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Me puse una meta ambiciosa para el 2025. Y NO FUNCIONÓ. Pasé 6 meses del año dándolo todo y…. terminé peor que cuando comencé. Pero cuando algo no cumple nuestras expectativas y estamos decepcionadas tenemos 2 opciones: victimizarnos y tirar la toalla, o analizar la data del experimento y usarlo a nuestro favor. En este episodio te enseño a tratar tus metas como experimentos, como transformar expectativas en hipótesis y como analizar los resultados para obtener claridad. Vas a aprender que es el COSTO DE CAMBIO, como medir el progreso real y como protegerte del auto-sabotaje.Si tu también te rehúsas a desperdiciar diciembreHaz click aquí para aplicar a la PLANIFICACIÓN ESTRATÉGICA AVANZADA 2026https://www.isagarcia.online/planificacion2026
Depuis que je raconte des histoires à la radio, j'ai souvent eu l'occasion de me rendre compte que s'il y a des détenteurs d'anecdotes incroyables du show bizness, ce sont les photographes. Ainsi on connaît tous ou presque le formidable Jean-Marié Périer, témoin de l'époque bénie des yéyés et des débuts du rock britannique. Mais il faut bien le reconnaître, peu d'autres noms sont passés à la postérité alors qu'ils ont approché les plus grands dans leur exercice et bien souvent, ont assisté à ce que personne ne voit : la création d'un disque, les coulisses d'un concert, les voyages promos.Le nom de grands témoins belges comme Guido Marcon, Philippe Carly ou Paul Coerten ne vous dit peut-être rien et pourtant, de Jacques Brel à U2, en passant par Queen, Bob Marley et Claude François, ils les ont tous photographiés et fréquentés de leurs débuts au sommet de leur gloire. Et justement, nous avons cet automne et cet hiver l'occasion d'aller admirer en Belgique, à La Boverie, à Liège, les photos du plus célèbre des témoins de l'ère du noir et blanc : Robert Doisneau.Vous venez sans doute, à l'évocation de son nom, de vous la projeter dans votre tête, sa légendaire photo du baiser de l'hôtel de ville ! Doisneau, c'est rien moins que le photographe le plus célèbre du XX° siècle. Et donc, le plus connu de tous les temps. Pas seulement parce qu'il a laissé 450.000 clichés, à une époque où, bien évidemment, on ne trimballe pas un appareil en permanence dans sa poche. Mais surtout parce que ces instants captés majoritairement dans les rues de Paris, sont de véritables témoignages historiques d'une vie quotidienne aujourd'hui disparue. On dit de Robert Doisneau qu'il voyait le monde tel qu'il est mais en soulignant le merveilleux, et tout ça avec la magie du noir et blanc. Et si au départ, ces photos étaient destinées à illustrer l'actualité dans de nombreux et prestigieux magazines français et américains, elles ont, avec la notoriété croissante de Doisneau, fini par constituer une bibliothèque d'images qui montre la vie des gens des années 30 à 80, qu'ils soient riches, célèbres, pauvres, défavorisés. Car c'est ça aussi Doisneau : à la fois le photographe de Vogue et de Life, correspondant permanent pour l'Amérique de la vie parisienne, mais aussi l'homme qui parcourt inlassablement et tranquillement les rues de sa ville pour capter le bon moment quand il se présente. Était-il conscient, à ses débuts, qu'il était occupé à découper le temps en lamelles fines pour les générations à venir ? Probablement pas, du moins à ses débuts. On a du mal à imaginer de nos jours où nous prenons des milliers de photos digitales dont l'espoir de vie est d'ailleurs bien maigre, un Robert Doisneau transformant la salle de bains familiale en chambre noire, en laboratoire de développement, avec les négatifs et les tirages qui pendent, accrochés à une corde. L'oeuvre de l'artiste qu'il était, c'est la vision d'un monde qui n'était pas meilleur qu'aujourd'hui et pourtant, quand on visite son expo ou qu'on feuillette un de ses livres, on n'y voit que des gens aimables, montrant que oui, un monde meilleur existe. La preuve : Doisneau l'a photographié.
durée : 00:05:42 - Le Masque et la Plume - par : Jérôme Garcin - Le nouveau film de Scott Cooper consacré au chanteur américain se concentre sur la genèse de l'album "Nebraska" en 1981. Si la performance de Jeremy Allen White est saluée, le film peine à convaincre les critiques cinéma de France Inter. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Faith and burnoutAdam talks about how he tends to spend his spare time reading the Bible, going to church, spending time in prayer and how this develops character and is better than pursuing time wasting activities or the easy dopamine dump that does not add to sustainability or self-improvementWe are designed to do hard things – mental or physical – including pursuing Jesus – this builds stamina, character and makes you better in your careerChoosing hard things makes the hard things that you don't choose much easier to handleSeeking hard, painful things can reset your own personal pain scaleWe can find more reward and satisfaction in the suffering than the result, less satisfaction in being done“Re-shift your mindset to find that the goal is the struggle and you are overcoming it”Journey over destination“The reward comes from striving, from the journey”“That's the example of Jesus”We talk about the apostle Paul and his exampleSocial media skews our view of other humans; it polarizes us and makes us see the worst of humanity instead of seeing the goodThere is some benefit to boredom All sacred texts talk about the need to meditate on these things, allow yourself to sit in silence and seek what you are trying to findSupport the showEverything you hear today from myself and my guests is opinion only and doesn't represent any organizations or companies that any of us are affiliated with. The stories you hear have been modified to protect patient privacy and any resemblance to real individuals is coincidental. This is for educational and entertainment purposes only and should not be taken as medical advice nor used to diagnose any medical or healthcare conditions. This is not medical advice. If you have personal health concerns, please seek professional care. Full show notes can be found here: Episodes - Practical EMS - Content for EMTs, PAs, ParamedicsMost efficient online EKG course here: Practical EKG Interpretation - Practical EMS earn 4 CME and learn the fundamentals through advanced EKG interpretation in under 4 hours. If you want to work on your nutrition, increase your energy, improve your physical and mental health, I highly recommend 1st Phorm. Check them out here so they know I sent you. 1st Phorm | The Foundation of High Performance Nutrition
Anne Perry est morte dans son lit, à 84 ans, le 10 avril 2023 à Los Angeles. C'était l'une des plus prolifiques auteurs de polars de ces quarante dernières années. Traduite dans presque toutes les langues. Pas moins de 25 millions de romans vendus dans le monde entier. Mais Anne Perry n'était pas celle qu'on croyait. Elle s'appelait en vérité Juliet Hulme. A l'adolescence, c'est sous ce nom qu'elle avait été condamnée pour un assassinat retentissant en Nouvelle-Zélande.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:47:16 - On n'arrête pas l'éco - par : Alexandra Bensaid - Au menu ce samedi : un débat sur l'accord Chine-Etats-Unis, un détour par Amsterdam et un focus sur deux secteurs fragilisés par des budgets en baisse, l'économie sociale et solidaire et l'aide publique au développement. Peut-on encore croire à une économie vertueuse en temps de disette ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Épisode 2 : Refaire l'histoire. Une conférence historique pour sortir de l'impasse coloniale soutenue par le griot de la jeunesse africaine Tiken Jah Fakoly, où intellectuels et artistes se sont retrouvés pour revisiter la Conférence berlinoise de 1885… quand ils ont partagé le monde. Mais comment refaire l'histoire ? Berlin 1885. Le chancelier allemand Otto von Bismarck convoque une conférence à Berlin afin d'organiser le partage du continent africain entre les puissances industrielles et militaires émergentes. Cette réunion, à laquelle participèrent quatorze pays européens, les États-Unis et l'Empire ottoman, visait principalement à préserver leurs intérêts extractivistes et commerciaux. Ce processus a conduit à une profonde fragmentation des structures politiques endogènes du continent africain, marquant durablement son histoire politique, économique et sociale. Pour les Africains, ce processus inaugura une ère de résistance et de lutte pour l'autodétermination. Berlin 2001. Mansour Ciss Kanakassy, plasticien berlinois d'origine africaine, imagine le Laboratoire de Deberlinization. L'artiste développe des outils symboliques afin de tracer un chemin vers l'émancipation. Ce kit d'urgence