POPULARITY
Categories
Après avoir disparu dans les années 90, la consigne du verre fait son grand retour. Une expérimentation s'apprête à être lancée dans quatre régions début juin. Et les avantages environnmentaux sont conséquents. Ecoutez Le conseil conso avec La rédaction de RTL du 12 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après avoir disparu dans les années 90, la consigne du verre fait son grand retour. Une expérimentation s'apprête à être lancée dans quatre régions début juin. Et les avantages environnmentaux sont conséquents. Ecoutez Le conseil conso avec La rédaction de RTL du 12 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:29 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou, Anne-Toscane Viudes - Dans la deuxième moitié du 18ᵉ siècle, l'Europe découvre un étrange instrument : l'harmonica de verre. Contrairement à l'inventeur de cette "machine musicale", le diplomate et physicien Benjamin Franklin, son interprète, Mary Ann Davies, n'est pas retenue par l'histoire de la musique. - réalisation : Margot Page - invités : Mélanie Traversier Historienne
Avant le 3e verre est un talk-show d'une heure animé par trois fortes personnalités : Manu, Morgane et Léo discutent avec sérieux et humour de sujets de société pour essayer d'y voir un peu plus clair ou de donner un sens au monde qui nous entoure.Sujet de cette 12eme émission : Notre nouveau rapport à la véritéHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Louise : Tiens, ça te tente de m'accompagner boire un verre en terrasse ? J'ai besoin de me rafraîchir avec cette chaleur !Julien : Avec plaisir ! Je connais un super rooftop, avec une vue incroyable sur la ville et surtout des petits coins ombragés !Louise : Ah oui, j'ai absolument besoin d'un coin sans soleil, sinon je vais fondre ! Du coup, c'est parti !Julien : En plus, bonne nouvelle, c'est l'happy hour ! On va pouvoir consommer sans compter ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Boire un verre de lait avant de se coucher serait une solution miracle pour obtenir une bonne nuit de sommeil... C'est le vrai ou faux de la semaine ! Tous les samedis, retrouvez Flavie Flament en compagnie de Jimmy Mohamed dans l'émission "Ça va beaucoup mieux", votre magazine santé et bien-être. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Des jours meilleurs" réalisé par Elsa Bennett et Hippolyte Dard, produit par Vanessa Djian, Daï Daï Films avec entre autre Valérie Bonneton, Michèle Laroque, Sabrina Ouazani et Clovis Cornillac, n'est pas un film sur l'alcool. C'est un film sur la solitude, sur la honte sur les femmes qui tombent et celles qui essaient de se relever. J'ai ri, j'ai pleuré, les deux en même temps, à la fois, souvent, parce que j'ai ressenti tout le désespoir que l'on peut ressentir quand on se croit foutu. Pourquoi ce film doit exister ? Pourquoi maintenant ? Qu'est-ce que ça veut dire être une femme face à l'alcool et à la honte ? Comment le cinéma peut casser le silence et faire respirer ce qu'on tait.Des jours meilleurs à l'affiche le 23 avril 2025Ce podcast est soutenu par la MILDECA, Mission Interministérielle de Lutte contre les Drogues et les Conduites Addictives
In deze aflevering van LeisureTalk gaat Richard Otten in gesprek met Gert-Jan Bressers, mede-eigenaar van Fox Reizen. Na een recente management buy-out bij de ANWB heeft Gert-Jan samen met zijn compagnon Richard Broekhove Fox Reizen nieuw leven ingeblazen. Het merk, bekend van verre groepsreizen, keert terug naar de markt met een vernieuwde propositie waarin zowel verre als Europese bestemmingen centraal staan. Onderwerpen die aan bod komen: De strategische beslissing achter de management buy-out.De visie van Gert-Jan op de toekomst van de reisbranche.Hoe Fox Reizen inspeelt op veranderende demografische trends zoals vergrijzing en groeiende aantallen alleenreizenden.De betekenis en impact van duurzaamheid in de reissector.Het belang van persoonlijk contact en relaties in een steeds digitalere wereld. Gert-Jan deelt openhartig over zijn eigen passie voor reizen, de uitdagingen en kansen die Fox Reizen tegenkomt, en hoe het bedrijf zich onderscheidt door kwaliteit, persoonlijke service en unieke reiservaringen te bieden. Deze aflevering is een must-listen voor iedereen met interesse in toerisme en ondernemerschap binnen de vrijetijdssector. Wil je meer weten over ons en wat we zoal doen in de wereld van leisure, recreatie, toerisme en vrije tijd? Bekijk dan de website: www.leisuretalk.nl. Volg ons ook op LinkedIn of stuur ons een mail. Leisuretalk is dé podcast over toerisme, recreatie en vrije tijd. Elke aflevering gaan we de diepte in met een bijzondere gast. We ontleden trends, bespreken ontwikkelingen en onderzoeken ondernemerslessen. Leisuretalk bezorgt je een uniek perspectief op ons vakgebied. Leisuretalk.nl kan niet gemaakt worden zonder de steun van onze partners: Ginder Ginder is hét bureau voor een (vrijetijds-)economie die werkt aan de stad en het dorp van morgen. Iedereen verdient een goede plek om te wonen, te werken, te ondernemen en te recreëren. Een plek om een prettig en gezond leven te leiden. Helaas wordt de daarvoor beschikbare ruimte steeds beperkter. Dat maakt het geweldig complex. Maar bij Ginder houden we juist van die uitdaging! Sterker nog: we willen het niet anders. Booking Experts Booking Experts helpt recreatieondernemers naar het volgende niveau met een innovatief reserveringssysteem. Ben jij klaar voor geautomatiseerde bedrijfsprocessen die je omzet laten groeien? Productie: Tessa Langedijk Montage: Luc Nieuwenhuijzen Montage: Breakdown Studio Leiden (breakdownstudio.nl) MOJO by tubebackr https://soundcloud.com/tubebackr Creative Commons — Attribution-NoDerivs 3.0 Unported — CC BY-ND 3.0 Free Download / Stream: http://bit.ly/-moj Music promoted by Audio Library https://youtu.be/OtmdW44-5
«La ménagerie de verre», c'est la pièce qui presque du jour au lendemain a propulsé le dramaturge américain Tennessee Williams et révélé tout son talent. Largement inspiré de la vie de l'auteur, ce huis-clos familial oscille entre drame et comédie. États-Unis, années 30. On est en pleine crise économique et dans le petit appartement de la famille Wingfield, Amanda n'a pas encore décroché du mur la photo du mari parti depuis longtemps sans laisser d'adresse. Aux côtés de cette mère à la fois envahissante et attendrissante, deux grands enfants. Tom travaille mais ne rêve que de poésie et de littérature. Et Laura sa sœur, timide maladive, passe ses journées entre un vieux phonographe et sa collection d'animaux miniature en verre taillé.La ménagerie de Verre est au Théâtre du Lucernaire à Paris. Servi par des interprétations sensibles et justes. Philippe Person, le metteur en scène ; Florence le Corre et Blaise Jouhannaud, les comédiens, sont les invités de Sur le pont des arts. La pièce se joue jusqu'au 1er juin 2025 à Paris. Au programme de l'émission :► Café polarCatherine Fruchon-Toussaint a rencontré Gabrielle Massat pour son 3ème roman noir intitulé Gracier la bête (Le Masque) où sur fond d'enfance maltraitée et de crimes invisibilisés, l'autrice met en lumière le travail des éducat/rices/eurs abandonnés par les pouvoirs publics. ► Playlist du jourLady Gaga et Tony Bennett - Cheek to CheekBen L'Oncle Soul - I'm goodLaura Prince - I want to go.
