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Samedi 5 novembre 2022Rencontre avec Ghislain Casas pour présenter "La dépolitisation du monde : Angélologie médiévale et modernité" paru aux éditions Vrin et éditions de l'EHESS - Contextes.En dialogue avec Samir BoumedieneLa modernité – politique et scientifique – n'est pas née d'un geste de rupture avec le Moyen Âge. L'État et la science modernes peuvent en effet être envisagés comme les conséquences lointaines d'une contradiction logée au cœur de la théologie scolastique. Ce livre raconte l'histoire de cette double genèse en faisant remonter l'idée foucaldienne d'une « dégouvernementalisation du cosmos » du XVIIe au XIIIe siècle. Pour cela, il prend pour objet les débats qui ont animé l'angélologie médiévale au sujet des « anges-moteurs » et s'intéresse à la tentative échouée des Médiévaux pour accorder le concept théologico-politique de hiérarchie à la question cosmologique du mouvement des cieux. Cette étude ne cherche toutefois pas principalement à antidater de quelques siècles l'émergence de la modernité. Il s'agit de présenter les matériaux historiques indispensables à la compréhension du hiatus entre la politique et le monde, que notre époque cherche à surmonter sans y parvenir encore.Ghislain Casas est agrégé et docteur en philosophie (EPHE-EHESS).Samir Boumediene est historien des savoirs et des arts.
durée : 00:02:53 - Un service dont ils se souviendront longtemps : les clients de la guinguette de Monflours évacués samedi soir à cause d'un incendie Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque samedi et dimanche de 9h30 à 12h00, les "Grandes Gueules du Sport" analysent et débattent de l'actu sport de la semaine. Jean-Christophe Drouet et Christophe Cessieux sont entourés de sportifs de renom : David Douillet, Marie Martinod, Pascal Dupraz, Sarah Pitkowski, Sophie Kamoun, Denis Charvet, Frederic Weis, Olivier Panis, Marc Madiot, Marion Bartoli, Cyrille Maret, Jérôme Pineau ou Renaud Longuèvre.
Samedi et dimanche de 6h à 9h, Anais Castagna n'a pas besoin de forcer la bonne humeur, chez elle c'est naturel ! Le week-end, venez décompresser et vous amuser avec toute l'équipe d'Anais Matin, sans manquer l'actu pour autant. C'est notre promesse, audacieuse. Vos envies, des découvertes, une balade en région, du sport, nos infos média, un jeu, des interviews et un journal complet toutes les 30 minutes.
durée : 00:12:25 - Le journal de 8h du week-end Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans le supplément de ce samedi, direction l'Inde pour suivre la Kumbh Mela, pèlerinage qui pourrait être le plus grand rassemblement religieux de l'humanité, entre démesure et défi organisationnel pour son plus fervent promoteur, Narendra Modi. Puis, en deuxième partie, nous allons au Brésil voguer avec les derniers transporteurs de marchandises en voiliers traditionnels, moyen de transport qui tend à disparaître... (Rediffusion) La Kumbh Mela, grand-messe mystique, grands jeux politiques C'est un festival attendu depuis 144 ans. Ce sont les astres qui définissent le calendrier. Nous sommes en Inde et, depuis le 13 janvier, la Maha Kumbh Mela se poursuit sur les berges du Gange. Pour les fidèles hindous, durant 45 jours, se baigner dans le fleuve sacré, c'est l'assurance de sortir du cycle maudit des réincarnations. Il s'agirait du plus grand rassemblement de l'humanité. En tout cas, si on en croit Narendra Modi qui, depuis 2014, se pose en grand promoteur de l'hindouisme. Le Premier ministre indien a voulu en faire le plus démesuré, mais également le plus propre et le plus technologique des pèlerinages. Il y a la foi… mais cette Kumbh Mela, c'est aussi une gigantesque vitrine idéologique. ► « La Kumbh Mela, grand-messe mystique, grands jeux politiques », un Grand Reportage de Côme Bastin. Brésil : le transport de marchandises en voilier traditionnel, à bout de souffle Ils sont les derniers survivants d'une époque révolue. Dans la baie de Salvador de Bahia au Brésil, les Saveiros voguent toujours. Mais ils sont les derniers voiliers traditionnels en bois, à acheminer des matériaux de construction vers des rives difficilement accessibles. Ils ne sont plus qu'une dizaine à convoyer pierres, graviers et sable, à la force du vent. Ils étaient plus d'une centaine, il y a environ 60 ans, approvisionnant Salvador, la capitale régionale en produits agricoles. Routes et ponts ont eu raison de ce trafic. Et, au désintérêt général, s'ajoute l'impossibilité pour les charpentiers de marine de trouver les arbres nécessaires à l'entretien des bateaux. ► « Brésil : le transport de marchandises en voilier traditionnel, à bout de souffle », un Grand Reportage de Quentin Bleuzen.
