POPULARITY
Categories
durée : 00:11:11 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - La loi Forni votée en 1982 mettait fin au délit d'homosexualité qui avait été la règle depuis 40 ans. Jusqu'alors en effet, la loi en vigueur datait du régime de Vichy, signée de la main même du maréchal Pétain, le 6 août 1942. - invités : Florence TAMAGNE - Florence Tamagne : Maîtresse de conférences à l'Université de Lille 3 - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cet épisode, on découvre Thomas, développeur No-Code… mais aussi consultant en gestion de crise. Un double univers qu'il rêve d'allier, car pour lui, le No-Code peut et doit s'intégrer partout, y compris dans les situations les plus sensibles.Il raconte son atelier à la Grande Journée : un serious game grandeur nature où les participants ont vécu une cyberattaque fictive, avec cellule de crise, pressions internes, fausses alertes et un faux hacker créé spécialement pour l'occasion. Une mise en situation immersive, drôle et instructive.On parle aussi des bons réflexes en cas de cyberattaque, de la résilience opérationnelle, des outils à connaître, mais aussi de son plaisir à développer des apps (Bubble, TimeTonic…) et à participer aux défis du Cercle des Ops.Enfin, Thomas partage ce que lui a apporté la Grande Journée : motivation, envie de revenir aux meet-ups, et la certitude que la communauté No-Code reste un lieu d'échanges précieux.Un épisode captivant, concret et plein d'humanité.https://www.linkedin.com/in/thomas-scorticati/https://www.cercledesops.io/
Aujourd'hui, nous nous penchons sur le genre de connaissance idéale pour briller lors des repas de famille en cette fin d'année, surtout quand l'oncle Gérard se plaindra que son transfert de photos de vacances prend des plombes, ou que sa souris sans fil fonctionne mal.La solution se trouve peut-être juste sous vos yeux, dans une simple touche de couleur.Car oui, les couleurs de vos ports USB ne sont pas là pour faire joli. Elles constituent un code secret standardisé qu'il est urgent de déchiffrer.La vitesse = la couleurCommençons par le constat de base. On a souvent l'impression que l'USB est une connectique universelle et interchangeable. C'est vrai pour la forme, mais absolument faux pour la performance.Si vous avez déjà remarqué qu'un périphérique réagissait mieux sur la prise de gauche que sur celle de droite, ce n'est pas une hallucination.Leur architecture interne peut varier du tout au tout en matière de débit de données et de fourniture d'énergie. C'est là que le code couleur entre en jeu pour vous guider instantanément, sans avoir à fouiller dans le manuel technique.Analysons maintenant ce code couleur pour comprendre ce qu'il cache.Analyse des anciens standardsTout commence avec les anciens standards.Si vous voyez un port blanc, c'est de l'USB 1, l'ancêtre, limité à 12 mégabits par seconde.S'il est noir, c'est de l'USB 2.0, très courant pour les claviers et souris, avec un débit de 480 mégabits. C'est suffisant pour de la bureautique, mais c'est là qu'il ne faut surtout pas brancher votre disque dur externe si vous êtes pressé.Pour la vitesse, cherchez le bleu. Cette couleur signale l'arrivée de l'USB 3.0 et du "SuperSpeed". Ici, on change de dimension avec un débit qui grimpe à 5 Gigabits par seconde, soit plus de dix fois la vitesse du port noir.Si le port est turquoise, c'est encore mieux; c'est de l'USB 3.1 à 10 Gigabits.Enfin, le Graal pour les transferts lourds, c'est le port rouge. Il indique souvent de l'USB 3.2, capable d'atteindre jusqu'à 20 Gigabits par seconde.Mais l'astuce qui vous fera passer pour un expert auprès de vos proches concerne l'énergie.Rouge ou orange ? Toujours actif !Avez-vous déjà vu des ports jaunes ou oranges ? Ces ports ont une particularité géniale. Ils sont "toujours actifs". Concrètement, cela signifie qu'ils peuvent recharger un smartphone même si l'ordinateur est éteint.C'est le port de secours idéal en déplacement.En résumé, ne branchez plus vos périphériques au hasard. Un disque SSD sur un port noir, c'est une perte de temps, et un téléphone sur un port jaune, c'est l'assurance d'une batterie pleine.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on revient sur ce drame familial en Floride où un père a tiré sur son propre fils. Today, we come back to this family tragedy in Florida where a father shot his own son.C'est une histoire qui montre comment un simple différend familial a pu basculer de manière absolument tragique. It's a story that shows how a simple family disagreement could turn absolutely tragic.Alors premièrement, le mobile, c'était un sentiment d'abandon. So first, the motive was a feeling of abandonment.William Nowak, l'homme de 84 ans, il reprochait à son fils et à sa belle-fille de ne pas lui rendre visite assez souvent, tout simplement. William Nowak, the 84-year-old man, simply criticized his son and daughter-in-law for not visiting him often enough.La dispute a éclaté pile au moment où son fils est venu le voir. The argument broke out precisely when his son came to see him.La menace a été mise à exécution à une vitesse folle. The threat was carried out with incredible speed.Pendant la dispute, Nowak a dit à son fils : "Sors de chez moi où je vais tirer dessus." During the argument, Nowak told his son: "Get out of my house or I'm going to shoot you."Et ce n'était pas une blague. And it was not a joke.Il est allé chercher une arme dans sa chambre, il l'a chargée, il est retourné dans la cuisine et il a tiré au visage de son fils. He went to get a weapon in his room, he loaded it, he returned to the kitchen, and he shot his son in the face.Enfin, les conséquences, elles sont évidemment très lourdes. Finally, the consequences are obviously very serious.Le fils a été hospitalisé avec de multiples blessures, notamment des fragments de balle dans la joue. The son was hospitalized with multiple injuries, including bullet fragments in his cheek. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'intelligence artificielle, la robotique, la cybersécurité et la désinformation ont marqué 2025. Dans ce dernier Hebdo de l'année, on dresse le bilan d'un millésime technologique hors norme et se projette déjà vers 2026.
Dans cet épisode du Premier Trio, les débats sont francs et sans détour autour des Canadiens de Montréal. Louis Jean dresse un portrait nuancé d’une équipe encore difficile à cerner : capable du meilleur comme du pire, il attribue une note de 7,5 sur 10 au début de saison, tout en admettant qu’il ne sait toujours pas exactement qui sont les Canadiens. Il va même jusqu’à envisager des scénarios audacieux, se disant prêt à inclure Michael Hage ou David Reinbacher dans une grosse transaction… même pour un joueur du calibre de Sidney Crosby. De son côté, Tony Marinaro questionne l’identité émotionnelle de l’équipe et pointe du doigt le manque d’impact des joueurs de soutien et d’énergie. Il soulève aussi la possibilité qu’Adam Engstrom soit placé dans la vitrine pour une transaction, tout en affirmant son admiration pour le jeune défenseur, qu’il compare à Mike Matheson. Enfin, Stéphane Waite apporte une vision plus globale de la LNH, rappelant que plusieurs équipes de l’Est se cherchent en raison des blessures et d’un calendrier condensé qui laisse peu de jus aux joueurs. Il encense Adam Engstrom, qu’il place devant Struble et Xhekaj dans la hiérarchie, et insiste sur l’importance de grandir avec Engstrom et Hage, plutôt que de les sacrifier pour un Crosby. Selon lui, croire à l’arrivée de Crosby à Montréal relève tout simplement du monde des licornes. Quand le CH fait parler, personne ne reste de glace — surtout pas le Premier Trio! Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Toute la presse américaine en fait ses gros titres, tout en reconnaissant une part de déception : « La publication du rapport Epstein dévoile de nouvelles photos, mais de nombreux documents restent confidentiels », explique le New York Times. En effet, la presse américaine et européenne publie des photos couvertes d'un carré noir, empêchant de voir le visage des personnes photographiées, ou encore des textes raturés. Le New York Times a interrogé des victimes du délinquant sexuel, « qui se disent frustrées par le manque de transparence de ces documents ». « Les plus de 13 000 fichiers publiés hier sont expurgés et difficilement consultables », reconnaît le quotidien américain. En Europe aussi, la publication de ces documents est abondamment commentée. « Le plus frappant », ironise Die Welt, à Berlin, « c'est ce que le ministère américain de la Justice n'a pas publié, notamment des documents financiers importants ». À Londres, le Times s'intéresse aux photos qui montrent Michael Jackson, Diana Ross, Mick Jagger, ou encore Bill Clinton enlaçant une jeune fille. Mais, surtout, estime le journal britannique, « ces photos montrent à quel point Andrew (le prince déchu) a ouvert les portes de la haute société britannique à ce couple, Jeffrey Epstein et sa compagne Ghislaine Maxwell ». On les voit notamment apparaître aux côtés d'Andrew, dans la loge royale de l'hippodrome d'Ascot. Quant à Donald Trump, qui fut proche de Jeffrey Epstein, les premiers milliers de documents publiés jeudi, sur un total de 300 000, n'apportent aucune révélation, semble-t-il. Errance à Gaza Le journal israélien Haaretz publie un article sur le déplacement des Palestiniens à Gaza. Le quotidien d'opposition s'appuie sur une enquête réalisée par B'Tselem, une organisation israélienne de défense des droits humains, selon laquelle « 90 % des Gazaouis ont perdu leur logement depuis octobre 2023, chaque habitant ayant été déplacé en moyenne six fois ». « Souvent annoncées à la dernière minute », précise Haaretz, « les évacuations obligent les familles à se réfugier sous des tentes, dans des abris et dans des conditions dangereuses, au milieu des bombardements, des maisons détruites et des infrastructures en ruine ». Haaretz s'intéresse particulièrement à une famille, Nibal, Ahmad et leur fille Rita, née en septembre 2023. Jusqu'en octobre 2023, Ahmad résidait légalement en Israël, mais « il a été arrêté comme des centaines de travailleurs palestiniens, puis libéré en février 2024, à Rafah, dans le sud de Gaza ». Entretemps, son épouse s'est réfugiée chez ses parents, dont la maison sera détruite plus tard. Puis, toute la famille s'est retrouvée sous une tente à Rafah, secteur bombardé, ce qui les a obligés à se déplacer une nouvelle fois, dans un camp du centre de Gaza, où ils sont restés cinq mois. Aujourd'hui encore, ils vivent sous une tente. « Ma vie est un calvaire », témoigne Nibal. Les pandas et Taïwan Enfin, la tension entre la Chine et le Japon menace la diplomatie des pandas. C'est ce que nous explique le South China Morning Post. Le quotidien anglophone publié à Hong Kong rappelle que le prêt de pandas est considéré comme « un symbole d'amitié (…) depuis plus d'un demi-siècle, les pandas tiennent le rôle d'ambassadeurs de la Chine à travers le monde ». Or, remarque le South China Morning Post, « leur séjour au Japon semble toucher à sa fin, les deux derniers pandas chinois devant rentrer le mois prochain ». Des discussions sont en cours, mais « aucun accord n'est en vue, en raison des propos tenus par Sanae Takaichi, le mois dernier, au sujet de Taïwan ». Le Premier ministre japonais a en effet « déclaré qu'une attaque contre Taïwan pourrait déclencher une intervention militaire du Japon ». Il est loin le temps où le Japon hébergeait neuf pandas. D'autres pays sont mieux lotis. C'est le cas des États-Unis, qui, après une longue interruption, ont reçu en octobre « deux pandas pour un prêt de dix ans ». La France, elle aussi, est plutôt gâtée. Le South China Morning Post le rappelle : « Pékin a donné son accord pour l'envoi d'un couple de pandas en 2027, pour un prêt de dix ans. »
L'Union européenne valide un prêt de 90 milliards d'euros à l'Ukraine, faute de consensus sur l'épineux dossier de l'utilisation des avoirs russes. Et puis autre dossier clé : avec le report en janvier de la signature de l'accord de libre échange avec les pays du Mercosur. Enfin, retour sur la présidentielle chilienne, marquée par la victoire de José Antonio Kast, figure de l'extrême droite.
