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Donald Trump et Vladimir Poutine forment un étonnant duo : parfois très alignés, et à d'autres moments en totale opposition. À l'image de ce tandem, les liens entre dirigeants russes et américains ont défini les trajectoires des deux pays et du monde, depuis Franklin Roosevelt et Joseph Staline. Depuis la Seconde guerre mondiale jusqu'à la fin de la guerre froide, La Loupe brosse le portrait de quatre binômes et de leur influence, avec Andrei Kozovoï, professeur à l'Université de Lille, spécialiste des relations internationales, auteur de Les services secrets russes, des tsars à Poutine (Tallandier). Episode 2 : Léonid Brejnev et Richard Nixon. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : INA, Radio Canada Archives Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les jours à 7H10, on vous donne les bonnes nouvelles du jour.
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Depuis ces derniers jours, tribunes, éditoriaux et autres chroniques au vitriol se succèdent dans les colonnes des journaux au Maroc, avec comme cible une série d'articles publiés récemment par le quotidien français Le Monde. Au total, 6 articles, 6 pleines pages sur le souverain chérifien. Une série intitulée « l'énigme Mohammed VI », avec 6 épisodes donc. On peut citer quelques titres : « au Maroc, une atmosphère de fin de règne pour Mohammed VI » ; « Mohammed VI, le monarque des réformes inachevées » ; « Mohammed VI, roi des grandes manœuvres diplomatiques », ou encore, « Mohammed VI, le makhzen et l'art des secrets de palais ». Le Monde présente ainsi sa série : « Vingt-six ans après son arrivée au pouvoir, le souverain marocain demeure un personnage complexe, dont le rapport au pouvoir ne cesse d'interroger. Alors que la question de sa succession commence à se poser, nous retraçons son parcours ». « Ignominie journalistique… » La presse marocaine a donc très vite réagi. Dès le lendemain de la parution du premier article du Monde, le quotidien L'Opinion faisait grincer sa plume : « la vilénie qui sous-tend la trame malicieusement tissée de cet article mensonger est d'une bassesse inégalée et franchement étonnante de par sa médiocrité. Si le méfait était l'œuvre d'un vulgaire tabloïd […], on ne s'en serait guère étonné et même pas offusqué. Mais que cette ignominie journalistique émane d'un journal aussi expérimenté et prestigieux que Le Monde ne peut que décevoir ». Quelques jours plus tard, le site d'information Hespress, l'un des plus lus dans le royaume, dégaine à son tour : « les Marocains n'avaient pas besoin d'une nouvelle preuve que Le Monde a perdu ce qui lui restait de crédibilité, s'exclame-t-il. Autrefois respecté et considéré comme un média d'élite, le mythe du journalisme français est tombé très bas, devenu une machine à salir, un papier de basse besogne désolant. Ces articles consacrés au Maroc et à son roi sont publiés sous forme d'une pseudo "enquête journalistique" comme s'il s'agissait d'une découverte scientifique, alors qu'en réalité ce n'est rien d'autre qu'un pamphlet médiocre, réalisé dans un esprit de rancune et de règlement de comptes ». Un « deal médiatico-politique » ? le360, autre site d'information marocain, enfonce le clou, avec ce titre : « Le Monde à l'envers. […] Au lieu d'éclairer, dénonce-t-il, le journal cabotine. L'enquête prend la forme d'un miroir convexe où défilent clichés orientalistes et colportage de cancans. La fécondité créatrice de la fiction se mue en stérilité journalistique, incapable de produire autre chose que des reflets biaisés orientés vers le sensationnel. Le journal ne décrit pas le Royaume : il monte son propre spectacle ». Et le360 de dénoncer « un choix éditorial qui ressemble fort à un deal médiatico-politique. Certaines voix, à Paris comme à Alger, chercheraient-elles à renouer le fil ? Le quotidien ajuste sa focale et joue sa partition. […] Lorsqu'un organe de presse travestit sa mission et se met au service d'influences étrangères, peut-on encore parler de média indépendant ? ». Et puis le monde politique marocain a également réagi… à l'unisson. Même l'opposition a exprimé son indignation. Exemple, cité par le site Yabiladi : « le journal Bayane Al Yaoum du PPS, le Parti du progrès et du socialisme, a estimé que la série d'articles du Monde "ne relevait pas du cadre de la pratique journalistique professionnelle ou des différences légitimes d'approche, mais plutôt d'une campagne systématique visant le Maroc, s'appuyant sur des rumeurs et de la désinformation" ». L'énigme Mohammed VI… Levée de boucliers donc de la presse et du monde politique. En revanche, aucune réaction officielle. C'est ce que souligne Afrik.com : « fait remarquable, le palais royal maintient un silence total. Aucun communiqué, aucune réaction formelle émanant directement de l'institution monarchique. Cette stratégie du mutisme contraste avec l'agitation médiatique orchestrée en sous-main ». Au final, analyse Afrik.com, « Mohammed VI reste effectivement une "énigme", mais peut-être pas celle que décrit Le Monde. L'énigme n'est pas tant dans sa santé fragile ou ses absences répétées que dans sa capacité à maintenir un système monarchique absolutiste au XXIe siècle, à quelques kilomètres de l'Europe démocratique ». Et Afrik.com de s'interroger : « Comment concilier l'image d'un roi moderne, amateur de jet-ski et de sports mécaniques, avec celle du Commandeur des croyants, héritier d'une tradition séculaire ? Comment gérer la transition vers son fils dans un contexte régional instable ? Comment maintenir l'équilibre entre ouverture économique et fermeture politique ? Comment gérer une alliance avec Israël, premier fournisseur d'armement du Royaume, alors que la population soutient massivement Gaza ? ».
Invitée : Sarah Knafo, eurodéputée Reconquête ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
✨ Inès Vandamme - Danseuse, chorégraphe et animatrice de télévision.Formée dès l'enfance dans une famille passionnée de danse, elle débute à l'âge de cinq ans dans la maison de quartier où sa mère enseigne.Plus tard, Inès mène une licence à la faculté de Lettres de Nice, tout en poursuivant sa formation en danse à Cannes puis un master en langues étrangères à l'université Lille-III, tout en passant des castings à Paris.En 2019, elle rejoint l'équipe de danseurs professionnels de l'émission Danse avec les stars sur TF1, où elle se forme en danses de salon. Depuis 2022, elle présente également les tirages du Loto et de l'EuroMillions sur TF1, et multiplie les apparitions à la télévision. En 2023, elle lance le podcast Avec ou sans sucre, dans lequel elle échange chaque semaine avec des personnalités sur leur parcours de vie.Dans cet épisode, Inès nous raconte comment elle a construit son identité artistique au fil des années : les choix esthétiques, les collaborations marquantes, les valeurs qui la portent.Nous explorons aussi le rôle des réseaux sociaux dans sa carrière : à la fois outil de visibilité et terrain d'expression personnelle. Elle nous parle de la frontière qu'elle trace entre sphère privée et image publique, dans un monde où l'exposition est permanente.
Écoutez la chronique économique de Michèle Boisvert, lundi, au Québec maintenant avec Philippe Cantin.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
On entend parler dans les médias de l'émergence des nouveaux pères : « Depuis les années 80, une nouvelle génération de pères émerge : ils veulent s'impliquer dans les tâches ménagères et familiales de manière plus égalitaire, aider à l'allaitement, aux devoirs et changer les couches. » (TF1, 2024). Qu'en est-il réellement ? C'est la question à laquelle nous allons répondre aujourd'hui avec notre interlocuteur. Dans cet épisode, nous chercherons à comprendre si les familles hétérosexuelles sont aujourd'hui plus égalitaires. Qui sont ces nouveaux pères ? Quels fonctionnements sont en places ? A-t-on atteint un modèle égalitaire ?Pour répondre à ces questions, j'échange avec Guillaume Daudin. il est journaliste justice à l'AFP, spécialiste des enquêtes judiciaires parisiennes. Guillaume est auteur de deux livres :- Les Contraceptés - Enquête sur le dernier tabou, co-écrit avec Stéphane Jourdain et publié aux éditions Steinkis en 2021- L'arnaque des nouveaux pères, co-écrit avec Stéphane Jourdain, publié aux éditions Glénat en 2024. Dessin Antoine Grimée.Suivez-moi sur les réseaux @atouslesniveaux Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les jours à 7H10, on vous donne les bonnes nouvelles du jour.
