depuis 2003, elle a fait de la passerelle entre le droit et la danse sa mission de tous les jours. Son approche rigoureuse et ancrée dans le réel des professionnels en fait une ressource précieuse pour les artistes comme pour les structures de production et de diffusion.Un échange riche, concret et accessible pour mieux comprendre les enjeux légaux qui traversent la vie des danseureuses et des acteurices du secteur culturel.Que vous soyez artiste, porteureuse de projet ou simplement curieux.se des réalités qui structurent le monde de la danse, et que vous souhaitez comprendre le droit dans ces secteurs, cet épisode est fait pour vous !
On poursuit ce mercredi 16 juillet notre semaine consacrée aux effets des guerres et des conflits sur les matières premières. Aujourd'hui, on se penche sur les minerais de la discorde entre la RDC et le Rwanda. Pour Kinshasa, le conflit avec le Rwanda est avant tout lié aux minerais, une lecture contestée par Kigali et l'AFC/M23. Pourtant, pour de nombreux experts, ces ressources jouent aussi un rôle central dans la crise. Alors, de quels minerais parle-t-on ? On désigne principalement trois ressources très convoitées, appelées les « minerais 3T ». D'abord, il y a le coltan. C'est un mot formé à partir de colombite et de tantalite. Il contient du tantale, un métal rare utilisé pour fabriquer les condensateurs dans nos téléphones portables, nos ordinateurs et d'autres appareils électroniques. Ensuite, la cassitérite, à la base de la production de l'étain, utilisé dans les soudures et l'emballage. Et enfin, le tungstène, qui sert notamment à fabriquer certaines armes, des outils de forage et des pièces pour l'aéronautique. Ces minerais sont indispensables à l'industrie mondiale. Et comme ils se trouvent en abondance dans l'est de la RDC, leur exploitation artisanale attire des groupes armés et des réseaux de contrebande, souvent liés à des intérêts venus de l'étranger. On ne peut pas non plus oublier l'or, une vraie valeur refuge. Plus discret, plus facile à transporter, mais aussi plus difficile à tracer, il alimente aussi de nombreux circuits parallèles, parfois encore plus lucratifs. Et l'AFC/M23 dans tout ça ? Il faut dire que la zone contrôlée par l'AFC/M23 touche directement la frontière avec le Rwanda. Et ce n'est pas un détail anodin. Depuis plusieurs années, le Rwanda est une des principales voies de sortie pour certains minerais extraits dans l'est de la RDC. Prenons un exemple concret : la région de Rubaya, l'un des bastions miniers passés sous le contrôle de l'AFC/M23. D'après des estimations officielles, Rubaya à elle seule représenterait entre 15 et 30 % de la production mondiale de coltan. Rien que ça. Et selon le groupe d'experts de l'ONU, sur le terrain, les opérations minières sont étroitement surveillées par les combattants de l'AFC/M23. Le groupe encadre les activités d'extraction, supervise les sites de lavage des minerais, et garde la main sur plusieurs centres de négoce. Selon des sources onusiennes, l'AFC/M23 a transporté plusieurs centaines de tonnes de coltan, de cassitérite et de wolframite depuis des sites à Goma, Bukavu et Nyabibwe. Une fois au Rwanda, ces minerais ne restent pas tels quels. Ils sont mélangés à la production locale, ce qui permet de les faire passer pour des produits d'origine rwandaise. Résultat : ils entrent dans les circuits commerciaux classiques et perturbent le commerce légal, selon le Groupe d'experts de l'ONU. Le Rwanda, un hub régional ? Le Rwanda affirme posséder ses propres réserves de minerais dits « 3T » – le coltan, la cassitérite et le tungstène. Contrairement à l'est de la RDC, souvent associé à une exploitation artisanale désorganisée, marquée par l'ingérence de groupes armés et de certains fonctionnaires corrompus, le Rwanda se présente comme un modèle de bonne gouvernance minière. Le pays dit avoir mis en place un secteur réglementé, formalisé, avec des investissements dans des infrastructures modernes : usines de traitement, systèmes de traçabilité, et même certification internationale des minerais. Et ce n'est pas tout : Kigali affiche clairement son ambition de devenir le hub minier régional. Pour y parvenir, le pays s'est doté d'une fonderie d'étain, d'une raffinerie d'or et même d'une raffinerie de tantale. À lire aussiRDC-Rwanda: «Cet accord est basé sur le principe du retrait du Rwanda du Congo», note Jason Stearns À lire aussiEst de la RDC: à quel point le conflit est-il lié aux minerais du sous-sol congolais?
Tous les matins, l'oeil malicieux de Martin Bourdin se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre autour de la machine à café.
À l'occasion de ses 70 ans, Europe 1 vous ouvre sa malle aux trésors tout au long de la saison. Chaque jour avec Laure Dautriche, revivez les grands moments qui ont fait l'histoire de France et celle de notre antenne. Une plongée ludique et instructive dans nos archives, de la création d'Europe 1 en 1955 aux années 2020 en passant par Salut Les Copains ou l'homme sur la Lune. Aujourd'hui, Edith Piaf sur Europe 1.En 2025, Europe 1 célèbre ses 70 ans. 70 ans d'histoire, de rires, de partages et d'émotions.Pour marquer cet anniversaire, découvrez une collection inédite de podcasts : "70 ans d'Europe 1".Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins, l'oeil malicieux de Martin Bourdin se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre autour de la machine à café.
durée : 00:58:47 - Les Grandes Traversées - par : Stéphane Bonnefoi - La puissance nucléaire actuelle représenterait plus de 135 000 fois Hiroshima. Rien n'a donc changé ? Le 22 janvier 2021, le Traité sur l'interdiction des armes nucléaires a été ratifié par une centaine de pays, mais pas les neuf puissances nucléaires, au risque d'un chaos planétaire. - réalisation : Anne Perez
L'Univers nous paraît stable, ordonné, presque figé. Depuis la Terre, tout semble suivre un cycle immuable : les étoiles ne changent pas de place, les planètes tournent paisiblement autour de leur étoile. Mais cette apparente tranquillité est trompeuse. À l'échelle cosmique, tout est mouvement, tension, déséquilibre. Les systèmes qui semblent tenir en équilibre cachent souvent une instabilité profonde, parfois explosive.Dans cette vidéo, on explore la notion de stabilité dans l'espace, en la replaçant dans le contexte des lois physiques fondamentales. De Newton à Kepler, on comprend comment les orbites planétaires peuvent être vues comme des équilibres dynamiques, fragiles mais tenaces. On découvre aussi que la stabilité n'est jamais absolue : elle dépend d'un équilibre de forces et peut être rompue par la moindre variation. C'est le cas du système HIP 67522, où une planète géante déclenche des éruptions stellaires, menaçant sa propre existence.Ce phénomène remet en cause notre vision des systèmes planétaires. Il révèle que même une simple planète peut bouleverser une étoile entière, et que ce qu'on croyait permanent est souvent transitoire. À travers ce système, la science nous invite à revoir nos certitudes : la stabilité n'est peut-être qu'une illusion d'optique, un instant de calme dans un univers fondamentalement instable.
