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Donald Trump est attendu ce vendredi dans le centre du Texas, cet État du sud des États-Unis, au chevet des familles des victimes des inondations qui ont touché la région il y a une semaine. Plus d'une centaine de morts et au moins 160 disparus. Le président rencontrera également des membres d'équipes des secours. Donald Trump cherchera à faire taire certaines critiques sur sa gestion de la catastrophe, notamment sur une polémique autour de la Fema, l'agence nationale qui doit intervenir pour les catastrophes climatiques. Une polémique sur un possible retard des secours à cause de mesures du président. À Hunt, dans le comté le plus touché, les habitants s'organisent avec les autorités et font preuve de solidarité. Sur le bord du fleuve, des volontaires découpent les arbres déracinés. Juste à côté, des équipes cherchent les corps des victimes. Heather espère que sa nièce Brylie sera retrouvée. Brylie aurait dû fêter ses 7 ans ce mercredi 9 juillet. Elle faisait partie du camp de vacances pour jeunes filles Mystic, submergé par les inondations. « J'espère juste qu'ils la retrouvent. À ce point, ça serait mieux s'ils la retrouvaient morte que pas du tout. On prie seulement pour qu'elle apparaisse. Je prie pour qu'ils trouvent tout le monde, je veux que toutes les personnes disparues soient retrouvées vivantes ou mortes, c'est tout ce qui compte », dit Heather. Malgré cette tragédie, Heather est venue prêter main-forte. Elle a passé sa matinée à retirer les débris d'une maison détruite. Chris Saldana, lui, manie une tronçonneuse. Quatre jours qu'il est là, après avoir fait quatre heures de route pour venir aider. « Nos efforts vont continuer jusqu'à ce que toutes les personnes soient retrouvées, pour que les personnes puissent faire leur deuil », explique-t-il. Un élan de solidarité impressionnant Il se réjouit du nombre de volontaires venus de tout le Texas et même d'ailleurs. « Vous n'avez jamais vu autant de pick-up de votre vie. Les gens qui sont venus ici avec leurs propres moyens, leur argent, juste pour répondre au besoin de ces habitants du Texas. Et ça a toujours été comme ça et ça continuera de l'être ». Son ami Roan King entasse des troncs d'arbres. « Je mets mon énergie à profit pour aider les habitants sympathiques ici à Hunt et Kerrville, et tout le long du fleuve, il faut un village pour faire ça. Parfois, on a besoin d'eux et là ils ont besoin de nous ». Des objets dispersés dans cette forêt emportés par l'eau, un matelas est suspendu dans un arbre... Roan King découvre sous des débris une malle turquoise avec un nom écrit en rose, le bagage appartenait à une fille du camp de vacances. « Nous allons chercher la tronçonneuse et tout couper autour pour essayer de la sauver et peut-être essayer de la ramener à la mère ou au père ou à la petite fille à qui manque la mallette », dit-il. Roan et Chris ont ensuite réussi à identifier la propriétaire de la mall.. La jeune fille est décédée, et s'en vont rapport cet objet aux parents. À lire aussiÉtats-Unis: Donald Trump se rend au Texas une semaine après les inondations meurtrières
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la blessure de Jamal Musiala lors d'un match contre le PSG, la réaction de Donald Trump au nouveau parti d'Elon Musk et les un an de la disparition de Foniké Menguè et Billo Bah. Angélique Kidjo : première chanteuse africaine à briller sur le « Walk of Fame » La diva béninoise aura son étoile sur l'emblématique « Walk of Fame » d'Hollywood, à Los Angeles. Comment expliquer cette reconnaissance ? Pourquoi les artistes africains sont si peu nombreux sur le célèbre trottoir d'Hollywood Boulevard ? Avec Sophie Torlotin, cheffe adjointe du service culture de RFI. PSG-Bayern : retour sur la terrible blessure de Jamal Musiala Lors du match PSG-Bayern Munich en quarts de finale du Mondial des clubs, Jamal Musiala a brutalement quitté la pelouse avant la pause, victime d'une fracture du péroné gauche avec entorse de la cheville dans un choc involontaire avec le gardien Gianluigi Donnarumma. Combien de temps sera-t-il immobilisé ? Le gardien parisien est-il responsable de cette blessure ? L'absence de l'attaquant risque-t-elle d'affaiblir le « Rekordmeister » ? Avec Antoine Grognet, journaliste au service des sports de RFI. États-Unis : Elon Musk est-il un danger pour Donald Trump ? En annonçant la création de son parti, le Parti de l'Amérique, Elon Musk acte définitivement sa rupture avec Donald Trump. Comment le président américain réagit-il à cette initiative ? A-t-il des raisons de s'inquiéter de son ex-allié ? Elon Musk peut-il grappiller des voix aux Républicains ? Avec Pierre Gervais, professeur de Civilisation américaine à l'Université Sorbonne Nouvelle. Auteur du livre « Histoire des États-Unis de 1860 à nos jours » (éditions Hachette Éducation). Guinée : un an de silence sur la disparition de Foniké Menguè et Billo Bah Un an jour pour jour après leur enlèvement à Conakry, les militants de la société civile Foniké Menguè et Billo Bah demeurent introuvables. Malgré les alertes répétées de leurs proches, du FNDC et d'organisations internationales, les autorités guinéennes n'ont livré aucune information sur leur sort. Où en sont les enquêtes ouvertes par la justice guinéenne ? Que peut-on attendre des recours déposés devant la justice internationale ? Avec Ilaria Allegrozzi, chercheuse senior sur le Sahel à Human Rights Watch.
En Afrique de l'Ouest, la formation des enseignants reste l'un des défis majeurs pour garantir une éducation de qualité. Malgré les efforts des États, une partie des enseignants exerce sans formation initiale adéquate, ou avec un encadrement pédagogique insuffisant. Ce déficit de formation impacte directement les apprentissages des élèves, dans un contexte où les classes sont souvent surchargées et les ressources limitées. Face à cette réalité, des initiatives émergent pour combler ce vide. C'est le cas de l'association Ana-Nour qui développe des programmes de formation fondés sur les neurosciences et adaptés aux réalités africaines. De son côté, Gaétan Elvis Kponouhou, syndicaliste et formateur engagé au Bénin, s'évertue à professionnaliser le métier d'enseignant à travers des formations continues. Comment ces interventions peuvent-elles inspirer les politiques éducatives nationales ? Et quelles conditions faut-il réunir pour qu'elles changent durablement le quotidien des enseignants et des élèves ? Avec : • Stéphanie Delgado, présidente et co-fondatrice de l'association Ana-Nour qui œuvre depuis 2019 pour une éducation plus éthique, vivante et co-construite avec les enseignants locaux en Afrique francophone, notamment à travers la neuro-éducation • Gaëtan Kponoukon, secrétaire général du Syndicat National des Enseignants des Écoles Maternelles et Primaires Publiques du Bénin (SYNAEM-BENIN) En ouverture d'émission, un entretien avec un Hannah Kitchen, analyste à la direction de l'éducation et des compétences de l'OCDE, au sujet d'un rapport indiquant que de nombreux étudiants commencent leur carrière sans les conseils dont ils ont besoin pour réussir. En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Garba. Programmation musicale : ► La Felicidad – Carameloca ► Mousso – Manamba Kanté.