Ses folles aventures et analyse de la dernières partie du Canadien. Sports et société avec Jean-Charles Lajoie. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
«La ménagerie de verre», c'est la pièce qui presque du jour au lendemain a propulsé le dramaturge américain Tennessee Williams et révélé tout son talent. Largement inspiré de la vie de l'auteur, ce huis-clos familial oscille entre drame et comédie. États-Unis, années 30. On est en pleine crise économique et dans le petit appartement de la famille Wingfield, Amanda n'a pas encore décroché du mur la photo du mari parti depuis longtemps sans laisser d'adresse. Aux côtés de cette mère à la fois envahissante et attendrissante, deux grands enfants. Tom travaille mais ne rêve que de poésie et de littérature. Et Laura sa sœur, timide maladive, passe ses journées entre un vieux phonographe et sa collection d'animaux miniature en verre taillé.La ménagerie de Verre est au Théâtre du Lucernaire à Paris. Servi par des interprétations sensibles et justes. Philippe Person, le metteur en scène ; Florence le Corre et Blaise Jouhannaud, les comédiens, sont les invités de Sur le pont des arts. La pièce se joue jusqu'au 1er juin 2025 à Paris. Au programme de l'émission :► Café polarCatherine Fruchon-Toussaint a rencontré Gabrielle Massat pour son 3ème roman noir intitulé Gracier la bête (Le Masque) où sur fond d'enfance maltraitée et de crimes invisibilisés, l'autrice met en lumière le travail des éducat/rices/eurs abandonnés par les pouvoirs publics. ► Playlist du jourLady Gaga et Tony Bennett - Cheek to CheekBen L'Oncle Soul - I'm goodLaura Prince - I want to go.
50 jaar ESA, een nieuwe Afrikaanse ruimtevaartorganisatie, en drie Amerikaanse staten strijden om het hoofdkwartier van good old NASA. Dat en meer met Philippe Schoonejans, Nick Poelstra en Herbert Blankesteijn in deze nieuwe SpaceCowboys Podcast. Eerste commerciële Europese Re-entry vaartuig getesthttps://atmos-space-cargo.com/milestones/atmos-to-attempt-space-re-entry-with-phoenix-capsule-on-spacex-flight/ RTL Nieuws uitzendinghttps://www.rtl.nl/nieuws/uitzendingen/video/b9df9aeb-a008-4723-af13-1a1d98a5927c/rtl-nieuws-0700-uur Oprichting van Afrikaanse Ruimtevaartagentschaphttps://www.esa.int/About_Us/Corporate_news/ESA_welcomes_inauguration_of_the_African_Space_Agency Drie staten strijden voor herlocatie van NASA hoofdkantoorhttps://spacenews.com/states-bid-to-host-a-revamped-nasa-headquarters/ Over leefbare omstandigheden op Mars en een verre exoplaneethttps://nos.nl/artikel/2563961-experts-voorzichtig-over-teken-van-leven-op-exoplaneet-geen-smoking-gunhttps://www.rtl.nl/nieuws/buitenland/artikel/5504737/wetenschappers-vinden-bewijs-voor-mogelijk-buitenaards-levenhttps://arstechnica.com/science/2025/04/skepticism-greets-claims-of-a-possible-biosignature-on-a-distant-world/https://www.space.com/space-exploration/mars-rovers/nasas-curiosity-rover-finds-major-clue-that-mars-was-once-habitable Republikeinse senatoren willen Shuttle Discovery naar Houston halenhttps://arstechnica.com/space/2025/04/why-are-two-texas-senators-trying-to-wrest-a-space-shuttle-from-the-smithsonian/http://www.collectspace.com/news/news-041025a-space-shuttle-discovery-move-smithsonian-houston-legislation.html Oudste astronaut Don Pettit komt ‘thuis’ op zijn ‘verjaardag’, maar klopt dat wel?https://www.space.com/space-exploration/international-space-station/nasas-oldest-active-astronaut-lands-with-space-station-crewmates-on-his-70th-birthday Bezuinigingen bij NASAhttps://arstechnica.com/space/2025/04/trump-white-house-budget-proposal-eviscerates-science-funding-at-nasa/https://www.commerce.senate.gov/services/files/AF1E2124-BB39-4160-A28C-1F6CC2F020FD 6 vrouwen in de ruimtehttps://en.wikipedia.org/wiki/Astronaut ACES atoomklok gelanceerd 21 april 2025.https://blogs.esa.int/exploration/the-clocks-of-aces/See omnystudio.com/listener for privacy information.
"Le Dôme de verre" est à voir sur Netflix , la mini série "The Stolen Girl" est dispo quant à elle sur Disney +
I denne episoden svarer vi på en ærlig og viktig melding fra en lytter som opplever at frykten for å få angst har begynt å styre hverdagen mer enn angsten selv. Hvorfor blir det sånn – og hva kan vi gjøre med det? Kvinnen som skrev til oss sier: «Jeg er så redd for å få angst - selv om sen sjelden er så ille... Men minnet om den ene gangen gjør at jg ikke klarer tenke på noe annet.. " Kjenner du deg igjen i dette? Da er du ikke alene og vi utforske flere tanker rundt dette:Hva angst for angsten egentlig erHvorfor hjernen gjør dette mot ossHva som skjer i kroppen når vi går og venter på "det store anfallet"Hvordan vi kan møte frykten med humor, eksponering og paradoksale metoderSom alltid får du mange historier fra kontoret- metaforer, forskning og konkrete teknikker gir deg verktøy for å møte angsten på nye måter – og kanskje le litt midt i alvoret.Hvis du vil dykke dypere i angst som tema, kan du også høre på disse episodene under. der vi snakker om flere nyanser av sosial angst, panikkangst og alltid med fokus på gode løsninger om hvordan du kan få kontrollen tilbake.96. Emosjonell kapring; når følelsene tar styringen86. Du er MER enn de vonde minnene dine75. Når stresset og angsten setter seg i kroppen59. Når du blir sliten av egne tanker53. En tanke er kun en tanke, ikke noe mer21. Den overveldende angsten
Pessa'h, 'helek 27 - Le mystérieux 5e verre
Cette semaine, direction le Brabant wallon, et une ville qui allie histoire, verdure et bonne humeur : Nivelles ! Avec deux équipes s'apprêtent à se défier, sous la houlette de Walid et l'œil bienveillant de sainte Gertrude : Catherine Ronvaux, régionale de l'étape, en support de Jean, face à Paul Mosseray, joyeux complément du binôme qu'il forme avec Félix ! Avec des questions mêlant gai savoir et culture générale, à propos de Nivelles, de la Wallonie, de la Belgique, du monde, voire de l'univers ! On parle étymologie, clef cassée, du géant Argayon de Nivelles, astronautes américains, reconnaissance du mot Wallonie et mathématiques avec nos candidats (oh et l'origine du mot candidat, la connaissez-vous ? Après avoir écouté cette émission, c'est sûr que oui !). Et pour compléter notre carte postale de Nivelles, rencontre avec Henri Dupont, artiste, pour parler photo, gravure, mais aussi art du vitrail et brosse à putoiser. A la découverte d'un art un peu magique et d'un Nivellois heureux : https://hdupontarts.be/ Merci pour votre écoute Salut les copions, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Salut les copions sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/19688 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