Il y en a qui commentent, il y en a qui likent, et il y en a qui ne font rien. Rien d'autre que regarder. Ni messages, ni partage, les lurkers sur internet sont celles et ceux qui observent. Sur Twitter, Facebook, Instagram, cette majorité sur internet existe par son silence. Elle rigole, elle scrute, elle acquiesce, mais sans jamais le montrer. Le terme lurker provient du verbe to lurk en anglais, qui signifie « se cacher ». Un tweet peut par exemple toucher 500 personnes et ne récolter que 5 likes. Ces spectateurs sont-ils inutiles ? Longtemps considéré comme tel, le lurker est finalement devenu une source d'intérêt pour la communauté scientifique. Qui a cette pratique ? Pourquoi le silence du lurker est-il utile ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Johanna Cincinatis. À écouter aussi : Peut-on vraiment tomber amoureux d'une IA ? Qu'est-ce que le point du mari ? Qu'est-ce que le Bare Minimum Monday, qui empêcherait le burn-out ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion : 21 juin 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Elle avait soigneusement choisi la petite culotte en soie, couleur chair, fine et invisible sous la robe en lin. Mais par ces chaleurs insupportables, la culotte brésilienne était franchement de trop. Rien qu'une envie: quitter la réunion, aller aux toilettes et l'enlever. Une fois là-bas, ne pas résister à la tentation: passer ses doigts sur la moiteur. Apprécier le glissement des doigts, tout en tendresse, tout en finesse... Récit original par Elodie Voix par Supernova (https://www.deferlante.be/vers-le-plaisir/)
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, Charles Consigny et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Malgré un contexte géopolitique sous haute tension, l'économie israélienne affiche des résultats spectaculaires sur les marchés financiers. Portée par un secteur bancaire solide, une industrie de la défense en plein essor et un écosystème technologique résilient, Israël étonne les investisseurs du monde entier. Décryptage. Alors qu'Israël est engagé dans un conflit depuis près de deux ans, la bourse de Tel-Aviv connaît une dynamique sans précédent. L'indice TA-125 a atteint un record historique de 3138 points, avec une progression de 22 % depuis le début de l'année. Le shekel, la monnaie nationale, connaît lui aussi une performance remarquable, sa meilleure depuis plus de vingt ans. Une envolée qui contraste nettement avec la prudence observée sur les places financières européennes ou américaines. Selon Bloomberg, Tel-Aviv affiche une relative sérénité, preuve que les investisseurs font preuve d'une confiance inattendue envers l'économie israélienne. Banques, défense et technologie en ordre de marche Trois secteurs majeurs expliquent en partie cette dynamique. D'abord, le secteur bancaire. Les cinq principales banques israéliennes voient leurs actions bondir de 30 %, dopées par des taux d'intérêt élevés autour de 4,5 %, qui boostent leurs marges et attirent les investisseurs à la recherche de dividendes élevés. Bank Hapoalim, par exemple, vient d'annoncer un bénéfice record de 2,7 milliards de shekels. Ensuite, l'industrie de la défense connaît une croissance fulgurante, avec une hausse de 130 % en un an. Les exportations d'armement israéliennes battent des records, et les récents conflits ont servi de vitrine à des systèmes technologiques éprouvés, comme les boucliers antimissiles qui ont intercepté la quasi-totalité des attaques iraniennes. Enfin, le secteur technologique reste l'un des moteurs de l'économie israélienne. Rien que sur les six premiers mois de 2025, la « start-up nation » a levé 9,3 milliards de dollars, une hausse de 54 % par rapport au semestre précédent. Intelligence artificielle, cybersécurité : les innovations israéliennes, souvent testées en conditions réelles, séduisent les investisseurs internationaux. Une résilience fondée sur la diversification et l'habitude des crises Au-delà des chiffres, la performance de l'économie israélienne s'explique aussi par une résilience structurelle. Les investisseurs locaux, habitués aux tensions géopolitiques depuis des décennies, continuent de miser sur le long terme, convaincus que les chocs sont temporaires et que les fondamentaux économiques restent solides. L'économie israélienne s'est aussi diversifiée. Si la technologie reste un pilier, les secteurs bancaire, de la défense, des assurances et de l'immobilier contribuent, eux aussi, à la croissance. Enfin, paradoxalement, le contexte conflictuel a renforcé la position stratégique du pays. La destruction des capacités nucléaires iraniennes et l'affaiblissement des groupes hostiles ont, aux yeux des investisseurs, rendu Israël plus stable et plus attractif.
