POPULARITY
durée : 01:01:02 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - En 1721 Philippe d'Orléans, alors Régent, a de concert avec le cardinal Dubois l'idée de consolider par des mariages la fin des hostilités entre la France et l'Espagne. Le projet enthousiasme Philippe V et son épouse Elisabeth Farnèse. Il s'agit d'une part de marier l'Infante d'Espagne avec Louis XV et, de l'autre, une fille du Régent, Louise-Elisabeth, Mlle de Montpensier, avec le prince des Asturies. L'Infante ira vivre à Versailles, Mlle de Montpensier, à Madrid. Les princesses seront échangées à la frontière en des cérémonies éclatantes. Et les quatre petits fiancés qu'en disent-ils ? Ils n'ont rien à dire. Bien que traités avec les égards dus à leur position, ils ne sont que des pions sur l'échiquier politique du moment. De plus, vu leur âge, leur avis importe peu. En effet, le prince des Asturies a quatorze ans, la fille du Régent douze, Louis XV onze et l'Infante à peine quatre ! Tout est simple sur le papier mais dans la réalité, concrètement, en leur chair et leurs émotions, que se passe-t-il pour ces enfants piégés dans des situations qui les dépassent ?
durée : 01:01:02 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - En 1721 Philippe d'Orléans, alors Régent, a de concert avec le cardinal Dubois l'idée de consolider par des mariages la fin des hostilités entre la France et l'Espagne. Le projet enthousiasme Philippe V et son épouse Elisabeth Farnèse. Il s'agit d'une part de marier l'Infante d'Espagne avec Louis XV et, de l'autre, une fille du Régent, Louise-Elisabeth, Mlle de Montpensier, avec le prince des Asturies. L'Infante ira vivre à Versailles, Mlle de Montpensier, à Madrid. Les princesses seront échangées à la frontière en des cérémonies éclatantes. Et les quatre petits fiancés qu'en disent-ils ? Ils n'ont rien à dire. Bien que traités avec les égards dus à leur position, ils ne sont que des pions sur l'échiquier politique du moment. De plus, vu leur âge, leur avis importe peu. En effet, le prince des Asturies a quatorze ans, la fille du Régent douze, Louis XV onze et l'Infante à peine quatre ! Tout est simple sur le papier mais dans la réalité, concrètement, en leur chair et leurs émotions, que se passe-t-il pour ces enfants piégés dans des situations qui les dépassent ?
durée : 00:58:13 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le recueil Les Contes du whisky connaît dès sa parution un formidable engouement, aussi bien critique que public. Deux mois après sa sortie, l'ouvrage s'est déjà vendu à quinze mille exemplaires, et Gérard Harry, critique littéraire du Figaro voit en Jean Ray un " Edgar Poe belge ", formule que reprendra Maurice Renard. Il est vrai que Jean Ray se situe dans la lignée du maître américain de l'étrange, mais ses nouvelles témoignent d'un réalisme cru. Jean Ray écrit dans la langue des marins, à la fois âpre et poétique. Celle des docks, des tavernes et maisons de passe. Chez lui, la terreur est au bout de la rue. Le brouillard aux vapeurs d'alcools forts, fait tanguer le quidam, marin en goguette ou simple bourgeois. Un pas de côté et il chavire dans un autre plan d'existence. Quantité de récits en témoignent, que pêche l'écrivain à la taverne du Site enchanteur. Dans l'atmosphère enfumée de tabac fort, quand coulent le genièvre ou l'or tiède du whisky, au bruit d'un verre qui se casse avec un rire de fille, les langues se délient en français et néerlandais. Agrippé au comptoir comme à la barre d'un vaisseau, on évoque les " douloureuses amies des ports ", ces filles de rien qui sont tout, et le " mouvement de vie dans l'ombre " qui s'empare d'un promeneur solitaire ou de l'équipage d'un clipper. Lire ou écouter Jean Ray, c'est l'assurance de partir dans l'ailleurs qui n'est jamais bien loin, sans garantie d'en revenir.
