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Le centre-ville de Johannesburg en Afrique du Sud, autrefois quartier des affaires animé, est aujourd'hui devenu un lieu énigmatique : le crime a pris de la place avec la présence de gangs et de toutes sortes de trafics, mais c'est toujours un haut lieu de culture. Si depuis la fin de l'apartheid, le secteur économique s'est déplacé vers le nord de la ville, les artistes, eux, sont restés fidèles au centre. On y trouve de nombreuses résidences d'artistes, parfois juste en face d'immeubles squattés. Dans l'August House, les peintres s'inspirent de ce centre-ville abîmé et donnent de l'espoir en mettant l'art en plein cœur de la ville. De notre correspondant à Johannesburg, Pour entrer dans ce grand immeuble du centre-ville. Il faut ouvrir une petite porte en verre. Puis direction l'ascenseur. Premier arrêt dans l'appartement de Shandre, qu'elle occupe depuis un an. « Mon matelas est posé sur le sol. Autour, il y a mes chaussures. Et ici à gauche, c'est ma petite collection de livres avec tous mes romans préférés. Et ça, c'est un mannequin avec ma tenue de diplômé. Parce que je viens tout juste d'obtenir mon diplôme ». Comme une cinquantaine d'artistes, la jeune diplômée de 26 ans habite ici, dans une grande pièce éclairée par le soleil, où les pinceaux côtoient les ustensiles de cuisine. « On a de grandes fenêtres qui donnent sur la ville. Pour moi, c'est important parce que je travaille sur l'identité. En Afrique du Sud, il y a un problème de xénophobie. Et juste en bas de l'immeuble, ici, il y a beaucoup d'immigrés qui travaillent. Très souvent, je vois la police arriver, juste sous mes yeux. Ils viennent pour tout leur confisquer, les légumes, les fruits, tout ce qu'ils ont. C'est trouve ça vraiment inhumain. Ce sont des scènes qui m'inspirent, car c'est un sujet que j'aborde dans mes œuvres. C'est donc important pour moi de vivre ici, pour voir ce qu'y s'y passe. » Le Jazz en peinture vu du Township À chaque nouvel étage, une nouvelle porte dévoile un nouvel univers, comme celui de Kamogelo : un jeune papa, son fils, est d'ailleurs devant la télé ce jour-là. Parce que dans ces appartements, les canapés du salon cohabitent avec les peintures inachevées. « Tout ce qu'il y a au sol, vous pouvez marcher dessus, ne vous inquiétez pas ! Donc juste ici, ce sont mes peintures sur le Jazz. Pour cette série de tableaux, je m'inspire du Township d'où je viens. Là-bas, il y a des anciens qui se réunissent tous les dimanches. Qui apportent leurs collections de disques de jazz. Et qui accompagnent la musique avec leur danse. C'est une pratique qui date de l'époque de l'Apartheid. Et je m'en inspire. » À l'image de cet immeuble dont le loyer d'environ 350 euros par mois, on trouve une dizaine d'immeubles comme celui-ci à Johannesburg. Comme des grandes colocations d'artistes. Tous sont situés en plein centre-ville. « Le rôle d'un artiste, c'est d'inspirer les gens, et de changer l'image que l'on a des choses. Il s'agit de raconter de belles histoires. Dans le centre-ville, oui, il y a de la criminalité ! Mais il y a aussi beaucoup de beauté, et c'est cette beauté que nous devons partager en tant qu'artistes », avance Kamogelo. « Chaque pièce abrite un cœur, avec une histoire unique » Au dernier étage se trouve un groupe d'étudiants internationaux en plein cours de dessin. Melissa est derrière une porte en bois blanche : « En temps normal, c'est plus calme qu'aujourd'hui. Ici, c'est une échappatoire qui me permet de me vider l'esprit. Et les autres artistes vous inspirent, vous encouragent. Je n'avais jamais connu ça auparavant, quand je travaillais dans mon coin. » « Et comment pourriez-vous décrire ce bâtiment en une seule phrase ? » « Je dirais que c'est une sorte de labyrinthe sombre. Et dès que vous ouvrez une porte, vous entrez dans une pièce lumineuse, avec de la couleur et de l'inspiration. C'est magique ! Chaque pièce abrite un cœur, avec une histoire unique », développe Melissa. August House, où la maison Auguste en français, un immeuble de Johannesburg où tous ces artistes inspirés vivent ensemble et font battre, quotidiennement, le cœur de la culture. À lire aussiAfrique du Sud: la foire d'art contemporain veut réinvestir le centre de Johannesburg