O coreógrafo brasileiro Volmir Cordeiro apresentou o espectáculo “Outrar” na Ménagerie de Verre, em Paris, no âmbito do festival "Les Inaccoutumés". A peça surgiu de um convite da coreógrafa Lia Rodrigues, em 2021, em tempos de pandemia e é uma resposta ao confinamento a que o mundo foi confrontado e aos muros que continuam a erguer-se. Dançar passa a ser uma forma de se “outrar” - um neologismo criado por Fernando Pessoa para se “tornar outro” - mas também passa a ser uma ponte para quebrar barreiras e se chegar a tantos outros. Foi no festival “Les Inaccoutumés” que Volmir Cordeiro apresentou o espectáculo “Outrar”, a 3, 4 e 5 de Abril, na Ménagerie de Verre, em Paris. O solo de 30 minutos foi criado em 2021 a partir de um convite da coreógrafa brasileira Lia Rodrigues e em resposta ao confinamento provocado pela pandemia de covid-19. Lia Rodrigues enviou uma carta aos seus bailarinos quando o mundo estava confinado e isolado. Volmir Cordeiro respondeu com este solo que se transformou numa ponte entre continentes, mas também numa ponte para os outros - os que o vêem e os que o habitam dentro de si. São os seus “heterónimos” que se manifestam nas dezenas de camadas de roupas, de cores e de texturas e que se declinam em múltiplos gestos, movimentos e emoções. Os seus “outros” inspiram-se em Fernando Pessoa e o título da peça - “Outrar” - também aí vai beber. Esses “outros” são, ainda, uma alegoria dos estados da Terra, do planeta feliz e despreocupado ao planeta que ameaça colapsar. Foi por aí que começámos a conversa, no final do espectáculo, numa sexta-feira, na Ménagerie de Verre, em Paris.RFI: O que conta o espectáculo “Outrar”?Volmir Cordeiro, Coreógrafo e bailarino: “Este espectáculo parte de uma ideia que seria aquela de como é que eu poderia personificar a Terra, como é que eu poderia imaginar a Terra como uma pessoa, a Terra de hoje e a Terra tal como ela estava no momento da pandemia porque este projecto nasce durante o confinamento.Então, a questão da Terra, a questão do isolamento, foi muito importante e porque ela também parte da trilha sonora, que tem essa camada bastante cavernosa de uma gruta, que me deu muito essa imagem do que a gente estava vivendo naquele momento do confinamento e tudo o que a gente inventava dentro de um quadrado, dentro das nossas casas.Eu decidi que estava dentro de um quadrado e eu tinha essa ideia de ser a Terra, a Terra doente, a Terra feliz, a Terra que ainda dá para salvar, que ainda pode ser salva, a Terra florida, a Terra fértil, a Terra “clown”, a Terra palhaça, a Terra que precisa de ajuda. Eu fui imaginando várias versões dessa Terra que eu ia encarnando.”A Terra é personificada por si?“É. Eu seria esse desejo, esse desejo de chegar grande, chegar caminhando, caminhando nesse chão que está estável por enquanto, mas que está tremendo porque essa vibração do som coloca o chão, o espaço a tremer. Esse instante quase que precede o colapso, essa ideia que a gente tinha de como é que a gente vai sair da pandemia, para onde é que a gente vai, qual é que vai ser a continuidade do mundo, como é que a gente vai mudar as nossas relações com a vida, com a natureza, connosco mesmos, para podermos continuar a existir.Como a trilha sonora é cheia de variações, cheia de pássaros, cheia de crianças brincando, cheia de vidro quebrando, ela tem um monte de imagens que me foram alimentando e que têm essa ideia de 'outrar', de se transformar em outro. Por isso é que eu fui juntando camadas de figurinos, de saia, de roupa, de pijama, de cuecas, de tudo que eu encontrava, para também trazer essa ideia de que a Terra é feita de todos nós, é feita de vários elementos, de vários outros e que, portanto, dentro desse quadrado, dentro dessa dança, eu tinha que ficar eu mesmo outrando.”Já vamos ao conceito de “outrar”, mas ainda em relação a si como Terra, o Volmir entra em palco ao som de uma tempestade e entra de uma forma muito vertical, como uma árvore que é abanada por essa tempestade. Vive imensas coisas pelo meio e, a dada altura, cai por terra despido. Que gesto é este? “Acho que tem totalmente essa ideia do desmoronamento. A ideia de chegar grande e festivo no vento, no carnaval, na festa, num grande desejo de modificação, num grande entusiasmo de colocar as pessoas que me estão a ver para também se imaginarem ali dentro, para se olharem, olhando o que eu estou fazendo e se verem no outro também - por isso, há este dispositivo de estar um de frente para o outro.Tem essa transformação porque eu precisava 'outrar' também na minha figura global, essa figura não podia terminar assim, ela tinha que virar como a gente vira uma luva, como a gente vira uma meia do avesso. Ela tinha que virar do avesso para dar a ideia de que ela teria que viver uma transformação ali, diante do público. E ela se transforma nessa sereia que está muito perto do chão, que está esmagada, que está talvez nos últimos instantes da própria vida, mas que ainda carrega uma ideia de sublime, uma ideia de beleza e que ainda assim está pedindo ajuda e está procurando pelo outro. É o último chamado pelo outro, esse gesto de procurar, de pedir a esmola, de entregar alguma coisa, de se dirigir para o outro.Então, para mim tem essa coisa desses outros que também vão-se amarrando em nós e que a gente está cheio de outros até ao ponto em que eu vou tirando as minhas camadas, vou-me transformando nessa sereia, mas essa sereia também vai-me impedindo de andar, vai-me impedindo de dançar, vai-me impedindo de me movimentar. O destino final é ir para o chão e ao ir para o chão, ela existe ali no que ela pode fazer naquela nova condição.”É por isso que chamou ao espetáculo “Outrar”? O que quer dizer, para si, “outrar”? “Outrar foi o nome que a Lia Rodrigues deu para o projecto dentro da pandemia porque ela não podia estar aqui na Europa para apresentar um trabalho, não podia fazer a viagem. Então, ela convocou alguns bailarinos que já tinham trabalhado com ela, que estão morando aqui, para ir no lugar dela. Foi ela que deu esse nome a partir de um poema de Fernando Pessoa -eu não sei exactamente qual é o poema, mas vem dele esse neologismo. E já era uma maneira de 'outrar', não era ela, era outro que estava no lugar dela. Foi ela que mandou essa trilha sonora e falou: 'Usem a trilha sonora e faça o que vocês quiserem'. Eu, como estou sempre carregado de figurinos em casa, pensei: 'Bom, para outrar eu vou ter que achar um jeito de criar múltiplos, de criar uma imagem de muitos...”Heterónimos?