Depuis ces derniers jours, tribunes, éditoriaux et autres chroniques au vitriol se succèdent dans les colonnes des journaux au Maroc, avec comme cible une série d'articles publiés récemment par le quotidien français Le Monde. Au total, 6 articles, 6 pleines pages sur le souverain chérifien. Une série intitulée « l'énigme Mohammed VI », avec 6 épisodes donc. On peut citer quelques titres : « au Maroc, une atmosphère de fin de règne pour Mohammed VI » ; « Mohammed VI, le monarque des réformes inachevées » ; « Mohammed VI, roi des grandes manœuvres diplomatiques », ou encore, « Mohammed VI, le makhzen et l'art des secrets de palais ». Le Monde présente ainsi sa série : « Vingt-six ans après son arrivée au pouvoir, le souverain marocain demeure un personnage complexe, dont le rapport au pouvoir ne cesse d'interroger. Alors que la question de sa succession commence à se poser, nous retraçons son parcours ». « Ignominie journalistique… » La presse marocaine a donc très vite réagi. Dès le lendemain de la parution du premier article du Monde, le quotidien L'Opinion faisait grincer sa plume : « la vilénie qui sous-tend la trame malicieusement tissée de cet article mensonger est d'une bassesse inégalée et franchement étonnante de par sa médiocrité. Si le méfait était l'œuvre d'un vulgaire tabloïd […], on ne s'en serait guère étonné et même pas offusqué. Mais que cette ignominie journalistique émane d'un journal aussi expérimenté et prestigieux que Le Monde ne peut que décevoir ». Quelques jours plus tard, le site d'information Hespress, l'un des plus lus dans le royaume, dégaine à son tour : « les Marocains n'avaient pas besoin d'une nouvelle preuve que Le Monde a perdu ce qui lui restait de crédibilité, s'exclame-t-il. Autrefois respecté et considéré comme un média d'élite, le mythe du journalisme français est tombé très bas, devenu une machine à salir, un papier de basse besogne désolant. Ces articles consacrés au Maroc et à son roi sont publiés sous forme d'une pseudo "enquête journalistique" comme s'il s'agissait d'une découverte scientifique, alors qu'en réalité ce n'est rien d'autre qu'un pamphlet médiocre, réalisé dans un esprit de rancune et de règlement de comptes ». Un « deal médiatico-politique » ? le360, autre site d'information marocain, enfonce le clou, avec ce titre : « Le Monde à l'envers. […] Au lieu d'éclairer, dénonce-t-il, le journal cabotine. L'enquête prend la forme d'un miroir convexe où défilent clichés orientalistes et colportage de cancans. La fécondité créatrice de la fiction se mue en stérilité journalistique, incapable de produire autre chose que des reflets biaisés orientés vers le sensationnel. Le journal ne décrit pas le Royaume : il monte son propre spectacle ». Et le360 de dénoncer « un choix éditorial qui ressemble fort à un deal médiatico-politique. Certaines voix, à Paris comme à Alger, chercheraient-elles à renouer le fil ? Le quotidien ajuste sa focale et joue sa partition. […] Lorsqu'un organe de presse travestit sa mission et se met au service d'influences étrangères, peut-on encore parler de média indépendant ? ». Et puis le monde politique marocain a également réagi… à l'unisson. Même l'opposition a exprimé son indignation. Exemple, cité par le site Yabiladi : « le journal Bayane Al Yaoum du PPS, le Parti du progrès et du socialisme, a estimé que la série d'articles du Monde "ne relevait pas du cadre de la pratique journalistique professionnelle ou des différences légitimes d'approche, mais plutôt d'une campagne systématique visant le Maroc, s'appuyant sur des rumeurs et de la désinformation" ». L'énigme Mohammed VI… Levée de boucliers donc de la presse et du monde politique. En revanche, aucune réaction officielle. C'est ce que souligne Afrik.com : « fait remarquable, le palais royal maintient un silence total. Aucun communiqué, aucune réaction formelle émanant directement de l'institution monarchique. Cette stratégie du mutisme contraste avec l'agitation médiatique orchestrée en sous-main ». Au final, analyse Afrik.com, « Mohammed VI reste effectivement une "énigme", mais peut-être pas celle que décrit Le Monde. L'énigme n'est pas tant dans sa santé fragile ou ses absences répétées que dans sa capacité à maintenir un système monarchique absolutiste au XXIe siècle, à quelques kilomètres de l'Europe démocratique ». Et Afrik.com de s'interroger : « Comment concilier l'image d'un roi moderne, amateur de jet-ski et de sports mécaniques, avec celle du Commandeur des croyants, héritier d'une tradition séculaire ? Comment gérer la transition vers son fils dans un contexte régional instable ? Comment maintenir l'équilibre entre ouverture économique et fermeture politique ? Comment gérer une alliance avec Israël, premier fournisseur d'armement du Royaume, alors que la population soutient massivement Gaza ? ».
Donald Trump et Vladimir Poutine forment un étonnant duo : parfois très alignés, et à d'autres moments en totale opposition. À l'image de ce tandem, les liens entre dirigeants russes et américains ont défini les trajectoires des deux pays et du monde, depuis Franklin Roosevelt et Joseph Staline. Depuis la Seconde guerre mondiale jusqu'à la fin de la guerre froide, La Loupe brosse le portrait de quatre binômes et de leur influence, avec Andrei Kozovoï, professeur à l'Université de Lille, spécialiste des relations internationales, auteur de Les services secrets russes, des tsars à Poutine (Tallandier). Episode 1 : Nikita Khrouchtchev et John F. Kennedy. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : INA, JFK Library, C-Span Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(Episode diffusé pour la première fois le 14 mai 2025) Et si le rap permettait de mieux apprendre au collège ?Cette méthode d'enseignement originaire des Etats-Unis gagne du terrain en France et en Europe.En explorant ces paroles et ces sons, l'école se rapproche des élèves amoureux de culture hip-hop. Depuis 2017, le rap est en effet le genre musical préféré des Français de moins de 25 ans, d'après les enquêtes réalisées par Agi-Son. Les paroles des chansons peuvent contenir des éléments parfaitement intégrables au programme scolaire, au même titre que dans les textes classiques.Pour cet épisode, Sur le Fil est parti à la rencontre d'enseignants qui utilisent le rap comme un outil pédagogique.Réalisation : Victoire Renard-DewynterPrésentation : Emmanuelle BaillonInvitées : Emilie Souyri, maîtresse de conférences en études états-uniennes à l'université de Nice Sophia Antipolis, Marie-Gaëtane Anton, professeure de françaisCrédits extraits musicaux : Ninho, Nekfeu, PakkiSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:37:07 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Depuis la réforme Blanquer du baccalauréat, à chaque rentrée ses changements. Parmi les nouveautés cette année, les notes à coefficient 0 et les plans locaux d'évaluations, afin de réduire le stress des élèves, d'harmoniser les notations entre classes d'un même lycée et de redonner du poids au bac. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
À Port-au-Prince, des habitants ont décidé de regagner leur domicile. Le gang « Viv Ansanm » promet de faire taire les armes pour permettre le retour des citoyens. Et la population a répondu à l'appel. Des retours qui traduisent la détresse des habitants, fatigués des conditions de vie dans les camps de déplacés, et la volonté de recommencer à vivre normalement malgré les risques. Dans les quartiers de Solino, Delma 30 et Nazon, d'anciens habitants découvrent les dégâts laissés par la violence, d'autres, la joie de rentrer chez eux après avoir été chassés. Des comités locaux se sont déjà activés pour nettoyer les quartiers. Si du côté des autorités, c'est le silence total, des organisations de défense des droits humains dénoncent cette démarche. C'est le reportage de Peterson Luxama, notre correspondant à Port-au-Prince. Au Guyana, une élection sous tension Alors que le pays élit, ce lundi, son président, le média guyanais Kaieteur News revient sur une attaque qu'il qualifie « d'effrontée » et qui a eu lieu dimanche. Des responsables de la commission électorale ont été visés par des tirs venant de la frontière entre le Guyana et le Venezuela. Ils étaient en train de transporter une urne dans la région de l'Essequibo, à l'ouest du pays. Le territoire est riche en ressources naturelles et convoité par Caracas depuis des décennies. Kaieteur News fait le lien entre cet événement et la multiplication des attaques de gangs vénézuéliens sur le territoire guyanais. Et CNN Latinoamérica s'interroge : « Pourquoi ces élections suscitent-elles autant d'attention que celles d'une nation plus grande et plus active en termes géopolitiques ? » La réponse est simple. Le pays devrait connaître la plus forte croissance de production pétrolière au monde durant les dix prochaines années. En 2015, une compagnie pétrolière avait découvert un gigantesque gisement de pétrole. Mais ce n'est pas la seule raison de l'intérêt porté à cette journée, selon CNN Latinoamérica. Cette élection est la première d'une série de scrutins qui devraient changer la face du continent sud-américain entre aujourd'hui et 2026 et bouleverser les collaborations de la région avec les États-Unis. À lire aussiGuyana : une élection présidentielle sur fond de manne pétrolière Une réunion en urgence entre les pays d'Amérique du Sud Les États-Unis ont dépêché des navires de guerre à proximité du Venezuela la semaine dernière. Un pas de plus dans la lutte contre le trafic international de drogue menée par Donald Trump. Ce lundi, la Celac se réunit à la demande de la Colombie, qui en assure la présidence tournante. Le média El Colombiano refait le point sur cette rencontre dépêchée d'urgence. Les membres doivent évoquer la situation et rappeler le rejet total de l'ingérence dans la région. El Colombiano revient aussi sur la guerre que mène Donald Trump à Nicolas Maduro, et rappelle qu'il y a quelques semaines, Washington a augmenté la récompense pour la capture du chef d'État vénézuélien. La Maison Blanche le soupçonne d'être en lien avec les cartels. La nouvelle récompense s'élève à 50 millions de dollars. Pour le média d'opposition vénézuélien TalCual, les tensions avec les États-Unis ont atteint un point de non-retour. Il dénonce un déploiement militaire disproportionné pour lutter contre le trafic dans les Caraïbes. TalCual déplore la situation dans le pays où désormais, à l'inefficacité du gouvernement, la pauvreté et la corruption s'ajoutent la menace d'une intervention étrangère. Medellín, future « Silicon Valley d'Amérique latine » Medellín, la capitale économique de la Colombie, a lancé un grand plan de transformation pour devenir « la Silicon Valley d'Amérique latine ». Les autorités et les entreprises mettent leurs forces en commun pour faire de Medellín un centre de technologie et d'innovation, une sorte de Medellín 4.0. Depuis la fin de la pandémie, les premiers changements sont notables, comme les immeubles de coworking et l'arrivée de nouvelles entreprises internationales. Même si le chemin est encore long, Medellín ne compte pas baisser les bras. C'est le dossier Amériques du jour de Najet Benrabaa, notre correspondante à Medellin. Les femmes noires, principales victimes des coupes budgétaires de Donald Trump Le New York Times met en Une les femmes noires, les principales victimes des coupes budgétaires de Donald Trump dans le gouvernement fédéral. Le quotidien américain dresse le portrait de quatre femmes afro-américaines, dont Peggy Carr. Elle est la première personne noire et la première femme à occuper le poste de commissaire du Centre national des statistiques de l'éducation. Après 35 ans de carrière, en février dernier, un officier de sécurité est monté dans son bureau, il lui a donné 15 minutes pour faire ses affaires et l'a escorté en dehors du bâtiment, devant ses collègues sous le choc. Dans chaque portrait, l'histoire se répète : des fonctionnaires remerciés quand Donald Trump a commencé à démanteler les agences d'État, trop woke, trop libérales à ses yeux. Selon le New York Times, depuis des décennies, le gouvernement fédéral sert d'ascenseur social aux Afro-Américaines, discriminées sur le marché du travail. Résultat des courses, à l'échelle nationale, plus de 300 000 femmes noires ont perdu leur emploi dans les secteurs public et privé depuis février 2025. Les hommes blancs, eux, ont enregistré le plus grand nombre d'emplois supplémentaires sur la même période aux États-Unis. Journal de la 1ère En Guadeloupe, comme sans doute dans tout l'outre-mer, la perspective d'un changement de gouvernement suscite la perplexité, pour ne pas dire l'inquiétude.
