POPULARITY
Categories
Depuis l'adoption de la résolution 1325 du Conseil de sécurité de l'ONU, le rôle déterminant des femmes dans la prévention et la résolution des conflits est mieux reconnu. Pourtant, leur présence aux négociations de paix demeure marginale, alors que leur implication garantit des accords plus solides et durables. De leur côté, les jeunes, véritable moteur du changement, restent trop souvent en marge des processus de consolidation de la paix. Qu'ils négocient, mobilisent ou impulsent des initiatives locales, leur engagement renforce la légitimité et l'impact des solutions mises en place. Mais les blocages persistent. Femmes et jeunes peinent encore à s'imposer dans ces espaces de décision, leurs contributions étant reléguées au second plan. Comment garantir une participation plus juste et efficace ? Quel rôle pour les États, la société civile et les organisations internationales ? Comment passer des intentions aux actes ? Décryptage, témoignages et pistes de solutions.Avec :• Katrina Leclerc, co-fondatrice et conseillère au sein de la Coalition canadienne Jeunesse, Paix et Sécurité• Simone Mbode Diouf, jeune Ambassadrice pour la Paix de l'Union Africaine représentant la région Afrique de l'Ouest. • Artida Minga, attachée de programme au sein de la Direction des Affaires politiques et la Gouvernance démocratique de l'OIF En fin d'émission, place à la chronique sonore de Monica Fantini, Ecouter le monde Programmation musicale : ► Cards On The Table - Nia Archives► Koliko - Vaudou Game
Depuis l'adoption de la résolution 1325 du Conseil de sécurité de l'ONU, le rôle déterminant des femmes dans la prévention et la résolution des conflits est mieux reconnu. Pourtant, leur présence aux négociations de paix demeure marginale, alors que leur implication garantit des accords plus solides et durables. De leur côté, les jeunes, véritable moteur du changement, restent trop souvent en marge des processus de consolidation de la paix. Qu'ils négocient, mobilisent ou impulsent des initiatives locales, leur engagement renforce la légitimité et l'impact des solutions mises en place. Mais les blocages persistent. Femmes et jeunes peinent encore à s'imposer dans ces espaces de décision, leurs contributions étant reléguées au second plan. Comment garantir une participation plus juste et efficace ? Quel rôle pour les États, la société civile et les organisations internationales ? Comment passer des intentions aux actes ? Décryptage, témoignages et pistes de solutions.Avec :• Katrina Leclerc, co-fondatrice et conseillère au sein de la Coalition canadienne Jeunesse, Paix et Sécurité• Simone Mbode Diouf, jeune Ambassadrice pour la Paix de l'Union Africaine représentant la région Afrique de l'Ouest. • Artida Minga, attachée de programme au sein de la Direction des Affaires politiques et la Gouvernance démocratique de l'OIF En fin d'émission, place à la chronique sonore de Monica Fantini, Ecouter le monde Programmation musicale : ► Cards On The Table - Nia Archives► Koliko - Vaudou Game
En France, 125.000 femmes sont excisées. C'est l'équivalent de la population d'une ville comme Annecy ou Perpignan. Heureusement des chirurgies réparatrices sont possibles pour soigner ces mutilations sexuelles féminines, aujourd'hui considérées comme des atteintes aux droits fondamentaux et notamment à l'intégrité physique et psychologique des victimes.A l'hôpital André Grégoire de Montreuil, près de Paris, une unité spécialisée dans la prise en charge des femmes victimes a été créée en 2017 par la gynécologue-obstétricienne Dr Sarah Abramowicz. Dans ce service, une équipe pluridisciplinaire soigne non seulement le corps mais aussi l'âme des patientes, en espérant qu'elles pourront à terme se reconstruire pleinement en tant que femmes. Sur le terrain : Lisa Defossez, Agnès Coudurier et Emma Vallée-Guillard journalistes à l'AFP à Paris. Réalisation : Emmanuelle BaillonSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les jours, du lundi au jeudi, la France Bouge prend des nouvelles d'entrepreneurs qui sont déjà passés dans l'émission.
Tous les jours, du lundi au jeudi, la France Bouge prend des nouvelles d'entrepreneurs qui sont déjà passés dans l'émission.