“Heterónimos, exacto, que seria essa saia, essa calça, esse pijama. Então, fui juntando coisas que eu já tinha de outras peças e quando cheguei no estúdio, eu tinha uma semana e meia para fazer isso, foi muito rápido, e decidi fazer essa figura que está carregada, que é densa e virou essa cebola. Eu chamo muito essa figura de uma cebola viva porque ela está cheia de camadas e o nó dela, o umbigo dela, o centro dela, se confunde com a periferia. Então, é por isso que é como se eu tivesse ali dentro uma interioridade vibrando, pulsando, e é por isso que ela tem que ser revelada também no final. Eu tenho que descascar a cebola, então vou tirando as minhas camadas e ela de cebola vira uma sereia.”O problema é que quando descascamos uma cebola, ficamos a chorar. Em tempos de extremismos, de polarizações políticas, esta peça, este “outrar” tem também algum significado político? “Tem sobretudo, para mim, uma vontade muito grande de valorizar o discurso e a potência do artista. Eu acho que é uma das coisas que eu mais sinto ameaçadas. Ameaçada hoje neste contexto, falando da questão da arte em si. Acho que a primeira coisa que eu queria lembrar é de a gente poder renovar o espaço de encontro e de uma imaginação forte que a gente pode ter quando a gente está em contextos artísticos, quando a gente se reúne para assistir uma peça de 30 minutos e que a gente testemunha de uma transformação. Acho que essa é a primeira camada que eu gostaria de salientar.A segunda é lembrar a tragédia em que está o nosso mundo. Eu acho que quando entro para dançar, eu venho carregado dessa tragédia que é essa tragédia do fascismo, que é essa tragédia do corte do orçamento para a cultura, que é essa vontade de ir para Marte explorar, essa vontade de carro voador, esse delírio do homem, do patriarcado virilista de querer sempre mais, essa ganância. Eu estou fazendo tudo com os trapos, com as roupas que eu encontrei para construir uma figura que vem para lembrar a gente do que a gente precisa, talvez das coisas mais básicas que é vestir, comer, dormir, deitar, sentar, olhar para o outro, dançar, festejar, voltar um pouco para as nossas acções mais básicas e eu acho que a dança é uma ferramenta essencial para isso e pouquíssimo valorizada.”Pode falar-nos um pouco mais da sua colaboração com a Lia Rodrigues? Como é que surgiu o convite? “Eu trabalhei com a Lia entre 2008 e 2011, dos meus 21 aos meus 24 anos, foi um processo muito marcante na minha vida e isso resultou numa relação muito querida, muito gostosa, muito actualizada também. A gente está sempre em conexão, sempre conversando, sempre trocando. É uma presença que ficou muito marcante na minha vida.Acho que as coisas que a gente faz muito jovem são muito determinantes nas nossas vidas. Eu vi a Lia quando tinha 14 anos, lá no interior de Santa Catarina, lá num lugar perdido no fundo do Brasil, no sul do Brasil, eu vi o trabalho da Lia e a partir dali eu quis dançar com ela. Então, depois de ter visto o trabalho com 14 anos, eu entrei na companhia dela com 21 anos. Com 24, deixei a companhia dela para vir morar na França e estudar na França.”E desde então vive em Paris?“E desde então estou aqui. Este trabalho é de 2021, então foi quase dez anos depois que a gente voltou a colaborar através dessa ideia do Outrar, que foi um encontro feito dessa natureza, diante de um contexto pandémico: “Eu não posso ir. Você iria no meu lugar?” Então ela manteve o projecto também, que era uma coisa importante para a sobrevivência da companhia dela. Eu fui lá e criei um projecto a partir da trilha sonora que ela me mandou.”Ou seja, em vez de fechar, o confinamento, para si, abriu qualquer coisa. E para ela também…“Sim, eu estava fazendo um outro projecto no meio desse caminho e este projecto foi como um sopro de fazer alguma coisa nesse estado da pandemia, que era um estado onde a gente não tinha mais a capacidade de antecipar as coisas, que na França tudo é muito antecipado, tudo é muito programado, tudo é muito articulado, com muita antecedência. E nesse momento na nossa vida não estava muito para se programar. A gente não sabia nem quando a gente ia parar de estar confinado, quando a gente ia voltar a sair de casa, as regras mudavam a toda a hora. Então, apareceu essa oportunidade que veio assim como um sopro mesmo. Eu apanhei isso, agarrei isso com muito carinho, muito desejo e com muita espontaneidade. Tipo: 'O que eu tenho em casa? O que eu posso fazer hoje?' Esse vocabulário corporal eu estava trabalhando já em algum momento para fazer essas outras peças , eu metabolizei isso de um jeito e virou este trabalho.”É autor de um ensaio sobre figuras da marginalidade na dança contemporânea, intitulado “Ex-corpo”. Que figuras são estas e até que ponto é que se inscreve nessa linhagem? “Esse livro é uma tese que eu defendi na [Universidade] Paris VIII, uma tese que estava muito voltada para uma ideia de analisar peças que marcaram a minha vida de espectador e que me impulsionaram a entrar na dança. Não são peças com as quais eu construiria necessariamente uma relação de filiação, mas uma relação de afinidade. Peças como Luiz de Abreu, “O Samba do Crioulo Doido”, peças do Marcelo Evelin, “Batucada”, “De repente fica tudo preto de gente”, a peça da Micheline Torres “Histórias de Pessoas e Lugares”.São peças que marcaram a minha vida e são peças que, de alguma forma, estão abordando o que é hoje em dia colocar em cena, como é que a dança contemporânea acolhe um corpo negro, acolhe a questão do corpo migrante, acolhe os movimentos de massa, os movimentos de insurreição. Eu estava interessado nessa força da subversão daquilo que está instituído como marginalizado e que aparece justamente num contexto que permite que a gente mude a nossa maneira de receber a marginalidade, que mude a nossa maneira de conceber o corpo do outro, até que ponto o nosso corpo está submetido a um olhar que vem designá-lo como um corpo marginalizado. Então, são esses processos que me interessam. Esses artistas são artistas muito importantes na minha história. Eu quis analisar como é que eles se interessam ao público, como é que eles se vestem para entrar em cena, como é que eles organizam a dramaturgia, como é que eles passam de uma cena para outra. São artistas muito inspiradores para mim, assim como a Lia.Eu acho que eu estudei não na tentativa de tentar imitá-los - mas que a imitação é uma coisa muito típica da dança e quando a gente imita, a gente também se auto-imita, imita coisas de nós mesmos que a gente talvez desconheça até. Mas eu acho que o lugar deste livro foi mais de conhecer, de aprender como é que essas pessoas que tanto me marcaram fazem, como é que eu posso estudá-las para entender como é que eu faço também. Porque às vezes eu faço muitas coisas que eu não sei exactamente o que eu estou fazendo. Eu reclamo e reivindico muito essa parte inconsciente do trabalho.”
