La collection des archives audiovisuelles du département du Val-de-Marne, riche de plus de 15.000 documents, représente plusieurs milliers d’heures de films et de documents sonores provenant des services du conseil départemental, de l’État, des communes, mais aussi d’entreprises, d’associations ou d…
Conseil départemental du Val-de-Marne
« Monsieur le Président informe le Conseil, que malgré toutes les observations faites et les réclamations adressées à l’autorité supérieure, sous de fallacieux prétextes de réparations et de transformations devant assurer une fabrication de sulfate d’ammoniaque sans odeur, une autorisation provisoire valable jusqu’au 30 avril courant, a été donnée à la Compagnie Lesage pour son usine des Hautes-Bornes. Forte de cette autorisation, ladite usine a fonctionné, et sans tenir compte de ses promesses et des conditions qui lui étaient imposées, a rempli l’atmosphère d’une fumée âcre, nauséabonde, empestant tout le territoire. De nombreuses plaintes ont été adressées à la municipalité, qui de son côté, dès les premières émanations, a envoyé l’appariteur assermenté se rendre compte sur place de leur provenance, et a dressé le 5 avril courant un procès-verbal […]. Depuis, une première pétition signée de 143 habitants de la commune, a été adressée à M. le Maire, protestant énergiquement contre la réouverture de l’usine […]. Cette pétition, si le temps n’eut manqué, aurait été certainement couverte de signatures bien plus nombreuses, tant il est avéré de l’avis unanime de la population et des médecins de la localité, que les odeurs pestilentielles qui se dégagent de la fabrication à laquelle se livre cette usine, portent le plus grand préjudice à l’état sanitaire de la population. […] ».
« Cette gare est un ouvrage les plus utiles que l’on puisse établir pour la navigation ; car l’embouchure de l’Yères est le seul port de refuge que l’on rencontre sur la Seine, outre Melun et Choisy-Le-Roi, et depuis longtemps elle servait aux mariniers surpris par les crues et les débâcles ; Son entrée, jadis assez commode, est aujourd’hui rendue difficile par le pont du chemin de fer construit presque sur le bord de la Seine. Faire quelques travaux d’abordage ; régulariser et approfondir l’espace compris à l’embouchure de l’Yères, entre le pont de la route royale et celui du chemin de fer ; défendre les talus par des perrés et des gazonnements ; établir un bas port pour le chargement et le déchargement des marchandises, tel est l’ensemble des travaux proposés. »
« Que les capitaineries soient supprimées comme très nuisibles aux propriétés des citoyens et à l’agriculture, tant par la quantité de gibier qui dévore les récoltes, que par les gênes que les cultivateurs éprouvent les gardes et les défenses de faucher les prairies artificielles avant la Saint-Jean, quoique leur maturité ait précédé cette époque, et de nettoyer leurs grains des mauvaises herbes plus tard que la mi-mai, de sorte qu’il arrive souvent, surtout lorsque le printemps est sec, que ce n’est qu’après cette époque que ces mauvaises herbes deviennent nuisibles. Les capitaineries sont d’autant plus désastreuses pour cette paroisse, qu’il existe sur son territoire vingt-et-une remises formant environ 20 arpents dont la suppression serait très avantageuse dans tous les cas. »
« Au roi et à la nation assemblée en Etats Généraux, tenus le jeudi 16 avril 1789. (…) Arrêter de requérir que les capitaineries qui ne tiennent point aux maisons royales, et celles éloignées dans la capitale et des lieux habités par le monarque, soient supprimée, et que, dans celles qui resteront, les règlements en soient supprimés et ce qui peut gêner l’agriculteur ; que les capitaines ou seigneurs de toutes chasses soient garants et responsables des torts que pourra faire l’abondance du gibier. »
