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Il n'entrera pas en collision avec la Terre, mais on pourrait néanmoins recevoir des éclats de Lune...
Il existe une théorie en physique qui pourrait expliquer toutes les forces fondamentales de notre univers. Déjà en 1910, Albert Einstein rêvait de découvrir une loi universelle pour les forces électromagnétiques et gravitationnelles, il a travaillé sur cette théorie durant les 30 dernières années de sa vie. Dans la théorie des cordes, on s'intéresse aux particules élémentaires, c'est-à-dire les électrons, les photons, les bosons… Mais au lieu de les imaginer comme des points, on les imagine comme des cordes. Ces cordes peuvent être ouvertes ou fermées en forme de boucles et qui vibrent à différentes fréquences. Pourquoi la théorie des cordes est-elle appelée théorie du tout ? À quel problème répond cette théorie ? Est-ce que la théorie fonctionne ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Qu'est-ce que le paradoxe de Fermi ? Que faire si un astéroïde se dirige sur la Terre ? Pourquoi retourne-t-on sur la Lune ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. 24/06/2025 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Nombreux sont ceux pour qui l'absence de Richard Cœur-de-Lion, parti guerroyer en Terre sainte, était une aubaine. Et pour qui son retour serait une catastrophe… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
In this edition of Plan Sea, host Anna Madlener sits down with co-host (and one of this week's guests) Wil Burns, Dr. Terre Satterfield from the University of British Columbia, and Dr. Chris Pearce from the UK's National Oceanography Center. Burns, Satterfield, and Pearce are some of the lead authors on a new report launched at the 2025 UN Ocean Conference, “Principles for Responsible and Effective Marine CDR Development and Governance.”Commissioned by the High-Level Panel for a Sustainable Ocean Economy, the report outlines how to responsibly evaluate and potentially scale ocean-based carbon dioxide removal (oCDR) — also referred to as marine CDR — along three pillars: scientific and technological readiness, governance, and national implementation. The framework reflects months of collaborative research to help address how oCDR can begin to move from lab trials to real-world deployment — while maintaining high standards of scientific rigor, environmental protection, and public trust. Read the full report HERE.Dr. Terre Satterfield, Professor of Culture, Risk and the Environment at the University of British Columbia, joins Wil and Anna to discuss the report's recommendations for national strategies that can accelerate oCDR research and public engagement. She spoke about the importance of streamlining permitting processes for oCDR field trials, earmarking funding for lab networks for holistic oCDR evaluation, and investing in public engagement hubs to help co-design research efforts. Dr. Christopher Pearce, drawing from his research on oCDR science at the UK's National Oceanography Center, discusses how the report offers six categories to assess scientific and technological readiness for various oCDR approaches. This aims to help policymakers better understand when and why, for example, an approach may be quite well-understood by scientists in the lab, but the environmental impacts associated with larger projects are less understood and require field trials for further evaluation. He also explains how tools like pre-permitted testbed sites and national lab networks can promote data sharing and create the infrastructure needed for safe and scalable mCDR projects. Looking ahead, Wil, Terre, and Chris discuss how international frameworks like BBNJ (Biodiversity Beyond National Jurisdiction) can ensure accountability for future mCDR governance, and reflect on the major challenges facing the field—from limited public awareness and funding to the need for strong public oversight as the technology scales. The report offers important recommendations, such as creating pre-permitted testbed sites and national lab networks that can promote research efficiency and strong standards as oCDR continues to be evaluated, regulated, and tested. To learn more about the report's findings, listen to the full episode HERE, subscribe with your favorite podcast service, or find the entire series here. Plan Sea is a semi-weekly podcast exploring ocean-based climate solutions, brought to you by the Carbon to Sea Initiative & the American University Institute for Responsible Carbon Removal.ACRONYMS / CONCEPTS:MRV (1:26); Monitoring, Reporting, and VerificationTRL (6:58); Technology Readiness LevelSRL (6:44); Scientific Readiness LevelBBNJ (38:03); Agreement on Biodiversity of Areas Beyond National Jurisdiction, also known as tPlan Sea is a semi-weekly podcast exploring ocean-based climate solutions, brought to you by the Carbon to Sea Initiative & the American University Institute for Responsible Carbon Removal.
In un paese dove il 35% del territorio è montano e le sfide legate allo spopolamento si fanno sempre più urgenti, l'Università di Padova risponde con un'iniziativa innovativa e lungimirante: due corsi di formazione, chiamati Rimont e Newmont, pensati per chi vuole tornare a vivere - o iniziare a farlo - nelle terre alte.
Nous recevons Ludinat dans l'émission ! Elle nous parle du jeu de plateau sur le thème de l'exploration spatiale et de vie extraterrestre : Seti ! SETI Par Tomáš Holek Illustré par Ondřej Hrdina & Oto Kandera Édité par Iello De 1 à 4 joueuses Pour 14 ans et + Pour 40 à 160 minutes Description : Dans SETI : Recherche d'Intelligence Extraterrestre, vous dirigez une institution scientifique chargée de rechercher des traces de vie au-delà de la planète Terre. Le jeu s'inspire des technologies et des efforts actuels ou émergents en matière d'exploration spatiale. Les joueurs explorent les planètes proches et leurs lunes en lançant des sondes depuis la Terre tout en profitant des positions planétaires en constante évolution. Vous pouvez décider d'atterrir à leur surface pour collecter des échantillons précieux ou de rester en orbite pour une étude plus large. En outre, en orientant vos télescopes vers des systèmes stellaires lointains, vous pouvez détecter des traces de signaux extraterrestres ou d'exoplanètes non découvertes, et recueillir des données prometteuses à examiner et à étudier de retour chez vous. Emission présentée par Alex & Zephiriel Générique par Adrien Larouzée Twitter @ledefausse Instagram Le Dé Faussé Facebook Le Dé Faussé Envie de nous soutenir ? Vous pouvez, si vous le souhaitez, grâce au Patreon de notre collectif, le Vaisseau Hyper Sensas ! patreon.com/vaisseauhypersensas Découvrez également notre site vaisseauhypersensas.fr Rejoignez nous sur Discord! https://discord.gg/uGxNp6n