Invités : - Gilbert Collard, ancien avocat, et ancien député - Benjamin Morel, constitutionnaliste - Stéphanie Villers, économiste, conseillère économique au cabinet PwC France Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : - Matthias Baccino, auteur de “Devenir riche ça s'apprend” aux éditions Albin Michel Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:23 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Antoine Ravon - Diogène et Héraclite ont écrit. Or, ces deux philosophes grecs de l'Antiquité étaient conscients des limites du discours. Sur ce point, ils se rapprochent des philosophes antiques méfiants de l'écriture. Quels sont les principes des théories de ces deux philosophes ? - réalisation : Nicolas Berger - invités : Etienne Helmer Philosophe, spécialiste de philosophie ancienne.; Heinz Wismann Philologue et philosophe
C'est « le défi de Doha », avec cette interrogation de Jeune Afrique : « Kinshasa et le M23 peuvent-ils trouver un accord ? ». Il y a une semaine, la République démocratique du Congo et le Rwanda ont trouvé un accord, sous la houlette américaine ; à présent, raconte le magazine, « un nouveau round » de discussions va avoir lieu, « cette fois entre les autorités congolaises et les rebelles du M23, que soutient le Rwanda ». Avec un objectif que rappelle Actualité.cd : « aboutir également à la signature d'un accord de paix » pour « mettre fin aux hostilités dans l'est de la RDC ». Une perspective à laquelle le New Times, au Rwanda, ne croit pas vraiment : « aucun texte final n'est prêt à être signé au Qatar, contrairement à ce que prétendent les réseaux sociaux », a affirmé au journal un porte-parole des rebelles. Ces derniers multiplient les prises de parole publique, dont une conférence de presse la semaine dernière au cours, relate Jeune Afrique, ils « ont énoncé une série de ‘mesures de confiance' censées faciliter la suite des discussions » - dit autrement, des doléances pour la suite du processus… L'AFC-M23 « n'a pas l'intention, alors qu'il a eu l'avantage sur le terrain militaire, de subir la discussion », juge une source diplomatique auprès du site spécialisé. Rien n'est encore fait Certes, « les Étasuniens ont forcé tout le monde à jouer carte sur table ». Pour autant, « les deux protagonistes poursuivront-ils dans cette voie ? ». Rien de moins sûr pour Afrique XXI, qui rappelle, pessimiste, que « la réalité a d'autres facettes ». D'autant que, dans l'accord de principe signé la semaine dernière, « aucune mesure contraignante ne semble avoir été prise à l'encontre » de l'AFC-M23, ni pour les forcer à faire preuve de bonne foi, ni sur la gouvernance des territoires conquis, gérés « avec la brutalité d'une force d'occupation ». Et puis, insiste encore le journal, le président congolais Félix Tshisekedi « a besoin d'un succès diplomatique à son actif et les apparences d'un accord pourraient lui suffire ». Des turbulences pour le clan présidentiel Plusieurs proches de Félix Tshisekedi sont attaqués en justice en Belgique. Un dossier « lourd de plus de cinquante pages » raconte l'Observateur Paalga, après le récent rapport d'une ONG dans lequel « il était question d'une prédation du clan Tshisekedi, dont une dizaine de membres posséderaient des exploitations minières au Katanga », explique le journal. « Sale temps pour le régime Tshisekedi ! » renchérit le Pays… Car cette situation, juge le journal « pointe directement du doigt la gouvernance du successeur de Joseph Kabila, qui promettait pourtant de faire dans la rupture ». Un scandale dont le chef d'État se serait bien passé, lui qui « ne sait déjà pas où donner de la tête avec la grave crise sécuritaire dans l'est du pays ». Entre « un contexte sociopolitique continuel conflictuel » et « une gestion jugée chaotique », la situation « n'est guère reluisante… » et à des milliers de kilomètres de là, soupire Afrique XXI, « depuis Bukavu, Goma, Masisi, Kalehe, loin des joutes diplomatiques, un seul cri nous parvient : ‘et nous, maintenant ? qu'allons-nous devenir ?' » À la Une également, la situation tragique au Darfour En un peu plus de deux ans de guerre au Soudan, le conflit a déplacé 11,3 millions de personnes, et les camps de déplacés sont surchargés. Particulièrement donc le Darfour du nord, qui « abrite 18% du nombre total de personnes déplacées » du pays, explique le Monde Afrique. Les besoins en nourriture, énormes, sont difficilement satisfaits : « l'acheminement de l'aide jusqu'au Darfour est un véritable défi logistique. Les chaînes d'approvisionnement évoluent avec le déplacement de la ligne de front », mais aussi au gré des autorisations de transit, et des blocages des routes. Et, ajoute le quotidien, « à l'urgence alimentaire s'ajoute le risque sanitaire », car la surpopulation des camps « favorise la propagation des maladies » avec le risque notamment d'une épidémie de choléra. Et pour encore compliquer la situation, il y a le « manque de protection apporté aux infrastructures de santé » et « la diminution de l'aide publique au développement ». D'ici la fin de l'été, conclut le Monde, « le programme alimentaire mondial prévoit la rupture de plusieurs canaux d'approvisionnement », aggravant encore ce qui ne peut plus qu'être appelé « une tragédie humanitaire ».
En 1911, le linguiste Ferdinand Brunot a créé, avec le soutien de la firme Pathé, les Archives de la parole qui viennent de rentrer dans le Régistre «Mémoires du Monde» de l'UNESCO. Le 3 juin 1911, le linguiste Ferdinand Brunot inaugurait ce que nous appelons aujourd'hui les Archives de la Parole. Des centaines d'enregistrements qui témoignent du parler de ce début du XXè siècle. L'idée étant de conserver les cultures orales grâce à l'enregistrement phonographique. Ce fonds, qui a permis de créer l'une des premières patrimonialisations du son en France, vient d'être inscrit au registre international Mémoire du monde de l'UNESCO. Comment ces sons ont-ils été enregistrés et recensés ? À qui sert-il ? De quoi est-il composé ? Quelque 3 000 enregistrements sont numérisés et archivés. Rien n'aurait pu se faire sans le partenariat entre la Sorbonne et la firme Pathé. À l'origine, les enregistrements étaient réalisés sur des cylindres de cire qui servaient de matrice et qui étaient envoyés dans les usines Pathé, à Chatou, pour être pressés et gravés sur des 78 tours. C'était une véritable innovation technique pour l'époque dont s'était emparé le linguiste qui y a vu une véritable opportunité pour légitimer l'oralité et la langue parlée. Il s'est inspiré de l'expérience du Phonogrammarchiv de Vienne (1899). Les contraintes techniques sur ces supports imposaient 2 à 3 minutes d'enregistrement, ce qui correspondait à chaque face d'un 78 tours. Les sons récoltés allaient du français parlé aux dialectes, patois et langues régionales. L'objectif était d'avoir une amplitude suffisamment large pour rendre compte des évolutions de la langue et des façons de parler. On y trouve des dialogues, mais aussi des fables, des chants ou des contes. Les enregistrements se faisaient à la Sorbonne ou sur le terrain et à l'époque, les gens n'étaient pas habitués à entendre leur propre voix ! On y trouve aussi des voix célèbres enregistrées (Guillaume Apollinaire, Alfred Dreyfus) et des langues étrangères avec des locuteurs de passage à Paris. C'est le début d'une prise de conscience de ce qu'est un patrimoine immatériel et qui reste encore aujourd'hui un objet de recherche vivant. Aujourd'hui, la DGLFLF documente les langues parlées en France de nos jours avec l'initiative «Écouter parler». Ferdinand Brunot (1860-1936) était un linguiste, grammairien et historien de la langue française. Il a été professeur au Collège de France. Il est connu pour avoir dirigé la monumentale Histoire de la langue française en neuf tomes. Spécialiste de la phonétique et des évolutions linguistiques en France, il a contribué à institutionnaliser les études de linguistiques en France. Il a fondé les Archives de la Parole en 1911. Il fut un pionnier dans la collecte d'enregistrements sonores à des fins scientifiques. Il était aussi un homme très engagé politiquement, en ce qui concernait les droits de l'homme, républicain, héritier des Lumières, défenseur de Dreyfus. Invité : Fabrice Menneteau, responsable du service son, vidéo et multimédia au sein de la BNF (Bibliothèque nationale de France). Programmation musicale : L'artiste Claire Diterzi avec le titre Fille de.
