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Pour finir l'année en beauté, pirates, prophètes, explorateurs, artistes et saints se croisent dans cette semaine spéciale d'Au Cœur de l'Histoire version fêtes.De Zarafa la girafe à Houdini le roi des évasions, de la naissance du Père Noël à l'art de la table de François Vatel, du mystère de l'expédition Lapérouse à la route de la soie, embarquez pour deux semaines spéciales où l'Histoire se pare de magie, de mystères et d'émotions !Virginie Girod part à la chasse au trésor, à la recherche du fabuleux trésor des Templiers.Au Moyen-Âge, l'Ordre du Temple devient l'ordre militaire et religieux le plus riche d'Europe. Mais au XIVe siècle, sa puissance dérange le roi de France, Philippe le Bel, qui ordonne sa dissolution. Qu'advient-il alors des richesses des Templiers ? Ont-ils dissimulé un fabuleux trésor ? Depuis 700 ans, la littérature puis le cinéma s'emparent de cette légende, nourrissant pleinement notre imaginaire. (rediffusion) Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1.- Présentation : Virginie Girod- Ecriture : Eric Lange- Production : Armelle Thiberge- Réalisation : Nicolas Gaspard- Diffusion : Estelle Lafont et Clara Ménard- Composition du générique : Julien Tharaud- Visuel : Sidonie ManginHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 14 février, la chanteuse Santa, 33 ans, a remporté la Victoire de l'album de l'année aux Victoires de la musique où elle a livré une performance époustouflante. Ex-chanteuse du groupe Hyphen Hyphen, avec lequel elle a connu il y a quinze ans un succès précoce et parfois déroutant, Santa (Samanta Cotta de son vrai nom) s'est depuis lancée à corps perdu dans la variété française. Après le succès de son titre Popcorn salé, son premier album solo Recommence-moi, est sorti le 24 mai 2024. Depuis, la chanteuse a patiemment travaillé à conquérir son public. Retour dans cet épisode de Code Source sur le parcours fulgurant et atypique d'une chanteuse qui se décrit elle même comme « Queer, hypersensible et intranquille ». La carrière de Santa est racontée par deux journalistes du service Culture du Parisien : Eric Bureau et Emmanuel Marolle, chef du service. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Cet épisode a été diffusé pour la première fois le 19 février 2025.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert, Pénélope Gualchierotti, Clara Garnier-Amouroux et Clémentine Spiler - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : France TV. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:38 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Astrid de Villaines - Au mois d'octobre, je vous avais confié que face à chat gpt j'étais un peu perdue, mal renseignée sur l'intelligence artificielle, ces IA qui envahissent nos vies, nos destins et nos conversations. Depuis, je vous l'avais promis, je me suis penchée sur la question. - réalisation : Phane Montet
Pour conclure 2025, "Maintenant vous savez" vous propose une rétrospective des tendances et temps forts qui ont marqué l'année. À travers une sélection de nos meilleurs épisodes, revivez les faits marquants qui ont façonné l'actualité. Une manière de mieux comprendre cette année avant d'accueillir 2026 ! Le mouvement #HelloquitteX invite à quitter X-Twitter le 20 janvier 2025. Pourquoi cette date ? Car c'est le jour de l'investiture de Donald Trump. Depuis son rachat en 2022 par le milliardaire Elon Musk, Twitter, devenu X, est régulièrement au centre du débat public. Selon Ouest-France, dans un article du 11 janvier 2025, Elon Musk a soutenu la campagne présidentielle de l'élu à hauteur de 130 millions de dollars. Qui a quitté X ? Qui a annoncé le faire ? Qu'est-ce qui est reproché à X ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. Première diffusion : janvier 2025 À écouter ensuite : Qu'est-ce que Bluesky, qui concurrence X ? Qu'est-ce que Mastodon, qui pourrait remplacer Twitter ? Telegram : pourquoi ce réseau social inquiète-t-il autant les autorités ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les vendanges, la récolte des olives ou des fruits et légumes, l'agriculture espagnole a recours à des dizaines de milliers de travailleurs saisonniers d'origine immigrée. Mais la mise en place de nouveaux contrats de quatre mois pour des étrangers qui viennent sur la péninsule et qui repartent ensuite chez eux, vient compliquer la donne. (Rediffusion) Pour tous les intérimaires étrangers, déjà sur place, souvent sans papiers, il s'agit ni plus ni moins d'une mise en concurrence qui vient les précariser un peu plus. Reportage à Lleida en Catalogne signé Elise Gazengel. Alors que la France a vu pour la première fois, en cette fin d'année 2025, un ex-président Nicolas Sarkozy condamné à de la prison ferme après sa condamnation pour association de malfaiteurs… Quid de la transparence des élus politiques chez nos voisins ? En Suède, elle est exemplaire, elle est même inscrite dans la Constitution... Certes, la justice estime qu'on peut encore améliorer le contrôle du financement des partis... mais, comme l'a constaté notre correspondante Ottilia Ferrey, n'importe quel citoyen peut d'un simple coup de fil consulter les comptes et les déclarations de ses élus. Voilà plus d'un an que des manifestations monstres secouent la Serbie. Depuis que le 1er novembre 2025, un auvent de la gare de Novi Sad s'est écroulé, faisant 16 morts. Les manifestants, qui dénoncent une corruption qui peut tuer, demandent la tenue d'élections. Ce que le président Alexandar Vucic refuse. Benjamin Couteau, chercheur au Centre Grande Europe de l'Institut Jacques Delors. La chronique musique de Vincent Théval California Chase de la chanteuse serbe Ana Popovic dans Accents d'Europe.
Objet du quotidien par excellence, le smartphone pourrait voir son avenir proche sérieusement contrarié. Selon une étude récente du cabinet Counterpoint Research, l'année 2026 pourrait être marquée par une baisse de la production mondiale de téléphones portables. En cause, une pénurie de puces mémoire largement alimentée par l'essor fulgurant de l'intelligence artificielle. Le smartphone est partout. Ou presque. Pourtant, derrière cet objet devenu indispensable se cache un marché qui n'est plus en forte croissance. Après des années d'expansion à grande vitesse, le secteur est entré dans une phase de maturité. Concrètement, les consommateurs renouvellent leurs appareils moins souvent. Les innovations sont jugées moins spectaculaires qu'auparavant, et les marges sont de plus en plus sous pression, en particulier sur les produits d'entrée et de milieu de gamme. Le constat est donc posé : le contexte est déjà tendu pour les fabricants, et les perspectives ne sont pas très rassurantes. Une pénurie de puces mémoire au cœur du problème Les prévisions pour 2026 ont récemment été revues à la baisse. Les livraisons mondiales de smartphones pourraient reculer jusqu'à 2%. La principale raison n'est pas un désintérêt des consommateurs, mais le manque de composants essentiels à la fabrication des appareils. Le secteur devrait en effet être confronté à une pénurie de puces mémoire, celles qui permettent à nos smartphones de disposer de mémoire vive. Ces composants sont indispensables. Ils permettent de lancer les applications rapidement, de passer d'une tâche à l'autre et d'assurer la fluidité globale du système. Depuis plusieurs années, les fabricants mettent en avant cette mémoire pour justifier des appareils toujours plus performants. Mais cette ressource est désormais convoitée par un autre acteur de poids : l'intelligence artificielle. Quand l'IA capte les ressources les plus rentables Le problème pour les géants du smartphone, c'est que l'intelligence artificielle est aujourd'hui bien plus rentable pour les producteurs de puces. Pour entraîner et faire fonctionner les modèles d'IA, il faut des infrastructures gigantesques. Les centres de données reposent sur des processeurs extrêmement gourmands en mémoire. OpenAI, Google, Meta ou encore Microsoft sont prêts à payer très cher pour sécuriser ces composants stratégiques. Face à cette demande explosive, les fabricants de puces mémoire font un choix rationnel d'un point de vue économique : ils réservent leur production aux plus offrants et privilégient les marchés liés à l'IA, bien plus rentables que l'électronique grand public. Produire davantage de puces serait possible, mais pas immédiatement. Trois entreprises seulement produisent plus de 90% des puces mémoire dans le monde. Construire de nouvelles usines ou augmenter les capacités existantes demande du temps, beaucoup d'argent et surtout une visibilité à long terme sur la demande, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. La conséquence est directe pour les fabricants de smartphones. À une demande forte et une offre limitée correspond une situation de rareté, et la rareté fait monter les prix. Résultat : une pénurie, mais aussi une explosion des coûts. Concrètement, les smartphones neufs devraient coûter plus cher, tout comme les ordinateurs. Certains produits pourraient également se révéler moins innovants que prévu. Bref, mieux vaut peut-être prendre soin de son smartphone actuel, avant que les prix ne flambent et que ces appareils ne se fassent plus rares. À lire aussiGoogle prend l'avantage dans la course à l'IA grâce à ses puces maison
La virginité féminine continue, encore au XXIè siècle, à hanter les imaginaires collectifs. Depuis des siècles, elle est chargée de symboles : pureté, honneur, morale… On en a fait un critère pour juger les femmes, une frontière entre celles qui «cèdent» et celles qui «gardent». Pourtant, la virginité n'a aucune définition biologique claire. Elle n'est ni un état médical, ni un fait scientifique, mais elle reste une réalité sociale bien vivante, qui pèse dans les familles, dans certaines cultures, et dans les discours publics. La virginité est-elle un mythe utile pour maintenir des normes patriarcales ? Pourquoi veut-on encore et toujours contrôler le corps et le désir des femmes ? Cette émission est une rediffusion du 21 novembre 2025 Avec : • Isabelle Gillette-Faye, sociologue et directrice du Groupe des femmes pour l'abolition des mutilations sexuelles, GAMS • Elise Thiébaut, journaliste et autrice de la bande dessinée Vierges : la folle histoire de la virginité (Editions Le Lombard). Un entretien avec Loubna Anaki, correspondante de RFI à New York (USA) où l'attachement à la virginité reste encore très fort aujourd'hui. En fin d'émission, la chronique Ecouter le monde, de Monica Fantini. Programmation musicale : ► Black Goose - Priya Ragu ► MTL – Damso ft. Blynk.
