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Nous commencerons la première partie de l'émission par une discussion sur les initiatives prises pour tenter de mettre fin à la guerre en Ukraine. Les efforts du président américain et des dirigeants européens aboutiront-ils à un accord de paix ? Nous poursuivrons avec une discussion sur les critiques de l'extrême droite au sein de l'UE concernant les subventions de 17 millions d'euros allouées à des projets liés à l'islam. Dans la partie science et technologie de l'émission, nous parlerons d'une étude sur l'interprétation des pensées de patients à l'aide d'une voix synthétique. Enfin, nous parlerons d'un programme visant à recruter des scientifiques américains pour travailler en Europe. L'Europe serait-elle en train de profiter des coupes budgétaires draconiennes de Trump pour débaucher des scientifiques américains ? Dans le dialogue grammatical, nous travaillerons sur ce point de grammaire : The Imperfect Tense - The Verbs of the Second Group. Nous parlerons de la façon dont les médias traitent les phénomènes climatiques. Les présentent-ils toujours comme des événements ponctuels et exceptionnels ou bien comme des éléments d'une tendance mondiale plus large, le changement climatique ? Nous terminerons avec l'expression de la semaine, « être monnaie courante ». Nous discuterons des appels à un blocage général du pays à la date du 10 septembre, qui se multiplient sur les réseaux sociaux. À quoi faut-il s'attendre ? - Sommet Trump-Poutine : les dirigeants européens réagissent, mais la situation reste bloquée - L'UE répond aux critiques concernant les projets de recherche liés à l'islam - Des chercheurs parviennent à déchiffrer avec précision les pensées de patients - L'Europe serait-elle en train de débaucher des scientifiques américains après les coupes budgétaires de Trump ? - Comment le traitement du changement climatique a évolué dans les médias - La France sera-t-elle entièrement bloquée à partir du 10 septembre ?
Retrouve la vidéo et la transcription sur : https://www.francaisauthentique.com/du-de-la-des-tu-comprendras-enfin-les-articles-partitifs
En route pour Cologne! Dernier point avant la Gamescom 2025, qui s'annonce particulièrement chargée! On récapitule nos dernières attentes, nos derniers espoirs fous et quelques prédictions en compagnie d'Aekonimi de la team IGN France qui nous accompagne tout l'été. On revient également sur Donkey Kong Bananza, les dernières censures venues de Chine, le rapprochement inexorable de Xbox et Playstation et on revisite le remake de Romancing SaGa 2 sur Switch 2.Bonne écoute à tous, comme toujours la Belle et le Gamer existe grâce au soutien de ses formidables fans via Patreon, et pour les rejoindre, ça se passe par ici.Pour rejoindre la communauté de La Belle et le Gamer et nous soutenir, tous les liens utiles se trouvent à l'adresse suivante, y compris l'invitation pour rejoindre notre serveur Discord, et notre chaîne Twitch: https://linktr.ee/LBELG. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cet été Silence on joue donne la parole à ses auditrices et ses auditeurs durant six épisodes spéciaux. Dans ce cinquième épisode, on commence par parler ENFIN (non mais c'est pas trop tôt !) du monument de la «grande stratégie» Crusader Kings 3, ses dynasties, ses complots sordides et ses histoires qui s'étalent sur plusieurs siècles. Dans la deuxième partie, on part avec de grosses épées à la chasse aux gros monstres dans Monster Hunter Wilds.Ginred Le Mag nous parle, pour ce cinquième épisode, de STRAFTAT, Arranger: A Role-Puzzling Adventure et Cauldron.Chapitres :0:00 Crusader Kings 354:17 Ginred Le Mag1:02:55 Monster Hunter WildsRetrouvez toutes les chroniques de jérémie dans le podcast dédié Silence on Joue ! La chronique jeux de société (Lien RSS).Pour commenter cette émission, donner votre avis ou simplement discuter avec notre communauté, connectez-vous au serveur Discord de Silence on joue!Retrouvez Silence on Joue sur Twitch : https://www.twitch.tv/silenceonjoueSoutenez Silence on joue en vous abonnant à Libération avec notre offre spéciale à 6€ par mois : https://offre.liberation.fr/soj/Silence on joue ! C'est l'émission hebdo de jeux vidéo de Libération. Avec Erwan Cario et les auditeur·ices de SoJ : Val0200, Bhaal42, Vlad, Uther2, Necheku, Léo-Bibi, Tenryu, Ome. CRÉDITSSilence on joue ! est un podcast de Libération animé par Erwan Cario. Cet épisode a été enregistré le 29 juin et le 1er juillet 2025 sur Discord. Réalisation : Erwan Cario. Générique : Marc Quatrociocchi. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'était l'une des grandes figures de la vie politique malienne. Tiébilé Dramé, ancien ministre des Affaires étrangères, est décédé hier à Paris. Il avait 70 ans. La presse malienne lui rend hommage ce matin. « Le Mali perd un soldat de la démocratie », s'exclame le site d'information Maliweb. « Ancien leader estudiantin, il fut l'un des artisans de la chute du régime de Moussa Traoré (en 1991). Journaliste et promoteur de médias, Tiébilé Dramé a occupé plusieurs postes ministériels, notamment celui de ministre des Affaires étrangères en 2019, sous la présidence d'Ibrahim Boubacar Keïta. Au-delà de ses fonctions gouvernementales, il s'est toujours illustré comme un ardent défenseur du dialogue politique et de la réconciliation nationale. Fondateur du Parti pour la renaissance nationale (le PARENA), il a constamment milité pour des élections transparentes et une alternance pacifique au Mali. Son engagement dans les négociations de paix, ainsi que ses prises de position critiques lors des différents coups d'État, ont renforcé son image d'homme intègre et courageux, même face à l'adversité. » À lire aussiMali: l'ancien ministre des Affaires étrangères Tiébilé Dramé est décédé Homme politique, homme de presse, homme de dialogue « Le Mali pleure la disparition de Tiébilé Dramé », renchérit Malijet. « La nouvelle a provoqué une grande émotion dans tout le pays. (…) Tiébilé Dramé a laissé sa marque sur le Mali grâce à son implication en politique et son rôle dans les médias. Après la transition démocratique de 1992, il a créé l'hebdomadaire Le Républicain. Ce journal est rapidement devenu un titre incontournable, participant activement à l'essor de la presse malienne. Aujourd'hui, Le Républicain est un des principaux journaux du pays, preuve de l'influence durable de son fondateur qui s'est toujours fait remarquer par sa capacité à dialoguer et son rôle de conciliateur dans de nombreuses situations de crise. » « Le Mali orphelin de son vieux lion politique », soupire Sahel Tribune qui le qualifie à la fois de « démocrate » et de « pragmatique » : « Tiébilé Dramé n'a jamais cessé de dénoncer les coups d'État, tout en négociant avec les pouvoirs en place lorsque l'intérêt national le commandait. Au fil des décennies, il est devenu un artisan des pourparlers de paix. En coulisses, il parlait à tout le monde, y compris à ceux qu'il critiquait publiquement. (…) Dans un pays où la politique se joue aussi dans l'ombre, il avait compris que la fermeté pouvait s'accommoder de compromis. (…) Avec sa disparition, pointe encore Sahel Tribune, le Mali perd l'un des derniers visages de la génération 91, celle qui a abattu une dictature à mains nues. Mais aussi un “intranquille“ qui refusait aussi bien la résignation que les certitudes faciles ». Période trouble… Tiébilé Dramé tire sa révérence alors que son pays, le Mali, traverse une période trouble : junte militaire au pouvoir, menace djihadiste toujours présente, partis politiques dissous, emprisonnement d'opposants, dont récemment l'ancien premier ministre Moussa Mara, et ces derniers jours - on en parlait hier dans cette même revue de presse -, une vague d'arrestations au sein de l'armée. Dernière info en date : la garde à vue hier de l'ancien Premier ministre, Choguel Kokalla Maïga. « Début d'une enquête sensible à Bamako », s'exclame le site d'information Bamada. « Choguel Kokalla Maïga a été placé en garde à vue dans le cadre d'une enquête portant sur des allégations d'atteinte aux biens publics. Cette décision intervient après une première audition effectuée vendredi dernier. Plusieurs de ses anciens collaborateurs ont également été placés en garde à vue. » « Choguel Kokalla Maïga, rappelle Ledjely en Guinée, a été un acteur clé de la transition malienne, défendant farouchement la junte devant les institutions internationales. Ce fut, à l'époque, une alliance quasi parfaite. Mais depuis son départ de la Primature, la lune de miel semble bel et bien terminée. » Enfin, on revient à Sahel Tribune qui résume ainsi la situation : « en quelques jours, la scène politique malienne a perdu un vétéran respecté, vu deux anciens Premiers ministres confrontés à la justice, et confirmé que l'heure est à la discipline et à la redevabilité. Les règles du jeu changent : désormais l'immunité politique ne protège plus contre les rigueurs de la loi ».
Préparez vos valises pour un nouveau RoadTrip au Mexique !