Et voici le tout dernier épisode Feel Good de la saison.Jeane vous propose un épisode estival dans lequel elle ouvre sa trousse de toilette éco-responsable, partage ses coups de cœur beauté, ses dernières lectures et ses découvertes engagées.Ressources utiles : Crème de jour Mimétique : https://c3po.link/QqfhUY2PSXContour des yeux Oden : https://c3po.link/Q9uNfUWnpgSérums Endro : https://lescotonsderomane.com/products/serums-bio-endroProtections périodiques Natracare (certifiées B Corp)Ouvrage Déployer sa vie comme un albatros, Déborah Pardo : https://bit.ly/3TG3Ek4Ouvrage de Et si on rentrait au bled en train ? de Nassira El Moaddem : https://bit.ly/40fnM04Roman Gracier la bête de Gabrielle Massiat : https://bit.ly/3UbqNL9Newsletter Ici la Terre par The Conversation
A l'occasion du 14 juillet, La Loupe vous propose un épisode du podcast défense de L'Express, L'Etat-Major. Vous pourrez y retrouver un entretien exceptionnel du chef d'état-major de l'armée de terre, le général Pierre Schill, au micro de Clément Daniez.Bonne écoute !L'équipe : Écriture et présentation : Clément Daniez Invitée : le général Pierre SchillRéalisation : Jules Krot Production : Thibauld Mathieu et Charlotte Baris Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Lapin, pervers narcissique en fin de droits, raconte son retour à Lapinville et sa décision de faire un podcast pour se venger de ses anciens camarades d'école. Il est bientôt rejoint par Chloé Bloomington, star de cinéma qu'une énorme shitstorm oblige à revenir dans sa ville natale pour jouer dans une fiction quotidienne à la con. Puis, on suit l'enquête de Spiruline, astucieuse stagiaire à la mairie, qui dévoilera des scandales insoupçonnés dans les plus hautes sphères de Lapinville… Tour à tour, les Lapinvillois témoignent pour essayer de comprendre comment, une chose en entraînant une autre, ils ont fini par provoquer la destruction de la Terre. Leurs destins entremêlés forment une pelote visible de l'espace dont cette série, cinq minutes par jour, va dérouler le fil.Fresque épique et palpitante, chronique de la catastrophe en cours et de ses ramifications les plus inattendues, La Chute de Lapinville a pu être décrite comme une variante des Simpson à la sauce rond-point ou un jumeau maléfique de Plus belle la vie. Enregistrements décembre 2023-2024 Scénario et dialogues Benjamin Abitan Wladimir Anselme Laura Fredducci Direction artistique Benjamin Abitan Conseillère littéraire Noémie Landreau Réalisation Benjamin Abitan Assistante réalisation Clémence Bucher Anissa Zidna Alexandra Garcia Vilà Comédiens principaux Aurélien Gabrielli (Lapin) Flore Babled (Chloé Legroin) Charlotte Corman (Spiruline Fifrelin) Valérie Mairesse (Dominique Poêlon) RFM (Juliette Plumecocq-Mech) Moyens techniques Obsidienne Rémi Durel Julie Tribout Alice Lebaube Illustration Roxane Lumeret Musique originale Samuel Hirsch Production ARTE Radio ARTE Studio Virginie Lacoste Sahar Pirouz Jacques Falgous
Fuite d'eau à Terre-Rouge : Manon remercie Top FM et la CWA by TOPFM MAURITIUS
durée : 00:03:23 - Le journal de 7h30 FB Occitanie - La pose de la première pierre de la future Fnac a eu lieu ce mercredi. Le grand magasin vient combler une friche urbaine, il est construit sur les ruines d'un bâtiment laissé à l'abandon depuis la fermeture de l'UGC en 2019, un lieu emblématique pour les Toulousains. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
L'Univers nous paraît stable, ordonné, presque figé. Depuis la Terre, tout semble suivre un cycle immuable : les étoiles ne changent pas de place, les planètes tournent paisiblement autour de leur étoile. Mais cette apparente tranquillité est trompeuse. À l'échelle cosmique, tout est mouvement, tension, déséquilibre. Les systèmes qui semblent tenir en équilibre cachent souvent une instabilité profonde, parfois explosive.Dans cette vidéo, on explore la notion de stabilité dans l'espace, en la replaçant dans le contexte des lois physiques fondamentales. De Newton à Kepler, on comprend comment les orbites planétaires peuvent être vues comme des équilibres dynamiques, fragiles mais tenaces. On découvre aussi que la stabilité n'est jamais absolue : elle dépend d'un équilibre de forces et peut être rompue par la moindre variation. C'est le cas du système HIP 67522, où une planète géante déclenche des éruptions stellaires, menaçant sa propre existence.Ce phénomène remet en cause notre vision des systèmes planétaires. Il révèle que même une simple planète peut bouleverser une étoile entière, et que ce qu'on croyait permanent est souvent transitoire. À travers ce système, la science nous invite à revoir nos certitudes : la stabilité n'est peut-être qu'une illusion d'optique, un instant de calme dans un univers fondamentalement instable.
durée : 00:08:28 - L'invité de 7h50 du week-end - par : Kevin Dufreche - Vincent Doumeizel, conseiller pour les océans aux Nations Unies, était l'invité de France Inter ce samedi. Dans son “Manifeste du plancton” (Les équateurs), il appelle à s'intéresser à cette multitude d'espèces, indispensables à la vie sur Terre. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Quand la nuit tombe en été, on peut profiter de la fraîcheur et observer le ciel. Lève la tête et ouvre grand tes oreilles ! Julien répond aux questions de sa fille Lisa et t'explique ce qu'est un satellite naturel ou fabriqué par les humains, dans un nouvel épisode du podcast “Qui a inventé ?”La Lune, un satellite naturel de la TerreLa Lune est un satellite naturel de la Terre. Elle tourne autour de notre planète depuis 4 milliards et demi d'années. Il y a très longtemps, une petite planète a percuté la Terre. Le choc, terrible, a arraché une partie de notre planète. Ces blocs de roches se sont regroupés pour former une grosse boule qui s'est mise à tourner autour de la Terre. Voilà comment est née la Lune ! Évidemment, ça a pris beaucoup beaucoup de temps !Spoutnik, le premier satellite envoyé dans l'espace par les humains1957. À cette époque, deux pays très puissants s'opposent : les États-Unis et l'Union Soviétique (aujourd'hui on dit “la Russie”). Les Américains et les Soviétiques se sont lancés à la conquête de l'espace : chacun veut être le premier à envoyer un satellite autour de la Terre.Serguei Korolev est un ingénieur génial. Il est responsable du programme spatial de l'Union Soviétique. Le 4 octobre 1957, une fusée soviétique s'élève dans le ciel, avec à son bord une sphère métallique de 58 cm de diamètre, environ deux fois plus grosse qu'un ballon de basket. Arrivé à une certaine altitude, Spoutnik se décroche et poursuit sa trajectoire autour de la Terre. Le satellite Spoutnik est resté 92 jours dans l'espace avant de retomber sur Terre. C'est un événement très important, car pour la première fois, l'humain a réussi à envoyer un objet dans l'espace. Aujourd'hui, il y a des milliers de satellites qui tournent au-dessus de nos têtes à des distances et sur des orbites différentes… Les plus bas volent à 250 km du sol, les plus hauts à plus de 40 000 km !À quoi ça sert un satellite ?Les satellites nous permettent de prendre des mesures, faire des observations scientifiques et mieux comprendre ce qui se passe sur Terre. Par exemple pour prévoir la météo. Ils sont aussi utiles pour les GPS, qui permettent de connaître notre position en temps réel. Les militaires, eux, s'en servent pour espionner ce qui se passe dans d'autres pays. Aujourd'hui on est même capable de fabriquer des satellites-télescopes qui peuvent observer la voie lactée, notre galaxie !