L'année 2025 restera comme une année charnière pour l'économie mondiale, marquée par le retour tonitruant de Donald Trump à la Maison-Blanche et ses décisions commerciales radicales. Cette émission spéciale d'Éco d'ici, éco d'ailleurs revisite, avec les experts qui sont intervenus à notre micro, les moments clés d'une année économique tumultueuse, entre guerres commerciales, crises géopolitiques, révolution de l'intelligence artificielle et urgence climatique.
durée : 00:02:38 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Astrid de Villaines - Au mois d'octobre, je vous avais confié que face à chat gpt j'étais un peu perdue, mal renseignée sur l'intelligence artificielle, ces IA qui envahissent nos vies, nos destins et nos conversations. Depuis, je vous l'avais promis, je me suis penchée sur la question. - réalisation : Phane Montet
À Bambous: « Mo Lezo Kapav Kase Kuma Kokom ! » : Cloué au lit depuis 2024, Rosario Vigoureux lance un cri de détresse by TOPFM MAURITIUS
« Les impossibles élections au suffrage universel », titre Le Monde Afrique. Dans une crise politique et sécuritaire, le pays essaye de renouer avec ce mode de scrutin abandonné il y a plus de cinquante ans, à l'occasion de ces élections locales organisées jeudi. Près de 400 000 électeurs inscrits étaient attendus aux urnes, selon la commission électorale. Ils devaient départager 1 600 candidats pour 390 sièges locaux. Ce suffrage universel est « une réforme ambitieuse mais semée d'embûches », commente Le Monde Afrique. Et, pour comprendre pourquoi, il convient de faire un point sur l'histoire de la Somalie. En 1969, le coup d'État de Siad Barré a aboli le vote direct et mis en place un système électoral indirect pour les élections législatives et présidentielles qui est fondé sur la représentation des chefs de clan. En 2024, le président Hassan Cheikh Mohamoud a promis d'abandonner ce système d'ici mai 2026, date de la prochaine élection présidentielle à laquelle il est candidat, « mais la transition s'annonce périlleuse », analyse Le Monde Afrique. Le retour au suffrage direct est qualifié par certains de stratégie du président pour prolonger son règne. Les principaux partis d'opposition ont boycotté le scrutin, accusant le gouvernement fédéral de « processus électoraux unilatéraux ». « Sous couvert de démocratisation, la réforme institutionnalise un régime présidentiel », analyse pour sa part le chercheur Mohamed Daud Ismail dans le journal. « Le président pourra notamment évincer son vice-président, une disposition susceptible de rompre l'équilibre clanique actuel – [parce que] traditionnellement, le chef de l'État et le Premier ministre doivent appartenir à des clans différents. » Mustafa Osman Farah, chercheur à l'institut somalien Balqiis souligne : « Le processus n'est pas inclusif ; tout se décide à Mogadiscio, sans en aviser les autres régions. » En raison de ce scrutin contesté, le risque de partition du pays augmente. Le suffrage universel est par ailleurs déjà en place dans la région séparatiste du Somaliland, qui a déclaré son indépendance en 1991 mais n'a jamais été reconnue au niveau international, rappelle Courrier International, qui mentionne au passage l'AFP. À lire aussiSomalie: le scrutin local historique, au suffrage universel direct, s'est déroulé dans le calme En Guinée-Bissau, des libérations « sélectives » ? La Guinée-Bissau fait aussi parler ce matin. Dans le pays, six opposants ont été remis en liberté mardi, après le coup d'État qui a eu lieu le 26 novembre, veille de la proclamation attendue des résultats provisoires des élections présidentielle et législatives. Des militaires ont renversé le mois dernier le président Umaro Sissoco Embalo, au pouvoir depuis 2020. Le processus électoral a été interrompu. « Depuis lors, la situation politique demeure tendue dans ce pays lusophone d'Afrique de l'Ouest », explique Sahel Intelligence. « La junte libère six détenus mais maintient en prison les leaders de l'opposition », commente Afrik.com. « Une stratégie qui conforte la thèse d'une manœuvre orchestrée pour confisquer la victoire électorale au profit du clan Embalo. » Juste avant ces libérations, une délégation sénégalaise conduite par le ministre des Affaires étrangères était venue plaider pour la libération des prisonniers. Les libérations ont par la suite fait l'objet d'« une annonce » présentée comme « un signe de bonne foi » mais qui sent « la combine diplomatique », explique Afrik.com. Les principales figures de l'opposition demeurent sous les verrous. Domingos Simões Pereira, leader historique du PAIGC, reste incarcéré. Fernando Dias, candidat indépendant qui revendique la victoire à la présidentielle du 23 novembre, est toujours retranché à l'ambassade du Nigeria où il a obtenu l'asile. Des libérations sélectives qui renforcent les soupçons de connivence entre les putschistes et l'ancien pouvoir. « Les éléments troublants s'accumulent depuis le 26 novembre. Le général Horta N'Tam, investi président de transition, était le directeur de cabinet et chef d'état-major promu par Embalo lui-même. Le nouveau chef des armées, le général Tomas Djassi, occupait également un poste clé auprès du président déchu. » Par ailleurs, le timing du putsch interrogeait aussi dès le départ car il est survenu la veille de l'annonce des résultats provisoires, alors que les estimations donnaient Fernando Dias vainqueur. À lire aussiGuinée-Bissau: des prisonniers du coup d'État relâchés, les principaux opposants restent en prison En Centrafrique, les élections de dimanche « sous haute influence des paramilitaires russes » Alors qu'en Centrafrique des élections sont prévues ce dimanche, « les paramilitaires russes, héritiers du groupe Wagner, s'affichent comme garants de la sécurité du scrutin et pilier du régime Touadéra, entre stabilisation et dépendance accrue à Moscou », souligne Afrik.com. Moscou revendique le désarmement de quelque 2 000 rebelles depuis le début de l'année « et reçoit des marques publiques de gratitude de la part de certaines populations ». Un constat à bien nuancer, appuie Afrik.com : « Malgré une stabilisation relative depuis les accords de paix de Khartoum en 2019, des poches de violence persistent notamment dans l'Est et le Nord-Ouest du territoire ». À l'approche des élections présidentielles, législatives, municipales et régionales, « cette présence massive, loin de dissiper toutes les inquiétudes, interroge sur la dépendance croissante de Bangui vis-à-vis de Moscou, et sur les conditions dans lesquelles se déroule ce scrutin crucial pour l'avenir politique du pays ».
Pour finir l'année en beauté, pirates, prophètes, explorateurs, artistes et saints se croisent dans cette semaine spéciale d'Au Cœur de l'Histoire version fêtes. De Zarafa la girafe à Houdini le roi des évasions, de la naissance du Père Noël à l'art de la table de François Vatel, du mystère de l'expédition Lapérouse à la route de la soie, embarquez pour deux semaines spéciales où l'Histoire se pare de magie, de mystères et d'émotions !Depuis quand fête-t-on Noël ? Quelle fête païenne a été christianisée pour devenir une date clé du calendrier liturgique au IVe siècle de notre ère ? Pourquoi la naissance de Jésus a-t-elle été fixée au 25 décembre ? Quand et où est-il vraiment né ?Pour répondre à ces questions, Virginie Girod reçoit Stéphane Encel, historien des religions, il a notamment écrit "Dieu est-il barbu. 33 idées reçues sur Dieu et les religions" aux éditions du Cerf. (rediffusion)Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1.- Présentation : Virginie Girod- Production : Armelle Thiberge et Morgane Vianey- Réalisation : Nicolas Gaspard- Composition du générique : Julien Tharaud- Visuel : Sidonie ManginHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:55 - Le Reportage de la rédaction - Depuis quelques années à l'Opéra de Vichy, Carmen et Aïda côtoient des concerts de variété ou des spectacles d'humour. Un pari qui semble porter ses fruits.
Rediffusion. Que sont devenus Jacques, Pierrette Méchinaud et leur deux fils Eric et Bruno disparus dans la nuit du 24 au 25 décembre 1972 près de Cognac ? Cette question reste depuis cinquante ans sans réponse. L'affaire Méchinaud est un mystère sans corps, sans indice, sans aucune piste. Dans le dernier épisode, Caroline Nogueras reçoit Ismaël Karroum, rédacteur en chef adjoint de la Charente Libre, pour parler de ce cold case à la française. 50 ans après, où en est-on ? Suicide, meurtres, fuite à l'étranger. Le mystère de la disparition des Méchinaud reste entier. Depuis 1973, les recherches ont mobilisé des centaines d'hommes, des moyens financiers et humains considérables. Sans aucun résultat. Jacques, Pierrette, Eric et Bruno Méchinaud ont disparu sans laisser une trace derrière eux. Comme s'ils s'étaient volatilisés. Et pourtant, en 2020, l'enquête repart. Ismaël Karroum, rédacteur en chef adjoint de la Charente Libre est l'invité de Caroline Nogueras. Connaitra-t-on enfin la vérité ? Un podcast Bababam Originals Ecriture : Virginie Guedj Voix : Caroline Nogueras Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:04:37 - Le Grand reportage de France Inter - REDIFFUSION. Depuis l'ouverture de la procréation médicalement assistée à toutes les femmes, de plus en plus célibataires conçoivent leur maternité en dehors du couple. Laëtitia est l'une d'elles. Cette parisienne attend un deuxième enfant, conçu, comme le premier, en PMA solo. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:12:57 - Journal de 7 h - Mercredi à Bethléem, en Cisjordanie occupée, la première messe de minuit de Noël depuis la trêve à Gaza a porté un message un peu plus optimiste que les années précédentes, quand bien même les Palestiniens de Gaza souffrent toujours malgré le cessez-le-feu.