Il était une fois Virginie, qui a toujours rêvé de vivre un conte de fée, comme ses parents ensemble depuis leur adolescence. Mais après quelques relations longues et ex pervers narcissique, Virginie n'a plus confiance en elle et fait une dépression. Persuadée d'être nulle dans tout ce qu'elle fait et de ne pas mériter l'amour avec un grand A. Alors c'est au fur et à mesure de séances de psy que Virginie comprend que ce n'est pas d'un homme dont elle a besoin mais de devenir mère. Et une fois qu'elle a remonté la pente, elle démarre un parcours de PMA en France et tout se passe assez rapidement.Depuis neuf mois, Virginie est maman solo d'une petite fille et sa maternité lui a redonné confiance en elle. Elle a trouvé son rythme en tant qu'infirmière qui travaille de nuit et peut-être même qu'elle a retrouvé l'amour…Dans cet épisode on parle de voir les autres avancer, d'avoir une crèche ouverte 24h/24 et de ne pas avoir peur d'élever un enfant toute seule.Bonne écoute !----------------------------------------------Pour soutenir Hello Solos, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoignez la communauté des mamans solos : @hello.solos Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans la région du Tchologo, dans le nord de la Côte d'Ivoire, les habitants de Kong tentent de valoriser leur patrimoine historique et religieux. Au cœur de la ville, figure la mosquée de style soudanais, classée au patrimoine mondial de l'Unesco. Mais aussi plusieurs vestiges du passé colonial. De notre envoyée spéciale à Kong, La case de Binger se trouve au cœur du centre-ville de Kong. C'est une maison faite de briques en argile, partiellement détruite et envahie d'herbes-hautes. Selon les habitants, l'explorateur français Louis-Gustave Binger aurait séjourné à Kong à deux reprises à partir du 20 février 1888. Les habitants l'auraient logé dans une case. Ce site a été conservé, car ce passage rappelle la position stratégique de Kong au XIXème siècle. « Kong était un carrefour commercial très important par où transitait presque tout : de l'or, du poisson sec, de la kola, explique Lucien Bogbé-Prévost, un guide touristique. Kong avait atteint une certaine prospérité, de sorte qu'elle était convoitée par plusieurs puissances occidentales. Et pendant son séjour, Gustave Binger a eu à signer plusieurs pactes avec la population locale. Parmi lesquels, on peut citer un pacte commercial. Il y avait également le pacte de la reconnaissance de l'islam en tant que religion. » Au cœur du quartier Sirakoro, une stèle blanche, entourée d'arbustes. Il s'agit de la tombe de Moskowitz, un explorateur venu ici en 1894 pour alerter le colon français de la présence des Britanniques dans la région. Cette sépulture est entretenue par une habitante. C'est une marque de reconnaissance, selon Lucien Bogbé-Prévost : « Il était considéré comme un sauveur. Donc s'il décède à Kong, c'est normal qu'on l'enterre à Kong. C'est une manière de lui rendre hommage. » Signe de ces migrations et de l'islamisation du nord ivoirien, la grande mosquée, de style soudanais, de Kong : c'est une mosquée en terre, avec des charpentes en saillie. Construite au XVIIème siècle, cette mosquée a été détruite à trois reprises, notamment lors d'une offensive lancée par Samory Touré en 1897. Depuis, l'édifice a été reconstruit par les habitants. Bafétigué Konaté est le président du comité de gestion de la grande mosquée. Tous les trois ans, les habitants procèdent au crépissage de cet édifice : « Il faut prendre une argile rouge. Il y a par ailleurs, un arbre en brousse, appelé foulougou. On coupe. On remplit trois ou quatre barriques. On mouille. Et on laisse reposer quelques jours. Ça devient ensuite comme du caoutchouc. On utilise cette matière à l'intérieur et à l'extérieur de la mosquée. » La grande mosquée est classée au patrimoine de l'Unesco. Mais les visites sont encore timides. La faute, à l'insécurité : en 2020 et en 2021, deux attaques meurtrières affectent Kafolo, non loin de Kong. Depuis, l'armée ivoirienne sécurise les départements du Nord ivoirien. Et des cadres locaux s'organisent pour relancer les activités culturelles. Parmi eux, Bamoussa Ouattara, 1er adjoint au maire et initiateur d'un festival célébrant la renaissance de Kong : « La Côte d'Ivoire a vécu une période de crise, une dizaine d'années et tout cela a impacté le tourisme. Mais ceci étant, la crise est derrière nous. Il n'y a aucun problème de sécurité à Kafolo. Les populations ont renoué avec leur train-train quotidien. Il y a même de grands travaux qui s'y déroulent. Donc, je pense que tout cela ne peut être possible que s'il y a la sécurité. » Cet acteur politique local espère notamment développer le tourisme religieux. À lire aussiCôte d'Ivoire: la réussite de la relance du parc de la Comoé [1/2]
REDIFFUSION - Oser la Reconversion est en vacances et revient début septembre avec de nouveaux invités.- Episode diffusé initialement le 14 octobre 2024 (épisode #142)Aujourd'hui, j'accueille dans Oser la Reconversion, Amélie du Chalard. Après avoir travaillé comme banquière d'affaires chez Rothschild, Amélie a fondé une galerie d'art Amélie Maison d'Art avec une galerie à Paris et à NYC. Avec un père avocat d'affaires et une mère sculptrice, le coeur d'Amélie balance entre la finance et l'art. Après le bac, Amélie se dirige d'abord vers des études de finance. Elle travaillera en M&A chez Rothschild et accompagnera les chefs d'entreprise au moment de la cession de leur activité ou de l'achat d'une entreprise. Pendant 5 ans, sa vie se résume à son travail. Elle aime l'adrénaline et les challenges des deals à plusieurs millions d'euros.Jusqu'au jour où sa passion pour l'art la rattrape. Depuis longtemps, Amélie collectionne les oeuvres d'arts qu'elle achète grâce à son salaire confortable chez Rothschild. Elle plaque tout pour fonder Amélie Maison d'Art en 2015, une galerie qui bouscule les codes traditionnels du marché.Aujourd'hui, à 36 ans, Amélie est la fondatrice d'Amélie Maison d'Art, une galerie d'art qui représente 120 artistes du monde entier avec un espace en ligne, une galerie à Paris au 18 rue Séguier 75006 Paris et à NYC à Manhattan. Amélie Maison d'Art, c'est une galerie qui propose des oeuvres de "luxe accessible" dans un environnement chaleureux et humain. Amélie travaille à la fois avec des clients particuliers et des entreprises comme les boutiques Dior, des hôtels... Avec Amélie, on a évoqué le milieu masculin des banques d'affaires, sa vision pour Amélie Maison d'Art avec des espaces aménagés comme des maisons, comment elle a trouvé ses premiers clients, les différences entre Paris et NYC dans la gestion des galeries, comment elle conjugue vie de maman avec 3 enfants et chef d'entreprise avec une équipe de 20 personnes et les dessous de son succès.Retrouvez Oser la Reconversion sur Instagram : https://www.instagram.com/oserlareconversion/Télécharger le cahier d'exercices d'Oser la Reconversion pour se reconvertir : https://oserlareconversion.com/Notes & Références : - Instagram de Léna @ameliemaisondart : https://www.instagram.com/amelieduchalard/- Site internet : https://www.amelieduchalard.com/Contactez-moi ! Si le Podcast vous plait, le meilleur moyen de me le dire, ou de me faire vos feedbacks (et ce qui m'aide le plus à le faire connaître), c'est simplement de laisser un avis sur Apple Podcast, un commentaire sur Youtube et d'en parler autour de vous. ça m'aide vraiment alors n'hésitez pasPour me poser des questions, participer au podcast ou suivre mes aventures, c'est par ici :- Sur Instagram @clervierose : https://www.instagram.com/oserlareconversion et @clervierose : https://www.instagram.com/clervierose- Sur Linkedin : https://www.linkedin.com/in/clervie-rose-boennec-a09065102/- Sur Youtube : https://www.youtube.com/@ClervieRose
Depuis toujours, l'homme a toujours su cultiver l'art de raconter des histoires pour captiver ou convaincre. Dans les années 90, aux États-Unis puis en Europe, naît le concept de « Storytelling » avec une structure narrative qui suscite émotion et identification et devient le moteur des campagnes de publicité ou électorales. Comment expliquer le succès de ces façonneurs d'images et de mots ? Quels sont les rouages de cette « machine à raconter » ? C'est depuis les années 90 une nouvelle façon de communiquer. Le mot de storytelling a déjà plus de 30 ans, puisqu'il apparaît dès les années 90 aux États-Unis, en pleines révolutions managériale et capitaliste. Dans l'entreprise, dans le marketing, en politique, le storytelling est devenu la panacée, perçu comme un nouveau mode de communication. « Depuis quinze ans, il y a eu beaucoup de découvertes et d'innovations, surtout dans le domaine des médias et de la communication », nous dit Christian Salmon. Il y a quinze ans, le storytelling était encore une communication verbale, humaine. Depuis, le smartphone et les réseaux sociaux ont été inventés et chacun peut devenir un storyteller induit par des machines narratives. Il faut se présenter. Il faut performer. Il faut se raconter. Aujourd'hui, on ne vend plus des produits, mais des histoires. Un produit ne vaut que parce qu'il est agrégé à une histoire. Aujourd'hui, il y a même des festivals de storytelling aux États-Unis (près de deux cents !). On intègre des griots et des conteurs dans les entreprises. Le narratif emprunte aux formes traditionnelles de récits. C'est parfois fait presque de manière infantile. On crée des récits comme on parlerait à des enfants. Invité : Christian Salmon, écrivain et chercheur. Il fonde en 1993 le Parlement international des écrivains. Il a publié, il y a une quinzaine d'années, Storytelling – La machine à fabriquer des histoires et à formater les esprits aux éditions La Découverte en 2013. À partir du 8 septembre, il animera un cycle de conférences sur les usages du récit dans nos sociétés au Théâtre de la Bastille. Et la chronique Ailleurs aux États-Unis nous fait rencontrer Farah Thyma qui a fondé depuis la ville de Philipsburg, La Relève, en 2021, une bibliothèque numérique qui permet aux enfants, adolescents et étudiants d'Haïti, de Côte d'Ivoire et des États-Unis d'emprunter des livres numériques gratuitement. Programmation musicale : Les artistes Stromae avec le DJ allemand Paul Kalkbrenne avec le titre Que ce soit clair.