« Que les capitaineries et les abus des droits de chasse seront supprimés. La paroisse de Mandres ne peut trop insister sur cet article et il est nécessaire ici d’en expliquer les raisons : Mandres est un village situé presque au milieu d’une plaine très fertile en grains (…) mais depuis que Monsieur en a fait sa grande réserve de chasse, cette plaine ne peut porter aucun grain de toute espèce, de sorte que les laboureurs et les particuliers peuvent à peine recueillir leur semence ; le grand nombre de lièvres et de perdrix qui couvrent cette plaine ainsi que les vignes , en est la seule cause ; les grandes quantités de remises qu’on y a plantées pour y réfugier le gibier, et qui ne sont éloignées les unes des autres que d’environs 150 toises, y contribuent aussi pour les élèves de perdrix que l’on y fait tous les étés et qui sont cause que les gardes, qui ont soin de ces élèves , sont obligés de traverser sept à huit fois par jour pour aller d’une remise à l’autre ce qui fait un dégât très considérable dans les grains ; de plus l’on voit journellement et en tout temps de l’année les inspecteurs de gardes à cheval traverser les grains, ce qui cause, surtout dans les temps humides, des pas des chevaux qui s’y enfoncent souvent jusqu’aux jambes et font des trous qui ne se bouchent pas de l’année ; on ne se contente pas d’y laisser subsister les lièvres qui y naissent, mais l’on a soin d’en apporter d’autres que l’on prend d’autres plaines, et même encore, la semaine dernière, il en a été déchargé deux voitures, de sorte qu’il est impossible de voir aucune pièce de blé qui ne soit couverte d’un nombre infini de ces animaux ; d’ailleurs, depuis deux ans que l’on a pas chassé dans cette plaine, ce qui fait que tout contribue à la ruine des fermiers et des habitants, qui vont se trouver hors d’état de contribuer aux impositions et même de nourrir leur famille, s’ils ne sont bientôt délivrés de ces deux espèces de gibier. D’après ce triste, mais non exagéré tableau, les habitants de Mandres ont cru devoir charger leurs députés d’insister fortement à l’assemblée pour obtenir non seulement la destruction totale du gibier, mais aussi celle des remises qui leur servent de retraites ; nous devons encore ajouter que tous ces malheurs nous affligent depuis 1781. »
« Il faut mettre sous les yeux de Sa Majesté la chose la plus importante, qui est le dégât du gibier dans notre plaine qui se trouve ravagée tant pas les lapins que lièvre et perdrix ; et après avoir perdu son bien, l’on n’a pas le droit de se plaindre. Le prince juste et bienfaisant est dépersuadé par les gens qui l’environnent, et le malheureux cultivateur ainsi que le particulier ne peuvent approcher ce bon prince qui sûrement ne leur refuserait pas la justice qu’ils réclameraient auprès de lui. L’inspecteur des chasses rit au nez du malheureux plaignant, qui préfère perdre son bien plutôt que de se mettre en justice avec ce prince dont il est sûr de succomber. Le défaut de fortune le met hors d’état de suivre. Il perd son bien et passe pour un homme qui réclame ce qui ne lui appartient pas. L’on ne craint pas d’avancer cette vérité à Sa Majesté, qu’il soit rendu la justice au dernier de ses sujets, comme il la rendrait aux Messieurs gentilshommes de sa cour. Ils font plus ; ils mettent ces plaines aussi garnies de gibier comme pourrait l’être la basse-cour d’un fort cultivateur, et pour détruire en partie ce même gibier et remplir leurs amusements, ils ne cherchent pas le temps où les grains soient finis d’être coupés et rentrés ; ils traversent à travers les grains ou javelles qui ne sont pas encore levés, eux, tout leur monde ainsi que les chevaux qui les accompagnent à cette même chasse. Il serait à propos que Sa Majesté permît à tout cultivateur et particulier de détruire tout le gibier qui se trouverait sur son terrain de telle manière qu’il lui plairait, ou que Sa Majesté rendît un édit : que les princes et seigneurs particuliers à qui appartiendrait le droit de chasser, soient condamnés, sur le rapport de deux experts pour toute décision, ce qui éviterait tous frais, et le cultivateur ensemencerait sans craindre la perte occasionnée par le gibier. Et Sa Majesté mettrait les malheureux cultivateurs et habitants à l’abri de toute tracasserie de la part de leur seigneur, qui se trouverait forcé de se renfermer dans l’édit et volonté de Sa Majesté. »