durée : 00:04:27 - franceinfo junior Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La capitale mexicaine manifeste contre le phénomène de gentrification qui provoque une flambée des loyers. Il devient difficile pour la population locale de se loger dignement, au profit des expatriés et des touristes, pour la plupart américains. Samedi 19 et dimanche 20 juillet, des manifestations ont réuni plusieurs milliers d'habitants en colère contre les privilèges économiques dont bénéficient les étrangers, plus aisés que les locaux. À Mexico, la colère gronde contre la gentrification qui sévit dans la ville. La maire de la capitale du Mexique, Clara Brugada, a présenté un plan pour lutter contre le phénomène. Elle promet d'encadrer l'augmentation annuelle des loyers, la création d'institution de contrôle et la création d'un indice de prix raisonnable. Des mesures encore floues et peu satisfaisantes, estiment de nombreux habitants de Mexico. D'autant qu'une loi pour réguler de la plateforme Airbnb est coincée dans les limbes parlementaires depuis des mois. La capitale mexicaine est une destination privilégiée du tourisme et des nomades digitaux, notamment des Américains qui s'établissent à court ou moyen terme dans la ville. Sauf que leur présence provoque une flambée des prix des biens de consommation et des loyers. Les salaires mexicains ne s'alignent pas, et il devient très compliqué pour les locaux de vivre dignement à Mexico. Dans le sud de la capitale, ils étaient des milliers à manifester ce weekend. La rancœur des habitants contre les privilèges économiques des étrangers est palpable. Même en vivant très excentrée à l'est de la ville, Ali voit peu à peu les prix augmenter autour d'elle, signe d'une gentrification qui gagne du terrain. « Pour venir à l'université tous les jours, je dois faire plus de deux heures de transports. Dans le marché où je vais, on parle anglais maintenant, alors qu'avant c'était un tout petit village », regrette la jeune étudiante en architecture. « Je me sens comme un extraterrestre là-bas, je me sens exclu » Avec son amie Emilia, qui ne parvient à s'offrir qu'un petit logement mal entretenu avec son job d'étudiant, elles se préparent à manifester. « Je comprends qu'aux États-Unis et beaucoup d'autres endroits dans le monde, la gentrification est déjà un fait. Mais ce serait bien que là-bas, ils se battent pour leurs droits plutôt que de venir et d'agir comme des colonisateurs ici », dénonce-t-elle. Dans certaines zones de la ville, les loyers ont doublé d'une année sur l'autre. Juan se dit en faveur de la migration et du tourisme, mais il est exaspéré de la transformation brutale du centre de la capitale. « On n'y parle même plus espagnol. Les gens ne ressemblent plus à des Mexicains. Je me sens comme un extraterrestre là-bas, je me sens exclu. Avec le salaire que je gagne – la moyenne nationale, environ 415 euros –, jamais je ne pourrai réunir suffisamment d'argent pour acheter un petit appartement de 60 m² qui coûte 3,5 millions de pesos (160 000 euros, ndlr). Je n'y arriverai jamais. Mes enfants n'auront pas de logement », désespère-t-il. Face à l'augmentation des inégalités liées au pouvoir d'achat plus élevé des étrangers, la tension monte du côté mexicain – notamment dans un contexte de crispations entre les États-Unis et le Mexique autour des questions migratoires. Tony ne vit déjà plus dans la capitale, mais dans l'État voisin. Sa famille a dû se déplacer à cause de sa vulnérabilité économique. « Si on met parfois l'accent sur les étrangers, c'est parce qu'ils ont souvent des emplois payés en dollar ou en euros. Cela leur revient moins cher de venir vivre ici. C'est pour cela qu'ils peuvent de se payer le luxe de louer des belles maisons, acheter des choses et d'avoir un style de vie qu'ils ne pourraient même pas avoir chez eux. Justement parce qu'ils ne travaillent pas et qu'ils ne veulent pas non plus adopter la culture d'ici. Donc, on ne peut pas comparer un immigrant et quelqu'un qui vient seulement tirer avantage d'être payé dans une autre monnaie », considère-t-il. Pour l'instant, la régulation est quasiment inexistante à Mexico. Tandis quelques propriétaires et promoteurs tirent parti de cette crise du logement, de nombreux habitants se retrouvent sans défense face aux lois du marché, inquiets de voir partir avec eux l'âme de la capitale. À lire aussiAfrique du Sud: le pittoresque quartier de Bo-Kaap menacé par le sur-tourisme et la gentrification