Lily exprime une profonde anxiété liée à sa santé précaire et à son sentiment d'abandon par ses enfants, notamment son fils, qui ne répond pas à ses appels à l'aide. Elle se sent délaissée et remplacée par son ex-compagnon dans le rôle de soutien familial, ce qui accentue son isolement émotionnel. Lily cherche des conseils pour rétablir le contact et retrouver sa place au sein de sa famille. Durant le mois de juillet, en direct, Cécilia Commo accueille les auditeurs pour 2h d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Françoise Hardy et Jacques Dutronc formaient un couple mythique. De leur rencontre au milieu des années 1960, à leur mariage précipité en 1981, en passant par une vie à distance, leur histoire a défié les conventions. Malgré les épreuves, et les séparations, leur lien n'a jamais cessé. "Françoise Hardy et Jacques Dutronc, rendez-vous dans une autre vie", c'est le nouvel épisode de Confidentiel. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Désigné comme complice dans le meurtre de Simon Jochimec en 2003, Jean-Claude Vaze a toujours nié sa présence et son implication au moment des faits. L'homme a fini par se donner la mort en 2009, emportant avec lui de nombreux secrets. Malgré des preuves accablantes contre son client, Maître Damiano n'a jamais réussi à faire parler l'amant de Dominique Louis. Dans ce podcast inédit, découvrez un supplément de l'émission de L'heure du crime. Questions oubliées, ou qui n'ont pas pu être posées à l'antenne, Justine Vignaux reste en studio avec l'invité(e) de Jean-Alphonse Richard, pour en savoir plus sur l'affaire du jour. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est une « nouvelle menace pour la stabilité », écrit Afrik.com. Le site d'information nous rappelle que le JNIM, le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, affilié à al-Qaïda, « accuse les habitants de Kayes et de Nioro d'avoir collaboré avec l'armée malienne lors d'opérations récentes ». « Dans des messages audios en peul et en bambara », poursuit Afrik.com, « les djihadistes menacent de couper tous les axes routiers menant à ces villes, et promettent de tuer tout homme intercepté sur ces routes ». Ce qui ne va pas sans susciter de nombreuses craintes. Afrik.com énumère : « coupures d'approvisionnement, entrave à la mobilité, pression psychologique sur les populations et défi sécuritaire majeur pour l'état malien (…) Le JNIM « cherche à semer la peur, affaiblir le moral des troupes et élargir son emprise à des régions jusqu'à présent épargnées », conclut le site d'information. Unité et solidarité Dans le même temps, la presse malienne met l'accent sur la réaction des autorités de Bamako face aux assauts jihadistes. « Face à une offensive coordonnée visant sept localités, les forces maliennes ont riposté avec fermeté », annonce Maliweb qui précise : « Plus de 80 assaillants neutralisés, et de nombreux équipements saisis par l'armée malienne ». Bamako va plus loin en affirmant que les attaques jihadistes « sont sponsorisées par des états visant à freiner la progression de l'Alliance des Etats du Sahel ». Bamada.net, de son côté, publie l'appel lancé par Choguel Maïga. L'ancien Premier ministre lance, nous dit-on, « un appel vibrant à l'unité nationale face à la terreur » et il exprime « sa profonde gratitude envers les jeunes de Kayes qui, à ses yeux, incarnent le courage et la solidarité de l'ensemble de la jeunesse malienne ». « Face à l'adversité, c'est l'unité qui triomphe », ajoute l'ex-Premier ministre. « Les FAMA infligent de lourdes pertes aux groupes armés », titre pour sa part, Sahel Tribune, au-dessus d'une photo montrant des soldats casqués, arme au poing, et salut « le professionnalisme et l'engagement remarquables » des forces armées maliennes. Pneus brûlés À la Une de la presse africaine également, le Sénégal et l'émotion provoquée par la mort de deux jeunes hommes à Cambérène, un quartier de Dakar, où la population accuse la police d'être à l'origine de la mort de deux jeunes hommes par noyade. « 3ᵉ nuit à Cambérène : la commune étouffe sous les cendres : pneus brûlés, colère sourde », titre Dakar Actu, qui s'est rendu sur place et raconte : « la route était fermée, les pavés fumants, des pneus brûlés au centre de la chaussée et aux alentours, presque personne. Ni forces de sécurité, ni protestataires visibles. Une scène quasi irréelle ». « Est-ce une coïncidence ? » interroge Dakar Actu, « ou un effet direct du discours prononcé par le président Bassirou Diomaye Faye, qui a catégoriquement dénoncé les violences et l'utilisation abominable d'un homme comme bouclier humain ? » Dakar Actu estime en tout cas, « qu'une chose est indéniable. La voix de la jeunesse de Cambérène ne s'est pas tue. Mais au cœur de la colère, subsiste une certaine forme de discipline. Pas de magasin dévalisé, pas de produit volé, pas de boutique assaillie. Malgré tout l'honneur de la commune semble sauvegardé ». Bouclier humain Des évènements qui ont été marqués par une image, dont parle également la presse sénégalaise. Cette image, précise Sénénews c'est celle « d'un jeune homme au visage couvert de sang, assis au milieu des forces de l'ordre à Cambérène ». C'est lui que la presse appelle « le bouclier humain ». « Devenue virale, cette photo incarne la tension extrême qui règne dans ce quartier populaire de Dakar », nous explique Sénénews. Le jeune homme a par la suite été interviewé par Sunugal 24. Il parle de « calvaire » et raconte avoir « été violemment interpellé lors d'affrontements entre jeunes manifestants et policiers. » Selon lui, « il a été battu avant d'être exhibé publiquement et utilisé comme bouclier humain pour décourager les protestataires ».
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le procès de Benyamin Netanyahu pour corruption et les mutineries de soldats au Niger. Accord de paix RDC-Rwanda : vers la neutralisation des FDLR ? Après trois décennies d'insécurité à l'est de la RDC, Kinshasa et Kigali ont signé un accord de paix à Washington, sous l'égide des États-Unis. Le texte prévoit le désengagement des forces rwandaises et la neutralisation des FDLR. Quand peut-on espérer le désarmement effectif de ce groupe de rebelles rwandais ? RDC-Rwanda : qui surveillera la bonne application de l'accord de paix ? Malgré les engagements signés entre la RDC et le Rwanda, la mise en œuvre de l'accord de paix reste incertaine dans une région marquée par la méfiance et les enjeux géostratégiques. Quels mécanismes sont prévus pour s'assurer que l'accord sera respecté ? Pourquoi les rebelles de l'AFC/M23 ne sont-ils pas mentionnés dans le document conclu à Washington ? RDC-Rwanda : à quand un accord avec le M23 ? La signature de l'accord de la paix entre Kinshasa et Kigali a eu lieu à Washington, sous la médiation américaine. Parallèlement, des négociations sont en cours au Qatar entre les autorités congolaises et les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda. Où en sont les discussions ? Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI. Israël : Benyamin Netanyahu gagne un sursis dans son procès pour corruption Alors qu'il devait comparaître cette semaine dans son procès pour corruption, fraude et abus de confiance, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a obtenu un nouveau sursis judiciaire avec le report des audiences. De son côté, Donald Trump a déclaré qu'il ne « tolérerait pas » la poursuite du procès. Le président américain a-t-il pu influencer la décision du tribunal de Jérusalem ? Avec Michel Paul, correspondant de RFI à Jérusalem. Niger : pourquoi des soldats se rebellent-ils ? La semaine dernière, deux unités de l'armée nigérienne se sont mutinées à Filingué et Tera. Depuis le mois de mars, quatre mouvements de colère ont été recensés au sein des forces armées. Quelles sont les revendications de ces soldats ? Ces soulèvements risquent-ils de se propager ? Quel sort est réservé aux mutins ? Avec Seidik Abba, président du Centre international de réflexions et d'études sur le Sahel. Auteur de l'ouvrage « Crise interne au conseil militaire suprême du Niger » (éditions L'Harmattan).
Gilles vit depuis 2 ans une véritable descente aux enfers marquée par une rupture amoureuse et le décès brutal de sa mère. Ce qui l'a plongé dans une profonde dépression. Malgré le soutien de ses amis et son engagement auprès d'un homme âgé, il se sent démuni et sans envie de vivre. Bertrand témoigne de son expérience passée avec la dépression, qu'il a surmontée grâce à une hospitalisation et un traitement adapté. Il encourage Gilles à envisager cette option, affirmant que cela lui a permis de reconnecter avec la vie après trois semaines. Durant le mois de juillet, en direct, Cécilia Commo accueille les auditeurs pour 2h d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Très longtemps, il a été impossible d'imaginer Béatrice Matis, petite bonne femme approchant la soixantaine, en train de déplacer et traîner un corps ensanglanté de 84 kilos. Impensable également de la voir comme une tueuse acharnée, ivre de colère, distribuant 58 coups de couteau à une femme qui aurait pu être sa rivale mais qui ne l'était pas. Malgré les apparences, la justice va finir par douter et Béatrice Matis va se retrouver dans le rôle de cette tragédie survenue à l'hiver 2003 dans une commune proche de Calais. Avant cela, l'enquête aura connu un cheminement des plus chaotiques.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un journaliste français, Christophe Glaise, 36 ans, a été arrêté à Alger et risque plusieurs années de prison. Cette arrestation est jugée terrible par Ruth Elkrief, qui s'interroge : à quoi joue le régime algérien ? Par ailleurs, la décision du tribunal d'Alger concernant Boualem est attendue demain. Ce dernier a été condamné à sept ans de prison ferme par un tribunal de Tizi Ouzou pour apologie du terrorisme et possession de publications dans un but de propagande nuisible à l'intérêt national. Ces arrestations suscitent une vive inquiétude quant au respect de la liberté de la presse et aux droits fondamentaux dans la région. L'accord international de 2021, largement initié par la France lors du G7, visait à instaurer une taxe minimale de 15 % sur les bénéfices des grandes entreprises réalisant plus d'un milliard d'euros de chiffre d'affaires. Les États-Unis, sous la présidence de Joe Biden, avaient accepté cet accord pour promouvoir une justice fiscale mondiale. Mais Donald Trump, de retour sur la scène politique, refuse cette imposition, estimant qu'elle porte atteinte à la souveraineté fiscale américaine. Selon François Lenglet, ce retrait américain pourrait signer la fin de cet accord ambitieux. Au Mexique, Abnousse Shalmani souligne que le président Andrés Manuel López Obrador, dit AMLO, et sa successeure Claudia Sheinbaum, sont des populistes de gauche dangereux. En septembre 2024, leur projet de loi visant à élire 2 600 juges a provoqué une mobilisation massive au Sénat, contraint de voter dans un local alternatif face à la contestation. Malgré tout, la loi a été adoptée, suscitant des critiques sur la complexité et la représentativité du processus, puisque seulement 13 % du corps électoral a participé. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Olivier est non-voyant et cherche à établir des amitiés sincères avec des femmes. Il a rencontré des difficultés à se faire des amis à cause de son optimisme face au pessimisme des autres. Malgré ces obstacles, il reste déterminé à trouver des relations significatives.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:10:29 - Journal de 18h - Contre "l'internationale réactionnaire", la marche des fiertés pour la défense des droits LGBT+ s'est élancée en début d'après-midi à Paris et en Hongrie, où des milliers de personnes ont défilé malgré la récente interdiction du gouvernement nationaliste de Viktor Orban.