Le centre-ville de Johannesburg en Afrique du Sud, autrefois quartier des affaires animé, est aujourd'hui devenu un lieu énigmatique : le crime a pris de la place avec la présence de gangs et de toutes sortes de trafics, mais c'est toujours un haut lieu de culture. Si depuis la fin de l'apartheid, le secteur économique s'est déplacé vers le nord de la ville, les artistes, eux, sont restés fidèles au centre. On y trouve de nombreuses résidences d'artistes, parfois juste en face d'immeubles squattés. Dans l'August House, les peintres s'inspirent de ce centre-ville abîmé et donnent de l'espoir en mettant l'art en plein cœur de la ville. De notre correspondant à Johannesburg, Pour entrer dans ce grand immeuble du centre-ville. Il faut ouvrir une petite porte en verre. Puis direction l'ascenseur. Premier arrêt dans l'appartement de Shandre, qu'elle occupe depuis un an. « Mon matelas est posé sur le sol. Autour, il y a mes chaussures. Et ici à gauche, c'est ma petite collection de livres avec tous mes romans préférés. Et ça, c'est un mannequin avec ma tenue de diplômé. Parce que je viens tout juste d'obtenir mon diplôme ». Comme une cinquantaine d'artistes, la jeune diplômée de 26 ans habite ici, dans une grande pièce éclairée par le soleil, où les pinceaux côtoient les ustensiles de cuisine. « On a de grandes fenêtres qui donnent sur la ville. Pour moi, c'est important parce que je travaille sur l'identité. En Afrique du Sud, il y a un problème de xénophobie. Et juste en bas de l'immeuble, ici, il y a beaucoup d'immigrés qui travaillent. Très souvent, je vois la police arriver, juste sous mes yeux. Ils viennent pour tout leur confisquer, les légumes, les fruits, tout ce qu'ils ont. C'est trouve ça vraiment inhumain. Ce sont des scènes qui m'inspirent, car c'est un sujet que j'aborde dans mes œuvres. C'est donc important pour moi de vivre ici, pour voir ce qu'y s'y passe. » Le Jazz en peinture vu du Township À chaque nouvel étage, une nouvelle porte dévoile un nouvel univers, comme celui de Kamogelo : un jeune papa, son fils, est d'ailleurs devant la télé ce jour-là. Parce que dans ces appartements, les canapés du salon cohabitent avec les peintures inachevées. « Tout ce qu'il y a au sol, vous pouvez marcher dessus, ne vous inquiétez pas ! Donc juste ici, ce sont mes peintures sur le Jazz. Pour cette série de tableaux, je m'inspire du Township d'où je viens. Là-bas, il y a des anciens qui se réunissent tous les dimanches. Qui apportent leurs collections de disques de jazz. Et qui accompagnent la musique avec leur danse. C'est une pratique qui date de l'époque de l'Apartheid. Et je m'en inspire. » À l'image de cet immeuble dont le loyer d'environ 350 euros par mois, on trouve une dizaine d'immeubles comme celui-ci à Johannesburg. Comme des grandes colocations d'artistes. Tous sont situés en plein centre-ville. « Le rôle d'un artiste, c'est d'inspirer les gens, et de changer l'image que l'on a des choses. Il s'agit de raconter de belles histoires. Dans le centre-ville, oui, il y a de la criminalité ! Mais il y a aussi beaucoup de beauté, et c'est cette beauté que nous devons partager en tant qu'artistes », avance Kamogelo. « Chaque pièce abrite un cœur, avec une histoire unique » Au dernier étage se trouve un groupe