durée : 00:58:13 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le recueil Les Contes du whisky connaît dès sa parution un formidable engouement, aussi bien critique que public. Deux mois après sa sortie, l'ouvrage s'est déjà vendu à quinze mille exemplaires, et Gérard Harry, critique littéraire du Figaro voit en Jean Ray un " Edgar Poe belge ", formule que reprendra Maurice Renard. Il est vrai que Jean Ray se situe dans la lignée du maître américain de l'étrange, mais ses nouvelles témoignent d'un réalisme cru. Jean Ray écrit dans la langue des marins, à la fois âpre et poétique. Celle des docks, des tavernes et maisons de passe. Chez lui, la terreur est au bout de la rue. Le brouillard aux vapeurs d'alcools forts, fait tanguer le quidam, marin en goguette ou simple bourgeois. Un pas de côté et il chavire dans un autre plan d'existence. Quantité de récits en témoignent, que pêche l'écrivain à la taverne du Site enchanteur. Dans l'atmosphère enfumée de tabac fort, quand coulent le genièvre ou l'or tiède du whisky, au bruit d'un verre qui se casse avec un rire de fille, les langues se délient en français et néerlandais. Agrippé au comptoir comme à la barre d'un vaisseau, on évoque les " douloureuses amies des ports ", ces filles de rien qui sont tout, et le " mouvement de vie dans l'ombre " qui s'empare d'un promeneur solitaire ou de l'équipage d'un clipper. Lire ou écouter Jean Ray, c'est l'assurance de partir dans l'ailleurs qui n'est jamais bien loin, sans garantie d'en revenir.
durée : 00:58:13 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le recueil Les Contes du whisky connaît dès sa parution un formidable engouement, aussi bien critique que public. Deux mois après sa sortie, l'ouvrage s'est déjà vendu à quinze mille exemplaires, et Gérard Harry, critique littéraire du Figaro voit en Jean Ray un " Edgar Poe belge ", formule que reprendra Maurice Renard. Il est vrai que Jean Ray se situe dans la lignée du maître américain de l'étrange, mais ses nouvelles témoignent d'un réalisme cru. Jean Ray écrit dans la langue des marins, à la fois âpre et poétique. Celle des docks, des tavernes et maisons de passe. Chez lui, la terreur est au bout de la rue. Le brouillard aux vapeurs d'alcools forts, fait tanguer le quidam, marin en goguette ou simple bourgeois. Un pas de côté et il chavire dans un autre plan d'existence. Quantité de récits en témoignent, que pêche l'écrivain à la taverne du Site enchanteur. Dans l'atmosphère enfumée de tabac fort, quand coulent le genièvre ou l'or tiède du whisky, au bruit d'un verre qui se casse avec un rire de fille, les langues se délient en français et néerlandais. Agrippé au comptoir comme à la barre d'un vaisseau, on évoque les " douloureuses amies des ports ", ces filles de rien qui sont tout, et le " mouvement de vie dans l'ombre " qui s'empare d'un promeneur solitaire ou de l'équipage d'un clipper. Lire ou écouter Jean Ray, c'est l'assurance de partir dans l'ailleurs qui n'est jamais bien loin, sans garantie d'en revenir.