L'émission 28 minutes du 09/08/2025 Benjamin Sportouch décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien suisse Blick.fr, Anna Kowalska, correspondante de la télévision publique polonaise TVP, Aysegul Sert, journaliste turco-américaine et professeure à l'école de journalisme de Sciences Po et le dessinateur de presse, président de la Fondation Freedom Cartoonists, Patrick Chappatte. Pologne : un nouveau président nationaliste pro-Trump à la tête du paysMercredi 6 août, Karol Nawrocki a été officiellement investi président de la République polonaise. Dans un discours au Parlement, il a affirmé sa volonté de défendre la souveraineté nationale et de rejeter toute influence extérieure qu'il considère comme une menace à l'identité polonaise. Âgé de 42 ans, ce conservateur aux convictions catholiques affirmées s'est rapidement imposé sur la scène politique en critiquant les élites et l'Union européenne, rejoignant ainsi un groupe croissant de dirigeants nationalistes et conservateurs en Europe centrale. Une élection quiinquiéte à Bruxelles…France-Algérie : des relations dans l'impasse ?Alors qu'Emmanuel Macron a durci sa position en appelant à suspendre l'accord de 2013 sur les visas diplomatiques avec l'Algérie, Alger a immédiatement répliqué en prenant la même décision. Elle reproche à la France de fuir ses responsabilités dans une crise bilatérale désormais installée, où les tensions s'enchaînent depuis l'été 2024. Ce changement de ton brutal d'Emmanuel Macron, en ligne avec des positions défendues par Bruno Retailleau, interroge : s'agit-il d'un tournant assumé ou d'un calcul politique face à une situation bloquée ?Nous recevons Jean-Noël Escoffier pour son livre “Sandwichs, un tour du monde en 150 recettes”, paru chez Flammarion. Ce directeur conseil dans le digital est un passionné de la cuisine populaire mondiale. Il s'intéresse aux recettes simples mais emblématiques qui racontent la vie quotidienne aux quatre coins du monde.Marion L'hour nous donne des nouvelles de nos chers voisins espagnols où une épidémie de faux diplômes chamboule le monde politique. Depuis le 21 juillet, trois responsables politiques appartenant à des bords différents ont dû démissionner, mis en cause pour avoir falsifié ou enjolivé leur curriculum universitaire. Et l'affaire se poursuit… Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine au juge de la Cour suprême brésilienne, Alexandre de Moraes. Lundi 4 août, ce dernier a ordonné l'assignation à résidence de l'ex-président Jair Bolsonaro. L'ancien président brésilien aurait bafoué une interdiction liée à son procès pour tentative de coup d'État, en s'exprimant à distance lors de manifestations.Reza Pounewatchy zappe sur la télévision russe où l'arrestation, le procès et l'amende de deux influenceuses après une vidéo TikTok glorifiant des frappes de drones ukrainiens dit beaucoup du Kremlin.Alix Van Pée s'intéresse à un fait de société à méditer : aux États-Unis où près d'1 Américain sur 6 se dit stressé au quotidien, des “scream clubs” pour évacuer le stress voient le jour. Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 8 août 2025 Présentation Benjamin Sportouch Production KM, ARTE Radio
Le ton ne cesse de monter entre Paris et Alger. Avant-hier, Emmanuel Macron annonçait sa décision de suspendre l'accord de 2013, qui exempte de visa les détenteurs de passeport diplomatique. Hier, nous dit TSA, Tout sur l'Algérie, Alger a répliqué en « convoquant le chargé d'affaires de l'ambassade de France à Alger », et en annonçant « que les Français titulaires de passeports diplomatiques et de service, devront (eux aussi) obtenir un visa pour se rendre en Algérie ». Mais ce n'est pas tout, comme l'explique El Watan. Les autorités algériennes ont également décidé « de mettre fin à la mise à disposition, à titres grâcieux, de biens immobiliers appartenant à l'État algérien au profit de l'ambassade de France en Algérie ». ObservAlgérie de son côté, titre : « Passeports diplomatiques et officiels : l'Algérie répond à la France » et souligne « que les relations diplomatiques entre l'Algérie et la France connaissent une tension croissante », rappelant par ailleurs « que cette décision survient dans un contexte de relations déjà tendues, marquées par des divergences sur la gestion des questions migratoires et les droits des ressortissants algériens en France ». Le Matin d'Algérie, lui, évoque « un nouvel épisode dans l'escalade d'une relation bilatérale marquée par la défiance et la volonté algérienne d'imposer une stricte réciprocité ». Enfin, Algérie Patriotique annonce « que les deux premières mesures tombent, en réaction à la nouvelle provocation de la France ». Ton offensif Au Cameroun, l'opposant Maurice Kamto dénonce le rejet de sa candidature à l'élection présidentielle. « C'est la réaction du chef du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, à l'invalidation de sa candidature à l'élection présidentielle d'octobre prochain », nous explique l'agence de presse africaine APAnews, qui précise : « dans une déclaration au ton offensif, l'opposant accuse le régime du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais, le RDPC, d'avoir « sciemment orchestré », son exclusion du scrutin ». « La décision de m'écarter de l'élection présidentielle de 2025, a été prise de longue date par le régime RDPC », accuse encore Maurice Kamto, « qui s'en prend aussi à la communauté internationale, en particulier à l'ONU qu'il accuse d'avoir signé un accord secret avec Elecam, le conseil électoral d'élections Cameroon, le 9 mai dernier, pour (dit-il) prétendument garantir la transparence de l'élection ». Et l'opposant ne baisse pas les bras. Actu Cameroun reprend ses derniers mots : « mes chers compatriotes, je suis debout et resterai à vos côtés ». Relations au beau fixe À lire également dans la presse africaine ce matin, le voyage en Turquie du Premier ministre sénégalais. Dakar Actu publie la photo d'Ousmane Sonko, serrant la main du président turc Recep Tayep Erdogan. Sénégo publie une autre photo des deux hommes assis et regardant l'objectif. De quoi les deux dirigeants ont-ils parlé ? Selon Africa News « ils ont signé quatre accords, dans les domaines de la défense, des médias et de l'éducation », « à l'entame d'une visite de cinq jours que le Premier ministre sénégalais effectue en Turquie ». Les relations entre la Turquie et le Sénégal semblent au beau fixe : Sénégo souligne qu'Ousmane Sonko devait être hier soir « l'invité d'un dîner officiel « organisé en son honneur », « un geste protocolaire, symbole de respect et d'amitié entre les deux nations ». Sur le fond, les problèmes financiers du Sénégal ont été abordés selon Sénéweb, qui titre : « ce que Sonko a demandé au président Erdogan ». C'est de « notoriété publique », souligne le site d'information, « l'État du Sénégal traverse actuellement une situation financière extrêmement délicate (…) ce jeudi, en Turquie, il n'a pas hésité à soumettre la question au président Erdogan, il l'a invité à davantage appuyer le Sénégal, notamment dans le déroulement de son plan de redressement ». Dernier point : les deux hommes ont évoqué la situation à Gaza, précise Dakar Actu, « exprimant ensemble leur indignation et condamnant le génocide qui se déroule en Palestine ».
Ah les vacances ! Enfin, le moment de se reposer ! Pour tout le monde ? Pas vraiment. Dans une une étude Ifop datant de 2022, on apprenait qu'à la fin de leurs congés, les femmes sont 70% à se trouver se trouver finalement plus fatiguées qu'avant les vacances. Les hommes eux sont 57 % à partager ce ressenti. Et la réalité, c'est que les parents ne partent pas vraiment en vacances. Ils s'occupent juste de leurs enfants dans une ville différente. Ce qu'on devrait appeler la délocalisation parentale est donc globalement une arnaque. Vous croyez que vous partez en vacances, parce que factuellement vous allez dans un endroit super où il fait bon vivre. Un endroit où il y a parfois une piscine, la mer, la montagne, de belles balades à faire, des musées exceptionnels à visiter. Et vraiment, c'est merveilleux tout ça MAIS vous n'allez juste pas en profiter. Tout simplement parce que vous partez “en vacances” avec les personnes certes les plus mignonnes du mondes mais aussi : les pires pour en profiter. Crises, nuits agitées, machines à laver, charge mentale intacte, les vacances épuisent. Mais alors que faire face à ce constat : rêver d'autres ailleurs comme Renée Greusard ou épouser sagement la réalité comme son compagnon Clément ? C'est ce dilemme que la journaliste raconte dans "Les vacances sa mère", mais aussi tout ce qu'il implique comme réflexions sociétales.Description générale "Les vacances sa mère" est une série qui explore les difficultés de la parentalité particulièrement saillantes pendant les vacances, puisqu'elles n'offrent souvent aucune échappatoire.Bibliographie- "Les grandes oubliées : Pourquoi l'Histoire a effacé les femmes" de Titiou Lecoq- Éditions de l'Iconoclaste, 2021 "Avoir des enfants rend-il heureux ?" de Béatrice Kammerer- Sciences humaines 2021 "Le ménage : La fée, la sorcière et l'homme nouveau" de Christine Castelain-Meunier, Stock, 2013 Enregistrements Printemps 2025 Prise de son et montage Renée Greusard Réalisation Annabelle Brouard Mixage Arnaud Forest Illustration Malijo Production ARTE Radio
Ah les vacances ! Enfin, le moment de se reposer ! Pour tout le monde ? Pas vraiment. Dans une une étude Ifop datant de 2022, on apprenait qu'à la fin de leurs congés, les femmes sont 70% à se trouver se trouver finalement plus fatiguées qu'avant les vacances. Les hommes eux sont 57 % à partager ce ressenti. Et la réalité, c'est que les parents ne partent pas vraiment en vacances. Ils s'occupent juste de leurs enfants dans une ville différente. Ce qu'on devrait appeler la délocalisation parentale est donc globalement une arnaque. Vous croyez que vous partez en vacances, parce que factuellement vous allez dans un endroit super où il fait bon vivre. Un endroit où il y a parfois une piscine, la mer, la montagne, de belles balades à faire, des musées exceptionnels à visiter. Et vraiment, c'est merveilleux tout ça MAIS vous n'allez juste pas en profiter. Tout simplement parce que vous partez “en vacances” avec les personnes certes les plus mignonnes du mondes mais aussi : les pires pour en profiter. Crises, nuits agitées, machines à laver, charge mentale intacte, les vacances épuisent. Mais alors que faire face à ce constat : rêver d'autres ailleurs comme Renée Greusard ou épouser sagement la réalité comme son compagnon Clément ? C'est ce dilemme que la journaliste raconte dans "Les vacances sa mère", mais aussi tout ce qu'il implique comme réflexions sociétales.Description générale "Les vacances sa mère" est une série qui explore les difficultés de la parentalité particulièrement saillantes pendant les vacances, puisqu'elles n'offrent souvent aucune échappatoire.Bibliographie- "Les grandes oubliées : Pourquoi l'Histoire a effacé les femmes" de Titiou Lecoq- Éditions de l'Iconoclaste, 2021 "Avoir des enfants rend-il heureux ?" de Béatrice Kammerer- Sciences humaines 2021 "Le ménage : La fée, la sorcière et l'homme nouveau" de Christine Castelain-Meunier, Stock, 2013 Enregistrements Printemps 2025 Prise de son et montage Renée Greusard Réalisation Annabelle Brouard Mixage Arnaud Forest Illustration Malijo Production ARTE Radio