On Jase de la victoire des Canadiens avec Benoit Brunet et Gilbert Delorme. Pour nous suivre sur nos différentes plateformes
« À Strasbourg, les députés ont entériné un durcissement majeur des règles migratoires, révélateur d'un changement de philosophie au sein de l'Union européenne », annonce Afrik.com, qui détaille en quoi consiste ce durcissement : « Désormais, la priorité est donnée à la rapidité des procédures et à l'efficacité des retours, au détriment d'un examen long et individualisé des demandes d'asile. » Pour parvenir à ce résultat, les députés européens ont tout simplement « allongé la liste européenne des pays d'origine sûrs ». Et, ce qui inquiète particulièrement Afrik.com, c'est que le Maroc va faire partie de ces pays, où l'on considère que l'on peut renvoyer un demandeur d'asile, sans crainte pour sa sécurité. Désormais, explique le site d'information panafricain, « les demandes d'asile marocaines seront traitées selon des procédures accélérées, avec des délais raccourcis et un taux d'acceptation mécaniquement plus faible ». Ce n'est pas tout : « Le texte adopté autorise également le renvoi de demandeurs d'asile vers des pays tiers avec lesquels ils n'ont aucun lien direct ». « Pour Bruxelles, l'objectif est clair, conclut Afrik.com. Désengorger les systèmes d'asile nationaux et envoyer un signal dissuasif aux candidats à l'exil », une ligne dure « portée par la droite et l'extrême droite européennes. » Après la tentative de coup d'État Au Bénin, le président Patrice Talon s'est exprimé hier face à la presse, pour la première fois depuis le coup d'État manqué du 7 décembre. Banouto rend compte de cette conférence de presse et en expose les grandes lignes. Avec notamment cette révélation : le commandant de la Garde républicaine, le colonel Dieudonné Tévoèdjré a pu « parler au téléphone » avec le lieutenant-colonel Pascal Tigri, le chef des putschistes, sans pouvoir toutefois le raisonner. Pascal Tigri toujours en cavale, et qui, selon Patrice Talon, était habillé « en civil » lorsqu'il s'est enfui, « à bord d'une voiture ». La Nouvelle Tribune rend compte elle aussi de la conférence de presse du président béninois, qui, nous dit le journal, « a tenu à déconstruire le récit d'un soulèvement généralisé au sein des forces armées (…). Selon le président béninois, « ce n'est pas la Garde nationale qui a opéré l'attaque, ni le commandement ni le sous-commandement » mais « quelques égarés, manipulés par des nostalgiques et des jaloux ». Pendant cette conférence de presse de Patrice Talon, il a aussi été question de la réforme constitutionnelle, qui prévoit d'instaurer le septennat au lieu du quinquennat. Sur ce point, « le président béninois a assuré qu'il ne s'agissait pas d'un calcul personnel pour s'éterniser au pouvoir, mais d'un héritage institutionnel », explique la Nouvelle Tribune. « Ce ne sera pas à mon profit. Ce sera au profit du Bénin », a assuré Patrice Talon. Victoire de prestige Enfin, le Maroc remporte la Coupe arabe de football. C'est à la Une de Hesspress : « Le Maroc s'offre le titre en battant la Jordanie au terme d'une finale épique ». « Une finale sous haute intensité », nous dit le journal en ligne. Mené, « le Maroc a puisé dans ses ressources pour revenir au score, avant de faire la différence en prolongation, grâce à un Hamdallah décisif. Au terme d'un duel haletant face à une équipe jordanienne coriace, les Lions de l'Atlas s'imposent 3 à 2 et décrochent un sacre arabe mémorable. » Même enthousiasme pour Le Matin, qui parle d'un « scénario digne d'une finale légendaire face à un adversaire tout aussi déterminé à soulever le trophée ». Le Matin qui n'oublie les échéances à venir, et appelle l'équipe du Maroc « à rééditer cet exploit lors de la CAN 2025 ». La Coupe d'Afrique des Nations qui commence dimanche. Yabiladi précise que « c'est le deuxième sacre du Maroc en Coupe arabe après celui de 2012 » et « un succès de prestige à quelques jours du coup d'envoi de la CAN organisée sur ses terres ».
La question peut sembler légère, mais elle est en réalité très sérieuse économiquement : la beauté « made in China » est-elle en train de détrôner la célèbre K-beauty coréenne ? Depuis une quinzaine d'années, la Corée du Sud s'est imposée comme une puissance mondiale des cosmétiques, portée par l'innovation, le soft power culturel et des marques devenues incontournables. Mais depuis peu, un nouvel acteur accélère très vite : la Chine.La K-beauty a longtemps dominé le segment des cosmétiques innovants et accessibles. En 2023, l'industrie cosmétique sud-coréenne représentait environ 14 milliards de dollars d'exportations, contre moins de 2 milliards au début des années 2010. Des marques comme Innisfree, Laneige ou COSRX ont popularisé les routines en dix étapes, les masques en tissu et les soins ultra-techniques, tout en profitant de la vague K-pop et des dramas coréens. La Corée du Sud exporte aujourd'hui ses produits vers plus de 150 pays.Mais la Chine rattrape son retard à une vitesse impressionnante. Le marché chinois de la beauté est devenu le deuxième plus grand au monde, derrière les États-Unis, avec un chiffre d'affaires estimé à plus de 80 milliards de dollars en 2024. Surtout, les marques locales chinoises connaissent une croissance à deux chiffres, là où les marques étrangères stagnent. Selon plusieurs cabinets d'études, les marques chinoises représentaient moins de 30 % du marché en 2015 ; elles dépassent désormais 50 % des ventes de cosmétiques en Chine.La force de la beauté chinoise repose sur trois leviers économiques. D'abord, le prix : des produits souvent 20 à 40 % moins chers que leurs équivalents coréens ou occidentaux. Ensuite, la vitesse d'innovation : certaines marques chinoises lancent de nouveaux produits en quelques semaines, en s'appuyant sur les données issues du e-commerce et des réseaux sociaux. Enfin, la maîtrise du marketing digital : sur Douyin, Xiaohongshu ou Tmall, les marques chinoises exploitent à grande échelle le live-shopping et les influenceurs locaux.Autre élément clé : la Chine n'est plus seulement un marché intérieur. Les exportations de cosmétiques chinois ont progressé de plus de 20 % par an depuis 2020, notamment vers l'Asie du Sud-Est, le Moyen-Orient et l'Afrique. Là où la K-beauty s'est mondialisée par la culture, la C-beauty s'impose par la puissance industrielle et logistique.Faut-il pour autant enterrer la K-beauty ? Pas encore. La Corée conserve une image premium en matière de formulation et de dermatologie. Mais une chose est sûre : la beauté made in China n'est plus un outsider. Elle est devenue un concurrent crédible, capable de redessiner l'équilibre économique mondial du secteur cosmétique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, un conseil simple pour apprendre à faire la différence entre une fatigue normale et un vrai signal d'épuisement en fin de journée.Le conseil du jour, c'est moins d'une minute pour prendre du recul, respirer, et avancer un peu plus sereinement dans votre travail.Un conseil simple, concret, applicable dès aujourd'hui.Un format court de Happy Work, par Gaël Chatelain-Berry.Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bonjour et bienvenue dans la revue de presse hebdo et audio du secteur retail / e-commerce en France proposée par Les Digital Doers en partenariat avec le One to One Retail Ecommerce de Monaco.
Première diffusion : mai 2025. Plongez dans la traque de l'un des plus grands collaborateurs nazis français : l'effroyable Paul Touvier. De la Seconde Guerre mondiale à sa cavale interminable, en passant par les silences d'État et les réseaux de protection, suivez les traces d'un homme devenu symbole d'une mémoire troublée et d'une justice trop longtemps différée. Un récit haletant entre ombre et lumière, culpabilité et impunité. Condamné en fin de vie 24 mai 1989, Paul Touvier est arrêté à Nice après des décennies de cavale. Son instruction débute, marquée par ses manœuvres d'évitement, l'influence de son avocat Trémolet, et les révélations de Klaus Barbie. Malgré un non-lieu retentissant en 1992, la justice relance l'affaire. Requalifiés en crimes contre l'humanité, les faits le mènent devant la cour d'assises en 1994. Son procès, historique, révèle la sélection ethnique opérée à Rillieux, scellant son implication. Pour découvrir d'autres traques, cliquez ci-dessous : [INÉDIT] Yvan Colonna, la Corse face au meurtre du Préfet : Identité Corse (1/4) [INÉDIT] Yvan Colonna, la Corse face au meurtre du Préfet : 3 balles dans le dos (2/4) [INÉDIT] Yvan Colonna, la Corse face au meurtre du Préfet : La solidarité des maquisards (3/4) [INÉDIT] Yvan Colonna, la Corse face au meurtre du Préfet : Perpétuité pour la résistance (4/4) Crédits : Production : Bababam Textes : Pierre Serisier Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans cette édition de fin d'année de L'Esprit des Lettres, KTO offre un moment de grâce où l'art, la foi et la beauté dialoguent. Avec "L'Orfèvrerie du Saint-Sépulcre XVIe - XVIIIe siècles, Terra Sancta Museum" (éditions Feuillantines), Michèle Bimbenet-Privat nous entraîne d'abord au coeur du Saint-Sépulcre : son ouvrage révèle l'éclat discret mais bouleversant de l'orfèvrerie sacrée, témoin d'une histoire spirituelle qui a traversé les siècles. Dans "Sous le toit des cathédrales" (éditions du Patrimoine), Isabelle Chave nous fait ensuite lever les yeux vers les charpentes des cathédrales, ces forêts suspendues où s'entrelacent prouesse technique et souffle mystique. Enfin, avec son "Dom Robert" (Hazan), Sophie Guérin Gasc ouvre la porte de l'univers lumineux de ce maître des tapisseries aux couleurs chantantes, où la nature devient hymne. Une émission lumineuse, comme une invitation à conclure l'année sous le signe de l'émerveillement. Une émission en coproduction KTO - La Procure - Le Jour du Seigneur.
