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durée : 00:17:40 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Avec "Musée Duras", Julien Gosselin et seize jeunes interprètes du CNSAD explorent onze textes de Marguerite Duras réunis dans un musée imaginaire. Loin d'une rétrospective figée, le spectacle propose un face-à-face vivant, à découvrir sur dix heures ou par fragments aux Ateliers Berthier Paris 17 - réalisation : Laurence Malonda - invités : Marie Sorbier Productrice du "Point Culture" sur France Culture, et rédactrice en chef de I/O; Victor Inisan docteur en études théâtrales, dramaturge et critique
L'émission Back Issues du podcast First Print est un programme de chroniques/reviews/analyse autour de comics sortis en VO ou en VF. Les chroniqueurs Arno et Corentin essaient à la fois de coller à l'actualité, de faire le tour des comics qui montrent toute la diversité de la proposition de la bande dessinée américaine. De préférence, avec des ouvrages à recommander, mais parfois pas ! L'essentiel, c'est surtout de discuter !N'hésitez pas à nous faire vos retours de lectures sur notre DISCORD!Alors, quels comics VF allez-vous lire prochainement ?Le ProgrammeLes liens vous renvoient chez notre partenaire Comics Zone (et parfois Pulp's ou Bubble). Une commande chez eux marquera votre soutien à un libraire indépendant, et nous filera aussi un petit coup de pouce !Docteur Wertham - 02:00Helen de Wyndhorn - 21:55C'est Où Le Plus Loin d'Ici ? - 41:00Soutenez First Print - Votre podcast comics (& BD) préféré sur TipeeeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:10:24 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Après la guerre méconnue des Balkans et la bataille de Caporetto dans les Alpes, aujourd'hui encore plus méconnue : ce que fut la Première Guerre mondiale en Afrique. - invités : Michaël Bourlet - Michaël Bourlet : Agrégé et docteur en histoire - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La parole circule de plus en plus librement sur les questions de santé mentale, et c'est une bonne chose. Loin de la vision stéréotypée qui prévalait jusqu'ici, cette libéralisation de la parole offre une perspective plus nuancée et réaliste. Mais elle offre aussi un boulevard aux expert•es autoproclamé•es et à une cacophonie de conseils qui perturbe la transmission d'informations fiables sur le sujet. Comme toujours, ces offres non validées scientifiquement passent à côté de la complexité du vécu de chacun•e et de la prise en compte des déterminants sociaux, économiques et environnementaux qui influencent pourtant lourdement notre santé mentale.En septembre 2025, j'ai été invitée à participer à la journée “Foule santé mentale : de l'intime au collectif“ organisée par Psycom au ministère de la Santé. L'occasion de faire un état des lieux du “marché“ de la santé mentale et de ses potentielles dérives. L'occasion aussi de présenter des solutions collectives, à contre-courant de l'injonction actuelle à “prendre soin de soi“ pour s'adapter à des conditions de vie difficiles.Comment prendre soin de sa santé mentale ? Nous abordons cette question autour d'une table-ronde avec les intervenant•es suivants :Aude CARIA : Directrice de Psycom - Santé mentale Info ;Sophie ARFEUILLÈRE : Chargée d'innovation pédagogique de Psycom ;Élisabeth FEYTIT : Documentariste et créatrice du podcast Méta de Choc ;Samir KHALFAOUI : Conseiller santé de la Miviludes ;Maeva MUSSO : Psychiatre et pédopsychiatre, Présidente de l'Association des jeunes psychiatres et jeunes addictologues (AJPJA) ;Marie-Christine STANIEC-WAVRANT : Adjointe santé et lutte contre les exclusions Mairie de Lille, Vice-Présidente du Réseau français Villes-Santé.•• SOUTENIR ••Méta de Choc est gratuit, indépendant et sans publicité. Vous pouvez vous aussi le soutenir en faisant un don ponctuel ou mensuel : https://soutenir.metadechoc.fr/.•• RESSOURCES ••Toutes les références en lien avec cette émission sont sur le site Méta de Choc : https://metadechoc.fr/podcast/sante-mentale-fausses-promesses-et-solutions/.•• SUIVRE ••Facebook, Twitter, Instagram, Threads, LinkedIn, Bluesky, Mastodon, PeerTube, YouTube.•• TIMECODES ••01:32 : Présentation des intervenant•es.04:20 : État des lieux des problématiques de santé mentale : les idées reçues sur la santé mentale, soigner et prendre soin, évolutions du marché du bien-être, différence entre croyance et connaissance, juger les pratiques, l'emprise mentale et les dérives sectaires en santé mentale, les effets des déterminants sociaux sur la souffrance psychique, impact du logement, de l'emploi et de l'urbanisme sur la santé mentale.29:06 : Les solutions pour améliorer la santé mentale : prises de parole publiques, actions fondées scientifiquement, les risques du développement personnel, quête de performance, escalade de l'engagement, perte de chance, prévention des dérives en santé mentale, méthode de l'open dialogue, pair-aidance, les actions concrètes au niveau local et territorial.53:00 : Les pistes collectives pour une meilleure santé mentale : action collective mais à l'écoute des singularités, développer la pensée critique et la métacognition, réglementer les pratiques non conventionnelles en santé, implication des usagers pour améliorer la prise en charge, politique publique, les offres au niveau des villes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les chiffres sont sans appel : à la retraite, les hommes perçoivent en moyenne des pensions 62 % plus élevées que celles des femmes. C'est le constat alarmant d'une étude récente de la Fondation des femmes, qui met en lumière un déséquilibre persistant et profond entre les sexes dans le système de retraite français. Loin de corriger les inégalités économiques vécues tout au long de la vie professionnelle, notre modèle social semble, au contraire, les amplifier.Ce fossé prend racine bien avant la fin de carrière. Il reflète d'abord les inégalités salariales, mais aussi la réalité des parcours professionnels féminins. Les femmes connaissent plus souvent des interruptions de carrière — congés parentaux, périodes de temps partiel, emplois précaires — qui réduisent mécaniquement le montant de leurs cotisations. Le système, conçu à l'origine dans l'après-guerre selon une vision familiale traditionnelle, favorise les carrières linéaires, continues, et donc plus typiquement masculines.Résultat : lorsqu'elles arrivent à l'âge de la retraite, les femmes touchent non seulement des pensions bien plus faibles, mais elles doivent souvent travailler plus longtemps pour valider leurs trimestres. En moyenne, elles partent huit mois après les hommes. Et parmi les retraités vivant avec moins de 1 000 euros par mois, 75 % sont des femmes. Autrement dit, la précarité financière chez les seniors a largement un visage féminin.Certes, certains mécanismes de compensation existent. Les pensions de réversion, versées au conjoint survivant, ou encore les droits familiaux pour les mères de plusieurs enfants, atténuent partiellement ces écarts. Mais ces mesures restent limitées : elles ne tiennent pas compte, par exemple, de la réalité des familles monoparentales, ni du fait que les carrières hachées sont de plus en plus fréquentes.À cela s'ajoute un autre déséquilibre, moins visible mais tout aussi lourd : celui du “travail invisible”. Même à la retraite, les femmes continuent d'assumer une part disproportionnée des tâches domestiques et du soin aux proches dépendants. Autrement dit, elles quittent le monde professionnel sans cesser de travailler — simplement, leur activité cesse d'être rémunérée.La Fondation des femmes plaide donc pour des réformes structurelles : valoriser davantage les périodes de congé parental dans le calcul des droits, renforcer les incitations à l'égalité salariale et repenser la place du travail non rémunéré dans les politiques publiques.En somme, oui : les hommes retraités gagnent nettement plus que les femmes. Et tant que les inégalités de carrière ne seront pas corrigées à la source, la retraite continuera d'en être le miroir grossissant. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:11:45 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Malgré l'échec de la bataille des Dardanelles, les alliées n'abandonnent pas l'idée de créer un contre-feu en Orient à l'automne 1915, dans le but de soulager la Russie et de venir en aide à la Serbie qui vient d'être envahie par les armées austro-allemandes et bulgares. - invités : Michaël Bourlet - Michaël Bourlet : Agrégé et docteur en histoire - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