Quand on aime commander du vin au verre au restaurant, au lieu d'une bouteille, ça m'énerve assez vite car il y a souvent peu de choix "au verre". Le plaisir de ne prendre qu'un ou deux verres et que ce soit du bon, et plus ou moins en accord avec nos goûts et vaguement avec ce qu'on mange, c'est un élément essentiel du plaisir d'une sortie au resto. Souvent le dialogue ressemble à cela, s'agissant de vin blanc : "J'ai un chardonnay, ou un alors je peux vous proposer un sauvignon, selon que vous préfériez fruité ou sec ?" De 1, fruité et sec ne sont pas incompatibles, de deux, la plupart du temps, ces vins, souvent français, ont des noms d'appellation qui ne nécessitent pas de les annoncer par leurs cépages, oui je pinaille... ---Fanny Gillard et Carlo de Pascale voyagent dans l'univers culinaire de notre style de vie rock n' roll. Et si cela vous met l'eau à la bouche, alors vous retrouverez également toutes les recettes de Carlo sur notre site Classic21.be dans la rubrique Cook As You Are. Merci pour votre écoute Plus de contenus de Classic 21 sur www.rtbf.be/classic21 Ecoutez-nous en live ici: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer BelgiqueRetrouvez l'ensemble des contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez les autres podcasts de Classic 21 : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxEt retrouvez également Carlo De Pascale dans cet autre podcast de la RTBF: Bientôt à Table : https://audmns.com/mVwVCerDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avant le 3e verre est un talk-show d'une heure animé par trois fortes personnalités : Manu, Morgane et Léo discutent avec sérieux et humour de sujets de société pour essayer d'y voir un peu plus clair ou de donner un sens au monde qui nous entoure.Sujet de cette 11eme émission : Les tendances masculinistes : pourquoi un tel emballement ?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
In deze aflevering van de podcast ga ik in gesprek met mijn zus Janine die samen met haar 8-jarige dochter de hele wereld rondreist als single mom. Ik hoor haar uit over hoe ze dit doet, qua planning, qua financiën en qua veiligheid. Ook vertelt ze precies wat haar inkomen is en hoe ze spaart voor verre reizen. Heb jij ook het idee opgevat om als solo mom met je kind(eren) op een verre reis te gaan, dan is deze podcast een aanrader! Groepsreis Explorista Travel: https://www.exploristatravel.nl/reis/groepsreis-zweden/ Podcast ondersteunen: https://avontuurlijkevrouwen.nl/steun/ Inschrijven voor de nieuwsbrief: https://avontuurlijkevrouwen.nl/nieuwsbrief/
Dans le cadre du salon de l'artisanat et de la formation, Franck est allé à la rencontre de Thomas Segaud, souffleur de verre qui propose une journée d'initiation au soufflage de verre.Site web de Thomas Segaud : https://thomassegaud.com/prestations/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le cadre du salon de l'artisanat et de la formation, Franck est allé à la rencontre de Jo & Jo. Démarche archéologique afin de retrouver les techniques de création de bracelet en verre de l'époque gauloise. Pour plus d'info : silicybine.verre@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
O coreógrafo brasileiro Volmir Cordeiro apresentou o espectáculo “Outrar” na Ménagerie de Verre, em Paris, no âmbito do festival "Les Inaccoutumés". A peça surgiu de um convite da coreógrafa Lia Rodrigues, em 2021, em tempos de pandemia e é uma resposta ao confinamento a que o mundo foi confrontado e aos muros que continuam a erguer-se. Dançar passa a ser uma forma de se “outrar” - um neologismo criado por Fernando Pessoa para se “tornar outro” - mas também passa a ser uma ponte para quebrar barreiras e se chegar a tantos outros. Foi no festival “Les Inaccoutumés” que Volmir Cordeiro apresentou o espectáculo “Outrar”, a 3, 4 e 5 de Abril, na Ménagerie de Verre, em Paris. O solo de 30 minutos foi criado em 2021 a partir de um convite da coreógrafa brasileira Lia Rodrigues e em resposta ao confinamento provocado pela pandemia de covid-19. Lia Rodrigues enviou uma carta aos seus bailarinos quando o mundo estava confinado e isolado. Volmir Cordeiro respondeu com este solo que se transformou numa ponte entre continentes, mas também numa ponte para os outros - os que o vêem e os que o habitam dentro de si. São os seus “heterónimos” que se manifestam nas dezenas de camadas de roupas, de cores e de texturas e que se declinam em múltiplos gestos, movimentos e emoções. Os seus “outros” inspiram-se em Fernando Pessoa e o título da peça - “Outrar” - também aí vai beber. Esses “outros” são, ainda, uma alegoria dos estados da Terra, do planeta feliz e despreocupado ao planeta que ameaça colapsar. Foi por aí que começámos a conversa, no final do espectáculo, numa sexta-feira, na Ménagerie de Verre, em Paris.RFI: O que conta o espectáculo “Outrar”?Volmir Cordeiro, Coreógrafo e bailarino: “Este espectáculo parte de uma ideia que seria aquela de como é que eu poderia personificar a Terra, como é que eu poderia imaginar a Terra como uma pessoa, a Terra de hoje e a Terra tal como ela estava no momento da pandemia porque este projecto nasce durante o confinamento.Então, a questão da Terra, a questão do isolamento, foi muito importante e porque ela também parte da trilha sonora, que tem essa camada bastante cavernosa de uma gruta, que me deu muito essa imagem do que a gente estava vivendo naquele momento do confinamento e tudo o que a gente inventava dentro de um quadrado, dentro das nossas casas.Eu decidi que estava dentro de um quadrado e eu tinha essa ideia de ser a Terra, a Terra doente, a Terra feliz, a Terra que ainda dá para salvar, que ainda pode ser salva, a Terra florida, a Terra fértil, a Terra “clown”, a Terra palhaça, a Terra que precisa de ajuda. Eu fui imaginando várias versões dessa Terra que eu ia encarnando.”A Terra é personificada por si?“É. Eu seria esse desejo, esse desejo de chegar grande, chegar caminhando, caminhando nesse chão que está estável por enquanto, mas que está tremendo porque essa vibração do som coloca o chão, o espaço a tremer. Esse instante quase que precede o colapso, essa ideia que a gente tinha de como é que a gente vai sair da pandemia, para onde é que a gente vai, qual é que vai ser a continuidade do mundo, como é que a gente vai mudar as nossas relações com a vida, com a natureza, connosco mesmos, para podermos continuar a existir.Como a trilha sonora é cheia de variações, cheia de pássaros, cheia de crianças brincando, cheia de vidro quebrando, ela tem um monte de imagens que me foram alimentando e que têm essa ideia de 'outrar', de se transformar em outro. Por isso é que eu fui juntando camadas de figurinos, de saia, de roupa, de pijama, de cuecas, de tudo que eu encontrava, para também trazer essa ideia de que a Terra é feita de todos nós, é feita de vários elementos, de vários outros e que, portanto, dentro desse quadrado, dentro dessa dança, eu tinha que ficar eu mesmo outrando.”Já vamos ao conceito de “outrar”, mas ainda em relação a si como Terra, o Volmir entra em palco ao som de uma tempestade e entra de uma forma muito vertical, como uma árvore que é abanada por essa tempestade. Vive imensas coisas pelo meio e, a dada altura, cai por terra despido. Que gesto é este? “Acho que tem totalmente essa ideia do desmoronamento. A ideia de chegar grande e festivo no vento, no carnaval, na festa, num grande desejo de modificação, num grande entusiasmo de colocar as pessoas que me estão a ver para também se imaginarem ali dentro, para se olharem, olhando o que eu estou fazendo e se verem no outro também - por isso, há este dispositivo de estar um de frente para o outro.Tem essa transformação porque eu precisava 'outrar' também na minha figura global, essa figura não podia terminar assim, ela tinha que virar como a gente vira uma luva, como a gente vira uma meia do avesso. Ela tinha que virar do avesso para dar a ideia de que ela teria que viver uma transformação ali, diante do público. E ela se transforma nessa sereia que está muito perto do chão, que está esmagada, que está talvez nos últimos instantes da própria vida, mas que ainda carrega uma ideia de sublime, uma ideia de beleza e que ainda assim está pedindo ajuda e está procurando pelo outro. É o último chamado pelo outro, esse gesto de procurar, de pedir a esmola, de entregar alguma coisa, de se dirigir para o outro.Então, para mim tem essa coisa desses outros que também vão-se amarrando em nós e que a gente está cheio de outros até ao ponto em que eu vou tirando as minhas camadas, vou-me transformando nessa sereia, mas essa sereia também vai-me impedindo de andar, vai-me impedindo de dançar, vai-me impedindo de me movimentar. O destino final é ir para o chão e ao ir para o chão, ela existe ali no que ela pode fazer naquela nova condição.”