comprend un Global Pass pour faciliter la liberté de circulation le monde, ainsi que l'AFRO, une monnaie imaginaire panafricaniste, libérée des contraintes du CFA (indexation sur les garanties de change et de la tutelle des banques centrales exogènes). À la croisée de la création artistique et de la critique sociale, le laboratoire de Deberlinization invite à la réflexion sur la possibilité (individuelle ou collective) d'une refonte du lien civil au sein et en dehors de l'État postcolonial. Berlin 2025. À l'initiative du Professeur Bonaventure Soh Bejeng Ndikung, directeur de HKW, la Conférence Deberlinization s'inscrit dans la continuité de l'utopie performative imaginée par Mansour Ciss Kanakassy pour considérer les conditions possibles d'un récit alternatif sur l'ordre du monde et son avenir, une poétique transformatrice de la relation entre l'action créatrice et les formes de résistance, l'histoire, la mémoire, la prospective – bref, un champ d'expérience et un horizon d'attente. Dans ce second épisode, vous écoutez les voix de Bonaventure Soh Bejeng Ndikung (directeur et directeur artistique de Haus der Kulturen der Welt), Tiken Jah Fakoly, (chanteur et activiste) soutien de la manifestation, Célestin Monga, (professeur d'économie à Harvard), Simon Njami, (écrivain et commissaire d'exposition) et Yousra Abourabi, (professeure de sciences politiques à l'Université de Rabat). Pour écouter l'épisode 1 c'est ici. Un grand merci à toute l'équipe de HKW à Berlin et particulièrement à son directeur Bonaventure Soh Bejeng Ndikun pour nous avoir accordé ce grand entretien : Valérie Nivelon : En introduction de cet évènement DEBERLINIZATION, vous avez demandé une minute de silence à la mémoire de Lawrence, un jeune Noir tué par des policiers au printemps 2025. Quel lien établissez-vous entre la mort de ce jeune homme et la conférence de Berlin de 1885 ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : La mort de Lawrence est en fait un assassinat. Il a été tué par un policier et ce n'était pas par hasard, en fait, on lui a tiré dessus par derrière. Et la police a essayé de mentir en accusant Lawrence d'avoir attaqué un policier, ce qui s'est avéré faux. Il s'agit en fait de la longue histoire du racisme et de la déshumanisation, dont la Conférence de Berlin est un moment essentiel. Cette rencontre qui a eu lieu ici à Berlin en 1884-85 pour partager le continent africain sans les Africains, sans tenir aucunement compte de leur intérêt, sans aucun respect pour les cultures africaines et encore moins les êtres humains réduits au même niveau de statut que les machines pour travailler dans les plantations afin de créer des ressources pour l'Europe. C'est un acte de déshumanisation qui a été institutionnalisé dans cette conférence et qui a perduré dans les institutions, pas seulement en Europe, mais aussi en Afrique et un peu partout dans le monde. Donc la mort de Lawrence a un lien direct avec cette conférence. Valérie Nivelon : Votre intérêt pour l'impact de la conférence de Berlin sur la déshumanisation des Africains ici en Allemagne, en Europe, mais aussi sur la brutalisation des sociétés africaines remonte-t-il à la création de Savvy Contemporary dont vous fêtez les 15 ans de création ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : Oui, c'est une très bonne question d'autant que Savvy a été fondé en 2009 pour une raison très simple, celle de notre invisibilité dans les institutions culturelles allemandes alors que la relation entre le continent africain et l'Europe est très forte. C'était très, très rare de voir les artistes, les penseurs des autres continents ici représentés à Berlin. Donc on a voulu tout simplement créer un espace où on peut présenter les philosophies plurielles du monde, les pensées du monde, les littératures, les poésies du monde. Et donc on a créé un espace qui n'est pas limité à une géographie, mais ouvert à tout le monde depuis Berlin, dont on ne peut pas négliger l'histoire. Des histoires multiples qui coexistent depuis bien avant la colonisation puisque le Royaume de Prusse a déjà des implantations coloniales au XVIIè siècle. Et donc en 2014, pour les 130 ans de la conférence de Berlin, on a invité le curateur camerounais Simon Njami pour imaginer une exposition sur cette histoire et il a fait une proposition qui était géniale «Nous sommes tous les Berlinois». C'était une belle provocation, mais c'était surtout dire : «Si le président américain J.F Kennedy pouvait dire «Je suis un Berlinois» en étant à Berlin pendant quelques heures en 1963 en pleine guerre froide, alors nous autres qui venions d'une Afrique violemment transformée par le Conférence de Berlin, sommes également des Berlinois !» Et on a fait cette exposition et une grande conférence où il y avait des sujets sur les projets, sur la restitution, sur les droits humains etc. Et il était clair que, en 2024-25, il fallait continuer à refaire l'Histoire ! Et ce n'est pas que l'histoire des Africains, c'est l'histoire du monde. Valérie Nivelon : Lorsque vous créez l'espace, Savvy pour inscrire une géographie africaine ici à Berlin. Est-ce que vous vous sentez en communion avec Présence africaine, telle que Alioune Diop l'a conçu, c'est-à-dire pour inscrire un espace géographique africain à Paris à la sortie de la Deuxième Guerre mondiale ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung Tout à fait. Ça procède du même état d'esprit. Alioune Diop a fondé la revue Présence africaine en 1947 à Paris, mais très vite des publications ont vu le jour sur le continent. Je pense à la revue Abbia, qui a été fondée au Cameroun en 1962, l'une des toutes premières revues de la culture postcoloniale fondée par le professeur Bernard Fonlon, Marcien Towa et Eldridge Mohammadou. Je pense également à Souffles, lancé en 1966 au Maroc, par des jeunes poètes et artistes peintres, mais aussi la Revue Noire, qui est plus récente mais qui était tellement importante pour pouvoir imaginer un lieu de fédération de nos savoirs. C'est dans cette généalogie intellectuelle que nous avons démarré Savvy, pas seulement avec un lieu, des expositions, mais aussi avec une publication Savvy journal. Donc ça, c'est un peu la généalogie intellectuelle de Savvy, sachant que nos références sont beaucoup plus nombreuses. Valérie Nivelon : Ce que je trouve très intéressant, c'est l'affirmation d'une présence africaine par les Africains eux-mêmes. Et vous avez d'ailleurs tenu à rendre hommage à l'un des tout premiers Africains universitaires diplômés ici à Berlin. Est-ce que vous pouvez nous dire pourquoi vous tenez à ce que l'on se souvienne de lui ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : Et bien, nous sommes dans mon bureau ici à Berlin, à la Maison des Cultures du Monde et en face de nous, une peinture d'un jeune Camerounais qui s'appelle Adjani Okpu-Egbe. Et sur cette peinture, on peut lire le nom Anton Wilhelm Amo, personnage tellement important dans notre histoire. Il a été kidnappé au début du XVIIIè siècle, dans son village situé dans l'actuel Ghana, et offert comme cadeau au duc de Brunswick-Lunebourg. Et il a été prénommé Anton comme le duc. Pouvez-vous imaginer qu'un être humain puisse être offert comme un cadeau ? Il a néanmoins reçu une éducation sérieuse et il a étudié au Collège de philosophie à l'Université de Halle. Anton Wilhem Amo est donc un ancien esclave devenu le premier Africain à avoir obtenu un doctorat dans une Université européenne ! Je considère qu'il fait partie de l'histoire de l'Allemagne et de l'Histoire de la philosophie en Allemagne alors qu'il a été effacé de l'histoire de la philosophie de l'Europe pour les raisons que nous connaissons tous. Mais c'est notre devoir de rendre visible son travail. Donc, en 2020, j'ai fait une exposition qui s'appelait The Faculty of Sensing, pour rendre hommage à l'une de ses thèses, et pour moi, c'était important. Pas seulement de faire connaitre sa biographie, mais aussi sa pensée. Et on a invité une vingtaine d'artistes de partout, du monde, et 90% n'avaient jamais entendu parler d'Anton Wilhem Amo.. ce n'est plus le cas ! Valérie Nivelon : Savvy Contemporary a été une expérience intellectuelle et artistique prémonitoire et quinze ans après sa création, vous dirigez La maison des cultures du monde et vous êtes également le premier Africain à diriger une institution culturelle européenne de cette envergure. 