Estrenos de la semana: Wolfgang de Javier Ruiz Caldera Morlaix de Jaime Rosales La vida ante nosotros (La vie devant moi) de Nils Tavernier Las chicas del balcón (Les Femmes au balcon) de Noémie Merlant Secretos de un crimen (Santosh) de / escrita por Sandhya Suri Lumière, la aventura continúa (Lumière, l'aventure continue) de / … Continua la lectura de Toma 8.48 – Cien de Cine (Estrenos 14 Marzo 2025) →
La calvitie, ou alopécie androgénétique, est un phénomène qui affecte majoritairement les hommes. Si les femmes peuvent également perdre leurs cheveux avec l'âge, elles sont généralement moins touchées et de manière différente. Pourquoi cette différence entre les sexes ?Le rôle clé des hormones masculinesL'une des principales causes de la calvitie masculine est l'action d'une hormone : la dihydrotestostérone (DHT). Issue de la transformation de la testostérone sous l'action de l'enzyme 5-alpha-réductase, la DHT se fixe sur les follicules pileux du cuir chevelu et provoque leur miniaturisation. Avec le temps, les follicules produisent des cheveux de plus en plus fins, jusqu'à cesser totalement leur croissance.Chez les hommes, la concentration de testostérone est beaucoup plus élevée que chez les femmes. Par conséquent, la production de DHT est plus importante, ce qui explique une plus grande sensibilité des follicules pileux à cette hormone.Une répartition différente des récepteurs hormonauxLes follicules pileux ne sont pas tous sensibles à la DHT. Chez les hommes, ceux situés sur le haut du crâne et les tempes possèdent un grand nombre de récepteurs à la DHT, ce qui explique pourquoi la calvitie commence souvent par un dégarnissement des golfes et du sommet du crâne. À l'inverse, la couronne occipitale (l'arrière de la tête) est moins affectée, raison pour laquelle cette zone conserve souvent des cheveux toute la vie.Chez les femmes, les follicules pileux sont moins sensibles à la DHT, ce qui ralentit et limite la perte de cheveux. De plus, les hormones féminines, notamment les œstrogènes, jouent un rôle protecteur contre l'action de la DHT.Un schéma de perte de cheveux différent chez les femmesSi les femmes sont moins touchées par la calvitie, elles peuvent tout de même connaître une perte de cheveux diffuse, notamment après la ménopause, lorsque les niveaux d'œstrogènes chutent. Contrairement aux hommes, elles ne perdent généralement pas totalement leurs cheveux sur certaines zones, mais constatent plutôt un éclaircissement général du cuir chevelu.Facteurs génétiques et héréditéLa prédisposition à la calvitie est largement héréditaire. Chez les hommes, si le père ou le grand-père paternel était chauve, le risque de calvitie est plus élevé. Chez les femmes, la transmission génétique influence aussi l'amincissement des cheveux, mais les effets restent souvent moins marqués.ConclusionLa perte de cheveux touche davantage les hommes à cause de la testostérone et de sa transformation en DHT, qui accélère la miniaturisation des follicules pileux. Les femmes, protégées par leurs hormones, connaissent un éclaircissement plus diffus, souvent plus tard dans la vie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:09 - Bientôt chez vous - Au Japon, le gouvernement s'inquiète pour les femmes souffrant de solitude. Elles sont de plus en plus nombreuses à fréquenter des clubs où l'on paye de grosses sommes pour simplement boire un verre avec des hommes. Les additions sont souvent très salées et les clientes se retrouvent piégées.
durée : 00:04:35 - Le Reportage de la rédaction - Israël a lancé l'offensive "mur de fer" en janvier en Cisjordanie. Depuis, la vie des Palestiniens s'en trouve encore plus compliquée. En particulier pour les Palestiniennes. La multiplication des points de contrôle est devenue un cauchemar pour les femmes enceintes. Une clinique mobile les aide.
durée : 00:04:35 - Le Reportage de la rédaction - Israël a lancé l'offensive "mur de fer" en janvier en Cisjordanie. Depuis, la vie des Palestiniens s'en trouve encore plus compliquée. En particulier pour les Palestiniennes. La multiplication des points de contrôle est devenue un cauchemar pour les femmes enceintes. Une clinique mobile les aide.
durée : 00:05:49 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Le sujet est encore tabou : quelle place tient l'argent dans le couple ? Et, dépenses, placements, quelle est la relation des femmes à l'argent en son sein ? L'édition 2025 du baromètre du média ViveS révèle que les inégalités persistent entre les hommes et les femmes, quelque soit les générations.
Aujourd'hui dans la gang ➜ Harvey Austérité : Les produits et services alternatifs La fois où vous avez abîmé votre char avec un nid de poule! Le lit sert a plus que vous pensez ... voici à quel point! Bonne écoute!
Invitée : Hamida Aman. Créée le 8 mars 2021 alors que se profilait la menace du retour au pouvoir des talibans, Radio Begum, une radio faite par et pour les femmes afghanes, a été réduite au silence en février 2025. Gabrielle Desarzens avait rencontré lʹan dernier sa fondatrice Hamida Aman, à lʹoccasion de la sortie dʹun livre qui soutient ce media. Un sujet en nouvelle diffusion. Réf. bibliographique : "Résistance Renaissance", Collectif dirigé par Hamida Aman, Ed. Labor & Fides, avril 2024. Photo : Hamida Aman, fondatrice de Radio Begum (copyright Gabrielle Desarzens / RTSreligion)
durée : 00:58:56 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Deux enquêtes historiques dévoilent les destinées tragiques de femmes au Moyen Âge : ce sont les trois épouses de seigneurs décapitées en Italie et les brus du roi Philippe le Bel emprisonnées. Leur point commun ? Elles sont accusées d'adultère, un bon prétexte pour les écarter du pouvoir. - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Élisabeth Crouzet-Pavan Professeur émérite d'histoire du Moyen Âge à Sorbonne Université, spécialiste de l'histoire de l'Italie médiévale et renaissante; Gaëlle Audéon Autrice, essayiste médiéviste spécialiste des Capétiennes et Capétiens (XIIe-XIVe siècles)
En ce 8 mars, journée internationale des droits des femmes, l'émission questionne les inégalités dans le domaine de la santé ! L'arthrose serait moins bien prise en charge chez les femmes, alors qu'elles sont plus nombreuses que les hommes à en être atteintes. C'est le vrai ou faux de la semaine ! Tous les samedis, retrouvez Flavie Flament en compagnie de Jimmy Mohamed dans l'émission "Ça va beaucoup mieux", votre magazine santé et bien-être.
Au menu de l'émission : - Les compléments alimentaires ont envahi les pharmacies : entretien de la peau, des cheveux ou de sa silhouette, lutte contre les troubles du sommeil ou de la digestion... Chaque problème semble avoir son remède au rayon des compléments alimentaires. Mais ont-ils vraiment fait la preuve de leur efficacité ? C'est le dossier de la semaine ! - Fruit sucré et tropical, l'ananas, regorge de bienfaits pour la santé. C'est l'aliment de la semaine ! - L'arthrose serait moins bien prise en charge chez les femmes alors qu'elles sont plus nombreuses que les hommes à en être atteintes... C'est le vrai ou faux de la semaine ! Tous les samedis, retrouvez Flavie Flament en compagnie de Jimmy Mohamed dans l'émission "Ça va beaucoup mieux", votre magazine santé et bien-être.