Les capitaineries - extrait des cahiers de doléances de la paroisse de la Gentilly (1789) by Conseil départemental du Val-de-Marne
« Qu’il ne soit permis à aucun seigneur de chasser qu’aux termes des ordonnances, c’est-à-dire depuis le 15 mars jusqu’après la récolte. Que cette multitude remises qui servent de repaires aux bêtes puantes, aux lapins et autres bêtes qui ruinent les possessions qui les avoisinent et qui diminuent au moins un quart du revenu du territoire soient absolument supprimée. C’est une chose bien criante que de voir les seigneurs et leurs gardes-chasse en tous temps dans les grains, les parcourir avec leurs chiens tant pour chasser que pour découvrir les nids dont ils prétendent les cultivateurs responsables en les mettant sous leur garde. (…) Les cerfs, les biches, etc… détruisent les campagnes par un malheur qu’on ne doit attribuer qu’à la division que les princes font de leur temps et des saisons pour leurs plaisirs ; cette chasse ne se fait, dans la Brie, que dans le temps où elles posent le plus de ravages aux moissons ; elle ouvre, pour l’ordinaire, vers le 15 avril où la tige des grains commence à monter, et finit vers la fin d’aout, époque où la moisson est sur sa fin ; aussi cette chasse entraine la destruction des récoltes ; ces cerfs étant chassés parcourent souvent huit à dix lieues de terrain en traversant les champs ; les hommes, les chevaux, les chiens les suivent, souvent même jusqu’aux voitures, sans que, pour le dégât de ses moissons, le cultivateur puissent employer d’autres vies que celle des gémissements et des larmes ; il dit seulement : c’est la chasse du prince qui me ruine, mais encore faut-il que je me taise. Tout le terrain employé en remises est non seulement un terrain perdu, un larcin fait à l’agriculteur ; mais comme elles sont encore un repaire pour les animaux destructeurs, comme le lapin, le blaireau, le lièvre et mulots, taupes, rats, pies, geais, celui qui les avoisine, et au milieu duquel elles sont établies, ne produit ordinairement que très peu de chose, et contribue par là à la rareté et à la disette des grains. »
« Que la suppression entière de toutes les capitaineries, ainsi que monseigneur le duc d’Orléans, prince juste et équitable, vient d’en donner l’exemple pour les pouvoirs qu’il a données à ses représentants généraux, ait lieu dans tous les baillages. Art. 12 Que tout propriétaire soit libre d’aller et venir dans son champ, de quelque manière que ce soit et quand bon lui semblera, sans être astreint à aucune soumission pour faire ses récoltes. Art. 13 Que tout particulier soit libre de détruire toute espèce de gibier, daims, biches, cerfs et autres étant sur ses terres, par toutes sortes de moyens, excepté celui du fusil, même de détruire les terriers de lapins, soit dans les bois et partout ailleurs. »
« La rivière de Marne la cernant dans tout son pourtour, elle devient malheureusement très-sujette aux inondations occasionnées par ses débordements, et qui déracinent tous les grains en partie ensemencés à l’entour de son voisinage, et transportent de la vase et du sable par places de deux pieds de hauteur, ce qui rend le sol encore plus mauvais et désagréable pour le cultivateur. »
« Les susdits députés demanderont une diminution sur la taille, portées à un taux excessif dans la paroisse ; ils se fonderont sur ces trois motifs : Le deuxième étant : sur ce que la plaine basse, portion la plus précieuse du territoire, ainsi qu’une partie du village est sujette aux inondations qui périssent les grains, altèrent les terres, les chargent en graviers et détruisent les engrais. »
