Cette collection propose des figures de femmes féministes et militantes, écrivains et anarchistes…
Bibliothèque nationale de France
C'est grâce à sa relation amoureuse avec Voltaire que Madame Du Châtelet est restée dans les esprits. Mais elle mérite bien plus qu'une place de simple maîtresse de grand homme. Animée par une exigence impérieuse de comprendre le monde et d'être utile à ses contemporains, elle fut une élève précoce, d'une intelligence vive, douée pour la philosophie comme pour les sciences. Elle travailla beaucoup et s'initia à l'univers scientifique en prenant des leçons avec les esprits les plus éclairés. Émilie lira tout ce qui compte d'important en physique et sera une grande adepte de Newton. Il est vrai qu'elle n'inventa pas de théorème et que son intention était de rendre accessible au plus grand nombre les travaux scientifiques qu'elle considérait comme majeurs. Elle participera aux grands débats en essayant de se placer au-dessus des querelles, même si les revirements philosophiques que connut sa pensée eurent parfois le don d'agacer Voltaire. Femme passionnée par l'amour, la vie et l'étude, mais longtemps décriée par ses contemporains, elle chercha dans tous ses ouvrages à incorporer les travaux de ses aînés afin d'aider un large public à saisir les subtilités et les difficultés des textes scientifiques. Une vraie femme témoin de son temps, active et curieuse, une vraie femme des Lumières, la seule peut-être qui incarne, en France, le coeur, l'oeil et l'esprit de son siècle.
Il ne se trouve personne pour confondre Corneille et Labiche, Malherbe et Baudelaire au nom de leur appartenance au sexe masculin. Il en va de même des femmes en littérature, dont on ne saurait confondre les œuvres, les carrières et les histoires. Les articles rassemblés à l'occasion de ce dossier dessinent un parcours qui va des premières manifestations de voix et d'écrits de femmes au Moyen Âge et conduit à la participation des femmes à une production de livres devenue « industrielle » à partir de la Restauration. Ils illustrent chacun à leur manière, tantôt par des propos généraux, tantôt par l'étude de quelque figure significative, la forte conscience qu'ont les femmes du monde de l'écrit puis de l'imprimé, de son efficacité, de ses pouvoirs, des moyens de diffusion de la pensée mais aussi des revenus qu'il peut offrir.
Femmes et sciences du 3 février 2011. L'accession des femmes aux études de médecine en France (1870-1900), Simone Gilgenkrantz. Le sujet « Femmes et Sciences » est sorti de l'ombre en France au milieu des années 1990, lorsque le problème de la place des femmes en politique a été soulevé. Depuis, la crise des vocations scientifiques s'est fait jour : puisque trop peu de jeunes s'orientent vers les sciences et les techniques par rapport aux besoins de notre société, il semble naturel de faire appel à un vivier jusqu'ici plutôt ignoré, celui des filles. La question de la place des femmes dans les sciences, que ce soient les sciences « dures » ou les sciences humaines, n'est pas nouvelle ni spécifiquement française et elle peut être abordée de nombreux points de vue. C'est le choix de cette série de conférences organisées par la BnF et l'association Femmes & Sciences.
Femmes et sciences du 6 janvier 2011. De Sofia Kovalevskaya à Dorothy Hodgkin : Les femmes scientifiques en Europe, Annette Vogt Le sujet « Femmes et Sciences » est sorti de l'ombre en France au milieu des années 1990, lorsque le problème de la place des femmes en politique a été soulevé. Depuis, la crise des vocations scientifiques s'est fait jour : puisque trop peu de jeunes s'orientent vers les sciences et les techniques par rapport aux besoins de notre société, il semble naturel de faire appel à un vivier jusqu'ici plutôt ignoré, celui des filles. La question de la place des femmes dans les sciences, que ce soient les sciences « dures » ou les sciences humaines, n'est pas nouvelle ni spécifiquement française et elle peut être abordée de nombreux points de vue. C'est le choix de cette série conférences organisées par la BnF et l'association Femmes & Sciences.
Cycle Femmes et sciences. Conférence du 5 mai 2011 par Claudie Haigneré et Jacqueline Laufer. Le sujet « Femmes et Sciences » est sorti de l'ombre en France au milieu des années 1990, lorsque le problème de la place des femmes en politique a été soulevé. Depuis, la crise des vocations scientifiques s'est fait jour : puisque trop peu de jeunes s'orientent vers les sciences et les techniques par rapport aux besoins de notre société, il semble naturel de faire appel à un vivier jusqu'ici plutôt ignoré, celui des filles. La question de la place des femmes dans les sciences, que ce soient les sciences « dures » ou les sciences humaines, n'est pas nouvelle ni spécifiquement française et elle peut être abordée de nombreux points de vue. On cherchera à comprendre quelles circonstances permettent à des femmes de franchir le fameux « plafond de verre », qui leur empêche l'accès aux postes les plus élevés, en sciences et dans d'autres domaines. Conférences organisées par la BnF et l'association Femmes & Sciences.