É por isso que chamou ao espetáculo “Outrar”? O que quer dizer, para si, “outrar”? “Outrar foi o nome que a Lia Rodrigues deu para o projecto dentro da pandemia porque ela não podia estar aqui na Europa para apresentar um trabalho, não podia fazer a viagem. Então, ela convocou alguns bailarinos que já tinham trabalhado com ela, que estão morando aqui, para ir no lugar dela. Foi ela que deu esse nome a partir de um poema de Fernando Pessoa -eu não sei exactamente qual é o poema, mas vem dele esse neologismo. E já era uma maneira de 'outrar', não era ela, era outro que estava no lugar dela. Foi ela que mandou essa trilha sonora e falou: 'Usem a trilha sonora e faça o que vocês quiserem'. Eu, como estou sempre carregado de figurinos em casa, pensei: 'Bom, para outrar eu vou ter que achar um jeito de criar múltiplos, de criar uma imagem de muitos...”Heterónimos?“Heterónimos, exacto, que seria essa saia, essa calça, esse pijama. Então, fui juntando coisas que eu já tinha de outras peças e quando cheguei no estúdio, eu tinha uma semana e meia para fazer isso, foi muito rápido, e decidi fazer essa figura que está carregada, que é densa e virou essa cebola. Eu chamo muito essa figura de uma cebola viva porque ela está cheia de camadas e o nó dela, o umbigo dela, o centro dela, se confunde com a periferia. Então, é por isso que é como se eu tivesse ali dentro uma interioridade vibrando, pulsando, e é por isso que ela tem que ser revelada também no final. Eu tenho que descascar a cebola, então vou tirando as minhas camadas e ela de cebola vira uma sereia.”O problema é que quando descascamos uma cebola, ficamos a chorar. Em tempos de extremismos, de polarizações políticas, esta peça, este “outrar” tem também algum significado político? “Tem sobretudo, para mim, uma vontade muito grande de valorizar o discurso e a potência do artista. Eu acho que é uma das coisas que eu mais sinto ameaçadas. Ameaçada hoje neste contexto, falando da questão da arte em si. Acho que a primeira coisa que eu queria lembrar é de a gente poder renovar o espaço de encontro e de uma imaginação forte que a gente pode ter quando a gente está em contextos artísticos, quando a gente se reúne para assistir uma peça de 30 minutos e que a gente testemunha de uma transformação. Acho que essa é a primeira camada que eu gostaria de salientar.A segunda é lembrar a tragédia em que está o nosso mundo. Eu acho que quando entro para dançar, eu venho carregado dessa tragédia que é essa tragédia do fascismo, que é essa tragédia do corte do orçamento para a cultura, que é essa vontade de ir para Marte explorar, essa vontade de carro voador, esse delírio do homem, do patriarcado virilista de querer sempre mais, essa ganância. Eu estou fazendo tudo com os trapos, com as roupas que eu encontrei para construir uma figura que vem para lembrar a gente do que a gente precisa, talvez das coisas mais básicas que é vestir, comer, dormir, deitar, sentar, olhar para o outro, dançar, festejar, voltar um pouco para as nossas acções mais básicas e eu acho que a dança é uma ferramenta essencial para isso e pouquíssimo valorizada.”Pode falar-nos um pouco mais da sua colaboração com a Lia Rodrigues? Como é que surgiu o convite? “Eu trabalhei com a Lia entre 2008 e 2011, dos meus 21 aos meus 24 anos, foi um processo muito marcante na minha vida e isso resultou numa relação muito querida, muito gostosa, muito actualizada também. A gente está sempre em conexão, sempre conversando, sempre trocando. É uma presença que ficou muito marcante na minha vida.Acho que as coisas que a gente faz muito jovem são muito determinantes nas nossas vidas. Eu vi a Lia quando tinha 14 anos, lá no interior de Santa Catarina, lá num lugar perdido no fundo do Brasil, no sul do Brasil, eu vi o trabalho da Lia e a partir dali eu quis dançar com ela. Então, depois de ter visto o trabalho com 14 anos, eu entrei na companhia dela com 21 anos. Com 24, deixei a companhia dela para vir morar na França e estudar na França.”E desde então vive em Paris?“E desde então estou aqui. Este trabalho é de 2021, então foi quase dez anos depois que a gente voltou a colaborar através dessa ideia do Outrar, que foi um encontro feito dessa natureza, diante de um contexto pandémico: “Eu não posso ir. Você iria no meu lugar?” Então ela manteve o projecto também, que era uma coisa importante para a sobrevivência da companhia dela. Eu fui lá e criei um projecto a partir da trilha sonora que ela me mandou.”Ou seja, em vez de fechar, o confinamento, para si, abriu qualquer coisa. E para ela também…“Sim, eu estava fazendo um outro projecto no meio desse caminho e este projecto foi como um sopro de fazer alguma coisa nesse estado da pandemia, que era um estado onde a gente não tinha mais a capacidade de antecipar as coisas, que na França tudo é muito antecipado, tudo é muito programado, tudo é muito articulado, com muita antecedência. E nesse momento na nossa vida não estava muito para se programar. A gente não sabia nem quando a gente ia parar de estar confinado, quando a gente ia voltar a sair de casa, as regras mudavam a toda a hora. Então, apareceu essa oportunidade que veio assim como um sopro mesmo. Eu apanhei isso, agarrei isso com muito carinho, muito desejo e com muita espontaneidade. Tipo: 'O que eu tenho em casa? O que eu posso fazer hoje?' Esse vocabulário corporal eu estava trabalhando já em algum momento para fazer essas outras peças , eu metabolizei isso de um jeito e virou este trabalho.”É autor de um ensaio sobre figuras da marginalidade na dança contemporânea, intitulado “Ex-corpo”. Que figuras são estas e até que ponto é que se inscreve nessa linhagem? “Esse livro é uma tese que eu defendi na [Universidade] Paris VIII, uma tese que estava muito voltada para uma ideia de analisar peças que marcaram a minha vida de espectador e que me impulsionaram a entrar na dança. Não são peças com as quais eu construiria necessariamente uma relação de filiação, mas uma relação de afinidade. Peças como Luiz de Abreu, “O Samba do Crioulo Doido”, peças do Marcelo Evelin, “Batucada”, “De repente fica tudo preto de gente”, a peça da Micheline Torres “Histórias de Pessoas e Lugares”.São peças que marcaram a minha vida e são peças que, de alguma forma, estão abordando o que é hoje em dia colocar em cena, como é que a dança contemporânea acolhe um corpo negro, acolhe a questão do corpo migrante, acolhe os movimentos de massa, os movimentos de insurreição. Eu estava interessado nessa força da subversão daquilo que está instituído como marginalizado e que aparece justamente num contexto que permite que a gente mude a nossa maneira de receber a marginalidade, que mude a nossa maneira de conceber o corpo do outro, até que ponto o nosso corpo está submetido a um olhar que vem designá-lo como um corpo marginalizado. Então, são esses processos que me interessam. Esses artistas são artistas muito importantes na minha história. Eu quis analisar como é que eles se interessam ao público, como é que eles se vestem para entrar em cena, como é que eles organizam a dramaturgia, como é que eles passam de uma cena para outra. São artistas muito inspiradores para mim, assim como a Lia.Eu acho que eu estudei não na tentativa de tentar imitá-los - mas que a imitação é uma coisa muito típica da dança e quando a gente imita, a gente também se auto-imita, imita coisas de nós mesmos que a gente talvez desconheça até. Mas eu acho que o lugar deste livro foi mais de conhecer, de aprender como é que essas pessoas que tanto me marcaram fazem, como é que eu posso estudá-las para entender como é que eu faço também. Porque às vezes eu faço muitas coisas que eu não sei exactamente o que eu estou fazendo. Eu reclamo e reivindico muito essa parte inconsciente do trabalho.”