140 ans après le Conférence de Berlin, vous avez choisi de créer l'événement DEBERLINIZATION. Pourquoi avez-vous sollicité la présence de Mansour Ciss Kanakassy, à l'origine de ce concept ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : Je connais le travail de Mansour Ciss Kanakassy depuis longtemps et Mansour, qui est Sénégalais, a proposé un laboratoire de DEBERLINIZATION et sur l'affiche qu'il a créée pour l'annoncer, on peut voir la porte de Brandenburg à Berlin et la carte de l'Afrique. Et dans les différentes manifestations dans lesquelles il se produit, il propose ses billets AFRO, monnaie commune africaine qu'il a inventée en réponse au CFA. Son projet artistique est à la fois très provocateur et très concret, d'avant-garde. Comme James Baldwin le disait. «Quel est le rôle de l'artiste, c'est de poser des questions à des réponses qui sont déjà là». Et la question la plus importante du XXè siècle et XXIè siècle, c'est une question d'économie en fait et des moyens d'échange. Donc la monnaie. Mais comme vous le savez, la plupart des pays en Afrique francophone utilisent cette monnaie coloniale qui s'appelle le CFA. Pourtant, depuis l'indépendance, les grands politiciens panafricanistes comme Nkrumah, comme Olympio, comme Sankara ont toujours dit que l'Afrique ne peut sortir de la domination coloniale sans créer sa propre monnaie. Et ces nationalistes ont été soit renversés, soit assassinés. Donc on en est là. Les politiciens parlent, mais les artistes font. Mais la monnaie est aussi un vecteur de savoir, une archive. Donc si vous regardez les billets AFRO de Mansour, vous voyez l'image de Cheikh Anta Diop. Vous voyez l'image de Kwame Nkrumah. Vous voyez l'image de Sankara, de Bathily, d'Aminata Traoré, de celles et ceux qui ont œuvré pour le monde africain. Valérie Nivelon : Est-ce que vous pouvez nous parler de votre conception de la culture ici à la Maison des cultures du monde, vous incarnez une présence africaine ici à Berlin, vous avez une responsabilité en tant que directeur d'une institution culturelle, que revendiquez-vous dans votre façon de penser cette DEBERLINIZATION ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : La DEBERLINIZATION ne peut avoir un sens uniquement si c'est une expression pluridisciplinaire. Bien sûr, on a invité un économiste comme Célestin Monga, mais également des personnalités du monde de la culture.. Ça a toujours été important dans ma pratique de faire savoir que l'Université n'a pas le monopole de la fabrique des savoirs. Des artistes comme Tiken Jah Fakoly ou Didier Awadi sont des grands intellectuels aussi. Et ils arrivent à dire des choses que beaucoup d'autres personnes ne peuvent pas dire. J'ajoute qu'il a toujours été important pour moi de travailler dans l'univers de la poésie car les poètes nous donnent des clés de lecture pour pénétrer l'opacité du monde. Mais on invite aussi les scientifiques, les philosophes… je cherche à orchestrer un discours choral, polyphonique et pluridisciplinaire !!! C'est ma conception de la culture. Ce que nous avons souhaité avec Franck Hermann Ekra et Ibou Coulibaly Diallo (co-commissaires de DEBERLINIZATION ), c'est penser les archives du futur, je veux dire créer de nouvelles archives. Le projet DEBERLINIZATION a l'ambition d'impulser le remembrement de l'Afrique qui a été démembrée à Berlin en 1885, découpée, déchiquetée. Le Professeur Mamadou Diouf a parlé de la berlinization comme d'un déracinement profond. Donc ce qu'on a essayé de faire, c'est d'amener cette complexité ici à HKW, un lieu où on peut réfléchir. En ce qui me concerne, je veux passer le reste de ma vie à réfléchir à ce que veut dire être humain. Bon anniversaire à Savvy contemporary. Découvrir La maison des cultures du monde et le programme Deberlinization. À paraître : - Deberlinization – Refabulating the World, A Theory of Praxis - Deberlinization - Les presses du réel (livre). À lire : Le pari acoustique de Tiken Jah Fakoly. À écouter : Le concert acoustique de Tiken Jah Fakoly enregistré par RFI Labo salle Pleyel à Paris.
Emisioni më i kërkuar nga të gjithë fanatikët e sportit. Glent Nallbani, Edi Manushi, Redi Jupi, Lorenc Jemini dhe Gëzim Sinemati mendojnë për të gjithë ju dashamirës të futbollit duke sjellë “Pasó”, emisionin që do t'ju ndjekë çdo të premte në frekuencën e radios tuaj të preferuar, vetëm në Top Albania Radio. Një program sportiv prej 120 minutash i rikthehet informacionit dedikuar sportit çdo javë. Konceptuar si një emision info-argëtues, informohuni mbi faktet, njihuni me protagonistët dhe qëndrimet e tyre.
Pas de temps de s'échauffer, les "Grandes Gueules du Sport" démarrent fort dès 9h30 : la UNE c'est l'actu brûlante du sport, entre infos, analyses et débats.
durée : 00:02:33 - C'est mon boulot - Dans les années 1960, tout le monde pensait que les emplois "peu qualifiés" allaient progressivement disparaître. Cela n'a pas été le cas. Ils existent toujours, ils se sont simplement transformés (selon une étude du Centre d'études et de recherche sur les qualifications). Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Sur fond d'examen du projet de Budget à l'Assemblée nationale, les deux hommes dévoilent chacun leurs pistes pour contrer le déficit. Pas sûr qu'elles soient très viables... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
In this episode, I'm sharing what I've been learning firsthand as I declutter and prepare for the upcoming sale of our house, and how this process has completely reshaped the way I think about freedom, finances, and fulfillment. I've realized how much the things we own can quietly drain our time, energy, and even money. I'll cover some helpful decluttering principles that my husband and I have recently implemented as we gradually move toward a more minimalistic lifestyle, including the 20/20 rule, the 90/90 rule, and how to break free from the sunk cost fallacy, along with a few mindset shifts that have helped us let go with intention. You'll learn why simplifying your space is so powerful for both your peace and your financial independence journey. If you've been feeling weighed down by too much “stuff” or craving a simpler, lighter life, this episode will inspire you to start creating more room for what truly matters. If this episode was helpful, be sure to subscribe to the PA the FI Way podcast or YouTube channel for more content to help you build financial independence and prevent burnout along the way. Thanks to Caleb Pepperday, CFP, CHFC, founder of Advanced Practice Planning, LLC, for sponsoring this episode! If you're interested, visit advancedpracticeplanning.com/FI to grab your free consultation. Are you just beginning your journey to financial independence and want to learn more? Download your free copy of the PA the FI Way Beginner's Workbook here! Website / Blog: pathefiway.com Follow PA the FI Way on Instagram: @pathefiway https://www.instagram.com/pathefiway/ Connect with Kat on LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/katarina-kat-astrup-mspas-pa-c-175848255/ Join the private Facebook group created for current and future PAs on their journey to financial independence: https://www.facebook.com/groups/pathefiway Like the Facebook page to follow along for updates: https://www.facebook.com/pathefiway
À la fin de chaque épisode, les questions signature de L'Entreprise de Demain ouvrent un espace différent : centré sur le leadership des invités, plus intime, plus direct, au delà des discours.Dans ce bonus, Carole Benaroya, cofondatrice de Kujten, partage sa manière de vivre son rôle de dirigeante. Elle parle de lucidité, de limites, d'énergie, et de cette tension constante entre exigence et plaisir.« Dire non aux autres, c'est se dire oui à soi-même. »Cette phrase, qu'elle cite spontanément, résume une idée essentielle : dans un monde où tout s'accélère, savoir dire non devient une condition de survie managériale. Carole explique comment elle a appris à poser un cadre, à choisir où mettre son attention, et à assumer que le rôle de dirigeant implique de faire des choix, parfois seuls, souvent complexes.Ce court format est une respiration.On y parle de leadership au sens le plus concret du terme : décider, prioriser, tenir.Pas de théorie, pas de posture idéale, juste la réalité de quelqu'un qui dirige et qui accepte de se questionner.Carole revient sur les moments de doute, sur la solitude parfois inhérente au rôle, mais aussi sur la satisfaction de voir une équipe progresser, de transmettre une exigence, de créer du lien.Ce qu'elle partage, c'est une expérience du leadership vécue au quotidien. Celle d'une dirigeante qui assume ses choix, qui prend soin de son énergie pour pouvoir continuer à entraîner les autres, et qui reste fidèle à sa vision même quand le contexte se durcit.Ce propos résonne particulièrement avec les DRH et dirigeants : il parle de responsabilité, de clarté, et du courage tranquille qu'exige la fonction.Un format court, lucide et utile, pour prendre un pas de recul sur sa manière de diriger.Parce qu'avant de transformer les autres, il faut savoir se diriger soi-même.