C'est une ligne de fracture qui divise aussi l'Ukraine. L'Église orthodoxe est désormais plus que jamais déchirée dans le pays. En 2018, Kiev a voulu créer sa propre Église orthodoxe d'Ukraine, pour rompre avec l'Église orthodoxe russe et son patriarche Kirill trop proche de Poutine. Depuis, 2 000 paroisses ont rompu leurs liens avec Moscou. (Rediffusion) Mais ce n'est pas suffisant, une loi vient aujourd'hui permettre la poursuite en justice des congrégations qui se livreraient à de l'ingérence russe sur le territoire. Reportage dans la région de Kiev d'Emmanuelle Chaze. Et la fracture de l'Église ukrainienne a eu des répercussions mondiales. D'autant plus que le patriarcat de Constantinople, le plus important de tous, a reconnu le schisme. Une initiative assez inédite que les autres églises serbes, bulgares ou roumaines n'ont pas suivie en refusant de prendre position pour ou contre Moscou. La politique et les liens d'argent avec le pouvoir sont clairement les maux qui viennent aujourd'hui affaiblir l'Église orthodoxe. Et c'est l'un des thèmes du dernier livre de Jean-Arnault Dérens, Géopolitique de l'orthodoxie... Comment expliquer que la deuxième confession du monde, avec 300 millions de fidèles, se tienne si proche des lieux de pouvoir. ► Géopolitique de l'orthodoxie, de Byzance à la guerre en Ukraine est paru aux éditions Tallandier. À écouter aussi«Géopolitique de l'orthodoxie, de Byzance à la guerre en Ukraine» de Jean-Arnault Dérens L'indépendance de la justice turque en question L'année 2025 aura été marquée en Turquie par l'arrestation du chef du principal parti d'opposition turc, le CHP. Le maire d'Istanbul Ekrem Imamoglu, le principal rival du président turc Recep Tayyip Erdogan est en prison depuis le mois de mars 2025. Il est poursuivi officiellement pour fraude, blanchiment et trucage d'appels d'offre. Accusations que le principal intéressé nie en bloc. Dans ce contexte de politisation des poursuites judiciaires, comment les jeunes étudiants en droit peuvent-ils envisager leur futur comme juge ou procureur dans un tel système ? C'est le reportage à Ankara d'Anne Andlauer. La chronique musique de Vincent Théval Imagine de Boko Yout.
durée : 00:12:57 - Journal de 7 h - Mercredi à Bethléem, en Cisjordanie occupée, la première messe de minuit de Noël depuis la trêve à Gaza a porté un message un peu plus optimiste que les années précédentes, quand bien même les Palestiniens de Gaza souffrent toujours malgré le cessez-le-feu.
durée : 00:03:55 - Le Reportage de la rédaction - Depuis quelques années à l'Opéra de Vichy, Carmen et Aïda côtoient des concerts de variété ou des spectacles d'humour. Un pari qui semble porter ses fruits.
Depuis des semaines elles sont partout : les chansons de Noël. Comme tous les ans, Wham!, Mariah Carey et Tino Rossi s'installent pour les fêtes sur nos radios et dans nos playlists. Mais pourquoi écoute-t-on toujours les mêmes chansons à Noël? On pose la question à Magali Rangin, cheffe du service culture et people de BFMTV.COM.
durée : 00:03:43 - L'info d'ici, ici Mayenne - Sans lui, les fêtes seraient bien évidemment gâchées. ICI Mayenne a rencontré en ce mois de décembre 2025 un Père Noël professionnel, qui se met dans la peau de ce vieux monsieur à la barbe blanche depuis cinq ans maintenant. Il s'appelle David Gastineau. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:59:27 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Le parfum est par nature évanescent. Sous l'effet de la lumière, de l'air et de la chaleur, il est voué à se dégrader puis disparaître. Depuis 1990, l'Osmothèque s'est donné pour mission de conserver ce patrimoine olfactif et de transmettre l'histoire du parfum et de la parfumerie. - réalisation : Thomas Beau, Cassandre Puel - invités : Eugénie Briot Historienne du parfum, responsable de projet "histoire et transmission" pour Givaudan et membre du comité scientifique de l'Osmothèque; Thomas Fontaine Parfumeur et président de l'Osmothèque; Anne-Cécile Pouant Directrice de l'Osmothèque
durée : 00:59:19 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Jusqu'en mars 2025, une nouvelle polémique secoue le studio français Ubisoft. Loin d'être fondée sur la qualité du jeu, elle se concentre sur la présence d'un samouraï noir. Depuis plusieurs années, ce type de polémique gagne en importance alors que le secteur semble de plus en plus inclusif. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Julie Le Baron Rédactrice en chef de Canard PC; Mehdi Derfoufi maître de conférences en études culturelles à l'université Paris 8, auteur de Racisme et jeu vidéo, paru à la Maison des sciences de l'homme, 2021 ; Teddy Kossoko président fondateur du studio de jeux vidéo Masseka Game
Rediffusion. Que sont devenus Jacques, Pierrette Méchinaud et leur deux fils Eric et Bruno disparus dans la nuit du 24 au 25 décembre 1972 près de Cognac ? Cette question reste depuis cinquante ans sans réponse. L'affaire Méchinaud est un mystère sans corps, sans indice, sans aucune piste. Dans le dernier épisode, Caroline Nogueras reçoit Ismaël Karroum, rédacteur en chef adjoint de la Charente Libre, pour parler de ce cold case à la française. Va-t-on un jour retrouver les corps ? Jacques, Pierrette, Bruno et Eric Méchinaud ont été vus pour la dernière fois le 25 décembre 1972. Depuis, les enquêteurs n'ont rien trouvé. Ils n'ont aucune piste, aucun début d'indice. À Boutiers, la famille disparue n'est jamais tombée dans l'oubli. Ce fait divers s'est inscrit dans la mémoire locale comme une légende. Les habitants espèrent sans trop y croire un dénouement. Sauf qu'en 2011, l'affaire rebondit. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Virginie Guedj Voix : Caroline Nogueras Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:04:13 - Le Grand reportage de France Inter - L'hôpital est devenu leur nouvelle maison. Au service néonatalogie du CHU de Nîmes, de jeunes parents restent 24 heures sur 24 au chevet de leur enfant né prématuré ou avec des complications. Depuis 2019, l'hôpital fait tout pour permettre à ces parents de préserver le lien avec leur bébé. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
« Donald Trump déploie des avions de surveillance au-dessus du Nigeria, prélude à une intervention militaire des États-Unis ? » titre Afrik.com. À l'origine de cette question : des données de suivi de vol, révélées par Reuters, en début de semaine. « Depuis fin novembre, un appareil (...) du Pentagone survole quotidiennement l'espace aérien nigérian. » De quoi alimenter « les spéculations sur les intentions réelles de l'administration Trump ». Tout ça, dans un contexte diplomatique en dents de scie, car les tensions étaient, il y a peu, encore palpables : le « 1ᵉʳ novembre [dernier], Donald Trump a menacé le Nigeria d'une intervention militaire » et accusé « le gouvernement de tolérer le massacre de chrétiens », rappelle Afrik.com. « [Donald Trump] a promis de pulvériser les terroristes islamistes ». Son ministre de la Défense a confirmé que le Pentagone « se prépare à passer à l'action ». Ces déclarations ont été vivement critiquées à Abuja, où les autorités rejettent l'idée d'un « génocide chrétien ». Fin de la brouille diplomatique Et il y a quelques jours, une conférence de presse a eu lieu à Abuja, à l'occasion de la visite d'une délégation américaine. La brouille diplomatique entre les États-Unis et le Nigeria semble passée, si l'on en croit les déclarations du ministre nigérian de l'Information, qui évoque « un engagement ferme et respectueux » des deux parties. Ces collectes de renseignements, au-dessus du Nigeria, ce serait donc le « signe d'une coopération sécuritaire accrue », commente pour sa part le journal nigérian The Guardian. D'après un analyste interrogé par Afrik.com, cette activité aérienne démontre aussi la volonté de Washington de reconstituer son réseau de renseignement, dans la région sahélienne. « Après la fermeture forcée de la base américaine d'Agadez au Niger et la montée en influence de la Russie, les États-Unis cherchent manifestement à maintenir une présence stratégique en Afrique de l'Ouest, via le Ghana et, de fait, au-dessus du Nigeria », peut-on lire. À lire aussiNigeria: la brouille entre Washington et Abuja «largement