Pendant une grande partie du XXe siècle, le jazz, cette musique libre, vibrante, imprévisible… était tout simplement interdit en Union soviétique.Pourquoi ? Revenons au début.Dans les années 1920, après la révolution bolchévique, l'URSS vit une courte période d'ouverture culturelle. Le jazz arrive alors à Moscou, porté par des musiciens curieux, et même soutenu un temps par le régime, qui y voit un art moderne, populaire, presque révolutionnaire.Mais très vite, les choses changent. Dans les années 1930, avec Staline au pouvoir, tout ce qui ne colle pas aux normes du "réalisme socialiste" devient suspect.Et le jazz, avec ses syncopes, son swing, son côté improvisé et indomptable, ne rentre pas dans les cases. Pire encore : il vient des États-Unis, la grande puissance capitaliste et ennemie idéologique.Staline déteste ce qu'il appelle la "musique dégénérée". Le jazz est accusé d'être "antirusse", "bourgeois", "décadent". On le surnomme même la "musique de la jungle". Les saxophones sont bannis, les orchestres de jazz dissous, les musiciens surveillés.Et cela empire après la Seconde Guerre mondiale. En pleine guerre froide, écouter du jazz devient un acte de défiance politique. C'est être influencé par l'ennemi.Mais… la musique ne s'arrête pas.Malgré l'interdiction, le jazz continue de vivre en cachette. Dans les caves, les arrière-salles, les appartements privés, on joue du jazz clandestinement. On enregistre sur des radiographies médicales usagées — oui, sur des radios des poumons ! — qu'on appelle les "disques sur os", pour contourner la censure.Certains prennent tous les risques pour écouter des enregistrements de Duke Ellington ou Charlie Parker, captés illégalement sur les ondes occidentales.Et puis, dans les années 1960, le vent tourne un peu. Sous Khrouchtchev, une relative détente permet au jazz de ressortir timidement à la surface. Des festivals sont autorisés, des musiciens soviétiques comme Leonid Utyosov ou Igor Bril font revivre le genre, à leur manière.Mais le jazz ne sera jamais complètement libre en URSS. Il restera surveillé, encadré, soupçonné d'"américaniser" les esprits. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Co-fondateur de Michel et Augustin, Augustin Paluel-Marmont a conquis les rayons et les cœurs avec ses sablés, ses bouteilles colorées… et surtout son audace.Mais derrière l'image du trublion de la food, il y a un homme en quête de sens, un père engagé, un entrepreneur habité par la foi, les virages à 180° et une volonté de ne jamais rentrer dans les cases.
Un couple séparé dont la tête est mise à prix, doit s'enfuir avec leur fils pour éviter une milice qui a été envoyée pour les tuer. Derrière ce mince synopsis se cache le nouveau film de Joe Carnahan, qui débarque chez nous en catimini sur la plateforme Amazon Prime Video. Grands admirateurs du réalisateur de NARC et LE TERRITOIRE DES LOUPS, Stéphane Moïssakis et Yannick Dahan ne pouvaient pas passer à côté du film mais patatras, voici que l'ami Joe a fait un authentique mauvais film d'action ! Malgré le peu de choses à se mettre sous la dent, nos deux intrépides critiques ont réussi à enregistrer un podcast de 50mn sur SHADOW FORCE !Retrouvez toutes nos émissions sur http://www.capturemag.frPour nous soutenir, il y a deux adresses :PATREON : https://www.patreon.com/capturemagTIPEEE : https://www.tipeee.com/capture-magLISEZ CAPTURE MAG !Toutes nos revues sont disponibles dans les librairies, les magasins de produits culturels et sites marchands.Akileos : https://bit.ly/AkilsCMCapture Mag est sur LETTERBOXD : https://letterboxd.com/CaptureMag/En MP3 sur Acast : https://bit.ly/3v6ee7sSur SPOTIFY : https://spoti.fi/3PJYnF3Sur DEEZER : https://bit.ly/2wtDauUSur APPLE podcasts : https://apple.co/2UW3AyO#omarsy #primevideo #kerrywashington Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quarante-huit heures après l'entrée en vigueur du cessez-le-feu entre Israël et l'Iran, le guide suprême Ali Khamenei a revendiqué la victoire. Pourtant, en coulisse, un autre front reste actif. Celui de l'économie. Sous sanctions depuis des décennies, frappée par une inflation galopante et une devise en chute libre, l'économie iranienne semble tenir. Décryptage. La République islamique se targue de résister aux pressions extérieures, mais cette résilience a ses limites. Le rial iranien ne cesse de s'effondrer : il faut désormais plus de 42 000 rials pour un seul dollar américain. L'inflation est ainsi fulgurante, estimée à 43 % par le Fonds Monétaire International. Les produits de première nécessité deviennent inaccessibles pour une grande partie de la population. Selon les estimations, entre un tiers et la moitié des Iraniens vivent sous le seuil de pauvreté. Cette détérioration s'est aggravée après la réimposition des sanctions américaines en 2018, lorsque Washington s'est retiré de l'accord sur le nucléaire. L'Iran, déjà isolé, s'est alors vu couper l'accès au système bancaire international et privé de dollars. Une économie sous sanctions, mais jamais à l'arrêt Malgré l'isolement, Téhéran n'est pas resté sans ressources. Le pays a renforcé ses partenariats avec la Chine, la Russie, la Turquie ou encore l'Inde. Et surtout, il a su contourner les sanctions grâce à des raffineries chinoises opérant discrètement sur son sol, surnommées teapots, ou à une flotte fantôme de 400 navires transportant clandestinement du pétrole. Ce système s'appuie sur un modèle économique à deux vitesses. D'un côté, un capitalisme d'État dominé par les Gardiens de la Révolution, omniprésents dans les secteurs clés (énergie, télécoms, BTP). De l'autre, une économie informelle florissante, basée sur la contrebande et les circuits parallèles. Selon certaines estimations, le marché noir représenterait jusqu'à 40 % du PIB. Le pétrole, force vitale et talon d'Achille La récente guerre éclair avec Israël a touché un nerf sensible : les infrastructures énergétiques. Raffineries, oléoducs, terminaux pétroliers ont été visés, menaçant la première richesse du pays. Car malgré tout, l'Iran demeure un géant énergétique, troisième réserve mondiale de pétrole brut. Mais cette dépendance au pétrole, ajoutée à une gestion opaque et centralisée, rend l'économie extrêmement vulnérable. Paradoxalement, c'est ce système verrouillé, résilient mais étouffant, qui permet au régime de se mainteni, au détriment d'une population de plus en plus étranglée.
C'est la fin d'un règne de 37 ans. Coupe au carré inimitable, aussi redoutée qu'admirée. Anna Wintour surnommée la « papesse de la mode » a annoncé hier jeudi (26 juin 2025) sa démission de la rédaction en chef de l'édition américaine de Vogue. Quelle était son influence ? Nous en parlons avec Constance Benqué, CEO de Elle International. Ce n'est pas une surprise, mais c'est tout de même un tournant, nous explique Constance Benqué. Mais la papesse de la mode ne quitte pas totalement la scène : elle conservera un rôle de supervision des éditions internationales. Car, rappelle Constance Benqué, Vogue reste un groupe très centralisé, où Anna Wintour gardera un poids important dans les grandes orientations. Quel successeur pour incarner Vogue ? La question du remplacement reste ouverte, mais une chose semble probable : la direction américaine voudra placer l'un des siens. « Je pense que ce sera inévitablement un ou une Américain(e) ». Comment expliquer l'aura de celle que l'on reconnaît à sa coupe au carré et à ses lunettes noires ? « Par son jugement acéré, sa redoutable exigence », résume Constance Benqué. Dans un milieu où il faut savoir s'imposer, Anna Wintour a su se faire craindre autant qu'admirer, notamment des créateurs. Si elle ne décide pas seule des tendances – ce sont les stylistes qui les lancent – elle aura été pendant des décennies une figure d'autorité incontournable dans le monde de la mode. Malgré la légalisation de l'IVG en Colombie, sa pratique se heurte à de nombreux obstacles C'est un reportage d'Ange Fabre. En Colombie, l'avortement a été légalisé en 2022 mais des obstacles demeurent. Aujourd'hui encore, les femmes qui pratiquent l'IVG subissent une forte stigmatisation, comme en témoigne l'influenceuse Camila Correa, qui raconte sur TikTok la solitude et les préjugés dont elle a été victime. Dans les hôpitaux, de nombreuses femmes sont confrontées à des blocages : les médecins peuvent refuser de pratiquer l'IVG mais ils doivent orienter les femmes vers un autre médecin ou un autre centre. Très souvent, ils refusent de le faire. Les associations comme Mesa Por la Vida ou Unimédicos se battent pour faire respecter la loi, qui permet l'IVG sans justificatif jusqu'à la 24è semaine. Pourtant, des documents administratifs non requis sont souvent exigés, ce qui retarde voire empêche l'intervention. La situation est encore plus critique en zone rurale, où les infrastructures sont rares et les normes sociales plus rigides. Les femmes y manquent de soutien et d'accès à l'information. Autre frein : les dénonciations, qui persistent malgré la décision de la Cour constitutionnelle. L'avortement reste inscrit comme un délit dans le Code pénal, et le Parlement n'a toujours pas engagé de réforme pour le dépénaliser pleinement. En Floride, le projet Alligator Alcatraz crée la polémique Les autorités de la Floride ont lancé la construction d'un nouveau centre de détention pour migrants surnommé « Alligator Alcatraz ». Un nom qui en dit long. Le centre est installé sur une ancienne piste d'atterrissage, en plein cœur des Everglades — un environnement particulièrement hostile, avec alligators, pythons et marécages. Objectif assumé : décourager toute tentative d'évasion, rapporte CNN. Mais ce projet fait polémique. La maire du comté de Miami-Dade, Daniella Levine Cava, alerte sur le manque de transparence et les risques environnementaux dans une zone protégée. Des ONG montent aussi au créneau. La Florida Immigrant Coalition dénonce des conditions inhumaines, avec des migrants logés dans des tentes sous la chaleur étouffante de l'été floridien. Le centre accueillera des personnes en attente d'expulsion. Et selon le magazine Time, plusieurs militants redoutent que ce site devienne un prototype pour d'autres États républicains alignés sur la stratégie migratoire de Donald Trump. Pour eux, « Alligator Alcatraz » symbolise une politique brutale et idéologique, au mépris des droits humains et des normes environnementales. Quelles répercussions du conflit entre l'Iran et Israël sur les alliés de Téhéran en Amérique latine Le Miami Herald observe que malgré des alliances militaires affichées, ni la Russie ni la Chine n'ont apporté de soutien concret à l'Iran, se limitant à de simples condamnations verbales. Cette posture, selon le journal, envoie un message clair à des régimes proches de Téhéran comme le Venezuela, Cuba ou le Nicaragua : en cas de crise majeure, ils seront seuls. Le journal cite Elliott Abrams, ancien diplomate américain, qui estime que la victoire américano-israélienne montre que l'équilibre mondial a basculé en faveur des États-Unis. Et d'ajouter : « Des gens comme le président vénézuélien Nicolás Maduro doivent comprendre que s'ils se retrouvent un jour en réelle difficulté, personne ne viendra les secourir. » Journal de la 1ère L'activité économique tourne au ralenti en Martinique.