Une série signée Arditë Shabani, réalisée par Didier Rossat Dʹoù venons-nous ? Comment lʹUnivers est-il né, et jusquʹoù peut-il sʹétendre ? Arditë Shabani nous emmène dans un voyage à travers le temps et lʹespace, à la découverte de lʹhistoire de lʹUnivers – des premiers instants du Big Bang jusquʹaux théories les plus récentes sur sa fin possible. Aux côtés du cosmologiste Jean-Philippe Uzan, chaque épisode éclaire une étape-clé : la naissance des étoiles, la formation des galaxies, lʹapparition de la vie sur Terre, ou encore les mystères de la matière noire et de lʹénergie sombre. Une aventure scientifique et poétique, pour mieux comprendre ce qui nous entoure et la minuscule place que nous y occupons. Une série à écouter dans lʹordre… ou dans le désordre, pour voyager à votre rythme. Le 2ème volet de notre série aborde lʹapparition des premières étoiles, qui transforment lʹunivers et fabriquent les éléments chimiques…
En ces temps d'extinction, nous prenons conscience que nous sommes loin d'être la seule espèce sur Terre. Quels liens devons-nous tisser avec les autres vivants ? Quelle cohabitation possible ? Faut-il manger les animaux ? Questions abordées en montagne, là où on élève des moutons et où le loup rode à nouveau depuis trente ans. Vous entendrez le berger Jean-Pierre Imbert (Saint Véran, la plus haute commune d'Europe), et le naturaliste Pierre Rigaux, auteur, notamment, de « Loups : Un mythe vivant » (Delachaux et Niestlé). Merci pour votre écoute Dans quel Monde on vit, c'est également en direct tous les samedi de 10h à 11h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Dans quel Monde on vit sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8524 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La pomme de terre est le produit de la terre le plus consommé par l'humanité – en dehors des céréales – et classée pilier de la sécurité alimentaire mondiale. Récit d'une conquête planétaire partie d'Amérique du Sud. (Rediffusion du 20/10/2024) C'est l'histoire d'une success story planétaire. La pomme de terre, ou la patate, est aujourd'hui, hormis les céréales – le riz ou le blé –, le produit de la terre le plus consommé sur Terre. « Tout le monde aime la pomme de terre ! », souligne la journaliste Marie-Laure Fréchet, qui lui a consacré un ouvrage, Le Grand livre des patates (éditions Flammarion). Solanum tuberosum n'a pratiquement que des avantages, à tel point que l'agence des Nations unies pour l'agriculture et l'alimentation (FAO) considère la pomme de terre comme un pilier de la sécurité alimentaire mondiale.« Quand on maîtrise sa culture, c'est très productif, peu onéreux. On peut la produire sous différents climats. C'est une culture relativement facile, qui se conserve, et ça aussi, c'est important, relève Marie-Laure Fréchet. C'est une source de glucide, un féculent, indispensable à l'alimentation. On mange moins de pain, mais on mange un peu plus de pomme de terre. » La patate n'est pas une pomme Chaque année, 375 millions de tonnes de patates sont cultivées dans quelque 150 pays. Mais cela n'a pas toujours été le cas pour une plante domestiquée dans les Andes, en Amérique du Sud, il y a approximativement 12 000 ans. Les conquistadors espagnols la ramènent en Europe au XVIe siècle, comme la tomate, de la même famille que la patate. Mais elle a du mal à s'imposer. « Contrairement au cacao, par exemple, à d'autres produits exotiques qui ont pu être ramenés, on ne sait pas trop quoi faire de la pomme de terre, raconte Marie-Laure Fréchet. On lui trouve toutes sortes de défauts. Bien moins savoureuse qu'aujourd'hui, elle était sans doute assez amère. Et surtout, on se méfiait de ce qui venait de la terre. On ne savait pas trop ce que c'était et c'est pour ça qu'on l'a appelée pomme de terre. Mais la pomme de terre n'est pas une pomme, elle n'est pas un fruit. » La patate, en effet, ne pousse pas dans les arbres, mais bien dans la terre ; c'est un tubercule, et du point de vue de la botanique, c'est bien un légume. La conquête mondiale de la pomme de terre commence par l'Espagne donc, l'Europe du Sud, mais aussi l'Allemagne : « Il y a même eu un édit d'un empereur de Prusse pour obliger les Allemands à cultiver chacun un petit lopin de pomme de terre. » Mais en France, pendant longtemps, la patate nourrissait seulement les cochons. Frites françaises La France, depuis, s'est rattrapée : elle est le premier pays exportateur au monde, et aussi le troisième pays d'Europe en termes de consommation, derrière l'Allemagne et la Pologne. Et c'est à Paris qu'on a inventé les frites, il y a plus de 200 ans. « La frite a fait beaucoup pour la promotion de la pomme de terre, parce qu'elle sublime son goût », estime Marie-Laure Fréchet, Grande Huile de la Confrérie de la frite fraîche maison. « Dans la région des Hauts-de-France, on est en train d'implanter de nombreuses usines de frites pour exporter des frites surgelées en Chine et en Inde. » La Chine, par sa taille, est devenue le premier producteur mondial de pomme de terre. En Afrique, la patate, qui demande quatre fois moins d'eau que la culture du riz, a réellement pris son essor ces 30 dernières années, et elle est aujourd'hui la quatrième culture vivrière. Partout dans le monde, la patate donne la frite, la pêche, la banane, ou... la patate. La question de la semaine
durée : 00:44:30 - Grand bien vous fasse ! - par : Thibaut de Saint-Maurice - La connexion à la terre, à la nature commence dès l'enfance, en bougeant les cailloux au parc ou à la campagne. Comment apprendre cette connexion à nos enfants ? - invités : Marc André Selosse, Jacques Tassin, Ophélie Damblé - Marc-André Selosse : Professeur du Muséum National d'Histoire Naturelle et membre de l'institut universitaire de France., Jacques Tassin : Biologiste au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad), Ophélie Damblé : Ophélie Damblé est la créatrice de la chaîne YouTube "[Ta Mère Nature](https://www.tamerenature.com/)". Communicante de formation, elle plaque tout en 2017 pour se reconvertir dans le maraîchage biologique. Elle travaille aujourd'h Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Toi aussi tu t'es déjà demandé comment le monde était apparu ? Et qu'est-ce qu'il y avait sur Terre avant les Humains et même avant les dinosaures ?Si tu es curieux de connaître la réponse, je t'invite à écouter Raconte-moi la naissance du monde, une série audio de Bayard Jeunesse pour tout savoir sur notre planète depuis sa création !Retrouve Lucie, Luca et leur grand-père dans cette fantastique aventure immersive !A écouter dès maintenant sur les plateformes BayaM, Spotify, Audible et tous les audiolibraires en cliquant sur l'url : https://lnk.to/rmlndPORaconte-moi la Naissance du monde, série en 10 épisodesComme de nombreux enfants, Lucas et Lucy se posent des questions sur nos origines et sur le monde qui nous entoure.Une petite sœur (Morgane) vient d'arriver dans leur famille. Cette naissance porte une part de mystère et de fascination. Elle semble si fragile, cette petite sœur née au cœur d'une nuit d'automne !Mais comment deux petites cellules peuvent donner un bébé humain ? Et comment la vie s'est-elle développée sur notre planète ? D'où venons-nous ? Qu'y avait-il avant notre naissance, avant les humains ? Avant la Terre ?Face aux questions de ses petits-enfants, leur grand-père les embarque dans une histoire fascinante : celle de la naissance du monde.Au gré de leurs discussions et de leurs balades dans la nature environnante, il va leur faire prendre conscience de la formidable richesse de notre Terre, de sa fragilité, et de l'incroyable complexité de nos origines.Entre vertige et émerveillement…Cette série est une adaptation du livre de Bertrand Fichou "La naissance du monde en 100 épisodes" ; Adaptation audio : Thomas Le Petit Corps ; Illustration : Florent Grattery ; Interprètes voix : Mathieu Buscatto, Pauline Ziadé, Julie Politi ; Musique : Alexandre Ferreira ; Réalisation : Alexandre Ferreira ; Production exécutive : Billy the Cats - Julien Moch ; Productrice : Hélène Loiseau pour Bayard Jeunesse 2025Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dal 26 al 28 settembre a Torino Chora&Will Days, il primo festival di Chora e Will: scopri il programma e come partecipare su days.chorawill.com Firma la proposta di legge di iniziativa popolare per chiedere una legge sul voto fuorisede: https://shor.by/GcvZ Silvia Boccardi e Francesco Rocchetti parlano con Alberto Prina Cerai, analista ISPI, del quasi monopolio cinese le terre rare, materiali fondamentali per tecnologie strategiche – dalle auto elettriche alle armi - e dei rischi che questo comporta. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les satellites troyens de Vénus potentiellement dangereux pour la Terre...
Lamotte-Beuvron est connue pour être une terre d'équitation. Le sera-t-elle pour l'ovalie ? La ville, le club de rugby local et la ligue du Centre-Val de Loire ont signé une convention pour favoriser le développement du rugby à 7. un reportage réalisé par Bastien Bougeard.
Il aurait pu sombrer dans toutes les dépendances. Il a choisi la plus rare: celle au flow, ce moment suspendu où tout devient instinct, où la chute devient maîtrise, où l'adrénaline calme au lieu d'exciter. Photographe de luxe la semaine, champion de Wingsuit, le week-end Adrien Devillette transforme le vide intérieur en ligne de fuite, mais pas pour fuir... pour rester en vie. Un épisode en apesanteur entre ciel et terre, où on va voir comment on remplace une redescente, par une bonne grosse chute libre.
durée : 00:03:23 - Le journal de 7h30 FB Occitanie - La pose de la première pierre de la future Fnac a eu lieu ce mercredi. Le grand magasin vient combler une friche urbaine, il est construit sur les ruines d'un bâtiment laissé à l'abandon depuis la fermeture de l'UGC en 2019, un lieu emblématique pour les Toulousains. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:45:00 - Grand bien vous fasse ! - par : Ali Rebeihi - Essentiel à notre présence sur Terre, l'océan est un puits de carbone, il abrite également une biodiversité extraordinaire et parfois encore méconnue et recouvre 71 % de la surface de notre planète. Comment mieux le défendre ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
En 2010, au cœur de la taïga sibérienne, le photographe suisse Yann Laubscher découvrit une vallée isolée, habitée par un peuple retiré du monde, porté par une foi inébranlable. Cette rencontre éveilla en lui une fascination viscérale, teintée de mystère et d'émerveillement. Six ans plus tard, il y retourna, poussé par le besoin de comprendre, photographier et documenter la beauté muette de ces terres oubliées.Abonnez-vous à notre newsletter pour ne louper aucun épisode ➡️Retrouvez Les Baladeurs sur :Les OthersSpotifyApple PodcastsDeezerYouTubeAushaEn RSS
Il faut sûrement un grain de folie, une bonne dose de poésie aussi pour entreprendre de montrer l'aventure spatiale, la vie à deux dans une station en orbite autour de la Terre sur la scène d'un théâtre, quand de surcroît il s'agit d'un théâtre de poche, et sans effets spéciaux. Pourtant, la magie opère : on se laisse embarquer par cette douce folie et cette sensibilité dans le spectacle Fusées. Créé par Jeanne Candel à Paris au Théâtre de l'Aquarium et présenté au Festival d'Avignon au Théâtre Benoit Xii, c'est l'un des rares spectacles de cette 79è édition où l'on croise dans le public des enfants (qui rient de bon cœur). Dans ce spectacle minimaliste et inventif, deux hommes se retrouvent seuls dans le cosmos. Une histoire d'abandon qui explore l'aventure de la conquête spatiale et la nature humaine face à l'adversité. Dans Ce que j'appelle oubli, écrit par Laurent Mauvignier, Sophie Langevin met en scène Luc Schiltz. Le comédien délivre sur scène l'histoire d'un homme battu à mort pour avoir dérobé et bu une canette de bière dans un supermarché. Un texte fort qui retrace les derniers souvenirs de cet homme et célèbre sa mémoire et son humanité. Jeanne Candel, metteuse en scène, et Jan Peters, acteur, ainsi que Sophie Langevin, metteuse en scène, et Luc Schiltz, acteur, sont les invités de Sur le pont des arts. Fusées est à voir au Théâtre Benoît Xii du 6 au 8 juillet à Avignon. Ce que j'appelle oubli se joue à la salle 11 à Avignon du 5 au 24 juillet 2025. Au programme de l'émission : ► Reportage Damien Roucou nous parle de Françé par Lamine Diagne et Raymond Dikoumé. Un spectacle du Off qui interroge l'histoire coloniale française et son héritage. ► Playlist du jour -Sami Galbi - Transit -Tom Waits - Innocent When You Dream
Il faut sûrement un grain de folie, une bonne dose de poésie aussi pour entreprendre de montrer l'aventure spatiale, la vie à deux dans une station en orbite autour de la Terre sur la scène d'un théâtre, quand de surcroît il s'agit d'un théâtre de poche, et sans effets spéciaux. Pourtant, la magie opère : on se laisse embarquer par cette douce folie et cette sensibilité dans le spectacle Fusées. Créé par Jeanne Candel à Paris au Théâtre de l'Aquarium et présenté au Festival d'Avignon au Théâtre Benoit Xii, c'est l'un des rares spectacles de cette 79è édition où l'on croise dans le public des enfants (qui rient de bon cœur). Dans ce spectacle minimaliste et inventif, deux hommes se retrouvent seuls dans le cosmos. Une histoire d'abandon qui explore l'aventure de la conquête spatiale et la nature humaine face à l'adversité. Dans Ce que j'appelle oubli, écrit par Laurent Mauvignier, Sophie Langevin met en scène Luc Schiltz. Le comédien délivre sur scène l'histoire d'un homme battu à mort pour avoir dérobé et bu une canette de bière dans un supermarché. Un texte fort qui retrace les derniers souvenirs de cet homme et célèbre sa mémoire et son humanité. Jeanne Candel, metteuse en scène, et Jan Peters, acteur, ainsi que Sophie Langevin, metteuse en scène, et Luc Schiltz, acteur, sont les invités de Sur le pont des arts. Fusées est à voir au Théâtre Benoît Xii du 6 au 8 juillet à Avignon. Ce que j'appelle oubli se joue à la salle 11 à Avignon du 5 au 24 juillet 2025. Au programme de l'émission : ► Reportage Damien Roucou nous parle de Françé par Lamine Diagne et Raymond Dikoumé. Un spectacle du Off qui interroge l'histoire coloniale française et son héritage. ► Playlist du jour -Sami Galbi - Transit -Tom Waits - Innocent When You Dream