résolue», annonce le gouvernement Problème de sécurité au Nigéria « Ces opérations de surveillance interviennent également plusieurs mois après l'enlèvement, au Niger voisin, d'un pilote américain travaillant pour une organisation missionnaire », rappelle aussi The Guardian. Le scénario d'une intervention américaine est-il plausible ? C'est la question que se pose Afrik.com. Et le mot clé à retenir, c'est « prudence » : « Le Nigeria reste un allié stratégique de Washington et un acteur clé de la lutte régionale contre le terrorisme. Le président nigérian a rappelé que "la violence touch(ait) toutes les communautés" et rejeté toute accusation de persécution religieuse. » Par ailleurs, le Nigeria traverse aussi une période de forte instabilité. Le président a proclamé l'état d'urgence sécuritaire en novembre, « après une succession d'attaques meurtrières et l'enlèvement de plus de 300 écoliers, dans le nord du pays. » À ce sujet, et dans ses colonnes Edito, le journal burkinabé Le Pays commente : « Si l'on en croit les autorités nigérianes, aucun élève enlevé ne se trouve encore entre les mains des groupes armés. Tous, disent-elles, ont été libérés. » Mais, il y a encore des questions sans réponse pour l'instant : dans quelles conditions ont-ils été libérés ? Y a-t-il eu paiement de rançons ? « Car, il faut le dire, le paiement de rançons ne fait que renforcer la capacité de nuisance des groupes criminels. Franchement, le Nigeria, c'est peu de le dire, a mal à sa sécurité intérieure », écrit Le Pays. Au Bénin, pays voisin du Nigeria, Patrice Talon a « fait son au revoir au Parlement » « Une intervention à forte portée institutionnelle, marquée à la fois par la mise en perspective de dix années de réformes et par un ton d'adieu assumé », selon La Nouvelle Tribune. Le journal béninois La Nation revient aussi sur ce dernier discours sur l'état de la nation, aux allures de bilan mais dont le cœur a été consacré à la tentative de coup d'État manquée du 7 décembre, « date désormais inscrite dans l'histoire politique récente du pays ». Le président a mentionné « des assaillants qu'il a décrits comme des "marginaux insensés", manipulés par des intérêts internes et externes en quête de privilèges perdus », peut-on lire. Pour le journal La Nation, ces mots veulent ainsi « souligner la gravité de l'acte, mais surtout la solidité du rempart républicain que constituent les forces armées et de sécurité ». Alors que de futures élections approchent, le président a également dit croire en une transition apaisée, marquée par le renouvellement des institutions et la continuité de l'État. À lire aussiBénin: le président Patrice Talon défend son bilan dans un ultime discours sur l'état de la nation
Les accords de paix signés en 2016 entre le gouvernement colombien et les FARC ont ouvert une nouvelle phase du conflit armé. Aujourd'hui encore, il y a des groupes armés actifs dans le pays. Ils constituent une menace directe pour les populations LGBTQI+, déjà durement éprouvées avant le processus de paix par des décennies de violences sexuelles, de menaces, de disparitions forcées et d'assassinats ciblés. Un dossier de Sarah Krakovitch. Les groupes armés imposent des normes de genre strictes dans les territoires qu'ils contrôlent et font des personnes LGBTQI+ des cibles privilégiées de la violence. Selon l'International Crisis Group, les guérillas exploitent la vulnérabilité des minorités de genre pour asseoir leur domination territoriale, multipliant agressions, menaces et violences marquées par des préjugés transphobes. Depuis les accords de paix de 2016, la fragmentation des groupes armés a accru l'insécurité : les règles changent selon les zones et les chefs locaux, rendant toute stratégie de protection quasi impossible pour les populations LGBTQI+. Cette insécurité est palpable grâce au témoignage de Gabriela, une militante transgenre colombienne contrainte de déménager à plusieurs reprises après avoir reçu des menaces liées à son engagement. Selon l'ONG Caribe Afirmativo, 164 personnes LGBTQI+ ont été assassinées en Colombie en 2024, soit presque une tous les deux jours depuis 2023. Comment partager l'eau entre les Etats-Unis et le Mexique ? C'est l'histoire de deux voisins. D'un côté le Mexique, de l'autre les Etats-Unis. Pour arroser leurs jardins respectifs, ils se partagent des tuyaux depuis 80 ans. Mais depuis, des sécheresses sont passés par là... les débit se sont réduits... Et le partage n'est plus équitable...Ce qui a poussé Donald Trump à dépoussiérer ce vieux traité de 1944 sur le partage de l'eau. Il reproche à México de ne plus en respecter les obligations. Depuis le Mexique s'est engagé à verser 246 millions de mètre cubes d'eau de l'autre côté de la frontière. Mais en est-il vraiment capable ? D'ailleurs est-il vraiment coupable de cette situation ? Le nouvel accord signé le 13 décembre dernier sera-t-il durable ? Joris Zylberman en parle avec le spécialiste de l'Amérique latine Jean-Louis Martin, chercheur à l'Institut français des relations internationales. Arrestations de plus en plus filmés, l'offensive médiatique de l'ICE L'ICE, l'agence fédérale chargée de l'immigration, s'est lancée dans une véritable offensive médiatique. Les vidéos montrant des arrestations musclées de migrants se multiplient sur les réseaux sociaux. Et c'est une stratégie pleinement assumée, selon le Washington Post, qui a eu accès à des milliers de messages internes de l'agence. Ces échanges montrent comment l'ICE produit et diffuse massivement ces clips, souvent filmés de manière spectaculaire, afin de répondre aux attentes de la Maison-Blanche. L'objectif est clair : montrer une action musclée, valoriser les expulsions et présenter la politique migratoire comme une bataille pour protéger le mode de vie américain. Le reportage révèle la transformation profonde du service de communication de l'ICE, devenu, sous le second mandat de Donald Trump, une véritable machine médiatique. Les vidéos sont soigneusement mises en scène : choix des images, du vocabulaire, de la musique, tout est pensé pour maximiser le partage et la viralité. Les échanges internes révèlent aussi des propos moqueurs, parfois déshumanisants, et une logique assumée de propagande, en rupture avec la communication plus neutre des administrations précédentes. Mais malgré cette offensive numérique sans précédent, le Washington Post souligne que l'impact sur l'opinion publique reste limité : une majorité d'Américains continue de voir l'immigration comme une richesse et désapprouve la gestion de Donald Trump. Journal d'Outre-mer la 1ère La compagnie aérienne Corsair a reçu le feu vert de la Commission européenne pour son plan de restructuration.
Parler de positivité semble facile, mais ce n'est pas quelque chose que l'on décrète du jour au lendemain. Je l'ai constaté au fil des années : il y a des jours où le moral n'y est pas, et on se dit "j'en ai marre". Pourtant, je partage aujourd'hui cinq pensées positives qui aident à passer ces moments difficiles et à finir la journée sur une note plus légère.Chaque Défi est une Opportunité : Ça peut paraître cliché, mais c'est vrai. Sans défis, pas de progression. Je vois les grands défis comme des escaliers de 30 000 marches : impensables à monter d'un coup, mais abordables une marche après l'autre.Toujours Voir le Bon Côté : Depuis des années, je m'efforce de voir le verre à moitié plein. Même après avoir été licencié, j'ai su voir le positif, me disant que l'étape suivante serait meilleure. C'est une question de perspective.Je Suis Capable et Compétent(e) : Nous avons tendance à nous sous-évaluer. Si vous avez ce job, c'est que vous avez des compétences. Se le rappeler est crucial.La Gratitude : Il ne doit pas se passer un jour sans exprimer de la gratitude. Même dans les pires journées, il y a toujours quelque chose pour lequel être reconnaissant.Avoir un Impact Positif : Prendre conscience de notre impact sur les autres est essentiel. Je choisis d'avoir un impact positif.Ces pensées sont des outils quotidiens pour garder un esprit positif, même face aux échecs et défis. Elles ne suppriment pas le négatif, mais nous aident à mieux le surmonter. Et vous, quelles sont vos astuces pour rester positif ? Partagez-les en commentaire.
