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La Fréquence prend quelques vacances et du repos cet été mais on ne vous laisse pas sans rien ! ⛱️On vous partage quelques aftershows : ces contenus bonus pour les abonnés Patreon qu'on enregistre avec nos invités à chaque fin d'émission.Un grand merci au passage à toutes celles et ceux qui nous soutiennent depuis cette plateforme - à retrouver ici : https://www.patreon.com/frequence934Invitée de cet aftershow : Caro from Woodland, illustratrice, autrice & créatrice cosy. Cet aftershow a été originellement publié le 18 novembre 2023 sur Patreon.Pour prolonger l'aventure Harry Potter avec nous :Facebook : https://www.facebook.com/frequence934Twitter : https://twitter.com/frequence934Instagram : https://www.instagram.com/frequence934Discord : https://discord.com/invite/ps7FgM2bfGTwitch : https://www.twitch.tv/stream9troisquartsNotre volière : frequence934@gmail.comou à : Fréquence 9 3/4, Espace Conquérant, 3 Place Jean Nouzille 14000 Caen FRANCESoutenez-nous également sur Tipeee : https://fr.tipeee.com/frequence934Thème musical :Moonlight Hall, de Kevin MacLeod (Licence CC BY 3.0)Jérémy & Marina ⚡Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est l'une des plus grandes angoisses des jeunes parents pendant l'été : la noyade. Selon les chiffres de l'enquête NOYADES réalisée par Santé Publique France en 2021, 1 480 noyades accidentelles ont été recensées, un chiffre en baisse de 10% par rapport à celui de l'été 2018, l'année record du nombre de noyades sur le territoire. D'après le Ministère de la Jeunesse et des Sports, il s'agit de la première cause de mortalité par accident de la vie courante. En moyenne, 4 personnes perdent la vie chaque jour pour cause de noyade. Peut-on lier repas et baignade ? Quel est le premier facteur de noyade en France ? Comment protéger les enfants de la noyade ? Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Samuel Lumbroso. Première date de diffusion : 23/07/2023 À écouter aussi : Qu'est que le Plan Madagascar du IIIe Reich ? Réduire son empreinte carbone : quels sont les gestes qui comptent vraiment ? Faut-il couper l'électricité pendant un orage ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Hommage à Ozzy Osbourne et Black Sabbath. Le « Prince des Ténèbres » nous a quittés le 22 juillet 2025, il avait 76 ans, John Michael « Ozzy » Osbourne était cofondateur avec Geezer Butler (basse), Tommy Iommi (guitares) et Bill Ward (batterie), de BLACK SABBATH. Il y a officié pendant 10 ans, avant d’être éjecté pour divergences musicales […] L'article Maggot Brain – Express Electric Funeral est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Clin d’oeil aux Mexicaines de LABEI RITUAL, on démarre avec elles et le groupe BRAT. Puis on remonte le temps avec Incantation et Hellhammer. Au fait « Dying Divinity » provient de l’album « Decimate Christendom » de 2004 (Incantation), 20 ans déjà… Une doublette Osmose productions avec GORGON et MERCYLESS, et on reste dans le guilleret, printanier, avec […] L'article LJDH – Express Storm In The Darkness est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Quand tu prends le temps de regarder ce qui n'est pas visible, c'est à ce moment-là que la terre tourne plus vite que l'ombrage des nuages. Le noir est une couleur des plus claires, je ferme les yeux et je vis.
Avec : Marie Barsacq, ministre des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative. - L'invité de l'actu, tous les jours au micro de Sébastien Krebs dans Apolline Matin sur RMC.
On continue à rendre hommage à Ozzy Osbourne, « Prince of Darkness ». On démarre avec la reprise par Busta Rhymes du titre « Iron Man » (compilation « Nativity In Black », hommage à Black Sabbath sortie en 1994), puis un peu de King Diamond et Mercyful Fate. Suivent Sacred Reich qui reprend « War Pigs », une interview d’Ozzy en 1982, […] L'article Maggot Brain – Electric Funeral Part. 2 est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
La Fréquence prend quelques vacances et du repos cet été mais on ne vous laisse pas sans rien ! ⛱️On vous partage quelques aftershows : ces contenus bonus pour les abonnés Patreon qu'on enregistre avec nos invités à chaque fin d'émission.Un grand merci au passage à toutes celles et ceux qui nous soutiennent depuis cette plateforme - à retrouver ici : https://www.patreon.com/frequence934Invité de cet aftershow : notre ami Wilfried. Cet aftershow a été originellement publié le 6 octobre 2024 sur Patreon.Pour prolonger l'aventure Harry Potter avec nous :Facebook : https://www.facebook.com/frequence934Twitter : https://twitter.com/frequence934Instagram : https://www.instagram.com/frequence934Discord : https://discord.com/invite/ps7FgM2bfGTwitch : https://www.twitch.tv/stream9troisquartsNotre volière : frequence934@gmail.comou à : Fréquence 9 3/4, Espace Conquérant, 3 Place Jean Nouzille 14000 Caen FRANCESoutenez-nous également sur Tipeee : https://fr.tipeee.com/frequence934Thème musical :Moonlight Hall, de Kevin MacLeod (Licence CC BY 3.0)Jérémy & Marina ⚡Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Grand reportage week-end de ce samedi est consacré au départ pour une reconstruction. En première partie, direction l'Italie, avec la mafia calabraise dont les activités criminelles sont souvent familiales. Comment des enfants de mafieux font-ils pour briser la chaîne du crime ? En seconde partie, direction la Corée du Sud, où des jeunes Nord-Coréens ont fait le choix de tout quitter pour se construire un avenir côté Sud. (Rediffusion) En Italie, grandir loin de la mafia En Italie, la mafia calabraise - la N'Drangheta - est considérée comme l'organisation criminelle la plus redoutable et la plus puissante. Ce sont les liens du sang qui constituent les clans. Les activités criminelles se transmettent de père en fils. Pour briser la chaîne du crime, le juge italien Roberto Di Bella a imaginé le programme « Liberi di scegliere ». En italien, cela veut dire : Libres de choisir : entre un destin criminel ou une nouvelle vie. Pour cela, les enfants de mafieux sont exfiltrés et envoyés loin de la Calabre, loin de leur famille et de la mafia. Comment reconstruire sa vie loin des siens ? Comment proposer une alternative aux enfants qui se sont construits avec les règles de la criminalité organisée ? Un Grand reportage de Cécile Debarge qui s'entretient avec Sébastien Farcis. Les Nord-Coréens de la génération Z connaissent les codes Ils ont grandi dans l'un des régimes les plus autoritaires du monde, avant de réussir à s'enfuir. Des milliers de jeunes Nord-Coréens ont traversé la frontière ces dernières années avec leurs parents, et refont leur vie chez leur voisin du Sud. Du jour au lendemain, ils doivent s'adapter à un monde capitaliste et compétitif, très éloigné de leur société d'origine. Difficile, mais pas impossible. Les jeunes Nord-Coréens ont plein de ressources. Et s'en sortent mieux que leurs parents. Un Grand reportage de Célio Fioretti qui s'entretient avec Sébastien Farcis.