Host: Faith Schlicht, PA-CGuest: Katarina Astrup, MSPAS, PA-CFaith Schlicht, PA-C and Katarina Astrup, MSPAS, PA-C are back with the Money Series for PAs and medical professionals, this time answering real financial questions from PA students and new grads. Faith, a cardiology PA, teams up with Kat Astrup, creator of PA the FI Way, to share practical tips for budgeting during PA school and launching your career with confidence.Learn how to stretch your student budget, negotiate your first salary, and make the most of your benefits as a new grad. Whether you're pre-PA, in school, or starting your first job, this episode will help you build a strong financial foundation and work toward financial independence.Resources Mentioned:PA the FI Way Podcast – Financial independence tips for PAsPA Money Sense Budget Guide (AAPA)Budgeting Apps: YNAB, Monarch, EveryDollarStudent Loan Help:https://studentloanadvice.com/partner/pa-the-fi-way/https://www.studentloanplanner.com/
En Tanzanie, des heurts en marge des élections législatives et présidentielle, dont l'opposition a été évincée, ont débuté mercredi. Alors que la population était appelée à respecter un couvre-feu jeudi, de nouvelles manifestations ont éclaté dans plusieurs villes du pays. Une situation commentée par la presse africaine. Si la coupure du réseau internet rend l'accès aux informations compliqué, le média Afrik.com souligne « un chaos post-électoral et un silence d'État ». « Rendez-nous notre pays ! » scandent d'un côté les manifestants, de l'autre, on constate une absence de communication de la part du gouvernement, dirigé par la présidente Samia Suluhu Hassan, « tandis que les mesures de sécurité sont renforcées et que les craintes de victimes augmentent », peut-on lire. Selon Afrik.com « L'absence de communication gouvernementale est d'autant plus inquiétante que le scrutin a été précédé d'une vague de répression sévère. L'organisation Amnesty International a dénoncé une véritable "vague de terreur" marquée par des disparitions forcées, des arrestations arbitraires et des actes de torture ». Le média précise : « Le principal parti d'opposition, le Chadema, dont le chef Tundu Lissu est jugé pour trahison, a été disqualifié pour avoir refusé de signer un code électoral jugé insuffisant ». Pas d'observateurs crédibles Au Kenya, The Daily Nation scrute également de près la situation chez son voisin Tanzanien. Le journal rappelle que des militants, depuis le Kenya, ont dénoncé « une mascarade », juste « après que les autorités ont interdit à deux des principaux partis d'opposition de présenter des candidats ». Par ailleurs, le KHRC « la Commission kenyane des droits de l'homme (une ONG) a tiré la sonnette d'alarme face à l'absence de groupes d'observation électorale crédibles lors des élections. "Aucune mission d'observation crédible n'est présente en Tanzanie. La Belgique, la Suède, l'Allemagne et l'Irlande se sont retirées des élections. Les États-Unis surveillent, mais sans y déployer d'observateurs officiels" explique notamment un membre du KHRC ». Cependant, rappelle The Daily Nation « l'Union Africaine, la Communauté de développement de l'Afrique Australe, la Communauté d'Afrique de l'Est et la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs ont déployé des missions d'observation, ce qui a suscité des critiques pour avoir légitimé un processus défectueux ». Au Burkina Faso, WakatSéra commente aussi la situation en Tanzanie, dans ces colonnes édito : « Après les élections, la tension ! (...) c'est le condensé en peu de mots, de la situation volcanique que vit le pays », peut-on lire. « La présidente sortante en quête d'un deuxième mandat, (...) n'a pas résisté à la tentation d'organiser des scrutins interdits à l'opposition, la vraie ». Ainsi, les manifestants « n'ont que leurs voix pour crier leur ras-le-bol d'un régime incapable de répondre aux attentes d'un peuple trop longtemps muselé ». En Algérie, des réactions et des commentaires sur la politique française Jeudi, le parti d'extrême droite français, le Rassemblement national, a obtenu une « victoire » à l'Assemblée nationale, en faisant adopter à une voix près une résolution qui vise à « dénoncer » l'accord franco-algérien de 1968, qui crée un régime d'immigration favorable pour les Algériens. « La France vote contre elle-même », c'est le titre d'un édito dans Algerie patriotique. « Derrière les apparences d'un débat diplomatique, c'est une fracture politique, morale et historique qui s'ouvre : celle qui annonce l'arrivée de l'extrême-droite au pouvoir en 2027. (…) Le fameux accord de 68, que les nostalgiques de l'Algérie française décrivent à tort comme un privilège offert aux ressortissants algériens, n'est en réalité qu'une coquille vide ». Et pour Algérie Patriotique, « le vrai scandale n'est pas dans le vote, mais dans la complaisance du pouvoir en place », car « l'exécutif a préféré jouer la partition du populisme. En reprenant à son compte les thèmes de l'extrême droite, il espérait la contenir, mais il n'a fait que la légitimer. C'est ainsi que, sous couvert de "fermeté", la France se déshonore et prépare son propre suicide politique ». Algérie 360, rappelle que l'idée de mettre en cause l'accord de 1968 n'est pas nouvelle. « Déjà en février, un rapport du Sénat suggérait d'envisager sa dénonciation. De plus, l'ancien ministre français de l'Intérieur, Bruno Retailleau, avait exprimé à plusieurs reprises son souhait de remettre en question cet accord, notamment lors d'une période de crise diplomatique ». Par ailleurs, le média observalgérie souligne que les accords de 1968 « ne sont pas liés aux obligations de quitter le territoire français non exécutées, argument souvent évoqué par le Rassemblement national ». Ces accords encadrent uniquement les droits de résidence et d'établissement des ressortissants algériens en France. Enfin, le texte voté ne modifie en rien ces dispositions... Puisqu'une résolution parlementaire ne peut pas imposer d'action à l'exécutif. Elle exprime seulement la position de l'Assemblée nationale.