L'esclavage dans le monde musulman fut une institution complexe, durable et multiforme, qui s'étendit sur plus de treize siècles, de l'époque des califes arabes jusqu'au XIXᵉ siècle, et parfois au-delà. Loin de se limiter à une période ou à une région, il constitua un pilier économique, social et culturel dans de vastes zones du monde islamique — de l'Espagne musulmane à l'Inde moghole, en passant par le Maghreb, l'Arabie et l'Afrique de l'Est.Dès les débuts de l'islam, au VIIᵉ siècle, l'esclavage fut intégré à la structure sociale des empires musulmans, bien que le Coran ait cherché à en limiter les excès. Le texte sacré n'abolit pas la pratique, mais encouragea le rachat et l'affranchissement des esclaves comme acte vertueux. En pratique, les conquêtes arabes entraînèrent la capture et la mise en servitude de populations non musulmanes : Africains, Slaves, Turcs, Persans ou Européens furent incorporés dans des circuits commerciaux très organisés.Les routes de l'esclavage musulman s'étendaient sur trois continents : à l'ouest, la route transsaharienne reliait l'Afrique noire au Maghreb ; au nord, des marchands acheminaient des captifs européens à travers la Méditerranée ; à l'est, la route de Zanzibar exportait des esclaves vers l'Arabie, l'Inde et la Perse. Ces hommes, femmes et enfants étaient employés dans des fonctions variées : domestiques, soldats, concubines, artisans, ou travailleurs agricoles dans les plantations de sucre et de dattes.L'une des spécificités du monde musulman fut la mobilité sociale relative offerte à certains esclaves. Des hommes affranchis pouvaient devenir vizirs, officiers ou savants, comme les célèbres mamelouks, anciens esclaves turcs devenus souverains d'Égypte. Mais cette ascension restait exceptionnelle : la majorité vivait dans des conditions de servitude extrême, souvent coupée de ses origines.L'esclavage dans le monde islamique ne prit réellement fin qu'au XIXᵉ siècle, sous la pression combinée de l'Europe coloniale et des réformateurs musulmans. Le sultan ottoman l'abolit officiellement en 1847, l'Arabie saoudite en 1962 seulement.Longtemps occulté, cet esclavage — qui concerna selon les historiens plus de 17 millions de personnes — rappelle que la traite humaine ne fut pas l'apanage de l'Occident. Elle fut un phénomène mondial, enraciné dans des logiques économiques et sociales profondes.La mémoire de cet esclavage, longtemps silencieuse, refait aujourd'hui surface, obligeant à repenser l'histoire globale des servitudes — au-delà des frontières, des continents et des religions. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Paul Delair et Caroline Dublanche explorent une question universelle : pourquoi avons-nous peur de nos désirs ? Loin de se limiter à la sexualité, le désir est abordé sous toutes ses formes, qu'il s'agisse d'amour, de carrière ou de passions personnelles. Ils invitent les auditeurs à s'interroger sur les freins inconscients qui nous empêchent de vivre pleinement. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
“Hugo décorateur”à la Maison Victor Hugo, Parisdu 13 novembre 2025 au 26 avril 2026Entretien avecGérard Audinet,directeur des Maisons Victor Hugo de Paris et de Guernesey, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, 12 novembre 2025, durée 19'26,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/11/13/3667_hugo-decorateur_maison-victor-hugo/Communiqué de presseCommissariat :Gérard Audinet, directeur des Maisons Victor Hugo de Paris et de Guernesey« J'étais né pour être décorateur »En présentant l'exposition Victor Hugo décorateur, la maison de Victor Hugo dévoile une facette méconnue mais néanmoins fascinante de la créativité de l'artiste : celle de décorateur. L'exposition explore l'univers décoratif de l'artiste, entre imagination graphique, obsession de l'objet et invention de l'espace comme oeuvre totale. De ses intérieurs parisiens à la fabuleuse Hauteville House, le visiteur découvre la façon dont Victor Hugo pensait le décor comme une extension de son esprit et de sa poésie, créant des ambiances foisonnantes où murs, sols et plafonds deviennent supports de création.Relevant le défi des décors disparus ou indéplaçables, cette exposition tente de rendre sensible et de documenter la méthode et l'esprit de l'écrivain décorateur. Le rêve du décor à travers le dessin, le rôle de Juliette Drouet et les échanges familiaux, les appartements d'avant l'exil et ceux du retour à Paris, le grand oeuvre de Hauteville House, la curiosité du chineur compulsif que fut Hugo sont autant de lignes de force d'un parcours se déployant sur les deux étages du musée. Les meubles et panneaux gravés et peints, des décors créés pour Juliette Drouet à Guernesey, ou le mobilier de la dernière chambre de Victor Hugo en sont aussi les points forts.Décorateur au sens plein du terme, voire designer, Victor Hugo reste poète, mettant dans ses créations autant sa science de la lumière, des matériaux ou de la couleur que sa philosophie, ses croyances, sa mémoire mais aussi sa fantaisie.Le parcours se compose de douze parties et s'ouvre sur les rêveries du poète autour du décor, illustrées par des dessins en lien avec les objets décoratifs, témoignant de la manière dont Victor Hugo faisait dialoguer les différents domaines de son imaginaire. Vient ensuite une évocation de ses intérieurs parisiens avant l'exil, où la passion de Victor Hugo pour la poésie des objets se traduisait alors par d'incroyables amoncellements.Loin d'être de simples bibelots, ces objets forment un langage symbolique et personnel, et traduisent la manière dont l'écrivain pense et compose ses espaces. Une section essentielle est consacrée au décor de l'amour, révélant le rôle central de Juliette Drouet, complice artistique et sentimentale de Victor Hugo, avec laquelle il partageait ses projets décoratifs. La dimension familiale de cette aventure décorative est également mise en lumière : Madame Hugo créait des cadres recouverts de velours, tandis que Charles Hugo chinait pour son père, contribuant ainsi à alimenter ce musée intime qu'étaient ses intérieurs. Le parcours plonge ensuite le visiteur dans le chef-d'oeuvre de Victor Hugo décorateur : Hauteville House à Guernesey. Ce lieu unique, dont le décor est conservé dans son état d'origine, est présenté à travers des photographies issues des collections, mises en regard avec les clichés contemporains de Jean-Baptiste Hugo, arrière arrière petit-fils de Victor Hugo. À Hauteville House, Hugo invente une véritable grammaire décorative, où chaque surface — murs, sols, plafonds — devient support d'expression. Il conçoit l'espace comme une page à écrire, un univers total où la création ne connaît plus de frontières. [...]Publication : Gérard Audinet, Victor Hugo, décors aux Éditions Paris Musée Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après avoir longtemps écouté le " Nightclubbing " de Grace Jones, Sandor sʹest retrouvée sous les projecteurs avec " Bar de nuit ". Loin des lieux interlopes où la musique sʹécoute en dansant, elle revient avec un album piano-voix titré " Antichambre ", une relecture sans artifices des morceaux qui en ont fait une des artistes romandes que la francophonie nous envie.