d'étudiants internationaux en plein cours de dessin. Melissa est derrière une porte en bois blanche : « En temps normal, c'est plus calme qu'aujourd'hui. Ici, c'est une échappatoire qui me permet de me vider l'esprit. Et les autres artistes vous inspirent, vous encouragent. Je n'avais jamais connu ça auparavant, quand je travaillais dans mon coin. » « Et comment pourriez-vous décrire ce bâtiment en une seule phrase ? » « Je dirais que c'est une sorte de labyrinthe sombre. Et dès que vous ouvrez une porte, vous entrez dans une pièce lumineuse, avec de la couleur et de l'inspiration. C'est magique ! Chaque pièce abrite un cœur, avec une histoire unique », développe Melissa. August House, où la maison Auguste en français, un immeuble de Johannesburg où tous ces artistes inspirés vivent ensemble et font battre, quotidiennement, le cœur de la culture. À lire aussiAfrique du Sud: la foire d'art contemporain veut réinvestir le centre de Johannesburg
Depuis quelques années, Vanessa Horowitz évolue dans le secteur culturel en tant que programmatrice notamment pour Le Jazz sur la Plage à Hermance, le Festival Voix de Fête ou encore la fête de la musique. Engagée depuis 2013 dans lʹorganisation du festival Jazz sur la Plage à Hermance, elle en assure la programmation artistique depuis 2019. Elle sera accompagnée de Michael Azkoul, alias Dr. Koul, membre du trio hip-hop genevois Captains of the Imagination, programmé au festival Jazz sur la Plage. Jazz sur la plage – Hermance les 8 et 9 août 2025 Vanessa Horowitz et Michael Azkoul sont les invité/e de Rafael Wolf.
durée : 00:05:49 - Musique matin - par : Max Dozolme - Charlie Parker disparaissait le 12 mars 1955 à New-York. Max Dozolme nous rappelle comment ce saxophoniste aimait citer des thèmes classiques au milieu de solos vertigineux. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:32:17 - Talmudiques - par : Marc-Alain Ouaknin - . - réalisation : Alexandra Malka
Pendant une grande partie du XXe siècle, le jazz, cette musique libre, vibrante, imprévisible… était tout simplement interdit en Union soviétique.Pourquoi ? Revenons au début.Dans les années 1920, après la révolution bolchévique, l'URSS vit une courte période d'ouverture culturelle. Le jazz arrive alors à Moscou, porté par des musiciens curieux, et même soutenu un temps par le régime, qui y voit un art moderne, populaire, presque révolutionnaire.Mais très vite, les choses changent. Dans les années 1930, avec Staline au pouvoir, tout ce qui ne colle pas aux normes du "réalisme socialiste" devient suspect.Et le jazz, avec ses syncopes, son swing, son côté improvisé et indomptable, ne rentre pas dans les cases. Pire encore : il vient des États-Unis, la grande puissance capitaliste et ennemie idéologique.Staline déteste ce qu'il appelle la "musique dégénérée". Le jazz est accusé d'être "antirusse", "bourgeois", "décadent". On le surnomme même la "musique de la jungle". Les saxophones sont bannis, les orchestres de jazz dissous, les musiciens surveillés.Et cela empire après la Seconde Guerre mondiale. En pleine guerre froide, écouter du jazz devient un acte de défiance politique. C'est être influencé par l'ennemi.Mais… la musique ne s'arrête pas.Malgré l'interdiction, le jazz continue de vivre en cachette. Dans les caves, les arrière-salles, les appartements privés, on joue du jazz clandestinement. On enregistre sur des radiographies médicales usagées — oui, sur des radios des poumons ! — qu'on appelle les "disques sur os", pour contourner la censure.Certains prennent tous les risques pour écouter des enregistrements de Duke Ellington ou Charlie Parker, captés illégalement sur les ondes occidentales.Et puis, dans les années 1960, le vent tourne un peu. Sous Khrouchtchev, une relative détente permet au jazz de ressortir timidement à la surface. Des festivals sont autorisés, des musiciens soviétiques comme Leonid Utyosov ou Igor Bril font revivre le genre, à leur manière.Mais le jazz ne sera jamais complètement libre en URSS. Il restera surveillé, encadré, soupçonné d'"américaniser" les esprits. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:28:22 - Les Nuits de France Culture - par : Catherine Liber - Le 16 juin 1925 naissait à Paris André Francis, surnommé "Monsieur Jazz", acteur essentiel de la diffusion du jazz en France. À l'occasion du centenaire de sa naissance, France Culture diffuse une archive du "Club de jazz" de 1962, où les jazzmen italiens côtoyaient l'esprit de La Nouvelle-Orléans. - réalisation : Milena Aellig - invités : André Francis Animateur de radio et de télévision, chroniqueur de jazz, producteur et organisateur de festivals
Difficile d'être "l'inventeur du jazz". Dans ce dernier épisode, on verra que Jelly Roll Morton a lutté toute sa vie pour faire reconnaître son talent. Mais le pianiste de King Porter Stomp, malheureusement, va se faire dépasser par son invention, doublé par une nouvelle génération de pianistes et chefs d'orchestre qui emmèneront le jazz encore plus loin, laissant Morton sur le bas côté de la route. Une fin tragique et romanesque pour un musicien de légende. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:02:09 - Club Jazzafip - Le cofondateur du groupe pop The Beach Boys, mort le 11 juin à l'âge de 82 ans, était aussi passionné par le jazz. Notre émission met en avant ses inspirations, les artistes qu'il a influencés et quelques reprises.
En 1926, Jelly Roll Morton approche la quarantaine. Il est au sommet de son art. C'est l'époque de Chicago, des gangsters et de ses premiers disques importants pour la firme Victor avec son groupe, les Red Hot Peppers. Avec lui, l'improvisation collective et foutraque de la Nouvelle Orléans se discipline. Lorsqu'il compose un morceau, il ne le pense plus pour le piano, mais pour tout son orchestre. Il réfléchit à des riffs, des contrepoints, des cadences, des breaks, des prises de paroles réparties entre les différents membres du groupe. Bref, tout ce qu'emploieront après lui Fletcher Henderson et Duke Ellington. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jelly Roll Morton a tout appris à Storyville, le quartier des plaisirs de la Nouvelle-Orléans : le piano, mais aussi le billard, les jeux d'argent, les cartes et les arnaques en tout genre. Sans oublier les femmes. Car à force de fréquenter les prostituées de Storyville, Jelly Roll a acquis ses galons de souteneur. Il est désormais un parfait escroc, avec son col en fourrure et un diamant sur sa dent de devant. Sans oublier le calibre .38 pour protéger ses économies. Mais vers 1917 son destin bascule. Lorsqu'on ferme Storyville, l'inventeur du jazz est contraint de prendre la route, direction Chicago !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chicago, 1938. Ce matin là, le journal DownBeat reçoit une lettre très spéciale signée “Jelly Roll Morton, inventeur du jazz”. Et ce monsieur Morton n'est pas content. En écoutant la radio, il a cru qu'il allait tomber de sa chaise lorsqu'il a entendu un animateur présenter le trompettiste et compositeur WC Handy comme l'inventeur du jazz. Or, l'inventeur du jazz, c'est lui : Ferdinand Joseph LaMothe, né à la Nouvelle Orléans à la fin du 19ème siècle. Alors, qui était Jelly Roll Morton, et méritait-il vraiment le titre d'inventeur marqué sur sa carte de visite ? Pour Qui Sonne le Jazz mène l'enquête dans un feuilleton en quatre épisodes. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:00:52 - Club Jazzafip - En écho à la Journée Mondiale du Naturisme, notre club se déroule dans son plus simple appareil.