Le pays le plus peuplé du monde, où près de 700 millions d'Indiens ont d'ailleurs moins de 25 ans. Nous sommes à Bangalore, la capitale technologique de l'Inde qui attire des jeunes talents de tout le pays comme Brian Britto, 25 ans. De notre correspondant à Bangalore, Brian est arrivé il y a deux mois, et il a commencé son travail il y a deux semaines. Un job dans la robotique. Un secteur crucial pour l'Inde, juge le jeune homme : « J'ai toujours été bon en bricolage, alors j'ai passé un diplôme d'ingénieur mécanicien. Nous sommes dans l'ère de l'intelligence artificielle et il faut s'adapter ! Bangalore vit des services, mais ces emplois risquent d'être remplacés. Pour que l'Inde reste dans la course, il faut miser sur l'industrie en utilisant la robotique. » Sur le sujet, Brian est inarrêtable. C'est pour suivre sa passion et trouver un emploi qu'il a quitté sa ville natale, à 350 kilomètres de là. « Je viens de Mangalore, avec un M ! C'est dans cette ville côtière que j'ai grandi, passionné de surf et de natation. L'endroit est relax, les gens doux, la cuisine délicieuse. Mais c'est une petite ville : y faire carrière est presque impossible. Alors, j'ai quitté Mangalore pour Bangalore. » À lire aussiBangalore, moteur de la révolution de l'IA en Inde L'ambition d'un rêve professionnel hors d'Inde L'entreprise de Brian forme des étudiants à la robotique. Depuis ses bureaux, on aperçoit le métro aérien qui surplombe les embouteillages légendaires de cette ville de 14 millions d'habitants. « On est à Rajajinagar, dans le vieux Bangalore. C'est un quartier qui déborde d'activités et de constructions. Venir au travail, c'est un défi quotidien avec cette circulation ! C'est pour ça que j'ai pris un studio à deux ou trois kilomètres d'ici. À Bangalore, il faut absolument vivre près de son boulot ! » Brian travaille dur, comme beaucoup de jeunes décidés à percer dans cette cité pleine d'opportunités, mais aussi de compétition : « Ma génération est ambitieuse, elle vise haut. C'est dur, mais si l'on se donne à 100 %, on peut réussir. C'est une époque de mutations : on tente de comprendre un monde instable, de se définir face aux traditions de nos parents comme le mariage. Moi, pour l'instant, je suis marié à mon travail ! » L'avenir, Brian le voit hors d'Inde, un pays qui fait face à la fuite de ses cerveaux : « J'ai envie de travailler ailleurs. Ma sœur est en Norvège et elle attend que je la rejoigne ! Avec mes compétences, je pourrais y entrer dans la construction navale ou l'industrie pétrolière. En tout cas, je veux explorer le monde, et peut-être revenir en Inde riche de ces expériences. »
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 4. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. Depuis une dizaine d'années, l'Amérique latine est confrontée à une crise migratoire. Selon les Nations-unies, 43 millions de Latino-Américains ne vivaient pas dans leur pays d'origine en 2020, ils étaient 25 millions en 2000. Pour certains pays, le phénomène est particulièrement frappant, ainsi le Venezuela a vu partir 25% de sa population. Si l'on pense principalement aux voisins américain et canadien comme destination de choix, une grande partie des migrations est en réalité intrarégionale. Crises économiques à répétition, instabilité politique et institutionnelle, catastrophes naturelles à répétition sous l'effet du réchauffement climatique, violences liées au narcotrafic... aggravent les problèmes socio-structurels auxquels sont confrontés les pays de la région. Autant de facteurs qui poussent les populations au départ à la recherche de stabilité et de meilleures opportunités. Alors qu'environ 27% de Latino-Américains ont entre 15 et 29 ans, environ 20% ne sont ni en emploi ni en études ni en formation. Des chiffres qui montrent un certain découragement de la part de cette génération quant à ses perspectives. Pour ces jeunes qui ne font pas non plus confiance à leur gouvernement, la tentation du départ est d'autant plus grande. Dans ce contexte, comment penser sa vie en Amérique latine quand on a moins de 30 ans ? Avec : • Lucie Laplace, chercheuse en Science politique au Laboratoire Triangle de l'Université Lumière Lyon 2, chercheuse à l'Institut Convergence Migrations et experte en migrations forcées, droits humains, action humanitaire et sur les enjeux de genre (spécialisation sur l'Amérique latine) • Gaspard Estrada, politologue, membre de l'Unité du Sud Global à la London School of Economics (LSE). Un témoignage d'une réfugiée mexicaine au Canada, réalisée par Aude-Emilie Judaïque. Un témoignage recueilli par Alice Campaignolle, correspondante de RFI à Caracas au Venezuela. Au Venezuela, on estime qu'environ 8 millions de personnes ont quitté le pays lors des 15 dernières années, fuyant une économie dévastée, l'hyperinflation, les pénuries. Si la situation s'est améliorée, elle est loin d'être parfaite, et les Vénézuéliens continuent de partir. Notre correspondante à Caracas est allée à la rencontre d'une jeune femme de 30 ans, Andrea, qui prépare son projet de migration pour l'Europe, frustrée de ne pas pouvoir trouver le travail qui l'intéresse, et de vivre dans l'instabilité permanente. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, partir ou rester : qu'en pensent les jeunes en Amérique du Sud sur les réseaux sociaux ? Programmation musicale : ► Fatima - Bejuco ► Petite Miss - Mademoiselle Lou.
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 4. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. Depuis une dizaine d'années, l'Amérique latine est confrontée à une crise migratoire. Selon les Nations-unies, 43 millions de Latino-Américains ne vivaient pas dans leur pays d'origine en 2020, ils étaient 25 millions en 2000. Pour certains pays, le phénomène est particulièrement frappant, ainsi le Venezuela a vu partir 25% de sa population. Si l'on pense principalement aux voisins américain et canadien comme destination de choix, une grande partie des migrations est en réalité intrarégionale. Crises économiques à répétition, instabilité politique et institutionnelle, catastrophes naturelles à répétition sous l'effet du réchauffement climatique, violences liées au narcotrafic... aggravent les problèmes socio-structurels auxquels sont confrontés les pays de la région. Autant de facteurs qui poussent les populations au départ à la recherche de stabilité et de meilleures opportunités. Alors qu'environ 27% de Latino-Américains ont entre 15 et 29 ans, environ 20% ne sont ni en emploi ni en études ni en formation. Des chiffres qui montrent un certain découragement de la part de cette génération quant à ses perspectives. Pour ces jeunes qui ne font pas non plus confiance à leur gouvernement, la tentation du départ est d'autant plus grande. Dans ce contexte, comment penser sa vie en Amérique latine quand on a moins de 30 ans ? Avec : • Lucie Laplace, chercheuse en Science politique au Laboratoire Triangle de l'Université Lumière Lyon 2, chercheuse à l'Institut Convergence Migrations et experte en migrations forcées, droits humains, action humanitaire et sur les enjeux de genre (spécialisation sur l'Amérique latine) • Gaspard Estrada, politologue, membre de l'Unité du Sud Global à la London School of Economics (LSE). Un témoignage d'une réfugiée mexicaine au Canada, réalisée par Aude-Emilie Judaïque. Un témoignage recueilli par Alice Campaignolle, correspondante de RFI à Caracas au Venezuela. Au Venezuela, on estime qu'environ 8 millions de personnes ont quitté le pays lors des 15 dernières années, fuyant une économie dévastée, l'hyperinflation, les pénuries. Si la situation s'est améliorée, elle est loin d'être parfaite, et les Vénézuéliens continuent de partir. Notre correspondante à Caracas est allée à la rencontre d'une jeune femme de 30 ans, Andrea, qui prépare son projet de migration pour l'Europe, frustrée de ne pas pouvoir trouver le travail qui l'intéresse, et de vivre dans l'instabilité permanente. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, partir ou rester : qu'en pensent les jeunes en Amérique du Sud sur les réseaux sociaux ? Programmation musicale : ► Fatima - Bejuco ► Petite Miss - Mademoiselle Lou.
durée : 00:09:21 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Julie Gacon, Sarah Masson - Militant inépuisable de la cause panafricaniste et grand admirateur de Bob Marley, Tiken Jah Fakoly est devenu l'ambassadeur des musiques traditionnelles ouest-africaines qu'il a fait voyager sur tous les continents, et jusqu'au festival de jazz de Marciac cette semaine. - réalisation : Sam Baquiast, Vivian Lecuivre - invités : Tiken Jah Fakoly Artiste
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 3. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. Depuis le 7 octobre 2023, date des attaques commises par le Hamas en Israël, le monde vit de nouveau au rythme du conflit israélo-palestinien. Depuis l'offensive du mouvement islamiste palestinien, Israël a déclenché sa riposte militaire à coups de bombardements dans la bande de Gaza, en Cisjordanie, au Liban et en Iran, plongeant toute la région dans la guerre. Alors que des milliers de personnes ont perdu la vie, que Gaza souffre de la faim, que les économies dévissent, le reste de la population vit dans l'attente des pourparlers, des trêves et des négociations. Dans la région du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord, 54% de la population a moins de 30 ans, selon les Nations unies. Dans ce contexte incertain, difficile de se projeter vers l'avenir pour cette nouvelle génération. Entre l'instabilité politique, les conflits récurrents, la vie chère et les taux de chômage élevés, comment croire en la paix quand on est jeune au Moyen-Orient ? Avec : • Marie Kortam, sociologue au département des Études contemporaines à l'Institut français du Proche-Orient, IFPO • Stéphanie Latte Abdallah, historienne, directrice de recherche au CNRS, co-autrice de Faire art, société et politique entre guerre et paix (Presses de l'Institut français du Proche-Orient, Ifpo / Diacritiques Éditions) • Anthony Samrani, co-rédacteur en chef à L'Orient-Le Jour et auteur de Vu du Liban : La fin d'un pays, la fin d'un monde ? dans la collection Tracts chez Gallimard en 2024. Des témoignages recueillis par Alice Moreno, correspondante de RFI à Ramallah. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, croire en la paix : qu'en pensent les jeunes ? Programmation musicale : ► Shmaali Tarweeda (Nicolas Jaar Remix) - Yasmine Hamdan ► Corazon - JUL feat. GIMS.