Et voilà ! Après Superman, l'été des super-héros se poursuit avec la sortie au cinéma du film Les 4 fantastiques : premiers pas, qui marque le retour tant attendu de la Première Famille Marvel sur grand écran ! Les Fantastic Four, anciennement hébergés chez la Fox, sont désormais chez Marvel Studios, et font leur entrée dans le MCU par une Terre parallèle. Et au final, c'est peut-être ce qui fait la force d'un film non exempt de défauts ?Les 4 fantastiques : premiers pas, le gros débrief en podcast !Pour discuter de tout ce qui va bien et ce qui va moins bien dans Les 4 fantastiques : premiers pas, nous avons aussi quatre invité(e)s toutes fantastiques. En plus de l'inénarrable Spleenter, nous avons eu le plaisir de retrouver nos intervenantes régulières préférées, à savoir Api, Océane et Vesper ! Corentin étant parti en vacances, c'est pour cette raison qu'il n'y a pas de point cocopédia (mais on vous promet de faire un épisode thématique sur les FF prochainement), et que l'émission ne dure que 2h15 et pas 3h.Nous espérons que vous passerez un bon moment en notre compagnie, et si c'est le cas ne manquez pas de le faire savoir ! Vous pouvez partager le podcast, en parler autour de vous, réagir à l'émission sur nos plateformes et réseaux sociaux, et poursuivre la discussion sur notre Discord ! Merci à toutes et tous de votre écoute et à bientôt pour la suite de nos émissions !Le ProgrammePartie sans spoilers - 04:16Arrivent les spoilers - 49:35Soutenez First Print - Votre podcast comics (& BD) préféré sur TipeeeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 07/08/2025 Alors qu'il se rêvait astronaute dans son enfance, Charles Frankel choisit une autre voie vers les étoiles et devient géologue et enseignant en planétologie. Il publie “Bombes cosmiques : la Terre face aux astéroïdes”, un ouvrage dans lequel il relate les expéditions d'astronomes, géologues ou planétologues qui furent les premiers à prendre conscience des menaces que représentent ces projectiles, et, paradoxalement, du rôle essentiel que leurs cratères ont probablement joué dans l'apparition de la vie sur Terre.Du 5 au 14 août 2025, 176 pays se retrouvent à Genève pour entamer des négociations autour d'un traité mondial contre la pollution plastique. Véritable révolution qui a explosé au 20e siècle, ce matériau léger, pratique et peu cher connaît une croissance exponentielle depuis son invention. Omniprésent au quotidien, son bilan environnemental et sanitaire est pourtant catastrophique. Huit mois après de premières discussions, les divergences entre les différents acteurs font craindre une impasse. Pourra-t-on se passer un jour de plastique ?On en débat avec Nathalie Gontard, directrice de recherche en sciences de l'aliment et de l'emballage à l'INRAE, Antoine Guillou, adjoint à la maire de Paris et vice-président d'Amorce, et Joseph Tayefeh, secrétaire général de Plastalliance, syndicat européen de l'industrie plastique.Puis, Victor Dekyvère prend de la hauteur pour nous raconter l'histoire du talon de chaussure.Enfin, Quentin Darmon nous présente plus en détails l'influente et respectée présidente suisse, Karin Keller-Sutter. Puis, Marjorie Adelson nous emmène en Espagne, où un projet de taureau en métal de 300 mètres de haut fait polémique.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 07 août 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es », une série spéciale de RFI à la découverte des jeux populaires à travers le monde. Ces jeux qui, à travers les joueurs, parlent de la culture et de l'identité de chaque pays. Au Venezuela, les dominos sont davantage qu'un jeu qui se partage entre amis ou en famille. C'est un vrai sport national, avec son équipe, sa fédération, ses championnats. Si le jeu se conjugue sous plusieurs formes, seul ou en équipe notamment, la version favorite des Vénézuéliens, c'est à deux qu'elle se joue. Dans les villages, sur les places, lors des réunions de famille ou dans des hôtels huppés pour des tournois, les dominos s'adaptent à tous les styles et sont une véritable institution dans le pays. De notre correspondante à Caracas, Environ 70% des Vénézuéliens joueraient aux dominos. Dans chaque famille, il y a un jeu, et sur les places publiques, on trouve toujours quelques pratiquants invétérés, comme ici dans le quartier de Petare. Dans cette zone très populaire, tous les après-midis, ils sont quelques-uns à se retrouver pour s'affronter, par équipe de deux. Le but : que les deux joueurs aient posé tous leurs dominos avant leurs adversaires. Ici, on ne joue pas d'argent, on vient pour se détendre. L'ambiance est haute en couleur. Autour de la table, on s'exclame, on claque les pièces, on glisse quelques commentaires. « Les quatre joueurs doivent être conscients de tout ce qu'il se passe autour de la table. On appelle cela un système. C'est de la transmission d'information, pour ton partenaire et pour les joueurs de l'autre équipe, car en fonction de ce que tu fais, ils vont comprendre ton jeu. Il y a des gens qui disent que ce sont des indices, mais ce ne sont pas des indices, c'est de l'information », explique, enthousiaste, Angelo, qui fait partie de la Fédération vénézuélienne de dominos. Mais ces informations peuvent être considérées comme de la triche. À quelques kilomètres à peine, un tournoi exclusif a lieu dans un quartier huppé de la capitale. Et ici, autour de la table de jeu, le silence est de rigueur. Ignacio Salvatierra est l'organisateur : « Le temps mis à réfléchir, c'est la seule méthode autorisée pour informer aux dominos. En gros, si tu hésites longtemps ou pas avant ton coup. Les dominos corrects devraient se jouer de façon que toutes les pièces soient posées de la même manière. On ne devrait pas les claquer ni les faire glisser. » Les joueurs ont payé leur participation au tournoi, et les trois premiers remporteront plusieurs centaines de dollars. Le niveau socio-économique est bien plus élevé, mais la passion reste la même. Avant de commencer la compétition, deux joueuses nous donnent leurs trois règles d'or : « Lever, répéter et se rappeler. Alors, répéter, cela veut dire que si tu as un bon jeu, par exemple avec des 5, il faut que tu les joues, que tu les répètes, pour que la personne qui te suit soit obligée de passer. Lever, ça veut dire avoir un bon jeu, avoir de la chance. Enfin, tu dois te rappeler qui a joué quoi pour aider ton partenaire ou bien éviter une pièce. » Et ce sport semble avoir de beaux jours devant lui au Venezuela. La sélection nationale vient de rentrer du championnat américain avec une médaille d'or, une d'argent et une de bronze. À lire aussiDis-moi à quoi tu joues?: en Syrie, le backgammon, plus qu'un jeu, un rituel quotidien
« Maurice Kamto perd devant le Conseil constitutionnel », constate le Journal du Cameroun. « La décision définitive et irrévocable tant redoutée par une bonne partie de l'opinion est tombée. Le Conseil constitutionnel a (donc) rejeté la candidature de l'opposant au terme d'une audience qui s'est déroulée avant-hier et dont le délibéré a été renvoyé à hier mardi. L'élection présidentielle du 12 octobre 2025 se fera sans Maurice Kamto, ancien président national du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, militant du Manidem (et qui était en seconde position lors de la dernière présidentielle). Il a été déclaré non fondé dans sa requête ». « La candidature de l'opposant avait été écartée, le 26 juillet, rappelle Le Monde Afrique, par EleCam, Elections Cameroon, l'organe chargé de l'organisation des élections, en raison d'une "pluralité d'investitures" du Manidem. En effet, un ancien militant de cette formation avait également soumis une candidature. Maurice Kamto avait alors déposé un recours devant le Conseil constitutionnel, le 28 juillet, pour contester sa disqualification de la liste provisoire des candidats retenus à l'élection présidentielle du 12 octobre ». Peine perdue… Place nette… Pour Le Pays à Ouagadougou, c'est clair : « le Conseil constitutionnel n'a fait qu'exprimer la volonté du prince régnant… En l'occurrence, Paul Biya qui, n'étant pas sûr de son fait, ne veut pas prendre de risques. Tirant leçon de la dernière présidentielle, il préfère faire place nette en écartant toute candidature gênante comme celle de Maurice Kamto qui, on le sait, ne compte pas pour du beurre. En fait, ce qui se passe au Cameroun s'inscrit dans l'ordre normal des choses, affirme encore Le Pays. Il n'y a rien d'étonnant. Il fallait, du reste, faire montre de naïveté pour croire que le locataire du palais d'Etoudi donnerait la moindre chance à son principal challenger qui, en 2018, lui avait taillé des croupières. Et pour ce faire, il pouvait compter sur des juges acquis à sa cause pour faire le sale boulot ». Copie conforme… « Quelle saveur aura une telle élection sans Kamto ? », s'interroge pour sa part Aujourd'hui, toujours à Ouaga. « Bien qu'il faille compter avec tous les ténors d'une opposition pugnace, mais divisée, le jeu est déjà joué avec Biya et son rouleau compresseur électoral, le RDPC ! En effet, poursuit le quotidien burkinabé, la carte électorale camerounaise montre que si l'opposition a du répondant, les leaders sont des barons de fiefs, mais sans envergure nationale. (…) C'est dire que cette décision du Conseil constitutionnel inhibe le caractère inclusif du scrutin, enlève donc sa représentativité et cela devrait se ressentir dans le taux de participation. Kamto était arrivé second à la dernière présidentielle. Il aurait préféré endosser le semblant de maillot du Poulidor camerounais plutôt que d'être absent. Cette présidentielle, conclut Aujourd'hui, risque d'être donc une copie conforme des précédentes : sans enjeu… Après Biya c'est Biya forever ! » « Votons massivement le 12 octobre ! » Et puis quelques réactions de sympathisants de l'opposition à lire sur le site Actu Cameroun : « en politique tout est possible, affirme l'un d'eux, et des cas à travers le monde (Nelson Mandela en Afrique du Sud, Alassane Ouattara en Côte d'Ivoire, Uhuru Kenyatta au Kenya, Ousmane Sonko au Sénégal, etc.) montrent que l'on peut être victime d'une injustice et devenir président de la République. Le peuple souverain reste maître en démocratie. Vérifions notre inscription sur les listes électorales et votons massivement le 12 octobre ». Autre réaction : « nous qui voulions le changement incarné par Maurice Kamto, nous venons de perdre une bataille, mais pas la guerre. Dès demain, Kamto, Anicet et Nitcheu, avec le candidat le plus à même de nous débarrasser du clan Biya, doivent se mettre ensemble et nous donner des consignes : l'objectif ultime est encore à portée de mains ». Enfin, cette dernière réaction : « Kamto fait peur à ce régime qui a mis des stratagèmes de type mafieux pour écarter sa candidature. On a eu le sentiment hier au Conseil constitutionnel que les juges étaient impatients de l'écarter. Mais comme le dit Maurice Kamto lui-même : "le jour finit toujours par se lever" ».
Chat-lut les amis ! Aujourd'hui, on parle d'un animal que vous connaissez très bien… tellement bien que c'est peut-être même votre animal de compagnie !
Cette semaine, on accueille ENFIN notre amie Geneviève Hébert-Dumont à La vie sociale! L'animatrice se confie à nous sur son parcours, notamment son aventure marquante à Salut Bonjour. Elle partage sa vision de la confiance en soi et la manière dont elle choisit de voir la vie avec lumière et douceur. On parle aussi d'amour, d'amitié et de l'art de cultiver des relations vraies. Un échange à la fois simple et profond. On découvre une autre facette de cette femme inspirante dans un épisode qui vous fera du bien - c'est promis! @matelasbonheur C'est l'été, il fait chaud : dormir au frais, c'est essentiel pour un bon sommeil! Pour des nuits plus fraîches, pensez à : une température ambiante idéale, une couette d'été en laine Joma, des draps en fibres naturelles… et pourquoi pas un matelas rafraîchissant signé Matelas Bonheur? Utilisez le code LAVIESOCIALE pour un rabais exclusif! @vizzyhardseltzerca Vizzy Pops Crémeux est une innovation rafraîchissante dans le monde des boissons alcoolisées, combinant les saveurs nostalgiques des friandises glacées classiques avec la modernité d'une boisson pétillante alcoolisée. Cette gamme unique propose trois saveurs gourmandes: Pop Crémeux à la Fraise, Pop Crémeux à l'Orange & Pop Crémeux à la Framboise. Et n'oublie pas : il faut avoir l'âge légal! La vie sociale sur les réseaux sociaux : Instagram et TikTok @baladolaviesociale Retrouvez Geneviève Hébert-Dumont sur les réseaux sociaux : @genevievehd Retrouvez Cam et Karl sur les réseaux sociaux : Instagram @cam_ds / TikTok @ds.camille Instagram et TikTok @karl_hardy