Donald Trumps globale handelskrig er i gang for alvor. Norge får en toll på 15 prosent. Samtidig er hundretusener av norske eksportjobber utsatt. Bør vi nå sende varer via Jan Mayen? Og hvor utsatt er verdiene alle småsparere har i aksjer og fond? Med Roar Valderhaug, børskommentator i E24. Programleder Sindre Heyerdahl. Produsent Magne Antonsen. Ansvarlig redaktør Lars Håkon Grønning. Hør E24-podden der du hører podkast. Analyser, nyheter og innsikt i business og næringsliv.
durée : 00:01:40 - L'info d'ici, ici Périgord
Merci à Héméré et sa maman, d'être venues dans le studio de LEGEND ! Elles sont toutes les deux atteintes de la maladie des os de verre. À 10 ans Héméré a déjà vécu 14 fractures, le moindre geste du quotidien peut devenir dangereux pour sa vie. On a parlé avec elles, de leur quotidien, des risques de la maladie, de leur futur et de Siméon le frère jumeau d'Héméré, lui aussi atteint de la maladie des os de verre.Renseignez-vous sur l'association “Service Plus à la personne / Association handicap mental et autisme” ➡️ : https://www.serviceplusalapersonne.com/Soutenez l'association ➡️: https://www.helloasso.com/associations/service-plus-a-la-personne/formulaires/2/widgetRetrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/Cuu0zeyji9UPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Rubrique:animaux Auteur: claude-fee Lecture: Claude FeeDurée: 07min Fichier: 5 Mo Résumé du livre audio: Récit d'une amitié essentielle. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Didier Giraud et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le plafond de verre existe-t-il encore ? Les chiffres sont stupéfiants.
durée : 00:02:34 - C'est mon boulot - Les femmes sont plus nombreuses que les hommes à travailler dans les collectivités territoriales, en tant que fonctionnaires ou contractuels. Elles représentent 61% des effectifs mais sont toujours une minorité à accéder à la fonction la plus élevée.
durée : 00:17:21 - Le Feuilleton - Pour comprendre ce qui s'est passé depuis la disparition de Decker, une visite à l'hôpital Dunning s'impose. C'est un asile psychiatrique dans lequel des opposants politiques auraient été enfermés à vie. Les fantômes commencent à sortir de l'ombre.
Dit is ‘n uiters goeie week vir reënval in die land, ook die verre westelike en suidelike dele van die land en sou die voorspellings hou, behoort die Hardapdam weer water in te neem. En dit eindig nie daar nie, soos plaaslike weerkenner George van der Merwe verduidelik.
Il faut penser mieux pour réussir plus. Dans ce podcast, Max Piccinini donne les réponses pour construire des leviers psychologiques et dévoilent les secrets d'un mindset idéal pour entreprendre, et réussir.Réservez votre place pour la Web-conférence gratuite ici : http://yesmax.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Michael VerreMichael was born on New York's longest island. As an only child, Michael was thrown into just about activity you could think of. From piano lessons to karate to baseball, he did it all. It was through this smorgasbord of activities that Michael discovered his love for performing.Since then, he has performed across the country, written a musical "A New Song and Dance" and has built a resume teaching tap dancers of all ages around the trip state area.
Dans cet épisode, vous avez écouté : Marie-Alice Skaper, Directrice générale du CERFAVChristine Jaboin, Proviseur du lycée Dominique Labroise à SarrebourgJean-Pierre Mateus, formateur au CERFAV et maître verrierJohanna Pierret, formatrice et responsable de l'atelier ChalumeauAlexandre Corbillon, apprenti créateur verrier en première annéeElisa Confais, apprentie créatrice verrière en première année, spécialité décoration sur verreEmma Tavian, apprentie créatrice verrière en première année, spécialité décoration sur verreBasil Thiebaut, apprenti créateur verrier en première année, spécialité vitrailAurore Emonnot, apprentie créatrice verrière, spécialité souffleuse de verreSarah Lounici, apprentie créatrice verrière, spécialité décoration sur verreMaxime Morgano, Ingénieur R&D dans l'équipe R&D du CerfavJohnny Folliard, apprenti créateur verrier en première année, spécialité souffleur de verreThomas Paynel, apprenti créateur verrier, spécialité souffleur de verre
Aujourd'hui, je reçois Zoé Lakhnati, danseuse et chorégraphe, organisatrice du laboratoire de recherche créatif « de l'Impertinence », et artiste associée à la Ménagerie de Verre.Formée à P.A.R.T.S., elle aime créer à partir d'un corpus d'images, une approche inspirée de « l'Atlas Mnemosyne » de l'historien d'art Aby Warburg.Après « Where the Fuck Am I ?» et « Gush is great », elle présente un premier solo « This is la mort ».* This is la mort est à la Ménagerie de Verre les 12, 13 et 14 mars pour le festival Les Inaccoutumés.* Une version in situ sera présentée au festival de danse d'UzesOn l'écoute avec joie,Pour en savoir plus sur :
Tous les dimanches, toi et moi on papote en Facetime
The inevitability of change is something we can either fear or embrace with insatiable curiosity, and one of them, of course, yields far better results than the other. Today's guest is a serial entrepreneur and self-described "forever intern" who co-founded Basic.Space, which later acquired Design Miami, where he now serves as chairman. Up next is Design.Space, a project that explores the power of quality curation within an IRL/URL retail experience while bringing together the worlds of design, art, and fashion. In a culture where the concept of community has been co-opted by big business and marketing teams, Jesse Lee shares a different approach that, for this conversation, we'll call a club. Whether or not you're familiar with the burgeoning world of design and its evolving role in communicating status the way a highly coveted watch or luxury fashion once did, Jesse's mindset is one to emulate. His perspective is especially valuable for those seeking their own point of convergence where passion and purpose meet in a way that is both meaningful and profitable. "It's not just about the work ethic, but also about wanting to learn. If it wasn't for that mindset, I don't think I'd be able to learn from music, fashion, technology, art, design, culinary—whatever it is. That's sort of been the mantra since day one." - Jesse Lee Design.Space will showcase a curated selection of archival and contemporary pieces from top artists, designers, galleries, and brands, including: Alexander May, AMEN, Archived, Avery Wheless, Brett Robinson, Brian Thoreen, Cadogan Tate, David Kelley, Enorme, Ettore Sottsass, Found Objects, George Davies, GUFRAM, Guido, Jahlil Nzinga, Jean Pigozzi, Jeffrey Deitch, Jess Hannah, Jeaux de Peau by Purienne, Justin Reed, Keiko Moriuchi, Laura Sattin, Leyla Fisher, Lily Clark, Marcin Rusak, Marquel Williams, Marta, Max Lamb, Memphis, Meritalia, Michelle Jane Lee, niceworkshop, Nick Thomm, Nike, NM3, NO GA, Paulin Paulin Paulin, Period Correct, Puck, Raiffe Glass, Roham Shamekh, Sabine Marcelis, Sam Klemick, Same Old/BASA Vintage, Sasha December, Spaceless Gallery, Stephanie Ketty, Stickymonger, Studio Ker, The Future Perfect, The Pink Lemonade, Tokio., Tristan Marsh, Tsu Lange Yor, USM, Verre d'Onge, Wexler Gallery, Willo Perron, Yung Jake & more to be announced soon. Episode Highlights: Jesse Lee's Journey from Intern to Industry Leader – How his relentless curiosity and willingness to do any job led to his success in music, fashion, and design. The Birth of Basic.Space – Why Jesse created Basic.Space as a curated platform for creatives, and how it evolved into an ecosystem connecting sellers, collectors, and brands. The Acquisition of Design Miami – The strategic move behind Basic.Space acquiring Design Miami, and how the two entities complement each other. The Concept Behind Design.Space – How Jesse is bridging digital and physical retail by creating a hybrid shopping experience that blends the best of Basic.Space and Design Miami. The Shift from Fashion to Design – Why luxury consumers are now more interested in furniture, objects, and design than traditional status-driven fashion. The Strategy Behind Invitation-Only Shopping – Why Basic.Space is moving to a membership-based model and limiting access to its most engaged customers. Curation as the Key to Modern Luxury – How brands and platforms must focus on thoughtful selection rather than mass availability to stay relevant. The Role of Physical Events in a Digital World – Why Jesse believes creating real-world moments is critical, and how Design.Space will redefine the shopping experience. The Importance of Intersectionality in Business – Jesse's belief that success comes from mastering multiple industries—fashion, music, technology, art, and design—rather than specializing in just one. Why Push Marketing Is Over – Jesse's philosophy that the best brands don't chase customers but create experiences that naturally pull the right people in. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Feyenoord-watcher Martijn Krabbendam blikt met Kalum van Oudheusden vooruit op de wedstrijd Feyenoord - AC Milan en bespreekt de nieuwe blessuregevallen, waaronder die van Quinten Timber.Zie het privacybeleid op https://art19.com/privacy en de privacyverklaring van Californië op https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Dans cet épisode, avec Fabrizio Bucella, Scientifique, Physicien, Oenologue et créateur de contenu, on parle de vin, du niveau d'alcool dans le sang de James Bond, et on essaye de savoir s'il vaut mieux prendre le premier ou le second vin le moins cher de la carte... Son Livre OVNI (objet Vinicole non identifié) : https://www.hachette-pratique.com/livre/ovni-objet-vinicole-non-identifie-9782017047520/Vulgaire,un podcast présenté par Marie Misset et Marine Baoussonréalisé par Antoine OlierProgrammé par Louise TempéreauGraphisme et illustrations : Juliette PoneyGénérique : Romain BaoussonEnregistré au studio Acast que nous remercions Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 04/02/2025, il est question de la journée mondiale contre le cancer en compagnie du professeur David Khayat, oncologue, la chanteuse Julie Pietri et le journaliste Guillaume Durand. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
durée : 00:28:41 - Les Pieds sur terre - par : Judith Chetrit - Depuis une quarantaine d'années, un grand nombre d'indicateurs documentent l'ampleur des inégalités professionnelles femmes-hommes. Comment faire évoluer les choses ? Anita, conseillère commerciale, et Julie, inspectrice du travail, luttent contre les inégalités salariales, chacune à sa manière. - réalisation : Anne Depelchin
Malgré les campagnes de prévention, l'alcool continue de faire des ravages. Particulièrement en France, où la consommation est très ancrée dans nos pratiques culturelles. En 2019, 3,5 milliards de bouteilles ont été consommées, ce qui fait de nous le deuxième consommateur mondial de vin, juste derrière les Etats-Unis. En 2019, l'alcool aurait entraîné la mort de 41000 personnes dont 16 000 cas de cancer, selon les chiffres de Santé Publique France. Parfois, sans s'en rendre compte, certains flirtent avec la dépendance. On parle alors d'alcoolisme mondain. La consommation ne dépasse pas quelques verres par jour mais presque tous les jours. Dans ce cas, la régularité devient problématique. Comment savoir si on consomme trop d'alcool ? Comment faire pour résister ? Et que faire en cas de perte de contrôle ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez - Santé". "Maintenant Vous Savez" c'est également deux autres podcasts qui décryptent la culture avec "Maintenant Vous Savez - Culture" et la santé avec "Maintenant Vous Savez - Santé". Quatre fois par semaine, nous vous proposons de découvrir les meilleurs épisodes. Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Olivia Villamy. A écouter aussi : Quels sont les 3 conseils pour allaiter son bébé ? Quels sont les 3 bienfaits de l'amitié sur notre santé ? Quand faut-il s'inquiéter de la chute de nos cheveux ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Date de première diffusion : 2 aout 2022 En partenariat avec Flipboard, votre magazine social. Abonnez-vous pour ne manquer aucun contenu ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Vous avez adoré, si j'en juge par le nombre de réactions, la mini-dictée d'il y a deux ou trois semaines autour des homonymes de "100" (sans, c'en, s'en, cent...). Eh bien nous allons partir sur une autre mini-dictée d'homonymes, plus littéraire, puisqu'il s'agit d'un poème de Maurice Carême. A vos stylos, amis des mots.
Une nouvelle étude confirme que les produits laitiers, en particulier le lait et les yaourts, protègent du cancer colorectal. C'est l'un des cancers les plus fréquents en France. D'où l'importance de savoir comment le prévenir. Ecoutez Ça va Beaucoup Mieux avec Aline Perraudin du 13 janvier 2025.
Stéphane Bern raconte René Lalique, créateur de bijoux à la Belle Epoque qui a laissé son nom gravé sur des objets d'exception, et dans l'Histoire de l'art français… en devenant un véritable maître verrier ! En quoi René Lalique a-t-il inventé le bijou moderne ? Comment est-il passé maître dans l'art de la verrerie ? Comment a-t-il participé à la révolution industrielle ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Véronique Brumm Schaich, directrice du musée Lalique et auteure du livre “René Lalique, le génie de la lumière” (Gallimard).
Stéphane Bern raconte René Lalique, créateur de bijoux à la Belle Epoque qui a laissé son nom gravé sur des objets d'exception, et dans l'Histoire de l'art français… en devenant un véritable maître verrier ! En quoi René Lalique a-t-il inventé le bijou moderne ? Comment est-il passé maître dans l'art de la verrerie ? Comment a-t-il participé à la révolution industrielle ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Véronique Brumm Schaich, directrice du musée Lalique et auteure du livre “René Lalique, le génie de la lumière” (Gallimard).
Fêtes de fin d'année : un nouveau dispositif pour vérifier votre verre en soirée Chaque jour, retrouvez le journal de 8h pour faire le tour de l'actu.
Virginie Girod raconte la légende entourant une aristocrate du XVIIIe siècle devenue l'héroïne au verre de sang.En septembre 1792, quelques semaines après la chute de la monarchie, plusieurs prisons sont prises d'assaut dans toute la France par des sans-culottes. Ces derniers massacrent plusieurs centaines de détenus - contre-révolutionnaires et royalistes pour la plupart - craignant qu'ils ne s'évadent et parviennent à faire libérer le roi déchu Louis XVI en s'alliant avec les puissances étrangères.Parmi les détenus menacés par les révolutionnaires, se trouve le marquis de Sombreuil, gouverneur des Invalides emprisonné à la prison parisienne de l'Abbaye, avec sa fille, Marie-Maurille (1768-1823). Cette dernière, dans un geste désespéré, aurait bu un verre rempli de sang afin que la lame du bourreau ne s'abatte pas sur le cou de son père. Le cœur de celle devenue, pour la postérité "l'héroïne au verre de sang", est aujourd'hui conservé dans le carditaphe des Invalides. Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1.- Présentation et écriture : Virginie Girod- Production : Armelle Thiberge et Morgane Vianey- Réalisation : Nicolas Gaspard- Composition du générique : Julien Tharaud- Promotion et coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin Ressources en ligne : Mademoiselle de Sombreuil : épisode de la Terreur Ruines et fantômes / Jules Claretie Sombreuil, Marie-Maurille Virot de (1767-1823 ; comtesse de Villelume) - France Archives Sombreuil, Charles-François Virot (1723-1794 ; marquis de) - France Archives Les petits secrets de l'Hôtel des Invalides - Site archives du ministère des Armées Prise du palais des Tuileries, 10 août 1792 par Jacques Bertaux - Château de Versailles La prise des Tuileries, 10 août 1792 - Château de Versailles