Chaque matin, pendant l'été, Julia du standard remplace Maurine et vous dévoile l'horoscope du jour, signe par signe. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:00 - Journal de 7 h
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Les laudes du samedi 26 juillet 2025. Podcastez l'enregistrement audio ICI Téléchargez le fichier son au format MP3 pour l'écouter en voiture ou dans les transports
durée : 00:10:11 - Le journal de 7h du week-end - par : Corinne AUDOUIN Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Le chapelet du samedi 26 juillet 2025. Podcastez l'enregistrement audio ICI Téléchargez le fichier son au format MP3 pour l'écouter en voiture ou dans les transports
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Le milieu du jour du samedi 26 juillet 2025. Podcastez l'enregistrement audio ICI Téléchargez le fichier son au format MP3 pour l'écouter en voiture ou dans les transports
Chaque samedi et dimanche de 9h30 à 12h00, les "Grandes Gueules du Sport" analysent et débattent de l'actu sport de la semaine. Jean-Christophe Drouet et Christophe Cessieux sont entourés de sportifs de renom : David Douillet, Marie Martinod, Pascal Dupraz, Sarah Pitkowski, Sophie Kamoun, Denis Charvet, Frederic Weis, Olivier Panis, Marc Madiot, Marion Bartoli, Cyrille Maret, Jérôme Pineau ou Renaud Longuèvre.
durée : 00:08:17 - Le journal de 6h30 Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:10:16 - Le journal de 7h30 du week-end - par : Laurence THOMAS Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:16:30 - Le journal de 13h du week-end Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:06:59 - Le journal de 6h Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:57 - Le journal de 8h, ici Gascogne Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 00:15:44 - Le journal de 19h du week-end - par : Fabien Fourel Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:40 - franceinfo sports Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:18 - Le journal de 8h Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 00:08:48 - Les infos de 09h00 Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 00:02:13 - Le journal de 10h00 de "ici La Rochelle" Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 00:05:02 - JOURNAL DE 12H00 Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Samedi 26 juillet 2025, commence le nouveau cycle de lectures « Ça va, ça va le monde ! ». Depuis plus de dix ans, RFI fait découvrir des textes et des auteurs ou autrices de théâtre vivant en Afrique, dans les Caraïbes ou au Proche-Orient et écrivant en français pour raconter un monde multilingue et pluriculturel. Chaque année, six textes sont lus en public au Festival d'Avignon, et enregistrés pour diffusion en direct et en vidéo sur Facebook ; puis sur les antennes de RFI le samedi à 17h05, à partir du 26 juillet 2025 jusqu'au 30 août 2025. Des textes engagés, toutes portes ouvertes sur le monde, sa désespérance ou ses conflits, que l'on soit à Beyrouth, Damas, Antananarivo ou Kinshasa. Mais toujours, pointe une note d'humour, une ironie, un éclat de langue qui font l'originalité et la force de ces écritures des Suds. Invité.e.s Hala Moughanie, autrice et dramaturge franco-libanaise née en 1980. Elle a vécu une quinzaine d'années à Paris avant de retourner à Beyrouth en 2003 où elle travaille comme enseignante et journaliste, dans le milieu de la culture et de l'humanitaire. Elle a été lauréate du Prix RFI Théâtre en 2015 pour son texte Tais-toi et creuse. Son dernier texte Le Ruban a