durée : 00:58:12 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le recueil Les Contes du whisky connaît dès sa parution un formidable engouement, aussi bien critique que public. Deux mois après sa sortie, l'ouvrage s'est déjà vendu à quinze mille exemplaires, et Gérard Harry, critique littéraire du Figaro voit en Jean Ray un " Edgar Poe belge ", formule que reprendra Maurice Renard. Il est vrai que Jean Ray se situe dans la lignée du maître américain de l'étrange, mais ses nouvelles témoignent d'un réalisme cru. Jean Ray écrit dans la langue des marins, à la fois âpre et poétique. Celle des docks, des tavernes et maisons de passe. Chez lui, la terreur est au bout de la rue. Le brouillard aux vapeurs d'alcools forts, fait tanguer le quidam, marin en goguette ou simple bourgeois. Un pas de côté et il chavire dans un autre plan d'existence. Quantité de récits en témoignent, que pêche l'écrivain à la taverne du Site enchanteur. Dans l'atmosphère enfumée de tabac fort, quand coulent le genièvre ou l'or tiède du whisky, au bruit d'un verre qui se casse avec un rire de fille, les langues se délient en français et néerlandais. Agrippé au comptoir comme à la barre d'un vaisseau, on évoque les " douloureuses amies des ports ", ces filles de rien qui sont tout, et le " mouvement de vie dans l'ombre " qui s'empare d'un promeneur solitaire ou de l'équipage d'un clipper. Lire ou écouter Jean Ray, c'est l'assurance de partir dans l'ailleurs qui n'est jamais bien loin, sans garantie d'en revenir.
durée : 00:58:12 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le recueil Les Contes du whisky connaît dès sa parution un formidable engouement, aussi bien critique que public. Deux mois après sa sortie, l'ouvrage s'est déjà vendu à quinze mille exemplaires, et Gérard Harry, critique littéraire du Figaro voit en Jean Ray un " Edgar Poe belge ", formule que reprendra Maurice Renard. Il est vrai que Jean Ray se situe dans la lignée du maître américain de l'étrange, mais ses nouvelles témoignent d'un réalisme cru. Jean Ray écrit dans la langue des marins, à la fois âpre et poétique. Celle des docks, des tavernes et maisons de passe. Chez lui, la terreur est au bout de la rue. Le brouillard aux vapeurs d'alcools forts, fait tanguer le quidam, marin en goguette ou simple bourgeois. Un pas de côté et il chavire dans un autre plan d'existence. Quantité de récits en témoignent, que pêche l'écrivain à la taverne du Site enchanteur. Dans l'atmosphère enfumée de tabac fort, quand coulent le genièvre ou l'or tiède du whisky, au bruit d'un verre qui se casse avec un rire de fille, les langues se délient en français et néerlandais. Agrippé au comptoir comme à la barre d'un vaisseau, on évoque les " douloureuses amies des ports ", ces filles de rien qui sont tout, et le " mouvement de vie dans l'ombre " qui s'empare d'un promeneur solitaire ou de l'équipage d'un clipper. Lire ou écouter Jean Ray, c'est l'assurance de partir dans l'ailleurs qui n'est jamais bien loin, sans garantie d'en revenir.
durée : 00:58:12 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le recueil Les Contes du whisky connaît dès sa parution un formidable engouement, aussi bien critique que public. Deux mois après sa sortie, l'ouvrage s'est déjà vendu à quinze mille exemplaires, et Gérard Harry, critique littéraire du Figaro voit en Jean Ray un " Edgar Poe belge ", formule que reprendra Maurice Renard. Il est vrai que Jean Ray se situe dans la lignée du maître américain de l'étrange, mais ses nouvelles témoignent d'un réalisme cru. Jean Ray écrit dans la langue des marins, à la fois âpre et poétique. Celle des docks, des tavernes et maisons de passe. Chez lui, la terreur est au bout de la rue. Le brouillard aux vapeurs d'alcools forts, fait tanguer le quidam, marin en goguette ou simple bourgeois. Un pas de côté et il chavire dans un autre plan d'existence. Quantité de récits en témoignent, que pêche l'écrivain à la taverne du Site enchanteur. Dans l'atmosphère enfumée de tabac fort, quand coulent le genièvre ou l'or tiède du whisky, au bruit d'un verre qui se casse avec un rire de fille, les langues se délient en français et néerlandais. Agrippé au comptoir comme à la barre d'un vaisseau, on évoque les " douloureuses amies des ports ", ces filles de rien qui sont tout, et le " mouvement de vie dans l'ombre " qui s'empare d'un promeneur solitaire ou de l'équipage d'un clipper. Lire ou écouter Jean Ray, c'est l'assurance de partir dans l'ailleurs qui n'est jamais bien loin, sans garantie d'en revenir.