L'émission 28 minutes du 19/12/2025 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité en compagnie de nos clubistes : Antoine Bueno, essayiste, Géraldine Woessner, rédactrice en chef au "Point", Catherine Tricot, directrice de la revue “Regards”, et la dessinatrice de presse Coco. Donald Trump et l'économie américaine : réalité ou fiction ? Mercredi, Donald Trump a présenté le bilan économique de sa quasi-première année au pouvoir. Le président américain a assuré que l'inflation baissait. Il se félicite également des 18 000 milliards de dollars de nouveaux investissements aux États-Unis depuis son retour. Pourtant, sa vision optimiste tranche avec l'inquiétude des Américains sur le coût de la vie. Ils sont 61% à juger que la conjoncture ne leur est pas favorable. Faux coup d'État en France : qui gouverne encore à l'heure de l'IA ? Un coup d'État militaire en France ? C'est ce qu'ont pu visionner des millions d'internautes sur Facebook via une vidéo générée entièrement par intelligence artificielle. Cette dernière a dépassé les dix millions de vues et a provoqué la colère du président français. Emmanuel Macron, via la plateforme Pharos qui lutte contre la désinformation, a tenté de faire retirer la vidéo auprès de Facebook, en vain. Nous recevons, Michel Pastoureau, qui publie "L'âne, une histoire culturelle" aux éditions du Seuil. Après le loup, le taureau, ou encore le corbeau, l'historien, passionné par le Moyen Âge, s'intéresse désormais à l'âne pour mieux réhabiliter cet animal longtemps mal-aimé. Les constructeurs automobiles européens vont pouvoir continuer à vendre, sous certaines conditions, des véhicules à moteur thermique en 2035. C'est une victoire pour le chancelier allemand Friedrich Merz qui s'était fait l'ambassadeur des constructeurs allemands. Le chef du gouvernement espagnol Pedro Sanchez dénonce une "erreur historique". C'est le duel de la semaine de Frédéric Says. Plus de 600 millions de vues en quelques jours, la nouvelle pub d'Intermarché "Conte de Noël" est un carton international. La publicité animée met en scène un loup esseulé apprenant à associer légumes et condiments pour s'intégrer aux autres animaux de la forêt. Un auteur français accuse les producteurs de la pub d'avoir repris un de ses vieux contes. C'est le "Point com" de Julia Van Aelst. Enfin, ne manquez pas la une internationale du quotidien israélien Haaretz sur l'attentat antisémite de Bondi en Australie, les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités ainsi que le Monde des choses de David Castello-Lopes sur le Christ roi à Lisbonne. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 19 décembre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
⭐️ Cet épisode est rendu possible grâce aux soutiens de 4Endurance, Go'Lum, Suunto et Wise. ⭐️Après 32 épisodes scientifiques consacrés à l'entraînement, la nutrition, la récupération et la performance en trail, il est temps de revenir sur l'essentiel. Dans ce récapitulatif de fin de saison, je condense tout ce qui, selon moi, mérite d'être retenu pour progresser plus vite et plus intelligemment. On parle de l'importance d'un objectif clair pour structurer son entraînement, du fonctionnement réel du mélange de carburants à l'effort et de la manière dont la récupération conditionne vos adaptations bien plus que la séance elle-même. J'explique aussi comment apparaît le surentraînement, pourquoi il résulte d'un déséquilibre qui s'installe progressivement, et comment les signaux faibles permettent de réagir avant qu'il ne soit trop tard. On revient également sur le rôle central de la force maximale dans l'économie de course, son maintien tout au long de l'année et son impact direct sur la performance.Je résume les données récentes sur les hydrogels, efficaces dans certains contextes mais pas dans d'autres, ainsi que les limites actuelles de la quantification de la charge en trail, où l'intensité, le terrain et les dommages musculaires échappent encore aux outils classiques. Enfin, j'aborde les raisons pour lesquelles les super shoes ne reproduisent pas en trail les effets observés sur route, notamment en raison des vitesses atteintes et du rôle très variable de l'économie de course selon la topographie.
« À Strasbourg, les députés ont entériné un durcissement majeur des règles migratoires, révélateur d'un changement de philosophie au sein de l'Union européenne », annonce Afrik.com, qui détaille en quoi consiste ce durcissement : « Désormais, la priorité est donnée à la rapidité des procédures et à l'efficacité des retours, au détriment d'un examen long et individualisé des demandes d'asile. » Pour parvenir à ce résultat, les députés européens ont tout simplement « allongé la liste européenne des pays d'origine sûrs ». Et, ce qui inquiète particulièrement Afrik.com, c'est que le Maroc va faire partie de ces pays, où l'on considère que l'on peut renvoyer un demandeur d'asile, sans crainte pour sa sécurité. Désormais, explique le site d'information panafricain, « les demandes d'asile marocaines seront traitées selon des procédures accélérées, avec des délais raccourcis et un taux d'acceptation mécaniquement plus faible ». Ce n'est pas tout : « Le texte adopté autorise également le renvoi de demandeurs d'asile vers des pays tiers avec lesquels ils n'ont aucun lien direct ». « Pour Bruxelles, l'objectif est clair, conclut Afrik.com. Désengorger les systèmes d'asile nationaux et envoyer un signal dissuasif aux candidats à l'exil », une ligne dure « portée par la droite et l'extrême droite européennes. » Après la tentative de coup d'État Au Bénin, le président Patrice Talon s'est exprimé hier face à la presse, pour la première fois depuis le coup d'État manqué du 7 décembre. Banouto rend compte de cette conférence de presse et en expose les grandes lignes. Avec notamment cette révélation : le commandant de la Garde républicaine, le colonel Dieudonné Tévoèdjré a pu « parler au téléphone » avec le lieutenant-colonel Pascal Tigri, le chef des putschistes, sans pouvoir toutefois le raisonner. Pascal Tigri toujours en cavale, et qui, selon Patrice Talon, était habillé « en civil » lorsqu'il s'est enfui, « à bord d'une voiture ». La Nouvelle Tribune rend compte elle aussi de la conférence de presse du président béninois, qui, nous dit le journal, « a tenu à déconstruire le récit d'un soulèvement généralisé au sein des forces armées (…). Selon le président béninois, « ce n'est pas la Garde nationale qui a opéré l'attaque, ni le commandement ni le sous-commandement » mais « quelques égarés, manipulés par des nostalgiques et des jaloux ». Pendant cette conférence de presse de Patrice Talon, il a aussi été question de la réforme constitutionnelle, qui prévoit d'instaurer le septennat au lieu du quinquennat. Sur ce point, « le président béninois a assuré qu'il ne s'agissait pas d'un calcul personnel pour s'éterniser au pouvoir, mais d'un héritage institutionnel », explique la Nouvelle Tribune. « Ce ne sera pas à mon profit. Ce sera au profit du Bénin », a assuré Patrice Talon. Victoire de prestige Enfin, le Maroc remporte la Coupe arabe de football. C'est à la Une de Hesspress : « Le Maroc s'offre le titre en battant la Jordanie au terme d'une finale épique ». « Une finale sous haute intensité », nous dit le journal en ligne. Mené, « le Maroc a puisé dans ses ressources pour revenir au score, avant de faire la différence en prolongation, grâce à un Hamdallah décisif. Au terme d'un duel haletant face à une équipe jordanienne coriace, les Lions de l'Atlas s'imposent 3 à 2 et décrochent un sacre arabe mémorable. » Même enthousiasme pour Le Matin, qui parle d'un « scénario digne d'une finale légendaire face à un adversaire tout aussi déterminé à soulever le trophée ». Le Matin qui n'oublie les échéances à venir, et appelle l'équipe du Maroc « à rééditer cet exploit lors de la CAN 2025 ». La Coupe d'Afrique des Nations qui commence dimanche. Yabiladi précise que « c'est le deuxième sacre du Maroc en Coupe arabe après celui de 2012 » et « un succès de prestige à quelques jours du coup d'envoi de la CAN organisée sur ses terres ».
Bienvenue dans notre nouvel entretien Ind100.Nous recevons Côme Martin, auteur et créateur de jeu de rôle dont Green Dawn Mall, Deux étés, Aventures à plumes et tant d'autres.Nous abordons son parcours, les processus créatifs et inspirations qui le guident, ses choix de game design, les thèmes et bien d'autres choses.Enfin, nous abordons son projet à venir : la trilogie du Punk.Nous vous souhaitons une bonne écoute.
Félix-Antoine Tremblay se prend pour Swiftie ! Bryan Audet nous explique l’origine de la ziguezon zinzon et du Dondaine matapatalimatou. Andrée-Anne Brunet nous parle d’une tradition des fêtes islandaise qui l’excite autant qu’elle nous dégueule. Bonne écoute !
Le protoxyde d'azote, plus connu sous le nom de « gaz hilarant », est souvent perçu comme une substance légère, presque anodine. Utilisé à l'origine en médecine pour ses propriétés analgésiques et anxiolytiques, il s'est diffusé ces dernières années dans les usages récréatifs. Mais ses effets sur le cerveau sont loin d'être bénins. Derrière les rires et la sensation d'euphorie se cache une action neurologique puissante, complexe… et potentiellement dangereuse.Dès l'inhalation, le protoxyde d'azote agit comme un antagoniste des récepteurs NMDA, des récepteurs essentiels à la communication entre neurones. En les bloquant, il provoque une déconnexion temporaire dans certaines zones cérébrales, d'où la sensation de flottement, d'irréalité, de dissociation. Cette altération du traitement sensoriel explique également les perceptions modifiées : sons étouffés, vision déformée, impressions d'éloignement du corps.Le gaz stimule également le système dopaminergique, ce qui renforce la sensation d'euphorie. La dopamine, neurotransmetteur de la récompense, crée un pic bref mais intense, donnant à l'utilisateur la sensation que tout devient soudain amusant, léger, dédramatisé. Ce mécanisme explique la recherche de répétition : plus on consomme, plus on souhaite reproduire ce “flash” plaisant.Mais derrière ces effets immédiats se cachent des risques importants. Le protoxyde d'azote perturbe l'absorption de la vitamine B12, un élément indispensable à la fabrication de la myéline, cette gaine protectrice qui permet aux neurones de transmettre les signaux électriques. Une carence prolongée peut entraîner des atteintes de la moelle épinière, des fourmillements, des pertes d'équilibre, voire des paralysies partielles. Et ces dommages peuvent parfois être irréversibles.Le gaz réduit également la quantité d'oxygène disponible pour le cerveau. Une inhalation répétée ou mal contrôlée peut conduire à une hypoxie, c'est-à-dire un manque d'oxygène dans les tissus cérébraux. À court terme, cela provoque des pertes de connaissance ; à long terme, cela peut léser les zones impliquées dans la mémoire, l'attention ou la coordination.Enfin, l'usage fréquent modifie la connectivité neuronale, à la manière d'autres substances dissociatives. Certains utilisateurs témoignent d'un sentiment de brouillard mental, d'une fatigue cognitive durable, voire de troubles anxieux ou dépressifs après consommation répétée.En résumé, si le protoxyde d'azote procure une euphorie rapide, il agit profondément sur le cerveau : il altère la communication neuronale, perturbe la myéline, prive temporairement l'organisme d'oxygène et peut laisser des séquelles durables. Un plaisir fugace, mais un risque réel. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, mon parcours de reconversion professionnelle pour devenir entraîneure d'athlétisme se termine.Lors de mon dernier trajet en voiture vers Bourges, j'ai ressenti le besoin de mettre des mots sur ce que je ressens à l'issue de ces seize mois de formation.Dans cet épisode, je vous invite à partager ce temps de recul, personnel et sans filtre. J'y reviens sur des convictions qui m'accompagnaient déjà, et que certaines expériences durant l'année écoulée sont venues confirmées.Enfin, j'évoque avec vous mes projections et l'approche que je souhaite transmettre au sein de mon entreprise Run Athletiq. Mille mercis pour votre soutien depuis le début du podcast et pendant cette formation ! Prenez soin de vous, toujours.Vous souhaitez vous faire coacher ? Plus d'informations sur www.runathletiq.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La performance est un sujet central pour toutes les organisations, en particulier lorsque se pose la question de son articulation avec l'impact et le bien commun. Stéphanie Pinot est membre du directoire du groupe RAISE et directrice de la stratégie, du développement et de la communication. Elle décrit ici comment son entreprise a structuré un modèle d'investissement qui relie performance, utilité sociale et engagement durable.Cet échange revient d'abord sur la manière dont RAISE s'est construit autour d'une conviction forte : la finance peut devenir un levier d'action au service de projets utiles. Le partage de la valeur, inscrit dès l'origine, est devenu un élément structurant du fonctionnement des équipes. La performance financière alimente directement un fonds de dotation interne qui soutient des entrepreneurs et des associations, ce qui modifie la manière de concevoir le métier d'investisseur et le rôle de chacun.Stéphanie explique ensuite comment l'entreprise a fait évoluer sa gouvernance pour tenir une ligne qui concilie croissance, impact et pérennité. Le passage à un directoire et un conseil de surveillance a formalisé un leadership plus collégial, cohérent avec l'histoire du groupe. Ce fonctionnement permet d'intégrer les dimensions humaines, stratégiques et opérationnelles dans les décisions clés et de préserver dans le temps l'identité de RAISE. Ces éléments éclairent la façon dont une entreprise peut inscrire la performance dans un cadre plus large, en cohérence avec une mission.Elle détaille également l'accompagnement proposé aux entreprises du portefeuille qui souhaitent engager une démarche d'entreprise à mission. Les dirigeants identifient d'abord leurs valeurs et l'intention qu'ils veulent porter, puis associent leurs équipes pour structurer des engagements mesurables. Cette dynamique rejoint des enjeux très présents pour les managers et les DRH : donner une direction lisible, créer les conditions de l'engagement des collaborateurs, renforcer la pratique de leadership et inscrire les décisions dans un temps long. La performance y prend une dimension relationnelle et collective, essentielle pour construire la confiance et soutenir les transformations.Enfin, l'épisode montre comment la finance engagée peut contribuer à des évolutions très concrètes dans l'entreprise. Les mécanismes d'investissement, la mobilisation du collectif, la place accordée à l'innovation d'impact ou encore l'ancrage dans la mission apportent des repères utiles pour celles et ceux qui pilotent la transformation du management. Les DRH comme les managers y trouveront des exemples tangibles pour relier stratégie, pratiques quotidiennes et cohérence organisationnelle.