été joué dans le cadre des lectures. C'est difficile de se dire qu'on va écrire alors que tout s'écroule autour de moi. [...] Il fallait pourtant exprimer cette rage, cette tristesse et questionner le rôle de l'art face aux bombes. Une pièce écrite au rythme des bombardements dont Beyrouth a été le théâtre, ces derniers mois, et qui raconte une réunion au sein du ministère de la Culture du Liban pour décider qui va couper le ruban lors d'une cérémonie officielle, juste après le cessez-le-feu... mais la guerre est-elle vraiment finie ? Comment continuer à vivre en pleine guerre ? Mon texte n'est pas là pour briser un silence, mais pour questionner le milieu de la culture et des arts, dans un monde qui permet un génocide. L'artiste a l'obligation de gueuler ! L'artiste n'a pas le droit de vivre coupé des réalités politiques et sociales. Or, en particulier en Occident, les artistes ont un avis sur tout, mais n'ont aucune idée de ce qui se passe ailleurs, ils ne sont pas informés ! C'est aussi un texte qui nomme les dizaines de milliers de morts à Gaza. L'autrice utilise le terme de génocide plusieurs fois dans son texte. Un mot qui fait débat aujourd'hui en Occident selon les dires de l'autrice. Wael Kadour, auteur syrien né en 1981. Il a quitté la Syrie en 2011 au début de la guerre civile pour la Jordanie avant de rejoindre la France en 2016. Il écrit en arabe. Je pense que j'écris en arabe pour garder le lien avec ma langue maternelle. Cela me permet de nommer au plus juste. Son texte Braveheart qui raconte les hallucinations d'une jeune femme écrivaine en exil qui imagine que son bourreau bénéficie, lui aussi, d'un exil politique, a été lu à Avignon. Il mêle le réel et l'imaginaire. Pendant ce contexte de guerre, souvent la violence est plus forte que l'imagination. Tout se mélange : réalité et fiction. L'artiste doit garder la capacité de raconter la réalité, qui est très complexe. Lectures d'Avignon du cycle « Ça va, ça va le monde ! » sur notre antenne tous les samedis à partir du 26 juillet 2025 jusqu'au 30 août 2025. - 26/07/2025 : Enfant, de Gad Bensalem (Madagascar), lauréat du Prix Théâtre RFI 2024. - 02/08/2025 : Silence, d'Israël Nzila (République Démocratique du Congo). - 09/08/2025 : Petit Guide illustré pour illustre grand guide, d'Edouard Elvis Bvouma (Cameroun). - 16/08/2025 : Chèvres, de Liwaa Yazii (Syrie). Traduit de l'arabe par Leyla-Claire Rabih et Jumana Al-Yasiri avec le soutien de la maison Antoine Vitez. - 23/08/2025 : Le Ruban, de Hala Moughanie (Liban). - 30/08/2025 : Braveheart, de Wael Kadour (Syrie). Traduit de l'arabe par Simon Dubois avec le soutien de la Maison Antoine Vitez.
Samedi 26 juillet 2025, commence le nouveau cycle de lectures « Ça va, ça va le monde ! ». Depuis plus de dix ans, RFI fait découvrir des textes et des auteurs ou autrices de théâtre vivant en Afrique, dans les Caraïbes ou au Proche-Orient et écrivant en français pour raconter un monde multilingue et pluriculturel. Chaque année, six textes sont lus en public au Festival d'Avignon, et enregistrés pour diffusion en direct et en vidéo sur Facebook ; puis sur les antennes de RFI le samedi à 17h05, à partir du 26 juillet 2025 jusqu'au 30 août 2025. Des textes engagés, toutes portes ouvertes sur le monde, sa désespérance ou ses conflits, que l'on soit à Beyrouth, Damas, Antananarivo ou Kinshasa. Mais toujours, pointe une note d'humour, une ironie, un éclat de langue qui font l'originalité et la force de ces écritures des Suds. Invité.e.s Hala Moughanie, autrice et dramaturge franco-libanaise née en 1980. Elle a vécu une quinzaine d'années à Paris avant de retourner à Beyrouth en 2003 où elle travaille comme enseignante et journaliste, dans le milieu de la culture et de l'humanitaire. Elle a été lauréate du Prix RFI Théâtre en 2015 pour son texte Tais-toi et creuse. Son dernier texte Le Ruban a été joué dans le cadre des lectures. C'est difficile de se dire qu'on va écrire alors que tout s'écroule autour de moi. [...] Il fallait pourtant