Avec : Elise Goldfarb, entrepreneuse et influenceuse. Pierre Rondeau, économiste. Et Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Avant le Covid-19 et la guerre à Gaza, Bethléem accueillait deux millions de pèlerins chaque année. C'est la ville où la tradition chrétienne situe la naissance de Jésus-Christ. Pour la première fois depuis le 7-Octobre, la municipalité a prévu un timide retour à la normale pour les festivités de Noël. Au programme, il y a la messe de minuit et le marché de Noël dans ce territoire occupé par Israël. Le cessez-le-feu à Gaza redonne un peu d'espoir aux habitants qui attendent que les touristes reviennent. De notre envoyée spéciale à Bethléem, La fanfare des scouts palestiniens accompagne l'illumination du sapin géant sur la Place de la Mangeoire, devant la Basilique de la nativité. La saison de Noël est lancée à Bethléem, où les dernières années ont été difficiles. La pandémie du Covid-19, les massacres du 7-Octobre et la guerre à Gaza ont coupé net l'afflux des touristes. On observe désormais un timide retour. « On m'a dit que cet évènement n'avait pas pu avoir lieu ces deux dernières années à cause de la guerre. Personne ne pouvait venir ici. C'est émouvant, la guerre n'est pas terminée, mais on ressent un peu d'espoir en étant ici », affirme Liu, une touriste chinoise de passage. Pour atteindre Bethléem en Cisjordanie occupée, Jawal, Palestinien de Jérusalem, a dû patienter aux points de contrôle avec sa famille. Sa femme est chrétienne et il tenait absolument à être présent. « C'est tellement important de revenir à une vie normale après deux années de guerre. Cela envoie le message que les choses vont aller mieux, ça nous rend optimistes », confie-t-il. « Bethléem, c'est une ville de tourisme » Ces deux dernières années, la municipalité de Bethléem avait annulé les festivités par solidarité avec les Palestiniens de Gaza. Mais aujourd'hui, le marché de Noël est de retour dans une ville où 80 % de la population se déclare de confession musulmane. Comme Sahida, tout sourire : « Bethléem était comme endormie depuis deux ans avec la guerre à Gaza et là, c'est très important. On aime Bethléem, nous sommes Palestiniens et c'est la ville de nos racines. C'est une ville importante pour les trois religions : les musulmans, les chrétiens et les juifs. Bethléem, c'est une ville de tourisme, mais c'est important pour les gens, pas seulement pour l'économie ». Pourtant, le taux de chômage a explosé jusqu'à 60 % de la population. Avant, Hazim travaillait dans une agence de voyage qui a fermé. Désormais, le jeune homme aide un peu dans l'épicerie de son grand-père, près de la vieille ville. Il est très ému de témoigner : « Regardez-moi bien. Je suis jeune et j'ai l'air d'avoir 50 ans. Je suis vraiment fatigué de cette situation. Il faut que j'en parle sinon je vais exploser. Nous n'avons pas la possibilité de vivre notre vie normalement. Nous souffrons beaucoup, la situation est mauvaise, c'est pourquoi nous espérons que les touristes vont revenir. » Hazim ravale ses larmes. Ce chrétien orthodoxe célèbrera Noël début janvier. À lire aussiÀ Bethléem, le plus ancien orgue de la chrétienté résonne à nouveau
Ce mardi, Agnès Verdier-Molinié s'intéresse à la fonction publique. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« La politique russe de recrutement de combattants et d'ouvrières en Afrique subsaharienne », c'est le sujet de la note publiée jeudi dernier par Thierry Vircoulon, chercheur associé à l'Institut français des relations internationales. Le premier Africain tué sur le front russo-ukrainien, en 2022, était un étudiant zambien intégré au groupe Wagner. Depuis, plusieurs milliers d'Africains, des hommes mais aussi des femmes, ont été recrutés par Moscou. Au moment de partir, la plupart pensent aller travailler dans le domaine civil et ignorent complètement ce qui les attend. Comment ces recrutements se déroulent-ils ? Quel sort est réservé à ces recrues africaines ? Et, comment réagissent les gouvernements africains concernés ? Thierry Vircoulon est le grand invité Afrique de ce jour. RFI : Pour commencer, disposez-vous d'un chiffre sur le nombre de ces hommes et femmes d'Afrique subsaharienne recrutés par la Russie pour soutenir la guerre contre l'Ukraine ? Thierry Vircoulon : Les autorités ukrainiennes estiment qu'il y a probablement entre 18 000 et 20 000 combattants étrangers dans les rangs de l'armée russe. Sur ce nombre, il y aurait 3 000 ou 4 000 Africains. On a trouvé beaucoup de nationalités différentes, de Sierra-Léonais, de Centrafricains, de Camerounais, d'Africains du Sud, de Kényans, de Sénégalais, donc un peu tous les pays africains. Ce recrutement s'adresse, écrivez-vous, à une jeunesse urbaine pauvre avec des motivations strictement économiques, qui envisagerait la guerre en Ukraine comme une solution plus accessible que l'émigration clandestine en Europe… Ce n'est pas qu'elle envisage la guerre en Ukraine comme une immigration plus facile, c'est qu'elle émigre pour ses motifs habituels, c'est-à-dire chercher de nouvelles opportunités de travail mieux rémunérées. Et, elle se retrouve prise au piège de ce conflit. Beaucoup sont recrutés de manière trompeuse. Ils sont abusés et se retrouvent enrôlés à leur arrivée en Russie, piégés dans cette armée russe. Est-ce qu'il y a aussi une motivation idéologique chez ces jeunes recrues africaines ? La Russie a le vent en poupe dans certains pays. Pour une petite minorité, oui, il y a une adhésion au discours géopolitique russe, mais c'est vraiment pour une toute petite minorité. La majorité sont des gens qui ne pensaient pas combattre dans cette guerre. Vous parlez d'offres d'emploi ou de formation « mensongères ». De quel type ? Très souvent, ils répondent à des propositions d'emploi dans le secteur civil ou parfois dans le secteur militaire, mais dans des domaines logistiques, ou [pour être, ndlr] cuisiniers, etc. Or une fois qu'ils arrivent en Russie, ils sont rapidement enrôlés de force, formés de manière tout à fait expéditive et ils sont ensuite envoyés en première ligne, dans des unités qui sont les plus exposées sur le front. Bref, ils sont à la fois dans les zones les plus risquées et ce ne sont pas de vrais combattants. À lire aussi«Les maisons russes en Afrique servent de centres de recrutement industriel et militaire» Est-ce qu'on a une idée du nombre d'Africains tués sur le front russe ou ukrainien ? Non, c'est très difficile d'avoir le nombre des morts. Il est extrêmement rare que les autorités russes informent les familles de ceux qui sont morts au combat. C'est donc très compliqué d'avoir des chiffres. On apprend dans votre étude que le recrutement russe cible aussi les femmes africaines, qui deviennent des ouvrières pour l'industrie d'armement. Cette fois de manière officielle, mais tout aussi trompeuse… Tout à fait. Et, là, c'est pour la zone économique spéciale d'Alabouga, au Tatarstan. Là-bas, il y a une usine de montage de drones pour laquelle les autorités [russes, ndlr] recrutent un peu partout dans le monde et recrutent uniquement des jeunes femmes. On a décompté à peu près une trentaine de nationalités africaines dans cette usine. Là, c'est en effet un recrutement tout à fait ouvert qu'on trouve sur les réseaux sociaux en Afrique, qu'on a même trouvé sur des sites de ministères de l'Éducation en Afrique, qu'on retrouve aussi sur les sites des ambassades russes en Afrique et qui est présenté comme une coopération pour la formation professionnelle de ces jeunes femmes. Sans préciser que, évidemment, il s'agit de monter des drones. Est-ce que les gouvernements africains des pays concernés, qui sont au courant, qui ont reçu des témoignages, des plaintes, réagissent ? Jusqu'à cet automne, ils n'avaient pas réagi. Mais là, il y a eu un certain nombre de scandales qui les ont forcés à réagir, notamment au Kenya, en Afrique du Sud et plus récemment au Botswana. Les autorités de ces trois pays ont dû reconnaître qu'ils avaient des citoyens qui combattaient dans cette guerre parce qu'ils ont maintenant un certain nombre de ces citoyens qui ont appelé à l'aide leurs familles parce qu'ils veulent s'enfuir et rentrer chez eux. Ils ont donc appelé leur famille qui a contacté les médias de ces pays et ça s'est transformé en scandale. Maintenant, ces trois gouvernements enquêtent sur ces filières de recrutement et ont demandé à Moscou le rapatriement de leurs concitoyens. À lire aussiAu Kenya, des diplomates s'inquiètent de recrutements forcés pour l'armée russe On a longuement parlé du recrutement russe en Afrique, objet de votre étude. Du côté ukrainien, est-ce qu'il y a des pratiques similaires ? Non, il y a des recrutements d'étrangers, mais qui viennent pour combattre effectivement. Il n'y a donc pas de recrutement avec de fausses propositions d'emploi. Les étrangers qui viennent combattre dans ce qu'on appelle la Légion internationale pour la défense de l'Ukraine le font volontairement et en toute connaissance de cause. ►Pour en savoir plus
L'émission 28 minutes du 23/12/2025 Du 22 décembre au 31 décembre, 28 minutes revient sur les thématiques incontournables et marquantes de l'année 2025 avec six émissions hors-série. Ce mardi 23 décembre, nous recevons Justin Vaïsse, historien, spécialiste des États-Unis et directeur général du Forum de Paris sur la Paix et Céline Spector, philosophe. Donald Trump revendique avoir résolu huit conflits en moins d'un an de présidence parmi lesquels celui entre la Thaïlande et le Cambodge ou encore entre Israël et le Hamas. Beaucoup des accords qu'il s'attribue restent incertains et se sont suivis d'une reprise du conflit. Depuis son élection, le président américain est sorti de la plupart des instances multilatérales et réaffirme son opposition à l'ONU. Il s'est aussi attaqué à l'Europe qu'il considère comme “un continent en déclin”. Donald Trump est-il un faiseur de paix ? Justin Vaïsse est historien, spécialisé dans la politique étrangère américaine. Il a travaillé aux États-Unis puis au Quai d'Orsay avant de créer, en novembre 2018, le Forum de Paris sur la paix, où se réunissent les dirigeants du monde entier chaque année. Céline Spector est philosophe et spécialiste de l'Europe. Elle a consacré plusieurs ouvrages à la démocratie et à la pensée des Lumières. Puis, Natacha Triou s'intéresse aux baleines et plus particulièrement à leur chant qui a fait l'objet de plusieurs découvertes scientifiques cette année. Victor Dekyvère revient sur le célibat, qui n'a jamais été aussi répandu. Puis, retrouvez Intéressant de David Castello-Lopes ! 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 23 décembre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