En Tunisie, un nouveau festival de Jazz, Jazz'it Festival, s'est tenu du 31 mai au 1er juin, attirant plusieurs centaines de spectateurs. Au-delà des concerts de musiciens internationaux, les organisateurs du festival ont également voulu donner une chance aux jeunes talents tunisiens d'assister à des masterclass et de commencer à produire leur musique. Dans le pays, le jazz réunit une grande communauté de passionnés depuis les années 1960. Devant un public de jeunes musiciens tunisiens, le guitariste américain Mark Whitfield présente une masterclass. Au programme, conseils et exemples de composition. Pour Malek Lakhoua, musicien de jazz et organisateur du festival avec le label Jazzit Records, il s'agit de perpétuer une tradition de culture du jazz en Tunisie qui avait commencé avec le festival de jazz à Tabarka en 1968.« J'ai grandi dans cette ambiance de masterclass, "d'aftershow". Pour moi, c'est la liberté que véhicule cette musique, l'union. C'est ce que l'on veut véhiculer à travers ce festival », explique l'organisateur, qui souhaite aider la scène jazz tunisienne à se renforcer. « Pour nous, la scène n'est pas assez structurée, il n'y a pas de label. Les circonstances, l'environnement, il est presque hostile pour la création d'un label. Économiquement, c'est difficile, la distribution est très compliquée, le manque de festivals. Il y a beaucoup de défis par rapport à cela », regrette-t-il.« Je cherche toujours des masterclass ou des sessions de jam pour apprendre et m'inspirer. Surtout que, malgré les quelques maîtres tunisiens du jazz, ce n'est pas vraiment une musique qu'on apprend au conservatoire. Il n'y a pas de formation, c'est un apprentissage un peu autodidacte », estime quant à lui Neder, 24 ans, qui improvise avec ses camarades à la guitare.Si le jazz reste confidentiel en Tunisie, une jeune génération de musiciens, espère percer dans le pays, comme Ahmed Dridi 29 ans, originaire de Zaghouan au nord de la Tunisie. « On est motivés, même si la culture du jazz n'est pas hyper répandue. Mais c'est plus par ignorance que manque d'intérêt pour cette musique. Par exemple, moi, si j'invite des amis à voir des live de musiciens jazz, au début, ils viennent sans connaître nécessairement et après, ils reviennent. Avec les jeunes, une communauté d'amateurs se crée aussi », raconte-t-il.Et pour encourager cette dynamique, le jeune musicien Aymen Dhifaoui, 27 ans et originaire de Kairouan, est monté sur scène pour échanger quelques sons de guitare avec le légendaire Mark Whitfield à la clôture du festival.À écouter aussiL'épopée des musiques noires: David «Yacouba» Jacob revitalise ses origines béninoises
durée : 01:04:11 - Club Jazzafip - À l'occasion de la sortie de l'album "Old Folks" qui mêle jazz et folk, on invite le compositeur, contrebassiste et bassiste.
durée : 00:46:16 - Live à Fip - On accueille le saxophoniste et poète londonien en interview et session live à l'occasion de la sortie récente de son album de recueillement "A Blade Because A Blade Is Whole".
durée : 01:05:18 - Club Jazzafip - Puisque la grève des trains sévit en ce week-end prolongé, le club vous fait voyager avec Giovanni Mirabassi, Paolo Fresu ...
durée : 00:05:22 - C'est une chanson - par : Frédéric Pommier - Il sera en concert le 4 mai au festival Jazz à Chaumont, en quartet pour interpréter les titres de son dernier disque, Le jazz et la java, disque hommage à Claude Nougaro. Au micro de Frédéric Pommier, le batteur André Ceccarelli évoque justement ce classique de Claude Nougaro, "Le jazz et la java".
durée : 00:25:07 - Jean Marie Machado, pianiste jazz et compositeur (3/5) - par : Anne Montaron - Pianiste de jazz mais aussi compositeur, Jean-Marie Machado tient de son enfance au Maroc et de ses rencontres multiples le goût des ailleurs. Entre deux représentations de son opéra La Falaise des Lendemains, il se raconte au micro d'Anne Montaron. - réalisé par : Béatrice Trichet
EXCLU PODCAST – Aujourd'hui, autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot : Elina Dumont, Etienne Liebig et Emmanuel de Villiers.
durée : 00:08:23 - Satie et le jazz - par : Max Dozolme - La très belle biographie, romanesque et fantasque "Satie" de Patrick Roegiers sortie il y a quelques jours aux éditions Grasset a donné envie à Max Dozolme de jouer avec nous en nous faisant écouter une sélection de pièces du compositeur qui partagent quelques points communs avec le jazz…
durée : 01:02:32 - Club Jazzafip - Le langage des fauvettes, hirondelles, merles, rossignols et autres volatiles libres comme l'air, inspirent notre partition du jour.