exprimer cette rage, cette tristesse et questionner le rôle de l'art face aux bombes. Une pièce écrite au rythme des bombardements dont Beyrouth a été le théâtre, ces derniers mois, et qui raconte une réunion au sein du ministère de la Culture du Liban pour décider qui va couper le ruban lors d'une cérémonie officielle, juste après le cessez-le-feu... mais la guerre est-elle vraiment finie ? Comment continuer à vivre en pleine guerre ? Mon texte n'est pas là pour briser un silence, mais pour questionner le milieu de la culture et des arts, dans un monde qui permet un génocide. L'artiste a l'obligation de gueuler ! L'artiste n'a pas le droit de vivre coupé des réalités politiques et sociales. Or, en particulier en Occident, les artistes ont un avis sur tout, mais n'ont aucune idée de ce qui se passe ailleurs, ils ne sont pas informés ! C'est aussi un texte qui nomme les dizaines de milliers de morts à Gaza. L'autrice utilise le terme de génocide plusieurs fois dans son texte. Un mot qui fait débat aujourd'hui en Occident selon les dires de l'autrice. Wael Kadour, auteur syrien né en 1981. Il a quitté la Syrie en 2011 au début de la guerre civile pour la Jordanie avant de rejoindre la France en 2016. Il écrit en arabe. Je pense que j'écris en arabe pour garder le lien avec ma langue maternelle. Cela me permet de nommer au plus juste. Son texte Braveheart qui raconte les hallucinations d'une jeune femme écrivaine en exil qui imagine que son bourreau bénéficie, lui aussi, d'un exil politique, a été lu à Avignon. Il mêle le réel et l'imaginaire. Pendant ce contexte de guerre, souvent la violence est plus forte que l'imagination. Tout se mélange : réalité et fiction. L'artiste doit garder la capacité de raconter la réalité, qui est très complexe. Lectures d'Avignon du cycle « Ça va, ça va le monde ! » sur notre antenne tous les samedis à partir du 26 juillet 2025 jusqu'au 30 août 2025. - 26/07/2025 : Enfant, de Gad Bensalem (Madagascar), lauréat du Prix Théâtre RFI 2024. - 02/08/2025 : Silence, d'Israël Nzila (République Démocratique du Congo). - 09/08/2025 : Petit Guide illustré pour illustre grand guide, d'Edouard Elvis Bvouma (Cameroun). - 16/08/2025 : Chèvres, de Liwaa Yazii (Syrie). Traduit de l'arabe par Leyla-Claire Rabih et Jumana Al-Yasiri avec le soutien de la maison Antoine Vitez. - 23/08/2025 : Le Ruban, de Hala Moughanie (Liban). - 30/08/2025 : Braveheart, de Wael Kadour (Syrie). Traduit de l'arabe par Simon Dubois avec le soutien de la Maison Antoine Vitez.
C dans l'air du 22 juillet 2025 - Ultraviolence… Et maintenant Limoges, Nîmes, Béziers Fusillades sur fond de rivalités liées au trafic de stupéfiants à Nîmes, guet-apens tendus aux pompiers et aux forces de l'ordre à Béziers, violences urbaines à Limoges… Plusieurs villes moyennes sont traversées, en cette fin du mois de juillet, par une vague de violence. En première ligne, les élus locaux tentent de trouver des solutions pour protéger leur population, et de plus en plus d'entre eux décident d'instaurer des couvre-feux pour les mineurs.C'est le cas à Nîmes. Évoquant une succession de « fusillades, règlements de comptes (et) tensions entre bandes » sur fond de narcotrafic, un couvre-feu a été décidé par la mairie. Il a débuté ce lundi pour les moins de 16 ans, de 21 heures à 6 heures, pour une durée de quinze jours renouvelables, dans six quartiers de la cité, dont Pissevin, qui a été le théâtre d'une énième fusillade la semaine dernière. Il s'agit d'"une mesure préventive" destinée à protéger les jeunes de moins de 16 ans, "éviter qu'ils soient exposés aux violences en cours et contenir les tensions", a écrit la mairie dans un communiqué. Il y a deux ans, en août 2023, le petit Fayed, 10 ans, avait été tué par une balle perdue dans le quartier de Pissevin.À Saint-Ouen, le maire socialiste a également décidé, depuis le 17 juillet dernier, d'interdire la circulation des moins de 16 ans entre 23 h 30 et 6 heures du matin. Dans les Yvelines, le maire de Triel-sur-Seine a pris cette mesure début juillet, après "une recrudescence d'actes d'incivilité commis par des mineurs sur la commune", indique la ville sur son site Internet.