Depuis toujours, l'homme a toujours su cultiver l'art de raconter des histoires pour captiver ou convaincre. Dans les années 90, aux États-Unis puis en Europe, naît le concept de « Storytelling » avec une structure narrative qui suscite émotion et identification et devient le moteur des campagnes de publicité ou électorales. Comment expliquer le succès de ces façonneurs d'images et de mots ? Quels sont les rouages de cette « machine à raconter » ? C'est depuis les années 90 une nouvelle façon de communiquer. Le mot de storytelling a déjà plus de 30 ans, puisqu'il apparaît dès les années 90 aux États-Unis, en pleines révolutions managériale et capitaliste. Dans l'entreprise, dans le marketing, en politique, le storytelling est devenu la panacée, perçu comme un nouveau mode de communication. « Depuis quinze ans, il y a eu beaucoup de découvertes et d'innovations, surtout dans le domaine des médias et de la communication », nous dit Christian Salmon. Il y a quinze ans, le storytelling était encore une communication verbale, humaine. Depuis, le smartphone et les réseaux sociaux ont été inventés et chacun peut devenir un storyteller induit par des machines narratives. Il faut se présenter. Il faut performer. Il faut se raconter. Aujourd'hui, on ne vend plus des produits, mais des histoires. Un produit ne vaut que parce qu'il est agrégé à une histoire. Aujourd'hui, il y a même des festivals de storytelling aux États-Unis (près de deux cents !). On intègre des griots et des conteurs dans les entreprises. Le narratif emprunte aux formes traditionnelles de récits. C'est parfois fait presque de manière infantile. On crée des récits comme on parlerait à des enfants. Invité : Christian Salmon, écrivain et chercheur. Il fonde en 1993 le Parlement international des écrivains. Il a publié, il y a une quinzaine d'années, Storytelling – La machine à fabriquer des histoires et à formater les esprits aux éditions La Découverte en 2013. À partir du 8 septembre, il animera un cycle de conférences sur les usages du récit dans nos sociétés au Théâtre de la Bastille. Et la chronique Ailleurs aux États-Unis nous fait rencontrer Farah Thyma qui a fondé depuis la ville de Philipsburg, La Relève, en 2021, une bibliothèque numérique qui permet aux enfants, adolescents et étudiants d'Haïti, de Côte d'Ivoire et des États-Unis d'emprunter des livres numériques gratuitement. Programmation musicale : Les artistes Stromae avec le DJ allemand Paul Kalkbrenne avec le titre Que ce soit clair.
Aujourd'hui, pas le choix, on monte dans la cage parce que c'est « fight week ». Depuis 2022, l'UFC fait escale à Paris au mois de septembre. Cette année rendez-vous le 6 à Bercy pour une carte qui a mis du temps à se dessiner et qui, si pas de changement, verra 5 Français combattre. Le RMC Fighter Club rentre en détail dans l'analyse de ces combats et sur l'ensemble de la carte. On vous donnera aussi en fin d'émission notre podium des combats qu'on attend le plus… Et d'ailleurs n'hésitez à nous donner vous aussi votre top 3 en commentaire. Nassourdine Imavov, Benoit Saint Denis, William Gomis, Oumar Sy, Axel Sola et les combats internationaux comme le très chaud Keita contre Pitbull, c'est parti pour le preview de l'UFC Paris, 4ème édition…
Écoutez l'essentiel de l'émission du 1er septembre 2025 de La commission: 1- La CAQ se sert-elle de la laïcité uniquement pour détourner l’attention du public? Existe-t-il réellement un problème d’« islamisation » au Québec? 2- Est-ce que ça vous tente d’aller en élections maintenant à la place d’attendre encore un an ? 3- Après avoir renversé le troisième joueur au monde, Alexander Zverev, Felix Auger-Aliassime affrontait Andrey Rublev (15e au monde) en huitièmes de finale ce midi à l'US Open; 4- Guerre commerciale: Comment interpréter le retrait des contre-tarifs sur les produits américains? 5- Depuis des décennies, les Québécois sont nombreux à aller sur les plages aux États-Unis. Pn apprend que plusieurs plages américaines comme à Ogunquit, sont déconseillées à la baignade en raison de niveaux dangereux de contamination fécale.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Peut-être que la voix de Maryse Burgot, journaliste grand reporter à France Télévisions, vous est déjà familière. Depuis plus de trente ans, elle parcourt le monde pour raconter les grands bouleversements géopolitiques, de la guerre du Kosovo aux tranchées ukrainiennes. En nous donnant accès à l'information, Maryse Burgot et ses collègues participent, à leur manière, à l'écriture de l'Histoire.Mais, comme pour chacun d'entre nous, la grande Histoire se mêle à la plus intime. Celle d'une mère, d'une fille, d'une femme, et, d'une grand reporter de guerre.À lire : Loin de chez moi, Maryse Burgot, publié aux Éditions Fayard.N'hésitez pas à vous abonner et à me suggérer des femmes dont vous souhaitez découvrir le destin.En attendant, nous nous retrouvons sur Tiktok et Instagram @lunerobMerci à Maryse Burgot et au Prix Pampelonne Ramatuelle d'avoir rendu cet épisode possible.Et, merci à Simon Berthoud pour son travail sur le jingle de ce podcast. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis 10 ans (déjà), Trump chamboule non seulement son propre parti mais aussi l'ensemble de l'échiquier politique américain. De quoi son succès est-il le nom? Comment en est-il venu à cristalliser les tensions qui traversent les Etats-Unis depuis plus de 20 ans? Quelle idéologie lui et son entourage ont-ils progressivement façonnée, et comment celle-ci risque-t-elle de renverser le statu quo qui avait cours jusqu'alors ? Autant de questions auxquelles l'historienne Maya Kandel tente de répondre dans cette nouvelle saga.Pour approfondir le sujet, n'hésitez pas à vous procurer l'ouvrage de Maya Kandel, disponible iciInvitée : Maya KandelAvec Simon DesplanqueSuivez le podcast ! Il est désormais sur X/Twitter : @20MPC_podcast & LinkedIn ! Générique : Léopold Corbion (15 Years of Reflection)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Swisscoy au Kosovo reste l'engagement le plus important de l'armée suisse pour la promotion de la paix. En ce 1er août 2021, c'est sous le soleil de plomb du Kosovo que les volontaires écoutent les discours de leur chef, de l'ambassadeur et du plus haut gradé de l'armée suisse, le commandant de corps Laurent Michaud, venu spécialement de Suisse. Depuis 1999, les uniformes suisses font partie du paysage kosovar. Intégrés dans la KFOR, la force armée multinationale mise en œuvre par l'OTAN au Kosovo, les militaires suisses rejoignent pour une durée de six mois les contingents de la Swisscoy, qui patrouillent le pays et veillent au maintien de la paix. (Première diffusion le 29.09.2021). Reportage de Laurence Difélix Réalisation: Rodolphe Bauchau Production : Raphaële Bouchet
En 1901, le fondateur de la Croix-Rouge, Henry Dunant, reçoit le premier prix Nobel de la paix. Sa mission se poursuit aujourd'hui. À Genève, le Bureau de l'Agence centrale de recherches du CICR pour le conflit entre la Russie et l'Ukraine (C-TAB) a pour mandat de centraliser les informations sur les prisonniers de guerre. Depuis 2022, près de 120 000 dossiers ont été ouverts. Le CICR joue également un rôle d'intermédiaire neutre dans des conflits comme en République démocratique du Congo, peu avant le récent accord de paix. Reportages de Laure Gabus Réalisation : David Golan Production : Raphaële Bouchet
durée : 00:18:56 - L'invité de 8h20 - par : Ali Baddou, Marion L'hour - Le regard de trois journalistes étrangers sur la politique française : Birgit Holzer, Anna Bonalume et Leila Abboud. Le Premier ministre François Bayrou donnera ce soir une interview aux chaînes d'information en continu. Les oppositions semblent avoir déjà tourné la page de son gouvernement. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Depuis son indépendance en 1991, la Moldavie cherche sa place entre l'Est et l'Ouest, portée aujourd'hui par la présidente Maia Sandu, symbole des ambitions européennes du pays dans un contexte géopolitique délicat.