À l'approche des élections générales prévues le 28 décembre prochain, le pays se prépare à un rendez-vous politique majeur, qui coïncide avec les fêtes de fin d'année. Mais cette double actualité n'est pas sans conséquences sur le quotidien des populations. Depuis plusieurs semaines, les Centrafricains font face à une hausse significative des prix des produits de première nécessité. Une inflation alimentée notamment par le retour massif des Centrafricains de la diaspora et l'arrivée d'observateurs internationaux, exerçant une forte pression sur le logement, le transport et l'alimentation. De notre correspondant à Bangui, Au marché du PK5 de Bangui, la capitale de Centrafrique, les étals sont bien garnis et les clients nombreux. Pourtant, les visages se ferment au moment de payer. Ici, le sac de riz a pris plusieurs milliers de francs. L'huile, le sucre, les oignons, tout semble coûter plus cher. Une hausse des prix qui coïncide avec la période électorale et les fêtes de fin d'année selon Frédérica, une commerçante : « Le commerce ne fonctionne pas bien. Tout est devenu cher chez les grossistes. Beaucoup de clients pensent que nous augmentons les prix par plaisir, or ce n'est pas notre faute. Le transport devient plus cher à cause de la crise du carburant, parfois de l'insécurité ou des contrôles renforcés pendant les élections. On s'en sort difficilement. » Depuis une semaine, Bangui voit revenir de nombreux Centrafricains de la diaspora. Certains sont rentrés pour voter, d'autres pour observer ou accompagner le processus électoral. À eux s'ajoutent des délégations étrangères, observateurs internationaux, ONG et journalistes. « Pendant les fêtes de fin d'année, il y a des commerces qu'on appelle des commerces saisonniers. Les importateurs trouvent en cette circonstance un moment pour se faire de l'argent. Ils quittent leur segment traditionnel et ils se versent dans ces segments qui rapportent beaucoup d'argent en très peu de temps. Ce commerce saisonnier vient bouleverser le cycle de fonctionnement de notre pays, ce qui fait que nous connaissons les flambées des prix de première nécessité à chaque fête », explique l'économiste Lorenzo Ganazoui. « Je suis obligé de me contenter du strict minimum » Pour les commerçants, c'est une question d'équilibre. Pour les ménages locaux, en revanche, la situation devient préoccupante. Barnabé, père de famille, ne sait pas comment joindre les deux bouts : « Les prix des denrées alimentaires ont énormément augmenté sur tous les marchés. Je voudrais offrir un bon repas à mes enfants et des cadeaux pendant cette période de fête, mais c'est très compliqué. Je suis obligé de me contenter du strict minimum. » Cette inflation temporaire, liée aux dynamiques migratoires et au contexte politique, révèle une fragilité structurelle du pouvoir d'achat dans le pays, selon Lorenzo Ganazoui. Celui-ci propose des pistes de solutions : « Il va falloir travailler de manière que nous puissions commencer à produire, pour ne pas dire surproduire localement, de manière à palier à nos besoins d'abord localement, suggère-t-il. Ce sont les besoins qui auront manqué dans la production locale, qu'on pourra apporter ça de l'étranger. » À Bangui, chacun espère que cette flambée des prix ne durera pas. En attendant, faire ses courses est devenu un exercice de calcul et de résilience. À lire aussiCentrafrique: la campagne s'accélère et la pression monte à une semaine de la présidentielle
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frSI C'EST POUR LA CULTURE, ON A DÉJÀ DONNÉ (21) avec Christophe Leribault. Conservateur général du patrimoine et directeur du Petit Palais, autrement dit Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris. Depuis 2000, il a été commissaire d'expositions comme « Les Anglais à Paris au 19ème siècle », « Napoléon et le Louvre », « Delacroix et la photographie », « Les Impressionnistes à Londres, artistes français en exil » « Paris romantique » et il sera bientôt celui d'« Ilya Répine, le peintre de l'âme russe ». De quoi est faite la carrière d'un conservateur du patrimoine, quels engagements sont ceux d'un directeur de musée, comment la pandémie a-t-elle affecté les expositions du Petit Palais, comment et quand peuvent-elles reprendre ? Comment rappeler aux Parisiens et aux visiteurs l'intérêt et la valeur des collections permanentes, de leur 50.000 œuvres abritées dans un bâtiment lumineux et surprenant ? Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:26 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Par crainte des effets sur la grossesse, les femmes ont été exclues des essais cliniques. Depuis trente ans, les institutions de recherche et les financeurs incitent à la parité. Mais est-ce vraiment le cas ? Prendre en compte le sexe suffit-il à corriger les biais de la recherche ? - invités : Anne-Sophie Grenouilleau Docteure en pharmacie, conseillère technique à la Haute Autorité de Santé et coordinatrice du rapport “Sexe genre et santé”.
La fin d'année n'a pas toujours la saveur qu'on nous vend,Depuis quelques années pour moi, c'est une période un peu plus morose, nostalgique et chargée d'émotions, de bilans, de manques parfois.À travers les années et les épisodes de Simple Cafeine, j'ai réalisé que je n'étais clairement pas la seule à ressentir ça.Aujourd'hui je vous lis, vous et vos histoires autour de noël et je vous réponds.En esperant que cette safe place où vous déposez vos doutes et vos histoire vous fasse du bien ou que vous vous reconnaitrez dans certaines histoires et réflexions,Mon café de poche : www.simplecafeine.common jeu de cartes "À petit.e" : acheter iciJ'espère que cet épisode vous passionnera autant que moi.On se retrouve sur @simplecafeine ou mon compte perso @leajplf ?J'ai hate de te lire!Bienveillance,S&S,Léa Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:58 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - La sociologue Dominique Méda, spécialiste du travail et professeure à l'université Paris-Dauphine, répond à la question de Camille, 11 ans, qui s'interroge sur l'origine du repos dominical. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:10:46 - Les Nuits de France Culture - par : Antoine Dhulster - Au Venezuela, dans la région de Barlovento, arrivèrent les premiers esclaves. Depuis 1975, le "Teatro Negro" fait revivre les chants, les danses et les traditions des afrodescendants de ce bout d'Amérique latine, comme l'abordait ce deuxième volet de la série "Les Amériques noires" de 1992. - réalisation : Rafik Zénine
durée : 00:59:35 - Allons-y voir ! - par : Patrick Boucheron, Sophie-Catherine Gallet - Les Arts déco ont cent ans. En novembre 1925, s'achevait l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes, grand spectacle de la modernité qui s'apprêtait à conquérir les villes et les intérieurs d'Europe et d'ailleurs, et dont de nombreuses expositions témoignent aujourd'hui. - réalisation : Laurence Millet - invités : Bénédicte Mayer Attachée de conservation à la Cité de l'architecture; Jérémie Cerman professeur des universités en histoire de l'art contemporain à l'université d'Artois, spécialiste des arts décoratifs et membre du CREHS (Centre Recherche et Études Histoire et Société); Manuel Charpy Historien, chargé de recherches au CNRS; Mathieu Potte-Bonneville Philosophe et directeur du département Culture et création du Centre Pompidou
Chanson algérienne, chanson française, le choix du Prince. (Rediffusion) Dernière date de la tournée «Chadi Madi» pour Dendana, dimanche 20 juillet au Cabaret Sauvage Sorti le 10 mars 2023 avec un sold out à l'Institut du Monde Arabe, l'album Chadi Madia reçu depuis le prix coup de cœur de l'académie Charles Cros et le Prix des Musiques d'Ici avec une distinction au Babel XP 2025. Dendana a choisi pour son quatrième album le titre Chadi Madi, une expression qui équivaut à l' « Am Stram Gram » des pays francophones. Cette phrase, qui renvoie à son enfance dans les quartiers populaires de Tlemcen en Algérie, évoque le retour aux sources. L'album est écrit en Dérja, le dialecte algérien, un mélange d'arabe, de berbère et de français. Avec un ton libre et des mots du quotidien, il parle de vivre ensemble, de nostalgie et d'amour de son pays. Et s'il n'y avait d'autre choix à faire, que celui de conter l'Algérie telle quelle est réellement ? Une Algérie multicolore. Pour colorer cet album, Dendana va puiser dans le blues, le reggae, le rock et la musique gnawa leurs accents intemporels. Guidé par l'adage « Three cords & the truth », trois accords et la vérité, il décrit les rêves, et la réalité d'une Algérie moderne et indépendante. Titres interprétés dans le grand studio - Galou Live RFI - Madleen Feat Mohand Baha, single - Dawi Live RFI Line Up : Nassim Dendane (guitare, voix). Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant. ► Album Chadi Madi (Wing It Records 2023) nouvel album courant 2026. - YouTube (DenDana - YouTube) - Bandcamp (Musique | DΞNDΛNΛ) - Facebook. Puis nous recevons la musicienne et chanteuse française Alma Rechtman pour son EP Dans ma maison. Alma Rechtman naît dans une famille musicale, teintée de jazz et de blues. Depuis sa petite enfance, elle touche à tous les instruments autour d'elle, apprenait la guitare en regardant son père, les percussions sa marraine, la piano sa mère. Elle commence à écrire des chansons pendant le confinement, finit ses études de théâtre et part jouer dans les rues de Paris, à la recherche d'oreilles curieuses. Au fur et à mesure de ses balades sonores, elle se fait repérer par Sofar et au même moment, intègre le conservatoire de jazz de Bobigny. Aux soirées Sofar, elle découvre un public attentif qui la suivra sur une année, et le bouche à oreille fonctionne. Alma écrit dans ses carnets, ses secrets et ses impasses, les met en musique, en percussion et propose un partage de vulnérabilité. Tantôt chanson française, tantôt latin, tantôt rock, tantôt contemporain, son style navigue mais le fil rouge reste le texte. Chaud, écorché, délicat, et à trop tendre l'oreille on risque de rencontrer ses monstres les plus énormes. Titres interprétés dans le grand studio - Mes Nuits à Toi Live RFI - Dans ma maison, extrait de l'EP - Va, va, va Live RFI. Line Up : Alma Rechtman (piano, guitare, voix). Son : Benoît Letirant. ► EP Dans ma Maison (Idol 2025). YouTube (Alma Rechtman - YouTube)