Au sommaire cette semaine : la guerre en Ukraine et les négociations qui se poursuivent autour du "plan de paix" américain remanié, dans un contexte de pression maximale de Donald Trump. Le président américain fait, par ailleurs, à nouveau monter les tensions avec le Venezuela, après la saisie d'un pétrolier au large du pays. Enfin, retour sur la nouvelle percée de l'AFC/M23 en République Démocratique du Congo. Le groupe contrôlerait Uvira, deuxième plus grande ville du Sud-Kivu. Cette nouvelle conquête intervient quelques jours à peine après l'annonce par Washington d'un accord de paix entre les présidents congolais et rwandais.
J'étais très impatiente de partager cet épisode avec vous. J'étais très impatiente de l'enregistrer. J'étais en fait très impatiente de trouver la personne avec laquelle je pourrais faire quelque chose qui me semblait urgent et important : le bilan de la pandémie de Covid. Un bilan psychique, humain de ce que cette période a causé en nous. C'est pourquoi quand je suis tombée sur le livre “L'Adieu au Visage" de David Deneufgermain, qui fut sélectionné pour le prix Goncourt 2025, je me suis dit : Ah enfin. Enfin quelqu'un qui va pouvoir confirmer une intuition : cette période nous a traumatisé·es. Et je parle au sens clinique du terme. Elle a constitué un événement adverse majeur qui a menacé notre intégrité et nos vies, a suscité une réaction émotionnelle forte, et a laissé des traces à la fois dans l'immédiat et dans le temps.David Deneufgermain est psychiatre, c'est un médecin, donc, dont le métier est de soigner, ou plutôt de “prendre soin” comme il préfère le formuler. C'est un médecin pas comme les autres, qui s'occupe bénévolement des personnes qui dorment dans la rue, qui s'est insurgé contre certaines instructions données à l'époque par le gouvernement pendant le pic de la pandémie en 2020. Un médecin qui prône et défend une forme de désobéissance civile, et il n'y en pas des masses. "L'adieu au visage", c'est la possibilité de dire au revoir aux morts, un “pilier anthropologique” qui selon lui a été entièrement torpillé pendant cette période, avec des conséquences gravissimes pour les vivants. Nous analysons ensemble, pendant cet épisode, la succession de décisions politiques qui ont conduit jusque là, et il n'hésite pas à désigner les responsables. David Deneufgermain est aussi, et surtout, un écrivain. Et un très bon. S'il s'adonne à l'activité littéraire depuis des années, il n'avait pas forcément dans l'idée de transformer en livre les petits carnets qui lui servaient de journal de bord pendant la pandémie. A l'époque, il écrivait, dit-il, pour survivre, et peut-être même par peur de mourir. Aujourd'hui, ces carnets constituent une archive inestimable de ce qu'il s'est produit entre mars et mai 2020, pour lui, médecin, aussi bien présent en cabinet avec ses patients (récit mythique de ses premières consultations en visio, devenues banales aujourd'hui), qu'à l'hôpital et dans la rue, mais aussi de ce qu'il s'est passé pour lui en tant que père, dans sa famille confinée, avec deux enfants petits. À travers son récit, comme à chaque fois que l'intime rentre en jeu, c'est l'universel qui est raconté, et je lui en suis infiniment reconnaissante. Cet épisode est très précieux, très riche, très politique. Écoutez-le, et si vous l'aimez, parlez-en autour de vous et partagez-le ! Bonne écoute. Photo : Chloé Vollmer-Lo
En Équateur, plusieurs membres de la famille de Daniel Noboa, dont son père, sont accusés d'être impliqués dans le trafic de drogue. Si le pays n'est pas producteur de cocaïne, il est, en revanche, le premier exportateur mondial de cette substance, ainsi que de bananes. Or, bien souvent, la cocaïne est cachée dans les conteneurs transportant ces fruits. Ces dernières semaines, plusieurs enquêtes journalistiques, dont une publiée au début du mois, ont mis en lumière des liens entre l'entreprise familiale du président conservateur au pouvoir depuis 2023 et ce trafic illégal. 700 kilos de cocaïne auraient été saisis dans des chargements de Noboa Trading, depuis 2020. Le président et ses proches nient toute responsabilité. Mais l'affaire révèle les contradictions entre les ambitions en matière de sécurité affichées par le dirigeant équatorien et les intérêts économiques de l'entreprise familiale. C'est un dossier de Melissa Barra de la rédaction en espagnol de RFI, avec Justine Fontaine. En Haïti, la fin du CPT provoque des remous Comme tous les jeudis, nous faisons le point sur l'actualité haïtienne avec notre confrère Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste. Le Conseil présidentiel de transition a présenté ses vœux de fin d'année hier (mercredi 17 décembre 2025) devant les diplomates en poste à Port-au-Prince. Si le président du Conseil a loué l'action accomplie ces derniers mois, affirmant qu'elle avait permis de maintenir l'administration publique debout, l'ambassadeur du Canada a appelé à faire plus, et souligné que le statu quo n'était pas une option. Le diplomate a également rappelé que le mandat du CPT devrait se terminer le 7 février 2026, comme prévu. «Il n'est pas le seul à le dire ces derniers temps», précise Frantz Duval. «À chaque fois, les membres du Conseil présidentiel de transition s'offusquent. Mais cette indignation n'a aucune suite», fait remarquer le journaliste. Les attaques des gangs restent quotidiennes. Ces dernières heures, ils ont incendié des camions à l'entrée de la commune d'Arcahaie. «C'est une façon de dire qu'ils contrôlent les routes et qu'ils ont la mainmise sur ce qui circule dans le pays», décrypte Frantz Duval (Le Nouvelliste). Dernière actualité en Haïti, après la soupe joumou ou le konpa qui ont fait leur entrée au patrimoine mondial de l'Unesco, les autorités veulent mettre en valeur les «vèvè», ces «dessins mystiques et religieux» qui sont vraiment très importants dans le pays, explique Frantz Duval. «C'est une très vieille tradition qui remonte aux premiers habitants de l'île», précise le journaliste. Les vèvè sont des «signes très puissants» qui «figurent même sur le maillot de l'équipe de football d'Haïti». Quand Jair Bolsonaro va-t-il sortir de prison ? Mercredi (17 décembre 2025), le Congrès brésilien a adopté une proposition de loi visant à réduire la peine de prison de l'ancien président. C'est un «pas crucial vers la révision de sa condamnation», estime le quotidien argentin Infobae. Mais il reste encore du chemin à parcourir : le président brésilien peut opposer son veto à ce texte qui «permet des réductions de peine et un passage plus rapide à un régime carcéral moins strict», comme le détaille le journal. Et c'est bien ce qu'il compte faire, selon Folha de Sao Paulo. Mais ce veto, il peut, à son tour, être annulé par le Congrès. Et une fois promulguée, cette loi peut encore faire l'objet de recours devant le Tribunal suprême fédéral, la plus haute instance du pouvoir judiciaire du pays, précise Infobae. Selon O'Globo, Jair Bolsonaro sortira de prison au plus tard début 2029. Mais tous les journaux ne font pas le même calcul. Jair Bolsonaro a été condamné à 27 ans de prison en septembre 2025, pour tentative de coup d'État. Une peine qu'il ne purgera pas dans sa totalité. Avec les remises de peine, il devrait faire environ six ans de prison, selon O'Globo. Maintenant, si cette loi est appliquée, il ne ferait que deux à quatre ans de prison. Calcul difficile à faire car cela dépend de la manière dont la loi sera interprétée. La législation brésilienne prévoit également que le temps consacré aux études, au travail et même à la lecture permet de raccourcir la sentence. O'Globo nous apprend que lire un livre, c'est quatre jours de prison en moins, à condition quand même d'avoir fait une fiche de lecture. Après des mois de tractations, les partisans de Jair Bolsonaro ont réussi leur pari. Enfin pas tout à fait car ils voulaient obtenir l'amnistie totale pour tous les émeutiers du 8 janvier 2023, afin de «pacifier et de réconcilier la nation», explique Folha. Ils ont, donc, dû revoir leurs ambitions à la baisse. Jair Bolsonaro et ses acolytes ne verront «que» leurs peines réduites. «Le Congrès a corrigé les excès du pouvoir judiciaire», s'est tout de même réjoui Tereza Cristina, la cheffe du Parti populaire au Sénat, rapporte le journal. Au Chili, des frictions entre l'ancien et le nouveau président Au Chili désormais, La Tercera nous apprend que le nouveau président commence déjà à énerver la gauche. «Lundi (15 décembre 2025), lors d'une réunion avec les partis de sa coalition, Gabriel Boric a reconnu que la droite avait réussi à imposer le récit selon lequel son gouvernement a mal géré les questions de sécurité» et cela le contrarie, raconte le quotidien chilien. Il s'efforce, donc, de rétablir sa vérité, à savoir que sous son mandat, la situation a été «stabilisée». Pas besoin d'un «gouvernement d'urgence», comme l'annonce le nouveau président, José Antonio Kast. Des élus de gauche montent au créneau pour faire passer le message. Dans les colonnes du journal, plusieurs d'entre eux affirment ainsi que le Chili va bien, qu'il a retrouvé «la stabilité démocratique, économique et sociale» ou bien encore que José Antonio Kast, avec son futur gouvernement d'urgence, commence déjà à menacer les institutions et la démocratie. Bref, au Chili, le camp Boric se prépare déjà à être dans l'opposition. José Antonio Kast, lui aussi, s'active. Il dévoilera la liste des membres de son gouvernement le 15 janvier 2026, indique La Tercera. Le journal de la 1ère 16.000, c'est le nombre d'airbags Takata qui seraient encore en circulation en Guadeloupe.