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 3. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. Depuis le 7 octobre 2023, date des attaques commises par le Hamas en Israël, le monde vit de nouveau au rythme du conflit israélo-palestinien. Depuis l'offensive du mouvement islamiste palestinien, Israël a déclenché sa riposte militaire à coups de bombardements dans la bande de Gaza, en Cisjordanie, au Liban et en Iran, plongeant toute la région dans la guerre. Alors que des milliers de personnes ont perdu la vie, que Gaza souffre de la faim, que les économies dévissent, le reste de la population vit dans l'attente des pourparlers, des trêves et des négociations. Dans la région du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord, 54% de la population a moins de 30 ans, selon les Nations unies. Dans ce contexte incertain, difficile de se projeter vers l'avenir pour cette nouvelle génération. Entre l'instabilité politique, les conflits récurrents, la vie chère et les taux de chômage élevés, comment croire en la paix quand on est jeune au Moyen-Orient ? Avec : • Marie Kortam, sociologue au département des Études contemporaines à l'Institut français du Proche-Orient, IFPO • Stéphanie Latte Abdallah, historienne, directrice de recherche au CNRS, co-autrice de Faire art, société et politique entre guerre et paix (Presses de l'Institut français du Proche-Orient, Ifpo / Diacritiques Éditions) • Anthony Samrani, co-rédacteur en chef à L'Orient-Le Jour et auteur de Vu du Liban : La fin d'un pays, la fin d'un monde ? dans la collection Tracts chez Gallimard en 2024. Des témoignages recueillis par Alice Moreno, correspondante de RFI à Ramallah. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, croire en la paix : qu'en pensent les jeunes ? Programmation musicale : ► Shmaali Tarweeda (Nicolas Jaar Remix) - Yasmine Hamdan ► Corazon - JUL feat. GIMS.
Ils ont grandi dans l'un des régimes les plus autoritaires du monde, avant de réussir à s'enfuir. Des milliers de jeunes Nord-Coréens ont traversé la frontière ces dernières années avec leurs parents, et refont leur vie chez leur voisin du Sud. Du jour au lendemain, ils doivent s'adapter à un monde capitaliste et compétitif, très éloigné de leur société d'origine. Difficile, mais pas impossible. Les jeunes Nord-Coréens ont plein de ressources. Et s'en sortent mieux que leurs parents. (Rediffusion) «Les Nord-Coréens de la génération Z connaissent les codes», un Grand reportage de Célio Fioretti.
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 2. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. En Inde, 93% des mariages sont arrangés, selon une grande étude de l'Université d'Oxford et la Fondation Lok, publiée en 2018. Si les chiffres datent un peu, le mariage reste une institution centrale dans la société indienne. Une affaire de famille et un projet à l'échelle d'une vie dans un pays où l'on compte moins de 2% de divorces. Le choix de sa ou son partenaire de vie est, en effet, rarement laissé au hasard. La caste, la religion, le métier, parfois le signe astrologique sont étudiés dans l'espoir de créer un couple idéal pour les deux familles. L'utilisation des applications de rencontre et des sites matrimoniaux pour les plus fortunés viennent optimiser le processus. Le mariage implique donc plus que deux personnes et façonnent l'organisation de la société, qui reste largement clanique, alors que les mariages d'amour et les mariages interconfessionnels sont encore très minoritaires. Chez ce géant démographique de près 1,5 milliard d'habitants dont la moitié a moins de 25 ans, le nombre de mariages ne devrait pas diminuer. Mais que pense la nouvelle génération de cette institution encore largement marquée par la tradition ? Dans un pays qui voit sa croissance économique et urbaine s'envoler, les jeunes, rivés sur les réseaux sociaux, ont-ils d'autres aspirations pour leur avenir qu'un partenaire choisi par leur parent ? Avec : • Jeanne Subtil, doctorante en Sociologie. Professeur de français langue étrangère à l'Alliance française de New Delhi en Inde. Autrice d'une thèse sur les expériences et perspectives amoureuses des étudiants et étudiantes de New Delhi • Arundhati Virmani, historienne de l'Inde coloniale et contemporaine et enseignante à l'École des Hautes études en Sciences sociales. Un entretien et témoignage recueilli par Côme Bastin, correspondant de RFI à Bangalore en Inde. Nous partons en Inde, le pays le plus peuplé du monde, avec 1,4 milliard d'habitants. L'Inde et sa diversité de langues, de religions, de castes et de territoires où près de 90% des mariages sont encore arrangés par les familles. Arrangés, mais pas forcément forcés, alors que la nouvelle génération tente d'arbitrer entre désir d'émancipation et respect pour la famille. Côme Bastin donne la parole à des femmes de Bangalore, la grande mégapole du sud du pays, connue pour sa modernité. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, que pensent les jeunes des mariages arrangés sur les réseaux sociaux ? Programmation musicale : ► Triple OG – Divine ► Allons voir - Feu! Chatterton.
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 2 Que pensent les jeunes européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. En Inde, 93 % des mariages sont arrangés selon une grande étude de l'Université d'Oxford et la Fondation Lok, publiée en 2018. Si les chiffres datent un peu, le mariage reste une institution centrale dans la société indienne. Une affaire de famille et un projet à l'échelle d'une vie dans un pays où l'on compte moins de 2 % de divorces. Le choix de sa ou son partenaire de vie est en effet rarement laissé au hasard. La caste, la religion, le métier, parfois le signe astrologique sont étudiés dans l'espoir de créer un couple idéal pour les deux familles. L'utilisation des applications de rencontre et des sites matrimoniaux pour les plus fortunés viennent optimiser le processus. Le mariage implique donc plus que deux personnes et façonnent l'organisation de la société, qui reste largement clanique alors que les mariages d'amour et les mariages interconfessionnels sont encore très minoritaires. Chez ce géant démographique de près 1,5 milliards d'habitants dont la moitié a moins de 25 ans, le nombre de mariage ne devraient pas diminuer. Mais que pense la nouvelle génération de cette institution encore largement marquée par la tradition ? Dans un pays qui voient sa croissance économique et urbaine s'envoler, les jeunes, rivés sur les réseaux sociaux, ont-ils d'autres aspirations pour leur avenir qu'un partenaire choisi par leur parent ? Avec : • Jeanne Subtil, doctorante en sociologie. Professeur de française langue étrangère à l'Alliance française de New Delhi en Inde. Autrice d'une thèse sur les expériences et perspectives amoureuses des étudiants et étudiantes de New Delhi • Arundhati Virmani, historienne de l'Inde coloniale et contemporaine et enseignante à l'Ecole des hautes études en sciences sociales Un entretien et témoignage recueilli par Côme Bastin, correspondant de RFI à Bangalore en Inde Nous partons en Inde, le pays le plus peuplé du monde, avec 1,4 milliard d'habitants. L'Inde et sa diversité de langues, de religions, de castes et de territoires où près de 90 % des mariages sont encore arrangés par les familles. Arrangés, mais pas forcément forcés, alors que la nouvelle génération tente d'arbitrer entre désir d'émancipation et respect pour la famille. Côme Bastin donne la parole à des femmes de Bangalore, la grande mégapole du sud du pays, connue pour sa modernité. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, que pensent les jeunes sur les mariages arrangés sur les réseaux sociaux ? Programmation musicale : ► Triple OG – Divine ► Allons voir - Feu! Chatterton
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 1. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. Sur le continent africain, un jeune sur quatre n'est ni en emploi, ni en étude, selon l'Organisation internationale du Travail (OIT). Une situation largement préoccupante puisque 73 millions de jeunes actifs supplémentaires sont attendus sur les marchés du travail d'ici 2050. Alors que l'Afrique peine à subvenir aux besoins alimentaires de sa population, le secteur agricole pourrait offrir de nombreuses opportunités à cette jeunesse en quête d'emploi. Mais l'agriculture ne séduit pas cette jeune main-d'œuvre qui préfère tenter sa chance en ville ou se lancer dans un parcours migratoire. Soumise aux aléas et au réchauffement climatique, l'agriculture sur le continent, est encore largement traditionnelle, peu mécanisée et donc peu productive et génératrice de faibles revenus pour les petits exploitants qui n'ont pas accès au financement. De nouveaux métiers et nouvelles méthodes de production plus respectueuses des sols sont néanmoins en train de se développer. La micro-irrigation, l'agroécologie, l'utilisation de drones pour pulvériser les intrants, le recours à des applications pour optimiser l'usage d'intrants ou vendre ses productions pourraient permettre de moderniser le secteur et offrir de meilleurs revenus. Cette «nouvelle» agriculture, plus axée sur les nouvelles technologies et l'environnement peut-elle attirer la jeunesse du continent ? Avec : • Jean-René Cuzon, responsable Équipe Projet au sein de la division Agriculture, Développement rural et Biodiversité de l'Agence française de développement (AFD) • Véronique Ancey, socio-économiste, chercheuse au Cirad (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement), au sein Unité de recherche ARDEV (acteur ressource territoire et développement). Elle travaille sur le pastoralisme • Assimiou Ayabawe, coordonnateur du Réseau des Jeunes Producteurs et Professionnels Agricoles du Togo. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, que pensent les jeunes des métiers agricoles en Afrique sur les réseaux sociaux ? Programmation musicale : ► Keep On Loving Me (biko biko) - Lady Donli ► Se Ve — Dandara, G. Zamora.