Du jazz en Allemagne en pleine Seconde Guerre Mondiale ? Aussi surprenant que cela puisse paraître, ce fut une réalité. Entre 1940 et 1944, Charlie and his Orchestra était le big-band "officiel" de la propagande nazie, détournant les plus grands airs de jazz de l'époque pour servir le discours d'Hitler et de Goebbels. Un orchestre qui, chaque jour, servait depuis Berlin ses chansons édifiantes, à destination de l'Angleterre et des Etats-Unis, via les ondes de la radio. C'est la curieuse histoire de cet orchestre que je vous raconte dans cet épisode, à l'occasion de la sortie du livre Le Jazz-Band de Goebbels, de Demian Lienhard, chez JC Lattès. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:28 - Quand le jazz fait swinguer les enfants - par : Sofia Anastasio - Tous les dimanches, à Paris, le mythique club de Jazz Sunset Sunside, accueille un public un peu plus jeune que les autres jours, avec des après-midis Jazz & Goûter. Reportage à une séance Karaoké Disney.
durée : 00:04:12 - Ravel et le jazz : le Concerto pour la main gauche - par : Max Dozolme - A l'occasion des 150 ans de la naissance de Maurice Ravel, Max Dozolme nous plonge au coeur de son Concerto pour la main gauche et met en lumière quelques passages évoquant des sonorités de jazz !
Depuis jeudi 20 février, le Dakar Music Expo (DMX) se tient dans la capitale sénégalaise, un grand rendez-vous pour les professionnels de la musique d'Afrique et d'ailleurs. Au programme : des rencontres, des conférences et des concerts. Et pour sa 6ᵉ édition, le thème de cette année est le jazz africain, un genre musical qui reste assez niche sur le continent, mais qui peut très bien s'exporter avec une bonne stratégie. De notre correspondante à Dakar,« On pense qu'il n'y a pas de jazz en Afrique », c'est ce qu'affirme, volontairement provocateur, Mawuto Dick, du festival Togo jazz. Le genre souffre d'une mauvaise presse, et Kossi Mawun, batteur togolais, le ressent depuis qu'il s'est lancé en solo en 2019 : « C'est très difficile de gagner sa vie en tant que musicien de jazz en Afrique. Ici, en Afrique, on aime danser, on aime se défouler, écouter de la variété. Peu de personnes écoutent le jazz. »Pourtant, de nombreux rendez-vous existent sur le continent, comme à Saint-Louis ou à Ouagadougou, preuve d'une grande richesse du jazz africain. Mais il manque encore d'une promotion suffisante. « Il n'y a pas assez de représentations, il n'y a pas assez de marketing autour de ça, estime Dudu Sarr, l'un des créateurs du DMX. Il n'y a pas assez de ressources financières qui sont mises dans la promotion et l'exportation des musiques africaines. »À écouter dans le Grand invité AfriqueDudu Sarr (Dakar Music Expo): «La visibilité des artistes africains francophones est en baisse»Mettre en avant sa singularitéPour Dudu Sarr, l'un des arguments de vente du jazz africain est de réclamer la maternité de ce genre, créé par les Afro-Américains, descendants d'esclaves aux États-Unis. Il faut aussi mettre en avant sa singularité, inspirée des nombreuses traditions propres à chaque pays.« Lionel Loueke, qui est un guitariste très émérite, un Béninois qui accompagne Herbie Hancock, il fait du jazz, mais par contre, il s'inspire de sa tradition béninoise pour composer, argumente Mawuto Dick, de Togo Jazz. Même quand on prend Angélique Kidjo, certains de ses chants viennent des courants vaudous. »Un attrait des festivals étrangersLes festivals étrangers, comme Marseille jazz des cinq continents, veulent faire une place à ce jazz africain. Pour son directeur, Hugues Kieffer, le Dakar Music Expo est un lieu idéal de rencontres. Il veut montrer aux jeunes talents qu'il existe une grande scène jazz dans le monde : « Il faut qu'ils aient la conscience, je pense, de leur identité à travers la scène. Et justement, de ne pas singer ou de ne pas rentrer dans des modèles qu'on leur donnerait, défend le directeur du festival Marseille jazz des cinq continents. Sans atteindre justement les millions, on peut rencontrer une audience qui est intéressée. Et à travers le monde, il existe aussi une autre scène qui est aussi très intéressante et qui permet d'exprimer différemment, peut-être, ce qu'on est. »Dudu Sarr, également promoteur musical, se bat pour placer ses talents. Il a conclu un partenariat avec le grand festival allemand Jazzahead! et leur propose chaque année plusieurs artistes. À Marseille, le bassiste Alune Wade sera sur scène cette année.À écouter dans L'épopée des musiques noiresNduduzo Makhathini, héritier d'une spiritualité jazz sud-africaine