durée : 00:11:18 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Au début de l'année 1915, le front de l'Ouest s'enlise dans une guerre de tranchées qui semble bloquée et sans issue. Pour tenter de reprendre une guerre de mouvement sur de nouveaux champs de bataille, les alliés franco-britanniques décident d'intervenir en Orient. - invités : Michaël Bourlet - Michaël Bourlet : Agrégé et docteur en histoire - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Laura Warton Martinez, sophrologue, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:59:59 - Amour au loin - par : Nathalie Piolé -
durée : 00:10:54 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - C'est la Russie, alliée de la Serbie, de la France et du Royaume-Uni qui, la première, entre dans la guerre. Une guerre qui va l'opposer à trois empires : l'Allemagne, l'Autriche-Hongrie, et bientôt l'empire ottoman. - invités : Michaël Bourlet - Michaël Bourlet : Agrégé et docteur en histoire - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Pourquoi on a pas pu rivaliser face à la meilleure équipe du monde actuel? Qu'est-ce qui nous nous manque encore pour aller chercher ce titre que nous voulons tant en 2027?Pour répondre à ça, on vous a préparé un petit jeu: faites entrer l'accusé! Tour à tour, les potentielles raison de la défaite de l'équipe de France vont comparaitre sur le banc des accusés afin de déterminer ensemble s'ils sont coupables du niveau de l'équipe de FranceAu programme:00:00 - Intro03:07 - Fabien Galthié07:14 - Rassie Erasmus11:13 - La mêlée15:29 - Le carton jaune de LBB18:12 - Le calendrier des deux équipes22:08 - Les blessures24:11 - La question de la semaine: Est-ce que c'est pas le bon moment de se remettre en question, à 2 ans de la coupe du monde?
Et si accoucher à domicile n'était pas un retour en arrière… mais un retour à soi ?Dans cet épisode, je m'adresse à toi.Toi qui ne comprends pas pourquoi une femme voudrait accoucher chez elle.Toi qui as peut-être peur, des doutes, des idées toutes faites.Toi qui aimes une femme qui a ce projet et qui t'inquiète en silence.Je t'invite à faire un pas de côté.Loin des clichés, loin des peurs véhiculées, loin des raccourcis qui font mal.Je t'explique, avec des mots simples, ce qu'est réellement un accouchement accompagné à domicile.Pas un accouchement “nature” dans une ambiance bohème.Pas un rejet de la médecine.Mais un choix médicalement encadré, réservé aux grossesses sans risque, suivi de près par une sage-femme formée, compétente, équipée.Je t'explique les fausses croyances les plus tenaces – et pourquoi elles ne tiennent pas la route.Je te raconte ce que ce choix change, profondément, dans l'expérience de naissance :le lien, le respect du rythme, l'implication du second parent, le vécu émotionnel de la femme…Et surtout, je te parle d'elle.Cette femme qui t'a peut-être envoyé cet épisode.Elle ne cherche pas à te convaincre.Elle cherche à se sentir comprise.Et si tu écoutes jusqu'au bout, je suis sûre que quelque chose va bouger en toi.Cet épisode, c'est une voix pour toutes celles qui n'osent pas.Un outil à mettre entre les mains de ton entourage.Un espace pour remettre du lien, du dialogue, de la confiance autour de ce choix encore trop marginalisé.Accoucher à la maison, ce n'est pas un caprice.C'est une autre manière de vivre la puissance de la naissance.Liens vers les profils de médias sociaux- Instagram : https://www.instagram.com/sage_femme_authentique/?hl=fr- Site Web: www.sagefemmeauthentique.com-Blog: www.sagefemmeauthentique.com/blog- email: melyssa@sagefemmeauthentique.com- La Bulle Maison de Naissance :- Facebook : https://www.facebook.com/labulle.mdn- Instagram : https://www.instagram.com/labulle.mdn/?hl=frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Loin de valoriser les créateurs de richesse qui pourraient devenir le moteur de son redressement, la France préfère les matraquer.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Cette semaine, Pierre-Édouard Deldique reçoit Franz-Olivier Giesbert, un grand nom du journalisme en France, aujourd'hui écrivain. FOG publie «Voyage dans la France d'avant» (Gallimard), un chant d'amour à la France, entre colère lucide et gratitude nostalgique. Il clôt ainsi son cycle sur la Vè République avec une méditation personnelle sur l'identité française. «Confonds-je la capilotade de ma carcasse et celle du monde moderne qui se dérobe sous mes pieds», s'interroge l'auteur. «Voyage dans la France d'avant» s'inscrit dans la continuité de son «Histoire intime de la Vè République» en trois volumes dont nous avons parlé dans «Idées». Ce nouveau tome n'est pas un livre de souvenirs, ni une autobiographie, mais plutôt une fresque personnelle où l'auteur se penche sur la France comme on contemple un édifice en demande de restauration. Il y mêle colère, amour et mélancolie. Fils d'un soldat américain du Débarquement, élevé en Normandie, Franz-Olivier Giesbert revendique une identité hybride qui nourrit son attachement viscéral à la France. Il célèbre la grâce de la langue, la civilité, la gauloiserie, les paysages ordonnés, les prodiges de la gastronomie et la chanson qui a accompagné sa vie. Loin d'un passéisme béat, notre écrivain au franc-parler assume néanmoins le «c'était mieux avant». Certaines choses l'étaient, tout en reconnaissant les zones d'ombre du passé. Cela lui permet de critiquer la France contemporaine sans sombrer dans le ressentiment. Il évoque une nation fatiguée mais attachante, où les gouvernants «laissent tout filer». Son regard est celui d'un homme libre, qui «n'en fait qu'à sa tête», conseil qui lui a été donné par l'Alberto Giacometti, qui cherche à comprendre d'où nous venons pour savoir surtout où nous allons. Il relie les passions idéologiques, les haines recuites et la tentation de l'abîme à la crise actuelle de la société française. «Voyage dans la France d'avant» est l'œuvre d'un homme libre qui reprend le célèbre mot de Groucho Marx : «Dans chaque vieux, il y a un jeune qui se demande ce qui s'est passé» … Programmation musicale : - Joe Dassin Dans Les Yeux D'Emilie - Sly Johnson / Erik Truffaz Nature boy - Irène Duval Sonate pour violon et piano - Troisième mouvement (compositeur :Francis Poulenc) - Pascal Comelade L'argot du bruit.
