POPULARITY
durée : 00:55:14 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Le meurtre de Purdue a aussi quelque chose de mystérieux que le détective Compton doit élucider, cette fois sans l'aide de la police : pourquoi y a-t-il eu erreur sur la victime ?
durée : 00:55:14 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Le meurtre de Purdue a aussi quelque chose de mystérieux que le détective Compton doit élucider, cette fois sans l'aide de la police : pourquoi y a-t-il eu erreur sur la victime ?
durée : 00:57:27 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Le "duende" c'est le "pouvoir mystérieux que chacun ressent et qu'aucun philosophe ne peut expliquer".
durée : 00:57:27 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Le "duende" c'est le "pouvoir mystérieux que chacun ressent et qu'aucun philosophe ne peut expliquer".
durée : 00:01:14 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - "Le dormeur du val" est un des poèmes les plus célèbres de Rimbaud. À la fois pamphlet pacifiste et précipité cinématographique qui passe du plan large au gros plan, il est d'une efficacité redoutable. Illustré par les peintres, chantés par Yves Montand, Charlélie Couture, Jean-Louis Aubert...
durée : 00:58:04 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Le poète William Butler Yeats, prix Nobel de littérature de 1923, est une grande figure de l'Irlande libre : sa poésie, empreinte de la beauté de son île, évoque l'histoire ancestrale de l'Irlande.
durée : 00:58:04 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Le poète William Butler Yeats, prix Nobel de littérature de 1923, est une grande figure de l'Irlande libre : sa poésie, empreinte de la beauté de son île, évoque l'histoire ancestrale de l'Irlande.
durée : 00:58:04 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Le poète William Butler Yeats, prix Nobel de littérature de 1923, est une grande figure de l'Irlande libre : sa poésie, empreinte de la beauté de son île, évoque l'histoire ancestrale de l'Irlande.
durée : 00:58:13 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le recueil Les Contes du whisky connaît dès sa parution un formidable engouement, aussi bien critique que public. Deux mois après sa sortie, l'ouvrage s'est déjà vendu à quinze mille exemplaires, et Gérard Harry, critique littéraire du Figaro voit en Jean Ray un " Edgar Poe belge ", formule que reprendra Maurice Renard. Il est vrai que Jean Ray se situe dans la lignée du maître américain de l'étrange, mais ses nouvelles témoignent d'un réalisme cru. Jean Ray écrit dans la langue des marins, à la fois âpre et poétique. Celle des docks, des tavernes et maisons de passe. Chez lui, la terreur est au bout de la rue. Le brouillard aux vapeurs d'alcools forts, fait tanguer le quidam, marin en goguette ou simple bourgeois. Un pas de côté et il chavire dans un autre plan d'existence. Quantité de récits en témoignent, que pêche l'écrivain à la taverne du Site enchanteur. Dans l'atmosphère enfumée de tabac fort, quand coulent le genièvre ou l'or tiède du whisky, au bruit d'un verre qui se casse avec un rire de fille, les langues se délient en français et néerlandais. Agrippé au comptoir comme à la barre d'un vaisseau, on évoque les " douloureuses amies des ports ", ces filles de rien qui sont tout, et le " mouvement de vie dans l'ombre " qui s'empare d'un promeneur solitaire ou de l'équipage d'un clipper. Lire ou écouter Jean Ray, c'est l'assurance de partir dans l'ailleurs qui n'est jamais bien loin, sans garantie d'en revenir.
durée : 00:58:13 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le recueil Les Contes du whisky connaît dès sa parution un formidable engouement, aussi bien critique que public. Deux mois après sa sortie, l'ouvrage s'est déjà vendu à quinze mille exemplaires, et Gérard Harry, critique littéraire du Figaro voit en Jean Ray un " Edgar Poe belge ", formule que reprendra Maurice Renard. Il est vrai que Jean Ray se situe dans la lignée du maître américain de l'étrange, mais ses nouvelles témoignent d'un réalisme cru. Jean Ray écrit dans la langue des marins, à la fois âpre et poétique. Celle des docks, des tavernes et maisons de passe. Chez lui, la terreur est au bout de la rue. Le brouillard aux vapeurs d'alcools forts, fait tanguer le quidam, marin en goguette ou simple bourgeois. Un pas de côté et il chavire dans un autre plan d'existence. Quantité de récits en témoignent, que pêche l'écrivain à la taverne du Site enchanteur. Dans l'atmosphère enfumée de tabac fort, quand coulent le genièvre ou l'or tiède du whisky, au bruit d'un verre qui se casse avec un rire de fille, les langues se délient en français et néerlandais. Agrippé au comptoir comme à la barre d'un vaisseau, on évoque les " douloureuses amies des ports ", ces filles de rien qui sont tout, et le " mouvement de vie dans l'ombre " qui s'empare d'un promeneur solitaire ou de l'équipage d'un clipper. Lire ou écouter Jean Ray, c'est l'assurance de partir dans l'ailleurs qui n'est jamais bien loin, sans garantie d'en revenir.