Chanson algérienne, chanson française, le choix du Prince. (Rediffusion) Dernière date de la tournée «Chadi Madi» pour Dendana, dimanche 20 juillet au Cabaret Sauvage Sorti le 10 mars 2023 avec un sold out à l'Institut du Monde Arabe, l'album Chadi Madia reçu depuis le prix coup de cœur de l'académie Charles Cros et le Prix des Musiques d'Ici avec une distinction au Babel XP 2025. Dendana a choisi pour son quatrième album le titre Chadi Madi, une expression qui équivaut à l' « Am Stram Gram » des pays francophones. Cette phrase, qui renvoie à son enfance dans les quartiers populaires de Tlemcen en Algérie, évoque le retour aux sources. L'album est écrit en Dérja, le dialecte algérien, un mélange d'arabe, de berbère et de français. Avec un ton libre et des mots du quotidien, il parle de vivre ensemble, de nostalgie et d'amour de son pays. Et s'il n'y avait d'autre choix à faire, que celui de conter l'Algérie telle quelle est réellement ? Une Algérie multicolore. Pour colorer cet album, Dendana va puiser dans le blues, le reggae, le rock et la musique gnawa leurs accents intemporels. Guidé par l'adage « Three cords & the truth », trois accords et la vérité, il décrit les rêves, et la réalité d'une Algérie moderne et indépendante. Titres interprétés dans le grand studio - Galou Live RFI - Madleen Feat Mohand Baha, single - Dawi Live RFI Line Up : Nassim Dendane (guitare, voix). Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant. ► Album Chadi Madi (Wing It Records 2023) nouvel album courant 2026. - YouTube (DenDana - YouTube) - Bandcamp (Musique | DΞNDΛNΛ) - Facebook. Puis nous recevons la musicienne et chanteuse française Alma Rechtman pour son EP Dans ma maison. Alma Rechtman naît dans une famille musicale, teintée de jazz et de blues. Depuis sa petite enfance, elle touche à tous les instruments autour d'elle, apprenait la guitare en regardant son père, les percussions sa marraine, la piano sa mère. Elle commence à écrire des chansons pendant le confinement, finit ses études de théâtre et part jouer dans les rues de Paris, à la recherche d'oreilles curieuses. Au fur et à mesure de ses balades sonores, elle se fait repérer par Sofar et au même moment, intègre le conservatoire de jazz de Bobigny. Aux soirées Sofar, elle découvre un public attentif qui la suivra sur une année, et le bouche à oreille fonctionne. Alma écrit dans ses carnets, ses secrets et ses impasses, les met en musique, en percussion et propose un partage de vulnérabilité. Tantôt chanson française, tantôt latin, tantôt rock, tantôt contemporain, son style navigue mais le fil rouge reste le texte. Chaud, écorché, délicat, et à trop tendre l'oreille on risque de rencontrer ses monstres les plus énormes. Titres interprétés dans le grand studio - Mes Nuits à Toi Live RFI - Dans ma maison, extrait de l'EP - Va, va, va Live RFI. Line Up : Alma Rechtman (piano, guitare, voix). Son : Benoît Letirant. ► EP Dans ma Maison (Idol 2025). YouTube (Alma Rechtman - YouTube)
Depuis le mois de février, près de 32 000 Palestiniens des camps de réfugiés de Jénine, Tulkarem et Nour Shams, au nord de la Cisjordanie occupée, ont été déplacés de force par l'armée israélienne. Un exil imposé qui bouleverse les gestes les plus simples du quotidien. Pour les femmes, cette violence prend souvent la forme d'une double peine. Perdre un toit, c'est perdre aussi l'intimité, les repères, l'espace du soin et du quotidien. Surtout dans la société traditionnelle palestinienne. Raghad Lafi a 25 ans. Elle est mère de trois enfants et vit avec son mari et quinze autres personnes de sa famille élargie dans un appartement de Tulkarem. Sa maison, dans le camp de réfugiés, a été démolie en juin dernier par l'armée israélienne. Depuis, sa vie a changé du tout au tout. « Ici, il n'y a pas d'intimité. Pas de repos. On ne se sent pas bien entourée non plus. La maison, c'est tout pour un être humain. Là, on doit payer un loyer cher… et les écoles sont loin pour les enfants… Et je ne sors pas. Je reste dans cet appartement depuis, et je reste enfermée vingt-quatre heures sur vingt-quatre », raconte-t-elle. Ce sont des femmes comme Raghad que Nehaya al Jundi essaie d'aider au quotidien. Elle est la responsable du comité populaire pour les services du camp de réfugiés de Nour Shams. Elle aussi, à 54 ans, a été déplacée de force. Elle n'a pas vu sa maison depuis environ dix mois et le précise : pour les femmes, ces évictions sont une double peine. « Aujourd'hui, la femme palestinienne traverse la période la plus difficile de sa vie. Elle souffre d'une crise immense, parce qu'elle est le pilier du foyer », explique-t-elle. « J'en suis arrivée au point où, par manque d'intimité, j'ai peur de me laver » Car dans la société traditionnelle palestinienne, la femme est celle qui assure que le foyer est un lieu où l'on se sent bien. Celle qui assure l'éducation, la nourriture. Tout repose sur elle. Nehaya al Jundi ajoute : « Aujourd'hui, les femmes se retrouvent dans des logements très simples, impropres à l'habitation. Certaines vivent dans des maisons sans fenêtres, où l'on a simplement tendu une bâche. D'autres louent des maisons très anciennes, abandonnées dans les villages par leurs propriétaires, qui ont construit des maisons neuves ailleurs. Les familles ont été contraintes de louer ces logements, juste pour se cacher, pour se couvrir. Aujourd'hui, des femmes viennent, elles me disent sans cesse : "J'ai l'impression d'être à la rue." Et moi aussi, je le dis : "J'ai l'impression d'être à la rue, même quand je suis dans ma maison". J'étais quelqu'un avant qui, été comme hiver, prenait une douche tous les matins. Aujourd'hui, je ne peux même plus. J'en suis arrivée au point où, par manque d'intimité, j'ai peur de me laver. Imagine jusqu'où on en est arrivés. » Le plus grand déplacement forcé de Palestiniens de Cisjordanie depuis 1967 C'est ça la souffrance de chaque femme palestinienne déplacée, dit-elle. Celles de Nour Shams, où elle vivait, mais celles du camp de réfugiés de Tulkarem, de Jénine. Ces camps vidés de leurs habitants en février par l'armée israélienne. Le plus grand déplacement forcé de Palestiniens de Cisjordanie depuis 1967. « Je fais partie de ces femmes qui souffrent rien qu'à cause du mot déplacement. Je le déteste. Je le déteste profondément et je n'aime pas que quelqu'un le répète, ou dise que je suis une déplacée. Mais on est obligés de l'utiliser avec les médias pour qu'ils comprennent ce que signifie le déplacement. Mais celui qui ne l'a pas vécu, pas expérimenté, ne pourra jamais nous comprendre », affirme-t-elle. « Beaucoup veulent avant tout aider les autres », précise Nehaya. « Parfois, dit-elle, en s'oubliant soi-même. » À lire aussiEn Cisjordanie, les Palestiniens de Nour Shams face aux démolitions annoncées par l'armée israélienne
Depuis plus de trente ans, les sanctions économiques sont devenues l'un des principaux instruments de la politique étrangère des grandes puissances occidentales. Gel des avoirs, embargos commerciaux, exclusion du système financier international, sanctions secondaires : la panoplie s'est élargie, sophistiquée, durcie. La Russie depuis l'invasion de l'Ukraine, l'Iran depuis plus de quatre décennies, l'Irak dans les années 1990, Cuba depuis la guerre froide, mais aussi aujourd'hui plusieurs pays du Sahel… tous ont été, à des degrés divers, soumis à ce que certains appellent une « guerre économique ». Mais une question demeure : ces sanctions fonctionnent-elles réellement ? Changent-elles les comportements des États ciblés ? Ou produisent-elles surtout des effets pervers — appauvrissement des populations, consolidation des régimes, reconfiguration silencieuse des alliances internationales ? Car à mesure que les sanctions s'accumulent, les États visés s'adaptent, cherchent des alternatives afin d'éviter la réponse frontale : troc, contournement financier, commerce parallèle, monnaies locales, crypto-actifs, finance islamique, rapprochements Sud-Sud, dédollarisation progressive... Va-t-on vers un processus de fractionnement des systèmes de paiement à l'échelle internationale ? Assiste-t-on à une fragmentation du système économique mondial ? Invités Julia Tomasso, chercheuse à l'Iris et spécialiste de l'Iran Camille Boulenguer, économiste et chercheuse à l'Iris, spécialisée dans l'étude de la criminalité financière et des circuits financiers illicites Emmanuel Hache, adjoint scientifique à IFP Énergies nouvelles et directeur de recherche à l'IRIS. «Géopolitique des matières premières» éditions Eyrolles, 2025. Édition en partenariat avec la Revue Internationale et Stratégique «Vivre sous sanctions économiques. Impacts contournements, Réalignements». Direction de Julia Tomasso et Camille Boulenguer.