Dans cette édition :Surpopulation carcérale en France, avec plus de 80 000 personnes incarcérées pour seulement 62 000 places, créant des conditions de travail difficiles pour les surveillants de prison.Manque d'engagement des jeunes Français pour honorer la mémoire des anciens combattants, les associations peinent à recruter de nouveaux porte-drapeaux pour les cérémonies officielles.Accord commercial conclu entre l'Union Européenne et les États-Unis, qui semble plus avantageux pour les États-Unis que pour l'Europe.Des négociations sont en cours entre la Chine et les États-Unis concernant les droits de douane imposés sur les produits chinois.La France envisage de reconnaître prochainement l'existence d'un État palestinien, ce qui suscite des réactions mitigées au sein de l'Union Européenne.Incident impliquant des jeunes français de confession juive qui ont été débarqués de force d'un vol Valence-Paris par la compagnie aérienne Vueling.Victoire de Tadej Pogacar sur le Tour de France 2023 et la finale de l'Euro féminin de football remportée par l'Angleterre.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 1. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. Sur le continent africain, un jeune sur quatre n'est ni en emploi, ni en étude, selon l'Organisation internationale du Travail (OIT). Une situation largement préoccupante puisque 73 millions de jeunes actifs supplémentaires sont attendus sur les marchés du travail d'ici 2050. Alors que l'Afrique peine à subvenir aux besoins alimentaires de sa population, le secteur agricole pourrait offrir de nombreuses opportunités à cette jeunesse en quête d'emploi. Mais l'agriculture ne séduit pas cette jeune main-d'œuvre qui préfère tenter sa chance en ville ou se lancer dans un parcours migratoire. Soumise aux aléas et au réchauffement climatique, l'agriculture sur le continent, est encore largement traditionnelle, peu mécanisée et donc peu productive et génératrice de faibles revenus pour les petits exploitants qui n'ont pas accès au financement. De nouveaux métiers et nouvelles méthodes de production plus respectueuses des sols sont néanmoins en train de se développer. La micro-irrigation, l'agroécologie, l'utilisation de drones pour pulvériser les intrants, le recours à des applications pour optimiser l'usage d'intrants ou vendre ses productions pourraient permettre de moderniser le secteur et offrir de meilleurs revenus. Cette «nouvelle» agriculture, plus axée sur les nouvelles technologies et l'environnement peut-elle attirer la jeunesse du continent ? Avec : • Jean-René Cuzon, responsable Équipe Projet au sein de la division Agriculture, Développement rural et Biodiversité de l'Agence française de développement (AFD) • Véronique Ancey, socio-économiste, chercheuse au Cirad (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement), au sein Unité de recherche ARDEV (acteur ressource territoire et développement). Elle travaille sur le pastoralisme • Assimiou Ayabawe, coordonnateur du Réseau des Jeunes Producteurs et Professionnels Agricoles du Togo. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, que pensent les jeunes des métiers agricoles en Afrique sur les réseaux sociaux ? Programmation musicale : ► Keep On Loving Me (biko biko) - Lady Donli ► Se Ve — Dandara, G. Zamora.
Dans cette édition :Surpopulation carcérale en France, avec plus de 80 000 personnes incarcérées pour seulement 62 000 places, créant des conditions de travail difficiles pour les surveillants de prison.Manque d'engagement des jeunes Français pour honorer la mémoire des anciens combattants, les associations peinent à recruter de nouveaux porte-drapeaux pour les cérémonies officielles.Accord commercial conclu entre l'Union Européenne et les États-Unis, qui semble plus avantageux pour les États-Unis que pour l'Europe.Des négociations sont en cours entre la Chine et les États-Unis concernant les droits de douane imposés sur les produits chinois.La France envisage de reconnaître prochainement l'existence d'un État palestinien, ce qui suscite des réactions mitigées au sein de l'Union Européenne.Incident impliquant des jeunes français de confession juive qui ont été débarqués de force d'un vol Valence-Paris par la compagnie aérienne Vueling.Victoire de Tadej Pogacar sur le Tour de France 2023 et la finale de l'Euro féminin de football remportée par l'Angleterre.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:58 - Les Grandes Traversées - par : Marie Chartron - Lorsque se produit la révolution de février 1917 qui le libère de son exil sibérien, Staline a déjà 38 ans. Quelle fut la première vie et la formation politique de celui qui s'appelait encore Joseph Djougachvili, né en 1878 dans la petite ville géorgienne de Gori ? - réalisation : Diphy Mariani
Les enfants et les jeunes sont une cible facile pour les enseignes de junkfood et leur mode de vie devient de plus en plus sédentaire. Ils sont de plus en plus nombreux à souffrir de surpoids. Des programmes existent pour les pousser à bouger mais la question de la prévention se pose aussi. Depuis la rentrée scolaire d'août 2024, le canton de Vaud a mis en place un programme sur l'alimentation et l'agriculture dont un des buts est d'éduquer les enfants aux goûts, en les aidant à prendre conscience de leurs sensations de faim, de soif et de satiété. Reportages Géraldine Genetti Réalisation Jean-Daniel Mottet Production Laurence Difélix
La Fréquence prend quelques vacances et du repos cet été mais on ne vous laisse pas sans rien ! ⛱️On vous partage quelques aftershows : ces contenus bonus pour les abonnés Patreon qu'on enregistre avec nos invités à chaque fin d'émission.Un grand merci au passage à toutes celles et ceux qui nous soutiennent depuis cette plateforme - à retrouver ici : https://www.patreon.com/frequence934Invitée de cet aftershow : Margaux, auditrice de l'émission. Cet aftershow a été originellement publié le 23 juin 2024 sur Patreon.Pour prolonger l'aventure Harry Potter avec nous :Facebook : https://www.facebook.com/frequence934Twitter : https://twitter.com/frequence934Instagram : https://www.instagram.com/frequence934Discord : https://discord.com/invite/ps7FgM2bfGTwitch : https://www.twitch.tv/stream9troisquartsNotre volière : frequence934@gmail.comou à : Fréquence 9 3/4, Espace Conquérant, 3 Place Jean Nouzille 14000 Caen FRANCESoutenez-nous également sur Tipeee : https://fr.tipeee.com/frequence934Thème musical :Moonlight Hall, de Kevin MacLeod (Licence CC BY 3.0)Jérémy & Marina ⚡Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Immersion dans l’exposition, avec Marine Thévenin, gestionnaire du lieu, Muriel Marshal, chanteuse lyrique, comédienne, animant l’orgue de papier ; Simon Plumecocq, commissariat d’exposition et artiste. EXPOSITION D'OFFARD, METAMORPHOSES DU PAPIER EXPOSITION ATELIER D'OFFARD, LES 25 ANSDu 18 juin au 31 août 2025 Entre préservation du patrimoine et création contemporaine Entre savoir-faire ancestral