En 1911, le linguiste Ferdinand Brunot a créé, avec le soutien de la firme Pathé, les Archives de la parole qui viennent de rentrer dans le Régistre «Mémoires du Monde» de l'UNESCO. Le 3 juin 1911, le linguiste Ferdinand Brunot inaugurait ce que nous appelons aujourd'hui les Archives de la Parole. Des centaines d'enregistrements qui témoignent du parler de ce début du XXè siècle. L'idée étant de conserver les cultures orales grâce à l'enregistrement phonographique. Ce fonds, qui a permis de créer l'une des premières patrimonialisations du son en France, vient d'être inscrit au registre international Mémoire du monde de l'UNESCO. Comment ces sons ont-ils été enregistrés et recensés ? À qui sert-il ? De quoi est-il composé ? Quelque 3 000 enregistrements sont numérisés et archivés. Rien n'aurait pu se faire sans le partenariat entre la Sorbonne et la firme Pathé. À l'origine, les enregistrements étaient réalisés sur des cylindres de cire qui servaient de matrice et qui étaient envoyés dans les usines Pathé, à Chatou, pour être pressés et gravés sur des 78 tours. C'était une véritable innovation technique pour l'époque dont s'était emparé le linguiste qui y a vu une véritable opportunité pour légitimer l'oralité et la langue parlée. Il s'est inspiré de l'expérience du Phonogrammarchiv de Vienne (1899). Les contraintes techniques sur ces supports imposaient 2 à 3 minutes d'enregistrement, ce qui correspondait à chaque face d'un 78 tours. Les sons récoltés allaient du français parlé aux dialectes, patois et langues régionales. L'objectif était d'avoir une amplitude suffisamment large pour rendre compte des évolutions de la langue et des façons de parler. On y trouve des dialogues, mais aussi des fables, des chants ou des contes. Les enregistrements se faisaient à la Sorbonne ou sur le terrain et à l'époque, les gens n'étaient pas habitués à entendre leur propre voix ! On y trouve aussi des voix célèbres enregistrées (Guillaume Apollinaire, Alfred Dreyfus) et des langues étrangères avec des locuteurs de passage à Paris. C'est le début d'une prise de conscience de ce qu'est un patrimoine immatériel et qui reste encore aujourd'hui un objet de recherche vivant. Aujourd'hui, la DGLFLF documente les langues parlées en France de nos jours avec l'initiative «Écouter parler». Ferdinand Brunot (1860-1936) était un linguiste, grammairien et historien de la langue française. Il a été professeur au Collège de France. Il est connu pour avoir dirigé la monumentale Histoire de la langue française en neuf tomes. Spécialiste de la phonétique et des évolutions linguistiques en France, il a contribué à institutionnaliser les études de linguistiques en France. Il a fondé les Archives de la Parole en 1911. Il fut un pionnier dans la collecte d'enregistrements sonores à des fins scientifiques. Il était aussi un homme très engagé politiquement, en ce qui concernait les droits de l'homme, républicain, héritier des Lumières, défenseur de Dreyfus. Invité : Fabrice Menneteau, responsable du service son, vidéo et multimédia au sein de la BNF (Bibliothèque nationale de France). Programmation musicale : L'artiste Claire Diterzi avec le titre Fille de.
L'émission 28 minutes du 10/07/2025 La chorégraphe Blanca Li nous immerge dans le Bal de ParisChorégraphe, danseuse, réalisatrice, metteuse en scène et aujourd'hui présidente de la Grande Halle de la Villette, Blanca Li n'a jamais cessé d'élargir le champ du possible. Son œuvre est une œuvre du mouvement, au sens propre comme au figuré. Née à Grenade, formée à New York chez Alvin Ailey et Martha Graham, elle mêle flamenco, hip-hop, danse baroque, ballet classique, robots et réalité virtuelle dans un travail jubilatoire et sans frontières. Fondatrice de sa compagnie en 1992, elle impose dès "Macadam Macadam" une danse urbaine sur scène, puis enchaîne avec "Al Andalus", "Elektrik", "Robot", ou encore "Le Jardin des Délices". Artiste populaire et pionnière, elle signe aussi des clips pour Daft Punk ou Beyoncé, des défilés pour Jean-Paul Gaultier et des comédies musicales pour les Folies Bergère. Première femme chorégraphe élue à l'Académie des Beaux-Arts, elle a parfois dérouté par son éclectisme assumé, mais toujours ouvert des voies nouvelles. Son actualité : le retour du "Bal de Paris", bal masqué en réalité virtuelle, récompensé à la Mostra de Venise, est à découvrir du 21 septembre au 2 novembre à la Seine Musicale. Un moment d'extase collective où le spectateur devient danseur. L'avion moins cher que le train : faut-il payer plus cher l'aérien ?Avec plus de 12 millions de billets vendus pour juillet et août, la SNCF s'attend à un été record. Rien que pour le premier grand week-end des vacances, 1,3 million de voyageurs étaient attendus à bord de 2 400 trains TGV, Ouigo et Intercités. Mais si le train séduit toujours, il reste souvent plus cher que l'avion pour voyager en Europe. Une étude conjointe de Greenpeace, UFC-Que Choisir et Réseau Action Climat révèle qu'un billet de train coûte en moyenne 2,6 fois plus cher qu'un billet d'avion pour des trajets européens. Un paradoxe, alors que les épisodes caniculaires de ce début d'été rappellent l'urgence climatique. Faut-il rendre l'avion plus cher pour inciter à des choix plus écologiques ? Enfin, Théophile Cossa nous parle du trafic de drogue sous marin et Marjorie Adelson s'intéresse à l'essor des espaces strictement féminins, en Chine.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 10 juillet 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