Vous avez raté l'épisode d'hier ? Vous n'avez pas le temps d'écouter la version intégrale ? Pas d'inquiétude, Happy Work LE RÉSUMÉ est là !!!En moins de 2 minutes, l'épisode d'hier est résumé !!!!DÉCOUVREZ MON NOUVEAU PODCAST, HAPPY MOI - LE PODCAST QUI TE PARLE DE TOI : lnk.to/sT70cYSi vous êtes sur Apple Podcast... n'oubliez surtout pas de mettre une étoile à Happy Work management carrièreSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
nos « amis » les pessimistes reviennent en force, à grand renforts de statistiques déprimantes, d'études nous expliquant pratiquement que la fin du monde est proche et que, surtout… avant, c'était mieux.Tout va t'il bien ? Euuuuh… non, bien entendu, mais d'un point de vue macro-sociétal, pouvez-vous me citer une période où tout allait bien de votre vivant ? Vous le savez, je suis un optimiste, mais je suis également réaliste. Si 2021 n'a pas été l'année parfaite, c'était tout de même autrement mieux que 2020, non ? Pas de confinement, pas de couvre-feu, moins de décès du COVID, le début de la vaccination, retour au présentiel, avènement du travail hybride (enfin)… non, franchement, comparée à 2020, 2021, c'était le paradis !Et pourtant… il nous manque toujours un petit quelque chose. Que le COVID disparaisse ? Oui, ok, mais nous n'y pouvons pas vraiment quelque chose. Alors quoi ? Oui, j'ai toujours pensé que nous pouvions être acteur et actrice de nos vies, qu'elles soient professionnelles ou personnelles… et heureusement.Et bien justement… et si nous remettions du « fun » dans notre quotidien au travail. DU FUN ???? MAIS DE QUOI IL PARLE CHATELAIN-BERRY ? Oui, certain.e.s d'entre -vous vous dites probablement cela ; après tout, tout le monde n'est pas clown au cirque Pinder et je suis certain que, quotidiennement, vous gérez des problématiques très sérieuses… et pourtant, je vous assure que ce sujet de l'amusement au travail est fondamental. Pourquoi ?Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:11 - Debout la Terre - par : Camille Crosnier - Une question se pose alors que l'ouragan Melissa a durement frappé la Jamaïque, Haïti et Cuba. Cet événement météorologique extrême, amplifié par le changement climatique, peut-il ouvrir les yeux des climato-sceptiques ? Pas si sûr, à en croire les propos récents de Donald Trump... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
En RDC, c'est la ruée vers l'or vert : les projets de crédits carbone, censés compenser les émissions des grandes entreprises polluantes à travers la planète, se multiplient au point de recouvrir la plus grande part de l'immense forêt du pays. Mais le bénéfice environnemental est douteux et l'impact social souvent négatif, selon la Fondation Rainforest UK. Pas moins de 71 projets de crédits carbone ont été recensés sur 103 millions d'hectares, soit déjà plus des deux tiers de la superficie forestière de la RDC. Une véritable ruée d'aventuriers vers l'or vert, selon Rainforest Alliance UK. « C'est un Far-West, observe Vittoria Moretti, co-auteur du rapport. Il y a vraiment beaucoup d'initiatives qui sont, pour la majorité des cas, portées par des entreprises assez douteuses, qui n'ont pas forcément d'expertise dans la conservation, comme par exemple les entrepreneurs français derrière Socodev. » Derrière Socodev, dans la province de la Tshopo : un producteur de clips musicaux et un ex-footballeur. Droits des communautés bafoués Certains projets dépassent allègrement la limite légale de 500 000 hectares. Et le consentement libre et informé préalable des communautés locales est souvent bafoué, constate le rapport. « En Équateur, il y a eu le cas de cette compagnie indienne KMS, illustre Vittoria Moretti. Les témoignages parlent de représentants venus la nuit qui ont fait signer des contrats en anglais, qui bien sûr n'était pas compréhensible pour les communautés et qui les engageaient pour 100 ans. Dans d'autres cas, comme dans la Tshopo, il y a aussi eu des cas de violation des droits de l'homme, parce que quand les communautés ont refusé le projet Grin Biodev, il y a eu beaucoup de rétorsions des forces de sécurité ». Déforestation record Quinze projets ont été validés au niveau national, trois ont obtenu la certification Verra qui leur permet de vendre des crédits carbone forestiers aux entreprises polluantes étrangères. Mais ces crédits, censés vendre la déforestation évitée en RDC ont désormais mauvaise réputation. « Aujourd'hui, un acheteur qui pourrait se prévaloir d'avoir acheté des crédits du fameux projet WWC dans la province du Maï-Ndombe, il serait très facile de lui sortir immédiatement les statistiques de Global Forest Watch, explique Alain Karsenty, économiste du CIRAD (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement), et de lui montrer que la déforestation dans cette province n'a jamais été aussi élevée et qu'elle augmente depuis 2019 de manière régulière. Ça poserait un problème de crédibilité pour ces acheteurs. » Défiance des acheteurs Parmi ces acheteurs, Nestlé et EasyJet ont jeté l'éponge et le prix des crédits carbone s'est effondré (à 7 dollars la tonne). Le rapport de Rainforest Alliance UK demande aux autorités congolaises un moratoire sur ce système de compensation carbone. Il appelle les partenaires étrangers et le secteur privé à réduire leurs propres émissions de CO2 et à canaliser leur financement vers les communautés locales, en échange de service forestiers.
durée : 00:03:27 - Le monde à l'endroit - Donald Trump et Xi Jinping se sont entendus jeudi 30 octobre pour apaiser un conflit commercial qui a ébranlé l'économie mondiale. Mais pour l'heure rien n'assure que cette trêve concerne le continent européen. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Selon plusieurs études, plus de la moitié du contenu en ligne serait aujourd'hui générée par l'intelligence artificielle. Un bouleversement majeur pour l'information et le référencement.Un web de plus en plus artificielLes chiffres donnent le vertige : selon Graphite, une agence californienne de référencement, les contenus générés par IA auraient dépassé ceux produits par des humains dès fin 2024. D'autres études, comme celle d'Ahrefs, évoquent même jusqu'à 74 % du web modifié ou rédigé par des machines. Et d'ici 2026, certaines projections parlent de 90 %. Une transformation silencieuse qui bouleverse la nature même du web.La “Dead Internet Theory”, ou la mort d'un Internet humainCe phénomène nourrit une idée qui fait son chemin : celle d'un Internet désormais dominé par des robots. La “Dead Internet Theory” évoque un réseau où les interactions humaines seraient devenues minoritaires face à l'activité automatisée de bots, d'algorithmes et désormais d'IA génératives. Une hypothèse reprise, entre autres, par Sam Altman, le patron d'OpenAI, et qui alimente les débats entre technophiles et complotistes.Pourquoi l'IA inonde le webLa logique économique explique une bonne partie du phénomène : plus de contenus signifie plus d'audience, donc plus de revenus publicitaires. Mais cette dynamique semble marquer le pas. Graphite note un plafonnement depuis mai 2024. De plus, la plupart de ces textes ne sont ni référencés par Google ni vraiment lus par des humains. Autrement dit, beaucoup de “contenus IA” flottent dans le vide numérique.Comment reconnaître un texte généré par IACertaines tournures de phrase trahissent la patte des machines : abus de participes présents, connecteurs logiques (“donc”, “cependant”), ou ponctuation étrange comme le tiré cadratin. Sans oublier les fameuses phrases conclusives (“cela illustre…”) typiques des générateurs de texte. Autant de signaux qui peuvent aider à repérer l'artificialité d'un contenu.Vers un web hybrideFaut-il s'inquiéter ? Pas forcément. L'IA n'est pas synonyme de mauvaise qualité : elle peut aussi assister les humains dans la recherche d'idées, la traduction ou la mise en forme. Le vrai risque serait que les IA se nourrissent de leurs propres productions, créant un cercle vicieux d'appauvrissement du web. Nous entrons sans doute dans une ère mixte, un web “moitié humain, moitié artificiel”. À nous d'apprendre à reconnaître, trier et valoriser le contenu qui garde une vraie valeur humaine.-----------♥️ Soutienhttps://donorbox.org/monde-numerique