« Que le sol de ce territoire est sablonneux et si peu fertile que, dans les années sèches, les cultivateurs récoltent à peine leur semence, et que dans la plus grande partie des meilleures terres, sujettes aux inondations par les débordements des rivières de Seine et Marne, dont les cours et la jonction circonscrivent son territoire et qui déposent beaucoup de sable, de graviers et d’autres ordures nuisibles qui obligent les cultivateurs à de nouveaux frais de labour et de semence, lors toutefois que la saison le permet. »
« Les habitants demandent aussi que l’entretien des berges, le long de la rivière, soit fait avec plus d’exactitude qu’il n’a été jusqu’à ce jour. Lesdites berges se trouvent dégradées par la navigation et les grandes eaux : ce qui cause un tort notable auxdits habitants »
« Les deux inondations de 1836, qui arrivèrent, l’une au mois de mai, l’autre au mois de décembre, furent excessivement désastreuses, et le souvenir en est demeuré vivace parmi les populations des contrées du bassin supérieur de la Seine. (…) Les environs de Paris souffrirent particulièrement. « Les eaux de la Seine, dit une note officielle, s’étant répandues sur la route qui conduit de la barrière de la Gare au pont d’Ivry, le Préfet de Police a donné des ordres pour que la circulation sur ce point fût interrompue. » Le commerce de Bercy de la gare d’Ivry éprouva des dommages importants. Les journaux du temps, à la date du 13 décembre, parlent ainsi de l’inondation au-dessus de Paris : « (…) c’est au port de Bercy que ce spectacle est plus effrayant. L’eau est non seulement sur le port, sur la chaussée où l’on passe en bateau, mais elle monte dans les rez-de-chaussée de 6 à 7 pieds. 50.000 pièces de vin de liquides sont maintenant dans l’eau. Charenton, Alfort, Saint-Maur, Villeneuve-Saint-Georges, Corbeil, Ris, Vitry sont inondés. L’immense bassin circonscrit par tous ces pays est couvert d’eau dans une longueur d’environ 4 lieues ».
« Ce pays, mes chers concitoyens, voilà bientôt vingt-sept ans que j'en suis l'évolution progressive. Lorsque j'y vins, après la guerre, la Seine et la Marne coulaient entre des rives verdoyantes, capricieusement rongées par les eaux, sur lesquelles toute une population joyeuse venait s'ébattre le dimanche. Des passeurs transbordaient dans leurs barques vertes, pavoisées d'un minuscule drapeau tricolore, les flâneurs paresseux qu'effrayait le grand tour par les ponts, notamment par celui d'Ivry, dont le péage n'était pas encore racheté. À défaut de passagers, ils accompagnaient en Seine les baigneurs en pleine eau. On canotait aux Carrières, à Alfortville, à Saint-Maurice, à Alfort. De petits omnibus à un cheval faisaient, sans se presser, le service des barrières, couverts de promeneurs aux heures d'arrivée ou du retour. Tant pis pour ceux qui manquaient le coche ! Mais la route à pied ne rebutait pas ; on en prenait gaiement son parti, bras dessus, bras dessous, les mioches sur les épaules, en chantant. Que de fois je l'ai fait en courant, ce chemin des Carrières, dans la nuit, derrière l'omnibus bondé, pour arriver à l'heure à l'École d'Alfort, dont la discipline ignorait les cas de force majeure. Ah! les temps sont changés. Bercy a construit son quai superbe ; le quartier des Magasins généraux s'est remblayé, nivelé, bâti avec un perré, il a rectifié sa rive aux Carrières, un premier perré a refoulé le fleuve, en a refréné les empiétements ; puis c'est le pont de Conflans, le quai droit que nous venons d'inaugurer, le port du Canal, le quai de Saint-Maurice, les perrés d'Alfort, de la Bosse de Marne, la passerelle d’Alfortville… Aujourd'hui, le contraste est frappant. Des maisons, des magasins, des chais, des usines, des chantiers couvrent les prairies, les champs d'autrefois. Des remorqueurs sillonnent le fleuve des péniches s'amarrent à nos quais, où des grues à vapeur les déchargent et les rechargent. Sur Ivry, partout s'élèvent des cheminées qui vomissent leurs fumées noires, empestées, dans l'air que nous respirons. Des tramways sillonnent nos routes, et bientôt la lumière électrique nous éclairera. Adieu, passeurs, flâneurs, canots. Seuls, les pêcheurs à la ligne nous restent