Dans cet épisode festif de Culture Média, Thomas Isle reçoit Pierre Hermé, qui présente son Dictionnaire amoureux de la pâtisserie et dévoile ses créations de Noël : macarons inédits et bûches d'exception. L'ambiance se poursuit en musique avec Billy Obam et ses choristes Olive Berber et Bibi Ange, venus interpréter en live le titre « Super Noël ». Enfin, Olivier Benkemoun nous plonge dans l'univers du cinéma avec le dernier volet d'Avatar : La Voie de l'Eau, signé James Cameron.À retenir :Pierre Hermé : conseils et gourmandises pour réussir vos fêtes.Billy Obam : live exclusif avec « Super Noël » et ses choristes.Cinéma : focus sur Avatar – La Voie de l'Eau, prouesse technologique.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 18/12/2025 Cyberattaque au ministère de l'Intérieur : mais que fait la police ? Dans la nuit du 11 au 12 décembre, le ministère de l'Intérieur a été victime d'une cyberattaque. Le ministre de l'Intérieur, Laurent Nuñez, a confirmé mercredi que "quelques dizaines de fiches" provenant de fichiers de police confidentiels ont été extraites des serveurs. Un homme de 22 ans a été arrêté hier. Par ailleurs, cette affaire s'inscrit dans un contexte de multiplication d'affaires de piratage informatique : données de la Fédération française de tir, fichiers des hôpitaux… Nous recevons la journaliste de "Libération" Amaelle Guiton, spécialiste des questions de cybersécurité. Pacte vert, voiture électrique, Mercosur… L'Europe a-t-elle perdu sa boussole ? Mardi 16 décembre, la Commission européenne a renoncé à imposer aux constructeurs automobiles de passer au tout-électrique en 2035. C'était une mesure phare du pacte vert de 2019 qui devait permettre à l'Union européenne d'atteindre la neutralité carbone en 2050. Ce changement de cap permet aux constructeurs de continuer la vente, limitée, de voitures neuves à moteurs thermiques ou hybrides. Dans le même temps, ce projet est accompagné d'un paquet législatif dit "omnibus" qui permettrait de simplifier la réglementation sur les pesticides. En négociation depuis 25 ans, le traité de libre-échange entre le Mercosur et l'UE, pourrait être ratifié dans les prochains jours. On en débat avec Lucile Schmid, présidente du think tank La Fabrique écologique, Théo Verdier, co-directeur de l'Observatoire Europe à la Fondation Jean Jaurès et Olivier Lluansi, professeur du CNAM. Enfin, Xavier Mauduit nous emmène aux îles de Matthew et Hunter pour nous relater l'histoire du différend territorial entre la France et le Vanuatu. Théophile Cossa s'intéresse au fonctionnement du grand rush des colis de Noël entre points relais et lockers. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 18 décembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Send us a textAprès quelques mois de pause, je reviens au micro pour faire une mise à jour honnête et simple!Dans cet épisode, je prends le temps de revenir sur :pourquoi j'ai mis le podcast sur pause ces derniers moisce que cette pause m'a permis de clarifierce qui a émergé à travers ces réflexions, autant sur le plan personnel que professionnelJe vous partage aussi un retour sur la première cohorte du programme MAX Wellness, lancée en mars dernier : une cohorte exploratoire, très riche humainement, avec des transformations profondes et durables — mais aussi beaucoup d'apprentissages pour moi quant à l'équilibre, la charge énergétique et la durabilité du format.Enfin, j'ouvre la discussion sur ce qui se dessine pour la suite :l'idée d'un cercle MAX Wellness pour le grand public, axé sur la continuité, l'alignement et la santé globaleet/ou un cercle pour Thérapeutes, centré sur la vision globale/holistique, la pratique clinique, la longévité et l'épanouissement dans le métier.Cet épisode est aussi une invitation au dialogue et aux échanges! Si l'une ou l'autre de ces avenues résonne avec vous, je vous invite à m'écrire et à me partager votre feedback. Sur Facebook, Instagram: @drmaximelavoie, Courriel: maxime@maximelavoie.ca , etc!
Ce phénomène étrange, presque comique, mais très courant, porte un nom scientifique : le “pee shiver”, littéralement « frisson de miction ». Beaucoup d'hommes le connaissent, certaines femmes aussi, et les scientifiques ont proposé plusieurs mécanismes complémentaires pour expliquer pourquoi le corps peut soudain se mettre à trembler au moment d'uriner.D'abord, il faut comprendre que la miction provoque une décharge soudaine du système nerveux autonome, celui qui gère les fonctions inconscientes : respiration, digestion, rythme cardiaque… et accès aux toilettes. Lorsque la vessie est pleine, le corps active le système nerveux sympathique, celui qui met l'organisme en état d'alerte. En urinant, on libère cette tension : le système parasympathique reprend le dessus, entraînant une chute de l'adrénaline et une forme de relaxation brutale. Ce basculement nerveux, très rapide, peut déclencher un petit frisson involontaire, comme un court-circuit physiologique.Deuxième mécanisme : la variation de température corporelle. L'urine stockée dans la vessie est plus chaude que l'air ambiant. Lorsque l'on urine, on perd un peu de chaleur interne. Cela ne refroidit pas réellement l'organisme de façon mesurable, mais la sensation de chaleur qui s'échappe peut suffire à activer le réflexe classique de thermorégulation : un frisson destiné à réchauffer le corps. C'est le même type de réflexe que lorsqu'on sort d'un bain ou qu'une brise froide traverse le dos.Troisième piste : la libération de tension musculaire. Une vessie pleine mobilise de nombreux muscles — abdominaux, plancher pelvien, bas du dos. Au moment d'uriner, ces muscles se relâchent en masse, et cette relaxation soudaine peut provoquer une micro-secousse comparable au relâchement d'un spasme. Le corps passe littéralement d'un état de contraction à un état de détente en une fraction de seconde.Enfin, plusieurs chercheurs pensent que ce frisson pourrait être un reste évolutif, un vestige de mécanismes archaïques qui synchronisaient les systèmes nerveux et hormonaux lors de certaines fonctions vitales. Rien de dangereux donc : un simple bug fascinant de notre biologie.En résumé, les frissons au moment de faire pipi sont le résultat d'une combinaison de facteurs : changement brutal d'activité du système nerveux, légère perte de chaleur, relaxation musculaire et réflexes ancestraux. Un phénomène surprenant, mais parfaitement normal — et qui rappelle que même les gestes les plus ordinaires cachent une mécanique biologique étonnamment complexe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Auditeurs : Après une vie sentimentale chaotique, Gracy a enfin trouvé son trésor ! Natalia n'a plus confiance en l'amour à cause de son ex toxiqueA l'inverse de beaucoup, Lou remercie l'ASE.Après 47 ans de vie commune, Philippe a perdu l'amour de sa vie il y a 19 mois. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est une petite révolution discrète dans le fonctionnement de la Sécurité sociale française. Depuis décembre, l'Assurance Maladie peut désormais contrôler un arrêt de travail non seulement en envoyant un médecin au domicile du salarié, mais aussi… par visioconférence. Une mesure technique en apparence, mais aux implications économiques et sociales bien réelles.Jusqu'à présent, le principe était simple : lorsqu'un arrêt maladie semblait suspect ou faisait l'objet d'un signalement, un médecin contrôleur pouvait se rendre physiquement au domicile du patient. Ce système avait toutefois ses limites. Il est coûteux, chronophage, parfois difficile à organiser, et peu adapté à certaines situations géographiques ou logistiques. La visioconsultation vient donc moderniser cet outil de contrôle, en s'inscrivant dans la continuité de la numérisation du système de santé.L'objectif affiché est clair : lutter contre les arrêts de travail abusifs. Ces dernières années, le nombre et la durée des arrêts maladie ont fortement augmenté en France, notamment depuis la crise sanitaire. Pour l'Assurance Maladie, cela représente un enjeu financier majeur. En 2023, les indemnités journalières versées ont atteint des niveaux records, pesant lourdement sur les comptes sociaux déjà fragilisés. Le contrôle à distance permet donc de multiplier les vérifications à moindre coût, tout en accélérant les procédures.Concrètement, le salarié peut être convoqué à un contrôle médical en visio, à une date et une heure précises. Il doit alors être disponible, présenter son identité et répondre aux questions du médecin, qui évalue si l'arrêt est médicalement justifié. Si le contrôle conclut à un arrêt non fondé, les indemnités journalières peuvent être suspendues, voire annulées. Refuser la visio ou être absent sans motif valable peut également entraîner des sanctions.Cette évolution soulève néanmoins plusieurs interrogations. D'abord sur le plan médical : peut-on réellement évaluer un état de santé à distance, sans examen clinique approfondi ? Ensuite sur le plan social : certains salariés craignent une forme de suspicion généralisée, voire une pression supplémentaire sur des personnes déjà fragilisées par la maladie. Enfin, sur le plan juridique et technique, la question de la protection des données de santé et de l'égalité d'accès au numérique reste centrale.Pour l'Assurance Maladie, la réponse est pragmatique : la visio ne remplace pas totalement les contrôles physiques, elle les complète. Elle permet de cibler plus efficacement les abus présumés, sans remettre en cause les arrêts légitimes. Mais ce changement illustre une tendance de fond : le contrôle social devient plus technologique, plus rapide et plus systématique.En filigrane, cette mesure pose une question essentielle pour l'économie française : comment concilier la nécessaire maîtrise des dépenses publiques avec la confiance accordée aux travailleurs et la protection de leur santé ? Une ligne de crête sur laquelle l'Assurance Maladie avance désormais… caméra allumée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
Dans cet épisode, Sean Rea présente en détail la vision du projet FC Supra, une nouvelle franchise québécoise qui ne cache pas ses intentions. L'objectif est clair gagner dès la première année d'existence. Structure sportive, culture de performance et attentes immédiates, tout est mis sur la table.On revient aussi sur l'annonce officielle de la signature de l'académicien Josh-Duc Nteziryayo, un signal important sur la place que le club veut accorder au développement local. Mais la question demeure le FC Supra peut-il répondre aux défis chroniques du développement des jeunes au Québec?Le débat s'élargit ensuite sur les opportunités de prêts pour le CF Montréal. Est-ce que le Supra peut devenir une vraie plateforme de minutes, de progression et de transition vers le haut niveau pour les jeunes joueurs du club montréalais, plutôt qu'un simple passage symbolique?Enfin, direction l'Europe. En Écosse, Wilfried Nancy vit un début de carrière européenne extrêmement compliqué. Résultats décevants, pression grandissante des partisans et critiques de plus en plus bruyantes. La question est posée sans détour en Écosse... faut-il un ajustement tactique rapide ou un changement de tacticien pour renverser la tendance?—