À Béziers, un couvre-feu est en vigueur pour les moins de 13 ans depuis 2024. Il a été élargi cette année, avec un arrêté pris par la mairie en mars, interdisant la circulation des 13 à 15 ans dans trois quartiers prioritaires de la ville : le centre-ville, Iranget-Grangette et la Devèze. Et ce, pour une période allant du 22 avril au 30 septembre, mais aussi durant l'ensemble des vacances scolaires. Malgré cela, les violences se poursuivent. Samedi dernier, un guet-apens tendu aux pompiers et aux forces de l'ordre a dégénéré, faisant un blessé parmi les policiers et provoquant l'incendie d'un appartement touché par un mortier d'artifice.Mais quelle est l'efficacité de ces couvre-feux pour mineurs ? Pourquoi les villes moyennes sont-elles le théâtre de violences ? Comment lutter contre le narcotrafic qui gangrène de plus en plus ces territoires ? Avec la mutation du narcobanditisme, les règlements de comptes se multiplient un peu partout en France. Et les victimes collatérales également. Nos journalistes ont rencontré les proches d'un adolescent tué en 2023 à Marseille.LES EXPERTS : - Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur- Boris RAVIGNON - Maire DVD de Charleville-Mézières- Damien DELSENY - Rédacteur en chef adjoint en charge du service police-justice - Le Parisien- Béatrice BRUGÈRE - Magistrate, secrétaire générale du syndicat Unité Magistrats FO
durée : 00:12:31 - Le journal de 8h du week-end Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans le supplément de ce samedi, Grand reportage nous emmène en Chine qui est à la fois dépendante du charbon et qui se lance aussi le défi de la neutralité carbone avec les énergies renouvelables. En deuxième partie, direction l'Inde, au Kerala, où l'archipel Munroe Island est englouti par les eaux. (Rediffusion) Énergie verte et dépendance au charbon : le paradoxe chinois La Chine en plein paradoxe. La Chine reste extrêmement dépendante du charbon… et à la fois elle tente de relever par tous les moyens le défi des énergies renouvelables. Gros enjeux : cela lui permettrait de dominer le marché mondial du solaire ou de l'éolien. Deux fers au feu : puisqu'elle s'est engagée à atteindre un pic d'émissions de dioxyde de carbone d'ici la fin de la décennie et à les éliminer d'ici 2060. À l'heure de la Conférence internationale sur le Climat de Bakou, essentielle pour l'avenir, la Chine a adopté vendredi dernier (8 novembre 2024) une nouvelle loi sur l'énergie dans l'optique de «promouvoir la neutralité carbone». Notre envoyée spéciale permanente à Pékin nous emmène à la rencontre d'une Chine volontaire, face à ses vieux démons… Un Grand reportage de Clea Broadhurst, (avec la collaboration de Chi Xiangyuan) qui s'entretient avec Jacques Allix. Kerala : le «pays des dieux» englouti par les eaux En Inde, le Kerala est appelé le «pays de Dieu lui-même» pour ses sublimes paysages aquatiques tropicaux. Il est aussi en première ligne face au changement climatique. Symbole de cette menace : Munroe Island, un archipel intérieur inexorablement englouti par les eaux. Premiers réfugiés climatiques du Kerala, plusieurs milliers d'habitants ont déjà quitté l'île qui se noie, comme on la surnomme ici. Ceux qui restent, cernés par les eaux, vivent dans des conditions de plus en plus éprouvantes. Le destin de ce bout de paradis est un avertissement. Cochin, la plus grande ville du Kerala, est, elle aussi, menacée par l'océan. Pour s'adapter à cette nouvelle donne climatique, beaucoup reste à faire. Un Grand reportage de Côme Bastin qui s'entretient avec Jacques Allix.
durée : 00:04:23 - franceinfo junior Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 00:04:54 - Journal de 7 h
durée : 00:10:15 - Le journal de 7h du week-end - par : Corinne AUDOUIN Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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