durée : 00:58:14 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Antoine Ravon - Épictète était fondamentalement un enseignant. Il s'agit pour lui d'aider les autres à devenir plus sages sans laisser de trace écrite. Était-ce parce que le corpus stoïcien était déjà largement constitué à son époque ? - réalisation : Nicolas Berger - invités : Frédérique Ildefonse Directrice de recherche au CNRS, rattachée au laboratoire d'anthropologie sociale; Alain Petit Membre du PHIER à l'université Clermont-Auvergne
Louise : Je suis trop contente ! Ce soir, c'est la soirée d'été de mon boulot. C'est sympa de se retrouver avant que tout le monde parte en vacances.Julien : Ah ouais, t'as trop de chance ! Nous, dans ma boîte, on n'a même pas pris le temps d'aller boire un verre entre collègues.Louise : Franchement, c'est dommage. Ça aide vraiment à mieux connaître les gens, et après, ça change l'ambiance au boulot !Julien : Honnêtement, même si je m'entendais avec personne, j'serais quand même venu. Rien que pour la nourriture gratos et un peu de musique, ça vaut le coup ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 8 juillet 2025 : Noémie Schulz, grand reporter au service police-justice de France Télévisions.Le 8 juillet 2023, il y a tout juste deux ans, disparaissait Emile, deux ans, dans un hameau des Alpes-de-Haute-Provence. "Rien ne nous aura été épargné" depuis la disparition tragique d'Emile, ont déploré mardi ses parents, dénonçant le rôle des "médias" et des "réseaux" dans une rare prise de parole."Cela fait deux ans que la disparition d'Emile a déchiré nos vies, que le sol s'est dérobé sous nos pieds et que nous avons été noyés dans l'angoisse", écrivent Marie et Colomban Soleil, dans un communiqué transmis aujourd'hui par leur avocat. "Nous avons vu étalés et décryptés nos visages, notre passé, nos parcours, nos opinions politiques réelles ou fantasmées, notre foi catholique, nos habitudes, nos qualités, nos défauts, ceux de nos chères familles, de nos amis", déplorent-ils. Emile était arrivé la veille de sa disparition pour les vacances chez ses grands-parents maternels, dans leur résidence secondaire du Haut-Vernet, un hameau perché à 1.200 m d'altitude dans les Alpes-de-Haute-Provence. Pendant neuf mois, et malgré plusieurs jours de battues et ratissages, l'enquête sur sa disparition ne donne rien de concret, jusqu'à la découverte fortuite, le 30 mars 2024 par une promeneuse, du crâne et de dents de l'enfant, à environ 1,7 km du hameau. Lors de sa dernière conférence de presse le 27 mars dernier, le procureur avait révélé qu'Emile avait été victime d'un "traumatisme facial violent", évoquant "la probable intervention d'un tiers". Il avait également précisé que la piste familiale n'était "pas refermée".Noémie Schulz, grand reporter au service police-justice de France Télévisions, fera avec nous le point sur l'enquête sur la mort d'Emile, et reviendra sur le déroulé des investigations.
durée : 00:19:09 - 8h30 franceinfo - Le PDG du groupe Aéroports de Paris (ADP) était l'invité du "8h30 franceinfo", mercredi 9 juillet 2025. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:58:28 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Antoine Ravon - Socrate, qui n'a jamais écrit, critique l'écriture pour sa rigidité et sa tendance à inhiber le dialogue. Comment transmettre la pensée de Socrate à travers des écrits, alors qu'il rejetait l'écriture comme moyen de vérité philosophique ? - réalisation : Nicolas Berger - invités : Nicolas Zaks Chargé de recherches en philosophie ancienne à l'Université Libre de Bruxelles; Sandrine Alexandre Agrégée et docteure en philosophie, rattachée à l'IRePh de Nanterre, spécialiste de philosophie ancienne.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Joëlle Dago-Serry et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Dans ce mini épisode du Sans Filtre : On réagit à vos « hot takes ». On débat sans préparation, on se contredit, on se convainc… et on rit de tout ! Prépare-toi à entendre des opinions bien franches sur la route, la parentalité, les influenceurs et même Game of Thrones. Au programme : - Les road trips sont-ils vraiment overrated ? - Influenceur : un vrai job ou une joke ? - Faut-il encore faire des enfants en 2025 ? - Carry-on vs valise enregistrée : le débat inutile mais essentiel - Les sports pros sont-ils trop payés ?