et création contemporaine, […] L'article Hôtel Gouïn – EXPOSITION D'OFFARD, MÉTAMORPHOSES DU PAPIER est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Aujourd'hui nous rencontrons une figure emblématique des années 1990, je dirais même, une icône ! Vous avez forcément croisé sa silhouette élancée et son visage lumineux dans les magazines de mode, auprès des plus grands créateurs. Estelle Lefébure est devenue dès ses 19 ans l'une des mannequins les plus en vue de sa génération.Au-delà de sa carrière de Top Modèle, Estelle Lefébure a su diversifier ses activités en se lançant dans la comédie et l'animation télévisée. Et elle partage sa passion pour le bien-être et la santé à travers des livres depuis de nombreuses années. Aujourd'hui elle publie son nouvel ouvrage intitulé Welcome : Accueillir le temps qui passe, dans lequel elle partage sa vision positive du vieillissement et propose sa méthode pour accueillir chaque jour comme un cadeau. A rebours de toutes les Injonctions à rester éternellement jeune, Estelle nous invite à accueillir sereinement l'avancée dans l'âge, elle revendique de vieillir joyeusement, et naturellement. Plutôt très inspirant. Elle nous a donné rendez-vous dans son restaurant préféré, décidée à nous montrer que la vie n'est pas définie par l'âge, mais par ce que nous en faisons ! Allez, mettez-vous à table avec nous, prenez une petite boisson chaude, détendez-vous, on l'écoute...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La suspension de la Première ministre Paetongtarn Shinawatra, le 1er juillet, a plongé le royaume dans une nouvelle zone de turbulences. Face à l'instabilité chronique et à un système verrouillé par les élites conservatrices et le pouvoir militaire, de jeunes Thaïlandais expriment leur désarroi, et parfois une fragile lueur d'espoir. De notre correspondant à Bangkok, Valentin Cebron Angelo n'avait que trois ans quand l'armée a renversé Thaksin Shinawatra en 2006. Cet étudiant de 22 ans se souvient en revanche du chaos qui a précédé le coup d'État de 2014 et des années de junte militaire qui ont suivi. Alors aujourd'hui, la suspension par la Cour constitutionnelle de la Première ministre Paetongtarn Shinawatra, fille de Thaksin, ne le rassure pas. « Ce qui se passe actuellement ressemble beaucoup aux évènements qu'on a connus ces vingt dernières années. J'ai le sentiment que la Thaïlande peut replonger dans une nouvelle phase d'instabilité. Tout cela s'inscrit dans le prolongement du déclin démocratique amorcé en 2006. » Il en veut à la Cour constitutionnelle, qui, en moins de deux ans, a dissous le parti progressiste vainqueur des élections de 2023, et destitué un Premier ministre l'année suivante. « La Cour constitutionnelle est une institution politiquement corrompue, utilisée par la classe dirigeante pour servir ses intérêts et se débarrasser de ses opposants. Ça reste le mécanisme le plus attrayant pour les tenants du pouvoir, car elle est moins bruyante qu'un coup d'État militaire. » « Ce changement, l'État ne pourra pas l'ignorer » Selon un sondage, 83% des Thaïlandais de 18-24 ans sont inquiets de l'instabilité politique de leur pays. Ice, 21 ans, est dépitée : « Je ne suis pas surprise. C'est toujours le même schéma. En tant que jeune thaïlandaise, honnêtement, je me sens triste et sans espoir… » Manifestation ultra-nationaliste, appels au putsch : la crise actuelle fait redouter le pire à certains jeunes, comme Tong, 29 ans : « J'ai peur que l'armée profite de cette situation pour organiser un nouveau coup d'État, en prétextant des troubles et en invoquant la nécessité de reprendre le contrôle. Ça serait le pire des scénarios ». Pour Malinee Khumsupa, vice-doyenne de la faculté de sciences politiques à l'université de Chiang Mai, les aspirations de la jeunesse ne se réaliseront pas de sitôt : « La structure politique thaïlandaise est depuis longtemps enfermée dans un cercle vicieux. Elle ne changera pas du jour au lendemain. Mais la jeunesse me donne de l'espoir. Autrefois, les politiciens étaient plus âgés, et les partis ne recrutaient que dans les milieux d'affaires ou l'élite. Aujourd'hui, des jeunes et des gens ordinaires peuvent devenir candidats. Chaque année, je vois de plus en plus de mes étudiants rejoindre un parti. Ce changement culturel, porté par une génération qui défend la démocratie, l'État ne pourra pas éternellement l'ignorer ». Itim, 22 ans, fait partie de ces jeunes, qui veulent rester confiants : « C'est frustrant de voir ces crises se répéter sans arrêt. On n'arrête pas de réclamer des réformes, alors que la structure elle-même, les règles du jeu, n'ont pas changé. Mais les jeunes se font entendre depuis 2019, et la foi qui s'est éveillée à cette époque reste vivace chez beaucoup d'entre nous. C'est ce qui me donne l'espoir qu'un jour, nous pourrons briser ce cycle ». Si Paetongtarn Shinawatra est destituée dans les semaines à venir, la Thaïlande pourrait se retrouver avec un septième Premier ministre en moins de quatre ans. À lire aussiDes affrontements frontaliers entre le Cambodge et la Thaïlande font une dizaine de victimes civiles
Vingt-cinq ans, le travail et moi. Comment les jeunes voient-ils le monde du travail, l'entrepreneuriat ? Et comment se projettent-ils et elles dans l'avenir ? Alors que le Groenland cherche à diversifier son économie et à gagner en autonomie financière vis-à-vis de la tutelle danoise, rencontre avec Casper Møller, qui a lancé avec des amis son agence de voyage et veut que l'argent du tourisme bénéficie davantage à son île natale. Col roulé blanc cassé, cheveux impeccablement coiffés, nous rencontrons Casper Møller dans un café surchauffé d'un quartier industriel de la capitale du Groenland, Nuuk. Des groupes d'amis discutent aux tables d'à-côté. Au fond, par la fenêtre, on aperçoit le fjord et ses icebergs qui défilent le long de la côte. Casper travaille souvent ici, faute d'avoir pour l'instant un « vrai » bureau. Après la fin de ses études de commerce au Danemark, ce Groenlandais a fondé l'an dernier avec deux amis une entreprise de tourisme, Raw Arctic. Nouvelle liaison New York-Nuuk « Nous avons senti qu'il y avait un besoin et que c'était le bon moment, car un nouvel aéroport allait ouvrir en novembre (2024) », explique-t-il devant son smartphone et son ordinateur, une tasse à la main. L'aéroport international de Nuuk accueille même depuis juin cette année des vols directs depuis New York. Tandis que le nombre de visiteurs avait déjà bondi de 50% depuis 2018. De quoi porter la croissance de la toute jeune société de Casper et de ses amis. « Nous avons été en mesure de commencer à nous dégager un salaire, nous les cofondateurs. Et en comptant les employés, cet été nous serons 16 personnes », nous expliquait-il lors de notre rencontre au printemps. Le gouvernement actuel du Groenland, au pouvoir depuis mars, espère pour sa part doubler le nombre d'emplois dans le tourisme d'ici 2035. Chasse, pêche