Cette semaine, Pierre-Édouard Deldique reçoit Franz-Olivier Giesbert, un grand nom du journalisme en France, aujourd'hui écrivain. FOG publie «Voyage dans la France d'avant» (Gallimard), un chant d'amour à la France, entre colère lucide et gratitude nostalgique. Il clôt ainsi son cycle sur la Vè République avec une méditation personnelle sur l'identité française. «Confonds-je la capilotade de ma carcasse et celle du monde moderne qui se dérobe sous mes pieds», s'interroge l'auteur. «Voyage dans la France d'avant» s'inscrit dans la continuité de son «Histoire intime de la Vè République» en trois volumes dont nous avons parlé dans «Idées». Ce nouveau tome n'est pas un livre de souvenirs, ni une autobiographie, mais plutôt une fresque personnelle où l'auteur se penche sur la France comme on contemple un édifice en demande de restauration. Il y mêle colère, amour et mélancolie. Fils d'un soldat américain du Débarquement, élevé en Normandie, Franz-Olivier Giesbert revendique une identité hybride qui nourrit son attachement viscéral à la France. Il célèbre la grâce de la langue, la civilité, la gauloiserie, les paysages ordonnés, les prodiges de la gastronomie et la chanson qui a accompagné sa vie. Loin d'un passéisme béat, notre écrivain au franc-parler assume néanmoins le «c'était mieux avant». Certaines choses l'étaient, tout en reconnaissant les zones d'ombre du passé. Cela lui permet de critiquer la France contemporaine sans sombrer dans le ressentiment. Il évoque une nation fatiguée mais attachante, où les gouvernants «laissent tout filer». Son regard est celui d'un homme libre, qui «n'en fait qu'à sa tête», conseil qui lui a été donné par l'Alberto Giacometti, qui cherche à comprendre d'où nous venons pour savoir surtout où nous allons. Il relie les passions idéologiques, les haines recuites et la tentation de l'abîme à la crise actuelle de la société française. «Voyage dans la France d'avant» est l'œuvre d'un homme libre qui reprend le célèbre mot de Groucho Marx : «Dans chaque vieux, il y a un jeune qui se demande ce qui s'est passé» … Programmation musicale : - Joe Dassin Dans Les Yeux D'Emilie - Sly Johnson / Erik Truffaz Nature boy - Irène Duval Sonate pour violon et piano - Troisième mouvement (compositeur :Francis Poulenc) - Pascal Comelade L'argot du bruit.
Dans cet épisode, Mathieu Alterman met à l'honneur le groupe Wings, formé par Paul McCartney après la séparation des Beatles. Il revient sur la carrière de ce groupe souvent sous-estimé, mais qui a su créer une musique audacieuse, mêlant rock, pop orchestrale et ballades. Loin de l'ombre des Beatles, Wings a permis à Paul McCartney de réinventer sa pop tout en gardant son héritage. Cet épisode invite les auditeurs à redécouvrir cette période créative et ambitieuse de la carrière de l'artiste légendaire.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet extrait du podcast Business Partner, Jonathan Plateau reçoit Stéphane Malecki, directeur financier à temps partagé et ancien président de la DFCG Lorraine, pour un échange sans filtre sur la posture du DAF moderne.Et si, pour être un bon business partner, il fallait être un peu… punk ?Pas punk pour la provocation gratuite, mais punk dans le sens du courage, de l'authenticité et de la remise en question.Stéphane partage une anecdote vécue : face à une cliente difficile, il a osé dire tout haut ce que tout le monde pensait tout bas — au risque de se mettre en danger. Résultat ? Son patron l'a félicité.Parce qu'un bon financier, c'est aussi quelqu'un qui ose poser les bonnes questions, même quand elles dérangent.
Jacqueline Kelen, avec la flamme si ardente qui l'anime, propose d'aller à la rencontre de femmes inoubliables et remarquables, des femmes qui nous viennent de plus loin encore que les premières étoiles. Ces femmes, une trentaine de figures qui appartiennent aux mythes et aux légendes, expriment les milles facettes de l'âme féminine, l'un des deux composantes de l'âme humaine, qui anime autant les femmes que les hommes. Une nouvelle fois, Zeteo propose d'aller revisiter les mythes. Pour Jacqueline Kelen, ils viennent au secours de la vie, ils lui donnent le sens du large, ils parient toujours sur l'infini, la grandeur, et ce qui paraît impossible : « Autant dire sur la merveilleuse liberté de l'être humain », précise t-elle. En évoquant ici Antigone, Pénéloppe, Médée, Pandore, Viviane, Juliette, Dulcinée et tant d'autres, Jacqueline Kelen nous décrit des femmes passionnées, furieuses ou jalouses, possessives ou rêveuses, des victimes inadaptées ou sacrifiées. Avec ces grandes figures, elle restaure l'identité et la vocation sacrée de la femme, qui est pour elle à la fois reine et fée, éveilleuse de lumière, médiatrice céleste. Il y a un lien, dans la pauvreté de notre époque, entre la désertion du sacré et du spirituel – tout juste tolérés dans une sphère privée où ils ne peuvent qu'étouffer – et l'ignorance des mythes relégués à des fables dépassées ou, pire, à des affabulations. Les trésors que nous recherchons, nous les détenons sans le savoir. Ils sont à trouver dans l'éveil d'une vie spirituelle animée par le souffle divin, et dans le réveil des figures et des symboles archétypiques que les peuples premiers, antiques et médiévaux ont découvert. En ces temps agités, il semble plus important que jamais de réconcilier notre humanité avec sa propre mémoire. Il n'est plus temps d'ignorer tout ce qui a été révélé, dans leur dialogue permanent avec le Ciel, aux hommes et aux femmes depuis qu'ils vivent sur cette Terre. Avec une attention particulière aux messages trop longtemps oubliés qui nous viennent des femmes qui « respirent dans l'éternité ». -------------- Pour lire Les femmes inoubliables, le livre de Jacqueline Kelen, cliquer ici. -------------- Pour en savoir plus au sujet J'ai besoin d'air, c'est pour ça que je fume, la pièce de Clémence de Vimal, cliquer ici. À NE PAS MANQUER Clémence de Vimal est femme exceptionnelle et une excellente comédienne. Avec un grand courage, une authenticité et une sensibilité si émouvantes, et la légèreté de son humour mordant, elle témoigne d'une histoire personnelle très douloureuse, du combat qu'elle a mené avant de pouvoir lever le lourd secret familial qui l'accablait, et de s'en libérer. Clémence a déjà participé à l'épisode #111 de Zeteo avec le poète Éric de Rus. Elle a raconté sa propre histoire au cours des épisodes #10 et #11 de notre podcast Bethesda. Dans quelques jours, Clémence va interpréter pour la première fois J'ai besoin d'air, c'est pour ça que je fume, la pièce qu'elle a écrite. Pourquoi faut-il absolument y aller ? Parce que cette pièce n'est pas seulement un spectacle, c'est une invitation à parler, à guérir, à se rassembler. En exergue de la présentation de sa pièce, Clémence cite Christiane Singer : « Je crois qu'il existe une manière d'offrir sans impudeur ce qui touche au tréfonds de l'être, d'en faire le don sans porter atteinte à son inviolable secret. » Nous sommes tous, de près ou de loin, touchés par les abus sexuels dont les coupables, si souvent, sont nos plus proches… Pour en savoir plus, pour vivre l'expérience théâtrale bouleversante que propose Clémence de Vimal, cliquer ici. CES FEMMES ÉTERNELLES QUI NOUS TOUCHENT Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Qui ne sera pas gagné par l'élan qui anime si fort Hervé Leprêtre, et qui entraîne autour de lui tant de personnes qui vont aujourd'hui à sa rencontre aux quatre coins de France ? Si je n'ai pas connu Hervé avant l'amputation et la