Ceci est un extrait de l'épisode 253 avec le sociologue Romain DelèsHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le corps humain réserve parfois des surprises inattendues, et le phénomène du coregasme en fait partie. Ce terme, formé à partir de “core” (le tronc) et “orgasme”, désigne un phénomène particulier : l'apparition d'un orgasme déclenché non pas par une stimulation sexuelle, mais par un effort musculaire intense, en particulier lors du travail des muscles abdominaux et du plancher pelvien. Longtemps considéré comme un simple mythe de salle de sport, le coregasme est aujourd'hui un sujet étudié par la recherche scientifique.Le concept a été popularisé dans les années 2010 grâce aux travaux de la psychologue américaine Debby Herbenick, de l'Université de l'Indiana, qui a mené l'une des premières enquêtes d'ampleur sur ce sujet. Elle a démontré que ce phénomène était bien réel et relativement fréquent : certaines participantes rapportaient des sensations de plaisir intenses, voire d'orgasme complet, au cours d'exercices comme les tractions, les crunchs, les élévations de jambes, mais aussi lors d'activités comme le vélo, la course à pied ou l'escalade.Mais comment l'expliquer ? Le coregasme résulte d'un ensemble de mécanismes physiologiques. D'abord, les exercices qui sollicitent fortement la sangle abdominale activent également les nerfs pelviens, essentiels dans la transmission des sensations sexuelles. Ensuite, l'effort physique déclenche une montée d'endorphines et d'adrénaline, deux hormones qui amplifient le plaisir et modifient la perception corporelle. Enfin, la concentration, la respiration et la tension musculaire créent un terrain favorable à une réaction involontaire du système nerveux autonome.Il est important de préciser que le coregasme n'a rien de pathologique. Il n'est pas non plus lié à une quelconque excitation sexuelle préalable. Il s'agit simplement d'une réaction physiologique naturelle, rencontrée aussi bien chez les femmes que chez les hommes — même si les études montrent qu'il est davantage rapporté par les femmes, probablement en raison d'une plus grande sensibilité du plancher pelvien.Le phénomène peut surprendre, parfois gêner, mais il n'a aucune conséquence négative sur la santé. Certains sportifs disent même qu'il les motive à poursuivre leur entraînement, tandis que d'autres préfèrent adapter leurs exercices pour éviter ces sensations inattendues.En somme, le coregasme rappelle que le corps humain est traversé de connexions étonnantes. Les émotions, l'effort, les hormones et les nerfs interagissent parfois d'une manière que la logique ne prévoit pas. Un orgasme à la salle de sport ? Cela peut arriver — et la science le confirme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Rendez-vous sur Énergie Partagée pour en savoir plus : https://energie-partagee.org/souscrire-votre-argent-agit/Participer au Maxi Jeu Concours du Noël des Nouveaux Récits : https://tally.so/r/pbb8WVLes ouvrages que je compte glisser sous le sapin cette année : Logocratie — Clément ViktorovitchUn livre essentiel pour comprendre le pouvoir des mots et les mécanismes du discours politique. Précieux pour aiguiser son esprit critique.Enfin seule — Laurène BastideUn texte intime sur la solitude féminine, entre reconstruction, liberté et réappropriation de soi.Déclics – Inès MoreauUn ouvrage très accessible pour intégrer davantage d'écologie dans son quotidien.Omnivore — Olivier BocquetUn thriller loufoque et haletant !Et si on rentrait au bled en train ? — Nassira El MoaddemUn récit personnel autour du voyage, des mobilités, de l'héritage culturel et de l'écologie.Paresse pour tous — Hadrien KlentUn roman d'anticipation politique, drôle et stimulant qui questionne notre rapport au travail et au temps.Rando Solo — Marie AlbertUn livre sur la randonnée en solo, l'autonomie, la liberté et la reconnexion au vivant.Des livres à offrir, à partager, à prêter ou à garder pour soi. Des lectures qui accompagnent les fêtes et prolongent l'esprit du Noël des Nouveaux Récits.Avec le Noël des Nouveaux Récits, j'ai envie de t'accompagner chaque jour vers des fêtes plus douces, plus conscientes et vraiment alignées avec ce qui compte pour toi. Un rendez-vous quotidien pour alléger la charge mentale et retrouver du sens pendant les fêtes !Participer au Maxi Jeu Concours du Noël des Nouveaux Récits : https://tally.so/r/pbb8WVRendez-vous sur Énergie Partagée pour en savoir plus : https://energie-partagee.org/souscrire-votre-argent-agit/
Vous connaissez forcément l'histoire du jardin d'Éden où Dieu planta deux arbres : celui de la Vie et celui de la Connaissance où se trouve le fameux Fruit défendu. Adam et Ève ont interdiction absolue de le manger sous peine d'être bannis du paradis. On connaît la suite. Elle d'abord, convaincue par le serpent, puis lui, ensuite vont croquer la pomme. Enfin la pomme, ça n'a jamais été précisé dans la Bible. On y parle juste du fruit provenant d'un arbre, qui en latin se dit "pomum", quel que soit le fruit. Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête. Un podcast RTL Originals.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi, sur Europe 1, Agnès Verdier-Molinié s'intéresse à la suppression de l'interdiction des véhicules thermiques qui semblerait se dessiner.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis la prise d'Uvira la semaine dernière par les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda, Kigali est sous le feu des critiques. « "Les États-Unis sont profondément préoccupés et incroyablement déçus par la nouvelle flambée de la violence dans l'est de la RDC", s'est indigné Mike Waltz, l'ambassadeur américain auprès des Nations unies, rapporte Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC. (…) En ligne de mire, le soutien actif du Rwanda aux rebelles, en matériel et en logistique. 5 000 à 7 000 soldats rwandais combattraient au Congo au début de décembre, selon Mike Waltz. Marco Rubio, le patron de la diplomatie américaine, a été encore plus clair sur les intentions de Washington, indiquant que "les États-Unis prendraient des mesures pour garantir le respect des engagements pris envers le président" Donald Trump. » Qui plus est, rapporte le site congolais Actualité CD, « le vice-secrétaire d'État américain Christopher Landau a qualifié l'offensive récente sur Uvira de "grave erreur", avertissant que "cela ne pourrait pas continuer" si le Rwanda "persistait à jouer les mêmes vieux jeux avec le M23" ». Les États-Unis furieux… La presse congolaise pointe du doigt le président rwandais : « Kagame a tourné Donald Trump en dérision : ses jours sont comptés », s'exclame La Tempête des Tropiques. Le quotidien kinois cite un officiel américain proche de la Maison Blanche qui accuse le chef de l'État rwandais d'avoir trahi la confiance des États-Unis et du président Trump : « dans un langage particulièrement offensif, il qualifie Paul Kagame de "criminel de guerre" incapable de tenir parole, et affirme que "le temps du dialogue est terminé" et qu'il est "temps pour Kagame de partir" ». Et « au-delà de l'attaque directe contre le président rwandais, note encore La Tempête des Tropiques, ce proche de la Maison Blanche lance un appel explicite aux militants pro-démocratie au Rwanda, les invitant à entrer en contact avec ses réseaux aux États-Unis, suggérant une volonté de soutenir ou structurer une opposition politique en exil. Cette sortie marque un changement notable de ton dans certains cercles américains, relève encore le quotidien kinois, alors que Kigali bénéficiait jusqu'ici d'une image relativement favorable auprès des partenaires occidentaux ». Le M23 va-t-il quitter Uvira ? Conséquence sans doute de toutes ces pressions : l'AFC-M23 a annoncé hier lundi qu'elle allait se retirer d'Uvira… La rébellion l'indique dans un communiqué repris notamment par le site congolais Actualité CD : « "malgré les provocations et abus persistants de la part des FARDC et de leurs alliés, l'AFC-M23 a décidé d'initier une mesure unilatérale de confiance afin de donner au processus de paix de Doha toutes les chances de réussir", affirme le mouvement, ajoutant qu'il "retirera unilatéralement ses forces de la ville d'Uvira, comme demandé par la médiation des États-Unis". La rébellion précise toutefois que ce "retrait est conditionné à des garanties de sécurité", appelant "les garants du processus de paix à assurer la gestion de la ville, notamment sa démilitarisation, la protection des civils et des infrastructures, ainsi que le contrôle du cessez-le-feu par le déploiement d'une force neutre" ». Alors le M23 va-t-il vraiment se retirer d'Uvira ? Le Rwanda va-t-il céder aux injonctions internationales, notamment américaines ? Difficile de répondre… À Kigali, le quotidien The New Times, proche du pouvoir, contre-attaque en affirmant que « la coalition de la RDC poursuit une campagne d'extermination ciblée contre les civils banyamulenge », ces Tutsis congolais qui vivent dans le Kivu. Le pouvoir rwandais avance régulièrement ce prétexte de défendre cette minorité ethnique d'origine rwandaise pour justifier sa présence militaire dans l'est de la RDC. Plus de 500 000 personnes déplacées En attendant, la crise humanitaire s'amplifie. « Selon l'Unicef, rapporte Afrik.com, plus de 500 000 personnes, dont plus de 100 000 enfants, ont été déplacées depuis le 1er décembre au Sud-Kivu. Et plus de 40 000 Congolais ont franchi la frontière vers le Burundi en seulement quatre jours. Au total, 5,3 millions de personnes sont déplacées à l'intérieur du pays et plus de 24 millions souffrent d'insécurité alimentaire ». Enfin, rapporte encore Afrik.com, « la ministre congolaise des Affaires étrangères, Thérèse Wagner, appelle le Conseil de sécurité de l'ONU à imposer des sanctions ciblées contre les responsables militaires et politiques de l'agression, à instaurer un embargo total sur les minerais exportés comme rwandais, et à révoquer le statut de contributeur de troupes du Rwanda aux opérations de paix. Et elle prévient : "soit l'ordre international accepte d'être ouvertement bafoué, soit ce Conseil assume ses responsabilités" ».
À partir du 1er juillet 2026, tous les petits colis importés dans l'Union européenne seront soumis à une nouvelle taxe forfaitaire de 3 euros. Une mesure discrète en apparence, mais aux conséquences potentiellement majeures pour les consommateurs, les plateformes de e-commerce et les relations commerciales entre l'Europe et le reste du monde.Concrètement, cette taxe s'appliquera aux colis de faible valeur envoyés depuis des pays tiers, en particulier ceux en provenance d'Asie. Elle vise directement le flot massif de petits paquets commandés en ligne sur des plateformes comme Temu, Shein ou AliExpress, qui expédient chaque année des centaines de millions de colis vers l'Europe, souvent pour des montants très faibles, parfois inférieurs à 10 euros.L'objectif affiché de l'Union européenne est double. D'abord, financer les contrôles douaniers. Le volume de colis a explosé ces dernières années, mettant sous tension les services des douanes, incapables de vérifier efficacement chaque envoi. Ensuite, rééquilibrer la concurrence. Les commerçants européens dénoncent depuis longtemps une concurrence déloyale : ils paient TVA, normes sociales, environnementales et fiscales, quand certains vendeurs extra-européens bénéficient de failles du système.Car jusqu'ici, même si l'exonération de TVA sur les colis de moins de 22 euros a été supprimée en 2021, la réalité des contrôles reste très imparfaite. Résultat : une grande partie des petits colis échappe encore à une taxation réelle, tout en inondant le marché européen de produits à très bas prix.Avec cette taxe forfaitaire de 3 euros, Bruxelles fait un choix simple : une règle uniforme, automatique, et difficile à contourner. Peu importe la valeur exacte du colis, la taxe s'applique. Une solution pragmatique face à un commerce devenu massif, rapide et fragmenté.Mais cette mesure pose plusieurs questions. D'abord pour les consommateurs : sur un produit vendu 5 ou 6 euros, une taxe de 3 euros représente une hausse de prix considérable. Elle pourrait freiner l'achat impulsif et réduire l'attractivité des plateformes ultra-low cost. Ensuite pour les plateformes elles-mêmes, dont le modèle repose sur des marges extrêmement faibles et des volumes gigantesques.Enfin, cette taxe s'inscrit dans une stratégie plus large de l'Union européenne : reprendre le contrôle sur la mondialisation numérique, protéger son marché intérieur et imposer des règles communes à des acteurs devenus systémiques. Derrière ces 3 euros, ce n'est donc pas seulement une taxe qui se profile, mais un changement de philosophie.À partir de l'été 2026, le e-commerce mondialisé à prix cassés pourrait bien entrer dans une nouvelle ère. Et pour des millions d'Européens, le “petit colis pas cher” ne sera peut-être plus aussi anodin qu'avant. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Porté par un excellent Jalen Brunson New York réalise un bon début de saison. Les Knicks sont deuxièmes de la conférence et en finale de la NBA Cup face aux Spurs. Sont-ils enfin armés pour un titre ?