et vidéos L'agence propose des voyages en bateau dans les fjords, des séjours autour de la chasse au renne ou encore de la pêche à la mouche, pour de riches touristes. Cet après-midi-là, une fine neige s'abat en rafales sur la ville. Le temps est trop mauvais pour organiser une sortie : Casper et son associé Isak Brandt Hansen en profitent pour regarder une vidéo souvenir tournée par leur agence pour des clients venus quelques semaines plus tôt chasser le phoque dans le fjord de Nuuk. L'un des deux touristes vise, tire, sans succès. L'animal est reparti sain et sauf cette fois-ci. S'ensuit à l'image une journée de chasse au renne, au milieu d'images spectaculaires de fin d'hiver. Les images sont envoyées aux clients à l'issue de leur visite. Mieux répartir l'argent des croisiéristes En plus des séjours sur mesure, les fondateurs de la petite agence de voyage veulent se faire une place dans les services aux bateaux de croisières internationaux qui font escale au Groenland. « Avant d'arriver, les bateaux de croisières entrent en contact avec une agence de voyage et avec les petits bateaux, explique Casper. Quand on part en mer (dans des conditions difficiles, avec des blocs de glace), à la fin on ne reçoit même pas 30% du montant que les croisiéristes ont payé pour l'excursion. Ce n'est pas juste, estime-t-il. Donc, nous sommes en train de lancer une entreprise qui va regrouper dix propriétaires de petits bateaux, qui assumeront les mêmes risques, mais en gardant l'argent ici au Groenland. » Les réservations avec les bateaux de croisière se font souvent plus d'un an à l'avance. La jeune entreprise prévoit donc de travailler avec les croisiéristes dès l'an prochain. En réduisant les intermédiaires, les trois jeunes associés espèrent négocier de meilleurs tarifs pour les petits bateaux groenlandais. À lire aussiAvoir 25 ans à Varsovie: Aleksandra Bylina, consultante en développement durable
Des milliers de jeunes mineurs arrivent chaque année d'Afrique, d'Asie, et du Proche-Orient dans ces deux pays de première arrivée. Leur prise en charge est essentielle notamment pour qu'ils ne se retrouvent pas à la merci de la criminalité organisée. Cette émission est une sélection estivale des programmes d'Accents d'Europe En Italie, les mineurs isolés aidés par des tuteurs En Italie, plus de 11.000 enfants non accompagnés sont arrivés en moyenne chaque année, depuis 2024, selon l'ONG Save the children. Même si beaucoup poursuivent leur route vers d'autres États européens, la plupart passent de longs mois voire des années dans le pays en attente du traitement de leur dossier et certains finissent par y rester, suivent des études et trouvent un emploi. Pour les soutenir, les régions et les villes forment des tuteurs. Ce dispositif instauré par une loi de 2017 n'a pas été remis en question par le gouvernement de Giorgia Meloni. Les bénévoles qui souhaitent exercer la responsabilité du tutorat doivent suivre une formation et obtenir un agrément. Reportage à Fermo, dans le centre de l'Italie, Cécile Debarge. Des mineurs pendant longtemps placés en détention, en Grèce En Grèce, l'autre principal pays de première entrée dans l'Union européenne, 3.000 mineurs non-accompagnés sont arrivés en 2024, le double de l'année précédente selon l'ONU. Le gouvernement grec est régulièrement mis en cause pour des pratiques illégales de refoulement et de renvois forcés, y compris de mineurs, depuis quelques années. Mais en raison notamment de la pression européenne des choses ont changé dans la prise en charge de ces adolescents isolés qui, jusqu'à récemment, pouvaient être placés en détention. Les explications de Joël Bronner à Athènes. Chronique musique La sélection de Vincent Théval : Délirium de C Duncan (Écosse) Au Portugal, les retraités travaillent Faut-il ramener l'âge de la retraite à 62 ans au lieu de 64 ans ? En France, le débat sur la réforme de 2023 continue à diviser la classe politique et les partenaires sociaux. Le Portugal, lui, a tranché : ce sera désormais 66 ans et 9 mois. Le pays est le deuxième de l'Union européenne en termes de vieillissement : en 2022, la moitié de ses 10 200 000 habitants avaient plus de 46 ans. Et de plus en plus de Portugais continuent à travailler une fois qu'ils sont à la retraite. Si la moitié d'entre eux le font par intérêt et pour rester actifs, pour l'autre moitié c'est une nécessité financière. Reportage à Lisbonne, Marie-Line Darcy.
Des milliers de jeunes mineurs arrivent chaque année d'Afrique, d'Asie, et du Proche-Orient dans ces deux pays de première arrivée. Leur prise en charge est essentielle notamment pour qu'ils ne se retrouvent pas à la merci de la criminalité organisée. Cette émission est une sélection estivale des programmes d'Accents d'Europe En Italie, les mineurs isolés aidés par des tuteurs En Italie, plus de 11.000 enfants non accompagnés sont arrivés en moyenne chaque année, depuis 2024, selon l'ONG Save the children. Même si beaucoup poursuivent leur route vers d'autres États européens, la plupart passent de longs mois voire des années dans le pays en attente du traitement de leur dossier et certains finissent par y rester, suivent des études et trouvent un emploi. Pour les soutenir, les régions et les villes forment des tuteurs. Ce dispositif instauré par une loi de 2017 n'a pas été remis en question par le gouvernement de Giorgia Meloni. Les bénévoles qui souhaitent exercer la responsabilité du tutorat doivent suivre une formation et obtenir un agrément. Reportage à Fermo, dans le centre de l'Italie, Cécile Debarge. Des mineurs pendant longtemps placés en détention, en Grèce En Grèce, l'autre principal pays de première entrée dans l'Union européenne, 3.000 mineurs non-accompagnés sont arrivés en 2024, le double de l'année précédente selon l'ONU. Le gouvernement grec est régulièrement mis en cause pour des pratiques illégales de refoulement et de renvois forcés, y compris de mineurs, depuis quelques années. Mais en raison notamment de la pression européenne des choses ont changé dans la prise en charge de ces adolescents isolés qui, jusqu'à récemment, pouvaient être placés en détention. Les explications de Joël Bronner à Athènes. Chronique musique La sélection de Vincent Théval : Délirium de C Duncan (Écosse) Au Portugal, les retraités travaillent Faut-il ramener l'âge de la retraite à 62 ans au lieu de 64 ans ? En France, le débat sur la réforme de 2023 continue à diviser la classe politique et les partenaires sociaux. Le Portugal, lui, a tranché : ce sera désormais 66 ans et 9 mois. Le pays est le deuxième de l'Union européenne en termes de vieillissement : en 2022, la moitié de ses 10 200 000 habitants avaient plus de 46 ans. Et de plus en plus de Portugais continuent à travailler une fois qu'ils sont à la retraite. Si la moitié d'entre eux le font par intérêt et pour rester actifs, pour l'autre moitié c'est une nécessité financière. Reportage à Lisbonne, Marie-Line Darcy.