Fléau de la drogue : le Centre de Terre-Rouge exige des actions immédiates by TOPFM MAURITIUS
durée : 00:01:57 - Le grand format - Les vacances d'été démarrent et les villes du littoral se transforment, multipliant leurs populations par 2, 3, ou 4. C'est le cas de Mandelieu-la-Napoule, près de Cannes, dans les Alpes-Maritimes. Avec ces flots de visiteurs revient la question de la gestion des déchets. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
En route vers le Festival d'Humour Émergeant en Abitibi-Témiscamingue, la balado s'est arrêtée à Lac-Simon à l'invitation de Ronald Brazeau, natif de cette communauté anichinaabée. D'une rencontre imprévue est né cet épisode surprise d'une grande humanité. La photo qui illustre l'épisode a été prise par Coralie La Perrière à Lac-Simon. La pièce qu'on entend à la fin est la composition Love of my life de Rosa Pascale Cheezo, native de Lac-Simon.
durée : 00:37:40 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - L'explorateur et chercheur Christian Clot s'est immergé dans une grotte pendant quinze jours, en Ariège, avec un groupe d'artistes et de scientifiques. Quels sont les effets d'une telle expérience sur le corps et l'esprit ? Vivre sous terre rend-il plus heureux, et créatif ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Avant une pause estivale, L'Etat-Major a pu s'entretenir, dans son bureau du quartier général des armées françaises, avec le général Pierre Schill. Ce "marsouin" (le surnom des soldats de l'infanterie de marine, où il a fait une grande partie de sa carrière) assure depuis quatre ans une transformation poussée de l'armée de terre. Une nécessité pour répondre au double défi d'une menace russe grandissante sur le continent européen et d'une révolution technologique avec l'utilisation de plus en massive des drones et de l'intelligence artificielle dans les combats.L'équipe : Écriture et présentation : Clément Daniez Invitée : le général Pierre SchillRéalisation : Jules Krot Production : Thibauld Mathieu et Charlotte Baris Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La capital del departamento francés de Finistère es una ciudad única en el mundo. Desde su misterioso origen, envuelto en brumas de leyenda, se ha desarrollado a lo largo de los siglos en torno a tres centros urbanos: una ciudad episcopal, otra ducal y el yacimiento galorromano primitivo que hoy es el barrio de Locmaria. El guía Yannig d’Hervé nos permite unir estos cascos antiguos en un paseo que parte de su esbelta catedral gótica de San Corentin, patrón y primer obispo en los remotos tiempos del rey Gradlon. Tras un primer vistazo a la plaza principal de Quimper, nos asomamos al cercano palacio arzobispal, hoy transformado en el Museo Departamental Bretón. Con la ayuda de su mediadora cultural, Salomé Surle, y de la profesora Sarah Picard, trazamos una completa panorámica etnográfica, histórica y social de esta región del oeste de Francia. Después de conocer jardines históricos y pintorescas callejuelas jalonadas de edificios con fachadas de entramado de madera, nos asomamos a la Plaza de la Mantequilla. Este céntrico rincón presenta probablemente la mayor densidad de creperías del mundo. De delicias gastronómicas nos hablan el responsable de La Biscuiterie de Quimper, Mikael Saliou Lafitte; la directora de un grado universitario de hostelería, Marion Prigent; y la trabajadora de la oficina de turismo Laurence de Greef. Al otro lado del pequeño río Steir se extienden los dominios del duque de Bretaña, calles y plazas como la Terre-au-Duc. Antes de dirigirnos al distrito de Locmaria, algo apartado del resto, nos interesamos por las músicas y danzas bretonas, que toman Quimper cada mes de julio durante el célebre Festival de Cornouaille. Caroline Esqué, integrante del conjunto Eostiged ar Stangala, explica la importancia de estas expresiones enraizadas en el pasado celta del territorio. A orillas del Odet, el río que trae el vaivén de las mareas hasta esta ciudad a 18 kilómetros de la costa atlántica, evocamos al literato Max Jacob con el guía municipal Laurent Paubert. Algunos rasgos únicos del lugar, como la abundancia de pasarelas, están reflejados en su obra. Aguas abajo, en la margen izquierda, encontramos Locmaria. En este primitivo asentamiento nació también la tradición de la loza, una intensa actividad alfarera que descubrimos junto al historiador Mani Pennanguer en el monográfico Musée de la Faïence de Quimper. No nos podemos despedir de este municipio de sesenta mil habitantes sin conocer la factoría de Armor-Lux, una empresa local con proyección nacional e internacional, famosa por sus camisetas marineras y otros muchos productos textiles que se siguen confeccionando en buena medida a mano. Nos reciben en sus instalaciones el director de exportación de la marca, Marco Petrucci, y la asistente de español Silvana Jara.Escuchar audio
Terre di vini Langhe, Roero e Monferrato - Spendieren Sie einen Cafè (1€)? Donate a coffee (1€)? https://ko-fi.com/italiano Livello A2, B2#viaggiare #travel #reise #vhs #piemonte #langheBuongiorno cari amici ascoltatori e benvenuti all'ascolto dell'episodio numero 188. Oggi vi porto in viaggio virtuale con me e vi porto in una regione che conosco bene perché è la mia regione: il Piemonte.Nella parte sud del Piemonte ci sono tre zone famose per la produzione del vino, una vicina all'altra che si chiamano: le Langhe, il Roero e il Monferrato. Tre zone tra il fiume Po e l'Appenino ligure, divise tra le province delle cittá di Alessandria, Asti e Cuneo. Le Langhe sono il territorio più a sud delle tre, con le città di Alba, Barolo e Barbaresco. Nella parte ovest c'è il Monferrato, con le città di Asti, Canelli e Nizza Monferrato e invece a nord-est c'è il Roero con Roero, Bra e Cisterrna, solo per citarne alcune.Cominciamo a vedere le Langhe. Qui si produce il famoso e pregiato vino Barolo, ma la zona è famosa anche per i paesaggi mozzafiato, mozzafiato significa una cosa così bella da togliere il respiro (atemberaubend/) La zona è sempre stata contesa a partire dal Medioevo da molte signorie come i Savoia e i Marchesi di Saluzzo. Oggi è una dei territori enogastronomici d'Italia, eno = da vino e gastronomico da gastronomia, ciò significa famoso per il vino e il cibo....- The full transcript of this Episode is available via "Luisa's learn Italian Premium", Premium is no subscription and does not incur any recurring fees. You can just shop for the materials you need or want and shop per piece. Prices start at 0.20 Cent (i. e. Eurocent). - das komplette Transcript / die Show-Notes zu allen Episoden sind über Luisa's Podcast Premium verfügbar. Den Shop mit allen Materialien zum Podcast finden Sie unterhttps://premium.il-tedesco.itLuisa's Podcast Premium ist kein Abo - sie erhalten das jeweilige Transscript/die Shownotes sowie zu den Grammatik Episoden Übungen die Sie "pro Stück" bezahlen (ab 20ct). https://premium.il-tedesco.itMehr info unter www.il-tedesco.it bzw. https://www.il-tedesco.it/premiumMore information on www.il-tedesco.it or via my shop https://www.il-tedesco.it/premium