Depuis sept ans, vous êtes de plus en plus nombreuses et nombreux à écouter nos histoires à Thomas, Andoryss, Vero, Loïc, Mathieu et moi ! Pour continuer à vous proposer les histoires dont vous avez envie, je me suis dit que le mieux c'était de vous poser des questions.Voici le lien vers l'enquête : https://taleming.com/grande-enquete-2025/Merci de participer ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans le supplément de ce samedi, Grand reportage week-end est entièrement consacré au changement climatique. En première partie, direction l'Allemagne, la capitale doit faire rapidement le nécessaire pour s'adapter aux effets du changement climatique. En deuxième partie, direction le Pérou, à Iquitos, où les riverains du fleuve Amazone subissent les dégâts du changement climatique (sécheresse, inondations). (Rediffusion) Berlin, ville éponge : sur la voie de l'adaptation au changement climatique Berlin vit la plus importante transformation de son histoire. Comme d'autres grandes villes dans le monde, la capitale allemande et ses quatre millions d'habitants doit faire vite pour s'adapter aux effets du changement climatique. La municipalité a donc adopté un nouveau concept : celui de la « ville-éponge ». Il s'agit de permettre à la terre d'absorber l'eau. Ou bien de la collecter pour la rendre ensuite disponible en période de sécheresse. Depuis 2018, pour chaque nouvelle construction, plus aucune goutte de pluie ne doit partir dans les canalisations. Cela pose des défis considérables et oblige à trouver des solutions innovantes. Un Grand reportage de Stefanie Schüler qui s'entretient avec Jacques Allix. À Iquitos, au Pérou, le changement climatique bouleverse le quotidien des riverains de l'Amazone Cette année encore, l'Amazonie connaît l'une des pires sécheresses, les images satellites sont édifiantes : des fleuves à sec, des bateaux échoués... Au Pérou, dans la région d'Iquitos, tout tourne autour de l'Amazone. Le fleuve géant de l'Amérique du Sud. Les habitants du quartier de Belen et des communautés alentours n'ont plus de repères face à des cycles de sécheresse et d'inondation, totalement bouleversés. La pêche, l'agriculture, le transport, l'éducation, la santé, le logement… pas un secteur n'échappe à ces chamboulements, faute de plan d'adaptation des autorités, les habitants tentent de faire face au jour le jour. Un Grand reportage de Juliette Chaignon qui s'entretient avec Jacques Allix.
durée : 00:04:10 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - C'est la question posée par Jeanne, neuf ans, au répondeur des P'tits bateaux. C'est l'historienne et généalogiste Marie-Odile Mergnac qui lui répond. - réalisé par : Stéphanie TEXIER Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
L'invitée de la #SessionLive est l'artiste mauricienne Lisa Ducasse pour la sortie de l'album Iléisme. (Rediffusion) Teaser RFI L'iléisme, c'est d'abord, dans sa définition, l'acte de parler de soi à la troisième personne. Par extension, c'est tout acte de création qui pourrait être vu comme une forme d'iléisme, comme une fenêtre qu'on ouvrirait toujours dans le même sens : de soi vers le monde. Dans le motet dans ce qu'il referme de sons, il y a aussi la langue qui glisse, pour dire « île et isthme», l'île et la presqu'île. Et c'est bien en termes d'îlots, issus et faisant chacun partie d'une géographie, d'une cartographie imaginaires – celle des voyages, réels et rêvés, celle des échappées belles – que Lisa Ducasse a pensé les morceaux de ce premier album, aux côtés de Bénédicte Schmitt à la réalisation, avec Raphaël Séguinier à la batterie et aux percussions, Nicolas Mantoux aux synthés et guitares, Christelle Lassort au violon et Eve Risser au piano préparé. Seule en scène, clavier et platine vinyle au bout des doigts, Lisa Ducasse invite au voyage de ses textes et sa voix. Née à l'Ile Maurice et actuellement installée à Paris, elle conserve et cultive un attachement farouche à l'enfance et à la capacité d'émerveillement dans sa vie adulte et créative. Inspirées d'échappées réelles, ses chansons font preuve d'une volonté́ de dire la rencontre du vulnérable et de l'indomptable, en notes et en mots déliés, personnels et actuels. Après des années de performance de spoken word, et un recueil de poésie édité en 2017, Lisa sort un premier single remarqué aux côtés de Guillaume Poncelet, « Qui sont » (270k écoutes sur Spotify). Depuis, elle a été lauréate du dispositif Variations, du Chantier des Francofolies, #FoRTE et du FAIR. Elle multiplie les premières parties dans des salles parisiennes telles que l'Olympia avec Zazie, le Casino de Paris avec Alain Souchon, tout en parcourant la France aux côtés d'artistes tels que Pomme, Arthur H, Barbara Pravi, ou encore Bertrand Belin, et le monde en festivals (Fête de l'Humanité, Francofolies de La Rochelle, de Montréal, de La Réunion)... Après plusieurs singles, de nombreux voyages entre l'Amérique du Sud et Paris, et plus d'une centaine de concerts, son premier album, Iléisme, enregistré aux légendaires Labomatic Studios, a vu le jour en janvier 2025. Titres interprétés dans le grand studio - L'Essor Live RFI - Sahara, extrait de l'album - Partie Pour poème - Voleuse d'éclairs Live RFI. Line Up : Lisa Ducasse, chant, Jules Monnier, machines. Son : Mathias Taylor, Camille Roch. ► Album Iléisme (Rising Bird 2025). Maison de la Poésie 2 avril COMPLET, 26 mai. + Piers Faccini et Ballaké Sissoko. Walid Ben Selim Anthony Joseph Facebook - YouTube. Réalisation : Hadrien Touraud.
L'invitée de la #SessionLive est l'artiste mauricienne Lisa Ducasse pour la sortie de l'album Iléisme. (Rediffusion) Teaser RFI L'iléisme, c'est d'abord, dans sa définition, l'acte de parler de soi à la troisième personne. Par extension, c'est tout acte de création qui pourrait être vu comme une forme d'iléisme, comme une fenêtre qu'on ouvrirait toujours dans le même sens : de soi vers le monde. Dans le motet dans ce qu'il referme de sons, il y a aussi la langue qui glisse, pour dire « île et isthme», l'île et la presqu'île. Et c'est bien en termes d'îlots, issus et faisant chacun partie d'une géographie, d'une cartographie imaginaires – celle des voyages, réels et rêvés, celle des échappées belles – que Lisa Ducasse a pensé les morceaux de ce premier album, aux côtés de Bénédicte Schmitt à la réalisation, avec Raphaël Séguinier à la batterie et aux percussions, Nicolas Mantoux aux synthés et guitares, Christelle Lassort au violon et Eve Risser au piano préparé. Seule en scène, clavier et platine vinyle au bout des doigts, Lisa Ducasse invite au voyage de ses textes et sa voix. Née à l'Ile Maurice et actuellement installée à Paris, elle conserve et cultive un attachement farouche à l'enfance et à la capacité d'émerveillement dans sa vie adulte et créative. Inspirées d'échappées réelles, ses chansons font preuve d'une volonté́ de dire la rencontre du vulnérable et de l'indomptable, en notes et en mots déliés, personnels et actuels. Après des années de performance de spoken word, et un recueil de poésie édité en 2017, Lisa sort un premier single remarqué aux côtés de Guillaume Poncelet, « Qui sont » (270k écoutes sur Spotify). Depuis, elle a été lauréate du dispositif Variations, du Chantier des Francofolies, #FoRTE et du FAIR. Elle multiplie les premières parties dans des salles parisiennes telles que l'Olympia avec Zazie, le Casino de Paris avec Alain Souchon, tout en parcourant la France aux côtés d'artistes tels que Pomme, Arthur H, Barbara Pravi, ou encore Bertrand Belin, et le monde en festivals (Fête de l'Humanité, Francofolies de La Rochelle, de Montréal, de La Réunion)... Après plusieurs singles, de nombreux voyages entre l'Amérique du Sud et Paris, et plus d'une centaine de concerts, son premier album, Iléisme, enregistré aux légendaires Labomatic Studios, a vu le jour en janvier 2025. Titres interprétés dans le grand studio - L'Essor Live RFI - Sahara, extrait de l'album - Partie Pour poème - Voleuse d'éclairs Live RFI. Line Up : Lisa Ducasse, chant, Jules Monnier, machines. Son : Mathias Taylor, Camille Roch. ► Album Iléisme (Rising Bird 2025). Maison de la Poésie 2 avril COMPLET, 26 mai. + Piers Faccini et Ballaké Sissoko. Walid Ben Selim Anthony Joseph Facebook - YouTube. Réalisation : Hadrien Touraud.