L'euro numérique est un projet de monnaie numérique de banque centrale (CBDC) porté par la Banque centrale européenne. Il permettrait aux citoyens de la zone euro de disposer d'un moyen de paiement numérique, gratuit, sécurisé, instantané, et utilisable même hors ligne, tout en étant garanti par la BCE, comme les billets et pièces actuels.Ce projet vise à compléter les moyens de paiement privés, à préserver la souveraineté monétaire européenne face à la montée des cryptomonnaies et des stablecoins (notamment américains), et à offrir une forme publique de monnaie adaptée à l'ère numérique. Après une phase d'étude entre 2021 et 2023, la BCE est désormais dans une phase de préparation technique et réglementaire. La décision de lancer ou non l'euro numérique sera prise en octobre 2025, pour une mise en circulation possible à partir de 2027.Mais une étude publiée en juin 2025 par le cabinet PwC vient jeter une ombre sur ce calendrier. Commandée par trois grandes fédérations bancaires européennes, l'étude révèle que les coûts d'adaptation pour les banques seraient très élevés : environ 2 milliards d'euros pour un échantillon de 19 banques, et jusqu'à 30 milliards pour l'ensemble de la zone euro si certaines fonctionnalités ambitieuses sont mises en œuvre (paiement hors ligne, comptes multiples, interopérabilité avec les acteurs privés). La grande majorité des coûts (75 %) concernerait des adaptations techniques (nouvelles applis, interfaces, infrastructures).Plus inquiétant encore, près de 46 % des experts bancaires spécialisés seraient mobilisés chaque année sur ce projet, au détriment de la capacité d'innovation des établissements. Ce coût humain et organisationnel s'ajoute aux autres points de friction déjà identifiés : crainte d'une désintermédiation bancaire (si les citoyens transfèrent trop d'argent vers leur portefeuille numérique BCE), débats sur la protection de la vie privée, et incertitudes réglementaires au sein de l'Union européenne.Malgré ces obstacles, la BCE et la Commission européenne restent déterminées, notamment face aux ambitions américaines en matière de stablecoins. Elles voient dans l'euro numérique un outil stratégique pour préserver l'indépendance monétaire de la zone euro.Conclusion :Le lancement de l'euro numérique reste probable, mais pas encore assuré. Tout dépendra de l'équilibre politique trouvé d'ici octobre 2025 entre les ambitions institutionnelles européennes et les contraintes techniques et économiques des banques. À court terme, le projet reste fragile. À moyen terme, cependant, la digitalisation mondiale des paiements rend son adoption de plus en plus inévitable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Artiste, Marlène a été affectée par la crise sanitaire et a été contrainte à quitter Paris. Elle a ensuite découvert que la région où elle s'était installée était liée à l'histoire de sa famille, ce qui l'a poussée à entreprendre des recherches sur ses origines. Malgré les difficultés, elle a réussi à relancer sa carrière artistique et participe désormais au festival d'Avignon. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En inédit, un cas supplémentaire abordé dans la suite de l'émission sur M6 de 12h à 12h30 : En février, une voisine de Jonathan réceptionne des parpaings, livrés par un camion-grue. Malgré les précautions prises, un parpaing mal sanglé tombe sur la voiture de Jonathan, occasionnant 2.237,15€ de dégâts ! Un constat est réalisé mais le livreur ne le signe pas, souhaitant le rapporter à son employeur. Des relances et plus de quatre mois plus tard, la société ne signe pas le constat, empêchant toute réparation ! Mais aussi, les rebondissements des cas du jour abordés de 10h à 12h ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Gabriel Mwénè Okoundji est considéré comme l'une des grandes voix de la poésie africaine francophone contemporaine. Le nom est l'autre visage des êtres, écrit Gabriel Mwéné Okoundji. «Okoundji» en langue bantoue, cela veut dire chef et «Mwéné» porteur de la spiritualité du peuple. Son deuxième nom, «Mwéné», il l'a hérité à la mort de son père, à ses neuf ans. Un nom qui a marqué sa vie, son enfance et probablement une destinée de poète ! La poésie permet à l'homme de faire confiance en sa fragilité Gabriel Mwéné Okoundji est né en 1962 dans le petit village de Okondo en République du Congo, village qui a fait naître en lui «toute la sensibilité qu'il porte». Adolescent, il rejoint Brazzaville pour aller au lycée. Puis, il part à Bordeaux, en France, pour suivre des études de médecine. Il y vit désormais depuis près de 40 ans. Parallèlement, il écrit beaucoup de poésie pour porter la parole de l'écriture. Il se décrit comme un «enfant de la négritude» mais se sent aussi comme un descendant de troubadour. L'écriture pour moi vient parfois par effraction, d'une rencontre, d'un mot, d'une lecture, d'un chant. Mais cette rencontre peut aussi venir en langue tékée comme elle peut venir en langue française. Ce sont ces deux langues qui me nourrissent. Quand l'une donne, l'autre reçoit, quand l'une reçoit, l'autre invoque, l'autre évoque. Ce sont mes deux langues maternelles. Parfois, je ne trouve pas de mot équivalent en français alors, je le laisse en langue tékée. Gabriel Okoundji Invité : Gabriel Mwéné Okoundji, psychologue de métier et poète franco-congolais. Son recueil L'âme blessée d'un éléphant noir, suivi de Stèles du point du jour, est à retrouver dans la collection Poésie aux éditions Gallimard. Programmation musicale : L'artiste Ours avec le titre Le spleen d'une vie sublime.
Gabriel Mwénè Okoundji est considéré comme l'une des grandes voix de la poésie africaine francophone contemporaine. Le nom est l'autre visage des êtres, écrit Gabriel Mwéné Okoundji. «Okoundji» en langue bantoue, cela veut dire chef et «Mwéné» porteur de la spiritualité du peuple. Son deuxième nom, «Mwéné», il l'a hérité à la mort de son père, à ses neuf ans. Un nom qui a marqué sa vie, son enfance et probablement une destinée de poète ! La poésie permet à l'homme de faire confiance en sa fragilité Gabriel Mwéné Okoundji est né en 1962 dans le petit village de Okondo en République du Congo, village qui a fait naître en lui «toute la sensibilité qu'il porte». Adolescent, il rejoint Brazzaville pour aller au lycée. Puis, il part à Bordeaux, en France, pour suivre des études de médecine. Il y vit désormais depuis près de 40 ans. Parallèlement, il écrit beaucoup de poésie pour porter la parole de l'écriture. Il se décrit comme un «enfant de la négritude» mais se sent aussi comme un descendant de troubadour. L'écriture pour moi vient parfois par effraction, d'une rencontre, d'un mot, d'une lecture, d'un chant. Mais cette rencontre peut aussi venir en langue tékée comme elle peut venir en langue française. Ce sont ces deux langues qui me nourrissent. Quand l'une donne, l'autre reçoit, quand l'une reçoit, l'autre invoque, l'autre évoque. Ce sont mes deux langues maternelles. Parfois, je ne trouve pas de mot équivalent en français alors, je le laisse en langue tékée. Gabriel Okoundji Invité : Gabriel Mwéné Okoundji, psychologue de métier et poète franco-congolais. Son recueil L'âme blessée d'un éléphant noir, suivi de Stèles du point du jour, est à retrouver dans la collection Poésie aux éditions Gallimard. Programmation musicale : L'artiste Ours avec le titre Le spleen d'une vie sublime.