fidèles. La fournaise parisienne nous envahit elle consomme chaque jour nos verdures, nos ombrages, nos fleurs nous vivons de ses produits, de son industrie, mais nous mourons plus vite aussi de sa chaleur. Tout cela, ce n'est plus la vie paisible, modeste d'antan ; c'est le mouvement, le bruit, l'entassement, la poussée humaine, avec ses joies, ses richesses, mais aussi ses misères et ses ruines ; c'est la vie à la vapeur qu'engendre la suractivité industrielle et commerciale des grandes cités. Ces transformations nécessaires, qui se succèdent, adaptent peu à peu autour de nous les choses à nos besoins nouveaux elles résultent des efforts individuels, des sacrifices persévérants de la collectivité, au rebours des changements de la nature qui subissent la loi aveugle, inexorable, des fatalités ambiantes. C'est là ce que la civilisation appelle le progrès, puisque l'homme y trouve plus de bien-être, plus de ressources, des moyens plus efficaces d'accomplir son devoir de solidarité à l'égard des déshérités ou des faibles. En terminant, laissez-moi, mes chers concitoyens, souhaiter à Charenton et à ses sœurs, les communes voisines, cette prospérité continue pour tous, puisque aussi bien elle rendra la vie moins lourde, moins amère, moins triste à ceux qui peinent et qui souffrent. N'y sont-ils pas entrés par la même porte, avec les mêmes besoins, avec les mêmes espérances ? »
« Je m’adresse à mes concitoyens de Choisy-le-Roi, de Thais, d’Orly, d’Ablon, de Villeneuve-le-Roi et de Villeneuve-Saint-Georges. J’appelle leur attention sur un nouveau danger dont nous sommes menacés. On sait que la Compagnie Française de Linoleum a demandé l’an dernier l’autorisation de fabriquer ses produits en cuisant ses huiles sur place et à feu nu. Cette demande a été rejetée par arrêté du Préfet de Police en date du 2 septembre 1882. […] La Compagnie s’est engagée plus que ne le permettrait la prudence la plus élémentaire. Elle veut utiliser à tout prix les bâtiments qu’elle a construits à grands frais. Ah ! si c’était à refaire ! Elle y regarderait à deux fois. Mais enfin la situation est telle, et elle cherche à en tirer le meilleur parti. Aussi a-t-elle introduit une nouvelle demande tendant à obtenir l’autorisation de fabriquer, mais cette fois, sans cuire les huiles sur place. Devons-nous habitants de ce pays, pour ménager les intérêts des capitalistes qui se sont aventurés, devons-nous accepter froidement qu’on empeste la belle plaine qui s’étend sur les rives de la Seine et qui est sise sur les territoire des communes de Villeneuve-Saint-Georges, Ablon, Villeneuve-le-Roi, Orly, Thiais et Choisy-le-Roi ? Je ne le crois pas. […] Je me suis fait présenter l’huile de lin cuite depuis six semaines ; elle sentait horriblement mauvais. Et qu’on le sache bien, cette mauvaise odeur provient d’un principe particulier très volatil et très inflammable, dont les vapeurs prennent aux yeux et à la gorge. Voilà donc un établissement qui répandra des vapeurs malfaisantes et qui, de plus, sera voué à des chances continuelles d’explosion ou d’incendie ; sans compter que la santé des ouvriers sera compromise par un état des choses si déplorable. »
« Ma plus grande ambition, en écrivant ces pages sur la banlieue parisienne, est de décider mon lecteur à s'y promener. Afin de lui faciliter sa tâche et de le guider dans l'imbroglio d'Ivry, je me permets de lui indiquer un itinéraire. Qu'il sorte de Paris par la rive droite – je dis bien rive droite – et qu'il suive le quai de Bercy : avec le recul du fleuve, il aura une vue d'ensemble sur le quartier industriel qui s'est établi entre le chemin de fer de Paris à Orléans et la Seine. Qu'après avoir franchi celle-ci sur le pont de Conflans, il erre dans ce quartier : il y reconnaîtra un semblant d'ordonnance qui indique chez les industriels une plus grande préoccupation du plan pour leurs affaires que pour l'habitation de leurs ouvriers. S'ils avaient transposé sur le plan humain l'ingéniosité et le modernisme dont ils ont fait preuve avec l'installation de leurs machines, la banlieue ne serait certes pas ce qu'elle est. »