Vingt-cinq ans, le travail et moi. RFI est allée aux quatre coins de la planète pour sonder des jeunes nés en l'an 2000 sur leur rapport au travail, leurs espoirs, mais aussi les difficultés qu'ils rencontrent dans leurs quotidiens. Aujourd'hui, direction la Pologne à la rencontre d'Aleksandra, consultante en développement durable. C'est au pied d'un imposant centre d'affaires de Varsovie qu'Aleksandra Bylina, 25 ans, nous a donné rendez-vous. Son bureau se trouve au 22e étage d'un building voisin. « Le domaine dans lequel je travaille est plutôt un marché de niche. J'ai toujours aimé la nature. Ma matière de prédilection à l'école était la géographie. Je l'ai choisie pour le Bac et poursuivie durant mes études. Mais c'était plus qu'une matière, plutôt une passion. Me promener dans le parc, admirer le vivant... Cela me manque en ville. Alors, je me suis dit : mon hobby pourrait devenir mon travail. » Construire pour l'avenir Avec son chignon châtain et ses yeux amande, Aleksandra est une jeune femme décidée. Elle le tient de son entourage familial. Varsovienne de naissance, c'est son père, artiste-peintre, qui lui aurait transmis son amour de la nature. De sa mère, elle pense avoir hérité la volonté d'agir. L'écologie et le développement durable sont devenus le cheval de bataille de la jeune Polonaise. Aujourd'hui, elle accompagne les entreprises. La spécialité d'Aleksandra : le bien-être au travail. « Tout n'est pas rose, loin de là. Mais ce sont les grands groupes qui doivent donner l'exemple. Le bien-être des collaborateurs doit être une préoccupation des dirigeants. Au même titre que l'impact sur la planète. Il s'agit de construire quelque chose pour l'avenir », estime la jeune consultante. Pour Aleksandra, l'équilibre entre sa vie personnelle et sa vie professionnelle est important : « Je travaille en mode hybride. Deux jours par semaine en présentiel et trois jours en télétravail. Chaque façon de travailler comporte des dangers et des avantages. L'important pour moi, c'est d'associer les deux. Les jeunes autour de moi pensent la même chose. » Des rêves à portée de main Déconnectée, Aleksandra ? La jeune femme se dit plutôt réaliste : « Quand je me mets à rêver à quelque chose, je veux y parvenir. Je partage cette sensibilité avec les autres jeunes de 25 ans. Quand j'aime quelque chose, que cela est bon pour moi et ne dérange pas les autres, alors pourquoi ne pas le faire. 25 ans, c'est l'âge charnière entre l'insouciance de la jeunesse et le monde des adultes avec ses responsabilités. Personnellement, je cherche plus de stabilité. Je suis en couple, je rêve d'avoir trois enfants. » La précarité des jeunes Mais la situation des jeunes reste très précaire. Et la guerre en Ukraine est toute proche : « Tout est devenu incertitude. Nous cherchons à nous raccrocher à la nature, à la famille, car le marché du travail n'offre aucune assurance », conclut notre interlocutrice. Aleksandra Bylina s'éloigne. Mais elle laisse un sentiment de confiance en soi qui fait du bien. À lire aussiAvoir 25 ans à Garoua, le coton comme horizon
durée : 00:44:03 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - Depuis le mois dernier, les principaux sites de contenu pornographique et l'État français sont engagés dans un bras de fer. Mais derrière ce débat de façade, que sait-on vraiment de la consommation pornographique des mineurs ? Peut-on en mesurer les conséquences psychiques ? - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Samuel Comblez Psychologue de l'enfance et de l'adolescence, directeur des opérations de l'association e-Enfance; Marie Rose Moro Pédopsychiatre, directrice de la maison de Solenn, et professeure à l'université Paris-Descartes; Yaëlle Amsellem-Mainguy Sociologue, chargée d'études et de recherche à l'Institut National de la Jeunesse et de l'Education Populaire (Injep); Michel Combot Directeur général de la Fédération Française des Télécoms
Zach et Emma invitent deux musiciens du groupe Les Indéfinis : Laura et Thierry. Les Indéfinis, voici un groupe de musique qui porte bien son nom : chaque membre y apporte son esthétique musicale favorite, ses talents de musicien.ne, auteur.trice, et interprète. La formation s’est déjà produite au Temps Machine, salle de musiques actuelles de […] L'article La Méridienne – Zach et Emma invitent Laura et Thierry, du groupe Les Indéfinis est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Durant tout l’été 2025, Radio Campus Tours te propose chaque soir en semaine à 18h10 des mix et playlists préparés par nos bénévoles et artistes préférés. Retrouve ici les mix à réécouter, et les tracklists! Mel – Monde arabe & Divas – Tracklist: asfour (?????) – oumaima khalil – 2023 Cairokee – Basrah w Atoh […] L'article MIX ETE 2025 est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Ah, @parcoursupinfo … Il y en aurait, des choses à dire ! Qu’en pensent les principaux intéressés, les lycéens ? C’est ce qu’à voulu savoir Camille Fantuzzi, lycéenne, et elle a réalisé une série de podcasts sur le sujet. Lizzie Erwan Opale Enora L'article Podcast – Parcours Sup’ – Misères et grandeurs est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
durée : 00:44:03 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - Depuis le mois dernier, les principaux sites de contenu pornographique et l'État français sont engagés dans un bras de fer. Mais derrière ce débat de façade, que sait-on vraiment de la consommation pornographique des mineurs ? Peut-on en mesurer les conséquences psychiques ? - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Samuel Comblez Psychologue de l'enfance et de l'adolescence, directeur des opérations de l'association e-Enfance; Marie Rose Moro Pédopsychiatre, directrice de la maison de Solenn, et professeure à l'université Paris-Descartes; Yaëlle Amsellem-Mainguy Sociologue, chargée d'études et de recherche à l'Institut National de la Jeunesse et de l'Education Populaire (Injep); Michel Combot Directeur général de la Fédération Française des Télécoms
Pour célébrer la tournée des cadors du punk hardcore UK 82, à savoir GBH, Exploited, Discharge et au choix, Chron Gen ou Anti Nowhere League, on replonge dans cette moitié de décennie 80ies avec Eskorbuto, Komintern Sect, Wunderbach pour commencer, suivis des Violators, Blitz, Exploited, Ultraviolent, avant d’enchaîner sur une vague Bad Brains, Discharge, Negative […] L'article LJDH – Punk and Big Disorderly est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Avant ou après avoir écouté ce programme, on vous recommande le documentaire sur Madness diffusé sur ARTE, intitulé « Prince du ska, roi de la pop »… Ceci étant dit, on passe du Prince Buster, et du Madness des débuts. On poursuit avec (dans le désordre) les Clash, UB 40, 4 Skins (cherchez l’intrus… Quoique avec le […] L'article Maggot Brain – Express Learning Madness est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Dans le supplément de ce dimanche, Grand reportage week-end vous emmène en Pologne, sur le camp nazi d'extermination d'Auschwitz-Birkenau dont c'est le 80è anniversaire de la libération par l'armée russe en 1945... Des collégiens ou des familles de déportés font souvent le voyage pour un «travail» de mémoire et un hommage aux victimes de la Shoah. En seconde partie, direction le Pérou, où l'approvisionnement en eau potable demeure difficile notamment pour les personnes démunies. (Rediffusion) Mémoire de la Shoah: les jeunes se sentent-ils capables de la transmettre ? C'était il y a tout juste 80 ans. Le 27 janvier 1945, le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau, situé en Pologne, était libéré par l'armée russe. La Shoah fera 6 millions de morts, dont un million dans ce camp, épicentre de la solution finale : l'extermination programmée, à l'échelle industrielle, des Juifs d'Europe par l'Allemagne Nazie. 80 ans après, le camp est devenu un musée et un mémorial visité chaque année par de nombreux étudiants, qui ont un rapport parfois distant avec l'histoire de la Shoah. Reportage avec de jeunes lycéens français originaires de Toulouse. Un Grand reportage de Baptiste Coulon qui s'entretient avec Jacques Allix. L'accès à l'eau dans la capitale péruvienne : avant tout le combat des pauvres À Lima, au Pérou, 1 million et demi de personnes n'ont pas accès à l'eau courante… Leur seul moyen d'approvisionnement est le passage d'un camion citerne, à la venue aléatoire et dont la qualité de l'eau est critique... ; et critiquée. Et si les pouvoirs publics ne s'emparent pas rapidement du sujet, de plus en plus de Péruviens risquent d'être concernés. Selon une étude d'Aquafondo, le Pérou ne disposera, en effet, d'ici 40 ans, que de 60% de ses ressources actuelles en eau. Un Grand reportage de Marion Bellal qui s'entretient avec Jacques Allix.