Depuis mars 2022, il existe en France un pôle des crimes sériels et non élucidés qu'on appelle aussi "cold cases". Créé à l'initiative de l'ancien ministre de la justice Eric Dupont Morretti, son objectif est d' “examiner les affaires criminelles et disparitions non élucidées plus de 18 mois après les faits". Depuis, plusieurs affaires ont été rouvertes, c'est par exemple le cas des Disparues de l'Isère. C'est une série d'enlèvements et de meurtres d'enfants qui ont eu lieu dans les années 80 et 90. Au moins 9 enfants sont regroupés dans cette affaire. Quel est le cold case le plus connu de France ? Avons-nous des suspects pour les Disparues de l'Isère ? Qu'est-ce que l'affaire Méchinaud ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter aussi : Qu'est-ce qu'une Cold case ? Qu'est-ce que la justice restaurative ? Qu'est-ce que le syndrome de stress post-traumatique ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 01/10/2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Pascale Rossler, ancienne responsable politique déléguée à la biodiversité, est coach, et conférencière. Formée aux Sciences de l'Environnement, elle accompagne aujourd'hui les transitions écologiques, pour des structures collectives comme pour des personnes privées. Pascale Rossler vient de publier un livre, Révélez votre nature !, qu'elle présente comme un « guide de l'écologie intérieure et relationnelle pour monde meilleur ». L'originalité de son approche, c'est la largeur en même temps que la profondeur de son regard : Largeur dans sa prise en considération des immenses défis écologiques qui se dressent devant nous ; profondeur dans sa vision d'une transformation personnelle par « l'écopsychologie » et aussi la spiritualité. C'est ainsi, selon elle, que nous pouvons réellement contribuer à l'avènement d'une meilleure manière d'habiter la Terre ensemble. Face à nos enjeux actuels, ceux de la perte de nos repères, la crise écologique, le délitement de la solidarité, toutes les déstabilisations individuelles et collectives que nous subissons, il est possible de redonner à nos vies des trajectoires personnelles épanouissantes. Avec son talent, son énergie et sa sérénité, Pascale Rossler offre un témoignage puissant et convaincant. Chez elle, l'amour de la nature et la passion du vivant composent une belle symphonie, portée par une joie rayonnante. Grâce à des acteurs engagés comme elle, le monde meilleur que nous espérons pour demain est déjà en marche, dès aujourd'hui. Pour lire Révélez votre nature !, le livre de Pascale Rossler, cliquer ici. Pour découvrir les activités de Pascale Rossler, cliquer ici. LES PREUX ET LES GUEUX ? Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Lorsque j'écrivais ma lettre hebdomadaire, envoyée dimanche dernier, le 24 août, je n'avais pas imaginé qu'elle susciterait tant d'émouvantes réactions… Au moment où j'écris cette nouvelle lettre, je continue de recevoir des messages de soutien et d'encouragements dont certains m'ont bouleversé par leur contenu, leur profondeur et leur délicatesse. Déjà, j'aurais aimé avoir le temps de répondre à chaque message. En attendant, j'ai retranscrit une sélection d'entre eux sur le site de Zeteo. Vous pourrez les lire en cliquant ici. Vous découvrirez des lignes et des mots qui m'ont tous particulièrement touché, et qui devraient vous toucher aussi. Mieux que tout ce que j'aurais pu dire, ils confirment ce qu'est le parcours de Zeteo depuis son lancement jusqu'à ce jour : une belle et fragile aventure, initiée par un homme de bonne volonté qui suit les intuitions de son cœur, et le fil des rencontres qui se nouent les unes après les autres. Zeteo n'est ni adossé ni soutenu par aucune structure ou Église. Ce podcast libre et indépendant est davantage le fruit d'une curiosité, d'un élan intérieur et du désir de partager au plus grand nombre ce qui fait du bien, qui réchauffe, qui console, qui guérit, qui aime et qui est beau. Avec toujours dans les yeux, dans le cœur et dans l'esprit, cette présence si douce, si intime, si aimante du Christ. C'est une belle et fragile aventure, et la fragilité a aussi une beauté. Comme la fragilité de Jésus, comme celle de tous ceux qui le suivaient sur les terres souvent arides et poussiéreuses de Palestine. La semaine passée, j'avais fait part des reproches de certains. Ils regrettaient que Zeteo ne suivait pas ou plus, selon eux, certaines règles de l'Église catholique. Je tiens ici à rassurer certains auditeurs qui se sont inquiétés. De tels reproches, il n'y en a pas eu beaucoup. Depuis le début de l'été, pas même eu de quoi former tous les doigts d'une seule main. Il est normal que Zeteo ne fasse pas l'unanimité. N'y a t-il pas plusieurs demeures dans la maison du Père ? Il est impossible que la bienveillance divine infinie ne vive seulement que dans une ou deux de ses maisons, et qu'elle abandonne toutes les autres. Zeteo n'est pas une de ces grandes maisons du Seigneur. Juste un petit couloir peut-être, ce qui serait déjà tellement bien. Ou encore, mieux qu'un couloir, un petit chemin parmi tous ceux qui, en traversant le coeur d'une immense et merveilleuse forêt, mèneraient vers une montagne où brille toujours le soleil. Sinon, que penser des messages d'auditeurs, reçus cette semaine, comme de tous ceux qui les ont précédés ? Ceux qui témoignent des bienfaits qu'ils ont reçu des invités entendus sur Zeteo, se trompent-ils ? Mentent-ils ? Ou, simplement, sont-ils dans l'illusion ? Ces témoignages valent-ils moins que ceux qui confessent un attachement plus direct à une Église, qu'elle soit catholique, protestante ou orthodoxe, voire à une religion non chrétienne ? Y aurait-it des témoins plus valables que d'autres ? D'un côté les preux, de l'autre les gueux ? Il n'y a pas d'un côté les bons et de l'autre les méchants. Ni les preux à droite et les gueux à gauche. Le bien et le mal, la division, la dualité, la vie et la mort sont en chacun de nous. C'est en chacun de nous que se livre le combat. Et nous ne sommes pas seuls pour le gagner. Il y a celui qui l'a déjà gagné pour nous, pour toujours. Celui qui nous attend tout le temps. Celui qui inspire, guide et accompagne d'innombrables hommes et femmes de bien sur cette terre et qui, à leur tour, libèrent, éveillent, guérissent les uns et les autres. Comme le dit si bien Fadila Semaï au micro de Zeteo, Jésus n'appartient pas aux catholiques. Le Christ appartient à toute l'humanité. N'oublions jamais l'attachement de Jésus, tranchant résolument sur les pratiques religieuses de son temps. Il allait parler à tous et à toutes. Il est celui qui « attire à lui tous les hommes » (Jn 12, 32). L'évangélisation, elle est pour tout le monde. Elle n'est pas conditionnée par des principes, des vérités et parfois des dogmes qui comptent pour certaines populations, selon la géographie, la culture ou la société. La moisson recouvre toute la Terre, et la tâche est immense. D'où peut-être, modestement, cette mission de Zeteo d'essayer d'aller toujours au plus grand nombre. Et de tenter de révéler ce qui nous rapproche tous, pas ce qui nous divise. Comme le révèle justement Philippe Dautais lors d'une de ses participations à Zeteo, il est frappant de voir à quel point toutes les spiritualités se rapprochent, depuis celles des peuples premiers. Il les comparait aux religions. Celles-ci sont des organisations humaines, et même si elles peuvent être inspirées et guidées divinement, elles peuvent tomber dans les pièges des divisions. Philippe Dautais est un religieux lui-même, il est une très belle figure de l'Église orthodoxe. Mais je crois qu'il est avant tout, comme de nombreux mystiques, un spirituel. Il est à l'écoute de l'Esprit qui souffle et qui anime, d'abord dans nos esprits et dans nos coeurs. L'Esprit divin souffle où il veut. Zeteo n'est pas au centre du monde. Ce podcast n'a pas la prétention de détenir une vérité immuable et infaillible. Mais il n'est pas vrai que l'Esprit ne souffle que d'un côté. La meilleure illustration, qui est en même temps notre meilleur soutien, ce sont ces témoignages d'auditeurs que je citais plus haut. N'est-il pas frappant, en lisant les Évangiles, de voir l'attitude du Christ dans presque tous ses échanges directs avec ceux qu'il rencontre ? Jésus est doux et aimant. Parfois, il ne parle pas. Ou il pose une, ou deux questions. En l'interrogeant, il invite toujours son interlocuteur vers son intériorité. Il l'invite à chercher, avec cette confiante certitude que c'est à l'intérieur de soi que l'on trouve le bon, le beau, le vrai et l'amour. C'est tout le sens du va-vers-soi de notre si chère Annick de Souzenelle. Alors que nos institutions et nos sociétés semblent au bord de craquer, que notre modèle civilisationnel est à bout de souffle, il est temps de réinviter l'homme à son intériorité et à sa liberté. Cela n'est pas en s'arc-boutant sur des principes dépassés, en se repliant et en se protégeant des autres que l'on sauvera le monde. C'est en faisant confiance en ce qui est le meilleur en chacun d'entre nous. Infiniment, je remercie ceux qui ont écrit un message d'encouragement cette semaine. Je remercie les auditeurs pour leur écoute et leur fidélité. Je remercie les donateurs, ceux qui ont fait un geste cette semaine, comme ceux qui le feront à leur tour un autre jour, ou dès aujourd'hui ? Beau dimanche, belle semaine à venir, belle rentrée à tous, et à bientôt pour la suite de nos aventures, si telle est la volonté divine, Fraternellement, Guillaume Devoud Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAsso Nous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 116 boulevard Suchet, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). 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durée : 00:09:58 - L'invité de 7h50 du week-end - par : Ali Baddou, Marion L'hour - C'est une étoile de la rentrée littéraire, l'auteur Antoine Wauters publie le roman "Haute-Folie" chez Gallimard. C'est un conte philosophique, une sorte de poème en prose, rythmé, puissant, tragique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:17 - À la source - par : Mattéo Caranta - Quels sont les fondements du pacte démocratique ? Depuis lundi et l'annonce d'un vote de confiance sur le budget engageant la responsabilité du gouvernement, analyses et prédictions se succèdent. Mais ce vote de confiance, inédit depuis 2020, interroge la notion de confiance elle même...