Si vous vous amusez à faire défiler le calendrier de votre smartphone jusqu'en octobre 1582, un détail vous sautera aux yeux : le 4 octobre est immédiatement suivi… du 15 octobre. Onze jours qui semblent avoir disparu. Mais ce n'est ni un bug informatique, ni une plaisanterie de développeur. C'est l'héritage d'une véritable amputation temporelle, décidée en pleine Renaissance par le pape Grégoire XIII.Pour comprendre ce saut dans le temps, il faut revenir au calendrier utilisé en Europe depuis l'Empire romain : le calendrier julien, instauré par Jules César en 46 av. J.-C. Ce calendrier prévoyait une année de 365,25 jours, avec un jour bissextile tous les quatre ans. Problème : l'année solaire réelle — c'est-à-dire le temps que met la Terre à faire un tour complet autour du Soleil — dure en réalité 365,2422 jours. Une petite différence, mais qui, au fil des siècles, finit par décaler le calendrier par rapport aux saisons.Résultat : au 16e siècle, l'équinoxe de printemps, censé tomber le 21 mars, se produisait désormais autour du 11 mars. Ce glissement avait des conséquences concrètes, notamment sur la fixation de la date de Pâques, essentielle dans le calendrier chrétien.Pour y remédier, le pape Grégoire XIII convoqua des astronomes et des mathématiciens, dont le célèbre Luigi Lilio. Leur solution : instaurer un nouveau calendrier, plus précis, que l'on connaît aujourd'hui sous le nom de calendrier grégorien. Ce nouveau système corrigeait le décalage en ajustant la règle des années bissextiles : désormais, les années séculaires (comme 1700, 1800, 1900) ne seraient bissextiles que si elles sont divisibles par 400.Mais il restait un problème immédiat : comment rattraper les dix jours déjà accumulés ? La solution fut radicale : supprimer purement et simplement 10 jours du calendrier. Le pape promulgua donc la bulle Inter gravissimas, qui imposait qu'après le jeudi 4 octobre 1582, on passerait directement au vendredi 15 octobre.Ce changement fut d'abord adopté par les pays catholiques — Espagne, Portugal, États pontificaux, Pologne. Les pays protestants ou orthodoxes mirent parfois plusieurs siècles à suivre. En Russie, par exemple, le calendrier julien resta en vigueur jusqu'en… 1918.En résumé : l'amputation du mois d'octobre 1582 est le fruit d'une grande réforme temporelle, destinée à réaligner notre calendrier sur les rythmes célestes. Un saut temporel qui rappelle que même le temps que nous croyons si rigide… peut être redéfini par décision humaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La TTV, pour Transit Timing Variation — ou en français, "variation du moment du transit" — est une technique de pointe qui permet de détecter des exoplanètes jusque-là invisibles aux méthodes classiques.Pour bien comprendre, rappelons d'abord la méthode dite du transit : quand une planète passe devant son étoile (vue depuis la Terre), elle bloque une petite partie de la lumière de cette étoile. En mesurant cette baisse de luminosité, les astronomes peuvent repérer la planète et déduire des informations comme sa taille et son orbite. C'est ainsi qu'ont été détectées des milliers d'exoplanètes.Mais certaines planètes échappent à cette méthode : elles ne passent pas exactement devant leur étoile, ou leur signal est trop faible. C'est là que la TTV entre en jeu.Voici le principe : dans un système avec plusieurs planètes, celles-ci s'influencent mutuellement par leur gravité. Résultat : la planète dont on observe le transit ne passe pas toujours devant son étoile au même moment précis à chaque orbite. Il peut y avoir de légères variations — par exemple, quelques secondes ou quelques minutes d'avance ou de retard par rapport au calendrier prévu.Ces infimes décalages révèlent la présence d'une ou plusieurs autres planètes dans le système, même si elles ne transitent pas elles-mêmes !En étudiant soigneusement ces variations de timing, les chercheurs peuvent déduire l'existence, la masse et même la position de ces planètes cachées.C'est précisément ce qu'a réussi une équipe de l'Académie chinoise des sciences en 2024. En utilisant la TTV, ils ont découvert une nouvelle exoplanète située dans la zone habitable d'une étoile semblable au Soleil — c'est-à-dire à une distance où l'eau liquide pourrait exister. Cette planète, sans la TTV, aurait été indétectable par les moyens classiques.Pourquoi cette méthode révolutionne-t-elle l'astronomie ? Parce qu'elle permet :de révéler des planètes non transitées, donc invisibles à la méthode du transit ;de mesurer leur masse, ce que le simple transit ne permet pas de faire directement ;de sonder des systèmes complexes, avec plusieurs planètes en interaction.En résumé, la TTV est un outil ultra-précieux pour explorer des mondes lointains et comprendre la dynamique des systèmes planétaires. Elle ouvre une nouvelle fenêtre sur des planètes jusque-là invisibles — et peut-être, un jour, sur des mondes habitables. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Découverts par le géologue Abderrazak El Albani dans un site préservé du Gabon, les fossiles des plus anciennes formes de vie complexes révèlent à quel point ces organismes étaient experts en survie. Face au stress chimique et à la forte présence d'arsenic comment se sont-ils adaptés ? Remontons le temps sur les traces des plus anciens, si ce n'est, des tout premiers microorganismes qui ont vécu sur Terre, il y a 2,1 milliards d'années. Une découverte renversante que l'on doit à notre invité, le professeur Abderrazak El Albani de l'Université de Poitiers, qui a mis au jour dans le bassin géologique préservé de Franceville, au Gabon, un véritable monde perdu : les fossiles de formes de vies complexes qui ont peuplé la Terre, un milliard d'années plus tôt qu'on ne le pensait. Mais comment ces organismes complexes ont-ils pu émerger et résister au stress environnemental et chimique de cette terre primitive, de cet océan toxique, rempli d'arsenic et sans oxygène. Avec - le professeur Abderrazak El Albani, enseignant-chercheur à l'Institut de Chimie des Milieux et Matériaux de Poitiers (IC2MP – CNRS / Université de Poitiers) - Anna El Khoury, doctorante.