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Ce soir, parlons musique : aimez-vous le jazz ? Avec Yann Viet, guitariste et Olivier Soubeyran, violoncelliste, bassiste. Du lundi au vendredi, de 21 heures à 22 heures 30. 1h30 de partage, d'échanges et de confidences. Une libre antenne pour vous chers auditeurs, rejoignez nous au 01 56 56 44 00 ou par mail auditeurs@radionotredame.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
E368 - L'HEBDO NBA Semaine 17 : Masterclass de Boston anti-Wemby, la Saint Valentin des jeunes stars, le Jazz pétillant ! Qui dit Lundi matin dit L'Hebdo du Basket Lab ! Hebdomadaire d'actualité tous les lundi matin pour suivre la saison 2025 : parler des news, des grandes affiches de la semaines, un petit focus, les questions des auditeurs et le quizz ! Pour cette semaine numéro 17 de la saison 2025 : la superbe performance de Boston et son plan anti Victor Wembanyama, les limites de l'attaque des Spurs pour l'instant ave Chris Paul et De'Aaron Fox, les jeunes pousses du Jazz, le "Mariage parfait" pour les jeunes superstars de NBA, les news, questions auditeurs, le quizz de la semaine, et bien plus ! Pour ceci c'est Azad du NBA Dreamcast Show qui se joint à nous. Bienvenue dans le Basket Lab. Guillaume (@GuillaumeBLab) -- 0:00 Intro 7:43 Les News de la semaine 26:39 Jazz Clippers : les jeunes pousses de Utah ! 45:06 Boston Spurs : le méga plan des Celtics anti Victor Wembanyama ! 1:13:23 Spécial saint Valentin : qui est le mariage parfait pour chaque jeune superstar de NBA ? 1:35:30 Les Questions auditeurs 1:56:58 le grand QUIZZ de la semaine ! -- Flux LIVE "Le Basket Lab LIVE" pour les quotidiennes : https://www.podcastics.com/podcast/le-basket-lab-live Flux secondaire "Le Basket Lab - Extraits" pour des formats courts tous les jours : https://www.podcastics.com/podcast/le-basket-lab-extraits/ -- Youtube : https://www.youtube.com/@lebasketlab Twitch : https://www.twitch.tv/guillaume_lebasketlab Twitter : https://twitter.com/GuillaumeBLab Discord : https://discord.gg/CfWkhZx9xM
durée : 00:58:16 - Club Jazzafip - L'univers sonore fantasmagorique du génial cinéaste, artiste peintre, photographe et musicien ne pouvait se passer de la liberté de ce genre musical.
durée : 00:45:02 - Les Nuits de France Culture - par : Catherine Liber - - réalisation : Milena Aellig
durée : 00:26:58 - Martial Solal, pianiste (5/5) - par : Yvan Amar - Dernier volet de notre entretien avec Martial Solal. Avant de le quitter chez lui devant son piano, il se confie sur son rapport au travail et à la technique, où le progrès est vu comme une grande récompense, dans une dynamique de création et d'improvisation constante... - réalisé par : Gilles Blanchard
durée : 00:26:57 - Martial Solal, pianiste (1/5) - par : Yvan Amar - Premier volet de notre entretien chez le pianiste Martial Solal. Né à Alger, il s'intéresse à la musique grâce à sa mère chanteuse d'opéra, qu'il accompagna et avec qui il improvisa. Avec son professeur naît une passion pour le jazz et toute la liberté que cette musique propose. - réalisé par : Gilles Blanchard
durée : 00:08:57 - Nouvelles têtes - par : Mathilde Serrell - C'est le Sofiane Pamart du saxo ! Comme le pianiste star des rappeurs, il est en train de propulser son instrument dans le XXIème siècle. Pour son premier album solo, "Take O1", le saxophoniste Ferdi est ce matin l'invité de Mathilde Serrell.