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En inédit, un cas supplémentaire abordé dans la suite de l'émission sur M6 de 12h à 12h30 : Virginie est responsable commerciale dans une entreprise qui décroche, en 2021, un important contrat de sous-traitance avec une grande société. Si le partenariat démarre bien, des retards de paiement apparaissent dès 2023, jusqu'à un arrêt total des règlements en janvier 2025. Malgré les promesses et relances, Virginie fait aujourd'hui face à un impayé de 94.280€, mettant en péril la stabilité de l'entreprise. Mais aussi, les rebondissements des cas du jour abordés de 10h à 12h ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Step back, le podcast basket de L'Équipe Qualifiées pour les demi-finales de l'Euro, les Bleues veulent reconquérir cet or qui leur échappe depuis 16 ans. Malgré l'absence de nombreuses cadres, l'équipe a su trouver des ressources collectives, autour d'une défense féroce, pour se faire une place dans le dernier carré. Et enfin aller au bout ?Step back est disponible sur toutes les plateformes de podcast et le site L'Équipe. Un podcast présenté par Gaëtan Delafolie, avec Amaury Perdriau et Dorine Besson. Réalisation : Baptiste Binet.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:18 - Le brief politique - Les parlementaires restent très attachés à l'article 50-1 de la Constitution : un débat, pour exprimer leurs positions, aura lieu mercredi soir. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
En Pologne, l'élection du nationaliste et conservateur Karol Nawrocki à la présidentielle est un coup dur pour la communauté ukrainienne vivant dans le pays. Tout au long de la campagne électorale, il n'a cessé de les pointer du doigt, les désignant comme des ingrats représentant un poids pour la Pologne, au cours de débats saturés par les questions migratoires et sécuritaires. Malgré le faible pouvoir de l'exécutif polonais, les 900 000 Ukrainiens réfugiés dans le pays s'inquiètent du message envoyé par le futur chef de l'État. De notre correspondant à Varsovie, Tout au long de sa campagne, Karol Nawrocki n'a eu de cesse de répéter son mantra : « Aidons les autres, mais occupons-nous d'abord de nos propres concitoyens. Si je deviens président, je défendrai un principe simple, mais fondamental : La Pologne d'abord. Les Polonais d'abord. » Un slogan emprunté à Donald Trump, à qui il voue une admiration assumée. Le nouveau président polonais a déjà une idée très précise de la façon dont il compte s'y prendre pour le rendre concret. « Je vais introduire le changement de loi le plus important de ces dernières années. Les citoyens polonais devront avoir la priorité dans la queue chez le médecin et dans les centres de santé. Dans nos écoles, dans les crèches, on veut des enfants polonais. Il faut faire en sorte de stopper les dépenses et de payer les retraites pour les Ukrainiens. Et les allocations sociales devront être avant tout destinées aux Polonais », détaille-t-il dans une vidéo. Publiée sur les réseaux sociaux du président élu, celle-ci a eu un fort écho chez les 900 000 réfugiés ukrainiens dans le pays. Le responsable de la fondation Maison ukrainienne, Oleksandr Pestrykov, craint que ce genre de discours ne renforce le sentiment anti-ukrainiens qui monte dans la société depuis deux ans. « En entendant Nawrocki parler de cette manière, une personne qui n'aime pas les Ukrainiens, mais qui aurait eu honte de le dire, peut maintenant le clamer ouvertement. D'une certaine manière, il vient légitimer les discours anti-ukrainien chez les citoyens polonais », estime-t-il. Déjà en début d'année, 86 % des Polonais jugeaient que les allocations sociales devraient être suspendues pour les Ukrainiens sans emploi. Certes, ici, la plupart ont bien réussi à s'intégrer, notamment en trouvant du travail, un logement et en apprenant le polonais, très similaire à leur langue maternelle. Mais Oleksandr Pestrykov attire l'attention sur la diversité des situations au sein de la communauté. « Pour la plupart des acteurs politiques, les problèmes des Ukrainiens concernant le logement, l'apprentissage de la langue polonaise sont déjà derrière nous. Mais il y a encore 29 000 réfugiés qui dorment dans des auberges de jeunesse. Cette catégorie d'Ukrainiens était très visible au départ, l'État polonais et les ONG voulaient les aider, mais aujourd'hui, ils sont invisibilisés », regrette-t-il. Quelle que soit leur situation, tous les Ukrainiens que nous avons contactés ont refusé de commenter les promesses du président devant notre micro. Un silence parfaitement compréhensible selon le responsable de la fondation. Si son pouvoir ne lui permet pas de faire voter les lois, le chef de l'État conserve un droit de veto face au Parlement à majorité libérale. Et Oleksandr Pestrykov craint qu'il ne s'en serve pour bloquer le renouvellement du statut spécial des réfugiés ukrainiens. À écouter aussiAvec Karol Nawrocki, la Pologne entre l'Europe et Donald Trump
Un cessez-le-feu est entré en vigueur, mardi 24 juin, entre l'Iran et Israël, après douze jours de guerre. Le président des Etats-Unis, Donald Trump, a affirmé que cette trêve était « désormais en vigueur », après avoir accusé les deux pays de l'avoir violée. Une affirmation confirmée par le président iranien, Massoud Pezeshkian, mardi soir, qui a annoncé « la fin de la guerre de douze jours imposée » par Israël.Le cessez-le-feu survient après une escalade spectaculaire : les Etats-Unis, qui se sont engagés dans le conflit aux côtés d'Israël, ont bombardé trois sites nucléaires iraniens, dans la nuit de samedi 21 à dimanche 22 juin. De son côté, l'Iran a attaqué, lundi 23 juin, la plus grande base américaine du Moyen-Orient, située au Qatar.L'objectif affiché d'Israël, en lançant cette opération militaire de grande ampleur contre l'Iran dans la nuit de jeudi 12 à vendredi 13 juin, était d'empêcher Téhéran de se doter de l'arme atomique. Par la suite, l'Etat hébreu a assumé la poursuite d'un deuxième objectif : faire tomber le régime iranien.Si la trêve est source de soulagement pour les Iraniens, ceux-ci restent très inquiets et pétris d'incertitudes. Comment ont-ils vécu ces douze jours de guerre ? La République islamique, en rupture profonde avec la population, peut-elle tomber et, si oui, à quel prix, alors que le bilan humain dépasse déjà plusieurs centaines de morts ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Ghazal Golshiri, journaliste au Monde et spécialiste du Moyen-Orient, répond à ces questions.Un épisode de Garance Muñoz. Réalisation : Quentin Bresson. Présentation et rédaction en chef : Claire Leys. Dans cet épisode : extrait d'une déclaration du président des Etats-Unis, Donald Trump, le 24 juin 2025 ; d'une vidéo publiée sur Instagram par la chanteuse iranienne Keynaz ; d'une prise de parole du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, le 13 juin 2025.Cet épisode a été publié le 24 juin 2025. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Le café "mocha" – ou "moka" en français – n'est pas seulement une boisson aromatisée au chocolat. C'est avant tout un nom chargé d'histoire, qui puise ses origines dans le commerce maritime et les débuts de la mondialisation du café. Ce nom fait directement référence à la ville portuaire de Mokha, située sur les côtes du Yémen, au bord de la mer Rouge.Entre le XVIe et le XVIIIe siècle, Mokha fut le principal port d'exportation du café au monde. C'est depuis ce comptoir que les Européens ont découvert le café, et ce bien avant que les premières plantations ne soient créées ailleurs. À cette époque, les grains étaient cultivés exclusivement sur les plateaux du Yémen, notamment autour de la ville de Sana'a. Les grains récoltés étaient ensuite transportés à dos de mulets ou de chameaux jusqu'au port de Mokha, d'où ils prenaient la mer pour rejoindre les grandes villes d'Europe et d'Asie.Le café exporté par Mokha avait une saveur particulièrement réputée : corsée, intense, légèrement cacaotée. Ce profil aromatique unique, dû à l'altitude et au climat des hauts plateaux yéménites, allait marquer les palais européens. Très vite, le nom "mocha" devint synonyme de café de qualité, et par extension, de café tout court dans certaines régions.Au fil des siècles, la ville de Mokha perdit de son importance. À partir du XIXe siècle, de nouvelles plantations virent le jour ailleurs, notamment à Ceylan (l'actuel Sri Lanka), en Indonésie, puis en Amérique latine. Les Hollandais, puis les Britanniques, développèrent ces cultures coloniales qui finirent par supplanter le quasi-monopole yéménite. Le port de Mokha déclina peu à peu, concurrencé par Aden et d'autres hubs maritimes plus modernes.Malgré cela, le nom "mocha" resta dans les mémoires et s'ancrera durablement dans le langage du café. Lorsque, plus tard, les Italiens ou les Américains commenceront à mélanger du café espresso avec du chocolat fondu et du lait, cette boisson prendra naturellement le nom de "mocha" — en hommage à l'arôme chocolaté du café original venu du Yémen.Aujourd'hui, dans les coffee shops, le terme "mocha" désigne surtout une recette gourmande, à base de café, de chocolat et de lait. Mais son nom raconte une histoire bien plus ancienne, celle des premiers grains exportés sur les voiliers arabes, du goût inimitable du café yéménite… et d'un petit port oublié qui a donné son nom à une boisson mondialement célèbre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Radio Foot 16h10-21h10 T.U au sommaire : - Le Mondial des clubs, phase de groupes, la dernière ligne droite. ; - Retour sur les matches de samedi. ; - Florian Wirtz choisit les Reds plutôt que les Roten Le Mondial des clubs, phase de groupes, la dernière ligne droite. Dans le groupe H, le Real Madrid s'est bien repris après son nul 1-1 lors de la 1ère journée face à Al-Hilal. Malgré l'exclusion rapide de Raul Asencio, le club espagnol a battu Pachuca 3-1 grâce à des réalisations de Bellingham, Güler et Valverde. Les Blancos enfin lancés ? Les Mexicains ont réduit le score en fin de rencontre. 1ère victoire pour Xabi Alonso sur le banc madrilène. - Poule G, les Cityzens n'ont pas fait dans le détail face aux Emiriens d'Al-Aïn. Doublé de Gündogan, 1er but de Cherki sous ses nouvelles couleurs, bon pour la confiance ? Manchester City qualifié, tout comme la Juventus Turin. Les Bianconeri ont facilement dominé le Wydad Casablanca 4-1, après une belle prestation de Kenan Yildiz auteur d'un doublé. Des Casablancais pas vernis par le tirage, mais méritants ? Retour sur les matches de samedi. Groupe E, succès poussif de l'Inter, qui a fini par renverser Urawa. Malgré des absences, les finalistes de la C1 ont obtenu leur succès en fin de match. - Succès pour les 2 clubs allemands : victoire et qualification au tour suivant pour le Bayern. Les Rekordmeister ont battu Boca Juniors, les Schwarz-Gelb de Dortmund ont disposé des Mamelodi Sundowns non sans mal. Les Sud-Africains sont pourtant revenus à 3-4 en fin de match, grâce à Lebo Mothiba. Les Brazilians joueront leur qualification face à Fluminense, leaders du groupe F, lors de leur dernière rencontre mercredi 19h T.U. Florian Wirtz choisit les Reds plutôt que les Roten ! Le jeune milieu offensif international devient la recrue record de la Premier League. Il rejoint à Liverpool son ancien coéquipier à Leverkusen, le Néerlandais Jeremie Frimpong. Les Scousers ont-ils réalisé le gros coup de l'été ? Avec Hugo Moissonnier aujourd'hui : Hervé Penot, David Lortholary et Naïm Moniolle. - Technique/Réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.