« Monsieur le Préfet de la Seine, Nous propriétaires et locataires avoisinants la décharge publique de monsieur Mottais, située rue Benoist Malon, sente des chasses et rue de Gentilly à Arcueil « limite de Gentilly » avons l’honneur d’attirer votre attention sur les inconvénients qui résultent de ladite décharge au point de vue propreté et hygiène publique. D’après le dernier orage les terres remblayées se trouvant, vue la déclivité de la sente des chasses, à 10 mètres environ au-dessus du niveau de la rue de Gentilly, des éboulements se sont produits rendant la circulation des piétons difficiles. Nous tenons à vous signaler, Monsieur le Préfet, que pour éviter dans l’avenir, des accidents sérieux, cette dernière doit être close et par la même occasion, nous tenons à vous signaler le mauvais état des rues au point de vue salubrité. »
« Montrouge et Malakoff, communes importantes – demain ce sera Paris – veulent assurer l’hygiène à leurs habitants et font placer les ordures ménagères dans des boîtes hermétiques ; mais elles viennent à Arcueil, à la gare des marchandises, sur des wagons séjournant des journées entières, déverser en plein vent tous les miasmes et les microbes gênant : Arcueil devient le dépotoir des environs ! Malgré la pétition, malgré l’intervention du Maire, malgré la protestation de tous les médecins du pays, l’Administration supérieure, la Police, tous font preuve de l’indifférence la plus coupable ; le déversement continue de plus belle et les mouches infectieuses envahissent les habitations et les cités ouvrières pour familles nombreuses proches de la gare, elles gagnent chaque jour du terrain. »
« Il y a, en banlieue, une question des gadoues. Souvent posée, jamais résolue, elle restera comme un point d'interrogation, inquiétant pour la salubrité de toute la périphérie suburbaine, tant qu'une solution ne sera pas intervenue, susceptible de satisfaire aux exigences impérieuses de l'hygiène publique. Cette solution, on aura beau la reculer, en raison des grosses difficultés inhérentes d'exécution, il faudra bien, un jour ou l'autre, qu'on la trouve. La région menacée, je l'ai dit, c'est toute la banlieue de Paris ; c'est un ensemble de près d'un million d'habitants sur lesquels plane la probabilité, qui plus est, l'imminence d'une épidémie formidable, dont la plus futile circonstance matérielle peut déterminer l'explosion. Ce jour-là, on recherchera avec passion les responsabilités. Chinoiserie sans intérêt : il serait plus sage de prévenir. Paris, cet organisme colossal, laisse derrière lui, de par son fonctionnement, à l'instar de tous les organismes, beaucoup de déchets. Ce sont, entre autres, les ordures ménagères. Que deviennent-elles ? Le service spécial s'en débarrasse comme il peut. Un des moyens les plus employés, c'est de payer tant par collier à des entrepreneurs ad hoc, afin que ces ordures soient enlevées quotidiennement. Pour être déversées où ? De cela, Paris se désintéresse. Il ne demande qu'une chose : c'est qu'on le débarrasse de ses déchets. Que si ce qui le débarrasse en embarrasse d'autres, peut lui chaut. A ces « autres » de se débrouiller. C'est précisément de cet « embarras » des autres que je veux parler. Les entrepreneurs en question mobilisent des tombereaux par douzaines, qui, nuitamment, quittent Paris et, rayonnant sur toutes les routes, par files interminables de voitures surchargées de gadoues, semant sur tout leur parcours les odeurs nauséabondes et les papiers maculés, s'en vont se déverser dans les champs de la banlieue, agglomérant çà et là des las qui, peu à peu, deviennent énormes et constituent pour les environs de Paris de véritables foyers d'infection. »
Témoignage sur les refuges après l'inondation de 1910 by Conseil départemental du Val-de-Marne