Frédérique Lemarchand a répondu à l'appel d'aller habiter en haut de la colline de Vézelay, il y a quelques années déjà. De son appartement, au premier étage d'un immeuble qui surplombe les jolies pentes du Morvan, je suis toujours étonné par la profondeur et la douceur qui, descendues de la colline, pénètrent toute la nature environnante, si loin que mes yeux n'en voient pas la fin.De son appartement, qui est aussi son lieu de création, je suis encore plus étonné par la lumière et la joie qui transforment ce lieu où il fait si bon respirer l'air intense et léger qui vibre, comme dans les œuvres et dans le cœur de cette femme artiste.Cette lumière circule au-delà de cet appartement, dans le courant énergétique puissant qui serpentent sur les quelques dizaines de mètres, entre les murs et sur les pavés d'une ruelle, qui le relient à la Basilique de la Lumière.À quelques dizaines d'heures seulement de Noël, la lumière divine est prête à embraser le monde. C'est avec Frédérique Lemarchand que nous sommes invités à méditer sur la portée merveilleuse et fondamentale de cet évènement unique grâce auquel, à la suite du Christ, nous sommes tous conduits à cette divinité où il nous attend depuis l'origine et pour l'éternité.Qui mieux que Frédérique Lemarchand pour nous parler de la lumière ? Cette femme photophore, qui vit en communion avec Annick de Souzenelle, est une femme prophétique. Sa vision nous aide à surmonter les peurs d'un monde de plus en plus agité, et à accueillir jusqu'au cœur de nos propres ombres la lumière d'un amour aussi tendre qu'irradiant.La grâce, avec Frédérique Lemarchand, est de nous permettre de tourner notre regard à l'intérieur de nous, de nous guider depuis nos ombres jusqu'aux lueurs de la lumière divine qui pulse déjà en nous, et qui rayonne si fortement chez cette femme lumière.Pour découvrir l'oeuvre de Frédérique Lemarchand, cliquer ici.VERS LA MERVEILLEChers amis, chers auditeurs de Zeteo,Des merveilles de mon enfance, celle qui est la plus précieuse, la plus belle la plus mystérieuse à la fois, c'est celle de Noël. Bercé par les récits lus par mes parents, les chants qui résonnaient dans toute la maison ou à la messe de minuit, et les illustrations de mes beaux albums d'histoire religieuse, l'enchantement de l'histoire de cette nuit de Bethléem a profondément marqué mon imaginaire, sans jamais le quitter.La poésie et la beauté de la nuit étoilée, la proximité tendre et curieuse des animaux, la présence aimante et protectrice de Joseph et de Marie, tout cela m'a profondément attaché à la présence de l'enfant Jésus.Si, bien plus tard, j'ai traversé des années de désert spirituel, une voix ne s'est jamais éteinte en moi. Je savais qu'un jour où l'autre, Jésus reviendrait dans ma vie, sans savoir ni où ni comment.Depuis, il y a eu la création de Zeteo. Et l'occasion pour moi de cheminer maintenant avec Jésus, et de découvrir que ce nouveau-né allait, à l'âge adulte, appeler l'humanité à le suivre. De jour en jour, j'entre un peu plus dans la lumière de la présence du Christ qui éclaire tous les mystères et qui chasse toutes les ombres.La méditation de Noël offerte si gracieusement par Frédérique Lemarchand me fait aussi penser à ses peintures. Le visage du Christ y est présent, dans sa lumière souvent, et parfois aussi dans cette beauté plus mystérieuse qui convient mieux à nos cœurs embrumés, et que le talent d'une artiste comme Frédérique sait si bien recréer.Les inquiétudes et les ombres du monde ne doivent pas nous faire oublier l'essentiel. Déjà, nous arrivons au moment du solstice où la lumière bascule et commence à l'emporter sur les ténèbres.N'oublions pas l'essentiel.N'oublions pas la merveille de Noël.N'oublions pas les merveilles du monde, les beautés du Vivant. S'il y a des choses que nous ne comprenons pas, sachons que le mystère est la porte d'entrée vers la beauté et l'amour. Comme dans l'infini des galaxies et la beauté renversante des étoiles, des planètes et de la vertigineuse dynamique cosmique. Comme dans une icône. Comme dans un tableau de Frédérique Lemarchand.Le Christ vient pour chacun d'entre nous. S'il se révèle toujours différemment, avec un message particulier pour chacun, il est l'incarnation de l'amour et de la vie éternelle.Nous sommes déjà entrés dans nos vies éternelles.Je souhaite que ce Noël révèlera à chacun la merveille de la présence divine en lui.J'exprime toute ma joie et ma gratitude personnelle pour le cadeau que Frédérique a offert à Zeteo. Pour tous les invités précédents de ce podcast, et ceux qui sont à venir avec des épisodes magnifiques. Pour les auditeurs, notamment ceux qui envoient des messages. Pour les donateurs, ceux qui ont fait un don déjà, comme ceux qui vont en faire un, aujourd'hui ou demain.J'aimerais que vous puissiez goûter la même joie que celle qui m'anime lorsque j'exprime ma gratitude envers vous !Joyeux Noël à tous, particulièrement encore à ceux qui souffrent, qui sont seuls, qui sont malades, qui ont peur, qui sont en colère, qui saignent dans leur coeur et dans leur corps, pour qu'eux aussi accueillent la merveille.Guillaume DevoudPour soutenir l'effort de Zeteo, podcast sans publicité et d'accès entièrement gratuit, vous pouvez faire un don. Il suffit pour cela de cliquer sur l'un des deux boutons ci-dessous, pour le paiement de dons en ligne au profit de l'association Telio qui gère Zeteo.Cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso.Ou cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal.Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAssoNous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 76 rue de la Pompe, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici.Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici.Pour lire les messages de nos auditeurs, cliquer ici.Nous contacter : contact@zeteo.frProposer votre témoignage ou celui d'un proche : temoignage@zeteo.fr
Qui a tué la petite JonBenet Ramsey ? Depuis 1996, cette question hante l'Amérique. C'est la plus grande affaire criminelle jamais résolue aux Etats-Unis. La mort de cette fillette à l'âge de 6 ans, mini-reine de beauté, fille d'un millionnaire, n'a jamais cessé de défrayer la chronique outre-Atlantique ! Au lendemain de Noël 1996, son corps sans vie est retrouvé au sous-sol de la maison familiale, dans la petite ville de Boulder, Colorado. Très vite, les soupçons se portent sur la mère, puis sur son grand frère et bien plus tard sur un rôdeur pédophile… Mais 25 ans après le drame, le meurtrier reste introuvable. Un podcast Bababam Originals Ecriture et voix : Caroline Nogueras Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:04:20 - Une semaine dans leurs vies - Depuis la Loi de Mémoire Démocratique de 2022 en Espagne, enfants et petit-enfants d'exilés républicains peuvent obtenir la nationalité espagnole. En Amérique latine et en Europe, 1 million 300 000 demandes sont en cours de traitement et 1 million de passeports espagnols ont déjà été octroyés. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque matin, l'équipe vous parle du con du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:29:14 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Anna Benjamin - Shana et Naïma ont été placées par la protection de l'enfance. Depuis quelques années, les deux adolescentes font revivre Bonnefond, village perché sur le plateau de Millevaches, en cohabitant avec les seniors du village, comme Lucette et Robert. - réalisation : Eric Lancien
Depuis l'enfance, on nous répète qu'il faut faire son lit dès qu'on sort du sommeil. Un geste d'ordre, de discipline, presque un symbole du “bon départ” de la journée. Pourtant, plusieurs recherches et observations en hygiène domestique montrent qu'il vaudrait mieux… attendre. Et cela pour une raison simple : l'humidité.Chaque nuit, notre corps transpire. On perd en moyenne entre 200 et 500 millilitres d'eau sous forme de sueur et de vapeur. Cette humidité se retrouve piégée dans les draps, le matelas et l'oreiller. Or, les acariens — ces minuscules organismes responsables de nombreuses allergies — adorent deux choses : la chaleur et l'humidité. Quand on se lève, le lit est exactement dans l'état qu'ils préfèrent.Faire son lit immédiatement revient à emprisonner cette humidité sous la couette, créant un environnement idéal pour que les acariens se multiplient. Selon une étude menée par l'Université de Kingston au Royaume-Uni, laisser son lit ouvert et bien aéré pendant au moins quelques heures réduit significativement la survie de ces micro-organismes. Exposés à l'air sec et à la lumière, ils se déshydratent et meurent beaucoup plus rapidement.Le lit défait devient ainsi, paradoxalement, un lit plus sain : la circulation de l'air permet d'évacuer la chaleur accumulée et de diminuer l'humidité résiduelle. Ce séchage naturel réduit les risques d'allergies, de nez bouché au réveil, d'irritations et de crises d'asthme pour les personnes sensibles. Au contraire, un lit refait trop tôt conserve un microclimat chaud et humide, qui agit comme un incubateur.Il ne s'agit évidemment pas de ne jamais faire son lit, mais de le faire au bon moment. Les spécialistes recommandent d'ouvrir largement la fenêtre, de laisser le matelas respirer 30 minutes à 1 heure — idéalement davantage — puis de remettre la couette une fois que les draps sont bien secs. Un geste simple qui coûte peu… et qui peut améliorer l'hygiène de la chambre.Cette idée peut surprendre, car elle va à l'encontre d'un réflexe culturel profondément ancré. Pourtant, la science est claire : l'ordre immédiat n'est pas forcément synonyme de propreté. Le matin, mieux vaut privilégier l'aération plutôt que la rapidité.En somme, si vous voulez un lit plus sain, moins allergène et plus agréable, la meilleure chose à faire dès le réveil est… de ne rien faire du tout. Laissez-le respirer. Votre santé vous remerciera. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.