C dans l'air du 15 décembre 2025 - Ces épidémies qui inquiètent les agriculteurs... et l'OMSL'épidémie de dermatose nodulaire continue de se propager sur le territoire, et les agriculteurs se font entendre. Plusieurs actions de blocage se déroulent ce lundi 15 décembre dans le sud de la France, en réaction à l'abattage de plus de 200 bovins en Ariège la semaine dernière. Routes coupées et mobilisation témoignent d'un mécontentement croissant dans la profession, alors que la ministre de l'Agriculture est attendue ce lundi après-midi à Toulouse pour aborder la crise et lancer symboliquement une grande campagne sanitaire : la vaccination d'un million de bovins en France.« Bien sûr qu'il y a de l'angoisse, parce que chacun s'imagine que le virus est à la porte de son bâtiment d'élevage. Mais la situation est sous contrôle », a tenté de rassurer Annie Genevard ce matin sur France 2, ajoutant que la « discussion sur la suspension des abattages est ouverte ». « Les éleveurs font des propositions sérieuses et réfléchies. Nous allons écouter, regarder, concerter », a promis la ministre.Après être apparue cet été en Savoie, la dermatose nodulaire touche désormais l'Aude, où un premier cas a été détecté ce lundi, après avoir affecté la Haute-Garonne, la Savoie, l'Ain, le Jura, les Pyrénées et l'Ariège. Une maladie qui inquiète et divise le monde agricole. Car si la FNSEA appelle au calme et défend la stratégie gouvernementale, des éleveurs s'opposent à l'abattage systématique des troupeaux touchés et dénoncent le lancement bien trop tardif d'une campagne de vaccination. D'autres pointent l'inaction de l'État face à cette maladie et appellent à un contrôle accru des mouvements d'animaux.La ministre défend de son côté sa stratégie, affirmant s'appuyer sur « ce que la science nous dit, ce que les vétérinaires nous disent, ce que les pays étrangers ont appliqué ». « Il y a trois piliers : le dépeuplement (c'est-à-dire l'abattage, ndlr), la vaccination et la restriction des mouvements », a-t-elle énuméré, ajoutant que « cette stratégie a fonctionné en Savoie, en Haute-Savoie, dans le Jura, en Italie, en Espagne ». « Il faut que chacun ait conscience que l'ennemi, c'est le virus. D'abord, il faut respecter les consignes. Il faut limiter les mouvements, sinon tout va s'étendre et on ne maîtrisera plus rien », a insisté Annie Genevard ce lundi matin.Depuis vendredi dernier, les blocages se multiplient aux quatre coins de la France pour dénoncer la politique sanitaire du gouvernement. Et c'est loin d'être fini. Après d'importantes mobilisations menées tout le week-end, les syndicats ont déjà appelé à d'autres actions toute la semaine. Car d'autres dossiers brûlants alimentent aussi la colère des agriculteurs, comme la baisse annoncée du budget de la Politique agricole commune (PAC) européenne, l'accord de libre-échange prévu entre l'UE et les États du Mercosur, mais aussi la résurgence de la grippe aviaire.Le virus H5N1 atteint un niveau inédit et la France se retrouve parmi les pays les plus frappés par une grippe aviaire en pleine accélération. Entre foyers qui se multiplient, propagation fulgurante en Europe du Nord et risque de mutation, l'hiver s'annonce sous haute surveillance. La circulation très active du virus fait en effet craindre le passage de ce virus à l'humain.Alors, qu'est-ce que la dermatose nodulaire ? Derrière l'épidémie, quelles sont les raisons de la colère des éleveurs ? Enfin, pourquoi la grippe aviaire inquiète-t-elle particulièrement les autorités sanitaires cette année ?Nos experts :- Frédéric DENHEZ - Journaliste, spécialiste des questions environnementales - Marianne - Nicolas BERROD - Journaliste, chef adjoint du service santé sciences au Parisien - Aujourd'hui en France - Olivia DETROYAT - Journaliste économique - Le Figaro, en charge du suivi de l'agriculture - Gaelle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - Challenges
Les Canadiens de Montréal semblent être de retour sur la bonne voie depuis l'arrivée de Jacob Fowler, mais qu'en est-il de la situation avec Samuel Montembeault? Antoine Roussel estime que le Tricolore est en mode objectif pour les séries. Toujours concernant Montembeault, Simon-Olivier Lorange se demande comment un gardien qui a disputé 60 matchs la saison dernière a pu perdre ses repères à ce point. Et on discute du calendrier trop chargé de la LNH. Ce sont quelques-uns des sujets de ce nouvel objectif de Sortie de zone avec l'animateur Jérémie Rainville et Antoine Roussel du 98.5, ainsi que Simon-Olivier Lorange et Alexandre Pratt, de La Presse. Le sommaire Bloc 1 00:50 - Est-ce que la stratégie «Fowler» a eu son effet permanent sur Jakub Dobes? Et si Samuel Montembeault ne suit pas… Quelle sera la suite dans son cas? 18:30 - Trois points sur une possibilité de quatre ce week-end. Mission accomplie malgré l’avance perdue de 3-0 face aux Rangers? 24:20 - Texier, Veleno, Anderson, Evans, Gallagher… Enfin du soutien! Bloc 2 31:50 - Malgré le roman savon des Canadiens (blessures, gardiens, maturité), le Tricolore a une fiche de 17-11-4 (38 points). Une surprise pour vous? Bloc 3 49:00 - Le défenseur Quinn Hughes avec le Wild. Une bonne combinaison? 56:00 - La bourse de la LNH (vendez/achetez)Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Le déséquilibre commercial entre la Chine et l'Union européenne atteint des niveaux records. Alors que Pékin redirige massivement ses exportations vers le marché européen, Bruxelles durcit le ton et assume un tournant plus protectionniste, au nom de la défense de son industrie et de sa sécurité économique. Le constat est sans appel. Le déficit commercial de l'Union européenne vis-à-vis de la Chine s'est envolé, atteignant près de 300 milliards d'euros cette année. L'Europe importe aujourd'hui deux fois plus de produits chinois qu'elle n'en exporte vers Pékin. Une situation dénoncée ouvertement par Emmanuel Macron. Ces derniers jours, le président français a évoqué un déséquilibre « insupportable », estimant que le continent européen est désormais confronté à une menace directe pour son tissu industriel. Cette dynamique s'est nettement accélérée depuis le durcissement de la politique commerciale américaine. Les droits de douane massifs imposés par les États-Unis ont poussé la Chine à rediriger une partie de ses marchandises vers d'autres régions du monde. Et dans ce contexte, l'Europe se retrouve en première ligne. À Bruxelles, l'inquiétude est palpable. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, parle désormais d'un « point critique » dans la relation commerciale entre l'Union européenne et la Chine. À lire aussiVisite d'Emmanuel Macron à Pékin: pourquoi la France veut désormais apprendre de la Chine Un « nouveau choc chinois » pour l'industrie européenne Les effets de cette montée en puissance des exportations chinoises se font sentir dans presque tous les secteurs. De l'automobile au textile, en passant par les jouets ou l'électronique, toute la chaîne industrielle européenne est sous pression. La guerre commerciale entre Pékin et Washington joue ici un rôle déterminant. Si les États-Unis ont réussi à freiner certaines importations chinoises, l'Europe apparaît comme la victime collatérale de ce bras de fer. Certains observateurs évoquent déjà l'émergence d'un nouveau « choc chinois », rappelant celui des années 2000, mais avec cette fois des secteurs à plus forte valeur ajoutée en première ligne. À cela s'ajoute un phénomène plus récent et particulièrement massif : le commerce en ligne chinois. Les plateformes comme Shein ou Temu expédient chaque jour des millions de petits colis vers l'Union européenne, souvent à très bas prix et en grande partie hors des circuits douaniers classiques. Bruxelles durcit le ton, au risque de représailles Face à cette situation, la Commission européenne a décidé de réagir. Vendredi, l'exécutif européen a annoncé son intention d'imposer une taxe de 3 euros sur les petits colis chinois à partir de juillet 2026. Une mesure d'urgence, destinée à limiter la concurrence jugée déloyale de ces produits et à protéger les commerçants européens. Mais ce n'est qu'un volet d'un changement de philosophie plus large. Après des décennies d'ouverture et de libre-échange, le protectionnisme n'est plus un tabou à Bruxelles. Trois grandes familles de mesures sont actuellement à l'étude. D'abord, la création d'un pôle de sécurité économique, chargé d'identifier les risques et d'anticiper les tensions commerciales. Ensuite, un encadrement plus strict des investissements étrangers, notamment chinois, avec des conditions sur les transferts de technologie et la production sur le sol européen afin d'éviter des investissements jugés prédateurs. Enfin, de nouveaux outils de défense commerciale, comme la taxation de produits fortement subventionnés par Pékin. Un pari risqué. En régulant davantage son marché, l'Europe s'expose à d'éventuelles représailles chinoises. Cela pourrait se traduire par une hausse des prix à l'importation, un impact sur l'inflation, mais aussi par une fragilisation des exportateurs européens si l'accès au marché chinois devenait plus difficile. Bruxelles avance donc sur une ligne de crête : se protéger face à une concurrence jugée déloyale, tout en évitant d'entrer dans une spirale de guerre commerciale incontrôlée.
