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On le surnommait “mille-pates”, rapport à ses deux grandes paluches qui couraient sur le manche de sa guitare. Henri Crolla, un poète à six cordes. L'un des musiciens les plus discrets et méconnu du jazz en France, intime de Jacques Prévert, Yves Montand et Django Reinhardt. “C'était le guitariste le plus étonnant que j'ai connu depuis Django”, écrira d'ailleurs à sa mort André Hodeir dans la revue Jazz Hot. “Après lui, dira Naguine, la veuve de Django, il n'y a plus de guitaristes”. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:39:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En 1965, dans l'émission "Connaître le jazz", zoom sur la réappropriation originale de la musique populaire par les musiciens de jazz. (1ère diffusion : 23/10/1965) Le jazz est un art authentique, et ce en dépit du fait qu'il emprunte parfois au répertoire de la variété. Les musiciens de jazz s'emploient à le transformer en le débarrassant de sa mièvrerie, en le transfigurant par paraphrase ou même en l'oubliant complètement. Quels dangers ce répertoire a-t-il fait courir au jazz, tout en lui donnant l'occasion de réaliser des miracles ? * Lucien Malson et le critique de jazz André Hodeir mettent en lumière comment des interprètes ont cherché à transcender des thèmes populaires dans une syntaxe propre au jazz. On y écoute "No One Else But You" de Louis Armstrong ou encore "Summertime" de Sidney Bechet.
durée : 00:39:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En 1965, dans l'émission "Connaître le jazz", on décortiquait les variations de ce genre musical. Entre acceptation et refus de thèmes tirés de la variété, les musiciens de jazz ont composé une palette musicale singulière. (1ère diffusion : 16/10/1965) * L'aventure du jazz fut celle de la liberté. Il s'est agi, pour les musiciens qui puisaient dans la chanson populaire, de ne pas rester prisonniers de son allure et de son climat. Cette chanson populaire, ils l'ont d'abord respectée, à regret ou non, puis ils l'ont ensuite modifiée à leur image. * Dans cette émission de 1965, Lucien Malson et le critique de jazz André Hodeir mettent en lumière comment des interprètes ont cherché à transcender des thèmes populaires dans une syntaxe propre au jazz. A titre d'exemple, on y écoute "The Man I Love" de Miles Davis ou encore "Embraceable You" de Charlie Parker.
Concerto For Cootie est l'un des plus grands chefs-d'œuvre de l'histoire du jazz. A tel point que le compositeur, critique et musicologue André Hodeir écrira à son sujet : “Aucun interprète de musique occidentale, quel que soit son génie, ne nous dira autant sur lui-même que ne le fait Cootie au cours de ces trois minutes”. Autopsie d'un chef d'oeuvre dans Pour Qui Sonne Le Jazz.
durée : 00:44:59 - Les Nuits de France Culture - Par Lucien Malson - Présentation André Hodeir
Remember record stores? Remember the thrill of turning your friends on to new music by swapping vinyl and CDs? Yeah, we do too. That’s why we’re rebooting that tradition for the digital age with our “Crate Digging” podcast series, in which we’ll search through crates of our memories to bring you a handful of album recommendations on a given theme. It’s social media in the truest sense of the term: no algorithms, no computer-generated playlist. Just jazz fans sharing records with other jazz fans. You can listen to the podcast version via the player below. Write-ups of individual albums and sample tracks follow. Welcome to the party! For this episode of Crate Digging, we have chosen some of our favorite third stream albums! Albums included: Modern Jazz Quartet, Django (Prestige, 1956) Gunther Schuller, Jumpin' in the Future (GM, 1988) Jacques Loussier, Play Bach N.1 (Decca, 1959) Charles Mingus, The Black Saint and the Sinner Lady (Impulse!, 1963) André Hodeir, Jazz et Jazz (Fontana, 1959) Various Artists, The Birth of Third Stream (Columbia, 1996) Eric Dolphy, Out There (New Jazz, 1961) John Lewis, Jazz Abstractions (Atlantic, 1961) Franco Ambrosetti, Music for Symphony and Jazz Band (Enja, 1991) Joe Lovano, Rush Hour (Blue Note, 1994) --- Support this podcast: https://anchor.fm/jazziz/support
durée : 00:44:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Lucien Malson - Présentation André Hodeir - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:44:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 1965 sur France Culture, l’émission "Connaître le jazz" proposait de découvrir, en compagnie du critique de jazz André Hodeir, le répertoire de Duke Ellington, pianiste, compositeur, auteur de standards comme Moon Indigo, African flowers ou Caravane et ami de Louis Amstrong et d'Ella Fitzgerald. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : André Hodeir
durée : 00:58:54 - Spell it ! - par : Nathalie Piolé - La playlist jazz de Nathalie Piolé. - réalisé par : Fabien Fleurat
durée : 00:44:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 1965 sur France Culture, l’émission "Connaître le jazz" proposait de découvrir, en compagnie du critique de jazz André Hodeir, le répertoire de Duke Ellington, pianiste, compositeur, auteur de standards comme Moon Indigo, African flowers ou Caravane et ami de Louis Amstrong et d'Ella Fitzgerald. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : André Hodeir
durée : 00:40:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Lucien Malson - Présentation André Hodeir - réalisé par : Viginie Mourthé
durée : 00:40:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Lucien Malson - Présentation André Hodeir - réalisé par : Viginie Mourthé
How did French musicians and critics interpret jazz—that quintessentially American music—in the mid-twentieth century? How far did players reshape what they learned from records and visitors into more local jazz forms, and how did the music figure in those angry debates that so often suffused French cultural and political life? After Django begins with the famous interwar triumphs of Josephine Baker and Django Reinhardt, but, for the first time, the focus here falls on the French jazz practices of the postwar era. The work of important but neglected French musicians such as André Hodeir and Barney Wilen is examined in depth, as are native responses to Americans such as Miles Davis and Thelonious Monk. The book provides an original intertwining of musical and historical narrative, supported by extensive archival work; in clear and compelling prose, Perchard describes the problematic efforts towards aesthetic assimilation and transformation made by those concerned with jazz in fact and in idea, listening to the music as it sounded in discourses around local identity, art, 1968 radicalism, social democracy, and post colonial politics.