durée : 00:56:59 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Sous la silhouette noire et colossale de la cathédrale, Esméralda danse et ensorcelle le tendre et difforme Quasimodo, sonneur de cloches de son état…
durée : 00:56:59 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Sous la silhouette noire et colossale de la cathédrale, Esméralda danse et ensorcelle le tendre et difforme Quasimodo, sonneur de cloches de son état…
durée : 00:57:44 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Je m'appelle Romy Schneider en français Romy Schneider et j'aimerais bien devenir une grande actrice.
durée : 00:57:44 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Je m'appelle Romy Schneider en français Romy Schneider et j'aimerais bien devenir une grande actrice.
durée : 00:58:00 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Rico, SDF, part finir sa vie à Marseille. Tout au long de son voyage, son histoire défile, l'histoire d'une vie qui a basculé.
durée : 00:58:00 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Rico, SDF, part finir sa vie à Marseille. Tout au long de son voyage, son histoire défile, l'histoire d'une vie qui a basculé.
durée : 00:58:00 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Rico, SDF, part finir sa vie à Marseille. Tout au long de son voyage, son histoire défile, l'histoire d'une vie qui a basculé.
durée : 00:56:59 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Un grand-père parle avec son petit-fils : à travers leurs conversations qui ont lieu le mercredi, deux générations se parlent, avec autant de respect que de sincérité.
durée : 00:56:59 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Un grand-père parle avec son petit-fils : à travers leurs conversations qui ont lieu le mercredi, deux générations se parlent, avec autant de respect que de sincérité.
durée : 00:57:31 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Annie Ernaux raconte la relation passionnelle qu'elle a vécue pendant quelques mois avec un homme marié et vivant à l'étranger
durée : 00:57:31 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Annie Ernaux raconte la relation passionnelle qu'elle a vécue pendant quelques mois avec un homme marié et vivant à l'étranger
durée : 00:52:19 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - J'ai effacé la seule culpabilité que j'aie jamais éprouvée à propos de cet événement, qu'il me soit arrivé et que je n'en aie rien fait. Comme un don reçu et gaspillé. Annie Ernaux
durée : 00:52:19 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - J'ai effacé la seule culpabilité que j'aie jamais éprouvée à propos de cet événement, qu'il me soit arrivé et que je n'en aie rien fait. Comme un don reçu et gaspillé. Annie Ernaux
durée : 00:57:31 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Zorsky est recruté pour la libération d'Alissia, prisonnière d'un groupe terroriste au Maroc. C'est alors qu'il apprend qu'elle est sa fille
durée : 00:57:31 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Zorsky est recruté pour la libération d'Alissia, prisonnière d'un groupe terroriste au Maroc. C'est alors qu'il apprend qu'elle est sa fille
durée : 00:57:50 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le peintre Sternberg, a été assassiné dans son atelier. Meurtre crapuleux ou crime antisémite ? Zorsky va être confronté à une vérité effrayante.
durée : 00:57:50 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le peintre Sternberg, a été assassiné dans son atelier. Meurtre crapuleux ou crime antisémite ? Zorsky va être confronté à une vérité effrayante.
durée : 00:56:27 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Une nuit, un homme est découvert mort dans une impasse parisienne. Deux balles dans la poitrine. Dans ses poches, les coordonnées d'Alain Zorsky.
durée : 00:56:27 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Une nuit, un homme est découvert mort dans une impasse parisienne. Deux balles dans la poitrine. Dans ses poches, les coordonnées d'Alain Zorsky.
durée : 00:59:01 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Alain Zorsky est pris dans les méandres d'un complot aux ramifications tant politiques que policières, menaçant de faire s'effondrer la République.