Découverts par le géologue Abderrazak El Albani dans un site préservé du Gabon, les fossiles des plus anciennes formes de vie complexes révèlent à quel point ces organismes étaient experts en survie. Face au stress chimique et à la forte présence d'arsenic comment se sont-ils adaptés ? Remontons le temps sur les traces des plus anciens, si ce n'est, des tout premiers microorganismes qui ont vécu sur Terre, il y a 2,1 milliards d'années. Une découverte renversante que l'on doit à notre invité, le professeur Abderrazak El Albani de l'Université de Poitiers, qui a mis au jour dans le bassin géologique préservé de Franceville, au Gabon, un véritable monde perdu : les fossiles de formes de vies complexes qui ont peuplé la Terre, un milliard d'années plus tôt qu'on ne le pensait. Mais comment ces organismes complexes ont-ils pu émerger et résister au stress environnemental et chimique de cette terre primitive, de cet océan toxique, rempli d'arsenic et sans oxygène. Avec - le professeur Abderrazak El Albani, enseignant-chercheur à l'Institut de Chimie des Milieux et Matériaux de Poitiers (IC2MP – CNRS / Université de Poitiers) - Anna El Khoury, doctorante.
Aujourd'hui, il suffit de sortir son téléphone pour connaître sa position exacte sur Terre. Mais ce confort technologique, si banal aujourd'hui, trouve son origine dans un événement tragique. Car l'ouverture du GPS au grand public n'est pas née d'un progrès pacifique… mais d'un drame en pleine Guerre froide.Tout commence le 1er septembre 1983. Un Boeing 747 de la compagnie Korean Air Lines, vol 007, quitte New York à destination de Séoul. Mais quelque part au-dessus de l'océan Pacifique, l'avion s'écarte de sa trajectoire prévue. Il vole à l'aveugle, guidé uniquement par des instruments de navigation classiques, reposant sur le magnétisme terrestre.Ce que l'équipage ignore, c'est que leur appareil entre dans l'espace aérien soviétique, au-dessus de la péninsule de Sakhaline, une zone ultra-sensible militairement. Les Soviétiques, convaincus d'avoir affaire à un avion espion américain, ne prennent aucun risque. Deux chasseurs sont envoyés. L'un d'eux tire un missile. Le Boeing est abattu. Les 269 passagers et membres d'équipage périssent.L'émotion est immense. Le choc est mondial. Et à Washington, le président Ronald Reagan décide de réagir, pas seulement sur le plan diplomatique, mais aussi technologique.À l'époque, les États-Unis disposent déjà du GPS, un système de géolocalisation par satellite, mais il est réservé aux militaires. Reagan annonce alors une décision stratégique : une fois le système finalisé, le GPS sera ouvert à l'usage civil dans le monde entier, gratuitement. L'idée : permettre à l'avenir à tout avion, bateau ou véhicule, de connaître sa position avec précision et d'éviter de tels accidents.Mais il y a un bémol : pendant des années, l'armée américaine garde une main sur le système. Une dégradation volontaire de la précision, appelée "Selective Availability" (SA), est activée. Les civils peuvent utiliser le GPS, mais avec une précision limitée à environ 100 mètres.Il faut attendre l'an 2000 pour que cette restriction soit levée. Le président Bill Clinton donne alors l'ordre de désactiver le SA. Résultat : la précision passe à quelques mètres pour tous les utilisateurs. C'est cette décision qui marque le véritable envol du GPS dans la vie quotidienne : dans les voitures, les téléphones, les avions, les montres de sport.Ce que l'on oublie souvent, c'est que derrière ce confort moderne se cache une tragédie. Le GPS civil, ce n'est pas seulement de la technologie : c'est aussi une réponse politique à une erreur de navigation fatale. Un progrès né du chaos, comme souvent dans l'histoire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Son grand-père est le premier à avoir volé dans la stratosphère, inspirant à Hergé le professeur Tournesol. son père le premier à avoir plongé dans les abysses en bathyscaphe, quant à Bertrand il a réussi le premier tour du monde en avion solaire. Les Piccard en BD, pionniers du ciel et des abysses... Prenons de la hauteur et de la profondeur aujourd'hui dans l'espace comme dans le temps, sur les traces de trois savanturiers de génie. 3 générations de pionniers du ciel et des abysses Dans la famille Piccard, on commence par le grand-père Auguste Piccard, le physicien qui inspira Hergé pour le personnage du professeur Tournesol est le 1er homme à avoir atteint la stratosphère en ballon et à voir la courbure de la Terre. On poursuit avec le père Jacques Piccard, océanographe et écologiste avant l'heure qui descendit avec le bathyscaphe conçu par son père à plus de 10 000 mètres dans la fosse des Mariannes pour y découvrir la vie au fond des océans. Et enfin, dans la famille Piccard, nous aurons la chance d'être en duplex depuis Lausanne avec le fils Bertrand Piccard, aéronaute et pionner des énergies propres, qui réalisa le 1er tour du monde en ballon sans escale et avec Solar impulse le premier tour du monde en avion solaire... Avec Bertrand Piccard (le premier à avoir fait le Tour du Monde en ballon avant de se lancer dans l'aventure des énergies renouvelables avec Solar Impulse, l'avion solaire) et l'auteur et dessinateur Jean-Yves Duhoo pour la BD 1, 2, 3 Piccard parue chez Dargaud.