L'émission 28 minutes du 06/08/2025 « L'été de Jahia » : chronique d'une amitié sur fond d'exil Noura Bancé, tout juste 18 ans, tient le rôle principal dans le film "L'été de Jahia", sorti en salles ce mercredi 6 août. Elle y interprète Jahia, une adolescente originaire du Sahel, qui a dû fuir son pays pour la Belgique où elle est hébergée dans un centre d'accueil pour demandeurs d'asile et se lie d'amitié avec Mila, réfugiée biélorusse. Tourné dans un centre en activité, le film est porté par des acteurs professionnels comme amateurs. Le rôle de Jahia est un miroir pour Noura Bancé, qui a dû quitter la Côte d'Ivoire à 14 ans pour échapper à un mariage forcé, et traverser le Sahara, le Maghreb, la Méditerranée puis l'Italie pour arriver en France, à Béthunes. C'est là que l'actrice reprend sa scolarité et trouve sa place au casting de "L'été de Jahia". Un film qui explore l'angoisse et les conséquences psychiques de l'incertitude migratoire. 80 ans après Hiroshima, que reste-t-il des ambitions d'abandon des armes nucléaires ?Ce mercredi 6 août marque les 80 ans du bombardement atomique d'Hiroshima par les Américains, lors duquel 140 000 victimes ont été tuées par une seule bombe. Le Japon y organise une cérémonie, qui devrait réunir 120 pays, avec l'espoir de dénucléariser les arsenaux. Mais cette volonté se heurte à un monde de plus en plus instable, où le recours à l'arme atomique est brandi avec de plus en plus d'hubris. Les récentes tensions géopolitiques – bombardement de l'Iran par Israël et les États-Unis, conflit entre l'Inde et le Pakistan, ou l'annonce par Donald Trump du positionnement de deux sous-marins nucléaires autour de la Russie – ravivent le spectre d'une guerre nucléaire. Face à la montée en puissance des arsenaux nucléaires chinois ou nord-coréen, les traités internationaux encadrant l'arme nucléaire semblent relever d'une autre époque. Le retour en force de la menace nucléaire est-il inéluctable ? On en débat avec Héloïse Fayet, chercheuse au centre sécurité de l'Institut français des relations internationales (Ifri), Jean-Marie Collin, directeur France de l'ICAN, organisation Internationale visant à Abolir les Armes Nucléaires, et Guillaume Auda, grand reporter et spécialiste des questions internationales.Victor Dekyvère nous raconte une folle histoire de pierre retirée du cerveau !Enfin, Quentin Darmon nous parle de Conor McGregor : le combattant de MMA, condamné pour viol en novembre dernier, entend se présenter à l'élection présidentielle irlandaise en optant pour une rhétorique d'extrême droite populiste et raciste. Marjorie Adelson nous parle d'un dissensus européen autour des futurs billets de 20 euros : Marie Curie devrait y figurer sans que soit mentionné Skłodowska, son patronyme d'origine, au grand dam de la Pologne. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 6 août 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
Embarquez pour un voyage numérique au cœur du Mali ! Cet épisode de notre "road trip" vous emmène à la découverte de l'écosystème social média malien, encore peu connecté mais en forte progression, et dominé par une utilisation mobile à 96%.Découvrez comment WhatsApp surclasse toutes les autres plateformes, devenant la "radio du Sahel" grâce à l'oralité et au faible taux d'alphabétisation (plus d'un Malien sur deux ne sait pas lire). L'application est utilisée pour la communication familiale (notamment avec la diaspora d'1,3 million de Maliens émigrés) et le "social commerce" via les statuts.Plongez dans le champ de bataille politique où, après la censure des médias traditionnels, les débats se sont déplacés sur WhatsApp et Facebook. Explorez le phénomène de la "Vidéo Mania" avec des "vidéomanes" comme Gandy Malien, qui incarne un mouvement anti-français et pro-russe, et diffuse des fake news très virales.Assistez à l'essor de TikTok, en forte croissance chez les jeunes, qui valorise la langue bambara et voit émerger des créateurs de contenu axés sur la "conversion" comme Adeija et Moussa Koita. Rencontrez des figures emblématiques comme Grand M, le "roi de l'Instagram malien", une star internationale basée au Mali avec 6,2 millions d'abonnés, qui a transformé son nanisme en succès planétaire.Enfin, découvrez Lenali, un réseau social 100% vocal créé par un docteur en informatique malien pour répondre directement au faible taux d'alphabétisation, permettant à des utilisateurs comme Ada de tripler leurs revenus. L'épisode met également en lumière le rayonnement international de la musique malienne, avec des liens forts entre Bamako et Paris, et des artistes comme L'Amour, Salif Keita ou Amadou & Mariam. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le sexe est une activité aux multiples bienfaits, mais parfois, cela peut aussi devenir une source d'angoisse. En effet, il faut coller à la norme. Finalement, le sexe, qui se révèle être de ce qu'il y a de plus intime, adhère à une forme de pression sociale. Et ça peut vite gâcher vos parties de jambes en l'air… D'après Grazia, une enquête de la marque Amorelie, révèle que 39% des 2000 personnes sondées déclarent avoir des relations sexuelles plusieurs fois par mois. Pour 31%, c'est plusieurs fois par semaine, tandis que 19% déclarent une fréquence inférieure à une fois par mois. Enfin, ils sont 7% à expliquer ne jamais avoir de relations sexuelles et seulement 4% à dire en avoir tous les jours. Y a-t-il une fréquence moyenne aux rapports sexuels ? Est-ce c'est similaire pour les hommes et les femmes ? Idéalement, à quelle fréquence faudrait-il faire l'amour ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. À écouter aussi : Qu'est que le Plan Madagascar du IIIe Reich ? Réduire son empreinte carbone : quels sont les gestes qui comptent vraiment ? Faut-il couper l'électricité pendant un orage ? Suivez Bababam sur Instagram. Date de première diffusion : 30/11/2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
L'émission 28 minutes du 05/08/2025 Des fruits, des légumes, du poisson frais : les marchés français, une certaine idée du bonheur ?Olivier Razemon est un journaliste indépendant spécialisé dans les questions de mobilité et d'urbanisme. Dans son dernier ouvrage, "On n'a que du beau ! Le marché, ingrédient d'une société heureuse" (éditions Écosociété), il se penche sur les marchés français. Chaque semaine, entre 8000 et 12 000 marchés se tiennent en France, suscitant "la sympathie et la curiosité" des habitants. Mais plus encore qu'un enchaînement d'étals, ils sont un théâtre pour les politiques qui y tractent comme pour les commerçants, mais aussi un modèle qui pourrait lutter contre la déshérence des centres-villes. Plus de “zone blanche” : les narcotrafiquants font-ils régner leur loi en France ?Le rapport de l'Office anti-stupéfiants (Ofast) sur "L'état de la menace liée au trafic de stupéfiants" prend une tournure alarmiste pour son édition 2025 : la France serait "devenue un des pays européens les plus touchés" par le trafic de drogue. Les chiffres liés au trafic de cocaïne semblent confirmer ces craintes : plus d'un million de consommateurs et des saisies record de 54 tonnes en 2024. Cette hausse s'accompagne d'un renouveau des pratiques des dealers, qui ont investi le champ des réseaux sociaux et s'en remettent de plus en plus à la violence : l'année dernière, 367 assassinats ou tentatives d'assassinats en lien avec le narcotrafic ont été répertoriés. Pourtant, l'État s'investit de la problématique : loi narcotrafic votée en juin, les très médiatiques opérations "place nette XXL", ou encore l'ouverture de prisons de haute sécurité pour les trafiquants. L'essor du narcotrafic en France est-il une fatalité ? Enfin, à l'occasion des 80 ans du bombardement atomique d'Hiroshima par les Américains, Quentin Darmon nous parle de l'importance de cette tragédie dans la culture nippone, en prenant l'exemple du monstre le plus célèbre du Japon : Godzilla. Marjorie Adelson nous emmène aux États-Unis où la ségrégation fait son retour : dans l'Arkansas, une association construit un village réservé uniquement aux blancs.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 5 août 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
Le ballet diplomatique se poursuit à Washington et à Doha pour finaliser et mettre en pratique l'accord signé fin juin entre Kinshasa et Kigali. Un accord, rappelle Le Journal de Kinshasa, qui « engage la RDC et le Rwanda à respecter l'intégrité territoriale, à cesser toute activité militaire hostile, à désarmer et encadrer les groupes armés non étatiques, et à mettre en place un mécanisme conjoint de sécurité ». « Une première réunion du comité mixte de surveillance de l'accord de paix s'est tenue à Washington », vendredi dernier, poursuit le site. Des représentants des deux pays ont approuvé les principes d'un cadre d'intégration économique régional. « Parallèlement, relève encore Le Journal de Kinshasa, des négociations ont lieu à Doha entre le gouvernement congolais et le groupe armé M23. Une déclaration de principes a été signée le 19 juillet dernier, engageant les deux parties à respecter une feuille de route pour le rétablissement de l'autorité de l'État dans l'est de la RDC. Les discussions pour un accord de paix détaillé doivent débuter au plus tard le 8 août, pour une signature prévue autour du 18 août. Enfin, une rencontre au sommet entre les présidents de la RDC et du Rwanda est attendue fin août à Washington, dans l'espoir de sceller un règlement global et durable de la crise dans la région des Grands Lacs. » À lire aussiDéclaration de principe entre la RDC et le groupe AFC/M23: ces points qui bloquent dans son application Les États-Unis ont la clé Toutefois, tempère Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC, « aucune avancée ne s'est fait sentir sur le terrain, les affrontements se poursuivent entre milices supplétives de Kinshasa et rebelles. » « Les lignes ont certes bougé, puisque Kinshasa s'est résolu à entamer le dialogue avec l'AFC/M23 à Doha, mais le chemin est encore long puisque le retrait de l'AFC/M23 des zones qu'il contrôle reste le point de blocage majeur entre Kinshasa et la rébellion, poursuit Afrikarabia. D'autant que les prétextes ne manquent pas à chacune des parties pour ne pas respecter les engagements des accords signés. En fait, pointe le site, Kinshasa compte surtout sur Washington pour faire plier la rébellion. Donald Trump en a les moyens. Le président américain a récemment déclaré que les présidents congolais et rwandais devaient se retrouver prochainement dans la capitale américaine pour signer le texte final. Il peut sans doute arriver à ses fins, mais, s'interroge Afrikarabia, avec quelle place pour l'AFC/M23, et quelles conséquences en cas de non-respect de l'accord ? Les États-Unis revêtiront-ils de nouveau le costume du gendarme ? Pour l'instant, nous n'en savons rien. » À lire aussiEst de la RDC: des attaques du M23 malgré l'accord à Washington Vers la formation d'un nouveau gouvernement Dans le même temps, sur le plan intérieur, le président Félix Tshisekedi s'apprête à remanier son gouvernement. « Lors d'une réunion tenue avant-hier avec les cadres de l'Union sacrée de la Nation, sa plateforme politique, le chef de l'État a esquissé les grandes lignes de cette refonte imminente, pointe Afrik.com. (…) Judith Suminwa conservera son poste de Première ministre, mettant ainsi fin aux spéculations sur une éventuelle éviction ou sur la nomination d'un membre de l'opposition à la Primature. (…) Parmi les autres annonces, la réduction du nombre de membres du gouvernement : il comptera moins de 50 ministres, contre 54 actuellement. Cette rationalisation vise à rendre l'exécutif plus efficace et mieux adapté aux défis du moment. » Enfin, note encore Afrik.com, « dans une volonté affichée d'inclusivité, le président Tshisekedi a confirmé l'entrée prochaine de personnalités issues de l'opposition et de la société civile. Une ouverture politique censée renforcer la cohésion nationale dans un contexte tendu sur les plans sécuritaire, social et diplomatique ». Commentaire du quotidien Aujourd'hui à Ouaga : « guerre à l'est de la RDC, géopolitique instable, petit couac avec l'affaire Constant Mutamba, le Garde des sceaux, englué dans une affaire de détournement de 19 millions de dollars qui a dû démissionner le 18 juin dernier. Il fallait redonner un second souffle au gouvernement. Et le prochain devra être celui du combat, pour conforter l'union sacrée, mais aussi colmater les brèches et consolider le pouvoir de Tshisekedi ». À lire aussiRDC: Félix Tshisekedi s'apprête à remanier le gouvernement en maintenant Judith Suminwa en poste