durée : 01:06:28 - Club Jazzafip - La musique, pierre quasi-angulaire des dessins animés des studios californiens et particulièrement le swing est notre fil rouge avec des extraits de "Blanche Neige et les Sept Nains", Les Aristochats ...
durée : 01:36:18 - Club Jazzafip - Trompettiste, arrangeur, compositeur ou producteur, l'artiste a marqué de son empreinte le XXe siècle. FIP se penche sur l'univers jazz de ce géant américain qui nous a quittés dimanche 3 novembre, à l'âge de 91 ans.
durée : 01:09:05 - Club Jazzafip - Une plongée dans l'histoire de ce genre musical riche de croisements avec des titres évocateurs.
durée : 00:39:13 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Lucien Malson - Avec Pierre Ferret (guitariste de jazz manouche) et Michel-Claude Jalard (éditeur, écrivain et critique musical) - réalisation : Thomas Jost
durée : 01:03:04 - Club Jazzafip - Coup de projecteur sur la scène jazz de la Caraïbe insulaire avec Bèlènou, Grégory Privat et Sonny Troupé, Camille Soprann Hildevert, David Walters, Alain Jean-Marie ...
durée : 01:00:58 - Club Jazzafip - Quelque jours avant la Fête du cinéma, nous vous proposons un voyage swing dans la relation intime entre jazz et cinéma avec Abdullah Ibrahim, Madeleine Peyroux, Michel Portal, John Surman, Flash Pig, Carla Bley et bien d'autres.
durée : 00:25:17 - Cécile McLorin Salvant, chanteuse jazz (3/5) - par : Nathalie Piolé - A 33 ans, la chanteuse et compositrice Cécile McLorin Salvant est déjà une figure indispensable du jazz d'aujourd'hui. Sa voix claire se ballade dans des territoires singuliers, aussi vastes que ses inspirations. Portrait en 5 épisodes de la chanteuse franco américaine au micro de Nathalie Piolé. - réalisé par : Gilles Blanchard
durée : 01:01:43 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - La bande son des "Roaring Twenties" aux États-Unis, entre jazz, mafia, et prohibition.
durée : 01:03:44 - Club Jazzafip - On invite le jeune et puissant tromboniste, chanteur, compositeur lyonnais qui s'est vite imposé dans le monde du jazz, à envoûter notre club.
durée : 01:07:50 - Club Jazzafip - Le groupe pop, dont la séparation officielle a été annoncée le 10 avril 1970, a depuis ses débuts inspiré le monde du jazz. Et ça continue...
durée : 01:00:07 - Club Jazzafip - Le Club Jazzafip rayonne de mille notes à l'annonce du printemps avec Ralph Burns, Charlie Parker, l'Ancient Infinity Orchestra, Makaya McCraven, Surprise Chef, Meredith D'Ambrosio...
durée : 00:59:26 - Club Jazzafip - A l'occasion de la Journée mondiale des mathématiques, le Club Jazzafip nous apprend à compter avec Johnny Cash, Nina Simone, Les Double Six, James Moddy, Abdullah Ibrahim ou Billy Brooks.
durée : 00:59:41 - Club Jazzafip - France, Etats-Unis, Ukraine, Pays De Galle, Australie ou Angleterre, notre programmateur Anders Sicre nous fait voyager avec un Club Jazzafip 100% nouveautés et quelques découvertes en avant première.
durée : 01:03:02 - Club Jazzafip - Avant la sortie de son deuxième album "Rebirth of Innocence", le multi-instrumentiste et compositeur vient partager avec vous ses coups de cœur et nous offre une session live avec le saxophoniste Laurent Bardainne.
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