durée : 00:58:32 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Antoine Ravon - Plus qu'une simple défiance vis-à-vis de l'écriture, le pyrrhonisme se méfie du langage, dans sa capacité à dire le réel. Comment peut-on recomposer une pensée qui refuse de s'inscrire dans les cadres figés de l'écriture ? - réalisation : Nicolas Berger - invités : Thomas Bénatouïl Professeur d'histoire de la philosophie antique à l'Université de Lille et membre de l'UMR Savoirs, Textes, Langage; Carlos Lévy Professeur émérite de littérature et philosophie romaine à l'université de Paris Sorbonne, membre de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres
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Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Les proches de l'écrivain franco-algérien attendaient, espéraient, et pourtant : pas de grâce présidentielle pour Boualem Sansal, ce week-end, à l'occasion de l'anniversaire de l'indépendance algérienne. Et ce, quelques jours après que l'auteur a été condamné à cinq ans de prison ferme. Rien d'étonnant, pour Tout sur l'Algérie, qui rappelle que « en vertu du droit algérien, la grâce présidentielle est accordée uniquement aux détenus définitivement condamnés », ce qui n'est pas le cas de l'écrivain, puisqu'il peut se pourvoir en cassation, même s'il a annoncé ne pas le faire. Dans ce cadre, s'interroge Le Monde Afrique, la réaction d'Alger est-elle « une posture de défi » vis-à-vis de la France, qui réclame depuis huit mois la libération de Boualem Sansal, ou est-ce plutôt « une affaire de calendrier renvoyant l'inévitable élargissement [de l'auteur] à une date plus opportune ? » C'est cette deuxième hypothèse que privilégie le quotidien, même si, admet Le Monde, les autorités algériennes « se sont bien gardées d'éclairer sur leurs arrière-pensées ». Et le quotidien va même plus loin : « Tout conduit à penser, veut-il croire, qu'Alger veut crever l'abcès diplomatique, (…) une tâche sur l'image du pays et un carburant idéal » pour les « campagnes anti-algériennes » en vogue dans certains milieux politiques. Mais ce n'est pas la théorie majoritaire dans les médias Le Monde avertissait pourtant : il faut analyser la situation « sans céder à l'illusion » d'un « prétendu acharnement contre l'écrivain ». Mais rien n'y fait : pour Le Point Afrique par exemple, les événements de ces derniers jours marquent rien de moins qu'une « nouvelle étape dans l'affrontement structurel entre la France et l'Algérie », qui se cristalliserait autour de Boualem Sansal et d'un président Tebboune aux airs « d'empereur qui baisse ou lève le pouce dans l'arène d'el Mouradia, faisant ainsi savoir le destin de son prisonnier ». Le Monde a beau rappeler que le régime algérien « est un point d'équilibre précaire et fluctuant » entre l'administration, l'armée et les services, que l'opinion est « hostile » à l'écrivain… Le Point persiste : on serait désormais, selon l'hebdomadaire, dans un « affrontement total » et « frontal ». De quoi donner de l'eau au moulin de Tout sur l'Algérie, qui accuse la droite française de « reprendre [ses] attaques virulentes » contre le pays, malgré une méthode qui « a montré ses limites et qui a contribué à éloigner tout apaisement entre les deux pays ». Qu'importe, pour le Point, c'est certain : « L'affaire Sansal ne fait que commencer. » Dit autrement, et pour reprendre les termes du 360 au Maroc : on est encore loin de la « suite et fin » de cette affaire aux airs de « suite sans fin ». Quel sort pour les familles « déguerpies » en Côte d'Ivoire ? À quelques mois de l'élection présidentielle, l'opposition s'est saisie de cette question. L'occasion pour Jeune Afrique de s'y pencher, dans un long reportage en périphérie d'Abidjan. Ces derniers temps, les opérations de déguerpissement ont été monnaie courante en périphérie de la capitale économique, jusqu'à, rappelle le magazine, « susciter des tensions au sein du RHDP, le parti au pouvoir », en raison « du manque de concertation avec les élus locaux, de la violence des moyens employés, et la plupart du temps, de l'absence de compensation financière ou de relogement » des concernés. Sans que l'on sache, d'ailleurs, leur nombre exact : les autorités parlent de plus de 8 500 ménages affectés, la société civile table plutôt sur 20 000 foyers, écrit le magazine. Au-delà de la méthode, ces évacuations forcées posent une question, insiste Jeune Afrique : celle de « l'aménagement d'Abidjan », particulièrement en pleine saison des pluies, alors que les images de rues inondées fleurissent sur les réseaux sociaux. C'est d'ailleurs l'argument mis en avant par les autorités, celui de la salubrité et des dangers posés par les habitations de fortune : « On peut dire que [ces opérations] sont méchantes, mais je les préfère vivants que morts », assène ainsi une ministre.
Invité : - Julien Odoul, porte-parole du RN et député de l'Yonne Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:47 - Les Grandes Traversées - par : Stéphane Bonnefoi - La puissance nucléaire actuelle représenterait plus de 135 000 fois Hiroshima. Rien n'a donc changé ? Le 22 janvier 2021, le Traité sur l'interdiction des armes nucléaires a été ratifié par une centaine de pays, mais pas les neuf puissances nucléaires, au risque d'un chaos planétaire. - réalisation : Anne Perez
durée : 00:16:06 - 8h30 franceinfo - Le député de l'Yonne, porte-parole du Rassemblement national, était l'invité du "8h30 franceinfo", dimanche 6 juillet 2025. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
À l'époque, je flirtais avec une collègue via messagerie. Rien à voir avec les systèmes actuels, oh non. C'était plus lent, moins direct, le jeu était d'autant plus excitant. On échangeait des messages ambigus, provocants, jusqu'au jour où je lui ai lancé un défi... Récit original par Alain Voix par Supernova (https://www.deferlante.be/)