Le 8 mars, c'est la Journée internationale des droits des femmes, à cette occasion, célébrons les avancées, rappelons les combats encore à mener et affirmons notre engagement pour l'égalité des droits. L'image est à la fois belle et poétique, mais elle illustre pourtant une injustice bien réelle qui touche les femmes dans le monde du travail. On parle ici du syndrome d'exposition élevée, aussi connu sous le nom de "tall poppy syndrome". Les chercheurs ont choisi cette métaphore du coquelicot car c'est la fleur qui pousse plus haut que les autres, qui les dépasse… mais qui finit souvent par se faire couper la tête à la tondeuse, se retrouvant ainsi au même niveau que les autres. En d'autres termes, lorsqu'une femme se démarque par ses compétences, ses résultats ou son ascension professionnelle, elle peut en payer le prix fort. Mais pourquoi ce phénomène existe-t-il ? D'où vient cette expression ? Et surtout, comment échapper au syndrome du coquelicot ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez"! Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Antonella Francini. À écouter aussi : Sexisme : comment internet creuse-t-il les inégalités hommes femmes ? Qu'est-ce que le projet VOILAT, qui milite pour l'inclusion des femmes lesbiennes et bisexuelles au travail ? Qu'est-ce que le sexisme bienveillant ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 3 avril 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:22:43 - L'invité de 8h20 - Ce samedi 8 mars au soir, le message "SOS femmes afghanes" s'affichera sur la Tour Eiffel. Un appel aux entreprises et aux universités pour s'engager à recruter les femmes afghanes alors que la liste de ce qui leur est interdit par le régime taliban ne cesse de s'allonger. Entretien.
Dans cet épisode du podcast des Plongeurs Padawan, nous partons à la rencontre de deux plongeuses au parcours fascinant : Sanne Vanden Berghe et Gaëlle Giesen.Sanne Vanden Berghe, ancienne tatoueuse devenue plongeuse tek, est aujourd'hui ambassadrice Apeks et DAN Europe. Elle partage son histoire inspirante, de la peur de l'eau à la passion pour la plongée technique et l'exploration des grottes sous-marines.Gaëlle Giesen, docteure en astrophysique et physique des particules, est quant à elle recordwoman de plongée profonde en recycleur avec une descente impressionnante à -222 mètres en septembre 2024. Elle nous livre les détails de sa préparation, de son entraînement et de son expérience en plongée technique.Au programme de cet épisode :Qu'est-ce que la plongée technique et comment s'y préparer ?Comment Sanne et Gaëlle ont-elles découvert la plongée et quelles ont été leurs évolutions ?La place des femmes dans la plongée et la communauté The Cavettes, une initiative pour rassembler les plongeuses.Le record de Gaëlle à -222 mètres : préparation, sensations et enjeux.Le rôle de l'entraînement et de la sécurité en plongée profonde.Ensemble, nous abordons des thèmes passionnants tels que l'exploration souterraine, la gestion du stress en immersion, les techniques avancées de plongée et l'importance de la communauté féminine dans un univers encore largement masculin. Sanne et Gaëlle nous livrent leurs expériences, leurs doutes et leurs plus belles plongées.
Andrée, 73 ans en 1984, est sage-femme à la retraite. Son accent vient d'Alençon, en Normandie. De son temps, les sages femmes se déplaçaient dans les maisons pour accoucher les femmes. Andrée nous raconte comment ça se passait.***Crédits archives *** Extrait de l'émission radiophonique "Chasseurs de son : La naissance autrefois". Production Paul Robert. Reportage Pierre Légot - France Culture - 27/05/1984 ****** Crédits podcast *** Documentaliste : Stéphanie Place - Textes : Lætitia Fourmond - Restauration et mixage : Ian Debeerst, Quentin Geffroy - Enregistrement : Laurent Cazot - Voix off : Julia Bousquet - Musique(s) Universal Production Music France - Chargée de production : Delphine Lambard - Cheffe de projet : Lætitia Fourmond - Assistante cheffe de projet : Daphné Boussus - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Un podcast INA.
On est en 1979 et Florence vit à Capbreton avec sa mère, sa grand-mère et son arrière-grand-mère. À cette époque, les femmes vivent en moyenne 7 ans de plus que les hommes et le divorce est plus accessible depuis qu'une nouvelle loi est entrée en vigueur en 1975. Poussées par les événements et leur profond attachement, c'est un véritable foyer intergénérationnel que ces trois femmes ont reconstitué autour de Florence, loin du modèle de la famille nucléaire. *** Crédits podcast *** Documentalistes : Anne Brulant - Textes : Elsa Coupard, Lætitia Fourmond - Restauration et mixage : Ian Debeerst, Quentin Geffroy - Enregistrement : Vincent Dupuis, Guillaume Solignat, Laurent Thomas - Voix off : Clara De Antoni - Musique(s) avec l'aimable autorisation d'Universal Production Music France - Chargée de production : Delphine Lambard - Cheffe de projet : Lætitia Fourmond - Stagiaire : Edith Monnier - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Un podcast INA. *** Crédits archive *** Extrait de l'émission télévisée "Aujourd'hui madame". Reportage de Michel Perrot. Producteur Armand Jammot - Antenne 2 - 04/10/1979
Fausine de Mice 44 et Pascale de Ladies Night font partie des premières rappeuses françaises. On est en 1991 et ces jeunes filles qui vivent en banlieue parisienne ont des choses à dire et ont choisi le rap comme moyen d'expression. Dans le sillage de la reine du hip hop, Queen Latifah et son "Ladies First" !Retrouvez plus d'archives sur les origines du mouvement hip-hop sur INA HIP-HOP
Madeleine, octogénère, a vécu sa jeunesse et sa vie de femme à une époque où la contraception n'existait pas et où l'avortement était interdit et passible de prison. En 1937, elle a 15 ans, elle est amoureuse et... elle tombe enceinte ! Heureusement, ses parents étaient cools ! Et il existait des méthodes d'avortement, qui étaient pratiquées en cachette. *** Crédits archive *** Extrait de l'émission radiophonique "Surpris par la nuit : L'avortement hier et aujourd'hui". Réalisation Gaël Gillon. Production Isabelle Rossignol - France Culture - 13/03/2002 ****** Crédits podcast *** Documentaliste : Stéphanie Place - Textes : Elsa Coupard, Lætitia Fourmond - Restauration et mixage : Ian Debeerst, Quentin Geffroy - Enregistrement : Vincent Dupuis, Guillaume Solignat, Laurent Thomas - Voix off : Clara De Antoni - Musique(s) avec l'aimable autorisation d'Universal Production Music France - Chargée de production : Delphine Lambard - Cheffe de projet : Lætitia Fourmond - Alternante : Daphné Boussus - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Un podcast INA.