Radio Foot 16h10-21h10 T.U au sommaire : - Le Mondial des clubs, phase de groupes, la dernière ligne droite. ; - Retour sur les matches de samedi. ; - Florian Wirtz choisit les Reds plutôt que les Roten Le Mondial des clubs, phase de groupes, la dernière ligne droite. Dans le groupe H, le Real Madrid s'est bien repris après son nul 1-1 lors de la 1ère journée face à Al-Hilal. Malgré l'exclusion rapide de Raul Asencio, le club espagnol a battu Pachuca 3-1 grâce à des réalisations de Bellingham, Güler et Valverde. Les Blancos enfin lancés ? Les Mexicains ont réduit le score en fin de rencontre. 1ère victoire pour Xabi Alonso sur le banc madrilène. - Poule G, les Cityzens n'ont pas fait dans le détail face aux Emiriens d'Al-Aïn. Doublé de Gündogan, 1er but de Cherki sous ses nouvelles couleurs, bon pour la confiance ? Manchester City qualifié, tout comme la Juventus Turin. Les Bianconeri ont facilement dominé le Wydad Casablanca 4-1, après une belle prestation de Kenan Yildiz auteur d'un doublé. Des Casablancais pas vernis par le tirage, mais méritants ? Retour sur les matches de samedi. Groupe E, succès poussif de l'Inter, qui a fini par renverser Urawa. Malgré des absences, les finalistes de la C1 ont obtenu leur succès en fin de match. - Succès pour les 2 clubs allemands : victoire et qualification au tour suivant pour le Bayern. Les Rekordmeister ont battu Boca Juniors, les Schwarz-Gelb de Dortmund ont disposé des Mamelodi Sundowns non sans mal. Les Sud-Africains sont pourtant revenus à 3-4 en fin de match, grâce à Lebo Mothiba. Les Brazilians joueront leur qualification face à Fluminense, leaders du groupe F, lors de leur dernière rencontre mercredi 19h T.U. Florian Wirtz choisit les Reds plutôt que les Roten ! Le jeune milieu offensif international devient la recrue record de la Premier League. Il rejoint à Liverpool son ancien coéquipier à Leverkusen, le Néerlandais Jeremie Frimpong. Les Scousers ont-ils réalisé le gros coup de l'été ? Avec Hugo Moissonnier aujourd'hui : Hervé Penot, David Lortholary et Naïm Moniolle. - Technique/Réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.
Marie-Frédérique est confrontée à des problèmes de harcèlement au travail et de surendettement en raison d'erreurs administratives et de complications de santé. Elle cherche désespérément un avocat spécialisé en droit de la fonction publique pour l'aider à résoudre ses problèmes juridiques. Malgré ses efforts pour trouver de l'aide, elle se sent épuisée et dépassée par la situation. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Sophie est séparée de son ex-mari depuis 7 ans. Malgré leur relation conflictuelle, ils restent en contact pour leurs enfants. Depuis, elle peine à refaire sa vie. Anne Marie a réagi au témoignage de Sophie car elle a réussi rebondir après une relation d'emprise. Sexualité, infidélités, coups de foudre, difficultés dans le couple... Au micro de Caroline Dublanche, les auditeurs confient leur vie amoureuse. RTL vous propose désormais de redécouvrir, tous les matins, un cas marquant ! Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le "paradoxe français" désigne une observation intrigante : les Français, malgré une alimentation riche en graisses saturées (fromages, beurre, charcuterie), ont un taux relativement bas de maladies cardiovasculaires, en comparaison avec d'autres pays occidentaux comme les États-Unis. Cette contradiction apparente a été mise sous les projecteurs aux États-Unis le 17 novembre 1991, lors d'un épisode de l'émission très populaire 60 Minutes diffusée sur CBS. Le segment, intitulé "The French Paradox", présentait l'idée que la consommation régulière de vin rouge par les Français pourrait être la clé de leur bonne santé cardiovasculaire.L'impact de cette émission a été immédiat : selon les données du Wine Market Council, les ventes de vin rouge ont augmenté de 44 % aux États-Unis dans les mois qui ont suivi. En 1992, le vin rouge représentait environ 70 % des nouvelles ventes de vin sur le marché américain, contre seulement 50 % l'année précédente. Certaines marques françaises comme Château Lafite Rothschild ont vu leur popularité exploser, et les importations de vin français ont fortement progressé.Sur le plan scientifique, l'un des principaux promoteurs de ce concept était le chercheur Serge Renaud de l'INSERM à Lyon. Dans un article publié en 1992 dans The Lancet, il avance que la consommation modérée de vin rouge – un à deux verres par jour – pourrait réduire le risque de maladies coronariennes de 40 %. Le vin rouge contient en effet des polyphénols, dont le plus connu est le resvératrol, un antioxydant présent dans la peau du raisin. Des études comme celle de J.P. Fremont (1999, Life Sciences) ont suggéré que le resvératrol inhibe l'agrégation des plaquettes et protège les vaisseaux sanguins.Le "paradoxe français" est alors devenu un argument marketing massif. L'industrie vinicole, en France comme aux États-Unis, s'en est emparée pour promouvoir le vin rouge comme un produit "santé". Cette stratégie a contribué à modifier l'image du vin outre-Atlantique, le faisant passer d'un produit de luxe européen à un choix de consommation perçu comme bénéfique.Cependant, cette idée a été nuancée depuis. En 2018, une méta-analyse majeure publiée dans The Lancet a conclu qu'aucun niveau de consommation d'alcool n'est totalement sans risque. Malgré cela, l'effet du paradoxe français reste un exemple frappant de la manière dont une hypothèse scientifique, relayée par les médias, peut transformer un marché entier. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis presque deux mois – le 6 mai 2025 –, Opella France est officiellement passée sous le contrôle du fonds américain CD&R. Sanofi, l'ancien propriétaire, a cédé 50 % de sa filiale santé grand public. Ce changement soulève une question : le Doliprane est-il vraiment devenu américain ?Un premier point important : la production du Doliprane reste française. Malgré le changement de propriétaire, toutes les boîtes vendues en France sont toujours fabriquées à Lisieux (Calvados) et à Compiègne (Oise). La nouvelle patronne d'Opella France, Ségolène de Marsac, a tenu à le rappeler clairement dans une interview à Franceinfo : « La fabrication du Doliprane continue en France, notamment à Lisieux et à Compiègne. »Elle insiste aussi sur l'importance du marché français pour Opella : « La France est notre deuxième plus grand marché », dit-elle. Pour elle, ce rachat est une opportunité de renforcer « notre rayonnement en France », en particulier grâce à des innovations à destination des patients et consommateurs. Et elle affirme que la France reste au cœur de la stratégie d'Opella, avec 1 700 collaborateurs mobilisés et deux sites industriels qui tournent à plein régime.Alors, faut-il s'inquiéter de ce changement de main ? Oui et non. Oui, parce que c'est bien un fonds d'investissement américain – CD&R – qui pilote désormais la société. Mais non, parce que les autorités françaises ont imposé certaines conditions : le maintien de la production sur le territoire et un droit de regard accru. L'État français détient même 2 % du capital et un siège au conseil d'administration. Le ministre de l'Industrie a d'ailleurs rappelé que la France resterait vigilante sur la question de la souveraineté sanitaire.Alors, le Doliprane est-il américain ? Si l'on parle du capital, la réponse est oui. Mais si l'on parle de la production, de l'emploi, ou de l'origine du médicament, la réponse est non. Le Doliprane reste fabriqué en France, par des ouvriers français, sur des lignes françaises. Il est donc, pour l'instant, bien plus français qu'américain.Ségolène de Marsac résume la position d'Opella : continuer à produire en France tout en se réinventant, grâce aux moyens apportés par le nouvel actionnaire. Reste à voir si cette promesse tiendra dans la durée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis l'automne 2024, le gouvernement canadien et celui du Québec ont imposé des restrictions sur l'embauche des travailleurs étrangers temporaires. Le traitement des demandes est désormais plus long, parfois ces demandes sont suspendues voire refusées. Face à cette situation, de nombreuses entreprises québécoises tirent la sonnette d'alarme. Reportage de Nafi Alibert. Le reportage met en lumière le parcours d'un patron d'usine, Nicolas, confronté à l'impossibilité de faire revenir un contremaître mexicain, faute de permis renouvelé à temps. Le Programme des travailleurs étrangers temporaires, essentiel pour pallier la pénurie de main-d'œuvre, est aujourd'hui plombé par des délais, des refus et une complexité croissante qui met en péril l'activité économique dans plusieurs secteurs. Avec plus de 115 000 postes vacants, les employeurs, notamment dans les régions éloignées, dépendent de plus en plus de ces travailleurs venus du Mexique, du Guatemala ou du Togo. La Fédération des chambres de commerce du Québec demande de faciliter leur embauche, elle dénonce un système à bout de souffle. Malgré les appels à augmenter le nombre de personnes autorisées à s'installer au Québec, le gouvernement québécois invoque une saturation des services publics et la crise du logement pour justifier ses restrictions. Dans ce climat incertain, des travailleurs comme Kabir, venu du Burkina Faso, nourrissent l'espoir de pouvoir rester au Québec. Les décisions politiques attendues à l'automne sont donc cruciales pour l'avenir de ces travailleurs et pour la survie de nombreuses entreprises québécoises. Des