durée : 00:06:40 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Les patients ne viennent pas chez le médecin "pour le plaisir", souligne la médecin généraliste Mady Denantes, alors que le gouvernement veut responsabiliser les Français en les faisant payer davantage leurs soins. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Vous avez raté l'épisode d'hier ? Vous n'avez pas le temps d'écouter la version intégrale ? Pas d'inquiétude, Happy Work LE RÉSUMÉ est là !!!En moins de 2 minutes, l'épisode d'hier est résumé !!!!DÉCOUVREZ MON NOUVEAU PODCAST, HAPPY MOI - LE PODCAST QUI TE PARLE DE TOI : lnk.to/sT70cYSi vous êtes sur Apple Podcast... n'oubliez surtout pas de mettre une étoile à Happy Work management carrièreSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cet épisode est soutenu par @canva mon nouveau partenaire de ❤️ canva.comClément Vannier est venu passer 24h avec moi.Une journée entière, caméra allumée du matin au soir, pour découvrir les vraies coulisses de ma vie.Le réveil à 6h, les sessions de deep work, le padel, les tournages, les réunions, les moments off avec l'équipe… mais aussi ce qu'on ne montre jamais : les doutes, les échecs, les remises en question.On a parlé de La Chapelle, de FREEZBEE, de mes succès, de ma faillite à 4M€, et de tout ce qu'il y a entre les deux.Pas de mise en scène, pas de storytelling LinkedIn, juste la réalité derrière les projets, les choix et le rythme que j'ai construit depuis 15 ans.Bienvenue dans les coulisses de ma vie d'entrepreneur.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Par une chaude journée d'été, le 4 juillet 1924, un petit restaurant de Tijuana, au Mexique, est pris d'assaut par des touristes venus des États-Unis. Nous sommes en pleine Prohibition : l'alcool est interdit de l'autre côté de la frontière, et les Américains affluent dans cette ville mexicaine pour boire et faire la fête. Le patron du restaurant, Caesar Cardini, un chef italien au tempérament passionné, regarde sa cuisine dévalisée avec angoisse : les réserves sont presque vides, les clients s'impatientent. Il lui faut improviser.Cardini ouvre son garde-manger : il ne reste que quelques feuilles de laitue romaine, un peu de pain rassis, du parmesan, des œufs, de l'huile d'olive, de la sauce Worcestershire, du citron, et une gousse d'ail. Pas de quoi faire un grand plat… à moins d'un peu de génie. Alors, devant la salle comble, il saisit un grand saladier, pile l'ail, casse un œuf légèrement poché, ajoute le citron, la sauce, l'huile, puis jette la romaine et les croûtons. Il mélange avec énergie, sous les yeux amusés de ses clients. Le parfum d'ail et de citron se répand. Un silence curieux s'installe, puis les premières bouchées sont goûtées : c'est un succès immédiat.La salade César est née — non pas à Rome, ni même en Italie, mais dans un coin poussiéreux du Mexique, un soir d'improvisation. Le bouche-à-oreille fait le reste. Des stars hollywoodiennes en villégiature à Tijuana — Clark Gable, Jean Harlow, et d'autres — s'émerveillent de ce plat simple et élégant. En quelques mois, la recette traverse la frontière, conquiert Los Angeles, puis tout le continent.Ce qu'on ignore souvent, c'est que la recette originale ne comportait ni poulet, ni anchois, ni bacon. Juste la fraîcheur de la romaine, le croquant du pain grillé, et la douceur citronnée de la sauce. Les versions modernes, plus riches, sont venues plus tard, adaptées aux goûts américains.Ainsi, derrière ce nom à consonance antique, la “César” n'a rien d'un hommage à Jules César. C'est l'histoire d'un Italien ingénieux, installé au Mexique, qui inventa par hasard un plat devenu universel.Une salade née d'un manque, transformée en légende : voilà, peut-être, le plus bel exemple de ce que la cuisine sait faire de mieux — transformer la contrainte en création. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:26:11 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Simon Le Baron, Alexandra Bensaid - André Corréa do Lago, président de la COP 30 au Brésil en novembre et Laurence Tubiana, ambassadrice de la France lors de la COP 21 à Paris et co-auteure de “Le climat est un sport de combat” (Albin Michel). - invités : André Corrêa do Lago, Laurence Tubiana - André Corrêa do Lago :, Laurence Tubiana : Économiste et diplomate française Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Terwijl Nederland wachtte op de exitpolls, zat de échte spanning vandaag op de beursvloer. Beleggers stuwden één bedrijf naar een recordwaarde: Nvidia. De chipmaker tikte als eerste in de geschiedenis een beurswaarde van 5000 miljard dollar aan. Wat kun je eigenlijk met dat bedrag? Rens en Jochem rekenden het uit. Spoiler: je kan de aarde rond met een treintje van de nieuwste Ferrari Testarossa Spiders. Het record van Nvidia komt trouwens niet uit de lucht vallen. De chipgigant profiteert van een spervuur aan deals: van samenwerkingen met Nokia tot een partnership met farmareus Eli Lilly. Zelfs Donald Trump mengde zich in het feestgedruis. Hij is trots dat Nvidia’s snelste chips nu in Arizona gemaakt gaan worden in plaats van in Taiwan. De vraag is natuurlijk wel: hoe lang kan dit groeiverhaal nog doorgaan? Op het Damrak was een glansrol weggelegd voor Adyen. Het betaalbedrijf steeg met 5 procent na sterke kwartaalcijfers. De omzet groeide met 20 procent naar bijna 600 miljoen euro, en door de systemen van Adyen stroomde in drie maanden tijd 350 miljard euro. Bedenk je even: per jaar gaat er meer door de systemen van Adyen dan door de Nederlandse economie. Vooral het onderdeel Unified Commerce, dat online en fysieke betalingen samenbrengt, maakte indruk met 32 procent groei. Ook ASM kwam met cijfers. De chipmachinefabrikant zag het aantal orders uit China dalen, maar hield de vooruitzichten positief. De top van het bedrijf verwacht de komende jaren stevige groei dankzij de vraag naar AI- en geheugenchips. Maar daar moet je wel even op wachten. Pas op de lange termijn belooft ASM cadeautjes voor beleggers: een verdubbeling van omzet en kasstroom richting 2030. En alsof dat nog niet genoeg was, dook er ook een nieuwe uitdager op voor ASML én TSMC: de Amerikaanse start-up Substrate, gesteund door investeerder Peter Thiel. Het bedrijf zegt een compleet nieuwe manier te hebben ontwikkeld om chips te maken. Beter, sneller en goedkoper. Of dat echt zo is, of dat de bollebozen bij ASML hun schouders ophalen, blijft nog even de vraag. Maar de techstrijd is nog lang niet gestreden.See omnystudio.com/listener for privacy information.
« La souveraineté culturelle et intellectuelle à laquelle nous aspirons passe aussi par la reconquête de notre parole propre », a expliqué le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye lors du premier grand rendez-vous organisé entre l'État et les acteurs du livre, à Dakar, le 16 octobre. Des initiatives émergent pour donner toute sa place à la lecture en wolof, en pulaar, en sérère et dans les autres langues nationales. À l'embarcadère direction Gorée, une bibliothèque éphémère intrigue. Plusieurs installations du même genre ont été aperçues pendant quelques jours à Dakar, le temps pour l'État de rapprocher les livres de la population. Khalil, un habitué de la liaison maritime, feuillette des ouvrages en wolof. « Si tu me donnes un livre en wolof, je prends beaucoup de temps pour le lire. C'est parce qu'à l'école, on nous apprend en français ! », explique-t-il. Pas de quoi le décourager pour autant. « À partir d'aujourd'hui, je commence à étudier le wolof, je le jure. Je ne suis pas français, je suis wolof ! Il faut juste s'entraîner un peu », s'amuse-t-il. Le wolof résonne partout au quotidien : à la radio, dans la rue, et dans les foyers. Pourtant peu de Sénégalais le lisent. Ndèye Codou Fall, directrice de EJO, l'une des rares maisons d'édition en langues nationales, se bat pour inverser la tendance : « Il n'y a pas de magie, en ce qui concerne les langues nationales, nous les maîtrisons à l'oral, mais pour pouvoir les lire, il faut les apprendre, il faut alphabétiser les gens dans les langues nationales. Entendons-nous bien, je suis pour le plurilinguisme, mais je suis pour nous réapproprier ce qui nous appartient d'abord, et ensuite aller à la rencontre de l'autre. » Pour Ndèye Codou Fall, le Sénégal a besoin d'un retour à ses langues propres pour avancer. « Le rapport en général que les Sénégalais ont avec le français, c'est un rapport douloureux qui rappelle la honte que le colonisateur a voulu instituer aux Sénégalais en les obligeant à rendre les langues nationales muettes. Je pense que c'est ce rapport que l'on veut effacer aujourd'hui », explique-t-elle. À lire aussiLa Wolof Académie, nouvelle tendance pour l'apprentissage des langues via des applications Encourager les jeunes à lire dans leurs langues, mais aussi à prendre la plume, c'est une des missions que se donne Adramé Diakhaté, président de l'Union des écrivains sénégalais en langues nationales. Lui-même auteur de romans publiés en wolof, il parle d'un processus de création plus intime. « Quand on écrit en wolof, effectivement, le personnage que vous mettez en scène devient un complice et il fait corps avec nous. Nous vivons sa vie comme s'il pouvait interagir avec notre propre existence. Je ne ressens pas la même chose quand j'écris en français. La différence est là : [en wolof], je me parle à moi-même et je vis ce que je suis en train d'écrire », raconte-t-il. Rappelant qu'ils travaillent « pour la nation », les éditeurs spécialisés en langues sénégalaises réclament plus de moyens issus du Fonds d'aide à l'édition. Un fonds géré par le ministère de la Culture pour soutenir la production littéraire. L'État leur a promis un soutien sans en préciser la forme à ce stade. À lire aussiFrancophonie en Afrique: au Sénégal, le wolof monte en puissance face au français [4/5]
durée : 00:26:11 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Simon Le Baron, Alexandra Bensaid - André Corréa do Lago, président de la COP 30 au Brésil en novembre et Laurence Tubiana, ambassadrice de la France lors de la COP 21 à Paris et co-auteure de “Le climat est un sport de combat” (Albin Michel). - invités : André Corrêa do Lago, Laurence Tubiana - André Corrêa do Lago :, Laurence Tubiana : Économiste et diplomate française Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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If you already know you want to be a PA early, congrats, you're ahead of the game — now it's time to use that head start wisely. In this episode, we'll walk through exactly what to do from freshman year to build a competitive, stress-free path to PA school.