En cette journée internationale des droits des femmes, plusieurs études objectivent la place des femmes sur le marché du travail. D'après les derniers chiffres du SPF Economie, en Belgique le pourcentage de femmes indépendantes est en hausse malgré une série d'obstacles identifiés par le réseau Entreprendre.La fusée Ariane 6 a réalisé son tout premier vol commercial depuis la Guyane ce jeudi en fin d'après-midi. Un vol qui lui a permis de placer sur orbite pour la France un satellite militaire de 3 tonnes et demi. Une prouesse très attendue et un grand soulagement pour l'industrie spatiale européenne. Après seulement 3 jours d'application, Donald Trump reporte de nouveau d'un mois les 25% de droits de douane imposés au Mexique et au Canada. Une énième volte-face qui s'explique par l'impact direct de cette politique sur l'économie américaine.L'an dernier, près de 6 employés sur 100 ont perdu leur CDI, pour cause de licenciement. Un record en cinq ans et la Wallonie est la région la plus touchée. La principale raison est la faillite des entreprises qui ont explosé. Plus de 11.000 entreprises ont mis la clé sous la porte, du jamais vu depuis 11 ans, surtout des PME.
durée : 00:03:40 - Un monde connecté - par : François Saltiel - FLAASH, revue indépendante, consacre son dernier numéro à la tech au féminin. Avec de grands entretiens de femmes qui œuvrent pour la féminisation de la tech. Un numéro salutaire à l'heure où les virilistes Musk et Zuckerberg mettent fin à la politique de diversité dans leurs entreprises.
À l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes, ce samedi 8 mars 2025, coup de projecteur sur le Pakistan. Selon un récent rapport d'une ONG locale, le taux national de condamnation pour viols et crimes d'honneur n'est que de 0,5%. Un chiffre choquant qui révèle les profondes lacunes du système judiciaire pakistanais lorsqu'il s'agit de rendre justice aux femmes victimes de violences. Les violences domestiques sont peu recensées, mais chaque semaine les médias locaux relaient de nombreuses affaires de viols, de crimes d'honneur, de violences domestiques et d'enlèvements à travers le pays. Parmi les initiatives mises en place il y a quelques années par les autorités pour soutenir les victimes, des postes de police au personnel exclusivement féminin. Reportage dans le commissariat pour femmes et entièrement féminin d'Islamabad. De notre correspondante à Islamabad, Le commissariat 100% féminin d'Islamabad, au Pakistan, est niché derrière des murs bleu pastel surmontés de fils barbelés. Dans l'un des bureaux ce jour-là, une femme d'une trentaine d'années au visage caché derrière un masque médical, un voile rose sur les cheveux. « Oui madame, qu'est-ce qui vous amène ? », demande la policière. « Mon mari se comporte mal avec moi », répond la femme. « Que fait-il ? » « Il trouve toujours des raisons pour se disputer avec moi, il m'accuse de le tromper. » « Vous a-t-il déjà violentée ? » « Oui, plusieurs fois. » « Quand cela s'est produit dernièrement ? » « Il y a deux, trois jours. » « Voulez-vous déposer plainte, on devra alors faire votre examen médical ? » « Oui. » C'est la première fois que cette femme, mariée depuis cinq ans, mère d'un petit garçon âgé d'un an, sans emploi, franchit le pas du poste de police. « J'ai hésité avant de venir parce que j'ai peur que ma famille, que les gens posent ensuite des questions sur ce qu'il se passe et que cela m'amène des problèmes. » Après quelques minutes de conversation, elle revient sur sa décision de porter plainte : « Je veux que madame la policière parle à mon mari. Bien sûr, c'est mon époux, s'il change je ne porterai pas plainte contre lui. » À écouter aussiLes policières, héroïnes au PakistanCe revirement n'étonne pas la chef de ce poste de police, Misbah Shahbaz. Une cinquantaine de femmes se présentent chaque semaine. Dans 70% des cas, il s'agit de violences domestiques. « Il y a souvent des cas de violences répétées. Nous essayons alors vraiment de convaincre la femme pour qu'elle dépose une plainte. Mais le fait est que les femmes préfèrent généralement régler les choses à l'amiable, souvent parce qu'elles ont des enfants, à cause de la société et des normes sociales aussi. Et puis n'oublions pas le poids du traumatisme qu'elles ont après avoir subi des violences. Et puis il y a aussi les familles qui s'en mêlent. Les familles qui leur disent : “pardonne-lui, on va lui parler, on va le raisonner, il ne recommencera pas.” Dans ces conditions-là, c'est très compliqué de les convaincre de porter plainte. » Le poste de police 100% féminin est sans conteste un argument majeur pour inciter les femmes à signaler les violences et les abus dont elles sont victimes, mais la société patriarcale et conservatrice les maintiennent encore largement dans le silence. À lire aussiLa militante Malala Yousafzai de retour au Pakistan pour un sommet sur l'éducation des filles