perte de sa jambe, je ne suis pas sûr que le jeune homme qu'il était, avant le grave accident qu'il a vécu il y a près de 20 ans, avait en lui une énergie aussi forte que celle qui rayonne aujourd'hui en lui avec tant de force, de joie et de douceur à la fois. Écouter ou rencontrer Hervé, c'est recevoir en soi une magnifique vague de cette lumière infinie dont il témoigne. Celle qui nous donne la force suffisante d'accepter tout ce qui vient. Ce qui nous terrorise souvent dans la vie, c'est la peur de ce qui risque d'advenir. C'est souvent plus la menace, plus que la réalité de ce que nous vivons vraiment, ici et maintenant. C'est ce qu'Hervé appelle la folie des hommes. Ce qui est formidablement révélateur et réconfortant, dans le témoignage d'Hervé comme de tant d'autres porteurs de lumière, c'est d'apprendre que nous n'avons pas à nous préoccuper de ce qui vient. Comme les oiseaux qui ne sèment ni ne moissonnent, qui n'amassent rien dans des greniers. C'est le Père céleste qui les nourrit. L'adversité, comme le dit encore Hervé, c'est l'aventure. Elle peut nous transporter plus loin et plus haut que nous. La force de surmonter toutes les adversités, le mal, la mort, la solitude et les souffrances, nous ne l'avons pas. Elle nous est donnée. Notre foi, c'est la confiance que cette force ne nous manquera pas au moment de l'épreuve, et qu'elle nous accompagnera, qu'elle nous portera jusqu'à l'autre rive. Notre foi, c'est grâce à elle que nous pouvons accueillir tout ce qui vient et qui nous dépasse si souvent. L'amour nous dépasse toujours. Il nous transforme et nous transporte, en nous surprenant si souvent. Qu'il est bon de sentir dépassé, et de reconnaître que c'est la bienveillance d'autrui qui est à l'oeuvre à travers nous ! C'est cette foi, cette merveilleuse confiance que nous sommes si heureux de partager avec vous. L'une de nos récentes invités disait que tous ensemble, nous sommes les chevaliers de la lumière. Hervé le confirme. Des liens invisibles et divins nous relient tous les uns aux autres. Ceux de la lumière et de l'amour. Fraternellement, Guillaume Devoud Pour soutenir l'effort de Zeteo, podcast sans publicité et d'accès entièrement gratuit, vous pouvez faire un don. Il suffit pour cela de cliquer sur l'un des deux boutons ci-dessous, pour le paiement de dons en ligne au profit de l'association Telio qui gère Zeteo. Cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. 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Just before the mics went up, the boys watched a clip from the new show “All's Fair,” and it was hall of fame bad. Also: programming notes | Brian wants to outlive Abraham Lincoln | the studio at Camp TGO was a hot box | always jerk off first | Beavis and Butt-Head | end of year updates (Prince Andrew b/w Sir Loin of Beef, D4vd, dangerous monkeys, Mississippi and the 13th Amendment) | a judge resigned after pissing and puking in the street | sometimes, Brian really appreciates the idea of a totalitarian police state | body parts on ice were accidentally mailed to a woman's house | some random pig woman thinks ICE has warheads | SIDS Caesar | Kim Kardashian thinks we faked the moon landing | and finally, Romo says what?
La parole circule de plus en plus librement sur les questions de santé mentale, et c'est une bonne chose. Loin de la vision stéréotypée qui prévalait jusqu'ici, cette libéralisation de la parole offre une perspective plus nuancée et réaliste. Mais elle offre aussi un boulevard aux expert•es autoproclamé•es et à une cacophonie de conseils qui perturbe la transmission d'informations fiables sur le sujet. Comme toujours, ces offres non validées scientifiquement passent à côté de la complexité du vécu de chacun•e et de la prise en compte des déterminants sociaux, économiques et environnementaux qui influencent pourtant lourdement notre santé mentale.En septembre 2025, j'ai été invitée à participer à la journée “Foule santé mentale : de l'intime au collectif“ organisée par Psycom au ministère de la Santé. L'occasion de faire un état des lieux du “marché“ de la santé mentale et de ses potentielles dérives. L'occasion aussi de présenter des solutions collectives, à contre-courant de l'injonction actuelle à “prendre soin de soi“ pour s'adapter à des conditions de vie difficiles.Comment prendre soin de sa santé mentale ? Nous abordons cette question autour d'une table-ronde avec les intervenant•es suivants :Aude CARIA : Directrice de Psycom - Santé mentale Info ;Sophie ARFEUILLÈRE : Chargée d'innovation pédagogique de Psycom ;Élisabeth FEYTIT : Documentariste et créatrice du podcast Méta de Choc ;Samir KHALFAOUI : Conseiller santé de la Miviludes ;Maeva MUSSO : Psychiatre et pédopsychiatre, Présidente de l'Association des jeunes psychiatres et jeunes addictologues (AJPJA) ;Marie-Christine STANIEC-WAVRANT : Adjointe santé et lutte contre les exclusions Mairie de Lille, Vice-Présidente du Réseau français Villes-Santé.Notre conversation intégrale sera diffusée vendredi prochain à 18h !•• SOUTENIR ••Méta de Choc est gratuit, indépendant et sans publicité. Vous pouvez vous aussi le soutenir en faisant un don ponctuel ou mensuel : https://soutenir.metadechoc.fr/.•• RESSOURCES ••Toutes les références en lien avec cette émission sont sur le site Méta de Choc : https://metadechoc.fr/podcast/sante-mentale-fausses-promesses-et-solutions/.•• SUIVRE ••Facebook, Twitter, Instagram, Threads, LinkedIn, Bluesky, Mastodon, PeerTube, YouTube. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:38:11 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - “Nul.les en sport” est le nouveau documentaire du journal Mediapart sorti le 18 octobre. Loin des fanatiques de la gym, ce sont ceux à qui l'on impose depuis toujours de “se bouger” qui se font entendre aujourd'hui. Peut-être que c'est vous ? On vous laisse la parole dans le téléphone sonne Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:40:01 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Le "roman national" s'est-il écrit tel qu'il est raconté de nos jours ? Loin des débats d'opinion houleux sur la question du territoire ou de l'identité de la France, il est possible de raconter cette histoire à travers les faits établi par les connaissances archéologiques et historiques. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Et si le vrai risque, c'était de rester? Cette semaine, on reçoit Alix Petit — créatrice de la marque de vêtements Heimstone et cofondatrice de l'agence The Refreshment Club — qui a quitté Paris pour réinventer sa vie à Dubaï. Dans cet épisode, Alix Petit raconte le moment où elle a “tiré la prise” pour de bon : quitter Paris, trier sa vie en cartons, dire oui au mouvement… et tout réapprendre aux Emirats.On parle du déclic qui renverse une trajectoire, de l'énergie d'un hub où tout va vite (visas, bureaux, projets), des écoles tournées vers le monde, de ce qu'on gagne en douceur de vivre — et de ce qu'on laisse derrière soi. Loin des clichés, Alix décrit une vie quotidienne géniale: baignade au lever du jour, travail l'esprit clair, enfants curieux, rencontres qui ouvrent l'horizon. On aborde aussi les sujets qui fâchent (administratif, coûts, regards des autres) pour mieux comprendre ce choix : préférer l'élan à l'inertie, la liberté à l'habitude.Si vous avez déjà murmuré “on verra à la prochaine rentrée”… cet épisode pourrait bien vous donner l'envie d'appuyer, vous aussi, sur ON.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cours vidéo de 23 minutes donné par Rav Eliahou UZAN.