Youssef Badr est juge à Créteil, ancien porte-parole du ministère de la Justice, et auteur du livre Pour une justice aux mille visages.Youssef est le frère de mon amie Requia mais il a surtout été beaucoup invité par les médias ces derniers mois.Tout simplement parce qu'il possède cette intelligence fine, cette lucidité sans aigreur, et cette capacité à mettre des mots justes sur des réalités sociales qu'on peine parfois à nommer.Dans cet épisode, on a parlé de transclasse, de solitude, de l'école qui n'accueille pas tout le monde de la même manière, de racisme, et bien sûr, de justice. Pas celle qu'on voit dans les séries, mais celle qu'on rend tous les jours, dans les tribunaux, face à des vies cabossées, souvent invisibles.Ce qui m'a touché chez Youssef, c'est sa manière d'incarner ce métier avec exigence, mais aussi avec humanité. Il a traversé des chemins que beaucoup n'imaginent même pas. Et son livre, très fort, est un appel à une justice plus représentative, plus incarnée, plus équitable.J'ai voulu comprendre ce que cela change de juger quand on vient soi-même d'un milieu populaire. Est-ce qu'on juge différemment ? Est-ce qu'on ressent un poids plus lourd sur les épaules ? On a aussi discuté de l'état de la justice aujourd'hui, de ses limites, du manque de moyens, de la surpopulation carcérale, et de ce que signifie, profondément, “rendre la justice”.Un épisode riche, engagé, sans langue de bois, où on parle autant de système que d'intime. Un échange que je suis fier de vous partager.5 citations marquantes“La première des injustices, c'est celle de l'information.”“On ne peut pas rêver de devenir juge quand on ne sait même pas que ce métier existe.”“Il faut arrêter de dire ‘quand on veut on peut' à des jeunes qui vivent à six dans 40m².”“Il n'y a pas de monstres en prison, il y a des gens qui ont fait des choses monstrueuses.”“Je suis juge, pas militant. Je rends la justice, je ne la commente pas.”10 questions structurées posées dans l'interviewPourquoi avez-vous commencé votre livre par le thème de la solitude ?Est-ce que la solitude est plus forte quand on est transclasse ?Qui vous a aidé à franchir les étapes dans votre parcours ?Est-ce que votre famille comprenait ce que vous faisiez ?Qu'est-ce qui vous a donné envie de devenir juge ?À quoi ressemble aujourd'hui la magistrature ?Est-ce que la justice française est représentative de sa population ?Est-ce que la justice a un rôle à jouer dans l'égalité des chances ?Que répondez-vous à ceux qui parlent d'un système “trop à gauche” ?Est-ce que vous avez parfois l'impression d'être jugé plus sévèrement à cause de votre origine sociale ou ethnique ?Timestamps clés (optimisés pour YouTube)00:00 – Introduction et présentation de Youssef Bader02:00 – La solitude dans le parcours de transclasse04:30 – Le rôle des professeurs, entre soutien et abandon07:00 – L'importance de la famille malgré l'incompréhension12:00 – Comment l'idée de devenir juge a émergé17:00 – Les limites de l'école face à l'égalité des chances24:00 – Le racisme systémique dans le système éducatif29:00 – L'état critique de la justice aujourd'hui35:00 – Pour qui Youssef a-t-il écrit son livre ?44:00 – Surpopulation carcérale et alternatives à la prison52:00 – La justice a-t-elle un rôle dans l'égalité des chances ? Suggestion d'autres épisodes à écouter : [CONFIDENCES CROISÉES] La face cachée du talent avec Oxmo Puccino et Samah Karaki (https://audmns.com/PsTiLuf) #164 Peut-on allier lutte contre la pauvreté et écologie? avec Elise Huillery (https://audmns.com/jLFRyqX) #144 Transformer une crise en opportunité avec Marie Robert (https://audmns.com/pmltJzo)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Poncé Gaudissard, chauffeur de car, 47 ans quand il se voit accusé d'un double assassinat. Celui de Chantal et Audrey d'Amato, une mère et sa fille. Ligotées, la gorge tranchée, c'est sur la fille que l'on s'est acharné. Pas d'aveu, pas de traces ADN, pas d'empreintes, mais des gestes et un passé qui vont rattraper le suspect. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Poncé Gaudissard, chauffeur de car, 47 ans quand il se voit accusé d'un double assassinat. Celui de Chantal et Audrey d'Amato, une mère et sa fille. Ligotées, la gorge tranchée, c'est sur la fille que l'on s'est acharné. Pas d'aveu, pas de traces ADN, pas d'empreintes, mais des gestes et un passé qui vont rattraper le suspect. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:22 - Journal de 8 h - Pas moins de 30 000 salariés d'Amazon à des postes de bureau seront licenciés à partir de ce mardi, annoncent plusieurs médias américains. La main d'œuvre dans les entrepôts n'est pas concernée. - invités : Margot Delpierre Journaliste à la rédaction de France Culture, présentatrice des journaux de 6h30 et 8h
Radio Foot à 16h10-21h10 T.U. Au programme : - Premier League,10è journée, les Reds battus sur le terrain des «Bees». ; - Dans le dur également, la Vecchia Signora. Premier League,10è journée, les Reds battus sur le terrain des «Bees» Oublié le sursaut à Francfort en C1, le revers de Brentford n'arrange pas Arne Slot, dont la défense a encore failli. Un club habitué à jouer les premiers rôles, mais désormais à 7 points du leader Arsenal. Liverpool doit digérer les départs, intégrer les recrues, et retrouver son unité. Dans le dur également, la Vecchia Signora La Juventus n'a plus gagné en Serie A depuis la 3è journée. Nouvelle défaite au Stade olympique face à la Lazio, celle de trop pour les dirigeants, elle marque la fin de l'expérience Igor Tudor. Les Bianconeri sont 8è, avec 6 points de retard sur le Napoli et l'AS Rome. L'entraineur de la réserve remplacera le Croate sur le banc lors du match contre l'Udinese comptant pour la 9è journée demain. Quel sera le prochain entraineur (le 5è depuis mai 2024 ?) - Pas de victoire depuis le 14 septembre pour Rennes, Habib Beye est grandement fragilisé mais sera bien du déplacement des Bretons à Toulouse. Sursaut obligatoire pour les Rouge et Noir sur la pelouse des Violets, où l'ancien Marseillais jouera probablement sa place. Dimanche dernier (26 octobre 2025) contre Nice, après une 1ère mi-temps sans envie, les Bretons se sont ressaisis mais n'ont pu éviter la défaite. Situation tendue avec les supporters, une équipe loin de son ambition assumée de retrouver l'Europe ? Avec Olivier Pron : Ludovic Duchesne, Nabil Djellit et Étienne Moatti. Technique/Réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.
Julie Gavras est mère de deux garçons. Dans sa série Pas mes fils, elle s'interroge sur le poids qui pèse sur les épaules de mères de garçon. Je dois me rendre à l'évidence, envisager la violence de mes fils m'est impossible. S'ils sont bourrés ou influencés par d'autres je peux la concevoir, mais pas une violence volontaire. Pas mes fils. Pas ces garçons dont je suis la mère. Et pourtant… je connais les statistiques. Je sais bien qu'ils ne peuvent pas être immunisés contre le patriarcat, ou la culture du viol. C'est cette impossibilité de faire le lien entre les statistiques et mes fils que j'ai envie d'interroger. Et à la source de cette impossibilité de penser la violence de mes fils, il y a peut-être le soulagement que j'ai ressenti lorsque j'ai accouché de garçons. La gloire dont on hérite en ayant fait des fils altère-t-elle notre jugement ?Cet épisode d'Injustices a été tourné et écrit par Julie Gavras, la réalisation est d'Anna Buy, la prise de son et le mix sont du studio la Fugitive, la musique originale a été composée et est interprétée par Dr. Chill et Samir Flynn. Louise Hemmerlé est en charge de la production. Pour aller plus loin : L'essai de Daisy Letourneur, On ne naît pas mec (éditions La Découverte)L'essai de Martine Delvaux, Le boys club (éditions Payot)L'essai d'Olivia Gazalé, Le mythe de la virilité (éditions Pocket)L'essai d'un collectif d'auteurs, Masculinités (éditions E/P/A) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Rejoignez Emma dans cette quête extraordinaire où les plus grandes faiblesses peuvent devenir les plus belles forces !