Selon la Banque mondiale, près de 600 millions de personnes en Afrique subsaharienne vivent sans électricité. Un manque qui contraint les populations à recourir au bois de chauffage, au charbon de bois ou au générateur pour cuisiner, se chauffer et s'éclairer. Des systèmes peu sûrs, polluants et coûteux. Si le taux d'accès à l'électricité des pays progresse, les zones rurales restent encore marginalisées. Au Sénégal, par exemple, 30% des communautés rurales, ne sont pas connectées au réseau, toujours selon la Banque mondiale. Comment réduire le fossé énergétique des zones isolées ? Faut-il miser sur l'énergie solaire ? Et cette quête de la lumière, peut-elle amener les femmes à jouer un autre rôle au sein de leur communauté ? Avec :• Elise Darblay, coréalisatrice du documentaire Sénégal, la lumière des femmes, disponible jusqu'au 10 avril 2025 sur la plateforme arte.tv • Antoine Depeyre, coréalisateur du documentaire Sénégal, la lumière des femmes, disponible jusqu'au 10 avril 2025 sur la plateforme arte.tv STUDIO • Kadio Niang, ingénieure, directrice et fondatrice de Solar-Ecobat, une start-up spécialisée dans l'énergie solaire et les matériaux d'écoconstruction. En fin d'émission, la chronique Écouter le monde de Monica Fantini. Programmation musicale :► Dive - Olivia Dean► Domeb - Santrofi.
Le 8 mars, c'est la Journée internationale des droits des femmes, à cette occasion, célébrons les avancées, rappelons les combats encore à mener et affirmons notre engagement pour l'égalité des droits. Les femmes ont beau représenter quasiment la moitié de la population mondiale, la plupart des objets du quotidien ont été pensés par et pour des hommes selon plusieurs enquêtes et études. Les voitures dans lesquelles nous circulons, les smartphones que nous utilisons, les médicaments que nous consommons… Ils ont très souvent été mis au point en partant d'un profil type masculin : un homme qui mesure 1,75 m et pèse 70 kg. Des exemples, il y en a des centaines. Les gants de bricolage conçus pour être manipulés par des mains d'hommes, les guidons de vélos inadaptés, en passant par les logiciels de reconnaissance vocale qui sont là aussi souvent mis au point avec des voix masculines et donc plus efficaces quand ils sont utilisés par des hommes. Quels sont les risques d'utilisation de ces objets pour les femmes ? Existe-t-il des prototypes féminins utilisés pour des tests ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez" ! Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Laura Taouchanov À écouter ensuite : Pourquoi les femmes travaillent-elles gratuitement à partir d'une certaine date ? Qu'est-ce qu'un LAO, pour les femmes victimes de violences conjugales ? Qu'est-ce qu'un man-child, qui augmente la charge mentale des femmes ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez - Santé". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Ce samedi 8 mars, comme tous les ans, c'est la journée internationale des droits des femmes. Dans ce contexte, focus sur un sujet très important dans l'indépendance et l'émancipation des femmes, à savoir la détention d'un compte bancaire. Décryptage. C'est un enjeu essentiel. Rien qu'en France, cela fera 60 ans en juillet que les femmes ont obtenu le droit de détenir un compte en banque à leur nom. Dans d'autres pays, il faut parfois toujours l'autorisation du mari pour faire cette démarche. Bref, toutes les femmes de tous les pays ne sont pas logées à la même enseigne sur ce sujet. Car gérer son propre argent en toute autonomie, c'est un puissant levier d'émancipation.Pourtant, d'après le Fonds monétaire international, à l'échelle du globe, plus d'un milliard de femmes dans le monde n'ont toujours pas accès aux services financiers formels. Seulement deux tiers des femmes possèdent un compte bancaire, contre pratiquement quatre hommes sur cinq. Plusieurs régions sont plus concernées que d'autres, comme par exemple en Afrique subsaharienne où seulement 37% des femmes ont un compte en banque contre 48% des hommes. Une tendance qui reflète les obstacles sociaux, économiques, culturels et technologiques auxquels les femmes continuent de se heurter dans l'accès aux services financiers ! Des pistes pour changer les choses Cette situation a de multiples conséquences. La première d'entre elle, c'est la dépendance au conjoint ou aux parents. Sans compte personnel, impossible de tout simplement gérer son budget, ses revenus, sa consommation, son épargne et de contracter un crédit. Difficile aussi de se protéger financièrement en cas de séparation, de divorce ou de perte d'emploi. Il y a plusieurs explications à cette situation. D'abord, l'écart de rémunération entre femmes et hommes qui joue sur la capacité d'épargne et d'investissement. Concrètement, moins vous gagnez, moins vous avez de chance d'obtenir un prêt. Ensuite, des freins culturels existent dans certains pays pour l'accès aux services bancaires. À lire aussiLes inégalités entre les femmes et les hommes dans le travail toujours fortes dans le mondePour faire bouger les lignes, on peut par exemple penser à l'accès à l'éducation financière. Plusieurs structures et entreprises se mobilisent sur le sujet, comme le géant français L'Oréal qui a signé une charte l'été dernier pour que les femmes aient plus facilement accès à ce type de formations et d'apprentissage dès le plus jeune âge, mais aussi encourager l'entreprenariat féminin, avec des aides et des financements dédiés. On peut aussi noter la promotion de l'égalité salariale et donc lutter contre toute forme de discrimination. Bref, pour que les femmes reprennent, ou prennent, c'est selon, le pouvoir sur l'argent !