Son grand-père est le premier à avoir volé dans la stratosphère, inspirant à Hergé le professeur Tournesol. son père le premier à avoir plongé dans les abysses en bathyscaphe, quant à Bertrand il a réussi le premier tour du monde en avion solaire. Les Piccard en BD, pionniers du ciel et des abysses... Prenons de la hauteur et de la profondeur aujourd'hui dans l'espace comme dans le temps, sur les traces de trois savanturiers de génie. 3 générations de pionniers du ciel et des abysses Dans la famille Piccard, on commence par le grand-père Auguste Piccard, le physicien qui inspira Hergé pour le personnage du professeur Tournesol est le 1er homme à avoir atteint la stratosphère en ballon et à voir la courbure de la Terre. On poursuit avec le père Jacques Piccard, océanographe et écologiste avant l'heure qui descendit avec le bathyscaphe conçu par son père à plus de 10 000 mètres dans la fosse des Mariannes pour y découvrir la vie au fond des océans. Et enfin, dans la famille Piccard, nous aurons la chance d'être en duplex depuis Lausanne avec le fils Bertrand Piccard, aéronaute et pionner des énergies propres, qui réalisa le 1er tour du monde en ballon sans escale et avec Solar impulse le premier tour du monde en avion solaire... Avec Bertrand Piccard (le premier à avoir fait le Tour du Monde en ballon avant de se lancer dans l'aventure des énergies renouvelables avec Solar Impulse, l'avion solaire) et l'auteur et dessinateur Jean-Yves Duhoo pour la BD 1, 2, 3 Piccard parue chez Dargaud.
Le mot "océan" vient du latin oceanus, lui-même emprunté au grec ancien Ôkeanós (Ὠκεανός). Dans la mythologie grecque, Océan est un dieu primordial, représentant un immense fleuve qui entourait le monde connu. Pour les Anciens, ce n'était pas un océan au sens moderne, mais un gigantesque cours d'eau formant une frontière liquide autour de la Terre habitée.Avec le temps et l'évolution des connaissances géographiques, le mot oceanus a cessé de désigner un fleuve mythologique pour désigner les vastes étendues d'eau salée qui couvrent aujourd'hui plus de 70 % de la surface terrestre.Pourquoi dit-on "un" océan, et pas "une" ? Tout simplement parce qu'en latin, oceanus est un mot de genre masculin. En français, les mots empruntés au latin conservent très souvent leur genre d'origine. C'est aussi le cas pour d'autres termes liés à l'eau, comme "le fleuve" (latin fluvius), "le courant" (latin currens) ou "le détroit" (latin strictus), qui sont tous masculins.À l'inverse, des mots comme "la mer", issus du latin mare (qui était neutre en latin), sont devenus féminins en français. Cette variation s'explique en partie par l'évolution du genre neutre latin vers les genres masculin ou féminin en français médiéval.Il existe aussi une dimension symbolique. Dans l'imaginaire collectif, la mer et l'océan ont parfois été associés à des qualités genrées : la mer serait plus proche, plus familière, parfois douce ou capricieuse (et donc associée au féminin), tandis que l'océan, immense, sauvage, puissant, incarnerait une force plus brute, plus lointaine, d'où son association avec le masculin. Ce sont bien sûr des représentations culturelles, mais elles ont pu influencer l'usage linguistique.En résumé, on dit "un océan" :– parce que le mot vient du latin oceanus, de genre masculin,– parce qu'il désignait à l'origine un dieu masculin dans la mythologie grecque,– et parce que la langue française conserve généralement le genre des mots empruntés au latin ou au grec.C'est donc un choix à la fois linguistique, historique et symbolique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ils dirigent les réseaux sociaux, façonnent l'intelligence artificielle, conçoivent les outils qui structurent désormais nos quotidiens. Derrière ces avancées technologiques, des patrons multimilliardaires : Elon Musk, Mark Zuckerberg, Jeff Bezos... Mais ces barons de la tech ne transforment pas seulement nos usages — ils diffusent un modèle : celui d'une masculinité conquérante, virile et ultralibérale.Comment la tech est-elle devenue le terrain d'expression privilégié du masculinisme ? Pourquoi les algorithmes reproduisent-ils si facilement des logiques sexistes et racistes ? Qui sont ces patrons milliardaires qui façonnent le futur tout en affichant, de plus en plus ouvertement, leur proximité avec l'extrême droite ?Dans cet épisode, Tal Madesta reçoit Marion Olharan Lagan, chercheuse en civilisation américaine et autrice de « Patriartech. Les nouvelles technologies au service du vieux monde » (Éditions Hors d'atteinte, 2024). Ensemble, il et elle interrogent cette obsession de pouvoir qui pousse les barons de la tech à tout s'approprier sur Terre mais aussi au-delà.RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Retrouvez toutes les références citées dans l'épisode à la page : https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/patriartech-lempire-des-tech-brosCRÉDITSLes Couilles sur la table est un podcast créé par Victoire Tuaillon produit par Binge Audio. Cet entretien a été préparé, mené et monté par Tal Madesta et enregistré le lundi 20 mai 2025 au studio Virginie Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Prise de son, réalisation et mixage : Paul Bertiaux. Supervision éditoriale et de production : Naomi Titti. Production et édition : Marie Foulon. Communication : Lise Niederkorn et Léna Fourgeau. Rédacteur en chef : Thomas Rozec. Direction de production : Albane Fily. Responsable administrative et financière : Adrienne Marino. Musique originale : Théo Boulenger. Identité graphique : Marion Lavedeau (Upian). Composition identité sonore : Jean-Benoît Dunckel. Voix identité sonore : Bonnie El Bokeili. Direction des programmes : Joël Ronez.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Christophe Colomb découvreur de l'Amérique ? Oubliez. Il est désormais prouvé que des vikings, dès 1021, ont fondé un établissement à la pointe nord de Terre-Neuve afin de s'approvisionner en bois de construction. Une famille de légende a contribué à cette incroyable découverte, celle d'Erik le Rouge. Voici son Histoire.Cette épopée sur trois générations débute en Norvège vers 960. Coupable d'un meurtre, Thorvald s'exile pour l'Islande avec son fils, Erik. À son tour, Erik à la chevelure flamboyante commet l'irréparable et est banni d'Islande. C'est ainsi qu'il découvre le « Greenland », la Terre verte, comme il la baptise car « si le pays portait un beau nom, cela encouragerait fort les gens à y aller ». C'est justement en voulant rejoindre cette nouvelle colonie groenlandaise qu'un navigateur islandais se retrouve, plus à l'ouest, face à une côte inconnue. Leif, un fils d'Erik, explorera cette terre, au climat si tempéré qu'il la baptise Vinland, le pays du Vin. Un paradis terrestre ? Ce n'est que l'Amérique, quatre siècles avant Colomb.Comment de tels voyages furent-ils possibles ? Quel était le secret de leurs navires ? Comment les vikings trouvaient-ils leur route sans boussole durant des semaines au grand large ? En s'appuyant sur les sagas islandaises et les travaux récents d'archéologues scandinaves et de chercheurs passionnés, Dominique Le Brun raconte d'une plume alerte cette étonnante aventure, et nous explique comment un tel exploit fut possible.Son auteur, Dominique Le Brun, est notre invité en studioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.