Laurent Kretz reçoit Charles Guirriec, fondateur de Poiscaille, la version marine du panier de légumes. Depuis 2015, Poiscaille livre des milliers de foyers chaque semaine avec des poissons et coquillages durables, frais et en direct des pêcheurs français.Charles raconte les débuts au cul du camion et le défi logistique de livrer 1900 points relais. Il revient sur le rôle clé des relations presse et le plan de sauvetage qui lui a permis de passer de 19 000 à 27 000 abonnés en seulement trois mois.Dans cet épisode : 00:00:00 – Introduction00:06:00 – Des débuts artisanaux et la première version du site00:14:00 – Construire une supply chain de produits frais00:20:00 – Logistique et points relais : comment ça marche ?00:30:00 – Organisation avec les pêcheurs partenaires00:40:00 – Evolution de l'offre et du panier00:54:00 – Croissance, plan de sauvetage et résilience01:01:00 – Relations presse et acquisition organique01:08:00 – Vision de l'avenir de PoiscailleEt quelques dernières infos à vous partager :Suivez Le Panier sur Instagram @lepanier.podcast !Inscrivez- vous à la newsletter sur lepanier.io pour cartonner en e-comm !Écoutez les épisodes sur Apple Podcasts, Spotify ou encore Podcast AddictLe Panier est un podcast produit par Cosa, du label Orso Media.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Corée du Sud, une cheffe nord-coréenne fait découvrir un aspect méconnu de son pays d'origine : sa gastronomie. Le régime nord-coréen est plutôt connu pour son manque de denrées alimentaires, mais il existe tout de même une véritable culture de la table. Une cuisine que la cheffe de 61 ans souhaite mettre au service de la réunification des deux pays. De notre correspondant à Séoul, En plein centre de Séoul, sur les pentes d'une colline, un restaurant pas comme les autres. Impossible de trouver ici les plats typiques de la cuisine sud-coréenne, riche et épicée. C'est une cuisine plus simple, plus subtile, qui vient tout droit de Corée du Nord. Une cuisine de survie comme l'explique la cheffe, Lee Ae-ran, réfugiée nord-coréenne qui partage aujourd'hui son savoir-faire de la cuisine nord-coréenne. Nous la retrouvons aux fourneaux de son restaurant, elle prépare un onban, un plat typiquement nord-coréen, méconnu au Sud : « Alors, la recette ? Ce sont des ingrédients simples, car on en manque au Nord. On sert du riz, des lamelles de poulet, du bouillon de poulet, des champignons, des pousses de soja et une galette d'haricot mungo sur le dessus. On verse le bouillon chaud par-dessus. C'est nourrissant, digeste, bon pour la santé, et apprécié notamment en période de régime. Beaucoup de réfugiés nord-coréens qui ont connu ce plat dans leur jeunesse en sont nostalgiques. » Comme ses compatriotes, Lee Ae-ran cultive ses souvenirs dans sa cuisine. Chacune de ces recettes est liée à une rencontre, un lieu, une mésaventure qu'elle a vécue dans le régime. « Je suis originaire de Pyongyang, la capitale, mais ma famille en a été expulsée par le régime car mes grands-parents étaient propriétaires terriens. On a été envoyés dans un camp de "rééducation révolutionnaire" avant de s'enfuir, plus tard. J'ai récemment écrit un livre dans lequel je partage mes souvenirs de ces moments difficiles au travers de ce qu'on trouvait à manger. » Le plat terminé, on peut se mettre à table. L'onban, manquant d'épices, difficile à trouver au Nord, est particulièrement apprécié des étrangers, notamment des Français, selon la cheffe. Pour Lee Ae-ran, la cuisine a un véritable pouvoir de rapprochement des peuples. Elle souhaite mettre son savoir-faire au service de la réunification des deux Corées, séparées depuis 80 ans. « Je pense que la réunification commence autour de la table. Partager un repas, c'est déjà établir un lien. En Corée du Sud, il est difficile pour les Nord-Coréens de vraiment s'intégrer, car nous n'avons pas la même culture. En revanche, tout le monde mange, chaque jour. À travers la cuisine, on peut communiquer de manière plus accessible, plus humaine. » Depuis son arrivée en Corée du Sud en 1997, Lee Ae-ran n'a cessé de plaider pour la réunification des deux Corées et l'intégration des réfugiés nord-coréens en mettant toujours sa cuisine au cœur de son engagement. À lire aussiSéoul: Lee Ae-ran, réfugiée nord-coréenne et fière de sa cuisine
Depuis plusieurs décennies, la famille connaît de grandes mutations. Elles se forment, se séparent puis se reforment autrement. En France, 10 % des mineurs vivent dans une famille dite « recomposée », selon l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). C'est-à-dire une famille dont au moins l'un des adultes a déjà un enfant d'une relation précédente. Si les cas de figure sont multiples, la famille « recomposée » n'a aujourd'hui plus rien d'exceptionnel. La démarche n'en est pas moins ardue. Il faut en effet faire le deuil de sa relation précédente, accueillir un nouvel amour, négocier avec son ex-conjoint, parfois devenir belle-mère ou beau-père, sans compter les complications de planning, d'espaces, de différences d'éducation... Tout n'est pas que contraintes bien sûr. Alors quelles sont les réalités des familles recomposées ? Avec : Gloria Repond, docteure en psychologie. Autrice de Familles recomposées, du conte de fées à la réalité (Favre, 2025) Marie-Luce Lovane, fondatrice du Club des marâtres En fin d'émission, la chronique Écouter le monde de Monica Fantini. Cette émission est une rediffusion du 2 mai 2025 Programmation musicale : ► Epuikoiencore – Dani Bumba ► In My Bed – CKay
En Ouganda, après 40 ans de règne, Yoweri Museveni sera à nouveau candidat à la présidentielle de janvier prochain. À l'âge de 80 ans, il briguera donc un 7° mandat. Ainsi en a décidé mercredi 27 août le parti au pouvoir, NRM, lors d'un congrès à Kampala. Jusqu'où le président ougandais va-t-il durcir la répression contre ses opposants ? Pourquoi vient-il de signer un accord avec Donald Trump pour accueillir les migrants des pays tiers dont les Américains ne veulent plus ? Kristof Titeca est professeur de sciences politiques à l'université d'Anvers, en Belgique. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : En janvier prochain, est-ce qu'on va assister à un remake de janvier 2021, c'est-à-dire un duel entre Yoweri Museveni et Bobi Wine ? Kristof Titeca : Oui et non. Oui parce que, encore une fois, c'est une confrontation entre le président Museveni et Bobi Wine. Mais aussi non, parce que beaucoup de choses ont changé sur le terrain. Lors des dernières élections de 2021, il y avait un véritable élan en faveur de Bobi Wine. Il apportait quelque chose de nouveau à la scène électorale. Il était vu comme le représentant d'une large partie de la société ougandaise, les exclus du système. Mais aujourd'hui, ceci n'est plus le cas. Il a perdu son élan. Beaucoup considèrent que Bobi Wine et son parti sont devenus une partie intégrante de l'establishment. Il y a eu des exemples frappants. Par exemple, l'année passée, il y avait eu un scandale de corruption qui a éclaté au Parlement ougandais. La présidente du Parlement avait distribué des fortes sommes d'argent au chef de l'opposition. C'était Mathias Puga, qui était le leader du parti de Bobi Wine au Parlement. Mais aussi à la décharge de Bobi Wine, le gouvernement et le parti au pouvoir ont mené une campagne d'enlèvement qui était particulièrement brutale contre les membres du parti de Bobi Wine. Il y avait environ 1000 membres de son parti qui ont été enlevés. La plupart ont été torturés aussi. Et cette pression a lourdement pesé sur Bobi Wine et son parti. Est-ce que l'opposition a une petite chance de gagner au mois de janvier prochain ou pas ? Non, pas du tout. Tout indique qu'il y a eu une décision qui a été prise d'utiliser plus que jamais la force brutale pour réprimer l'opposition. À lire aussiOuganda: la police hausse le ton en vue de la campagne pour la présidentielle du 12 janvier Alors, il y a Bobi Wine, mais il y a aussi l'autre grand opposant, c'est Kizza Besigye, l'ancien médecin personnel de Yoweri Museveni. Au mois de novembre dernier, il a été enlevé au Kenya, transféré de force en Ouganda et placé en prison. Est-ce qu'il a une chance d'être libéré et de pouvoir se présenter en janvier prochain ? Je ne crois pas. Donc, l'arrestation de Kizza Besigye fait partie de cette stratégie de considérer les élections comme un exercice militaire. Je ne crois pas qu'il y a la moindre perspective de le voir libéré avant les élections, les autorités semblent avoir pris la décision de l'écarter définitivement de la scène politique en le maintenant en prison. Et ce que je peux dire, c'est que l'Ouganda, la Tanzanie et le Kenya semblent avoir formé une coalition pour externaliser, mutualiser la répression de leur opposition, de leurs activistes. Par exemple, récemment en Tanzanie, il y avait des activistes qui sont venus du Kenya et l'Ouganda, c'était Boniface Mwanga du Kenya, Agathe Atuhaire de l'Ouganda. Ils ont été torturés et maltraités en Tanzanie. La semaine dernière, l'Ouganda a signé avec les États-Unis un accord par lequel il accepte d'accueillir les migrants de pays tiers, dont les Américains ne veulent plus. Pourquoi ce cadeau à Donald Trump ? Oui. Depuis une dizaine d'années, ce sont les réfugiés qui sont devenus une ressource géopolitique importante. Et donc le gouvernement et Museveni ont bien compris ceci. Ils ont adopté une politique de la porte ouverte radicale vis-à-vis des réfugiés. Et ceci est bien sûr perçu comme très utile par la communauté internationale. Donc, l'Ouganda a été largement salué comme un pays accueillant vis à vis des réfugiés et comme un modèle de relocalisation des réfugiés dans leur propre région. Et c'est dans cette logique qu'il faut comprendre l'accord avec les États-Unis, ou même des négociations potentielles pour accueillir des personnes venant de Gaza. En faisant ceci, le gouvernement cherche à se rendre utile et même indispensable géopolitiquement, dans un contexte où ce gouvernement a perdu un peu de sa crédibilité, en raison de ses tendances autoritaires. Alors, vous parlez des réfugiés éventuels venus de Gaza. Selon certaines sources, les Américains tenteraient de convaincre l'Ouganda d'accueillir des Palestiniens de Gaza. Est-ce que vous avez des informations qui vont dans ce sens ? Non, je n'ai pas d'information sur ce dossier. La seule chose que je peux dire, ce n'est pas la première fois qu'il y a un deal. Il y a eu un accord sur les réfugiés et sur les migrants entre Israël et l'Ouganda. En 2018, il y avait un accord avec Israël pour accueillir des réfugiés qui étaient en Israël, venant du Soudan et de l'Érythrée.