durée : 00:58:13 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le recueil Les Contes du whisky connaît dès sa parution un formidable engouement, aussi bien critique que public. Deux mois après sa sortie, l'ouvrage s'est déjà vendu à quinze mille exemplaires, et Gérard Harry, critique littéraire du Figaro voit en Jean Ray un " Edgar Poe belge ", formule que reprendra Maurice Renard. Il est vrai que Jean Ray se situe dans la lignée du maître américain de l'étrange, mais ses nouvelles témoignent d'un réalisme cru. Jean Ray écrit dans la langue des marins, à la fois âpre et poétique. Celle des docks, des tavernes et maisons de passe. Chez lui, la terreur est au bout de la rue. Le brouillard aux vapeurs d'alcools forts, fait tanguer le quidam, marin en goguette ou simple bourgeois. Un pas de côté et il chavire dans un autre plan d'existence. Quantité de récits en témoignent, que pêche l'écrivain à la taverne du Site enchanteur. Dans l'atmosphère enfumée de tabac fort, quand coulent le genièvre ou l'or tiède du whisky, au bruit d'un verre qui se casse avec un rire de fille, les langues se délient en français et néerlandais. Agrippé au comptoir comme à la barre d'un vaisseau, on évoque les " douloureuses amies des ports ", ces filles de rien qui sont tout, et le " mouvement de vie dans l'ombre " qui s'empare d'un promeneur solitaire ou de l'équipage d'un clipper. Lire ou écouter Jean Ray, c'est l'assurance de partir dans l'ailleurs qui n'est jamais bien loin, sans garantie d'en revenir.
durée : 00:58:12 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le recueil Les Contes du whisky connaît dès sa parution un formidable engouement, aussi bien critique que public. Deux mois après sa sortie, l'ouvrage s'est déjà vendu à quinze mille exemplaires, et Gérard Harry, critique littéraire du Figaro voit en Jean Ray un " Edgar Poe belge ", formule que reprendra Maurice Renard. Il est vrai que Jean Ray se situe dans la lignée du maître américain de l'étrange, mais ses nouvelles témoignent d'un réalisme cru. Jean Ray écrit dans la langue des marins, à la fois âpre et poétique. Celle des docks, des tavernes et maisons de passe. Chez lui, la terreur est au bout de la rue. Le brouillard aux vapeurs d'alcools forts, fait tanguer le quidam, marin en goguette ou simple bourgeois. Un pas de côté et il chavire dans un autre plan d'existence. Quantité de récits en témoignent, que pêche l'écrivain à la taverne du Site enchanteur. Dans l'atmosphère enfumée de tabac fort, quand coulent le genièvre ou l'or tiède du whisky, au bruit d'un verre qui se casse avec un rire de fille, les langues se délient en français et néerlandais. Agrippé au comptoir comme à la barre d'un vaisseau, on évoque les " douloureuses amies des ports ", ces filles de rien qui sont tout, et le " mouvement de vie dans l'ombre " qui s'empare d'un promeneur solitaire ou de l'équipage d'un clipper. Lire ou écouter Jean Ray, c'est l'assurance de partir dans l'ailleurs qui n'est jamais bien loin, sans garantie d'en revenir.
durée : 00:58:12 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le recueil Les Contes du whisky connaît dès sa parution un formidable engouement, aussi bien critique que public. Deux mois après sa sortie, l'ouvrage s'est déjà vendu à quinze mille exemplaires, et Gérard Harry, critique littéraire du Figaro voit en Jean Ray un " Edgar Poe belge ", formule que reprendra Maurice Renard. Il est vrai que Jean Ray se situe dans la lignée du maître américain de l'étrange, mais ses nouvelles témoignent d'un réalisme cru. Jean Ray écrit dans la langue des marins, à la fois âpre et poétique. Celle des docks, des tavernes et maisons de passe. Chez lui, la terreur est au bout de la rue. Le brouillard aux vapeurs d'alcools forts, fait tanguer le quidam, marin en goguette ou simple bourgeois. Un pas de côté et il chavire dans un autre plan d'existence. Quantité de récits en témoignent, que pêche l'écrivain à la taverne du Site enchanteur. Dans l'atmosphère enfumée de tabac fort, quand coulent le genièvre ou l'or tiède du whisky, au bruit d'un verre qui se casse avec un rire de fille, les langues se délient en français et néerlandais. Agrippé au comptoir comme à la barre d'un vaisseau, on évoque les " douloureuses amies des ports ", ces filles de rien qui sont tout, et le " mouvement de vie dans l'ombre " qui s'empare d'un promeneur solitaire ou de l'équipage d'un clipper. Lire ou écouter Jean Ray, c'est l'assurance de partir dans l'ailleurs qui n'est jamais bien loin, sans garantie d'en revenir.