Selon la Banque mondiale, près de 600 millions de personnes en Afrique subsaharienne vivent sans électricité. Un manque qui contraint les populations à recourir au bois de chauffage, au charbon de bois ou au générateur pour cuisiner, se chauffer et s'éclairer. Des systèmes peu sûrs, polluants et coûteux. Si le taux d'accès à l'électricité des pays progresse, les zones rurales restent encore marginalisées. Au Sénégal, par exemple, 30% des communautés rurales, ne sont pas connectées au réseau, toujours selon la Banque mondiale. Comment réduire le fossé énergétique des zones isolées ? Faut-il miser sur l'énergie solaire ? Et cette quête de la lumière, peut-elle amener les femmes à jouer un autre rôle au sein de leur communauté ? Avec :• Elise Darblay, coréalisatrice du documentaire Sénégal, la lumière des femmes, disponible jusqu'au 10 avril 2025 sur la plateforme arte.tv • Antoine Depeyre, coréalisateur du documentaire Sénégal, la lumière des femmes, disponible jusqu'au 10 avril 2025 sur la plateforme arte.tv • Kadio Niang, ingénieure, directrice et fondatrice de Solar-Ecobat, une start-up spécialisée dans l'énergie solaire et les matériaux d'écoconstruction. En fin d'émission, la chronique Écouter le monde de Monica Fantini. Programmation musicale :► Dive - Olivia Dean► Domeb - Santrofi.
Avec : Périco Légasse, journaliste à Marianne. Juliette Briens, journaliste à l'Incorrect. Et Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
durée : 00:06:27 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - A Pékin, des femmes enceintes et des bébés présentent des taux de lithium anormalement élevés, jusqu'à 20 fois supérieurs à ceux d'autres villes industrielles chinoises.
durée : 00:19:03 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Que se passe-t-il quand on perd le pouvoir, ce fluide addictif, cette adrénaline ? Dans son nouveau roman, "La guerre par d'autres moyens" (Gallimard), Karine Tuil explore l'intimité d'un ancien président de la République, qui sombre dans la solitude et l'addiction à l'alcool.
durée : 00:19:03 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Que se passe-t-il quand on perd le pouvoir, ce fluide addictif, cette adrénaline ? Dans son nouveau roman, "La guerre par d'autres moyens" (Gallimard), Karine Tuil explore l'intimité d'un ancien président de la République, qui sombre dans la solitude et l'addiction à l'alcool.
Cours Halakha Time du Vendredi 7 Mars 2025 (durée : 7 minutes) donné par Rav Yossef AYACHE.
durée : 00:47:23 - La 20e heure - par : Eva Bester - La réalisatrice Julie Gayet retourne devant la caméra et prête ses traits à Olympe de Gouges dans la fiction "Olympe, une femme dans la Révolution" sur France 2. Un parcours féministe essentiel à l'Histoire de la France qui pourrait prendre pour devise : Liberté, égalité, sororité.
Selon un baromètre Sista, seulement 10 % des start-up créées en 2022 l'ont été par des femmes. Alors que la tech et l'IA sont désormais des moteurs de la croissance, la place des femmes dans ces domaines reste un sujet brûlant. Il est donc urgent d'agir pour combler ce fossé. -----------------------------------------------------------------------SMART TECH - Le magazine quotidien de l'innovationDans SMART TECH, l'actu du numérique et de l'innovation prend tout son sens. Chaque jour, des spécialistes décryptent les actualités, les tendances, et les enjeux soulevés par l'adoption des nouvelles technologies.
Vous écoutez le podcast "Les interviews Histoire", notre émission hebdomadaire gratuite pour tous. Abonnez-vous à "5.000 ans d'Histoire" et accédez à environ 350 podcasts d'1 heure pour seulement 2€ par mois sans Pub ! Avec une nouvelle émission chaque semaine : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Écrivaine et réalisatrice de documentaires sur la Shoah, Chochana Boukhobza a enquêté durant sept ans sur la déportation des femmes à Auschwitz-Birkenau, créé en mars 1942. Longtemps, leur internement dans ce camp s'est confondu avec celui, tout aussi tragique, des hommes. S'appuyant sur les témoignages des survivantes et à partir des minutes des procès des SS de l'après-guerre, l'auteure reconstitue l'organisation spécifique de Birkenau et redonne vie, dans un récit choral, aux prisonnières venues de toute l'Europe occupée. Pour l'essentiel juives, elles sont aussi catholiques, protestantes, agnostiques ou encore tziganes ; certaines d'entre elles ont été arrêtées pour des faits de Résistance, mais la plupart ne savaient pas ce qui les attendait. Toutes celles qui ont échappé à l'extermination seront soumises à un travail forcé implacable... Passé la sidération, des réactions se font jour contre le système carcéral, bureaucratique et criminel qui les écrase. Comme ces secrétaires, par exemple, qui tentèrent de sauver des femmes du gazage ou ces doctoresses qui refusèrent de participer aux expérimentations des médecins SS. Et si un four crématoire a explosé le 7 octobre 1944, ce fut aussi grâce à elles... Dans l'adversité, les femmes d'Auschwitz furent sans défense, mais elles se montrèrent courageuses, audacieuses, héroïques. Ce récit dédié à leur mémoire est un hymne à la solidarité et à la liberté, qui s'exprimèrent envers et contre tout.Chochana Boukhobza était notre invitée, en studio, et en vidéo sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=3KYgs4Pxsjo&t=2533s