« Nous demandons que la destruction du gibier soit faite et que les capitaineries soient abolies, ce qui fera le bien de la patrie, attendue les manques de récoltes causés par les lièvres, perdrix, lapins etc… qui depuis longtemps sont en partie cause de la cherté du grain et du fourrage ; ce qui nous met hors d’état de pouvoir satisfaire aux deniers royaux desquels nous sommes chargés sans aucun égard à notre malheur. Nous demandons que les remises, buissons verts et secs soient détruits et arrachés, c’est-à-dire dans la plaine, ce qui cause un grand délit, tant par les oiseaux que par les bêtes fauves qui y font leur résidence dans les temps de la moisson, ce qui cause un grand dégât. »
« (…) pendant le XIXe siècle, après 1807 et jusqu’en 1910, on n’eut à enregistrer que les crues de forces moyennes (…) dont la plus importante, celle de 1836, fut inférieure de 1 m 28 à celle de 1910 au pont de la Tournelle. Ces quelques remarques démontrent cependant combien il est nécessaire d’achever les travaux commencés et de réaliser enfin la série des grands travaux. Ces mesures s’imposent, d’autant plus que, depuis 1880, de nombreux immeubles ont été construits, à tort ou à raison, immédiatement en bordure de la Seine et la Marne, dans la zone inondable, et la plupart du temps pour la jouissance personnelle des riverains intéressés, sans que les pouvoirs publics, qui devaient par la suite payer de fortes indemnités, se préoccupassent des inconvénients qu’il y avait à accorder les autorisations de construire dans de telles conditions. (…) Certes, les travaux déjà exécutés, ceux qui sont en cours et ceux dont nous parlerons ci-après, ont apporté ou apporteront encore une notable amélioration dans la protection de Paris et de sa banlieue contre les inondations. Mais, sera-t-on sûr d’avoir pris toutes les précautions ? Nul ne peut l’affirmer. En effet, si les crues se suivent, leur arrangement (…) ne se ressemblent pas. Et, telle mesure qui peut paraître propice pour la préservation, risque, dans d’autres cas, de devenir gênante. Nul n’est maître des phénomènes atmosphériques. Quoi qu’il en soit, les mesures envisagées appellent une remarque qui a son importance, car, si l’on a jusqu’en 1924 réalisé de nombreux travaux pour préserver Paris, la banlieue a elle été, à part quelques mesures de second ordre, presque complètement délaissée. »
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Mémoire de confinement : retour sur la collecte Garder trace en Val-de-Marne de cette période unique qu'a été le confinement imposé par la crise sanitaire liée au Covid-19, tel a été l'objectif de l'opération que nous avons lancée en avril 2020. Photos, textes, enregistrements sonores, vidéos ou encore notes blog, au total ce sont près de 200 documents qui ont été collectés auprès de plus d’une centaine de contributeurs, particuliers ou enseignants. Chacun de ces témoignages est unique et révèle, aux travers d'expériences individuelles ou collectives, une histoire singulière à bien des égards. Nous vous invitions ici à découvrir les enregistrements sonores reçus dans le cadre de cette collecte. Pour en savoir plus : http://archives.valdemarne.fr/r/328/retour-sur-la-collecte-/
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Mémoire de confinement : retour sur la collecte Garder trace en Val-de-Marne de cette période unique qu'a été le confinement imposé par la crise sanitaire liée au Covid-19, tel a été l'objectif de l'opération que nous avons lancée en avril 2020. Photos, textes, enregistrements sonores, vidéos ou encore notes blog, au total ce sont près de 200 documents qui ont été collectés auprès de plus d’une centaine de contributeurs, particuliers ou enseignants. Chacun de ces témoignages est unique et révèle, aux travers d'expériences individuelles ou collectives, une histoire singulière à bien des égards. Nous vous invitions ici à découvrir les enregistrements sonores reçus dans le cadre de cette collecte. Pour en savoir plus : http://archives.valdemarne.fr/r/328/retour-sur-la-collecte-/
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