Le prestigieux prix Goncourt a été attribué à l'auteur, Laurent Mauvignier pour son roman «La maison vide», publié aux éditions de Minuit. Que sait-on de sa famille ? De génération en génération, Laurent Mauvignier détricote le fil de son histoire familiale depuis son trisaïeul, Firmin Proust. Mais où est donc passée la médaille de Jules, l'arrière-grand-père ? C'est ainsi que commence le nouveau roman de Laurent Mauvignier, une saga familiale sur plusieurs générations. Il y a des histoires inventées qui contiennent plus de vérité que des histoires vécues qui sont complètement «toc» en fait. Parfois, le roman, en inventant, peut toucher plus de vérités. Pour la première fois, l'auteur «se met en scène». Il écrit, il cherche et compose à la recherche de son passé. Il part de l'histoire de son arrière-arrière-grand-père puis déploie l'histoire de son arrière-grand-mère pour comprendre les raisons du décès de sa grand-mère officiellement «morte des suites d'alcoolisme» puis comprendre le suicide de son père lorsque l'auteur avait seize ans. Laurent Mauvignier a toujours considéré l'écriture comme une «évidence» pour lui. Quand vous écrivez, toute votre vie est consumée par l'écriture. Il y a des moments, il faut se battre pour se sentir vivant parmi les autres. Son écriture se caractérise par la longueur de ses phrases, des phrases un peu «proustiennes». Quand je suis sur une phrase, chaque point est une torture. Il n'y a pas de point qui ne soit pas final, j'ai l'impression de tuer mes propres phrases. Je suis admiratif des gens qui savent faire des phrases très courtes. Invité : Laurent Mauvignier est un auteur français né à Tours en 1967. Il est issu d'une famille ouvrière de cinq enfants. Il intègre l'École des Beaux-Arts à 17 ans, dont il sort diplômé en 1991 en Arts plastiques. En 1999, il publie son premier roman, Loin d'eux, aux Éditions de Minuit, «une suite ininterrompue de monologues intérieurs». Il publiera par la suite des romans tels que Dans la foule (inspiré du drame de Heysel) Des hommes, qui raconte le traumatisme de la guerre d'Algérie et Histoires de la nuit, un thriller social qui sera adapté pour le cinéma prochainement. Il vient de publier son nouveau roman La Maison vide, mais aussi Quelque chose d'absent qui me tourmente – Entretiens avec Pascaline David (« Double », 2025) aux éditions de Minuit. Programmation musicale : l'artiste Coline Rio avec le titre Grand-mère.
Le Mexique ne fait souvent la une des médias que lorsque l'on évoque la violence des cartels de la drogue. Pourtant, à bien des égards, il mérite notre intérêt. Pays énigmatique et surprenant à plus d'un titre, avec à sa tête une présidente à la popularité remarquable, il sait - jusqu'à présent- se faire respecter par son encombrant voisin du Nord, avec lequel il est depuis bien longtemps très lié au point d'apparaître plus nord-américain que latino-américain. L'emprise des cartels sur le territoire et la société empêcheront-elles l'émergence du Mexique comme pays clé du Sud global ?
Le prestigieux prix Goncourt a été attribué à l'auteur, Laurent Mauvignier pour son roman «La maison vide», publié aux éditions de Minuit. Que sait-on de sa famille ? De génération en génération, Laurent Mauvignier détricote le fil de son histoire familiale depuis son trisaïeul, Firmin Proust. Mais où est donc passée la médaille de Jules, l'arrière-grand-père ? C'est ainsi que commence le nouveau roman de Laurent Mauvignier, une saga familiale sur plusieurs générations. Il y a des histoires inventées qui contiennent plus de vérité que des histoires vécues qui sont complètement «toc» en fait. Parfois, le roman, en inventant, peut toucher plus de vérités. Pour la première fois, l'auteur «se met en scène». Il écrit, il cherche et compose à la recherche de son passé. Il part de l'histoire de son arrière-arrière-grand-père puis déploie l'histoire de son arrière-grand-mère pour comprendre les raisons du décès de sa grand-mère officiellement «morte des suites d'alcoolisme» puis comprendre le suicide de son père lorsque l'auteur avait seize ans. Laurent Mauvignier a toujours considéré l'écriture comme une «évidence» pour lui. Quand vous écrivez, toute votre vie est consumée par l'écriture. Il y a des moments, il faut se battre pour se sentir vivant parmi les autres. Son écriture se caractérise par la longueur de ses phrases, des phrases un peu «proustiennes». Quand je suis sur une phrase, chaque point est une torture. Il n'y a pas de point qui ne soit pas final, j'ai l'impression de tuer mes propres phrases. Je suis admiratif des gens qui savent faire des phrases très courtes. Invité : Laurent Mauvignier est un auteur français né à Tours en 1967. Il est issu d'une famille ouvrière de cinq enfants. Il intègre l'École des Beaux-Arts à 17 ans, dont il sort diplômé en 1991 en Arts plastiques. En 1999, il publie son premier roman, Loin d'eux, aux Éditions de Minuit, «une suite ininterrompue de monologues intérieurs». Il publiera par la suite des romans tels que Dans la foule (inspiré du drame de Heysel) Des hommes, qui raconte le traumatisme de la guerre d'Algérie et Histoires de la nuit, un thriller social qui sera adapté pour le cinéma prochainement. Il vient de publier son nouveau roman La Maison vide, mais aussi Quelque chose d'absent qui me tourmente – Entretiens avec Pascaline David (« Double », 2025) aux éditions de Minuit. Programmation musicale : l'artiste Coline Rio avec le titre Grand-mère.