Depuis la chute de Bachar el-Assad en décembre 2024, la Syrie est dirigée par le groupe islamiste Hayat Tahrir Al-Sham (HTS). Si le nouvel homme fort à la tête du pays, Ahmed Al-Charaa, multiplie les messages de modération et se veut rassurant vis-à-vis des minorités, les doutes demeurent sur les réelles intentions des nouvelles autorités. Les femmes craignent notamment la mise en place d'un modèle rigoriste, comme à Idlib, ville du nord-ouest de la Syrie, dirigée par les islamistes du HTS depuis 2017. Les témoignages de femmes relatant leur mauvaise expérience avec les nouveaux locataires du pouvoir émergent sur les réseaux sociaux, les déclarations des membres du gouvernement sont scrutées de près. Les récents propos de la présidente du tout nouveau « Bureau des affaires de la Femme », ont notamment suscité de vives réactions. Elle invitait les femmes à « ne pas outrepasser les priorités de leur nature créée par Dieu », à savoir « leur rôle éducatif au sein de la famille ». La peur de voir la place des femmes se réduire dans la Syrie d'après Bachar est-elle fondée ? Quel rôle les femmes peuvent-elles jouer dans la reconstruction du pays ? Avec :• Hala Kodmani, journaliste, grand reporter à Libération et écrivaine • Dana Alboz, journaliste indépendante, correspondante à Damas pour France 24 et ancienne journaliste pour le site d'informations InfoMigrants En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam. Maria Maba raconte la vente de médicaments dans les rues de Kinshasa, un phénomène ancré dans l'économie informelle mais aux conséquences sanitaires inquiétantes.Prince Ntontolo nous fait découvrir l'univers fascinant des Sapeurs de Brazzaville, où l'élégance et la mise en scène vestimentaires sont un véritable art de vivre.Délivrance Tsé explore l'ennui sous toutes ses formes, entre désœuvrement et quête de créativité, dans un texte aussi introspectif qu'inspirant.Nous entendrons le témoignage de Yara Chamieh, jeune Syrienne de 30 ans à la tête d'un atelier de couture à Damas. Au micro de la journaliste Dana Alboz, elle raconte les années de guerre, défiant les obstacles imposés par un régime qui dominait l'économie du pays. Elle a su braver les traditions en tant que femme entrepreneure, dans un domaine souvent réservé aux hommes. Aujourd'hui, son regard est tourné vers la reconstruction de la Syrie, et bien qu'elle garde espoir, l'incertitude de l'avenir demeure. Programmation musicale :► Miss Understood - Little Simz► On My Way - James BKS.
Depuis la chute de Bachar el-Assad en décembre 2024, la Syrie est dirigée par le groupe islamiste Hayat Tahrir Al-Sham (HTS). Si le nouvel homme fort à la tête du pays, Ahmed Al-Charaa, multiplie les messages de modération et se veut rassurant vis-à-vis des minorités, les doutes demeurent sur les réelles intentions des nouvelles autorités. Les femmes craignent notamment la mise en place d'un modèle rigoriste, comme à Idlib, ville du nord-ouest de la Syrie, dirigée par les islamistes du HTS depuis 2017. Les témoignages de femmes relatant leur mauvaise expérience avec les nouveaux locataires du pouvoir émergent sur les réseaux sociaux, les déclarations des membres du gouvernement sont scrutées de près. Les récents propos de la présidente du tout nouveau « Bureau des affaires de la Femme », ont notamment suscité de vives réactions. Elle invitait les femmes à « ne pas outrepasser les priorités de leur nature créée par Dieu », à savoir « leur rôle éducatif au sein de la famille ». La peur de voir la place des femmes se réduire dans la Syrie d'après Bachar est-elle fondée ? Quel rôle les femmes peuvent-elles jouer dans la reconstruction du pays ? Avec :• Hala Kodmani, journaliste, grand reporter à Libération et écrivaine • Dana Alboz, journaliste indépendante, correspondante à Damas pour France 24 et ancienne journaliste pour le site d'informations InfoMigrants En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam. Maria Maba raconte la vente de médicaments dans les rues de Kinshasa, un phénomène ancré dans l'économie informelle mais aux conséquences sanitaires inquiétantes.Prince Ntontolo nous fait découvrir l'univers fascinant des Sapeurs de Brazzaville, où l'élégance et la mise en scène vestimentaires sont un véritable art de vivre.Délivrance Tsé explore l'ennui sous toutes ses formes, entre désœuvrement et quête de créativité, dans un texte aussi introspectif qu'inspirant.Nous entendrons le témoignage de Yara Chamieh, jeune Syrienne de 30 ans à la tête d'un atelier de couture à Damas. Au micro de la journaliste Dana Alboz, elle raconte les années de guerre, défiant les obstacles imposés par un régime qui dominait l'économie du pays. Elle a su braver les traditions en tant que femme entrepreneure, dans un domaine souvent réservé aux hommes. Aujourd'hui, son regard est tourné vers la reconstruction de la Syrie, et bien qu'elle garde espoir, l'incertitude de l'avenir demeure. Programmation musicale :► Miss Understood - Little Simz► On My Way - James BKS.