Cycle Femmes et sciences. Conférence du 3 mars 2011. Le sujet « Femmes et Sciences » est sorti de l'ombre en France au milieu des années 1990, lorsque le problème de la place des femmes en politique a été soulevé. Depuis, la crise des vocations scientifiques s'est fait jour : puisque trop peu de jeunes s'orientent vers les sciences et les techniques par rapport aux besoins de notre société, il semble naturel de faire appel à un vivier jusqu'ici plutôt ignoré, celui des filles. La question de la place des femmes dans les sciences, que ce soient les sciences « dures » ou les sciences humaines, n'est pas nouvelle ni spécifiquement française et elle peut être abordée de nombreux points de vue.
Cycle Femmes et sciences. Conférence du 3 mars 2011. Le sujet « Femmes et Sciences » est sorti de l'ombre en France au milieu des années 1990, lorsque le problème de la place des femmes en politique a été soulevé. Depuis, la crise des vocations scientifiques s'est fait jour : puisque trop peu de jeunes s'orientent vers les sciences et les techniques par rapport aux besoins de notre société, il semble naturel de faire appel à un vivier jusqu'ici plutôt ignoré, celui des filles. La question de la place des femmes dans les sciences, que ce soient les sciences « dures » ou les sciences humaines, n'est pas nouvelle ni spécifiquement française et elle peut être abordée de nombreux points de vue.
Cycle Femmes et sciences. Conférence du 5 mai 2011 par Claudie Haigneré et Jacqueline Laufer. Le sujet « Femmes et Sciences » est sorti de l'ombre en France au milieu des années 1990, lorsque le problème de la place des femmes en politique a été soulevé. Depuis, la crise des vocations scientifiques s'est fait jour : puisque trop peu de jeunes s'orientent vers les sciences et les techniques par rapport aux besoins de notre société, il semble naturel de faire appel à un vivier jusqu'ici plutôt ignoré, celui des filles. La question de la place des femmes dans les sciences, que ce soient les sciences « dures » ou les sciences humaines, n'est pas nouvelle ni spécifiquement française et elle peut être abordée de nombreux points de vue. On cherchera à comprendre quelles circonstances permettent à des femmes de franchir le fameux « plafond de verre », qui leur empêche l'accès aux postes les plus élevés, en sciences et dans d'autres domaines. Conférences organisées par la BnF et l'association Femmes & Sciences.
Cycle de conférences «Femmes engagées »proposé par Martine Reid, consacré à des figures de femmes du XVIIIe et du XIXe siècle, féministes et militantes, écrivains et anarchistes… Le grand salon de la Bibliothèque de l'Arsenal ouvre ses portes aux femmes puissantes. Madeleine Pelletier (1874-1939) fut l'une des pionnières des revendications féministes du début du XXe siècle ; historienne, Christine Bard a notamment dirigé Madeleine Pelletier, logiques et infortunes d'un combat pour l'égalité (Paris, Indigo, 1998). Conférence du 23 janvier 2012
Cycle de conférences «Femmes engagées »proposé par Martine Reid, consacré à des figures de femmes du XVIIIe et du XIXe siècle, féministes et militantes, écrivains et anarchistes… Le grand salon de la Bibliothèque de l'Arsenal ouvre ses portes aux femmes puissantes. Madeleine Pelletier (1874-1939) fut l'une des pionnières des revendications féministes du début du XXe siècle ; historienne, Christine Bard a notamment dirigé Madeleine Pelletier, logiques et infortunes d'un combat pour l'égalité (Paris, Indigo, 1998). Conférence du 23 janvier 2012
Cycle de conférences «Femmes engagées »proposé par Martine Reid, consacré à des figures de femmes du XVIIIe et du XIXe siècle, féministes et militantes, écrivains et anarchistes… Le grand salon de la Bibliothèque de l'Arsenal ouvre ses portes aux femmes puissantes. Louise Michel (1833-1905) anarchiste et héroïne de la Commune a été déportée à Nouméa où elle a vécu pendant 7 ans ; elle a laissé des discours, des poèmes, des romans et La Commune, histoire et souvenirs. Conférence du lundi 6 février 2012
Cycle de conférences «Femmes engagées »proposé par Martine Reid, consacré à des figures de femmes du XVIIIe et du XIXe siècle, féministes et militantes, écrivains et anarchistes… Le grand salon de la Bibliothèque de l'Arsenal ouvre ses portes aux femmes puissantes. Louise Michel (1833-1905) anarchiste et héroïne de la Commune a été déportée à Nouméa où elle a vécu pendant 7 ans ; elle a laissé des discours, des poèmes, des romans et La Commune, histoire et souvenirs. Conférence du lundi 6 février 2012
Cycle de conférences «Femmes engagées »proposé par Martine Reid, consacré à des figures de femmes du XVIIIe et du XIXe siècle, féministes et militantes, écrivains et anarchistes… Le grand salon de la Bibliothèque de l'Arsenal ouvre ses portes aux femmes puissantes. Flora Tristan (1803-1844) est l'une des premières à avoir imaginé une union des ouvriers et ouvrières de France. Conférence du lundi 19 mars 2012.
Cycle de conférences «Femmes engagées »proposé par Martine Reid, consacré à des figures de femmes du XVIIIe et du XIXe siècle, féministes et militantes, écrivains et anarchistes… Le grand salon de la Bibliothèque de l'Arsenal ouvre ses portes aux femmes puissantes. Flora Tristan (1803-1844) est l'une des premières à avoir imaginé une union des ouvriers et ouvrières de France. Conférence du lundi 19 mars 2012.