Demandez le programme, il est tout chaud, il est tout chaud, il vient de sortir. Eh oui la plupart des grands leaders du peloton ont rendu ces derniers jours leur copie et livrés leur programme de début de saison. Des ambitions et des objectifs différents pour les cadors que l'on va décrypter aujourd'hui dans Grand plateau. En nous intéressant notamment à celui du patron, Tadej Pogacar qui rêve désormais à voix haute de Paris-Roubaix. L'enfer du Nord qu'il a découvert l'an dernier et qui constituera en 2026 son objectif premier. Premier peut être mais pas unique, non vous connaissez l'appétit du glouton slovène qui a également l'intention l'année prochaine d'entrer dans le club des 5, club très fermé des quintuples vainqueurs du Tour même si ça ne le fait pas plus triper que cela. La grande boucle il en rêve lui aussi mais du bout des lèvres seulement. Paul Seixas le grand espoir du cyclisme français attend d'abord de voir comment va se dérouler son début de saison avant de se prononcer. Sera-t-il présent à Barcelone le 4 juillet prochain ? Les paris sont ouverts, nos experts livreront leurs pronostics. Enfin on verra ce qui fait rêver Remco Evenepoel qui a changé de tunique, Mathieu Van der Poel qui lui a attaqué sa saison de cyclo-cross par une chute et une victoire ou encore Jonas Vingegaard, l'un des seuls à garder le secret sur son futur programme, histoire de tromper l'adversaire et de piéger Pogi. Avec Christophe Cessieux, Yohan Bredow, Pierre Koetschet et Jérôme Pineau Production : Roxanne LacuskaRéalisation : Loic Peltier
Bruno Guglielminetti et Jérôme Colombain reviennent sur l'entrée en vigueur de la loi australienne interdisant les réseaux sociaux aux moins de 16 ans, une mesure déjà contournée par les adolescents via des plateformes non visées par le texte. Ils analysent ensuite le flou entourant un décret américain qui pourrait obliger les voyageurs à fournir l'historique de leurs comptes de réseaux sociaux lors d'une demande d'entrée aux États-Unis. Le duo s'attarde aussi au partenariat entre Adobe et OpenAI, qui permet désormais d'utiliser Photoshop, Acrobat et Adobe Express directement dans ChatGPT. Ils commentent la décision du magazine Time de désigner les grands patrons de l'IA comme personnalités de l'année 2025. Enfin, ils discutent des projets de centres de données dans l'espace, une idée autrefois théorique qui gagne désormais en crédibilité.
Quand on parle de modifier son apparence, on mélange souvent deux domaines pourtant très différents : la chirurgie esthétique et la médecine esthétique. Elles partagent un objectif commun — améliorer l'apparence physique — mais leurs méthodes, leurs actes et leurs implications n'ont rien à voir.La chirurgie esthétique est une branche de la chirurgie plastique. Elle consiste à intervenir de façon invasive, en salle d'opération, sous anesthésie locale ou générale, avec souvent des incisions et un temps de récupération. Elle modifie de manière durable, parfois définitive, la structure du corps. Par exemple : une rhinoplastie, une augmentation mammaire, un lifting du visage, une liposuccion ou une blépharoplastie. La chirurgie esthétique requiert un chirurgien spécialisé, un bloc opératoire et un suivi médical post-opératoire. Elle engendre aussi des risques plus importants : complications anesthésiques, infections, cicatrices, ou résultats définitifs parfois difficiles à corriger. C'est une démarche lourde, pensée sur le long terme.La médecine esthétique, elle, est une pratique médicale non chirurgicale. Elle repose sur des actes minimaux ou non invasifs, réalisés en cabinet, sans anesthésie générale ni hospitalisation. L'objectif est d'obtenir un embellissement progressif et naturel, souvent avec des résultats temporaires. Parmi les actes les plus courants : les injections d'acide hyaluronique, le Botox, les peelings, la mésothérapie, la lumière pulsée ou encore le laser pour traiter la peau. Ces procédures ont généralement peu d'effets secondaires et n'exigent qu'un temps de récupération très court, parfois aucun. Le médecin esthétique agit donc davantage en surface, en retardant les signes du vieillissement plutôt qu'en modifiant la structure profonde du corps.La différence la plus importante tient donc au niveau d'invasivité et à la réversibilité. La chirurgie esthétique transforme, la médecine esthétique optimise. La première demande une vraie préparation, un bilan médical et un engagement personnel, puisque les résultats sont durables. La seconde s'inscrit souvent dans une routine de soins, réalisée tous les 6 à 18 mois selon les patients et les techniques.Enfin, les motivations des patients divergent parfois. La médecine esthétique attire ceux qui veulent prévenir ou corriger légèrement, sans transformation radicale. La chirurgie, elle, répond aux attentes de changement plus marqué, parfois à des complexes installés de longue date.En résumé : la médecine esthétique embellit, la chirurgie esthétique transforme. Deux approches complémentaires, mais fondamentalement différentes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tapis rouge dans le Point, cette semaine. Nicolas Sarkozy, souriant, est en Une, avec ce sous-titre : « Nicolas Sarkozy, le grand entretien ». Une longue interview, d'une dizaine de pages, dans laquelle celui qui vient de passer vingt jours en prison, et qui raconte ce séjour dans le Journal d'un prisonnier, est interrogé sur l'âge de la retraite, le pouvoir judiciaire, ou encore le christianisme. C'est Franz-Olivier Giesbert, l'éditorialiste du Point, qui mène l'interview avec enthousiasme et commence par cette question inattendue : « Aujourd'hui, dans votre situation, la solution la plus logique pour vous ne serait-elle pas de vous présenter à l'élection présidentielle afin de laver dans le suffrage universel l'affront de votre détention ? ». Nicolas Sarkozy répond que « techniquement, c'est impossible ». Il est en effet inéligible. Après cette interview, le Point revient d'ailleurs en détail sur « les batailles judiciaires » de l'ex-président. « Son procès en appel dans l'affaire libyenne s'ouvrira en mars », rappelle l'hebdomadaire, qui constate : « La promotion de son livre pourra le divertir, mais le répit sera de courte durée. Nicolas Sarkozy n'en a pas fini avec les juges, qui auront le dernier mot ». À lire aussiFrance: avec son livre, Nicolas Sarkozy «s'inscrit dans sa stratégie de défense médiatique» « J'ai prié » Le Canard enchaîné a lui aussi lu le Journal d'un prisonnier, et en livre un compte-rendu beaucoup plus caustique. « Merci, saint Nicolas ! », titre l'hebdomadaire satirique. « Nicolas Sarkozy, ironise le Canard, est sur le chemin de la sainteté. C'est ce qu'on comprend en lisant son Journal d'un prisonnier, qui raconte sa rédemption et la nouvelle vie qu'il compte mener désormais, loin des équipées chez Kadhafi, loin de ses liens sulfureux avec le Qatar, loin de l'affairisme pratiqué frénétiquement depuis son départ du pouvoir ». Le Canard enchaîné ne semble donc pas convaincu par les propos de Nicolas Sarkozy, qui dans son livre raconte notamment son rapport à la foi, quand il était en prison : « J'ai prié, assure l'ancien président, je priais pour avoir la force de porter la Croix de cette injustice ». Déclaration dont l'hebdomadaire satirique s'amuse en ces termes : « Dieu est partout à la prison de la Santé et il n'oublie pas la brebis égarée ». À lire aussiFrance: l'ex-président Nicolas Sarkozy raconte sa détention dans «Le journal d'un prisonnier» Ancien ministre En France, la fast-fashion est sur le banc des accusés. Et, cette fast-fashion se résume en un mot : Shein. C'est à la Une du Nouvel Obs cette semaine. L'hebdomadaire nous parle d'une « affaire d'État » et nous promet des « révélations sur un lobbying secret ». Car avant de faire office d'ennemi public numéro 1, en France en tout cas, « la plateforme qui reçoit un million de commandes par jour » a courtisé députés et ministres. Le Nouvel Obs s'en offusque : « Les dirigeants de l'enseigne de fast-fashion ont décroché de discrets rendez-vous à Matignon, pour faciliter leurs affaires en France. Plus dérangeant encore : des représentants bien introduits dans les cercles du pouvoir – l'ex-ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner en tête – ont été grassement rémunérés pour défendre les intérêts du dragon de la mode instantanée ». « Que vient faire un proche du chef de l'État dans ce dossier alors que le Parlement est en train de légiférer ? », interroge le Nouvel Obs. En effet, en mars 2024, les députés sont appelés à se prononcer « sur une proposition de loi, déposée par le groupe Horizons, visant à réguler l'ultra fast-fashion ». BHV et taxe Shein Toutefois, le lobbying en faveur de Shein se heurte à la réalité. Avec tout d'abord, la désastreuse installation de la plateforme chinoise au très chic BHV à Paris, installation qui a fait fuir les marques de luxe, mais aussi les clients. Et, ce n'est pas tout : « La riposte s'organise enfin », s'exclame le Nouvel Obs : « L'État demande devant le tribunal judiciaire de Paris, la suspension du site pendant trois mois, pour avoir commercialisé des poupées à caractère sexuel d'apparence enfantine. Et, dans le cadre du chaotique débat budgétaire, les députés ont adopté une "taxe Shein" de deux euros ciblant les petits colis d'origine extra-européenne ». La partie n'est pas terminée pour autant. Shein s'active dans les coulisses à Bruxelles, « un ancien commissaire européen est à la manœuvre, l'allemand Günther Oettinger », explique le Nouvel Obs, qui reste méfiant et qui soupçonne Ursula von der Leyen de manquer de cran sur la question de la fast-fashion. La présidente de la Commission européenne serait « tétanisée à l'idée de provoquer une guerre commerciale avec la Chine ». À lire aussiFrance: «C'est le naufrage de l'année pour Shein et le BHV» Plaider l'humanité Enfin, l'Express s'inquiète pour Christophe Gleizes. Le journaliste sportif français, récemment condamné, en appel, à 7 ans de prison en Algérie, ne semble pas avoir bénéficié de l'éclaircie entre Paris et Alger, entrevue à l'occasion de la libération de l'écrivain franco-algérien, Boualem Sansal, le 12 novembre. « Alger a manifestement opté pour le cynisme », accuse l'Express, qui poursuit : « en se délestant de ses deux prisonniers politiques, le régime algérien se serait privé d'un levier utile dans ses négociations, notamment migratoires et mémorielles, avec la France ». « Tout espoir n'est pas perdu », assure toutefois l'Express : « La possibilité d'une grâce demeure entre les mains du président Abdelmadjid Tebboune. Il faudra plaider l'humanité ; Christophe Gleizes aimerait revoir sa grand-mère Georgette. Elle a bientôt 102 ans.» À lire aussiCondamnation de Christophe Gleizes: «Nous sommes sous le choc de ce verdict», disent ses parents
Les Champs-Elysées, la plus belle avenue du monde. Nous allons tenter d'en percer le mystère en la descendant depuis la place de l'Etoile. Industries du luxe, restauration, histoire, showroom de constructeurs automobiles, cinéma, magasins mainstream : qu'est-ce qui fait le charme de cette avenue? Anne-Laure et moi avons testé plusieurs moments de la journée : l'après-midi (première visite), le soir et enfin le matin de bonne heure pour une grande promenade. L'avenue peut se révéler assez déconcertante, mais elle ne laisse pas indifférent. On peut y suivre les différentes étapes de son histoire. Je détaillerai davantage l'ambiance de chaque lieu dans la lettre qui accompagne cet épisode, n'hésitez pas à découvrir mes Lettres parisiennes sur www.onethinginafrenchday.com. Enfin, parce que cet épisode est long, vous pourrez jouer à tester votre compréhension au fur et à mesure de l'écoute (réservé aux abonnés des Lettres parisiennes). Ah, et n'oubliez pas le calendrier de décembre sur le site du podcast ! Le 20 décembre, il y aura un concours avec des livres à gagner ! Et à partir de la semaine prochaine, le podcast ouvre sa malle aux trésors… que contient-elle ? Vous le découvrirez en écoutant les épisodes de la semaine prochaine.