Pascal Denault - Psaume 40 RÉSUMÉ: Pour bien comprendre le Psaume 40, nous utiliserons 1 Samuel 15 comme arrière-plan historique : l’échec de Saül, roi désobéissant, met en lumière le besoin d’un roi fidèle, pleinement soumis à la volonté de Dieu. Ce contexte prépare l’entrée de David, figure du Messie à venir. Ce psaume trouve son plein accomplissement en Jésus-Christ, comme le souligne Hébreux 10 : il est le roi obéissant, le prêtre parfait qui s’offre lui-même en sacrifice, et le prophète qui proclame la justice de Dieu dans l’assemblée. Le Psaume 40 nous présente ainsi le Christ dans ses trois offices, à travers une dynamique de gloire et d’humiliation : - Comme roi, il règne par l’obéissance et conduit son peuple hors du gouffre vers le roc (v.1-3). - Comme prêtre, il offre son propre corps, accomplissant la volonté de Dieu à la place des sacrifices d’animaux (v.6-8). - Comme prophète, il proclame la justice et la vérité de Dieu devant la grande assemblée (v.9-10). Enfin, nous chercherons les applications de ce psaume pour les croyants unis à Christ, appelés à marcher à sa suite dans l’obéissance. PLAN: 1. Le Christ glorifié (v.1-6) 2. Le Christ Roi, Sacrificateur et Prophète (v.7-12) 3. Le Christ humilié (v.13-18) QUESTIONS: 1. Comment l'arrière-plan de ce psaume vient-il éclairer notre compréhension? 2. De quelle façon la gloire de Christ est-elle présentée dans les versets 1-6? 3. Quel est l'effet de la délivrance obtenue par Christ parmi les hommes? 4. Comment les versets 7-9 s'appliquent-ils à David? 5. Comment l'Épître aux Hébreux applique-t-elle ces versets à Christ? 6. De quelle façon l'office prophétique de Christ est-il présenté? 7. Comment faut-il comprendre le renversement de la dernière strophe? 8. Qu'en est-il des ennemis et des amis de Christ? 9. Quelles applications pouvons-nous faire de ce psaume? Lectures complémentaires: 1 Samuel 15 ; Hébreux 10.1-18
L'émission 28 minutes du 04/08/2025 Au programme de l'émission 28 minutes :Éric Baratay est un historien qui se passionne pour les relations entre l'Homme et les animaux. Il a notamment exploré le rapport entre l'Église et l'animal dans sa thèse. Il poursuit depuis cette même démarche : écrire du point de vue des animaux. Dans "Une histoire animale du monde" (éditions Tallandier), il propose, en collaboration avec d'autres chercheurs, une relecture de notre passé en y intégrant la faune comme actrice à part entière. Il y revient par exemple sur le rôle des chevaux pendant la Première Guerre mondiale, soumis à une brutalité qui les a durement affecté, ou sur ces vaches surexploitées qui se tarissaient volontairement. Loin d'être de simples ressources passives, les animaux ont façonné l'histoire autant qu'ils l'ont subie, aux côtés des humains. Le vin français, bientôt dans le rouge ? À partir du 7 août, les États-Unis appliqueront une surtaxe de 15% aux produits européens vendus sur leur sol. Un véritable calvaire pour les alcools français, qui se voient mis à mal sur le marché américain qui rapporte à la filière 4 milliards d'euros chaque année. Face aux droits de douane, la Fédération des exportateurs de vins et de spiritueux s'inquiète de voir disparaître un quart de cette manne financière indispensable. Car en France, le vin n'a plus la côte : depuis 1960, les Français ont divisé par 3 leur consommation de vin. Même schéma pour les spiritueux, dont la consommation s'est effondrée de 50% depuis 1980. Sans compter le réchauffement climatique, qui menace nombre de vignobles. Nos vins et nos spiritueux sont-ils en danger ? On en débat avec Thierry Pouch, chef économiste aux Chambres d'Agriculture France, Sylvie Alem, viticultrice à Monbazillac et vice-présidente de la coopérative de Monbazillac et Laure Gasparotto, Journaliste au Monde, spécialiste du vin Puis, Victor Dekyvère se demande si la banane est à l'origine du capitalisme sauvage. Enfin, Quentin Darmon nous parle d'Ian Ball, kidnappeur malheureux de la princesse d'Angleterre qui clame son innocence, mais qui est loin d'être le seul à avoir tenté de s'en prendre à la famille la plus connue d'outre-Manche. Marjorie Adelson nous emmène au Mexique, où une véritable fronde anti-gentrification s'organise dans la capitale.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 4 août 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 04/08/2025 Ce samedi, Benjamin Sportouch décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien suisse Blick.fr, Kéthévane Gorjestani, chroniqueuse internationale à France 24, Maya Khadra, enseignante et journaliste franco-libanaise et le dessinateur de presse Pascal Gros. Coupes budgétaires sur la santé, la fin du modèle Français ?Avec 5,5 milliards d'euros d'économies visées, le gouvernement affine son plan pour réduire les dépenses de santé en 2026. Parmi les mesures : doublement des franchises médicales, restrictions sur les affections longue durée, plafonnement des arrêts maladie, et transfert partiel de leur prise en charge aux employeurs… Autant d'annonces qui suscitent déjà une vive opposition.Après la pression sur Israël, faut-il faire de même sur le Hamas ?La Conférence sur la solution à deux États s'est conclue le 29 juillet à New York par un tournant diplomatique inédit : 17 pays arabes, dont l'Égypte, le Qatar et l'Arabie saoudite, ont appelé le Hamas à déposer les armes au profit de l'Autorité palestinienne. Une condamnation claire de l'attaque du 7-Octobre et un soutien renouvelé à une résolution pacifique du conflit, salués par la France comme « historiques ». Les pressions internationales sur Israël, elles, continuent de tomber quant aux bombardements indiscriminés et à l'utilisation de la famine comme armes de guerre. Fait-on face à un possible basculement dans la région ?Nous recevons le journaliste et explorateur, Roberto Garçon. Avide de liberté et de voyages, il a réalisé une série documentaire “Le passage du temps en Mongolie”, qu'il diffuse par le biais des réseaux sociaux depuis avril 2025, autour des steppes du pays et d'une communauté de bergers nomades.Frédéric Says nous donne des nouvelles de nos chers voisins grecs où un scandale d'ampleur de détournement de fonds européens ébranle le gouvernement. L'affaire, révélée par média en ligne “Politico” en février dernier, implique d'anciens ministres de la majorité ainsi que plusieurs députés en exercice. Selon l'enquête, des centaines de millions d'euros auraient été perçus indûment par des individus se présentant comme agriculteurs ou éleveurs… sans posséder ni terres, ni bétail.Olivier Boucreux décerne le titre d'employée de la semaine à Ursula von der Leyen, devenue le visage d'un “bad deal” sans précédent entre l'Union européenne et les États-Unis.Reza Pounewatchy zappe sur la télévision pontificale à l'occasion de l'accueil par le Vatican du jubilé des influenceurs catholiques. Plus d'un millier de créateurs de contenu religieux venus du monde entier ont convergé vers la place Saint-Pierre de Rome, à l'invitation du Saint-Père.Julia van Aelst s'intéresse à un fait de société à méditer : une nouvelle application sur le marché du dating, téléchargée plus d'un million de fois en une semaine. Son concept ? Offrir aux femmes la possibilité d'évaluer anonymement leurs rencontres amoureuses. Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 04 août 2025 Présentation Benjamin Sportouch Production KM, ARTE Radio
C dans l'air l'invité du 2 août avec Faïza Bossy, médecin généraliste nutritionniste à Paris.L'été rime avec soleil et détente, mais aussi imprudences. La mode du moment, le "sun tattoo" ou tatouage solaire, consiste à dessiner un motif éphémère en protégeant certaines zones de la peau avec de la crème solaire ou des objets pendant l'exposition. Cette pratique se répand sur les plages, mais ces brûlures volontaires exposent à un danger réel. En France, 85 % des cancers de la peau sont liés à une surexposition aux UV. Certains produits, comme la graisse à traire encore utilisée pour bronzer, accélèrent le vieillissement cutané. Les grains de beauté exposés au soleil peuvent, eux, évoluer en mélanome.Autre menace estivale : les noyades. Entre le 1er juin et le 2 juillet 2025, 429 cas ont été recensés en France, dont 109 mortels. Sur la côte atlantique, notamment au Pays basque ou en Gironde, les baïnes, ces cuvettes d'eau entre plage et bancs de sable, représentent un danger fréquent et spécifique.L'été est aussi une opportunité pour une détox numérique. En moyenne, un Français consulte son téléphone 150 fois par jour. Se déconnecter favorise le sommeil, l'attention et la santé mentale. Aujourd'hui, les Français dorment en moyenne 6h42, soit 1h30 de moins qu'il y a 50 ans. Pour mieux dormir, privilégier la lecture en soirée, désactiver les notifications et éviter les grasses matinées sont essentiels. La sieste idéale, quant à elle, ne doit pas dépasser 20 minutes.Enfin, l'été invite à adopter une alimentation plus équilibrée : salades fraîches plutôt que produits ultra-transformés, accompagnées d'une activité physique régulière.Faïza Bossy, médecin et nutritionniste à Paris, livre ses conseils pour un été en bonne santé : protection solaire, prévention des noyades, détox numérique. est médecin généraliste à Paris, nutritionniste. L'été rime avec soleil et détente, mais aussi imprudences. La mode du moment, le "sun tattoo" ou tatouage solaire, consiste à dessiner un motif éphémère en protégeant certaines zones de la peau avec de la crème solaire ou des objets pendant l'exposition. Cette pratique se répand sur les plages, mais ces brûlures volontaires exposent à un danger réel. En France, 85 % des cancers de la peau sont liés à une surexposition aux UV. Certains produits, comme la graisse à traire encore utilisée pour bronzer, accélèrent le vieillissement cutané. Les grains de beauté exposés au soleil peuvent, eux, évoluer en mélanome.Autre menace estivale : les noyades. Entre le 1er juin et le 2 juillet 2025, 429 cas ont été recensés en France, dont 109 mortels. Sur la côte atlantique, notamment au Pays basque ou en Gironde, les baïnes, ces cuvettes d'eau entre plage et bancs de sable, représentent un danger fréquent et spécifique.L'été est aussi une opportunité pour une détox numérique. En moyenne, un Français consulte son téléphone 150 fois par jour. Se déconnecter favorise le sommeil, l'attention et la santé mentale. Aujourd'hui, les Français dorment en moyenne 6h42, soit 1h30 de moins qu'il y a 50 ans. Pour mieux dormir, privilégier la lecture en soirée, désactiver les notifications et éviter les grasses matinées sont essentiels. La sieste idéale, quant à elle, ne doit pas dépasser 20 minutes.Enfin, l'été invite à adopter une alimentation plus équilibrée : salades fraîches plutôt que produits ultra-transformés, accompagnées d'une activité physique régulière.Faïza Bossy, médecin et nutritionniste à Paris, livre ses conseils pour un été en bonne santé : protection solaire, prévention des noyades, détox numérique.