Cécile Papillon est comédienne, metteuse en scène, danseuse, pédagogue de l'expression. Elle a fondé le Théâtre des Pépites à Rennes, où elle propose notamment la formation de comédiens, la mise en scène de pièces classiques et contemporaines, et des ateliers pour enfants, pour adultes et pour les personnes en situation de fragilité. Nous avons rencontré Cécile Papillon la veille de son départ pour le Festival Off d'Avignon. Depuis hier, et jusqu'au 26 juillet de ce mois, elle y interprète En un battement de cils. Cette pièce est son adaptation pour le théâtre de deux textes majeurs de Christiane Singer, Où cours-tu, Ne sais-tu pas que le ciel est en toi ? et Éloge du mariage, de l'engagement et autres folies. « L'amour de l'amour...cette folie, dont je n'ai jamais voulu être soulagée... » À elle seule, cette fameuse citation de Christiane Singer et reprise par Cécile Papillon, exprime le coeur du message de sa pièce. Folie ou transcendance ? L'amour amoureux peut être l'un ou l'autre et parfois les deux à la fois. Ardente et inspirée, Cécile Papillon traverse des sujets difficiles, comme celui de l'engagement, de la fidélité, des peurs, des risques à prendre, des rencontres « coup de foudre » et de la passion amoureuse qui peuvent survenir à tous les moments de la vie. Seul un battement de cils suffit… Puisant sa création dans les traditions spirituelles et artistiques d'Orient et d'Occident, Cécile nous invite à accueillir et à vivre avant tout la passion de la vie. Avec grâce et talent, Cécile exalte l'amour amoureux, celui de la relation fusionnelle avec l'autre : La quête la plus précieuse, la plus incarnée et la plus divine à la fois, mais aussi la plus difficile et souvent la plus blessée. Elle nous transmet le feu qui l'habite, et qui ressemble tant à celui de Christiane Singer. Près de vingt ans après son départ, ce feu brûle toujours aussi fort. Pour aller voir En un battement de cils, la pièce de théâtre de Cécile Papillon qu'elle interprète à la Chapelle de L'Oratoire, au Festival d'Avignon jusqu'au 26 juillet, cliquer ici. -------------- Pour découvrir le Théâtre des Pépites, créé et animé par Cécile Papillon, cliquer ici. LA FLAMME ET LA VAGUE Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Cécile Papillon, l'invitée de l'épisode que nous diffusons dès aujourd'hui, nous parle de l'amour amoureux avec les mots et l'esprit de Christiane Singer. Ce qu'elle appelle « l'amour de l'amour », qui est à la fois transcendance et folie, c'est la relation à l'autre la plus sublime, la plus espérée, la plus attendue, mais aussi, trop souvent, la plus douloureuse et la plus meurtrie. Nous sommes heureux de consacrer enfin un épisode entier de Zeteo à l'amour Eros. C'est un sujet ô combien brûlant, subtil et profond, mystérieux et envoûtant. Il fallait, pour cela, la flamme d'une femme ardente habitée par une fougue qui ressemble à celle de Christiane Singer. Ce sujet à la fois si beau et si complexe avait déjà été abordé ici, notamment lors des épisodes avec Éric-Emmanuel Schmitt. Cette fois, il est magnifié, exalté et exploré par Cécile Papillon, une femme à la fois passionnée, inspirée et courageuse. C'est tout ce qu'il faut, car ce n'est pas un sujet facile. Notre civilisation fortement influencée par les grecs nous a apprit qu'il y aurait trois amours : Agape, Philia et Eros. Les deux premiers, qui font souvent l'objet de nos épisodes, semblent plus évidents. Les riches sagesses humaines et leurs enseignements foisonnent et nous aident à les découvrir. Avec l'amour Eros, nous tâtonnons. Et c'est peut-être mieux ainsi. Nous croyons que c'est parce que l'amour de l'amour ne peut être étudié. Il ne peut-être que vécu et raconté par ceux qui ont le talent de l'exprimer. C'est là où l'Art prend toute sa place. Au cours de notre échange avec Cécile, notamment dans la beauté de ses silences et du souffle profond qui est en elle, nous avons remarqué que souvent, les mots manquaient. Et c'est bien aussi. Rien ne vaut l'expérience de la rencontre vécue. C'est pour cela que nous invitons ceux d'entre vous qui le peuvent, d'aller vivre En un battement de cils, la pièce que Cécile Papillon interprète au Festival d'Avignon depuis hier et jusqu'au 26 juillet. (voir le lien juste au-dessus de ce texte). Vous vivrez certainement un grand moment, une initiation à l'amour de l'amour, en rencontrant Cécile et, aussi, la présence vibrante de Christiane Singer. À la veille de son départ pour Avignon, nous avons eu la joie de rencontrer Cécile Papillon à Saint-Malo. En ce dernier jour de juin, qui était peut-être le plus chaud de toute l'histoire de la cité corsaire, elle avait fait le choix de quitter le manque d'air qui asphyxiait sa ville de Rennes. Cécile est allée se plonger dans la mer avant l'enregistrement. Elle avait encore les cheveux mouillés quand celui-ci a commencé. Avait-elle senti la nécessité de ce passage dans l'eau, avant de nous parler du feu de l'amour comme elle l'a fait ? Ouvrons-nous à la flamme qui est en chacun de nous, et à la vague, celle qui unit les millions de gouttes d'eau que nous sommes chacun. Zeteo n'a pas fini d'explorer les mystères de l'amour et de son incarnation. Vous le découvrirez la semaine prochaine avec Carole, dans un épisode qui marquera une étonnante continuité avec celui d'aujourd'hui. Et les semaines suivantes aussi. Pour poursuivre ensemble cet été, et continuer sa mission, Zeteo doit aussi relever ses défis hebdomadaires. Quand tous nos contenus sont accessibles entièrement gratuitement, chaque épisode est un coût. Nous sommes dans une saison où nous ne cessons pas notre activité, mais où souvent les dons cessent. Nous faisons appel à tous ceux qui le peuvent de soutenir notre effort. Nous remercions ceux qui ont contribué, et ceux qui vont le faire maintenant. Bel été à tous, Guillaume Devoud Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAsso Nous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 116 boulevard Suchet, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Bethesda, cliquer ici. 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durée : 00:07:47 - L'invité de 7h50 du week-end - Emprisonné depuis plus de sept mois, l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, dont les proches espéraient une grâce à l'occasion de la fête de l'indépendance de l'Algérie ce 5 juillet, reste dans l'attente d'un potentiel geste de clémence. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce vendredi 4 juillet, l'aveu de Donald Trump qui dit n'avoir fait aucun progrès durant son rencontre avec Vladmir Poutine concernant le conflit en Ukraine a été abordé par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Et si ton plus grand mal-être relationnel venait d'un malentendu ? Tu crois que les gens te doivent leur présence, leur fidélité, leur réciprocité. Mais l'amitié n'est pas un dû. C'est un cadeau, une grâce et un choix libre.Dans cet épisode, on déconstruit une mentalité qui sabote les relations : celle de l'attente silencieuse, des comptes qu'on tient, des déceptions qui s'accumulent. Et si tu reprenais ta liberté intérieure en changeant ton regard sur tes liens ?Ce que tu vas découvrir :Pourquoi attendre des autres ce qu'ils ne promettent jamais t'épuiseComment vivre une amitié sans exigence, mais pas sans profondeurCe que Jésus nous enseigne, Lui qui n'a jamais imposé l'amourComment passer de la frustration à la gratitude dans tes relationsCe message est une invitation à revoir tes fondations relationnelles, pas pour aimer moins mais pour aimer plus librement, plus sainement, et plus en paix.