Ce lundi 3 novembre, Antoine Larigaudrie présente le tableau de bord dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Et si le vrai risque, c'était de rester ? Cette semaine, on reçoit Alix Petit — créatrice de la marque de vêtements Heimstone et cofondatrice de l'agence The Refreshment Club — qui a quitté Paris pour réinventer sa vie à Dubaï. Dans cet épisode, Alix Petit raconte le moment où elle a “tiré la prise” pour de bon : quitter Paris, trier sa vie en cartons, dire oui au mouvement… et tout réapprendre aux Émirats.On parle du déclic qui renverse une trajectoire, de l'énergie d'un hub où tout va vite (visas, bureaux, projets), des écoles tournées vers le monde, de ce qu'on gagne en douceur de vivre — et de ce qu'on laisse derrière soi. Loin des clichés, Alix décrit une ville quotidienne : mer au lever du jour, travail l'esprit clair, enfants curieux, rencontres qui ouvrent l'horizon. On aborde aussi les sujets qui fâchent (administratif, coûts, regards des autres) pour mieux comprendre ce choix : préférer l'élan à l'inertie, la liberté à l'habitude.Si vous avez déjà murmuré “on verra à la prochaine rentrée”… cet épisode pourrait bien vous donner l'envie d'appuyer, vous aussi, sur ON.Pour retrouver l'épisode en intégralité taper "Alix Petit : Tout quitter en 4 mois, se réinventer pour être heureux et la face cachée de Dubai"Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Découvrez notre coup de coeur SF 2025 ! Lisez Demain, Les Origines de Christian Chavassieux disponible aux éditions Mnémos. Plus qu'un roman ! Quand l'éditeur Davy Athuil nous tease ce roman en mai dernier, on avait été interloqué. Un auteur qui propose une histoire du futur à la Française qui démarre avec un gros pavé de 600 pages ne pouvait que nous réjouir. L'univers et surtout la plume de Christian Chavassieux avait déjà été remarqué avec Les Nefs de Pangée. Quand on commence Demain, les Origines on est séduit par les ambitions littéraires et la qualité de l'écriture. Divisé en plusieurs parties, cette tragédie en plusieurs actes effraye aussi par sa vision pessimiste et radicale de l'avenir. Demain, les Origines est à nos yeux le meilleur roman imaginaire français 2025 que nous prendrons plaisir à défendre. Résumé : Dans une Europe au bord de l'abîme, les populations, soumises aux diktats de petites milices armées, vivent dans la peur de gouvernements autoritaires.Loin de la ville, la communauté où vit Grace pensait échapper à ces violences quotidiennes. Mais il suffira d'un vieux philosophe et d'une faute impardonnable pourque toutes et tous subissent d'inimaginables épreuves.Et alors que le grand incendie s'abat sur le continent, Grace, Malik, Robur, Syrrha et tant d'autres au milieu des ténèbres et des déshérités d'une société en délitement vont devenir les points de départ d'une histoire, d'une légende, d'un mythe qui les dépassera…Demain, les origines est une fresque audacieuse et vertigineuse, interrogeant les frontières de l'humanité, l'éthique de la science, la force de la foi et la puissance des récits fondateurs des civilisations. Christian Chavassieux signe avec ce roman son grand œuvre d'anticipation.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 1er novembre 2025 : Guerre commerciale : Trump a-t-il gagné ?Fin du bras de fer ? Six ans après leur dernière entrevue, le président américain Donald Trump et son homologue chinois Xi Jinping se sont rencontrés jeudi, en Corée du Sud. Un sommet censé apaiser la brutale guerre commerciale qui les oppose, et qui ébranle toute l'économie mondiale. A l'issue des discussions, Donald Trump a qualifié la rencontre de "grand succès" et s'est, comme à son habitude, présenté en vainqueur de cette épreuve de force face au géant chinois. Mais la situation est loin d'être aussi évidente alors qu'aucun document n'a été signé.Pékin pourrait accepter de retarder l'application de ses restrictions à l'exportation de terres rares, ces minerais indispensables aux industries automobile, des smartphones, ou encore de l'armement, sur lesquels la Chine exerce un quasi-monopole. Le géant asiatique envisageait également de reprendre ses achats de soja aux États-Unis, un sujet sensible politiquement à l'heure où les agriculteurs américains souffrent. Mais en contrepartie le président américain a annoncé la baisse immédiate des droits de douane appliqués aux produits chinois. Ces derniers passent de 20% à 10%. La situation revient donc à peu près à celle qui précédait le début de la guerre commerciale lancée par Washington. Pékin a souffert mais n'a pas plié face à Donald Trump, dont la promesse de s'imposer commercialement par la force reste pour l'heure lettre morte.Mais aux Etats-Unis les promesses du candidat républicain ont-elles été suivies d'effets ? Le retour de Donald Trump aux affaires devait être synonyme du renouveau de la prospérité américaine. S'il y a bien eu un rebond spectaculaire de la croissance au deuxième trimestre, la Fed, la banque centrale américaine, dépeint une réalité bien plus morose. Loin des effets d'annonce, l'économie ralentit et les hausses de prix se poursuivent et s'accentuent. Les augmentations salariales peinent à suivre le rythme de l'inflation, qui entame le pouvoir d'achat des Américains. C'est pourtant sur ce sujet, notamment, que le candidat Trump avait su séduire les électeurs.Sur les questions environnementales, le locataire de la Maison-Blanche peut en revanche bel et bien se targuer d'avoir remporté une bataille. À quelques jours de l'ouverture de la 30e conférence des Nations unies sur le climat, le milliardaire philanthrope Bill Gates, également cofondateur de Microsoft, a affirmé que le réchauffement de la planète n'allait « pas conduire à la disparition de l'humanité », et dénoncé la « vision catastrophiste » des experts sur le sujet. Il n'en fallait pas plus au président américain pour crier victoire, lui qui prétend depuis longtemps, contre toute évidence scientifique, que le réchauffement climatique est un « canular ».Qui de Donald Trump ou de Xi Jinping a vraiment gagné son bras de fer ?Les Américains vivent-ils mieux depuis le retour de Donald Trump aux affaires ?Donald Trump a-t-il définitivement remporté son combat contre la lutte environnementale ?LES EXPERTS :- PIERRE HASKI - Chroniqueur international - France Inter et « Le Nouvel Obs »- SYLVIE MATELLY - Économiste - Directrice de l'Institut Jacques Delors- AMY GREENE - Politologue - Experte associée à l'Institut Montaigne- NICOLAS BARRÉ - Directeur de la rédaction - « Politico »- NICOLAS CHAPUIS - Correspondant du Monde à New York
Cette semaine, Au Coeur de l'Histoire se met à l'heure d'Halloween ! Pour cette semaine spéciale frissons, préparez-vous à avoir la chair de poule...Virginie Girod vous raconte les origines d'un monstre incontournable de la pop culture dans un récit inédit d'Au cœur de l'Histoire !Loin de l'image du revenant assoiffé de sang forgée et véhiculée par le cinéma hollywoodien, la figure du zombi puise ses origines dans la culture vaudou haïtienne. A partir du XVe siècle, alors que le commerce triangulaire se met en place, des millions d'Africains sont capturés et réduits en esclavage sur les territoires nouvellement conquis en Amérique et dans les Caraïbes. Le mélange des cultures locales et importées aboutit, sur l'île qui deviendra Haïti, à la construction d'un syncrétisme religieux : le vaudou, comprenant ses propres rites, croyances et divinités, à l'image d'Erzuli ou du Baron Samedi. Parmi les pratiquants, il existe des sorciers, les bokors, capables de ramener des êtres d'entre les morts en effectuant des rites de zombification... Mais qui sont ces zombis ? Ont-ils jamais perdu la vie ? (rediffusion)Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1.- Présentation et écriture : Virginie Girod- Production : Armelle Thiberge et Morgane Vianey- Réalisation : Nicolas Gaspard- Composition du générique : Julien Tharaud- Visuel : Sidonie Mangin Bibliographie :- Philippe Charlier, Zombis, enquête sur les morts-vivants, Tallandier, coll. "Texto", 2023- Philippe Charlier (dir.), Zombis. La mort n'est pas une fin ?, Gallimard/musée du Quai Branly-Jacques Chirac, 2024- Zora Neale Hurston, Tell My Horse: Voodoo and Life in Haiti and Jamaica, Amistad, 2008Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Auditeur : - Célibataire et loin de sa famille, Bruno n'arrive pas à nouer de liens Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:45 - 100% PSG - Le billet - Quelques semaines d'absence pour Désiré Doué, il est peu probable de revoir le français avant le début d'année 2026. Si sa récupération doit être l'objectif principal, l'attaquant va manquer car il a des caractéristiques bien identifiées : polyvalence, créativité et dans les frappes de loin. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le Vendredi, c'est Charles Consigny et Cécile Duflot qui débattront autour d'un sujet d'actualités.