Les femmes ont-elles l'obligation d'aller à la synagogue pour écouter Parashat Zakhor by Rav David Touitou
Aujourd'hui je reçois Élodie, 29 ans qui a grandi en Martinique, et qui travaille dans le social.Elle nous raconte ses premières histoires d'amour avec des garçons au collège et au lycée, alors qu'elle ne ressentait pas d'attirance pour eux, mais elle pensait que c'était ce qu'on attendait d'elle : sortir avec des garçons. C'est en arrivant à Montréal qu'elle a commencé à comprendre ce qui lui plaisait vraiment.On a parlé ensemble de son cheminement, de ses premières et récentes relations avec des femmes, de sa vision du couple idéal mais aussi de son enfance et de l'hypervigilance qu'elle a dû développer face à une certaine violence.
durée : 00:03:01 - Ma vie au boulot - par : Sandrine Foulon - Stéphanie est agent public dans la fonction publique territoriale. Elle s'interroge sur ce qu'elle appelle une "injustice" : pourquoi les fonctionnaires n'ont-elles pas les mêmes bonifications pour enfants que les salariées du privé ? - invités : Sandrine Foulon - Sandrine Foulon : Rédactrice en chef du site Alternatives-Economiques.fr
Dans cet extrait, l'autrice et journaliste Titiou Lecoq explore la place de l'argent dans le couple et les inégalités qu'il peut engendrer.Faut-il tout partager ? Comment aborder la question de l'argent avec son partenaire ?L'indépendance financière est-elle un mythe ou une nécessité ?Retrouvez l'épisode intégral ici : https://youtu.be/KLCGf5qFHqA Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ecoutez Ca va beaucoup mieux avec Agathe Landais du 27 février 2025.
L'idée selon laquelle les femmes parleraient plus que les hommes est un stéréotype largement répandu. Certaines affirmations, souvent relayées par les médias ou des ouvrages populaires, suggèrent que les femmes prononceraient trois fois plus de mots par jour que les hommes. Mais que disent les études scientifiques sur cette question ?Les données scientifiquesUne étude majeure de 2007 menée par Mehl et al., publiée dans Science, a examiné cette question de manière empirique. Les chercheurs ont équipé 396 participants (hommes et femmes) d'un enregistreur portable captant leurs conversations tout au long de la journée. Résultat :- Les femmes prononçaient en moyenne 16 215 mots par jour- Les hommes prononçaient en moyenne 15 669 mots par jourLa différence de 546 mots est statistiquement insignifiante, ce qui contredit l'idée d'un écart majeur entre les sexes en termes de quantité de parole.Variations contextuelles et individuellesSi les hommes et les femmes parlent en moyenne autant, le contexte joue un rôle déterminant. Des recherches montrent que les femmes tendent à parler plus dans des contextes sociaux ou intimes, tandis que les hommes dominent souvent la parole dans des environnements formels (réunions, débats, etc.). Une méta-analyse de Leaper et Ayres (2007) suggère que les hommes sont plus enclins à monopoliser la parole lorsqu'il s'agit de prise de décision ou d'autorité.D'autres travaux, comme ceux de James & Drakich (1993), montrent que dans les conversations mixtes, les hommes interrompent plus souvent les femmes et parlent davantage dans des contextes publics, tandis que les femmes parlent plus en privé.Pourquoi ce stéréotype persiste-t-il ?L'origine du mythe selon lequel les femmes parleraient plus trouve probablement ses racines dans des perceptions biaisées et des normes sociales. Une étude de Mulac et al. (2001) a révélé que les gens perçoivent souvent le discours féminin comme plus prolixe, même lorsqu'il ne l'est pas objectivement.ConclusionLes preuves scientifiques montrent que les hommes et les femmes parlent en moyenne autant. Les différences observées sont davantage liées au contexte qu'au sexe biologique. Ce mythe persiste en raison de biais cognitifs et de normes culturelles, mais il est largement démenti par les études empiriques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:36:47 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Les femmes ne furent pas épargnées par les nazis. En 1965, cet épisode du "Monde Concentrationnaire" donne à entendre les témoignages de rescapées des camps de concentration. Il évoque aussi le destin des enfants nés sur place ou séparés de leur mère, sauvés par la solidarité des déportées. - réalisation : Massimo Bellini - invités : Yvonne Oddon Bibliothécaire, résistante française du réseau du Musée de l'Homme (1902-1982); Marie-Claude Vaillant-Couturier
durée : 00:04:28 - Le Zoom de France Inter - Devant chaque prison de France, il y a une maison d'accueil pour les familles de détenus. On y trouve du café, des jeux pour enfants, des tables pour remplir les formalités administratives et des bénévoles à l'écoute. Reportage à la maison Olivier Giran d'Angers.
Yoann Riou a une arme de séduction très surprenante, mais apparemment efficace : ses petits-doigts ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.
Rejoignez-moi sur Patreon pour accéder à mon contenu exclusif : https://www.patreon.com/leprecepteurpodcastSchopenhauer était connu pour sa misogynie. Pour lui, la condition des femmes est marquée par la faiblesse, la dépendance et la passivité. Mais en quoi ce jugement sur les femmes nous éclaire-t-il sur la vision du monde de Schopenhauer ? C'est ce que je vous propose de découvrir dans cet épisode. Vous pouvez me soutenir : ★En devenant contributeur sur Patreon : https://www.patreon.com/leprecepteurpodcast Vous pourrez ainsi accéder au podcast sans pub et en avant-première et surtout à mon contenu inédit ! ★Ou en faisant un don ponctuel sur PayPal : http://paypal.me/leprecepteurpodcast Pensez à laisser une note et un avis sur la plateforme de podcast où vous m'écoutez. Cela prend quelques secondes, et c'est un geste très utile pour le référencement du podcast ! Et bien sûr, continuez à partager les émissions que vous préférez sur vos réseaux sociaux. Le Précepteur Podcast a été créé pour vous et continuera d'exister grâce à vous. (Pour toute demande : leprecepteurpodcast@gmail.com)