25 ans, le travail et moi. RFI est allé aux quatre coins de la planète pour sonder des jeunes nés en l'an 2000 sur leur rapport au travail, leurs espoirs et l'avenir de leur métier. Direction Abidjan, en Côte d'Ivoire : RFI a rencontré un jeune passionné de technologies, qui entend concilier écologie et économie. Et si les déchets avaient de la valeur ? C'est le pari qu'a fait Emmanuel Korekou, jeune développeur ivoirien de 25 ans, en imaginant Ecobin+, une poubelle connectée capable de faire du tri sélectif tout en récompensant les personnes qui participent à la collecte. Le concept est simple : grâce à des capteurs intégrés, la poubelle reconnaît automatiquement la nature des déchets – plastique, matière organique… – et ouvre le bac adapté au contenu. Connectée à une application mobile, Ecobin+, qui est doté d'un panneau solaire, permet aux utilisateurs de vendre les déchets collectés et ainsi de participer activement à l'économie circulaire. « L'idée, c'est de sensibiliser la population à la collecte et au recyclage, mais aussi de montrer que les ordures peuvent être une ressource », explique Emmanuel Korekou. De l'électronique à l'internet des objets Avant de se lancer dans ce projet, Emmanuel Korekou, qui « a grandi à Abidjan », évoluait dans le domaine de l'électronique. Désireux d'élargir ses compétences, il décide de se reconvertir et s'inscrit au Techlab d'Eranove Academy, un centre de formation spécialisé dans les technologies du futur basé dans le quartier du Plateau. C'est là qu'il se passionne pour l'internet des objets et le génie climatique, deux secteurs porteurs à l'heure de la transition écologique. Dans un espace de travail partagé flambant neuf, Emmanuel Korekou travaille aux côtés de jeunes développeurs et geeks ivoiriens. Ensemble, ils inventent, testent et rêvent de solutions technologiques adaptées aux réalités locales. Imaginer le numérique de demain Pour ce jeune entrepreneur, le futur du numérique s'écrit déjà. Interrogé sur ce que pourrait être son métier dans 25 ans, Emmanuel imagine un monde dans lequel l'ordinateur de bureau ne sera plus nécessaire. « L'ordinateur, on l'aura littéralement à portée de main. En se promenant en ville, on sera déjà en contact avec des machines intégrées partout autour de nous, un peu comme les smartphones aujourd'hui », confie-t-il. Et il n'est pas inquiet du développement de l'intelligence artificielle (IA). Au contraire : « Il ne faut pas en avoir peur. Les métiers ne vont pas disparaître, ils vont simplement évoluer. Un secrétaire, par exemple, pourra ajouter de nouvelles fonctions à son poste. On aura des développeurs spécialisés en intelligence artificielle, en scripts pour coder des IA, et bien d'autres. C'est une opportunité pour celles et ceux qui sauront s'adapter. » Croire en la créativité de la jeunesse ivoirienne Pour Emmanuel Korekou, l'entrepreneuriat technologique est l'un des moyens de répondre à la crise de l'emploi qui touche de nombreux jeunes en Côte d'Ivoire. « L'État ne peut pas tout faire. Il faut que chacun prenne les choses en main et crée son activité en fonction de ses compétences, estime-t-il le concepteur d'Ecobin+, en constatant que de plus en plus de jeunes se lancent dans l'univers des start-up et du numérique. Les choses bougent, et financièrement, des méthodes existent pour nous accompagner. Tout est réuni pour avancer. » Toujours avide de savoir, Emmanuel Korekou poursuit sa formation dans les domaines de la transition énergétique, du suivi et de l'évaluation de projets de développement et de machine learning (apprentissage automatique). À lire aussiCôte d'Ivoire: les acteurs de l'économie numérique mis en avant à l'Ivoire Tech Forum
durée : 00:58:58 - Les Grandes Traversées - par : Marie Chartron - Lorsque se produit la révolution de février 1917 qui le libère de son exil sibérien, Staline a déjà 38 ans. Quelle fut la première vie et la formation politique de celui qui s'appelait encore Joseph Djougachvili, né en 1878 dans la petite ville géorgienne de Gori ? - réalisation : Diphy Mariani
Une table ronde enregistrée le samedi 28 juin 2025 lors de la Vegan Place de Tours, pour comprendre le spécisme, l’antispécisme, la sentience et le sentientisme. Florence Dellerie est autrice, illustratrice scientifique et la créatrice du site « Questions animalistes » où elle partage des réflexions et des outils informatifs sur l'éthique animale (https://questionsanimalistes.com).Orlando H. Benta est […] L'article ABCDVeg-Plateau radio Vegan Place Tours « Comprendre l’antispécisme et le sentientisme » avec Florence Dellerie, Orlando H. Benta et Anne-Lorraine Vigouroux est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
La Fréquence prend quelques vacances et du repos cet été mais on ne vous laisse pas sans rien ! ⛱️On vous partage quelques aftershows : ces contenus bonus pour les abonnés Patreon qu'on enregistre avec nos invités à chaque fin d'émission.Un grand merci au passage à toutes celles et ceux qui nous soutiennent depuis cette plateforme - à retrouver ici : https://www.patreon.com/frequence934Invité de cet aftershow : Adrien, ami et ancien chroniqueur du Poudcast. Cet aftershow a été originellement publié le 1er janvier 2025 sur Patreon.Pour prolonger l'aventure Harry Potter avec nous :Facebook : https://www.facebook.com/frequence934Twitter : https://twitter.com/frequence934Instagram : https://www.instagram.com/frequence934Discord : https://discord.com/invite/ps7FgM2bfGTwitch : https://www.twitch.tv/stream9troisquartsNotre volière : frequence934@gmail.comou à : Fréquence 9 3/4, Espace Conquérant, 3 Place Jean Nouzille 14000 Caen FRANCESoutenez-nous également sur Tipeee : https://fr.tipeee.com/frequence934Thème musical :Moonlight Hall, de Kevin MacLeod (Licence CC BY 3.0)Jérémy & Marina ⚡Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Nathalie exprime sa profonde déception après avoir renoué avec un amour de jeunesse 40 ans plus tard. Leur relation s'est abruptement interrompue lorsque son partenaire a cessé tout contact. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - L'amour de jeunesse est une relation particulière dans notre vie. Mais elle peut nous hanter tout au long de notre vie. Dans ce podcast, découvrez une partie des coulisses de l'émission "Parlons-Nous" du 26 février 2025. En compagnie de Caroline Dublanche, Paul Delair revient sur les témoignages et autres moments qui ont marqué le direct. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En France, en 2025, onze familles ont assigné en justice le réseau social TikTok pour avoir exposé leurs enfants à des contenus en lien avec le suicide, l'automutilation et les troubles alimentaires. Parmi ces familles, deux sont endeuillées après le suicide de deux jeunes filles. Les réseaux sociaux sont souvent pointés du doigt pour expliquer l'augmentation des troubles psychiques chez les adolescents et jeunes adultes. Ils peuvent également agir comme des amplificateurs de troubles déjà existants. De plus, la haine en ligne est un facteur de risque important de suicide chez les jeunes. Quel impact ont les réseaux sociaux sur la santé mentale ? Comment les troubles psychiques peuvent-ils être amplifiés par les réseaux sociaux et les algorithmes ? Quels sont les troubles les plus souvent intensifiés par ces derniers ? Comment les prévenir ? Anne-Victoire Rousselet, psychologue et psychothérapeute spécialisée en Thérapie Comportementale et Cognitive, au Centre hospitalier Sainte-Anne, à Paris Yann Vivette Tsobgni, psychologue et chercheure dans le domaine de la santé mentale en Afrique et dans les communautés africaines à l'étranger, créatrice de la page Facebook « Noire & Psy » et auteure du livre Noire et psy, la santé mentale dans les communautés africaines (autoédition). Un reportage de Raphaëlle Constant. Programmation musicale : ► Drugdealer, Kate Bollinger – Pictures of you ► Didi B, Alpha Blondy – The top.
En France, en 2025, onze familles ont assigné en justice le réseau social TikTok pour avoir exposé leurs enfants à des contenus en lien avec le suicide, l'automutilation et les troubles alimentaires. Parmi ces familles, deux sont endeuillées après le suicide de deux jeunes filles. Les réseaux sociaux sont souvent pointés du doigt pour expliquer l'augmentation des troubles psychiques chez les adolescents et jeunes adultes. Ils peuvent également agir comme des amplificateurs de troubles déjà existants. De plus, la haine en ligne est un facteur de risque important de suicide chez les jeunes. Quel impact ont les réseaux sociaux sur la santé mentale ? Comment les troubles psychiques peuvent-ils être amplifiés par les réseaux sociaux et les algorithmes ? Quels sont les troubles les plus souvent intensifiés par ces derniers ? Comment les prévenir ? Anne-Victoire Rousselet, psychologue et psychothérapeute spécialisée en Thérapie Comportementale et Cognitive, au Centre hospitalier Sainte-Anne, à Paris Yann Vivette Tsobgni, psychologue et chercheure dans le domaine de la santé mentale en Afrique et dans les communautés africaines à l'étranger, créatrice de la page Facebook « Noire & Psy » et auteure du livre Noire et psy, la santé mentale dans les communautés africaines (autoédition). Un reportage de Raphaëlle Constant. Programmation musicale : ► Drugdealer, Kate Bollinger – Pictures of you ► Didi B, Alpha Blondy – The top.
durée : 00:58:47 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - La loi du 5 août 1850 autorise officiellement les colonies pénitentiaires à destination des enfants et adolescents. Par le travail agricole, maritime ou industriel, il s'agit pour l'État de régénérer une jeunesse en perte de repères et de se substituer à des cellules familiales dysfonctionnelles. - réalisation : Thomas Beau, Anna Holveck - invités : Véronique Blanchard Historienne, enseignante-chercheuse à l'Université d'Angers; Julien Hillion Historien, membre associé du laboratoire TEMOS-CNRS, spécialiste de la colonie pénitentiaire de Belle-Île-en-Mer
durée : 00:58:58 - Les Grandes Traversées - par : Marie Chartron - Lorsque se produit la révolution de février 1917 qui le libère de son exil sibérien, Staline a déjà 38 ans. Quelle fut la première vie et la formation politique de celui qui s'appelait encore Joseph Djougachvili, né en 1878 dans la petite ville géorgienne de Gori ? - réalisation : Diphy Mariani