La GROSSE JOURNÉE d'hier aura accouché d'une souris. La hausse en série des indices américains a été interrompue et l'intervention de Powell était plus ou moins alignée avec ce qu'on attendait. Il a baissé les taux, comme prévu, mais il a laissé entendre que la baisse des taux de décembre n'était pas acquise. Loin de … Continued
S'il y a un secteur qui résiste farouchement à l'innovation, c'est bien celui de l'art contemporain.Pourtant ce marché est en pleine expansion, des milliers d'artistes émergent chaque année et les oeuvres se vendent de plus en plus chères. Mais derrière les projecteurs et ces ventes records, vous allez découvrir un monde opaque où quelques milliardaires ont mis la main sur la poule aux œufs d'or. Dans ce théâtre bien huilé, un français a décidé de hacker le système.Son nom : Arnaud Dubois.Il est le cofondateur de MATIS, une société d'investissement qui révolutionne le marché de l'art avec une promesse simple : plus de transparence, plus d'accessibilité… et surtout, plus de rentabilité.Loin de la Tech, je vous embarque aujourd'hui dans les coulisses de l'art contemporain. Peu importe que vous aimiez ou pas, que vous trouviez ça moche ou inutile vous allez découvrir que comme pour les startups il s'agit avant tout d'argent. ===========================
La NBA a été secouée dès le début de la saison par l'affaire Rozier-Billups. Arrêtés par le FBI, le joueur du Heat de Miami et l'entraîneur de Portland ont remis la lumière sur les dangers des paris sportifs aux États-Unis. L'occasion pour Step Back de revenir sur les accusations mais aussi de comprendre l'importance des plateformes de paris pour la grande ligue américaine. Un podcast présenté par Baptiste Binet, avec Loic Pialat et Sami Sadik. Réalisation : Marie-Amélie MotteHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:59:01 - LSD, la série documentaire - par : Salomé Berlioux - Loin des villes, monte un profond ressentiment capable de reconfigurer les clivages électoraux. Mais partout les ruraux se mobilisent pour lutter contre les fractures territoriales et lutter contre la prophétie de deux Frances irréconciliables. - réalisation : Véronique Samouiloff
durée : 00:59:00 - Toute une vie - par : Valérie Marin La Meslée - Toute sa vie, Béatrix Beck plaça la marge au centre, faisant fi des âges et des sexes, provoqua le choc des cultures et des classes sociales, mêla le réel et le merveilleux, brisa les frontières entre les vivants et les morts, raison et folie, profane et sacré. Et n'eut qu'un Dieu : l'écriture. - réalisation : Isabelle Yhuel - invités : Anne Simon Chercheuse en littérature française, directrice de recherche au CNRS; Raphaël Sorin Éditeur
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Fatima Aït Bounoua, professeur de français, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
«Il est le plus profond penseur de la démocratie», écrit l'invité du magazine IDÉES cette semaine, Françoise Mélonio, -spécialiste reconnue de Tocqueville, éditrice de ses textes dans la collection «Pléiade» - dans sa biographie magistrale de l'auteur de «La Démocratie en Amérique». Loin des clichés ressassés et des aphorismes figés, elle redonne vie à un homme complexe, inquiet, parfois maladroit, mais toujours lucide face aux bouleversements de son temps, un homme de son siècle, le XIXè dont la pensée résonne plus que jamais aujourd'hui. Elle en parle avec passion au micro de Pierre-Édouard Deldique. Tocqueville est présenté comme un aristocrate enraciné, «une relique de l'ancien monde» tiraillé entre son héritage familial et son engagement dans la modernité démocratique. Françoise Mélonio explore les tensions entre son statut social et ses convictions politiques, révélant un penseur en perpétuel dialogue avec les paradoxes de son époque. Elle analyse aussi son parcours politique, conseiller général, député, éphémère ministre des Affaires étrangères. Le livre retrace ses voyages aux États-Unis, qui nourrissent son œuvre phare «De la démocratie en Amérique» (1835), et son analyse du passage de l'Ancien Régime à la Révolution française. Tocqueville apparaît comme un visionnaire, inquiet de l'individualisme croissant et du «despotisme doux», mais confiant dans les promesses de la liberté. Son analyse des mécanismes de la société américaine n'a rien perdu de sa pertinence. Françoise Mélonio met en lumière la force littéraire de Tocqueville, souvent éclipsée par son rôle d'analyste politique et souligne l'unité entre l'homme privé et l'acteur public, entre le penseur et l'écrivain. Ce livre s'impose déjà comme une référence incontournable pour comprendre Tocqueville au-delà de son image d'icône intellectuelle. Il parle autant aux historiens qu'aux citoyens soucieux de penser la démocratie contemporaine. Toute personne soucieuse de comprendre la crise démocratique du moment doit le lire. «J'ai pensé cent fois que si je dois laisser quelque chose de moi dans ce monde, ce sera bien plus par ce que j'aurais écrit que par ce que j'aurai fait», écrivait-il. Programmation musicale - Robert Shaw chorale - Dere's No Hidin' Place Down Dere - Nassima - Solo instrumental au violon alto.
Pour écouter mon podcast Sciences:Apple Podcasts:https://itunes.apple.com/fr/podcast/choses-a-savoir-tech/id1057845085?mt=2Spotify:https://open.spotify.com/show/7MrYjx3GXUafhHGhgiocej--------------------L'expression « Ave Caesar, morituri te salutant » — « Salut à toi, César, ceux qui vont mourir te saluent » — évoque aujourd'hui l'image de gladiateurs saluant l'empereur avant un combat à mort. Pourtant, cette représentation populaire est historiquement fausse. Les gladiateurs n'ont, semble-t-il, jamais prononcé cette phrase avant leurs affrontements. Son origine est bien plus ponctuelle, presque anecdotique, et remonte à un unique épisode de l'histoire romaine.Nous sommes en 52 après J.-C., sous le règne de l'empereur Claude. À cette époque, Rome célèbre l'inauguration d'un immense bassin artificiel destiné à accueillir une naumachie, un spectacle grandiose de bataille navale reconstituée. Pour divertir la foule, Claude fait affronter sur l'eau plusieurs milliers d'hommes, souvent des condamnés, des prisonniers de guerre ou des esclaves, contraints de s'entre-tuer dans une reconstitution sanglante.Selon l'historien Suétone, ces combattants, avant de s'élancer, se rangèrent devant l'empereur et lui lancèrent cette phrase : « Ave, imperator, morituri te salutant ». Ce n'était pas un cri d'honneur, mais plutôt une supplication ironique et désespérée. En saluant l'empereur, ils imploraient sa clémence, espérant qu'il les épargnerait. Loin d'être une tradition, cette salutation fut un acte isolé, une tentative d'émouvoir Claude.Et, fait rare dans les chroniques romaines, il semble que l'empereur ait été touché. Pris de compassion, il aurait ordonné d'arrêter le combat et d'épargner les hommes. Mais, selon certaines sources, le spectacle reprit ensuite, peut-être sous la pression de la foule impatiente. Quoi qu'il en soit, cette unique scène, immortalisée par les auteurs antiques, devint le symbole de la soumission absolue au pouvoir impérial.Au fil des siècles, l'expression fut détournée et romantisée. Les artistes et écrivains du XIXᵉ siècle, fascinés par la grandeur tragique de Rome, imaginèrent les gladiateurs la prononçant avant d'entrer dans l'arène. Le cinéma et la littérature en firent une réplique héroïque, transformant une supplique d'hommes condamnés en cri de loyauté virile.En réalité, cette phrase n'était donc ni un rituel, ni un mot d'honneur, mais le témoignage ponctuel d'un désespoir collectif. Derrière la grandeur du latin, il faut y entendre non pas la gloire du combat, mais le tremblement de ceux qui savent qu'ils vont mourir — et qui, jusqu'au bout, tentent encore de vivre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.