durée : 00:58:12 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le recueil Les Contes du whisky connaît dès sa parution un formidable engouement, aussi bien critique que public. Deux mois après sa sortie, l'ouvrage s'est déjà vendu à quinze mille exemplaires, et Gérard Harry, critique littéraire du Figaro voit en Jean Ray un " Edgar Poe belge ", formule que reprendra Maurice Renard. Il est vrai que Jean Ray se situe dans la lignée du maître américain de l'étrange, mais ses nouvelles témoignent d'un réalisme cru. Jean Ray écrit dans la langue des marins, à la fois âpre et poétique. Celle des docks, des tavernes et maisons de passe. Chez lui, la terreur est au bout de la rue. Le brouillard aux vapeurs d'alcools forts, fait tanguer le quidam, marin en goguette ou simple bourgeois. Un pas de côté et il chavire dans un autre plan d'existence. Quantité de récits en témoignent, que pêche l'écrivain à la taverne du Site enchanteur. Dans l'atmosphère enfumée de tabac fort, quand coulent le genièvre ou l'or tiède du whisky, au bruit d'un verre qui se casse avec un rire de fille, les langues se délient en français et néerlandais. Agrippé au comptoir comme à la barre d'un vaisseau, on évoque les " douloureuses amies des ports ", ces filles de rien qui sont tout, et le " mouvement de vie dans l'ombre " qui s'empare d'un promeneur solitaire ou de l'équipage d'un clipper. Lire ou écouter Jean Ray, c'est l'assurance de partir dans l'ailleurs qui n'est jamais bien loin, sans garantie d'en revenir.
durée : 00:57:50 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le peintre Sternberg, a été assassiné dans son atelier. Meurtre crapuleux ou crime antisémite ? Zorsky va être confronté à une vérité effrayante.
durée : 00:57:50 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le peintre Sternberg, a été assassiné dans son atelier. Meurtre crapuleux ou crime antisémite ? Zorsky va être confronté à une vérité effrayante.
durée : 00:58:52 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le narrateur, un ingénieur d'une trentaine d'années, glisse peu à peu vers la dépression et la chute. Anti-héros dépressif, misère sexuelle, âpreté du monde du travail
durée : 00:55:56 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le récit qui se déroule dans les années 40 à Oran, retrace l'apparition, l'apogée, puis le déclin d'une épidémie de peste qui frappe la ville, la coupe du monde extérieur, et agit comme révélateur de comportements très contrastés dans la population.
durée : 00:53:25 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - "Le mariage m'est interdit parce qu'il est ton domaine le plus personnel » écrit Kafka à son père dans cette célèbre lettre, -lettre qui ne sera jamais lue par son destinataire-, qu’il rédigea en novembre 1919, à la suite de ses fiançailles rompues avec une jeune pragoise"
durée : 00:53:25 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - "Le mariage m'est interdit parce qu'il est ton domaine le plus personnel » écrit Kafka à son père dans cette célèbre lettre, -lettre qui ne sera jamais lue par son destinataire-, qu’il rédigea en novembre 1919, à la suite de ses fiançailles rompues avec une jeune pragoise"
durée : 00:57:32 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le héros, Durtal, sorte de double de l’auteur, délaisse « l'adultère, l'amour, l'ambition, tous les sujets apprivoisés du roman moderne, pour écrire l'histoire de Gilles de Rais.
durée : 00:57:32 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le héros, Durtal, sorte de double de l’auteur, délaisse « l'adultère, l'amour, l'ambition, tous les sujets apprivoisés du roman moderne, pour écrire l'histoire de Gilles de Rais.
durée : 00:58:59 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le plan diabolique mis en œuvre par Fernand et sa maîtresse a parfaitement fonctionné : L’épouse a été endormie, puis noyée dans une baignoire avant d’être jetée dans un lavoir pour faire croire à une noyade accidentelle. Mais au moment où le corps est censé être découvert, le cadavre a disparu.
durée : 00:58:59 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le plan diabolique mis en œuvre par Fernand et sa maîtresse a parfaitement fonctionné : L’épouse a été endormie, puis noyée dans une baignoire avant d’être jetée dans un lavoir pour faire croire à une noyade accidentelle. Mais au moment où le corps est censé être découvert, le cadavre a disparu.
durée : 00:58:59 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le plan diabolique mis en œuvre par Fernand et sa maîtresse a parfaitement fonctionné : L’épouse a été endormie, puis noyée dans une baignoire avant d’être jetée dans un lavoir pour faire croire à une noyade accidentelle. Mais au moment où le corps est censé être découvert, le cadavre a disparu.
durée : 00:15:03 - Fictions / Le Feuilleton - par : Blandine Masson - Le procès d'Esméralda se transforme en procès de sorcellerie, A bout de force, elle est amenée dans la salle de torture de la Tournelle afin d'avouer le crime qu'elle n'a pas commis.