femmes emprisonnées au Mexique, victimes d'abus policiers et de torture Au Mexique, les femmes représentent une minorité oubliée dans les prisons : seulement 6% de la population carcérale, mais près de la moitié d'entre elles attendent encore leur jugement. C'est le cas de Keren Ordonez, arrêtée sans mandat en 2015 alors qu'elle venait d'accoucher. Elle s'est confiée à notre correspondante Marine Lebegue. Séquestrée, torturée, contrainte de signer de faux aveux, elle a passé plus de neuf ans en détention préventive avant d'être acquittée. Son histoire, marquée par les abus policiers, les lenteurs judiciaires et la discrimination, illustre les nombreuses défaillances du système pénal mexicain envers les femmes. Libérée en avril 2025, Keren tente aujourd'hui de reconstruire sa vie et de renouer avec sa fille qu'elle n'a pas vue grandir. Son avocate, dénonce une justice sexiste, où les mères sont jugées selon des stéréotypes de genre. Elle rappelle que le cas de Keren n'est pas isolé : de nombreuses femmes se retrouvent incarcérées pendant des années sans preuves ni procès équitable. Pour elles, la sortie de prison marque le début d'un autre combat, face à une société machiste et peu clémente envers les ex-détenues. Comment Donald Trump a minutieusement orchestré les frappes contre les sites nucléaires en Iran ? C'est à lire dans le New York Times : alors qu'il annonçait publiquement vouloir attendre « deux semaines » avant de décider d'un éventuel bombardement, les préparatifs militaires étaient déjà en cours. En coulisses, Donald Trump avait pris la décision de frapper, notamment sous l'influence de l'opération israélienne contre l'Iran qu'il admirait. Pendant que son entourage politique spéculait sur ses intentions — et que certains, comme l'ancien conseiller Stephen Bannon, espéraient le faire reculer —, le président poursuivait en réalité une stratégie visant à désorienter l'Iran et l'opinion publique. Pour tromper l'ennemi, deux groupes de bombardiers B-2 ont été envoyés : l'un vers le Pacifique pour servir de leurre visible sur les radars civils, l'autre, sans transpondeur, vers l'Iran, où ils ont effectué des frappes dans la nuit du samedi 21 au dimanche 22 juin 2025 sur les sites nucléaires de Fordo, Natanz et Isfahan. Les électeurs MAGA soutiennent la politique étrangère de Donald Trump Pour le Washington Post, contrairement à ce qui était souvent dit, les électeurs MAGA n'étaient pas si divisés que cela sur la décision de frapper les installations nucléaires iraniennes. Les sondages montrent un soutien massif des sympathisants de Donald Trump à cette action militaire. Une majorité d'électeurs MAGA plaident en fait pour une politique étrangère fondée sur la force militaire et les valeurs américaines. Ils approuvent même des projets expansionnistes, comme récupérer le canal de Panama ou intégrer le Groenland aux États-Unis. Le Washington Post conclut que les voix isolationnistes au sein du mouvement MAGA incarnées par des figures comme l'ex-journaliste Tucker Carlson ou la députée Marjorie Taylor Greene, sont marginales. Cuba : une manifestation d'étudiants réprimée Le gouvernement cubain a réprimé une vague de protestations inédite menée par des étudiants contre la hausse des prix d'Internet. C'est à lire dans El Pais. Confrontées aux revendications sur la connexion à Internet et les tarifs imposés par l'opérateur étatique ETECSA, les autorités ont opté pour une intimidation silencieuse : arrestations, interrogatoires, menaces de représailles, et pressions sur les familles. Les étudiants dénoncent une répression discrète mais efficace qui les a obligés d'arrêter leur grève. Mais selon El Pais, ce mouvement étudiant, bien que réprimé, marque un tournant. Il a permis à de nombreux jeunes de faire l'expérience de la contestation et d'élargir leur mobilisation à des thèmes plus larges : fracture numérique, liberté d'expression, pauvreté généralisée, coupures d'électricité, et inefficacité du modèle économique Journal de la 1ère Le centre hospitalier de Marie-Galante tire la sonnette d'alarme face à la pénurie de médecins urgentistes.
durée : 00:06:43 - Le Masque et la Plume - À travers une série de 188 fragments et d'instantanés, Grégoire Delacourt reconstitue le portrait d'une famille, plus particulièrement, la vie d'un frère décédé et d'une fraternité inachevée. Mais les critiques du Masque & la Plume déplorent une très grande fragilité en matière de style et de forme.
durée : 00:07:12 - Le Masque et la Plume - C'est le dixième et dernier volume des Chroniques de San Francisco d'Armistead Maupin, situé dans l'Angleterre des années 90. Malgré un style qu'ils jugent sans prétention, nos critiques saluent une tragi-comédie efficace et subtile en mêlant intrigue à la Agatha Christie et sujets modernes.
Mathilde se remémore le comportement abusif de son défunt mari durant leur 58 années de mariage. Malgré les difficultés, elle a trouvé des solutions pour préserver son indépendance et sa dignité. Cette saison, Joseph Agostini accueille les auditeurs le dimanche soir de 23h à 1h sur RTL au 09 69 39 10 11.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:08 - Le Reportage de la rédaction - Le Salon du Bourget s'est ouvert avec 2 400 exposants venus de 48 pays. Malgré une forte demande d'avions, les sous-traitants du secteur peinent à produire, freinés par l'inflation, le manque de main-d'œuvre et les tensions géopolitiques.
« Informer à l'heure de la post-vérité » était le sujet d'une table ronde du 3e Festival international du journalisme de Carleton-sur-mer, au Québec, mi-mai 2025. L'atelier des médias propose un compte rendu des échanges qui réunissaient une universitaire et trois directeurs de médias francophones canadiens. Il a été question d'intelligence artificielle, de régulation des plateformes ou encore de la notion de confiance. Marie-Ève Carignan est professeure titulaire au Département de communication de l'Université de Sherbrooke et cotitulaire de la chaire Unesco en prévention de la radicalisation et de l'extrémisme violents. Elle a aussi aussi été responsable des communications et analyste au Conseil de presse du Québec. Marc Gendron est éditeur chez Le Soleil et directeur principal croissance numérique des Coops de l'information Luce Julien est directrice générale de l'information à Radio-Canada depuis 2018. Brian Myles est le directeur du quotidien Le Devoir depuis 2016 mais il y travaille depuis trois décennies. Il a enseigné le journalisme à l'UQAM, de 2000 à 2016. Il a aussi été président de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) de 2009 à 2013. Marie-Ève Carignan commence par rappeler que la post-vérité est un concept qui, bien qu'il ait été le mot de l'année du dictionnaire Oxford en 2016, ne fait pas l'unanimité parmi les chercheurs. Ce terme est apparu pour décrire une ère où l'on accorde moins d'importance aux faits et à l'information factuelle, et davantage aux émotions et aux croyances personnelles. Une époque du « tout se vaut ». Les évolutions technologiques, notamment la démocratisation d'Internet, l'explosion des réseaux sociaux et l'intelligence artificielle (IA), ont eu un impact sur le secteur des médias, ces derniers ayant perdu leur « centralité » dans la diffusion de l'information. Aujourd'hui, « n'importe qui peut devenir un créateur et surtout un diffuseur de contenu », et sur l'espace numérique, « on est presque tous à armes égales », explique Marc Gendron, du quotidien Le Soleil. Les théories du complot, auparavant confinées à des cercles restreints, peuvent désormais être diffusées à grande échelle et atteindre des personnes sensibles à ce type de propos. L'IA a encore amplifié ce phénomène, permettant l'existence de « fermes à fausses nouvelles ». Cependant, Brian Myles, directeur du quotidien Le Devoir, rappelle que « le premier facteur de désinformation, c'est un être humain », soulignant que la désinformation précède largement la révolution numérique. Pour lui, l'enjeu de notre époque est le passage de l'insulte « fake news » appliquée aux médias traditionnels à « un empire de fausses nouvelles » qui a engendré une « communauté qui est dans la croyance pour ne pas dire dans la crédulité », menant à une ère où « ce n'est plus je pense donc je suis, c'est je le pense donc c'est vrai ». Il précise que des études montrent qu'une personne sur quatre s'informe désormais sur les réseaux sociaux, et la moitié des personnes interrogées dans ces études considèrent Facebook comme « très crédible », alors que la plateforme a été un puissant véhicule de désinformation. Le blocage des contenus d'actualité sur Facebook et Instagram au Canada depuis le 1er août 2023, riposte de Meta à une loi canadienne obligeant le géant américain à payer les médias pour reprendre leur contenus, a eu des impacts mitigés. Un tiers des Canadiens ne sauraient même pas que les contenus d'actualités sont bloqués sur ces plateformes, rappelle Marie-Ève Carignan. À l'inverse, Brian Myles qualifie ce blocage de « bénédiction », car cela a poussé les utilisateurs à chercher directement l'information, apportant plus de trafic direct et d'abonnements numériques pour son média. À écouter aussi«L'ère de la post-vérité»: le regard d'un économiste sur les effets du capitalisme numérique Face à ces défis, plusieurs pistes de solutions ont été proposées pour continuer d'informer à l'ère de la post-vérité : Rétablir la confiance : Brian Myles insiste sur le fait que la confiance est le bien le plus précieux des