Send me a text and please visit www.livefrommydrumroom.com I'm joined by Joshua Simonds, Executive Director for the Percussive Arts Society (PAS) for a preview of PAS' 50th PASIC Nov 12-15 in Indianapolis, IN. This year's PASIC is going to be epic, with an incredible lineup. I attended my first PASIC in 1985 in Los Angeles and have attended almost every PASIC since. There's still time to attend this year's PASIC! Visit https://pas.org/pasic/ Live From My Drum Room T-shirts and Hoodies are now available! 100% of the proceeds go toward my PAS scholarship. Visit https://livefrommydrumroom.com for details! Live From My Drum Room With John DeChristopher! is a series of conversations with legendary drummers and Music Industry icons, hosted by drummer and music industry veteran, John DeChristopher, drawing from his five decades in the Music Industry. Created in 2020, and ranked BEST Drum Podcast, "Live From My Drum Room With John DeChristopher!" gives the audience an insider's view that only John can offer. And no drummers are harmed on any shows! Please subscribe! https://livefrommydrumroom.comwww.youtube.com/c/JohnDeChristopherLiveFromMyDrumRoom
Radio Foot à 16h10-21h10 T.U. Au programme : - Premier League,10è journée, les Reds battus sur le terrain des «Bees». ; - Dans le dur également, la Vecchia Signora. Premier League,10è journée, les Reds battus sur le terrain des «Bees» Oublié le sursaut à Francfort en C1, le revers de Brentford n'arrange pas Arne Slot, dont la défense a encore failli. Un club habitué à jouer les premiers rôles, mais désormais à 7 points du leader Arsenal. Liverpool doit digérer les départs, intégrer les recrues, et retrouver son unité. Dans le dur également, la Vecchia Signora La Juventus n'a plus gagné en Serie A depuis la 3è journée. Nouvelle défaite au Stade olympique face à la Lazio, celle de trop pour les dirigeants, elle marque la fin de l'expérience Igor Tudor. Les Bianconeri sont 8è, avec 6 points de retard sur le Napoli et l'AS Rome. L'entraineur de la réserve remplacera le Croate sur le banc lors du match contre l'Udinese comptant pour la 9è journée demain. Quel sera le prochain entraineur (le 5è depuis mai 2024 ?) - Pas de victoire depuis le 14 septembre pour Rennes, Habib Beye est grandement fragilisé mais sera bien du déplacement des Bretons à Toulouse. Sursaut obligatoire pour les Rouge et Noir sur la pelouse des Violets, où l'ancien Marseillais jouera probablement sa place. Dimanche dernier (26 octobre 2025) contre Nice, après une 1ère mi-temps sans envie, les Bretons se sont ressaisis mais n'ont pu éviter la défaite. Situation tendue avec les supporters, une équipe loin de son ambition assumée de retrouver l'Europe ? Avec Olivier Pron : Ludovic Duchesne, Nabil Djellit et Étienne Moatti. Technique/Réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.
durée : 01:26:08 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - L'émission les "Mardis du cinéma" propose en 1988 un long entretien avec le cinéaste indien Shyam Benegal dont le cinéma est empreint des changements sociaux et de la révolte de la société indienne (1ère diffusion : 26/01/1988). - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Shyam Benegal Réalisateur, producteur et scénariste indien né le 14 décembre 1934 à Aliwal en Inde.
durée : 00:15:22 - Journal de 8 h - Pas moins de 30 000 salariés d'Amazon à des postes de bureau seront licenciés à partir de ce mardi, annoncent plusieurs médias américains. La main d'œuvre dans les entrepôts n'est pas concernée. - invités : Margot Delpierre Journaliste à la rédaction de France Culture, présentatrice des journaux de 6h30 et 8h
durée : 00:03:55 - Une semaine dans leurs vies - Dijon, la capitale de Bourgogne, est devenue une galerie à ciel ouvert avec ses fresques de street-art un peu partout dans la ville. Un festival d'arts urbains s'y tient en ce moment. Car ces peintures embellissent le centre-ville historique à en croire les habitants et la municipalité. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:26:00 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Simon Le Baron, Alexandra Bensaid - Carlos Tavares, ancien PDG de Stellantis et auteur du livre "Un pilote dans la tempête" (Plon). - invités : Carlos TAVARES - Carlos Tavares : Chef d'entreprise portugais Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:19 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Au Liban, la question n'est pas de savoir si une nouvelle guerre avec Israël est possible mais quand elle aura lieu ; même impasse à Gaza où le Hamas a repris le contrôle, et en Cisjordanie où la violence des colons redouble. L'absence de solution politique alimente le risque de nouvelles violences. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:27 - Le Regard culturel - par : Lucile Commeaux - Mercredi 22 octobre 2025 est sorti au cinéma le premier film du bédéaste français Ugo Bienvenu, qui puise dans de multiples références très générationnelles pour livrer un récit mélancolique.
Si vous avez déjà observé les plaques d'immatriculation françaises, vous avez sans doute remarqué qu'on n'y trouve jamais les lettres O, I ou U. Pas un hasard, ni une fantaisie administrative : ces trois lettres ont été volontairement bannies par le système d'immatriculation pour une raison très précise : éviter toute confusion.Depuis 2009, les plaques suivent le format AA-123-AA. Ce code n'indique plus la région d'origine du véhicule, mais un simple numéro d'ordre national. Or, dans ce système, chaque lettre et chaque chiffre doivent être lus sans ambiguïté. C'est là que les problèmes commencent : le O ressemble trop au 0, le I au 1, et le U peut être confondu avec le V, surtout sur certaines polices de caractères ou dans de mauvaises conditions de lecture. Pour les radars automatiques, les caméras de surveillance ou les gendarmes qui notent un numéro sur le bord de la route, ces confusions pourraient provoquer de véritables casse-têtes.L'administration française, soucieuse d'uniformité, a donc décidé d'exclure définitivement ces lettres du système, tout comme certains groupes de lettres jugés ambigus ou offensants : par exemple, les combinaisons qui pourraient former des mots vulgaires, politiques ou religieux sont également proscrites. Vous ne verrez donc jamais de plaque affichant “KKK”, “GOD” ou “SEX”.Ce souci de lisibilité n'est pas propre à la France. D'autres pays, comme l'Allemagne, la Belgique ou le Royaume-Uni, ont aussi supprimé certaines lettres ou combinaisons pour les mêmes raisons. En France, le système SIV (Système d'Immatriculation des Véhicules) prévoit environ 277 millions de combinaisons possibles, ce qui laisse largement de quoi faire malgré ces exclusions.Il existe enfin une touche de pragmatisme : les lettres restantes permettent de simplifier la reconnaissance automatique, un élément clé à l'ère des radars et des péages électroniques. Dans un pays où la contravention arrive parfois avant le retour à la maison, mieux vaut que le numéro soit parfaitement lisible.En résumé : si les O, I et U ont disparu de nos plaques, ce n'est pas une lubie bureaucratique, mais une mesure de bon sens. Une petite subtilité du quotidien, héritée du souci d'efficacité… et d'un soupçon d'amour français pour la logique administrative. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:58:00 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Qu'ils habitent les grandes métropoles bien intégrées ou les villes moyennes plus marginalisées du pays, les Marocains qui ont rejoint le mouvement de la GenZ212 depuis le mois de septembre dénoncent tous un Maroc à deux vitesses et réclament plus d'égalité dans l'accès aux services publics. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Nadia Hachimi Alaoui Professeure en science politique à l'Université Internationale de Rabat; Walid Cherqaoui doctorant en sciences politiques à l'Institut d'Histoire du Temps présent (CNRS/Paris 8), vice-président de l'association Relais prison société; Lina Benchekor doctorante en sciences politiques à l'université Aix-Marseille