Chers auditeurs, chères auditrices, toute l'équipe de Sur le Fil vous remercie pour votre fidélité et pour vos bonnes idées qui nous ont permis récemment de faire un petit tour passionnant de projets constructifs et citoyens en France. Après cette tournée, on part en vacances pour quelques semaines et en attendant de revenir avec de nouveaux projets, on vous laisse une sélection de nos podcasts préférés. Voici notre programme pour l'été Pour début août, des épisodes qui pourront vous inspirer sur des modes de vie hors des sentiers battus. Pour la deuxième semaine, on part sur la musique… pour vous détendre aux rythmes de Manu Chao ou encore d'Ezra Collective. Nous rediffuserons ensuite notre tour de France des initiatives citoyennes constructives Enfin, avant septembre, un programme spécial IA.Et sur la route des vacances, ou du travail, prenez cinq minutes pour remplir ce sondage. C'est très important pour nous !Très bel été à toutes et à tousEmmanuelle Baillon, Maxime Mamet et Michaëla Cancela-Kieffer Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'émission Front Page est une revue d'actualité qui s'intéresse à tout ce qui touche le monde de la bande dessinée américaine (comics) du côté des Etats-Unis comme de la France, ainsi qu'à ses adaptations tous médias confondus. Le podcast est une série régulière chez First Print et revient au rythme de trois épisodes par mois, hors contenus spéciaux. Ce Front Page est le troisième et dernier podcast consacré à l'actualité comics du mois de juillet 2025.REJOIGNEZ NOUS SUR DISCORD !!Le podcast est sponsorisé par Pulps et on vous propose un "Focus Pulps" chaque mois ! Découvrez une sélection de comics VO à prix de lancement !Le Focus Pulp's d'août 2025 :Death to Pachuco #1 / Gotham Academy : First Year #1 / Marvel Knights : The Punisher #1Le ProgrammeCOMICS - 07:10FIBD : Frank Bondoux s'en va, mais s'en va-t-il vraiment ?TMNT : The Last Ronin II et Bermude au programme d'HiComicsFOCUS PULPS - 28:17TMNT : la série régulière reprise par Gene Luen Yang, et un event TMNT : Battle Nexus - 45:28Mais surtout : enfin TMNT x Godzilla !Dan Houser (GTA) va faire des comics chez Dark HorseNathan Fillion aussi arrive chez Dark Horse, d'ailleursInvincible : Robert Kirkman relance la série Capes Un crossover Alien vs Captain America à venir chez MarvelErik Larsen revient chez Marvel pour Spider-Man NoirFrank Miller au programme du one-shot Deadpool/Batman #11776, une nouvelle mini-série pour J.M. StraczynskiQuel avenir pour Ultimate avec Endgame et la fin d'USM ?Un Absolute Green Arrow à venir par Pornsak Pichetshote et Rafael AlbuquerqueUne mini-série Knightfight en tie-in à DC K.O.TV - 1:50:30David Jenkins embauché sur Booster Gold en sérieUn nouveau trailer pour Gen V saison 2Peacemaker confirme ses réalités parallèles avec un nouveau trailer de la S2 CINEMA - 2:03:50Le film Crossed a trouvé son casting (et est même déjà tourné)Enfin un trailer pour Batman AztecaSoutenez First Print - Podcast Comics de Référence sur TipeeeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ferrari a annoncé la prolongation de contrat du patron de l'écurie Frédéric Vasseur. Un temps menacé dans ses fonctions, il avait été soutenu par les pilotes de la Scuderia Lewis Hamilton et Charles Leclerc. Enfin un cap clair chez Ferrari ? L'équipe du Paddock RMC présente tous les enjeux de ce GP de Hongrie avec Arnaud Valadon et Séraphin Bette
Mes chers camarades, bien le bonjour !Déjà le sixième épisode de Cuisine Historique ! Dans cette série, j'ai déjà abordé avec Fabian plusieurs plats, une sauce, mais pas encore de dessert, et ce qui est au menu aujourd'hui : la poire en pâté ! Enfin je dis dessert, mais je m'avance peut-être un peu trop, vous le verrez dans l'épisode… Bonne écoute et bon appétit !➤ la série Cuisine Historique a pu être réalisée notamment grâce au soutien du CNC Talent : https://www.cnc.fr/professionnels/aides-et-financements/creation-numerique/fonds-daide-aux-createurs-video-sur-internet-cnc-talent_190814➤ Pour en savoir encore plus sur l'histoire de l'alimentation, suivez les travaux de Fabian :➜ Sur Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100015340651981➜ Sur Instagram : https://www.instagram.com/fabian.mullers/➜ Via le collectif Cuisine Historique : https://www.facebook.com/CollectifCuisineHistorique➜ Et sur le site de La Muse : https://mondemedieval.fr/
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C dans l'air du 29 juillet 2025 : Tour de France, Jeux olympiques : la France qui donne envie !La fête a été totale dans les rues de Paris pour la dernière étape du Tour de France, ce dimanche 27 juillet. Dans une ambiance digne des plus grandes heures du cyclisme, les pavés parisiens ont vu défiler les coureurs, acclamés par une foule dense et vibrante. Avec un itinéraire inédit sur la butte Montmartre, un an après l'euphorie collective du 3 août 2024 lors des JO de Paris, le quartier a accueilli des milliers de passionnés ou de néophytes venus crier, chanter, célébrer… Un final spectaculaire qui vient conclure une édition saluée de toutes parts, avec des records de vitesse de la part des coureurs et un incroyable succès populaire le long du parcours — mais pas seulement.Pour la première fois de son histoire, la Grande Boucle a rassemblé 45 millions de Français devant les écrans, soit 70 % de la population de plus de quatre ans. Dimanche, 8,7 millions de personnes ont même suivi la dernière étape.Le Tour de France, comme les JO l'an dernier, a explosé les records de spectateurs. Mais comment expliquer un tel succès ? Un an après la ferveur, quel bilan peut-on tirer des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 ? Équipements sportifs, infrastructures, entreprises… Les Jeux ont-ils tenu leurs promesses ? Nous sommes allés en Seine-Saint-Denis, département le plus pauvre de France, où ont été réalisées la plupart des nouvelles constructions de l'édition : le village olympique, le village des médias, le centre aquatique olympique ou encore plusieurs ouvrages d'art. Que sont-ils devenus ? Enfin, après la magie de ces compétitions sportives, la pratique sportive s'est-elle réellement développée en France ?LES EXPERTS : - Didier ARINO - directeur du cabinet protourisme à Bordeaux - Laurence DE NERVAUX - sociologue, directrice générale chez Destin Commun - Arnaud MATTÉOLI - journaliste francetv sport - Anne-Laure BONNET - journaliste sportive
Consternation et colère des autorités à Ouaga après la mort en Côte d'Ivoire de l'activiste burkinabè Alain Traoré, alias Alino Faso. L'influenceur, âgé de 44 ans, était détenu à Abidjan pour intelligence avec des agents d'un État étranger. Il a été retrouvé pendu jeudi dernier. Les autorités ivoiriennes n'ont annoncé sa mort qu'avant-hier dimanche. Fraternité Matin à Abidjan rapporte la version officielle : « Alino Faso a été découvert dans sa chambre à 7 h 30 du matin. Le rapport médical a conclu à un suicide par pendaison. Le détenu se serait pendu à l'aide de son drap de lit, après avoir tenté en vain de s'ouvrir les veines du poignet. Des enquêtes sont en cours pour déterminer les motifs et les circonstances de ce suicide ». « Alino Faso, rappelle Le Monde Afrique, avait été interpellé le 10 janvier dernier à Abidjan. Il était suspecté d'avoir des liens étroits avec les BIR-C, les Bataillons d'intervention rapide de la communication, un groupe de cyberactivistes burkinabés très influents sur les réseaux sociaux. Les BIR-C relaient la propagande de la junte burkinabé et menacent ou invectivent régulièrement toute voix critique sur la conduite des affaires au Burkina ». « Figure controversée, précise Afrik.com, Alino Faso avait été arrêté en Côte d'Ivoire après avoir été dénationalisé par les autorités ivoiriennes pour des propos jugés séditieux et des activités militantes jugées déstabilisatrices. Il s'était longtemps présenté comme un opposant en exil, critique à la fois du pouvoir ivoirien et burkinabè ». Défiance et suspicion… Les autorités burkinabé ont donc donné de la voix… Les ministres des Affaires étrangères et de la Communication, pointe le site Lefaso.net, « rejettent la thèse du suicide avancée par les autorités judiciaires ivoiriennes et parlent de déni de justice. Le gouvernement burkinabè dit rester engagé dans le suivi de ce dossier jusqu'à la manifestation totale de la vérité et salue la mémoire d'un homme de bonne volonté qui a vécu utile pour son prochain et qui a trouvé dans l'altruisme toute sa raison de vivre ». « Le Burkina exige la vérité et le rapatriement du corps et déclare que sa mort ne restera pas impunie », s'exclame pour sa part Sidwaya, autre site burkinabè. Commentaire de Ledjely en Guinée : « c'est un décès qui ne contribuera pas à apaiser les relations déjà tendues entre les autorités ivoiriennes et burkinabè. La mort, dans des circonstances pour le moins troubles, d'Alino Faso embarrasse logiquement la Côte d'Ivoire. D'autant que du côté de la junte du capitaine Ibrahim Traoré, la disparition de cet influenceur, considéré comme un relais de la propagande pro-Ouagadougou, est perçue comme une énième preuve des manœuvres souvent imputées au pouvoir d'Alassane Ouattara. Les discours se durcissent, les menaces fusent. La condamnation est énergique. L'exigence de vérité sur les causes et les circonstances du décès est tout aussi vigoureuse ». Côté ivoirien, poursuit le site guinéen, « main sur le cœur, on affirme qu'Alino Faso s'est suicidé dans sa cellule, se pendant à l'aide de son drap de lit. Mais cette version est tout simplement inaudible à Ouagadougou, où la défiance et les suspicions envers Abidjan sont installées depuis l'arrivée au pouvoir d'Ibrahim Traoré, en septembre 2022 ». Stratégie de diversion ? Reste, tempère Ledjely, que « cette exigence de vérité ne saurait justifier l'instrumentalisation politique à laquelle se livrent le capitaine Ibrahim Traoré et son entourage. La mort d'Alino Faso est certes dramatique et condamnable. Mais elle ne saurait en aucun cas exonérer les autorités burkinabè de leurs propres responsabilités, à commencer par celle de restaurer la sécurité sur l'ensemble du territoire, mais aussi de garantir le respect des droits humains et des libertés fondamentales. Elle ne doit servir ni de prétexte à la surenchère, ni de fuite en avant, dans une stratégie de diversion bien rodée ». Enfin, on revient à Afrik.com qui relève que « si la Côte d'Ivoire n'a pas encore officiellement réagi (après les protestations des autorités burkinabè), les prochains jours s'annoncent cruciaux. La gestion du dossier pourrait influer durablement sur les relations entre Abidjan et Ouagadougou, déjà affectées par les débats récurrents sur les questions migratoires, sécuritaires et politiques ».
Muriel Edjo, rédacteur en chef de We Are Tech Africa, nous rejoint depuis Dakar pour faire le point sur trois sujets d'actualité technologique africaine. D'abord, il s'intéresse au potentiel du nomadisme numérique sur le continent, notamment en lien avec l'essor du télétravail. Ensuite, il revient sur le déploiement inégal de la 5G en Afrique, encore freiné par des écarts d'infrastructures. Enfin, il présente une innovation tunisienne : des fauteuils roulants électriques intelligents, pilotés par l'IA.