Depuis le lancement de Chat GPT en novembre 2022, l'intelligence artificielle a révolutionné le quotidien de beaucoup d'employés. Mais le Fonds Monétaire international met en garde en janvier 2024, 60% de nos métiers seront impactés par l'IA à court terme. Les métiers de l'écriture figureraient parmi les plus à risques. Parmi eux, les rédacteurs web, secrétaires, traducteurs, correcteurs et même les journalistes. Ils ne sont pas les seuls, les enseignants, graphiste et même les chauffeurs seraient menacés par ces avancées. Quels sont les métiers concernés ? Quels problèmes ce remplacement pourrait engendrer ? Sommes-nous impuissants face à ce changement ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter aussi : Qu'est-ce que l'IA générative ? Qu'est-ce que le nouveau secrétariat d'Etat à l'Intelligence Artificielle ? Quels sont les 3 cold cases les plus mystérieux de France ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 04/10/2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Fin 2024, plus de 10 600 femmes étaient sur liste d'attente pour une PMA (procréation médicalement assistée) avec don de spermatozoïdes. La demande explose, mais les donneurs, eux, restent rares. Car derrière ce geste de solidarité persistent des stéréotypes, des peurs et des fantasmes sur la masculinité et la paternité.Comment se déroule un processus de don de sperme ? Qui sont ces hommes qui choisissent de donner leurs gamètes et pourquoi est-ce qu'ils le font ? Qu'est ce que le don de sperme fait à la construction de la masculinité des hommes qui donnent, et qu'en est-il pour ceux qui reçoivent le don ?Dans ce quatrième épisode de la série inédite en cinq volets « Tout sur le sperme », Naomi Titti reçoit Lou Broos, doctorante en sociologie à l'Université de Caen Normandie. Depuis 2018, elle écrit une thèse sur les controverses autour du don de sperme, en menant ses recherches dans des CECOS (Centres d'Étude et de Conservation des Œufs et du Sperme). Ensemble, elles retracent l'histoire du don de sperme et analysent les blocages qui subsistent autour de cette pratique.RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Retrouvez toutes les références citées dans l'épisode à la page :https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/don-de-sperme-plaisir-doffrir-joie-de-recevoir-4-5Crédits :Les Couilles sur la table est un podcast créé par Victoire Tuaillon produit par Binge Audio. Cet entretien a été préparé, mené et monté par Naomi Titti, et enregistré le mardi 24 j juin 2025 au studio Virginie Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Prise de son, réalisation et mixage : Paul Bertiaux. Supervision éditoriale et de production : Naomi Titti. Production, édition Marie Foulon. Communication : Lise Niederkorn. Rédacteur en chef : Thomas Rozec. Direction de production : Albane Fily. Responsable administrative et financière : Adrienne Marino. Générique : Théo Boulenger. Identité graphique : Marion Lavedeau (Upian). Composition identité sonore : Jean-Benoît Dunckel. Voix identité sonore : Bonnie El Bokeili. Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 27 août 2025 avec Thierry Breton, ancien Commissaire européen chargé du Marché intérieur, ancien ministre de l'Economie et des Finances.Le Premier ministre François Bayrou a pris la parole ce lundi 25 août lors d'une conférence de presse, pour défendre son budget 2026 dans un contexte d'importantes divisions politiques et d'une Europe jugée fragilisée. Il engagera le 8 septembre la responsabilité du gouvernement devant l'Assemblée nationale, réunie en session extraordinaire. "Depuis la guerre, la France n'a jamais été aussi endettée qu'elle ne l'est aujourd'hui", a estimé le Premier ministre lors de son discours de politique générale en janvier dernier. Une annonce qui a entrainé une vive inquiétude des secteurs économiques, et notamment des chefs d'entreprise, alors qu'ont lieu en ce moment les universités d'été du Medef. "On ne joue pas avec l'économie", alerte aujourd'hui le président du Medef Patrick Martin. Des incertitudes économiques qui interviennent dans un contexte difficile, avec l'accord tarifaire plafonnant à 15% les droits de douane pour tout ce qui est exporté d'Europe vers les États-Unis. Par ailleurs, le président des États-Unis Donald Trump a menacé lundi d'imposer des nouveaux droits de douane aux pays qui ciblent selon lui les entreprises de la tech américaine. Des commentaires qui semblent viser directement les pays européens.Thierry Breton, ancien Commissaire européen chargé du Marché intérieur, et ancien ministre de l'Economie et des Finances, nous donnera son analyse de la situation politique et économique de la France. Il reviendra également sur le réveil qu'il juge nécessaire de l'Europe, qui selon lui doit davantage peser dans les négociations commerciales avec les Etats-Unis. Il nous donnera aussi son point de vue sur la stratégie à mener en terme de défense, alors qu'Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz et le Premier ministre polonais Donald Tusk sont actuellement en Moldavie, à Chisinau, pour afficher leur soutien à ce pays face à Moscou.
Après l'Eswatini et le Soudan du Sud, le Rwanda a accueilli sept premiers migrants en situation irrégulière expulsés des États-Unis, dans le cadre d'un accord récemment conclu avec Washington, a annoncé jeudi Kigali. Depuis le retour du président américain Donald Trump à la Maison Blanche en janvier, son administration avait déjà envoyé des étrangers vers ces pays, dont ils n'étaient souvent pas originaires.
Avec la suspension de l'aide américaine, le camp d'Al-Hol, en Syrie, fait face à une crise humanitaire grandissante. Tandis que les familles peinent à subvenir à leurs besoins, les autorités locales redoutent une aggravation de la situation et un possible regain du groupe État islamique. De notre envoyé spécial à Al-Hol, Plus de cinquante femmes, vêtues de noir, se tiennent à l'intérieur d'une petite boutique du marché du camp d'Al-Hol, en Syrie, qui abrite des milliers de familles de membres de Daech [l'acronyme en arabe du groupe terroriste État islamique, NDLR]. Elles attendent d'entendre leur nom pour recevoir un virement envoyé par leurs familles. Depuis que les États-Unis ont suspendu les programmes d'aide destinés au camp, ces virements sont devenus la principale source de revenus des familles pour acheter de la nourriture et des vêtements, selon deux femmes ayant requis l'anonymat : « La situation est très difficile, témoigne dit une. Je suis venue récupérer un virement au centre, car nous vivons actuellement uniquement grâce aux transferts d'argent envoyés par nos familles à l'étranger. Récemment, nous avons été coupés d'Internet, malgré nos demandes répétées pour son rétablissement. Nous sommes entièrement contrôlés, comme si nous étions en prison. Ils font de nous ce qu'ils veulent, et voilà que l'électricité et l'eau viennent aussi d'être coupées. » « Nous sommes des personnes âgées. Mon mari est handicapé et reste toujours dans la tente, s'agace une autre habitante du camp. Depuis plusieurs jours, il n'y a plus de médecins ni de soins médicaux. Même la simple distribution de médicaments a cessé, et maintenant, les habitants du camp meurent sur place à cause des maladies. » « Les enfants ont besoin de lait » La décision des États-Unis a entraîné un déficit de 60 % des coûts opérationnels et des aides pour le camp d'Al-Hol, affectant notamment les programmes de soins médicaux. Toutefois, selon la directrice de l'administration civile du camp Haval Jihan, certains programmes ont été maintenus jusqu'à la fin du mois de septembre prochain : « Ce système où l'aide s'arrête un mois, reprend un autre mois, puis s'interrompt à nouveau ne peut pas fonctionner. Nous restons dans l'incertitude, sans savoir ce qui nous attend. Parfois, l'aide est suspendue pendant deux jours, puis revient pour trois mois. Ce n'est pas viable. Nous avons commencé à chercher une alternative au soutien américain, mais honnêtement, c'est une tâche extrêmement difficile. » La ministre des Affaires étrangères de l'administration autonome kurde Ilham Ahmed craint que l'arrêt des aides n'accélère la fermeture du camp et ne favorise ainsi la résurgence de Daech : « Sans financement, le camp sera hors de contrôle. Les enfants ont besoin de lait et il n'y en a pas. Il y a un grand nombre d'enfants et de nourrissons ici, et si nous ne pouvons pas répondre à leurs besoins, la situation deviendra incontrôlable. Il y aura des révoltes, des manifestations, et bien d'autres problèmes plus graves. » Selon les chiffres officiels, le camp abrite plus de 60 000 personnes issues de familles de Daech, originaires de 43 nationalités différentes. À lire aussiSyrie: au camp d'Al-Hol, «il est urgent de trouver une solution»
Ceci est un extrait de notre conversation. L'épisode intégral sera disponible le mercredi 3 septembre.
[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] Retour sur une saison événement en 8 épisodes qui vous a marqués. Voici le drame familial le plus emblématique du XXème siècle : l'affaire Grégory. Le 16 octobre 1984, Grégory Villemin, 4 ans, est retrouvé pieds et poings liés dans la Vologne, une rivière des Vosges. Depuis près de 40 ans, cet infanticide est toujours irrésolu. Ce cold case français a connu des décennies de rebondissements et de fausses pistes. Dans cette saison événement, Caroline Nogueras retrace toute l'enquête, au cœur de l'intimité des familles Villemin, Jacob, Laroche, Bolle… En invitée exceptionnelle, nous recevons Maître Marie-Christine Chastant-Morand, l'avocate du couple Villemin. Caroline Nogueras sera aussi accompagnée de deux invités pour éclaircir les zones d'ombre : Thibaut Solano, auteur de “La Voix rauque” et le journaliste Jacques Expert qui a couvert toute l'affaire à l'époque. L'épilogue impossible Trente-trois ans après les faits, le mystère de la mort du fils Villemin reste entier. Ni les hommes, ni la science n'ont réussi à lever le mystère de la mort de Grégory à l'âge de 4 ans, le 16 octobre 1984. En 2017, les Vosges reviennent au cœur de l'actualité, avec à la clé, l'espoir d'un épilogue... Production et diffusion : Bababam Originals Ecriture : Virginie Guedj Voix : Caroline Nogueras Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Ressentir tout de manière très forte, être épuisée par les stimulis ou ne pas être capable de filtrer son environnement peut être le quotidien des personnes hautement sensibles.Saverio Tomasella est un des spécialistes en France de la haute sensibilité, il a co-créé l'observatoire de la sensibilité avec Marie France de Palacio en 2016.Depuis il propage le message autour de ce tempérament qui caractérise les personnes plus sensibles que la moyenne.Comment définit-on la haute sensibilité ?A quoi cela correspond concrètement ?Que peut-on mettre en place pour se faciliter la vie ?Que faire en tant que parents ?Qu'est-ce qu'il se passe en nous quand la sensibilité fait partie de notre quotidien ?Vous aurez les réponses à toutes vos questions dans cet épisode et bien plus encore, venez découvrir le monde de la très haute sensibilité qui peut toucher les enfants comme les adultes.