durée : 00:58:02 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Antoine Ravon - Il y a ces penseurs qui se sont rendus en URSS, en Chine et en Allemagne, sans trop comprendre ce qu'il s'y passait vraiment. Comment expliquer cet aveuglement, alors que d'autres ne se sont pas laissés illusionner ? - réalisation : Riyad Cairat - invités : Cécile Vaissié Professeure en études russes et soviétiques à l'université Rennes 2. Spécialiste de l'histoire des intellectuels en URSS et des politiques d'influence soviétiques et russes; François Hourmant Professeur de science politique à l'université d'Angers; Jérôme Prieur Cinéaste et écrivain
C dans l'air du 2 juillet 2025 - Trump lâche l'Ukraine, Poutine avance ses pions - Alors que Donald Trump reste, depuis des semaines, ambivalent sur l'avenir de l'aide militaire à l'Ukraine, la Maison-Blanche a annoncé mardi avoir suspendu la livraison de certaines armes à Kiev. Une décision motivée, selon plusieurs médias américains, par les inquiétudes du Pentagone concernant le niveau des stocks de munitions de l'armée américaine.Parmi les équipements concernés figurent les systèmes de défense aérienne Patriot, l'artillerie de précision et les missiles Hellfire. Cette décision intervient alors que la Russie intensifie ses frappes. Rien que le week-end dernier, plus de 530 drones et missiles se sont abattus sur le territoire ukrainien. La défense antiaérienne en a intercepté la moitié. Les autres ont visé plusieurs villes, dont Kiev.L'Ukraine a déclaré mercredi ne pas avoir reçu de notification officielle de la part des États-Unis. "Nous sommes en train de clarifier la situation", a précisé Dmytro Lytvyne, conseiller de Volodymyr Zelensky. Il a assuré que les discussions avec Washington se poursuivent "à tous les niveaux".Le Kremlin, lui, a salué cette annonce. "Moins il y a d'armes livrées à l'Ukraine, plus proche est la fin de l'opération militaire spéciale", a déclaré Dmitri Peskov, porte-parole de Vladimir Poutine.Sur un autre front, Donald Trump a affirmé mardi sur son réseau social que l'État d'Israël a accepté un cessez-le-feu de 60 jours dans la bande de Gaza. Il espère "travailler avec toutes les parties pour mettre fin à la guerre" et met la pression sur le Hamas pour qu'il accepte cet accord, déclarant : "La situation ne s'améliorera pas — ELLE NE FERA QU'EMPIRER". Cette déclaration intervient alors que le ministre israélien des Affaires stratégiques, Ron Dermer, était en visite à Washington, en amont de la venue du Premier ministre Benyamin Netanyahou prévue lundi. Trump a aussi mentionné une rencontre bilatérale imminente avec l'Iran, sans en dévoiler les détails. Pendant ce temps, les interrogations persistent sur l'impact réel des récentes frappes américaines contre les installations nucléaires iraniennes.Selon le Washington Post, des échanges interceptés entre responsables iraniens laisseraient entendre que les dommages sont limités. De son côté, Donald Trump affirme que le programme nucléaire iranien a été "complètement anéanti". Les responsables américains se veulent plus prudents : l'évaluation complète des dégâts prendra du temps. D'autant plus que Téhéran a suspendu toute coopération avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui n'a désormais plus accès aux sites nucléaires du pays. Selon l'agence onusienne, l'Iran pourrait relancer son programme d'enrichissement d'uranium d'ici à "quelques mois".En parallèle, Donald Trump s'est livré à une nouvelle attaque verbale contre Elon Musk, n'excluant pas d'expulser du pays le patron de Tesla, naturalisé américain en 2002, et le renvoyer vers son pays d'origine : l'Afrique du Sud. Il a aussi évoqué la possibilité que la Commission pour l'efficacité gouvernementale (DOGE) – créée par et pour Elon Musk afin de réduire les dépenses fédérales – puisse se retourner contre son ex-directeur et remettre en question les fonds publics investis dans ses entreprises, notamment dans le domaine spatial.LES EXPERTS :- Anthony BELLANGER - éditorialiste à France Info TV, spécialiste des questions internationales- Nicole BACHARAN - historienne, spécialiste des Etats-Unis et également éditorialiste chez Ouest France- Isabelle LASSERRE - correspondante diplomatique pour Le Figaro- Général Jean-Paul PALOMÉROS - ancien chef d'état-major et ancien commandant suprême de la transformation de l'OTAN
En juin 2018, à Mourmelon-le-Grand dans la Marne, Kévin Chavatte, 17 ans, est avec sa petite amie Océane dans un parc public. Un homme surgit et lui assène 34 coups de couteau, avant de le laisser mort et de s'enfuir.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En juin 2018, à Mourmelon-le-Grand dans la Marne, Kévin Chavatte, 17 ans, est avec sa petite amie Océane dans un parc public. Un homme surgit et lui assène 34 coups de couteau, avant de le laisser mort et de s'enfuir.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En juin 2018, à Mourmelon-le-Grand dans la Marne, Kévin Chavatte, 17 ans, est avec sa petite amie Océane dans un parc public. Un homme surgit et lui assène 34 coups de couteau, avant de le laisser mort et de s'enfuir.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On est en 2001. Dans une salle de réunion chez Apple, les ingénieurs présentent à Steve Jobs ce qu'ils pensent être une petite révolution : le tout premier iPod. Compact, élégant, déjà révolutionnaire pour l'époque. Un petit bijou de technologie.Jobs regarde l'objet. Il le tourne, l'examine en silence, le pèse dans sa main.Les ingénieurs sont confiants :— "C'est le plus petit qu'on puisse faire, Steve. Il n'y a plus un millimètre de place dedans."Silence. Puis, sans dire un mot, Steve Jobs se lève, marche jusqu'à un aquarium installé dans la pièce, et… laisse tomber le prototype dedans.Un ploc.Des bulles remontent à la surface.Et Jobs de déclarer, calmement :— "Vous voyez ces bulles ? Ça veut dire qu'il y a encore de l'air. Donc de la place. Faites-le plus petit."Cette scène est devenue légendaire. Elle résume à elle seule l'esprit Jobs : aucune limite, aucun compromis, aucune zone de confort. Ce n'était jamais assez fin, assez rapide, assez simple. Il fallait toujours pousser plus loin.Mais… est-ce que cette histoire est vraie ? Rien n'est moins sûr.Elle a été rapportée dans plusieurs livres sur Apple, mais aucun ingénieur n'a jamais confirmé y avoir assisté. Pas de témoin direct. Pas de preuve. Une belle histoire, oui. Mais sans source solide.En revanche, ce qu'on sait avec certitude, c'est que Steve Jobs raisonnait de cette manière. De nombreux témoignages confirment qu'il demandait sans cesse à ses équipes de refaire ce qu'elles pensaient impossible. Il détestait les limites techniques, les phrases du type "on ne peut pas faire mieux".Alors, que ce geste dans l'aquarium ait eu lieu ou non, peu importe. Il symbolise parfaitement l'exigence radicale de Steve Jobs, et la culture Apple de l'époque.Le mythe vaut presque autant que le fait. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.