journalistes. La transparence est essentielle : sur les méthodes, la structure de propriété, la séparation entre faits et opinions, l'admission et la correction des erreurs. Il faut également des journalistes de terrain qui reflètent la réalité des gens, des médias capables de connecter avec leur public et des espaces de rétroaction intégrants le lecteur. Développer les communautés et la proximité : Marc Gendron souligne l'importance de réinvestir dans des espaces de commentaires modérés sur les environnements propres (sites et applications) des médias pour créer un engagement et une communauté autour des contenus. Il faut que les médias de proximité aillent sur le terrain, fassent écho aux préoccupations des gens pour rétablir un lien de confiance fondamental. Le dialogue social : Marie-Ève Carignan mentionne des projets mettant en relation des personnes aux croyances radicalement opposées (par exemple, sur l'immigration ou le changement climatique) pour encourager l'écoute et l'ouverture aux différentes opinions. Des méthodes comme l'« entretien motivationnel » ont montré leur efficacité pour amener les gens à réfléchir à leurs valeurs et potentiellement modifier leurs croyances, notamment en santé publique. L'éducation aux médias : Marie-Ève Carignan et Luce Julien insistent sur le potentiel de l'éducation aux médias (EMI). Des projets pilotes ont montré que les participants comprennent mieux le fonctionnement des médias et sont plus ouverts aux sources d'information, mais ces initiatives manquent de financement et de structuration uniforme. La régulation des plateformes numériques : Le problème de l'économie des médias en crise est que la création de contenu dédié à chaque réseau social n'est pas rentable, car les médias sont « écartés de la chaîne de valeur » et ne tirent pas de revenus de ces plateformes. Brian Myles insiste sur l'absence d'un cadre réglementaire juste pour les plateformes numériques. Il affirme que les plateformes ne sont ni de simples compagnies de technologies ni des médias traditionnels, mais un « entre-deux ». Il suggère que des actions judiciaires antitrust aux États-Unis, visant à démanteler des géants comme Google et Facebook, pourraient potentiellement « régler l'enjeu pour nous tous ». Le rôle des gouvernements : Marie-Ève Carignan considère l'information comme un « bien public » qui coûte cher à produire et devrait être financé par le gouvernement par le biais des taxes, et non pas seulement par l'abonnement. Brian Myles s'inquiète de la « montée des gouvernements populistes qui arrivent avec un agenda de remise en question des institutions médiatiques » et qui « vont laisser le mensonge investir l'espace d'élaboration des politiques publiques », ce qui est « profondément dangereux dans une démocratie ». Malgré ces défis, Luce Julien offre une note d'espoir, affirmant que « l'industrie va mal » financièrement, mais que « on fait du meilleur journalisme qu'on en faisait il y a plusieurs années », avec par exemple de nombreux médias réalisant du journalisme d'enquête de qualité. Elle encourage les citoyens à « poser des questions aux médias » s'ils doutent d'un reportage, soulignant l'importance du lien direct avec le public.
Nous commencerons par une conversation sur quelques sujets d'actualité. Tout d'abord, nous commenterons les évènements qui se sont déroulés aux États-Unis samedi dernier. La parade militaire à Washington et les manifestations « No Kings » qui ont eu lieu dans tout le pays ont fait débat. Nous poursuivrons en parlant de la mise en garde de l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI) : il a averti que l'ère du désarmement nucléaire pourrait être remplacée par une course aux armements. Dans notre section scientifique, nous nous intéresserons ensuite à une étude publiée dans la revue Current Biology. Elle a découvert que les schémas d'inspirations et d'expirations étaient propres à chaque individu et pourraient être utilisés pour les identifier. Et pour conclure la première partie de l'émission, nous évoquerons une nouvelle tendance : le temps de travail hebdomadaire diminue en Europe. Le reste de l'émission d'aujourd'hui sera consacré à la langue française et à la culture françaises. Le premier dialogue contiendra des exemples illustrant la leçon de la semaine : The Possessive Adjectives. Et dans notre dernière discussion, nos auditeurs verront comment utiliser l'expression française « prendre le taureau par les cornes ». - Malgré les manifestations, le président Trump organise le défilé militaire dont il rêvait - L'ère du désarmement nucléaire pourrait être remplacée par une course aux armements - Des scientifiques découvrent que l'homme a « une empreinte respiratoire » - Le temps de travail hebdomadaire a diminué en Europe - Les jeunes Français passent le bac - Vers l'interdiction des réseaux sociaux aux moins de 15 ans?
Episode 207: Le Maghreb par les textes, XVIIIe – XXIe siècl Dans ce podcast, les Historiennes Charlotte Courreye et Annik Lacroix présentent l'ouvrage qu'elles ont coécrit avec Augustin Jomier, intitulé Le Maghreb par les textes, XVIIIe – XXIe siècle. Malgré ses liens étroits avec la France, Le Maghreb (Algérie, Libye, Maroc et Tunisie) est généralement méconnu et son passé souvent réduit aux colonisations européennes. Afin de mieux comprendre le devenir et les cultures de cette région du monde, cet ouvrage on retrace l'histoire, du XVIIIe siècle à nos jours. Un corpus original d'une centaine de documents -témoignages, discours politiques, tracts, rapport d'ONG ou encore poèmes et films - éclair les grands événements politiques, ainsi que les dynamiques sociales, économiques, et culturelles. Le lecteur saisit ces sociétés de façon vivante, découvrant la parole des populations locales et de toutes celles et ceux que l'on entend peu d'ordinaire. Précédé d'une introduction qui en présente le contexte de rédaction, chacun de ces textes s'adresse aussi bien à des étudiants et des enseignants du secondaire et du supérieur, qu'à un public curieux de découvrir davantage le Maghreb. (Texte extrait de la 4ème de couverture de l'ouvrage) Charlotte Courreye est chercheuse postdoctorale à l'École normale supérieure, Université Jean Moulin Lyon 3. Elle a enseigné l'histoire et l'arabe à l'INALCO. Annik Lacroix est Maîtresse de conférences en Histoire contemporaine à l'Université Paris-Nanterre et a enseigné l'histoire du Maghreb à l'INALCO. Augustin Jomier est Maître de conférences en Histoire moderne et contemporaine du Maghreb à l'INALCO. Cet épisode a été enregistré le 21 avril 2024 au Centre d'Études Maghrébines en Algérie (CEMA). Dr. Belkacem Benzenine, Politologue et Directeur de recherche au CRASC, a modéré le débat de cette rencontre Nous remercions notre ami Ignacio Villalón, doctorant à l'Université de Crète/Institute for Mediterranean Studies, pour sa prestation à la guitare pour l'introduction et la conclusion de ce podcast. Réalisation et montage: Hayet Yebbous Bensaid, Bibliothécaire / Chargée de la diffusion des activités scientifiques (CEMA).
Bienvenue dans Les Fabuleux Destins, le podcast qui vous fait découvrir des histoires vraies et étonnantes. Cette semaine, à l'occasion de la Fête de la musique, partez à la découverte de quatre récits parfois méconnus de figures emblématiques de la musique : Nina Simone, Fela Kuti, Ray Charles ou encore Marvin Gaye. Plongez dans une saison consacrée aux légendes de la musique africaine et afro-américaine, et plus particulièrement à leur part d'ombre. Le génie du blues Un soir de 1965, Ray Charles est retrouvé gisant dans sa salle de bain, victime d'un accident lié à sa dépendance à l'héroïne. Derrière l'image du « Genius » adulé, se cache un homme rongé par les traumatismes d'enfance, la ségrégation et l'addiction. De la perte de la vue à la mort de son frère, Ray traverse les épreuves en s'accrochant à la musique. Malgré ses combats personnels, il deviendra une légende, symbole de lutte et d'excellence artistique. Cet épisode explore la face sombre et lumineuse d'un destin hors du commun. Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Les plus grands scandales d'Etats : l'affaire cambridge analytica [INEDIT] Les plus grands scandales d'Etats : l'affaire Médiator [INEDIT] Les plus grands scandales d'Etats : l'affaire des Pentagones Papers [INEDIT] Les plus grands scandales d'Etats : l'affaire McLibel ou le procès McDonald's Un podcast Bababam Originals Ecriture : Mary Lou Oeconomou Production : Bababam Voix : Florian Bayoux Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Audrey a été abandonnée par son mari alors qu'elle était enceinte, après qu'il a eu une liaison avec la femme de sa meilleure amie. Malgré la douleur initiale, elle a réussi à maintenir une amitié avec sa meilleure amie et a trouvé du soutien auprès de son nouveau partenaire. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Laurent Ruquier a récemment fait face à un envahissement de fourmis dans son appartement. Malgré son amour pour les animaux, il a dû s'en débarrasser... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:50 - Le Reportage de la rédaction - Le salon du Bourget s'ouvre avec 2 400 exposants venus de 48 pays. Malgré une forte demande d'avions, les sous-traitants du secteur peinent à produire, freinés par l'inflation, le manque de main-d'œuvre et les tensions géopolitiques.
Malgré les sociétaires présents en face de lui, Olivier Bellamy assume se mélanger... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.