durée : 00:59:01 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Alain Zorsky est pris dans les méandres d'un complot aux ramifications tant politiques que policières, menaçant de faire s'effondrer la République.
durée : 00:58:10 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Une mise en abyme du personnage du commissaire Maigret par le romancier, irrésistible et étourdissante conversation entre la créature et son créateur.
durée : 00:58:10 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Une mise en abyme du personnage du commissaire Maigret par le romancier, irrésistible et étourdissante conversation entre la créature et son créateur.
durée : 00:58:10 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Une mise en abyme du personnage du commissaire Maigret par le romancier, irrésistible et étourdissante conversation entre la créature et son créateur.
durée : 00:57:31 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - L'auteur raconte ce qu'il a voulu oublier : les agressions sexuelles perpétrées par des pères jésuites lorsqu'il était jeune garçon.
durée : 00:57:31 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - L'auteur raconte ce qu'il a voulu oublier : les agressions sexuelles perpétrées par des pères jésuites lorsqu'il était jeune garçon.
durée : 00:57:29 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Un homme déclare être en possession d'un manuscrit trouvé dans un tiroir fermé à clé. Les évènements qui y sont relatés sont très extravagants et s'il ne peut garantir leur authenticité, Il affirme néanmoins que son auteur qu'il semble avoir connu était d'ordinaire un homme sincère.
durée : 00:57:29 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Un homme déclare être en possession d'un manuscrit trouvé dans un tiroir fermé à clé. Les évènements qui y sont relatés sont très extravagants et s'il ne peut garantir leur authenticité, Il affirme néanmoins que son auteur qu'il semble avoir connu était d'ordinaire un homme sincère.
durée : 00:57:48 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - L'histoire d'une jeune enseignante qui devient institutrice, gouvernante et même directrice d'une vieille demeure familiale du comté d'Essex. Un salaire inespéré lui fait accepter les conditions particulières du contrat. et deux enfants, et des spectres....!
durée : 00:57:48 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - L'histoire d'une jeune enseignante qui devient institutrice, gouvernante et même directrice d'une vieille demeure familiale du comté d'Essex. Un salaire inespéré lui fait accepter les conditions particulières du contrat. et deux enfants, et des spectres....!
durée : 00:57:40 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Amour, cruauté et trahison !
durée : 00:57:40 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Amour, cruauté et trahison !
durée : 00:58:16 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Personnage caractéristique de la fin du XIXème siècle, M. Folentin est un célibataire triste, un petit fonctionnaire qui végète, sans attaches, sans famille. Il est l'homme moderne, c'est-à-dire personne, M. Tout-le-monde
durée : 00:58:52 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Le narrateur, un ingénieur d'une trentaine d'années, glisse peu à peu vers la dépression et la chute. Anti-héros dépressif, misère sexuelle, âpreté du monde du travail
durée : 00:58:27 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Jacques Gamblin est entré dans la peau du Facteur Cheval pour le film et cet homme exceptionnel l'a bouleversé. Pour le remercier d'avoir existé et de la chance de l'interpréter, quelques mois après le tournage, Jacques Gamblin lui a écrit une lettre. Il ne sait toujours pas s'il l'a reçue.
durée : 00:54:58 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Mon histoire commence dans l'ordinateur quand tout le monde est endormi. Des jeux flottent comme des bateaux qui dérivent, ils clignotent comme des étoiles qui brillent.
durée : 00:54:58 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - Mon histoire commence dans l'ordinateur quand tout le monde est endormi. Des jeux flottent comme des bateaux qui dérivent, ils clignotent comme des étoiles qui brillent.
durée : 00:57:19 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - De 1990 à 1998 : troisième partie
durée : 00:57:19 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - De 1990 à 1998 : troisième partie
durée : 00:57:19 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - De 1990 à 1998 : troisième partie
durée : 00:57:19 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - De 1941 à 1957 : deuxième partie
durée : 00:57:19 - Fictions / Samedi noir - par : Blandine Masson - De 1941 à 1957 : deuxième partie