Rejoignez la communauté iWeek et soutenez-nous sur patreon.com/iweek !Voici l'épisode 242 d'iWeek (la semaine Apple), le dernier de la saison 6 !Spéciale iCloud+ : tous les services, ceux qu'on utilise (ou pas).Enregistré mardi 29 juillet 2025 à 18h30, enregistrement accessible en direct sur X, YouTube, et LinkedIn Live. Un épisode châpitré : profitez-en !Présentation : Benjamin Vincent avec la participation de Gilles Dounès (ex-rédacteur en chef de MacPlus et co-auteur de “iPod backstage“ chez Dunod), Elie Abitbol (ex-président des Apple Premium Resellers en France) et Fabrice Neuman (consultant auprès des petites entreprises et contributeur à "Comment ça marche“).Au sommaire de cet épisode 242 : les versions beta publiques des futurs OS sont disponibles. Il ne s'agit pas des versions définitives qui n'arriveront qu'en septembre / octobre mais de versions encore en cours de développement mais suffisamment stables pour qu'Apple les propose aux non développeurs. A installer de préférence sur un autre appareil que votre iPhone, Mac, iPad ou Apple Watch principale : on n'est jamais trop prudent.Cette semaine, nous vous proposons un grand dossier consacré à iCloud+ en deux parties : un retour sur l'historique qui commence en 2000 avec iTools... jusqu'à 2025 ; le détail des services disponibles aujourd'hui à propos desquels nous disons, chacun, ceux que nous utilisons ou pas et pourquoi.Enfin, pas de bonus hebdo exclusif, cette semaine. Rendez-vous à la rentrée ! Merci à tous nos soutiens Patreon, rejoignez-les et aidez-nous à préparer au mieux la 6è saison en allant sur patreon.com/iweek.Rendez-vous mardi 26 août 2025 à partir de 18h30 (nouvel horaire) pour le coup d'envoi de la saison 6 dont l'enregistrement sera à suivre en direct sur X, YouTube et LinkedIn Live.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ils sont treize et leurs photos sont à la Une de Cameroon Tribune. Treize candidats à la présidentielle d'octobre prochain, dont, le sortant, Paul Biya, 92 ans, qui brigue un 8e mandat… Et un absent de marque, donc : Maurice Kamto, le principal opposant, dont la candidature a été rejetée par Elecam, le Conseil électoral camerounais. « L'annonce a aussitôt fait l'effet d'un coup de tonnerre dans les médias camerounais, relève Le Point Afrique, même si beaucoup redoutaient ce scénario. Le Jour, quotidien de Douala, parle d'un “verrouillage politique assumé“, tandis que Mutations dénonce un “processus électoral biaisé dès l'entame“. Mutations qui s'interroge : “comment parler d'élections libres et crédibles quand le principal challenger est évincé sans motif officiel ?“ » Le Journal du Cameroun nous explique la raison de ce rejet : « son parti d'origine le MRC n'ayant pas d'élus, il lui était difficile d'investir Maurice Kamto comme candidat indépendant au regard de l'article 121 du code électoral qui impose 300 signatures. Pour contourner l'obstacle, l'opposant a démissionné du MRC pour adhérer au Manidem. Ce parti dirigé par Anicet Ekane l'a investi candidat à la présidentielle ». Mais une personnalité issue du même parti, Dieudonné Yebga, est venue troubler le jeu, en se présentant candidat également. Et comme un parti ne peut présenter qu'un seul candidat, le Conseil électoral a invalidé les deux candidatures. Incompréhension et indignation au sein de l'opposition… Incompréhension car, souligne Le Journal du Cameroun, « d'autres partis politiques ont investi deux candidats. Et l'un des deux a été accepté. Exemple, au RDPC, parti présidentiel, le président Paul Biya a été accepté contre Léon Theiller Onana, rejeté. Et, autre exemple, au parti UNIVERS, Akere Muna a été accepté tandis que Chantale Adélaïde Membouet a été rejetée ». Et pour sa part, Anicet Ekane, le président du Manidem s'indigne… Dans une interview exclusive à Jeune Afrique, il affirme détenir des preuves accablantes et annonce déposer un recours devant le Conseil constitutionnel. « Maurice Kamto et le Manidem sont victimes d'une opération mafieuse, déclare-t-il. Nous avons constaté des manipulations grossières. (…) Nous avons des preuves qui démontrent clairement une orchestration politique, avec la complicité du pouvoir ». Une candidature unique de l'opposition ? En tout cas, souligne Afrik.com, « ce rejet de Kamto bouleverse le paysage politique camerounais. Le leader du MRC était perçu comme le principal challenger capable d'inquiéter le régime de Paul Biya. Son éviction affaiblit mécaniquement l'opposition et fragilise toute tentative de front commun. Pourtant, certains acteurs appellent à une coalition. Paul Mahel, conseiller et porte-parole d'Akéré Muna, estime que Kamto, même hors course, peut encore jouer un rôle déterminant en soutenant une candidature unique de l'opposition : “il peut encore peser sur l'issue du scrutin s'il apporte son soutien à une dynamique d'unité“. Mais cette hypothèse reste fragile, relève Afrik.com, tant l'opposition camerounaise peine, depuis des années, à s'unir durablement. Si quelques figures comme Akéré Muna ou Cabral Libii plaident pour une candidature de rassemblement, les ambitions personnelles et les querelles de leadership rendent ce scénario incertain. Maurice Kamto, quant à lui, n'a pas encore publiquement indiqué s'il soutiendrait un autre candidat en cas de rejet définitif ». En effet, insiste Le Pays à Ouagadougou, « n'ayant plus rien à perdre, Maurice Kamto pourrait sonner le rassemblement de tous les candidats de l'opposition (…). Mais, est-il seulement capable de ce supplément d'âme ? Pas si sûr, surtout quand on sait qu'en politique et au Cameroun surtout, chacun préfère être tête de rat que queue d'éléphant ? » Indéboulonnable… Et on revient au Point Afrique qui note qu' « au milieu de ce tohu-bohu, Paul Biya reste fidèle à son image : distant, impassible, insaisissable. (…) À 92 ans, celui qui dirige le Cameroun depuis plus de quatre décennies pourrait battre un nouveau record mondial de longévité au pouvoir. Invisible depuis plusieurs mois, son état de santé continue d'alimenter les spéculations. Dans les rangs du régime, nul besoin de programme ni de bilan. Seule la “stabilité“ est érigée en argument. Cameroon Tribune, le quotidien officiel, martèle qu'“un Cameroun en paix vaut mieux qu'une alternance risquée“. La rumeur d'un passage de témoin à son fils Franck Biya, jamais confirmée mais jamais démentie, alimente les soupçons de succession dynastique ». Enfin, Le Point Afrique note encore ce commentaire de La Voix du Centre, hebdomadaire de Bafoussam : « on nous offre un culte monarchique à défaut d'un débat démocratique ».
Les fabricants d'éoliennes et de panneaux solaires qui veulent investir aux États-Unis dénoncent un revirement opéré par la Maison Blanche concernant leur secteur depuis le retour au pouvoir de Donald Trump. Un changement politique qui met en péril leur filière, et ce, pour de nombreuses années à venir. À l'origine de cette situation, « la grande et belle loi budgétaire » du président américain adoptée au forceps le 4 juillet dernier. Ce texte met un tour de vis aux subventions fédérales pour les énergies propres. Trump a juré d'en finir avec « l'arnaque verte » de Joe Biden et de limiter l'envolée des déficits. Le nouveau budget supprime les crédits d'impôt pour les projets éoliens et solaires qui ne seront pas opérationnels d'ici au 31 décembre 2027. Les projets d'hydrogène bénéficient, eux, d'un sursis : à cette date, il faudra avoir commencé à construire l'usine pour bénéficier des aides. À lire aussiLutte contre le réchauffement climatique: Donald Trump en arrière toute L'essor des énergies vertes s'essouffle Pour les professionnels de l'éolien et du solaire, c'est la catastrophe. Selon eux, les projets d'installations risquent de baisser de 20% au cours de la prochaine décennie. Avec des dizaines de milliers d'emplois - ceux d'ingénieurs, d'installateurs, de techniciens ou encore de chefs de projet - qui finalement ne seront pas créés, et ce, alors que les coûts de l'électricité des ménages américains pourraient augmenter de 280 dollars par an d'ici à 2035, alertent les experts. Avec l'arrêt des subventions, financer de nouveaux projets devient très compliqué, voire impossible. Des projets d'investissements à l'arrêt C'est le cas du singapourien Bila Solar, fabricant de panneaux solaires, qui a suspendu le projet d'extension de son usine d'Indianapolis. Son concurrent canadien Heliene a lui remis aux calendes grecques l'installation d'une usine de cellules solaires dans le Minnesota. Enfin, deux projets de parcs éoliens offshore, prévu pour alimenter les États du Maryland et New England, pourraient ne jamais voir le jour. Selon la filière, c'est 373 milliards de dollars d'investissements qui pourraient disparaître. Mais les acteurs du marché disent encore avoir besoin de temps pour évaluer les effets de cette nouvelle législation et de la politique des droits de douane de Trump. Actuellement, le marché américain dépend fortement des importations de composants. Et c'est la Chine qui contrôle 80% de la production mondiale de panneaux solaires. À lire aussiLa politique énergétique de Donald Trump pèse sur l'économie américaine
Alors que je suis toujours à Beyrouth, ce nouvel épisode du Debrief Transat avec Bruno Guglielminetti est l'occasion d'explorer comment l'intelligence artificielle s'installe… même là où on ne l'attend pas. Au Liban, malgré un contexte politique et économique tendu, des initiatives locales voient le jour pour démocratiser l'IA, sensibiliser les jeunes pousses, et tenter de freiner la fuite des cerveaux. Une conférence baptisée AI and Lebanon témoigne de cette effervescence.On revient aussi sur l'explosion des usages de ChatGPT et des agents IA personnalisés. Je partage mes tests très concrets avec le nouvel AI Agent de ChatGPT, capable de passer des commandes sur Uber Eats ou d'analyser mon emploi du temps. Un aperçu du futur de l'assistance numérique.Nous parlons aussi de Grok, l'IA d'Elon Musk, qui se décline désormais en avatars destinés aux enfants — une initiative controversée qui pose des questions éthiques. Enfin, focus sur le AI Act européen qui entre en vigueur en août : une nouvelle phase de régulation qui pourrait marquer un tournant dans l'innovation en Europe.Enfin, nous évoquons les sommaires de nos podcasts hebdo respectifs.-----------
Alejandro Davidovich Fokina est en finale du tournoi de Washington. L'Espagnol a renversé Ben Shelton pour s'offrir une 3e finale cette année, la 4e en carrière. Il s'est offert cette semaine le N°1 et le N°2 américain devant leur public. Fokina peut-il enfin ouvrir son compteur et remporter son premier titre sur le circuit ATP ? Dans la 2e partie de l'émission, l'équipe distribue les tops et les flops avant de se quitter par une partie pronostics. Analyse des premiers tours du Masters 1000 de Toronto et de Montréal. Au menu notamment Monfils, Fonseca ou encore Mpetshi Perricard.
Le PSG et Gianluigi Donnarumma n'auraient toujours pas trouvé d'accord pour prolonger le contrat du gardien italien, pourtant pièce essentielle de la dernière saison et grand artisan de la victoire parisienne en Ligue des champions. Paris joue-t-elle avec le feu en faisant traîner les pourparlers ? Cyril Morin et Martin Mosnier font le point. (06:16)Avec cinq titulaires importants partis, dont Rayan Cherki et Alexandre Lacazette, l'Olympique Lyonnais de Fonseca va vivre une saison charnière, pour ne pas dire compliquée pour les joueurs qui resteront. Entre projet flou et équipe en chantier, à quoi vraiment s'attendre ? (16:08)Arsenal pense avoir trouvé la pièce manquante de son équipe en constante progression avec un buteur prometteur : Viktor Gyökeres, attaquant suédois issu du Sporting Portugal. Est-il le joueur qu'il faut aux Gunners pour leur faire franchir un cap ? Martin Mosnier et Cyril Morin en débattent dans le FC Stream Team. (27:07)Enfin, comme vous en avez l'habitude, retrouvez le quiz de Quentin Guichard en fin d'émission ! (36:05)Bienvenue dans le FC Stream Team, émission d'Eurosport Football Club ! La der' de la saison !Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Durant l'été, je vous propose une sélection des meilleurs épisodes de Vlan sur la dernière saison. L'occasion de découvrir ou redécouvrir des épisodes qui ont énormément plu. Julien Bobroff est physicien, chercheur et vulgarisateur scientifique. Il y a quelques années je l'ai reçu sur Vlan et depuis il a décidé de partager sa passion pour la physique sur les réseaux sociaux. Un pari fou ? Peut-être, mais un pari réussi ! Aujourd'hui, avec plus d'un million de followers sur TikTok, Instagram et YouTube, il s'impose comme une référence dans la vulgarisation scientifique. Son secret ? Raconter la science comme une aventure captivante, en deux minutes chrono.Dans cet épisode, nous plongeons dans son univers fascinant et dans son dernier livre "La Physique de l'Extrême", où il explore les phénomènes les plus fous de la science : le froid absolu, les pressions extrêmes, les champs magnétiques démesurés et même la caméra la plus rapide du monde. Autrement dit, les limites ultimes de la physique, celles qui défient notre compréhension du monde.Au fil de notre échange, nous revenons aussi sur une question centrale : la science a-t-elle besoin d'être déraisonnable pour avancer ? Julien nous explique comment les plus grandes découvertes naissent parfois d'une ambition hors norme, voire d'une forme de folie maîtrisée. Il nous parle aussi du rôle (surestimé) du hasard dans la recherche, et de l'importance d'être ouvert à l'inattendu pour faire progresser la connaissance.Enfin, il partage son expérience des réseaux sociaux, un univers aux antipodes du monde académique, où chaque concept scientifique doit être condensé en quelques secondes pour capter l'attention. Comment réussir ce pari sans perdre en rigueur ? Pourquoi la vulgarisation est-elle essentielle pour renouveler l'intérêt du grand public pour la science ?Si vous aimez comprendre le monde sous un nouvel angle et repousser les frontières de la connaissance, cet épisode va vous passionner. Installez-vous confortablement, ouvrez grand vos oreilles… et bienvenue dans la physique de l'extrême !5 Citations marquantes"La recherche, c'est souvent explorer des territoires inconnus avec une ambition démesurée.""On peut raconter un article scientifique en deux minutes… mais aussi en 200 pages.""Les physiciens sont des schizophrènes : calmes et rationnels, mais obsédés par l'impossible.""Le froid est le seul domaine où l'humain dépasse la nature : nous sommes un milliard de fois meilleurs qu'elle.""La science ne sert pas forcément à quelque chose immédiatement, mais elle agrandit notre compréhension du monde."10 Questions posées dans l'interviewPourquoi as-tu décidé de te lancer sur les réseaux sociaux ?En quoi ton travail sur les réseaux a-t-il influencé ton livre ?La recherche scientifique doit-elle être déraisonnable pour avancer ?Quel est le rôle des accidents et du hasard dans les découvertes scientifiques ?Pourquoi les physiciens semblent-ils si cartésiens alors qu'ils explorent des idées folles ?Quelle est l'expérience scientifique la plus extrême que tu aies vue ?Comment une grenouille peut-elle léviter grâce au magnétisme ?Pourquoi l'être humain est-il meilleur que la nature pour produire du froid extrême ?À quoi sert la caméra la plus rapide du monde ?Comment fonctionne un IRM et quel est son lien avec la physique quantique ?Timestamps 00:00 - Introduction & Présentation de Julien Bodroff01:53 - Son succès fulgurant sur TikTok et Instagram03:27 - L'impact des réseaux sur son livre04:57 - Faut-il être fou pour faire avancer la science ?06:14 - Les expériences les plus extrêmes en physique09:45 - La nécessité d'une ouverture d'esprit en science11:29 - L'innovation la plus folle qu'il a rencontrée17:47 - Le diamant, un matériau toujours inégalé23:43 - La lévitation magnétique et l'expérience de la grenouille27:32 - Le fonctionnement d'un IRM et la physique quantique34:05 - L'exploration des températures les plus froides42:34 - Un cryostat dans l'espace : mesurer le fond cosmologique Suggestion d'autres épisodes à écouter : #225 Comprendre (simplement) la physique quantique avec Julien Bobroff (https://audmns.com/NHILyGr) Vlan #74 La science fiction permet réellement de définir le futur avec Guy Philippe Goldstein (https://audmns.com/WFkwZGg) #327 Apprendre de l'audace d'un chercheur intrépide avec Jean-Claude Weil (https://audmns.com/NAKYazA)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après des années de brouille, la Centrafrique et la France ont repris leur partenariat en avril 2024 et une feuille de route a été signée entre les deux pays. Le président centrafricain s'est rendu en France à plusieurs reprises en 2024 et le 10 juillet dernier, le général français Pascal Ianni, à la tête du commandement de l'armée française pour l'Afrique, s'est rendu à Bangui. Il a évoqué avec le ministre centrafricain de la Défense Claude Rameau Bireau le partenariat entre les deux armées, en matière de formation. L'armée française accueille en ce moment une quinzaine d'officiers et sous-officiers centrafricains. Qu'est-ce qui a poussé Bangui à reprendre ses relations avec Paris ? Thierry Vircoulon est chercheur au centre Afrique de l'IFRI. RFI: c'est une première depuis neuf ans. Un général français s'est rendu à Bangui. Pascal Ianni qui est à la tête du commandement de l'armée française pour l'Afrique a fait le déplacement pour évoquer le partenariat entre les deux armées en matière de formation. C'est là un symbole fort, surtout quand on se rappelle le rôle joué par l'armée française dans le pays. Thierry Vircoulon : Oui, c'est en effet un retour après une longue période d'éclipse puisque la coopération militaire entre la France et la Centrafrique avait été réduite drastiquement et avait même quasiment disparu, alors que, en effet, la France a pendant longtemps, je pense surtout au 20ᵉ siècle, joué le rôle à la fois de créateur et de formateur de l'armée centrafricaine. Paris et Bangui ont relancé leurs relations en avril 2024. Après plusieurs visites du président Touadéra en France, ce déplacement, c'était là un moyen, côté français, d'acter en quelque sorte ce rapprochement ? C'est-à-dire qu'il y a eu une feuille de route qui a été signée entre Paris et Bangui pour reprendre les relations qui avaient été rompues. Enfin pas rompues officiellement, mais en tout cas qui étaient très mauvaises pendant plusieurs années. Et donc la feuille de route qui a été signée avait plusieurs axes et impliquait en effet qu'un certain nombre de coopérations soient renouées. Et on voit avec la visite du général Ianni que la coopération militaire fait partie de ces coopérations qui devaient être renouées. Qu'est-ce qui a poussé les autorités centrafricaines à reprendre ce partenariat avec la France ? Je ne sais pas. Et je me demande même, qu'est-ce qui a poussé les autorités françaises à reprendre ce partenariat avec Bangui ? Puisque que dans le fond, on ne voit pas cette feuille de route qui a été signée l'année dernière, on ne voit pas quel était son objectif stratégique dans la mesure où Paris n'a plus aucun intérêt en Centrafrique. Total et Bolloré sont partis. Ils ont vendu leurs actifs en Centrafrique depuis quelques années et donc il y a quasiment plus de société française là-bas. Il y a une communauté française qui est très limitée, donc on ne voit pas vraiment qu'est-ce qui a pu motiver Paris à vouloir renouer comme ça avec un régime qui est à bout de souffle. Est-ce qu'il n'y a pas un enjeu stratégique pour la France de ne pas laisser la Russie seule là-bas ? On sait que la France a été un petit peu, on ne va pas dire chassée, mais… Si, il faut dire chasser, oui, il faut dire chasser. La France a été chassée par la Russie, est-ce qu'il n'y a pas aussi un enjeu stratégique pour Paris ? Oui, alors on peut dire que c'est ça l'enjeu stratégique. Mais pour le moment, on n'a pas vraiment vu la perte d'influence de la Russie sur le régime centrafricain. Au contraire, le président Touadéra a été voir Vladimir Poutine au début de cette année. Les échanges continuent, si je puis dire. Mais surtout, la mainmise de Wagner reste totale sur l'appareil sécuritaire centrafricain. Donc, on ne voit pas ce que cette politique a amené pour le moment. La feuille de route a permis d'une part de libérer un citoyen français qui était dans les geôles centrafricaines, ça, c'est clair. On voit aussi, quand on monitore un peu les médias centrafricains, que la propagande anti-française a diminué. Donc, il y a eu des signes du gouvernement centrafricain en quelque sorte. Mais par contre, il n'y a aucun signe de diminution de l'emprise russe sur le régime centrafricain. Il y a un scrutin présidentiel qui se profile à l'horizon en décembre 2025. Est-ce que côté centrafricain, le président Touadéra ne cherche-t-il pas quand même des appuis avant cette échéance importante ? Il cherche des appuis, mais pas du côté français en tout cas. Puisque premièrement, la contribution financière de la France aux élections dont vous parlez devrait être extrêmement modeste, s'il y en a une. Et en fait, sa garantie de réélection, il est allé la chercher à Moscou et également aux Émirats arabes unis. Et surtout en introduisant des modifications de la Constitution qui mettent hors-jeu la plupart de ses adversaires politiques parce qu'avec les nouvelles règles juridiques qui ont été mises dans la Constitution la candidature de beaucoup d'entre eux ne devrait pas pouvoir être validée par la Commission électorale. À lire aussiCentrafrique: Paris et Bangui envisagent une reprise de leur coopération militaire
Cet été, nous vous proposons de (re)découvrir quelques épisodes marquants de ces derniers mois. Nous vous donnons rendez-vous à la rentrée pour des épisodes inédits !Nous sommes aujourd'hui avec l'un des restaurateurs les plus inspirants de sa génération. Avec son associé Victor, il a révolutionné la cuisine italienne en France et bien au-delà. Il est surtout un entrepreneur visionnaire qui a su bousculer les codes de la restauration. Notre invité est Tigrane Seydoux, le co-fondateur de Big Mamma. Pour co-animer cet épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné d'Élisa Gautier, la fondatrice du restaurant Kiosk à Paris.À travers ce podcast, nous cherchons à comprendre le phénomène Big Mamma. On disait d'eux au début que leur succès exceptionnel serait un phénomène de mode. Force est de constater qu'après 10 ans, les 28 restaurants du groupe Big Mamma sont aujourd'hui devenus des institutions.Pour cela, nous retraçons le parcours de Tigrane : de son enfance entre Monaco et Paris, où son héritage familial dans l'univers de l'hôtellerie de luxe a façonné sa vision de l'hospitalité, à la création de Big Mamma en 2015 avec son associé Victor Lugger. Tigrane nous raconte ainsi en détail et avec beaucoup de franchise comment ils ont donné vie à leur vision audacieuse du restaurant, malgré leur manque d'expérience initiale dans le secteur.Nous explorons ensuite l'expansion fulgurante de Big Mamma. Tigrane nous dévoile les coulisses de leur développement international. Parmi les paris audacieux, l'Italie devient une étape clé. Ouvrir un restaurant italien en Italie, un défi ? Pas pour Big Mamma. Tigrane nous explique comment ils ont su s'imposer avec une équipe locale et une approche humble, jusqu'à être reconnus par le prestigieux guide Gambero Rosso.Enfin, avec la transparence qui le caractérise, Tigrane nous livre sa vision du futur de Big Mamma et du secteur de la restauration. Il évoque l'arrivée du fonds londonien McWin comme actionnaire majoritaire en 2023, valorisant le groupe et ses ambitions d'expansion aux États-Unis. Tout au long de l'entretien, on découvre un entrepreneur énergique et passionné, pour qui le succès est avant tout une aventure humaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le 27 mai, les députés français ont voté une loi ouvrant l'accès à l'aide médicale à mourir. Ce terme désigne plusieurs pratiques, dont l'euthanasie, qui pourraient bientôt être autorisées pour certaines personnes gravement malades. Le texte doit encore être discuté au Sénat à la rentrée, mais il a de grandes chances d'être adopté. Que dit exactement cette loi ? Qui pourra en bénéficier ? Et quelles questions pose-t-elle ? Dans cet épisode, Hugo et Ingrid vous expliquent tout. Ils reviennent d'abord sur l'évolution du débat en France, puis présentent le cadre prévu par la loi et les conditions d'accès à cette aide. Enfin, ils parlent des limites du texte et des questions éthiques soulevées. Retrouvez la transcription de cet épisode sur innerfrench.com Vous avez envie de progresser avec nous ? Découvrez nos cours en ligne sur courses.innerfrench.com
C dans l'air du 16 juillet 2025 : Bayrou allume la mèche budgétaireDépenser moins et travailler plus. Le Premier ministre a dévoilé mardi son plan pour réaliser 43,8 milliards d'économies en 2026 et enrayer la hausse de la dette. Pour ce faire, François Bayrou propose de supprimer deux jours fériés, le lundi de Pâques et le 8 mai, une année blanche avec un grand gel sur les dépenses de l'État — prestations sociales, pensions de retraite — mais aussi sur le barème de l'impôt, la fin de l'abattement de 10 % pour les retraités, remplacé par un forfait de 2 000 euros, la suppression de 3 000 postes de fonctionnaires, l'augmentation de la franchise sur les médicaments à 100 euros par an et une moindre prise en charge des affections de longue durée (ALD)…Une potion amère qui suscite déjà de vives réactions de plusieurs figures politiques, syndicales et associatives. Si Emmanuel Macron estime que le budget présenté par François Bayrou a « la vertu du courage, de l'audace et de la lucidité », le Rassemblement national, La France insoumise, les écologistes et les socialistes demandent au Premier ministre de "revoir sa copie", sans quoi il sera censuré.Ce mercredi matin, la secrétaire générale de la CGT a, de son côté, appelé à la mobilisation à la rentrée et demandé aux parlementaires de "tout faire pour que ces mesures ne s'appliquent pas, parce qu'elles sont non seulement injustes, mais dangereuses pour le pays". Sophie Binet dénonce ce qu'elle appelle une "honte".Impôts, retraites, jours fériés, année blanche… Quelles sont les principales pistes détaillées par François Bayrou pour le budget 2026 ? Qui pourrait être le plus impacté ? Les retraités sont-ils en première ligne ? Menacé de censure, François Bayrou peut-il faire adopter son plan ? Enfin, le RN, rattrapé par de nouvelles affaires, est-il fragilisé ?LES EXPERTS : - Dominique SEUX - Directeur délégué de la rédaction - Les Echos- Nathalie SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions - Lou FRITEL - Journaliste politique - Paris Match - Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de Metamorphoses francaises